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mercredi, 22 mai 2019

Charlotte d'Ornellas démolit Nick Conrad ! Racisme anti-blancs et anti-France

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Ingérence américaine : il faut annuler l’élection présidentielle de 2017

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Bilal Hassani ou les Brigandes, un choix de civilisation

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Thierry Decruzy Polémia cliquez ici

l’Eurovision, se produit dans les salons dorés de la Mairie de Paris pendant que Les Brigandes sont convoquées à l’Assemblée nationale. Manifestement, les élus de la République démentent Serge Gainsbourg qui classait la chanson dans les arts mineurs [1]…

Bilal Hassani, produit marketing

La nouvelle coqueluche poussée par les médias est un(e) chanteur(euse) transgenre qui représente la France à Tel-Aviv pour l’Eurovision. Il est soutenu dans sa prestation par une danseuse “grosse” et une autre “sourde”. Avec l’origine marocaine du chanteur et asiatique d’une danseuse, on sent que le manager a voulu cocher toutes les cases.

C’était pas gagné, Bilal avait soutenu Dieudonné et accusé Israël de crimes contre l’humanité… Inconnu l’année dernière, il est propulsé « icône pour la jeunesse LGBT+ française » par Têtu en décembre 2018. Dès le 6 du même mois il est parmi les candidats à l’Eurovision, le 20 sa chanson, Roi, est mise en ligne, le 12 janvier il est officiellement le candidat de la France et le 14 sa chanson dépasse les 3 millions de vues.

Vieux crocodile des milieux “branchés” parisiens, le journaliste Patrick Eudeline [2] (Best, Rock & Folk) se lâche expliquant que ça « dégouline sur une boucle en do de quatre accords basiques, le BAba de la chanson commerciale. […] Arpèges façon “Le piano pour les Nuls”, batterie compressée, reverb 80 et clichés R’n’B, faux-violons tartinés, portés de voix et vibes 90 sous Autotune, construction maladroite. » Il confirme que la candidature était « jouée d’avance », que la star aux millions de vues sur Youtube, c’est de l’« enfumage ». Son jugement est celui d’un professionnel qui n’a rien renié de sa jeunesse puisque « Lucifer porte un gilet jaune et le monde qu’on veut nous imposer n’est pas “sataniste”, il est vide ».

Le « jeune gay macroniste » n’est qu’un produit marketing destiné à promouvoir dans la jeunesse française le modèle comportemental voulu (imposé?) par le régime, tout comme Conchita Wurst en 2014. Coupés du pays réel, les Macronistes ont déjà sur le dos les Gilets jaunes et un Marocain transgenre ne peut qu’énerver les banlieues. Pas sûr que tout ce barnum médiatique sera suffisant : Madame Monsieur, les compositeurs choisis pour l’insipide chanson de Bilal, sont les loosers de l’Eurovision 2018, arrivés seulement 13e

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Les Brigandes face aux parlementaires

La chanson préoccupe les élus, pendant que certains font le forcing pour l’Eurovision, d’autres convoquent les chanteuses des Brigandes devant la commission d’enquête parlementaire sur les « groupuscules d’extrême droite ». Pas pour la liberté d’expression, on s’en doute : le compte Youtube du groupe a été fermé sans explication le 11 février dernier. Ça n’a pas intéressé les députés. Pourtant, aucune procédure, ni a fortiori de condamnation, ne pèse sur leurs chansons. Avec des titres dépassant le million de vues (pas l’enfumage de Bilal), cette élimination de pacifiques et charmantes chanteuses est significatif de leur audience et de l’importance que leur accordent les censeurs. Par leur convocation, les députés hissent ces artistes dissidentes quasiment au niveau de l’hommage qu’ils avaient rendu à Johnny en décembre 2017. Leurs compositions bénéficient dorénavant de la reconnaissance des élus de la Nation ! Leur censure n’en est que plus injustifiable.

Le contrôle d’internet, « la lutte contre les propos haineux » en novlangue, est devenu un enjeu stratégique pour les “démocrates”. Vendredi 10 mai, Mark Zuckerberg, fondateur de Facebook est venu spécialement à l’Elysée pour rédiger avec Emmanuel Macron le texte de la nouvelle loi qui va « faire de la France le pays qui invente la régulation », en clair pour alourdir la censure. Promouvoir les bonnes, éliminer les mauvaises, la chanson s’impose comme l’outil de conditionnement des foules.

Un nouveau disque de combat

Dans ce contexte hostile que Les Brigandes diffusent leur 8e CD, Contre le temps avec 12 titres et un bonus. Le 8e en moins de cinq ans ! Et par le seul groupe de musiciens professionnels existant dans la dissidence. Cette productivité et l’audience du groupe en font un véritable phénomène musical, expliquant l‘acharnement de la censure à réduire ces jeunes femmes au silence. Télévisions, radios et journaux ont envoyé leurs commissaires-politiques (journalistes en novlangue) dans leur petit village du Languedoc pour tenter de dresser la population et ses élus contre les musiciens. Le père de la député – Muriel Ressiguier (LFI) préside la commission d’enquête parlementaire – a des attaches dans leur village et leur a déjà manifesté son intérêt [3]. Au final, toutes ces campagnes médiatiques d’ampleur nationale n’ont fait qu’augmenter leur visibilité sans affecter leur créativité.

Dans leur dernier CD, comme pour les précédents, les thématiques se répartissent entre l’actualité et l’enracinement. Car les Brigandes ne vivent pas recluses dans leur village, elles sont au contact de la réalité vécue quotidiennement par les Français des transports en commun et des ronds-points, des impôts, des taxes et des migrants. Leurs dernières chansons puisent donc leur inspiration dans l’actualité la plus brûlante, Quand on voit arriver les migrants. Elles décrivent ce que chacun peut observer et peut aussi chanter avec elles comme dans Tomber plus bas. Très médiatique, notre Président a aussi sa chanson, Ne m’appelez plus président : « J’suis le clown du gouvernement, / Je vaux pas tripette / Comme un haut-parleur / Je suis là pour transmettre… / Les instructions à la lettre / De mes employeurs. » On relève une pointe de provocation dans Ah Ruedi, mets ta kippa dis !

Trois chansons sont empreintes de la nostalgie d’une époque révolue. Elle a quitté le Portugal, pour ces Européens qui venaient chercher du travail en France. On a du mal à croire que Marseille en rêve a pu exister, même si la ville est chantée : « J’entre dans un bistro, ça joue Vincent Scotto ; / Oui, c’est comme Marseille en rêve / La serveuse Fanny vous sert un aïoli, / Que même les morts s’en relèvent / Dans la crèche, un santon a la tête, / Dirait-on, de Francis le Belge / Et l’odeur du pastis repousse le cannabis. » Le coureur cycliste Jacques Anquetil est fêté pour le temps où le dopage n’avait pas envahi la compétition dans La Caravelle.

Les Brigandes chantent leurs rêves avec le serment de Ragnar, « Nous avons frappé avec l’épée / Et moi Ragnar, je le promets / Pour rassembler ma grande armée / Je reviendrai. » Il fait écho à celui du Soldat d’Odin.

Hommage trop rare et donc courageux, elles chantent, Robert Brasillach, le poète assassiné qu’elles ne veulent pas oublier, Dans la prison de Fresnes : « A leurs promesses d’un misérable bonheur, / Sur la voie héroïque, c’est un destin tragique / Pour ceux qui ne suivent que leur cœur. » Bel espoir, les jeunes femmes consacrent un titre pour accueillir la fille de Marianne née le 30 avril, Quand un enfant va venir : « C’est une être qui s’avance, Une âme est venue du Ciel, / Un présent que l’Eternel / Nous confie. »

La culture est un tout, l’esthétique participe du projet culturel des Brigandes. Elles ont donc conçu leur CD avec leurs propres illustrations et si la censure les a empêchées de tourner des vidéos comme elles l’avaient fait pour leurs précédentes compositions, on peut les admirer armées en valkyries. Toutes les titres sont composés par leur (trop?) discret mentor, Joël Labruyère, qui inspire avec brio cette jolie équipe de chanteuses.

Certaines chansons auraient pu totaliser des scores sur Youtube, ce n’est plus possible. Les jaloux, les envieux, les ennemis de la culture populaire ont fait appel à l’implacable censure numérique. La génération « il est interdit d’interdire » ne supporte pas la contradiction.

