mercredi, 19 août 2020
Ce que nous apprennent les données de mortalité
Bulletin d'information scientifique de l'IHU - Nous avons le droit d'être intelligents !
Pr Didier Raoult, Directeur de l'IHU Méditerranée Infection
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mardi, 18 août 2020
Nous, nous avons le droit de cracher sur Voltaire. Pas eux !
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Covid-19 : « L’enfer est pavé de bonnes intentions hygiénistes »
Entretien de François Bousquet avec David Boughezala
Daoud Boughezala : Vous consacrez le premier chapitre de votre essai Biopolitique du coronavirus. Télétravail, famille, patrie, aux théories complotistes qui font actuellement florès. A l’ère de la scolarité obligatoire, de l’accès gratuit au savoir et à l’information, comment expliquez-vous leur essor ? Vit-on une crise de l’esprit scientifique et rationnel moderne ?
François Bousquet : Avons-nous jamais été des agents rationnels, des animaux pourvus seulement d’une froide raison calculante ? On peut en douter. Notre imagination a toujours été très active. Le complotisme le prouve à sa manière. C’est d’abord un imaginaire folklorique, souvent sympathique, mais accolé à une sorte de délire interprétatif. Cet imaginaire a brutalement resurgi après le 11 Septembre 2001 et la seconde guerre d’Irak. Peut-être sa longue hibernation n’était-elle qu’un effet d’optique que l’avènement du Web a brisée. Internet n’a d’ailleurs pas réinventé le complot, il l’a seulement sorti de ses niches antimaçonniques, rosicruciennes, soucoupistes. Viral, le complot est devenu mondial, en haut débit et libre accès. C’est la nouveauté. Pour le reste, le complotisme répond à un besoin fondamental de l’âme humaine : l’intentionnalité. Les créationnistes parleraient de dessein intelligent, mais le dessein ici est indifféremment intelligent ou malveillant. C’est ce que Léon Poliakov a appelé d’une formule saisissante la « causalité diabolique ». À elle seule, elle illustre la permanence du miraculeux, de la pensée magique, de l’acteur tout-puissant qui met un visage sur des processus qui sans cela resteraient impersonnels. Comment détester la logique abstraite du capital ou de la mondialisation ? En lui donnant les traits de Bill Gates !
Disant cela, on en viendrait presque à épouser la ligne de défense des médias centraux contre le complotisme. Mieux vaut au contraire faire l’hypothèse que le complotisme n’est que l’image renversée desdits médias. Les journalistes mainstream voudraient nous convaincre de ce que nous sommes entrés dans l’ère de la « post-vérité ». On ne demanderait qu’à les croire s’ils ne s’illustraient pas du matin au soir dans l’exploitation sans vergogne des faits alternatifs. C’est le faux sans réplique décrit par Guy Debord. Or, ce faux a trouvé une réplique dans le contre-journalisme sauvage et la littérature conspirationniste qui fleurissent sur Internet. L’univers complotiste a toujours fonctionné dans une troublante relation de symétrie avec les médias « légitimes ».
Sans sombrer dans le complotisme, vous semblez parfois céder à la pensée magique. Ainsi, à l’instar de nombreux écologistes, vous estimez que la nature s’est vengée de nos excès, le Covid-19 étant la nemesis qu’appelait notre hubris. Plutôt qu’une conséquence de la mondialisation et de la surexploitation de la planète, ce virus n’est-il pas un des fléaux qui jalonnent inévitablement l’histoire humaine ?
Rassurez-vous, je ne suis pas Greta Thunberg, le Petit Chaperon suédois qui fait descendre dans la rue les 16-18 ans et les fait pérorer à la tribune de l’ONU. De ce point de vue, le coronavirus a été une bénédiction. Il nous a débarrassé de l’icône suédoise et de ses nattes pendantes qui étaient jusqu’à lui placardées partout, comme une affiche de propagande nord-coréenne. Cela étant dit, la cucuterie écolo-citoyenne est une cible facile. Qu’elle ne serve pas de prétexte pour jeter le bébé avec l’eau du bain, et les enjeux écologiques réels avec les limites de leur traduction médiatique ou partisane.
Nous entrons dans un monde sans perspectives, dans tous les sens du mot : à la fois sans avenir, sans recul et sans champ de profondeur, comme des prisonniers se heurtant aux murs trop étroits de leur cellule. On nous rétorquera que la Terre n’est pas une prison. Certes. Mais elle a ceci de commun avec les prisons qu’il ne nous est pas donné de pouvoir en sortir. La colonisation, puis l’exploitation des terres émergées et des océans auraient dû nous faire prendre conscience des limites mêmes du globe. Il n’en a rien été. À planète finie et ressources comptées, le capitalisme mondialisé n’a opposé que son dogme de la croissance infinie. La crise actuelle part de là. C’est d’abord une crise de la mondialisation des échanges, des hommes et des virus.
Ce qu’on ne veut pas voir, c’est que la nature peut aisément fonctionner sans l’homme (elle l’a fait durant des milliards d’années), mais l’inverse n’est pas vrai. C’est pourtant sur cette croyance qu’est fondé le régime économique actuel. Si l’on devait comparer la collision de l’humanité avec les limites de la Terre à un véhicule lancé à toute vitesse sur un obstacle, il faudrait bien comprendre une chose : l’obstacle survivra sans peine au choc, mais pas le véhicule, encore moins son occupant. Dans cette affaire, le phénomène de la vie n’est pas menacé. Sa capacité de résilience est sans limites. Des millions d’espèces nous ont précédés sans laisser d’autres traces que des fossiles dérisoires…
Examinons la gestion de la crise. A quelques exceptions près (Allemagne, Corée du Sud, Nouvelle-Zélande…), les gouvernements ont paru improviser au fil de l’eau. Soumis à un pouvoir scientifique divisé et désemparé, notre appareil d’Etat a brillé par son impréparation. Si on les compare à leurs cousines occidentales, les élites politiques et administratives françaises se distinguent-elles vraiment par leur niveau d’incompétence ?
Ajoutez-y la Chine, quand bien même elle en a été le foyer infectieux. Les bons élèves ont toujours été peu nombreux. Cela fait longtemps que la France n’en fait plus partie. Nulle sur toute la ligne ! Le constat est accablant. De la détection du risque à sa gestion, le gouvernement a accumulé les erreurs et les retards. À ce stade, ce n’est plus seulement d’immunodéficience des élites dont il faut parler, mais d’immunodéfaillance du Système. À Sciences Po, à l’ENA, on ne fabrique plus des serviteurs de l’État, mais des serviteurs de la dette, des contrôleurs de gestion. Ces écoles sont des moules. Comment en sortirait-il autre chose que des séries ? Calibrées comme des produits industriels, programmées comme des logiciels – et c’est d’ailleurs ce qu’ils sont très exactement : ils sont là pour accomplir des programmes. On fabrique des pilotes automatiques, à peine des technocrates, tout au plus des techniciens, si médiocres qu’ils nous feraient regretter le temps des ingénieurs qui pilotaient eux du moins des programmes industriels.
Comme l’avait analysé Michel Foucault, le pouvoir politique moderne entend préserver la vie (et la santé) des citoyens alors les monarques traditionnels préparaient le salut de leurs sujets. Alors qu’une majorité de Français apeurée par la pandémie a approuvé le confinement, le pouvoir macroniste a-t-il trouvé dans cette crise l’assise populaire qui lui manquait ?
L’assise populaire, certainement pas. Mais de fait les crises confortent les pouvoirs établis. Pandémie aidant, Emmanuel Caméléon – qui a une surprenante capacité à se réinventer – s’est débarrassé d’Édouard Philippe et des Gilets jaunes. Le confinement a joué pour lui. Ce fut un huis clos entre le Président et les Français, les seconds rôles étant dévolus à ses ministres. Tout aura été fait pour que 2022 soit le match retour de 2017. Ce à quoi Macron s’emploie. Continuer de scinder en deux les LR, pour annexer le centre et les juppéistes ; et renvoyer le solde à la bordure du FN. Après avoir annihilé sa gauche, Macron a ainsi piégé sa droite en l’asséchant. Mais il ne l’a piégée que pour mieux la ressusciter en un parti central unique. L’UMPS n’est plus une figure de style, c’est une réalité politique : le macronisme. Ce que les élites post-nationales cherchaient à accomplir depuis Giscard : accoucher d’une grande coalition, sur le modèle des coalitions à l’allemande, dont Macron incarnerait la version hexagonale. Le rêve giscardien de deux Français sur trois, sauf que c’est désormais un rêve à l’envers. La « coalition » macronienne ne réunissant qu’un tiers des voix, les deux tiers restants s’abstenant ou votant populistes, sans espérance de pouvoir, faute d’alliances. Ce qui fonde tous les espoirs de Macron pour 2020. Jusqu’à preuve du contraire, c’est lui qui a la main. On est obligé d’attendre qu’il la perde. Les vents contraires qui ne manqueront pas de se lever à la rentrée devraient ramener « Jupitérion » sur terre.
Des masques au gel hydro-alcoolique, l’hygiénisme ne s’est jamais aussi bien porté. Depuis le début du confinement, nos gouvernants réprouvent tout contact physique extraconjugal au nom du risque viral. L’obsession prophylactique a-t-il transformé nos dirigeants libéraux-libertaires en néo-inquisiteurs ?
Les « enragés » de 68 auraient-ils peur de la rage, qui s’appelle aujourd’hui Covid-19 ? Qui les eût imaginés dans la peau du docteur Knock et de Savonarole ? L’alliance de la bactérie et de la mortification, redoutable attelage qui nous vaut cette avalanche de recommandations médicales et d’interdictions sanitaires. Mais les « boomers » n’ont jamais été à une contradiction près. Ils n’ont que le « vivant » à la bouche, alors qu’ils s’acharnent à le mettre sous cloche. Vivre in vivo tue. Idéalement, il faudrait pouvoir « vivre » in vitro, sinon même in utero, à l’abri de la violence du monde, derrière son masque, confiné à vie. Disant cela, il ne s’agit pas de faire l’éloge du cancer du poumon ou des maladies cardio-vasculaires, ni de nier que le coronavirus ou le tabagisme ne sont pas des problèmes de santé publique, ni de se livrer à une apologie des comportements à risques, mais de ne pas dissocier la prise de risques du risque de vivre. Ici comme ailleurs, le mieux est l’ennemi du bien et l’enfer est pavé de bonnes intentions hygiénistes.
Vous rejoignez les analyses d’Olivier Ray sur la sacralisation de la vie et son corollaire, le refus contemporain de la mort. Seuls les djihadistes semblent aujourd’hui chercher leur salut dans l’au-delà. Tout compte fait, la sainte frousse de la mort qu’a notre société laïque adoucit-elle les mœurs ?
On a conféré à la vie humaine une valeur que jusque-là elle n’avait jamais eue. C’est ce que Michel Foucault a appelé la « biopolitique ». La biopolitique, c’est la prise en considération de la valeur de la vie humaine – ici et maintenant, tout de suite. Cela, c’est le propre de la modernité, c’est l’acte de naissance de l’individu. Dans les âges antérieurs dominés par la religion, ce qui importait, c’était de se donner les moyens de gagner le paradis chrétien. Avec la modernité, renversement de perspective : la cité terrestre va l’emporter sur la cité céleste. C’est dans ce contexte qu’est née la biopolitique. Peu à peu, les individus ont aspiré à conserver ce qu’il y a de plus précieux pour eux : leur vie. Voilà pourquoi on en a fait trop avec le Covid. Parce que nous modernes avons développé une phobie du danger, une intolérance au risque, un déni de la mort. Tout notre arsenal juridique et réglementaire envahissant est très largement conditionné par cette hantise du risque. Zéro mort, zéro défaut, zéro panne, nouvel impératif catégorique. Ce qu’on cherche à conjurer à travers cela, ce n’est pas seulement la visibilité de la mort, c’est sa possibilité. Dans un monde ludique, plus de place pour le tragique. L’hygiénique peut alors triompher.
Comme l’écrit l’historien Jean Delumeau, tout épisode de terreur se conclut par la recherche de coupables. C’est aussi l’un des ressorts du populisme, dont vous vous revendiquez. Scrutant le paysage politique, vous écorchez Marine Le Pen, vantez les mérites de Michel Onfray et soulignez les limites d’un tribun pétomane à la Jean-Marie Bigard Donnez-vous raison à Lénine soutenant jadis que « chaque cuisinière doit apprendre à gouverner » ?
Dans un monde idéal, oui. Mais le vœu d’autonomie, celui du peuple auto-institué, se heurte au principe de réalité, singulièrement dans les pays latins, singulièrement dans les pays anciennement catholiques, singulièrement en France, où la puissance publique a tout vampirisé. Je ne sais plus qui a dit de la France que c’est la seule monarchie d’Europe. Pas plus que les autres, elle ne saurait se passer d’élites. Tout le problème est qu’elles sont de plus en plus médiocres, conformistes et déliées de leurs engagements vis-à-vis des peuples. Raison pour laquelle les populistes croient pouvoir en faire l’économie. Mais la vérité, c’est que le peuple en soi, sans élite ni avant-garde, au sens marxiste du mot, est voué à l’impuissance. C’est ce que donne à voir la longue histoire des révoltes populaires, jusqu’à la crise des Gilets jaunes. Il faut se garder des tentations utopiques qui ont peu à peu submergé ce mouvement une fois que les Gilets jaunes historiques ont déserté les ronds-points. Le RIC ne résoudra pas tous les problèmes, pas plus que le « Web e la Piazza », le Web et la place publique, pour parler comme le Mouvement 5 étoiles. On ne fait pas de la politique à partir de rêveries autonomes, autogestionnaires, conseillistes, archéo-anarchistes. Les sociétés auto-organisées (les sociétés sans État chères à l’anthropologue et ethnologue Pierre Clastres) ne font pas société. Ce qui apparaît au contraire dans les enquêtes d’opinion, c’est que les peuples abandonnés plébiscitent les figures de l’autorité. Dans les sociétés ouvertes, un des deux besoins fondamentaux de l’âme humaine n’est plus assurée : la sécurité. L’âme humaine s’épanouit pleinement dans la liberté pour peu que l’homme est la garantie d’être protégé. Liberté et sécurité. Les deux entrent systématiquement en tension, l’un menaçant d’abolir l’autre. Ainsi de la liberté, grand idéal de la modernité. C’est dans ce sens-là qu’il faut interpréter la demande populiste et l’émergence des sociétés illibérales. On définit communément le populisme comme un appel au peuple, mais il est bien plus un appel au secours des peuples, protestation angoissée qui n’est pas entendue et renvoie aux élites l’image de leur suffisance et de leur insuffisance. L’homme populiste cherche le bon gouvernement, le bon pasteur. Il veut choisir son chef, mais il veut un chef.
Source : site Causeur
(*) François Bousquet est rédacteur en chef de la revue Eléments. Il vient de publier, Biopolitique du corovanirus. Télétravail, famille, patrie (La Nouvelle librairie, éd.)
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lundi, 17 août 2020
Le Coronacircus en marche vers le gouffre financier
Pieter Kerstens
Article publié dans le n°54
de la revue Synthèse nationale cliquez ici
Lorsque nous avions rédigé notre article dans le précédent numéro de la revue, la prévision et l’anticipation des conséquences d’une crise sanitaire, doublées par un chaos des marchés pétroliers, ignoraient alors la stratégie et les décisions aberrantes des gouvernements français et européens, face à la pandémie. En conclusion, nous jugions que « il suffirait d’une petite bourrasque comme…le Covid-19, qui pourrait entraver non seulement l’industrie chinoise, mais aussi par conséquence stopper l’activité de certains secteurs de l’économie mondiale et perturber les activités bancaires et financières, pour déclencher un nouveau krach mondial. »
Durant des siècles et jusqu’à ces dernières années, les épidémies -grippe, tuberculose, gastro-entérite ou bronchite- étaient enrayées par des vaccinations ou à défaut par un dépistage des malades qui, par la suite étaient placés en quarantaine et isolés du reste de la population saine, pour stopper la propagation.
JAMAIS à ce jour, on avait mis toute une population en « confinement », réelle assignation à résidence.
JAMAIS on n’avait stoppé brutalement une économie.
JAMAIS les croque-morts ministériels ne venaient nous égrener un bilan mortel tous les jours.
JAMAIS les médias dans leur totalité n’avaient entretenu une ambiance de crainte et terrorisé les gens afin de créer un réel climat de peur irrationnelle. L’émotion prenait le pas sur le raisonnement et la sensiblerie le disputait à la paranoïa.
Alors, soyons clair : j’appartiens au 3ème âge, d’un groupe à risques, avec des antécédents pulmonaires fragiles. Dès mon enfance, j’ai été atteint par le bacille de la tuberculose et de ce fait mis en « quarantaine » durant trois mois en préventorium en Haute-Savoie. Par la suite, j’ai connu en France la grippe « asiatique » en 1957 et la grippe de « Hong Kong » en décembre 1969 et janvier 1970 (32.000 morts en 2 mois) ; les années suivantes, il y a eu diverses épidémies en France et en Europe (comme la grippe de 2009), avec des dizaines de milliers de morts sans pour cela faire la « Une » dans les journaux, ni monopoliser les radios ou les télés. Ces épidémies saisonnières, venant toutes de Chine, étaient acceptées par les gens qui prenaient chacun leurs responsabilités et assumaient la situation en personne adulte ! L’idée de la mort n’est pas un tabou, il faut s’y faire.
Loin de moi d’ignorer la gravité d’une maladie, d’un handicap ou les faiblesses dues à la vieillesse.
Mais la réalité impose que plus on est vieux, plus on a de chances de mourir. Nul n’est immortel !
Un mal qui répand la Terreur… ils ne mourraient pas tous, mais tous étaient frappés.
Les instituts d’épidémiologie, les milieux scientifiques et le monde médical étaient TOUS PARFAITEMENT INFORMES depuis le début décembre 2019 d’une épidémie de SRAS (Syndrome Respiratoire Aigu Sévère) -grippe mortelle- dans la province de Hubei (Hou-Pei) et la ville de Wuhan (Wou-Han) en Chine. Il est donc faux de prétendre que les Chefs d’Etat et de Gouvernements de l’Union Européenne ont été pris au dépourvu et que « personne ne pouvait prévoir une telle pandémie ». Les ambassades et les départements diplomatiques, tout comme les services de renseignements européens, avaient chacun de leur côté transmis à leur hiérarchie les dangers de cette épidémie et ses ravages possibles. Mais pour cacher leur incurie, leur impéritie et leur incompétence, les pays occidentaux vont en grande majorité, et ce dès le mois de janvier, nous abreuver de propagande, de manipulation, de mensonges et d’omissions avec la complicité servile des journalistes et des innombrables docteurs Diafoirus au garde à vous devant les dogmes du Mondialisme.
NON, cette pandémie n’était pas « la plus grave de tous les temps », comme évoqué ci-dessus.
NON, les enfants ne sont pas un vecteur de transmission très actif.
NON, le Covid-19 n’est pas insensible à la chaleur et à l’humidité. C’est tout le contraire et il disparait à la fin du printemps ou en été.
NON, le taux de mortalité de 3,5% du Corona virus annoncé par l’OMS et psalmodié à longueur d’antennes dès février n’est pas le plus grave ni le plus dangereux jamais rencontré. En réalité c’est 0,5%, alors que la grippe tue tous les ans 0,35% des gens contaminés !
Ces idées fausses et alarmistes ont été propagées pour lobotomiser des peuples entiers, interdire toute forme de contestation, anesthésier le bon sens et instaurer une frousse maximale. L’infantilisation et l’hypnose devant le Covid 19 ont amené au Devoir d’Oubli et à l’ignorance crasse. Personne n’a eu le courage de dire que TOUS LES MOIS, il y avait 1 million de morts en Chine (1.450 millions d’habitants), 240.000 morts aux Etats-Unis (330 millions d’habitants), 80.000 en Allemagne (84 millions), 110.000 au Japon (130 millions), 53.000 en Italie (61 millions), 52.000 en France (66 millions) ni 25.000 morts en Corée du Sud (52 millions) et 13.500 à Taïwan (24 millions) ou encore 8.500 en Belgique (11 millions).
Et si l’on fait la comparaison des décès attribués au Covid 19 avec la population respective de certains pays, il y a lieu de se poser des questions, quand le Japon, la Corée du Sud, Taïwan et la Suède ou encore la Suisse n’ont jamais stoppé totalement leur économie, contrairement à la Belgique, la France, l’Italie, l’Espagne ou le Pérou.
Pourquoi une telle distorsion entre ces pays ?
Avaient-ils plus de moyens techniques, financiers, hospitaliers ou n’ont-ils pas tout simplement retenu les leçons des épidémies précédentes, adopté le port d’un masque pour tous, utilisé massivement des tests de dépistage et imposé une quarantaine aux malades contagieux ? Cela, en ordonnant une fermeture générale des frontières, dès le début de la pandémie.
Comment les charlatans du mondialisme et du capital cosmopolite grugent les gens.
Par million d’habitants, on se rend compte des écarts considérables de décès dû au Covid 19 au 27 mai : Belgique = 853 décès ; Espagne = 576 ; Italie = 542 ; France = 433 ; Suède = 387 ; Etats-Unis = 310 ; Suisse = 194 ; Pérou = 124 ; Allemagne = 103 ; Autriche = 75 ; et seulement Zéro au Viet-Nam ; 0,3 à Taïwan ; 0,5 au Sri Lanka ; 0,8 en Thaïlande ; 2 au Kazakhstan ; 4 en Australie ; 5 en Corée du Sud ; 7 à Cuba ; 7 au Japon.
Pourquoi 170 fois plus de morts en Belgique qu’en Corée du Sud ? Pourquoi 60 fois plus de décès en France qu’au Japon qui est 2 fois plus peuplé ? Pourquoi 5 fois moins de victimes en Allemagne qu’en Espagne, pays avec beaucoup moins d’habitants ?
Et l’on se rend compte maintenant que les conséquences catastrophiques dans certains pays, notamment les pays « occidentaux » et administrés par un Etat-Providence, sont essentiellement attribuées à des gouvernements où la bureaucratie, la technocratie et l’immobilisme règnent en maîtres !
La palme d’or de cette catastrophe est attribuée, à l’unanimité, à la Belgique : ce Royaume d’UBU compte 9 ministres de la Santé ; au niveau Fédéral, par communauté et par Régions. Le résultat est édifiant et l’on constate à fin mai que si en Flandres il y a eu 700 décès / million d’habitants, il y a eu 885 par million d’habitants en Wallonie et 1.160 morts /million dans la Région de Bruxelles. Pourquoi une telle différence ? Ce qui est limpide, c’est que dans le Plat Pays, les copains sont prioritaires, mais réellement incompétents et dangereux.
17:37 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens, Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Nouveau livre de Bernard Lugan : Esclavage, l’histoire à l’endroit
11:28 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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dimanche, 16 août 2020
Crise : après une simple correction, l’or va continuer de grimper
Après une correction spectaculaire, ce mardi 11 août, la plus importante depuis 2013, les métaux précieux sont repartis à la hausse. Alors qu’il avait dépassé les 2.070 dollars l’once, l’or est très vite repassé sous les 2.000 dollars, et même sous la barre des 1.900 dollars, mais pour terminer à 1.936,20 dollars, ce vendredi 14 août. La correction a été initiée suite à une prise de profits, mais du côté des fondamentaux économiques, rien n’a changé car les dettes, les créations monétaires, les dépenses publiques et déficits publics, quelques conflits possibles sont toujours présents.
L’endettement va empirer et la seule porte de sortie est l’inflation. La plupart des pays sont engagés dans des programmes de relance sans précédent. Simultanément, la pression de la mondialisation qui a permis de limiter l’inflation diminue. Même en cas de signes d’inflation, les banques centrales ne relèveront pas les taux d’intérêt pour la maîtriser, de peur d’empêcher une éventuelle reprise économique et de diminuer l’inflation qui aide à résoudre le problème de la dette irremboursable.
Même si un vaccin, quelle que soit sa nationalité, est prêt en novembre 2020, il ne sera pas distribué avant le premier trimestre 2021, et d’ici là, de l’eau aura coulé sous les ponts, avec des ravages partout dans le monde. Le contexte fondamental est malheureusement l’un des plus radieux de l’histoire de l’or. Ce n’est pas le Covid-19 qui est responsable de la hausse de l’or et de l’argent, mais les déficits des gouvernements ainsi que les créations monétaires par les banques centrales afin de monétiser la dette publique. Seuls sont faibles les fondamentaux de l’argent, en raison de la baisse de la demande industrielle et de la joaillerie. La hausse de l’argent, actuellement à 26 dollars l’once, est tirée par la hausse de l’or, mais elle pourrait connaître un krach structurel.
Pendant le deuxième trimestre 2020, les faillites des grandes entreprises ont doublé dans le monde. Selon Euler Hermes, les sociétés françaises représentent 14 % des cas d’insolvabilité. En France, les défaillances de grandes entreprises et entreprises de taille intermédiaire ont grimpé de 16,7 %, en mai, et 38,2 %, en juin. La réalité France, c’est que 616.900 emplois ont déjà été détruits depuis début 2020. 20 % de personnes en sous-emploi voudraient travailler plus, un niveau inédit depuis 1990. Et, après une contraction de 13,8 % du PIB au deuxième trimestre, 2,5 millions de personnes sont considérées comme inactives mais souhaiteraient trouver un emploi, un record depuis 2016. L’INSEE anticipe déjà la destruction de 900.000 emplois sur l’année.
En Grande-Bretagne, ce n’est guère mieux : 730.000 emplois ont été détruits depuis mars 2020 et le Royaume-Uni, avec un recul de -20,4 % du PIB au deuxième trimestre, plonge dans la récession la plus sévère d’Europe.
Quant aux États-Unis, ils auront dépensé, en 2020, le double de leurs rentrées fiscales. Leur déficit public sera de 2.807 milliards de dollars, soit plus de 10 % de leur dette publique actuelle. Trump a promulgué un nouveau plan d’aide de 400 dollars par semaine aux Américains. Les créations d’emplois de 1,8 million, en juillet, ont ralenti par rapport aux 4,8 millions de juin. Au regard du 1,4 million, puis des 20,8 millions d’emplois détruits respectivement en mars et avril, le solde reste terriblement négatif, à près de 15 millions !
Le secteur bancaire européen risque aussi de connaître une nouvelle crise. En 2019, les banques détenaient 600 milliards d’euros de créances douteuses ; elles devraient atteindre 1.000 milliards fin 2020. La BCE a demandé aux banques de ne pas verser de dividendes et de ne pas racheter d’actions cette année. La Commerzbank est dans le rouge. La Société générale a affiché une perte de 1,26 milliard d’euros au deuxième trimestre 2020 tandis que celle de la banque espagnole Santander était de 11 milliards d’euros, soit la première perte de son histoire, suite à une augmentation de 60 % des provisions pour crédits impayés. Le titre a perdu 46 % depuis le début de l’année. Une crise bancaire à venir est aussi très probable, même si les médias font tout pour ne pas traumatiser davantage les populations.
En résumé, rien de changé sous le soleil où l’on ne sait que nous parler du coronavirus. Nous venons de vivre une simple correction passagère du prix de l’or. Mais la situation économique, nonobstant une scandaleuse invasion migratoire complètement passée sous silence, en France, de 450.000 extra-Européens tous les ans, soit deux fois la population de la Franche-Comté, est toujours aussi catastrophique.
19:42 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Qui sont les sauvages ?
par André Bercoff
La canicule n’est plus seulement atmosphérique : elle devient, de plus en plus, cosa mentale. Tout se passe comme si le confinement n’était plus physique mais intégré, intériorisé, appliqué dans les têtes. Cependant que l’on nous demande, que l’on exige, d’observer les gestes barrières, le quotidien charrie des pelletées entières de tabassages, de crimes, de délits, de viols, de vols et autres violences qui ne soulèvent même plus l’indignation des médias et de l’opinion publique, les uns et l’autre affairés à l’unique objet de leurs ressentiments : la température
Il ne se passe pas un jour sans que, un peu partout dans le royaume, les balises de l’effondrement se manifestent avec la régularité d’un métronome. Mais attention ! Ce qui compte, ce ne sont pas le sort des victimes, la douleur des familles, les bourreaux libérés sans aucune forme de procès, la justice en capilotade et l’impunité quasi-totale considérée comme l’un des beaux-arts. Ce qui importe, c’est l’observation stricte d’une novlangue devant laquelle Orwell lui-même pâlirait d’envie.
Ainsi, le sémillant Gérald Darmanin, qui officie comme ministre de l’Intérieur et qui passe son temps à déplorer des méfaits et à jurer qu’il ne les tolérera plus, a osé parler « d’ensauvagement ». Le tollé suscité par le chœur des vierges des nouvelles maisons de tolérance a bien remis les pendules à l’heure : s’exprimer ainsi, selon les bonnes âmes du très masochiste déni du réel, ne peut être l’apanage que du fascisme réactionnaire et du conservatisme le plus rance. Guy Debord disait déjà : « Dans un monde renversé, le vrai n’est plus qu’un moment du faux ». Donc, le bourreau n’est qu’une victime au goût étrange venu d’ailleurs, et la victime quelqu’un qui était là au mauvais moment.
Ainsi, une certaine France s’enfonce dans la haine de soi qui, depuis quarante ans, consiste à affirmer que tout ce qui vient d’Occident ressort de l’esprit du Mal, et tout ce qui vient de la migration est évidemment une chance pour le pays. Ne tombons pas, à notre tour, dans le piège empoisonné de la généralisation : migrants = criminels, communautarisme = crime. Mais refusons tout aussi fortement l’angélisme dévastateur de ceux qui refusent de nommer les prédateurs, de dévoiler les délinquants, de sanctionner les coupables et de mettre des véritables bornes à la multiplication terrifiante des dégradations d’églises, des interdictions d’entrer dans les supermarchés pour les femmes en décolleté, à la stratégie du cutter face à un regard soi-disant coupable, à la courageuse agression, voire au viol de grands-mères ou au massacre d’une famille.
Et quand des historiens en peau de lapin, des polémistes en papier mâché osent nous dire que la violence a toujours existé afin de mieux noyer le poisson, rappelons qu’aux époques où celle-ci effectivement régnait, chacun était armé et pouvait se défendre. Quand l’Etat qui, comme chacun sait, a le monopole de la violence légitime, demeure incapable d’assurer la sécurité des citoyens parce qu’il a abandonné des pans entiers du pays désormais soumis au règne indivis des dealers et des fanatiques, travestir la barbarie en « incivilité » est plus qu’un crime : une faute. Ceux qui se croient protégés par leur fortune, leur statut et leurs privilèges ne seront pas les derniers à ressentir ce qui attend les autruches, après le silence des agneaux.
Source : site RT France
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Dans Présent de vendredi dernier, Francis Bergeron commente le livre de Michel Vial, "La chute de l'empire occidental"
Francis Bergeron, Présent, cliquez ici
Il y a quelques mois, Michel Vial était venu proposer un article à Présent. Mais à la vérité, il s’agissait d’une étude d’une certaine densité, faite pour être publiée dans une revue pas dans un quotidien d’actualité générale et politique, qui plus est à la pagination réduite. Nous avons donc décliné son offre. Mais à quelque chose malheur est bon : il a revu son travail, pour en faire un essai de 130 pages, intitulé La Chute de l’empire occidental. Et c’est cet essai qui vient de paraître chez Synthèse, dans la collection « Idées ».
MICHEL VIAL ET MOI, nous nous étions croisés au cours de notre jeunesse militante. Le Liban, où nous avons l’un et l’autre crapahuté (pas tout à fait pendant la même période de 1976), nous a plus récemment rapprochés, grâce à la constitution de l’Association des anciens volontaires français du Liban. En bref une connivence politique née dans les années 1970, et concrétisée… 40 ans plus tard.
Les études déclinistes ne sont jamais youp la boum, et le titre même de l’ouvrage de Michel Vial n’appelle pas à l’optimisme : La Chute de l’empire occidental. L’auteur en est conscient. « Faut-il pour autant baisser les bras ? Certainement pas… » nous dit-il. « La défense de notre identité, et de notre liberté, est un éternel combat. » Comme l’écrivait Jacques Bainville : « Tout a toujours très mal marché. » Il faut en être conscient et penser dans le temps long.
Pourquoi parle-t-il d’« empire occidental » ? Ce n’est pas l’empire romain ou ottoman ou soviétique. Ce n’est même pas l’empire français d’avant-guerre. Cet empire qu’il voit chuter, Michel Vial le définit comme un ensemble spatial sans vraie unité politique, mais un ensemble homogène sur le plan historique, culturel, scientifique, technique, financier. Et j’ajouterai religieux, même si cette dimension s’est fortement affaiblie, par étapes successives, depuis deux siècles. Cet empire, rappelle Michel Vial dans un entretien publié par la revue Synthèse nationale, « s’est imposé au monde il y a environ cinq siècles et s’est considérablement affaibli depuis un demi-siècle ».
On pourrait discuter du tournant de l’affaiblissement. Il y a un demi-siècle ? Ne faut-il pas remonter plus tôt, à la Première Guerre mondiale ? Elle a fauché les jeunesses française, anglaise, allemande, russe, italienne, serbe, autrichienne et hongroise (près de 10 millions de soldats, essentiellement des jeunes hommes), puis le communisme à l’Est, avec ses famines gigantesques, sa régression économique et le paradoxe de son messianisme agressif, a fait le reste.
La déchristianisation est souvent négligée
Mais l’essentiel n’est pas là. « Plus que nos ennemis clairement déclarés, j’ai voulu dénoncer les traîtres à notre nation et à notre civilisation » dit Vial dans l’entretien précité. Ces maux et ces ennemis s’appellent l’intégrisme écologique, la déchristianisation, l’islam, l’immigration, le « vivre-ensemble », le terrorisme, mais aussi la lâcheté de nos dirigeants, les manipulations médiatiques, et les effets pervers de l’Europe telle qu’elle a été conçue.
Dans ce type d’analyse, la déchristianisation est trop souvent négligée, soit parce que l’étude émane d’adeptes du paganisme ou de théories de ce genre, qui considèrent que le christianisme est en lui-même un ferment de décadence, soit parce qu’ils font remonter la chute ou la décadence à une époque très récente, et qu’ils savent que la déchristianisation a commencé avec la révolution française, ce qui n’entre pas dans leur schéma. Michel Vial définit davantage la déchristianisation par la montée d’un athéisme intolérant que par l’éclipse religieuse actuelle. Il note que malgré le recul de la pratique, notre culture demeurait d’inspiration chrétienne, et ceci grosso modo jusqu’à la fin des années 1960.
Ces derniers temps la laïcité a pris une tournure antichrétienne, renouant et approfondissant des pratiques atténuées, voire disparues depuis les inventaires, tandis que l’islam est simultanément privilégié, au nom du « vivre-ensemble », ou en raison de la peur qu’il suscite, des violences qu’il peut générer, et donc en fin de compte de la lâcheté de nos dirigeants. Tout se tient.
Dans le même ordre d’idées, le préambule de la constitution européenne de 2005 ne fait pas référence aux racines chrétiennes des nations européennes. Et ce sont aujourd’hui les pays européens non déchristianisés qui sont l’objet de l’hostilité du reste de l’Europe.
Dans un contexte de montée de l’islam et d’immigration croissante, la déchristanisation programmée permet à la pierre dure d’éroder la pierre friable. D’autant que, note encore Vial, l’Eglise a abandonné toute idée de prosélytisme, tournant le dos à 2 000 ans de prêches, de conversions, de missions. Pourtant, « croyants ou non, nous sommes tous tributaires de notre passé chrétien », conclut-il.
En guise de raison d’espérer, il ne nous offre guère que l’idée « raspailienne » (si on peut se permettre ce néologisme), consistant à « enfourcher nos montures et défendre [la cause] dans une dernière charge héroïque, sabre au clair ». C’est un peu court.
L’ouvrage est donc une bonne « synthèse nationale », complète, sur les maux et les enjeux essentiels, mais il est muet sur les formes du sursaut, de la renaissance, de la contre-offensive. On attend en conséquence le tome II, qui pourrait s’intituler De la reconquête, par exemple.
La Chute de l’empire occidental, par Michel Vial, Synthèse éditions, coll. « Idées », 2020, 130 p., 18 euros (+ 5 euros de port).
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02:09 Publié dans Livres, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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samedi, 15 août 2020
Suite au drame de Beyrouth, retour sur la Guerre de 1976...
18:37 Publié dans Livres, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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L'empire de la servitude sanitaire.
17:29 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Violence et civilisation
Par Jarente de Senac
La lecture des journaux devient effarante tant le nombre de faits de violence ne cesse de croître selon des modes opératoires auxquels nous n’étions pas habitués depuis que nous n’avons eu de cesse de pacifier nos mœurs, d’instaurer des lois et de générer une violence légale. A ce jour, force est de constater que le principal responsable de cette violence, c’est l’immigration qu’elle soit ou non clandestine. Car ses populations de races et de cultures différentes profitent de nos lois et de nos libertés pour les enfreindre avec la complaisance, souvent, de juges soumis à la religion des droits de l’homme. Et généralement partisans d’une gauche aussi imaginaire qu’utopique où "tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil".
En société l’homme a des devoirs avant d’avoir des droits. Et ces devoirs sont le fruit de l’éducation qu’il a reçu. Raison pour laquelle l’univers mental des immigrés est trop souvent aux antipodes du nôtre.
Toutefois, il ne faut pas non plus se voiler la face, il y a également en Europe des populations qui posent des problèmes quand elles échappent à nos normes comme les Tsiganes par exemple et certaines populations victimes, jadis, des invasions turques comme les Albanais ou les Bulgares. Ces populations constituent en effet un pourcentage non négligeable de crimes et délits au sein des populations immigrées. Le problème majeur posé parmi ces dernières relève en général de leur religion, l’islam. Et pour cause, ses principes sont contraire à ceux prônés par le christianisme qui, à la suite du paganisme, est la véritable religion de l’Europe. Ce qui a pour conséquence directe que notre territoire est sujet à des zones de non-droit en raison du laxisme de nos gouvernants et de leurs affidés, le personnel politique.
L’un des drames de ce pays, mais aussi des Européens en général, à quelques exceptions près, c’est bien la médiocrité de ce personnel politique qui a perdu tous ses repères culturels inhérents à la constitution même des nations européennes. Il n’y a qu’à constater le délabrement de notre système éducatif pour comprendre comment nous en sommes arrivés là.
Depuis 1968, l’Education nationale n’a cessé sa descente aux enfers et nous en sommes arrivés aujourd’hui à une sorte de point de non-retour. Jean-Michel Blanquer, ministre d’une éducation qui n’a plus rien de national, n’a rien compris au film pour la bonne raison que ce qui nous fait office de Président n’a en rien conscience de ce désastre et encore moins de ses causes. Aujourd’hui, on ne gouverne plus en fonction des desiderata du peuple, mais des contraintes qu’imposent un système économique assujetti au libéralisme. Les dérives de cette nomenklatura politico-administrative a conduit notre pays de désastres en désastres, industriel notamment et il est en train de s’en prendre au secteur agroalimentaire en appauvrissant nos paysans et nos agriculteurs au bénéfice de la grande distribution. Cette dernière n’a en tête que la rentabilité de leur entreprise au mépris d’une bonne politique de santé publique. En autorisant de plus en plus des normes et des produits transformés, calibrés, épurés, on est en train d’empoisonner la population. Cette pandémie a eu pour effet de mettre en exergue tous les dysfonctionnements d’un système économique devenu fou et absurde qui n’est pas sans rappeler le fameux docteur Folamour.
Est-ce à dire que nous entrons dans un monde infernal qui risque de voir à terme la disparition de tout ce qui a fait la grandeur de l’Europe, de son génie et de l’originalité de ses peuples ?
09:14 Publié dans Jarente de Senac | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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vendredi, 14 août 2020
Turquie : un jour ou l'autre il faudra bien faire face.
10:31 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mercredi, 12 août 2020
Vous avez dit complot ? “Fake news” ? Bruno Gollnisch plonge un député LREM dans l’embarras
19:33 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Macron, fier à bras au Sahel ou au Liban, impuissant en France.
19:28 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Le vaccin et la haine.
09:53 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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lundi, 10 août 2020
Georges Feltin-Tracol répond à Réfléchir et Agir au sujet du livre "Réflexions pour un nouveau corporatisme"...
Avec Réflexions pour un nouveau corporatisme, les éditions Synthèse nationale ont réuni sous la direction de Georges Feltin-Tracol sept rédacteurs qui s'intéressent à cette voie originale. Est-il raisonnable de proposer le corporatisme en 2020 ? Réponse avec le maître d'œuvre de l'ouvrage, bien connu de nos lecteurs.
Pourquoi réfléchir sur le corporatisme au XXIe siècle ?
C'est la funeste réforme des retraites qui est à l'origine de ce livre collectif. Les syndicats gauchistes (CGT et SUD) condamnent le projet macronien. Or, par-delà l'incantation obligée au Conseil national de la Résistance (CNR), ils oublient que le système de retraite par répartition est un acquis de la Révolution nationale. Suite à un article de Franck Buleux sur le corporatisme mise en ligne au début de l'année, Roland Hélie a jugé propice de relancer le débat.
Le corporatisme appartient-il aux essais de troisième voie ?
Oui, bien sûr ! D'ailleurs, le Dr Bernard Plouvier insiste sur la portée, politique et historique, de la troisième voie économique et sociale. L'éditeur Jean-Gilles Malliarakis donne son point de vue sur cette théorie non-conformiste. Quant au traditionaliste radical Daniel Cologne, il examine la fonction productrice sous l'angle novateur du tercérisme.
N'est-ce quand même pas trop réducteur ?
Pas du tout ! Depuis la fin de l'Ancien Régime, l'idée corporative se manifeste en Europe (mais aussi en Amérique latine) sous des formes théoriques ou institutionnelles diverses et variées. Aristide Leucate a raison d'y voir un dépassement nécessaire du syndicalisme et de la lutte stérile des classes sociales. Gabriele Adinolfi explique la novation corporatiste sous le fascisme. Pour ma part, je montre la multiplicité des expériences corporatistes portugaise, italienne, allemande et française au siècle dernier
Le corporatisme n'est-il pas passéiste et rétrograde ?
Il garde toujours sa pertinence. Ancien journaliste, bras droit de Giorgio Almirante et cofondateur de l'Institut d'études corporatistes au sein du MSI, Massimo Magliaro considère que le corporatisme, loin d'être nostalgique ou dépassé, est une doctrine bi-millénaire qui s'inscrit dans notre longue mémoire albo-européenne. Franck Buleux soutient des travailleurs enchâssés dans leur métier ou dans leur profession.
Le corporatisme aurait-il donc un avenir ?
Part intégrale de la dimension socio-économique de notre civilisation européenne, le corporatisme reste ce facteur crucial pour surmonter les impasses mortelles de l'individualisme libéral moderne, de l'étatisme bureaucratique et du collectivisme de la fourmilière.
Comment ?
Par l'abolition du salariat, la généralisation de l'intéressement aux bénéfices et à la direction des entreprises, le développement de la cogestion et de la participation, la constitution de nombreuses coopératives, etc. Le corporatisme s'oppose à la mondialisation son essence est localiste, écologique et décroissante. À l'heure d'Uber et des GAFAM, elle se révèle salutaire, conservatrice et… révolutionnaire.
Réfléchir&Agir N°65 Printemps 2020
Réflexions pour un nouveau corporatisme, ouvrage collectif réalisé sous la direction de Georges Feltin-Tracol, Synthèse éditions, collection "Idées", 180 pages, 20 euros (+5 euros de port).
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17:27 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Les médias de grands chemins et les autres
La chronique de Philippe Randa
« Médias de grands chemins » : rendons à l’OJIM (Observatoire du journalisme – www.ojim.fr) ce qui lui appartient : on trouve en effet cette significative expression dans la conclusion d’un article fort instructif sur le respect du confinement imposé aux Français : « Il ne faut pas compter sur les médias de grand chemin pour jouer un rôle de vigie et encore moins de lanceur d’alerte. »
Et pour cause ! N’hésitant pas à parler de « confinement à géométrie variable », l’OJIM dresse la liste des consignes données aux forces de l’Ordre, notamment durant la période du ramadan. Consignes qui, selon l’article « s’accumulent et mettent dans l’embarras une partie de la classe médiatique. »
Car la vérité finit toujours par percer, malgré le black-out que l’on a tenté – vainement – d’appliquer en la circonstance. Ainsi, l’OJIM rappelle entre autres « l’enquête » de LCI sur les « fausses vidéos » dévoilant le non-respect du confinement, l’interrogation que s’est posé Le Monde(« Covid-19 : les banlieues sont-elles stigmatisées ? »), l’affirmation de Terra Femina, considérant qu’« en banlieue, il n’y a pas plus de jeunes dehors qu’ailleurs », contredisant toutefois l’explication que Die Zeit apportait de son côté à la réalité des incivilités des zones de non-droits françaises : ce n’est pas la faute à Voltaire, mais « à la taille des logements dans les banlieues françaises qui n’est pas adaptée au confinement » !
L’édifiante déclaration révélée par Le Canard enchaîné en mars dernier du secrétaire d’État auprès du ministre de l’intérieur, Laurent Nunez, qui affirma lors d’une visioconférence organisée avec les préfets : « Ce n’est pas une priorité de faire respecter dans les quartiers les fermetures des commerces et de faire cesser les rassemblements » avait déjà de quoi interpeller les Français, mais désormais, ce sont les consignes données aux forces de l’Ordre qui commencent à fuiter, notamment dans le Calvados, celle du chef d’état-major de la Direction départementale de la sécurité publique : « Sauf atteinte aux personnes ou atteinte grave aux biens (dégradations par moyen dangereux pour les personnes, de bâtiment, véhicule), il n’y a pas lieu d’intervenir dans les quartiers à forte concentration de population suivant le ramadan, pour relever un tapage, contrôler un groupement de personnes rassemblées après le coucher de soleil pour s’alimenter. »
En France, on semble à l’évidence être passé du constat de Jean de la Fontaine : « Selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de cour vous rendront blanc ou noir » à celui de l’OJIM : « Selon que vous soyez fidèle ou mécréant, la loi vous sera appliquée ou pas »… même si certains vous expliqueront le contraire sans la moindre vergogne !
Lire EuroLibertés cliquez ici
12:07 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Le chaos libanais.
12:02 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Face à la racaille, la colère de Palavas
Source Lengadoc info cliquez là
Vendredi dernier, près de 400 personnes ont marché dans les rues de Palavas (34) pour dénoncer l’insécurité grandissante que connait la station balnéaire cet été.
Les revendications sont claires : il faut plus de policiers municipaux et de gendarmes, mais surtout il faut leur lâcher la bride pour qu’ils puissent lutter contre les racailles. C’est ce que réclamait les Palavasiens qui ont manifesté dans les rues de Palavas.
A chaque saison estivale, la population du village passe de 6 000 habitants à près de 140 000. une telle augmentation de la population entraîne forcément une recrudescence des violences. Mais cette année, les habitants sont unanimes, l’insécurité a vraiment atteint des sommets : rodéos de voitures dans les rues, agressions gratuites, coups de couteau, cambriolages, drogues en tout genre…
La colère gronde et la manifestation a rassemblé près de 400 personnes, une forte mobilisation pour une commune de la taille de Palavas.
NDLR - SN : notons parmi les manifestants la présence remarquée et appréciée de notre ami Richard Roudier, président de la Ligue du Midi, accompagné des militants locaux de ce mouvement.
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dimanche, 09 août 2020
Journal du chaos
09:09 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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samedi, 08 août 2020
Gouvernement des juges et des notables... Gouvernement contre le peuple.
11:15 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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vendredi, 07 août 2020
LOI BIOÉTHIQUE 2020 : UN PAS DE PLUS VERS LA FOLIE
Dans cette vidéo, nous allons commenter ensemble les principales mesures de la loi bioéthique 2020, votée en deuxième lecture par l'Assemblée Nationale le 31 juillet 2020 : PMA pour toutes, embryons chimères, réintroduction du bébé-médicament, absence d'autorisation pour pratiquer des expériences sur les embryons surnuméraires... Encore une fois, ce nouveau projet de loi repousse les limites de la morale et tente de nier les déterminismes naturels.
Mais comment expliquer l'absence de limite ? Le député Jean-Louis Touraine a déclaré que son objectif était de dissocier le s*xe de la reproduction : ce serait "le sens de l'histoire". Que signifie donc cette expression, dans la bouche de toutes les personnalités politiques, pour justifier ces mesures ?
Après avoir parlé des origines du progressisme dans une précédente vidéo, je vous propose d'explorer les racines du modernisme, avec la Querelle des Universaux.
13:35 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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LE CATALOGUE ÉTÉ 2020 DES BOUQUINS DE SYNTHÈSE NATIONALE...
12:49 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Le Parti de la France présente son nouveau matériel de campagne
12:40 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Quelques jours après la fin des activités de la Dissidence française, Vincent Vauclin annonce la création du Mouvement national démocrate (MND)
Communiqué du MND :
Dimanche 2 août 2020 - Vincent Vauclin, essayiste et ancien candidat aux élections européennes de 2019, a annoncé dans une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux la fondation d'une nouvelle force politique : le Mouvement National-Démocrate (MND).
Ce nouveau parti ambitionne de bousculer le paysage politique français pour sortir la droite de son hibernation et faire entendre la voix d'une nouvelle génération. Le MND porte ainsi un projet de refondation civique fondé sur la liberté, l'identité, la souveraineté et l'autorité, et dont les grandes lignes sont présentées dans une Charte en dix points disponible sur le site internet du MND : www.natdem.fr.
Le programme complet du MND sera rendu public dans les prochaines semaines. Le MND ambitionne de devenir le nouveau pôle de rénovation de la droite pour proposer une alternative à la hauteur des enjeux du XXIe siècle et préparer les échéances décisives à venir.
Chacun peut d'ores et déjà adhérer en ligne et gratuitement au MND sur son site internet et contribuer ainsi à édifier la grande force politique de droite alternative dont la France a besoin.
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12:34 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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jeudi, 06 août 2020
Macron était à Beyrouth. Pas la France.
17:21 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mercredi, 05 août 2020
Me Fabrice di Vizio : L’heure des comptes a sonné
La crise sanitaire du Covid-19 en France a donné lieu à une gestion calamiteuse. Les acteurs politiques ont montré leur faille à tous les niveaux. Empêtrés dans une idéologie mondialiste, ils ont refusé la fermeture des frontières; adeptes des coupes budgétaires, ils ont mis à sac les hôpitaux; obsédés par le libre échange, ils ont abandonné les stocks stratégiques et notre souveraineté sanitaire. Plus de 30 000 morts plus tard, les responsables doivent s’expliquer. Et ce n’est pas la commission d’enquête parlementaire qui permettra de faire le jour sur cet enchainement d’échecs.
Maître Fabrice di Vizio, avocat spécialiste des questions de Santé, représente le collectif C19, composé de médecins et soignants, qui ont souffert de l’incompétence et l’imprévoyance de nos dirigeants. Tous ensemble, ils ont décidé de mettre l’exécutif face à sa responsabilité. Ils poursuivent Agnès Buzyn, Edouard Philippe, Olivier Véran, parties prenantes gouvernementales pendant la crise, devant la cour de Justice de la République.
15:14 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Nous avons le droit d'être intelligents !
12:37 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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