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mercredi, 16 novembre 2016

Varsovie 11 novembre 2016 : marche européenne contre l'invasion

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jeudi, 27 octobre 2016

Une exposition à Rome pour les 70 ans de la création du Mouvement social italien

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Une exposition consacrée aux 70 ans de la naissance du MSI (Mouvement social italien) a été inaugurée le 20 octobre à Rome en présence de nombreux anciens membres du MSI tels Gianfranco Fini qui porte une lourde responsabilité dans la destruction de ce mouvement au milieu des années 1990, Ignazio La Russa (Frères d’Italie-Alliance Nationale), Gianni Alemanno (ancien maire de Rome), Maurizio Gasparri (Forza Italia).

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Notre ami Mario Borghezio (député européen de la Ligue du Nord, en photo ci-dessus), la veuve de l’ancien ministre MSI Pinuccio Tatarella, la fille de Pino Rauti ainsi que la veuve de l’ancien secrétaire national du MSI Giorgio Almirante décédé en 1988 étaient présents à cette cérémonie.

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Dans quelques semaines sortira le n°11 des Cahiers d'Histoire du nationalisme qui sera justement consacré à l'épopée du MSI. C'est à Massimo Magliaro, ancien directeur du quotidien Il Sécollo d'Italia et proche collaborateur de Giorgio Almirante que nous devons la rédaction de ce cahier. Dans le dernier numéro de Synthèse nationale, vous pouvez lire un article de Massimo Magliano sur la fin du MSI. 

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Lire aussi l'article de Lionel Baland cliquez là

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lundi, 24 octobre 2016

Début hier à Budapest des cérémonies marquant le 60e anniversaire du soulèvement de la Hongrie

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Source RT cliquez ici

Hier dimanche ont débuté à Budapest les manifestations pour la commémoration du soulèvement anti-communiste d'octobre-novembre 1956. Le Premier ministre hongrois, Viktor Orban, a comparé à cette occasion devant une foule immense, l’UE à l'Union soviétique, deux systèmes dont la finalité est de broyer les peuples. Il a aussi justifié la maîtrise des frontières et il a défendu l’indépendance de la Hongrie pour faire face à l’immigration de masse.

Il a ainsi soulevé l'auditoire en proclamant : « Les peuples qui aiment leur liberté doivent sauver Bruxelles de la soviétisation, de gens qui veulent nous expliquer comment nous devons vivre dans nos propres pays » et il a rappelé que les vrais garants de la liberté en Europe étaient la chrétienté et l’État nation.

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lundi, 19 septembre 2016

Incroyable percée de l’AfD à Berlin !

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Lionel Baland  EuroLibertés cliquez ici

Ce dimanche 18 septembre 2016, les électeurs berlinois se sont rendus aux urnes afin d’élire les représentants du parlement du Land, ainsi que des douze conseils de quartier. Le nouveau venu, l’Alternative pour l’Allemagne (AfD), est le grand vainqueur du scrutin. Malgré les attaques en tous genres, tant politiques que physiques, conduites contre ce parti patriotique, celui-ci obtient 14,2 % des voix et 25 mandats sur 160, dont 5 mandats directs. Le chef de file de l’AfD à Berlin lors de ce scrutin, Georg Pazderski, déclare : « Nous sommes passés de zéro à un résultat à deux chiffres. »

Pour un nouveau parti ne disposant pas d’implantation, percer dans une cité, qui compte 3,5 millions d’habitants, dont les différentes parties sont l’apanage de formations politiques établies depuis longtemps et qui est connue dans le monde entier en tant que ville « tolérante », ouverte aux autres cultures et peuples, est un exploit.

Les post-communistes de Die Linke augmentent leur score de 3,9 % et obtiennent 15,6 % des voix. Les libéraux-centristes du FDP progressent fortement et entrent au sein de l’assemblée. Les Pirates s’effondrent électoralement et ne sont plus présents au sein de ce Parlement. Les deux partis qui gouvernent Berlin, les sociaux-démocrates du SPD et les chrétiens-démocrates de la CDU, reculent chacun d’environ 6 %. Ils récoltent désormais ensemble moins de 40 % des voix.

Une ville morcelée politiquement

De par son histoire complexe, Berlin est une ville morcelée politiquement. Seul le Parti social-démocrate SPD arrive à y être fort partout. Dans l’Est de la ville, les post-communistes sont puissants alors que dans le centre de l’Ouest, les écologistes sont forts. La CDU obtient de bons résultats dans certains quartiers périphériques de l’Ouest.

Le Land de Berlin présente la particularité d’être le résultat de la fusion de deux zones au passé très différent. Avant la chute du Rideau de fer, Berlin-Ouest était entourée d’un mur et constituait une enclave capitaliste au sein du monde communiste, alors que Berlin-Est était, de fait, la capitale de la République Démocratique Allemande au sein de laquelle régnait le communisme. [Officiellement, la capitale de cet État était Pankow qui est un quartier périphérique de Berlin].

Est de Berlin

À l’époque du communisme, Berlin-Est était peuplée de nombreux apparatchiks du parti qui exerçaient des fonctions au sein des administrations, de l’enseignement et des autres organismes d’État. Ces gens ont souvent gardé la nostalgie de cette époque et accordent volontiers leurs suffrages au parti post-communiste Die Linke. Seul le parti social-démocrate SPD arrive à y obtenir des résultats proches. Pourtant, cette fois, l’AfD est arrivée à concurrencer dans l’Est de Berlin à la fois Die Linke et le SPD. La CDU, le FDP et les écologistes y restent faibles.

Ouest de Berlin

L’AfD a eu beaucoup plus de difficultés à percer dans l’Ouest de la cité car la population est sous le contrôle idéologique du système en place, via les médias et l’enseignement, depuis la fin de la IIe Guerre mondiale, alors que, dans l’Est, ce phénomène n’a pu être mis en place qu’après la chute du communisme à la fin de l’année 1989. L’Ouest est plus riche que l’Est et cela influe également sur les résultats des partis : la CDU, le FDP et les écologistes captent plus facilement les voix des couches aisées de la population.

Notons qu’en janvier 1989, alors que le système communiste tanguait à l’Est, un parti nationaliste intitulé les Republikaner (les Républicains) avait fait son entrée au sein du Parlement de Berlin-Ouest en décrochant 7,5 % des voix. La réunification de l’Allemagne et de Berlin ont eu ensuite raison de cette formation politique.

Forte concurrence pour l’AfD

La concurrence a été rude, lors du scrutin de ce 18 septembre 2016, entre diverses forces de type patriotique. L’Alternative pour l’Allemagne a dû faire face au parti de son ancien dirigeant Bernd Lucke : Alfa obtient 0,4 %. Pro Deutschland, un parti actif à Berlin et fondé à partir de pro Köln (Pour Cologne) – qui dispose d’élus au sein de Conseil municipal de Cologne en Rhénanie du Nord-Westphalie –, décroche 0,4%. Le parti ultranationaliste NPD obtient 0,6 %.

