mardi, 03 mars 2020
Rassemblement pour le retrait du projet de loi bioéthique ce soir à Paris
En dépit de la situation sociale et sanitaire de la France, malgré les divisions et difficultés dont souffre notre pays, Emmanuel Macron maintient pour le moment son projet de loi bioéthique.
Nous intensifions donc le rythme des actions :
Ce soir mardi 3 mars, rejoignez le rassemblement Marchons Enfants pour appeler le Président de la République à retirer le projet de loi :
RDV à 19h sur la place Clemenceau
(à proximité de l'Elysée, métro Champs Elysées-Clemenceau)
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« Thomas Joly répond à vos questions » - N°1
Thomas Joly, Président du Parti de la France, répond aux questions des internautes.
Sujets abordés : les élections municipales, le soutien du PdF à des candidats RN, les relations du PdF avec la Dissidence Française et les autres organisations nationalistes, les « Primaires pour la France », l'élection présidentielle de 2022, Jean « Hossam » Messiha, le site internet du PdF, le meeting du 18 avril à Paris organisé par le PdF.
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MERCREDI 4 MARS, ALAIN ESCADA, PRÉSIDENT DE CIVITAS, INVITÉ DE L'ÉMISSION (TÉLÉVISÉE) "SYNTHÈSE" SUR Radio Libertés
LES PRÉCÉDENTES ÉMISSIONS CLIQUEZ LÀ
09:11 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Rappel : le samedi 18 avril, le Parti de la France organise un meeting à Paris contre la submersion démographique en présence de Jean-Marie Le Pen
09:11 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Ne pas céder à Erdogan !
Communiqué de la Dissidence Française
En ouvrant les frontières turques au passage de milliers d’immigrés clandestins qui souhaitent se rendre en Europe, le président turc Recep Tayyip Erdogan a franchi une nouvelle étape dans l’inadmissible chantage à l’invasion migratoire qu’il exerce contre les pays européens depuis plusieurs mois.
Par son invraisemblable laxisme migratoire et ses atermoiements diplomatiques avec la Turquie d’Erdogan, à qui elle a volontairement délégué la gestion des flux migratoires en provenance du Proche et du Moyen-Orient, l’Union Européenne s’est elle-même exposée aux pressions et aux menaces du régime turc. Face à cette diplomatie agressive, l’Union Européenne fait une nouvelle fois la démonstration de son incapacité à peser sur la scène internationale et à protéger les intérêts de ses états membres. L’OTAN – dont est membre la Turquie – apparaît plus divisé que jamais, et le gouvernement Macron se montre incapable d’assumer une position de fermeté face au régime turc.
Seule et en première ligne face à cette nouvelle vague de migration sauvage, la Grèce continue d’empêcher le franchissement de ses frontières et se refuse à tolérer l’immigration illégale.
La Dissidence Française appelle à la solidarité avec le peuple grec dans cette nouvelle crise diplomatique et migratoire, et rappelle que seule une politique de fermeté en matière d’immigration, et de souveraineté en matière diplomatique, pourra permettre à la France de sortir de l’étau dans lequel les élites mondialistes l’ont enfermé.
Pour la France et les Français d’abord !
09:09 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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lundi, 02 mars 2020
Conférence de Gabrielle Cluzel à Bruxelles le 25 mars
22:25 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Sortie prochaine aux éditions FIDES de la version espagnole du livre de Georges Feltin-Tracol, "Pour une troisième voie solidariste", publié par Synthèse nationale
Bravo aux éditions espagnoles FIDES qui vont sortir très bientôt "Por una tercera via solidarista", la version ibérique du livre paru en 2018 de Georges Feltin-Tracol.
Pour en savoir plus cliquez ici
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21:42 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Quand se lèvent les peuples européens.
Il serait bien illusoire de voir dans le "message de solidarité" adressé ce lundi par Emmanuel Macron à la Grèce et à la Bulgarie confrontées à l'arrivée massive de migrants propulsés vers l'Europe par la volonté du sultan Erdogan, autre chose que la réaffirmation de la politique de partage du fardeau menée conjointement par Berlin et Paris depuis des années, politique qui consiste, on le sait, à organiser la répartition des arrivants à l'intérieur des nations de l'Union. Loin de se situer dans une perspective de résistance à la déferlante, et de fermeté à l'égard de la Turquie, ce message sera évidemment considéré par les intéressés comme constitutif d'un nouvel appel d'air. Les frontières de l'Europe passent par la Grèce, la Bulgarie, l'Espagne ou l'Italie... Les droits d'asile comme les prestations sociales sont en France où en Allemagne.
15:13 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Sortie cette semaine du n°53 (printemps 2020) de la revue Synthèse nationale
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La République du chefaillon Macron
Le billet de Patrick Parment
La dépose d’une motion de censure par l’opposition en réaction à l’application de l’article 49-3 de la Constitution par Edouard Philippe « m’en fait bouger une, sans toucher l’autre », comme disait l’autre idiot inutile de Chirac. La République en marche étant majoritaire à l’Assemblée nationale, le gouvernement ne court donc aucun risque.
Mais le problème n’est pas là.
Il réside sur la totale opacité d’un texte qui, en l’état actuel, dessert les intérêts des travailleurs. Car, ce système de retraite par point est incapable de nous dire sur quelle base il est calculé. Il risque fort de varier en fonction de la conjoncture économique, exactement ce que les syndicats, mais pas que, veulent justement éviter. Avec cette réforme, Macon s’inscrit un peu plus dans la vision libérale de l’économie où le peuple ne figure que comme variable d’ajustement. Et le plus navrant dans cette affaire est que le gouvernement navigue à vue.
L’autre aspect des choses, c’est tout de même la fantastique opposition d’une majorité du peuple à cette réforme, que ce soit les Gilets jaunes, les syndicats ou les partis politiques d’opposition. C’est tout de même la majorité de pays qui est arcbouté contre cette réforme. Mais Macon s’en fout, la Constitution lui donne raison. Heureusement, ce qui est fait par cette république bananière, peut être défait par la même, voire une autre. Comme le disait le regretté Jean Baudrillard, « nous ne cherchons pas un destin, nous cherchons une histoire ».
Paris vaut bien une messe
Les mâles que nous sommes encore, assistons, non sans consternation, à cette féminisation qui jaillit de tous les côtés et qui a amené Benjamin Griveaux à s’en remettre aux joies de l’onanisme.
A Paris, tout d’abord, où ce sont trois femmes qui font la course en tête si l’on en croit les sondages, l’homme ayant été émasculé d’entrée de jeu. En fait, c’est l’absence probante de candidat mâle qui a créé la femme. – Mais Cédric Villani ? C’est qui celui-là ? – Adam et Eve en somme où au final Adam se fait baiser ! Classique. Trois femmes – Anne Hildago, Agnès Buzyn et Rachida Dati, trois tempéraments opposés qui ne se crêpent même pas le chignon. Et une équation originale : un, la maire de Paris dont les Parisiens, semble-t-il, ne veulent plus ; deux, Agnès Buzyn, parachutée en catastrophe après l’éjaculation précoce de Griveaux ; trois, une vraie teigneuse, une battante qui illustre à elle seule une assimilation heureuse, Rachida Dati. Devinez qui va gagner ?
Rachida ? Un bon choix dans la mesure où elle est nettement plus à droite que ce lourdingue chiraquisé Christian Jacob. Qu’elle n’a aucun compte à rendre à la chiraquie en général et qu’elle serait plutôt la version travaux pratiques d’un Sarko qui s’est cantonné dans l’effet d’annonces. En fait, Rachida ne s’embarrasse pas d’idéologie, elle n’est pas de gauche, point barre ! Et ses origines la mettent à l’abri de toute concession à l’égard de l’immigration. On peut lui faire confiance pour nettoyer Paris. Elle n’a pas d’état d’âme. Enfin, Paris, elle connaît quand bien même est-elle le maire d’un arrondissement bourgeois. Au final, vous voyez quelqu’un d’autre parmi toute cette bande de baltringues et leurs programmes à la mords-moi-le-nœud ? De toute manière, les Parisiens, ou plutôt ce qu’il en reste si l’on exclut les bobos, se foutent des programmes. Ils veulent une belle image.
12:38 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Bonjour les Amis...
09:14 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Coronavirus : l'Etat roi est nu.
02:28 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Les Coronaviroses... ou quand la médecine sert d’alibi à l’économie politique
Bernard Plouvier
En l’année 1968 (celle de tous les périls pour l’Occident !), une équipe des USA isole une nouvelle classe de virus lors d’une épidémie de diarrhée murine (souris) et porcine. Les recherches sont lentes, car a priori ce virus « exotique » (semblant alors n’exercer de ravages que sur le bétail chinois... tant pis pour Mao !) semble bien bénin pour l’espèce humaine.
On apprend petit-à-petit qu’il s’agit d’un gros virus à ARN (l’Acide Ribonucléique), avec une enveloppe lipidique... exactement comme pour les paramyxovirus, réputés responsables de banales laryngites chez l’homme - parfois très sévères chez le nouveau-né et le nourrisson. Mais c’est aussi le groupe du virus respiratoire syncytial (VRS pour les initiés), l’agent des bronchiolites et des broncho-pneumonies sévères du petit enfant, dont les premiers cas furent diagnostiqués dans les années 1950 et qui devint, dans les années 1970-80, la terreur des services de réanimation infantile.
Toutefois les coronavirus n’inquiètent pas trop : ils sont censés donner des syndromes d’allure grippale, un peu particuliers par la fréquence des gastroentérites et des laryngites ou des laryngo-trachéites : le sujet contaminé tousse 3 à 4 semaines, mais s’en sort sans trop de problèmes sauf cas de surinfection bactérienne trop tard diagnostiquée et traitée.
Bref, une ambiance de grippe avec de loin en loin une insuffisance respiratoire suraiguë, souvent mortelle quoi qu’on fasse : la classique pneumopathie interstitielle, reconnaissable au simple cliché de thorax (et bien mieux grâce au scanner), l’effroi du médecin pneumologue, car il sait qu’il va refiler le malade au réanimateur (donc parfois à lui-même, avec la casquette « de garde »)... et que l’issue sera généralement fatale, pour l’excellente raison que cette complication témoigne d’un effondrement des défenses immunitaires – par défaut constitutionnel ou de façon acquise, par un cancer, un traitement immunodépresseur, une insuffisance rénale, etc. On parle de « grippe maligne » ; famille & médecins en sortent meurtris.
02:25 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Après Arcelor Mittal, Arjowiggins, Michelin à la Roche-sur-Yon, Ibiden, Bosch à Rodez, Ford à Blanquefort, c’est maintenant Renault à nouveau la victime de la concurrence mondiale. A qui le tour demain ?
Pieter Kerstens
Lors de l’adoption du traité de Maastricht, en vigueur depuis le 1er novembre 1993, tous les responsables politiques de gauche et de droite nous avaient clairement affirmé que cette Europe « sociale » serait la garante d’un nouveau développement économique et facteur de richesses nouvelles, permettant « plus de bonheur » à chacun.
On peut en conclure que ce n’était que de la poudre aux yeux, répandue par les lobbies de la gauche caviar et de la droite cosmopolite, destinée à mettre en place le Nouvel Ordre mondial.
Les nationalistes se sont toujours opposés aux docteurs honoris causa du mondialisme qui dévaste tous les secteurs économiques européens, pour le seul bénéfice des pays sous-développés qui nous submergent de leurs productions à prix bradés et de qualité médiocre.
Que reste-il de notre industrie textile, de celle de la chaussure, des chantiers navals, de la sidérurgie, de la télévision, de l’activité minière ou encore de notre agriculture ?
Selon une comparaison internationale (publiée par Eurostat en avril 2018) le coût horaire de la main d’œuvre est de 62 € en Suisse, de 50 € en Norvège, de 43 € au Danemark, de 36 € en France, de 35 € en Allemagne, mais de 22 € en Espagne, de 14 € au Portugal, de 10 € en Pologne et seulement de 7 € en Roumanie.
Déjà en 2005, le sénateur démocrate des Etats-Unis Byron Dorgan déclarait :
« Les travailleurs américains perdent leur boulot qui va en Chine. Car là-bas, on peut payer les gens 0,30 dollar de l’heure (environ 90 € par mois) et les faire travailler 7 jours sur 7 ! »
Quinze ans plus tard, après des millions d’emplois supprimés aux USA et des dizaines de millions de chômeurs en Europe, les choses ont évoluées dans l’Empire du Milieu : les salaires mensuels moyens sont de 143 $ dans la province du Guangxi, de 166 $ dans celle d’Anhui, mais de 317 $ à Shenzhen et de 350 $ à Shanghai. Le Japon et la Corée du Sud qui faisaient fabriquer certains produits en Chine, ont trouvé maintenant moins cher ailleurs.
Les Fils du Ciel eux-mêmes, dirigeants de conglomérats chinois, ont aussi installé des usines complètes sous des latitudes où les salaires sont encore moins élevés que chez eux, comme en Tunisie et au Maroc (310 $ et 240 $ mensuels) mais surtout en Ethiopie où l’ouvrier gagne 55 $ par mois, au Cambodge 100$, au Bengladesh 115 $, au Viêt-Nam 175 $ (1er exportateur mondial de chaussures), ou au Laos 180 $ mensuels.
Quelques rares figures politiques européennes ont, depuis 25 ans, tiré la sonnette d’alarme, face aux « délocalisations sauvages » permettant aux actionnaires et aux intermédiaires d’augmenter rapidement leurs revenus, sans se soucier des effets dévastateurs aux niveaux social, économique et financier.
La clique des libéraux-socialauds-écolos-humanistes a montré son incompétence et son incurie pour relever le défi de la guerre économique déclarée par les pays asiatiques depuis des décennies.
Alain Peyrefitte avait écrit un livre prémonitoire à cette époque : « Quand la Chine s’éveillera, le monde tremblera ». Nous y assistons déjà depuis plusieurs années et nous constatons que les gourous du Nouvel Ordre Mondial, les laquais du mondialisme et les banksters de Wall Street ne proposent aucun remède aux naufrages industriels dans nos contrées, responsables de déficits publics exorbitants. Bien au contraire, ils se sont faits les complices de l’invasion étrangère dans tous les domaines :
Culture, textiles, sidérurgie, automobiles, drogues, contrefaçons multiples, denrées alimentaires, électronique grand public et immigration de peuplement.
C’est totalement grotesque et suicidaire !
En juin 2022, nos concitoyens pourront à nouveau exprimer leur suffrage pour désigner ceux qui dirigeront les affaires de notre pays. Devra-t-on alors s’attendre à de nouvelles surprises ?
02:20 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Sortie début avril de "Réflexions pour un nouveau corporatisme" aux éditions Synthèse nationale
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dimanche, 01 mars 2020
Coronavirus : simple correction boursière ou de nouveau 1929 ?
Marc Rousset
La vitesse de la dégringolade du CAC 40 et de Wall Street n’a été aussi rapide que pendant de graves crises. La baisse de 12-13 % des actions européennes en cinq jours et de plus de 10 % à Wall Street en quatre jours du S&P 500 se rapproche des records historiques.
L’OMS a décrété le niveau de menace maximum. De nouveaux pays-sources apparaissent un peu partout dans le monde. Le ministre Véran recommande d’éviter désormais la poignée de main ; les rassemblements, en France, de plus de 5.000 personnes sont désormais interdits. Cette pandémie présente un effet de levier extrêmement élevé entre le nombre faible de morts, le nombre des personnes infectées et les conséquences économiques.
Le coronavirus pourrait être l’étincelle, le cygne noir de la prochaine crise économique. C’est moins la gravité sanitaire de l’épidémie qui inquiète que ses conséquences pour l’économie. La « high-tech » et le secteur de l’automobile sont déréglés ; les compagnies aériennes et le tourisme s’effondrent ; l’agriculture française perd des débouchés et le textile est mal parti pour les collections automne-hiver. La Chine reprend plus lentement que prévu : l’activité manufacturière s’est écroulée en Chine, en février, avec un indice catastrophique des directeurs d’achats (PMI) de 35,7. La majorité des entreprises occidentales constatent que certains marchés, en Asie, se ferment et qu’ils sont aussi dépendants de leurs fournisseurs.
Tout comme après la faillite de Lehman Brothers et la crise des subprimes, plus personne ne fait confiance à personne, avec le cas de force majeure ; le système économique mondial se nécrose. La crise de 2008 était financière avec un effet sur l’économie réelle. Cette fois-ci, c’est l’inverse ! Il y a crise de l’offre des entreprises, des approvisionnements, de la demande des consommateurs avec des conséquences pour les banques, les Bourses et les marchés financiers.
Le VIX, l’indice de la volatilité et de la peur, est passé, à Wall Street, de 15 à 40, soit les niveaux de 2011 avec la crise de dette de la zone euro, mais il est encore loin, à ce jour, malgré la panique, du sommet de 80 atteint pour la crise de 2008. Quant à la courbe d’inversion des taux, annonciatrice de récession, attachons nos ceintures : le taux à dix ans sur la dette américaine, suite à l’achat en catastrophe d’obligations, a atteint, vendredi, son plus bas historique, à 1,1143 %, et le taux à 30 ans est tombé à 1,6366 % !
Oxford Economics affirme qu’une pandémie mondiale conduirait les États-Unis et l’Europe à la récession. Et l’Europe ne dispose plus des armes monétaires des banques centrales, les ayant déjà presque toutes utilisées pour maintenir une croissance molle. Jerome Powell, président de la Fed, pratique le « lip service » à la Trump ! L’abaissement de 0,25 % de la fourchette de taux 1,50-1,75 % par la Fed, en mars, et de 0,10 %, en juillet, des taux déjà négatifs de la BCE, ce serait, en fait, pour l’économie, encore moins qu’un cachet d’aspirine afin de soigner le coronavirus, le patient étant déjà décédé dans le cas de la BCE. Et à quoi servirait une politique de création de liquidités monétaires dans un pays où les habitants seraient cloîtrés chez eux, avec des rues vides et des magasins fermés, comme à Wuhan, depuis plus d’un mois, et où les usines seraient à l’arrêt ?
Le risque mortel, c’est la récession qui se transformerait rapidement en dépression, avec de nouveaux cygnes noirs comme l’Italie, avec sa dette publique, ses banques en faillite et sa croissance proche de zéro, touchée au cœur en Lombardie et Vénétie (31 % du PIB italien)… ou comme la France de Macron avec sa dette publique, son déficit public et ses dépenses publiques incontrôlées. Moody’s vient d’abaisser la note de la France de Aa2 positive à stable.
Le seul point positif de cette crise, c’est de voir l’Europe commencer à réaliser sa dépendance stratégique vis-à-vis de la Chine (par exemple, 80 % des principes actifs pour nos médicaments).
Les deux semaines à venir vont être cruciales : ce sera soit une simple correction technique, dans l’attente de la crise véritable, fin 2020 ou en 2021, au plus tard, suite à l’hyper-endettement mondial, soit le krach et le grand plongeon qui continuera par glissades successives, comme en 1929. Warren Buffet « [n’exclut] pas une chute des marchés de 50 %, voire plus » tout en restant optimiste pour le long terme. Nous ne partageons pas son optimisme, mais le premier facteur causal fondamental, dans l’immédiat, sera l’évolution sanitaire, impossible à prévoir, dans un sens ou dans un autre, de l’intensité et de l’expansion pandémique du coronavirus.
10:34 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Selon que vous soyez gaulois ou non…
La chronique de Philippe Randa
Rachida Dati ne mâche pas ses mots. Et quels mots ! Que ce soit à l’encontre d’Angela Merkel qui « paie aujourd’hui au prix fort cette ouverture massive des frontières, (dont elle) « n’a pas mesuré les conséquences » (et qu’elle a décidé) « sans anticipation » (déclarations à FranceInfo) ou d’Anne Hidalgo dont elle rappelle les propres déclarations (« Je m’inspire de Mme Merkel en disant moi aussi je veux accueillir massivement, bienvenue aux migrants et aux réfugiés à Paris »), elle en conclue, lapidaire :« Ça a abouti à quoi ? À la dépossession de l’espace public et privé des Parisiens du nord et de l’est de Paris (et à) une explosion de la délinquance… »
Sont-ce des propos électoraux, simplement destinés à ratisser large l’électorat populiste comme tout bon candidat ex-UMP – désormais réduite à sa portion congrue sous le nom de Républicains – en a tant eu la détestable habitude ?
Quel ténor de cette mouvance n’a pas tenu d’hypocrites discours sitôt passés par « pertes et perfidies » dès l’arrivée de son parti aux Affaires ? On peut donc se méfier, tout en laissant néanmoins « sa chance au produit » car il faut reconnaître que l’ex-Garde des Sceaux s’est toujours gardé d’insulter ceux qui dénoncent depuis cinquante ans les méfaits de l’immigration.
Toutefois, remarquons que ses condamnations de « l’accueil-appel d’air aux migrants » de Merkel et d’Hidalgo, si elles ont été répercutés dans les médias, n’ont aucunement soulevé les tollés habituels d’indignation sur un quelconque racisme supposé : serait-ce à cause de ses origines marocaines qui la protégerait de facto de cette infamante accusation ?
En aurait-il été de même si ses propos avaient été tenus par une femme ou un homme de souche européenne ? On peut en douter…
La liberté d’expression, à l’évidence, n’est pas la même pour tous les Français… et, de nos jours, « selon que vous serez gaulois ou non/Les jugements de la Bien-pensance vous rendront raciste ou pas… »
02:15 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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SAMEDI 14 MARS, CONFÉRENCE DE MARION SIGAUT EN SAVOIE :
00:05 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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samedi, 29 février 2020
Syrie : une opportunité que l'Europe ne saisira hélas pas.
10:51 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Jounal du chaos
Pour télécharger, cliquez ICI
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Quand Libération s'inquiète de la présence de nombreux candidats nationalistes aux élections municipales, ça donne :
Le « plan » de l’extrême droite radicale pour conquérir des communes
Divers groupuscules néofascistes tentent de se coordonner pour les municipales, fondant leurs espoirs sur les petites communes où aucun candidat ne se présenterait. Derrière les discours conquérants, reste la difficulté à monter des listes.
La Dissidence française, Civitas et la Ligue du Midi sont des formations aussi confidentielles que radicales –ouvertement fascisantes même – mais qui participent pourtant bien au jeu démocratique, présentent régulièrement des candidats et comptent même déjà une poignée d’élus, régionaux ou municipaux. Et leurs ambitions ne s’arrêtent pas là : elles entendent désormais conquérir des municipalités. Ces ultras ont scellé une alliance pour le scrutin de mars prochain. Sont-ils réellement en mesure de remporter des mairies ? Oui, à les en croire. Car ils ont un plan.
Alain Esacada, président du groupuscule intégriste (tendance national-catholique) Civitas, devenu récemment un parti, estime ainsi qu’il y aurait quelque « 2 000 à 5 000 communes où il n’y aura pas de candidats aux élections municipales ». Un chiffre qui s’avère être une extrapolation toute personnelle des déclarations de l’Association des maires de France (AMF), fin 2018, qui pointait ce risque mais sans donner d’estimation précise. Qu’importe pour Esacada, qui serine son chiffre à longueur d’intervention pour mieux souligner un risque pour ces communes : faute de candidat au scrutin des 15 et 22 mars prochain, elles pourraient être administrées par délégation préfectorale ou fusionnées.
Une manière de tenter de mobiliser en jouant sur la peur que peuvent ressentir des électeurs ruraux de voir leur village disparaître dans une entité plus large. Ce pourrait être le jackpot pour le trio car, en vertu du code électoral, si ses candidats sont les seuls à se présenter, ils seraient automatiquement élus. Ce serait pour eux l’occasion de mettre la main sur la gestion « des polices municipales, du contenu des bibliothèques municipales, des budgets culturels… », souligne le dirigeant belge de Civitas. « Allons-nous offrir des subventions aux rappeurs et aux tagueurs ou alors servir le bien, le beau, nos traditions, nos coutumes ? », s’est-il époumoné à la tribune de Synthèse nationale, le grand raout de l’extrême droite radicale, en octobre dernier à Rungis. C’est dans cet entre-soi nationaliste qu’a été officialisée leur « grande alliance ».
Sécurité et refus des réfugiés
Du côté de la Dissidence française (des ultranationalistes racistes), la charte en six points développée pour le scrutin met l’accent sur l’aspect sécuritaire et sur l’opposition à l’installation de centres d’accueil de migrants ou de réfugiés sur le territoire de la commune. Un point que reprend régulièrement à son compte Alain Escada (Civitas).
Ce n’est pas la première fois que des listes néofascistes concourent aux élections municipales. En 1971, Ordre nouveau (qui participa l’année suivante à la création du Front national) s’était déjà présenté devant les électeurs. Dans un contexte différent puisque Jean-Marie Le Pen et François Duprat n’avaient pas encore lancé leur parti. Les résultats avaient été particulièrement mauvais, après une campagne marquée par les menaces et les affrontements avec l’extrême gauche. Plus récemment, en 2014, quelques listes ont été montées (comme celle d’Yvan Benedetti et d’Alexandre Gabriac à Vénissieux) mais sans entente ni stratégie à l’échelle nationale.
Pour autant, faut-il craindre une déferlante de maires néofascistes dans les petites communes de France en mars prochain ? Rien n’est moins sûr. Même le Rassemblement national, pourtant « premier parti de France » aux dernières élections européennes, peine à constituer des listes. Quelle est donc la capacité des trois partis radicaux à présenter des candidats, comme ils l’affirment, dans ces « milliers de communes sans candidats » ?
« Inquisition médiatique et politiquement correct »
Si, à l’annonce de cette stratégie nationale, Alain Escada espérait créer un « large maillage territorial », le leader de la Dissidence française Vincent Vauclin, contacté par Libé, s’avère être plus prudent à quelques jours de la clôture du dépôt des listes. « L’objectif est de faire élire au moins une vingtaine de conseillers municipaux », explique-t-il (contre deux actuellement, au Havre), reconnaissant qu’il leur sera difficile de composer leurs listes. Vauclin affirme ainsi que des «négociations locales» sont engagées avec des listes divers droite. Questionné sur les candidats et les communes concernés, il refuse toutefois de répondre, ne souhaitant pas « exposer ses listes d’intérêt communal aux foudres de l’inquisition médiatique et du politiquement correct ».
Pour Jean-Yves Camus, spécialiste de l’extrême droite radicale, l’objectif d’une vingtaine de conseillers municipaux paraît déjà «très audacieux». « Il n’y a aucun espace électoral pour ce niveau de radicalité politique. Les candidatures de ce type de parti perdurent depuis des années mais à l’exception de quelques élus ou de transfuges du RN, cela ne prend pas», analyse le politologue, évoquant des «candidatures de témoignages ».
Au sein de cette alliance des crânes rasés et du goupillon (intégriste), la Dissidence française de Vincent Vauclin est la figure de proue. A ses débuts en 2011, le mouvement comptait prendre le pouvoir à la faveur d’un « coup d’Etat militaire » qu’il appelait de ses vœux. Mais il a depuis réussi sa mutation en parti politique et a même mené une liste aux dernières européennes. Et si cette «liste de la Reconquête» a récolté seulement 3 500 voix au niveau national, elle a néanmoins réussi son pari en allant au bout. Ce qui n’a pas été le cas de la liste identitaire «la Ligne claire» portée par le chantre du grand remplacement Renaud Camus (qui s’est retiré après la publication d’une photo de sa colistière Fiorina Lignier priant devant une croix gammée…) tandis que Civitas n’a même pas pu se présenter, faute de moyens financiers.
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Jean-Marie Bigard invité au Bistro Libertés de TV Libertés
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vendredi, 28 février 2020
Vénération des reliques de la Passion à Saint-Germain-l’Auxerrois
Près d’un an après l’incendie de la cathédrale Notre-Dame de Paris, la relique sauvée grâce au courage des pompiers sera exposée à l’église Saint Germain l’Auxerrois chaque vendredi de Carême.
La Couronne d’épines, l’une des plus précieuses reliques de la chrétienté, sera exposée à la vénération des fidèles à sept reprises pendant le Carême. C’est ce qu’a indiqué le 24 février Mgr Patrick Chauvet, recteur de la cathédrale Notre-Dame, sur les ondes de Radio Notre-Dame. Sauvée grâce au courage des pompiers lors de l’incendie de Notre-Dame le 15 avril 2019, la relique est depuis conservée au Louvre. « On l’avait ressortie une fois mais c’était très compliqué, a expliqué Mgr Chauvet, car elle est désormais conservée au Louvre et il faut la protéger, ce qui suppose beaucoup de gendarmes placés tout autour. C’était donc préférable de ne la sortir que pour le temps du Carême.
Concrètement la vénération aura lieu tous les vendredis de Carême (28 février, 6 mars, 13 mars, 20 mars, 27 mars, 3 avril et 10 avril), de 15 heures à 17 heures à l’église Saint Germain l’Auxerrois, dans le 1er arrondissement, près du Louvre.
Le Vendredi Saint, 10 avril, le temps de la vénération sera étendu à toute la journée, de 10 heures à 17 heures.
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Coronavirus : fermer une frontière ne la rend pas étanche
Entretien avec Alain de Benoist
Breizh-info.com : De prime abord, que vous inspire ce coronavirus qui a touché la Chine d’abord, avant d’être détecté dans d’autres pays, et notamment en Europe ?
Alain de Benoist : D’abord, un sentiment de déjà-vu. Des villes entièrement désertées, des avenues où ne circule plus aucune voiture, des populations confinées dans leurs logements, des régions entières mises en quarantaine, on a tous déjà vu ça. Mais c’était dans des films-catastrophes ou des films de science-fiction. Là, ce n’est pas du cinéma. On pouvait se faire une réflexion du même ordre en voyant s’écrouler les tours du World Trade Center. Cette fois, on est dans le réel. Le réel a rattrapé la fiction. Curieux sentiment.
Ce qui frappe aussi, c’est la façon dont ressurgit immédiatement la logique du bouc émissaire. Au Moyen Age, quand il y avait une épidémie, on accusait les Juifs d’avoir empoisonné les puits. Aujourd’hui, des crétins s’en prennent aux restaurants japonais ou aux cars de touristes chinois. Permanence de l’irrationalité des foules.
Breizh-info.com : Les pouvoirs publics refusent pour le moment toute fermeture des frontières. Est-ce tenable ? N’est-ce pas finalement une logique jusqu’au boutiste, pour ne pas donner raison aux défenseurs de la frontière sur d’autres thématiques comme celles de l’immigration (en gros, est-ce que cela ne démontrerait pas que fermer ses frontières, c’est possible…) ?
Alain de Benoist : Je suis un peu sceptique sur cette notion de « fermeture des frontières », que beaucoup emploient comme une sorte de formule magique. Les frontières n’ont pas arrêté de nuage de Tchernobyl, je doute qu’elles puissent arrêter le coronavirus. On n’arrête pas la propagation d’un virus comme on contrôle la circulation des personnes. D’ailleurs, que veut-on dire exactement quand on propose de fermer les frontières ? Que plus personne ne va plus pouvoir entrer ou sortir d’un pays ? Mais est-ce tenable ? Pendant combien de temps ? Avec quelles conséquences ? Qu’on va renforcer les contrôles et mettre en quarantaine tous les voyageurs « à risques » ? Mais si l’épidémie se développe, il n’y aura plus que des voyageurs de ce genre. Si un foyer infectieux se déclare demain à Paris, que fait-on ? Fermer une frontière ne la rend pas étanche.
Le problème est qu’à l’heure actuelle, nous ignorons complètement où l’on en est de la propagation de l’épidémie. Au début ou à la fin ? A-t-on tendance à la surestimer ou, au contraire, à la sous-estimer ? Tout ce que l’on sait, c’est que le covid-19 se propage très rapidement, mais qu’il tue relativement peu : entre 3 et 5 % des personnes infectées (plus chez les personnes âgées ou déjà affaiblies par d’autres maladies). En d’autres termes, on manque de recul pour porter un jugement définitif.
Breizh-info.com : La métropolisation de nos sociétés modernes, et notamment de la France, n’est-elle pas propice à un développement beaucoup plus massif de ce type de virus, et à sa propagation plus rapide ? Finalement, le coronavirus n’est-il pas, dans ses conséquences, révélateur de la faillite du mondialisme, comme l’expliquait récemment Lionel Rondouin ?
Alain de Benoist : C’est l’évidence même, mais il ne faut pas abuser de cet argument. La peste noire qui a dévasté l’Europe médiévale au XIVe siècle, entraînant la mort de 30 à 50 % des Européens en l’espace de cinq ans, ne s’est pas propagée dans un contexte de mondialisation comparable à ce que nous connaissons aujourd’hui. Plus près de nous, je ne crois pas non plus que la fermeture des frontières aurait empêché la propagation de l’épidémie de grippe espagnole de 1918, qui a fait entre 50 et 100 millions de morts, soit beaucoup plus que la Première Guerre mondiale (ce que tout le monde semble avoir oublié).
Là où, en revanche, la mondialisation aggrave les choses, c’est sur le plan économique. La mise à l’arrêt de la plus grande partie de l’économie chinoise va avoir, surtout si elle se prolonge, des effets dévastateurs sur l’économie mondiale, voire sur le système financier, dont il est encore impossible de mesurer l’ampleur, mais dont on sait bien qu’ils iront bien au-delà du secteur du tourisme ! La Chine représente à elle seule 20 % du PIB mondial, et toute une série de secteurs de production en dépendent pour fonctionner normalement. C’est ce que Lionel Rondouin a parfaitement expliqué dans l’entretien auquel vous faites allusion. Le seul avantage, si l’on peut dire, c’est que toute cette affaire aura mis au grand jour les risques de la dépendance. Si cela pouvait pousser certains industriels à en revenir vers plus d’autosuffisance et plus de relocalisations, ce serait déjà une bonne chose.
Breizh-info.com : On lit énormément de « fake news sur le web, ou de rumeurs, évoquant des projets machiavéliques pour empoisonner la population, des tests effectués par certaines puissances pour voir la réaction d’autres nations sur une épidémie à grande échelle. Que faut-il croire et ne pas croire ? Y a-t-il des raisons de s’interroger ?
Alain de Benoist : Un virus est un danger invisible, et de tous les dangers, ce sont ceux que l’on ne voit pas qui font le plus peur. Ce sont aussi ceux qui mobilisent le plus les fantasmes qui alimentent les paniques et constituent un terrain rêvé pour les complotistes de tous genres. Le Web regorge déjà de délires de tous genres et les réseaux sociaux font caisse de résonance. Malheureusement, les mêmes qui dénoncent à grand bruit les « bobards » de la grande presse sont souvent prêts à ingurgiter d’autres « bobards » dès lors qu’ils sont mis en ligne sur des médias « non officiels ».
Il est normal de s’interroger, mais en gardant un minimum de sens critique. Plutôt que de répéter des assertions invérifiables, mieux vaut s’en tenir aux faits établis. Prenons un exemple. Il est incontestable qu’il n’existe en Chine qu’un seul laboratoire de haute sécurité du type P4, spécialisé dans la recherche sur les souches virales et sur d’éventuelles armes bactériologiques, et qui abrite donc des germes extrêmement pathogènes. Il se trouve que ce laboratoire, créé avec l’aide de la France (d’où la présence de Bernard Cazeneuve à son inauguration, le 23 février 2017), dirigé par le professeur Shi Zhengli, se trouve à Wuhan, soit à l’endroit exact où a éclaté l’épidémie de Covid-19. Si c’est une coïncidence, disons qu’elle est malheureuse.
Source : breizh-info
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Samedi 4 avril à Paris : 4e banquet des amis de Synthèse nationale avec une intervention de Jean-Gilles Malliarakis sur le corporatisme
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- Samedi 4 avril sera une journée bien remplie pour les Amis de Synthèse nationale. L’après-midi, une réunion interne est organisée à Paris afin de préparer le 14e rendez-vous Bleu Blanc Rouge qui aura lieu les 10 et 11 octobre prochain à Rungis. Vu l’ampleur que prennent ces journées, nous avons besoin encore plus de l’aide de nos amis. Les volontaires sont les bienvenus. Si tel est votre cas, vous pouvez vous inscrire pour participer à la réunion du samedi 4 avril : synthesenationale@club-internet.fr
- Le soir du samedi 4 avril se déroulera le 4e banquet annuel des Amis franciliens de Synthèse nationale dans un sympathique restaurant parisien. Le thème de ce dîner sera « solutions corporatistes ? » avec comme invité Jean-Gilles Malliarakis, éditeur et militant historique du combat nationaliste et directeur du site l'Insolent. Un bon moment en perspective.
10:51 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Mardi 17 mars, la librairie "Notre Dame de France" fête la Saint Patrick
10:50 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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jeudi, 27 février 2020
L'émission "Synthèse" sur Radio Libertés avec Vincent Vauclin, président de la Dissidence française
19:18 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Gabrielle Cluzel : La fabrique des porcs, c'est par ici !
Désertification des centres-villes, disparition des classes moyennes, haine du petit bourgeois... comment en est-on arrivé là ? Dans son nouvel essai "Enracinés - Nous sommes tous des héritiers", Gabrielle Cluzel, rédactrice en chef du site d'information "Boulevard Voltaire", décrit la destruction du mode de vie à la française par les Hanouna et Ruquier, remplacé par ce qu'elle appelle "la fabrique des porcs". Au-delà du cri de détresse, l'auteur lance un appel d'espoir à cette France encore bien vivante, cette France profonde et bien élevée qui aime le Ciel et la Terre, qui n'hésite pas à battre le pavé pour défendre son modeste pré carré.
18:59 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Charlotte d'Ornellas : Asia Bibi demande aujourd'hui l'asile politique en France
Asia Bibi est une chrétienne pakistanaise menacée de mort dans son pays pour blasphème à l'encontre de l'Islam. Elle demande aujourd'hui l'asile politique en France.
13:21 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Grand témoin - Blanche Streb | université de la vie 2020
Blanche Streb est directrice de la formation et de la recherche d’Alliance Vita. Elle témoigne dans cette interview autour de son livre « Eclats de vie » paru en octobre 2019 aux Editions Emmanuel. «L’épreuve révèle aussi nos forces de vie ». « Nous sommes les uns pour les autres des relais d’espérance ».
12:45 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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