mercredi, 06 mars 2013
Disparition du Président Hugo Chavez, un nationaliste au bilan controversé...
La disparition d’Hugo Chavez, président du Vénézuéla, suscite, c’est le moins que l’on puisse dire, des réactions diverses au sein de notre famille politique. Nous avons donc décidé de publier ici deux points de vue, celui de Claude Bourrinet, animateur et éditorialiste du site Vox NR (cliquez ici), et celui de notre ami et collaborateur Jean-Claude Rolinat qui, parlant en son nom, émet un avis plus nuancé.
Roland Hélie
Le point de vue de Claude Bourrinet :
Il est mort. Nous attendions la fin de son ultime combat avec appréhension, angoisse, fatalité. Nous savions que, comme toujours, il avait fait front avec vaillance. La grandeur se révèle plus, parfois, dans la solitude de la maladie que dans de grandes batailles collectives… Hugo Chavez aura partagé les épreuves et les joies des pauvres de son pays, mais il sera proche aussi au cœur de ceux qui souffrent dans leur chair, quels qu’ils soient. Ce patriote était aussi un fervent chrétien, et sa passion finale, son interminable calvaire, l’auront rendu encore plus pur, plus digne de l’amour du Christ.
Hélas ! … Nous sommes en deuil. Il manque, dans le monde, aujourd’hui, un homme, un vrai, un chef, un ami du peuple.
Non que l’humanité en soit diminuée, loin de là ! C’est la grâce de certains de laisser encore davantage dans la mémoire que durant leur vie.
Et Dieu sait si le peuple vénézuélien lui doit beaucoup ! Est-il besoin de rappeler tout ce qu’il a fait pour lui, la réduction de la misère, de l’illettrisme, une économie retirée des mains de l’étranger pour être rendue à la Nation ? Les services publics se sont développés sous sa présidence grâce au financement apporté par la compagnie nationale PDVSA, les dépenses sociales ont augmenté de 60%. Les 13 années de Révolution bolivarienne ont fait de ce pays déshérité, dépossédé par l’impérialisme, et ressuscité par le Commandante, l’un des pays pilotes de l’Amérique latine en matière d’éducation (l’analphabétisme a été éradiqué, la gratuité est assurée de la maternelle à l’université), d’emploi, de revenus, de santé publique, de sécurité alimentaire…
Les chiffres parlent d’eux-mêmes : le Venezuela est le pays de la région qui connaît le plus bas niveau d’inégalité (mesuré par le Coefficient Gini) : il a réduit l’inégalité de 54%, la pauvreté de 44%, du niveau de 70.8% (1996) à 21% (2010). Et l’extrême pauvreté est passée de 40% (1996) à 7.3% (2010). Près de 20 millions de personnes ont bénéficié des programmes gouvernementaux de lutte contre la pauvreté, appelés “Missions”. A l’heure actuelle 2.1 millions de personnes âgées perçoivent des pensions de vieillesse – soit 6,6% de la population. Seules 387.000 personnes recevaient des pensions avant le gouvernement actuel.
En 1990, on importait 90% de la nourriture, on n’en importe plus maintenant que 30%. Cinq millions de vénézuéliens reçoivent de la nourriture gratuite, quatre millions d’entre eux sont des enfants scolarisés, et des cantines publiques nourrissent 900.000 personnes.
Rappelons ces chiffres impressionnants : le taux de mortalité infantile est passé de 25 pour 1000 (1990) à seulement 13/1000 (2010), 96% de la population disposent à présent d’eau potable, en 1998, on comptait 18 médecins pour 10.000 habitants, on en compte actuellement 58 pour mille, et le système public de santé en emploie 95.000, le nombre de cliniques s’est accru de 169.6%, la « Mission Barrio Adentro » (qui est le programme de soins de santé primaire organisé avec l’aide de plus de 8.300 médecins cubains) a sauvé environ 1,4 millions de vies dans 7.000 cliniques et a effectué 500 millions de consultations, il y a maintenant 34 centres de désintoxication, pratiquement plus d’enfants des rues etc.
En jetant un coup d’œil très rapide sur la presse vendue, ce matin, je vois qu’il y aurait une explosion de crimes dans le pays, qu’Hugo Chavez aurait laissé un désastre économique et social… Toujours la même propagande haineuse des amis de l’Amérique, toujours cette perfidie, ce fiel, cette rage devant un peuple digne, fier, indépendant…
Car ce qui vaut la hargne de ces chiens, ce n’est pas seulement le bonheur vénézuélien (ces hyènes auraient préféré que l’argent aille, comme avant, dans les poches de l’oligarchie transnationale, apatride, dont elles sont les fidèles gardiennes), et ce n’est pas la moindre partie de sa gloire, ce qui inscrira son nom, tant que la mémoire des hommes libres subsistera, dans les livres d’Histoire, c’est que Hugo Chavez fut l’un des champions de la liberté du monde. Il fut l’un de ceux qui releva le drapeau de la révolte contre l’empire yankee, contre le Nouvel Ordre Mondial, contre le règne amoral de l’argent, et il assura un soutien sans faille à ceux qui ont combattu, ou combattent ce poulpe tentaculaire, le colonel Kadhafi, le président Ahamadinejab, la résistance palestinienne, le président Bachar Al Assad, le Président Poutine…
Grâce à la doctrine bolivarienne, il a su donner à la politique latino-américaine un objectif clair et vigoureux, que la nationale-communiste Cuba avait tenté d’incarner : l’indépendance, la dignité, la volonté, l’enracinement. La Bolivie d'Evo Morales, et l’Equateur de Rafael Correa ont suivi cette route.
Mais il fut aussi un modèle pour nous, patriotes français et européens. Notre pays, sous emprise atlantiste, a perdu sa liberté, s’est éloigné du destin qui est le sien. Nous vivons depuis des lustres dans la honte, et personne, ici, ne connaît plus la grandeur, sinon dans la nostalgie qui sert la gorge de tout vrai Français. Les nains qui nous gouvernent, et qui n’ont eu que mépris pour un homme qui a levé bien haut le drapeau de l’honneur, n’ont eu de cesse que de traîner notre nom dans la boue, et le peuple vénézuélien dans l’opprobre. Sarkozy avait même envoyé un tueur pour liquider ce grand homme qui lui faisait peur. Peut-être cherchait-il, encore une fois, la caresse de ses maîtres, comme le fait dans sa politique le président actuel.
C’est pourquoi le nom de Chavez restera à jamais gravé dans nos cœurs comme un modèle. La seule façon de lui être fidèle, c’est de continuer son combat pour notre indépendance et notre honneur.
Alors, nous pourrons dire : Commandante, présent !
Et celui de l’écrivain Jean-Claude Rolinat :
Gravement malade depuis des mois, opéré à plusieurs reprises à Cuba, le Président vénézuélien Hugo Chavez est mort à l’hôpital militaire de Caracas le mardi 5 mars 2013. Le crabe a fini par avoir raison de cet autocrate extrêmement populaire dans les milieux défavorisés des bariadas et autres ranchitos de son pays.