5 Mandats directs

Les électeurs allemands disposent de deux voix. La première est accordée lors d’un scrutin majoritaire uninominal à un tour et la deuxième lors d’un scrutin de listes au niveau de l’ensemble du Land. Au sein de cinq des circonscriptions du Land de Berlin, situées dans l’Est à la périphérie, l’AfD est arrivée première lors du scrutin majoritaire uninominal à un tour.

L’AfD présente partout dans l’Est de l’Allemagne

L’AfD siège désormais dans l’ensemble des Parlements des Länder de l’Est du pays : Thuringe, Saxe, Brandebourg, Saxe-Anhalt, Mecklembourg-Poméranie occidentale et Berlin.

Qui a voté AFD ?

L’AfD est surreprésentée chez les personnes de 45 à 69 ans et sous-représentée chez les électeurs de moins de 35 ans. Ce parti obtient avant tout du succès auprès des ouvriers et des chômeurs. 18 % des hommes et 11 % des femmes ont voté AfD. Les électeurs qui ont accordé leurs voix à l’AfD viennent de l’abstention ou ont voté la fois précédente pour de petites formations politiques. L’AfD prend également des voix à tous les partis en place, surtout à la CDU.

Le prochain gouvernement

Le SPD et la CDU ne disposant plus d’une majorité au sein du parlement du Land de Berlin, le SPD devrait y former une coalition gouvernementale avec les écologistes et les post-communistes de Die Linke.

Le début de la fin pour Merkel ?

Ce type de gouvernement rouge-rouge-vert pourrait présager la formation d’un gouvernement national aux mêmes couleurs à l’issue des élections législatives de 2017 qui pourraient mettre un terme au règne de la Chancelière CDU Angela Merkel.

Cette dernière, en virant politiquement vers la gauche tout en refusant toute alliance avec l’AfD, a conduit son parti dans une impasse. Cependant, la situation n’est pas encore perdue pour l’Union (CDU+CSU) car Angela Merkel, qui a souvent fait preuve d’opportunisme politique, pourrait très bien tenter d’assurer sa survie politique en virant de bord politiquement et en ramenant la CDU vers des eaux plus conservatrices. De plus, le parti libéral-centriste FDP pourrait passer la barre des 5 % et un gouvernement national CDU-CSU-FDP pourrait voir le jour.

Un autre facteur peut aussi intervenir. La très conservatrice CSU bavaroise pourrait tenter d’imposer son candidat au poste de chancelier, le ministre-président de Bavière Horst Seehofer, opposé à la politique migratoire de la porte ouverte conduite par Angela Merkel et mettre ainsi hors-jeu Angela Merkel et sauver l’Union (CDU+CSU) d’un naufrage électoral. Notons que, par deux fois, la CSU est arrivée à imposer son candidat à la chancellerie (Franz Josef Strauß puis Edmund Stoiber) à la CDU et que, dans ces deux cas, l’Union a perdu les élections législatives.

Angela Merkel n’est pas encore politiquement morte, mais elle est désormais dans une situation plus que délicate. Son parti doit affronter le 26 mars 2017 des élections pour le Parlement de la Sarre, le 7 mai des élections pour le Parlement du Schleswig-Holstein et le 14 mai des élections pour le Parlement de Rhénanie du Nord-Westphalie, avant le grand rendez-vous, en septembre 2017, des législatives. Il reste quelques mois à l’Union pour redresser la barre.

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jeudi, 08 septembre 2016

Luc Pécharman représentera Synthèse nationale à l'anniversaire de Nation samedi prochain en Belgique

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Il sera aussi le dimanche 2 octobre à Rungis :

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vendredi, 26 août 2016

Italie : Gabriele Adinolfi présente son projet politique

Il sera à Rungis le dimanche 2 octobre :

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jeudi, 25 août 2016

Casapound Rome : la solidarité s'organise

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ITALIE : Casapound envoie des équipes de secouristes dans la zone touchée par le tremblement de terre

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La Salamandre est le groupe de protection civile lié à Casapound.

Vous pouvez les aider : lasalamandra@me.com 

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dimanche, 24 juillet 2016

Suède : zones réservées aux femmes ?

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Lionel Baland EuroLibertés cliquez ici

L’arrivée massive de migrants en provenance de pays musulmans menace l’égalité homme femme qui constitue le fondement de la société suédoise. Les attaques sexuelles commises récemment lors de festivals de musique conduisent à un débat à propos de l’instauration, lors de ces événements, de zones réservées aux femmes.

Après les agressions sexuelles commises par des demandeurs d’asile mineurs lors du festival Putte i Parken (Soirée dans le parc) de Karlstad et les cinq viols, quinze agressions sexuelles et la tentative de viol lors du festival Bråvalla qui se déroule près de Norrköping – deux des viols ont eu lieu devant la scène et les autres dans une tente et aux toilettes et les victimes sont avant tout des jeunes femmes de moins de 18 ans –, ainsi que la tentative de viol lors du festival Peace & Love de Borlänge, les organisateurs de la fête culturelle de Göteborg qui doit se dérouler à la mi-août 2016 désirent créer des zones réservées aux femmes.

La fondatrice de l’organisation, dont l’objet est d’instaurer plus de sécurité lors de ce genre d’événements, Nattskiftet (Équipe de nuit) trouve cette idée absurde car elle sanctionne les femmes au lieu de s’en prendre aux auteurs des faits. Elle pose la question de savoir, lorsque la société entre dans une telle logique, où se trouve la limite : transports publics, restaurants, vie professionnelle. Elle ajoute : « Si une zone particulière est instaurée, ne se trouve-t-on plus en sécurité lorsqu’on quitte cette zone ? »

La police est consciente du problème que posent des migrants musulmans en la matière et elle est sous pression après avoir été accusée au début de l’année 2016 d’avoir caché que les auteurs d’agressions sexuelles survenues deux ans de suite lors d’un festival étaient des jeunes migrants originaires principalement d’Afghanistan…

Avant le début de ce festival Putte i Parken à Karlstad, la police avait donc lancé la distribution de bracelets afin de sensibiliser les participants à la question des agressions sexuelles. Mais ces objets n’ont visiblement pas arrêté les agresseurs. Une policière défend cependant cette campagne. Elle déclare que la distribution des bracelets ne conduit pas à la disparition des agressions, mais estime que cela augmente les probabilités de voir plus de gens remarquer les auteurs, les dénoncer et porter plainte.

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lundi, 11 juillet 2016

A Bruxelles, Alain Escada, Président de Civitas, dénonce le complot mondialiste contre l'enseignement catholique

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jeudi, 23 juin 2016

Que le Brexit passe ou pas…

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Nicolas Gauthier Eurolibertés cliquez ici

Que le Brexit passe ou pas, cela modifiera-t-il les rapports complexes entre Angleterre et Europe ? Rien n’est moins sûr.

« Entre le Grand large et l’Europe, nous choisirons toujours le Grand large », assurait jadis Winston Churchill au général De Gaulle. Certes ! Il n’empêche qu’une éventuelle sortie de la Grande-Bretagne des instances européennes ne saurait tout résoudre des problèmes européens : tout d’abord parce que Londres, au contraire de la majeure partie de nos capitales, a su conserver sa monnaie et surtout parce que la City, quelle que soit l’issue du référendum, demeurera capitale mondiale de la finance.

De même, ce que voulait l’Angleterre aux premières heures de la construction européenne – un vieux continent réduit à un espace voué au libre-échangisme, soit une puissance économique n’ayant pas vocation à devenir puissance politique –, continuera à demeurer loi d’airain.

Dans une remarquable tribune intitulée, Le Brexit et l’Europe : la tour de Babel du libéralisme, publiée sur le très sérieux site iris-France.org, Institut de relations internationales et stratégiques, Rémi Bourgeot rappelle : « La vision anglaise commerciale dépasse en fait le cadre de l’UE et s’étend de plus en plus à l’échelle du monde, suivant l’idée que l’Europe, bien que toujours importante, a perdu de sa pertinence face à la mondialisation. »

Bref, l’Angleterre, si elle quittait l’Europe, ne ferait jamais que sauter d’un bateau faisant naufrage.

Plus intéressant encore, cette phrase du même Rémi Bourgeot : « En Angleterre, la campagne du Brexit a été menée par des eurosceptiques qui soutiennent le libre-échange sans réserve et sont bien moins hostiles à l’immigration que leur base politique. » Rien que de très logique : malgré tous ses défauts, la Commission européenne tente encore, et réussit parfois, à faire pièce à un capitalisme mondialisé de plus en plus débridé. À cet état de fait, s’ajoute un autre élément à prendre en considération, l’alliance tacite entre Londres et Berlin. Les premiers envient aux seconds leur puissance industrielle ; les seconds admirent la faculté des premiers à sans cesse tirer leur épingle du jeu, à avoir un pied en Europe quand ça les arrange, à en avoir un autre ailleurs pour peu que cela soit susceptible de servir leurs intérêts. La France, en revanche, fait l’unanimité des gouvernants de ces deux pays, contre elle, il va de soi.

Trop tatillonne en matière législative, la France est ainsi empêcheuse de mondialiser en rond. Les attaques contre Monsanto, c’est nous. La remise en cause d’une agriculture intensive et polluante, c’est nous. La dénonciation du modèle d’élevage allemand – genre Ferme des mille vaches –, c’est nous. La taxation des multinationales qui font leur pelote en Europe pour ensuite se défiscaliser aux Bahamas, c’est nous. Le premier parti politique populiste, eurosceptique, pas loin de tirer la nappe avant de renverser la table européenne, c’est le Front national ; soit, toujours nous.

Du modèle français, il ne reste évidemment plus grand-chose. De cet héritage gaullo-communiste, nous ayant légué un appareil industriel – aéronautique, automobile, chemins de fer, conquête spatiale, armement, énergie nucléaire, recherche médicale, industrie pétrolière, etc. –, ne demeure plus que plaquette de beurre abandonnée au Soleil. Pourtant, des pans entiers de ce consortium persistent à survivre et il suffirait d’un peu de volonté politique pour qu’il retrouve de sa superbe. Mais ça, il est à craindre que les Anglais ne le tolèrent pas, n’ayant jamais supporté une puissance continentale assez forte pour menacer leurs intérêts à termes plus ou moins lointains. Pas plus que les Allemands qui, nous ayant depuis longtemps damé le pion en la matière, se refuseront immanquablement à voir la France retrouver la place qui fut si longtemps la sienne.

Alors, Brexit ou pas, il y a fort à parier que l’Angleterre ne trouve rien à y perdre. Pour la France, en revanche, il se trouve tant d’amis européens pour éviter que nous puissions y dénicher quelque chose à gagner… Réponse ce dimanche prochain et, surtout, dans les mois à venir.

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vendredi, 17 juin 2016

Belgique, samedi 2 juillet, c'est la fête de Nation

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mercredi, 15 juin 2016

Samedi 25 juin à Bruxelles : une manifestation pour défendre l'enseignement catholique soutenue par Civitas

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Sur MPI Alain Escada, Président de Civitas, explique pourquoi il soutient cette manifestation :

MPI : Qui organise cette marche ?

Alain Escada : Cette Marche pour l’enseignement catholique est organisée par Pro Familia, une association catholique flamande avec laquelle nous sommes en contact depuis plus d’un an. Son président, Dries Goethals, était présent au défilé d’hommage à Sainte Jeanne d’Arc que Civitas organisait à Paris le 8 mai dernier. Il m’a recontacté il y a quelques jours pour m’exposer les raisons de cette Marche pour l’enseignement catholique – en l’occurrence, le projet d’ouvrir des salles de prières musulmanes dans les écoles de l’Enseignement catholique flamand – et me proposer d’y prendre la parole au nom de Civitas.

MPI : Dans votre communiqué, vous avez relié l’actualité française des attaques contre les écoles hors contrat à la situation belge. Pourquoi ?

Alain Escada : Je ne crois pas au hasard. C’est à l’échelon supranational et dans l’ombre des forces occultes que des esprits machiavéliques réfléchissent aux moyens de s’emparer très tôt des enfants pour les formater à la pensée unique. Ces gens-là, foncièrement anti-catholiques, cherchent à tout prix à priver les parents de la possibilité d’élever leurs enfants de façon vraiment catholique. Pour cela, les écoles sont devenues leur cible.

Cette idée absurde d’ouvrir des salles de prières musulmanes dans des écoles catholiques implique de facto que ces écoles ne seront plus catholiques, si tant est qu’elles l’étaient encore.

En France, nous avons cru pouvoir mettre nos enfants à l’abri grâce aux écoles hors contrat mais ces dernières semaines, tant des parlementaires du parti Les Républicains que la ministre socialiste Najat Vallaud-Belkacem ont pris des initiatives pour menacer gravement les écoles hors contrat et l’instruction à domicile. Je rappelle à ce sujet que Najat Vallaud-Belkacem a répété à plusieurs reprises son admiration, en matière d’éducation, pour le « modèle suédois ». Or la Suède a été pionnière dans la mise en place, dès la crèche, d’un enseignement de la théorie du genre. Et la Suède a également voté au parlement la disparition des écoles hors contrat.

Je crois donc nécessaire et indispensable que les catholiques de toute l’Europe tissent des liens pour résister au mieux à cette offensive. C’est la raison pour laquelle j’ai appelé à participer à cette Marche pour l’enseignement catholique qui se déroulera à Bruxelles le samedi 25 juin.

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dimanche, 12 juin 2016

Autriche : La fraude massive lors des élections présidentielles se confirme

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BREIZATAO – ETREBROADEL (09/06/2016) Après avoir longtemps hésité à faire appel des résultats de l’élection présidentielle en Autriche, le parti populiste FPÖ a finalement décidé de contester la victoire du candidat de l’oligarchie, l’écolo-gauchiste Van der Bellen.

Ce dernier l’avait officiellement emporté de justesse, à 50,3% des suffrages. Mercredi, le président du FPÖ, Heinz-Christian Strache, a soumis un rapport de 150 pages à la Cour Constitutionnelle, affirmant avoir découvert de “nombreuses irrégularités et dysfonctionnements” lors du décompte des votes. Selon l’agence d’information autrichienne APA, M. Strache a soumis trois documents : un de sa part, l’autre de la part du candidat perdant M. Hofer et un troisième de la part des “électeurs et citoyens”.

Le président du FPÖ a indiqué que des irrégularités ou fraudes ont été relevées dans 94 des 117 bureaux de vote régionaux. Dans 82 bureaux, au moins 573 000 bulletins ont été dépouillés ou comptés avant que les représentants de la commission électorale ne soient sur place pour surveiller le processus.

Source New York Time cliquez ici

 

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dimanche, 05 juin 2016

Une cabale anti-croate

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Christophe Dolbeau

Depuis le mois de janvier une énorme campagne internationale de diffamation et de désinformation fait rage contre le nouveau gouvernement croate et plus particulièrement contre son ministre de la Culture, Zlatko Hasanbegović. On se croirait revenu aux temps de l’Agitprop et du camarade Stepakov, tant les assauts paraissent soigneusement organisés et synchronisés. De toute évidence, l’intelligentsia gauchiste ne supporte pas de voir l’Est de l’Europe et plus particulièrement la Croatie élire des dirigeants de droite et refuser de cautionner la gabegie et la dégénérescence ambiantes. On sort donc l’artillerie lourde. Dernière attaque en date, une pétition qui s’en prend au ministre Hasanbegović, accusé pêle-mêle de révisionnisme, de nostalgie oustachie, de sympathies génocidaires et d’hostilité aux valeurs de l’Union européenne. Jeune historien de 43 ans, le ministre doit être un peu surpris de se retrouver ainsi dans l’œil du cyclone. Il doit probablement s’étonner aussi de voir se mobiliser contre lui toute une ribambelle de « consciences morales » du calibre de Toni Negri, condamné autrefois à 30 ans de réclusion pour meurtres, qu’escortent quelques personnages plutôt incongrus (en tout cas lorsqu’on parle d’affaires croates), comme l’universitaire macanaise Wong Yi-Lee, le comique français Michel Boujenah, le député juif australien Michael Danby, ou encore deux rescapés du génocide rwandais (Jean de Dieu Mirindi et Charles Habonima) et une brochette de féministes américaines. Ces gens-là seraient-ils même capables de situer la Croatie sur une carte ? On en doute un peu. Ajoutez encore à cela l’inévitable Caroline Fourest, le pathétique Finkielkraut (qui court désespérément après l’extrême-gauche alors que celle-ci lui crache dessus) le cinéaste Elie Chouraqui et le dramaturge Dario Fo, et vous obtenez un cocktail pour le moins saugrenu.

Le côté insolite de l’opération ne se limite pas aux signataires de la pétition mais il concerne aussi les media qui s’en font les véhicules. En France, c’est Libération (23.05) qui s’y connaît en matière de génocide puisqu’il s’enthousiasma autrefois pour le bon Pol Pot et ses sanglants collègues de l’Angkar. Nul doute que ce journal soit le mieux placé pour donner des leçons… En Suisse, on trouve Le Temps (30.05) qui fait carrément dans le catastrophisme le plus ridicule en annonçant à ses lecteurs qu’en Croatie, « on va bientôt se mettre à brûler les livres » – un peu comme à la fin des années 1960, lorsque les tribunaux helvétiques faisaient brûler l’ouvrage d’un certain Dr Mathez (1) ? À Bruxelles, c’est La Libre Belgique (28.05) qui s’emmêle un tantinet les pinceaux : elle accuse, en effet, le nouveau gouvernement croate d’être à la fois « ultranationaliste, catholique intégriste et ultralibéral », ce qui paraît pour le moins contradictoire. Ensuite et sans doute en guise d’illustration de l’intégrisme catholique, elle vilipende M. Hasanbegović, oubliant sur sa lancée que ce monsieur est un musulman pratiquant et que sur beaucoup de points, il déclare s’inscrire dans la lignée intellectuelle du païen Alain de Benoist. Mais au diable la cohérence : le tout c’est d’attaquer tous azimuts et d’essayer à tout prix d’abîmer l’image d’un homme et d’un pays !

Faut-il préciser pour conclure que ce déluge d’insanités ne possède aucun fondement ? Dans une déclaration en date du 26 janvier 2016, Ivan Zvonimir Čičak, ancien dissident (longuement emprisonné par la Yougoslavie communiste), grand défenseur des droits de l’homme et actuel président du Comité Helsinki de Croatie, fait litière de toutes les accusations qui visent M. Hasanbegović. Il parle « des attaques diffamatoires et des mensonges » dont le ministre est la cible et dénonce clairement l’usage frauduleux que certains font de l’antifascisme pour tenter de justifier les abus et les crimes de l’ancien régime communiste et de la Yougoslavie. Par ailleurs, dans un autre déclaration, en date du 31 janvier 2016, 77 historiens croates (dont plusieurs universitaires) et 67 personnalités diverses de la communauté académique et scientifique (dont trois académiciens) apportent leur soutien au ministre et expriment leur inquiétude face aux amalgames et déformations qui ont pour but de le « disqualifier politiquement, professionnellement et moralement ».

Toute à la crainte de perdre définitivement son hégémonie culturelle dans plusieurs pays européens et notamment en Croatie, une certaine intelligentsia de gauche fait feu des quatre fers pour tenter de discréditer ses adversaires et sauver ses prébendes. C’est dans ce cadre-là qu’il faut situer les actuels boniments et calomnies qui visent Zlatko Hasanbegović. Au sortir de 45 ans de tyrannie communiste et en l’absence regrettable de toute lustration, la Croatie ne manque, hélas, pas de traîtres, de défaitistes, d’embusqués, de rescapés ou de sycophantes des polices politiques d’antan, et d’antipatriotes de tout poil : longtemps bénéficiaires d’une totale impunité, ces gens ont désormais peur de perdre leurs sinécures, notamment dans les secteurs de la presse et de la culture, et ils attaquent. Ils le font avec leurs armes traditionnelles, le mensonge, la médisance, l’insinuation, l’imposture, et ils peuvent compter comme toujours, dans le monde entier, sur une immense armée d’acolytes, de naïfs et de crétins. Tout cela est de l’intox, ni plus ni moins, et bien sot serait celui qui s’y fierait. Espérons en tout cas que les droites européennes ne se laisseront pas une fois de plus embobiner car pour l’instant, le moins que l’on puisse dire, c’est qu’en matière de solidarité avec la droite croate, elles auraient plutôt tendance à se hâter très, très lentement…

Source Eurosynergie cliquez ici

(1) Citoyen suisse, l’ancien médecin James-Albert Mathez (1896-1974) avait écrit et publié (1965) un ouvrage intitulé Le passé, les temps présents et la question juive. Poursuivi en justice par diverses associations juives, le Dr Mathez fut condamné, en 1969, à 30 jours de prison, et le Tribunal de Vevey ordonna en outre que fussent brûlées les épreuves de son livre ; la gendarmerie helvétique se chargea de cette besogne.

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samedi, 28 mai 2016

Madrid, Rome, le 21 mai dernier, réveil européen...

Madrid 

Rome 

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lundi, 23 mai 2016

OUF ! Les démocrates vont bien dormir cette nuit...

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Alors que dimanche, le candidat de Droite nationale autrichienne était en tête assez nettement au second tour de l'élection présidentielle, le long et méthodique dépouillement des 740.000 (!) bulletins de vote par correspondance ont abouti à un miraculeux retournement de situation en faveur du candidat écolo-gauchiste qui se retrouve Président de la République avec 3.000 voix d'avance.

Nous pouvons être certains que la presse française et internationale n'émettront bien sur aucun soupçon de fraude électorale et salueront à l'unisson « une grande victoire de la démocratie ».

Comme le disait un expert en la matière : « Ce qui compte ce n'est pas le vote, c'est comment on compte les votes » - Joseph Staline

Source Thomas Joly cliquez ici

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dimanche, 22 mai 2016

A Madrid samedi, ils étaient des milliers pour défendre l'identité de l'Espagne...

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Plusieurs milliers de Madrilènes ont manifestés hier samedi pour défendre l'identité espagnole à l'appel du Hogar social, mouvement comparable à Casa Pound à Rome. 

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samedi, 21 mai 2016

Rome : des dizaines de milliers de jeunes italiens dans les rue aujourd'hui à l'appel de la Casa Pound

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Une énorme manifestation a rassemblé un nombre impressionnant de jeunes néo-fascistes dans les rues de Rome samedi 21 mai. Parmi les nombreuses banderoles, signalons-en une rendant hommage à Dominique Venner. Cette marche était organisée par Casa Pound cliquez là, elle s'inscrit dans le vaste mouvement de prise de conscience nationale et identitaire des peuples d'Europe.

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Rappelons aussi que notre camarade Gabriele Adinolfi sera samedi prochain 28 mai à Paris cliquez ici.

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Syrie : la phase finale de la libération du pays est engagée...

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Depuis jeudi, des opérations de grande envergure visant à éliminer définitivement les terroristes islamistes ont  été lancées en Syrie. L'accord conclu récemment entre les deux grandes puissances engagées, la Syrie du Président Bachar al-Assad et la Russie, se traduit, en ce moment même sur place, par des bombardements aériens sans précédent et très efficaces en vue de l'éradication totale des tueurs de Daesh jusqu'ici soutenus par les mondialistes saoudiens, français et américains.

Des dizaines de bombardiers russes et syriens pilonnent les campagnes des trois districts, Alep, Idleb, et Hama, anéantissant ainsi toutes les fortifications des groupuscules terroristes qui n'ont jamais respecté la trêve décrétée le 29 février dernier. Rappelons au passage que la diplomatie française, incarnée par le sinistre Fabius et dont l'aveuglement est légendaire, considérait jusqu'à peu que Daech "fait du bon boulot en Syrie".

Mais revenons aux choses sérieuses. L'objectif de ces opérations militaires est de couper toutes les voies d'approvisionnement vers Raqa afin de pouvoir livrer la bataille finale qui tournera la page de Daesh une fois pour toutes en Syrie.

Contrairement à toutes le tergiversations américaines, cette bataille de Raqa bénéficiera d'une couverture diplomatique et médiatique de la part des deux grandes puissances. La bataille de Raqa devrait débuter à la fin du mois de mai. Elle sera la mère des batailles que livreront les forces nationales syriennes soutenues par leurs alliés. Elle marquera la fin de cette abominable guerre en Syrie.

Informations : le géopoliticien Mohamad Kamal Aljafa

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Comprendre la guerre en Syrie :

En savoir plus cliquez ici

Le commander en ligne cliquez là

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mardi, 26 avril 2016

Jeudi 28 avril : une conférence de l'Union des Serbes de France à Paris

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Plus d'informations cliquez ici

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vendredi, 22 avril 2016

Vers une Allemagne communautarisée

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Philippe Delbauve

Animateur du site Les villes contre l'islamisation cliquez ici

C’est le 14 avril 2016 que les trois partis représentant la coalition au pouvoir ont présenté un texte de loi visant à favoriser l’accueil des immigrés en Allemagne. Il s’agit du fruit de plusieurs semaines de concertation visant à satisfaire les uns et les autres. Chacun des cadres dirigeants concernés voit dans cette loi une véritable opportunité pour l’Allemagne, considérant – un peu vite – que l’intégration allait nécessairement réussir, nonobstant les cruels exemples connus dans toute l’Europe.

Deux aspects sont à prendre en considération au sujet de cette loi. Elle impliquerait pour chacun des migrants, un investissement personnel en matière d’intégration sous peine de sanctions économiques. C’est ainsi par exemple que les cours d’intégration se verront obligatoires pour chacun des migrants. Autre aspect, est aussi rendue obligatoire l’apprentissage de la langue allemande sauf à se voir retirer le permis de séjour. De façon similaire, chaque migrant verra la formation de son choix financée par l’État, sauf à voir l’intéressé l’abandonner, engendrant de facto la fin de l’allocation.

Autre évolution, les emplois naguère réservés aux Allemands, mais aussi aux Européens, seront désormais ouverts aux migrants. Idem pour le – nouveau – droit au travail intérimaire. Autre aspect, les migrants n’auront pas le choix de s’installer où souhaité : ils se devront donc d’habiter là où le gouvernement leur imposera.

Ces différentes mesures restrictives visent à ne pas favoriser la montée en puissance des populismes qui ont le vent en poupe (voir par exemple le dernier score obtenu par l’AfD).

Même au sein de la CSU, aile droite de la CDU, la loi semble bien passer. Encore une fois donc, le distinguo gauche/droite n’est pas opérant.

Il se pose cependant des problèmes majeurs.

L’Allemagne fait le choix quantitatif du chiffre aux dépens d’une approche qualitative. Plutôt, grâce à une politique nataliste hardie – ce qu’elle eut du pratiquer depuis bien longtemps – l’Allemagne fait le choix d’un potentiel numérique qui n’a rien d’allemand. Et l’apprentissage de la langue allemande ne fera pas de ces migrants d’authentiques Allemands.

Se profile donc à l’horizon des problèmes majeurs de communautarisme, aussi bien ethnique que religieux. Et chaque groupe communautaire, via un lobby concurrentiel, tentera de tirer la couverture à lui.

Il est peut être utile de rappeler que le pays de l’immigration n’est autre que les États-Unis et que c’est à une américanisation de l’Allemagne à laquelle nous assistons.

La politique du chiffre – un travailleur/consommateur en vaut un autre – montre une inféodation majeure à la pensée (?) économique, source de la plupart des maux dont souffrent les Européens. Il y aura changement majeur en Europe lorsque sera privilégiée une politique qualitative, célébrant la famille via une politique nataliste, dans le respect des ethnies et religions originelles.

Source EuroLibertés cliquez là

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lundi, 11 avril 2016

Vers un tremblement de terre politique en Autriche

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Lionel Baland Eurolibertés cliquez ici

Alors que les partis sociaux-démocrates et sociaux-chrétiens se partagent le pouvoir en Autriche depuis la fin de la IIe Guerre mondiale, le pouvoir d’attraction de ces deux organisations politiques du système s’effondre. Cette situation peut conduire à un tremblement de terre politique consistant à l’élimination à l’issue du premier tour de l’élection présidentielle du 24 avril 2016 des candidats de ces deux partis.

L’Autriche compte plus de huit millions d’habitants, parmi lesquels 1 800 000 à Vienne. Cette concentration de population dans la capitale du pays tire ses origines du fait que cette ville était autrefois le centre politique de l’empire des Habsbourg. Du démantèlement de celui-ci à l’issue de la Ire Guerre mondiale est née la petite République d’Autriche.

Le pays doit faire face à un antagonisme politique : Vienne « la rouge » est un bastion des sociaux-démocrates alors que les campagnes sont dominées par les sociaux-chrétiens/conservateurs. Une troisième famille politique joue également un rôle : les libéraux et nationalistes grand-Allemands. Ils sont issus des idées de la révolution libérale de 1848 à Francfort-sur-le-Main en Allemagne, conséquence de la révolution ayant eu lieu en France la même année. À cette époque, les libéraux allemands ont des revendications sociales, libérales (liberté de la presse, d’association, de réunion,…) et désirent réunir l’ensemble des germanophones au sein d’un État. Ils s’opposent à l’Allemagne morcelée des princes. Paradoxalement, l’unification allemande est réalisée par le très conservateur Chancelier Bismarck : l’État allemand réunissant les germanophones ne vivant pas au sein de l’empire des Habsbourg naît entre 1866 et 1871. Lorsque l’empire des Habsbourg est démantelé à l’issue de la Ire Guerre mondiale, la possibilité de réunir ses territoires germanophones avec l’Allemagne voit le jour, mais les Alliés la refusent.

Durant l’Entre-deux-guerres, de fortes tensions politiques traversent l’Autriche. Le Chancelier social-chrétien conservateur Engelbert Dollfuss instaure une dictature corporatiste et catholique à laquelle est attribué le nom d’« Austro-fascisme ». Il dissout le Parti communiste ainsi que le Parti national-socialiste dont les membres actifs sont jetés dans des camps de concentration. Suite à la répression des sociaux-démocrates ayant déclenché une grève générale, les ouvriers se soulèvent et provoquent une guerre civile qui est contrée par le régime. En juillet 1934, Engelbert Dollfuss est grièvement blessé lors d’une tentative nationale-socialiste de putsch. Il décède. Kurt von Schuschnigg prend sa succession. Lâché par le dirigeant italien Benito Mussolini, celui-ci est contraint d’accepter en 1938 l’annexion de l’Autriche à l’Allemagne nationale-socialiste.

Après la IIe Guerre mondiale, l’Autriche est ré-instituée et occupée jusqu’en 1955 par l’URSS, les États-Unis, le Royaume-Uni et la France. Deux partis, les socialistes (devenus en 1991 sociaux-démocrates) du SPÖ et les conservateurs/sociaux-chrétiens de l’ÖVP, vont alors se partager le pouvoir à tous les niveaux durant des décennies : les postes du personnel des services publics et de l’administration depuis les plus hauts jusqu’à ceux du personnel d’entretien au sein des écoles de village sont distribués politiquement aux membres des partis rouge (SPÖ) et noir (ÖVP). Une troisième force politique, assez marginale, est aussi active : la VdU, puis le FPÖ représentent la famille politique nationale et libérale. En 1986, alors que le FPÖ dirigé par Norbert Steger de l’aile libérale est au bord de l’effondrement, Jörg Haider en prend le contrôle et le conduit de victoires en victoires, puis le fait entrer en février 2000 dans un gouvernement avec l’ÖVP.

De nos jours, le SPÖ et l’ÖVP gouvernent à nouveau ensemble l’Autriche. Le FPÖ, principal parti d’opposition, est donné dans les sondages à 32-33 %, premier parti du pays. Les prochaines élections législatives doivent avoir lieu au plus tard à l’automne 2018. Mais un autre scrutin national doit prendre place auparavant : les élections présidentielles du 24 avril 2016 et (dans le cas où personne n’obtient 50 % au premier tour) du 22 mai 2016. Les candidats ayant obtenu les 6 000 signatures valables nécessaires sont au nombre de six : le SPÖ Rudolf Hundstorfer, l’ÖVP Andreas Khol, le FPÖ Norbert Hofer, le candidat indépendant membre du parti écologiste Alexander Van der Bellen, la candidate indépendante ancien haute-magistrat Irmgard Griss et le candidat indépendant et ancien entrepreneur Richard Lugner.

Si ce scrutin se singularise par le nombre élevé de candidats, ce sont avant tout ses résultats qui devraient en faire une élection particulière. En effet, les sondages donnent premier le candidat indépendant membre du parti écologiste et soutenu par celui-ci Alexander Van der Bellen, deuxième le FPÖ Norbert Hofer et troisième la candidate indépendante Irmgard Griss. Les candidats du SPÖ et de l’ÖVP sont donnés respectivement quatrième et cinquième devant Richard Lugner qui arrive dernier.

Si cette tendance se confirme dans les urnes, cette évolution accréditera le rejet de plus en plus important des candidats des partis du système, le candidat soutenu par les verts et le candidat nationaliste s’affrontant pour le deuxième tour. Ce scrutin concrétisera la perte massive d’influence des partis du système malgré le fait que ceux-ci verrouillent depuis des décennies le système politique à leur avantage.

Le blog de Lionel Baland cliquez là

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mardi, 05 avril 2016

A Douvres, les Anglais n'ont pas l'air enthousiastes de voir arriver les "migrants"

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Des centaines de patriotes anglais ont bloqué Douvres et se sont heurtés à la police pour protester contre l'invasion de leur pays, tandis que la veille, un énorme message de bienvenue était projeté sur des falaises à proximité. Preuve du fossé grandissant entre l'oligarchie collaborationniste britannique et le peuple qui, là aussi, relève la tête.

Pour suivre le combat de la résistance en Europe, consultez LVCI (lLes Villes contre l'islamisation) cliquez ici

10:30 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 27 mars 2016

Contre le terrorisme et les lamentables pleurnicheries des bisounours : 500 jeunes patriotes bruxellois sauvent l'honneur de la Belgique

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NATION soutient les jeunes patriotes de la Bourse !

