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jeudi, 23 janvier 2020

Retour en images sur la journée de mobilisation du 19 janvier

En 2012, on avait annoncé qu'on ne lâcherait rien, les centaines de milliers de résistants pour la famille venus dimanche le prouvent !

Les sénateurs ont voté hier l'article 1er du projet de loi et poursuivent mainentant sur la filiation fictive, la GPA, l'autoconservation des gamètes puis les embryons transgéniques, les chimères... Et le vote de fin de 1e lecture de ce projet de loi anti-éthique prendra encore du temps : rien n'est joué ! 

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« Étudier ailleurs » pour ne pas « vivre ensemble »

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Peter Hansen (1868-1928) Copenhague : Jeux d’enfants, 1908

La chronique de Philippe Randa

D’années en années, l’école à proximité de leur domicile devient pour beaucoup de parents de plus en plus anxiogène : le niveau de l’enseignement baisse inexorablement, tandis que la discipline, et donc la sécurité, sont tout aussi dramatiquement malmenées. Et l’instauration du « collège unique » dont le but unique n’est en rien « l’intérêt de l’enfant », mais l’obligation de « vivre ensemble », accentue encore ce malaise.

On ne s’étonnera donc pas d’apprendre qu’à Berlin, aujourd’hui, « les parents allemands évitent les écoles primaires à forte immigration », rapporte le site de réinformation suisse Les Observateurs.ch : « En 2019, environ 45 % de tous les élèves de première année ont demandé à fréquenter une autre école que celle désignée par l’autorité de district respective. Pas moins de 60 % des demandes ont été acceptées. Ainsi près de 30 % des enfants ne se sont pas rendus dans leur école locale. »

Le journaliste Schwarze Rose cite le Tagesspiegel : « Il y a quelques années, le Conseil d’experts des fondations allemandes pour l’intégration et la migration avait commandé une étude visant à déterminer les raisons et les effets qui poussent à éviter l’école de Kiez. Cette étude a confirmé l’hypothèse selon laquelle le choix des parents dépend de la proportion de migrants, car ils craignent que leurs enfants apprennent moins dans des écoles où se trouvent de nombreux migrants socialement défavorisés. »

Et en France ? La recherche d’une bonne école primaire rend-elle « fous » les parents français comme le Tagesspiegel n’hésite pas à décrire les parents allemands ? La réponse est évidente pour beaucoup… surtout en sachant que « les effectifs des écoles indépendantes sont en croissance d’environ 16 % par an » (Le Monde du 16 novembre 2018).

« Étudier ensemble » n’est donc pas plus du goût de tous que « vivre ensemble ». Qui l’eût crû ?

Source EuroLibertés cliquez ici

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L'Europe chrétienne médiévale comparée aux temps présents

Ce colloque sur l’Europe et le christianisme s’est tenu au Parlement européen à Bruxelles en décembre 2019 à l’initiative de l’eurodéputé grec Athanasios Konstantinou. Voici les interventions d'Alain Escada, président de Civitas, qui a profité de cette occasion pour souligner ce qui oppose l’Europe chrétienne médiévale à l’Europe des mondialistes, des technocrates et des francs-maçons. Stéphanie Bignon, présidente de Terre et Famille, a souligné l’importance de la commune et du village dans la politique chrétienne.

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Rendez-vous ce soir 23 janvier à 19h devant le Sénat !

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N’oubliez pas vos casseroles et vos sifflets pour réveiller les sénateurs...

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Les malheurs de Marlène : TROP DRÔLE !

Quand Marlène Schiappa rencontre le peuple, c'est autre chose que la presse aux ordres...

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Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

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Toute vanité mise à part, cela fait toujours plaisir...

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En lisant la dernière livraison de la très sérieuse revue Lecture et Tradition, éditée depuis 1966 par DPF à Chiré-en-Montreuil cliquez ici, je suis tombé sur cet aimable article qui, je dois le dire, me va droit au coeur. Que son auteur en soit ici amicalement remercié.

Au-delà de cette recension, nous ne pouvons que vous conseiller la lecture de Lecture et Tradition qui donne chaque mois des avis non conformistes sur les livres publiés.

Roland Hélie 

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Cette gauche qui s'inquiète à son tour de la loi de bioéthique

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Par Eugénie Bastié

Dans une actualité dominée depuis plus d'un mois et demi par la réforme des retraites, la loi de bioéthique, actuellement en débat au Sénat, passe au second plan. Pourtant, elle soulève des enjeux autrement plus vertigineux que l'âge de départ des cheminots ou la capacité réformatrice du président de la République, comme celui de la filiation ou de la définition de l'humain. La légèreté - voire le ricanement satisfait quand il s'agit de moquer les foules des opposants - qui accompagne cette mutation majeure des fondamentaux de la bioéthique française a de quoi inquiéter sur la qualité du débat public.

Le décalage avec la loi sur le « mariage pour tous » de 2013 est notable. À l'époque, la mesure phare du quinquennat de François Hollande avait puissamment réactivé le clivage gauche-droite, avec des parlementaires de l'opposition très mobilisés, des débats incessants, et un peuple de droite battant le pavé sous les projecteurs médiatiques. Aujourd'hui, alors que les enjeux sont encore plus importants, une partie de la droite estime qu'un positionnement « dur » sur le « sociétal » ne fait pas recette et qu'il faut « s'adapter au monde qui nous entoure », comme le dit Damien Abad, président du groupe LR de l'Assemblée nationale. L'une des rares figures résolument opposées au projet de loi, le sénateur Bruno Retailleau l'admet : « C'est un texte qui brouille les clivages et les lignes de partage. »

Si la recomposition se poursuit sur le plan politique, elle existe aussi dans le champ intellectuel, et elle va même plus vite. C'est là une différence notable avec 2013 : si quasiment aucun homme politique de gauche n'ose affirmer publiquement son opposition à des « avancées » présentées comme inéluctables, de nombreuses voix se sont élevées dans la gauche intellectuelle et associative pour s'inquiéter de mesures jugées trop libérales. Il y a bien sûr la philosophe Sylviane Agacinski, qui, loin de se cantonner à son engagement de longue date contre la gestation pour autrui, a émis, ces derniers temps, de nouvelles inquiétudes quant aux potentialités de marchandisation du vivant contenues dans la loi (Le Figaro Magazine du 17 janvier). La semaine dernière, dans une tribune parue dans Le Monde, l'ancien syndicaliste José Bové (qui s'était déjà opposé à la PMA), le philosophe écologiste Dominique Bourg et d'autres signataires se sont à leur tour élevés contre la possibilité d'« une humanité génétiquement modifiée ». « Ce texte approfondit en catimini le droit à la modification génétique d'embryons humains à des fins proclamées de recherche », s'inquiétaient ces écologistes. Ils s'alarmaient notamment de l'article 17 qui « supprime l'un des fondements de la bioéthique dans l'actuel code de la santé publique : « La création d'embryons transgéniques ou chimériques est interdite» ». « La ruine de l'âme frappe aux portes du Parlement », écrivent-ils. Dans Libération, Philippe Meirieu, figure de la gauche éducative, s'il se dit pro-PMA, s'alarme d'autres dispositions comme « l'implantation d'embryons humains dans un animal à des fins de gestation », « et la création d'embryons humains génétiquement modifiés avec la technique dite des «ciseaux ADN» ». « Ce qui est en train de se décider sous nos yeux change radicalement le rapport anthropologique de l'humain à la procréation », écrit le chercheur.

« Âme » « anthropologie » : voilà des mots qu'on n'avait plus l'habitude d'entendre à gauche. Alors que les catholiques semblaient hier bien isolés dans leur combat contre les manipulations de l'humain, il semble qu'une partie, certes très minoritaire encore, de la gauche renoue avec son héritage technocritique et se souvienne de la leçon de George Orwell, mort il y a 70 ans : « Quand on me présente quelque chose comme un progrès, je me demande avant tout s'il nous rend plus humains ou moins humains. »

Comme le notait l'universitaire Yann Raison du Cleuziou dans une tribune parue dans Le Figaro (lire nos éditions du 17 janvier), nous vivons une époque générale d'« effondrement de l'idée de progrès », et «  ces glissements souterrains des mentalités peuvent contribuer à faire du catholicisme une ressource pour les raisons qui le rendait ringard hier ». La convergence des luttes n'est pas pour tout de suite, mais Emmanuel Macron, en axant sa campagne de 2017 sur le clivage entre conservateurs et progressistes, a puissamment contribué à accélérer cette dynamique. On désigne comme « conservateurs » ceux qui ne se résignent pas à l'impératif de changement résumé par la philosophe Barbara Stiegler par la formule « il faut s'adapter ».

L'adaptation au monde tel qu'il va selon un progressisme jugé irrésistible n'est plus une évidence. Ceux qui descendent du train en marche ne sont pas toujours ceux que l'on croit ; ils sont de plus en plus nombreux.

Source : Le Figaro 22/01/2020

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Calomnies contre Les Brigandes : l'Observatoire du Journalisme s'intéresse aux calomniateurs...

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Source l'Observatoire du Journalisme cliquez là

NOLWENN LE BLEVENNEC ET LES BRIGANDES : L’AMALGAME EXEMPLAIRE

Rue 89, sous la plume de Nolwenn Le Blevennec, s'intéresse beaucoup aux Brigandes. Qu'est-ce que Les Brigandes ? Un groupe de musique à l'audience confidentielle, connu sur internet pour sa production miusicale parfois inattendue, ne faisant pas toujours l'unanimité sur le fond ou la forme et vivant en communauté, accusés d'être une secte, ils sont sous le coup d'une "enquête pour assassinat" ouverte en Belgique depuis septembre 2019. Pourquoi donc la rédactrice en chef de Rue 89 s'intéresse-t-elle autant à un phénomène que l'on pourrait qualifier de marginal ? Explications.

NOLWENN LE BLEVENNEC, DES ARTICLES À CHARGE SUR LE FN À LA FOCALISATION SUR LES BRIGANDES

Nolwenn Le Blevennec est journaliste et rédacteur en chef au très à gauche Rue89 (désormais fondu dans L’Obs). Elle était anciennement en charge de l’actualité concernant le Front National dans le même média. Son histoire avec les Brigandes a commencé en 2016 avec une immersion dans la communauté, racontée dans un récit plutôt folklorique. En 2017, elle avait raconté les déboires de Jérôme Bourbon de Rivarol avec le groupe avant d’en arriver aux deux articles sur cette affaire précédemment mentionnés.

LES BRIGANDES AURAIENT ASSASSINÉ UNE DE LEURS MEMBRES

Il faut revenir à un article de mars 2018 sur Rue89 publié par Nolwenn Le Blevennec. Cet article révèle que des membres du groupe (aussi accusé d’être une secte) auraient étouffé une de leurs membres dans un cabanon reculé en Belgique en 2011, après l’avoir préalablement privée de soins et d’alimentation. Malade, cette femme appelée “S.” souffrait d’un cancer de l’utérus et de la maladie de Crohn.

Ce premier article ayant été très peu repris à l’époque, Nolwenn Le Blevennec vient d’en faire un copier-coller. La seule nouveauté de cette production est d’annoncer l’ouverture depuis septembre 2019, d’une instruction “à charge de X pour assassinat” suite à une plainte de la sœur de S. en mars 2019.

UN TÉMOIN SURPRENANT À L’ORIGINE DE CETTE AFFAIRE

Pour écrire ses articles, Nolwenn Le Blevennec est allée chercher un témoin au profil particulier puisqu’il s’agit d’une ex membre du groupe dénommée Annick Lovinfosse, par ailleurs ancienne amante de Joël Labruyère, responsable de la "communauté" des Brigandes.

Les Brigandes la présentent comme une personne très jalouse et sujette aux troubles mentaux, Le Blevennec rapporte d’ailleurs la justification apportée par Annick Lovinfosse pour avoir quitté le groupe en 2010 : “les rapports du gourou et de S. devenaient de plus en plus ambigus”...

L’ART DE L’AMALGAME PHOTOGRAPHIQUE

C’est probablement la photo en couverture de son article qui nous en dit le plus sur l'importance accordée par Nolwenn Le Blevennec aux Brigandes : on voit sur celle-ci Jean-Marie Le Pen entouré des... Brigandes. Le tour est joué. Tremblez bonnes gens, voilà donc la secte dont vous serez complice si vous votez Rassemblement National. Ou bien, voilà la bête immonde complice d’un groupe musical sectaire. Sœur Nolwenn, vous me copierez cent fois la charte de Munich des journalistes. En breton s’il vous plaît.

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Guerre commerciale. La France recule, l'Europe se couche 

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L'avis de Jean-François Touzé
 
En annonçant la mise en place d'un "cadre global commun" transatlantique destiné à éviter la guerre commerciale qui menace entre la France et l'Europe d'une part, les Etats-Unis de l'autre, le ministre de l'Economie, Bruno Lemaire tente maladroitement de dissimuler la réalité d'une piteuse réddition en rase campagne.
 
Menacée de rétorsions sur ses exportations, en particulier viticoles, si elle persistait à vouloir appliquer une taxe spécifique sur les géants du numérique désormais connus sous l'acronyme GAFA, la France recule une fois de plus, tout comme l'Allemagne, soucieuse de préserver les intérêts de son industrie automobile, et l'Union européenne cèdent aux ordres venus de Washington de cesser tout échange et toute coopération économique avec l'Iran.
 
La France, cet appendice américain... L'UE ce ventre mou du mondialisme.
 
Seul un changement de régime permettra à la France de s'extraire de la soumission. Seul le succès des forces nationales de chacun de ses États permettra à l'Europe de sortir de la vassalité et de l'impuissance.

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Invité de Florian Roanet, Robert Spieler revient sur son passé politique

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Un nouveau numéro hors-série de Présent consacré aux élections municipales est paru...

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mercredi, 22 janvier 2020

L'émission "Synthèse" sur Radio Libertés avec Jean-François Touzé

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Toutes les émissions cliquez ici

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LA FAIM JUSTIFIE LES MOYENS !

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Pieter Kerstens

Depuis de très longs mois certains « Gilets Jaunes », ayant une activité professionnelle, crient leur exaspération d’être ignorés par un gouvernement sourd à leurs revendications et au fait que leur « fin de mois » commence le 15.

J’évoque ici une majorité de ceux qui manifestaient leur colère dans les premières semaines d’un mouvement qui concernait bien sûr aussi une grande partie du peuple français, mouvement récupéré par les gauchistes, les anarchistes et les « Black-Blocs » par la suite.

Il convient néanmoins de constater que le tandem du docteur Micron et de son assistant Edouard a lâché plus de 15 milliards d’Euros au début de l’année 2019, résultat que les syndicats « officiels » n’ont JAMAIS obtenu en 30 ans ! Alors oui, la violence paye…

Parce que tôt ou tard, la population prend conscience que, gouvernements après gouvernement et sous diverses présidences, la désinformation, les mensonges et la propagande mènent au chaos.

Le devoir de mémoire nous rappelle que les euro-mondialistes nous ont imposé :

  • Une société au rabais où 10% de la population est analphabète, car depuis 1968, l'instruction dispensée dans les écoles, les lycées, les universités de France est tellement mauvaise que certains diplômés ne savent plus compter, ni écrire sans fautes ; quant à la lecture de la presse sur papier ou encore de livres divers, on assiste à une chute libre des ventes annuelles alors que les moins de 35 ans passent de plus en plus de temps sur Internet…
  • Une société décadente où le droit de grève prime la liberté du travail et dans laquelle l’Etat Providence encourage le parasitisme et la paresse ;
  • Une société débauchée où les politicards et les intellectuels ont poussé les pédérastes et les pédophiles à tenir le haut du pavé tout en niant et masquant leurs délits ;
  • Une société où les pensionnés après 4O ans de labeur touchent moins que l'immigré qui débarquera demain du Bananenland (parce que chez nous il touchera sans travailler 20 fois plus que chez lui en travaillant) ;
  • Une société où les princes qui nous gouvernent avec la complicité des sociaux-chrétiens-démocrates-écolos-réformateurs ont inventé une Europe supranationale dirigée par des technocrates méprisants, arrogants et suffisants, totalement coupés du pays réel. Ces eurocrates incapables et incompétents, responsables du fiasco de l’Union Européenne.
  • Une société où la Commission Européenne règne depuis 30 ans et a imposé des milliers de directives, responsables de la disparition de centaines de milliers d'entreprises et de millions d’emplois ;
  • Une société de consommateurs ignares, qui a ouvert ses frontières à l'invasion de produits étrangers à bas prix et de mauvaise qualité, que nous sommes tout à fait capables de fabriquer ou cultiver nous-mêmes, bien mieux et avec moins de chômeurs ;
  • Une société « d'humanisme et de tolérance », où chacun y trouverait son « bonheur », qu'ils nous promettaient. FAUX, ARCHI-FAUX !

Constatons ce qui se passe dans les centaines de zones de « non droit » où règnent maintenant la Loi Coranique et une insécurité permanente, à tel point que même ceux dont le travail est de sauver des vies -les pompiers- sont accueillis par une racaille ivre de haine et armée de projectiles divers, aux cris de « Tuez-les ! ».

Racailles et crapules, encore et toujours, choyées par une justice aveugle et complaisante.

Depuis fort longtemps, il suffit de regarder les différentes chaînes de télés, d'écouter les radios et de lire la presse écrite, pour bien se rendre compte qu'en France, les libertés fondamentales étaient abolies et que l’on ne votait plus POUR un candidat et un programme, mais TOUS ENSEMBLE dans un lynchage médiatique généralisé, orchestré, planifié et imposé pour condamner, écraser, brûler ou assassiner tous ceux ou celles dont l'avis, les convictions ou les opinions étaient différents de ceux que la démocratie totalitaire voulait imposer.

Malgré l'acharnement de la totalité de la classe politique, des institutions et des médias, la France ne se couchera pas devant les diktats européistes, parce que 4 français sur 10 refusent le front républicain ; citoyens qui, lentement mais sûrement, ouvrent enfin les yeux.

En France, comme ailleurs en Belgique et dans le reste de l'Europe, il faut faire tomber les tabous et dire tout haut ce que la majorité des gens pense tout bas, sans haine, mais fermement, avec détermination et pour un changement radical de Système.

Quand le désespoir succède à l’exaspération, alors la violence devient sans doute légitime, car c'est à ce prix seulement que nous sauverons l'essentiel de nos valeurs, du naufrage dans lequel nous entraînent les régimes corrompus, inféodés aux oligarchies financières et mondialistes.

Mais ce qui est très intéressant, et suivant divers témoignages recueillis dans certaines villes de province, c’est le fait que quelques groupes d’autodéfense se constituent dans les Zones de Priorité Sécuritaire, « là où la Police ferme les yeux et la Justice baisse les bras. »

16:29 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Renaud Camus condamné à 2 mois de prison pour avoir qualifié l’immigration de masse d’«invasion»

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Paul Joseph Watson

Source Alter info cliquez ici

L’écrivain français Renaud Camus a été condamné à deux mois de prison avec sursis pour avoir déclaré que l’immigration massive en Europe représente une « invasion ».

Camus ne pourra éviter la prison qu’en versant 1800 euros à deux organisations « antiracistes », SOS Racisme et la LICRA (Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme).

L’auteur du Grand Remplacement, a été inculpé « d’incitation publique à la haine ou à la violence sur la base de l’origine, de l’ethnie, de la nationalité, de la race ou de la religion ».

La condamnation résulte d’un discours prononcé en novembre 2017 à Colombey-les-deux Eglises devant le Conseil national de la résistance européenne dans lequel Camus a déclaré : « L’immigration est devenue une invasion ».

« La colonisation irréversible est la colonisation démographique, par le remplacement de la population », a déclaré l’auteur, ajoutant :

« La substitution ethnique, le grand remplacement, est l’événement le plus important de l’histoire de notre nation depuis son existence ; comme pour les autres, si l’histoire continue, ce ne sera pas celle de la France. »

Camus a également appelé à un «consensus national de résistance» pour s’opposer à l’islamisation dans «la lutte pour le salut de notre civilisation commune, celtique, slave, germanique, gréco-latine, judéo-chrétienne».

La partie du discours de Camus qui a spécifiquement attiré l’attention des juges a été lorsqu’il a parlé du remplacement des Européens.

Camus a déclaré que l’immigration de masse « est la substitution, la tendance à tout substituer avec son émulateur, normalisé, standardisé, interchangeable: l’original avec sa copie, l’authentique avec son imitation, le vrai avec le faux, les mères avec les mères porteuses, la culture avec du temps libre et du divertissement. »

La France subit des attaques terroristes islamiques sur une base tellement routinière que ce n’est même plus un sujet d’actualité important. Beaucoup de ces terroristes sont radicalisés par des mosquées qui échappent à tout contrôle policier, mais Camus doit être puni pour son crime d’opinion.

Et voila. La liberté d’expression est désormais un crime en France.

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Meurtre raciste et silence médiatique

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Par Guillaume Bernadac

Il y a les bonnes victimes et celles dont la presse parle peu ; en considérant les responsables du drame ci-dessous, il est facile de comprendre pourquoi. Mamadou-Lamine Diedhiou est videur au bar Le Styl transformable en boîte de nuit, situé 5, Grande-Rue à Besançon. Le 23 avril 2017, ce Sénégalais de 35 ans arrivé en France en 2011, marié, sans histoire, qui prévoyait de quitter son métier de videur pour un nouveau départ, est mortellement blessé parce qu’un de ses collègues avait refusé quelques minutes plus tôt l’entrée à un individu alcoolisé.

Ce soir-là, le collègue de Mamadou, Mor Seye, refuse l’entrée à un dénommé Fahrat Cid, fortement imbibé. S’éloignant en abreuvant les vigiles d’insultes racistes, ce dernier promet de les « niquer ». Et, en effet, un peu plus tard, il revient pour s’expliquer mais cette fois-ci il n’est plus seul. Vexé, il a entre-temps appelé des comparses, dont son frère, pour lui venir en aide. Dès l’arrivée du groupe, alors que la situation semble pacifiée grâce à l’intervention de Mamadou, Fahrat Cid décoche brutalement un premier coup qui entraîne une tempête de violence. Ils sont six à s’attaquer au videur, filmés par une caméra de vidéosurveillance. On voit l’agent de sécurité se battre comme un lion, face à ce groupe d’individus déterminés à en découdre. Hichem Djebaïli, l’un des assaillants, en profite alors pour planter froidement un couteau dans le cœur de la victime, laquelle parviendra à repousser la meute, avant de s’écrouler sur les pavés, quelques secondes plus tard. Entre le premier coup de poing reçu par le portier du Styl et l’instant où celui-ci s’écroule sur le sol, seules 22 secondes se sont écoulées. Outre des lésions au visage, le médecin légiste a relevé deux plaies sur le corps de la victime. Une première, « profonde de 10 à 12 centimètres » au thorax, « transperçant des organes vitaux », et une seconde « profonde de 17 centimètres » au niveau de la cuisse. Les quarante minutes de massage cardiaque effectuées ne purent réanimer le blessé.

Le procès de cette tragédie s’est ouvert lundi 13 janvier 2020 au palais de justice de Besançon. Dans le box des accusés : Hichem Djebaïli, 26 ans, quatre condamnations au casier judiciaire, est jugé pour meurtre. C’est lui qui, revenant « d’un mariage d’un ami », a porté les coups à l’arme blanche. Un couteau initialement destiné à « couper le gâteau », soutient-il, qu’il avait pris soin de jeter dans le Doubs lors de sa fuite. A ses côtés se tiennent cinq autres protagonistes de la rixe, jugés pour complicité de meurtre : Fahrat Cid, 38 ans, l’éméché qui, revenu, porta le premier coup de poing, a 18 condamnations à son actif ; Hamid Hoggas, 26 ans et huit mentions au casier judiciaire ; Ab-delwahad Cid, 32 ans, une condamnation ; enfin Mohamed et Abdelkader Fares, 24 ans, avec respectivement quatre et six mentions au casier.

Que retenir de ce drame ?

D’abord, il serait intéressant de savoir ce qu’en pensent les « racisés », terme qui pour le Parti des indigènes de la République désigne les victimes des Blancs, c’est-à-dire les Noirs et les Maghrébins, objets d’après leurs dires de remarques racistes dans la rue. En effet, ici, le supplicié africain n’a pas subi la haine du Blanc mais de plusieurs personnes originaires du Maghreb.

Ensuite, si nous nous référons à l’histoire, ce type de racisme n’est pas étonnant. N’oublions pas que le mot arabe abid, qui signifiait esclave, est devenu à partir du VIIIe siècle plus ou moins synonyme de « Noir ». Quant au mot arabe zanj, il dé- signait de façon péjorative les Noirs. N’oublions pas enfin que la traite orientale, c’est-à-dire l’esclavage pratiqué par les Arabes, entraîna la mort ou la déportation de 12 millions de personnes venant de l’Afrique noire.

Dernier point, les grands médias n’ont pratiquement pas parlé de ce meurtre car il aurait fallu alors mentionner l’origine des auteurs de cet horrible traquenard et, cela, la presse ne le voulait et ne le pouvait pas.

Source : quotidien Présent

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Le modèle Macron, le peuple n’en veut pas

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Entretien avec Alain. de Benoist sur Boulevard Voltaire

En matière de retraites, Emmanuel Macron veut nous vendre un « régime universel » qui soulève une vive opposition, mais auquel on ne comprend pas grand-chose. Entre le « bonus » et le « malus », l’« âge pivot » et la « clause du grand-père », de quoi s’agit-il exactement ?

Le dossier des retraites est en effet compliqué. Essayons donc d’aller à l’essentiel. Comme vous le savez, il faut déjà distinguer deux grandes catégories : le système par capitalisation, qui est d’essence individualiste (chacun pour soi), et l’actuel système par répartition, qui repose sur le principe de la solidarité des générations. Pour justifier la nécessité de réformer ce dernier, on invoque l’allongement de l’espérance de vie et la diminution régulière du nombre des actifs par rapport à celui des retraités. Concernant l’augmentation de l’espérance de vie, on oublie trois choses : d’abord que si la durée de vie augmente, la durée de vie en bonne santé n’augmente pas forcément au même rythme ; ensuite que, par définition, la durée de vie actuelle ne nous dit rien de ce que sera la durée de vie de la prochaine génération ; enfin que l’espérance de vie n’est pas la même pour tout le monde, puisqu’elle varie selon le sexe (les femmes vivent plus longtemps que les hommes, mais personne n’envisage de leur demander de travailler plus longtemps) et selon la classe sociale (l’espérance de vie d’un ouvrier est inférieure de six ans à celle d’un cadre). Quant à la diminution du nombre des actifs, on ne doit pas oublier non plus que la productivité d’un actif est aujourd’hui très supérieure à ce qu’elle était dans le passé, puisque l’on produit toujours plus de biens et de services avec toujours moins d’hommes.

Le régime « universel » de Macron ? Dès qu’on parle de rendre quelque chose « universel », il faut se méfier. Vouloir supprimer tous les régimes spéciaux est, par exemple, parfaitement stupide et, d’ailleurs, sans doute impossible à réaliser. Il y a des régimes spéciaux qui n’ont pas (ou plus) de raisons d’être, et il faut les supprimer, mais il n’y a aucune raison de toucher à ceux qui sont parfaitement justifiés.

Pour faire baisser la part des retraites dans le PIB (aujourd’hui 13,8 %, mais la Commission européenne voudrait la ramener à moins de 12 %) et éviter le déficit qui s’annonce (qui est, en réalité, surtout dû à la non-compensation des exonérations de cotisations sociales par l’État et à la baisse de la masse salariale de la fonction publique), le gouvernement a choisi d’imposer le modèle de la retraite à points, que réclamaient en chœur le patronat et la Commission européenne, sans oublier Laurent Berger et Thomas Piketty. C’est le pire qui existe. Dans ce système, ce n’est plus le salaire de référence mais le nombre de points accumulés qui sert de base pour chiffrer la pension. Au lieu de travailler durant un certain nombre d’années pour obtenir une retraite complète, on cotise pour acheter un certain nombre de points, la valeur de service du point n’étant connue qu’au moment du départ en retraite. Par ailleurs, toute la carrière est prise en compte dans le calcul des retraites, et non plus seulement les quinze dernières années d’activité, ce qui pénalise les carrières morcelées, notamment celles des femmes.

On assure que la valeur du point ne baissera pas, mais cette promesse n’a aucun sens dans la mesure même où cette valeur dépend de l’évolution de la conjoncture, laquelle est largement imprévisible. En cas de crise financière généralisée, la valeur du point diminuera automatiquement. Dans les faits, tous les pays qui ont adopté le système à points ont vu la situation des retraités se dégrader. En Suède, pays cité en exemple par Macron, le montant des retraites représente, aujourd’hui, 53,4 % du salaire de fin de carrière, contre 60 % il y a encore vingt ans, et le taux de pauvreté des plus de 65 ans a atteint, en 2018, 15,8 % (contre 7,3 % pour les Français). Ce taux de pauvreté des seniors atteint 18,7 % en Allemagne, et même 21,6 % au Royaume-Uni ! En France, l’adoption de ce système devrait entraîner, pour pratiquement toutes les catégories de population, à quelques rares exceptions près, une baisse moyenne de 20 % des pensions par rapport aux salaires des actifs, ce qui incitera bien entendu à travailler toujours plus longtemps (pour acquérir un plus grand nombre de points) ou à se tourner vers la capitalisation.

Tel est, d’ailleurs, sans doute, l’objectif réel de la réforme : inciter les salariés à jouer leur retraite en Bourse et vendre le marché des retraités aux compagnies d’assurance, aux fonds de pension et aux marchés financiers. Le 10 mars 2016, parlant devant un parterre d’organisations patronales, François Fillon avait vendu la mèche : « Le système de retraite par points, en réalité, ça permet une chose qu’aucun homme politique n’avoue : ça permet de baisser chaque année la valeur des points et donc de diminuer le niveau des pensions. »

Hostile au système de la retraite à points, vous soutenez donc la grève ?

Je la soutiens à fond, bien entendu. Non seulement je la soutiens, mais j’aimerais la voir déboucher sur une grève générale ! Mais, je dois l’avouer, ce qui me choque le plus, c’est l’attitude de ces petits-bourgeois droitards qui ne manquent pas une occasion d’entonner la ritournelle des méchants grévistes qui « prennent les usagers en otages » et veulent « ruiner le pays ». Ce sont les mêmes qui condamnaient aussi les gilets jaunes. Ces gens-là, qui s’imaginent que les travailleurs en grève se privent de deux mois de salaire pour le simple plaisir d’embêter le monde, n’ont toujours pas compris que la cause majeure de nos problèmes vient de ce que nous vivons dans un monde capitaliste, dans un système de marché et dans une société d’individus. Ils ont voté Fillon, qui voulait privatiser la Sécurité sociale (ou instaurer un système de santé à deux vitesses dont profiteraient les assureurs privés), ils voteront demain Macron parce qu’à la justice sociale, ils préféreront toujours le désordre établi. S’ils le pouvaient, ils supprimeraient le droit de grève et tout le modèle social français. Ce qu’ils veulent surtout éviter, ce sont les barricades et les violences de rue. S’il y a une révolution, j’espère qu’elle les emportera.

Après des mois de contestation des gilets jaunes, Macron doit maintenant faire face à des syndicats d’autant plus revendicatifs qu’ils sont poussés par leur base. Qu’est-ce que cela nous dit de l’état actuel du pays ?

Cela dit tout. Une grève de cinquante jours : du jamais-vu. Des gilets jaunes qui en sont à leur 62e semaine de revendications : du jamais-vu également. Les avocats jettent leur robe publiquement, les chefs de service hospitaliers démissionnent par centaines, les paysans se suicident, les policiers aussi, les pompiers sont dans la rue, tout comme les infirmières et les enseignants. Y a-t-il, aujourd’hui, une seule catégorie sociale qui ne bouillonne pas de fureur ou de désespoir ? Ce n’est pas un hasard si la majorité des Français soutient les grévistes, tout comme elle a soutenu (et continue de soutenir) les gilets jaunes, en dépit des gênes occasionnées par le mouvement. Sauf chez les actionnaires du CAC 40, premiers bénéficiaires de la financiarisation de l’économie (qui se sont vu verser, pour 2019, le montant record de 49,2 milliards d’euros de dividendes), le pouvoir d’achat stagne et la précarité s’étend partout. La part du travail dans la valeur ajoutée est passée, en Europe, de 68 %, en 1980, à 60 %, aujourd’hui. Emmanuel Macron, qui a été placé au poste qu’il occupe pour adapter la France aux exigences du capitalisme mondialisé et d’un libéralisme qui entend laminer les protections sociales et les services publics au nom de la concurrence mondiale et de l’ouverture des frontières, a tout fait pour dresser contre lui un corps social aujourd’hui en voie de « giletjaunisation ». Le choix du système de retraite dépend, en fait, du modèle social que l’on souhaite. Le modèle Macron, le peuple n’en veut pas.

Entretien réalisé par Nicolas Gauthier

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VENDRED 24 JANVIER, 19 H 30 : AIX-EN-PROVENCE, PRÉSENTATION DU LIVRE "ORDRE NOUVEAU RACONTÉ PAR SES MILITANTS"

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mardi, 21 janvier 2020

Fête de l'argent roi, de la finance et de la spéculation cette semaine en Suisse.

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L'avis de Jean-François Touzé

L'oligarchie mondialiste se retrouve à partir de ce mardi à Davos pour l'édition 2020 de sa grande partouze capitaliste annuelle connue sous le vocable "Forum économique".

Avec une nouveauté cette année : la présence de Sainte Greta et l'affichage assumé de la jonction du totalitarisme financier et de la nouvelle religion universelle écologique, paradigme imposé de la dictature planétariste.

Lire aussi :

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"Primaires de la droite" : Vincent Vauclin, président de la Dissidence française, annonce sa candidature...

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Communiqué de Vincent Vauclin 

Nicolas Dupont-Aignan a proposé aujourd’hui l’organisation d’une Primaire pour la France afin de désigner un candidat dans la perspective de l'élection présidentielle de 2022.

Tous les courants du patriotisme français devront y être représentés. Tous les sujets devront y être abordés, sans tabou ni exception, car cette primaire devra être un moment essentiel de débat et de clarification des lignes. Nous devrons notamment pouvoir y aborder la question essentielle de la remigration face au Grand Remplacement.

C’est la raison pour laquelle j’ai décidé d’être candidat lors de cette primaire, en tant que président de la Dissidence Française et candidat tête de liste de la Reconquête aux élections européennes de 2019, pour faire entendre la voix d’une nouvelle génération de Français déterminée à brusquer l’Histoire et à apporter des réponses nouvelles aux défis de notre temps.

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lundi, 20 janvier 2020

Primaires des droites : réponse de Thomas Joly, Président du Parti de la France à Nicolas Dupont-Aignan.

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Un communiqué de Thomas Joly, Président du Parti de la France
 
Voici quelques jours, Marine Le Pen, montrant ainsi le peu d'intérêt qu'elle porte aux élections municipales qui approchent, annonçait avec deux ans d'avance sa candidature à la prochaine Présidentielle.
 
Ce lundi, c'est Nicolas Dupont-Aignan qui lance un appel à l'organisation d'une « grande primaire des droites conservatrices, souverainistes et indépendantes » à laquelle,  dans une sorte d'inventaire politicien à la Prévert, il convie, outre lui-même, la Présidente du Rassemblement national, les anciens candidats à la présidence des Républicains, Julien Aubert et Guillaume Larrivé, ainsi qu'Éric Zemmour et Natacha Polony.
 
Seuls les naïfs et les opportunistes verront dans cette initiative autre chose qu'un énième gadget publicitaire dont le Président de Debout la France s'est fait, en même temps que de la pratique de la reculade, une spécialité.
 
L'action politique est une affaire sérieuse. Elle impose la rigueur dans sa conduite, le sens des possibilités, la vision des chemins à parcourir et la patience dans son accomplissement. Le Salut national ne passe ni par des recettes éculées comme les primaires, ni par des combinaisons dérisoires, ni par le mythe de l'union des « conservateurs », mais par la cohérence politique du camp national et par son rassemblement sur la base de ses idéaux.
 
Le Parti de la France laisse donc Nicolas Aignan à ses rêves, a ses illusions, à ses manœuvres et à ses tentatives d'exister.
 
Le Parti de la France poursuit son chemin avec la volonté de servir à la recomposition et à l'unité de la droite nationale.

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RETRAITE : LE FAUX DÉBAT DE L’AGE-PIVOT

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Franck Buleux cliquez ici

La réforme des retraites a prévu un âge pivot modulable mais général, c’est-à-dire qu’il serait lié à l’équilibre financier du système national de répartition mais général, c’est-à-dire appliqué à toutes et à tous. L’âge-pivot, c’est celui auquel on peut prétendre à une retraite à taux plein, taux plein qui n’est en rien le montant de votre revenu d’activité, bien évidemment, mais un revenu dit de remplacement (le terme « remplacement » étant connoté, on parlera de substitution). On utilise le terme de « pivot » parce que l’on perçoit moins si on liquide sa retraite plus tôt que cet âge défini par décret (ce qui évite le vote annuel d’une loi par le Parlement en laissant la main au Premier ministre).

Quelques repères sur cette réforme pour nos lecteurs, d’abord la forme, le projet introduisant cette réforme préparée par le démissionnaire Jean-Paul Delevoye indiquait un article « bis ». Le supprimer n’induit donc même pas une nouvelle numérotation du projet mais la pure et simple suppression de cet article « bis ». Ce simple constat de forme pourrait nous laisser penser qu’il était prévu de supprimer l’éventuel blocage actuel et permettre aux syndicats dits réformistes CFDT et UNSA de se rapprocher du gouvernement.

Mais allons plus loin, l’âge-pivot tant décrié est déjà en place en matière de retraite complémentaire (ARRCO-AGIRC) puisqu’il existe actuellement un malus de 10 % (sur le montant de liquidation de la retraite obligatoire complémentaire des salariés de droit privé) lorsque l’assuré social souhaite se retirer définitivement de l’activité professionnelle avant 63 ans. En revanche, à partir de 64 ans d’âge de départ à la retraite, un bonus financier est appliqué via une majoration de la pension de retraite complémentaire. Or, cette réforme n’a pas fait l’objet, à ma connaissance, d’un tollé général, voire même particulier. Peut-être me direz-vous parce qu’elle ne concerne que les salariés de droit privé ? Quoi qu’il en soit, il est clair et plus honnête de rappeler qu’il est plus sage de demander la liquidation de sa retraite à 63 ans, même si l’âge légal reste fixé à 62 ans. Un simple conseil aux salariés de droit privé, si cela leur est possible, notamment physiquement, bien entendu.

Outre cette règle de bonus-malus destiné aux salariés de droit privé, il existe aussi un âge-pivot, non pas généralisé, mais individualisé dans le calcul de la retraite de base obligatoire. En effet, chaque assuré social bénéficie du taux plein de sa retraite (soit 50 % de la moyenne de son salaire plafonné et calculé sur les 25 meilleurs années) à condition d’avoir validé un certain nombre de trimestres d’activité, en fonction de son année de naissance. À partir de 62 ans, sauf exceptions (carrières longues, invalidité ou critères reconnus de pénibilité), il est donc possible de liquider le montant de son régime obligatoire (celui de l’assurance vieillesse de la Sécurité sociale) mais pour obtenir une optimisation sociale (sans doute un oxymore) il faut patienter un certain nombre de trimestres. Donc, nous sommes bel et bien en présence d’un système pivot individualisé qui s’applique à toutes les personnes concernées par le régime de droit commun (c’est-à-dire hors des régimes spéciaux, qui sont de l’ordre de 42).

Pour conclure et rester synthétique sur ce domaine complexe : il existe un âge-pivot de 63 ans pour liquider sa retraite complémentaire obligatoire et il existe aussi un âge-pivot individuel pour le régime de base obligatoire qui ne permet d’obtenir une pension complète qu’à partir d’un certain nombre de trimestres travaillés ou validés (maternité, chômage, stage, incapacité, invalidité…).

La question de l’âge-pivot reste donc assez trouble car le projet de l’exécutif ne propose qu’une universalisation d’un système déjà général pour les salariés de droit privé, c’est-à-dire environ 20 millions de personnes en France. Aussi, retirer ce « passage » sur l’âge-pivot ne modifie rien pour la plupart des travailleurs. La suppression de l’âge-pivot ne concerne donc pas celles et ceux qui en « profitent » (sic) déjà mais uniquement et spécifiquement, les personnes qui ne sont pas concernés, c’est-à-dire les bénéficiaires des régimes spéciaux.

Pour ce qui concerne les salariés de droit privé, l’âge-pivot existe déjà et pour certains d’entre eux, pour bénéficier d’un taux « plein » à 50 % (plafonné), il faudra attendre 67 ans, considéré comme l’âge de l’automaticité du taux plein. Et encore le calcul comprend-il aussi le nombre de trimestres réellement validés et le nombre de trimestres de référence en fonction de votre année de naissance.

Alors, si certains estiment avoir « gagné » avec la suppression du fameux « âge-pivot », grand bien leur fasse mais ce n’est en aucun cas la perception des salariés de droit privé, véritable armée de la classe moyenne française, celle qui paie toujours et qui vote parfois. Quant à ceux qui « luttent » en refusant toute réforme, y compris l’âge-pivot, ils ne revendiquent aucunement la fin de l’âge-pivot préexistant pour les régimes complémentaires, âge qui permet donc, d’ores-et-déjà, de repousser d’un an, l’âge de la retraite.

Enfin, un mot sur l’âge légal toujours fixé à 62 ans. Mais un droit n’est pas synonyme de pouvoir d’achat. Avoir le droit de vivre pauvrement ou avec moins de revenus est un « droit » de bien piètre qualité. La France qui se vante d’être un État de droit (droits ?) confond la notion très subjective de droit et la réalité, objective, de vivre décemment.

On a le droit d’être en retraite à 62 ans. Le droit de survivre, pas celui de vivre.

Il serait temps que les journalistes et les politiques se plongent dans l’organisation et la gestion des régimes actuels pour pouvoir critiquer le système qui se met en place, qui je le répète est, pour la plupart d’entre nous, déjà bel et bien existant. Dans le silence de la rue et le mépris des syndicats.

23:42 Publié dans Franck Buleux | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Investissements étrangers en France : un leurre.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
A Dunkerque, Macron s'est félicité de la hausse des investissements étrangers en France, n'hésitant pas à s'en attribuer les mérites.
 
A quelques exceptions près, ces investissements ne profitent pourtant pas à l'emploi français mais aux grandes sociétés délocalisatrices.
 
Par ailleurs, à considérer la dislocation sociale de la France, son niveau d'insécurité, l'ampleur des flux migratoires qui la touchent et la montée en puissance de l'extrême gauche, cette bulle haussière et très largement spéculative ne durera guère.
 
L'attractivité de la France bloquée, de la France CGT, de la France racaille, de la France black blocs, de la France allogène reste, en effet,  toute relative.

16:54 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L’or, un truc aberrant ?

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Marc Rousset cliquez là

Patrick Artus vient de déclarer, sur Ecorama, qu’il « déteste l’or ! » « Ce truc est aberrant ; ça ne verse pas de revenus ; c’est le même syndrome que le bitcoin. » Il aurait pu ajouter, mais il s’en est bien gardé : l’or rapporte moins de commissions aux banques que les actions et les obligations.

Patrick Artus est un brillant polytechnicien qui a été professeur d’économie de 1996 à 2011 à l’École polytechnique, administrateur de Total, ancien administrateur de l’INSEE, professeur à Paris I Panthéon-Sorbonne, membre du Conseil d’analyse économique. Sa formation d’économiste est très solide et sa valeur intellectuelle en économie internationale et politique monétaire est indiscutable. Mais il est, aujourd’hui, membre du comité exécutif, directeur de la recherche et des études chez Natixis. Le seul reproche qu’on puisse lui faire, c’est d’avoir vendu son âme au Système pour rassurer les citoyens, compte tenu de son aura intellectuelle, y trouvant en contrepartie une rémunération élevée.

Le 22 mars 2007, Patrick Artus rédige la note Natixis « Flash Marchés » n° 110, où il explique pourquoi il n’y a pas lieu de craindre une crise financière prochaine. Le préambule de cette note s’est révélé complètement erroné : « Les marchés financiers croient n’importe quoi. Les corrections successives des marchés d’actions en février-mars 2007 sont liées à une série de craintes des marchés. Il peut y avoir une récession aux États-Unis. La crise du crédit immobilier “subprime” aux États-Unis va déclencher une crise bancaire et financière. Or toutes ces affirmations sont fausses. La crédulité et l’absence de sang-froid des marchés financiers sont donc remarquables. » Il concluait sa note de onze pages en prétendant, contre toute évidence, que « l’économie américaine [était] largement capable de résister à la crise du “subprime mortgage” ».

Patrick Artus en remet une couche, le 24 mai 2007, dans le magazine Challenges, en prévoyant que « le CAC 40 atteindra 7.000 points au premier semestre 2008 ». Il prétendait, toujours dans Challenges, le 2 avril 2008, que la « crise est finie » et, dans sa note « Flash Marchés » Natixis du 7 mai 2008, que « le pire de la crise financière qui débute à l’été 2007 est derrière nous, [que] la confiance revient », alors que les nombreuses faillites et sauvetages bancaires de Lehman Brothers, Merrill Lynch, AIG, etc., commencaient en septembre 2008.

Le 11 septembre 2015, Patrick Artus, commentant la crise migratoire, signait une chronique dans Challenges intitulée « Pourquoi la crise migratoire est une chance pour l’Europe ? » Le journaliste Laurent Mauduit, dans son ouvrage Les Imposteurs de l’économie. Les économistes vedettes sous influence, n’hésite pas à écrire, p. 82 : « Patrick Artus, bien que brillant, est trop incrusté dans ce système pour en dénoncer tous les vices et toutes les turpitudes. Sans même parler de ses rémunérations principales, celles que lui sert sa banque d’attache. »

Patrick Artus nous ressort l’argument éculé du célèbre Warren Buffett, l’oracle américain d’Omaha à la tête du fonds d’investissement Berkshire Hathaway, prétendant que l’or ne rapporte rien. Pourtant, l’or est une assurance tous risques en cas d’inflation, de refonte du système monétaire international ou d’écroulement du Système en raison de l’hyper-endettement ! Pourquoi, sinon, les banques centrales et les particuliers fortunés se rueraient-ils actuellement sur l’or partout dans le monde ? L’or, ultime valeur refuge, est déjà au plus haut depuis sept ans à environ 1.550 dollars l’once, face à la création monétaire trop laxiste et aux taux négatifs des banques centrales. Greg Jensen, le numéro 2 de Bridgewater, le plus grand fonds d’investissement au monde, voit l’or, suite aux incertitudes politiques et en cas d’inflation, se diriger vers les 2.000 dollars l’once, et la Fed ramener en 2020 ses taux à zéro en cas de récession.

L’or ne ment pas et se moque des mensonges médiatiques ainsi que de la folie, de l’irresponsabilité, de l’hypocrisie humaines. Patrick Artus peut détester l’or dans les médias, tout en goûtant au « Veau d’Or » chez Natixis.

09:29 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Parution d'un nouvel essai de Tomislav Sunic sur la Croatie aux Editions du Lore

SUNIC_site.jpgParution cesjours derniers d’une toute nouvelle édition du livre de Tomislav Sunic intitulé La Croatie : un pays par défaut ?

Enrichie d’une copieuse introduction de Robert Steuckers nous éclairant sur le parcours et l’œuvre de l’auteur, ce livre incontournable décrit le phénomène de la « soudaineté » dans la notion du politique chez les peuples dépourvus d’États stables.

Tomislav Sunic s’intéresse tout d’abord au cas de la Croatie avant d’élargir sa réflexion et de passer en revue les « fausses identités » qui interviennent dans la construction des nationalismes européens.

Un ouvrage qui vous permettra d’apprendre les linéaments de base de l’histoire complexe de cette zone sud-slave à la lisière des Balkans tout en rebondissant sur les grands thèmes de l’actualité afin de comprendre la genèse des grands maux qui nous frappent depuis plus de 70 ans.

La Croatie, un pays par défaut ? Tomislav Sunic, Les Editions du Lore, 2020, 228 pages, 23 euros

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dimanche, 19 janvier 2020

La nouvelle donne autrichienne

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Georges Feltin-Tracol

L’année 2020 commence par un coup de tonnerre en Autriche. Dans la soirée du 1er janvier, après quatre mois d’intenses tractations, le conservateur Sebastian Kurz et le Vert Werner Kogler annoncent qu’ils gouverneront ensemble.

Le 29 septembre dernier, les Autrichiens élisaient un nouveau Conseil national après la dissolution du précédent qui, le 27 mai 2019, avait pour la première fois renversé le gouvernement conservateur de Kurz. L’adoption de la motion de censure résultait de l’explosion de l’alliance entre les conservateurs et les nationaux-populistes du FPÖ, victimes de l’« Ibizagate », un coup monté contre le président du FPÖ, Hans-Christian Strache, par des officines probablement austro-allemandes.

Par l’application de la proportionnelle, aucun parti n’obtient seul la majorité absolue des sièges. Les grands vainqueurs du scrutin sont les conservateurs (37,54%, 71 élus, soit un gain de neuf députés) et les Verts (13,80%) qui reviennent au Parlement avec 26 députés ainsi que, dans une moindre mesure, les libéraux europhiles de NEOS (Nouvelle Autriche et Forum libéral) (8,06%, 15 sièges, soit cinq de plus). Les grands perdants s’appellent le FPÖ (16,21%, 31 députés et une perte de vingt sièges) et les sociaux-démocrates du SPÖ (21,22%, 40 élus et douze députés en moins). L’entente gouvernementale conservateurs – Verts concrétise fort logiquement le refus du plus jeune chancelier de la République fédérale d’Autriche de renouer avec le FPÖ ou de tenter une énième « Grande Coalition » avec des sociaux-démocrates décatis.

Pour la première fois en Autriche, après que leurs délégués ont entériné à 93,18% l’accord de gouvernement lors d’un congrès extraordinaire, les Verts disposent de quatre postes ministériels. Les transports et l’énergie dépendent d’un seul grand ministère technique. Le ministère de la Justice revient à une ancienne réfugiée bosniaque, une autre première. Werner Kogler devient pour sa part vice-chancelier. Cette alliance confirme l’embourgeoisement des Verts, leur conversion au libéralisme économique et leur collusion avec le conservatisme libéral-sécuritaire. Gardons à l’esprit que Kurz veut interdire le mouvement identitaire autrichien de l’héroïque Martin Sellner, très actif contre l’immigration de peuplement.

Le rapprochement entre les Verts et les conservateurs a probablement été encouragé en coulisse par le président fédéral lui-même écolo-compatible, Alexander Van der Bellen. Sans surprise, l’Église catholique autrichienne se félicite de cette nouvelle donne qui met en pratique les aspirations du « pape » conciliaire Bergoglio. Historiquement, à l’instar de son homologue allemand, le clergé autrichien n’a jamais caché son adhésion au modernisme et aux conclusions spécieuses du soi-disant concile Vatican II.

Concomitant à l’effondrement de la gauche sociale-démocrate, le succès des Vertsen Autriche, en Allemagne, en Belgique et en Suisse prouve que les classes moyennes de gauche se détournent de leurs formations habituelles et protestent à leur tour en privilégiant les Verts. Berlin regarde avec attention l’événement autrichien. La CDU d’Angela Merkel et d’Annegret Kramp-Karrenbauer cherche dès à présent un partenaire de remplacement au SPD. Chrétiens-démocrates et Grünenadministrent déjà depuis quatre ans le Land du Bade-Wurtemberg. Plusieurs municipalités sont même dirigées par des attelages CDU – SPD – Verts ou CDU – Verts – libéraux. Il fut même un temps question d’une entente ministérielle fédérale « Jamaïque » noire (CDU) – jaune (libéraux) – Verte

Cette nouvelle configuration politique prend forme en raison de l’aveuglement de la mouvance nationale aux enjeux de la nature, des écosystèmes et des paysages. L’hyper-classe mondiale réussit ce que l’Opposition nationale, populaire et européenne aurait dû entreprendre depuis au moins trente ans : permettre l’indispensable convergence des luttes identitaires, sociales et écologiques.

Bonjour chez vous !

• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°155, mise en ligne sur TVLibertés, le 13 janvier 2020.

23:26 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Gigantesque succès de la manifestation parisienne contre la PMA GPA

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La presse aux ordres s'est évertuée à minimiser l'énorme mobilisation contre la PMA GPA en colportant les chiffres fantaisistes du sinistre Castaner. Mais les faits sont têtus et les Français ont constaté, à la vue de l'ampleur de la manif, à quel point le gouvernement les prend pour des imbéciles...

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Le nouvel ordre moral

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La publication d’un ouvrage de Régis Debray est toujours un petit événement, car notre homme a pris le goût de textes courts qui questionnent d’autant notre réalité (L’Europe fantôme, Un été avec Paul Valéry, Du génie français, etc.). Avec ce dernier opus, Le Siècle vert,  il poursuit sa réflexion sur la grande mutation occidentale. Il voit dans la montée de ces préoccupations écologiques l’émergence d’un monde féminisé et aseptisé et paradoxalement moins civilisé. « Nous quittons Dieu le père pour la Terre mère. Nous sommes passés de l’Etat, nom masculin, à la société civile, nom féminin », écrit-il.

Lire son entretien au Figaro Magazine ICI

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Sur un faux rebelle de France Inter

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Par Mathieu Bock-Coté

Y a-t-il sur terre quelque chose de moins drôle qu’un humoriste de France Inter ? Ils sont nombreux, assurément, à s’être posé la question après la dernière polémique mettant en question cette station qui ne conjugue pas nécessairement service public et pluralisme idéologique.

Sous prétexte de dénoncer une cour de justice brésilienne ayant censuré une série télé mettant en scène un Jésus gay, Frédéric Fromet, un des blagueurs stipendiés qui y sévit, s’est permis une chanson où il répétait que Jésus était « un pédé » et qu’il aurait dû se faire « enculer ». Quel blagueur de génie que ce Fromet, qui avait déjà tourné en ridicule l’incendie de Notre-Dame ! On devine ses collègues se bidonner, tout en le félicitant pour son audace. Il en faut du courage, n’est-ce pas, pour oser s’en prendre ainsi au catholicisme !

De manière étonnante, l’humoriste a pourtant dû plier le genoux et s’excuser… à la « communauté LGBTQ+ », ou du moins, à ceux qui prétendent parler en son nom. On n’utilise pas le mot « pédé » sans en payer le prix, même en riant. Désormais, il est proscrit pour cause d’homophobie. Le farceur croyait insulter les cathos et susciter la complicité des rieurs mondains. Il a plutôt heurté un groupe de pression qu’on ne doit pas heurter. Les excuses aux catholiques n’ont toutefois pas suivi. L’événement est révélateur des véritables rapports de force qui s’exercent dans le système médiatique et qui codifient l’espace public dans les sociétés contemporaines. Il rappelle l’efficacité de la rhétorique victimaire et l’existence d’une liste des minorités protégées. Celui qui peut exiger des excuses et rapidement les obtenir fait une démonstration de force. Le plus grand pouvoir aujourd’hui est celui de décider ce qui est scandaleux et ce qui ne l’est pas. Dans les médias, est souverain celui qui décide de l’état d’indignation.

Il vaut néanmoins la peine de revenir sur la chanson blagueuse de notre humoriste téméraire, qui voulait faire la guerre aux catholiques décrétés retardataires. On a le droit, assurément, de critiquer le catholicisme, de le ridiculiser, de le vomir, même. Que sa chanson soit aussi bête que de mauvais goût va de soi. Qu’elle soit déplacée l’est aussi. Il ne s’agit pas pour autant d’en appeler à sa censure. La définition du blasphème des uns ne doit pas devenir une interdiction légale pour les autres. On est Charlie ou on ne l’est pas. Mais il faut désormais inviter le brave Fromet à aller au bout de son courage. Pourquoi ne se risquerait-il pas, par exemple, à rire ouvertement de l’islam et de son prophète. S’il cherche un peu, il devrait trouver la matière nécessaire pour quelques blagounettes. Pourquoi se l’interdire ? Que craint-il ? Il n’ose pas ? Comment expliquera-t-il cela ? De quoi a-t-il peur, le blagueur ?

Trêve de moqueries. On sait bien que le petit Fromet se tiendra coi lorsque viendra le temps de blaguer sur ce sujet. Il n’est pas drôle mais il n’est pas fou : il sait bien qu’il risquerait non seulement la sale réputation d’islamophobe, mais sa vie. Alors qu’on commémore, depuis quelques jours, les cinq ans de l’attentat contre Charlie Hebdo, il est difficile de ne pas constater que la liberté d’expression est désormais à géométrie variable. Le voltairianisme appliqué est passible de peine de mort par les islamistes. Plus largement, la parole publique est inhibée comme jamais et, au nom de la lutte contre la haine, on en vient à criminaliser la volonté de défendre la France. De peur d’exciter les franges radicales de l’islamisme ou d’embraser une partie de la « jeunesse » des « banlieues », on censure moralement ce qui vient troubler la légende du vivre-ensemble diversitaire. Le simple fait de nommer certaines tensions sociales peut valoir à celui qui ose la marque de l’infréquentabilité définitive.

De vrais militants, bêtes et méchants, incultes et lâches

Les faux drôles qui dominent l’industrie du rire subventionné sont de vrais militants, bêtes et méchants, incultes et lâches. Ils ne se voient pas aller, pris dans une comédie où ils ne cessent de frapper contre un vieux monde, qui n’a souvent même plus la force de leur répondre ou ne se croit pas autorisé à le faire. Les humoristes du système, en fait, ont une fonction : rappeler à tous ceux qui évoluent dans l’espace public qui est dans les bonnes grâces du régime et qui ne l’est pas. Il y a ceux dont on peut rire et les autres dont on ne rit pas. La distinction est facile à faire: contre l’univers symbolique du grand méchant homme blanc hétérosexuel de plus de 50 ans, tout est permis. La grande tâche de notre époque consiste à lui arracher tous ses privilèges et à l’humilier systématiquement. Inversement, ceux qui s’en disent victimes ont tous les droits, surtout de décider dans quels termes on parlera d’eux. On se consolera en se disant qu’il y a longtemps, Philippe Muray a déculotté ces « humoristes » et a révélé leur vraie nature: ce sont des guignols.

Source, Le Figaro 18/01/2020

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samedi, 18 janvier 2020

Macron débusqué au théâtre : pas très glorieux

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