L’Amérique latine a toujours été, un continent de prédilection pour les caudillos, les apprentis dictateurs en uniformes chamarrés et autres tyranneaux. De la rencontre de l’homme blanc et de l’indien, de la concurrence-confrontation des religions précolombiennes et du catholicisme, du mélange des sangs, bref d’un « choc de civilisations », sont nées 20 nations dites latines où malgré les différences géographiques et humaines, depuis le cône sud andin jusqu’au trapèze nord-Caraïbes, il y a comme un peu plus qu’un simple air de famille. Le lieutenant-colonel Chavez, condamné à deux ans de prison en 1992 suite à une tentative avortée de putsch, s’est inscrit dans cette tradition continentale du « pronunciamiento ». Mais, contrairement aux Somoza (Nicaragua), Trujillo (République Dominicaine) et autre Batista (Cuba), il n’appartenait pas à cette catégorie d’hommes à poigne confondant intérêts personnels et ceux du pays qu’ils gouvernaient. Il se réclamait d’une fantasmagorique « Révolution bolivarienne », comme si El Libertador, créole espagnol, s’était préoccupé des misérables de son temps. Il s’inscrivait plutôt dans la lignée d’un Getulio Vargas brésilien, d’un Velasco Alvarado péruvien ou encore d’un Perón argentin. Mais, si ce dernier haranguait les foules depuis son balcon présidentiel de la Casa Rosada comme Chavez le faisait depuis le Palais de Miraflorès, si les deux leaders incarnaient l’esprit de résistance à l’oncle Sam, les ressemblances s’arrêtaient là.
Si le Président argentin était un nationaliste progressiste, il n’en était pas moins anti-communiste, sauvant même son pays d’une révolution par le traitement social de son prolétariat. Chavez, lui, a dilapidé le trésor vénézuélien, -l’or noir-, en nationalisant à tour de bras, décourageant ainsi les créations d’emplois productifs, en laissant grimper une inflation jusqu’à 27 %, fermant les yeux sur des trafics d’officiers corrompus. La criminalité n’a pas été jugulée dans un pays dont la capitale recense 200 crimes commis pour 100 000 habitants contre, un comble, 22,7 « seulement » chez sa rivale colombienne, Bogota ! Le Parti socialiste vénézuélien (PSUV) ne s’est assuré une majorité lors des élections législatives de 2010 que par la grâce d’un découpage sur mesure, l’opposition ayant obtenu 52 % des suffrages ! Faisant main basse sur les médias, notamment la télévision, El Commandante s’était attribué une plage hebdomadaire d’antenne avec son émission en directe « Alo Présidente ». Un seul bon point à attribuer dans ce panorama politique, l’élévation du niveau de vie chez les plus misérables des Vénézuéliens avec l’accès aux soins et à l’éducation. En politique étrangère, l’hostilité à l’impérialisme de la thalassocratie américaine, s’est manifestée par de spectaculaires rapprochements avec des leaders quelque peu sulfureux : Bachar El Assad, Ahmadinedjad et les frères Castro, bien sûr. Avec ses amis de la gauche latino-américaine, -le bolivien Morales, l’Equatorien Coréa et le Nicaraguayen Ortega-, il a levé l’étendard de la révolte et de l’indépendance face aux menées de Washington. Mais ses pétrodollars, au lieu d’être tous investis en faveur du développement du Venezuela, ont été partiellement dilapidés dans l’achat d’armement, russe de préférence. Tout aussi discutable, sa politique ambiguë à l’égard de la cruelle rébellion marxiste des FARC en Colombie voisine. Margarita Lopez Maya, une historienne enseignante à l’Université centrale du Venezuela, déclarait au quotidien gauchiste-mondain Libération dans son édition du mercredi 1er juin 2011, que « ce gouvernement a de bonnes idées, mais il est inefficace ». Chavez avait une ambition personnelle et une « certaine idée du Venezuela », sa patrie « bolivarienne », qu’il conduisait d’une façon autoritaire, s’étant fait octroyer par un Parlement croupion le pouvoir de légiférer par décret pendant 18 mois. Il ne suffit pas d’être l’ennemi des Etats-Unis et de ne condamner qu’un seul impérialisme, toujours le même, pour se réserver une place au Panthéon des héros de l’indépendance des peuples ! Encore faut-il gouverner pour tous et, comme de vulgaires oligarques, ne pas favoriser qu’une fraction de la population.
Si au soir de sa vie en décembre 1830, Simon Bolivar reconnaissait avec son rêve d’union panaméricaine « avoir labouré la mer », on peut dire que le lieutenant-colonel de parachutistes Hugo Chavez avec sa « révolution bolivarienne », a labouré des chimères.
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mardi, 26 février 2013
Elections italiennes : Gabriele Adinolfi répond à Synthèse nationale...
Notre camarade et ami Gabriele Adinolfi, directeur de l’Institut Polaris, est un témoin privilégié de la vie politique italienne. Il nous livre ici ses premières impressions au lendemain des élections qui viennent de se dérouler dans son pays.
Gabriele Adinolfi, pouvez-vous nous livrer vos premières impressions sur les résultats des élections italiennes ?
Un premier constat plutôt rassurant, les Italiens n'ont pas voté pour la Trilatérale, ni pour la BCE, ni pour la Goldman&Sachs.
Le Parlement qui vient d'être renouvellé a obtenu une majorité de centre-gauche grâce à la “prime à la majorté” prévue par la loi élèctorale italienne qui donne un nombre important de députés supplémentaires à la coalition arrivée en tête, en l’occurence celle de centre gauche. Toutefois, cette coalition gagnante dépasse Berlusconi seulement de 80.000 voix.
Constatons aussi que le Mouvement 5 étoiles de l'acteur populiste Beppe Grillo est devenu le premier parti italien avec 8.689.168 de voix (25,55%) élisant ainsi 108 députés.
Enfin, la coalition de Mario Monti, l’euro-technocrate centriste intronisé par Bruxelles l’an passé, dépasse à peine les 10% et compte en tout 45 élus. L'ancien patron du Mouvement social italien (MSI), Gianfranco Fini, qui soutenait la coalition de Monti, est tout simplement éliminé.
Les électeurs opposés au gouvernement euro-technocrate, toutes listes confondues, dépassent donc les 65%.
Au Sénat aucune majorité n'est mathématiquement possible.
L'Italie se présente comme impossible de gouverner. Alors, que faire ?
Voter à nouveau ? Impensable pour l'establishment car Grillo et Berlusconi renforceraient encore leur audience.
Mais nous avons deux jeux possibles auxquels il est licite de s'attendre.
Soit une nouvelle coalition centredroite/centregauche avec un téchnicien comme premier ministre (Giuliano Amato c'est le plus pobable), soit une coalition nationale autour d'un personnage qui donne l'impression de répresenter le renouveau et la société civile. Il s'agit de Matteo Renzi, le jeune maire de Florence appartenant au Parti democrate mais très aprécié par la droite modérée. C’est un chrétien de gauche bon teint, fils, semble-t-il, d'un grand maître de la franc-maçonnerie. Il serait l'homme parfait pour pousuivre la politique des grands capitaux spéculatifs en la rendant “populaire”. Nous verrons bien.