Ce dimanche 27 mars, 500 jeunes patriotes sont venus crier à la Bourse leur colère face aux attentats de Bruxelles du 22 mars dernier qui ont provoqué la mort de plus de 30 personnes.

Loin des niaiseries auxquelles nous ont habitué les bobos de tous poils, ces jeunes patriotes ont exprimé leur haine des djihadistes et leur attachement à leur pays avec des slogans tels que 'On est chez nous !".

Ce politiquement incorrect leur a valu d'être repoussés puis chargés par la police sous les beuglements de la gauche bien-pensante qui criait "Non à la haine !".

Il est dommage que cette même gauche n'ait pas crié ce slogan aux islamistes, toutes les années où elle les a protégé.

Le Mouvement NATION soutient les jeunes patriotes qui ont manifesté ce jour et reprend avec eux, ce slogan évident : "On est chez nous !"

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vendredi, 18 mars 2016

Samedi dernier, Gabriele Adinolfi a présenté son "projet Lansquenet" et l'organisation EurHope à Paris

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Un communiqué de Gabriele Adinolfi :

EurHope vient de naître et bientôt elle apprendra à marcher .

Annoncée à Paris samedi 12 mars, baptisée au Parlement Européen à Bruxelles mardi 15, elle va faire son début en tant que société à Milan le mercredi 23 mars. A Bruxelles nous avons enregistré des personnes présentes en provenance de neuf nations, à Milan les orateurs viendront de cinq pays.

Qu’est que c’est ? Plus un Think Tank (un tank de la pensée) qu’un Centre d’Etudes, EuHrope se conçoit aussi comme quelque chose de différent.

TOUT D’ABORD il s’agit d’un carrefour européen pour les forces nationalistes, populistes, ethnorégionalistes, qui se propose de donner vie à un laboratoire, à une école de cadres et à un centre stratégique dans la vision de l’Imperium.

PARALLELEMENT ce centre s’engagera dans la création de réseaux et dans la réalisation de synergies concrètes qui puissent permettre aux forces vives de la société de se faire respecter à l’époque de l’après-démocratie.

Certains des objectifs de son action se révèlent dans l’ambition de jouer un rôle dans :

- L’organisation sociale et économique des producteurs.
- La coordination des travailleurs actifs et conflictuels.
- La représentation corporatiste des catégories sociales dans les négociations directes.

Sur ces 3 objectifs nous avons déjà commencé à agir. Au premier d’entre eux nous avons dédié la structure dénommée Lambda, au troisième l’action dans le domaine de « stake-holders ». Quant au deuxième point, pensons aux agriculteurs (et pourquoi pas aux marins-pêcheurs et aux éleveurs) qui sont en contestation partout ignorés par les médias et sans une véritable coordination dans les régions d’un même pays. Réussir à faire coordonner leurs actions entre la France, la Grèce, l'Espagne et l'Italie ne serait pas anodin et c’est l’un des objectifs que nous ne dédaignons pas.

EN L’ETAT ACTUEL nous sommes sur la grille de départ mais, pour une habitude qui nous est devenue propre, il y a eu d’abord gestation et nous nous nous trouvons ainsi déjà à un point d'avancée satisfaisant dans chacun de nos objectifs.

EVIDEMMENT pendant quelques mois le travail s’effectuera principalement sans trop de bruit. Il faut ajouter que les temps de réaction seront différents selon les pays, dû à la fois aux différences objectives et au retard d’activation du projet.

En ces dernières semaines nous avons en tout cas progressé dans toutes les directions et structuré tous les secteurs en embryon. En France, nous allons procéder rapidement, à des niveaux de coordination générale nous avons déjà une première ébauche inter-nationale dans Lambda, dans les Stake Holders et dans le Think Tank.

Il s’agit maintenant de procéder au pas cadencé, en privilégiant le substantiel par rapport à l’apparent et en nous donnant comme finalité la synergie et l’orchestre.

En d’autres termes, il s’agit d’une révolution culturelle qui, détrompez-vous, n’est intellectuelle qu’en petite partie. Une révolution culturelle qui s’accomplit dans l’action, dans l’engagement, dans la sueur et dans l’offre et qui nous mènera, si nous en sommes capables, à atteindre le but le plus ambitieux : à devenir ce que nous sommes ou du moins, ce que nous prétendons être.

Pour contacter Gabriele Adinolfi : ga@gabrieleadinolfi.it

Le livre consacré à l'Europe cliquez  là

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dimanche, 13 mars 2016

Elections régionales en Allemagne : Merkel écrasée par le parti anti-immigration

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Source BREIZATAO cliquez ici

Treize millions d’Allemands étaient appelés aux urnes, dimanche 13 mars, dans les Länders (régions) de Bade-Wurtemberg, de la Rhénanie-Palatinat et de la Saxe-Anhalt. Le scrutin était considéré comme un test majeur pour Angela Merkel avant les élections fédérales de 2017. Elles ont tourné au désastre pour la chancelière allemande, écrasée dans son fief historique par le nouveau parti anti-immigration “Alternative pour l’Allemagne”.

Défaite historique

Le parti de la chancelière, l’Union chrétienne-démocrate (CDU), enregistre une défaite dans deux régions des trois régions où se déroulaient les élections, selon les premiers sondages réalisés à la sortie des bureaux de vote. La CDU (centre-droit) est battue en particulier dans son fief historique du Bade-Wurtemberg, où elle obtiendrait 27,5 % des voix et est devancée par les Verts (32,55 %).

Surtout, le principal vainqueur de ces scrutins régionaux est le nouveau parti anti-immigration, Alternative pour l’Allemagne (AFD). Il réalise une percée majeure, obtenant 10% dans la Rhénanie-Palatinat, 21,5% dans la Saxe-Anhalt et 12,5% dans le Bade-Würtemberg.

Le début de la fin pour Angela Merkel

Cette défaite historique est un coup terrible pour Angela Merkel qui subit là les conséquences de sa politique migratoire extrémiste. L’Allemagne a ainsi accueilli, sur ordre de la chancelière, plus d’un million de musulmans en 2015 et devrait en recevoir autant en 2016. L’actuel chef du gouvernement allemand refusant catégoriquement de changer sa politique sur la question.

Totalement isolée en Europe, ayant provoqué la désintégration de Schengen, Merkel est désormais clairement menacée en Allemagne où son parti risque de voir ses électeurs se tourner en masse vers l’AFD. Un parti pourtant âgé de seulement 3 ans.

Cette défaite va, à n’en pas douter, donner matière à réflexion dans les capitales d’Europe de l’Ouest. Si le chef du gouvernement le plus puissant d’Europe tombe sur la question migratoire, il deviendra pour les partis de gouvernement très risqué – pour ne pas suicidaire – de défendre une politique immigrationniste radicale.

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mercredi, 03 février 2016

TV Libertés et Lionel Baland ont rencontré Pégida à Dresde, point de départ du réveil allemand

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dimanche, 31 janvier 2016

Choses vues à Cologne

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Robert Spieler et les intervenants au meeting de Pro Köln

Robert Spieler pour Rivarol

J’étais, le weekend end dernier, à Cologne à l’invitation du mouvement identitaire Pro-Köln, qui avait organisé une réunion de nouvel an à la mairie de Cologne, où il dispose de quelques élus. La salle mise à disposition par la folle mairesse socialiste de Köln (vous savez, celle qui expliquait que pour se protéger des agressions de migrants, il fallait que les femmes se tiennent à distance d’un bras d’eux) était bien entendu trop petite pour contenir les 300 personnes présentes. J’ai pris la parole, aux côtés de Hilde De Lobel, ex députée du Vlaams Belang flamand et d’ A. Herzog, un dirigeant autrichien du Fpoe. J’ai évoqué l’invasion que vit la France et la terrible dénatalité que subit l’Europe. L’Allemagne perdra plus de sept millions d’indigènes, si j’ose dire, d’ici 2050. J’ai évoqué Jean Raspail (que les Allemands connaissent car son livre a été traduit) et Houellebecq et sa réflexion : « L’islam est la religion la plus conne du monde » suscitant, on l’imagine, de vifs applaudissements. J’ai désigné les responsables et exprimé le souhait, qu’un jour, ils soient jugés par un tribunal. Et j’ai ajouté : « Je propose que ce procès ait lieu à Nuremberg… » Deux secondes de flottement dans l’assemblée (aucun Allemand n’aurait osé formuler ce propos, tant la terreur y est grande), puis des applaudissements enthousiastes ! L’Allemagne, je l’ai souvent dit dans ces colonnes, est la pire dictature en Europe. Et les choses ne s’améliorent pas. Angela Merkel, qui s’effondre dans les sondages (plus que 37% d’opinions favorables) a trouvé le sésame pour se refaire une santé. Elle a annoncé vouloir créer une cour de justice spéciale afin de réprimer les opposants à l’immigration musulmane. Quant au ministre allemand des Finances, Wolfgang Schaüble, il a demandé la création d’une “taxe européenne sur le fuel” pour financer l’accueil des migrants… Des traîtres, vous disais-je, des traîtres… Et pendant ce temps-là, l’Autriche résiste. Le président du FPÖ Heinz-Christian Strache a fusillé dans une interview le Premier ministre social-démocrate Werner Faymann en le qualifiant d’ennemi de l’État : « L’Autriche doit s’attendre cette année à 300.000 migrants, qui tous veulent rester ici. Celui qui fait cela à son pays est un ennemi de l’État. ». Mais revenons à la situation en Allemagne, et plus particulièrement à celle des résistants..

Où en sont les mouvements résistants ?

Il y a tout d’abord Pégida,dont le leader est Lutz Bachmann, qui organise partout en Allemagne des manifestations contre l’invasion. Ces manifestations sont particulièrement importantes à Dresden, en ex-Allemagne de l’est, où, tous les lundis, près de dix mille protestataires se réunissent, malgré un froid glacial, pour exprimer leur refus de l’islamisation de l’Allemagne. Ces manifestations ont pour modèle celles qui, organisées semaine après semaine à Dresden, avaient entraîné la chute du mur de Berlin. Pegida n’a pas, pour l’instant, d’ambitions électorales et collabore avec d’autres mouvements résistants allemands et européens (dont le Vlaams Belang avec qui il vient d’organiser une manifestation à Anvers). Le parti anti-européiste Alternative für Deutschland (Alternative pour l’Allemagne) connait un considérable succès dans les sondages, qui donnent au parti 11% des voix si les élections avaient lieu aujourd’hui, derrière la CDU (37 %) et le SPD (24 %), mais désormais devant Die Linke (la gauche) et les Verts. Rappelons qu’en août 2015, le parti AfD n’avait le soutien que de 3 % des électeurs allemands dans les sondages. Depuis, il ne cesse de progresser. Le parti nationaliste NPD, qualifié de néo-nazi, semble, quant à lui, en perdition et subit, une fois de plus une menace d’interdiction. Rappelons qu’une telle menace planait déjà, il y a quinze ans sur le mouvement. Or les juges se rendirent compte que plus de la moitié des dirigeants du parti, dont les plus violents, les plus provocateurs, étaient des policiers du Verfassungsschutz infiltrés… Le Verfassungsschutz est l’organe de défense de la constitution, une sorte de police politique, bien pire que tout ce que nous pouvons imaginer en France. Une manifestation de Pegida avait été organisée récemment à Cologne. 5000 personnes étaient présentes. Un beau succès qui ne dura qu’un quart d’heure. Des hooligans stipendiés par le régime ont attaqué la police. Ils sont membres de l’organisation Hogesa (Hooligans gegen salafisten ; hooligans contre salafistes). Leur fondateur vient de mourir de mort naturelle. Il est confirmé qu’il était un agent du Verfassungsschutz… Et pendant ce temps là, l’avocat Horst Mahler (89 ans), qui fut aussi celui de la RAF (Rote Armee Fraktion), l’ultra-gauche violente des années 1970, croupit en prison, pour douze ans, pour propos révisionnistes. Il est le plus vieux prisonnier politique au monde. Mais la justice allemande sait être clémente. La preuve : Elle est prête à le libérer aux deux tiers de sa peine. Bon, il a quelques soucis de santé, il a été amputé, en prison, d’une jambe, il a été hospitalisé dans un état critique… Mais il conviendrait pour l’esthétique démocratique qu’il ne mourût pas en prison… Ainsi va l’Allemagne dégénérée…

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samedi, 30 janvier 2016

Délit d'images : la photo de la honte...

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Source Délit d'images cliquez ici

C’est une honte : voici donc les « réfugiés » qui rallient l’Europe par milliers chaque jour. On nous en annonce 4 millions cette année 2016. Regardez bien cette photo : UNE femme et SEPT hommes. Chacun de ces hommes est bien habillé, chaudement. Certains ont des ponchos imperméables qui les protègent de la neige fondante. Ils portent TOUS des chaussures de bonne qualité SAUF la femme qui va pieds nus !

Ils ont tous de bonnes chaussures et la seule femme va pieds nus ! Elle porte 2 enfants et aucun de ces « réfugiés » ne l’aide. Répugnant !

Aucun de ces hommes n’aide cette femme (voilée) à porter ses deux petits enfants (un sur le dos, un sur le ventre). Elle a un troisième enfant ; une petite fille à ses côtés.

Il s’agit d’un groupe ou je rêve ? ! Comment ces « hommes » peuvent-ils laisser cette femme seule porter 2 enfants sans l’aider ? Aucun respect, aucune morale. Qu’est-ce que c’est que ces barbares répugnants ? C’est eux qui paieront nos pensions demain ? ! De qui se moquent nos politiciens ?

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