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mardi, 03 septembre 2019

Attaque à Villeurbanne : le droit d’asile en France est inopérant

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Après qu’un Afghan détenteur d’un titre de séjour en France a tué une personne et blessé huit autres à Villeurbanne, l’ancien préfet Michel Aubouin déplore l’inefficacité de l’administration française dans la gestion et la régulation de l’immigration en France.

Entretien à lire ICI

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lundi, 02 septembre 2019

Une mort qu’on se refuse de traiter d’ordinaire

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Le billet de Patrick Parment

Samedi 31 août à Villeurbanne, un immigré afghan, demandeur d’asile d’une trentaine d’années, a attaqué au couteau des passants à la gare routière Laurent Bonnebay. Bilan, un mort et huit blessés. Le mort est un jeune homme de 19 ans qui vivait à Bonvillard, un village de Savoie au-dessus d’Alberville. Il se rendait au festival de musique Woodstower à Mirivel-Jonage  dans la région de Lyon. Timothy, de son prénom, était un brave Gaulois bien de chez nous qui avait faire l’école hôtelière de Challes-les-Eaux près de Chambéry où il avait obtenu un CAP de pâtisserie. Et il bossait dur chez un traiteur.

Quant à l’agresseur, on apprend qu’il avait faire un premier séjour en France en 2009 où il était revenu en 2016. Il logeait à Vaulx-en-Velin dans un centre d’hébergement pour réfugiés. L’homme n’avait aucun antécédent psychiatrique.

Et voilà, on nous refait le coup des experts qui déclarent que l’assassin est dans un état « psychotique envahissant avec des délires paranoïdes à thématique multiple dont celle du mysticisme et de la religion ». Si ça se trouve, les Bonnot et autre Mesrine étaient eux aussi des psychotiques ! On leur a coupé la tête !

Une fois de plus, préfet en tête, on vient nous enfumer avec les expertises à la mords-moi-le-nœud concernant tous ces immigrés qui ne sont autres que des assassins, nombre d’entre eux d’ailleurs justifiant leur geste au nom d’une religion qu’on nous vend pacifique.  Ce qui n’est nullement pacifique, c’est bien la différence culturelle et l’incompatibilité d’une cohabitation entre christianisme et islam au nom d’une laïcité que ce dernier ne reconnaît pas.  Par-delà le déracinement, ces immigrés vivent un choc culturel permanent et refusent les lois du pays qui les accueille. En France, il y a trop de zones de non-droit, c’est-à-dire là où le droit français ne s’applique pas. Que fait le gouvernement (et tous les précédents) ? Rien. Le problème de l’immigration ce n’est pas seulement le déracinement.  C’est aussi le refus de comprendre et d’accepter les mœurs et la culture du pays d’accueil. Laisser libre cours à l’immigration c’est mettre en danger la population française. La preuve nous en est fournie chaque jour à la lecture de la presse qui se garde bien d’évoquer, le plus souvent, la nationalité réelle des criminels.

Il est tout aussi criminel de laisser ces sicaires d’ONG porter secours à ces populations dont l’avenir s’inscrit d’ores et déjà dans ce lumpenprolétariat qui ne profite qu’au Système. Va-t-on tolérer longtemps à ce que nos enfants se fassent homicider par toute cette misère du monde qui déferle sur l’Europe ?

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Allemagne : l'AFD fait un tabac aux élections

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Lionel Baland

Ce dimanche 1 septembre, les électeurs de Saxe et du Brandebourg ont été appelés à élire leur Parlement. Les scrutins se déroulant dans ces deux États de l’est de l’Allemagne – qui ont connu autrefois le communisme – voient une poussée inédite des patriotes de l’Alternative pour l’Allemagne (AfD) et constituent une lourde défaite pour la CDU, le parti de la chancelière démocrate-chrétienne Angela Merkel, et son allié gouvernemental social-démocrate, le SPD.

Alors que la Saxe a été au cours des trente années qui nous séparent de la chute du communisme un bastion de la CDU – ce parti atteignant toujours avant le début du XXIe siècle la majorité absolue lors de ce type de scrutin -, cette dernière y subit un nouveau recul, cette fois de 7,3 points, tout en restant le premier parti avec 32,1 % des voix. L’AfD la talonne en récoltant 27,5 % – contre 9,7 % en 2014 -. Le parti post-communiste Die Linke est en fort recul à 10,4 % et les sociaux-démocrates du SPD chutent lourdement et se retrouvent à 7,7 %. Les écologistes progressent et obtiennent 8,6 %.

Au Brandebourg, l’État qui englobe celui de Berlin, l’AfD arrive deuxième avec 23,5 %, derrière le SPD qui, reculant de 5,7 points, tombe à 26,2 %. La CDU chute de 7,4 points et dégringole à 15,6 %, alors que les post-communistes de Die Linke reculent de 7,9 points et se retrouvent à 10,7 %. Les écologistes augmentent leur score.

Selon la chaîne de télévision publique ZDF, l’AfD est le premier parti chez les hommes lors des scrutins en Saxe et au Brandebourg avec respectivement 33 et 30 %, alors que chez les femmes il obtient 22 % en Saxe et 19 % au Brandebourg.

La percée de l’AfD constitue un exploit. En effet, cette jeune formation politique a vu le jour seulement en 2013. En six ans, partie de rien, elle est entrée au sein de la Chambre des députés, ainsi que dans les assemblées des seize États qui composent le pays. Elle a réussi cette incroyable performance alors que le système tout entier la combat. La presse, les autres partis politiques, les églises, les syndicats et les associations patronales s’opposent frontalement à ce parti patriotique, qui se voit insulté et souvent privé de salles pour ses réunions alors que ses locaux et ses cadres politiques sont sous la menace permanente d’attaques violentes orchestrées par des voyous se réclamant de la gauche radicale. La victoire de l’AfD lors de ces deux scrutins représente donc, non seulement, un énorme espoir de redressement futur de l’Allemagne, mais également une victoire de la vraie démocratie face à des personnes et des organisations qui se réclament systématiquement de cette dernière tout en ne la respectant pas dans les faits.

Le blog de Lionel Baland cliquez ici

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Danton à Matignon 

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L'avis de Jean-François Touzé
 
À Fréjus, au cours de la cérémonie de commémoration de la glorieuse bataille de Bazeilles, Édouard Philippe a exhorté nos officiers et soldats de l'Infanterie de Marine à la résistance contre l'obscurantisme.
 
OBSCURANTISME : substantif masculin désignant une attitude, doctrine, système politique ou religieux visant à s'opposer à la diffusion, notamment dans les classes populaires, des "lumières", des connaissances scientifiques, de l'instruction, du progrès.
 
Faut-il le préciser, ce n'est pas, à l'évidence, l'islamisme dont l'obscurantisme ténèbreux qui en est la marque est un élément majeur de combat, qu'Edouard Philippe a appelé nos troupes à combattre, mais un supposé  obscurantisme d'opposition au progressisme, obscurantisme fantasmé mais conçu comme mal absolu dans une vision républicaine totalitaire au nom de la trois fois sainte laïcité.
 
Pour le Premier ministre, la mission de nos armées est donc de défendre une option philosophique précise. Pas de défendre la France. Pas de défendre nos valeurs de civilisation. Pas de défendre le ciment chrétien de notre édifice national. Pas de défendre les Français face aux menaces planétaires qui s'accumulent.
 
Édouard Philippe est un Premier ministre montagnard et jacobin. Bientôt le retour des commissaires en mission aux armées ? 
 
Danton, lui, est déjà à Matignon.

10:19 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

De Panurge au Sheeple : l’espoir d’une Renaissance occidentale ?

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Bernard Plouvier

Au début de notre nouvelle ère globalo-mondialiste, des résistants nord-américains ont forgé un néologisme, celui de Sheeple : le peuple de moutons, asservi à la désinformation des chaînes télévisées et devenus dépendants de la nouvelle drogue, les réseaux sociaux.

De fait, une majorité d’adolescent(e)s luttent contre leur angoisse existentielle en étant rivé(e)s, vissé(e)s, « scotché(e)s » à leur tablette Net ou à leur téléphone-microordinateur portable.

Quant aux adultes, ils sont devenus des consommateurs béats de l’opium télévisuel, qui leur apporte des images (remaniées), des informations triées, voire « reforgées » par des orfèvres en manipulation.

On comprend fort bien que l’ordinateur ou un téléphone portable branchés sur le Net distribuent l’information de façon quasi-instantanée et aseptisée. On élimine ce qu’il peut y avoir d’offensant pour la vue ou l’odorat dans les contacts humains pour n’en retenir que l’échange d’idées, le ping-pong des réactions, dans l’ambiance parfois survoltée, mais si délicieusement primaire du commentaire incisif, enthousiaste ou indigné.

L’on assiste presque partout, du moins dans les zones couvertes par les satellites de télécommunications, au triomphe de la pensée réflexe, de l’automatisme idéatoire, résultat du formidable bourrage de crânes, du formatage de la pensée des moutons, dominés, bernés, dirigés par des loups.

C’est ainsi que l’on en vient – grâce à un exemple, à peine semestriel, de tuerie perpétrée par un psychotique blanc, alors que l’on cache les milliers de meurtres effectués quotidiennement par des Noirs, des Maghrébins, des Latino-Américains, des Moyen-Orientaux – à exiger des Européens ou des Nord-Américains blancs qu’ils se dessaisissent de leurs armes  – « Turn in your guns » signifie : livrez vos armes à feu à la police… alors que l’exemple de l’Afrique du Sud démontre les risques évidents pour les Blancs de leur désarmement, face aux hordes noires surarmées.

Certes, l’exemple cité n’est pas bon : « L’Afrique aux Africains » est un slogan légitime. Mais un jour, en Europe ou en Amérique du Nord, les populations de race européenne seront confrontées chez elles à la même stupidité : on aura désarmé la race civilisatrice, alors que l’islamo-pétrodollar et l’argent des trafics de drogue alimente d’énormes ventes d’armes aux à ceux venus d'ailleurs.

Lorsque le prêtre (atypique) et médecin François Rabelais fixait pour la postérité l’image des « moutons de Panurge », l’Europe était bien installée dans sa Grande Renaissance, qui fit des Européens la race civilisatrice par excellence, non sans ratés c’est évident : rien de ce qui est humain ne peut prétendre à l’approche de la perfection.

Le mouvement Sheeple, né au début du XXIsiècle aux USA, est l’avatar nord-américain des mouvements populistes, nés en Europe occidentale au contact des aspects les plus sordides et les plus dangereux pour notre avenir de l’imposition de l’American way of life.

Il faut combattre le Mal par tous les moyens : des idées pour l’élite ; des slogans et des images pour la masse et c’est ce que fait le mouvement Sheeple et sa lutte « for Freedom ».

Dans tous les cas, le but est de « désabrutir »… un néologisme vaut parfois mieux que cent discours.

10:12 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Charlie Hebdo apôtre de la Terreur

1225097535.12.jpgEric Delcroix
 
Charlie Hebdo, livraison du 21 août, page 3, dans un éditorial signé Riss, exprimant son indifférence au sort des djihadistes soi-disant français qui risquent la peine de mort en Syrie ou en Irak, a trouvé le moyen d’insulter la mémoire de Brasillach.
 
Selon l’éditorialiste, « La peine de mort en temps de guerre prononcée contre les serviteurs d’un régime de terreur n’a rien à voir avec la peine de mort en temps de paix prononcée contre les criminels de droit commun. Car en temps de paix, parce que précisément règne la paix, la violence doit être prohibée ».
 
Rien de neuf sous le soleil, Riss reprend pour le compte de son périodique l’antienne soviétique selon laquelle les criminels politiques devaient être maltraités sans pitié et éliminés, à l’inverse des criminels de droit commun, par hypothèse victimes, de la Société (cf. Rousseau). A l’inverse, la France du XIXe siècle s’était efforcée de réserver la peine de mort aux seuls criminels de droit commun, doctrine qui a commencé à se dissoudre avec la condamnation à mort et l’exécution de Gorgulov, l’assassin du président Paul Doumer (1932). Contre l’OAS, Edmond Michelet, ce chrétien confit en dévotion, avait fait rétablir la peine de mort pour atteinte à la sûreté intérieure de l’État, mettant définitivement fin à cette doctrine fort civilisée, même si le mode d’exécution différait encore : aux politiques la fusillade, aux droits communs la guillotine.
 
À cette aune, l’assassin et vraisemblable violeur de la petite Maélis, s’il est confondu, ne saurait être considéré aussi impitoyablement qu’un Brasillach ou que n’importe quel Salaud, selon le seul concept philosophique dû à Sartre…
 
Cela dit, quand est-on en temps de guerre ? À tout moment. Pour la Terreur (1792 - 1794), c’était la guerre contre la tyrannie ; pour les djihadistes, c’est en permanence, jusqu’au triomphe définitif et mondial de l’islam. La guerre, selon Clausewitz, ce n’est jamais que la politique par d’autres moyens. Le procureur Jackson, au grand procès de Nuremberg, avait déclaré qu’après la capitulation du 8 mai 1945, « Les alliés sont encore techniquement en état de guerre contre l’Allemagne ... » (26 juillet 1946). De nos jours, d’ailleurs, les guerres ne se déclarent même plus...
 
Paradoxalement, en se félicitant de l’exécution de Brasillach, pour crime d’opinion, Riss légitime les frères Kouachi, qui l’ont gravement blessé lors du massacre du 7 janvier 2015, là aussi pour crime d’opinion (blasphème).
 
D’un point de vue hostile à tout délit ou crime d’opinion, il n’y a pas, n’en déplaise à Riss, d’  « idéologie mortifère ». En revanche, il y a trop de gens qui cèdent à la passion, à l’hybris. Et c’est ainsi que  l’excitation antifasciste, à l’instar de l’islamisme, rend fou : « Le délire de mentir et croire s’attrape comme la gale » (Céline). Ce n’est pas autrement que l’on accède à la Vérité, le Bien, si mortifères...
 
Source NSP cliquez là

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Récession : ceux qui cherchent à vous rassurer et ceux qui disent la vérité…

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Marc Rousset

La revue Capital, dans son dernier numéro de septembre, veille sur nous et tient à nous rassurer. Capital estime à 20 % de probabilité que « l’économie devrait reculer », à 60 % que « l’économie devrait ralentir » et à 20 % que « l’économie mondiale devrait repartir ». Mais ce que la revue oublie de préciser, c’est que, systématiquement, lors des sept dernières récessions, partout dans le monde, les médias ont toujours estimé à environ 20 % de probabilité la venue de ralentissements et de récessions, alors que les crises et les krachs ont toujours eu lieu dans les douze mois qui suivaient la courbe de l’inversion des taux de rendement aux États-Unis.

Capital nous précise que les organisations internationales ne prévoient pas de catastrophe avec un rebond de croissance à 3,6 % en 2020 pour l’OCDE, sans nous avouer que, même si elles en prévoient une, elles nous tiendront toujours des propos rassurants avec des chiffres optimistes tronqués. Un petit paragraphe de lucidité sur trois pages de texte est quand même là pour protéger le magazine au cas où les événements tourneraient au vinaigre : « Nous sommes loin d’être à l’abri d’une crise financière. Excès de liquidités, surendettement de nombreux acteurs, Bourses qui tutoient des sommets sans véritables raisons, banques en difficulté… les bombes sont nombreuses et prêtes à exploser. »

L’Argentine s’enfonce dans la crise avec une inflation de 55 %, un endettement public de 100 % du PIB, un rééchelonnement demandé pour 50 milliards de dollars de la dette, le classement par Standard & Poor’s des obligations argentines en catégorie spéculative, le spectre de la banqueroute et du défaut de paiement.

Au-delà des derniers discours apaisants de Trump et des Chinois, des droits de douane bien réels de 30 % au lieu de 25 % ont frappé, ce dimanche, 250 milliards de dollars de produits chinois et frapperont 175 milliards de dollars de produits supplémentaires à 15 %, le 15 décembre, soit, alors, la totalité des importations chinoises. Quant à la devise chinoise à 7,17 yuans pour 1 dollar, elle n’a jamais été aussi basse depuis onze ans pour contrer les droits de douane américains.

Mme Lagarde se déclare prête à soutenir l’économie avec de nouvelles mesures de la BCE car « l’expansion économique de la zone euro a ralenti récemment et les perspectives de croissance sont en baisse » : Lagarde veut encore baisser davantage les taux (négatifs depuis 2014) de rémunération des dépôts bancaires et le principal taux de refinancement, nul depuis mars 2016. Elle reconnaît, pourtant, que les taux bas ne sont pas la panacée car ils « ont des implications pour le secteur bancaire et la stabilité financière en général ».

Aux États-Unis, les dernières données de l’association ISM (Institute for Supply Management) mesurant l’activité manufacturière dans la région de Chicago laissent entrevoir un ralentissement général de l’activité économique et, toujours selon ISM, les entreprises ralentissent déjà leurs investissements. En Allemagne, les exportations reculent de 1,3 % au deuxième trimestre par rapport au premier, un rythme inédit depuis six ans. Selon le président de l’IFO (Institut für Wirtschaftsforschung/Institut pour la recherche économique), « les signaux indiquant une récession sont de plus en plus nombreux ».

Le taux de rendement des bons du Trésor à 30 ans est tombé à 1,906 %, un record historique. Le rendement à 10 ans (1,46 %) est, une nouvelle fois, inférieur à celui à 2 ans (1,50 %). Le compte à rebours avant la récession a commencé, selon l’économiste américain Tony Dwyer car « lors des sept derniers cycles économiques, chaque récession a été précédée d’une inversion de la courbe des taux ».

Le grand média chinois Global Times évoque le retour du standard or. Après un gain récent de 20 %, « une nouvelle hausse de l’or de 25 % pourrait se déclencher », selon les experts de Citi. La dédollarisation est en marche, l’or étant prêt à reprendre sa place de roi légitime sur le trône des valeurs refuges. Mark Carney, président de la Banque d’Angleterre, a lancé une bombe, lors de la grand-messe des banquiers centraux à Jackson Hole, en affirmant la nécessité d’un nouveau système monétaire, que le dollar allait perdre son statut de monnaie de réserve. Il n’y a qu’un seul véritable candidat pour le remplacer : l’or, vieux de 5.000 ans !

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PHILIPPE RANDA, ÉCRIVAIN ET EDITEUR, DIRECTEUR D'EUROLIBERTÉS, INTERVIENDRA LORS DU RENDEZ-VOUS "BLEU BLANC ROUGE" DE SYNTHÈSE NATIONALE LES 12 ET 13 OCTOBRE À RUNGIS (94)

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dimanche, 01 septembre 2019

Le fonds de commerce de la colonisation et de l’esclavage

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La chronique de Philippe Randa

Fatou Diome (ci-dessus) est une franco-sénégalaise, auteur d’une dizaine de livres que Le Monde décrit comme « piégée dans le désir d’Europe et ses mirages tragiques » et dont il présente son pamphlet Marianne porte plainte ! (paru en en 2017 chez Flammarion), comme un « véritable pamphlet contre les discours identitaires, racistes, sexistes et islamophobes » !

Toutefois, dans un entretien publié en ce mois d’août, celle-ci précise sa pensée. Une pensée pour le moins inhabituelle dans les colonnes de ce quotidien.

Ainsi, sur sa couleur de peau qui n’est « n’est ni une tare ni une compétence » ou sur la France, « cette France brillante, je l’ai bien trouvée, mais on n’arrête pas de la trahir ! Il faut toujours s’y référer, la rappeler aux mémoires courtes »…

Quand le journaliste l’interroge sur les discriminations frappant les Africains dans notre pays, Fatou Diome lui rétorque : « Vous savez, au Sénégal, un jeune né en province aura moins de chance de réussir que celui issu d’une famille aisée de la capitale. La différence, c’est qu’en France, cette inégalité se trouve aggravée par la couleur. Ici, être noir est une épreuve et cela vous condamne à l’excellence. »

Quant à l’urgence de « la décolonisation de la pensée et des savoirs, porté par un certain nombre d’intellectuels africains et de la diaspora » qui semble fortement interpeller le journaliste, sa réponse est cinglante : « C’est une urgence pour ceux qui ne savent pas encore qu’ils sont libres. Je ne me considère pas colonisée, donc ce baratin ne m’intéresse pas. La rengaine sur la colonisation et l’esclavage est devenue un fonds de commerce (…) En sommes-nous encore à nous demander comment nous libérer de l’esclavage et de la colonisation ? Pendant ce temps où nous stagnons, les Européens envoient Philae dans l’espace… (…) Pourquoi se positionner toujours en fonction de l’Occident ? Il nous faut valoriser, consommer et, surtout, transformer nos produits sur place. C’est cela l’anticolonisation qui changera la vie des Africains. »

Et bien qu’elle soit sensée dénoncer les discours identitaires, elle n’en affirme pas moins que « la peur de vaciller au contact des autres ne peut vous atteindre quand vous êtes sûr de votre identité. »

S’il y en a un qui a vacillé, c’est peut-être ce malheureux journaliste du Monde

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Villeurbanne ou ailleurs : les tueurs immigrés sont parmi nous.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Quelle que soit la compassion qui est la nôtre pour les victimes et leurs familles, qu'il nous soit permis de dire que l'attaque au couteau de Villeurbanne n'est qu'un "point de détail" de la guerre menée contre la France, contre l'Europe et contre la Civilisation par les "déséquilibrés" planétaires. 
 
Elle n'est qu'une partie d'un tout. Un tout qui veut notre annéantissement.
 
Islamiste avéré ou pas, l'auteur de ce nouveau carnage qui vient après tant d'autres en attendant les suivants, est un élément toxique délibérément lancé parmi nous comme la plupart de ses prédécesseurs, grâce au subterfuge de la demande d'asile ou aux filières migratoires, avec la complicité criminelle des pouvoirs politiques depuis plus d'un demi siècle.
 
Les commentateurs qui, sur les chaînes d'information, conversent à l'infini sur la nature des tueurs, sur leurs motivations et sur le contexte des villes où ils opèrent, le font en pure perte tant les données sont connues: les tueurs sont des sauvages venus d'ailleurs: leurs motivations se résument à la haine de l'Occident, de la chrétienté et en l'occurrence de la France et des Français ; leurs territoires est le Pays tout entier puisque c'est le Pays tout entier qui leur est livré.
 
Oui, l'attaque de Villeurbanne est un point de détail de l'histoire d'une guerre globale que nous ne gagnerons que lorsque le camp national aura en mains les moyens de la mener. Pas avant !
 

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10:08 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Commandant Aubenas nous parle du système Sorros

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JEUDI 12 SEPTEMBRE : REPRISE DES ÉMISSIONS "SYNTHÈSE" SUR RADIO LIBERTÉS

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Suite à la condamnation des identitaires : un entretien avec Jean-Yves Le Gallou 

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Source Polémia cliquez ici

Au lendemain de la scandaleuse condamnation de trois jeunes identitaires à six mois de prison ferme et 75 000 euros d’amendes pour avoir conduit une action de défense de la souveraineté des frontières françaises dans les Hautes Alpes, l’émoi ne retombe pas. Entretien avec Jean-Yves Le Gallou sur cette actualité brûlante et sur le rôle de la justice dans ce verdict inique.

Polémia : La condamnation des militants identitaires a déclenché une tempête de protestation sur les réseaux sociaux. Certains internautes sont allés jusqu’à souhaiter une épuration du corps judiciaire. Qu’en pensez-vous ?

Jean-Yves Le Gallou : Pour aussi choquante qu’elle puisse paraître, la question n’en est pas moins légitime. D’abord au regard de la démocratie.

Aujourd’hui, le corps judiciaire rend des décisions idéologico-politiques profondément contraires à l’idéal de liberté et à la volonté populaire :

  • En appliquant avec beaucoup de zèle des lois liberticides : poursuites, voire condamnations, pour de simples délits d’opinion de Menard, Camus, Zemmour et tant d’autres. Des lois pénales liberticides qui ne sont pas appliquées de manière restrictive mais au contraire de manière extensive.
  • En montrant une extrême indulgence pour les étrangers clandestins, leurs passeurs et leurs complices (affaire Herrou notamment).
  • En prononçant de sévères peines de prison pour des délits politiques, comme on l’a vu hier pour les Gilets Jaunes, aujourd’hui pour les Identitaires, et sans doute demain pour la Manif pour tous.
  • En étant d’une grande mansuétude avec beaucoup de délinquants immigrés et en refusant toute forme de légitime défense.
  • En faisant instruire exclusivement à charge beaucoup d’affaires politiques (Sarkozy, Guéant, Marine Le Pen, Melenchon) par des juges militants (Buresi, Tournaire et tant d’autres).

De plus en plus de Français ont le sentiment que la « justice » n’est plus rendue en leur nom mais au nom de préjugés idéologiques et politiques et de lobbys étrangers. La «justice » est en train de perdre sa légitimité démocratique. C’est grave !

Polémia : Mais n’est-il pas encore plus grave de parler d’épuration ?

Jean-Yves Le Gallou : Regardons l’histoire ! La magistrature actuelle – administrative et judiciaire – est la fille de quatre épurations.

Polémia : Vous pensez à Vichy, à 1940

Jean-Yves Le Gallou : Pas seulement ! Il y eut, de fait, peu d’épuration judiciaire sous Vichy puisque la quasi-totalité des magistrats prêta, sans problème, serment de fidélité au maréchal Pétain… Des magistrats dont beaucoup furent d’ailleurs de zélés épurateurs des collaborateurs… en 1945.

La nature humaine est ce qu’elle est… Et l’appât des postes et des décorations est un puissant facteur de soumission.

Polémia : Il y eut d’autres épurations, plus « républicaines » alors ?

Jean-Yves Le Gallou : Au XIXsiècle d’abord. Pas lors des bouleversements de 1830, 1848, 1852 et 1870 où le corps judiciaire fut respecté par les nouveaux pouvoirs. Mais en 1883, pour conforter la République. L’épuration de la Magistrature donna lieu à des discours d’une rare violence de la part des députés républicains et déboucha sur une mise au pas brutale : 614 magistrats inamovibles furent mis à la retraite d’office ! Les « valeurs républicaines » n’ont pas été imposées par des bisounours…

Polémia : Et ensuite ?

Jean-Yves Le Gallou : Il y eut évidemment une épuration du corps judiciaire en 1945. 20 % des magistrats durent justifier leurs décisions et la moitié, soit 266, furent suspendus et la plupart révoqués.

Polémia : Rebelote avec la guerre d’Algérie ?

Jean-Yves Le Gallou : On ne peut pas vraiment parler d’épuration mais il y eut de sacrés remous au Conseil d’Etat et dans la haute magistrature judiciaire.

Polémia : Et aujourd’hui ?

Jean-Yves Le Gallou : C’est plus subtil. Il n’y a pas de remise en cause de l’inamovibilité des magistrats. Mais des interdits professionnels relatifs.
Je m’explique : un magistrat judiciaire ou administratif immigrationniste peut intervenir et militer dans une association immigrationniste et continuer à rendre des jugements y compris sur ces sujets-là.
Un magistrat moins politiquement correct doit absolument se taire et être très prudent dans ses jugements. Sinon les médias et les syndicats d’avocats et de magistrats lui tomberont dessus comme on l’a vu dans l’affaire du juge Lagarde.

C’est ce qui explique le deux poids, deux mesures des décisions judiciaires. Les magistrats politiquement corrects plastronnent, les conformistes les suivent, les autres rasent les murs…

Polémia : La situation est-elle désespérée ?

Jean-Yves Le Gallou : Non ! Les magistrats tiennent compte d’un triple rapport de forces : le pouvoir médiatique, le pouvoir politique et le pouvoir corporatif.

Ces pouvoirs-là peuvent changer comme on le voit en Pologne et en Hongrie. Et en Italie, si Matteo Salvini a besoin de pouvoirs élargis, c’est bien pour pouvoir briser la dictature des juges sur l’immigration.

Polémia : Une conclusion ?

Jean-Yves Le Gallou : Aujourd’hui, en France, il ne faut utiliser le mot « justice » qu’avec des guillemets.
Et ne pas se laisser enfariner par le mot « État de droit » qui n’est que le masque de la dictature idéologique de juges politiquement corrects à la remorque des médias de grand chemin.

Entretien avec Jean-Yves Le Gallou
30/08/2019

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samedi, 31 août 2019

PIERRE VIAL, PRÉSIDENT DE TERRE & PEUPLE, INTERVIENDRA LORS DU RENDEZ-VOUS "BLEU BLANC ROUGE" DE SYNTHÈSE NATIONALE LES 12 ET 13 OCTOBRE À RUNGIS (94)

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17:23 Publié dans 13 - Les 13e Journées de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Face aux juges, mieux vaut être une racaille islamisée qu’un Identitaire français

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Jacques Guillemain Riposte laïque cliquez ici
 
En France, comme en Allemagne, en Grande-Bretagne ou en Suède, il ne fait pas bon être un patriote amoureux de son pays, soucieux de protéger sa culture et son identité.
 
La sévérité du jugement condamnant trois membres de Génération identitaire, pour avoir voulu barrer la route aux migrants venus d’Italie, en bloquant le col de l’Échelle dans les Hautes-Alpes, est une ignominie aux relents de justice politique.
 
Six mois de prison ferme, cinq ans de privation des droits civiques et 75 000 euros d’amende pour l’association, pour avoir voulu protéger leur pays de l’invasion de clandestins, c’est du jamais vu. Un total renversement des valeurs.
 
Y a-t-il eu des menaces, des violences ou des insultes racistes ? Non, puisque le procureur avait dans un premier temps classé l’affaire.
 
Mais Génération identitaire étant dans le collimateur du pouvoir et des ayatollahs de la bien-pensance, il eût été surprenant que l’enquête soit définitivement enterrée.
 
C’est ainsi que le parquet de Gap a épluché le Code pénal et sorti de la naphtaline l’article 433-13, qui punit d’un an de prison l’« exercice d’une activité dans des conditions de nature à créer dans l’esprit du public une confusion avec l’exercice d’une fonction publique ».
 
Les trois prévenus ont donc été jugés coupables d’avoir entretenu une « confusion avec l’exercice d’une fonction publique ». Ce que conteste leur avocat, Me Lambert, puisque le sigle « Defend Europe » apparaissait partout et qu’aucune confusion avec la police ou la gendarmerie n’était possible. Il n’y a jamais eu usurpation de fonction. D’ailleurs, les prévenus font appel.
 
Mais si ce jugement très sévère scandalise la sphère patriote et identitaire, il irrite fortement les associations pro-migrants, qui estiment que les juges n’ont pas suffisamment sanctionné la mise en danger d’autrui et l’incitation à la haine raciale ! LIRE
 
Éternel refrain. Le patriotisme, c’est devenu une incitation à la haine raciale !  Et c’est précisément ce qui est gravissime pour l’avenir des générations futures.
 
Car au pays de la liberté et des droits de l’homme, il n’est plus possible de s’opposer à la pensée unique, plus possible de défendre ses racines et son identité, plus possible de protéger son patrimoine culturel hérité de ses ancêtres, sans être cloué au pilori par les Fouquier-Tinville du politiquement correct, qui bêlent au racisme, à la xénophobie et à l’islamophobie.
 
Tous les peuples du monde ont le droit de protéger leur identité, sauf les Occidentaux,  éternels  détenteurs du monopole du Mal.
 
Trois jeunes patriotes ont été condamnés à de la prison ferme, alors que des racailles multirécidivistes, arrêtées maintes fois, subissent un simple rappel à la loi avant d’être remises en liberté.
 
Et que dire des cinq années de perte des droits civiques, alors que les centaines de jihadistes français, qui ont combattu nos soldats et trahi la France, n’ont même pas été déchus de leur nationalité !
 
Rappelons que les citoyens sont victimes de 1 000 agressions gratuites par jour, qui se traduisent régulièrement par des morts et des blessés graves.
 
Les jeunes patriotes ont-ils blessé ou tué quelqu’un ? Non.
 
Est-il interdit d’avoir peur de cet islam conquérant qui veut s’imposer dans notre quotidien ? Devons-nous oublier que nos racines sont judéo-chrétiennes et que la France a 15 siècles de chrétienté derrière elle, depuis le baptême de Clovis ?
 
Les Français, bouleversés et profondément émus devant l’incendie de Notre-Dame, ont montré combien ils étaient attachés à leur histoire et à  leur patrimoine culturel.
 
Faut-il oublier les paroles de Gérard Collomb, seul homme politique en exercice ayant eu le courage de dire la vérité aux Français, en évoquant une sérieuse menace de guerre civile dans un proche avenir ?
 
Tous les sondages montrent que les Français ne veulent plus d’immigration et jugent que l’islam est un obstacle à l’intégration. Ce qui en fait obligatoirement des racistes et des islamophobes, comme chacun sait.
 
Mais peut-on encore être patriote en France sans être traité de xénophobe ? Peut-on être souverainiste sans être taxé de racisme ? Peut-on défendre l’État-nation sans être accusé de prêcher la haine des autres ?
 
Non, à en juger par la sévérité de la justice envers ceux qui s’opposent à l’immigration de masse et à l’islamisation du pays.
 
Ce jugement, loin de défendre les valeurs républicaines, ne fait qu’aggraver la fracture identitaire de plus en plus béante. On ne répondra pas au cri d’alarme de Collomb en niant le choc des cultures et la menace de désintégration de la nation.

Voici ce que disait Gérard Collomb en quittant ses fonctions. Certains feraient bien de s’en imprégner, au lieu de bêler au racisme à tout propos.

« Aujourd’hui, les quartiers sont soumis à la loi du plus fort, qui n’est plus la nôtre. »

« Nous vivons côte à côte, je crains que demain nous ne vivions face à face. »

Et dans un article paru dans Valeurs Actuelles, il ajoutait :

« Les rapports entre les gens sont très durs, les gens ne veulent pas vivre ensemble… je crains la sécession. »

VA : Quelle est la part de responsabilité de l’immigration ?

GC : Énorme…

VA : Vous pensez qu’on n’a plus besoin d’immigration en France ?

GC : Oui, absolument. Des communautés s’affrontent de plus en plus et ça devient très violent.

« Je dirais que, d’ici à cinq ans, la situation pourrait devenir irréversible. Oui, on a cinq, six ans, pour éviter le pire. Après… »

Voilà ce que disait il y a un an l’homme le mieux renseigné de France. Un discours de bon sens et un cri d’alarme avant la désintégration de la nation.

C’est ce discours de vérité que les juges enterrent en condamnant ceux qui s’opposent pacifiquement à l’invasion migratoire qui va détruire le pays.

Peut-on être fier d’une justice qui condamne de jeunes  patriotes qui refusent de subir l’effacement culturel de leur pays ? À chacun d’en juger…

17:21 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Angers, 27 et 28 septembre : 2 soirées angevines à l'Alvarium

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17:16 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Bruno Gollnisch remet les pendules à l'heure sur LCI

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Bruno Gollnish (RN) a crée le Malaise sur le plateau de LCI en déclarant que les agresseurs de pompiers « Ne s’appellent pas Martin ou Dupont ». « On sait très bien que l’insécurité (…) est en particulier le fait de groupe de jeunes gens parfaitement déracinés et issus de l’immigration. »

Pour rappel, selon Le Figaro, près de 200 outrages et agressions contre les policiers, gendarmes et pompiers ont eu lieu chaque jour en France durant le mois de juillet 2019. Les violences physiques ont même pris le dessus sur les outrages et violences verbales, avec 110 cas par jour pour l’année 2019. D’après le syndicat Synergie-Officiers, deux raisons expliquent l’augmentation alarmante des chiffres : « Il n’y a plus de respect pour l’autorité, et le sentiment d’impunité n’a cessé de progresser ».

Ecoutez l'émission sur TVLibertés cliquez là

10:32 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La Belle Époque des accusations délirantes est revenue

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Bernard Plouvier

Tout le monde s’en souvient – ou le devrait : au temps du bon Joseph du Kremlin, le 2Tsar Rouge, lorsque le Big Boss avait un mouvement d’humeur, lorsqu’il voulait se débarrasser de rivaux ou simplement épurer les hauts cadres du PC de l’URSS, le Procureur-général de l’URSS accusait les dignitaires devenus indésirables de trahison au profit de « l’impérialisme étranger » ou des « gouvernements fascistes ».

C’est ainsi que des Juifs furent exécutés comme espions au service du IIIReich tandis que d’autres l’étaient au titre de « vipères lubriques du capitalisme ». En ces temps-là, sous la botte de Soso Dougashvili-« Staline », on savait rigoler !

C’était de l’humour noir, voire carbonisé, en plus d’être souvent d’une rare grossièreté. Mais une quantité invraisemblable de pitres, dans les PC étrangers, chez les compagnons de route (les « idiots utiles ») ou dans les associations Antifa (telle la Ligue des Droits de l’Homme, où l’on jugea corrects les Procès de Moscou « puisque les accusés avouaient leurs crimes » !), poursuivirent jusqu’en 1956 (année de la publication du Rapport Khrouchtchev) l’adoration du demi-dieu et la calomnie des victimes de ces assassinats judiciaires.

En nos jours de « conscience éclairée », dans le monde merveilleux du XXIsiècle de l’ère chrétienne – ou du Iersiècle de la nouvelle ère globalo-mondialiste, au gré du lecteur -, voulez-vous stigmatiser un malfaisant qui ne pense pas comme vous, il suffit de trouver la bonne formule et ça marche tout aussi bien que sous le délicieux Joseph… à ceci près qu’on tue moins (sauf du côté des égorgeurs djihadistes) : après tout, même un ennemi est un consommateur et l’essence même de notre Nouvelle Société Qui Gagne est résumée par l’équation Vente = Profit.

N’êtes-vous point d’accord avec tels ou tels chiffres fantastiques (jamais assez élevés pour certains génocides et toujours trop pour d’autres), êtes-vous effrayé par l’afflux énorme d’immigrés-envahisseurs de l’Europe occidentale & scandinave, refusez-vous de croire que ces arrivants exotiques soient tous des Mozart ou des Mère Theresa, de futurs Prix Nobel ou de dévoués sauveteurs… attendez-vous à une dénonciation pour « incitation à la haine raciale », « à la xénophobie », « au racisme » ou – péril suprême – au crime inexpiable d’antijudaïsme, stupidement dénommé « antisémitisme ».

Émettre des doutes sur une historiographie faite de contes bleus et d’accusations tenant davantage du folklore et de la propagande que des faits tels qu’on peut les appréhender grâce à des archives non caviardées est une activité aussi pleine de risques que de s’opposer autrefois aux ukases d’un « Lénine » ou d’un « Staline », ou aux lubies du pédophile le plus meurtrier de l’histoire humaine : « Mao tu sais tout ».

Il est évident que nier des crimes de masse, au prétexte que les lamentations et les réclamations des survivants et des ayants-droit des victimes sont épicées de très curieux « témoignages », est du pur délire. Mais tout ceci n’est qu’affaire d’esthète : nul n’est obligé de s’intéresser à l’histoire ni d’être chatouillé par le désir éthique d’approcher l’insaisissable « Vérité historique ». Dame Vérité ne peut être connue que par une essence surnaturelle, ce qui est de l’ordre de la métaphysique, donc des nuées impénétrables à la raison humaine.

En revanche, l’honneur d’un homme lui commande de penser au-delà du simple horizon de sa vie, gaie ou misérable – cela importe peu. Nous autres, Européens de souche, avons un devoir impératif : celui de laisser à nos descendants le continent que nos pères nous ont transmis, avec ses tares et ses noblesses, son histoire événementielle, scientifique et technique, son fabuleux héritage culturel.

Si, pour remplir ce devoir d’honneur, il faut affronter le lynchage médiatique ou une « justice » aussi sectaire que le furent l’Inquisition ou les procédures des barbares dictatures communistes, c’est toujours moins chèrement payé que d’éprouver la honte de n’avoir rien fait, de n’avoir rien dit, quand se préparait la Grande Substitution de populations dominantes en Europe.

La lucidité n’est pas, ne sera jamais une « incitation à la haine raciale ». C’est une manifestation de pur bon sens et un devoir envers nos descendants. « L’Europe aux Européens » est un slogan aussi légitime que d’autres, bien mieux admis : « L’Amérique aux Américains » ou « L’Afrique aux Africains ».

En 1785, Sébastien-Roch Nicolas, un bâtard de chanoine qui s’était fait connaître sous le pseudonyme littéraire de « Chamfort », avait écrit : « En France, on laisse en repos ceux qui mettent le feu et on persécute ceux qui sonnent le tocsin ». Quatre ans plus tard, débutait la grande chienlit qui dégénéra en tueries innommables et en guerres quasi-ininterrompues de 1792 à 1815.

Les Européens ont le choix : exiger et obtenir dans chaque pays un referendum sur l’immigration extra-européenne ou bien courir le risque d’une guerre des races et des religions. C’est lors d’une guerre, civile ou internationale, que l’on perçoit le véritable déchaînement de la haine et ce n’est guère à l’honneur de la bête humaine. En médecine, l’on dit avec raison que, lorsque cela est possible, « prévenir vaut mieux que guérir ».   

10:03 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 30 août 2019

Lionel Payet nous a quitté

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Au début des années 1980, alors que le Front national de Jean-Marie Le Pen amorçait sa percée historique, Lionel Payet n'avait pas hésité à abandonner sa prometteuse carrière d'ingénieur pour se consacrer corps et âme à cette cause qui lui était si chère. Il assura ainsi, quinze ans durant, aux côtés de Roland Gaucher son mentor, la direction administrative de National hebdo (à l'époque le principal journal du FN). Il fut aussi conseiller régional de Picardie et élu municipal à Amiens. Forte personnalité, il tranchait singulièrement dans ces assemblées généralement endormies et composées de politicards serviles qui ne pensent qu'à leur réélection. Lionel, lui, ne mangeait pas de ce pain là. 

Je me souviens en particulier de la grande manifestation (rassemblant près de 2000 personnes) qu'il avait organisée en décembre 1987 dans les rues de la capitale picarde lorsque le maire communiste d'alors avait envisagé d'instaurer le droit de vote aux étrangers. Je me souviens aussi de ce soir de novembre 1988 où il m'avait entrainé à Amiens pour perturber, avec une poignée de militants locaux, une réception à la préfecture de la Somme animée par une starlette médiatique (tombée depuis dans les oubliettes) qui, forte de son éphémère notoriété, s'était crue autorisée d'insulter dans une émission télévisée la mémoire de Jean-Pierre Stirbois, secrétaire général du Front national, décédé peu auparavant... Là où il était, Lionel ne laissait rien passer.

Les vicissitudes de l'existence l'ont obligé, quelques années plus tard, à quitter la terre picarde pour s'installer en Provence, à Orange précisément où le maire, Jacques Bompard, qui avait sans doute remarqué son efficacité au FN, l'engagea à un poste important qu'il occupa jusqu'au mois de mai dernier, date de son départ à la retraite. Cette situation nouvelle, visiblement, n'était pas faite pour lui...

Lionel faisait parti de ces éternels rebelles... peut être parce que la vie ne lui avait pas réservé que des bons moments (en terme d'épreuves, il a eu son lot). Pour autant, il n'a jamais baissé les bras, il ne s'est jamais couché face à l'adversité. C'est la maladie, la sale maladie, qui seule l'a terrassé. Il est décédé ce vendredi matin entouré de ses enfants.

Une dernière chose, Lionel était aussi particulièrement attaché au Trégor. C'est dans ce petit bout de Bretagne qu'il venait régulièrement, depuis plus de trente ans, se reposer. Au-delà de l'engagement politique, cela a contribué aussi à nous raprocher. Ce soir, nous pleurons non seulement un Camarade, nous pleurons surtout un Ami.

Roland Hélie

18:12 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

"Ordre nouveau raconté par ses militants" : la presse en parle

Après Charlie Hebdo de la semaine dernière :

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Plaidoyer pour un écologie poétique

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Par Alain Finkielkraut, de l'Académie française

On ne saurait nier la gravité du changement climatique ni l’urgence qu’il y a à préserver notre monde reconnaît Alain Finkielkraut. Le progrès, célébré par les Temps modernes, est devenu incontrôlable. Mais, si les faits donnent raison à l’écologie, la science ne saurait être son seul langage, sous peine de provoquer à son tour d’autres catastrophes, juge le philosophe. L’écologie ne doit pas perdre de vue la beauté de la nature, célébrée par les poètes. Lutter contre le réchauffement ne justifie pas de défigurer le paysage par des éoliennes et de se mettre au garde à vous devant des injonctions puériles. Un texte qui donne largement à réfléchir sur l’idée que l’on se fait de l’écologie par cet académicien décidément fort iconoclaste qui n’hésite pas à avouer qu’à 70 ans, il n’en a plus rien à faire de sa réputation.

Pour lire ce texte, cliquez ICI

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Pour avoir voulu défendre nos frontières, ils sont condamnés à des peines de prison

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Un communiqué de Génération identitaire :

Jeudi 29 août 2019, le tribunal correctionnel de Gap a condamné Génération Identitaire et ses dirigeants pour avoir « créé une confusion avec une fonction publique » lors du blocage du Col de l’Echelle en avril 2018.

Clément Galant et Romain Espino écopent de 6 mois de prison ferme et sont privés de leurs droits civiques et familiaux pour une durée de 5 ans.

Le tribunal a également infligé une amende de 75 000 € à notre association.

Ce faisant, les juges du siège valident la position du procureur de Gap qui avait pourtant reconnu l’absence de toute infraction au lendemain de l’opération.

Par cette décision dénuée de tout fondement juridique, la justice cherche à entraver notre combat contre l’invasion migratoire.

Nous avons d’ores et déjà demandé à nos avocats d’interjeter appel de ce jugement qui bafoue toutes les règles de droit.

Les intimidations judiciaires ne nous feront pas taire !

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jeudi, 29 août 2019

Le “grand remplacement” en question

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Par Olivier Maulin

Pour la majorité des médias et des hommes politiques de ce pays, l’affaire est entendue: la théorie selon laquelle on assisterait en en France à un “grand remplacement” de population, qui trouve de plus en plus d’écho dans la société, est un fantasme d’extrême droite reposant sur une peur irrationnelle de l’Autre, une « sinistre farce » (Hervé Le Bras) qui tire son origine dans le nationalisme de la fin du XIXe siècle et son « vieil imaginaire de purification de la société de ses éléments allogènes » (Nicolas Bancel). Et d’ailleurs « jusqu’où faut-il remonter pour être considéré faisant partie du peuple français? », questionnait la démographe Pascale Breuil, interrogée par le Monde sur ce sujet en janvier 2014, avant de conclure qu’il était « très difficile de définir qui est ou non d’origine française ». Très difficile dans les laboratoires de l’Insee, serions-nous tenté d’ajouter, car sur cette question l’homme ordinaire, guidé par son instinct, éprouve beaucoup moins de difficulté à définir les choses, et ne s’embarrasse ni de concepts, ni d’idéologie, ni même de documents administratifs dûment estampillés, et pas plus de biologie, de « race » ou de « pureté » imaginaires: est français celui qui a la nationalité française, bien sûr, pourvu qu’il vive selon les mœurs françaises.

Le vrai fossé entre le peuple et ses élites est là, et explique largement la différence de perception de l’immigration: le premier se voit encore comme appartenant à un peuple uni par un imaginaire, des mœurs et des croyances, en dépit des origines, quand les secondes ne s’attachent plus qu’au caractère juridique de la nationalité. Pour le dire plus crûment: une femme voilée de la troisième génération issue de l’immigration musulmane sera française aux yeux des démographes (et des statisticiens), mais demeurera largement « étrangère » dans la conscience d’une grande partie des Français, posant, à une certaine échelle, le même problème que celui de l’immigration stricto sensu : la destruction progressive d’une civilisation et d’un mode de vie au profit d’une autre civilisation et d’un autre mode de vie; c’est le « grand remplacement » théorisé pour la première fois par l’écrivain Renaud Camus en 2010, lequel y voit « le choc le plus grave qu’ait connu notre patrie depuis le début de son histoire puisque, si le changement de peuple et de civilisation, déjà tellement avancé, est mené jusqu’à son terme, l’histoire qui continuera ne sera plus la sienne, ni la nôtre ».

Le problème, c’est que certains partisans de cette théorie sont dans un tel état de fébrilité qu’un petit vade-mecum d’aide et de conseils juridiques aux migrants trouvé chez des militants associatifs devient pour eux la preuve irréfutable du complot visant à nous « grand-remplacer »! Bref, entre les partisans du « tout va très bien madame la marquise » et ceux du « tous musulmans dans quinze ans », il est difficile de s’y retrouver.

C’est dire tout l’intérêt du dernier livre de Jean-Paul Gourévitch qui a décidé de prendre au sérieux cette théorie, de la confronter à des chiffres sourcés et à des faits avérés et « d’expliciter les enjeux des deux questions majeures qui sont le support de la théorie du “grand remplacement”: les migrations et l’islam », le tout sans passion et sans parti pris, laissant in fine le lecteur se forger sa propre opinion. Les collègues de ce spécialiste de l’islam et des migrations feraient bien de s’inspirer de l’objectivité de son approche qui apporte un peu d’air frais à une époque où, comme le dit Renaud Camus, il ne s’agit plus de se poser la question « est-ce vrai ? » mais « a-t-on le droit de le dire ? ».

S’intéresser sérieusement à la question du « grand remplacement » nécessite bien entendu de commencer par s’arrêter aux chiffres de l’immigration et c’est là que tout se complique. Le problème des statistiques, on le sait, c’est qu’on leur fait dire ce que l’on veut (« Je ne crois aux statistiques que lorsque je les ai moi-même falsifiées », disait Churchill), mais c’est aussi et surtout qu’elles ne procèdent pas des mêmes critères selon qu’elles sont produites par les instituts officiels français sur l’immigration (Insee et Ined), les organismes internationaux (Eurostat, Frontex...) ou les organisations non gouvernementales spécialisées (Migrinter, Migration Watch, Migration Policy Group...), si bien qu’il faut les confronter à d’autres études pour se faire une idée du pourcentage d’immigrés vivant dans notre pays. Gourévitch en profite pour dénoncer les grossières manipulations de l’Insee et les approximations de nombreux journalistes qui s’emmêlent les pinceaux avec les chiffres, volontairement ou non.

Après avoir analysé et critiqué les données disponibles, l’auteur retient les chiffres de l’Office français de l’immigration et de l’intégration (Offi) publiés en octobre 2018 et établissant à 11 % de la population résidente la part des immigrés en France, 25 % si on prend en compte les enfants de la seconde génération issue de l’immigration. À quoi il faut ajouter l’indicateur conjoncturel de fécondité établi à 1,88 enfant par femme en 2017, moins de 1,8 pour les femmes descendantes d’autochtones, 2,02 pour celles descendantes d’immigrés et 2,73 pour les femmes immigrées.

Un quart de la population en lien direct avec l’immigration et une dynamique démographique, ce n’est plus tout à fait le fantasme dénoncé par la presse bien-pensante, mais ce n’est pas non plus le « grand remplacement ». La vraie question à ce stade est de savoir si cette minorité n’exerce pas un pouvoir d’attraction supérieure à sa représentativité; autrement dit, si elle n’est pas dans une dynamique culturelle propice à imposer sa culture et ses mœurs à la culture et aux mœurs des Français autochtones.

Parmi les immigrés ou fils d’immigrés résidant en France, Gourévitch estime entre 7,5 millions et 9 millions le nombre de musulmans, avec une population plus jeune de treize ans en moyenne; 41 % d’entre eux se déclarent croyants et pratiquants, 34 % croyants mais non pratiquants et 25 % d’origine musulmane ou sans religion, les deux tiers pratiquant néanmoins le ramadan.

Pour les historiens de l’immigration Patrick Weil et Gérard Noiriel, les différentes vagues d’immigration ont toutes créé des tensions et suscité des peurs avant de se fondre dans le “creuset français” et il n’y a aucune raison pour que cela change. Pourtant, il est possible que cette certitude orgueilleuse concernant l’attractivité du modèle républicain “universel” et la croyance en une condamnation inéluctable de la religion par la modernité soient le péché originel des politiques d’immigration. Ils finiront par mettre leur religion en sourdine et par s’intégrer, nous répète-t-on depuis quarante ans. Sur le terrain, c’est pourtant l’inverse qui s’observe, avec une affirmation de plus en plus forte de « l’identité musulmane » et un fossé de plus en plus béant entre les modes de vie des immigrés et personnes issues de l’immigration récente, et ceux des autochtones. Dans les territoires où ils sont majoritaires, les musulmans ont tendance à s’affranchir des lois de la République et à imposer leurs coutumes et leurs modes de vie, ce qui a valu cette célèbre mise en garde du ministre de l’Intérieur Gérard Collomb, le jour où il quittait son ministère : « Je suis allé dans tous ces quartiers [...], la situation est très dégradée et le terme de reconquête républicaine prend là tout son sens. Aujourd’hui, c’est la loi du plus fort qui s’impose, celle des narcotrafiquants et des islamistes radicaux, qui a pris la place de la République. [...] Dans la périphérie parisienne, on ne peut plus continuer à travailler commune par commune, il faut une vision d’ensemble pour recréer de la mixité sociale parce qu’aujourd’hui on vit côte à côte et je crains que demain on ne vive face à face. » Un face-à-face qui n’attendra qu’une étincelle pour se transformer en affrontement et qu’un homme d’État digne de ce nom devrait tout faire pour éviter.

Le Grand Remplacement, réalité ou intox ?, de Jean-Paul Gourévitch, Pierre-Guillaume de Roux, 252 pages, 23 €.

Source : Valeurs actuelles 29/08/2019

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Rester européen est devenu un acte de résistance

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Entretien avec David Engels, par Anne-Laure Debaecker, auteur de Que faire ? vivre avec le déclin de l’Europe (Uitgeverij De Blauwe Tijger ed., 122p.)

Après avoir comparé la crise de l’Union européenne avec celle de la République romaine tardive dans un précédent ouvrage, l’historien belge se penche sur les attitudes individuelles à adopter pour préserver et transmettre notre héritage et notre identité dans ce petit manuel très personnel.

A lire ICI

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mercredi, 28 août 2019

Le nouveau numéro (n°80) de Terre et peuple magazine

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Priorité au Grand Négoce : de Roosevelt à Trump

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Bernard Plouvier

Vers 1980-90 a débuté la nouvelle ère – qui n’est plus l’ère chrétienne et n’est fort heureusement pas (du moins jusqu’à présent) l’ère de la régression mahométane.

Nous sommes entrés dans l’ère du gouvernement planétaire (presque) unique et de l’économie globale. Et c’est là que tous les « complotistes » se trompent : l’on n’assiste pas au triomphe des Financiers, mais à celui des Négociants internationaux.

Le grand projet rooseveltien était d’américaniser la production agricole et industrielle et de faire de la planète un grand marché – l’URSS étant exclue, qui devait servir de repoussoir, de contre-exemple, au moins pour les premiers temps de l’ère du One World – One Government. Qu’il ait ou non développé le projet d’une fusion des races et des peuples en une « moyenne humaine », on ne le saura jamais, car Roosevelt ne s’est guère exprimé sur ce point.

Les « complotistes » ont, là aussi, complètement erré. FDR n’était pas au service « des trusts » (et pas plus celui des Rockefeller que d’autres) ; il n’était pas au service « des Juifs ». FDR s’est servi de tous ceux et de toutes celles qui pouvaient faire démarrer puis avancer son projet, qui, pour d’évidentes raisons historiques, n’a pu commencer que 40 années après sa mort, une fois disparue l’hydre communiste qui avait dominé bien plus d’États qu’il ne l’avait prévu dans son plan machiavélique.

Il fallait, dans la pensée du nouveau Prométhée, appauvrir et apeurer l’Europe occidentale pour la délester de ses colonies, de ses capacités productives et commerciales. « Staline »-Dougashvili et son Armée Rouge étaient des moyens idéaux pour remplir ce rôle d’épouvantail et de leurre.

En 1980 sq. après l’implosion des ridicules économies marxistes, les USA se retrouvent en position dominante, ayant vassalisé l’Occident, les pays d’islam et l’Asie non maoïste. Les gouvernants chinois viennent chambouler la donne par leur suprême intelligence : ils multiplient l’efficacité de l’économie occidentale par la discipline d’un régime dictatorial et poursuivent la politique d’imitation des produits issus du génie européen et nord-américain, ainsi que l’irrespect des conventions internationales sur les brevets de fabrication.

Qu’elle soit l’effet d’un capitalisme ultra-libéral ou d’un capitalisme hautement surveillé par l’État, l’économie actuelle n’est pas dominée par les financiers, mais par l’entente des grandes entreprises de négoce et des décideurs politiques.

De ce fait, les banques centrales ont reçu l’ordre d’anéantir (ou presque) l’intérêt de l’argent – c’est le reniement de 3 à 4 milliers d’années d’agiotage -, au profit de la consommation massive, générant de superbénéfices inégalement répartis entre producteurs - à qui on ne laisse que la petite part des profits – et négociants, gros et petits – qui sont les grands gagnants.

Donald Trump poursuit la grande politique rêvée par FDR. Il le fait avec le punch et l’absence d’hypocrisie qui le caractérisent : en parfait Yankee, il dicte sa loi, parce qu’il dispose de la plus grande armée, du plus gros complexe militaro-industriel et des entreprises multinationales les plus puissantes et les plus innovantes.

La minorité agissante de l’humanité actuelle est placée devant une alternative fort simple.

Ou bien, l’on accepte un monde dominé par l’American way of life, ce qui implique à terme l’éclosion d’une humanité métissée, d’un Homo Consumans standard.

Ou bien, l’on organise, continent par continent, des empires ou des fédérations populistes.

Pour l’heure, les nations d’Amérique latine tentent des expériences non coordonnées. En l’Europe, l’Axe Berlin – Moscou pourrait servir de point de départ à un Empire fédératif, à l’unique condition que l’Allemagne réexpédie dans leurs pays d’origine les millions d’Extra-Européens qui sont venus la squatter. Ce sera la condition sine qua non pour inclure dans cet Empire les peuples d’Europe occidentale et scandinave.

L’Europe aux Européens est un slogan tellement évident et naturel que les princes du négoce en font un corpus delicti : énoncer cette banalité mène droit en correctionnelle et, bientôt, non plus au lynchage médiatique, mais à l’égorgement rituel. 

Le monde dominé par le négoce ne peut être que cosmopolite. Un monde populiste ne peut se faire qu’en fédérant des nations homogènes.             

16:55 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Italie : vers une coalition sociale-démocrate étoilée.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Les populistes en peau de toutou du Mouvement 5 étoiles qui ont goûté aux joies des privilèges et au faste des palais nationaux, sont évidemment prêts a tout pour conserver le pouvoir y compris s'allier avec la sociale démocratie.
 
Ceux qui en France rêvent encore de possibles convergences entre les Insoumis et les nationaux doivent enfin rompre avec leurs chimères. Les pourris de la gauche supposée rebelle reviendront toujours à ce qui est leur famille de raison sinon de cœur. C'est une question de gènes, pour ne pas dire une question d'odeur. Asinus asinum fricat...
 
Salvini finira par gagner. C'est écrit et ne se discute pas. Ce sera dans quelques semaines ou dans quelques mois, mais son arrivée aux responsabilités est inéluctable. Et plus l'attente sera longue, plus les solutions à mettre en œuvre devront être radicales.
 
Pour la France et les Français, c'est malheureusement en années qu'il nous faut compter. Mais notre temps viendra.
 
Et quand il sera venu, ce n'est pas en termes de réformes que nous exprimerons, puis appliquerons sans que notre main ne tremble les éléments impératifs de notre politique. Ce sera en termes de révolution nationale.
 

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09:20 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

RETENEZ DÈS MAINTENANT VOTRE STAND AUX RENDEZ-VOUS BLEU BLANC ROUGE DE SYNTHÈSE NATIONALE LES 12 ET 13 OCTOBRE PROCHAIN...

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Depuis 13 ans, Synthèse nationale organise régulièrement chaque année ses journées nationales et identitaires. Depuis 13 ans, celles-ci remportent un succès grandissant. Le moment est donc venu de passer à la vitesse supérieure. Plusieurs éventualités ont été envisagées et nous avons retenu celle du passage de une à deux journées.

Cette formule présente plusieurs avantages : plus de temps nous donnera la possibilité d’organiser plus d’activités et aussi de voir plus de monde. Elle nous permet ainsi, outre la possibilité de consacrer plus de temps aux interventions, d’accentuer le côté « festif » de ce rassemblement. Et, bien sûr, elle nous rappelle (de manière beaucoup plus modeste certes) les Fêtes « Bleu Blanc Rouge » du FN de jadis. Nous avons demandé au Président Jean-Marie Le Pen, détenteur du titre "BBR", l’autorisation de le reprendre ; ce qu’il nous a aimablement autorisé avec ses encouragements.

Les 13Journées nationales et identitaires de Synthèse nationale se dérouleront donc cette année sur deux jours et elles prendront comme nouvelle appellation « Le grand rendez-vous Bleu Blanc Rouge ». Elles se dérouleront le samedi 12 (de 14 h 00  à 23 h 00) et le dimanche 13 octobre 2019 (de 11 h 00 à 18 h 30), à l’Espace Jean Monnet, 47 rue des Solets à Rungis (94).

DOSSIER D'INSCRIPTION CLIQUEZ ICI

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PRENEZ VOTRE BILLET CLIQUEZ LÀ

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09:19 Publié dans 13 - Les 13e Journées de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

"Fils de collabos, neveu de résistant", le nouveau livre du Dr Jean-Pierre Cousteau

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Jean-Pierre Cousteau nous avait fait l'amitié, l'an passé, d'intervenir lors de notre journée Flandre-Artois-Hainaut de Synthèse nationale cliquez là. Ces jours derniers les Editions Via Romana ont publié un nouveau livre de lui : Fils de collabos, neveu de résistant. Ce titre résume à lui-seul l'une des singularités de la vie de l'auteur.

Voici la préface de Nicolas d'Estienne d'Orves :

« Chaque fois que tu le penses possible, fais ce que les autres ne font pas. »
Commandant Jacques-Yves Cousteau, de l’Académie française

«  Mon père est mort en décembre 1958 à 52 ans, alors que j’en avais 20, étais en seconde année de médecine et préparais le concours de l’externat. J’ai pleuré un bon coup comme six ans auparavant pour la disparition de ma mère, mais inconscient de la perte qui allait me frapper. Je pensais écrire le mot "fin" au bas de ma petite histoire de "Fils de" tant il semblait évident que mon existence n’offrirait plus rien que… de commun  !  »

Cardiologue et professeur né à Paris à la veille du second conflit mondial, Jean-Pierre Cousteau confie ici ses souvenirs et réflexions de gentilhomme. Plongée dès l’enfance au cœur des tribulations de la guerre et de l’Épuration, sa vie reflète les ombres et les lumières d’une époque oubliée où « les Français ne s’aimaient pas ». Fils de Pierre-Antoine Cousteau, rédacteur en chef de l’hebdomadaire Je suis partout, condamné à la Libération pour intelligence avec l’ennemi, neveu chéri du commandant Jacques-Yves Cousteau, résistant de la première heure dont il fut le médecin et confident jusqu’à sa mort, Jean-Pierre Cousteau a le caractère d’un battant et le verbe incisif. Sans doute parce qu’il vécut la longue séparation du père, la pension anglaise et ses châtiments, Juilly et ses « humanités » forcées, la mort d’une mère alors qu’à peine adolescent, puis plus heureusement la passion médicale et l’affection et la protection de l’oncle providentiel. Par delà une étonnante carrière médicale achevée dans les coulisses de Roland-Garros, Jean-Pierre Cousteau témoigne ici des riches amitiés littéraires de son père autant que de l’odyssée des profondeurs de son oncle à bord de la Calypso au fil des océans lointains.

Fils de collabos, neveu de résistant, Jean-Pierre Cousteau, Via Romana, 2019, 196 pages, 19 euros.

En savoir plus cliquez ici

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mardi, 27 août 2019

la 9e Grande Fête médiévale de La Chapelle-d’Angillon les 31 août et 1er septembre 2019

La 9e Grande Fête médiévale se déroulera les 31 août et 1er septembre 2019 au château de La Chapelle-d’Angillon, dans le Cher. Il s’agit d’une forteresse qui a pour origine un donjon carré construit au XIe siècle. Des bâtiments ont été ajoutés à ce donjon initial pour former un ensemble fortifié de plan trapézoïdal. Ce château abrite un musée consacré à Alain-Fournier (l’auteur du Grand Meaulnes) ainsi qu’une collection sur l’Albanie du XIXe siècle.

Lors des festivités, des démonstrations de béhourd sont prévues : il s’agit de combats avec armures et armes médiévales, régis par des règles précises d’engagement. Les combats se déroulent en duel ou en équipe. Lors des combats collectifs, une équipe l’emporte quand elle met ses adversaires à terre. Afin d’éviter les blessures, les coups d’estoc ainsi que les coups derrière les genoux, aux pieds et à la nuque sont interdits.

D’autres divertissements seront présentés : jonglerie, lancer de haches, escrime, tir à l’arc, ainsi que les animaux de la ferme, la fauconnerie et un marché médiéval de 70 échoppes. Un accro-voile à escalader et un atelier blasons sont prévus pour les enfants. Trois buvettes et quelques échoppes proposeront des spécialités médiévales comme l’hypocras et l’hydromel.

Le samedi soir, un son et lumière exceptionnel est prévu avec un spectacle équestre et un feu d’artifice. Un banquet médiéval (les Ripailles) avec des animations aura lieu le samedi soir dans la cour du château et sous la galerie Renaissance. L’accès aux Ripailles se fait sur réservation car les places sont limitées.

L’année dernière, un spectacle sur Jeanne d’Arc avait été organisé. Cette année, les bénévoles de l’Association universelle des amis de Jeanne d’Arc distribueront des tracts pour faire connaître leur projet : il s’agit d’ériger une statue de Jeanne d’Arc à Saint-Pétersbourg. Le projet est bien avancé : le modèle de la statue est décidé et son emplacement a été validé par les Russes. Une Jeanne d’Arc brandissant un étendard devrait prendre place dans le quartier de l’amirauté à Saint-Pétersbourg en mai 2020.

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