samedi, 21 mai 2016
Rome : des dizaines de milliers de jeunes italiens dans les rue aujourd'hui à l'appel de la Casa Pound
Une énorme manifestation a rassemblé un nombre impressionnant de jeunes néo-fascistes dans les rues de Rome samedi 21 mai. Parmi les nombreuses banderoles, signalons-en une rendant hommage à Dominique Venner. Cette marche était organisée par Casa Pound cliquez là, elle s'inscrit dans le vaste mouvement de prise de conscience nationale et identitaire des peuples d'Europe.
Rappelons aussi que notre camarade Gabriele Adinolfi sera samedi prochain 28 mai à Paris cliquez ici.
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Syrie : la phase finale de la libération du pays est engagée...
Depuis jeudi, des opérations de grande envergure visant à éliminer définitivement les terroristes islamistes ont été lancées en Syrie. L'accord conclu récemment entre les deux grandes puissances engagées, la Syrie du Président Bachar al-Assad et la Russie, se traduit, en ce moment même sur place, par des bombardements aériens sans précédent et très efficaces en vue de l'éradication totale des tueurs de Daesh jusqu'ici soutenus par les mondialistes saoudiens, français et américains.
Des dizaines de bombardiers russes et syriens pilonnent les campagnes des trois districts, Alep, Idleb, et Hama, anéantissant ainsi toutes les fortifications des groupuscules terroristes qui n'ont jamais respecté la trêve décrétée le 29 février dernier. Rappelons au passage que la diplomatie française, incarnée par le sinistre Fabius et dont l'aveuglement est légendaire, considérait jusqu'à peu que Daech "fait du bon boulot en Syrie".
Mais revenons aux choses sérieuses. L'objectif de ces opérations militaires est de couper toutes les voies d'approvisionnement vers Raqa afin de pouvoir livrer la bataille finale qui tournera la page de Daesh une fois pour toutes en Syrie.
Contrairement à toutes le tergiversations américaines, cette bataille de Raqa bénéficiera d'une couverture diplomatique et médiatique de la part des deux grandes puissances. La bataille de Raqa devrait débuter à la fin du mois de mai. Elle sera la mère des batailles que livreront les forces nationales syriennes soutenues par leurs alliés. Elle marquera la fin de cette abominable guerre en Syrie.
Informations : le géopoliticien Mohamad Kamal Aljafa
Comprendre la guerre en Syrie :
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mardi, 26 avril 2016
Jeudi 28 avril : une conférence de l'Union des Serbes de France à Paris
Plus d'informations cliquez ici
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vendredi, 22 avril 2016
Vers une Allemagne communautarisée
Philippe Delbauve
Animateur du site Les villes contre l'islamisation cliquez ici
C’est le 14 avril 2016 que les trois partis représentant la coalition au pouvoir ont présenté un texte de loi visant à favoriser l’accueil des immigrés en Allemagne. Il s’agit du fruit de plusieurs semaines de concertation visant à satisfaire les uns et les autres. Chacun des cadres dirigeants concernés voit dans cette loi une véritable opportunité pour l’Allemagne, considérant – un peu vite – que l’intégration allait nécessairement réussir, nonobstant les cruels exemples connus dans toute l’Europe.
Deux aspects sont à prendre en considération au sujet de cette loi. Elle impliquerait pour chacun des migrants, un investissement personnel en matière d’intégration sous peine de sanctions économiques. C’est ainsi par exemple que les cours d’intégration se verront obligatoires pour chacun des migrants. Autre aspect, est aussi rendue obligatoire l’apprentissage de la langue allemande sauf à se voir retirer le permis de séjour. De façon similaire, chaque migrant verra la formation de son choix financée par l’État, sauf à voir l’intéressé l’abandonner, engendrant de facto la fin de l’allocation.
Autre évolution, les emplois naguère réservés aux Allemands, mais aussi aux Européens, seront désormais ouverts aux migrants. Idem pour le – nouveau – droit au travail intérimaire. Autre aspect, les migrants n’auront pas le choix de s’installer où souhaité : ils se devront donc d’habiter là où le gouvernement leur imposera.
Ces différentes mesures restrictives visent à ne pas favoriser la montée en puissance des populismes qui ont le vent en poupe (voir par exemple le dernier score obtenu par l’AfD).
Même au sein de la CSU, aile droite de la CDU, la loi semble bien passer. Encore une fois donc, le distinguo gauche/droite n’est pas opérant.
Il se pose cependant des problèmes majeurs.
L’Allemagne fait le choix quantitatif du chiffre aux dépens d’une approche qualitative. Plutôt, grâce à une politique nataliste hardie – ce qu’elle eut du pratiquer depuis bien longtemps – l’Allemagne fait le choix d’un potentiel numérique qui n’a rien d’allemand. Et l’apprentissage de la langue allemande ne fera pas de ces migrants d’authentiques Allemands.
Se profile donc à l’horizon des problèmes majeurs de communautarisme, aussi bien ethnique que religieux. Et chaque groupe communautaire, via un lobby concurrentiel, tentera de tirer la couverture à lui.
Il est peut être utile de rappeler que le pays de l’immigration n’est autre que les États-Unis et que c’est à une américanisation de l’Allemagne à laquelle nous assistons.
La politique du chiffre – un travailleur/consommateur en vaut un autre – montre une inféodation majeure à la pensée (?) économique, source de la plupart des maux dont souffrent les Européens. Il y aura changement majeur en Europe lorsque sera privilégiée une politique qualitative, célébrant la famille via une politique nataliste, dans le respect des ethnies et religions originelles.
Source EuroLibertés cliquez là
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lundi, 11 avril 2016
Vers un tremblement de terre politique en Autriche
Lionel Baland Eurolibertés cliquez ici
Alors que les partis sociaux-démocrates et sociaux-chrétiens se partagent le pouvoir en Autriche depuis la fin de la IIe Guerre mondiale, le pouvoir d’attraction de ces deux organisations politiques du système s’effondre. Cette situation peut conduire à un tremblement de terre politique consistant à l’élimination à l’issue du premier tour de l’élection présidentielle du 24 avril 2016 des candidats de ces deux partis.
L’Autriche compte plus de huit millions d’habitants, parmi lesquels 1 800 000 à Vienne. Cette concentration de population dans la capitale du pays tire ses origines du fait que cette ville était autrefois le centre politique de l’empire des Habsbourg. Du démantèlement de celui-ci à l’issue de la Ire Guerre mondiale est née la petite République d’Autriche.
Le pays doit faire face à un antagonisme politique : Vienne « la rouge » est un bastion des sociaux-démocrates alors que les campagnes sont dominées par les sociaux-chrétiens/conservateurs. Une troisième famille politique joue également un rôle : les libéraux et nationalistes grand-Allemands. Ils sont issus des idées de la révolution libérale de 1848 à Francfort-sur-le-Main en Allemagne, conséquence de la révolution ayant eu lieu en France la même année. À cette époque, les libéraux allemands ont des revendications sociales, libérales (liberté de la presse, d’association, de réunion,…) et désirent réunir l’ensemble des germanophones au sein d’un État. Ils s’opposent à l’Allemagne morcelée des princes. Paradoxalement, l’unification allemande est réalisée par le très conservateur Chancelier Bismarck : l’État allemand réunissant les germanophones ne vivant pas au sein de l’empire des Habsbourg naît entre 1866 et 1871. Lorsque l’empire des Habsbourg est démantelé à l’issue de la Ire Guerre mondiale, la possibilité de réunir ses territoires germanophones avec l’Allemagne voit le jour, mais les Alliés la refusent.
Durant l’Entre-deux-guerres, de fortes tensions politiques traversent l’Autriche. Le Chancelier social-chrétien conservateur Engelbert Dollfuss instaure une dictature corporatiste et catholique à laquelle est attribué le nom d’« Austro-fascisme ». Il dissout le Parti communiste ainsi que le Parti national-socialiste dont les membres actifs sont jetés dans des camps de concentration. Suite à la répression des sociaux-démocrates ayant déclenché une grève générale, les ouvriers se soulèvent et provoquent une guerre civile qui est contrée par le régime. En juillet 1934, Engelbert Dollfuss est grièvement blessé lors d’une tentative nationale-socialiste de putsch. Il décède. Kurt von Schuschnigg prend sa succession. Lâché par le dirigeant italien Benito Mussolini, celui-ci est contraint d’accepter en 1938 l’annexion de l’Autriche à l’Allemagne nationale-socialiste.
Après la IIe Guerre mondiale, l’Autriche est ré-instituée et occupée jusqu’en 1955 par l’URSS, les États-Unis, le Royaume-Uni et la France. Deux partis, les socialistes (devenus en 1991 sociaux-démocrates) du SPÖ et les conservateurs/sociaux-chrétiens de l’ÖVP, vont alors se partager le pouvoir à tous les niveaux durant des décennies : les postes du personnel des services publics et de l’administration depuis les plus hauts jusqu’à ceux du personnel d’entretien au sein des écoles de village sont distribués politiquement aux membres des partis rouge (SPÖ) et noir (ÖVP). Une troisième force politique, assez marginale, est aussi active : la VdU, puis le FPÖ représentent la famille politique nationale et libérale. En 1986, alors que le FPÖ dirigé par Norbert Steger de l’aile libérale est au bord de l’effondrement, Jörg Haider en prend le contrôle et le conduit de victoires en victoires, puis le fait entrer en février 2000 dans un gouvernement avec l’ÖVP.
De nos jours, le SPÖ et l’ÖVP gouvernent à nouveau ensemble l’Autriche. Le FPÖ, principal parti d’opposition, est donné dans les sondages à 32-33 %, premier parti du pays. Les prochaines élections législatives doivent avoir lieu au plus tard à l’automne 2018. Mais un autre scrutin national doit prendre place auparavant : les élections présidentielles du 24 avril 2016 et (dans le cas où personne n’obtient 50 % au premier tour) du 22 mai 2016. Les candidats ayant obtenu les 6 000 signatures valables nécessaires sont au nombre de six : le SPÖ Rudolf Hundstorfer, l’ÖVP Andreas Khol, le FPÖ Norbert Hofer, le candidat indépendant membre du parti écologiste Alexander Van der Bellen, la candidate indépendante ancien haute-magistrat Irmgard Griss et le candidat indépendant et ancien entrepreneur Richard Lugner.
Si ce scrutin se singularise par le nombre élevé de candidats, ce sont avant tout ses résultats qui devraient en faire une élection particulière. En effet, les sondages donnent premier le candidat indépendant membre du parti écologiste et soutenu par celui-ci Alexander Van der Bellen, deuxième le FPÖ Norbert Hofer et troisième la candidate indépendante Irmgard Griss. Les candidats du SPÖ et de l’ÖVP sont donnés respectivement quatrième et cinquième devant Richard Lugner qui arrive dernier.
Si cette tendance se confirme dans les urnes, cette évolution accréditera le rejet de plus en plus important des candidats des partis du système, le candidat soutenu par les verts et le candidat nationaliste s’affrontant pour le deuxième tour. Ce scrutin concrétisera la perte massive d’influence des partis du système malgré le fait que ceux-ci verrouillent depuis des décennies le système politique à leur avantage.
Le blog de Lionel Baland cliquez là
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mardi, 05 avril 2016
A Douvres, les Anglais n'ont pas l'air enthousiastes de voir arriver les "migrants"
Des centaines de patriotes anglais ont bloqué Douvres et se sont heurtés à la police pour protester contre l'invasion de leur pays, tandis que la veille, un énorme message de bienvenue était projeté sur des falaises à proximité. Preuve du fossé grandissant entre l'oligarchie collaborationniste britannique et le peuple qui, là aussi, relève la tête.
Pour suivre le combat de la résistance en Europe, consultez LVCI (lLes Villes contre l'islamisation) cliquez ici
10:30 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 27 mars 2016
Contre le terrorisme et les lamentables pleurnicheries des bisounours : 500 jeunes patriotes bruxellois sauvent l'honneur de la Belgique
NATION soutient les jeunes patriotes de la Bourse !
Ce dimanche 27 mars, 500 jeunes patriotes sont venus crier à la Bourse leur colère face aux attentats de Bruxelles du 22 mars dernier qui ont provoqué la mort de plus de 30 personnes.
Loin des niaiseries auxquelles nous ont habitué les bobos de tous poils, ces jeunes patriotes ont exprimé leur haine des djihadistes et leur attachement à leur pays avec des slogans tels que 'On est chez nous !".
Ce politiquement incorrect leur a valu d'être repoussés puis chargés par la police sous les beuglements de la gauche bien-pensante qui criait "Non à la haine !".
Il est dommage que cette même gauche n'ait pas crié ce slogan aux islamistes, toutes les années où elle les a protégé.
Le Mouvement NATION soutient les jeunes patriotes qui ont manifesté ce jour et reprend avec eux, ce slogan évident : "On est chez nous !"
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vendredi, 18 mars 2016
Samedi dernier, Gabriele Adinolfi a présenté son "projet Lansquenet" et l'organisation EurHope à Paris
Un communiqué de Gabriele Adinolfi :
EurHope vient de naître et bientôt elle apprendra à marcher .
Annoncée à Paris samedi 12 mars, baptisée au Parlement Européen à Bruxelles mardi 15, elle va faire son début en tant que société à Milan le mercredi 23 mars. A Bruxelles nous avons enregistré des personnes présentes en provenance de neuf nations, à Milan les orateurs viendront de cinq pays.
Qu’est que c’est ? Plus un Think Tank (un tank de la pensée) qu’un Centre d’Etudes, EuHrope se conçoit aussi comme quelque chose de différent.
TOUT D’ABORD il s’agit d’un carrefour européen pour les forces nationalistes, populistes, ethnorégionalistes, qui se propose de donner vie à un laboratoire, à une école de cadres et à un centre stratégique dans la vision de l’Imperium.
PARALLELEMENT ce centre s’engagera dans la création de réseaux et dans la réalisation de synergies concrètes qui puissent permettre aux forces vives de la société de se faire respecter à l’époque de l’après-démocratie.
Certains des objectifs de son action se révèlent dans l’ambition de jouer un rôle dans :
- L’organisation sociale et économique des producteurs.
- La coordination des travailleurs actifs et conflictuels.
- La représentation corporatiste des catégories sociales dans les négociations directes.
Sur ces 3 objectifs nous avons déjà commencé à agir. Au premier d’entre eux nous avons dédié la structure dénommée Lambda, au troisième l’action dans le domaine de « stake-holders ». Quant au deuxième point, pensons aux agriculteurs (et pourquoi pas aux marins-pêcheurs et aux éleveurs) qui sont en contestation partout ignorés par les médias et sans une véritable coordination dans les régions d’un même pays. Réussir à faire coordonner leurs actions entre la France, la Grèce, l'Espagne et l'Italie ne serait pas anodin et c’est l’un des objectifs que nous ne dédaignons pas.
EN L’ETAT ACTUEL nous sommes sur la grille de départ mais, pour une habitude qui nous est devenue propre, il y a eu d’abord gestation et nous nous nous trouvons ainsi déjà à un point d'avancée satisfaisant dans chacun de nos objectifs.
EVIDEMMENT pendant quelques mois le travail s’effectuera principalement sans trop de bruit. Il faut ajouter que les temps de réaction seront différents selon les pays, dû à la fois aux différences objectives et au retard d’activation du projet.
En ces dernières semaines nous avons en tout cas progressé dans toutes les directions et structuré tous les secteurs en embryon. En France, nous allons procéder rapidement, à des niveaux de coordination générale nous avons déjà une première ébauche inter-nationale dans Lambda, dans les Stake Holders et dans le Think Tank.
Il s’agit maintenant de procéder au pas cadencé, en privilégiant le substantiel par rapport à l’apparent et en nous donnant comme finalité la synergie et l’orchestre.
En d’autres termes, il s’agit d’une révolution culturelle qui, détrompez-vous, n’est intellectuelle qu’en petite partie. Une révolution culturelle qui s’accomplit dans l’action, dans l’engagement, dans la sueur et dans l’offre et qui nous mènera, si nous en sommes capables, à atteindre le but le plus ambitieux : à devenir ce que nous sommes ou du moins, ce que nous prétendons être.
Pour contacter Gabriele Adinolfi : ga@gabrieleadinolfi.it
Le livre consacré à l'Europe cliquez là
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dimanche, 13 mars 2016
Elections régionales en Allemagne : Merkel écrasée par le parti anti-immigration
Source BREIZATAO cliquez ici
Treize millions d’Allemands étaient appelés aux urnes, dimanche 13 mars, dans les Länders (régions) de Bade-Wurtemberg, de la Rhénanie-Palatinat et de la Saxe-Anhalt. Le scrutin était considéré comme un test majeur pour Angela Merkel avant les élections fédérales de 2017. Elles ont tourné au désastre pour la chancelière allemande, écrasée dans son fief historique par le nouveau parti anti-immigration “Alternative pour l’Allemagne”.
Défaite historique
Le parti de la chancelière, l’Union chrétienne-démocrate (CDU), enregistre une défaite dans deux régions des trois régions où se déroulaient les élections, selon les premiers sondages réalisés à la sortie des bureaux de vote. La CDU (centre-droit) est battue en particulier dans son fief historique du Bade-Wurtemberg, où elle obtiendrait 27,5 % des voix et est devancée par les Verts (32,55 %).
Surtout, le principal vainqueur de ces scrutins régionaux est le nouveau parti anti-immigration, Alternative pour l’Allemagne (AFD). Il réalise une percée majeure, obtenant 10% dans la Rhénanie-Palatinat, 21,5% dans la Saxe-Anhalt et 12,5% dans le Bade-Würtemberg.
Le début de la fin pour Angela Merkel
Cette défaite historique est un coup terrible pour Angela Merkel qui subit là les conséquences de sa politique migratoire extrémiste. L’Allemagne a ainsi accueilli, sur ordre de la chancelière, plus d’un million de musulmans en 2015 et devrait en recevoir autant en 2016. L’actuel chef du gouvernement allemand refusant catégoriquement de changer sa politique sur la question.
Totalement isolée en Europe, ayant provoqué la désintégration de Schengen, Merkel est désormais clairement menacée en Allemagne où son parti risque de voir ses électeurs se tourner en masse vers l’AFD. Un parti pourtant âgé de seulement 3 ans.
Cette défaite va, à n’en pas douter, donner matière à réflexion dans les capitales d’Europe de l’Ouest. Si le chef du gouvernement le plus puissant d’Europe tombe sur la question migratoire, il deviendra pour les partis de gouvernement très risqué – pour ne pas suicidaire – de défendre une politique immigrationniste radicale.
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mercredi, 03 février 2016
TV Libertés et Lionel Baland ont rencontré Pégida à Dresde, point de départ du réveil allemand
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dimanche, 31 janvier 2016
Choses vues à Cologne
Robert Spieler et les intervenants au meeting de Pro Köln
Robert Spieler pour Rivarol
J’étais, le weekend end dernier, à Cologne à l’invitation du mouvement identitaire Pro-Köln, qui avait organisé une réunion de nouvel an à la mairie de Cologne, où il dispose de quelques élus. La salle mise à disposition par la folle mairesse socialiste de Köln (vous savez, celle qui expliquait que pour se protéger des agressions de migrants, il fallait que les femmes se tiennent à distance d’un bras d’eux) était bien entendu trop petite pour contenir les 300 personnes présentes. J’ai pris la parole, aux côtés de Hilde De Lobel, ex députée du Vlaams Belang flamand et d’ A. Herzog, un dirigeant autrichien du Fpoe. J’ai évoqué l’invasion que vit la France et la terrible dénatalité que subit l’Europe. L’Allemagne perdra plus de sept millions d’indigènes, si j’ose dire, d’ici 2050. J’ai évoqué Jean Raspail (que les Allemands connaissent car son livre a été traduit) et Houellebecq et sa réflexion : « L’islam est la religion la plus conne du monde » suscitant, on l’imagine, de vifs applaudissements. J’ai désigné les responsables et exprimé le souhait, qu’un jour, ils soient jugés par un tribunal. Et j’ai ajouté : « Je propose que ce procès ait lieu à Nuremberg… » Deux secondes de flottement dans l’assemblée (aucun Allemand n’aurait osé formuler ce propos, tant la terreur y est grande), puis des applaudissements enthousiastes ! L’Allemagne, je l’ai souvent dit dans ces colonnes, est la pire dictature en Europe. Et les choses ne s’améliorent pas. Angela Merkel, qui s’effondre dans les sondages (plus que 37% d’opinions favorables) a trouvé le sésame pour se refaire une santé. Elle a annoncé vouloir créer une cour de justice spéciale afin de réprimer les opposants à l’immigration musulmane. Quant au ministre allemand des Finances, Wolfgang Schaüble, il a demandé la création d’une “taxe européenne sur le fuel” pour financer l’accueil des migrants… Des traîtres, vous disais-je, des traîtres… Et pendant ce temps-là, l’Autriche résiste. Le président du FPÖ Heinz-Christian Strache a fusillé dans une interview le Premier ministre social-démocrate Werner Faymann en le qualifiant d’ennemi de l’État : « L’Autriche doit s’attendre cette année à 300.000 migrants, qui tous veulent rester ici. Celui qui fait cela à son pays est un ennemi de l’État. ». Mais revenons à la situation en Allemagne, et plus particulièrement à celle des résistants..
Où en sont les mouvements résistants ?
Il y a tout d’abord Pégida,dont le leader est Lutz Bachmann, qui organise partout en Allemagne des manifestations contre l’invasion. Ces manifestations sont particulièrement importantes à Dresden, en ex-Allemagne de l’est, où, tous les lundis, près de dix mille protestataires se réunissent, malgré un froid glacial, pour exprimer leur refus de l’islamisation de l’Allemagne. Ces manifestations ont pour modèle celles qui, organisées semaine après semaine à Dresden, avaient entraîné la chute du mur de Berlin. Pegida n’a pas, pour l’instant, d’ambitions électorales et collabore avec d’autres mouvements résistants allemands et européens (dont le Vlaams Belang avec qui il vient d’organiser une manifestation à Anvers). Le parti anti-européiste Alternative für Deutschland (Alternative pour l’Allemagne) connait un considérable succès dans les sondages, qui donnent au parti 11% des voix si les élections avaient lieu aujourd’hui, derrière la CDU (37 %) et le SPD (24 %), mais désormais devant Die Linke (la gauche) et les Verts. Rappelons qu’en août 2015, le parti AfD n’avait le soutien que de 3 % des électeurs allemands dans les sondages. Depuis, il ne cesse de progresser. Le parti nationaliste NPD, qualifié de néo-nazi, semble, quant à lui, en perdition et subit, une fois de plus une menace d’interdiction. Rappelons qu’une telle menace planait déjà, il y a quinze ans sur le mouvement. Or les juges se rendirent compte que plus de la moitié des dirigeants du parti, dont les plus violents, les plus provocateurs, étaient des policiers du Verfassungsschutz infiltrés… Le Verfassungsschutz est l’organe de défense de la constitution, une sorte de police politique, bien pire que tout ce que nous pouvons imaginer en France. Une manifestation de Pegida avait été organisée récemment à Cologne. 5000 personnes étaient présentes. Un beau succès qui ne dura qu’un quart d’heure. Des hooligans stipendiés par le régime ont attaqué la police. Ils sont membres de l’organisation Hogesa (Hooligans gegen salafisten ; hooligans contre salafistes). Leur fondateur vient de mourir de mort naturelle. Il est confirmé qu’il était un agent du Verfassungsschutz… Et pendant ce temps là, l’avocat Horst Mahler (89 ans), qui fut aussi celui de la RAF (Rote Armee Fraktion), l’ultra-gauche violente des années 1970, croupit en prison, pour douze ans, pour propos révisionnistes. Il est le plus vieux prisonnier politique au monde. Mais la justice allemande sait être clémente. La preuve : Elle est prête à le libérer aux deux tiers de sa peine. Bon, il a quelques soucis de santé, il a été amputé, en prison, d’une jambe, il a été hospitalisé dans un état critique… Mais il conviendrait pour l’esthétique démocratique qu’il ne mourût pas en prison… Ainsi va l’Allemagne dégénérée…
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samedi, 30 janvier 2016
Délit d'images : la photo de la honte...
Source Délit d'images cliquez ici
C’est une honte : voici donc les « réfugiés » qui rallient l’Europe par milliers chaque jour. On nous en annonce 4 millions cette année 2016. Regardez bien cette photo : UNE femme et SEPT hommes. Chacun de ces hommes est bien habillé, chaudement. Certains ont des ponchos imperméables qui les protègent de la neige fondante. Ils portent TOUS des chaussures de bonne qualité SAUF la femme qui va pieds nus !
Ils ont tous de bonnes chaussures et la seule femme va pieds nus ! Elle porte 2 enfants et aucun de ces « réfugiés » ne l’aide. Répugnant !
Aucun de ces hommes n’aide cette femme (voilée) à porter ses deux petits enfants (un sur le dos, un sur le ventre). Elle a un troisième enfant ; une petite fille à ses côtés.
Il s’agit d’un groupe ou je rêve ? ! Comment ces « hommes » peuvent-ils laisser cette femme seule porter 2 enfants sans l’aider ? Aucun respect, aucune morale. Qu’est-ce que c’est que ces barbares répugnants ? C’est eux qui paieront nos pensions demain ? ! De qui se moquent nos politiciens ?
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Des patrouilles chrétiennes pour sillonner les quartiers musulmans des grandes villes anglaises
Une information Médias presse info cliquez là
Royaume-Uni : voici des patrouilles chrétiennes pour sillonner les quartiers musulmans des grandes villes anglaises.
Tout à commencer en 2010, quand dans les banlieues Est de la capitale britannique, certains islamiques instituèrent des « muslim patrols » (patrouilles musulmanes) : bandes de barbus qui reprennent les couples qui se tiennent par la main dans les rues, terrorisent ceux qui boivent de l’alcool, ou qui porte en public des vêtements impudiques.
Face à ce phénomène d’imposition d’une forme de charia dans les quartiers à majorité musulmanes, le nationaliste « Britain First » a décidé de réagir en créant des patrouilles chrétiennes. Ces rondes veulent être une réponse aux milices musulmanes et rappeler que la Grande-Bretagne est une terre chrétienne. Insultes, coups bas, crachats, de la part des Islamiques, ponctuent leur marche, croix en tête, à travers les rues des quartiers où les Anglais de souche ont été balayés.
Cette initiative du parti de droite a été blâmée par différentes églises chrétiennes qui l’ont définie comme « provocatrice » et « semeuse de division ». Pourtant il suffirait à ces pasteurs chrétiens décérébrés de regarder la vidéo posté par Britain First pour réaliser non seulement que ces islamistes se sentent chez eux chez nous mais qu’ils veulent que le Royaume Uni devienne terre d’Islam !
Vu le masochisme des politiciens britanniques, ce futur n’est peut-être pas si lointain : le parti travailliste a décidé de présenter pour les prochaines élections municipales à Londres, place financière mondiale et ville où les britanniques de souche sont minoritaires, un candidat musulman d’origine pakistanaise, Sadiq Khan.
A quand le reine Élisabeth ou la jolie Kate en burqa pour mieux se fondre dans le nouveau paysage ethnique londonien ?
Que les élites britanniques prennent garde : leur laxisme, leur libéralisme idéologique qui favorise l’invasion de leur royaume va amplifier la cassure qui existe déjà entre pays réel et pays virtuel et créer un Royaume-Uni désuni ! Qu’ils se souviennent de la parabole du Seigneur : « Tout royaume divisé contre lui-même est réduit en désert, et toute ville ou toute maison divisée contre elle-même ne subsistera pas. » (St Matthieu, 12, 25)
Francesca de Villasmundo
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mercredi, 27 janvier 2016
Le nouveau site de Gabriele Adinolfi
Notre ami Gabriele Adinolfi, Président du Centre Polaris de Rome et instigateur du Projet européen Lansquenet, vient de se doter d'un nouveau site. Il y développe ses positions politiques, sociales et géopolitiques. En particulier l'activité de lobbying qu'il est en train de mettre en place. Nos lecteurs qui désireraient en savoir plus peuvent consulter ce site en cliquant ici ou prendre contact avec Gabriele Adinolfi en écrivant à cette adresse
Profitons-en pour vous proposer les deux derniers livres de Gabriele Adinolfi publiés par Les Bouquins de Synthèse nationale :
En savoir plus cliquez ici
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dimanche, 24 janvier 2016
Réunion à Cologne pour préparer la riposte à l'invasion
Afin de préparer la résistance européenne à l'invasion, une réunion s'est déroulée cette fin de semaine à Cologne à l'initiative du mouvement Pro NRW présidé par Markus Beisicht. La France y était représentée par Robert Spieler, ancien député, chroniqueur à l'hebdomadaire Rivarol et Amis de Synthèse nationale. Hilde De Lobel, responsable du Vlaams belang, était aussi présente à cette importante réunion sur laquelle nous reviendrons très prochainement.
Rappelons qu'il y a quelques années Pro NRW et Pro Köln étaient les premiers à s'opposer dans la rue à l'islamisation de l'Allemagne en organisant plusieurs manifestations contre la construction d'une immense mosquée à Cologne.
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samedi, 09 janvier 2016
Suivez en direct sur TV Libertés les événements de cet après midi à Cologne
Une semaine après l'ignoble soirée du 31 décembre au cours de laquelle des dizaines de femmes allemandes ont été violées par des migrants dans le centre de Cologne, une grande manifestation populaire organisée par PEGIDA et différentes organisations patriotiques a lieu cet après-midi devant la gare de la ville rhénane.
Au dernières nouvelles, les flics de la criminelle Merkel, absents lors des carnages de la St Sylvestre, utilisent les canons à eau contre le peuple en colère...
Vous pouvez suivre en direct la manifestation grâce à TV Libertés cliquez ici
16:44 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 08 janvier 2016
Pays-Bas : la volonté populaire face aux palabres des élus collabos...
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mercredi, 06 janvier 2016
Habituez-vous à la nouvelle Europe : en Allemagne, des femmes « chassées comme du gibier » par les réfugiés
Jean-Patrick Grumbert - Dreuz info cliquez là
Cologne, Hambourg, Stuttgart… la police et les Allemands inquiets après une nouvelle série d’agressions sexuelles le soir du réveillon du nouvel An dans plusieurs villes allemandes, toutes sur le même modèle : des meutes d’hommes d’origine arabe et africaine pourchassent, harcèlent sexuellement, volent, violent des jeunes femmes.
L’Allemagne découvre avec effarement les bienfaits d’une population réfugiée musulmane misogyne, homophobe, et éduquée dans l’idée qu’une femme doit être soumise aux désirs des hommes.
L’Allemagne qui accélère son suicide (son très faible taux de natalité a déjà signé sa volonté de disparaitre) a accueilli les bras ouverts une population de réfugiés mâles arrivés sans femmes – et nous avions annoncé que cela ne pouvait pas ne pas poser des problèmes de viols, car ces hommes ont besoin de satisfaire leurs besoins sexuels, et si dans leurs pays ils sont freinés par les burqas, ils ne sont pas habitués aux mini-jupes et tenues occidentales qu’ils considèrent comme une invite.
L’Allemagne peut toujours feindre de se plaindre de la situation explosive, mais quand on est con on est con, et ça se paye. Et il faut vraiment être sacrément con pour ne pas avoir vu venir ce qui arrive. Con ou politiquement correct, cela revient au même rejet du bon sens.
Donc. Pendant la nuit de la Saint-Sylvestre, plusieurs dizaines de femmes ont été agressées sexuellement par des groupes composés de centaines d’hommes musulmans, dans plusieurs grandes villes, rapporte la police et quelques médias.
A Cologne, le chef de la police, Wolfgang Albers a déclaré au Süddeutsche Zeitung que « l’ampleur des crimes a atteint une nouvelle dimension », laissant au lecteur le soin d’imaginer cette nouvelle dimension…
Albers confirme au quotidien allemand – et c’est bienvenu car la plupart des journalistes travaillent dur pour enterrer la réalité contraire à leur idéologie xénophile, que les agresseurs étaient nord-africains et arabes, selon les victimes et les témoins.
Quelques rares médias (en Allemagne, tous les médias ne sont pas en état avancé de décomposition morale comme en France) affirment que de « meutes d’hommes » s’en sont pris à des femmes, parfois très jeunes.
A Cologne, elles ont été dérobées de leurs téléphones, argent et effets personnels, violées, agressées, harcelées, principalement près de la gare principale de Cologne.
Près de la gare centrale et de la place de la Cathédrale, 400 à 500 hommes jeunes d’origine nord africaine ont commencé à faire éclater des pétards dans la foule…
Pour l’instant, nous avons reçu 60 plaintes, a déclaré la police, qui suspecte qu’un plus grand nombre va suivre : « les agressions sont d’une toute nouvelle envergure », a déclaré le chef de la police de Cologne Wolfgang Albers.
Environ 15 jeunes femmes ont déclaré avoir été sexuellement agressées, et il y a même eu un cas de « viol par plusieurs hommes » a déclaré Albers.
Des groupes d’hommes de 15 à 35 ans se sont regroupés pour voler et harceler des jeunes femmes. Ils se sont livrés à des attouchements, a précisé Albers, au point que le maire de Cologne a immédiatement réuni une cellule de crise.
143 officiers de police furent envoyés à la garde centrale pour donner renfort aux 70 policiers fédéraux déjà sur place. Selon le commissaire de police Wolfgang Wurm, les victimes et les témoins ont tous déclaré que la plupart des agresseurs « semblaient venir d’Afrique du nord et avaient l’apparence arabe ».
Le maire de Cologne, Henriette Reker a d’abord décrit les évènements comme « outrageants ». Mais plus tard, lors d’une conférence de presse, elle a accusé les jeunes femmes agressées d’être responsables de leur sort en raison de leur comportement, qui devrait être adapté à la présence et à la culture de ces nouveaux venus.
A Hambourg, Bild parle de « chasse aux jeunes femmes comme du gibier» par des hordes musulmanes sauvages, dans la Reeperbahn, la rue animée de Hambourg.
Plusieurs groupes d’environ 5 à 15 hommes se sont littéralement engagés dans « une chasse aux jeunes femmes comme on chasse du gibier ».
Le premier incident s’est produit vers minuit dans Hans-Albers-Platz et Grosse Freiheit. Selon des témoins, la plupart des agresseurs étaient des jeunes étrangers probablement nord africains qui se sont mis en bandes pour harceler des jeunes femmes, d’abord verbalement en les traitant de « salopes », « vicieuses », « putes ». Puis les proies étaient entourées puis violentées et volées. Les hommes se sont ensuite livrés à des attouchements, attrapant leur poitrine et leur sexe.
Leurs téléphones portables furent volés, rapporte le porte parole de la police Holger Vehren: « pour l’instant, sur les 6 plaintes que nous avons enregistré, les victimes ont entre 18 et 24 ans… » mais il semble qu’il y ait beaucoup, beaucoup plus de victimes.
Beaucoup sortaient de clubs ou de pubs, et ont commencé à paniquer puis à éclater en sanglot, et de honte, n’ont pas alerté la police.
Denise, 17 ans (le prénom a été changé) déclare : « Deux amies à moi ont été attaquées. Des filles étaient pourchassées comme on chasse des animaux. Qu’une chose pareille soit possible à Hambourg me rend malade. Maintenant on a peur de faire la fête dans le quartier. «
D’autres jeunes femmes, sur les réseaux sociaux, avouent avoir été attouchées sous leurs jupes, et si elles résistaient, ils leurs immobilisaient les poignets.
La police a ouvert une enquête pour harcèlement sexuel, vol et agression.
Puis les agresseurs se rendirent dans les rues de Reeperbahn. La police a fait un appel à témoins qui sont priés d’appeler le 040/4 28 65 67 89.
A Stuttgart, deux jeunes filles ont été sexuellement violentées par un groupe d’hommes, puis volées et frappées, témoigne le magazine Focus citant la police municipale.
Deux jeunes filles de 18 ans marchaient dans Schlossplatz vers 23h30 quand elles furent soudainement encerclées par environ 15 hommes qui les empêchèrent de s’enfuir. Ils se sont alors livrés à des attouchements, et leur ont dérobé leurs smartphones et leurs sacs. Elles doivent de ne pas avoir été violées à la présence de passants qui leur ont permis de partir en courant.
Dans un communiqué, la police a lancé cet appel à témoin pour retrouver les perpétrateurs : « il s’agit d’Arabes de type nord africains aux cheveux noirs, agés d’environ 30 à 40 ans. Les gens qui sont venus en aide des jeunes femmes, et les autres témoins de l’incident sont priés de se faire connaitre auprès des autorités du département d’enquêtes criminelles aux numéros suivants : 8990/5778.
Mais rassurez-vous, devant l’évidence, il se trouve aussi en Allemagne de nombreux journalistes complices et franchement abjectes qui affirment « qu’il n’existe aucune preuve pour le moment que les réfugiés soient les auteurs de cette nouvelle violence ». Ces mêmes journalistes sont les premiers à condamner l’extrême droite sans s’embarrasser de la moindre preuve, lorsqu’ils peuvent.
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jeudi, 31 décembre 2015
2016, l’année des marches ?
Leipzig 1989
Dresde 2015
Lionel Baland*
Depuis des mois, jour et nuit, des migrants pénètrent au sein de l’Union Européenne et de l’Espace Schengen sans y être ni autorisés, ni enregistrés. La plupart ne sont pas des réfugiés, mais des immigrés économiques, hommes jeunes qui ne proviennent pas de zones de guerre. Une partie de ces individus constituent une menace pour les populations locales, mais également pour les vrais réfugiés. En effet, ces derniers voyagent difficilement avec leur famille comprenant des femmes, des enfants et des personnes âgées et se retrouvent à côtoyer ces migrants économiques, hommes jeunes, organisés, vêtus de chaussures de marche et de grosses vestes et qui peuvent parcourir en groupe plusieurs dizaines de kilomètres par jour. Cette situation engendre de nombreux problèmes et menaces. Par exemple, des organisations humanitaires ont mis en avant le fait que dans les centres d’accueil pour réfugiés en Allemagne, les femmes seules y sont d’un point de vue sexuel de véritables proies.
Au total, un million de migrants, parmi lesquels une minorité de réfugiés de guerre, sont entrés en Europe en 2015. La politique d’Angela Merkel visant à ouvrir les portes de son pays à ces masses est particulièrement irresponsable car elle attire, à côté de nombreux migrants économiques, des réfugiés de guerre vivant souvent depuis des mois dans des camps en Turquie tout en ne mettant à leur disposition aucun moyen de voyager vers l’Allemagne. En conséquence, ceux-ci doivent se rendre par eux-mêmes dans le nord de l’Europe à leurs propres frais en arrosant d’argent des passeurs et autres mafieux. De plus, sur le parcours, les masses migrantes ne disposent pas d’accès à des sanitaires, douches, logements, poubelles, sources d’eau potable, prises électriques pour recharger les téléphones portables, etc… Le chaos s’installe sur ce tracé, à commencer par la partie grecque, alors que ce pays est frappé par une crise économique extrêmement grave. Les autres pays des Balkans, qui ne sont pas très riches, subissent aussi ce flot migratoire. La seule solution pour les États traversés est de permettre aux migrants de franchir et de quitter le plus vite possible leur territoire respectif. Chacun se refile la patate chaude.
Des élections ont lieu à un endroit ou à un autre d’Europe, ce qui permet aux patriotes de récolter de bons scores et plus d’élus et d’obtenir plus de moyens, notamment financiers. Par exemple, en Autriche, les patriotes gouvernent deux des neuf États, un avec les conservateurs et l’autre avec les sociaux-démocrates. Mais face à cette quasi-submersion migratoire, attendre des élections nationales ou locales, afin de récolter des élus qui pourront éventuellement prendre part aux majorités, ne permet pas de répondre immédiatement à cette grave menace qui s’amplifie de jour en jour. La seule solution qui s’offre aux citoyens, c’est de marcher sur le modèle de ce qui se passe à Dresde en Allemagne les lundis sous la bannière de PEGIDA : rassemblement, discours et marche. Cette situation ne peut que conduire à de graves inquiétudes chez les politiciens du régime. Si demain, dans des villes, villages, sur les places ou devant des endroits comme des centres pour demandeurs d’asile, des rassemblements ont lieu, la force insurrectionnelle sera en marche. Une fois lancée, nul ne sait si elle s’arrêtera ou sera arrêtée par le système ou si elle conduira à la chute du régime. En 1989, en Allemagne de l’Est, tout a commencé autour d’une poignée d’individus par des rassemblements au sein de l’église Saint-Nicolas de Leipzig et des marches dans les environs. De plus en plus de personnes y ont pris part et le régime est finalement tombé. Dresde, Leipzig, Duisbourg, Ajaccio,… les marches ont débuté. Demain, une marche près de chez vous ?
* Lionel Baland anime un site remarquablement bien informé sur les mouvements nationaux et identitaires à travers notre belle Europe cliquez ici
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mercredi, 23 décembre 2015
Dresde (Allemagne) lundi 21 décembre : PEGIDA a réalisé son plus grand rassemblement populaire depuis son lancement.
Gigantesque rassemblement à Dresde lundi dernier contre l'immigration en Allemagne. Le plus grand depuis le lancement du mouvement il y a un peu plus d'un an dans cette ville allemande.
Lire le blog de Lionel Baland cliquez ici
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lundi, 14 décembre 2015
Conférence de presse de l'association "Urgence enfants du Dombass" à Paris
Le Président Fragny et le Vice-Président Leroy lors de la conférence de presse de vendredi dernier à Paris.
Le 11 décembre 2015 se tenait à Paris, une conférence de presse organisée par l'association humanitaire "Urgence, enfants du Donbass".
Les journalistes réunis dans un salon d'une célèbre brasserie parisienne ont écouté pendant plus d'une heure Alain-Christian Fragny et Emmanuel Leroy, respectivement président et vice-président de l'association relater les deux actions qu'ils ont menées durant l'année 2015 en faveur des populations civiles du Donbass. Parmi les journalistes étaient présents des représentants de la presse patriote comme Synthèse nationale, Rivarol et TV Libertés. L'agence Tass, le service presse de l'ambassade de la fédération de Russie et le Monde étaient aussi représentés. Il faut citer également un correspondant de l'Agence Novorossia Today cliquez ici par ailleurs membre de l'association de soutien au Donbass, Novopole.
Le président Fragny a expliqué les motivations qui l'on conduit à s'engager. Citoyen européen, malheureux du déclin de notre continent il a regardé avec sympathie et admiration l'œuvre de redressement de la Russie accomplie par Vladimir Poutine.
Ce patriotisme tranche malheureusement avec l'aveuglement des dirigeants ouest européens soumis aux diktats de Washington. Cette soumission allant jusqu'à soutenir les pires hommes de main du nouvel ordre mondial, les terroristes salafistes en Syrie, les bataillons punitifs ukrainiens dans le Donbass.
Ce dernier conflit provoqué par la volonté des occidentaux d'encercler la Russie a engendré plus de 8 000 morts, 17 000 blessés et le bombardement aveugle de populations civiles.
Un fait divers a particulièrement choqué Alain-Christian Fragny. Durant les combats de 2014, les troupes du régime kievien n'ont pas hésité à mener une attaque aux gaz contre l'hôpital de traumatologie de Donetsk.
Cette abomination a été le déclencheur qui a conduit à la création de l'association en septembre 2014.
Emmanuel Leroy a ensuite détaillé les actions menées pendant l'année écoulée. "Urgence, enfants du Dombass" ne reçoit aucune aide des pouvoirs publics français mais fait appel à la générosité des particuliers.
En mai 2015 en liaison avec le ministère des Affaires étrangères de la République populaire de Donetsk, une première mission a été organisée. Elle a permis de remettre 3 000 € au centre de réhabilitation des enfants. Cette somme représente une véritable aide pour un pays ou le salaire moyen des fonctionnaires équivaut à 80€ par mois.
En décembre, lors d'un deuxième voyage, les bénévoles de l'association on remis cette fois ci 8 000 € pour remettre en état le chauffage de la maison des enfants, prendre en charge les soins de 4 petits blessés et avec le reste de l'argent acheter des jouets pour les fêtes de Noël.
L'orateur a indiqué que les buts de l'association était essentiellement humanitaire mais que devant la multiplication des crimes de guerre ukrainien," Urgences, enfants du Donbass" souhaitait qu'une action puisse être engagée devant le tribunal pénal international à l'encontre des dirigeants de la junte de Kiev.
En appui de ces propos, plusieurs dizaine des photos insoutenables représentants des civils mutilés par les bombardements terroristes ont été présentées aux journalistes.
La conférence c'est terminée par les questions posées par l'assistance. Alors qu'un journaliste demandait si l'association rencontrait des difficultés à diffuser son message, Emmanuel Leroy a répondu "qu'aujourd'hui le polarité s'étant inversée, le monde russe représente un monde liberté alors qu'a l'ouest, les médias aux ordres font peser une chape de plomb sur l'information."
Urgences Enfants du Donbass poursuivra son action en 2016, une collaboration avec l'association Novopole est envisagée pour créer une synergie en faveur du Donbass et de sa population.
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vendredi, 11 décembre 2015
RAPPEL : dimanche prochain, 13 décembre, à Aix-la-Chapelle, rassemblement de PEGIDA contre l'islamisation de l'Europe
Ce dimanche 13 décembre 2015 à 14h, 4 PEGIDA (PEGIDA Liège/Lüttich, PEGIDA Flandre, PEGIDA Pays-Bas et PEGIDA Allemagne) organisent un rassemblement international à Aix-la-Chapelle (Aachen) en Allemagne.
Le lieu de rassemblement est le Tivoli sur la place située devant le stade de football. (Adresse : Krefelder Strasse 205, 52070 Aachen, Allemagne).
Lire toutes les informations sur le site de Lionel Baland cliquez ici
09:17 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 02 décembre 2015
Alain Escada s'entretient avec Roberto Fiore sur la situation en Italie
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Dimanche 13 décembre à Aix la Chapelle (Allemagne) : un rassemblement organisé par PEGIDA
Quatre PEGIDA organisent le dimanche 13 décembre 2015 à 14h un grand rassemblement à Aix-la-Chapelle en Allemagne : PEGIDA Flandre, PEGIDA Liège/Lüttich, PEGIDA Pays-Bas et PEGIDA Rhénanie du Nord-Westphalie (NRW). Une partie des discours se tiendront en français. En savoir plus cliquez là
10:28 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 19 novembre 2015
Vladimir Poutine : « Pardonner aux terroristes, c’est le rôle de Dieu, les envoyer auprès de Lui, c’est mon affaire »
« Pardonner aux terroristes, c’est le rôle de Dieu, les envoyer auprès de Lui, c’est mon affaire » Ce sont les mots forts du Président de la Russie, Vladimir Poutine, en officialisant l’attentat terroriste djihadiste, qui a touché l’avion qui a explosé en Egypte avec 224 personnes à bord.
La journaliste de l’agence russe RT, Remi Maalouf, a publié sur son twitter ces déclarations, qui se sont répandues rapidement.
Pendant la conférence de presse dans laquelle on a communiqué les conclusions de l’attentat du Sinai, Poutine a averti publiquement les djihadistes « Nous irons vous chercher jusqu’au bout du monde, et là, nous vous tuerons. »
« Sur le vol a explosé un artefact explosif d’une puissance de 1,5k de trilite. Le résultat a été la désintégration de l’appareil en plein vol» informa le chef du Service Fédéral d’Information (FSB, succédant à l’ancien KGB), Alexandre Bortnikov.
Vladimir Poutine a annoncé durant la conférence de presse que la Russie intensifiera ses bombardements en Syrie contre l’Etat Islamique. « Le travail de notre aviation de guerre non seulement doit continuer. Il doit s’intensifier de telle manière que les criminels comprennent que la vengeance est inéluctable. » La guerre ne fait que commencer.
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jeudi, 12 novembre 2015
"Migrants" : face à la complicité de Bruxelles, les peuples d'Europe se réveillent...
Bologne la semaine dernière,
Dresde lundi dernier,
Varsovie hier...
Les prémices du réveil européen...
Pour suivre l'actualité en Europe : Lionel Baland
12:46 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 27 septembre 2015
2 et 3 octobre à Rome : Xe rencontre nationale de l'Institut Polaris
Dimanche 11 octobre : Gabriele Adinolfi sera à Rungis
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Un fils du Colonel Kadhafi sera t-il le futur Chef de l'Etat libyen ?
Bernard Lugan
L'Afrique réelle cliquez ici
Le 14 septembre 2015, un coup de tonnerre a retenti dans le ciel serein des certitudes démocratiques européo centrées quand le Conseil suprême des tribus de Libye désigna Seif al-Islam Kadhafi comme son représentant légal. Désormais, voilà donc un fils du défunt colonel seul habilité à parler au nom des vraies forces vives de Libye...
Les abonnés à l'Afrique Réelle et les lecteurs de ce blog ne seront pas surpris par cette nouvelle puisque, depuis 2012, je ne cesse d'écrire :
1) Que la pacification de la Libye ne pourra se faire qu'à partir des réalités tribales.
2) Que le seul à pouvoir reconstituer l'alchimie tribale pulvérisée par l'intervention militaire de 2011, est Seif al-Islam que son père, le colonel Kadhafi, avait pressenti pour lui succéder, et qui est actuellement "détenu" par les milices de Zenten.
Mes analyses ne procédaient pas du fantasme, mais du seul réel qui est que :
1) En Libye, la grande constante historique est la faiblesse du pouvoir par rapport aux tribus. Au nombre de plusieurs dizaines, si toutefois nous ne comptons que les principales, mais de plusieurs centaines si nous prenons en compte toutes leurs subdivisions, ces tribus sont groupées en çoff (alliances ou confédérations).
2) L'allégeance des tribus au pouvoir central n'est jamais acquise.
3) Les bases démographiques des groupes tribaux ont glissé vers les villes, mais les liens tribaux ne se sont pas distendus pour autant.
Le colonel Kadhafi fonda son pouvoir sur l'équilibre entre les trois grands çoff libyens, à savoir la confédération Sa'adi de Cyrénaïque, la confédération Saff al-Bahar du nord de la Tripolitaine et la confédération Awlad Sulayman de Tripolitaine orientale et du Fezzan à laquelle appartiennent les Kadhafda, sa tribu.De plus, à travers sa personne, étaient associées par le sang la confédération Sa'adi et celle des Awlad Sulayman car il avait épousé une Firkèche, un sous clan de la tribu royale des Barassa. Son fils Seif al-Islam se rattachant donc à la fois aux Awlad Sulayman par son père et aux Sa'adi par sa mère, il peut donc, à travers sa personne, reconstituer l'ordre institutionnel libyen démantelé par la guerre franco-otanienne. Mais pour comprendre cela, encore faut-il se rattacher à la Tradition lyautéenne des "Affaires indigènes" et répudier l'approche universaliste des "cerveaux à noeud" du quai d'Orsay.
Aujourd’hui, les alliances tribales constituées par le colonel Kadhafi ont explosé; là est l’explication principale de la situation chaotique que connaît le pays. En conséquence de quoi, soit l'anarchie actuelle perdure et les islamistes prendront le pouvoir en Libye, soit les trois confédérations renouent des liens entre elles. Or, c'est ce qu'elles viennent de faire en tentant de faire comprendre à la "communauté internationale" que la solution passe par les tribus... Certes, mais la Turquie et le Qatar veulent la constitution d'un Etat islamique et la justice internationale a émis un mandat d’arrêt contre Seif al-Islam...
Le 12 octobre, avec son habituel sens de la clairvoyance, sa célèbre hauteur de vue et son immense connaissance du dossier, BHL expliquera certainement cette évolution de la situation libyenne aux auditeurs de l'IHEDN (Institut des Hautes Etudes de la Défense nationale) devant lesquels il doit prononcer une conférence de "géopolitique". Il est en effet bon que les plus hauts cadres civils et militaires sélectionnés pour intégrer cet institut prestigieux, puissent écouter les analyses des experts les plus qualifiés...
NB : Au début du mois de novembre, aux éditions de l'Afrique Réelle, sortira mon livre intitulé "Histoire et géopolitique de la Libye des origines à nos jours" dans lequel, sur la longue durée, est mise en perspective la marqueterie tribale libyenne, clé de compréhension de la situation libyenne actuelle. Ce blog en rendra compte.
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lundi, 21 septembre 2015
GRECE : L'AUBE DOREE, TOISIEME FORCE DU PAYS, RENFORCE SES POSITIONS
J.F. pour Synthèse nationale
Des élections législatives se sont tenues en Grèce le dimanche 20 septembre pour pourvoir en titulaires les 300 sièges de la Vouli (parlement monocaméral grec). Le système électoral en Grèce exige d'avoir au moins 3% des votes exprimés pour avoir des députés, et il y a une prime au premier parti. Avec une abstention de 43,37%, une grande partie des électeurs n'ont pas jugé utile de se déplacer. C'est particulièrement net chez les jeunes dont la moitié est au chômage. Depuis quatre ans, les plus qualifiés d'entre eux ont déjà quitté ou vont émigrer, loin d'un pays qui ne leur offre aucun avenir.
Selon les chiffres du ministère de l'Intérieur, le parti gauchiste Syriza a obtenu 35,52% des votes, soit 145 sièges. Le parti de droite, totalement discrédité, Nouvelle Démocratie, qui s'est surtout illustré par une répression effrénée contre L'Aube dorée, obtient 28,02% des votes (75 sièges). Outre L'Aube dorée, les suivants sont le PASOK (socialiste, 6,26% des voix, 17 sièges), le KKE (communiste, 5,59%, 15 sièges), le Potami (parti centriste libéral, 4,12%, 11 sièges), et les «Grecs indépendants» (une sorte de parti souverainiste, europhobe, 3,69%, 10 sièges). Celui-ci dépasse de peu la barre fatidique des 3%. Il était en coalition avec Syriza, après avoir émergé aux élections législatives du 25 janvier 2015. Tsipras a déjà annoncé que la coalition sera reconduite dès ce lundi matin, ce qui lui assurera une majorité absolue à la Vouli (155 sièges sur 300).
De son côté, L'Aube dorée conforte, élections après élections, sa place de troisième parti politique grec. En janvier 2015, le parti avait atteint 6,3% des voix et 17 députés. Auparavant, fin novembre 2013, ses dirigeants, ainsi que 13 de ses 18 députés (69 personnes au total) étaient embastillés sous des prétextes fallacieux, suite au fait qu'un rappeur «anti-raciste», Pavlos Fyssas, ait été poignardé en 2013 par un militant du parti, L'Aube dorée étant accusée d'être une «organisation criminelle» par Samaras, le premier ministre d'alors de la Nouvelle Démocratie qui était allé chercher ses ordres à New York. En novembre 2013, la répression est même allée jusqu'au meurtre par balles de deux jeunes militants, Manos Kapelonis et Giorgos Fountoulis, qui se tenaient devant une permanence du parti, au nord-ouest d'Athènes. Les deux assassins «inconnus» courent toujours.
Hier, le parti a recueilli 6,96% des voix, obtenant ainsi un député de plus que la dernière fois, soit 18. Si certains dirigeants et députés de L'Aube dorée, comme son dirigeant Nikolaos Michaloliakos, ont été relâchés temporairement en mars dernier (après 18 mois d'emprisonnement, le maximum possible en Grèce en attendant un procès), le système répressif toujours actif n'a pas facilité la campagne électorale. Ainsi, à quelques exceptions près, aucun media grec n'a donné la parole aux candidats estampillés Aube dorée. C'est dans ses bastions d'Athènes et du Pirée que l'Aube dorée a réuni ses plus gros bataillons d'électeurs, totalisant 7 députés dans cette zone, avec des pourcentages dépassant fréquemment 7% ou 8% des voix. Malgré une situation difficile, le parti retrouve son niveau des élections législatives du 17 juin 2012 (6,9% des voix, 18 députés). Les semaines ou les mois qui viennent diront si les députés d'Aube dorée réélus verront leur immunité parlementaire levée comme la dernière fois pour comparaître devant des juges à la conviction déjà faite.
En attendant, tandis que la dette grecque est «pilotée» par la banque Lazard, et que ses îles sont envahies par des dizaines de milliers de clandestins musulmans agressifs, les Grecs vont connaître une situation économique encore plus terrible puisque Syriza applique à la lettre les décisions de Bruxelles. Alors que la civilisation européenne doit tant à leurs ancêtres, le sort des Grecs contemporains ne peut pas nous être indifférent.
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dimanche, 13 septembre 2015
A Varsovie, samedi ils étaient des milliers à dire NON au grand remplacement
10:03 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |