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lundi, 16 septembre 2019

Energie éolienne, le vent de la colère

Armel Joubert des Ouches

Les projets d’implantation d’éoliennes se multiplient un peu partout en France. Parmi les derniers projets en cours, les Hautes-Alpes. Les Hautes-Alpes, c’est pourtant le lac de Serre-Ponçon, c’est un département à la nature préservée, c’est le parc naturel des Écrins, les parcs régionaux du Queyras, des Baronnies. Une centaine d’éoliennes sont prévues. Il y a les Pyrénées, le Maine-et-Loire, le Centre-Val de Loire.

Il y a Chartres. Même le site emblématique de la cathédrale de Chartres, premier site classé au patrimoine mondial de l’humanité par l’UNESCO, est menacé d’encerclement par des éoliennes. De nombreuses associations appellent à une manifestation, le 21 septembre prochain, pour s’opposer au projet.

Il y a l’Ille-et-Vilaine, en Bretagne, il y a aussi la Dordogne. Le 24 août 2019, près de 600 personnes ont défilé dans les rues de la commune de Saint-Aulaye. Dans le cortège, beaucoup d’élus. Des maires, des députés, des conseillers départementaux. Il y a aussi beaucoup d’associations de protection de l’environnement (la FED, la fédération Environnement durable, Association 3D, Forces Périgord 24, Stop Éolien 16, Vent du bocage). Il y a aussi l’association Chasse, pêche, nature et traditions. Le projet qui porte sur cinq éoliennes de 182 mètres de hauteur fait hurler une bonne partie de la population dispersées sur trois communes – 94 % des habitants concernés se sont prononcés contre.

« Une affaire d’argent »

Pour Jean-Louis Butré le président fondateur de la FED, l’association Environnement durable, « il s’agit d’une affaire d’argent. C’est subventionné ! À partir du moment où des promoteurs installent des éoliennes sur la France, ils gagent beaucoup d’argent qui est pompé sur la facture d’électricité des contribuables français. Les fonds financiers qui alimentent les sociétés éoliennes, il y en a partout ! Il y a des promoteurs d’éoliens qui sont partis avec un milliard d’euros ! »

Pour Julien Aubert, député LR de Vaucluse et rapporteur spécial sur le budget de l’énergie, « il y a des promoteurs qui ont des attitudes de cow-boys et qui ne disent pas toute la vérité sur la manière dont les choses se déroulent. Certains m’ont raconté qu’on leur avait proposé de l’argent pour régler un problème sans avoir à passer par des tribunaux… »

20.000 éoliennes prévues… pas aussi « propres » qu’ont le dit ?

Avec la loi sur la transition énergique, l’État prévoit la mise en place de 20.000 éoliennes partout dans l’Hexagone. Il en existe 8.000, actuellement, dans le pays.

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15:58 Publié dans Combat anti-éoliennes, Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dès maintenant, réservez vos places au grand banquet patriotique "Bleu Blanc Rouge" du samedi 12 octobre à Rungis

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Réservations (1) en ligne cliquez ici

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Animation : Docteur Merlin

(1) : la réservation au banquet est indépendante de l'entrée du billet d'entrée au RDV BBR.

11:29 Publié dans 13 - Les 13e Journées de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La fête du cochon grillé de la Fédération bretonne du Parti de la France a remporté un vif succès...

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Jean-Marie Lebraud, Carl Lang et Roland Hélie.

Dimanche 15 septembre se déroulait près de Rennes la traditionnelle fête du cochon grillé organisée par la Fédération bretonne du Parti de la France cliquez ici. Sous un soleil splendide, près d'une centaine de militants et de sympathisants se sont donc retrouvés dans une ambiance festive pour accueillir chaleureusement Carl Lang, président du parti, qui prononça, comme on pouvait s'y attendre, un discours incisif et argumenté contre la politique mondialiste menée par le gouvernement.

Autre intervenant, Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, venu en voisin. Après avoir remercié Carl Lang pour le combat courageux qu'il mène depuis dix ans à la tête du PdF, il appela les Bretons à venir en nombre samedi 12 et dimanche 13 octobre prochains à Rungis, près de Paris, au Rendez-vous Bleu Blanc Rouge organisé dans le cadre des 13e Journées de Synthèse nationale cliquez là. L'appel a semble-t-il été entendu puisque plusieurs voitures en partance de toute l'Armorique sont dores et déjà prévues.

Enfin l'après-midi se termina par un récital du talentueux chanteur breton Christophe BZH qui emballa l'assistance. Christophe BZH cliquez là, qui avait chanté il y a deux ans lors de la Journée de Synthèse nationale, nous a annoncé qu'il allait bientôt sortir un nouvel album.

Notons parmi les convives la présence de Philippe Randa, écrivain et éditeur, directeur du site EuroLibertés, ainsi que celle de plusieurs élus bretons.

Félicitations à Jean-Marie Lebraud, délégué régional du Parti de la France, et à toute son équipe pour l'organisation et la réussite de cette sympathique journée. 

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Un public nombreux et attentif.

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Carl Lang, le chanteur breton Christophe BZH et Roland Hélie.

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Parmi les convives, Philippe Randa (à gauche).

11:00 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dédicace du livre "Ordre nouveau raconté par ses militants" mardi soir à la Nouvelle Librairie...

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La Nouvelle Librairie : 11, rue de Médicis Paris VIe

Mardi 17 septembre, 18 h - 20 h

avec Jacques Mayadoux et André Chanclu.

10:55 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Grèves, manifestations, émeutes... Vers le chaos.

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L'avis de Jean-François Touzé

C'est une règle reconnue: confronté à une difficulté, tout dirigeant politique a tendance à vouloir refaire ce qui a déjà fonctionné une fois.

Pour avoir réussi — mais pour combien de temps ? — à endiguer le mouvement des Gilets jaunes à défaut d'avoir pu en calmer la juste colère, Macron espère, par la concertation, le débat, la conciliation et la procrastination, pouvoir éviter que les grognes catégorielles qui montent contre la réforme des retraites et la mobilisation des personnels hospitaliers ne se cristallisent et se transforment, attisées et encadrées par les syndicats politiques, en tsunami social.
 
La paralysie quasi totale des réseaux de la RATP vendredi dernier apparaît comme un sévère coup de semonce, en attendant les mouvements qui se préparent à la SNCF et dans la fonction publique pour la sauvegarde des privilèges acquis grâce aux scandaleux régimes spéciaux, tandis que les professions libérales entendent bien se faire entendre pour défendre leurs caisses autonomes.
 
Débats donc, encore et encore, y compris sur l'immigration pour tenter de faire croire au bon peuple que ses préoccupations sont entendues, comprises et seront prises en compte. 
 
Pour autant, cette fois, l'Exécutif n'a pas, face à lui, un mouvement désordonné mais des organisations aguerries, des centrales politisées, des militants structurés et disciplinés dont l'objectif reste révolutionnaire et la méthode stratégique "l'agrégation des luttes".
 
La résurgence des manifestations violentes noyautées par les activistes gauchistes comme on a pu le constater samedi à Nantes et comme on le verra sans nul doute samedi prochain à Paris, la perspective de grèves perlées ou massives qui paralyseraient le Pays, la lassitude et le manque de moyens des forces de l'ordre dont les conditions d'emploi sont incohérentes et inadaptées, peuvent créer demain les conditions d'un chaos dont sauront profiter non seulement les organisations d'extrême gauche, mais aussi, et sans doute surtout, les racailles venues d'ailleurs, sans parler de l'islamisme politique qui, dans de nombreuses villes, n'attend que la désagrégation des pouvoirs publics pour étendre son emprise.
 
Face à ces menaces, le pouvoir, le dos au mur, tergiverse et blablate.
 
Le grand mensonge de la Macronie est d'avoir voulu faire croire qu'il était le parti de l'ordre. Il n'est que celui de la faiblesse et de l'impuissance alors que la France a désormais un besoin vital d'un pouvoir national fort et autoritaire. 
 
Urgemment !

10:44 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 15 septembre 2019

ANNE BRASSIÉ, ÉCRIVAIN, INTERVIENDRA LORS DU RENDEZ-VOUS "BLEU BLANC ROUGE" DE SYNTHÈSE NATIONALE LES 12 ET 13 OCTOBRE À RUNGIS (94)

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Révolte de dix gouverneurs de la BCE contre Draghi pour éviter l’effondrement monétaire !

ROUSSET M 2.JPGMarc Rousset

La Bourse de Paris a clôturé, vendredi 13 septembre, à 5655, soit pratiquement le plus haut annuel de 5672 du 25 juillet, avec une hausse de 19,55 % depuis le 1er janvier. Wall Street a terminé aussi au plus haut, rassuré par le grand jeu, pour relancer la croissance, de Mario Draghi qui a menti publiquement en proclamant que le « consensus entre les gouverneurs était tellement important qu’un vote eût été inutile » et dévoilé un vaste programme supplémentaire de laxisme monétaire.

Mario Draghi, prenant acte du ralentissement économique en zone euro, a abaissé le taux négatif de dépôt des banques à la BCE de -0,4 % à -0,5 % pour inciter les banques à prêter aux entreprises et aux ménages. Un système de taux par paliers a été prévu pour alléger les charges d’intérêt actuelles des banques européennes, soit 1,7 milliard d’euros. Draghi a aussi annoncé une reprise des achats d’obligations de dette publique et privée par la BCE, à raison de 20 milliards d’euros par mois, à compter du 1er novembre, « aussi longtemps que nécessaire ». Des prêts géants « LTRO » aux banques en quasi-faillite seront aussi accordés par la BCE.

En fait, la zizanie la plus complète et la révolte règnent à la BCE, où les dissensions ont éclaté au grand jour ! « La BCE a dépassé les bornes », « il n’était pas nécessaire de recourir à des mesures d’une telle portée »« avec la décision d’acheter encore plus d’emprunts d’État, il sera encore plus difficile pour la BCE de sortir de cette politique. Plus elle dure, plus les effets secondaires et les risques pour la stabilité financière augmentent », a déploré le très sage et compétent Jens Weidmann, président de la Bundesbank, dans le grand quotidien allemand Bild, visant sans le nommer « Draghila » !

Déplorant plus particulièrement le « redémarrage » des achats d’obligations qui ont déjà permis de déverser 2.600 milliards d’euros sur les marchés entre mars 2015 et fin 2018 pour faire baisser les taux et relancer l’activité, le gouverneur néerlandais Klaas Knot n’a pas hésité à lancer un pavé dans la mare de l’univers feutré de la BCE, sous forme d’un communiqué : « Cette large panoplie de mesures est disproportionnée par rapport à la situation économique, et il existe de bonnes raisons de douter de son efficacité. »

Plus grave encore, avant la prise de fonction de la très diplomate et juriste – mais non compétente en matière monétaire – Christine Lagarde, le 1er novembre, la BCE se trouve contestée et fragilisée par dix gouverneurs sur vingt-cinq qui représentent au minimum 60 % du PIB de la zone euro. Se sont opposés au laxisme monétaire, entre autres – ce qui les honore -, François Villeroy de Galhau, gouverneur de la Banque de France, et le Français Benoît Cœuré, membre ultra-compétent du Comité exécutif, qui devrait occuper la place de Lagarde. Les dix gouverneurs contestent l’urgence et les mesures prises unilatéralement par Draghi. Selon l’agence Bloomberg, « il s’agit d’un désaccord jamais vu dans le mandat de 8 ans de Draghi à propos d’une décision majeure de politique monétaire ».

La triste réalité, c’est que les banques (diminution des marges et pénalité de 7,1 milliards d’euros sur les dépôts à la BCE) et les compagnies d’assurance-vie (mort lente avec la chute des rendements des fonds en euros et risque de faillite en cas de remontée des taux et donc de krach obligataire) sont en danger mortel. L’erreur de la Fed et de la BCE est de mener depuis trop longtemps une politique monétaire à seule fin d’éviter un krach boursier et obligataire, ce qui se traduit par des bulles boursières et immobilières encore plus élevées, le maintien en vie des entreprises zombies, la spoliation des épargnants.

Le seul avantage est d’assurer la solvabilité des États qui, tels les paniers percés français et italiens, continuent à s’enfoncer dans la dette publique. Dès la moindre remontée des taux, avec une charge de la dette de déjà 40 milliards d’euros, la France sera en faillite !

Il ne reste plus, en fait, à des pays comme la France, que le choix de sombrer de deux façons : soit par la fuite en avant monétaire actuelle qui se terminera par des krachs boursiers et obligataires, l’hyperinflation et la situation de l’Allemagne en 1923, soit par la hausse des taux et la fin du laxisme monétaire qui conduira à la récession, à la déflation, au chômage et à un krach mondial, style 1929, infiniment plus violent. Dans les deux cas, ne survivront économiquement que ceux ayant acheté de l’or et des actifs réels.

Boulevard Voltaire cliquez ici

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samedi, 14 septembre 2019

Hymne de France-Albanie, un couac qui aurait été évité… par des militaires !

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Thierry Decruzy, Polémia cliquez ici 

A force de tirer sur les budgets, de vouloir faire des économies, de n’écouter que les technocrates, on en arrive à l’incident diplomatique et le Président de la République se trouve obligé d’intervenir, sans éviter l’humiliation. La musique n’est pas une simple affaire d’argent...

France-Albanie au Stade de France, samedi 7 septembre. Dans la cérémonie d’ouverture du match la sono fait entendre l’hymne de l’Andorre, stupeur sur la pelouse où les joueurs sont alignés et dans les gradins où attendent les supporters. Stupeur doublée de scandale quand le présentateur du Stade de France, ancien animateur radio, confond dans ses excuses l’Albanie avec l’Arménie !

La France ridiculisée

L’organisation et la Fédération française de football sont ridiculisées. 80 000 spectateurs plus les télévisions du monde entier, l’ambassadeur d’Albanie, les représentants du football européen… le scandale est immense. Le match va débuter avec sept minutes de retard. Ils se sont tous confondus en excuses, président de la Fédération, sélectionneur de l’équipe de France… Le Premier ministre albanais parle de « gaffe scandaleuse », obligeant le Président de la République lui-même à présenter les excuses de la France.

Les ministres et les médias savent très bien donner des leçons sur la prétendue homophobie des supporters, les uns comme les autres sont incapables d’assurer une prestation internationale.

Se défausser sur un lampiste

Ce que les médias se gardent bien de dire, c’est que l’incompétence n’est pas celle du technicien qui se serait trompé de nom de fichier — faut toujours accuser un lampiste –, il n’est pas censé connaitre les hymnes et n’a pas à écouter les fichiers-sons qui lui sont fournis. Et d’ailleurs, distinguer l’hymne de l’Albanie de celui de la Principauté d’Andore, même à “Question pour un champion” ils n’auraient pas osé !

La responsabilité de cette erreur colossale incombe aux plus hautes instances de la FFF qui ont accepté la dégradation du cérémonial. En effet, ces prestations étaient traditionnellement fournies par des orchestres militaires, des musiciens professionnels connaissant parfaitement les hymnes et donc incapables de commettre de telles bévues. Sauf que dans la logique financière actuelle, les orchestres militaires facturent leurs prestations. Pour les technocrates, une simple bande-son libre de droits fait largement l’affaire. Et tout le monde sait que les journalistes n’aiment pas la musique militaire. On peut constater le lamentable résultat et ses conséquences internationales en matière d’image de marque pour la France et sa diplomatie.

Remplacer des musiciens par un enregistrement

La prestation d’un orchestre est un spectacle apprécié du public. En juin 2017, la musique de la Garde républicaine avait mis le feu au Stade de France pour l’ouverture du match France-Angleterre avec une chanson en hommage aux victimes de l’attentat de Manchester. Ces musiciens savent s’adapter, ils préparent une mise en scène et exécutent une chorégraphie dans une tenue irréprochable, ce service a un coût. Sa contrepartie se traduit par une qualité et une émotion qu’un enregistrement envoyé dans les circuits de sonorisation ne peut transmettre, surtout pas avec une inversion de fichier, mais ce sont des critères qui n’entrent pas dans les calculs des technocrates.

Il ne faudrait pas trop les pousser dans cette voie pour que ces individus nous proposent de mettre en place des matchs virtuels sur écrans géants. Dame ! terminés les cachets stratosphériques des joueurs, leurs déclarations jugées racistes et l’homophobie des supporters…

Nul doute qu’un “crâne d’œuf” du ministère des Sports a déjà conçu une nouvelle nomenclature performante pour gérer des hymnes nationaux enregistrés et libres de droits, jusqu’à la prochaine erreur du technicien. Qui pourrait leur dire que la musique n’est pas une affaire de techniciens, mais d’artistes ?

00:56 Publié dans En Europe et ailleurs..., Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 13 septembre 2019

RICHARD ROUDIER, PRÉSIDENT DE LA LIGUE DU MIDI, INTERVIENDRA LORS DU RENDEZ-VOUS "BLEU BLANC ROUGE" DE SYNTHÈSE NATIONALE LES 12 ET 13 OCTOBRE À RUNGIS (94)

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10:26 Publié dans 13 - Les 13e Journées de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 12 septembre 2019

Trouver un milliard pour les hôpitaux ? Facile : il suffit de supprimer l'AME !

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Jean-François Touzé
 
Encore une arnaque. Les 750 millions d'euros prétendument déployés par Agnès Buzyn, ministre de la Santé, pour permettre de faire face à la crise des Urgences et enrayer la dégradation de nos services hospitaliers, dégradation continue malgré le dévouement, le courage et parfois l'abnégation des personnels soignants, ne seront pas financés en dépenses nouvelles mais en redéploiement de budgets auparavant dédiés à d'autres secteurs hospitaliers.
 
Autrement dit, l'Exécutif déshabille Pierre pour habiller Paul, et des pans entiers de nos services médicaux auront à pâtir de ce tour de passe-passe comptable. 
 
Il aurait pourtant été aisé de trouver ces 750 millions sans dommage: en supprimant totalement et définitivement l'Aide Médicale d'État (AME) dont bénéficient mécaniquement, pour un coût annuel avoisinant le milliard d'Euros payé par les contribuables, tous les étrangers présents sur notre sol y compris les clandestins, pour des soins qui, dans bien des cas, dépassent largement les situations vitales ou d'urgence. Un récent rapport indiquait que des implantations de prothèses mammaires à des migrantes avaient ainsi été prises en charge par l'État.
 
Le Gouvernement se prépare, au contraire, à pérenniser l'AME pour la grande joie des migrants. À l'occasion du débat factice qui se déroulera à la fin du mois de septembre à l'Assemblée nationale, cette aide scélérate se verra confirmée par le Premier ministre dans sa forme, son coût, ses contours et son périmètre d'attribution. 
 
Tandis que des milliers de nos compatriotes se voient obliger de renoncer à certains soins essentiels...

23:14 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Ordre Nouveau : retour sur une épopée militante

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Grégoire Gambier Polémia cliquez ici

Cinquante ans après, ils sont de retour : les anciens d’Ordre Nouveau (ON) proposent un recueil de souvenirs, mais aussi d’analyses et de documents avec pour objectif d’expliquer la réalité de leur engagement et témoigner pour les générations à venir. L’ouvrage aurait pu tourner à l’évocation nostalgique si caractéristique des anciens combattants, entre souvenirs de « cogne » contre les « bolches » et de soirées plus ou moins arrosées à « refaire le monde » : il n’en est rien. Certes, l’ouvrage en contient, mais il va bien au-delà. Les quelque vingt-cinq témoignages recueillis par André Chanclu et Jacques Mayadoux donnent à voir ce qu’est la vie militante, pour ceux qui l’ignoreraient, et les ressorts du combat « national », pour ceux qui pourraient en trahir les idéaux, ou l’ont toujours plus ou moins sournoisement méprisé. Appuyé par une dizaine de contributions de personnalités extérieures au mouvement, parmi lesquels Philippe Conrad, Jean-Yves Le Gallou, Bernard Lugan ou encore Eric Delcroix et Pierre Vial, ce livre se révèle bien plus important – et pertinent – qu’une énième étude sur « l’extrême droite » pondue par un spécialiste auto-proclamé du sujet, généralement de gauche. Car il décrit la réalité du militantisme : une vie consacrée à son idéal, et les indéfectibles amitiés qui se forgent dans les combats menés en commun – surtout lorsqu’ils ont été perdus.

Résister à la déferlante gauchiste

Créé en décembre 1969, à partir du noyau dur du GUD, continuateur du mouvement Occident dissous en octobre 1968, ON connaîtra une existence aussi mouvementée que brève, étant lui-même dissous le 28 juin 1973, à la suite de l’attaque, la semaine précédente, de son meeting à la Mutualité et de son local, par des milliers de nervis gauchistes.

Il faut rappeler le contexte de l’époque. Aux lendemains de Mai 68, l’extrême gauche jouit de l’impunité acquise par tout vainqueur – fut-ce d’un pitoyable carnaval d’étudiants, enfants gâtés des Trente Glorieuses. La culture, l’éducation, la rue sont à eux. Marxistes-léninistes, « maos » et trotskistes de toutes obédiences entendent imposer par la force du nombre les acquis de la « Révolution » de Mai, et sa continuation. Rares sont ceux qui osent relever la tête, et plus encore se battre pour défendre, au-delà de leurs opinions, leur « être au monde » – seuls contre tous, ou au mieux un contre dix, cent ou mille. Ils ne seront sans doute jamais plus qu’une poignée – 1500 peut-être. On comprend dès lors que les militants d’ON seront souvent très jeunes, s’éveillant au militantisme dès 15 ou 16 ans, et compteront dans leurs rangs une forte proportion de travailleurs, ainsi que quelques femmes de tête dont certaines témoignent dans cet ouvrage (Catherine Barnay, Françoise Monestier, Véronique Péan, Marie-Thérèse Philippe) – tant il est vrai que le « sexe faible » n’est pas le dernier à avoir « des couilles » en situation dégradée…

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22:50 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Radio Libertés : l'émission "Synthèse" avec Marc Laudelout sur Céline

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Thomas Ferrier dédicacera son nouveau livre "Fascismes d'Europe" à la Librairie française ce soir

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10:19 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Immigration : l'aveu.

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L'avis de Jean-François Touzé

En couplant dans un même intitulé de commissariat européen les mots "migrations" et "protection du mode de vie européen", la nouvelle présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, a, sans doute par inadvertance et étourderie, créé une polémique qui en dit long sur les vraies intentions des tenants du mondialisme et de l'immigrationnisme.

En hurlant au scandale et en exigeant la modification  du nom de ce portefeuille, la gauche, les Verts, le centre, la fausse droite, les libéraux planétaristes, tous unis dans une même réprobation idéologique, formulent l'aveu éclatant de leurs intentions véritables : changer le mode vie européen, transformer l'identité des peuples, saper les principes et valeurs traditionnels, substituer un soubassement culturel à un autre.
 
Ce tohu-bohu, pensé, voulu et organisé porte un nom : c'est LE GRAND REMPLACEMENT. 
 
Qui a parlé de fantasme ?

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JEUDI 12 SEPTEMBRE SUR RADIO LIBERTÉS : MARC LAUDELOUT NOUS PARLE DE L'ACTUALITÉ CÉLINIENNE

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Une époque de dérèglement des esprits, avant la crise économique qui vient…

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Marc Rousset

La justice rendue d’une façon officieuse en France au nom d’Allah ou de l’humanité en lieu et place du peuple français, comme le remarque Éric Zemmour, des hélicoptères monétaires de la BCE demandés publiquement par les médias, des taux d’intérêts négatifs, du jamais vu dans l’histoire économique qui commence à préoccuper de nombreux responsables éclairés de grandes banques internationales…

Sans être un sachant infaillible politiquement correct, un citoyen normalement constitué, avec le plus élémentaire bon sens, peut se demander si nous ne vivons pas une époque d’esprits déréglés avec des idées saugrenues, ce qui caractérise toujours les périodes en ébullition pré-révolutionnaires ou de changement de régime politique, les krachs économiques les plus marquants dans l’histoire du monde.

Comme l’ont remarqué de nombreux chroniqueurs, les militants de Génération Identitaire qui avaient manifesté pacifiquement avec des pancartes « Défendre l’Europe », ont été condamnés injustement en première instance à 6 mois de prison ferme et 75 000 euros d’amende pour avoir soi-disant « créé une confusion avec la fonction publique » du contrôle de la frontière franco-italienne, au col de l’Échelle, ce qui est inexact.

Par contre la Cour de cassation a cassé la condamnation de Cédric Herrou, passeur d’immigrés clandestins, à 4 mois de prison avec sursis, prononcée par la cour d’appel d’Aix-en-Provence, suite à un recours devant le Conseil constitutionnel qui a reconnu, en se fondant sur les préambules de 1946 et 1958, « un principe de fraternité » d’où découlerait « la liberté d’aider autrui dans un but humanitaire ».

En matière économique, l’ubuesque règne aussi de nos jours en maître ! Alors que l’économiste Milton Friedman dans son ouvrage « The optimum quantity of money » avait pris comme symbole imagé un hélicoptère qui pourrait lâcher de l’argent au-dessus d’une ville pour relancer l’économie, cette idée est reprise le plus sérieusement du monde sur BFM TV, par l’économiste Daniel Cohen dans Les Échos, par l’économiste Moritz Kraemer dans le Financial Times, par le vice-président Philipp Hildebrand du géant de gestion d’actifs Black Rock… L’idée, pour tirer d’affaire les décadents incapables en faillite, est de reconstituer le miracle de Jésus-Christ avec la multiplication des pains !

La BCE se transformerait en Père Noël qui distribuerait 1 000 euros pour chaque Européen, en créant en plus du « quantitative easing » non conventionnel par achat de titres obligataires pour les banques, davantage de fausse monnaie, sans aucune contrepartie à l’actif du bilan, qui serait distribuée directement aux Européens. Ceci, afin de relancer l’économie et si possible l’inflation, voire même l’hyper-inflation, afin de diminuer le poids de la dette des emprunteurs. Cet argent distribué représenterait la bagatelle de 340 milliards d’euros ! IL y aurait immédiatement une perte totale de confiance dans la monnaie, plus personne ne voulant garder ses euros qui deviendraient progressivement des bouts de papier sans valeur, semblables aux « Deutsche Mark » de 1923 dont les Allemands tapissaient leurs murs !

Tout aussi grave est le cri d’alarme des banquiers qui commencent à mettre en avant la folie des taux d’intérêts négatifs en Europe, les États-Unis s’y refusant jusqu’à ce jour. Ces taux négatifs et bas correspondent à un vol annuel pur et simple de 160 milliards d’euros pour les épargnants. Lors d’un séminaire organisé le 4 septembre par Handelsblatt à Hamburg, Christian Sewing, DG de Deutsche Bank a contesté l’idée émise par Christine Lagarde de continuer à baisser les taux d’intérêt négatifs, car cela devient trop dangereux pour les banques et car cela n’aurait pas de conséquences positives pour l’économie. Le plus grave, c’est que Sergio Ermotti, DG d’UBS, la première banque suisse, partage cette opinion. Sewing a même pu dire : « À long terme, les taux d’intérêt négatifs vont ruiner et mettre à bas le Système » !

Sont également du même avis : le Norvégien Yngve Slyngstad, DG de Norges Bank Investment Management, le Hollandais Kees van Djikhuizen, DG de la célèbre banque ABN Amro Bank NV aux Pays-Bas et Martin Zielke, DG de la très grande banque allemande Commerzbank. Pendant ce temps Macron ne fait rien contre l’invasion migratoire ni pour diminuer les dépenses publiques d’une France en faillite et se préoccupe du réchauffement climatique non provoqué par le C02 humain ainsi que des feux en Amazonie moins nombreux que les années précédentes, afin d’amuser la galerie !

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mercredi, 11 septembre 2019

Un foot français haut en couleur

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Par Patrick Parment

Le journaliste sportif, spécialiste de football, Pierre Ménès, n’a pas la langue dans sa poche. Et son sang n’a fait qu’un tour à la lecture du Corriere dello Sport aux propos tenus par l’ancien joueur de foot, guadeloupéen de son état, Lilian Thuram : « Quand on parle du racisme, il faut avoir conscience que ce n’est pas le monde du football qui est raciste, mais qu’il y a du racisme dans la culture italienne, française, européenne et plus généralement dans la culture blanche. Les Blancs ont décidé qu’ils étaient supérieurs aux noirs et qu’avec eux ils peuvent tout se permettre ». Il faut dire que Lilian Thuram a fait de la dénonciation du soi-disant racisme son fond de commerce. Ce qui amène ce sinistre personnage à exiger des espèces sonnantes et trébuchantes pour nombre de ses déplacements soi-disant « humanitaires ». Passons.

Interrogé, Pierre Ménès n’a pas tardé à répondre : «  Ce qui me gêne toujours dans le discours de Thuram, c’est qu’il ne parle que du racisme contre les noirs. Je n'ai pas envie de parler de ça avec lui... Parce que moi, je vais lui dire ce que je vais vous dire, le vrai problème, en France, dans le foot en tout cas, c'est le racisme anti-blanc. J’invite les gens à prendre leur voiture et aller faire le tour des matchs en région parisienne le week-end. Allez voir ces matchs-là et comptez les blancs sur le terrain, en général, il y a le gardien de but et l’arrière droit », a-t-il affirmé.

Le terrorisme du politiquement correct dans le milieu médiatique - notamment télévisuel où Ménès officie - est tel qu’il a été obligé de rétropédaler, au risque, vraisemblablement, de se voir privé d’antenne. « On m’a mal compris », a twitté au final Ménès.

Il en pense quoi Didier Deschamps – payé 3,45 millions d’euros par an -,  de son équipe de France où les Blancs sont minoritaires ? On s’est amusé à regarder à la loupe cette fameuse équipe de France et l’on s’est aperçu que l’on a plus vite fait de compter les Blancs que les Noirs. Sur 42 joueurs sélectionnés, il y a en tout et pour tout 10 joueurs Blancs ! Cherchez l’erreur. Ce qui n’a pas échappé non plus au philosophe Alain Finkielkraut, de l’Académie française, qui, dans le journal israélien Haaretz se lâchait : « Les gens disent que l’équipe nationale française est admirée par tous parce qu’elle est black-blanc-beurre. En réalité, l’équipe nationale est aujourd’hui black-black-black, ce qui en fait la risée de toute l’Europe. »

Par ailleurs, vu tout le pognon que draine ce sport de débiles, qu’on ne vienne pas nous dire que les candidats « bien de chez nous » viennent à manquer. Tout semble donc bien donner raison à Pierre Ménès dont la punition, au final, est de continuer à commenter ce sport où le fric et le nègre sont rois !

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Etats-Unis : Bolton out !

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Le limogeage de John Bolton, Conseiller à la sécurité nationale de Donald Trump est une très bonne nouvelle.
 
Bolton était à la Maison Blanche le faucon des faucons, néo-conservateur intransigeant, idéologue et malfaisant, dans la triste lignée des équipes qui poussèrent Bush père et plus encore Bush fils à intervenir en Irak avec les conséquences que l'on sait.
 
Cette mise à l'écart confirme l'analyse selon laquelle Trump entend s'engager dans une désescalade vis à vis de l'Iran et une normalisation des rapports USA/Russie ce dont Bolton, va-t-en-guerre obsessionnel ne voulait à aucun prix. 
 
Confirmation également du rôle de fondé de pouvoir dévolu au pauvre Macron que le président américain utilise à sa guise pour des négociations parallèles loin du regard de l'opinion publique américaine au moment où se profilent les prolégomènes de la campagne présidentielle. Comme nous l'écrivions précédemment, Macron, loin d'être le nouveau prince de la diplomatie que l'on a voulu décrire à l'issue du G7 de Biarritz, n'est que le petit télégraphiste de Trump.
 
Les États-Unis restent les États-Unis. Leur volonté de puissance et d'instumentalisation de leurs supposés alliés est inaltérée. L'Europe ne sera elle même qu'en se délivrant de leur emprise.
 
Mais prenons pour l'heure notre miel là où il coule. Un néo-conservateur de moins est un ennemi à terre. C'est déjà cela de gagner.
 
Encore un effort, Donald... Mike Pompéo est encore là.

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mardi, 10 septembre 2019

Jeudi 12 septembre : Bruno Gollnisch à Toulouse

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23:57 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le mauvais citoyen

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Bernard Plouvier

Aux bons temps de l’URSS, paradis des travailleurs, comme chacun sait, on répandait un slogan, devenu ritournelle : « Un assassin n’est dangereux que pour un seul homme ; le mauvais citoyen est nuisible à tout un peuple ».

C’était une philosophie un peu sommaire. Mais, à cette époque, on croyait beaucoup à la rééducation des criminels de droit commun, que l’on n’exécutait qu’à la 3eou 4erécidives. En revanche, on envoyait en Sibérie ou en hôpital psychiatrique ceux des dissidents qu’on n’avait pas fait disparaître… le Bon Joseph du Kremlin en avait expédié un ou deux millions, en 1936-38.

La bonne question à poser est, bien sûr et en valeur absolue, donc valable en tout temps et pour tous les pays : Qu’est-ce qu’un mauvais citoyen ?

De plus en plus, en Europe occidentale – pas seulement en Macronie où le phénomène est poussé fort loin, on le reconnaît avec fierté -, est considéré comme tel celui qui se proclame l’ennemi du régime et défie ouvertement le pouvoir.

En l’occurrence, il s’agit de l’abominable individu qui trouve insupportable la dictature des LGBT militants, ou celle des partisans d’un surplus d’immigration d’origine extra-européenne (ces malheureux « réfugiés » qui ne demanderaient qu’à travailler et s’intégrer), ou encore celle des chantres d’un islam de légende (religion d’amour, du féminisme bien compris et de l’entente entre les peuples… si, si !).

Horreur et scandale suprêmes, il existe même des « fachos » pour réclamer une Justice équitable, impartiale, où l’on appliquerait la Loi dans sa sévérité votée par les élus du peuple ; des arriérés qui exigent le respect des usages et des coutumes autochtones, tenant à saluer les gloires nationales, en lieu et place d’illustres exotiques (allez demander à Bernard Lugan ce qu’est devenue l’Afrique du Sud, après le passage du non-regretté Nelson Mandela). Ou encore, ces « réactionnaires » qui souhaitent un minimum de courtoisie et de calme dans les relations humaines et osent exiger un maximum de professionnalisme et d’honnêteté au travail.

De fait, on a dressé le portrait-robot de l’ennemi de la Nouvelle Société Qui Gagne… à être très vite remplacée.

Car après tout, c’est la Nation qui est seule souveraine et non pas une mafia d’élus ou de hauts-fonctionnaires, qu’ils soient les hommes et femmes de main d’un État ou d’une structure floue supranationale.

Le seul véritable patron de l’État, c’est son corps électoral. Et si les citoyens sont honnêtes, ils doivent en tout premier lieu penser à l’avenir de leurs enfants. Le vrai Bon Citoyen doit exiger le respect des notions universelles et diachroniques : celles de l’honneur, du travail, de la famille et de la patrie, même si l’on étend désormais la patrie à l’Europe des Nations de souche européenne.          

Le régime actuel est mauvais, fondé sur l’éphémère petit plaisir, sur le matérialisme primaire : en clair sur le fric et la frime.

Le bon citoyen doit rejeter cette ignominie et voir au-delà de la grosse Merkel ou de Jeunot Ieret Dernier. Le Bon Citoyen doit gérer la chose publique comme le faisait le Citoyen Romain, notre seule référence d’Européens, en bon père de famille.

Au XVIIIesiècle, une chanson française se terminait par : « Et merde au roi d’Angleterre qui nous a déclaré la guerre » (ce qui prouve que Pierre Cambronne était bien de son époque). La nôtre doit être tout aussi rude dans son expression, mais dirigée contre les vrais maîtres du moment : multinationales de la production, du négoce, de la finance et de la manipulation du crétin de base qui forme l’essentiel des opinions publiques… et le lecteur n’a que l’embarras du choix, le Net ayant largement fait connaître la ribambelle des Ripoux qui nous dirigent.

15:11 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dimanche 15 septembre : FÊTE DU COCHON DU PARTI DE LA FRANCE EN BRETAGNE

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13:19 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

VINCENT VAUCLIN, PRÉSIDENT DE LA DISSIDENCE FRANÇAISE, INTERVIENDRA LORS DU RENDEZ-VOUS "BLEU BLANC ROUGE" DE SYNTHÈSE NATIONALE LES 12 ET 13 OCTOBRE À RUNGIS (94)

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11:29 Publié dans 13 - Les 13e Journées de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L’Afrique du Sud : état des lieux

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Par Bernard Lugan

En Afrique du Sud, pays de Nelson Mandela, des Noirs massacrent d'autres Noirs. Qui plus est, des Noirs immigrés, des frères migrants venus de pays ayant jadis soutenu leur lutte contre le régime blanc... Comme en 2016, un peu partout, notamment au Natal et dans la région de Johannesburg, les étrangers noirs, qu'ils soient Malawites, Mozambicains, Somaliens, Zimbabwéens, Soudanais ou Nigérians, sont ainsi de nouveau pris pour cible, lynchés, brûlés vifs, cependant que leurs pauvres biens sont systématiquement pillés par des foules ayant échappé à tout contrôle policier. Voilà de quoi déstabiliser ces cocus idéologiques qui, croyant au mythe-guimauve de la « nation arc-en-ciel », prétendaient que les maux du pays découlant de la domination blanche, une fois la majorité noire au pouvoir, les fontaines de la démocratie laisseraient couler le lait et le miel de la fraternité... 

 La réalité est évidemment autre car ces tueries xénophobes illustrent l’échec de la « Nouvelle Afrique du Sud » dont les dirigeants ont dilapidé le colossal héritage reçu de l’ancien régime blanc. Résultat :

- Le revenu de la tranche la plus démunie de la population noire est inférieur de près de 50% à celui qu’il était sous le régime blanc d’avant 1994 ;

- 17 millions de Noirs vivent essentiellement des prestations sociales et 14 millions ne survivent que grâce au versement d’une allocation (Social Grant) qui leur assure le minimum vital ;

- Le taux réel de chômage est de près de 35%, et celui des jeunes âgés de 15 à 34 ans de plus de 50%.

 En 25 années de pouvoir, l'ANC - le parti de Nelson Mandela -, a donc transformé la prospère Afrique du Sud en un Etat du « tiers-monde » dérivant dans un océan de pénuries, de corruption, de misère sociale et de violences, réalité en partie masquée par les derniers secteurs ultraperformants  encore tenus par des Blancs. Un naufrage économique qui tient en trois points :

1) La production minière nécessite une énorme modernisation et donc de gros investissements ; or, la main d’œuvre noire revendiquant des salaires plombant la compétitivité,  les investisseurs ont délocalisé.

2) Les cadres blancs continuent à quitter le pays, chassés par la discrimination inversée, l’incroyable insécurité et le surfiscalisme.

3) Le secteur agricole, le seul à être excédentaire a été littéralement assassiné par la décision de spoliation des fermiers blancs.

Dans ce pays où un abîme s'est creusé entre une infime minorité de profiteurs noirs et des millions de chômeurs, d’assistés et de travailleurs sous-payés qui paralysent le pays avec de continuels mouvements de revendication, l’abyssal échec économique et social de l’ANC a donc débouché sur des violences xénophobes, les étrangers étant accusés de prendre le travail des plus pauvres. Au pied du mur, acculé par le bilan de ses détournements et de son incompétence, l’Etat-parti ANC n’a désormais plus que trois options :

1) Chercher à redresser l’économie en empruntant une voie libérale, mais il provoquera alors une révolution.

2) Accuser le bouc-émissaire blanc en tentant de faire croire que la situation est un héritage de l’apartheid et en nationalisant les mines et la terre. La « poule aux œufs d’or » sera alors définitivement  tuée, comme au Zimbabwe, et le pays sombrera encore davantage  dans la misère.

3) Recourir à la « planche à billets », ce qui, comme au Zimbabwe, provoquera d’abord l’inflation, puis une hyperinflation et la ruine totale du pays.

Source : L’Afrique réelle

10:24 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

À Londres comme ailleurs, faire sauter le verrou parlementarisme.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
L'Angleterre est, on le sait, le berceau de la démocratie parlementaire.
 
Les débats picrocholins, interminables et surréalistes qui se tiennent depuis deux ans aux Communes et accessoirement à la Chambre des Lords sur les conditions de la sortie de la Grande Bretagne de l'Union européenne — et, à vrai dire, de sa sortie elle même — sont en passe de faire la preuve du caractère éminemment nocif et pervers d'un système que les Anglais s'enorgueillissent d'avoir inventé et dont Winston Churchill disait à tort qu'il était le meilleur à l'exception de tous les autres.
 
Empêtré, malgré ses louables tentatives d'en réduire les effets, dans les sombres ficelles de la politique des Chambres, des tribunes et des couloirs, Boris Johnson est aujourd'hui le dirigeant d'un pays paralysé par ses propres institutions représentatives.
 
À Londres comme ailleurs, la démocratie parlementaire est bien le verrou des volontés populaires.
 
Un verrou que les les partis nationaux européens devront, le jour venu, faire sauter.

09:08 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 09 septembre 2019

Les auteurs du livre "Ordre nouveau raconté par ses militants" entament un tour de France pour présenter le livre

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Conférence à Clermont-Ferrand le jeudi 5 septembre à l'occasion de la sortie du livre "Ordre nouveau raconté par ses militants"

Les deux auteurs du livre (Jacques MAYADOUX et André CHANCLU)  seront présents. 

Présentation du livre, dédicaces. 

Suivront :

Lyon, vendredi 6 septembre

Toulouse, dimanche 8 septembre

Rouen, jeudi 12 septembre

Lille, vendredi 13 septembre

Paris, La Nouvelle Librairie, mardi 17 septembre


Pour avoir l'adresse du lieu de la conférence envoyez un mail à l'adresse mail présente sur le flyer. ordre.nouveau.livre@gmail.com

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17:18 Publié dans Livres, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

André Chanclu et Jacques Mayadoux invités par Martial Bild sur TV Libertés pour présenter le livre "Ordre nouveau raconté par ses militants"

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14:42 Publié dans Livres, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 08 septembre 2019

ALAIN ESCADA, PRÉSIDENT DE L'INSTITUT CIVITAS, INTERVIENDRA LORS DU RENDEZ-VOUS "BLEU BLANC ROUGE" DE SYNTHÈSE NATIONALE LES 12 ET 13 OCTOBRE À RUNGIS (94)

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21:21 Publié dans 13 - Les 13e Journées de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Urgences ? Immigration stop !

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L'avis de Jean-François Touzé :
 
Eteindre les incendies tout en laissant se développer les départs de feu sans jamais s'opposer aux pyromanes, telle est, on le sait, la doctrine nouvelle d'un Emmanuel Macron en pleine chiraquisation, doctrine à laquelle tous les acteurs de l'Exécutif sont désormais priés de se soumettre.
 
Agnès Buzyn, ministre de la santé n'échappera pas à cette règle. En annonçant un plan global en faveur des hôpitaux et plus particulièrement des Urgences en crise depuis des mois, la ministre tente donc de verser du sable sur les braises pour essayer de les réduire. Avec six cent millions injectés dans le système hospitalier destinés à restructurer les services, améliorer les traitements du personnel médical, mettre fin aux fermetures de lits et peut être même en rouvrir, la ministre espère apaiser la colère et gagner quelques précieuses années de calme jusqu'à la réélection en 2022 de l'actuel locataire de l'Elysée.
 
Une fois de plus, la République des illusions, des artifices et du grand camouflage est à l'œuvre.
 
Le vrai problème des Urgences n'est pas seulement financier même si la santé publique est un devoir d'Etat qui impose aux gouvernants de consentir les efforts budgétaires nécessaires.
 
Le vrai problème des Urgences n'est pas l'incivisme supposé de nos compatriotes qui les pousserait à consulter en service hospitalier pour tout bobo subalterne.
 
Le vrai problème des Urgences a un nom, une réalité et une exponentialité : IMMIGRATION!
 
Seule une politique sans faiblesse d'arrêt total de l'immigration suivie d'un vaste plan de retour au pays rendra aux Français la qualité des soins auxquels ils ont droit dans la sécurité, et l'environnement paisible retrouvés de nos hôpitaux.

21:19 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Réunion de rentrée du Bureau politique du Parti de la France ce samedi 7 septembre à Paris.

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Communiqué du Parti de la France :

Ouvrant la séance, Carl Lang, président du parti a dressé un large panorama de la situation politique française : une Macronie dont les assises n'ont été que peu entamées par la crise des Gilets jaunes et qui entend bien profiter des faiblesses de la droite, du centre et de la gauche pour puiser de nouvelles ressources électorales lors des Municipales et des Régionales. Un Rassemblement National devenu cartel électoraliste, allant de reniements en reniements mais bien décidé à jouer le jeu complice voulu par Macron : installer la bande des deux (LAREM + RN) dans la perspective de la Présidentielle de 2022.

Dans ces conditions, la vraie droite nationale doit s’organiser et se dynamiser pour être le moment venu un recours.

Le Parti de la France entend bien être dans les années à venir un pôle de rassemblement tant sur le plan militant que sur celui de la compétition électorale. Un rassemblement auquel la jeunesse militante de France, nationale et identitaire, est conviée dans une vision politique de l'action publique.

Pour les  élections Municipales de l’année prochaine, le PdF présentera des listes dans plusieurs villes et en soutiendra des dizaines d'autres. Nous communiquerons dans les mois a venir sur les villes concernées.

Une grande partie de cette réunion studieuse fut consacrée à la préparation du Congrès du parti qui se déroulera mi novembre à Paris. Ce sera un congrès de renouvellement et de redémarrage.

Le Parti de la France participera, par ailleurs, à la grande manifestation parisienne du 6 octobre contre la PMA sans père et la GPA.

20:47 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

 Des « circonstances atténuantes » à la tuerie de Villeurbanne ?

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Bernard Plouvier

Pour la énième fois depuis 2014, un « réfugié » mahométan tue et blesse avec un poignard d’honnêtes passants, par le simple fait qu’ils ne sont pas de sa race et de sa religion. 

Le fait est patent. Néanmoins, voilà-t-il pas qu’au lieu de se pencher sur le caractère multi-récurrent du phénomène depuis cinq longues années, meurtrières à souhait, les journalistes des chaînes télévisées et radiophoniques cherchent et trouvent (!) des excuses au meurtrier, comme ils le font avec les violeurs et les pédophiles, sauf s’ils sont européens de souche et/ou (de mauvais) chrétiens.

Pourtant, les choses sont simples : chaque mois, on tue du « Souchien », du non barbu - un mahométan y regarde à deux fois avant d’expédier un barbu puisque cet artifice pileux est fort « tendance » chez ses coreligionnaires. L’évidence du crime sélectif et gratuit devrait être constatée par nos « chers journalistes ». Que non pas !

Tout le monde connaît le déchaînement de haine envers ceux qui nient la réalité de tel ou tel génocide. Or, le négationnisme se porte bien, s’il a pour but de renforcer la politique immigrationniste de nos princes, toutes tendances confondues, depuis la funeste année 1976 et le décret de regroupement familial des travailleurs immigrés décidé par le couple maudit Giscard-Chirac. 

Crevez, Français de souche européenne, vous n’intéressez pas nos princes et leurs valets du monde merveilleux des média, au service de la méga-consommation. 

Après tout, si vos enfants meurent, s’ils sont rackettés, tabassés, violés, c’est peut-être parce que, depuis un demi-siècle, vous votez pour les candidats d’une mafia au service, non pas de la Nation, non pas du « peuple souverain », mais au service des superbénéfices des producteurs et des négociants… qui n’ont pas toujours une quelconque attache française ni même européenne. 

Électeurs, vous avez gravement péché contre la Nation et l’État. Vos enfants et petits-enfants en subiront toutes les conséquences… à moins d’un sursaut d’honneur et d’orgueil national, de moins en moins probable, s’agissant d’un « peuple de veaux », comme disait ouvertement le sieur de Gaulle. 

Faudra-t-il attendre un salut de l’Est ?  

20:47 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |