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vendredi, 04 septembre 2020

La République de Macron.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Née de la défaite de 1870 et des massacres du peuple parisien de la Commune, la troisième République dont Macron commémore ce vendredi les 150 ans de la proclamation fut tout au long de son existence une république bourgeoise, mercantile, cupide, affairiste et corrompue, coupée de la Tradition, hostile à l'ordre naturel, cosmopolite et dépravée.
 
Ni le concept de "revanche" soigneusement entretenu par les gouvernements successifs à fin de diversion, ni la grande aventure coloniale et l'immensité de l'Empire ne suffisent à en gommer les tares et les fautes. Régime profondément anti social, la troisième République ne se rapprocha du peuple que lorsqu'elle eut besoin de lui pour le conduire dans les tranchées quand vint le temps de la guerre civile européenne. Avant d'oublier ses combattants, ses mutilés et ses héros lorsque le moment du grand élan national fut passé et que celui, après le traité de Versailles, du début du règne américain fut venu.
 
République de faiblesse dans les années 20 et 30, le régime, celui des partis et des loges, ne subsista qu'en usant des pires méthodes policières, en matant sans pitié les légitimes mouvements sociaux et en faisant tirer sur les patriotes le 6 février 1934.
 
Incapable de mener une politique de paix par l'alliance avec l'Italie régénérée, détruisant peu à peu les moyens matériels et le moral de ce qui fut la plus forte armée du monde, immobile et inerte devant la montée des périls, cette République créa les conditions de l'effondrement de 1940 dont la France ne s'est toujours pas remise.
 
Voilà le régime que célébre aujourd'hui Macron. Il est vrai qu'il en incarne la triste continuité.

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Dans le quotidien Présent d'aujourd'hui : un très bel article de Francis Bergeron sur le n°18 des Cahiers d'Histoire du nationalisme consacré à Honoré d'Estienne d'Orves

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Francis Bergeron Présent cliquez ici

LE FAIT QU’UN DOSSIER sur Honoré d’Estienne d’Orves ait été publié par la maison d’édition Synthèse nationale, dans sa revue Cahiers d’histoire du nationalisme, est une très bonne chose. 

Ces cahiers sont tous d’excellente tenue, mais il faut reconnaître que, de Degrelle à Doriot, en passant par Drieu, la revue semblait vouée, pour partie du moins, à la réhabilitation de quelques figures « nationalistes » ayant choisi le camp allemand lors de la dernière guerre. La personnalité d’Honoré d’Estienne d’Orves vient nous rappeler que la Résistance, et tout spécialement la résistance militaire, fut un terreau d’abnégations patriotiques. Les figures des résistants nationalistes sont impressionnantes. Beaucoup d’entre eux y ont laissé leur vie. Jusqu’à une date récente, leur mémoire n’avait pas besoin d’être spécialement défendue : des timbres, des rues, des places, des lycées, des monuments, portaient leurs noms. Ils étaient honorés sans que leurs convictions ou leur passé aient quelque influence positive ou négative à cet égard. C’est leur action pendant la guerre qui était exaltée, et rien d’autre. 

L’engagement dans la Résistance mise en doute ou salie 

Mais les choses ont évolué. A la mort de certains de ces résistants (Jean Vallette d’Osia, Pierre Guillain de Bénouville, Henri d’Astier de la Vigerie, le colonel Rémy, notamment), leur origine droitière (le plus souvent royaliste) a été cachée ou minimisée. Parfois aussi c’est la qualité de leur engagement dans la Résistance qui a été mise en doute, ou salie par d’ignobles sous-entendus. 

Mais ces derniers temps la fameuse cancel culture va encore plus loin et tente d’effacer le souvenir même de ces hommes, y compris de ceux qui ont été déportés, voire fusillés par l’occupant. Ainsi des professeurs du lycée de Carquefou, près de Nantes, ont-ils tenté de s’opposer à ce que la région donne le nom de d’Estienne d’Orves à leur établissement. Ils n’ont pas eu gain de cause. Mais pour la promotion Loustaunau-Lacau de Saint-Cyr, c’est le ministère des Armées qui a reculé. Il ne fait pas de doute que les néo-censeurs reviendront à la charge. 

Honoré d’Estienne d’Orves est sans doute la plus emblématique des figures de la Résistance. Et il est donc précieux que les nationalistes de la nouvelle génération aient la possibilité de découvrir ainsi sa figure lumineuse, mais également ses convictions politiques et religieuses. Il existe plusieurs livres sur d’Estienne d’Orves : celui écrit par des membres de sa famille, celui de Guillain de Bénouville, celui d’Etienne de Montety. Et même si ces ouvrages sont un peu anciens à présent, la biographie de ce héros et ses écrits de prison sont parfaitement connus. 

Ses ancêtres, héros des guerres de Vendée 

L’ouvrage de Didier Lecerf est un peu différent, et très complémentaire : la partie biographique est une simple chronologie détaillée. Ses liens familiaux avec le commandant Driant d’une part, et avec les Lorgeril d’autre part, sont spécialement intéressants car peu connus. L’ouvrage rappelle aussi le pedigree d’ancêtres plus lointains, qui furent des héros des guerres de Vendée. 

Mais outre une importante partie iconographique, l’ouvrage nous offre d’abord une étude approfondie sur les convictions de cet homme « de la droite catholique, monarchiste et sociale, fidèle à Dieu, à l’Eglise, à sa patrie, à sa famille ». L’ouvrage rappelle ce qu’était le catholicisme social, et donne un aperçu des grandes figures de ce courant. Par ailleurs, il raconte, à travers son parcours, le drame des hommes de la Royale (dont était issu d’Estienne d’Orves), au cours de cette période de notre histoire. C’est sans doute la partie la plus passionnante du livre. 

Fidélités contradictoires 

Il en est de même des rapports entre d’Estienne d’Orves et l’Etat français. La complexité de l’époque est niée au fur et à mesure que l’on s’en éloigne. Mais Groussard, Loustaunau-Lacau, de Lattre et beaucoup d’autres ont illustré ces fidélités apparemment contradictoires et interpénétrées entre la Résistance et Vichy, en tout cas jusqu’à l’occupation de la zone libre. Henri Amouroux, dans sa Grande Histoire des Français sous l’occupation, a rappelé l’histoire de ces hommes qui « portent les premiers coups aux Allemands sans pour autant se dissocier toujours du Maréchal ». Et le tout premier acte de résistance n’a-t-il pas été une manifestation nationaliste d’étudiants, à l’Arc de Triomphe, le 11 novembre 1940 ? 

Didier Lecerf, dans sa préface, justifie ce cahier dans la revue de Synthèse nationale pour trois raisons que nous ferons volontiers nôtres : la « suprême leçon de grandeur » que nous donne d’Estienne d’Orves, l’appartenance évidente de cet homme « à la droite nationale, d’essence monarchiste, catholique et sociale », et enfin la démonstration, à travers son destin, de « certains réalités, loin des simplifications, des caricatures, des jugements péremptoires, à l’emporte-pièce, de notre époque volontiers manichéenne et moralisatrice ». Tout est dit. 

Honoré d’Estienne d’Orves, par Didier Lecerf, Cahiers d’histoire du nationalisme n°18, 2020, 200 pages.

Lire ce numéro de Présent cliquez là

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Valérie Laupies prendra la parole dimanche 6 septembre à la Fête de la Ligue du Midi

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L’Afrique prête pour la remigration ?

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Par Paul Vermeulen

Les positions militantes noires et anti-françaises, obsédées par la division « raciale » entre les populations, sont en retard : celles de LFI, Obono par exemple, du minuscule groupuscule Ligue de défense noire africaine, faisant un peu de bruit sur les réseaux sociaux grâce aux médias bienveillants, ou des associations d’« afro-descendants » persuadés d’avoir des esclaves comme ancêtres. Pourtant, aucun Noir vivant en France ne peut affir- mer avec certitude descendre d’esclaves, sauf à avoir mené un travail généalogique probant.

La lecture de livres historiques sérieux, tels ceux, mondialement reconnus, d’Olivier Pétré-Grenouilleau, Les Traites négrières (Gallimard, 2004), devrait suffire à le comprendre. Il est donc étonnant que les militants noirs de France, nombreux à penser que l’Afrique est un « pays », ne soient pas mieux informés des avancées remarquables de leurs « compatriotes » noirs africains, en matière de remigration.

La France étant un pays insupportable aux yeux de nombre de militants noirs, « postcolonial », ou toujours colonial mais sur le territoire national, pensent-ils, « raciste », peu accueillant (l’observateur est en droit de se demander s’il rêve), il est une solution toute simple aux problèmes soulevés par ces Noirs malheureux en France : la remigration. Solution d’autant plus intéressante et envisageable qu’elle n’est en rien raciste ou xénophobe, et qu’il ne s’agit pas d’exclure. Il s’agit tout au contraire d’inclure les Noirs « afro-descendants » d’esclaves noirs ou d’esclavagistes noirs en Afrique.

Un retour aux sources qui ne peut que générer un enthousiasme délirant et qui ne devrait pas être entravé par la perte des nombreux avantages, sociaux, éducatifs, économiques, médicaux, etc., qu’il y a à vivre en France quand on est originaire d’une autre partie du monde.

Un retour aux sources d’autant plus d’actualité qu’il est revendiqué par des pays africains et que des ébauches de possibilité d’accueil se mettent en place. Les candidatures devraient donc vite être très nombreuses. Reste qu’il est urgent d’informer les populations militantes noires anti-françaises concernées.

La remigration est en marche et l’Afrique donne l’exemple. Ainsi, au Sénégal, le rappeur Akon a posé fin août 2020 la première pierre de la ville qu’il veut bâtir. Un projet estimé à six milliards de dollars, si- tué sur le site du village de Mbodiène, au bord de l’Atlantique, à une centaine de kilomètres au sud de Dakar. Un projet similaire est en cours de réalisation, « Wakanda », au Rwanda, une ville 100 % écologique. Coût estimé : cinq milliards de dollars. Les travaux étaient censés débuter en 2020 et la ville être terminée fin 2021. Pour l’instant, cela ne ressemble à rien. Cependant, l’heure est venue : la remigration est en route. Voilà qui devrait ravir Camélia Jordana, elle qui affirmait au Festival du film francophone d’Angoulême : « Il y a un énorme travail de décolonisation à faire dans ce pays. » Gageons que les militants noirs de France, soucieux de respect, amoureux de leur « race » et fier de leurs origines, n’hésiteront pas un instant à franchir la Méditerranée dans l’autre sens pour agir et non plus prononcer des mots creux.

Source : Présent 4/09/2020

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jeudi, 03 septembre 2020

Election partielle dans la 3e circonscription du Maine-et-Loire (20 & 26 septembre) : Jean-Eudes Gannat annonce sa candidature

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Jean-Eudes Gannat intervenant lors du Rendez-vous "Bleu Blanc Rouge" de Synthèse nationale en octobre 2019.

Un communiqué de Jean-Eudes Gannat :

Après quatre années d’engagement local au service des français, j’ai décidé de me présenter à l’élection législative partielle de Saumur Nord avec le soutien de l’Alvarium, afin de proposer aux électeurs un choix de droite authentiquement nationale, sociale et populaire.

Alors que notre pays n’en finit plus de s’enfoncer dans la crise économique et migratoire et semble être à deux doigts d’une guerre civile, je veux être à l’Assemblée Nationale la voix de la liberté d’entreprendre, de l’identité française, de la justice sociale et des campagnes oubliées qui meurent en silence. Tandis que les politiciens se contentent de se pavaner sur les réseaux sociaux et les plateaux de télévisions, les habitants de la 3e circonscription ont l’occasion avec moi d’élire quelqu’un qui agit dans le réel depuis plusieurs années, en dépit des persécutions politico-médiatiques, et qui les défendra sans faiblir face aux lobbies et à la bien-pensance.

Dans les jours qui viennent, j’irai à la rencontre des habitants pour leur présenter notre projet de redressement et notre message d’espoir pour la France.

La France est aux Français !

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LE PROGRAMME DE JEAN-EUDES GANNAT CLIQUEZ ICI

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On vit une époque formidable…

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Pieter Kerstens

Une époque où la caste médiatico-politicienne jette l’opprobre sur les victimes au prétexte qu’elles auraient « provoquées » les agresseurs et les meurtriers.

Une époque où les criminels bénéficient de la complaisance de la Justice qui applique une doctrine de l’excuse et l’alibi d’un milieu défavorisé au lieu des rigueurs de la Loi.

Une époque où les normes de la société, les règlements, les coutumes et les lois de la France sont bafouées impunément par des délinquants multirécidivistes.

Une époque où les forces de l’Ordre sont critiquées par leur hiérarchie, conspuées en permanence et attaquées avec des armes de guerre.

Une époque où depuis des décennies l’Etat n’assure plus la sécurité des citoyens dans 700 zones de non-droit, abandonnées aux mains de trafiquants et de religieux mahométants.

Une époque où les bien-pensants de la gôche caviar et de la droite cosmopolite refusent d’admettre leurs erreurs et nous mènent vers le chaos social, la dépression économique et le gouffre financier.

Une époque où les « élites » baissent les bras, où les enseignants dispensent des études idéologiques à nos enfants en maquillant l’Histoire selon leurs dogmes.

Une époque où les valeurs qui ont fait la grandeur de la France et de l’Europe sont vouées aux gémonies, comme l’abnégation, le sens de l’Honneur et la valorisation du travail.

Une époque où l’on condamne ceux qui combattent le mondialisme, la médiocrité, les mensonges de la seconde Guerre Mondiale et des conflits du Moyen-Orient, et aussi ceux qui contestent les doctrinaires du colonialisme, de l’esclavage et les tabous des camps de concentration.

Une époque où règne le « politiquement correct », où les minorités LGBTQ, pédomaniaques et invertis accaparent le pouvoir afin de donner libre cours à leur perversité.

Une époque où des adolescents font la leçon à des parents ignorants, au prétexte de « défendre la Planète », alors même que la Nature depuis des millénaires se passe des rodomontades.

Une époque où les khmers verts prétendent nous imposer leurs rêveries d’une transition énergétique et d’une mobilité durable, pour limiter les effets des gaz toxiques et du CO2, quand de 1990 à 2016, l’Europe a diminué ces pollutions de 22% ! (Source : Global Project Carbon).

Alors il est grand temps, mais il n’est pas encore trop tard, pour remettre l’église au milieu du village et entamer une réelle RECONQUISTA sur le terrain mais aussi dans les esprits.

C’est pourquoi il faut oser penser et oser agir, par tous les moyens, mêmes légaux !

Ceux qui nous font chier dans nos quartiers et agressent les plus faibles de nos concitoyens, cassent le mobilier urbain, brûlent des voitures au moindre prétexte et pillent les magasins sont le plus souvent des racailles et des crapules maghrébines et africaines.

Ces délinquants et criminels, trafiquants de drogues, faussaires, malfrats et voyous ayant un casier judiciaire long comme le bras monopolisent les rôles à chaque séance des tribunaux. Ceux-là doivent être mis hors d’état de nuire à la société, et vite !

Les pompiers, les médecins, la police, la gendarmerie, les conducteurs de bus ou de trams, doivent être respectés et ceux -ou celles- qui les injurient ou les agressent doivent être jugés, condamnés et rapatriés dans le pays de leurs aïeux après déchéance de la nationalité française.

Quant à la secte écolo-végano-climato-patinnetto-gaucho-sodomite, le moment est venu de la renvoyer dans les poubelles de l’Histoire !

 
 

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50 ANS DES JOURNÉES CHOUANNES LES 5 ET 6 SEPTEMBRE

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Ne manquez pas nos cinquantièmes Journées Chouannes. Ces deux jours que nous vous proposons vous permettent de rencontrer de nombreux auteurs, et conférenciers, qui toute l'année, se battent pour vos idées. 

Plus d'infos et le programme des deux jours ICI

 
 

17:38 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Pédocriminalité prédation et complicités.

Interview chez Anne Brassié pour son émission "Perles de culture" chez TV Liberté, du 24 juin 2020. Où on reparle de Matzneff et de ses comparses.

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Plan de relance : saupoudrage, illusions et vieilles recettes.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Sur 100 milliards d'euros financés aujourd'hui  en monnaie de singe mais que devront, en tout état de cause, rembourser les générations futures, le plan de relance de l'économie présenté par le Premier ministre, Jean Castex, n'en consacre que trois à la garantie d'Etat aux fonds propres des entreprises, seule mesure, si elle avait été ambitieuse, qui aurait permis aux entrepreneurs de faire face à la crise, d'investir et d'embaucher. Dans ces conditions, l'espoir de l'exécutif de 160 000 emplois créés dans les deux ans n'est qu'une vue de l'esprit. Quant à l'hypothèse d'un plan de réindustrialisation de la France et de relocalisation des secteurs vitaux de notre vie économique et de notre indépendance énergétique ou sanitaire, la modestie des sommes engagées montre bien que, pour le gouvernement, il ne s'agit en aucune façon d'une priorité nationale. Aucun plan, au demeurant - la nomination de François Bayrou au poste de Haut commissaire témoigne, par elle même, de son  inutilité - ne peut être établi par un pouvoir faible uniquement préoccupé de sa pérennisation et n'ayant, au mieux, de visibilité que sur dix neuf mois.
 
Tout le reste relève de la politique du saupoudrage et de l'art éculé d'accommoder les restes suivant les vieilles recettes politiciennes et par prestidigitation cuisinière en attendant le festin imaginaire de 2022.
 
C'est le grand retour des emplois aidés, du camouflage statistique des réalités du chômage, des chiffres masqués, des formations-cul de sac et des mythes pervers de la transition écologique fantasmée comme base incontournable de la nouvelle économie libérale, équitable, durable et universelle.
 
L'accompagnement social de la crise, lui, se fera a minima. "Cachons ces pauvres que nous ne saurions voir". 

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mercredi, 02 septembre 2020

Cette épidémie ne vaut pas le sacrifice d’une génération

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Par Edouard Tétreau *

Si les Diafoirus modernes sont têtus, les faits et les chiffres récents de la pandémie le sont encore plus. Le CépiDc de l’Inserm montre ainsi que la surmortalité liée au Covid est devenue négligeable (entre 1,3 et 8,7 morts par jour vs 406 morts quotidiennes pour d’autres causes). Que l’âge médian des victimes est de 84 ans, soit 18 mois de plus que l’espérance de vie des Français. La base de données mondiale de la Johns-Hopkins University confirme ce phénomène dans tous les pays : oui, il y a une « deuxième vague », et, bonne nouvelle, cette vague est devenue largement inoffensive. On constate par ailleurs que le taux de mortalité de pays ayant mis en place des mesures très limitées de confinement sont à peu près équivalents au nôtre : les Etats-Unis, la Suède et le Brésil comptabilisent entre 51 et 58 morts pour 100.000 habitants ; la France, l’Italie et l’Espagne, entre 46 et 62 morts.

Bref, il serait temps, en particulier sur le front de l’économie, de reprendre une activité normale, tant les déséquilibres qui se creusent actuellement sont anormaux. En six mois, les Français ont enrichi leurs comptes en banque de plus de 100 milliards d’euros, épargnant comme jamais (taux d’épargne à 27,4 %, soit le double du taux moyen depuis vingt ans), et épargnant leurs efforts, entre le chômage partiel, le télétravail et ses télé-pauses, et les vacances. Enrichissez-vous par le non-travail et par l’épargne, comme ne disait pas Guizot.

Bombe à retardement

Cet argent venu de nulle part – des jeux d’écriture dans les banques centrales – trouve une destination très concrète : nos déficits publics et notre dette (120 % du PIB), que nous laissons de facto aux nouvelles générations. N’en déplaise aux économistes « boomers » qui ne voient pas où est le problème. Or, c’est là où le bât blesse : à cause des Diafoirus modernes, en médecine comme en politique ou dans certains médias, nous avons pris peur au point de moins investir et consommer. Et de ne plus donner de travail aux nouvelles générations : celles qui vont porter le fardeau des dettes du Covid, celles qui paient pour le confort de notre chômage partiel et nos 100 milliards d’épargne supplémentaire.

Le vrai danger de cette pandémie est la bombe à retardement, mondiale, d’une génération qui a joué le jeu de ses aînés – investissement personnel et financier, dettes incluses, pour étudier en vue d’un métier – et à qui on refuse jusqu’à un simple stage aujourd’hui. On ne stigmatisera pas les très grands groupes très rentables, même après le premier semestre 2020, qui ont gelé toute embauche, annulé des CDD, renvoyé des apprentis chez eux et supprimé des offres de stage puis usé de la facilité du chômage partiel. Les Diafoirus auront eu temporairement raison de leur confiance dans l’avenir.

Mais s’il y a un moment où il faut savoir prendre un risque pour son entreprise et son pays, c’est aujourd’hui. Les entreprises localisées en France, rentables, qui continuent de geler les embauches au moment où 700.000 jeunes arrivent sur le marché du travail, se tirent une balle dans le pied, sinon dans la tempe. Où se tournera cette génération sacrifiée, sinon vers les extrêmes de toute obédience et de toute couleur, pour mettre à terre une économie capitaliste qui se sera moquée d’elle – des études pour rien –, et ne lui aura donné aucun espoir – inaccessibilité au logement, au travail, à la constitution d’un patrimoine ? Les islamistes, les après-mondialistes, les communautaristes n’auront plus qu’à leur ouvrir grand les bras et engranger leur énergie, leur colère légitime. Et leurs suffrages.

Freins juridiques

Quel que soit le retard d’un plan de relance ambitieux, ainsi que les limites d’un pouvoir qui fait ce qu’il peut avec les ressources organisationnelles et financières limitées d’un Etat-balourd, c’est aux entreprises rentables de reprendre le flambeau. Si tant est qu’on leur laisse le droit de travailler (notamment dans l’événementiel, le tourisme, hôtellerie-restauration, ou encore les transports), et que l’on suspende les trop nombreux freins juridiques à l’embauche, elles ont entre leurs mains le pouvoir de remettre la nouvelle génération en selle – ou de la jeter dans la rue.

L’armée, hélas, n’est pas capable d’accueillir cette nouvelle génération, l’idée de service national universel n’ayant débouché sur rien de significatif, trois ans après son annonce. Les collectivités locales sont exsangues. Ce sont donc les chargés de recrutement des entreprises privées françaises, et, au fond, personne d’autre, qui détiennent les clés de la relance immédiate du pays et de son avenir. Au gouvernement de se mettre à leur service, en faisant taire les Diafoirus qui l’entourent. Et en faisant de l’embauche des moins de 25 ans une priorité nationale.

(*) Edouard Tétreau, associé gérant de Mediafin, un groupe de médias belge, vient de publier Les Etats généraux en 2022, aux Editions de l’Observatoire.

Source : Les Echos 02/09/2020

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mardi, 01 septembre 2020

Partick Jardin: Pas devant les caméras

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Patrick Jardin est le père de Nathalie, sauvagement assassinée par les islamistes au Bataclan, le 13 novembre 2015. Contrairement à beaucoup d'autres, les ours en peluche, bougies et autres marches blanches ne l'ont pas du tout apaisé. Il veut tout faire pour réveiller nos compatriotes, lutter contre l'islamisation et éviter de nouvelles tragédies du "vivre-ensemble".

"Pas devant les caméras" est le mot ahurissant que lui a dit Manuel Valls, alors Premier ministre, à qui il demandait des comptes. Eh bien, nous, nous allons mettre ce débat sur la place publique! Alors aidez-nous à faire connaître ce livre, véritable cri de colère et cri de douleur. Lisez et faites lire ce livre.

Vous pouvez le commander ici

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Témoignage de Vincent sur le port du masque obligatoire aux enfants de plus de 11 ans

Masques : collégiens, lycéens, étudiants, vous avez le choix

Face à la propagande actuelle, c'est un devoir qu'à notre génération d'agir, car le monde de demain dépend de nos actes d’aujourd’hui. Alors faisons le choix, ensemble, de refuser cette nouvelle mesure liberticide.

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Source : Vincent Lézac

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Les Gilets Jaunes défilent le 5 septembre pour demander la destitution d'Emmanuel Macron

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Après avoir ébranlé le pouvoir d'Emmanuel Macron en 2018, les Gilets Jaunes reviennent en force. Ils s'annoncent en pleine rentrée perturbée par le regain du coronavirus par une première manifestation, qui leur donnera l'occasion de demander ni plus ni moins la démission d'Emmanuel Macron.

Une série de rassemblements et cortèges, se dérouleront le samedi, 5 septembre 2020, à partir de 14 h, depuis la Maison de la Radio en passant par TF1, C8, France 24, Altice Media et se termineront devant le siège de France Télévisions, esplanade Henri de France à Paris, afin de porter les revendications suivantes :

1) Exiger que Macron soit destitué en raison d’un certain nombre de crimes que les Gilets Jaunes vont expliquer aux Français. Notamment, s’agissant de l’affaire Alstom qui relève de l’article 411-3 du Code Pénal, ainsi que, des frappes militaires qu’il a ordonnées sur le territoire syrien en avril 2018, qualifiées de crime d’agression par l’article 8 bis des Statuts de Rome sur la CPI.

2) Exiger que le Référendum d’Initiative Citoyenne à vocation législative et révocatoire, soit introduit dans la Constitution afin d’assurer un contre-pouvoir démocratique réel pour le peuple, que ce soit pour voter des lois ou mieux contrôler la représentation politique.

3) Dénoncer tous les régimes de sujétion économiques que subit la France, que ce soit par son rattachement illégitime à l’UE et l’euro, mais aussi, l’ingérence claire d’intérêts financiers et industriels dans les politiques publiques de la France dont Emmanuel Macron n’est à ce titre qu’un vulgaire chargé de mission.

4) Exiger une remise en cause majeure du traitement de l’information politique par les grands médias (sous entendu ils sont corrompus par des pouvoirs d'argent). "Nous considérons que la censure de certaines personnalités ou opinions politiques et la propagande (comme celle que nous subissons à propos du Covid-19) pour servir les intérêts politiques ou financiers d’un petit nombre de personnes, n’est pas admissible dans un pays qui se dit démocratique", expliquent les Gilets Jaunes. Et d'ajouter : "Nous savons que les journalistes sont pleinement conscients que les Français ne font plus confiance en leur indépendance et leur objectivité dans leur travail, et qu’une grande partie d’entre-vous souhaite enrayer cette crise de confiance. A ce titre, nous pensons que le premier pas consiste à nous rencontrer et discuter pour savoir quelles sont nos attentes et quelles sont les difficultés que vous rencontrez pour améliorer le traitement de l’information en France".

Le ton est donné. Les Gilets Jaunes sont de retour. Pour demander la destitution du président de la République. Ce retour conjugué à la catastrophique situation économique provoquée par le coronavirus, qui, par ailleurs, reprend de l'ampleur, est de nature à donner de grosses insomnies au locataire de l'Elysée.

Source : Afrique Education

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Manifestation contre le port du masque à Londres : le discours de David Icke

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"La seule chose dont vous avez besoin pour transformer les gens en esclaves, c’est la peur"

 
La prise de parole de Robert F. Kennedy Jr à Berlin le samedi 29 août:
« Les gouvernements aiment les pandémies, et ils aiment les pandémies pour les mêmes raisons qu’ils aiment la guerre : parce qu’elle leur donne la possibilité d’imposer à la population des contrôles que celle-ci n’accepterait jamais autrement. »

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«Ich bin ein Berliner»

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Source: E&R

 
 

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De l’art de confiner le rire

Confinerires.jpgLa chronique

de Philippe Randa

Jean Picollec publie souvent ce qu’on n’attend pas de lui ; spécialiste habituellement des ouvrages d’information non-conformistes, souvent déplaisants pour certains esprits indélicats, il n’en a pas moins déjà été l’éditeur de recueil de dessins humoristiques, tels ceux de Trez, le dessinateur vedette de France-Soir du temps de son impression papier ou encore de Miège ou d’Innocent qui, en compagnie de Trez justement, nous offrirent en leur temps un « Impôt-pourri » en 96 dessins « pour se remonter le moral. »

Le moral, il en est justement question en cette angoissante année 2020 si mise à mal par l’épidémie de Coronavirus qui semblent bien avoir révélé davantage de fous, notamment à la direction des pays à travers le monde que de victimes réelles (à ce jour, l’épidémie n’a « toujours » fait que moins de 5 % de morts parmi les personnes infectées, n’en déplaise aux indécrotables hypocondriaques).

Et donc, quid de l’humour au temps du coronavirus ? Une mère et ses deux filles, Catherine, Peggy et Pamela, nous invitent à le découvrir en ayant rassemblées dans leur Confinerires les meilleurs blagues ou traits d’humour qui fusèrent et se propagèrent, plus vite que le virus durant les mois d’emprisonnem… euh, de confinement du printemps dernier.

Beaucoup d’images détournées et de dessins en couleur pour nous faire éclater de rire, beaucoup impossible à expliquer sans en dénaturer l’effet, mais voici phrases puisées ici ou là au fil des pages : « 17 mars 2020 : Vous voulez fermer les écoles ? OK, mais avec les enfants à l’intérieur ! »… « 25e jour de confinement : Mon groupe sanguin est devenu a-peritif »… « Télétravail… Famille… Pâtes riz »… « Bientôt, nous devrons aller chasser pour manger… et je ne sais même pas où vivent les lasagnes ! »

Remercions donc les dames Wajsman d’avoir confiné en 118 pages les meilleurs moments – ils ne furent pas si nombreux – de ces funestes mois passés… et saluons leurs générosité d’offrir intégralement leurs droits d’auteur aux causes défendues par « La voix de l’enfant » et « La fondation des Hôpitaux de France » (la plateforme www.gandee.com a été sélectionnée comme garant des versements de la part droits d’auteurs au profit des deux causes).

Confinerires, Catherine, Peggy et Pamela Wajsman, Jean Picollec Éditeur, 9,90 euros

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lundi, 31 août 2020

Mardi 1er septembre : reprise des activités de l'Académie Europe

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Porte ouverte à l’inflation puis à l’hyperinflation

ROUSSET PIERRE.jpgMarc Rousset

Jerome Powell, président de la Fed, vient de tracer, à Jackson Hole (Wyoming), les grands axes du nouveau cadre de la politique monétaire. La Fed entend placer l’emploi avant l’inflation. La Fed visera un taux moyen de 2 % sur la durée et compensera les périodes de faible inflation par une inflation de plus de 2 % durant un certain temps. La banque centrale américaine entend, ainsi, ramener les USA au plein-emploi et favoriser la remontée de l’inflation. La nouvelle stratégie monétaire de la Fed devrait donc la conduire à conserver des taux nominatifs très bas et des taux réels négatifs.

Alors que Paul Volcker, à la tête de la Fed entre 1979 et 1987, releva d’une façon très forte le taux directeur américain pour dompter l’inflation, Jerome Powell cherche à la stimuler. Volcker provoqua une récession mais parvint à éteindre l’inflation avant de provoquer une forte reprise économique, tandis que Powell pourrait bien déclencher, à terme, une hyperinflation incontrôlable. Le chômage américain est actuellement à 10,2 %. Il est en baisse par rapport aux 14,7 % d’avril dernier, mais il reste bien supérieur aux 3,5 % de février. La semaine dernière, le nombre de demandes d’allocation chômage était toujours d’un million.

Selon la Bank of America, la Fed ne devrait pas relever son taux directeur avant 2062, soit avant 42 ans, ce qui relève de l’utopie et d’un effondrement économique à venir. La seule chose de certaine, c’est que nous nous dirigeons vers un environnement avec davantage d’inflation. Le diable pourrait bien sortir un jour de sa bouteille pour nous conduire à une situation semblable à celle de l’Allemagne en 1923.

La masse monétaire M1 des États-Unis, qui s’élevait à 200 milliards de dollars en 1980, a été multipliée par 30 pour s’élever, aujourd’hui, à 6.000 milliards de dollars, avec une croissance accélérée à la verticale depuis le 23 mars 2020. Comme les banques commerciales sont réticentes à prêter de l’argent, suite aux risques d’impayés, la Fed ne trouve rien de mieux que d’augmenter encore davantage la masse monétaire afin de compenser leur frilosité. C’est exactement ce qui s’est passé dans l’Allemagne des années 1920.

La crise de 2008 a ouvert grand les vannes de la politique d’achat d’actifs financiers par les banques centrales. La crise du Covid-19 incite au recours à l’utopique politique moderne, c’est-à-dire à la « monnaie hélicoptère », c’est-à-dire, encore, à créditer directement les comptes des citoyens. Certains économistes proposent même d’expérimenter des politiques de taux négatifs très élevés. Aux États-Unis, les chèques signés par le Trésor américain n’ont pas empêché la faillite de l’enseigne de distribution JC Penney, mais ils ont dopé les cours des actions en Bourse.

La France, elle, souffre d’une désindustrialisation imbécile depuis quarante ans et, donc, d’une insuffisance de l’offre de produits industriels. Relancer la consommation par une politique monétaire laxiste fait l’affaire de l’Allemagne et de la Chine, mais pas de la France qui importe.

Les seuls gagnants actuels, partout dans le monde, sont la dette et la création monétaire qui augmentent. L’hyperendettement d’un État ne peut se terminer que par l’hyperinflation avec dévaluation, une fiscalité confiscatoire, l’austérité généralisée, l’emprunt obligatoire, la guerre et son butin ; ce que fit Napoléon, ou la banqueroute et l’effondrement comme au Liban. Il n’y a que des inconscients, style Mélenchon, pour croire que tout va se terminer pour le mieux en France par une dette perpétuelle dans un monde où, demain, on rasera gratis.

David Hume (Essai sur le crédit public) mettait déjà en garde, au XVIIIe siècle : « Il ne serait guère plus prudent de donner à un fils prodigue un crédit chez tous les banquiers de Londres que de donner à un État le pouvoir de tirer de cette manière des lettres de change sur la postérité. »Quant à l’Autrichien Stefan Zweig, il raconte, dans Le Monde d’hier, son souvenir de l’hyperinflation des années 1920 : « J’ai vécu des journées où il me fallait payer le matin cinquante mille marks pour un journal et le soir cent mille […] On trouvait des billets de cent mille marks dans le caniveau : un mendiant les avait jetés avec dédain, mais pour cent dollars, on pouvait acheter des files d’immeubles de six étages sur le Kurfürstendamm. »

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dimanche, 30 août 2020

TRIER LES ORDURES : UN DEVOIR CITOYEN !

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Pieter Kerstens

Effectivement, si le combat contre la pollution de l’environnement est nécessaire, combattre la pollution des esprits est également indispensable. 

Depuis trop longtemps, les contribuables, les parents et les électeurs assistent béats à la destruction de notre civilisation par des technocrates qui imposent leurs schémas et leurs dogmes, au nom d’un égalitarisme impalpable.

Quiconque s’oppose à cette décérébration mondialiste se voit taxer de « politiquement incorrect ». Ceux qui se battent depuis des années contre les valets de BIG BROTHER sont poursuivis en France, ou ailleurs en Europe, par la police de la pensée.

Cela a trop duré ! Nous sommes responsables de l’héritage légué par nos ancêtres et du patrimoine que nos aïeux ont enrichi à force de ténacité et de sueur au cours des siècles. Nous devons en répondre devant nos enfants et leurs descendants. Socialement, économiquement et culturellement il est urgent d’opérer une révolution mentale.

Il faut en finir avec la dictature socialo libérale qui permet l’ascension des parasites au détriment de l’individu compétent. Il faut en finir avec la Nouvelle Religion « droit de l’hommiste » qui génère la crapule s’imposant face aux honnêtes gens. Il faut punir ce régime de pourriticards qui a enfanté des bataillons de corrompus, petits et grands, en ridiculisant les personnes intègres.

La Liberté doit accoucher d’un Front du Refus. Quand l’oisiveté et le vice prennent le pas sur la compétence et l’efficacité, alors la révolte se justifie par des rejets populaires. La rébellion des « Gilets Jaunes » en est la parfaite illustration, avant sa récupération par les activistes gauchistes.

Pourquoi ? Parce que :

- les parents ont vu s’effondrer les jalons qui garantissaient un enseignement de qualité et vu aussi la violence envahir les salles de cours, parce que la discipline est absente !

- les enfants ont constaté que de nombreux diplômes ne leur permettaient que l’accès au chômage. Par ailleurs, il existe aussi plus de 1.500.000 analphabètes dans l’Hexagone. Surprenant.

- les patrons, artisans et commerçants sont spoliés par l’Administration et ne sont plus défendus par leur corporation. En 2019, la pression fiscale atteint 46% du P.I.B, la plus forte du monde et pour la seconde année consécutive. 

- les automobilistes, englués dans des bouchons sans fin, sont cloués au pilori pour le moindre prétexte et proprement rackettés par les taxes, accises et autres amendes.

- les contribuables français voient d’année en année leurs impôts et les taxes augmenter et le gouffre de la dette s’approfondir (2.432 milliards € au 12 janvier 2020, soit 38.726 euros par habitant : c’est criminel). Chaque jour la dette augmente de 230 millions d’euros !

Partout, le malaise est palpable et c’est ce que nous constatons tous les jours dans nos quartiers : l’envahissement de notre économie par des multinationales étrangères, le métissage de notre population par une immigration hors contrôle, et l’insécurité permanente dans nos rues et les transports publics.

Trois aspects de notre quotidien imposés par les laquais du mondialisme et les gourous du multiculturel. Leur échec est évident ! Pour sortir du gouffre, il faudra donc éliminer les incapables et trier les ordures politiques lors des prochains scrutins.

23:27 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens, Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Intéressant zoom sur "l'intersectionnalité" avec Gilles Ardinat (Forum Ecole & nation)

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20:46 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La réaction de Valeurs actuelles

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Le roman de l'été cliquez ici

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Polémique Obono-Valeurs Actuelles : parce que ce ne sont pas des négriers noirs qui ont vendu leurs « frères » noirs aux négriers blancs ?

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Bernard Lugan cliquez ici
 
Quelle insolite et même « surréaliste » polémique pour un simple pastiche ! A travers la personne de Danielle Obono, porte-parole de la France Insoumise, l’hebdomadaire « Valeurs Actuelles » a en effet mis en évidence sous une forme se voulant humoristique, le rôle de certains peuples Africains dans la vente des esclaves noirs aux négriers européens. Présentée comme une victime de cette traite, Madame Obono a, parait-il, été ulcérée de ce qui pourrait s’apparenter à une « réponse du berger à la bergère ». Au mois de juin 2020, devant le Parlement européen, n’est-ce pas le groupe LFI qui a en effet déposé un amendement visant à ne reconnaître comme « crime contre l’humanité » que la Traite européenne, la seule traite européenne, et non  « la traite des esclaves » en général, comme cela était prévu dans le texte initial ?
 
Cette polémique illustre en réalité le niveau d’abêtissement et, plus grave encore, de dhimitude intellectuelle du monde politique français. Trémolos dans la voix, la main sur le cœur, Rassemblement national compris, tous les partis politiques ont en effet réagi par réflexe pavlovien et dans l’ignorance » bétonnée de la question. Au pays de Descartes, l’émotionnel semble donc avoir définitivement pris le pas sur la Raison…
 
Or, par-delà les stupides invectives, les consensuelles indignations et les lâches prises de position de responsables politiques devenus les « baise-cul » du fait accompli, la vérité historique existe. Elle fait consensus chez les universitaires spécialistes de la question : une partie de l’Afrique s’est enrichie en vendant l’autre partie. Les captifs n’apparaissaient en effet pas par enchantement sur les sites de traite car ils étaient capturés, transportés, parqués et vendus par des négriers noirs aux négriers européens. Comme ces derniers attendaient sur le littoral que leurs partenaires africains leur y livrassent les captifs, il dépendait donc in fine des négriers africains d’accepter ou de refuser de leur vendre leurs « frères » noirs.
 
Cette coresponsabilité dans l’ignoble commerce négrier a d’ailleurs été clairement mise en évidence par les évêques africains :

« Commençons donc par avouer notre part de responsabilité dans la vente et l’achat de l’homme noir... Nos pères ont pris part à l’histoire de l’ignominie qu ‘a été celle de la traite et de l’esclavage noir. Ils ont été vendeur dans l’ignoble traite atlantique et transsaharienne ». Déclaration des évêques africains réunis à Gorée au mois d’octobre 2003.

Or, à travers l’artificielle polémique Obono-Valeurs Actuelles, la vérité historique est une fois de plus effacée au profit d’une fausse histoire peu à peu imposée par des méthodes terroristes et lâchement acceptée par tous les partis politiques français.
 
Ceux qui ne voudront pas être emportés par la tempête médiatique trouveront dans mon livre Esclavage l’histoire à l’endroit, l’argumentaire détaillé leur permettant de réfuter cette histoire devenant insidieusement officielle et dont la finalité est de faire de l’homme blanc un coupable éternel.

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samedi, 29 août 2020

RAPPEL : sortie du livre "La chute de l'empire occidental" de Michel Vial

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Loin d’être dogmatique, cet essai répond avant tout à une logique. Celle du témoin d’une époque qui voit s’écrouler un « empire occidental » que l’ont pouvait naïvement imaginer, au lendemain de l’instauration du Nouvel Ordre mondial, au début des années 1990, comme devant être définitif.

Avoir voulu, au nom de l’ultra-libéralisme, détruire les nations et leurs spécificités au profit d’un vaste marché aux dimensions planétaires a été la grande erreur de ces dernières décennies. Nous voyons aujourd’hui que ce funeste projet mondialiste a atteint ses limites. De plus, le retour sur la scène internationale de l’islam conquérant, accentué par les grands brassages migratoires, assombrit encore plus l’avenir de nos peuples européens.

Faut-il pour autant baisser les bras ? Certainement pas...

Engagé dans le camp nationaliste alors qu’il était étudiant, Michel Vial a gardé de sa jeunesse cette approche non-conformiste qui caractérise ceux qui ont compris, avant les autres, que la défense de notre identité, et de notre liberté, est un éternel combat.

Dans cet ouvrage, il décortique un par un les différents aspects de la crise que nous subissons en essayant de faire passer un message d’espoir à ceux qui refusent l’anéantissement de notre civilisation.

L'auteur : Michel Vial

Michel Vial, 64 ans, a été militant nationaliste dans sa jeunesse étudiante. Engagé volontaire à 20 ans dans les Phalanges liba-naises, il est blessé au combat à Beyrouth en septembre 1976. Deux ans plus tard, il est élève officier de réserve à l’école d’application de l’Arme blindée cavalerie de Saumur dont il sort major de sa promotion et intègre le 2e Régiment de Hussards.

Après une carrière professionnelle dans les métiers de la formation et de la communication, il se consacre à la rédaction d’articles et d’ouvrages sur l’histoire militaire moderne. Il publie chez « Histoire & Collections » son premier livre en 2018 sous le titre Otto Skorzeny, l’homme le plus dangereux du IIIe Reich qui retrace la vie extraordinaire du chef des commandos de Hitler.

Michel Vial est l’un des fondateurs et le porte-drapeau de l’AAVFL (Amicale des Anciens Volontaires Français du Liban).

Lire aussi cet entretien avec l'auteur cliquez là

La chute de l'empire occidental, Michel Vial, Les Bouquins de Synthèse nationale, collection idées, juin 2020, 130 pages, 18 euros (+ 5 euros de port).

Le commander en ligne cliquez ici

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16:32 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Alerte Covid : tremblez en permanence, braves gens…

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La chronique de Philippe Randa

En cette fin août, à la veille de la rentrée de septembre, la pandémie de Covid-19 est plus que jamais d’actualité avec masque obligatoire pour tous, partout et tout le temps…

On peut reprocher au gouvernement français bien des échecs, bien des bêtises, bien des incompétences, mais quelle maestria dans l’orchestration de la panique : six mois durant, ses escadrilles médiatiques ont lâché jour et nuit leurs bombes « Alerte Covid ! » étouffant (mal, mais étouffant tout de même) les ripostes de DCA des Didier Raoult ou des docteurs Toubiana ou Perronne pour ne citer qu’eux qui n’ont eu de cesse de fustiger comme il se devait les branquignolles du Conseil scientifique qui monopolisent les médias ou encore celles d’intellectuels comme Michel Onfray ou – c’est une surprise, mais pourquoi pas ! – Bernard-Henri Lévy qui tirent la sonnette d’alarme du bon sens, celui-ci étant à l’évidence devenu un champ de ruines en France.

J’ai pour ma part été assez stupéfait de constater que des proches pourtant habitués à ferrailler contre les mensonges officiels, étaient au mieux gagnés par le doute, au pire tétanisés par la peur avec comme seul argument pour tenter d’excuser leur comportement : « On ne sait pas ! »

Ah bon ! Les chiffres de l’Organisation Mondiale de la Santé sont pourtant là : cette épidémie de Covid-19 ne fait pas davantage de morts qu’une épidémie habituelle et infiniment moins que d’autres dont la plupart ne sont même pas restées dans les mémoires : qui se rappelle des 15 000 Français morts de la grippe en janvier 2017 (surtout des personnes de plus de 65 ans), comme ne cesse de le rappeler Didier Raoult dans ses appels au calme ?

À moins de considérer l’OMS comme une officine complotiste, évidemment !

Finalement, rendons hommage au gouvernement : chapeau l’artiste !

Toutefois, la recette n’est pas nouvelle : terroriser le peuple est le moyen le plus efficace pour le faire tenir tranquille. Seule différence notoire, autrefois, un régime totalitaire usait directement des forces de police ou militaire à sa botte. Depuis six mois, le gouvernement français a injecté le poison de la peur par doses successives et par paliers successifs, soufflant sur le chaud et le froid des contaminations réelles ou plus simplement envisagées… et ne lançant sa police – l’intervention de l’armée n’est pas encore d’actualité à ce jour – qu’au coup par coup, mais elle a désormais carte blanche pour racketter autant que faire se pourra les « terroristes sanitaires », soit le vulgum pecus distrait ou réfractaire à la bêtise.

C’est aussi une bonne nouvelle pour tous les Cruchot nationaux : ils pourront agir sans risquer d’être taxés de racisme car bien évidemment, faire respecter la dictature sanitaire dans les zones de plus en plus nombreuses de non-droit ne sera évidemment pas davantage une « priorité » que durant les deux mois d’emprisonnement national de la mi-mars à la mi-mai dernier.

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Déni d’ensauvagement

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Par Mathieu Bock-Côté

L’étrange querelle des dernières semaines autour du terme « ensauvagement » nous confirme encore une fois, s’il le fallait, à quel point le système médiatique travaille non pas à décrire la réalité de la société française mais à l’occulter. Les scènes les plus violentes se multiplient, les agressions s’additionnent et pourtant, les sociologues patentés le répètent en boucle : tout ne va pas si mal et ceux qui disent le contraire versent dans la « surenchère sécuritaire ». Mieux encore : tout va bien. Le vivre-ensemble est harmonieux, les agents des services publics peuvent travailler sans risque, les rodéos se font rares, un jeune homme qui se porte à la défense de jeunes femmes est un provocateur qui mérite d’être agressé et les mœurs sont de plus en plus douces, comme on a pu le voir avec les « jeunes » en « liesse » sur les Champs-Élysées lors des dernières compétitions sportives. Bref, la vie est belle en France plurielle ! C’est le triomphe de la diversité Potemkine.

Ce ne sont pas les violences qui font scandale, mais le fait qu’on les nomme sans prendre les précautions langagières attendues. Le déni de l’ensauvagement fait écho à ce qu’on appelait autrefois le « sentiment d’insécurité ». Les Français étaient accusés de céder à une propagande excitant chez eux la méfiance à l’endroit de « l’autre ». Ils se laisseraient contaminer par un discours anxiogène. C’était même leur responsabilité civique de changer le nom des suspects lors des violences, jugées « ordinaires », pour éviter d’alimenter le populisme. Mais puisque les grands médias n’exercent plus un monopole sur la description des réalités, et que les réseaux sociaux permettent à la réalité de déborder dans l’espace public, même si elle y arrive de manière chaotique, il faudra alors traiter ces violences comme autant de faits divers insignifiants.

Qui les traitera comme des faits politiques, symptomatiques de la désagrégation d’une société victime des bandes et progressivement déstabilisée par une immigration incontrôlée sera accusé de tenir des propos haineux. Ce déni d’insécurité n’est pas exclusif à la France. On l’a vu depuis juin, aux États-Unis, les manifestations les plus brutales comme les raids des antifas sont toujours traités comme des événements isolés, certains reporters racontant sans gêne, devant des scènes de pillage à répétition qu’ils sont devant des « peaceful protests ». À quel moment la mauvaise foi devient-elle du mensonge à l’état pur? À quel moment devient-on consciemment un propagandiste?

L’ensauvagement serait même un concept « d’extrême droite ». Ce terme d’épouvante désigne moins un courant politique identifiable qu’un spectre terrifiant, quasiment diabolique, qui hanterait nos sociétés pour exciter leurs basses passions et les jeter vers l’abîme. Avec le temps, on finit par le comprendre : est d’extrême droite ce qui déplaît extrêmement à la gauche. Ce concept ne décrit pas un mouvement, même pas une nébuleuse, mais un fantasme mobilisé par le régime diversitaire pour exclure de la conversation publique ceux qui ne se reconnaissent pas dans la vision qu’il propose de la société et de ses problèmes. Il fonctionne à l’amalgame et n’est finalement rien d’autre qu’une technique d’intimidation idéologique pour transformer l’adversaire légitime en ennemi public.

C’est Aurélien Taché qui a remporté le match de la déclaration la plus lunaire. Après avoir appris qu’une jeune musulmane bosniaque avait été tondue par sa famille qui ne tolérait pas qu’elle fréquente un chrétien serbe, il trouvera le moyen de dénoncer une classe politique rajoutant une pièce dans le « juke-box de la haine antimusulman ». On aurait cru entendre ceux qui, au lendemain de l’attentat contre Charlie Hebdo, mirent la France en garde contre « l’islamophobie ». Lorsque la France est agressée, elle s’accuse. Quand elle résiste, elle est accusée de « multiplier les formules chocs sur la délinquance » et de se soumettre au populisme, même au racisme. On connaît la chanson, elle joue depuis trente ans au moins.

Qui ose des constats de bon sens risque le bannissement civique. Le système médiatique fonctionne à la déréalisation du monde et condamne la société à évoluer dans un univers dédoublé, soumis à l’orthodoxie diversitaire. Le réel ne passera pas! Récapitulons : l’ensauvagement est une illusion alimentée par un discours ultra sécuritaire, l’immigration massive est un fantasme conspirationniste et la dévastation anthropologique d’un monde refusant de distinguer un homme d’une femme est une lubie de catholique intégriste. De même, qui se désole de la régression de la liberté d’expression confesse son désir de se vautrer dans les discours haineux et qui s’oppose à la racialisation des rapports sociaux cherche à dissimuler derrière la rhétorique universaliste son privilège blanc. Il ne faudrait pas beaucoup d’imagination pour parler d’une nouvelle trahison des clercs.

Source : Le Figaro 29/08/2020

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Journal du chaos

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Alexis Cossette – Refus de la seconde vague et effet domino

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vendredi, 28 août 2020

France Orange mecanique. La faute a qui ?

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Loin de nous l'intention d'exonérer Emmanuel Macron et ses gouvernements de la responsabilité de l'explosion sans précédent des violences, des agressions, des actes de barbarie, des saccages et des pillages, des viols, des règlements de comptes liés au trafic de drogue, et plus largement des actes d'hostilité à tout ce qui faisait jadis le mode de vie des Français dans la paix publique et la tranquillité.
 
La part de responsabilité détenue par l'actuel Président dans cette situation est immense.
 
Mais la France "Orange mécanique" qu'évoque Xavier Bertrand dans un entretien accordé au Figaro, reprenant ainsi un terme initié par Laurent Oberstone, n'a pas vu le jour par hasard, subitement, à la faveur d'un déconfinement que certains adeptes de la culture de l'excuse auraient voulu faire rimer avec défoulement.
 
Le Président de la région des Hauts de France, et avec lui mais avec d'autres mots la plupart des dirigeants de la droite républicaine ont beau fustiger "l'immense échec du quinquennat Macron en matière d'insécurité", personne n'a oublié la responsabilité de ses prédécesseurs.
 
Tous les gouvernements successifs du régime, de droite comme de gauche, ont participé de cet effondrement.
 
Tous responsables et tous coupables ! Tous ceux qui ont laissé faire. Tous ceux qui, au fil des ans, ont refusé de donner aux forces de police et de gendarmerie les ordres qui auraient permis de juguler l'ensauvagement progressif de la société. Tous ceux qui ont fait de la Justice un dépotoir et une tribune gauchiste oubliant qu'elle devait être rendue au nom du peuple. Tous ceux qui ont laissé se défaire sous leurs yeux les valeurs et les principes de notre vrai "vivre ensemble" entre nous et chez nous. Tous ceux qui ont ouvert toutes grandes les portes au globalisme ravageur, destructeur des édifices nationaux. Tous ceux qui ont permis l'arrachement de territoires entiers à la France et toléré, voire encouragé ou même organisé l'installation sur notre sol de populations rétives aux fondamentaux de notre civilisation.
 
Ceux là l'Histoire - en espérant qu'il y ait encore demain des historiens pour l'écrire - les jugera.
 
Mais avant elle, si nous parvenons avant qu'il ne soit trop tard aux responsabilités, nous les jugerons sans faiblesse.

18:45 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

ALEXANDRE LUKACHENKO PASSERA-T-IL L’HIVER ?

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Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

Soyons francs, si des manifestations d’ampleur à Minsk n’avaient pas alimenté en images les chaines d’info continu, personne ne parlerait de la Biélorussie. Pas un Français sur dix ne saurait la situer sur une carte. Que s’est-il passé pour que l’hystérie s’empare soudainement, une fois de plus, de la médiasphère ? Des élections présidentielles, une banale consultation comme il y en a des dizaines chaque dimanche que Dieu fait autour de la planète. Mais voilà, le vieil apparatchik Loukachenko s’est fait prendre la main dans le sac, si je puis dire.

Alors, Loukachenko, un tricheur ?

Difficile à dire, mais nous avons une petite idée des pratiques électorales qui perdurent dans  des « régimes musclés ». On peut à juste titre émettre des doutes sur la validité de cette élection, aucun observateur n’étant admis le jour de la consultation, et les candidats hostiles au régime ayant été préventivement « encabanés ». Mais, avec cet homme-là, « le bébé n’est pas forcément  à jeter avec toute l’eau du bain ». Ancien directeur de kolkhoze pendant la période soviétique, il a conservé de ces années, bien sûr, la rigidité  des  réactions soviétoïdes du monde communiste. De plus, sa vie privée, est, disons, assez dissolue : n’aurait-il pas fait élire député sa maîtresse en titre, Miss Biélorussie, sa cadette d’au moins quarante printemps ? Mais quand  on a la santé, n’est-ce pas, on ne compte pas !

Un partenaire difficile de la Russie

Revenons à des choses plus sérieuses. Un homme qui résiste au nouvel ordre mondial, qui n’attire pas la sympathie de BHL, qui se montre un allié exigeant de Vladimir Poutine, qui facilite les conversations internationales pour régler le problème ukrainien à ses frontières, est-il totalement si mauvais ?

Un pays qui se classe à la 53e place sur 189 pour ce qui est de l’indice de développement humain, qui a plus de médecins pour 10 000 habitants que la Roumanie ou la Finlande, par exemple, est-il un  État aussi attardé que l’on veut bien le dire ? Mais hélas oui, malgré des aspects positifs, la féroce répression des manifestations hostiles au régime est condamnable tout autant, au passage, que celle de la « Manif pour tous » ou des « Gilets jaunes » en France. Sur ce plan là, nos donneurs de leçons et autres professeurs en démocratie feraient mieux de se taire. Maintenant, dire que le camarade Loukachenko a remporté l’élection présidentielle avec 79 % des voix, serait emprunter un sentier scabreux, une piste « à l’Africaine ». Tout autant qu’affirmer que dame Svetlana Tikhanovskaïa, la femme du dissident arrêté, - un  homme d’affaire assez louche  semble-t-il -, l’aurait emporté.

Poutine, en embuscade

Mais quand un  régime emprisonne ses opposants,  qu’une candidate est obligée de fuir en Lituanie voisine, - chantage sur le sort de son mari, pression sur sa vie même ? -, c’est inacceptable. Maintenant, soyons francs et posons la bonne question : la Biélorussie a-t-elle le droit à l’existence en tant qu’État souverain ? Il est vrai que le drapeau aux trois bandes horizontales blanche, rouge et blanche, a déjà flotté en 1918 lors de la chute de l’empire tsariste. Mais les habitants de cette région parlent tous le russe. Il est vrai aussi qu’il y a déjà  eu une tentative malheureuse d’union entre la Russie et le Belarus. C’était et c’est toujours, le rêve de Poutine de présider cette Union. Loukachenko a sans doute trop irrité le maitre du Kremlin pour pouvoir terminer des jours tranquilles dans son palais à Minsk. Le président russe cette fois-ci, ne se laissera pas avoir comme en Ukraine. Qui pourrait affirmer que la révolte populaire, au lieu d’être fomentée en douce par l’Occident comme à Kiev, n’est pas, en réalité, managée par Moscou, pour effacer un apparatchik trop récalcitrant ? Loukachenko a pris trop d’indépendance effective et verbale par rapport à Moscou, alors qu’il dépend totalement de Poutine pour son gaz et son pétrole, notamment. Si Moscou coupe le gaz, le socialisme de Batka (papa) Loukachenko, ne pèsera plus lourd. Globalement, le président a placé son pays dans le camp des pays autoritaires, sinon totalitaires : l’un des tous premiers à le féliciter après son élection controversée en août n’a-t-il pas été le sieur Xi Jinping ? Vladimir Poutine aussi, il est vrai, avait aussi adressé un message de félicitation. (En faisant, toutefois, le service minimum).

Que peut faire l’Europe ?

La Pologne voisine pour sa part, contrairement à un Victor Orban, actif  partenaire de Varsovie au sein du groupe de Visegrad, mais qui entretient aussi de bonnes relations avec Minsk où il a été reçu, a appelé à un sommet extraordinaire des membres de l’Union européenne sur la situation en Biélorussie après la répression des manifestations du dimanche 9 août et  des jours suivants. L’U-E, évidemment, a condamné la répression et arrêté un certain nombre de dispositions pour sanctionner, - comment ? -, les responsables de ce maintien de l’ordre « musclé ». L’armée et la police resteront-elles fidèles au président ? Certains des membres des forces de sécurité sont restés passifs, ni anti, ni pro manifestants. Ils demeuraient impassibles lorsque ces derniers leur remettaient des petits bouquets de fleurs. Moscou a peut-être un autre cheval dans son écurie : un certain Viktor Babaryko, lui aussi sous les verrous, représentant de Gazprom, le conglomérat russe en énergie. D’ailleurs sa directrice de campagne, Maria Kolesnikova, un temps soutien de dame Thikanovskaïa, s’est désolidarisée totalement de l’égérie de la révolution des rues de Minsk. Loukachenko passera-t-il l’hiver ? Aura-t-il un meilleur sort que Ceausescu ? Je ne parierai pas ma retraite là-dessus ! Le joueur d’échecs du Kremlin a plus d’un tour dans sa besace pour laisser filer un tel pion sur son damier !

18:28 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Décès du Dr Jean-Pierre Dickès

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Nous venons d'apprendre avec une grande tristesse le décès du Dr Jean-Pierre Dickès, président de l'ACIM (Association catholique des infirmiers et médecins) et fondateur des Cahiers Saint Raphaël. Infatigable combattant de la cause nationale et catholique depuis toujours, il nous avait à plusieurs reprise manifesté son amitié. Nous garderons le souvenir d'un homme affable et courageux, fidèle à ses engagements. A toute sa famille, Synthèse nationale adresse ses sincères condoléances.

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