Une chose est sûre : c'est que la volonté des électeurs italiens, qui rejettent clairement la politique des sacrifices dictée par les usuriers, ne sera pas respectée.
Et les nationalistes, ils semblent être les grands perdants de ces élections ?
Il est intéressant aussi d’analyser le suicide des nationalistes qui, une fois qu'ils ont cru possible de pouvoir s’émanciper de la tutelle de Berlusconi, ont démontré leur incapacité à exister réellement.
Rappelons que le MSI, avant de rentrer dans une majorité gouvernamentale, pendant quarante-huit ans, de 1946 à 1994, avait toujours ressemblé des scores oscillant entre le 5 et 9%. Habitualement son score était en moyenne de 6,5%.
Cette fois-ci les “missinis” (nom donnés aux militants du MSI – NDLR) se sont presentés en sept formations différentes. Fratelli d'Italia et La Destra ont appuyé Berlusconi. Une composante du MSI est restée dans le Peuple des Libertés de Berlusconi. D'autres, avec Fini, ont soutenu Monti avec la liste Futuro e Libertà. Trois autres listes y sont allées de manière autonome : Forza Nuova, Casapound Italia et Fiamma Tricolore.
Et voici le scores :
Fratelli d'Italia, 666.035 voix (1,95%)
La Destra, 219.816 voix (0,64%)
Futuro & Libertà (G. Fini), 159.429 voix (0,46%)
Forza Nuova, 89.826 voix (0,26%)
Casapound Italia, 47.691 voix (0,14%)
Fiamma Tricolore, 44.753 voix (0,13%)
Le total est de 1.317.376 voix éparpillées donnant un pourcentage global de 3,58%. Il faudra ajouter à cela les voix passées directement à Berlusconi et celles qui sont allées à Grillo pour retrouver, mais dispersés, les scores passés du MSI (6% - 6,5%).
Fratelli d'Italia obtient 9 députés, les autres cinq formations n'élisent personne. Des anciens “missinis” seront èlus sur les listes du PdL ; on ne sait pas encore qui et combien, mais il s'agira seulement d'une patrouille.
Rien à faire, il y a une malédiction, les nationalistes n'arrivent jamais, nulle part, même dans des conditions des plus favorables, à avoir une vraie maturité politique et à être enfin efficaces.
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Elections italiennes : la surprise Berlusconi
Résultats des élections italiennes :
Législatives : cliquez ici
Sénatoriales : cliquez là
Notez que malgré l'acharnement des médias à vouloir enterrer Silvio Berlusconi, celui-ci, à la surprise générale, ne s'en tire pas si mal que cela. Les chiens de garde du Système devront donc revoir leur copie...
Source des résultats Lionel Baland cliquez ici
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samedi, 23 février 2013
Elections demain dimanche en Italie : Casapound sur le terrain...
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Présentation à Vienne de la version allemande du livre d'Anke Van dermeersch
Lionel Baland cliquez ici
Filip Dewinter et Anke Van dermeersch du Vlaams Belang ont séjourné à Vienne du 18 au 20 février 2013. Ils y ont rencontré le président du FPÖ Heinz-Christian Strache ainsi que le Troisième président du Parlement Martin Graf. (FPÖ). L’objet de la visite de la délégation flamande au sein de la capitale autrichienne est la présentation de la traduction en allemand du livre d’Anke Van dermeersch Hoer noch slavin: vrouwen en Islam (Ni pute, ni esclave. Femme et islam.)
La présentation de l'ouvrage a été organisée par 1848 Medienvielfalt Verlag, les éditions du mensuel et site Internet unzensuriert.at, en présence du Député national FPÖ Madame Susanne Winter. La traduction du livre s’est faite à l’initiative de cette dernière qui entretient de bons contacts avec le Vlaams Belang et qui a assisté à Anvers en Belgique à la sortie de l’ouvrage original en néerlandais. Selon Susanne Winter, ce livre n’a pas pour objet d’exclure les femmes musulmanes, mais au contraire de les aider face aux manquements en matière de liberté, de respect des droits humains, de statut juridique de la femme et de libertés de base qui existent au sein de l'islam.
Précisons que le livre de Filip Dewinter Inch Allah: de islamisering van het Westen! (Inch Allah : l’islamisation de l’Occident!) existe également en version allemande (une version française est actuellement en préparation NDLR SN).
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dimanche, 17 février 2013
Wallonie, samedi 2 mars : XIIIe rencontres de Coloma organisées par Terre et peuple
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vendredi, 08 février 2013
Plusieurs dizaines de milliers de personnes ont manifesté à Athènes dimanche dernier à l'appel du parti nationaliste Aube dorée...
Contre les impérialismes américain et turc, contre l'austérité...
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samedi, 26 janvier 2013
Création d'un Front de combat identitaire européen...
Afin de renforcer la collaboration entre identitaires européens, une réunion de coordination a eu lieu en Suisse le 20 janvier. Pierre Vial, pour la France, Pierre Krebs, pour l’Allemagne, Bernard Schaub pour l’Europäische Aktion (Action européenne) et les représentants de Tierra y Pueblo pour les Espagnes ont mis au point un plan de travail destiné à concrétiser la totale unité de vue qui les rassemble et qui débouchera très vite sur certaines opérations.
L'Action européenne cliquez ici
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mercredi, 23 janvier 2013
C'était dimanche dernier : un fou furieux anti-nationaliste essaye de s'en prendre au siège du Vlaams belang à Anvers...
Jusqu'où peut mener le fanatisme anti-nationaliste...
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De quoi j'me mêle ? Une député italienne (vivant en Israël) demande l'exclusion de deux députés patriotes (grec et hongrois) du Parlement européen :
Conseil de l'Europe à Strasbourg. Le Député du Peuple de la Liberté au Parlement italien Madame Fiamma Nirenstein (en photo), juive etpro-Israélienne qui a décidé de quitter la politique italienne pour aller vivre en Israël, a estimé que le représentant Hongrois Tamas Gaudi Nagy du Jobbik ainsi que la Grecque Madame Eleni Zaroulia de L'Aube dorée appartiennent à des formations qui ont violé les valeurs de l'organisation par leurs prises de position qu’elle qualifie de xénophobes et antisémites. (Marton Gyöngyösi du Jobbik a tenu des propos au sein du Parlement hongrois qui ont été présentés d’une manière tronquée et exagérée.)
Soutenue par un nombre requis d'au moins dix parlementaires appartenant à un minimum de cinq délégations nationales, la demande a été transmise à la Commission du règlement de l'Assemblée parlementaire qui doit rendre son avis dans la semaine.
Le président de l'Assemblée Jean-Claude Mignon (UMP - France) s'est prononcé personnellement contre cette mise en cause des deux députés estimant qu'ils ont été élus dans le cadre de scrutins jugés démocratiques : «Il n'appartient pas à l'Assemblée de dire aux Hongrois et aux Grecs « Vous avez correctement voté » ou « Vous n'avez pas correctement voté».
Source Lionel Baland cliquez ici
NDLR : Tiens, pour une fois, un député UMP qui ne courbe pas l'échine...
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vendredi, 18 janvier 2013
L’Union européenne donne de l’argent pour des mosquées turques dans le Nord de Chypre...
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Le député européen du Vlaams Belang Philip Claeys a découvert que l’Union européenne va donner de l’argent pour des mosquées turques située dans le Nord de Chypre, occupé par la Turquie.
En 1974, l’armée turque a envahi Chypre et occupé le Nord de l’île. Les Grecs en ont été chassés, des milliers d’entre eux ont été assassinés. Des centaines d’églises grecques orthodoxes et de monastères ont été détruits par les Turcs, pillés, brûlés et depuis lors négligés.
Depuis 2004, Chypre est membre de l’Union européenne, mais la Turquie poursuit l’occupation de la partie située au Nord. Les Turcs refusent d’entretenir les restes des églises orthodoxes situées dans leur zone.
Après une longue opposition des Turcs, la Commission européenne a maintenant décidé d’établir une liste de 11 monuments prioritaires au sein des deux communautés qui doivent recevoir de l’argent. Les Turcs ont placé, en tant que provocation, quatre mosquées sur la liste. Pas de problème pour l’Union européenne : elle s’engage à verser 4 millions d’euros et encore plus d’argent suivra.
Pour Philip Claeys, « l’Union européenne va donc payer aux occupants au profit de bâtiments qui sont le symbole de l’occupation. Pas étonnant que l’Union européenne ne soit prise au sérieux nulle part dans le monde. »
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vendredi, 21 décembre 2012
Anvers : Filip Dewinter lance une campagne pour l'hiver sur le thème "Les Flamands aident les Flamands."
Jan Penris, Filip Dewinter, Anke Van dermeersch
Le Vlaams Belang d'Anvers lance une action de solidarité en faveur des Flamands dans le besoin. Une récolte et distribution de paquets de nourriture, sous le nom « Vlamingen helpen Vlamingen » (Les Flamands aident les Flamands), voit le jour.
Filip Dewinter estime que le « Vlaams Belang est un parti social sans socialisme, mais bien solidaire avec la partie la moins favorisée des Flamands. »
Source Lionel Baland cliquez ici
Chaque jour retrouvez toutes les informations sur les droites nationales et identitaires en Europe sur le site de notre collaborateur et ami Lionel Baland.
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jeudi, 20 décembre 2012
La Syrie, la Russie et la France...
Alexandre Lattsa
Vox NR cliquez ici
"La Russie, qui est le principal obstacle pour une intervention efficace afin d'arrêter les combats et les meurtres, est en train de perdre".
Ces propos absolument stupéfiants sont ceux tenus par Bernard Kouchner, l’ancien ministre des Affaires Etrangères françaises, dans une interview sur Europe 1 le 13 décembre dernier. Celui-ci rajoutera dans l’interview qu’il aurait: "préféré une intervention militaire" et que "les français sont avec les anglais le moteur politique pour le départ du dictateur Assad".
Cette déclaration intervient alors qu’une fois de plus le mainstream médiatique a complètement occulté la réalité pour tenter de faire porter à la Russie une responsabilité qui n’est pas la sienne. Les grands médias se sont en effet jetés sur une annonce qui n’en était pas une pour affirmer que la Russie "lâchait Bashar", "abandonnait Bashar", "envisageait la défaite de Bashar", "perdait confiance", "envisageait une victoire de l’opposition" quand elle ne faisait pas simplement "marche arrière". Les médias se basaient sur une déclaration faite par le vice-ministre des Affaires étrangères Mikhaïl Bogdanov aurait reconnu la "possibilité d'une victoire de l'opposition syrienne". Malheureusement la seconde partie de la phrase a été oubliée (volontairement sans doute) par les correspondants du mainstream médiatique et cette seconde partie était: "… Si elle est soutenue de l’extérieur", ce qui on en conviendra change le sens de la phrase.
Ce n’est pas la première fois que la Russie est prise à partie dans cette guerre médiatique contre la Syrie et c’est la seconde fois que Michael Bogdanov est pris à partie par des medias. En aout dernier, un journal Algérien avait en effet affirmé que celui-ci émettait des doutes sur l’avenir du président Assad, ce qui avait été démenti de la même façon: le vice ministre n’avait donné aucune interview. Un mois plus tôt, c’est l’ambassadeur de Russie en France Alexandre Orlov qui s’était vu attribuer une phrase totalement sortie de son contexte et qui avait été démentie tant par le ministère syrien de l’information que par l’ambassadeur lui même.
Il n’a pas fallu 24 heures pour que le Ministère des affaires étrangères russe clarifie la situation et rappelle de nouveau les journalistes à la réalité et aux faits: "nous voudrions noter que monsieur Bogdanov n'a fait dernièrement aucune déclaration officielle ni donné d'interviews spéciales aux journalistes". Pas de chance donc pour les journalistes français, qui se sont une énième fois totalement trompés : la Russie ne compte pas infléchir sa position sur la Syrie. La position de la Russie reste ferme en plus elle vient de recevoir le soutien du Brésil, qui consolide un regroupement diplomatique Russie/Chine (BRIC) opposé a une intervention militaire, et qui cette fois ne devrait vraisemblablement pas laisser se répéter le scenario Libyen.
Il est difficile d’imaginer les futurs développements en Syrie. La pression sur le régime Syrien n’a jamais été aussi forte, pendant que le front intérieur s’est inexorablement déplacé vers le centre politique du pays, tout en tournant de plus en plus à l’affrontement anarchique entre communautés. Pourtant, si la montée en puissance des groupes Islamistes radicaux et des mercenaires Djihadistes étrangers est évidente au sein de l’opposition, le recours croissant au terrorisme prouve sans nul doute leur impuissance face à l'armée syrienne qui a remporté tous les affrontements urbains d’Alep à Damas.
On peut quand même se demander ce qui pourrait se passer si ces affiliés d’Al-Qaïda venaient à bénéficier d’un affaiblissement majeur, voire total du pouvoir Syrien, et à s’emparer de sites chimiques ou d’une quantité d’armes importantes, que l’on pourrait retrouver impliquées dans des actes terroristes contre des pays européens. Les images des islamistes du Front Al Nosra en train de faire des tests chimiques sur des animaux après la prise d’un centre de recherche (serait ce celui de la base Souleimane?) devrait faire réfléchir les commentateurs, analyses et décideurs occidentaux. Que dire de cette interview de leur commandant qui présente ses recrues étrangères et dit être prêt au Djihad contre les pays de l’Ouest y compris et l’Amérique?
De nombreux radicaux islamistes qui combattent en Syrie (et ont capturé la journaliste Ukrainienne Anhar Kotchneva qu’ils menacent d’exécuter) viennent en outre officiellement d’appeler à "ce qu’aucun citoyen russe, Ukrainien ou Iranien ne sorte vivant de Syrie" et à des attaques contre les ambassades de l’Ukraine et la Russie. Une déclaration de guerre contre la Russie qui fait suite aux récents appels hostiles de leaders Islamistes radicaux contre la Russie, qui vont dans le sens des discours prononcés par les tenants de cet Islam radical en Turquie, lors de la visite de Vladimir Poutine le mois dernier, ou encore de ceux des nombreux islamistes étrangers qui combattent en Syrie.
Dans ce contexte on peut se demander si les propos de Bernard Kouchner ont une quelconque utilité. Pour l’instant l’Armée Syrienne empêche la situation de virer à un chaos dont on peut se demander ce qu’il pourrait amener dans la région et même au delà. Si en Syrie certains se battent pour le départ d’Assad, d’autres se battent pour l’établissement d’un émirat Islamique (sur le modèle des Talibans comme expliqué ici) et près de la moitie de la population se bat simplement pour la survie des minorités. Michael Bogdanov ajoutait dans sa déclaration que "La lutte va devenir de plus en plus intense et la Syrie va perdre des dizaines – peut-être des centaines – de milliers de civils". Alors que l’Onu parle elle d’envoyer 10.000 hommes sur le terrain, une chose semble aujourd’hui certaine si la situation internationale reste en l’état: cette guerre ne fait peut être que commencer.
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dimanche, 02 décembre 2012
GEROLF ANNEMANS SERA LE PROCHAIN PRESIDENT DU VLAAMS BELANG...
Le Conseil de parti du Vlaams Belang a désigné ce samedi 1 décembre 2012 Gerolf Annemans comme futur président du parti. Un congrès des membres est appelé à confirmer, le 16 décembre 2012, ce choix.
Lors du premier tour de scrutin les candidats ont obtenu les résultats suivants :
Gerolf Annemans : 41 voix
Philip Claeys : 33 voix
Bart Laeremans : 19 voix
Au second tour, les deux candidats restants ont obtenu les résultats suivants :
Gerolf Annemans : 51 voix
Philip Claeys : 41 voix
Source Lionel Baland cliquez ici
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vendredi, 30 novembre 2012
Bruxelles : pour protester contre la suppression du sapin de Noël traditionnel (remplacé par une armature métalique informe) les militants de Nation ont manifesté vendredi soir...
Ce vendredi 30 novembre, vers 18 h, au cours de l’inauguration des plaisirs d’Hiver sur la grand place de Bruxelles, un groupe de militants du mouvement NATION a manifesté sur le thème : « Un vrai sapin à Noël, respectez nos traditions ! ».
Pétards et slogans ont perturbé l’événement « culturel » qui consistait à inaugurer l’immonde pièce métallique, prévue pour remplacer notre sapin traditionnel.
La police est intervenue mais il n’y a pas eu d’arrestations.
Source Nation cliquez ici
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mercredi, 28 novembre 2012
Le Vlaams Belang et la gauche radicale au sein de la même manifestation...
Les militants du VB : à leur tête Filip Dewinter et Jan Penris
Source Lionel Baland cliquez ici
Anvers - Comme annoncé, une trentaine de membres du Vlaams Belang ont participé à une manifestation du personnel et des usagers de la société de transport public De Lijn contre les conséquences des mesures d’économies. Parmi les membres du Vlaams Belang présents figuraient Filip Dewinter, Jan Penris et Wim Van Osselaer ainsi que des élus de conseils de district et même un conseiller municipal d’une commune voisine. Des représentants du groupe d’étudiants nationalistes NSV se sont joints à eux.
Au sein du cortège se trouvaient également des post-maoïstes du PvdA et des membres du LSP (Linkse Socialistische Partij - Parti socialiste de gauche), un parti de gauche radicale
Quelques représentants du syndicat socialiste n’étaient pas contents de la présence de représentants du Vlaams Belang. La manifestation s’est bien déroulée et les membres du Vlaams Belang ont été en général accueillis positivement par les autres participants.
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mardi, 27 novembre 2012
VIIe congrès du mouvement identitaire belge "Nation" le 15 décembre prochain
Nos voisins et amis du fort sympathique mouvement identitaire de Belgique francophone "Nation" tiendront leur VIIIe Congrès ce prochain 15 décembre.
C'est sous le thème de "Etre et Durer" que nos camarades wallons vont se réunir pour présenter leur bilan d'action, pour élire ou réélire la direction de leur mouvement et pour affirmer ou affiner leur ligne politique.
Ne doutons pas du succès de cette manifestation qui révèlera le dynamisme et la force croissante de Nation qui symbolise et regroupe la Résistance identitaire wallone dans un Royaume en passe d'être submergé par une immigration de peuplement allogène et que les tenants du mondialisme sont en train de vendre aux apatrides de la ploutocratie internationale. L' Europe des Peuples et des Nations est en marche ! Bon vent camarades !
Site de Nation cliquez ici
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Après les élections de dimanche dernier en Catalogne, Terre et peuple (Catalogne Nord) s'inquiète sur l'influence de Terra Nova sur certains mouvements catalans...
Terra i Poble Catalunya Nord cliquez ici
Les catalans auraient-ils consulté le rapport du laboratoire d’idée Terra Nova fondée en 2008 par Olivier Ferrand, membre du Parti Socialiste. Le 10 mai 2011 Terra Nova a publié un essai intitulé Gauche, quelle majorité électorale pour 2012 ?
Il est en effet troublant de trouver des similitudes entre le Parti Socialiste français et la fondation Nous Catalans (« nouveaux Catalans ») affiliée à Convergència i Unió (CiU, centre droit), Ciutadans (C’S centraliste et jacobin de centre gauche) et la CUP (Candidature Unité Populaire, parti d’extrême gauche catalaniste).
Les membres de CiU courtisent les immigrés jusque dans les mosquées (Le Monde cliquez ici), les ciutadans collent des affiches bilingues, castillan et arabe (voir photo en médaillon), alors que nous sommes en Catalogne. La CUP tire le pompon, elle a réalisé une vidéo de campagne totalement en arabe. Plus de quatre minutes dans une langue étrangère… pour une élection catalane, logique… voir la vidéo cliquez là
Dans le califat d’al Catalunya tout va très bien madame la marquise…
Lire : « Petit rappel sur la Fondation Terra Nova » publié par Terre et peuple Catalogne cliquez ici
A propos des élections en Catalogne, lire aussi : cliquez là
12:40 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 26 novembre 2012
Conférences à Bruxelles et à Paris du parti nationaliste ukrainien Svoboda...
Oleh Pankevych du parti ukrainien Svoboda tiendra une conférence à Bruxelles ce mardi 27 novembre 2012 à 15h à l’Hôtel Bloom, rue Royale 250. Le thème de la conférence est « Svoboda en tant que première force nationaliste au sein du Parlement nouvellement élu d’Ukraine. »
Le mercredi 28 novembre 2012, une conférence de presse aura lieu à Paris.
Oleh Pankevych nous avait fait l'amitié de participer à notre 4e journée de Synthèse nationale, le 11 novembre 2010, à Paris.
15:10 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi dernier à Rome : contre l'usurocratie, Casa Pound était dans la rue...
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vendredi, 23 novembre 2012
Demain samedi 24 novembre : les Romains dans les rues de Rome contre l'hyperclasse apatride à l'appel de Casa Pound...
Changement du lieu de rassemblement : 16 h, Piazza Mazzini
11:49 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 19 novembre 2012
Varsovie, 11 novembre 2012, 100 000 patriotes dans les rues pour défendre la Pologne polonaise :
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Australie : Il se marie à son chien et réclame le droit à la différence !