Mais vous pouvez leur rire au nez en commandant ce CD cliquez là 

(1) Apostrophes, 26/12/1986 cliquez ici

(2) L’Incorrect, « Les travelos c’était mieux avant »  cliquez là

(3) Languedoc infos cliquez là

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09:03 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Vendredi 31 mai : conférence de Philippe Milliau, président de TV Libertés, à Poitiers

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01:44 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 21 mai 2019

Le gouvernement autrichien tombe : machination internationale ?

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Lionel Baland dans Boulevard Voltaire

Le président de la République autrichienne Alexander Van der Bellen s’est prononcé, ce dimanche 19 mai 2019, en faveur d’élections législatives anticipées qui seront organisées en septembre 2019, si possible au début du mois. Il a, auparavant, discuté avec le chancelier social-chrétien Sebastian Kurz (ÖVP) de plusieurs scénarios possibles pour le gouvernement jusqu’à ce scrutin et il rencontrera le président – tout récemment – désigné du FPÖ Norbert Hofer et les dirigeants des partis d’opposition.

Le gouvernement regroupant l’ÖVP et les patriotes du FPÖ est donc tombé, car deux des figures de proue du FPÖ, le président du parti et vice-chancelier Heinz-Christian Strache et le président exécutif du groupe des élus du FPÖ à la Chambre des députés Johann Gudenus, ont été victimes d’une machination réalisée par des professionnels disposant de gros moyens financiers – et ont démissionné de leurs fonctions.

Alors que le gouvernement ÖVP-FPÖ est en place depuis décembre 2017 et est le résultat des élections législatives d’octobre 2017, une vidéo, réalisée le 24 juillet 2017, a été envoyée, quelques jours avant les élections européennes de mai 2019, à des organes de presse allemands, qui l’ont publiée.

Les images montrent les deux cadres du FPÖ discutant avec la soi-disant nièce d’un richissime homme d’affaires russe désirant investir 250 millions d’euros en Autriche et lui proposant de mettre financièrement la main sur le Kronen Zeintung, le quotidien le plus lu du pays, tout en lui expliquant comment contourner les obstacles légaux afin de financer le FPÖ et en proposant d’octroyer à cette dame des avantages en matière d’investissement dans le domaine public lorsque le FPÖ accédera au pouvoir.

Ces images ont été prises sur l’île espagnole d’Ibiza – où Heinz-Christian Strache prend habituellement ses vacances d’été – dans une villa louée et piégée à l’aide de caméras, les véhicules se trouvant devant cette bâtisse étant aussi loués.

Ce traquenard – « coup monté », comme l’écrit Le Monde – réalisé par des professionnels disposant de moyens importants relève de pratiques barbouzardes qui portent atteinte à l’intégrité du système politique autrichien.

Les succès du FPÖ, depuis la prise du contrôle du parti par son aile nationale en 1986, dérange à l’étranger et surtout en Allemagne – autre entité germanophone -, au sein de laquelle le FPÖ constitue un modèle pour certains et une menace pour les partis du système.

Cette formation politique a déjà été victime, dans le passé, de pratiques anormales. Ainsi, lorsque le FPÖ était arrivé au pouvoir en Autriche aux côtés de l’ÖVP, au début de l’année 2000, le gouvernement avait dû subir, avant même d’être entré en fonction, d’énormes pressions internationales et Jörg Haider, qui avait conduit son parti au pouvoir en ayant engrangé, durant quatorze ans, de nombreux succès électoraux, avait dû renoncer au poste de vice-chancelier ou chancelier.

Cette fois, le système politique autrichien est touché par la publication de la vidéo, alors qu’une vague patriotique conduite par le vice-Premier ministre italien léghiste Matteo Salvini déferle, à la veille des élections européennes, sur l’Europe et que la présence au pouvoir, en Autriche et en Italie, de partis politiques patriotiques et favorables au pouvoir en place en Russie dérange.

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17:44 Publié dans En Europe et ailleurs..., Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Conflits #21 vient de paraître, et il y est bien évidemment question d'Europe

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« La victoire d’Emmanuel Macron […] transforme l’image de la France en Europe et sans doute celle de l’Europe dans le monde […]. Elle voit se reconstituer un axe franco-allemand potentiellement plus solide parce que beaucoup plus équilibré. En Allemagne et en Italie [cette victoire voit] les débuts d’une macromania qui ringardise l’extrême droite de l’AfD et fait repousser des ailes au centre gauche de Matteo Renzi. Plus généralement c’est l’Europe entière, à l’exception peut-être de la Hongrie et de la Pologne, provisoirement aux mains des populistes, qui se trouve ragaillardie. » (Dominique Moïsi, Les Échos, 9 mai 2017).

 

Editorial de Pascal Gauchon

Ainsi s’exprimait un commentateur avisé au lendemain de l’élection d’Emmanuel Macron. Ne vous moquez pas ; la plupart des analystes parlaient ainsi, avec un ton moins enflammé il est vrai. Même enthousiasme lors de l’élection de Barack Obama. Le culte de l’homme providentiel fait des ravages à gauche comme à droite d’autant plus qu’après le Brexit et l’élection de Donald Trump, « l’homme providentiel » avait mis un terme à la série de succès des populistes. Tout rentrait dans l’ordre.

Que s’est-il passé ? Emmanuel Macron a prononcé un discours de haut vol à la Sorbonne le 26 septembre 2017, il a appelé à l’intégration européenne et fustigé le nationalisme dont il a fait son meilleur ennemi – il a d’ailleurs récidivé dans sa lettre aux Européens du 5 mars dernier. Pour réussir, il comptait sur ses bonnes relations avec Angela Merkel. Le problème est qu’Angela Merkel est affaiblie et sa coalition bancale. Et Emmanuel Macron aussi depuis la crise des gilets jaunes. Il a dû multiplier les promesses qui pèseront sur le budget de la France. Ah ces Français, ils sont très forts pour parler, mais quand il s’agit d’agir sérieusement il n’y a plus personne ! D’où une perte de confiance en Emmanuel Macron, ou en la France, ou en la capacité d’Emmanuel Macron de la réformer. Berlin ne lui tourne pas le dos mais réduit autant que possible les grands projets qu’il avait esquissés.

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Reportage de la marche blanche à Paris pour Vincent Lambert lundi soir le 20 mai

 

Reportage de l' Agence LDC News 

Vous pouvez également visualiser le long reportage diffusé hier soir en direct par l'équipé de Farida Belghoul en cliquant ICI

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15:20 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

21 mai 2013 : l'acte ultime de Dominique Venner

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Sur la mort de Dominique Venner cliquez ici

L'hommage militant quelques jours après cliquez là

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Sorti en décembre 2014 : cliquez ici

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Jordan Bardella en tête des sondages

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En ce qui concerne la campagne et les propositions de Jordan Bardella, tête de liste du Rassemblement national qui ne manque d'ailleurs pas de talent, nous pensons que les lecteurs de Synthèse nationale ont suffisamment d'informations grâce aux moyens officiels, ce qui n'est pas le cas des autres listes patriotiques. 

Cependant, dans un souci d'équité, nous reprenons ici l'appel lancé sur les réseaux sociaux par Véronique Péan, la dynamique responsable du RN en Touraine :

"Un seul tour le dimanche 26. Proportionnelle intégrale plus nous aurons de voix plus nous aurons de députés. Notre ennemi, c’est l’abstention. Contacter les membres de votre famille, vos amis, vos relations professionnelles… Consacrez les jours qui viennent à convaincre vos proches d’aller voter pour la liste de Jordan Bardella. Un impératif : arriver en tête le dimanche 26 mai. Il faut gagner, pour l'Europe, pour la France !"

Chacun fera donc en son âme et conscience...
 
Site de Jordan Bardella cliquez là
 
L'appel de Jean-Marie Le Pen cliquez ici
 
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Vincent Vauclin : « La préservation de l’identité française n’est pas négociable »

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Source cliquez ici

Doit-on aller vers une politique culturelle Européenne commune ? Quelle doit être l’action de l’UE pour favoriser la création culturelle européenne, sa diffusion, et l’accès à la culture des citoyens européens ?

Les Européens n’ont pas attendu la Commission Européenne pour bâtir, strates après strates, siècles après siècles, une civilisation culturelle parmi les plus rayonnantes du monde. C’est dans le prolongement de cet héritage qu’il convient d’orienter les politiques publiques, au niveau régional, national et européen. À cet égard, le rôle des institutions européennes devrait être d’abord de sanctuariser la richesse de notre culture commune et de protéger sa diversité à la fois des velléités de standardisation du monde marchand et de l’américanisation, mais aussi des négateurs de notre héritage qui entendent escamoter ses particularismes au nom d’une intégration culturelle qui n’est que le faux-nez de l’uniformisation et du nivellement.

Doit-on parler d’exception culturelle française au sein de l’Europe ?

Bien sur, la préservation de l’identité culturelle française n’est pas négociable et doit primer sur toute autre considération. Je pense d’ailleurs que le principe d’exception culturelle devrait faire l’objet d’une sanctuarisation constitutionnelle (actuellement, il n’existe aucune mention des notions de « culture » ou « d’identité » dans la Constitution, ni même dans son préambule).

Quel regard avez-vous sur l’action du parlement européen sortant dans le domaine culturel ?

La majorité sortante n’a fait qu’accompagner le lent processus d’érosion de la culture européenne. Par exemple, en subventionnant l’art « contemporain » plutôt que la restauration de notre patrimoine historique ou l’exaltation de nos racines pluri-millénaires. Dans les faits, on constate qu’une empreinte idéologique post-soixante-huitarde mine la politique culturelle européenne, et ambitionne de faire table-rase de notre héritage pour y substituer une néo-culture aseptisée, « inclusive » et « progressiste ». En somme, il s’agit d’effacer la mémoire des européens pour mieux les remplacer.

Comment associer politique économique et politique culturelle de l’UE ?

Je pense qu’il faut encourager le mécénat, en le conditionnant aux impératifs de préservation du patrimoine historique et d’affirmation de notre héritage culturel sous toutes ses formes. C’est ainsi que l’on pourra également encourager la transmission et les vocations propres à l’art et à l’artisanat traditionnel européen, d’une richesse inestimable, et dont les pratiques et le savoir-faire relèvent d’un patrimoine immatériel aujourd’hui menacé de disparition.

Est-ce que l’action culturelle de l’UE est assez visible par les citoyens européens ?

D’une manière générale, l’ensemble des politiques européennes apparaissent confuses et peu lisibles aux yeux des européens, et je pense que c’est délibéré : cette opacité est constitutive d’une construction européenne qui s’est faite dans le dos des peuples et souvent contre leur volonté.

NDLR SN : comment faire pour voter pour la liste de La Reconquête (Vincent Vauclin, La Dissidence française).

Pour imprimer le bulletin de vote cliquez ici

Site de la Dissidence française cliquez là

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11:03 Publié dans Européennes 2019 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Renaud Camus et Karim Ouchikh présentent une liste aux élections européennes

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L’écrivain et président du parti de l’In-nocence et le président du SIEL (Souveraineté, Identités Et Libertés) affirment être les seuls à avoir “une ligne claire”. Avec ce constat : “le Grand Remplacement est le seul problème sérieux”. Et une seule solution : “la remigration, la décolonisation, la libération du territoire”.


La seule frontière qui compte aujourd’hui, c’est celle qui sépare les remplacistes des antiremplacistes, ou réfractaires, ou résistants, ou dissidents (du remplacisme).

D’un côté de cette frontière, il y tous ceux qui consentent au Grand Remplacement, peu ou prou, ou qui le promeuvent, ou qui l’incarnent, ou qui le nient ; de l’autre il y a ceux qui le refusent de tout leur être, de toute leur chair, de toute leur âme.

D’un côté, il y a ceux qui acceptent le changement de peuple et de civilisation, soit parce qu’ils en nient l’existence, soit parce qu’ils n’en sont pas dérangés, soit parce qu’il sert leurs intérêts ; de l’autre il y ceux qui aimeraient mieux mourir que de s’y résigner.

D’un côté, il y a ceux pour qui l’occupation étrangère de notre pays n’est pas un problème, soit parce qu’ils ne la voient pas, soit parce qu’ils la jugent normale, inévitable, bien dans l’ordre des choses ; et de l’autre il y a ceux qui ne l’accepteront jamais.

Il y a ceux que la colonisation de la France et de l’Europe laisse de marbre, ceux qui s’en réjouissent, ceux qui ne s’en avisent pas, ou qui ne songent pas à la nommer de la sorte ; et il y a ceux qu’elle obsède comme un horrible cauchemar et qui n’ont qu’une hâte, s’en réveiller.

On le voit, cette frontière n’est pas seulement politique, mais historique, et même ontologique. C’est-à-dire qu’elle concerne l’être, l’être même de notre patrie et de notre civilisation, et celui de chacun d’entre nous : leur existence, leur survie, leur persévérance dans l’être ou leur dissolution dans l’autre, dans le remplacement, dans le néant, l’ethnocide, le génocide par substitution, tels que les annoncent l’immigration de masse et l’islamisation méthodique de notre continent.

La frontière n’est pas politique, ou pas seulement, et pourtant tous les partis politiques sont du même côté d’elle, celui du remplacisme, des remplacistes et du Grand Remplacement : soit qu’ils s’en félicitent, comme les plus extrémistes d’entre eux, par antiracisme absolu ou par servilité impatient aux intérêts de l’hyper-classe ; soit qu’il le nient, comme les plus bêtes ou les plus fourbes ; soit qu’ils l’organisent, comme les plus collaborateurs et compromis ; soient enfin qu’ils s’en accommodent sans le dire, ou en le disant certains jours et en le niant le lendemain — un pas en avant, deux pas en arrière — comme les plus lâches, les plus opportunistes et les plus flous.

Ceux-là ne peuvent pas rompre tout à fait avec le remplacisme, même s’ils le critiquent, parce que le remplacisme c’est le système, c’est le pouvoir, ce sont les places, c’est l’argent, c’est l’accès aux médias, ce sont les médias eux-mêmes, dont il importe peu de connaître l’opinion politique mais beaucoup de savoir à qui ils appartiennent et d’où vient leur financement ; car leur véritable opinion c’est celle-ci : le remplacisme global, l’immigration de masse, l’accroissement des besoins par la croissance démographique, les usines de fabrication de la MHI, la Matière Humaine Indifférenciée.

Nous sommes seuls de l’autre côté de la barrière, seuls à avoir une ligne claire. Nous pourrions même en faire notre nom : la Ligne Claire, au moins à titre provisoire, à l’occasion d’une descente dans l’arène, hors partis, contre partis, le temps des élections européennes. La ligne claire implique un constat : le Grand Remplacement est le seul problème sérieux, qui rend secondaires tous les autres, même les plus graves, et qui empêchera toujours de leur trouver une solution.

Et la seule solution, que ce soit à l’insécurité ou à la surpopulation carcérale, au déséquilibre des comptes sociaux ou à l’artificalisation galopante, à la sécession des « quartiers » ou au réensauvagement de l’espèce, à l’hébétude hyperviolente, à l’expansion du totalitarisme islamique, c’est la remigration, la décolonisation, la libération du territoire.

Dans ces conditions pourquoi songer à une liste aux élections européennes ? Nous n’avons pas un sou, nous n’avons aucun accès aux médias, c’est l’adversaire qui établit les règles du jeu et qui les fait appliquer. Nous partons vaincus d’avance, nous n’avons rien à faire sur un terrain qui n’est pas le nôtre et où tout est prévu pour nous perdre, puisque nous nommons seuls ce qui ne doit absolument pas être nommé et que les électeurs sont dressés dès l’enfance, par l’école, à ne pas voir, à ne pas entendre et à ne pas comprendre.

Tout cela est vrai, mais vrai aussi que ces élections sont européennes, et que c’est l’Europe entière et sa civilisation qui sont menacées de mort : d’où notre volonté d’une liste européenne, justement, avec des résistants, des dissidents, des réfractaires antiremplacistes venus de tout le continent.

L’Europe, il ne faut pas la quitter, il faut s’en emparer avec nos alliés et en chasser les traîtres, pour la reconstruire ; il ne faut pas en sortir, il faut en sortir l’Afrique. Pour réveiller nos concitoyens hébétés, drogués, manipulés, nous devons saisir toutes les occasions qui se présentent, nous afficher partout et ne laisser passer aucune chance, même légale, même électorale, d’interrompre l’ethnocide en cours et d’attirer sur lui l’attention.

Ce n’est pas parce qu’un combat menace de ne pas aboutir qu’il ne faut pas l’entreprendre. Avec toujours la même exigence placée au cœur de notre combat existentiel : œuvrer au rassemblement de tous les Français, de tous les Européens, toutes sensibilités politiques confondues, pour affronter ensemble les périls de ce temps, sans tremblement ni retour.

Outre la ligne claire, celle qui va du constat du Grand Remplacement à la double exigence de la Remigration et de la Désislamisation, nous disposons d’une arme formidable, que les autres, par définition, n’ont pas : la vérité. On l’a vue renverser des murailles, et défaire d’un coup des systèmes presque aussi redoutables que celui auquel nous avons affaire, et comme lui construits sur le mensonge.

Les vidéos de la Ligne claire cliquez là

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Des royalistes aux élections européennes. Pourquoi ?

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Communiqué de l’Alliance royale 

Comme à toutes les élections depuis 2004, l’Alliance royale présente une liste pour réaffirmer la pertinence du principe royal dans l’état actuel d’affaiblissement du pouvoir politique en France. Non seulement, la royauté démontre chaque jour son efficacité dans plusieurs pays européens où elle est un facteur décisif d’unité nationale. Mais elle est particulièrement d’actualité devant la déconsidération, voire le rejet dont font l’objet les derniers présidents de la République : M. Sarkozy n’a pas été réélu, M. Hollande n’a même pas pu se représenter et M. Macron fait maintenant l’objet de la fronde des “gilets jaunes” et sa popularité est similaire à celle de M. Hollande.

A chaque élection présidentielle, les Français cherchent à désigner l’homme providentiel qui sortira la France du marasme dans laquelle elle est plongée depuis plus de 40 ans. A chaque fois, ils sont déçus, car notre système électoral par sa nature ne fait émerger que des personnalités ambitieuses et non pas des personnes réellement au service du bien commun, avec une claire compréhension de notre identité nationale, des enjeux ainsi qu’une vision forte de notre avenir.

A chaque élection, nous retrouvons les mêmes partis, comme Les Républicains, qui tiennent des discours fermes sur l’économie, les questions de société ou l’immigration et, ensuite, votent à Bruxelles comme à Paris les lois désastreuses contraires à notre intérêt national. Il est temps de cesser de les croire et de sortir du système. Il est temps de voter pour vos convictions ; voter utile a toujours été un marché de dupes au bénéfice des ambitieux et au détriment de ceux qui écoutent les promesses électorales.

Vous trouverez ci-dessous les liens vers :


Peut-être continuez-vous à penser que l’on vote pour gagner ? Grave erreur ! On vote pour faire émerger ses idées. A quoi sert-il d’apporter vos suffrages à un candidat qui gagne, mais qui ne vote pas les lois que vous demandez ? Certes, l’Alliance royale n’aura probablement pas d’élu, mais il s’agit de faire émerger un vote royaliste pour les prochaines échéances. Aucun parti n’arrive au pouvoir en une élection, c’est une dynamique qu’il faut lancer. Vous seuls pouvez le faire.

Cyrille Henrys
Vice-président de l’Alliance royale

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Maître Triomphe annonce de la reprise des traitements de Vincent Lambert

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Alors que le CHU de Reims avait interrompu lundi matin les soins apportés à Vincent Lambert, la justice a ordonné que ceux-ci reprennent au plus vite. Une immense victoire pour tous ceux qui souhaitent le voir maintenu en vie, chaleureusement accueillie par des centaines de manifestants rassemblés à Paris.

C’est un nouveau revirement, spectaculaire, dans l’affaire Vincent Lambert. Moins de 24 heures après que les médecins du CHU de Reims ont entamé la procédure d’arrêt de l’hydratation et de l’alimentation de Vincent Lambert, la première chambre de la Cour d’appel de Paris a invalidé la procédure et ordonné la reprise des soins. Les juges ont ordonné « de prendre toutes mesures aux fins de faire respecter les mesures provisoires demandées par le Comité international des droits des personnes handicapées (…) tendant au maintien de l’alimentation et l’hydratation ». Cet organisme, qui dépend des Nations Unies, avait demandé par deux fois à la France de maintenir, provisoirement, les soins. Mais ce comité n’étant que consultatif, la France n’était pas obligée de suivre sons avis.

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lundi, 20 mai 2019

Mercredi 22 mai : Robert Ménard à la Nouvelle Librairie

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20:13 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

C’est la république qu’il faut euthanasier, et non Vincent Lambert !

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Alain Escada, président de Civitas

La mise à mort de Vincent Lambert a débuté ce matin : il s’agit là ni plus ni moins d’un assassinat aggravé par le fait qu’il s’agit d’une personne vulnérable.

Assassinat car cette mise à mort ne passe pas par un arrêt des soins, mais par une privation de son alimentation et de son hydratation, chose nécessaire à chaque être vivant. La mauvaise foi du docteur Sanchez et du gouvernement se démontre un peu plus dans leur refus d’accepter le transfert vers l’un des sept centres spécialisés qui avaient dit leur volonté d’accueillir Vincent Lambert.

Que l’on se cache ou pas derrière la loi Léonetti, cette mise à mort constitue un crime.

C’est cette république maçonnique qu’il faut euthanasier, et non Vincent Lambert.

C’est la franc-maçonnerie, à l’origine de cette république et de quantité de ses lois scélérates, qui promeut la culture de mort pour les innocents et sauve la vie des criminels !

Civitas rappelle son opposition farouche à cette culture de mort, de l’avortement à l’euthanasie.

Un jour viendra, tôt ou tard, où Emmanuel Macron et le Dr Sanchez devront rendre des comptes.

Emmanuel Macron, en tant que Chef de l’Etat, avait le devoir de protéger les plus vulnérables. Il porte désormais le poids de la condamnation à mort imposée à Vincent Lambert, au seul motif d’être une personne handicapée.

Le Dr Sanchez, en tant que médecin, avait le devoir de protéger la Vie. Il vient de parjurer son serment d’Hippocrate et se rend l’exécutant d’un crime d’Etat.

Désormais, les personnes handicapées sont à la merci de tous les abus de cette république maçonnique.

Mais un jour viendra où justice sera rendue et où ceux qui sont coupables d’avoir prémédité la mise à mort d’innocents devront être punis sans pitié.

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19:56 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Eurovision : heureusement, le ridicule peut encore tuer...

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Tribune libre : En mai, fais ce qu'il te plait...

9051659-14383462.jpgJean-François Touzé
Délégué national du Parti de la France aux Études et Argumentaires
 
Les élections européennes du 26 mai auraient pu être l'occasion d'un vaste débat national invitant les Français à réfléchir à ce que devait être ou ne pas être la construction continentale, et à décider, dans la clarté, de leur avenir, avenir dont le Parti de la France estime qu'il est indissociable de celui des autres peuples de notre civilisation.
 
Les éléments de cette réflexion tenaient en quatre questions essentielles.
  • L'Europe réunie doit-elle l’être sous un mode fédéral régi par une autorité centrale de nature nécessairement technocratique ou relever d'une coopération toujours plus étroite des Nations libres coordonnée par le Conseil des Chefs d'États et de Gouvernements ?
  • L'Europe réunie doit-elle se constituer en puissance politique, économique, diplomatique et militaire en se donnant les moyens moraux, financiers, matériels et structurels de l'affirmation et de la réalisation de cette ambition ou demeurer une entité molle, sans force ni volonté, aboulique et impuissante, soumise aux mille vents mauvais de la globalisation, de l’immigrationnisme, du nouvel ordre mondial et de la spéculation ?
  • L'Europe réunie doit-elle rompre avec l'utopie mondialiste et la soumission à d’autres intérêts que les siens, en créant les conditions de son indépendance et de sa protection économique, identitaire et sécuritaire ou rester un vassal ballotté au gré du bon vouloir de Washington ?
  • L'Europe réunie doit-elle travailler à la mise en œuvre d'un partenariat civilisationnel avec la Russie, partenariat qui, par la nécessité des choses et la force de l'entraînement soudera Russie et monde occidental face aux menaces que constitue l’émergence de grandes puissances régionales aujourd’hui, mondiales demain, en particulier la Chine, ou laisser Moscou se tourner définitivement vers Pékin ?
Au lieu de cela, chacune des formations politiques décidées à concourir à cette consultation a pris soin d’éluder le fond et de se cantonner dans des enjeux subalternes pour notre Nation et pour notre civilisation, mais prioritaires pour elles : la défense et la promotion de leurs intérêts alimentaires.
 
  • Pour La République En Marche, deux mots d'ordre qui n'en font qu'un : battre le « populisme » et arriver en tête devant la liste Bardella tout en ménageant Marine Le Pen sélectionnée comme meilleure chance pour Macron de l'emporter en 2022, et donc instituée comme opposante privilégiée par la propagande gouvernementale.
  • La liste du Rassemblement national quant à elle, radeau de la Méduse des anciens UMP/Républicains en mal de mandat, et des apparatchiks marinistes les plus dociles, oscillant d'une stratégie à une autre, d'une droitisation à une re-gauchisation au gré des circonstances, des sondages, des humeurs et des rencontres de sa Présidente, aura tout au long de la campagne, confirmé son incohérence stratégique et son incapacité à naviguer autrement qu'à vue, tout en mettant en lumière son jeu clanique.
  • Les Républicains, malgré quelques bonnes dispositions de leur tête de liste (sur l'immigration, sur les valeurs ou sur les racines chrétiennes de L’Europe), restent ce qu'ils sont et ce que la bien-pensance leur dicte d’être : le dernier îlot d'un centre droit systémique ayant depuis longtemps perdu tout sens des réalités et tout contact avec le monde extérieur.
  • Pour la gauche, l'enjeu était ce qu'il est de toute éternité : celui d'un congrès dont chacun espère sortir en tête de la grande valse des motions.
  • Nicolas Dupont Aignan, enfin, aura, pour exister, fait beaucoup d’efforts désordonnés, erratiques et parfois déloyaux à l’égard de ceux qui le soutenaient avec, au final, la perspective dérisoire d’une bataille de titans lilliputiens pour savoir qui, de lui-même, de Philippot ou d'Asselineau l'emportera en dépassant les 2 %.
  • Nous n'évoquerons ici aucune des listes virtuelles, tout en comprenant que tel ou tel veuille se faire connaître, car nous considérons que la politique est chose sérieuse qui doit être traitée avec rigueur.
Dans un message diffusé sur les réseaux sociaux, Carl Lang a précisé la position du Parti de la France conformément aux décisions prises lors du Bureau politique du mois d'avril : Le PdF qui n'a pu concourir pour des raisons financières (un million minimum pour financer la campagne officielle était requis) laisse donc à ses militants une totale liberté de vote.
 
Liberté de vote car le Parti de la France, considérant ses adhérents et sympathisants comme aptes à faire leur choix en toute connaissance de cause, selon leur conscience et en accord avec leurs convictions, il n’était pas nécessaire de leur dicter leur choix.
 
Il est néanmoins évident que pas une de nos voix ne se portera sur les listes directement systémiques, non plus que sur l'une ou l'autre de celle de la gauche. Pour le reste, chacun décidera en fonction de ce qui est utile au Pays et peut être réalisable ou pas au sein du Parlement européen. Pour cette élection, dont nous savons déjà que, comme ce fut le cas de tous les scrutins européens, elle ne sera en aucune façon structurante de la vie politique française, chacun n'aura donc le choix qu'entre des inconvénients multiples.
 
« En mai, fais ce qu'il te plaît » dit le proverbe. Chacun sera donc juge de ce qui lui plaît : porter son suffrage sur telle ou telle liste nationale ou de droite, ou voter Jeanne d'Arc et célébrer pleinement la fête des mères.

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09:41 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Tribune libre : Quel choix dimanche prochain ?

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Georges Feltin-Tracol

Les élections au Parlement européen ne déchaînent jamais la passion des foules depuis 1979. Cette apathie naturelle est bien sûr favorisée, valorisée et amplifiée par les médiats qui discriminent volontiers certaines des trente-quatre listes en lice. À ce tri d’accès à la diffusion à partir de sondages biaisés s’ajoutent les nombreuses difficultés pour financer une campagne électorale quand la mafia bancaire fait tout afin de nuire aux candidatures les plus rétives à ses dogmes.

Dans ces conditions matérielles et médiatiques défavorables, l’abstention, le vote blanc et le bulletin nul présenteraient l’avantage de récuser ce Système abject. Ce serait pour la circonstance une grave erreur. Autant il sera légitime de se détourner des municipales de l’an prochain, autant participer à ces élections européennes est impératif. Les électeurs doivent avant tout rejeter massivement la liste « Dégénérescence » de Nathalie Loiseau, naguère étudiante en Sciences Po qui se retrouva à l’insu de son plein gré candidate d’une formation étudiante fondée quelques années auparavant par Emmanuel Ratier. Dans le même ordre d’idées, il va de soi que la liste féministe de Nathalie Tomasini, « À voix égales », devrait recevoir de la part des électeurs une magistrale correction dans les urnes parce que le féminisme n’est pas une opinion, mais un poison pour notre civilisation.

La gauche en miettes

Le scrutin de dimanche prochain offre le spectacle jubilatoire d’une gauche explosée. Délaissons les soi-disant « Insoumis » de Jean-Luc Mélenchon qui abandonnent la posture populiste de gauche pour l’inévitable gauchisme culturel. Le conseiller régional en Auvergne – Rhône-Alpes Andréa Kotarac vient de quitter La France insoumise (LFI) et appelle à voter RN. Son constat rejoint celui des autres souverainistes de gauche dont Djordje Kuzmanovic. Pseudo-« indigénistes » (les seuls indigènes en Europe sont les Albo-Boréens) et féministes hystériques maîtrisent maintenant l’appareil de LFI. N’oublions pas en outre que des séides de LFI siègent pour l’heure dans une commission d’enquête parlementaire contre l’« extrême droite » tendance Vychinski qui ose persécuter un groupe de chanteuses talentueuses, Les Brigandes… Voter LFI revient à se cracher dessus. Le PCF tente de s’extraire des poubelles bien méritées de l’histoire sous l’impulsion de l’« ultra-révolutionnaire » Ian Brossat, adjoint au maire de la néo-post-hyper-sociétaliste bien connue Anne Hidalgo. Le groupuscule de la place du Colonel-Fabien (à quand son changement en place Colonel-Rémy ?) subit une double concurrence, celle, d’une part, des « moines – militants » de Lutte ouvrière dont l’abnégation et l’engagement au quotidien devraient inspirer bien des nôtres et, d’autre part, du Parti révolutionnaire – Communistes d’Antonio Sanchez. Il ne s’agit pas d’une énième résurgence trotskyste, mais d’une scission du PCF survenue en 2002. Ce mouvement réunit les tenants d’un communisme marxiste-léniniste néo-stalinien, nostalgiques de la SFIC du début des années 1920.

La social-démocratie n’en cesse plus pour sa part de se décomposer sur pied. Sa longue et lente agonie se caractérise par deux listes. Un PS mal en point s’est allié à Nouvelle Donne de Pierre Larrouturou et à Place publique de Raphaël Glucksmann. Digne fils de son père André, défunt « nouveau philosophe » va-t-en guerre droits-de-l’hommiste, Raphaël Glucksmann demeure ce néo-conservateur belliciste un temps proche du président géorgien Mikheil Saakachvili. Ce sarközyste de gauche a lancé une formation sociale-libérale intitulée d’une façon grotesque Place publique. Y aura-t-il un jour un parti appelé « Décharge publique » ou bien « Tous sur le trottoir ! » ? Essoré par une présidentielle déplorable, Benoît Hamon joue son avenir politique ainsi que celui de son parti Génération.s. S’il continue avec raison à s’interroger sur l’avenir humain du travail et la grande substitution technicienne prochaine, ses propositions restent marquées par un réformisme radical qui déclenche l’hilarité de l’hyper-classe mondialiste.

Passons vite sur « Neutres et actifs », des hurluberlus qui combattent l’abstention, la liste jeuniste en écriture inclusive de Sophie Caillaud, « Allons enfants ! », qui ne compte que des candidats de moins de 30 ans (n’est-ce pas là une manifestation flagrante de discrimination par l’âge normalement puni par les haïssables lois liberticides ?) et celle de Jean-Christophe Lagarde au nom de l’UDI – Force européenne démocrateLa Gauche moderne, soit un centrisme post-sarközyste aussi peu reluisant que bien souvent détestable quand on observe le clientélisme pro-immigration des maires UDI en Île-de-France. D’incurables droitards, éternels abonnés au cocufiage politique, parient au « retour de la droite » en la personne du Versaillais François-Xavier Bellamy (1). Ils s’illusionnent une nouvelle fois sur les caniches hexagonaux d’Angela Merkel et d’Annegret Kramp-Karrenbauer. Dans le cadre du PPE, Les Républicains de Laurent Wauquiez obtempèrent aux injonctions de la CDU – CSU. Tout Européen résolu ne saurait choisir la liste Bellamy, faction libérale-conservatrice du globalitarisme.

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09:31 Publié dans Européennes 2019, Tribunes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Tribune libre : Les libéraux et le travail : hypocrisie ou ignorance ?

franck-abed.jpgFranck Abed, essayiste

En utilisant le principe de réalité auquel je suis très attaché, force est de constater après plusieurs années d'expérience que les libéraux rencontrés au cours de mes différentes activités, et qui sintéressent tous de près ou de loin aux questions intellectuelles et politiques, sont le plus souvent, des rentiers, des fonctionnaires, des héritiers. Concrètement, il sagit dindividus qui ne connaissent pas linsécurité matérielle et financière, le chômage ainsi que la précarité de lemploi. Dans ces conditions, il y a une certaine tartuferie à parler du travail et de la condition ouvrière quand on na jamais porté un carton de sa vie. Ecrire cela ne constitue pas une attaque ad hominem. Il sagit tout simplement dun constat. Il suffit d’étudier le parcours des grands libéraux contemporains pour valider ou non mon propos

En se basant sur celui-ci, je remarque donc que les libéraux et les communistes constituent les deux faces dune même pièce. En effet, les communistes - lecteurs assidus de Marx et Engels pour les plus sérieux dentre eux - ne savent pas diriger des entreprises. Pourtant, ils passent leurs temps à expliquer aux entrepreneurs comment ils devraient agir. Au lieu de déclamer constamment ce propos telle une sentence irrévocable, créer des entreprises et les administrer comme bon leur semble serait plus judicieux que de donner des (mauvais) conseils. Il est toujours plus facile dexproprier que de fonder

Nous retrouvons chez les libéraux le même phénomène : parler dun sujet sans le connaître. Ils maîtrisent certes pour certains sur le bout des doigts les canons du libéralisme, car ils ont dévoré les ouvrages de Bastiat, Friedman, Hayek et Smith. Toutefois, les défenseurs de cette école de pensée ignorent les conditions de vie de la classe ouvrière, comme ils méconnaissent la dureté du travail salarié et les incertitudes professionnelles du lendemain. Malgré tout, ils veulent quand même nous éclairer de leurs lumières.

Les libéraux évoquent beaucoup le travail et prétendent même vouloir le revaloriser. Derrière cette formule vague, aux relents de slogan politique, se cache une ambiguïté quils entretiennent volontairement. Nimporte quel travailleur ne peut quentendre favorablement cette notion de « revalorisation du travail ». Mais parler de revalorisation du travail reste en réalité, dans son expression, synonyme de « défendre des valeurs ». Effectivement, dans les deux cas il sagit de phrases courtes et percutantes. Elles peuvent même se montrer extrêmement séduisantes de prime abord. Cependant, elles ne masquent pas les manques, les incohérences, ni même les ambivalences qui les escortent.

Etudions précisément la volonté des libéraux de défiscaliser les heures supplémentaires pour soi-disant « revaloriser le travail ». Ils nous exposent que cette mesure permet à « ceux qui travaillent plus de gagner plus », selon ladage sarkoyste bien connu. De fait, cette proposition esquive le point essentiel du sujet : les travailleurs ayant recours aux heures supplémentaires agissent ainsi parce que leur salaire mensuel savère bien trop bas pour faire vivre correctement leur famille. Ils sont donc obligés de sacrifier du temps personnel et donc familial pour recevoir en échange une paie un peu plus convenable. Par conséquent, les « faire travailler plus pour les payer plus » sapparente en somme à une dévalorisation de leur travail journalier. Cela signifie bien sûr que le salaire reçu ne leur permet pas de vivre décemment, mais surtout et plus profondément que leur labeur quotidien ne se trouve pas valorisé à sa juste valeur. Difficile en effet d’être motivé chaque jour pour accomplir une tâche, à partir du moment où on a connaissance que celle-ci pourrait être payée plus, non pas en fonction de sa nature propre mais selon le contexte fiscal. Sans compter que ces heures supplémentaires pourraient rendre heureux un chômeur. Mais comme chacun sait « tous les chômeurs sont fainéants » …

Le souhait de réduire les cotisations patronales participe également de cette ambivalence insupportable, car leur baisse ne valorise pas le travail mais le capital. Je ne suis pas contre la valorisation du capital, bien au contraire, sous réserve que celle-ci ne relève pas de la pure spéculation en se trouvant complètement déconnectée dune valeur réelle, concrète et « objective ». En revanche, je napprécie guère que les libéraux en arrivent à justifier une idée ayant des attendus différents de ceux qui sont affichés. Dans la plupart des entreprises, il y a dun côté les propriétaires, les actionnaires et de lautre les employés. La rhétorique est bien connue : les premiers - au choix - prêtent, louent, mettent à disposition des locaux, des machines, une marque, pendant que les seconds y travaillent et reçoivent un salaire - bien souvent trop faible en comparaison de leur investissement - déduits dun tas dimpôts servant à alimenter le Tonneau des Danaïdes. Sur le principe, les frais déduits de la fiche de paie reçue par les employés servent généralement à financer les aides sociales et les frais de santé auxquels ils ont recours, et leur redistribution nationale. Concrètement, la baisse des cotisations patronales profite donc « aux patrons » et non aux salariés, car loin daugmenter les salaires elle valorise, sans coup férir, le capital bien trop souvent mal redistribué. Clamer « on va baisser les cotisations patronales » dans le but daider les employés à gagner plus savère un mensonge économique.

Certes, ils nous rétorqueront sûrement que les chefs dentreprise prennent des risques en investissant des capitaux (propres ou non). Ceci est parfaitement vrai ! Mais quils arrêtent de ne voir quune des deux faces de la même pièce. Les risques sont partagés. Louvrier montant sur des échafaudages pour réaliser des travaux de maçonnerie ou pour remplacer des tuiles sur un toit, lemployé œuvrant dans un entrepôt pour déplacer des produits chimiques, lagent de sécurité surveillant des immeubles ou protégeant des personnalités, etc., prennent également des réels risques qui pour le coup ne sont pas financiers. Dans le cas dune maison, celle-ci est-elle construite par les capitaux ou par les maçons ? En définitive, la valeur ajoutée doit-elle être définie par largent ou par le travail ? Je suis intimement convaincu quil savère impératif de revaloriser le travail et surtout le résultat du travail. Quant à ceux qui « permettent » le travail, ils possèdent le plus souvent déjà énormément

Tout travail ne repose pas que sur du capital financier, et heureusement. Le militaire au service du pays faisant le sacrifice de sa vie ne se lève pas chaque matin en étant animé par une quelconque augmentation de capital. Les nourrices et toutes les assistantes maternelles accomplissent un vrai travail, me semble-t-il. Néanmoins, la notion de « capital » est ici aussi inexistante. Je mentionne également tous les enseignants de France et de Navarre transpirant du lundi au vendredi (parfois le samedi) pour transmettre aux enfants des connaissances et des savoirs. Tout ceci ne rapporte aucun argent à quelque « capital » que ce soit.

Il nest pas question pour moi de défendre lesprit soviétique en expliquant que les entreprises doivent être dirigées par lensemble de ceux qui y travaillent. Lhistoire a montré que ce genre didée tourne très aisément très mal. Le chapelet de morts provoqué par les expériences collectivistes est là pour nous le rappeler. Nulle tentation pour moi de défendre lidée que le capital devrait être redistribué aux uns et aux autres sans prendre en compte une notion essentielle à mes yeux : le mérite. Simplement, j’écris que depuis trop dannées les salaires versés en France sont bien trop bas, car le travail nest pas valorisé à sa juste mesure. A force de trop tirer sur la corde, elle finit toujours par casser. Que les financiers internationalistes et autres libéraux ne tiennent pas pour éternellement acquise la situation dans laquelle nous sommes. Ils risquent de sen mordre les doigts quand les chaînes de lesclavage se briseront.
 
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dimanche, 19 mai 2019

Israël et la Russie : apartheid contre nationalisme

Pierre-Antoine Plaquevent interroge Xavier Moreau sur les rapports toujours plus tendus entre Israël et la Russie. Xavier Moreau nous expose aussi les différences entre les conceptions israélienne, russe et française en matière d'identité nationale.

Source: Les Non Alignés2017 12 01 PUB SITE 2.jpg

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SAUVONS VINCENT LAMBERT !

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Un communiqué de Maître Elie Hatem :

En ma qualité d'avocat, je m'associe à l'appel ultime lancé par une centaine de juristes pour sauver Vincent Lambert.

Je rappelle que ce dernier n'est pas en fin de vie, qu'il n'est pas atteint d'une maladie incurable: il est lourdement handicapé à la suite d'un accident.

L'équipe médicale qui en a la charge a pris la décision (contre la volonté de ses parents) de ne plus l'alimenter ni de l'hydrater à partir du 20 mai. En d'autres termes, il a été décidé de le laisser crever de faim et de soif !

Il s'agit d'un homicide volontaire avec préméditation que le droit qualifie d'assassinat, ni plus ni moins.

La principe de la dignité humaine interdit qu'une personne soit volontairement supprimée parce qu’handicapée. La valeur d'un homme ne s'évalue pas à son degré d'autonomie.

Nous sommes nombreux a avoir compris que derrière le cas effrayant de Vincent Lambert s'organise le funeste projet de l'euthanasie de ceux qui constituent une charge financière pour la société: aujourd'hui les handicapés, demain les personnes âgées.

Cette grave dérive doit être dénoncée et combattue.

Je m'y engage.

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11:52 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Suite à l'inquisition de la Commission parlementaire : la conférence de presse de la Ligue du Midi et des Brigandes

Le nouvel album CD des Brigandes :

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01:04 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 18 mai 2019

Plus sérieux et plus modeste que Juan Branco, Marc Endeweld décrypte le système Macron

Source: E&R

Peu à peu, la gauche et les médias bien-pensants groggy se réveillent du coup de massue « Juan Branco ». Arrivé comme une météorite dans le paysage politique, et à point nommé pour gauchiser le mouvement des Gilets jaunes (voir la transformation radicale de Maxime Nicolle), il a pris la lumière à tout le monde, se considérant comme le seul opposant valable à Emmanuel Macron.

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Ce rêve de grandeur adolescent a été quelque peu refroidi par des journalistes ou des écrivains moins fanfarons, moins photogéniques mais plus travailleurs. Marc Endeweld est de ceux-là. Il a décrit à deux reprises le système Macron – L’Ambigu monsieur Macron en 2015 – bien avant le petit Branco. Il est interrogé ici par le nouveau patron du Média, qui a ouvert ses portes au jeune Branco, car la gauche a besoin de héros.

La gauche, laminée depuis 2002, pour se renouveler et retrouver une certaine pureté aux yeux de ses électeurs, a dû s’attaquer à l’oligarchie. Pas le choix ! Depuis, on constate qu’il y a deux sortes d’attaques : les attaques profondes et les attaques superficielles. Juan Branco, en faisant beaucoup de bruit, ne vise au final qu’une poignée de milliardaires, ce qui nous autorise à dire qu’il vide l’oligarchie réelle de sa substance – le réseau – en la faisant incarner par un quarteron de personnages médiatiques, les milliardaires Drahi, Niel, Lagardère et Arnault.

Peopolisation démagogique contre culture de réseau

On retrouve là le vieux fantasme de la gauche des années 30 qui s’en prend aux « 200 familles », soit les très riches qui symbolisent l’injustice sociale. Mais cela ne suffit pas pour une explication et un projet politique : il y aura toujours des riches, on le sait depuis 2 000 ans. Plumer les quatre milliardaires précités ne changera pas la face des Gilets jaunes et leur paupérisation programmée, à l’origine de leur révolte.

François Ruffin, avec son film Merci Patron !, avait lui aussi visé Bernard Arnault, mais depuis, la fortune du PDG de LVMH n’a fait que croître : il figure désormais au 4e rang mondial avec 68 milliards d’euros. Quand le documentaire du député LFi est sorti, en 2016, Arnault pointait au 14e rang avec 34 milliards.

Dénoncer une immense fortune, c’est bien, changer les consciences, c’est mieux. C’est toute la différence entre le travail en profondeur et l’action superficielle. Pour cela, rien ne vaut la lecture de livres basés sur une enquête, avec des faits, des noms et des chiffres. Et du courage éditorial, surtout.

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Véronique Lévy à propos de Notre Dame

Claude Timmerman dans Media-Presse.info

L’article de Pierre Antoine Plaquevent et Youssef Hindi ICI a conduit Véronique Lévy à ce très beau commentaire, mis sur Facebook le 15 mai…

Réponse à Pierre-Antoine Plaquevent, dont j’ai lu le très bel article écrit à quatre mains avec Youssef Hindi, cette nuit:

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Cher Monsieur,

Je viens de finir… C’est fort et je partage absolument vos intuitions basées d’ailleurs sur des preuves sourcées et une étude profonde… J’ai moi-même cité René Girard et la résurgence du phénomène du bouc émissaire depuis la déchristianisation de l’Europe… que ce soit dans l’émergence des totalitarismes et dans celle du génocide d’embryons… présenté comme un “droit “, inversion monstrueuse.

Je rajouterai une seule chose que j’évoque régulièrement et dans mon tout dernier texte écrit cette nuit.

Vous citez :

« Quand vous verrez l’abomination de la désolation, dont a parlé le prophète Daniel, dressée dans le lieu saint — que celui qui lit comprenne ! »

Et Saint Irénée d’expliciter plus encore :

« C’est ce que fera l’Antéchrist au temps de son règne : il transportera sa royauté dans Jérusalem et siégera dans le Temple de Dieu »

C’est magnifique d’avoir cité cette prophétie de Daniel et les mots d’Irénée…

MAIS si il y a bien intrusion dans le Temple et transport de la royauté de l’Antéchrist dans le sanctuaire réel, à Jérusalem, il y a aussi désacralisation du Sacrifice par l’entrisme que vous avez évoqué (disparition progressive du Sacrifice non sanglant où l’on s’offre avec le Christ) concomitant au viol du sanctuaire qu’est le LIEU SAINT de la conception réservé à Dieu Seul… (clonage, “mystique du gène”, eugénisme, manipulations génétiques en tout genre, dons du téléthon allant à cette PROFANATION qu’a dénoncé le professeur Testard lui-même). J’en parle dans mon dernier livre…”Jésus-Christ ou les robots”.

Le robot c’est l’homme à l’image non plus de Dieu mais déshumanisé, marqué au chiffre de l’antéchrist.

Conclusion: Ces trois éléments semblent liés:

1. Tentative de faire disparaitre le Sacrifice du sacrifice ( sacrifice non sanglant de la Sainte Messe accomplissant et couronnant le cœur mystique de la Première Alliance qui accompagne la résurgence d’une compétition victimaire entre communautés ( retour du bouc émissaire ) apaisée par la “diabolisation” du christianisme, et son passage à l’acte dans la folie incendiaire de ses lieux saints, holocauste sur “l’autel” de la république intégriste athée …..

2 Retour du sacrifice sanglant d’abomination au temple de Jérusalem et dans le temple maçonnique mondial dont celui de Jérusalem sera le cœur inversé comme Notre-Dame était le cœur de la rose que formaient nos cathédrales éployant le fil de Grâce de ses Eucharisties sur la terre.

3. SURTOUT ! Viol du sanctuaire du lieu de la conception réservé à Dieu Seul : Attentat contre la Sainte paternité de Dieu dont l’antéchrist veut effacer l’icône au coeur du génome humain pour y planter celle de son effigie…celle du clone sérialisé : l’homme né de l’homme comme disait Rousseau.

Epilogue:

Or le Christ nous a dit: “Rendez à césar ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu”

César est la République mais, au-delà, le système qui la fonde: système mortifère s’arc-boutant contre la Sainte Loi de Dieu…

Depuis les années 60, les théologiens interprètent cette phrase comme une justification de la séparation de l’Eglise et de l’Etat, du religieux et du laïque…Une sorte de consensus par lequel l’Eglise entrerait dans une lente et interminable collaboration ou démission.

Or, c’est l’inverse: Jésus nous somme de choisir Dieu et Son Image, la véra icôna, la Vérité. Non pas l’effigie de l’idole de la grande prostituée, Babylone et son temple de la consommation et de la guerre, de la mort servant Mammon… L’artifact du “père du mensonge, homicide dès l’origine” s’abreuvant du sang, des larmes, et de la peur des innocents.

“Vous ne pouvez servir deux maîtres, ou vous servirez l’un et haïrez l’autre … vous ne pouvez servir Dieu et l’argent”

En communion de prière dans les deux Coeurs Unis de Jésus et Marie.

J’aurai une toute dernière prière: que les individus ne soient assimilés aux systèmes mortifères de leurs communautés soit qu’ils les servent dans l’ignorance invincible, soit qu’ils en soient les victimes innocentes…

Amen.

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Les Bourses mondiales prises au piège dans un champ de mines

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Marc Rousset

Les Bourses mondiales jouent au yo-yo depuis deux semaines, au gré des rebonds de la guerre commerciale sino-américaine, des inquiétudes sur la croissance, avec en toile de fond de nombreux fondamentaux économiques qui sont toujours aussi catastrophiques. En fait, les marchés financiers sont périodiquement rattrapés par les réalités et la peur gagne du terrain. Le VIX (Volatility Index), appelé aussi indice de la peur, qui mesure la volatilité à Wall Street a progressé de plus de 25 %, ces derniers jours.

Après l’échec des pourparlers sino-américains et les hausses de droits de douane, la Chine n’a pas hésité, à son tour, à taxer 60 milliards de dollars d’importations américaines. Le ton devient de plus en plus belliqueux et la Chine se dit prête à mener cette guerre. Un accord est toujours possible d’ici quelques mois entre Trump, qui est en position de force, suite au déséquilibre commercial USA/Chine de 383 milliards de dollars en 2018, et Xi Jinping, mais ce ne sera qu’un accord de façade.

La réalité, c’est que la guerre commerciale et technologique, avec comme enjeu la domination du monde, a été déclarée par Trump et que rien ne pourra plus l’arrêter. Trump vient de surenchérir en tentant de neutraliser la société Huawei, acteur incontournable des réseaux mobiles et de la 5G. Trump souhaite priver l’équipementier chinois de la technologie américaine afin de l’asphyxier.

La Chine dispose, cependant, de l’arme atomique pour faire plier Trump, en vendant son énorme portefeuille de bons du Trésor américain qui s’élève à 1.130 milliards de dollars, soit 17,7 % de la dette publique américaine, ce qui entraînerait l’effondrement du dollar, mais en même temps la revalorisation du yuan, ce qu’a toujours voulu éviter Pékin, en maintenant un taux de change bas du yuan afin de favoriser ses exportations. Il faudrait aussi que la Chine ait préalablement réduit sa dépendance au marché américain. De plus, Pékin se tirerait une balle dans le pied, suite à la perte de valeur de ses obligations en dollars toujours détenues. La vente en masse d’obligations américaines par la Chine correspondrait à une guerre économique totale et à la mise à mort de Wall Street.

Au cours des quatre premiers mois de l’année 2019, selon l’agence Bloomberg, les entreprises chinoises ont fait défaut sur leurs obligations nationales pour un montant de 5,2 milliards d’euros, soit un chiffre trois fois supérieur à celui de 2018. Un krach obligataire n’est donc pas exclu en Chine, même si l’État chinois fera tout pour l’éviter.

En Italie, les taux d’emprunt de l’État sont repartis à la hausse après les déclarations suicidaires de Salvini sur le déficit : « Dépasser la limite de 3 % ? Il est de mon devoir de nous affranchir de quelques contraintes européennes qui affament des millions d’Italiens. Non seulement de la limite du déficit à 3 % du PIB, mais aussi des 130-140 % de la dette publique. Ce n’est pas un droit, c’est un devoir. » Salvini a déjà menacé, il y a quelques mois, de prendre le contrôle des réserves d’or du pays. Le résultat a été immédiat : la différence entre les taux d’emprunt à dix ans de l’État italien avec ceux du Bund allemand est monté à 2,92 %, son plus haut niveau depuis décembre 2018, lors du bras de fer avec Bruxelles.

Avec 0,1 % de croissance en 2019, dans un pays où les banques sont très fragiles et où le PIB par habitant stagne depuis dix-huit ans, le déficit italien pourrait atteindre 2,5 % en 2019 et 3,5 % en 2020. Suite aux tensions entre la Ligue et le M5S, l’Italie pourrait se diriger tout droit vers la chute du gouvernement en juin et un retour aux urnes le 29 septembre au plus tard. À noter que la crise italienne n’est que la partie visible de l’iceberg européen. Des menaces pèsent aussi sur le Portugal, la Grèce, l’Espagne et la France. En Grèce, on n’a fait que reporter les dettes de dix ans.

La BCE, elle, ruine les épargnants avec des taux d’intérêt ridicules, paie les banques avec des taux d’intérêt négatifs pour qu’elles prêtent à une économie atone, masque l’insolvabilité des États déficitaires qui, comme la France de Macron ne contrôle plus les dépenses publiques, préserve de la faillite un grand nombre d’entreprises non rentables et prépare l’opinion à une fuite en avant vers la création monétaire, ce qui conduira à l’hyperinflation et à l’écroulement final.

Lire aussi Boulevard Voltaire cliquez ici

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15:49 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

ACTE DE RACISME ABSOLU CONTRE L’ÊTRE HUMAIN, LA MISE À MORT DE VINCENT LAMBERT SERAIT UN CRIME D’ÉTAT.

Communiqué de l'AGRIF :

logo-agrif.jpgDe partout montent les appels vers le président de la République qui, seul, a désormais le pouvoir d’empêcher le meurtre par euthanazie idéologiquement programmé.

La mise à mort de Vincent Lambert prendrait une signification terrible : la volonté mûrement décidée d’un acte de transgression de la loi morale universelle, celle du Décalogue, fondement de la civilisation du respect de la vie innocente, ordonné par le quatrième des commandements du Décalogue : « Tu ne tueras pas ». Décalogue pas seulement destiné au seul peuple juif de l’Ancien Testament et donc aux chrétiens mais de portée universelle.

L’obligation morale et légale du respect de la vie de l’être humain innocent, c’est ce qui fait depuis toute la différence entre civilisation barbare et civilisation humaniste.

Ce n’est pas seulement madame Agnès Buzyn, ministre de la santé, indifférente au respect du serment d’Hippocrate, qui a pris la terrible responsabilité de piétiner la décision de la Commission internationale de défense des personnes handicapées de l’ONU, au mépris des accords signés par la France.

Elle n’a pu annoncer cette décision barbare que sous l’autorité du président de la République française.

Emmanuel Macron, s’il choisissait la mort et non la vie pour Vincent Lambert, porterait en tant que chef de l’État la terrible responsabilité devant Dieu et devant les hommes d’assumer un acte, le plus absolu, de transgression morale.

Il y perdrait aussi sa véritable légitimité qui ne peut être fondée que sur le devoir de protéger son peuple et d’agir pour le respect de la vie des plus faibles.

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11:17 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Elections européennes : non à Macron !

MNR.jpgUn communiqué du MNR :

A quelques jours des élections européennes le M.N.R. se déclare profondément inquiet de la situation de l'Europe dans le monde multipolaire d'aujourd'hui où prévaut le choc des civilisations.

Il préconise en conséquence d'ériger l'Europe  en un pôle de puissance capable de défendre son identité, son indépendance et sa souveraineté.

Pour rendre ce projet possible le M.N.R. appelle en conséquence a émettre un vote qui pénalise M. MACRON et son projet clairement mondialiste.
 
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10:42 Publié dans Communiqués de presse, Européennes 2019 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Conférence de Mathieu Bock-Côté le 5 juin à Bruxelles

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Le Cercle Pol Vandromme reçoit Mathieu Bock-Côté qui présentera son dernier livre "L'empire du politiquement correct" le mercredi 5 juin à 19h (accueil à partir de 18h30) au Thon Hotel Stéphanie à Bruxelles. Pour plus d'informations et inscription, visitez le nouveau site du Cercle en cliquant ICI
 
Québecois, et fier de l‘être, à 39 ans Mathieu Bock-Côté a déjà écrit une dizaine de livres, essentiellement des essais. Docteur en sociologie, chargé de cours à HEC Montréal, il collabore notamment au Journal de Montréal et au Figaro. Outre l’identité québécoise, ses thèmes de prédilections sont le multiculturalisme et l’identité nationale et il est considéré au Québec comme un « nationaliste conservateur ».

Même si son pays est un modèle de déconstruction, surtout depuis l’arrivée au pouvoir de Justin Trudeau, il s’intéresse à la situation en Europe et spécialement en France où il séjourne de plus en plus souvent.
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Son tout dernier livre «l’empire du politiquement correct» décrypte les lois explicites et implicites qui régentent la vie publique. Il y passe au crible les critères de la respectabilité politique et y analyse le traitement médiatique réservé aux auteurs à succès qui se sont affranchis des usages de la caste dominante.

Il dénonce dans ce livre le grand malaise démocratique d’aujourd’hui où le politiquement correct a remplacé la bonne vieille censure qui avait le mérite de se présenter à visage découvert.

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10:32 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Journal du chaos

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07:14 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |