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samedi, 26 octobre 2013

La campagne du Vlaams Belang « Liberté ou islam ? » interdite.

1196871310_7.jpgDans le cadre du procès opposant l’étudiante canadienne Rosea Lake et la présidente de l’association Les femmes contre l’islamisation Anke Van Dermeersch (Cliquez ici), la justice a décidé d’interdire la poursuite de la campagne visée par la procédure judiciaire pour non-respect des droits d’auteur. En outre, la décision judiciaire doit être publiée au sein de trois journaux et sur le site Internet de l’association Les femmes contre l’islamisation. Le tout sous une astreinte de 1.000 euros pour chacune des décisions non–respectées. Les deux versions de la campagne sont interdites.

Anke Van Dermeersch a décidé d’aller en appel de cette décision judiciaire qu’elle estime motivée politiquement.

Source Lionel Baland cliquez ici

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vendredi, 18 octobre 2013

Affaire Louboutin/Vlaams belang : les collabos de l'islamisation s'acharnent à nouveau !

affiche2ta2.gifLa première version de l’affiche « Liberté ou islam ? » de l’association proche du Vlaams Belang Les femmes contre l’islamisation a fait l’objet d’une nouvelle affaire devant la justice belge [L'affiche serait un plagiat d'une production de Rosea Lake.]. L’étudiante canadienne de 18 ans Rosea Lake a déclaré devant le tribunal que lorsque le chausseur Louboutin lui a proposé un ticket d’avion afin de se rendre en Belgique, elle a refusé. Mais lorsque la créatrice de mode bruxello-marocaine Rachida Aziz lui a fait la même proposition, Rosea Lake a accepté. Abderrahim Lahlali est désormais l’avocat de Rosea Lake dans cette affaire. Il est d’origine marocaine et est spécialisé dans la défense dans des affaires douteuses de Marocains, de musulmans ou de l’islam. Abderrahim Lahlali conduit une sorte de guerre sainte juridique rampante visant à l'islamisation du droit belge. Le Front antifasciste récolte des fonds pour cette procédure juridique. 

La présidente de l’association Les femmes contre l’islamisation Anke Van dermeersch accompagnée d’autres femmes ont, ensemble, porté lors de l’audience des tee-shirts sur lesquels figure l’inscription en anglais « Obéissez à nos lois, respectez nos croyances ou quittez notre pays. » [Ces tee-shirts ont été vendus au Pays de Galles (Royaume-Uni) par un commerçant qui s’est vu interdire de les exposer dans son commerce.]

 

Source Lionel Baland cliquez ici

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mardi, 15 octobre 2013

Samedi 26 octobre, Madrid, 80e anniversaire de la création de la Phalange :

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A l'occasion des 80 ans de la Phalange

et du 110e anniversaire de la naissance

de José-Antonio Primo de Rivera cliquez ici

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lundi, 09 septembre 2013

Flandre : le Vlaams belang remonte la pente !

Au sein du baromètre Ipsos-RTL-Le Soir, le Vlaams Belang remonte alors que le parti national-centriste flamand N-VA recule. [La N-VA gouverne Anvers, la plus grande ville de Flandre, en coalition et se trouve dans les exécutifs d'autres villes, ainsi que dans le gouvernement de la Région flamande.]

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N-VA : Parti national-centriste flamand

CD&V : Parti démocrate-chrétien

VLD : Parti libéral de droite

SP-A : Parti socialiste

Vlaams Belang : Parti nationaliste flamand

Groen : écologistes

PvdA+ : Parti de tendance communiste

Source Lionel Baland cliquez ici

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lundi, 24 juin 2013

Une manif hier à Bruxelles organisée par NATION pour la libération d'Estéban

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En savoir plus cliquez là

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samedi, 15 juin 2013

“Je ne défends ni les intérêts de la Syrie ni ceux d’Israël, mais les intérêts de mon propre peuple menacé par les djihadistes musulmans.”

Filip-Dewinter-150x150.pngFilip Dewinter, de retour de Syrie, a déclaré sur la chaîne de télévision néerlandophone Canvas à propos de son voyage : « Je ne défends ni les intérêts de la Syrie ni ceux d’Israël, mais les intérêts de mon propre peuple menacé par les djihadistes musulmans. » et a ajouté « Choisir entre Assad et les rebelles est comme choisir entre la peste et le choléra. La question est de savoir quel est le moins mauvais. » Il a ajouté que sous le régime du président Assad, la liberté des deux millions de chrétiens est respectée.

Filip Dewinter a rencontré le Patriarche de la Communauté chrétienne.

Le régime syrien affirme qu’entre 500 à 600 djihadistes belges combattent en Syrie.

Source Lionel Baland

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vendredi, 14 juin 2013

Mercredi 26 juin, à Genève : une journée de solidarité avec Esteban

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mercredi, 12 juin 2013

Filip Dewinter est à Damas...

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L’homme fort du Vlaams Belang Filip Dewinter est en Syrie à l’invitation et aux frais du Parlement syrien. Il désire se rendre compte par lui-même de la situation qui règne dans le pays et s’informer. Filip Dewinter a rencontré le Patriarche de la Communauté chrétienne.

Suivez le voyage de Filip Dewinter sur le site de Lionel Baland cliquez là

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Les Grecs vont pouvoir penser par eux mêmes...

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Partout en Europe, la solidarité internationale avec Esteban s'organise...

Madrid :

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Lisbonne (près de l'ambassade de France) :

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Bruxelles :

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En Pologne :

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mercredi, 29 mai 2013

Bruxelles : un message à l'attention de ceux qui envisageraient de venir s'y installer

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dimanche, 05 mai 2013

1er mai solidariste à Bruxelles à l'initiative du Mouvement Nation

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samedi, 20 avril 2013

BOSTON : les terroristes sont bien musulmans !

Christophe Devillers

PdF Franche-Comté cliquez ici

omme ils l’avaient déjà fait pour l’affaire Merah, la piste de « l’extrême droite » était déjà évoquée par certains de nos médias et quelques gauchistes pour expliquer l’origine des derniers attentats sur le sol américain puisque leur « style » ne correspondrait pas au mode d’action des « barbus »…

Et pourtant, nous apprenons désormais que les deux principaux suspects sont deux frères d’origine tchétchène âgés de 19 et 26 ans et de confession musulmane ayant le statut de réfugiés politiques, après avoir émigré aux États-Unis depuis la Turquie, il y a plusieurs années !

Pour mémoire, la Tchétchénie abrite de nombreux camps terroristes, dirigés par des réseaux musulmans liés de près ou de loin à al-Qaïda, et que beaucoup de terroristes musulmans étrangers y ont effectué des « stages ». Selon la chaîne de télévision américaine « NBC News », les deux frères auraient passé 6 mois dans un camp de terroristes musulmans dans le Caucase, en 2012.

Au lendemain de ces attentats de Boston, un prédicateur musulman égyptien, Murgan Salem, a déclaré, sur la chaîne de télévision égyptienne « Tahrir TV » : « Les bombes de Boston étaient notre message. La France sera la prochaine cible ».

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jeudi, 14 mars 2013

Cologne : Tentative d'attentat déjouée contre notre ami Markus Beisicht...

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Markus Beisicht et Markus Wiener lors d'un meeting à Cologne

Le site Internet Focus online rapporte qu’une unité spéciale de la police a déjoué un attentat contre le président de pro-NRW Markus Beisicht.

Quatre jeunes hommes des milieux radicaux islamistes ont été arrêtés. Deux se trouvaient dans une voiture alors qu’ils se rendaient ce mardi 12 mars 2013 au soir avec des explosifs chez Markus Beisicht à Leverkusen. Deux autres protagonistes ont été arrêtés chez eux à Bonn et Essen. Lors de l’investigation, des armes et du matériel servant à fabriquer des explosifs ont été saisis.

Deux des protagonistes sont des convertis à l’islam. Les deux autres sont des musulmans de naissance.

Un porte-parole de la police a confirmé les quatre arrestations. L’enquête est conduite par le parquet de Dortmund. Le parquet fédéral examine la possibilité de se saisir de l’affaire.

Des tensions existent depuis plusieurs mois entre les islamistes fanatiques et les partisans de pro NRW. Markus Beisicht a été informé de la situation ce mercredi 13 mars 2013 au sein des bureaux de la police de Cologne. Il a été placé sous protection policière permanente.

Source Lionel Baland cliquez ici

 

NDLR : Rappelons que Pro NRW a mené en 2009 (cliquez ici) et 2010 une campagne de grande ampleur contre la construction de la plus grande mosquée d'Europe à Cologne. Plusieurs manifestations ont été alors organisées dans cette ville. Des délégations venues de Flandre, d'Espagne, d'Italie étaient présentes. Dans le cadre de la campagne Les Villes contre l'islamisation, des délégations de la NDP conduites par Robert Spieler représentaient la France à chacune de celles-ci. Nous avons aussi eu le plaisir de recevoir Markus, Wiener, numéro 2 de pro Köln, à au moins deux de nos journées annuelles de Synthèse nationale à Paris (2009 : cliquez ici et 2010 : cliquez là). Et en mars 2010 Markus Beisicht n'a pas hésité à venir à Metz soutenir la liste NDP PdF MNR Non aux minarets en Lorraine (cliquez ici).

Nous lui faisons part aujourd'hui de notre entière solidarité militante et européenne.

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dimanche, 10 mars 2013

SONDAGE : les Autrichiens souhaitent un «homme fort» à la tête de leur pays...

Sources 20 minutes et Reuters cliquez là

Etrange parfum de nostalgie en Autriche. Trois Autrichiens sur cinq souhaitent qu'un «homme fort» dirige leur pays et 42% pensent que les choses n'étaient pas si mauvaises sous Hitler, à en croire un sondage rendu public ce vendredi par le journal Der Standard.

Ce sondage de l'institut Market, réalisé à l'occasion du 75e anniversaire, la semaine prochaine, de l'Anschluss (le rattachement de l'Autriche à l'Allemagne en 1938), montre que 61% des personnes interrogées, et surtout les personnes âgées, verraient d'un bon oeil l'accession d'un «homme fort» à la tête du pays.

Dans un précédent sondage réalisé en 2008, un cinquième seulement des sondés se disaient favorables à «un homme fort qui n'ait pas à se soucier d'un parlement ou d'élections», rappelle le journal. Dans le dernier sondage, 53% pensent que l'Anschluss a été voulu par l'Autriche en 1938 et 46% que l'Autriche en a été la victime. Seuls 15% des sondés estiment que l'Autriche aurait dû résister à cette annexion. Last but not least, 42% des personnes interrogées estiment que «tout n'était pas mauvais sous Hitler», alors que 57% ne voient aucune bonne chose réalisée sous le IIIe Reich.

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vendredi, 08 mars 2013

Anvers : le Vlaams belang s'oppose à l'ouverture d'un supermarché halal...

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Source Lionel Baland cliquez là

Belgique. Flandre. Anvers. District de Merksem. Le Vlaams Belang a conduit une action contre l’arrivée d’un supermarché halal à Merksem. Une vingtaine de cadres du parti, parmi lesquels Filip Dewinter, Anke Van dermeersch et Jan Penris, ont récolté des signatures sur le marché de Merksem contre l’ouverture du supermarché « Tanger ». Le groupe s’est ensuite rendu à l’endroit où le commerce doit être édifié. Le parti va également s’opposer au sein du Conseil municipal d’Anvers et au sein du Conseil de district de Merksem à cette implantation.

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jeudi, 07 mars 2013

Italie : Casapound analyse ses résultats électoraux...

tumblr_inline_mj8ig8cphn1qz4rgp.pngSource Zentropa cliquez ici

Le résultat électoral de Casapound Italie aux récentes élections nationales et locales a été beaucoup discuté et commenté, souvent de manière injuste ou inappropriée, beaucoup s’amusant à jouer avec les chiffres pour fournir des lectures faussées. Pour essayer de dresser un véritable bilan, le principe de départ est bien sûr d’admettre que le résultat obtenu par Casapound Italia a été plus faible qu’attendu, mais il fournit néanmoins une base solide sur laquelle bâtir et fournit également des conseils précieux pour faire plus et mieux lors des prochaines échéances électorales.

Lors de ces élections, les listes Casapound Italie ont été admises dans 14 circonscriptions à la Chambre et 11 collèges au Sénat, ce qui représente un bassin électoral de 34.447.000 personne sur un total de près de 60 millions. En d’autres termes, moins de 60% des Italiens pouvaient « techniquement » voter pour Casapound.

En fin de compte, le résultat est le suivant: nous avons recueilli 47.692 voix (0,14%) à la Chambre, et 40.538 voix ( 0,13%) au Sénat. Pour obtenir un chiffre exact nous devons ajouter les 5.382 personnes qui ont voté pour nous en Lombardie, où nous n’étions présents qu’au Sénat. En fin de compte, alors, ce sont 53.074 personnes qui ont tracé leur croix sur le symbole de Casapound Italie.

C’est peu? Bien sûr que oui, car notre mouvement n’a jamais eu comme ligne de conduite la devise “l’important c’est de participer”, et que notre travail a toujours eu d’ambitieux objectifs politiques. C’est également peu si l’on compare ce chiffre avec l’incroyable quantité de travail effectué dans la région depuis des années, avec la capacité d’attirer autour de nous tant de dévouement militant, de soutiens et d’approbation de notre l’action inlassable que, de toute façon, aucune élection ne pourra jamais effacer. En dehors du Lazio, dont nous reparlerons, il y a cependant des satisfactions locales, comme à Bolzano, où avec 1, 72% à la Chambre, nous recueillons seulement 11 voix de moins que la Ligue du Nord et le double de celles de la « Destra »

Cependant, une contextualisation est essentielle.

Casapound Italia était le seul et unique mouvement parmi les forces de la soi-disant «extrême droite» à présenter son symbole sur la carte électorale pour la première fois (sans parler des changements graphiques par rapport à un symbole non conçu à l’origine à des fins électorales).

Par ailleurs, notre structure purement électorale (la «forme parti», pour employer un gros mot) n’a que trois mois d’existence. Sans tomber dans la victimisation, il est également impossible de ne pas se souvenir des deux coups durs qui nous ont frappé au milieu de la campagne électorale: l’enquête de Naples, qui nous a présenté dans les journaux comme une bande armée, une association subversive visant à subvertir « l’ordre démocratique » et même comme un « gang de violeurs » (toutes les accusation sont tombées une à une et l’enquête s’est avérée être un énorme coup d’épée dans l’eau, mais de cela les médias ont évidemment beaucoup moins parlé…) et « l’incroyable journée » où tous les principaux médias italiens (Repubblica.it, Corriere.it, SkyTg24 etc) ont annoncé, pendant plusieurs heures et sans aucun fondement, notre exclusion des élections. Deux coups fourrés qui auraient tué beaucoup de monde et que nous avons surmontés, mais il est difficile d’imaginer qu’ils n’ont pas eu d’effet sur le résultat final.

Politiquement parlant, ont également affecté nos résultats au moins deux facteurs macroscopiques: l’appel au vote utile contre les «communistes» par le PDL et l’écho donné par les gros médias à un vote de protestation en faveur de Beppe Grillo, qui a “aspiré” toute la colère populaire.

Car le vote pour Beppe Grillo n’a pas seulement affecté Casapound Italie mais, de fait, tous les mouvements « radicaux », de droite comme de gauche. Ainsi la « Lega » a perdu la moitié de ses voix, tandis que la « Destra » a quasiment disparu (0,6% au niveau national, 0,3% dans le Nord). De son côté, le Parti communiste ouvrier est passé de 210 000 voix à moins de 90 000.

En fait, le «vote utile» dans chaque camp s’est additionné à un «vote utile de protestation » pour Beppe Grillo.

Par ailleurs, ceux qui ont voulu rester dans le lit du paysage politique post-MSI semblent très mal en point (notamment au regard des moyens financiers disponibles, de la visibilité « historique » du symbole et des principaux représentants…etc.): Fratelli d’Italia, 1,95% à la Chambre, La Destra, 0,64%, Avenir et Liberté, 0,46%.

Passons à la région Lazio. Ici, Casapound Italie réalise un meilleur score: 26.057 votes au total, pour un 0,79%, ce qui fait, après tout, de CPI la première force après les grands partis.

Certains résultats individuels sont dignes de mention, signe que si vous travaillez dur et durablement sur le territoire, des résultats sont possibles. Pensons à Latina (120.656 habitants) où nous recueillons 1,22%, à Fiumicino (73.940 habitants), 1,21%, à Viterbo (64.548 habitants), 1,82%, à Tivoli ( 56.503 habitants), 1,35%, à Velletri (53.544 habitants), 1,93%, àAnagni (21.476 habitants), 1,85%, à Grottaferrata (21.039 habitants), 1,99%, à Civita Castellana (16.772 habitants), 2,16%, à Cave (10.995 habitants) 4,81%

Ces chiffres permettent de commencer à penser la construction d’un réseau local capable de faire ses preuves à tous les niveaux de la gestion administrative et politique.

Dresser un bilan final de la campagne de Casapound Italie est un travail important, qui sera mené et que nous avons déjà commencé, mais notre action politique ne se limite évidemment pas à un résultat d’élection. Il y a beaucoup de travail à faire, notamment pour s’enraciner davantage et mieux expliquer notre ambitieux projet qui implique une dimension politique plus large et plus noble que de simples choix électoraux.

Les points importants qui ressortent néanmoins de l’élection sont les suivants:

- Le vote des jeunes: En étant pourtant, dans une des Régions, présent uniquement au Sénat (où seuls les plus de 25 ans peuvent voter), Casapound réalise néanmoins globalement 7000 voix de plus à la Chambre qu’au Sénat Ceci démontre que Capasound attire en premier lieu les jeunes, ce qui est presque une anomalie dans la politique italienne.

- Dans le Lazio, Casapound a obtenu 16.249 votes pour la Chambre et 26.057 pour le Conseil Régional, ce qui montre que localement le message est mieux passé et à moins subi la pression du prétendu « vote utile ». Le travail de proximité semble ainsi récompensé. Par ailleurs de nombreuses voix de Casapound semblent issues d’un milieu autre que celui de « l’extrême droite », CPI étant parvenu a attirer des gens qui ont voté parce qu’ils croyaient en un projet et non par simple tradition ou fidélité politico-historique.

- Aux élections régionales, Simone Di Stefano a bénéficié de 2791 « préférences », ce qui en fait le candidat le plus « voté » parmi ceux qui ne sont pas entrés dans les conseils.

Ces éléments sont des sillons dans le sol, sans doute modestes. Mais pour ceux qui ont les idées fortes et claires et la ténacité suffisante, ils peuvent permettre de produire quelque chose de grand.

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mercredi, 06 mars 2013

Disparition du Président Hugo Chavez, un nationaliste au bilan controversé...

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La disparition d’Hugo Chavez, président du Vénézuéla, suscite, c’est le moins que l’on puisse dire, des réactions diverses au sein de notre famille politique. Nous avons donc décidé de publier ici deux points de vue, celui de Claude Bourrinet, animateur et éditorialiste du site Vox NR (cliquez ici), et celui de notre ami et collaborateur Jean-Claude Rolinat qui, parlant en son nom, émet un avis plus nuancé.

Roland Hélie

Le point de vue de Claude Bourrinet :

Il est mort. Nous attendions la fin de son ultime combat avec appréhension, angoisse, fatalité. Nous savions que, comme toujours, il avait fait front avec vaillance. La grandeur se révèle plus, parfois, dans la solitude de la maladie que dans de grandes batailles collectives… Hugo Chavez aura partagé les épreuves et les joies des pauvres de son pays, mais il sera proche aussi au cœur de ceux qui souffrent dans leur chair, quels qu’ils soient. Ce patriote était aussi un fervent chrétien, et sa passion finale, son interminable calvaire, l’auront rendu encore plus pur, plus digne de l’amour du Christ.

Hélas ! … Nous sommes en deuil. Il manque, dans le monde, aujourd’hui, un homme, un vrai, un chef, un ami du peuple.

Non que l’humanité en soit diminuée, loin de là ! C’est la grâce de certains de laisser encore davantage dans la mémoire que durant leur vie.

Et Dieu sait si le peuple vénézuélien lui doit beaucoup ! Est-il besoin de rappeler tout ce qu’il a fait pour lui, la réduction de la misère, de l’illettrisme, une économie retirée des mains de l’étranger pour être rendue à la Nation ? Les services publics se sont développés sous sa présidence grâce au financement apporté par la compagnie nationale PDVSA, les dépenses sociales ont augmenté de 60%. Les 13 années de Révolution bolivarienne ont fait de ce pays déshérité, dépossédé par l’impérialisme, et ressuscité par le Commandante, l’un des pays pilotes de l’Amérique latine en matière d’éducation (l’analphabétisme a été éradiqué, la gratuité est assurée de la maternelle à l’université), d’emploi, de revenus, de santé publique, de sécurité alimentaire…

Les chiffres parlent d’eux-mêmes : le Venezuela est le pays de la région qui connaît le plus bas niveau d’inégalité (mesuré par le Coefficient Gini) : il a réduit l’inégalité de 54%, la pauvreté de 44%, du niveau de 70.8% (1996) à 21% (2010). Et l’extrême pauvreté est passée de 40% (1996) à 7.3% (2010). Près de 20 millions de personnes ont bénéficié des programmes gouvernementaux de lutte contre la pauvreté, appelés “Missions”. A l’heure actuelle 2.1 millions de personnes âgées perçoivent des pensions de vieillesse – soit 6,6% de la population. Seules 387.000 personnes recevaient des pensions avant le gouvernement actuel.

En 1990, on importait 90% de la nourriture, on n’en importe plus maintenant que 30%. Cinq millions de vénézuéliens reçoivent de la nourriture gratuite, quatre millions d’entre eux sont des enfants scolarisés, et des cantines publiques nourrissent 900.000 personnes.

Rappelons ces chiffres impressionnants : le taux de mortalité infantile est passé de 25 pour 1000 (1990) à seulement 13/1000 (2010), 96% de la population disposent à présent d’eau potable, en 1998, on comptait 18 médecins pour 10.000 habitants, on en compte actuellement 58 pour mille, et le système public de santé en emploie 95.000, le nombre de cliniques s’est accru de 169.6%, la « Mission Barrio Adentro » (qui est le programme de soins de santé primaire organisé avec l’aide de plus de 8.300 médecins cubains) a sauvé environ 1,4 millions de vies dans 7.000 cliniques et a effectué 500 millions de consultations, il y a maintenant 34 centres de désintoxication, pratiquement plus d’enfants des rues etc.

En jetant un coup d’œil très rapide sur la presse vendue, ce matin, je vois qu’il y aurait une explosion de crimes dans le pays, qu’Hugo Chavez aurait laissé un désastre économique et social… Toujours la même propagande haineuse des amis de l’Amérique, toujours cette perfidie, ce fiel, cette rage devant un peuple digne, fier, indépendant…

Car ce qui vaut la hargne de ces chiens, ce n’est pas seulement le bonheur vénézuélien (ces hyènes auraient préféré que l’argent aille, comme avant, dans les poches de l’oligarchie transnationale, apatride, dont elles sont les fidèles gardiennes), et ce n’est pas la moindre partie de sa gloire, ce qui inscrira son nom, tant que la mémoire des hommes libres subsistera, dans les livres d’Histoire, c’est que Hugo Chavez fut l’un des champions de la liberté du monde. Il fut l’un de ceux qui releva le drapeau de la révolte contre l’empire yankee, contre le Nouvel Ordre Mondial, contre le règne amoral de l’argent, et il assura un soutien sans faille à ceux qui ont combattu, ou combattent ce poulpe tentaculaire, le colonel Kadhafi, le président Ahamadinejab, la résistance palestinienne, le président Bachar Al Assad, le Président Poutine…

Grâce à la doctrine bolivarienne, il a su donner à la politique latino-américaine un objectif clair et vigoureux, que la nationale-communiste Cuba avait tenté d’incarner : l’indépendance, la dignité, la volonté, l’enracinement. La Bolivie d'Evo Morales, et l’Equateur de Rafael Correa ont suivi cette route.

Mais il fut aussi un modèle pour nous, patriotes français et européens. Notre pays, sous emprise atlantiste, a perdu sa liberté, s’est éloigné du destin qui est le sien. Nous vivons depuis des lustres dans la honte, et personne, ici, ne connaît plus la grandeur, sinon dans la nostalgie qui sert la gorge de tout vrai Français. Les nains qui nous gouvernent, et qui n’ont eu que mépris pour un homme qui a levé bien haut le drapeau de l’honneur, n’ont eu de cesse que de traîner notre nom dans la boue, et le peuple vénézuélien dans l’opprobre. Sarkozy avait même envoyé un tueur pour liquider ce grand homme qui lui faisait peur. Peut-être cherchait-il, encore une fois, la caresse de ses maîtres, comme le fait dans sa politique le président actuel.

C’est pourquoi le nom de Chavez restera à jamais gravé dans nos cœurs comme un modèle. La seule façon de lui être fidèle, c’est de continuer son combat pour notre indépendance et notre honneur.

Alors, nous pourrons dire : Commandante, présent !

 

Et celui de l’écrivain Jean-Claude Rolinat :

Gravement malade depuis des mois, opéré à plusieurs reprises à Cuba, le Président vénézuélien Hugo Chavez est mort à l’hôpital militaire de Caracas le mardi 5 mars 2013. Le crabe a fini par avoir raison de cet autocrate extrêmement populaire dans les milieux défavorisés des bariadas et autres ranchitos de son pays.

L’Amérique latine a toujours été, un continent de prédilection pour les caudillos, les apprentis dictateurs en uniformes chamarrés et autres tyranneaux. De la rencontre de l’homme blanc et de l’indien, de la concurrence-confrontation des religions précolombiennes et du catholicisme, du mélange des sangs, bref d’un « choc de civilisations », sont nées 20 nations dites latines où malgré les différences géographiques et humaines, depuis le cône sud andin jusqu’au trapèze nord-Caraïbes, il y a comme un peu plus qu’un simple air de famille. Le lieutenant-colonel Chavez, condamné à deux ans de prison en 1992 suite à une tentative avortée de putsch, s’est inscrit dans cette tradition continentale du « pronunciamiento ». Mais, contrairement aux Somoza (Nicaragua), Trujillo (République Dominicaine) et autre Batista (Cuba), il n’appartenait pas à cette catégorie d’hommes à poigne confondant intérêts personnels et ceux du pays qu’ils gouvernaient. Il se réclamait d’une fantasmagorique « Révolution bolivarienne », comme si El Libertador, créole espagnol, s’était préoccupé des misérables de son temps. Il s’inscrivait plutôt dans la lignée d’un Getulio Vargas brésilien, d’un Velasco Alvarado péruvien ou encore d’un Perón argentin. Mais, si ce dernier haranguait les foules depuis son balcon présidentiel de la Casa Rosada comme Chavez le faisait depuis le Palais de Miraflorès, si les deux leaders incarnaient l’esprit de résistance à l’oncle Sam, les ressemblances s’arrêtaient là.

Si le Président argentin était un nationaliste progressiste, il n’en était pas moins anti-communiste, sauvant même son pays d’une révolution par le traitement social de son prolétariat. Chavez, lui, a dilapidé le trésor vénézuélien, -l’or noir-, en nationalisant à tour de bras, décourageant ainsi les créations d’emplois productifs, en laissant grimper une inflation jusqu’à 27 %, fermant les yeux sur des trafics d’officiers corrompus. La criminalité n’a pas été jugulée dans un pays dont la capitale recense 200 crimes commis pour 100 000 habitants contre, un comble, 22,7 « seulement » chez sa rivale colombienne, Bogota ! Le Parti socialiste vénézuélien (PSUV) ne s’est assuré une majorité lors des élections législatives de 2010 que par la grâce d’un découpage sur mesure, l’opposition ayant obtenu 52 % des suffrages ! Faisant main basse sur les médias, notamment la télévision, El Commandante s’était attribué une plage hebdomadaire d’antenne avec son émission en directe « Alo Présidente ». Un seul bon point à attribuer dans ce panorama politique, l’élévation du niveau de vie chez les plus misérables des Vénézuéliens avec l’accès aux soins et à l’éducation. En politique étrangère, l’hostilité à l’impérialisme de la thalassocratie américaine, s’est manifestée par de spectaculaires rapprochements avec des leaders quelque peu sulfureux : Bachar El Assad, Ahmadinedjad et les frères Castro, bien sûr. Avec ses amis de la gauche latino-américaine, -le bolivien Morales, l’Equatorien Coréa et le Nicaraguayen Ortega-, il a levé l’étendard de la révolte et de l’indépendance face aux menées de Washington. Mais ses pétrodollars, au lieu d’être tous investis en faveur du développement du Venezuela, ont été partiellement dilapidés dans l’achat d’armement, russe de préférence. Tout aussi discutable, sa politique ambiguë à l’égard de la cruelle rébellion marxiste des FARC en Colombie voisine. Margarita Lopez Maya, une historienne enseignante à l’Université centrale du Venezuela, déclarait au quotidien gauchiste-mondain Libération dans son édition du mercredi 1er juin 2011, que « ce gouvernement a de bonnes idées, mais il est inefficace ». Chavez avait une ambition personnelle et une « certaine idée du Venezuela », sa patrie « bolivarienne », qu’il conduisait d’une façon autoritaire, s’étant fait octroyer par un Parlement croupion le pouvoir de légiférer par décret pendant 18 mois. Il ne suffit pas d’être l’ennemi des Etats-Unis et de ne condamner qu’un seul impérialisme, toujours le même, pour se réserver une place au Panthéon des héros de l’indépendance des peuples ! Encore faut-il gouverner pour tous et, comme de vulgaires oligarques, ne pas favoriser qu’une fraction de la population.

Si au soir de sa vie en décembre 1830, Simon Bolivar reconnaissait avec son rêve d’union panaméricaine « avoir labouré la mer », on peut dire que le lieutenant-colonel de parachutistes Hugo Chavez avec sa « révolution bolivarienne », a labouré des chimères.

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mardi, 26 février 2013

Elections italiennes : Gabriele Adinolfi répond à Synthèse nationale...

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Notre camarade et ami Gabriele Adinolfi, directeur de l’Institut Polaris, est un témoin privilégié de la vie politique italienne. Il nous livre ici ses premières impressions au lendemain des élections qui viennent de se dérouler dans son pays.

Gabriele Adinolfi, pouvez-vous nous livrer vos premières impressions sur les résultats des élections italiennes ?

Un premier constat plutôt rassurant, les Italiens n'ont pas voté pour la Trilatérale, ni pour la BCE, ni pour la Goldman&Sachs.

Le Parlement qui vient d'être renouvellé a obtenu une majorité de centre-gauche grâce à la “prime à la majorté” prévue par la loi élèctorale italienne qui donne un nombre important de députés supplémentaires à la coalition arrivée en tête, en l’occurence celle de centre gauche. Toutefois, cette coalition gagnante dépasse Berlusconi seulement de 80.000 voix.

Constatons aussi que le Mouvement 5 étoiles de l'acteur populiste Beppe Grillo est devenu le premier parti italien avec 8.689.168 de voix (25,55%) élisant ainsi 108 députés.

Enfin, la coalition de Mario Monti, l’euro-technocrate centriste intronisé par Bruxelles l’an passé, dépasse à peine les 10% et compte en tout 45 élus. L'ancien patron du Mouvement social italien (MSI), Gianfranco Fini, qui soutenait la coalition de Monti, est tout simplement éliminé.

Les électeurs opposés au gouvernement euro-technocrate, toutes listes confondues, dépassent donc les 65%.

Au Sénat aucune majorité n'est mathématiquement possible.

L'Italie se présente comme impossible de gouverner. Alors, que faire ?

Voter à nouveau ? Impensable pour l'establishment car Grillo et Berlusconi renforceraient encore leur audience.

Mais nous avons deux jeux possibles auxquels il est licite de s'attendre.

Soit une nouvelle coalition centredroite/centregauche avec un  téchnicien comme premier ministre (Giuliano Amato c'est le plus pobable), soit une coalition nationale autour d'un personnage qui  donne l'impression de répresenter le renouveau et la société civile. Il s'agit de Matteo Renzi, le jeune maire de Florence appartenant au Parti democrate mais très aprécié par la droite modérée. C’est un chrétien de gauche bon teint, fils, semble-t-il, d'un grand maître de la franc-maçonnerie. Il serait l'homme parfait pour pousuivre la politique des grands capitaux spéculatifs en la rendant “populaire”. Nous verrons bien.

Une chose est sûre : c'est que la volonté des électeurs italiens, qui rejettent clairement la politique des sacrifices dictée par les usuriers, ne sera pas respectée.

Et les nationalistes, ils semblent être les grands perdants de ces élections ?

Il est  intéressant aussi d’analyser le suicide des nationalistes qui, une fois qu'ils ont cru possible de pouvoir s’émanciper de la tutelle de Berlusconi, ont démontré leur incapacité à exister réellement.

Rappelons que le MSI, avant de rentrer dans une majorité gouvernamentale, pendant quarante-huit ans, de 1946 à 1994, avait toujours ressemblé des scores oscillant entre le 5 et 9%. Habitualement son score était en moyenne de 6,5%.

Cette fois-ci les “missinis” (nom donnés aux militants du MSI – NDLR) se sont presentés en sept formations différentes. Fratelli d'Italia et La Destra ont appuyé Berlusconi. Une composante du MSI est restée dans le Peuple des Libertés de Berlusconi. D'autres, avec Fini, ont soutenu Monti avec la liste Futuro e Libertà. Trois autres listes y sont allées de manière autonome : Forza Nuova, Casapound Italia et Fiamma Tricolore.

Et voici le scores :

Fratelli d'Italia, 666.035 voix (1,95%)

La Destra, 219.816 voix (0,64%)

Futuro & Libertà (G. Fini), 159.429 voix (0,46%)

Forza Nuova,  89.826 voix (0,26%)

Casapound Italia, 47.691 voix  (0,14%)

Fiamma Tricolore, 44.753 voix (0,13%)

Le total est de 1.317.376 voix éparpillées donnant un pourcentage global de 3,58%. Il faudra ajouter à cela les voix passées directement à Berlusconi et celles qui sont allées à Grillo pour retrouver, mais dispersés, les scores passés du MSI (6% - 6,5%).

Fratelli d'Italia obtient 9 députés, les autres cinq formations n'élisent personne. Des anciens “missinis” seront èlus sur les listes du PdL ; on ne sait pas encore qui et combien, mais il s'agira seulement d'une patrouille.

Rien à faire, il y a une malédiction, les nationalistes n'arrivent jamais, nulle part, même dans des conditions des plus favorables, à avoir une vraie maturité politique et à être enfin efficaces.

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Elections italiennes : la surprise Berlusconi

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Résultats des élections italiennes :

Législatives : cliquez ici

Sénatoriales : cliquez là

Notez que malgré l'acharnement des médias à vouloir enterrer Silvio Berlusconi, celui-ci, à la surprise générale, ne s'en tire pas si mal que cela. Les chiens de garde du Système devront donc revoir leur copie...

Source des résultats Lionel Baland cliquez ici

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samedi, 23 février 2013

Elections demain dimanche en Italie : Casapound sur le terrain...

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Présentation à Vienne de la version allemande du livre d'Anke Van dermeersch

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Filip Dewinter et Anke Van dermeersch du Vlaams Belang ont séjourné à Vienne du 18 au 20 février 2013. Ils y ont rencontré le président du FPÖ Heinz-Christian Strache ainsi que le Troisième président du Parlement Martin Graf. (FPÖ). L’objet de la visite de la délégation flamande au sein de la capitale autrichienne est la présentation de la traduction en allemand du livre d’Anke Van dermeersch Hoer noch slavin: vrouwen en Islam (Ni pute, ni esclave. Femme et islam.)

La présentation de l'ouvrage a été organisée par 1848 Medienvielfalt Verlag, les éditions du mensuel et site Internet unzensuriert.at, en présence du Député national FPÖ Madame Susanne Winter. La traduction du livre s’est faite à l’initiative de cette dernière qui entretient de bons contacts avec le Vlaams Belang et qui a assisté à Anvers en Belgique à la sortie de l’ouvrage original en néerlandais. Selon Susanne Winter, ce livre n’a pas pour objet d’exclure les femmes musulmanes, mais au contraire de les aider face aux manquements en matière de liberté, de respect des droits humains, de statut juridique de la femme et de libertés de base qui existent au sein de l'islam.

Précisons que le livre de Filip Dewinter Inch Allah: de islamisering van het Westen! (Inch Allah : l’islamisation de l’Occident!) existe également en version allemande (une version française est actuellement en préparation NDLR SN).

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dimanche, 17 février 2013

Wallonie, samedi 2 mars : XIIIe rencontres de Coloma organisées par Terre et peuple

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vendredi, 08 février 2013

Plusieurs dizaines de milliers de personnes ont manifesté à Athènes dimanche dernier à l'appel du parti nationaliste Aube dorée...

 Contre les impérialismes américain et turc, contre l'austérité... 

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samedi, 26 janvier 2013

Création d'un Front de combat identitaire européen...

AIMG_0124.JPGfin de renforcer la collaboration entre identitaires européens, une réunion de coordination a eu lieu en Suisse le 20 janvier. Pierre Vial, pour la France, Pierre Krebs, pour l’Allemagne, Bernard Schaub pour l’Europäische Aktion (Action européenne) et les représentants de Tierra y Pueblo pour les Espagnes ont mis au point un plan de travail destiné à concrétiser la totale unité de vue qui les rassemble et qui débouchera très vite sur certaines opérations.

L'Action européenne cliquez ici

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mercredi, 23 janvier 2013

C'était dimanche dernier : un fou furieux anti-nationaliste essaye de s'en prendre au siège du Vlaams belang à Anvers...

 Jusqu'où peut mener le fanatisme anti-nationaliste...

09:55 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

De quoi j'me mêle ? Une député italienne (vivant en Israël) demande l'exclusion de deux députés patriotes (grec et hongrois) du Parlement européen :

2940647291.jpgConseil de l'Europe à Strasbourg. Le Député du Peuple de la Liberté au Parlement italien Madame Fiamma Nirenstein (en photo), juive etpro-Israélienne qui a décidé de quitter la politique italienne pour aller vivre en Israël, a estimé que le représentant Hongrois Tamas Gaudi Nagy du Jobbik ainsi que la Grecque Madame Eleni Zaroulia de L'Aube dorée appartiennent à des formations qui ont violé les valeurs de l'organisation par leurs prises de position qu’elle qualifie de xénophobes et antisémites. (Marton Gyöngyösi du Jobbik a tenu des propos au sein du Parlement hongrois qui ont été présentés d’une manière tronquée et exagérée.)

Soutenue par un nombre requis d'au moins dix parlementaires appartenant à un minimum de cinq délégations nationales, la demande a été transmise à la Commission du règlement de l'Assemblée parlementaire qui doit rendre son avis dans la semaine.

Le président de l'Assemblée Jean-Claude Mignon (UMP - France) s'est prononcé personnellement contre cette mise en cause des deux députés estimant qu'ils ont été élus dans le cadre de scrutins jugés démocratiques : «Il n'appartient pas à l'Assemblée de dire aux Hongrois et aux Grecs « Vous avez correctement voté » ou « Vous n'avez pas correctement voté».

Source Lionel Baland cliquez ici

NDLR : Tiens, pour une fois, un député UMP qui ne courbe pas l'échine...

 

01:09 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 18 janvier 2013

L’Union européenne donne de l’argent pour des mosquées turques dans le Nord de Chypre...

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Le député européen du Vlaams Belang Philip Claeys a découvert que l’Union européenne va donner de l’argent pour des mosquées turques située dans le Nord de Chypre, occupé par la Turquie.

En 1974, l’armée turque a envahi Chypre et occupé le Nord de l’île. Les Grecs en ont été chassés, des milliers d’entre eux ont été assassinés. Des centaines d’églises grecques orthodoxes et de monastères ont été détruits par les Turcs, pillés, brûlés et depuis lors négligés.

Depuis 2004, Chypre est membre de l’Union européenne, mais la Turquie poursuit l’occupation de la partie située au Nord. Les Turcs refusent d’entretenir les restes des églises orthodoxes situées dans leur zone.

Après une longue opposition des Turcs, la Commission européenne a maintenant décidé d’établir une liste de 11 monuments prioritaires au sein des deux communautés qui doivent recevoir de l’argent. Les Turcs ont placé, en tant que provocation, quatre mosquées sur la liste. Pas de problème pour l’Union européenne : elle s’engage à verser 4 millions d’euros et encore plus d’argent suivra.

Pour Philip Claeys, « l’Union européenne va donc payer aux occupants au profit de bâtiments qui sont le symbole de l’occupation. Pas étonnant que l’Union européenne ne soit prise au sérieux nulle part dans le monde. »

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vendredi, 21 décembre 2012

Anvers : Filip Dewinter lance une campagne pour l'hiver sur le thème "Les Flamands aident les Flamands."

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Jan Penris, Filip Dewinter, Anke Van dermeersch

Le Vlaams Belang d'Anvers lance une action de solidarité en faveur des Flamands dans le besoin. Une récolte et distribution de paquets de nourriture, sous le nom « Vlamingen helpen Vlamingen » (Les Flamands aident les Flamands), voit le jour.

Filip Dewinter estime que le « Vlaams Belang est un parti social sans socialisme, mais bien solidaire avec la partie la moins favorisée des Flamands. »

Source Lionel Baland cliquez ici

Chaque jour retrouvez toutes les informations sur les droites nationales et identitaires en Europe sur le site de notre collaborateur et ami Lionel Baland.

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jeudi, 20 décembre 2012

La Syrie, la Russie et la France...

4139380540.jpgAlexandre Lattsa

Vox NR cliquez ici

"La Russie, qui est le principal obstacle pour une intervention efficace afin d'arrêter les combats et les meurtres, est en train de perdre".

Ces propos absolument stupéfiants sont ceux tenus par Bernard Kouchner, l’ancien ministre des Affaires Etrangères françaises, dans une interview sur Europe 1 le 13 décembre dernier. Celui-ci rajoutera dans l’interview qu’il aurait: "préféré une intervention militaire" et que "les français sont avec les anglais le moteur politique pour le départ du dictateur Assad".

Cette déclaration intervient alors qu’une fois de plus le mainstream médiatique a complètement occulté la réalité pour tenter de faire porter à la Russie une responsabilité qui n’est pas la sienne. Les grands médias se sont en effet jetés sur une annonce qui n’en était pas une pour affirmer que la Russie "lâchait Bashar", "abandonnait Bashar", "envisageait la défaite de Bashar", "perdait confiance", "envisageait une victoire de l’opposition" quand elle ne faisait pas simplement "marche arrière". Les médias se basaient sur une déclaration faite par le vice-ministre des Affaires étrangères Mikhaïl Bogdanov aurait reconnu la "possibilité d'une victoire de l'opposition syrienne". Malheureusement la seconde partie de la phrase a été oubliée (volontairement sans doute) par les correspondants du mainstream médiatique et cette seconde partie était: "… Si elle est soutenue de l’extérieur", ce qui on en conviendra change le sens de la phrase.

Ce n’est pas la première fois que la Russie est prise à partie dans cette guerre médiatique contre la Syrie et c’est la seconde fois que Michael Bogdanov est pris à partie par des medias. En aout dernier, un journal Algérien avait en effet affirmé que celui-ci émettait des doutes sur l’avenir du président Assad, ce qui avait été démenti de la même façon: le vice ministre n’avait donné aucune interview. Un mois plus tôt, c’est l’ambassadeur de Russie en France Alexandre Orlov qui s’était vu attribuer une phrase totalement sortie de son contexte et qui avait été démentie tant par le ministère syrien de l’information que par l’ambassadeur lui même.

Il n’a pas fallu 24 heures pour que le Ministère des affaires étrangères russe clarifie la situation et rappelle de nouveau les journalistes à la réalité et aux faits: "nous voudrions noter que monsieur Bogdanov n'a fait dernièrement aucune déclaration officielle ni donné d'interviews spéciales aux journalistes". Pas de chance donc pour les journalistes français, qui se sont une énième fois totalement trompés : la Russie ne compte pas infléchir sa position sur la Syrie. La position de la Russie reste ferme en plus elle vient de recevoir le soutien du Brésil, qui consolide un regroupement diplomatique Russie/Chine (BRIC) opposé a une intervention militaire, et qui cette fois ne devrait vraisemblablement pas laisser se répéter le scenario Libyen.

Il est difficile d’imaginer les futurs développements en Syrie. La pression sur le régime Syrien n’a jamais été aussi forte, pendant que le front intérieur s’est inexorablement déplacé vers le centre politique du pays, tout en tournant de plus en plus à l’affrontement anarchique entre communautés. Pourtant, si la montée en puissance des groupes Islamistes radicaux et des mercenaires Djihadistes étrangers est évidente au sein de l’opposition, le recours croissant au terrorisme prouve sans nul doute leur impuissance face à l'armée syrienne qui a remporté tous les affrontements urbains d’Alep à Damas.

On peut quand même se demander ce qui pourrait se passer si ces affiliés d’Al-Qaïda venaient à bénéficier d’un affaiblissement majeur, voire total du pouvoir Syrien, et à s’emparer de sites chimiques ou d’une quantité d’armes importantes, que l’on pourrait retrouver impliquées dans des actes terroristes contre des pays européens. Les images des islamistes du Front Al Nosra en train de faire des tests chimiques sur des animaux après la prise d’un centre de recherche (serait ce celui de la base Souleimane?) devrait faire réfléchir les commentateurs, analyses et décideurs occidentaux. Que dire de cette interview de leur commandant qui présente ses recrues étrangères et dit être prêt au Djihad contre les pays de l’Ouest y compris et l’Amérique?

De nombreux radicaux islamistes qui combattent en Syrie (et ont capturé la journaliste Ukrainienne Anhar Kotchneva qu’ils menacent d’exécuter) viennent en outre officiellement d’appeler à "ce qu’aucun citoyen russe, Ukrainien ou Iranien ne sorte vivant de Syrie" et à des attaques contre les ambassades de l’Ukraine et la Russie. Une déclaration de guerre contre la Russie qui fait suite aux récents appels hostiles de leaders Islamistes radicaux contre la Russie, qui vont dans le sens des discours prononcés par les tenants de cet Islam radical en Turquie, lors de la visite de Vladimir Poutine le mois dernier, ou encore de ceux des nombreux islamistes étrangers qui combattent en Syrie.

Dans ce contexte on peut se demander si les propos de Bernard Kouchner ont une quelconque utilité. Pour l’instant l’Armée Syrienne empêche la situation de virer à un chaos dont on peut se demander ce qu’il pourrait amener dans la région et même au delà. Si en Syrie certains se battent pour le départ d’Assad, d’autres se battent pour l’établissement d’un émirat Islamique (sur le modèle des Talibans comme expliqué ici) et près de la moitie de la population se bat simplement pour la survie des minorités. Michael Bogdanov ajoutait dans sa déclaration que "La lutte va devenir de plus en plus intense et la Syrie va perdre des dizaines – peut-être des centaines – de milliers de civils". Alors que l’Onu parle elle d’envoyer 10.000 hommes sur le terrain, une chose semble aujourd’hui certaine si la situation internationale reste en l’état: cette guerre ne fait peut être que commencer.

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