Il se marie à son chien devant témoins : les zoophiles réclament eux-aussi le droit à la différence et au mariage-zoophile.
« Un jeune résident de la ville de Toowoomba en Australie, vient officiellement de s’unir avec son compagnon à quatre pattes. Sûrement une première dans la ville aux jardins (surnom de la ville), l’union entre Joseph Guiso et son labrador Honey s’est déroulée au parc Laurel Bank.
Trente des plus proches amis du couple ainsi que la famille ont assisté à la cérémonie qui s’est tenue au crépuscule. C’est en tombant sur un mariage au parc Laurel Bank que le couple a décidé de s’unir dans ce lieu.
Le couple a d’ores et déjà planifié une lune de miel dans un des parcs de la ville… » (Dailymail cliquez ici)
Même si Honey n’a que 5 ans, on peut considérer qu’elle a atteint sa majorité sexuelle : c’est une chienne adulte malgré tout et consentent.
Même si le couple n’envisage pour le moment d’adopter des enfants (et/ou des chiots), on leur souhaite beaucoup de bonheur…
13:56 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 26 octobre 2012
Belgique : fermeture de l'Usine Ford de Genk
Un communiqué de l'ABCD (Alliance bruxelloise contre la décadence) :
Après CITROEN, MICHELIN, BRITISH LEYLAND, RENAULT, et OPEL à Anvers hier, c’est aujourd’hui FORD à Genk la victime de la concurrence mondiale. A qui le tour demain ?
Lors de l’adoption du traité de Maastricht, tous les responsables politiques de gauche et de droite nous ont clairement affirmé que cette Europe « sociale » serait la garante d’un nouveau développement économique et facteur de richesses nouvelles.
A.B.C.D en conclu que ce n’était que de la poudre aux yeux, répandue par les lobbies de la gauche caviar et de la droite cosmopolite, destinée à mettre en place le Nouvel Ordre Mondial. Nous nous sommes toujours opposés aux docteurs honoris causa du mondialisme qui dévastera tous les secteurs économiques européens pour le plus grand bénéfice des pays sous-développés qui nous submergent de leurs productions à prix bradés et de qualité médiocre.
A.B.C.D constate que selon une comparaison internationale (publiée par l’administration suisse en avril 2012), le coût horaire de la main-d’œuvre est de 41€ en Suisse, 38€ en Belgique, 33€ en France, 29€ en Allemagne, 20 € en Espagne, 12€ au Portugal, 8€ en Pologne, 4€ en Roumanie, et que le salaire horaire en Chine n’est que de 1€ et au Bengladesh de 0,30 € !
Il y a plus de six ans le sénateur démocrate U.S, Byron DORGAN déclarait :
« Les travailleurs américains perdent leur boulot qui va en Chine. Car là-bas, on peut payer les gens 0,30 USD/heure et les faire travailler 7 jours sur 7 » !
En Belgique apparemment, alors que les VERHOFSTAD, LETERME et DI RUPO sont aux commandes depuis bientôt 20 ans, tous les princes qui nous gouvernent se montrent « surpris » et « choqués » par le départ des autos qui demain seront fabriquées en Allemagne par des allemands… avec l’accord du syndicat IG METAL.
A.B.C.D avait en son temps déjà très largement distribué un tract en Région Bruxelloise, dans lequel nous mettions en cause la politique de mobilité durable avec ses néfastes conséquences. Nous avions critiqué la clique des libéro-socialauds-écolo-humaniste qui diabolisait les automobilistes comme étant les responsables des embouteillages et de la pollution, alors même que les bourgmestres et les ministres régionaux ont tout fait pour chasser la voiture de nos cités : de quoi se plaignent-ils donc maintenant que l’industrie automobile quitte la Belgique, allégeant ainsi la pression des véhicules à moteurs dans leur cité respective ?
L’incompétence et l’incurie des partis traditionnels les disqualifient pour relever le défi de la guerre économique mondiale déclarée par les pays asiatiques depuis 40 ans.
Alain PEYREFITTE avait écrit un livre prémonitoire à cette époque : « Quand la Chine s’éveillera, le monde tremblera ». Nous y sommes et nous constatons que les gourous du Nouvel Ordre Mondial et les laquais du mondialisme ne proposent aucun remède aux délocalisations industrielles, responsables de coûts sociaux exorbitants, de chômage structurel et de déficits publics. Bien au contraire, ils se font les complices de l’invasion étrangère : textile, sidérurgie, automobile, drogues, aliments, immigration de peuplement, électronique grand public et services de toutes sortes. C’est totalement grotesque et suicidaire !
Au printemps 2014, nos concitoyens pourront à nouveau exprimer leur suffrage pour désigner ceux qui dirigeront les affaires de notre pays. Devra-t-on s’attendre à de nouvelles surprises ?
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jeudi, 18 octobre 2012
La mort d’un Roi...
3 septembre 1941 – Aux côtés de Norodom Sihanouk, l’Amiral Decoux porte l’urne funéraire du défunt roi du Cambodge, S.M. Sisowath.
Par Eric Miné
Ecrivain et romancier
Spécialiste de l'Extrême-Orient
Lundi 15 octobre disparaissait à 89 ans Norodom Sihanouk. Traité en Chine régulièrement pour des affections récurrentes essentiellement liées à son âge, l’ancien monarque du Cambodge s’est éteint dans un hôpital de Pékin.
Généralement présenté dans les médias comme « changeant » en politique, éclectique dans ses goûts et ses occupations, cet ancien élève du Lycée Chasseloup-Laubat de Saïgon est surtout controversé pour ses liens avec la Chine communiste et sa caution – très temporaire – au régime des Khmers rouges.
Sans rentrer dans les subtilités toutes asiatiques où les idéologies élaborées en Occident ont dans ces pays une signification et une portée très différentes, il m’apparaît salutaire de noter, au contraire du discours ambiant, l’extrême fidélité – en amitié – et la grande constance – en politique – de celui qui fut à n’en pas douter le plus grand homme d’État de l’Asie du Sud-Est pendant presque trois quarts de siècle.
Intronisé le 28 octobre 1941 sous la protection de la France alors puissance tutélaire, le jeune souverain reçut des mains mêmes de l’Amiral Decoux – Gouverneur général de l’Indochine de 1940 à 1945 – la tiare d’or à longue pointe, symbole royal du pays khmer. Alors qu’ensuite après-guerre l’Amiral Jean Decoux, injustement accusé et hospitalisé au Val de Grâce, était la cible d’un éprouvant procès d’épuration, Norodom Sihanouk, lui écrivit le 20 juin 1946 : « … je dirai avec quelle abnégation vous avez, en Indochine, servi les intérêts supérieurs de la France et avec quelle noblesse de cœur vous avez assuré, pendant quatre ans, la protection des peuples indochinois contre l’ennemi. Je suis certain que justice vous sera rendue et que la France vous considèrera comme un des meilleurs parmi ses fils ».
Dans ces temps agités où, en métropole et sur fond de représailles aveugles, la vilénie le disputait à la bassesse, les soutiens de cette qualité furent plutôt comptés aux hauts responsables français qui avaient été loyaux tant à leur mission qu’aux autorités légales de leur pays.
Cet engagement sincère en faveur de l’Amiral Decoux et de son action en Indochine, qui ne pouvait que déplaire au pouvoir politique alors en place en France, serait à lui seul une raison bien suffisante – en tout cas pour tous ceux qui croient encore à la France et à la grandeur de son œuvre au-delà des mers – de rendre hommage aujourd’hui à la mémoire de S.M. Norodom Sihanouk.
Il ne me semble toutefois pas inutile de rappeler aussi que, malgré les atermoiements et les vicissitudes de ce qui perdura de la geste française en Asie après 1945, Norodom Sihanouk fut toujours un ami de notre pays. Il fut le premier souverain d’Indochine à avoir adhéré à l’Union française. Tout en prônant sur le plan international le non-alignement dans le conflit de « guerre froide » qui opposait les États-Unis à l’URSS, il tenta d’appuyer le neutralisme cambodgien – pour éviter à son pays les affres de la guerre américaine du Vietnam – sur la France qu’il croyait être encore une vraie puissance, capable de défendre indépendamment ses intérêts et ceux de ses alliés dans le monde. Pour se faire, en 1966, il invita à Phnom Penh le général De Gaulle qui, dans un discours resté fameux, l’assura du soutien de l’ancienne puissance coloniale. Las, comme trop souvent dès qu’il s’agit du verbiage – certes flamboyant – gaullien, ce ne fut qu’une posture, et Norodom Sihanouk fut renversé en 1970 sur l’initiative des Américains devant une France devenue impuissante.
L’action politique, militaire et diplomatique qu’il mènera ensuite de 1970 à 1991, lors de son retour au Cambodge qui voit sous son impulsion la restauration de la monarchie, appartiennent à l’Histoire asiatique. Habile tacticien et fin stratège, la souplesse de sa démarche ainsi que l’amour irréfréné que ce prince, dans toute la noblesse du mot, a toujours voué à ses sujets – qui le lui rendent bien en l’appelant affectueusement « Monseigneur Papa » – font de lui l’exemple d’une conduite de ce que d’aucuns sous d’autres cieux nommeraient un « pragmatisme organisateur » et un « nationalisme intégral ». L’un des très rares hommes d’État des XXe et XXIe siècles à avoir rétabli les institutions naturelles propres à protéger durablement son peuple, maurrassien sinon dans ses affirmations du moins dans son action, Norodom Sihanouk reste à mes yeux un modèle dont nos responsables politiques nationaux feraient bien de nos jours de s’inspirer.
1944 – Norodom Sihanouk, en tenue de « Yuvan », accompagné de l'Amiral Decoux, du Résident Supérieur Gautier et du Commissaire aux Sports Ducoroy, passe en revue 15.000 jeunes.
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Belgique : communiqué du mouvement NATION après les élections de dimanche dernier...
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samedi, 13 octobre 2012
Filip Dewinter, candidat du Vlaams belang à Anvers demain dimanche, a présenté son projet de "Crimimonitor"...
Le Vlaams Belang a présenté lors d’une conférence de presse le Crimimonitor. Il s’agit d’une application pour smartphone qui fait ce que la municipalité d’Anvers ne fait pas : communiquer objectivement et ouvertement à propos de la délinquance. Grâce à cette initiative, le Vlaams Belang introduit ainsi le Crime mapping : la cartographie des délits au travers d’un système d’information géographique.
Voir le site : cliquez ici
Les personnes qui ont été victime d’un délit et porté plainte auprès de la police peuvent introduire le numéro du procès-verbal au sein du site Internet. L’endroit où le délit a eu lieu est indiqué sur un plan de la ville. Le site Internet dispose de filtres qui permettent d’analyser les données (par district, par rue, par type de délit).
Ce système est déjà utilisé au Royaume-Uni, aux États-Unis, au Canada.
Grâce à Crimimonitor, des informations seront disponibles, ce qui n’est pas le cas en ce moment car les autorités, tant à Anvers que dans le reste du pays, communiquent peu à propos de la délinquance. De plus, celle-ci est minimisée.
Pour Filip Dewinter : “Seulement une application dure des lois contre la criminalité. En moyenne, 19 cambriolages ont lieu chaque jour à Anvers. La délinquance a augmenté de 17 % en à peine 6 ans. La moitié [45 %] des délits élucidés sont commis par des étrangers. Chaque Anversois a droit à la sécurité. Hélas, la délinquance paye dans notre ville. Il est temps que la peur change de camp. Ça doit être de nouveau les délinquants qui doivent avoir peur d’être arrêtés et jetés derrière les barreaux. C’est pourquoi choisissez la sécurité, choisissez le Vlaams Belang. “
Source Altermedia
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L'entente entre le FN et Plataforma cataluna ne semble pas pour demain...
C’est un accroc dans la stratégie de respectabilisation internationale de Marine Le Pen. Depuis son accession à la tête du Front national, Marine Le Pen n’a de cesse de le répéter : « Je veux tourner le dos à l’ensemble des mouvements qui ne sont pas sur les mêmes grandes lignes que nous ou qui n’ont pas le sérieux nécessaire pour réfléchir avec nous. Je veux travailler avec des partis crédibles et de tout premier plan ».
Partant de ce postulat, Marine Le Pen a tourné le dos à l’Alliance européenne des mouvements nationaux, créée au Parlement européen par Bruno Gollnsich (et qui regroupe aussi le Jobbik hongrois), pour adhérer à titre personnel, à l’Alliance européenne pour la liberté, où l’on retrouve notamment des leaders des partis d’extrême droite Vlams Belaang (Belgique) et FPÖ (Autriche), ainsi que les souverainistes britanniques de l’Ukip.
L’Alliance européenne pour la liberté s’est réunie à Chypre, le 29 septembre. Un événement « technique », selon Ludovic de Danne, le « Monsieur affaires européennes » de la présidente du FN, qui n’était pas inscrit à l’agenda officiel de Mme Le Pen. Ce fut aussi l’occasion pour elle de discuter avec un candidat à l’adhésion à cette alliance : Josep Anglada.
C’est le président du parti catalan d’extrême droite, Plataforma per Catalunya (PxC). Nous l’avions découverts en 2009, lors de la Convention identitaire à Orange. L’intervention de M. Anglada avait d’ailleurs créé des remous quand son interprète — au français approximatif — avait traduit ses propos comme suit : « Je veux lutter pour une Europe sans nègres et sans Maures. »
Depuis, M. Anglada s’est notamment rendu à Synthèse nationale, la réunion annuelle pilotée par la Nouvelle droite populaire de Roland Hélie et Robert Spieler. Et cette année encore, une délégation des jeunes de PxC se rendra à la Convention des identitaires qui se tiendra les 3 et 4 novembre. Une Convention qui accueillera, il faut le noter, des représentants du Vlams Belaang et du FPÖ.
M. Anglada n’est pas un inconnu pour Marine Le Pen. Déjà en mai 2011, après les élections régionales en Catalogne, Marine Le Pen a envoyé un mot de félicitations à Josep Anglada qui avait alors mené une campagne »xénophobe » extrêmement virulente. Mais le point d’achoppement entre le FN et PxC était l’indépendantisme supposé des Catalans. Sur ce point, le FN a été rassuré puisque M. Anglada ne réclame pas la sécession de la Catalogne.
De plus, même si les scores restent très modestes, PxC est en plein développement. M. Anglada va étendre son organisation à tout le territoire espagnol en lançant des « Plateforme pour la liberté ». « Nous avons des relations amicales avec le FN. Nous défendons les mêmes thèmes et les mêmes objectifs », affirme M. Anglada. En revanche, en ce qui concerne les identitaires français, M. Anglada précises que les liens sont « plus distants ».
La rencontre avec Marine Le Pen le 29 septembre, a été largement relayée par Plataforma per Catalunya (voir la photo ci-dessus) qui pensait même « quasiment faite » la venue de Marine Le Pen au meeting de Josep Anglada pour les prochaines élections catalanes fin novembre. Au Front national, on envisageait plutôt un mot de soutien. Mais c’était avant que les choses se compliquent avec PxC…
Car plusieurs la proximité affichée avec M. Anglada pose plusieurs problèmes au parti d’extrême droite.
« Pas le même logiciel »
Tout d’abord, le FN n’était pas au courant de l’implantation de Plataforma per Catalunya à Perpignan, fief de Louis Aliot. M. Anglada nous a déclaré qu’ils réfléchissaient « à la possibilité de se présenter aux municipales de 2014, pourquoi pas avec le FN ». Une option vivement rejetée par Louis Aliot qui affirme ne rien vouloir faire avec eux : « Nous n’avons rien à faire ni de près, ni de loin, avec ce genre de personnes. Il est hors de question que nous travaillions avec eux. On n’est pas formaté avec le même logiciel ».
Autre souci: les personnalités sulfureuses de PxC. M. Anglada a commencé sa carrière politique avec le franquiste Blas Piñar. « Ca, ce n’est pas grave », estime M. Aliot. Ce qui l’est plus à ses yeux en revanche, c’est quand il apprend que le responsable des affaires internationales de PxC -et donc l’un des interlocuteurs du FN-, est un ancien néonazi (SIC) de la CEDADE.
Enrique Ravello, c’est son nom, estime même que ce fut une « belle expérience » : « La CEDADE rompait avec les références classiques du nationalisme espagnol (jacobinisme, ultra catholicisme, hispanoamériocanisme) pour adopter un discours européen, différentialiste, ethnopluraliste et avec d’importantes références à l’indo-européisme comme originie commune et comme vision du monde ». Ce responsable de Terre et peuple Espagne, cite entre autres comme auteurs de référence Julius Evola, Guillaume Faye, Pierre Vial ou encore Alain de Benoist.
« C’est un vrai problème », estime pour sa part M. de Danne. « On se désolidarise totalement de ce genre de propos. On tombe des nues… Je crois que l’on va fermer la porte [à M. Anglada], c’est très bien que l’on sache tout ça », ajoute-t-il. Du coup, oublié le message de soutien prévu pour M. Anglada. Et M. de Danne d’ajouter : « PxC n’est pas encore membre de l’Alliance européenne. Chypre a été un lieu de contact et d’évaluation. Leur admission devait être discutée lors du prochain Bureau. Et il y aura quelques vétos à mon avis…. »
A propos de cette affaire, quelques précisions :
Josep Anglada, lors de la 3e journée de Synthèse nationale le 11 novembre 2009 (cliquez ici), et Robert Spieler au congrès de Plataforma cataluna le 27 mars 2011
NDLR Synthèse nationale : Plataforma cataluna (PxC) est sans doute l'un des mouvements les plus sérieux qui existe actuellement en Espagne. Il lutte efficacement contre l'islamisation du pays et, en élargissant son action à l'ensemble de la pénincule ibérique, il montre ainsi son dynamisme et relativise aussi les prétentions séparatistes qui lui sont parfois attribuées. La lutte contre l'invasion, première des préoccupations de PxC, ne pouvant se résumer qu'à une seule région. Elle concerne l'Espagne dans son ensemble et, au-delà, toute l'Europe.
C'est d'ailleurs pour cela que PxC a toujours souhaité entretenir, en particulier par l'intermédiaire de notre ami Enrique Ravello, des contacts avec les autres formations nationalistes et identitaires à travers le continent. C'est dans cet esprit que, le 11 novembre 2009, lors de notre 3e journée de Synthèse nationale, nous recevions à Paris Josep Anglada (cliquez ici), et que, lors du congrès de PxC, en avril 2011, Robert Spieler, Délégué général de la Nouvelle Droite Populaire, avait été invité à prendre la parole (cliquez ici ou cliquez là).
11:44 Publié dans En Europe et ailleurs..., Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 10 octobre 2012
Anvers : dernière ligne droite pour le Vlaams belang avant les élections de dimanche prochain...
Le Vlaams Belang a tenu à Anvers ce dimanche 7 octobre son meeting de clôture en vue des élections locales du 14 octobre 2012. Anke Van Dermeersch a souhaité la bienvenue aux militants et sympathisants. Filip Dewinter, porte-parole du VB et candidat à la mairie de la grande ville portuaire et Bruno Valkeniers, président du VP, ont ensuite pris la parole.
Cette grande réunion publique fut l'occasion pour Filip Dewinter de dénoncer la collusion qui existe entre la municipalité socialiste sortante et le pseudo parti nationaliste (centriste) NVA. Le leader de ce dernier, Bart Dewever, n'a pas cessé de voter avec les socialistes lors de la dernière mandature. « Bart De Wever et Patrick Janssens (l'actuel maire sortant d'Anvers - NDLR) ont dirigé ensemble Anvers. Au total, Bart De Wever a voté avec Patrick Janssens 6.357 fois en 6 ans. Bart De Wever a voté le plan de la ville pour la diversité,les règles contre les automobilistes, de hauts tarifs de stationnement et un plan de circulation par quartier, des subisdes pour les mosquées…» a déclaré Filip Dewinter.
Source Lionel Baland cliquez là
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vendredi, 28 septembre 2012
Catalogne : quand les intrus veulent museler les souchiens...
Dans le cadre du VIIIe Congrès des Imams et des Présidents de Mosquée de Catalogne, le secrétaire de la Fédération du Consell Islamique de Catalogne, Mohammed Halhoul, a affirmé qu’il fallait marquer avec d’une ligne rouge les limites de la liberté d’expression, artistique et de production.
En bref Mohammed Halhoul souhaite museler les catalans.
La riposte de Josep Anglada (cliquez ici), président du parti identitaire Plataforma per Catalunya est sans appel : “Mohammed Halhoul n’est personne pour dire ce que les lois catalanes doivent faire, Hahoul est un maure qui doit quitter la Catalogne si il n’est pas content vers un pays de lois islamique, c’est sur que là il se sentira bien, tout le monde sait que sa loi est caractérisée par la liberté d’expression et la défense des liberté, surtout celles des femmes”.
Source Terre et peuple Perpignan cliquez là
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