mercredi, 04 juillet 2018
En Espagne, le gouvernement insulte le pays en prétendant souiller la Vallée des morts
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mercredi, 20 juin 2018
Italie : UNE NOUVELLE REVUE D'HISTOIRE EST NÉE
PRÉSENTATION DE STORIA RIVISTA
A l'origine de cette heureuse initiative, un groupe d'hommes et de femmes de convictions dont certains sont issus du MSI, le Mouvement social italien. Parmi eux, notre ami Massimo Magliaro que les lecteurs de Synthèse nationale connaissent bien. Nous lui avons posé quelques questions...
Massimo bonjour, présentez-nous cette revue qui était en gestation depuis quelques temps et qui vient de sortir.
Cette nouvelle revue voit le jour en Italie veut être une revue à la fois de divulgation et d’approfondissement. C'est un projet ambitieuse et unitaire.
Son nom : Storia Revista (Histoire Revue) et sa publication bimestrielle. Elle compte un peu moins de deux cents pages.
Le "chemin de fer" de chaque numéro sera le suivant : la première partie est un recueil d’articles sur des hommes, des idées des faits qui concernent la droite en Italie et dans le monde ; la deuxième est un dossier monothématique consacré à un évènement, une célébration, un contexte raconté et analysé d’un point de vue de droite.
Pourquoi ambitieuse ?
Parce que la droite italienne (NDLR : comme partout en Europe) doit avoir l’ambition de retrouver ses valeurs, ses idées et son histoires qui l’ont maintenue unie et vivante pendant si longtemps. La droite doit aujourd’hui demander à l’Histoire, avant tout à son Histoire, les réponses nécessaires pour retrouver le langage perdu de sa propre unité et les raisons profondes de la convivialité, langage et raisons qui lui ont permis d’affronter avec dignité le monde qui continuait à l’assiéger impitoyablement.
Et tout ceci est fort ambitieux.
Mais il s’agit également d’un projet unitaire. Dès lors que ce ne sera pas uniquement la voix d’une « petite partie » de notre famille. Ce sera la voix de toutes les expériences idéales qui ont rempli la vie, les rêves, les projets de ce milieu, qui lui ont donné la force et qui lui ont permis de vivre son propre temps avec fierté et orgueil alors que tout lui était âprement hostile.
Cette cohérence idéale, ce sens très fort d’appartenance enraciné dans ses gens constituent précisément aujourd’hui le patrimoine principal à récupérer et dans lequel puiser pour construire les routes de l’avenir.
Pourquoi le nom Histoire Revue ?
Revue signifie relue, étudiée de nouveau, analysée de nouveau, revisitée. Nous ne nous contentons pas des jugements codifiés, des stéréotypes moraux imposés par le «culturellement correct». L’Histoire, l’histoire avec un H majuscule, ne cesse jamais de parler, de fournir des éléments, des suggestions, du matériel varié. Elle ne cesse jamais d’être interprétée, comprise, jugée. C’est un livre qu’il faut ouvrir et rouvrir, toujours, qu’il ne faut jamais mettre de côté. C’est un terrain qu’il faut sans cesse labourer car il donne toujours ses fruits.
L’Histoire n’est pas seulement le passé; elle est le présent et aussi l’avenir.
Un présent qui n’a pas de passé n’aura jamais de futur, lit-on dans la présentation.
L’horizon dans lequel s’inscrit la revue est vaste, il part naturellement de l’Italie mais il se dilate dans le monde, là où il y a une droite à raconter.
Massimo, vous assurez la direction de la revue, mais qui sont les autres promoteurs de cette aventure éditorialiste ?
Histoire Revue s'est dotée d’un Comité directeur composé, outre moi-même, d’Alessandro Amorese, Adalbelto Baldoni, Mario Bozzi Sentieri, Roberto Rosseti et Marco Valle.
Nombreux sont les collaborateurs, surtout des jeunes. Même des étrangers.
C’est la jeune et aguerrie maison d’édition Eclettica Edizioni, de Massa, en Touscanie, déjà connue en Italie pour avoir fait publier des textes très intéressants et qui ont remporté un grand succès, qui en a assuré la publication. Il s’agit entre autres de la maison d’édition qui d’ici la fin de l’année publiera en exclusivité l’édition italienne des « Mémoires » de Jean Marie Le Pen.
Le premier numéro, qui sera présenté dans quelques jours à Rome et puis au fur et à mesure dans le reste de l’Italie, s’ouvre précisément sur la publication en exclusivité (NDLR : rédigée par le directeur, Magliaro) du chapitre des « Mémoires » de Le Pen consacré à la naissance du Front national (auquel sa fille, Marine, vient de changer le nom) et continue avec le premier fascicule d’une histoire ultra-documentée du Msi écrite par Baldoni, un texte inédit d’Amorese sur la monnaie clandestine frappée dans l’après-guerre par le Msi d’Apuania, le portrait du premier «federale» du Msi de Cagliari, Marigo, rédigé par Giuseppe Serra, le récit, signé par Bozzi Santieri, du rôle joué à droite par le quotidien milanais du soir La Notte, un essai de Nazzareno Mollicone sur la politique démographique du Fascisme, une analyse de la droite hongroise d’hier et d’aujourd’hui conduite par Marco Valle, et un inédit sur le jeune Johnny Halliday lorsqu'il était militant de la droite radicale française.
La deuxième partie de la revue est entièrement consacrée aux années ‘68. Le dossier a pour titre «Le singe de ’68. Cinquante ans après l’Italie paye encore le compte».
On y trouve des essais et des articles de Baldoni, Gennaccari, Amorese, Rossetti, Volante, Barbetti et Magliaro. Le dossier est enrichi de témoignages de certains des protagonistes de ces faits (entre les quels Jack Marchal), une anthologie de philosophes, d’historiens, d’économistes, de sociologues, d’essayistes, (Spirito, D’Eramo, Rasi, Ginsborg, Bedeschi, Vulpitta, Gnerre, Cipriani, Veneziani, De Mattei, Corrêa de Oliveira, Del Noce, De Turris, Bardèche, Duprat, Evola) et enfin une table ronde avec la participation de Pietro Cerullo, Gennaro Malgieri, Bozzi Sentieri et Adriano Scianca.
Chaque numéro deStoria.Revue coûtera 13 euros. L’abonnement annuel par contre 60 euros.
Le dossier du deuxième numéro, dont la sortie est imminente, sera consacré à Giorgio Almirante et à Pino Romualdi à l’occasion du trentenaire de leur mort.
Rappelons que nous devons à Massimo Magliaro la rédaction d'un Cahier d'Histoire du nationalisme (n°11) consacré à l'histoire du Mouvement social italien cliquez ici. Ce Cahier de 220 pages est sorti en février 2017 à l'occasion du 70e anniversaire du MSI fêter, à Paris à l'initiative des Amis de Synthèse nationale cliquez ici.
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samedi, 16 juin 2018
Cruauté du gouvernement anglais : le patriote dissident Tommy Robinson transféré dans une prison pleine d'islamistes
Source Breizh info cliquez là
Le journaliste dissident Tommy Robinson – qui a fait de l’alerte sur l’immigration et l’islamisation du Royaume-Uni son cheval de bataille, se trouve en prison depuis le 25 mai dernier.
Pire encore, il vient d’être déplacé dans une prison peuplée majoritairement de musulmans alors que de nombreuses voix s’élèvent pour demander sa libération.
Désormais, c’est sa sécurité, et sa vie, qui sont mises en danger en raison des décisions de la justice anglaise.
Lors de son transfert dans la nouvelle prison, un de ses proches explique que les prisonniers ont tapé au mur toute la nuit, hurlant le nom de « Tommy Robinson », le menaçant de mort. Un contrat a été placé sur sa tête, avec une récompense pour quiconque parmi les prisonniers le tuera.
Sa famille et son entourage ont depuis fait savoir qu’ils travaillaient activement, avec des avocats, pour tenter de changer la situation qu’ils décrivent comme « vraiment inquiétante ».
Des parlementaires américains ont écrit aux autorités britanniques, tandis qu’au parlement européen, c’est la député britannique – anciennement proche de l’UKIP et désormais indépendante - Janice Atkinson qui a tenté d’évoquer la situation de cet activiste, avant que son micro ne soit tout simplement coupé au moment où elle évoquait la forte présence musulmane dans la prison.
Des interventions diplomatiques seraient en cours. En attendant, une manifestation se déroulera à Londres, le 14 juillet, pour exiger sa libération, dans un contexte particulièrement tendu. Ses soutiens dans toute l’Angleterre commencent en effet à ne plus supporter l’autoritarisme des autorités concernant le cas Tommy Robinson.
Lire aussi cliquez ici
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dimanche, 10 juin 2018
LONDRES : MOBILISATION POPULAIRE POUR LA LIBÉRATION DE TOMMY ROBINSON
Tommy Robinson, journaliste et fondateur de la Ligue de défense anglaise, est incarcéré depuis plus d'une semaine pour avoir diffusé sur son site le compte-rendu du procès d'une bande de violeurs pakistanais. En Grande-Bretagne comme ailleurs, là où les mondialistes sont encore aux affaires tout est bon pour museler les résistances patriotiques.
Hier après-midi, tout le centre de Londres était en effervescence car les Britanniques se sont rassemblés en masse pour soutenir leur héros. Les forces de répressions ont agressé des manifestants mais cela n'a pas empêché la réussite de ce rassemblement populaire. Pour les patriotes anglais, une seule priorité : la libération immédiate de Tommy Robinson et la levée des sanctions qui pèsent sur lui.
Chacun sait qu'à Synthèse nationale nous sommes modérément anglophiles. Cependant, nous exprimons notre totale solidarité avec ce combattant qui défend son identité et qui subit la répression des mondialistes au pouvoir.
SN
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lundi, 04 juin 2018
LA CHUTE DE RAJOY ET L’AGGRAVATION DE LA CRISE POLITIQUE EN ESPAGNE
Robert Neboit
Lorsque Mariano Rajoy parvient au pouvoir en novembre 2011 le Parti populaire venait d’obtenir la majorité absolue dans les deux chambres du parlement en écrasant Parti socialiste du calamiteux Zapatero qui venait de subir une défaite historique en passant de 43 % à 28 % des voix. Cinq ans plus tard aux élections suivantes de décembre 2015 la donne change radicalement avec la fin du bipartisme PP – PSOE : le PP recule à 28 des voix et perd la majorité et les socialistes font pire encore avec 22 %, deux nouvelles forces politiques Podemos (décalque espagnol du slogan Yes we can d’Obama…) rassemblement de mouvements gauchistes et Ciudadanos (Citoyens) mouvement de centriste prétendant s’opposer aux sécessionnistes tout en refusant le moindre nationalisme espagnol. Podemos talonne le PSOE avec 20 %, et Ciudadanos est à 14 %. Faute de coalition gouvernementale les espagnols durent retourner aux urnes six mois plus tard en juin 2016. Le PP améliore son score mais reste minoritaire. Rajoy n’obtiendra que laborieusement l’investiture en octobre à la quatrième tentative grâce au soutien conditionnel de Ciudadanos. Après seulement huit mois de gouvernement et suite au scandale de corruption Gürtel une motion de censure PSOE vint de l’emporter vendredi 1erjuin et met fin au gouvernement Rajoy et espérons-le à son existence politique. Il laisse la place à Pedro Sanchez dirigeant d’un PSOE minoritaire soutenu par l’extrême gauche et les sécessionnistes basques et catalans. Et Rajoy osera se vanter d’avoir laissé l’Espagne dans un meilleur état que lorsqu’il était venu au pouvoir !
Qu’il ose dire cela ne peut être compris que si l’on se rend compte que pour lui la politique semble se restreindre au seul domaine de l’économie. Aura-t-il au moins réussi dans ce domaine ? Pas vraiment. Son résultat n’est pas catastrophique mais sans être glorieux pour autant. Certes le chômage a diminué mais cela a été accompagné de la précarisation de l’emploi et de la baisse des salaires ceci avant tout les jeunes. Enfin il n’a pas su réduire le déficit public.
Mais ce n’est pas l’économie qui a causé la chute de Rajoy, c’est son incontestable échec politique et moral après sept ans de pouvoir. Echec d’un homme qui aura trahi consciencieusement ses électeurs en leur faisant miroiter des convictions de droite durant les campagnes électorales et qui une fois élu a mené une politique au fond pas si différente de celle de Zapatero.
Sur le plan sociétal il a continué sur la voie de la promotion coercitive de l’idéologie antifamiliale LGBT. Il a fait approuver plusieurs lois qui sous prétexte de défendre les droits des homosexuels vont bien au-delà et prétendent réprimer la liberté d’expression des défenseurs de la famille traditionnelle.
Sur le plan idéologique il se met à la remorque de l’antifranquisme, et plus encore il en tolère tous les excès, notamment en n’abrogeant pas en cause la liberticide Loi de la mémoire historique qu’avait fait voter Zapatero et qui prétend instaurer une vérité officielle antifranquiste et pro Front Populaire. Il laisse ainsi à la gauche antifranquiste le monopole du récit national et lui donne ainsi les moyens de formater les nouvelles générations dans l’exécration d’un régime qu’elles n’ont pas connu.
La situation démographique est catastrophique et il n’a rien fait pour y remédier. Le taux de natalité est un des plus faible d’Europe. Enfin l’immigration ininterrompue fait que pour la première fois de son histoire le pourcentage d’étrangers a atteint les 10 % de la population.
En politique intérieur il n’a pas su s’opposer aux diverses forces sécessionnistes qui tendent à la balkanisation de l’Espagne Certains observateurs superficiels lui font gré d’une opposition supposée énergique au sécessionnisme catalan. La réalité est moins glorieuse. Rajoy a certes appliqué, mais comme à contre cœur, l’article 155 de la Constitution pour faire face à la déclaration d’indépendance qui avait suivi le référendum organisé par les sécessionnistes et qui ne respectait aucune des garanties procédurales habituelles. Mais les réactions les plus vigoureuses sont venues du peuple espagnol avec de nombreuses manifestations pour l’unité de l’Espagne, les plus importantes ayant lieu à Madrid puis à Barcelone. Et aussi du roi Philippe VI qui fit un discours énergique et sans compromission. Il n’a résolu en rien la crise puisqu’aux élections du 21 décembre au parlement de Catalogne le bloc indépendantiste, même s’il ne recueille que 47,5 % des voix, conserve la majorité. La raison de cet échec est que Rajoy n’a pas utilisé tous les pouvoirs que lui conférait cet article. Il aurait dû s’attaquer au monopole radio télévisuel de la Généralité pour faire respecter la pluralité des idées, défendre l’enseignement de la langue espagnole et la neutralité idéologique dans le système éducatif catalan. Mais il n’en a pas eu le courage par manque de convictions. Il s’est réfugié frileusement dans la simple défense de la légalité constitutionnelle, ne réalisant pas que pour défendre valablement une constitution encore faut-il défendre en même temps l’héritage historique et l’unité de la nation sans lesquels aucun contrat social n’a de sens. Sa politique face aux forces sécessionnistes a toujours consisté, sous couvert de ‘dialogue’ à les acheter sous forme d’avantages financiers. Il avait d’ailleurs déjà pratiqué ce système pour financer son parti, semblable en cela à ses concurrents socialistes. C’est cette politique qui l’a fait tomber. Le parti nationaliste basque a accepté des avantages budgétaires pour ensuite le trahir en négociant avec le parti socialiste le maintien de ces mêmes avantages !
Le gouvernement de Sanchez s’annonce encore pire que celui de Rajoy, il sera dépendant du bon vouloir de l’extrême gauche et des nationalistes catalans et basques.
La solution ne pourra venir que d’un sursaut des patriotes espagnols lors des élections générales anticipées qui seront très probablement inévitables. Le Parti populaire est irréformable idéologiquement et semble en très mauvais posture. Il faut souhaiter l’apparition d’un mouvement de droite nationale qui s’attaquera aux problèmes du pays dont les deux principaux sont les régionalismes sécessionnistes et l’immigration incontrôlée. Le mouvement de droite national Vox dirigé par Santiago Abascal semble avoir des chances réelles d’avoir des élus aux prochaines élections. Il pourrait représenter une alternative crédible pour restaurer l’unité de l’Espagne et lui redonner grandeur et dignité.
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lundi, 28 mai 2018
Italie : Le Système plus fort que le pot pourri populiste.
Jean-Francois Touzé
Membre du Bureau politique du Parti de la France. Directeur de la revue Confrontation.
Le seul but légitime du combat politique est l'accession de ceux qui le mènent aux responsabilités du pouvoir.
Pour le Parti de la France, seul l'exercice, par la droite nationale, de la conduite de l’État permettra à notre Pays de se relever et de se reconstruire.
Pour parvenir à cette fin, aucune stratégie ne peut être exclue et le pragmatisme doit être notre loi tactique. A la condition de ne jamais dévier de notre ligne et de n’agir que dans la cohérence du projet.
Certains, en France comme dans toute l'Europe, suivent des chemins différents.
Les partis du Système, bien sûr, pour qui la « gouvernance républicaine » n'est que prétexte aux ambitions personnelles et, pour les nouveaux venus, volonté de s’accaparer à leur tour d’une part du butin.
Quelques uns (ou quelques unes), convaincus que la métapolitique et la formation des élites constituent la voie royale qui permettra, le jour venu, de dresser des passerelles (oubliant que les passerelles sont avant tout faites pour qu’on leur marche dessus), remettent à plus tard l’engagement militant et électoral, comme si le temps ne nous était pas compté.
D'autres, enfin, dont la sincérité des convictions ne saurait être mise en cause, parent au plus pressé estimant que mieux vaut être en capacité de mettre en œuvre une petite partie de leur programme plutôt que d'attendre indéfiniment de pouvoir en réaliser la totalité.
C'est le cas de nos amis italiens de la Ligue.
En s’accordant sur un programme de gouvernement avec le mouvement cinq étoiles, patchwork improbable de comiques troupiers, de néo écolos et d'anciens gauchistes, Matteo Salvani et les siens faisaient le pari de se servir de leurs alliés du M5S et du nouveau président du conseil désigné par eux, Guiseppe Conte, pour avancer sur la voie de la maîtrise des dépenses publiques, et surtout de la lutte contre la submersion migratoire.
Louables objectifs. Mais l’expérience montre que, chaque fois qu'un mouvement identitaire et national s'est allié avec un autre parti, de droite, de gauche ou d'ailleurs dans une coalition gouvernementale, il s'est embourbé dans le jeu des compromis politiciens comme de la dépendance européiste, et que les avancées promises se sont réduites à quelques gestes symboliques sans portée réelle. L'hétérogénéité de l'alliance italienne porte en elle les germes de l’échec à venir.
Ce n’est pas un hasard si la Commission de Bruxelles est restée plus que prudente après la nomination officielle de Conte par le très systémique président de la République italienne Sergio Mattarella, tandis qu'Emmanuel Macron tendait la main au nouveau gouvernement.
Tout portait dès lors à croire que, dans ces conditions, le printemps italien de l'identité, de la solidarité sociale dans le dynamisme économique, de la volonté anti migratoire et, sur le plan international, du rapprochement avec la Russie ne sera qu’une brève lueur dans la nuit hivernale.
La démission de Conte ce dimanche soir et la probable nomination d'un gouvernement technique avec un Président du Conseil passé par le FMI ne viennent que renforcer notre conviction : il n'est plus temps de transiger avec le Système qui trouve de toutes façons toujours les portes de sortie de crise. Il ne faut pas composer avec lui. Il faut l’abattre, le détruire et lui substituer l’Etat national. Le chemin sera plus long. Mais il sera celui de la vraie victoire.
Le Parti de la France considère que la Droite nationale, si elle doit, un jour, s'inscrire dans un jeu d’alliance pour accéder au pouvoir, ne pourra le faire qu'en situation de force. La situation dramatique de notre France et de notre vieille Europe impose, en effet, l'application d'un programme radical de salut national qui ne peut être que global.
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lundi, 21 mai 2018
Roland Hélie invité à Barcelone au colloque sur le thème "Catalogne, terre espagnole !"
Roland Hélie et Gabriele Adinolfi samedi à Barcelone
Samedi 19 mai s'est tenu à Barcelone un colloque sur le thème "Catalogne, terre espagnole" cliquez ici. Compte tenu des récents évènements qui ont secoué la péninsule ibérique, cette réunion tombait, c'est le moins que l'on puisse dire, au coeur de l'actualité. D'où une participation importante comme les organisateurs pouvaient l'espérer.
La dynamique Association pour la mémoire de Juan Ignacio (ACIMJI), fondée il y a quelques années par les camarades de Juan Ignacio Gonzalez, dirigeant du Frente de la Juventud assassiné fin juin 1980 à Madrid et devenu depuis un héros du combat nationaliste outre Pyrénées, était à l'origine de cette initiative. Cette association est, entre autres, animée par Juan Antonio Lopez Larrea, auteur d'un remarquable ouvrage, Sin Remordimiento (Sans remord, Editions Fides, Tarragona, 2017), dans lequel est racontée cette période tragique et méconnue de l'après-franquisme.
Juan Antonio Lopez Larrea, l'un des organisateurs du colloque
Comme nous l'avons démontré dans le n°47 de notre revue Synthèse nationale (automne 2017), la crise que vient de traverser la Catalogne a redonné au nationalisme espagnol une vitalité qui avait tendance, il faut bien le reconnaitre, à s'essouffler ces dernières années. La Phalange, sous toutes ses formes, redevient donc une force vivante dans le pays.
Tout au long de la journée, interrompue par un sympathique banquet au Cercle militaire de Barcelone, différentes personnalités espagnoles, dont certaines issues du Front de la Jeunesse des années 70 et 80, traitèrent avec brio et enthousiasme le thème central du colloque.
L'après-midi, plusieurs intervenants européens étaient aussi invités par Juan Antonio et ses camarades a prendre la parole. Ce fut d'abord le Grec Konstantinos Bovitsos, représentant de l'Aube dorée au Parlement européen, puis Gabriele Adinolfi, Président de l'Institut romain Polaris, que nous ne présentons plus aux lecteurs de ce site, et, avant le Père Marius Visovan qui témoigna sur le mouvement légionnaire roumain, Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale et des Cahiers d'Histoire du nationalisme, fit un exposé d'1 heure 30 sur l'histoire de la Droite nationale et celle du courant nationaliste révolutionnaire en France.
S'il est vrai que les nationalistes français se référent souvent a des figures ibériques glorieuses telles que José Antonio Primo de Rivera, Ramiro Ledesma Ramos cliquez là ou Onesimo Redondo, grâce au travail effectué par le Cercle Franco-hispanique depuis près de 40 ans, les Espagnols savent aussi honorer les références françaises. Derrière la tribune, parmi les six grands portraits affichés, on retrouvait ceux de François Duprat, Dominique Venner, Pierre Drieu la Rochelle et Robert Brasillach.
Au-delà de la partie "historique" de son intervention, Roland Hélie profita de sa présence à Barcelone pour mettre en garde nos amis catalans contre le "retour au pays" du prédateur Manuel Valls qui affiche, après avoir lamentablement été rejeté par les Français, ses prétentions de faire désormais carrière en Catalogne. Roland Hélie rappela la perversité de ce triste personnage qui se spécialisa, alors qu'il était ministre de l'Intérieur puis Premier ministre, dans la répression contre les patriotes. Le message semble être bien passé...
Ce colloque fut aussi l'occasion de constater avec plaisir la belle production éditoriale espagnole. Plusieurs éditeurs présents proposaient en effet aux participants de nombreux ouvrages de qualités sur le nationalisme espagnol et européen. Ce qui correspond au regain d'intérêt des Espagnols pour l'idéal qui nous anime.
Cette réunion a permis à Synthèse nationale et à son directeur de renforcer les liens d'amitiés qui soudent les nationalistes d'Europe dans leur combat commun contre le mondialisme... Profitons de cet article pour remercier Juan Domingo et les responsables de l'ACIMJI pour leur accueil chaleureux et fraternel.
S.N.
Un compte-rendu filmé de cette belle journée sera bientôt en ligne sur ce site.
Consultez le site non conformiste El Cadenazo cliquez là
Inimaginable il y a encore quelques mois, la Phalange recrute à nouveau comme ici sur un marché de la banlieue de Barcelone dimanche matin...
00:15 Publié dans En Europe et ailleurs..., La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 18 mai 2018
Samedi 19 mai, Roland Hélie à Barcelone
En savoir plus (en espagnol) cliquez ici
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lundi, 30 avril 2018
Milan a célébré dimanche la mémoire de Sergio Ramelli, militant du MSI assassiné le 29 avril 1975
Des milliers de jeunes milanais se sont rendus dimanche à l'endroit où a été assassiné Sergio Ramelli le 29 avril 1975. Un acte impressionnant qui symbolise la fidélité de la jeunesse néo fasciste italienne a ses héros morts pour la patrie et pour la liberté.
Sur le MSI lire le CHN 11 cliquez ici
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mardi, 24 avril 2018
Samedi 19 mai : meeting européen à Barcelone
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dimanche, 22 avril 2018
Rome, samedi 5 mai : un colloque sur Mai 1968 organisé par l'institut Polaris de Gabriele Adinolfi
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lundi, 09 avril 2018
Victoire écrasante de Viktor Orbán en Hongrie
Source Visegrad Post cliquez ici
Dimanche 8 avril, Viktor Orbán et sa coalition Fidesz-KDNP ont remporté les élections générales et atteint la majorité constitutionnelle des deux-tiers du parlement. Viktor Orbán commence ainsi un troisième mandat consécutif qui durer jusqu’en 2022.
Après une campagne longue, lourde et très violente (verbalement et symboliquement), les Hongrois ont voté dimanche 8 avril pour choisir de nouveaux représentants au parlement national – monocaméral, qui élit le Premier ministre.
Malgré la réorganisation de l’opposition, les tentatives de coopération des divers partis, la mise en place de tactiques électorales visant à se désister en faveur du candidat d’opposition favori contre le Fidesz… malgré les appels de résistance à la dictature, et malgré les appels à aller voter de la part des anti-Orbán, l’opposition dans son ensemble n’a pas améliorée la somme de ses scores et son nombre de députés.
Alors que normalement, Budapest favorise les partis libéraux, le Fidesz a fait de bons résultats à Budapest : et les circonscriptions budapestoises où l’on a le plus voté sont celles gagnées par le Fidesz. En plus de cela, la forte participation a également été due à la mobilisation des petites villes de province, presque toutes acquises au Fidesz.
Résultats
Les Hongrois ont deux votes. L’un pour un député local – dans chaque circonscription, le gagnant du tour unique devient député – et l’autre pour une liste nationale, autrement dit, un parti politique.
Pour les votes de listes, le Fidesz fait 49,51% (44,37 en 2014), et récupère 135 sièges pour le moment, dont 91 sur 106 de gagnés dans les circonscriptions). Le Jobbik, deuxième avec 19,61% des votes de liste, obtient 27 députés, alors que les socialistes du MSZP-P arrivent à 12,3% sur les listes, et gagnent 20 députés. Le DK de l’ancien Premier ministre socialiste Ferenc Gyurcsány a fait 5,55%, et gagne 9 députés et le LMP avec 6,87%, récupère 7 sièges. Le président du Jobbik, Gábor Vona, démissionne, ainsi que la direction du MSZP. Un candidat indépendant et un député de la minorité allemande entrent également au parlement, ainsi qu’un député du micro-parti libéral-libertaire Együtt (dont la direction démissionne).
L’opposition voyait la forte mobilisation comme un signe fort d’une vague anti-Orbán : au final, il s’agit en effet du plus haut taux de participation depuis 2002. Pour le Fidesz, il s’agit d’un “soutien incontestable, et d’une légitimité énorme”. Le Fidesz récupère la majorité constitutionnelle des deux-tiers du parlement.
“Nous avons gagné,” a dit Orbàn. C’est un véritable plébiscite pour Orbàn et sa politique économique à succès et son opposition à la vision cosmopolite de Bruxelles (migrants, métissage, multiculturalisme, destruction des identités et rejet de la religion).
Dans la circonscription de Péter Márki-Zay, le candidat sans étiquette devenu maire avec le soutien de l’opposition unie, la participation a été plus forte que la moyenne et s’est soldée par une victoire écrasante du Fidesz, en élisant János Lázár.
“Une grande bataille est derrière nous,” a déclaré le Premier ministre durant son discours de victoire tout juste avant minuit. “Nous avons remporté une victoire décisive. Nous nous sommes généré la possibilité de protéger la Hongrie”. Mais le Fidesz voit plus loin et très vite, dans la presse, on entend que “cette élection ne concerne pas que la Hongrie, mais aussi toute l’Europe”.
“Aujourd’hui, la participation ne laisse aucun doute,” a-t-il dit en taclant ceux qui prophétisaient un coup dur pour le Fidesz du fait d’une importante participation.
“Aujourd’hui, la Hongrie a connu une grande victoire”, a dit Viktor Orbán, avant de rappeler, à l’issue d’une victoire à plates coutures, que “l’on doit être humble care il y a de quoi être humble”.
“J’aimerais aussi remercier ceux qui ont prié pour nous…pour moi. Soli Deo Gratia!” a conclu le Premier ministre avant d’inviter la foule à chanter la marche de Kossuth, suivie par l’hymne national.
Et maintenant ?
Avant toute chose, il faut noter que plusieurs porte-paroles de l’opposition estiment que l’élection n’a pas été libre. Des observateur de l’OSCE ont prévu pour lundi 9 avril une conférence de presse pour parler des irrégularités qu’ils ont enregistrées. Une vingtaine d’étudiants ont tenté de bloquer un carrefour de Budapest pour protester contre les résultats. Mais aucun heurt ou trouble sérieux n’est à déplorer.
Le Visegrád Post publiera dans les jours qui viennent une analyse plus poussée des perspectives de ce début de mandat. Ce qui est certain, c’est que Viktor Orbán jouit d’une légitimité incontestable et que cette victoire va démoraliser encore plus une opposition désunie, épuisée par sa lutte longue et tenace durant des mois durant, et saignée par les démissions en série suivant les résultats du 8 avril.
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vendredi, 06 avril 2018
Les Brigandes interdites en Allemagne
Les Brigandes étaient invitées à présenter deux concerts à Arnstadt en Allemagne devant plusieurs centaines de personnes le week-end du 13-14 avril. Le concert était organisé dans une salle municipale. Récemment, la ville a prévenu l’organisateur que, sur « conseil » de l’Office Fédéral de Protection de la Constitution (plus ou moins l’équivalent de la DGSI en Allemagne), les Brigandes ne pouvaient pas se produire dans une salle municipale ! Les concerts sont donc annulés.
En quoi Les Brigandes menacent la Constitution de l’Allemagne, nous ne le savons pas. La municipalité d’Arnstadt ne s’est pas encombrée de justifications. La seule chose que nous pouvons en déduire est que Les Brigandes sont de facto interdites sur le territoire allemand.
Le blog des Brigandes cliquez ici
Les CD des Brigandes cliquez là
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mardi, 20 mars 2018
Budapest : 500 000 patriotes dans les rues contre l'immigration et en soutien à Viktor Orban
Jacques Guillemain Riposte laïque cliquez ici
A l’occasion de la “Marche de la paix” du 15 mars 2018, ce sont 500 000 personnes que Viktor Orban a rassemblées à Budapest, à trois semaines des législatives.
Un chiffre colossal pour un pays de 10 millions d’habitants.
Imagine t-on un Macron rassembler 3,3 millions de personnes à Paris ?
Dans un vibrant discours célébrant l’identité hongroise et la défense de la patrie, le Premier ministre a enflammé son peuple, remonté comme jamais contre une Europe qui n’a d’autre obsession que de détruire les nations et d’effacer des siècles d’histoire du vieux continent.
Orban sonne une nouvelle fois le tocsin, estimant que c’est une bataille existentielle qui se joue, pour la survie de la Hongrie et de l’Europe.
“Les pays qui n’arrêtent pas l’immigration seront perdus”.
“l’Afrique veut défoncer notre porte, et Bruxelles ne nous défend pas”.
“L’Europe subit une invasion, et les élites européennes regardent avec leurs mains en l’air”.
“ Ils veulent qu’en quelques décennies, de notre propre gré, nous donnions notre pays à d’autres. Des étrangers venus d’autres coins du monde qui ne parlent pas notre langue, ne respectent pas notre culture, nos lois et nos modes de vie. Qui veulent remplacer les nôtres par les leurs. Ils veulent qu’à l’avenir, ce ne soit plus nous et nos descendants qui vivent ici, mais d’autres.”
Pour Orban, le multiculturalisme est une illusion, car les sociétés musulmane et chrétienne ne s’uniront jamais.
Et d’enfoncer le clou en dénonçant l’irresponsabilité d’Angela Merkel :
“Je n’ai jamais compris comment le chaos, l’anarchie et le franchissement illégal des frontières étaient considérés comme des choses positives dans un pays comme l’Allemagne, que nous considérons comme le meilleur exemple de discipline et de respect de la loi”.
On mesure l’abîme qui sépare un Viktor Orban, le Charles Martel de l’Europe, et un Macron, qui mène une politique immigrationniste délirante qui ruine la France et dynamite la cohésion nationale.
Les pays de l’Est sont le dernier rempart contre l’idéologie mondialiste qui mène l’UE à sa perte.
Il y a quelques mois, c’est le président tchèque Milos Zeman qui évoquait “les émeutes raciales » récurrentes en France, sur fond de “guerre séculaire avec l’islam”.
“J’ai déjà parlé, il y a quelques années, de ces zones interdites où les policiers ont peur d’entrer la nuit. Un lecteur en colère m’avait écrit et dit que j’inventais tout cela, que ces “zones interdites” n’existaient pas. Donc je lui ai répondu que lorsqu’il visiterait Bruxelles, il devait aller à Molenbeek et que s’il visitait Paris, il devait aller à Saint-Denis….je pourrais en trouver beaucoup d’autres. J’ai dit, dès le début, que la culture de ces migrants était incompatible avec la culture européenne”.
En Pologne, le discours est le même.
“On ne veut pas vivre le chaos racial dans lequel vous vivez”, dit un citoyen polonais.
“On veut préserver notre identité. C’est notre droit. Ce n’est pas une question de racisme. Est-ce qu’on s’étonnerait de ne pas voir de blancs au Ghana et que les Ghanéens trouvent cela normal de ne pas en voir ? “
“Je suis venue en France avant et pendant l’Euro 2016 de football. Je n’ai pas reconnu ce pays alors que j’y étais venu en 1997… Comment avez vous fait pour laisser rentrer autant d’Africains et d’étrangers ? A Paris, c’est incroyable en tout cas. Du côté de la gare du Nord, je n’ai parfois croisé aucun Européen. On n’a plus l’impression d’être en Europe”.
On le voit, la cassure est totale entre ces deux Europe.
Celle des bisounours à l’Ouest, qui voient leurs pays s’effondrer sans réagir et en redemandent en votant systématiquement pour les fossoyeurs de la nation.
Et celle des patriotes de l’Est, qui savent très bien ce que signifie le mot liberté et qui sont prêts à quitter l’U.E si on leur impose une immigration qu’ils ne veulent pas.
Eux, ne comprendront jamais que les dirigeants occidentaux s’acharnent à détruire leur pays.
En attendant, Macron nous concocte la loi la plus immigrationniste qui soit, en élargissant le regroupement familial pour les dizaines de milliers de mineurs isolés qui déferlent sur la France. Il faut s’attendre à un tsunami gigantesque, qui va submerger notre pays dans les 10 prochaines années.
La France de demain, c’est le Mayotte d’aujourd’hui. Un volcan en ébullition.
Voici ce que dit le député LR Mansour Kamardine, qui soulignait en 2016 le risque de guerre civile :
“Mayotte, c’est 265000 habitants, dont seulement 100000 sont français. Et sur les 165000 restants, deux tiers sont en situation irrégulière.”
Mais en France, comme en Angleterre ou en Allemagne, tous ceux qui s’opposeront à cette entreprise de démolition de la nation, subiront les foudres de la justice.
C’est cela la mirifique Europe qui devait nous apporter le grand bonheur, la paix, la sécurité et le plein emploi !!!
Elle nous a privés de nos libertés et nous a apporté la dictature de la pensée unique.
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dimanche, 18 mars 2018
Filip Dewinter n'entend pas laisser les noms des quartiers d'Anvers s'arabiser
La figure de proue du Vlaams Belang Filip Dewinter fait campagne afin que le quartier d'Anvers dénommé Borgerhout et surnommé Borgerokko (contraction du nom de ce quartier et de Marokko [Maroc en néerlandais]) redevienne Borgerhout.
Source Lionel Baland cliquez ici
12:29 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 08 février 2018
Massimo Magliaro commente les élections italiennes sur TV Libertés
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mercredi, 07 février 2018
Atlante - Québec : une fin de semaine active outre Atlantique
Communiqué de Atlante Québec :
La fin de semaine du 17 et 18 février aura lieu la première édition de l’évènement militant À l’abordage. Pendant ces deux jours, nous aurons droit à une journée de formation sur le survivalisme avec invité-surprise. Aussi, comme conférencier nous recevrons à Québec, bastion nationaliste, Rémi Tremblay de la Fédération des Québécois de souche qui nous parlera du chanoine Lionel Groulx. Finalement, notre compagnon Alexandre Peugeot nous formera à la pensée nationaliste révolutionnaire québécoise. Il y aura lancement de la librairie militante le Kiosque du Flibustier où vous pourrez vous procurer à prix raisonnable de la littérature orientée.
Plus d'infos sur la FQS cliquez ici
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dimanche, 21 janvier 2018
Une aimable prensé pour nos frères québécois
FQS : CLIQUEZ ICI
14:21 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 19 janvier 2018
Bonne nouvelle : il y a désormais une rue Giorgio Almirante à Trieste...
À Trieste (Italie), malgré les insultes de la gauche, la majorité municipale d’union des droites a décidé de baptiser une rue du nom du dirigeant du Mouvement social italien (MSI), Giorgio Almirante (1914-1988). Honneur à cette municipalité courageuse...
N'oublions pas que c'est grâce à la détermination et à la combativité du Mouvement social italien, au début des années 50, que cette ville, alors occupée par les Britanniques, a été finalement rattachée à l'Italie malgré l'opposition des vainqueurs de 45 qui voulaient la livrer à la féroce Yougoslavie communiste de Tito. Plusieurs militants du MSI périrent dans cette bataille. Gloire à ces camarades !
Aujourd'hui Trieste se rappelle donc à qui elle doit sa liberté...
Synthèse nationale
Toute cette histoire est d'ailleurs racontée dans le n°11 des Cahiers d'Histoire du nationalisme par notre ami Massimo Magliaro, ancien bras droit de Giorgio Almirante. Pour l'acheter en ligne cliquez ici ou le commander à Synthèse nationale 9, rue Parrot (CS 72809) 75012 Paris (correspondance uniquement). 250 pages, 20 € + 4 € de port.
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mercredi, 10 janvier 2018
Anvers (Flandre) Filip Dewinter lance une nouvelle campagne :
Filip Dewinter, porte-parole de Vlaams belang à Anvers, a lancé une nouvelle campagne sur la capitale flamande : "Les nouveaux arrivants ? Nous les faisons nous-même..."
Source Lionel Baland cliquez ici
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Pour comprendre ce qui s'est passé à Rome dimanche dernier :
Dimanche dernier à Rome, des milliers de jeunes sont descendus dans les rues cliquez ici pour l'impressionnante commémoration du quarantième anniversaire du massacre de la via Acca Larentia où trois militants du Fronte della Gioventu ont été lâchement assassinés par les terroristes communistes.
Dans le n°11 des Cahiers d'Histoire du nationalisme consacré au MSI sorti en février 2017 cliquez là, voilà comment Massimo Magliaro, ancien dirigeant national de ce mouvement, relate dans sa chronologie les événements qui, en quelques jours au début du mois janvier 1978, ont abouti à cette tragédie :
(...) 7 janvier 1978. Paris. Le Figaro publie, en une, un article intitulé « Goulag à l’italienne » où sont reportés des épisodes de violence et de répression envers les jeunes de droite, ainsi que les deux poids deux mesures qu’observe la magistrature italienne à l’égard des détenus de droite et des détenus de gauche.
7 janvier. Rome. Massacre de membres du MSI devant la section du quartier Tuscolano à via Acca Larentia. La nuit tombe. Les jeunes sont en train de sortir de leur local quand un commando de terroristes de gauche tire à coups de mitraillettes Skorpion. Deux jeunes gens, Franco Bigonzetti (20 ans) et Francesco Ciavatta (19 ans) meurent sur le coup. Un troisième, Vicenzo Segneri, rentre dans la section et ferme la porte blindée. La même mitraillette Skorpion sera utilisée par les Brigades rouges jusqu’en 1988 pour commettre d’autres attentats. En peu de temps, des militants de droite accourent sur le lieu pour pleurer leurs morts. Moments de tension avec les forces de l’ordre. Bombes lacrymogènes et coups de pistolet. Un capitaine des carabiniers, Sivori, tire à hauteur d’homme et atteint un autre jeune homme du MSI-DN, Stefano Recchioni. Il sera hospitalisé dans des conditions désespérées. Ciavatta était fils unique. Son père succombera à la douleur.
8 janvier 1978. Rome. Monte la colère des jeunes de droite contre les extrémistes de gauche et les forces de l’ordre. Pendant trois jours, des incidents éclatent dans divers quartiers de la ville. Attentat contre l’habitation du directeur adjoint du quotidien Il Messaggero, Felice La Rocca. Deux jeunes de gauche sont blessés.
9 janvier 1978. Rome. Stefano Recchioni (19 ans) meurt après deux jours d’agonie. Pour la première fois, dans la presse « indépendante » s’élèvent des voix de condamnation du terrorisme communiste et de défense des jeunes de droite. Les obsèques des victimes seront célébrées par les soins de la Municipalité. Dans ce cas c’est aussi une première fois. (...)
Aujourd'hui, le communisme est partout rejeté dans le monde et c'est très bien ainsi.... Mais ce qui est mieux, c'est de voir que la jeunesse néo fasciste romaine, elle, est plus que jamais debout et qu'elle n'a pas oublié ses héros...
L'endroit où furent assassinés nos camarades aujourd'hui marqué d'une immense croix celtique
En savoir plus : lire Zentropa cliquez ici
La CasaPound Italia cliquez là
00:11 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 08 janvier 2018
Il y a 40 ans, 3 militants du Front de la Jeunesse étaient assassinés à Rome par les communistes
40 ans après ce crime odieux, la jeunesse italienne a rendu hommage ce dimanche après-midi à ses trois héros... Partout en Europe, le communisme est mort et le nationalisme est de plus en plus fort...
Pour connaître l'histoire
du Mouvement social italien, lire :
Le commander en ligne cliquez là
00:26 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 16 décembre 2017
ANVERS : LE VLAAMS BELANG ET FILIP DEWINTER REPARTENT EN CAMPAGNE
Filip Dewinter présentant la campagne lors d'une conférence de presse
Le Vlaams Belang d’Anvers a lancé ce 11 décembre 2017 un tract portant la phrase « Diversité ? Nous en avons assez ! » Après la conférence de presse, le tract a été distribué en compagnie du Père Noël, du Père fouettard et du lapin de Pâques.
Lionel Baland cliquez ici
10:59 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 29 novembre 2017
La presse aux ordres s'offusque que Donald Trump retweet les vidéos proposées par Jayda Fransen
Donald Trump a relayé aujourd'hui sur son compte Twitter une série de vidéos publiées par une responsable politique britannique d'extrême droite. Ces trois vidéos, tweetées par Jayda Fransen, vice-présidente du parti d'extrême droite Britain First, montrent des exactions commises par des musulmans.
Plutôt que de s'indigner et d'enquêter sur les crimes commis sur les vidéos publiées, la presse internationale s'offusque que le Président américain ose révéler au monde entier ce que les médias omettent de faire par islamophilie pathologique.
Source Thomas Joly cliquez ici et Le Figaro cliquez là
Jayda Fransen avec le Président Jean-Marie Le Pen dimanche 1er octobre dernier à Rungis (94) lors de la XIe Journée de Synthèse nationale cliquez ici
19:39 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 28 novembre 2017
Comprendre la situation en Pologne :
13:18 Publié dans En Europe et ailleurs..., TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 12 novembre 2017
Bruxelles : complète réussite de la conférence-débat de NATION !
Source Nation cliquez ici
La conférence-débat organisée ce samedi 11 novembre à Bruxelles fut un TRES GRAND succès !
Au point que le local ou il se déroulait était bien trop petit pour accueillir les dizaines de personnes venues écouter les orateurs qui, pour rappel, étaient Alain Escada, Roland Hélie, Thomas Joly, Frédéric Renson et Hervé Van Laethem.
Outre l’affluence, on se souviendra aussi du déplacement des participants de la gare vers le local aux cris de « On est chez nous » ou encore « Nous voulons, nous sommes la résistance nationale ». Déplacement sous lourde surveillance policière mais qui s’est déroulé sans incident. Il s’agissait en effet ici de militants identitaires et solidaristes et pas de « racailles » du type de celles qui ont dévasté le centre de Bruxelles le soir même.
Au niveau de la conférence-débat en elle-même, elle fut aussi une réussite, tant au niveau technique (ainsi un écran permettait de la suivre en direct dans une autre salle) qu’au niveau des orateurs qui ont tous défendus avec brio et talent leur point de vue.
A l’issue de la conférence, l’ensemble du public a d’ailleurs manifesté sa satisfaction… la soirée de camaraderie durant fort tard.
Tous les jours un peu plus, le Mouvement NATION démontre qu’il est la seule force patriotique dynamique et structurée de Belgique francophone ! Un grand merci à tous : ceux qui ont mobilisé, ceux qui ont réalisé le travail audio-visuel, ceux qui ont tenus les stands, ceux qui ont fait le service d’ordre, ceux qui on collé la semaine précédente, ceux qui sont montés de garde, ceux qui ont fait le service… et tous les autres que nous aurions oublié ; cette réussite fut la vôtre !
De nombreux jeunes camarades belges sont venus
Beaucoup de militants rassemblés devant le local bruxellois de Nation
Roland Hélie, Alain Escada et Thomas Joly
22:41 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 18 octobre 2017
Filip Dewinter repart en campagne contre l'islamisation de la Flandre
11:52 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 16 octobre 2017
LES IDÉES NATIONALISTES TRIOMPHENT LORS DES LÉGISLATIVES EN AUTRICHE
Lionel Baland
Lors des élections législatives en Autriche de ce 15 octobre 2017, le parti patriotique FPÖ dirigé par Heinz-Christian Strache et son clone, la nouvelle version du parti social-chrétien ÖVP de Sebastian Kurz, triomphent. Le premier décroche 27,4 % des voix et le second obtient 31,4 %. Les sociaux-démocrates du SPÖ sont à 26,7 %.
Sebastian Kurz a réussi son pari et est le grand vainqueur du jour : il est arrivé à couper l’herbe sous le pied du FPÖ et à limiter sa progression. Alors que ce dernier caracolait au fil du temps en première position dans les sondages, suite au rejet par une partie de la population de l’afflux de migrants – conséquence de l’ouverture en 2015 des frontières par Angela Merkel -, le ministre ÖVP de l’Europe, de l’Intégration et des Affaires étrangères Sebastian Kurz décidait de prôner en la matière des idées restrictives, ce qui avait amené le FPÖ à l’accuser de plagier son programme. En prenant, en mai 2017, le contrôle de son parti en mauvaise forme dans les sondages, Sebastian Kurz avait changé la donne en le faisant remonter immédiatement à la première place. Le scrutin de ce dimanche confirme désormais cette position dominante.
En conséquence, trois possibilités de gouvernement s’ouvrent.
L’ÖVP et le FPÖ peuvent se mettre ensemble en rééditant l’alliance mise en place en 2000, suite aux élections de 1999.
L’ÖVP et le SPÖ peuvent rééditer la grande coalition en place depuis un peu moins dix ans, le poste de chancelier étant occupé cette fois par un ÖVP au lieu d’un SPÖ.
La dernière possibilité est un gouvernement réunissant le FPÖ et le SPÖ. Une version SPÖ-FPÖ a déjà existé au sein de deux gouvernements entre 1983 et 1986, mais elle avait été liquidée par le SPÖ lorsque Jörg Haider avait pris le contrôle du FPÖ lors du congrès d’Innsbruck en s’appuyant sur l’aile nationaliste du FPÖ face à l’aile libérale représentée par le président sortant de l’époque Norbert Steger. Depuis lors, de l’eau a coulé sous les ponts et le SPÖ gouverne un des neuf États autrichiens, le Burgenland, avec le FPÖ.
Du côté des autres partis, les écologistes immigrationnistes, victimes d’une scission dirigée par Peter Pilz, perdent les trois quarts de leurs électeurs et ne siègent plus au Parlement, alors que la liste Pilz, dont le dirigeant Peter Pilz est favorable à une politique restrictive en matière d’immigration, y fait son entrée. Les libéraux de NEOS se maintiennent au Parlement en étant stables à 5 %. Le FLÖ, scission du FPÖ, obtient 0,2 %.
Source Boulevard Voltaire cliquez là
Lire le blog de Lionel Baland cliquez ici
11:49 Publié dans En Europe et ailleurs..., Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Chisinau (Moldavie) 15-17 décembre : un colloque pour une alternative au capitalisme
Un communiqué du Comité Jean Parvulesco :
Un Colloque international se tiendra les 15 et 16 décembre prochains à Chisinau, capitale de la Moldavie.
Cet événement sera inauguré par le Président de la République Moldave, M. Igor Dodon et à l’occasion duquel sera offert un banquet officiel.
Le thème de ce colloque est « Quelle alternative au capitalisme au XXIe siècle ? »
Seront présentes de nombreuses personnalités venues de tous les continents pour apporter leur pierre à la construction d’une véritable alternative au Système à tuer les peuples.
07:20 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 15 octobre 2017
JAYDA FRANSEN, PORTE-PAROLE DE BRITAIN FIRST, A ÉTÉ ARRÊTÉE POUR AVOIR ORGANISÉ UN RASSEMBLEMENT CONTRE LE TERRORISME ISLAMIQUE
Dimanche 1er octobre, Jayda Fransen était des nôtres avec une délégation de son mouvement, Britain first, à la 11e Journée de Synthèse nationale à Rungis. Ce fut d'ailleurs l'occasion pour elle de rencontrer le Président Jean-Marie Le Pen.
Samedi, son mouvement appelait à manifester contre le viol d'une jeune Anglaise, Chelsey (20 ans, mère d'un enfant en bas âge), par des immigrés pakistanais dans le Suderland. La manif a été interdite et notre amie, ainsi que de nombreux militants, ont été arrêtés. Rappelons qu'en Angleterre les organisations musulmanes manifestent quotidiennement sans jamais être inquiétées.
Nous saluons le courage de Jayda et lui transmettons ce message de solidarité européenne.
19:03 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |