mercredi, 01 octobre 2025
Rappel : réunion publique de l'avocat Pierre Gentillet, le vendredi prochain, 3 octobre, à Argenton-sur-Creuse, dans la perspective des élections municipales de 2026
Pour accéder à l'article déjà consacré à cette réunion publique, cliquez ici.
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mardi, 30 septembre 2025
La douceur de vivre à Strasbourg vue par la municipalité écologiste...
À Strasbourg, "venir voir l'écologie en action, venir voir que l'écologie, ça améliore le quotidien et ça protège le lendemain, c'est très émouvant pour nous".
Marine Tondelier, secrétaire nationale des Verts, sur France 3 Alsace, le 23 août dernier.
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lundi, 29 septembre 2025
Brest : une journée d’étude universitaire pour revisiter l’héritage de l’abbé Perrot
La rédaction de Breizh-Info, cliquez ici.
Le 14 novembre 2025, l’UFR Lettres et Sciences humaines de l’Université de Bretagne Occidentale (salle C219, Brest) accueillera une journée d’étude consacrée à l’abbé Jean-Marie Perrot (1877-1943), figure centrale du mouvement Feiz ha Breiz et fondateur du Bleun-Brug, assassiné par des communistes en 1943.
Intitulée « Un autre abbé Perrot. Nouvelles approches, nouveaux regards », cette rencontre entend dépasser les polémiques qui réduisent l’homme aux seules circonstances de sa mort, pour replacer sa vie, ses combats et sa mémoire dans la longue durée. Les communications porteront aussi bien sur ses relations avec sa hiérarchie ecclésiastique que sur son rôle de collecteur de chants, son action dans le mouvement breton, ou encore les représentations posthumes qui lui ont été associées.
Le programme de la journée
MatÀinée
- 8h30 – Accueil des intervenants
- Présidence : Sébastien Carney
- 8h50-9h15 – Yvon Tranvouez : Comprendre l’abbé Perrot
- 9h20-9h45 – Éva Guillorel : Une œuvre de jeunesse : Jean-Marie Perrot collecteur de chansons en langue bretonne en pays Léon
- 9h50-10h15 – Erwan Le Gall : La Grande Guerre de l’abbé Perrot
- 10h15-10h30 – Questions
- 10h30-10h45 – Pause
- Présidence : Daniel Le Couédic
- 10h45-11h10 – Malo Morvan : La polémique orthographique entre Calvarin et Perrot (1929-1931)
- 11h15-11h40 – Kristell Loussouarn : Soumission filiale et engagement : l’abbé Perrot face à Mgr Duparc
- 11h40 – Questions
Après-midi
- Présidence : Ronan Calvez
- 14h00-14h25 – Sébastien Carney : Perrot, Lainé, Mordrel et les autres
- 14h30-14h55 – Maryvonne Berthou : Perrot, l’animateur du Bleun-Brug et l’organisateur des concours scolaires
- 15h00-15h25 – Daniel Le Couédic : Koat-keo, une si modeste chapelle…
- 15h25-15h40 – Questions
- 15h40-15h55 – Pause
- Présidence : Nelly Blanchard
- 16h00-16h25 – Frédéric Le Moigne : L’iconographie de l’abbé Perrot
- 16h30-16h55 – Mannaig Thomas : Yann-Vari Perrot par Ar vro bagan (1985)
- 17h00-17h25 – Thierry Guidet : Qui a tué Yann-Vari Perrot ? Genèse et réception d’une enquête journalistique
- 17h30 – Questions et conclusion
Cette initiative universitaire survient alors que la mémoire de l’abbé Perrot reste vive en Bretagne. Comme le rappelait récemment Youenn Caouissin, fils d’Herry Caouissin, « honorer l’abbé Perrot revient à prendre en compte sa devise Feiz ha Breiz : la foi d’abord, puis la Bretagne ».
Ainsi, aux commémorations spirituelles et militantes répond désormais un travail universitaire renouvelé, soucieux de replacer Perrot dans son temps, entre enracinement religieux, engagement breton et postérité mémorielle.
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dimanche, 28 septembre 2025
Demain, lundi 29 septembre, Eric Zemmour est l'invité de franceinfo à partir de 8h30
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Conférence de Sylvain Roussillon, "Le nationalisme irlandais face à sa destinée", à Clermont-Ferrand, le samedi 11 octobre, à partir de 18h
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Repas du Parti de la France à Dijon, le samedi 4 octobre, à partir de 19h.
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samedi, 27 septembre 2025
Lundi prochain, 29 septembre, Eric Zemmour est l'invité de franceinfo à partir de 8h30
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Réunion publique de l'avocat Pierre Gentillet, le vendredi 3 octobre, à Argenton-sur-Creuse, dans la perspective des élections municipales de 2026
Communiqué de Pierre Gentillet
Sortir Argenton du déclin : parlons-en ensemble !
Depuis trop longtemps, notre belle ville glisse, silencieusement mais sûrement, sur la pente du déclin. Depuis 1995, date d’arrivée au pouvoir de l’actuelle majorité municipale, nous avons vu s’effriter ce qui faisait notre vitalité, notre prospérité, notre sécurité. Insécurité, chute du nombre d'habitants, endettement de la ville, commerces qui ferment...ce déclin n’est pas une illusion. Il est visible, tangible, concret.
Albert Camus avait raison : « Mal nommer un objet, c’est ajouter au malheur du monde. » Nommons donc les choses. Disons-les franchement. Le déclin d’Argenton n’est pas une abstraction : c’est notre réalité.
Mais ce déclin n’est pas irréversible. Nous pouvons encore redresser le destin de notre commune. À condition de regarder les faits en face, de dresser le bon diagnostic ensemble, et de choisir, tous ensemble, les solutions qu’imposent les circonstances. C’est pourquoi nous vous appelons à venir débattre, vendredi 3 octobre, à 18h30, salle Charles Brillaud, 7 rue Charles Brillaud. Nous aborderons, sans détour, ces sujets décisifs. Nous le ferons avec vous, dans la concertation et la participation, tout ce que la municipalité actuelle se refuse à pratiquer.
Argenton a des atouts : son patrimoine, son économie potentielle, son rayonnement touristique, sa desserte ferroviaire directe avec Paris. Oui, Argenton pourrait vivre, prospérer, s’élever. Mais pour cela, encore faut-il que ses habitants reprennent leur destin en main. C’est à ce sursaut que nous vous appelons tous. C’est à vous qu’il appartient de dire : assez ! Venez nombreux vous faire entendre, ce vendredi 3 octobre prochain ! Venez préparer l’avenir d’Argenton ! Ensemble Rassemblons Argenton !
Programme : 18h30, Accueil - 18h45, Début de la réunion publique - 18h45-19h, Mot d’ouverture - 19h-19h30, prises de paroles - 19h30-20h30, débat - 20h30, verre de l’amitié.
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vendredi, 26 septembre 2025
La réaction sur X de Bruno Gollnisch, ancien numéro 2 du Front national de Jean-Marie Le Pen à la condamnation de Nicolas Sarkozy
"J’étais très hostile à la politique de Nicolas Sarkozy.
Je n’en suis que plus à l’aise pour critiquer ce jugement stupéfiant assorti d’une exécution que rien ne justifie.
Quant aux ricanements et aboiements des hyènes de gauche, ils ne suscitent que le mépris".
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mercredi, 24 septembre 2025
France Télévisions : instrumentalisation politique et débâcle financière (suite) - Boulevard Voltaire lance une pétition demandant la fin du financement par nos impôts !
Pour faire suite à la note mise en ligne ce matin par Maurice Bernard (cliquez ici), Synthèse nationale informe ses lecteurs que le site Boulevard voltaire a lancé une pétition demandant la fin du financement public de France Télévisions et de Radio France.
À ce jour, le texte totalise déjà 100.446 signatures.
Pour signer la pétition, cliquez ici.
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France Télévisions : instrumentalisation politique et débâcle financière
Maurice Bernard
Décidément, ça chauffe pour le service public de l'audiovisuel.
Il y a d'abord eu l'affaire Legrand-Cohen, qui a mis sous les projecteurs la collusion idéologique entre France Inter et la gauche. Il y a maintenant le rapport de la Cour des comptes - dix ans après le précédent - sur la gestion de France Télévisions (un document qui, semble-t-il, aurait dû être publié en mai... avant la troisième réélection de Delphine Ernotte, madame « on essaie de représenter la France telle qu’on voudrait qu’elle soit ») - Pour télécharger le rapport, cliquez ici.
Le texte de 140 pages souligne la "forte dégradation de la situation financière" de France Télévisions (256 millions d'euros de déficit cumulé pour la période 2017-2022). Il pointe sa "situation de trésorerie particulièrement préoccupante depuis 2024, qui risque de s’aggraver en 2025 puis en 2026" ; une situation qui "interroge sur la capacité de l’entreprise à assurer la continuité de ses missions dans un contexte de tension générale sur les finances publiques amené à perdurer".
Face au scandale que représentent France Télévisions et l'ensemble du service public de l'audiovisuel, l'eurodéputée Reconquête! Sarah Knafo vient de mettre en place un site à suivre : Scandale-Audiovisuel-Public (cliquez ici).
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jeudi, 28 août 2025
Suite à la publication de son plan pour que les Français paient moins : Sarah Knafo répond à la ministre de la Ville
La ministre de la Ville, Juliette Méadel, a réagi avec mépris sur X (ex Twitter) à la proposition de Sarah Knafo de supprimer le budget politique de la ville cliquez ici.
Voici la réponse que lui a adressé la députée européenne de Reconquête ! :
Madame la Ministre,
Merci pour ce charabia sentimental. Maintenant, je vais vous répondre point par point.
1) Commençons par ce qui fera rire tous nos concitoyens : « la politique de la ville lutte contre l’insécurité, la déscolarisation, la saleté et le trafic de drogue. »
Alors, là, chapeau ! Vous venez imprudemment de dresser la liste de tous les domaines dans lesquels vous avez lamentablement échoué. Vous êtes ce cambrioleur qui laisse sa carte de visite sur les lieux de son crime. Depuis 1981, le trafic a explosé, la saleté a explosé, l’insécurité a explosé, la déscolarisation et l’analphabétisation ont explosé. Pourtant, les crédits de votre politique de la Ville ont, eux aussi, explosé. 117 milliards d’euros depuis 2010.
Un exemple : depuis 2014, 150 millions d’euros ont été injectés dans la réhabilitation du quartier de la Monnaie à Romans-sur-Isère, un quartier de 2.300 personnes à peine (soit 65.000 euros par habitant !). Pour comparer, c’est la même somme qui fut promise par Gabriel Attal à la totalité des agriculteurs après leur légitime révolte. Et finalement ? Le quartier de la Monnaie est celui dont furent issus les assassins de Thomas…
2) Votre budget, parlons-en. Vous évoquez à dessein un chiffre de « 609 millions de crédits » à peine. Je dois vous avouer que je suis très étonnée : vous semblez n'avoir jamais lu le document de politique transversale (annexe loi de finances 2025) qui liste tous les crédits fléchés vers « les quartiers urbains défavorisés ». Vous êtes pourtant Ministre de la Ville…
Ce document vous aurait appris que nous payons non seulement 549 millions pour le P147, mais encore 550 millions pour les infrastructures de transport, 573 millions pour l'accès et le retour à l'emploi, etc. etc. Le tout listé sur trois pages entières de crédits payés par notre argent, nous conduisant bien à 7,871 milliards d'euros par an pour la politique de la Ville.
Donc soit vous ne lisez pas vos propres documents budgétaires, soit vous mentez à nos concitoyens. Dans tous les cas, grâce à vous, Juliette Méadel, ils découvrent qu’en sélectionnant une seule ligne comptable floue, les politiciens essaient toujours de leur mentir sur l’emploi véritable de leur argent.
La vérité, c’est que la politique de la ville nous a coûté a minima 117 milliards d’euros de 2010 à 2023 d'après l’IFRAP, que ces crédits sont en augmentation constante, d’après la Cour des comptes, avec des résultats critiqués par l’ensemble de la classe politique.
Permettez-moi aussi de signaler un petit problème de logique dans votre raisonnement : si la politique de la ville coûtait vraiment 609 millions, et qu’en la supprimant, 6 millions de citoyens seraient « condamnés », cela signifierait qu’aujourd’hui, ils sont « sauvés » par 101,5 € chacun par an ? Soit la défaillance en mathématiques d’une ministre est alarmante, soit sa mauvaise foi est scandaleuse.
3) Les habitants de ces quartiers ne sont aucunement abandonnés, ils sont chouchoutés, choyés par l’Etat. Ils bénéficient d’avantages fiscaux, d’aides à l’embauche, de priorités diverses et variées, de contrats aidés, d’accès facilités aux prêts et aux financements publics, de subventions en tous genres, de programmes de formation spécifiques, d’un taux de logement social record, de milliards investis dans la rénovation urbaine, d’un meilleur accès à l’école et à la santé que les départements ruraux, d’installations culturelles flambant neuves, qui finissent parfois détruites en quelques mois, et j’en passe.
4) Pour ma part, je ne propose pas d’abandonner ces quartiers, je viens moi-même de Seine-Saint-Denis, je propose simplement de les traiter comme le reste de la France : nous avons une politique scolaire nationale, une politique de santé nationale, une politique de sécurité nationale. Pas d’exception, pas de privilèges. On replace la banlieue dans le droit commun. La République est censée être universelle : mêmes droits, mêmes devoirs, mêmes politiques pour tous. La politique de la ville crée l’inverse : un régime d’exception, une discrimination positive assumée, et des habitants qui n’ont aucun devoir, mais tous les droits. Cela ne peut pas fonctionner.
5) Madame la Ministre, si nous avons dépensé des milliards en pure perte et que la situation de ces quartiers ne cesse de se dégrader, c’est qu’il faut changer de logiciel. Même si vous êtes socialiste, vous devez comprendre que dépenser toujours plus ne sera jamais un gage de succès. Il faut donc opter pour une nouvelle politique, s’attaquant aux causes (l'immigration), davantage qu'aux effets.
Qui a fait de nos quartiers populaires des zones de non-droit ? Votre socialisme.
Qui a plongé le pays dans un marasme dont il désespère de sortir un jour ?
Votre socialisme. C’est-à-dire vous, Madame la Ministre. Vous êtes personnellement comptable de toutes les erreurs, les fautes, les mensonges, commis par votre formation depuis quarante ans.
Vous m’accusez d’ignorance, de dogmatisme, de stigmatisation. Votre logorrhée n'a aucune prise : le réel est le réel, les faits sont les faits, et le peuple constate, et il note les noms de ceux qui l’ont trompé. Vous étiez inconnue au bataillon. Vous vous rêvez désormais célèbre.
Voilà les réflexions que vous auriez si vous pensiez vraiment à l’avenir de ces quartiers. Il semble, au contraire, que tout ce qui sort de votre bouche n’a qu’un but : protéger votre poste que vous allez perdre quand même dans dix jours.
Budget : les propositions explosives de Sarah Knafo pour dégager 63 milliards d’économies
Lire l'article du JDD : cliquez ici
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mardi, 26 août 2025
Le communisme enfin sur le banc des accusés
Le maire de Saint-Raphaël, Frédéric Masquelier, a inauguré le 23 août la première stèle en hommage aux victimes du communisme. Un événement symbolique d’importance qui brise un tabou et devrait pousser la société française à considérer enfin le communisme comme une idéologie intrinsèquement totalitaire et criminelle.
Lire Valeurs actuelles : cliquez ici
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jeudi, 07 août 2025
Visiblement, Sandrine Rousseau n'est pas la bienvenue en Bretagne
La Coordination rurale 29 cliquez ici
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lundi, 21 juillet 2025
En France, il y a des endroits où l'Histoire est glorifiée... et d'autres où c'est la décadence qui est encensée
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mercredi, 30 avril 2025
Suite aux révélations de Sarah Knafo, le budget faramineux de l'Agence française d'aide au développement à la baisse
La réaction de Sarah Knafo :
Je suis très heureuse d'apprendre que depuis mes révélations sur l'aide publique au développement, le gouvernement annonce enfin couper dans ces gabegies.
Deux milliards sur seize, ce n'est évidemment pas assez. Mais une prise de conscience doit toujours démarrer quelque part !
Et celle d'Eric Zemmour :
Nous ne sommes pas encore au pouvoir, mais notre action porte déjà ses fruits. Cela fait des années que l'État gaspille votre argent en pure perte dans ces projets absurdes. Il aura donc fallu que Sarah Knafo s'empare du sujet pour que le gouvernement commence à agir.
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vendredi, 21 février 2025
JORDAN BARDELLA ÉTAIT-IL À NUREMBERG EN 1933 ? LA PRESSE AUX ORDRES DEVRAIT CREUSER LE SUJET...
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vendredi, 07 février 2025
Ce que nous coûte l'Algérie chaque année...
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mercredi, 08 janvier 2025
Pascal Praud, cet ex-jeune des années 1980 trompé par la lutte prétendument "antiraciste"...
"Je crois que ce pays et sa jeunesse sont encore très sensibles aux grands mouvements moraux, même si ceux-ci ont souvent été utilisés pour les tromper - comme cela a été le cas avec la lutte antiraciste".
Jean-Marie Le Pen, 1990.
Maurice Bernard
Hier matin, sur CNews, deux heures avant l’annonce du décès de Jean-Marie Le Pen, Pascal Praud, à partir des dix ans du massacre dans les locaux de Charlie hebdo et des viols à grande échelle commis en Angleterre par des gangs pakistanais, nous a donné à entendre une de ses digressions surréalistes dont il a le secret :
- Pascal Praud : « Il y a une prise de conscience, au plus profond, que ce qui est attaqué, c’est le modèle, et on s’est tous trompé, nous les premiers, nous qui défilions avec Touche pas à mon pote en 1980 (…). Parce que les gens qui défilaient avec Touche pas à mon pote en 1980, c’était l’exact contraire. C’était pour dire à ceux qui était là avant eux : "Vous ne nous regardez pas, vous ne nous aimez pas, on n’est pas avec vous et on veut être avec vous", et ils marchaient pour ça. Et aujourd’hui, vous avez des gens qui disent : "On ne veut pas être avec vous". Donc tout a changé, forcément. (…) Moi, je me souviens, j’étais en fac (…), tout le monde luttait contre le racisme ».
- Charlotte d’Ornellas : « Il y a des gens qui voyaient dans la main jaune ce qu’on est en train de vivre aujourd’hui, quand même ».
- Pascal Praud : « Franchement, je voudrais voir un texte dans les années 1985 (sic) qui voit ce qu’on vit aujourd’hui et qui l’annonce, j’en suis pas sûr ».
Monsieur Praud voudrait « voir un texte de 1985 qui voit ce qu’on vit aujourd’hui et qui l’annonce » ? Pas de problème, il suffit de demander. En voici un (ou plutôt un extrait), pris parmi beaucoup d’autres, diffusé cette années-là dans les Yvelines, à Poissy (bien avant que Karl Olive, son copain ex-journaliste sportif - un proche d’Emmanuel Macron - n’en devienne le maire), sous forme de tracts, par le Front national de la jeunesse, et intitulé Les potes marcheurs vous font marcher :
« (L’)humanisme de pacotille (d’Harlem Désir et de SOS Racisme) n’est qu’un écran de fumée destiné à cacher l’essentiel…
Le peuple français peut (son passé le prouve) assimiler des individus qui le désirent sincèrement. Mais le peuple français (comme tout autre peuple), réalité homogène plus que millénaire, ne peut accueillir, sans se condamner, des communautés étrangères. Or, la majorité des immigrés refuse l’assimilation (…). La majorité des Beurs se moque des gentils mots d’ordre : "Aimons-nous, soyons égaux". Ils ne souhaitent qu’affirmer leur identité arabe et musulmane, au détriment de notre propre identité !
Ainsi se dessine nettement ce que serait cette France multiraciale et pluriculturelle que l’on veut nous imposer : un agrégat de communautés étrangères squattant le pays d’accueil, parlant leur langue et vivant selon leurs coutumes, apprises dans nos écoles ; une addition de groupes de pression dictant leur volonté à une nation française préalablement anesthésiée !
Jamais les jeunes du Front national n’accepteront de se voir ainsi tracer leur avenir ! Ce n’est pas à la France de s’adapter aux immigrés, mais à ceux-ci de se fondre, s’ils le désirent, dans l’ensemble national. S’ils refusent, ils doivent accepter et comprendre la volonté de notre peuple de défendre son identité, et se plier à ses décisions ».
C'était il y a quarante ans...
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mardi, 07 janvier 2025
L'ingérence à géométrie variable : il ne faut pas oublier...
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mardi, 12 novembre 2024
La sépulture de Charles Maurras profanée
Source : Frontières cliquez ici
La tombe de Charles Maurras, figure du nationalisme français décédé en 1952, a été vandalisé dans la nuit du 9 novembre. L’Action française, mouvement royaliste historique auquel il appartenait, a fermement condamné ces actes de dégradation. Des tags et graffitis menaçants ont été retrouvés sur le caveau, situé dans le cimetière de Roquevaire, ainsi qu’à l’intérieur de la sépulture, tandis que la grille d’entrée avait été forcée.
Parmi les inscriptions, on note la présence d’un tag indiquant « À bas l’AF », accompagné du symbole des trois flèches, signe associé au mouvement antifasciste de la Jeune Garde. Ce groupuscule d’ultra-gauche est actif dans plusieurs grandes villes de France et prône souvent des actions directes contre les organisations qu’il considère comme appartenant à l’extrême droite. Un lien est donc possible mais le groupuscule d’ultra gauche n’a pas encore revendiqué cette attaque.
Face aux dégradations sur la tombe, l’Action française a dénoncé ce qu’elle considère comme une manifestation de « christianophobie » et un symbole du « désintérêt des autorités civiles et judiciaires » face aux agressions de cette nature. Le groupe royaliste a également annoncé qu’une plainte serait déposée auprès du Procureur de la République de Marseille et qu’ils suivraient de près la suite judiciaire qui serait donnée à cette affaire.
L’attaque de la tombe révélatrice des tensions avec les groupes d’ultra gauche
Le geste a suscité une vague d’indignation parmi les sympathisants et représentants de la droite. Jean-Philippe Courtaro, responsable local du parti Reconquête dans les Bouches-du-Rhône, a réagi en dénonçant « la lâcheté des Antifa » dans un tweet. Il a fermement condamné ce qu’il considère comme une atteinte à la mémoire des morts et a affirmé qu’il initierait des actions judiciaires contre les auteurs de cet acte.
La Jeune Garde au cœur des polémiques
La Jeune Garde, groupuscule antifasciste fondé à Lyon par Raphaël Arnault, aujourd’hui devenu député LFI, se revendique comme une organisation de combat contre ce qu’elle appelle l’extrême droite. Ayant adopté une culture d’action virile inspirée des hooligans, le groupe a régulièrement été impliqué dans des affrontements et des actes de violence. Ce dernier événement à Roquevaire, s’il est confirmé qu’il implique ce groupe, s’inscrit dans une série d’actions menées par l’ultra-gauche contre des symboles perçus comme trop à droite, quels qu’ils soient.
Les dégradations sur la tombe de Charles Maurras et les accusations mutuelles entre groupes de gauche et de droite témoignent d’une polarisation croissante en France. L’ancien ministère de l’Intérieur avait déjà pris des mesures de dissolution contre certains groupes militants de droite, mais des voix s’élèvent pour exiger une action plus ferme contre les groupuscules d’extrême gauche.
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samedi, 19 octobre 2024
Il paraît que le monde paysan se sentirait trahi... Mais c'était prévisible !
Le 3 février dernier, au moment du dernier grand mouvement de contestation paysan, nous avons publié sur ce blog un article intitulé : "Gestion par le pouvoir des colères du monde agricole : déjà, en 1964, François Brigneau mettait en garde les paysans".
Huit mois plus tard, au moment où les campagnes se sentent trahies une fois de plus, il nous semble judicieux de remettre en ligne ce papier qui vient rappeler à quel point les problèmes actuels ne sont pas récents et à quel point leur "traitement" par les pouvoirs publics reste grosso modo le même : "Cause toujours, tu m'intéresses"...
« Tout a été dit et fait, et aucune littérature ne peut dépasser le cynisme de la réalité. On ne soûle pas avec un verre celui qui a déjà bu une barrique ».
Anton Tchekhov
Synthèse nationale
Le 17 avril 1964, deux ans après la mise en place de la politique agricole commune (PAC) – et la fin dramatique de l’« Algérie française » -, François Brigneau (1) écrit un article intitulé Paysans, il vous a déjà compris ; le « il » en question étant, bien sûr, le général De Gaulle dont le journaliste s’employait alors à pourfendre les « impostures »… 60 ans plus tard, il nous paraît intéressant de publier des extraits de ce texte qui n’a rien perdu de sa profondeur et de son actualité… Il suffit juste de remplacer le général De Gaulle par Emmanuel Macron et Ben Bella par l’Ukraine ou « le Zambèze »…
« (…) Aujourd’hui, enfin demain, il a accepté de recevoir les paysans désireux de lui parler du pays. (…) Le soldat donnera audience aux laboureurs. Dès lors que son intérêt coïncidera avec son bon plaisir, évidemment. (…) Si ce général ne s’appelait pas De Gaulle, une semblable entrevue prêterait à la composition d’un grand tableau, dans le genre de ceux de Prud’hon. Au milieu, le vieux chef, méditatif. Autour de lui, les paysans assemblés, tête nue, à la fois fiers et respectueux. Il y a le berger des montagnes et le vacher des grasses prairies vertes ; l’homme des océans à blé et celui des petites cultures dont les lopins changent de visage au gré des saisons, comme les calendriers changent d’images. (…)
Tous parlent à leur tour ; tous disent le drame de leur vie qui tient à ceci : dans un monde qui ne croit qu’à l’avenir, ils ne veulent plus appartenir au passé ! Pendant des siècles, l’inconfort, l’éloignement, la solitude, le travail jamais terminé, l’insécurité chronique, la misère, le silence, la lenteur avaient été leur lot. En contrepartie, ils éprouvaient cette mystérieuse satisfaction organique que donnent à l’homme le sentiment de sa responsabilité, celui de la liberté et l’accord de son mouvement profond avec celui de la terre. Certes, rien de cela n’était dit, par pudeur ou faute de mots. Mais l’important n’est pas de formuler ; l’important est de ressentir. Et c’était parce qu’ils éprouvaient dans tout leur être cette joie inexprimable qu’ils demeuraient des paysans.
Et puis, petit à petit, ce sort a cessé de leur paraître normal. Les guerres, les invasions, le grand brassage des populations, l’automobile, le cinéma et la télévision ont changé leur état d’esprit. La vie des villes n’est plus apparue comme un mirage inaccessible. Dans d’autres nations, (…) des paysans la connaissaient – ou semblaient la connaître. Pourquoi pas le paysan français ? C’était la question qu’ils voulaient poser au vieux chef. Garder l’accord avec leur sol, gagner l’accord avec leur siècle, telle était leur ambition. Était-ce possible de vivre comme dans des villes à la campagne ? Était-ce possible de demander un peu plus de confort, de sécurité, de bien-être sans perdre pour autant la liberté ? Était-ce trop exiger que de vouloir des écoles pour leurs enfants, des hôpitaux pour leurs malades, des distractions pour leurs femmes ? En vingt siècles, ils avaient puissamment aidé à faire la France. Il était temps que la nation cessât de les considérer comme des étrangers, des exilés de l’intérieur.
Sur ce thème, on imagine facilement le dialogue qui eût pu s’instaurer et sa portée. Il eût fallu, pour cela, un général moins amoureux de la manœuvre. Hélas, (…) ce qui lui importait, ce n’était pas d’écouter les paysans, de connaître leurs travaux et leurs jours, de découvrir une réalité dont nous ne pouvons rougir. Ce qui lui importait, c’était de se servir de cette demande contre eux, dans cette petite guerre civile qu’on appelle la politique.
Les benêts ! Ils demandaient audience au chef de l’État parce qu’ils croyaient à son sens de la justice, de l’intérêt national, peut-être même à sa bonté (…). Ils pensaient : "Ah ! Si le général savait (…) nos terres abandonnées par une jeunesse qui fuit la pauvreté de nos existences… S’il savait que nous vendons notre lait moins cher que l’eau minérale… S’il savait ce qu’il faut d’efforts, de soins, de tracas, de périls pour élever des bêtes et mener une récolte à son terme… S’il savait les dangers qui nous menacent, la grêle, le gel, la maladie, l’effondrement des cours, les marchés engorgés, les saisons rigoureuses qui font les récoltes catastrophiques et les récoltes trop généreuses qui mettent la ruine dans la maison… S’il savait comme il est difficile de moderniser une exploitation, les périls nouveaux auxquels on s’expose en le faisant, les traites, les réparations imprévues qui chargent un budget, l’angoisse qui vous saisit, le sommeil qui vous fuit quand la preuve s’établit que plus vous travaillez et plus vous allez manger d’argent ! (…) Ah ! Si le général savait ça, sûr qu’il ne tolérerait pas que ça dure davantage ; sûr qu’il préférerait nous aider plutôt que Ben Bella. Il suffira de lui expliquer, (…) de lui dire, avec nos mots à nous, et il comprendra (…).
Pauvre Jacques Bonhomme, t’as qu’à croire… Tu vas vite apprendre (…) que le général parle mais n’écoute pas. Si, par extraordinaire, il écoutait, c’est qu’il n’aurait pas trouvé de meilleur moyen pour ne pas entendre. Là est son génie : dans l’utilisation magistrale de la ruse. Qui veut la fin veut les moyens, dit-on. Lui veut tous les moyens sans fin et sans aucune fin ! Tout ce qu’il a vu, dans cette entrevue accordée mais sans date fixée, c’était le moyen de ne pas obtenir la fin : à savoir la solution des problèmes agricoles. C’était aussi le truc qui lui accordait une petite victoire : la remise à une date ultérieure (…) de la grève des fourches. Le bénéfice est court, sans doute, et cette duplicité ne fait que renvoyer l’affaire au mois prochain. C’est vrai, mais il est vrai aussi que ce personnage dont on nous dit tant qu’il se modèle pour l’éternité, réussit surtout dans la bricole à la petite semaine ».
(1) François Brigneau (1919-2012) a été l’une des grandes plumes de la droite nationale des années 1950 jusqu’au début des années 2000 (notamment à Minute, Initiative nationale, Présent, National hebdo et Le Choc du Mois). Ce journaliste, grand reporter et écrivain a été également un militant et responsable politique d’Ordre nouveau, du Parti des forces nouvelles et du Front national.
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mardi, 01 octobre 2024
Un note de l’Observatoire de l’immigration et de la démographie (OID) - L’immigration entre 2006 et 2021 : une hausse rapide et forte, et une diffusion en taches d’huile sur le territoire, en particulier dans le Grand Ouest
Synthèse nationale
Il y a un peu plus d’un an, en juillet 2023, à la suite des émeutes du mois de juin précédent, l’analyste Jérôme Fourquet, dans un article publié par le Point, évoquait « la "banlieusardisation" progressive des territoires gravitant dans l’orbite éloignée des grande métropoles ». Cet étalement en tache d’huile de l’immigration, dans les « confins » des grands centres urbains (en particulier dans les petites villes) « desservis par les trains de grande banlieue ou d’importants axes routiers », vient d’être mis en évidence par une note de l’OID publiée récemment (à partir des bases de données du recensement rendues publiques par l’INSEE). On peut en retenir les principaux point suivants :
Selon ces chiffres officiels, entre 2006 et 2021, le nombre d’immigrés résidant en France a augmenté de 35%, passant de 5,136 millions à 6,932 millions (soit 1,8 million de plus en 15 ans). Résultat : « Il n’y a jamais eu autant d’immigrés en France qu’aujourd’hui, que ce soit en valeur absolue ou en part relative, avec une croissance spectaculaire pouvant être observée depuis la fin des années 1990 ».
Cette hausse concerne aussi bien le nombre des primo-titres de séjours accordés (+41% entre 2006 et 2021), que celui des primo-demandes d’asile (qui a triplé entre 2009 et 2019) ou celui de l’immigration clandestine (le nombre des bénéficiaires de l’aide médicale d’État - AME – a doublé entre 2006 et 2021).
« La France accueille l’immigration la plus africaine d’Europe ». En 2020 (selon les données de l’OCDE), 61% des immigrés vivant en France étaient originaires d’Afrique, « soit une part trois fois supérieure à la moyenne de l’UE ».
Plus de 40% des immigrés sont « venus pour accompagner ou rejoindre un membre de leur famille ».
L’immigration se diffuse rapidement dans l’ensemble du pays. Sa « surreprésentation (…) dans des régions concernées largement et de plus longue date » s’en trouve consolidée. Mais elle touche aussi, désormais, « des territoires parmi les moins concernés (…) jusqu’alors, avec un basculement notable dans les régions du Grand Ouest ».
À titre d’exemple, entre 2006 et 2021 toujours, la part des immigrés dans la population totale a doublé (ou presque) au Mans, à Brest, Caen, Libourne, Lorient, Saint-Nazaire ou Vélizy-Villacoublay (pour y représenter de 7,7% à 13,1% de la population totale). Si on prend les petites villes de la seule Bretagne, on voit qu’elle a été multipliée par 8,25 à La Guerche-de-Bretagne, par 6,8 à Vezin-le-Coquet et qu’elle a triplé à Loudéac, Pontivy ou Le Rheu (pour y représenter désormais de 8,5% à 11,8% de la population)…
Les « moteurs de ces dynamiques locales » recensés par la note de l’OID sont, depuis longtemps, bien identifiés, dénoncés et combattus par la droite nationale et identitaire (notamment par notre ami Bernard Germain) : « les stratégies nationales de "répartition" de l’immigration, les politiques d’attractivité migratoire mises en œuvre par certaines collectivités (et associations, NDLR) ou encore les phénomènes de diaspora entretenus par des flux migratoires à motif largement familial ».
Pour prendre connaissance de l’intégralité de la note de l’OID, cliquez ici
Pour commander le livre de Bernard Germain sur l'affaire de Callac, cliquez ici
11:30 Publié dans Banalisation..., Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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jeudi, 06 juin 2024
Rennes, la presse passe sous silence un dramatique accident... le chauffard est sous OQTF.
Quelques jours après le drame, les militants nationalistes rennais de l'Oriflamme se sont rendus sur place pour exiger l'expulsion des OQTF.
Le 9 avril dernier, dans le quartier de Beauregard à Rennes, un enfant de deux ans s’est fait écraser par une voiture. Personne n’a entendu parler de cette atroce histoire et pourtant, elle rappelle douloureusement les cas de Lola, de Thomas et plus récemment de Mathis. En effet, le conducteur conduisait sans permis et est un Géorgien de 40 ans sous OQTF.
Au-delà de l’omerta médiatique (quelques articles tout au plus), la justice s’est une nouvelle fois couverte d’ignominie en libérant ce meurtrier étranger sous OQTF une semaine après le drame. Il sera jugé le 10 juin.
Un clandestin a écrasé un petit Français et il est libre. Un étranger sous OQTF peut tuer des Français et rester libre sur le territoire national.
Il est plus que temps d’éviter de futurs drames en organisant une politique de remigration, tout comme il est temps que les juges rouges rendent des comptes, car ils ont du sang d’innocents jusqu’au coude.
18:16 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mardi, 04 juin 2024
Loi sur la fin de vie ou l’idéologie de la culture de mort
Bernard Antony
Avant le vote par le Parlement de la loi dite « d’accompagnement des personnes en fin de vie », vingt-trois associations principales de soignants – infirmiers, psychologues, médecins – ont lancé en début de semaine un cri d’alarme.
Elles dénoncent la « rupture profonde » du texte proposé avec les réalités qu’elles expérimentent quotidiennement, mais aussi « le grand décalage avec les promesses faites ces derniers mois ». Elles constatent que le projet adopté par la commission spéciale « est un modèle dont l’objectif, assumé par les votants, est la possibilité d’accéder à la mort provoquée assistée par des soignants, dans les situations médicales les plus larges, y compris celles qui laissent espérer plusieurs années de vie ».
Elles déplorent que le fait de donner la mort devienne « un soin », que « ce projet de loi constitue une incitation implicite à demander la mort pour les personnes âgées, vulnérables précaires, isolées, celles-là mêmes que la loi est supposée protéger ».
On lit encore : « On nous garantissait une procédure encadrée. Nous découvrions que celle-ci sera expéditive »…
On parlait d’un « modèle français ». Et l’appel des soignants d’observer que « la seule exception française se situe dans la coercition qu’imposerait ce texte : aux pharmaciens, aux établissements sanitaires et aux établissements médico-sociaux qui seraient « tenus » d’organiser la procédure mortelle en leurs murs ; à l’ensemble des soignants enfin… dont l’engagement sera menacé par un délit d’entrave ».
Oui, d’entrave au suicide ! D’entrave à la mort !
Comme on le voit, l’ensemble des soignants a parfaitement compris que le projet de loi sur la fin de vie n’est qu’un texte hypocrite de la culture de mort.
Tel que cela est déjà pratiqué dans les sociétés les plus déshumanisées. Comme en Belgique. Les sociétés où progresse l’abomination du mépris de l’humain, la réalité du racisme antihumain.
Le grand rabbin Haïm Korsia a parfaitement résumé cette moderne irruption de l’inhumain en deux phrases lapidaires : « On maquille un geste de mort donné par un proche en bienfait… J’en suis atterré ! ». Et d’annoncer : « Celui qui me soigne pourrait un jour me tuer ».
Ainsi va la dictature de l’idéologie mortifère grand-orientée maçonnico-macro-néronienne.
Source L'AGRIF cliquez ici
00:57 Publié dans Informations nationales, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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dimanche, 28 avril 2024
Voilà où mène la gestion macronienne de la France : des milliers d'entreprises comme celle-ci au bord du gouffre !
12:11 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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lundi, 22 avril 2024
Même la Vendée n'y échappe plus...
01:20 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mercredi, 03 avril 2024
Des nouvelles de Jean-Marie Le Pen
Thomas Joly, président du Parti de la France
Les médias relayent avec gourmandise depuis ce matin le placement sous « régime de protection juridique » de Jean-Marie Le Pen. Rappelons qu'il ne s'agit pas d'une tutelle - il conserve tous ses droits - et que cette mesure est effective depuis mi-février. L'objectif est de protéger ses intérêts comme cela se fait pour beaucoup de personnes de son âge vénérable.
Le Président-fondateur du Front national n'en reste pas moins lucide et un observateur avisé de l'actualité politique, contrairement à ce que pourraient espérer ses détracteurs.
17:54 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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vendredi, 23 février 2024
J'étais à la manif pour Assange...
Thierry DeCruzy
Assange cliquez ici, qui défend la liberté d'expression ?
Le rassemblement organisé mardi 20 février à Paris pour la libération de Juilian Assange n’a pas réuni les foules. À peine plus de 200 personnes s’étaient déplacées place de la République pour défendre la liberté d’expression, le sujet n’est manifestement pas mobilisateur. Signe que les organisateurs s’étaient contentés du strict minimum, ils avaient seulement apporté un petit mégaphone cacochyme qui peinait à faire entendre les orateurs.
Mélanchon est donc passé en coup de vent sans prendre la parole, assistance trop dégarnie, et puis la liberté d’expression et LFI… Il s’est même fait traiter d’antisémite par une manifestante qui n’avait pas dû remarquer les drapeaux palestiniens dans l’assistance.
Plus amusant, si l’on peut dire, la présence des militants du Parti communiste avec leurs drapeaux. Eux aussi, grands combattants pour la liberté d’expression et de « fraternité humaine », comme l’a rappelé notre Président. Quand la liberté d’expression est défendue par ce genre d’individus, la question est réglée.
D’autant plus, que c’était la seule manifestation organisée à Paris et donc que les dissidents et les nationaux étaient aux abonnés absents. Avec les interdictions, les arrestations, les condamnations et les censures qui se sont aggravées ces derniers mois, les motifs ne manquaient pourtant pas.
10:20 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mardi, 20 février 2024
Les Bobards d'or sont maintenus... ailleurs !
Face aux pressions et aux intimidations, Polémia résiste et maintient la XVe cérémonie des Bobards d’Or !
Les Bobards d’Or auront bien lieu, malgré le refus du théâtre du gymnase Marie Bell de nous accueillir suite aux pressions d’Alexandra Cordebard, la maire PS du 10ème arrondissement.
Polémia a trouvé un nouveau lieu. Retrouvez-nous le mardi 5 mars à 19h30 dans Paris. Le nom et l’adresse de la salle seront communiqués en temps utile. Attention places limitées, n’attendez plus pour vous inscrire.
Face au cadenassage de la pensée et aux maîtres censeurs, défendez le rire libérateur et soutenez Polémia.
Billetterie : cliquez ici
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