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jeudi, 15 août 2019

Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, invité sur TV Libertés

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Il faut soutenir le soldat Salvini

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Le billet de Patrick Parment

Une fois de plus on constate l’assourdissant silence de l’Europe au sujet des migrants illégaux qui pénètrent sur nos terres notamment via ces nouveaux terroristes que sont les ONG en général et maritimes en particulier. C’est, entre autres, l’île de Lampedusa en Italie qui en est souvent la cible et la raison pour laquelle le ministre de l’Intérieur et l’homme fort du régime italien, Matteo Salvini, a pris un décret interdisant à ces navires d’accoster dans les ports italiens et de déverser leurs flots de migrants au nom d’un humanisme de pacotille. De fait, ces actes illicites relèvent plus de la pure provocation que d’un humanisme bien tempéré et plutôt mal placé.

Car, à bien des égards, permettre à des migrants de pénétrer en Europe est un acte criminel. A plusieurs titres. Le premier est que ces migrants ne trouveront pas de travail et qu’ils seront condamnés à la mendicité et à venir grossir le flot d’un lumpenprolétariat qui ne profite qu’aux esclavagistes du travail au noir. Deux, que ces migrants pèsent sur les finances publiques en matière de santé et d’aides sociales diverses et variées. Trois, que ces migrants viennent enrichir les chiffres, déjà alarmants, de la délinquance comme peuvent en témoigner tous les pays de l’ex-Europe occidentale. Tiens, comme c’est bizarre ! Quatre, parce qu’il est criminel de la part de ces ONG d’aider des familles entières qui n’hésitent pas à mettre en danger la vie de leurs propres enfants au nom d’un avenir qui ne sera pas meilleur que celui des bidonvilles dont ils sont issus.

Matteo Salvini est d’autant plus un symbole de résistance qu’il a le peuple italien derrière lui. Contre lui, toute la camarilla bien-pensante de la démocratie chrétienne chapeautée par un jésuite déguisé en pape. Autrement dit, un faux-cul sud-américain qui n’en a rien à foutre de l’Europe. Et qui ne cesse de le prouver par ses propos délirants.

Inutile de préciser que Matteo Salvini se bat également contre le lobby franc-maçon bien implanté à Bruxelles, à l’humanisme frelaté mais au libéralisme bien ancré. Sans compter aussi sur le lobby des instances juives qui ne veulent surtout pas qu’une Europe indépendante et forte, maîtresse de son destin, viennent contrarier les intérêts de sa seconde patrie, l’Amérique. C’est d’ailleurs, sur le fond, tout le combat qui se déroule actuellement entre les tenants d’un libéralisme mondialisé et suicidaire et les antilibéraux qui veulent un retour aux politiques de proximité. Une fois de plus, nous constatons toutes les limites que nous impose la démocratie dans l’oubli du politique.

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Un tocard nommé Jean-Miche Ribes

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Par Charles Demassieux

« Au pourceau, l’ordure ne pue point », dit un proverbe français. Syllogisme évident : Jean-Michel Ribes aime l’ordure, donc Jean-Michel Ribes est un pourceau !

Ribes, qui s’engloutit de lui-même, a encore frappé de ses petits doigts boudinés de courtisan sur le retour, qualifiant de « pourriture absolue » et de « bubon » Matteo Salvini, lequel a annoncé, jeudi dernier, sa rupture avec le Mouvement 5 Étoiles, réclamant dans la foulée des élections anticipées dont il sortirait, selon toute vraisemblance, vainqueur. Et ça, le purulent apatride qu’est Ribes ne peut le supporter.

Ribes, est un « cultureux de gauche » plein de troubles, comme l’insinuait il y a quelques années Marianne – hebdomadaire intelligent quand il n’est pas bête –, narrant les déboires de ce dernier lorsqu’il eut à faire face au mouvement social des intermittents du spectacle tenant tête à son camarade François Hollande, alors président de la République. Pour en finir avec cette grogne, Ribes convoquait, déjà à l’époque, le danger du populisme, cette chose infâme venue des bas-fonds où l’on a le mauvais goût d’avoir faim de pain et de tranquillité plutôt que de mises en scène « adauchieuses » : « Il y a un moment où il faut savoir s’arrêter. Dans le climat populiste actuel, dans ce XXIe siècle qui ne démarre pas, sur cette planète où il y a des conflits partout, il faut accepter la négociation. Sinon c’est une déclaration de guerre. Et la guerre ça fait toujours des morts. » Ribes démontrait là qu’il était un parfait, et non moins perfide, petit serpent sifflant et rampant du système. Un serpent qui siffle depuis trop longtemps sur nos têtes (dixit Racine) !

Armé du « courage » qui sied à son troupeau – par exemple flinguer la Croix (voir l’indigente pièce « Golgota picnic »), mais pas le Croissant ! –, Ribes se gave volontiers de subventions graisseuses pour proposer ses « subversives » mises en scène qui disent toute l’inanité du personnage.

Se faire payer par l’argent du peuple ne l’empêche d’ailleurs pas de le vomir, ce peuple, en participant notamment à la diabolisation de Marine Le Pen. Voilà à quoi servent vos deniers, les gueux !

Puis, après avoir pompiné Hollande, voilà qu’il salive avec Macron, le Ribes ! Courtisan, je vous disais… : « Jean-Michel Ribes, directeur du théâtre parisien du Rond-Point, qui avait pris position entre les deux tours en faveur d’Emmanuel Macron, déclare à l’AFP qu’il « part plein d’espoir ». « Peut-être que le nouveau président aura la possibilité de réunir tous les talents qui auraient dû travailler ensemble depuis très longtemps et qui en ont été empêchés par les clivages politiques. Je crois vraiment qu’il va permettre au pays de passer au XXIe siècle. Il faut qu’on arrête de téter le sein du XXe siècle. Je ne voudrais pas que cela recommence comme avec François Hollande le lendemain de son élection, qu’il y ait une grêle, un mitraillage contre lui. Ça suffit », avertit le metteur en scène. »

Et pour dire sa « manière de penser, exhaler [son] ressentiment, vomir [sa] haine, expectorer [son] fiel, déterrer [son] indignation ! » (dixit Flaubert), ce colombin cholérique a les médias à disposition. Pour avoir écouté parfois la glose glaireuse de l’intéressé, il a le talent de la pensée laxative, celle qui s’en va dans le tourbillon trouble des chasses d’eau !

Ribes vomit donc tout ce qui relève de l’authentique et enracinée culture occidentale – celle que des Matteo Salvini ou des Marine Le Pen défendent –, ignorant, l’imbécile, qu’il en est là de sa liberté parce que, précisément, il est né en France, sur une terre occidentale, c’est-à-dire de culture chrétienne. Mais il serait vain d’expliquer à ce furoncle l’importance capitale du christianisme dans l’acquisition de la liberté et des savoirs – petite parenthèse : pour ce dernier point, je conseille aux lectrices et lecteurs cet excellent essai de Richard Bastien, Le crépuscule du matérialisme.

Ribes, dont la flatulence verbale est un supplice pour qui a un peu de lettres et d’esprit (dixit Edmond Rostand), n’envisage la culture que par le prisme étroit et éminemment idéologique de la gauche libérale, s’asseyant sans doute allègrement sur Barrès, Bernanos, Mauriac, etc., autant d’auteurs prodigieux et enracinés. Si j’osais, je dirais qu’il n’y a aucun art chez Ribes, sinon quelques gesticulations plus ou moins inspirées, étant entendu que : « Une œuvre d’art, c’est le moyen d’une âme » (Maurice Barrès). Or, Ribes est une créature servile qui n’a d’âme que par procuration !

Pour finir ma diatribe exutoire, je ne saurais résister plus longtemps à la tentation de dédier à la boursouflure ribéenne ces quelques mots jadis adressés par Céline à Sartre : « Satanée petite saloperie gavée de merde, tu me sors de l’entre-fesse pour me salir au dehors ! […] Ici ! Que je t’écrabouille ! Oui !… Je le vois en photo, ces gros yeux… ce crochet… cette ventouse baveuse… c’est un cestode ! »

Source : Riposte laïque

PS/ Le Théâtre du Rond-Point bénéficie de subventions de près de 4 millions d’euros dont une subvention d’exploitation de 1,9 million HT de la mairie de Paris.

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mercredi, 14 août 2019

Pas de vacances pour les Bien-Pensants !

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Par Anne-Sophie Chazaud

Cette semaine a permis d’assister au spectacle drolatique des Belles Ames, lesquelles ne savent plus trop quoi faire pour occuper leur temps libre.

L’acteur Richard Gere tout d’abord, devenu comique malgré lui, est venu faire le show en Méditerranée avec des migrants dont il demande au petit peuple européen d’assurer l’accueil, se gardant naturellement bien de les emmener sous son bras généreux dans sa villa cossue. Il faut dire, le monde hollywoodien semble être en proie à quelque redoutable bacille toxique, en pleine décompensation anti-Trump, ne sachant plus trop quoi produire comme preuve de sa bien-pensance malsaine contre laquelle des décennies de psychanalyse caricaturale et onéreuse ou de méditation guidée auront été manifestement inefficaces. Ainsi, Rosanna Arquette, la malheureuse possédée, s’est déclarée dans la même semaine «honteuse et dégoûtée d’être née blanche et privilégiée» (même si cela présente toutefois l’avantage de pouvoir recourir abondamment à la chirurgie esthétique laquelle n’est, comme chacun sait, pas accessible au tout venant). Bref, ces pauvres gens vont mal et il semble urgent de s’en prémunir par quelque prophylaxie de circonstance, bien que le rire demeure la première des médecines.

Richard Gere, Rosanna Arquette et le Pape

Le Pape, ensuite, semble désormais clairement faire partie des croix et des épreuves que les Chrétiens doivent porter pour gagner leur chemin au Paradis. Coutumier des déclarations-bouillies, François a cette fois-ci décidé de s’essayer à la philosophie politique (demain ce sera peut-être le macramé, qui sait ?), fustigeant tout à trac le méchant «souverainisme». Jusqu’à présent, on avait le célèbre mantra «le nationalisme c’est la guerre». Désormais, c’est carrément le souverainisme issu lui-même du méchant "populisme" qui nous conduit tout droit à Hitler en personne.

Forcément, que les peuples soient souverains, c’est dangereux. Celui que le destin vengeur nous a imposé comme Pape concède tout de même qu’il est normal que les peuples détiennent leur souveraineté (Comment, du coup ? Par l’opération du Saint-Esprit ? Nul ne saura, c’est un épais mystère jésuitique…), mais à la condition au fond de ne pas l’exercer et d’être privé des moyens pour cela. Il est du reste bien connu qu’avant l’avènement funeste du rouleau compresseur institutionnel de l’Union européenne, les peuples européens vivaient repliés sur eux-mêmes à la manière des bigorneaux, n’avaient jamais de contacts entre eux… La culture européenne d’ailleurs n’existait pas, les artistes, les intellectuels, les artisans n’échangeaient pas, le commerce non plus et chacun vivait d’ailleurs tapi dans une grotte, comme Paco Rabanne à l’approche de l’an 2000.

Il est toujours bon de rire mais…

Notons enfin que ce biais de la question migratoire semble être le dernier moyen qu’ait trouvé le Pape pour se mêler des affaires séculières… Ce qui constitue une très sérieuse entorse à la laïcité, ce dont personne ne semble se soucier pour une fois !

Ce n’est pourtant pas, semble-t-il, aux prélats de s’occuper des affaires politiques, ou alors, tant qu’à faire, on aimerait l’entendre un peu plus au secours de ceux qui, en Europe, souhaitent justement protéger la civilisation issue du judéo-christianisme… grâce à laquelle il a son travail. Tout comme on aimerait voir François un peu plus concerné par le sort des Chrétiens d’Orient massacrés ou persécutés.

Il est toujours bon de rire. Mais que ce soit le Pape (qui n’a donc nul besoin de l’avion et de l’ivresse des cimes pour dire des fadaises), ou les bouffons en provenance d’Hollywood, si les Belles Âmes pouvaient se contenter de faire leur show dans le cercle familial le temps du mois d’août, cela nous ferait des vacances !

Source : La lettre de Causeur 13/08/2019

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Le 29 août 1949, débute l’équilibre de la Terreur nucléaire

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Bernard Plouvier

Il faudra bien, un jour (assez lointain, on le reconnaît volontiers, puisque trop d’intérêts politiques, économiques et tribaux sont en jeu), écrire l’histoire du XXesiècle telle qu’elle a été et non telle que la présente la propagande des vainqueurs de 1945. 

Franklin Delano Roosevelt, effaré par la rechute de la crise économique aux USA au second semestre de 1937, avait compris que son New Deal – soit une expérience d’économie dirigée – était une absurdité dans un pays aussi étendu qu’un continent et pourvu d’énormes richesses naturelles, dont une armée d’ingénieurs inventifs et entreprenants.

Il a progressivement, durant les années 1937-40, ruminé ses projets d’économie globale et de mondialisation de la vie politique, corrélés à une exportation de l’american way of life. C’est pourquoi, le cher homme voulait anéantir les pires concurrents économiques des USA : les puissances allemande, nippone, française et britannique. Il espérait faire main basse sur le meilleur des Empires coloniaux et des protectorats (de fait ou de droit) : les Indes et l’Indonésie, l’Indochine et la zone côtière de Chine, le Maroc et l’Égypte, Dakar, les pétroles d’Iraq, d’Iran et d’Arabie saoudite.

Dans cette stratégie géopolitique à moyen et long termes, la bolchevisation d’une grande partie de l’Europe était une excellente tactique : les Allemands, Français, Néerlandais et Britanniques concentreraient leurs forces pour se défendre contre les visées impérialistes du colosse soviétique et seraient forcés de céder tout ou partie de leurs colonies. Il n’était d’aucun intérêt pour FDR de parlementer avec les Allemands de l’opposition au Führer. Il fallait détruire un maximum d’êtres et de biens en Europe : occupés à relever leurs ruines, les Européens qui ne seraient pas tombés sous la coupe de la grotesque économie soviétique ne pourraient plus concurrencer de longtemps les exportateurs US.

C’était le sens et l’objectif de la Déclaration de Casablanca que FDR n’eut aucune difficulté à faire agréer par Churchill, ivre mort à son habitude, tandis qu’Eden protestait en vain. L’Incondional Surrender était idéale pour faire se battre Allemands et Nippons jusqu’à complet écrasement. Tout être sensé en Europe – et même aux USA, mais cela ne faisait pas grand-monde là-bas en janvier 1943 – jugeait insane une telle exigence de Capitulation sans condition, dont les conséquences furent autant de crimes contre l’humanité.

FDR meurt le 12 avril 1945, d’une hémorragie cérébrale consécutive à une hypertension artérielle maligne. Son successeur, le très intelligent Harry Truman (ci-dessus avec Staline), n’est au courant de rien. Lorsque le 25 avril 1945, le gouvernement suédois lui fait connaître l’offre d’Himmler de mettre bas les armes à l’Ouest pour mieux se battre contre l’Armée Rouge, il est bien obligé de refuser : son opinion publique a gobé les idées rooseveltiennes et a été tenue dans l’ignorance des dégâts monstrueux et des tueries de civils induits par les bombardements terroristes de l’US-Air Corps en France, aux Pays-Bas et surtout en Allemagne. De toute façon, il lui semble qu’il est trop tard pour changer d’option politique.    

Sa décision, rendue publique le 26 avril, eût peut-être été différente s’il avait alors disposé de l’arme utilisant la fission de l’atome. Truman était convaincu de la réalité du péril bolchevik et de la nécessité de faire bloc avec l’Europe occidentale. Sa politique ultérieure le démontre.

C’est lors de la Conférence de Potsdam (du 17 au 25 juillet) que Truman irrité par l’arrogance de « Staline » décide d’user des deux bombes atomiques dont dispose l’US-Army après l’explosion de celle du désert d’Alamogordo, le 16 juillet. Il donne cet ordre, moins pour terminer la guerre contre le Japon – dont le gouvernement réclame depuis le début du mois des négociations d’armistice –, que pour freiner les visées impérialistes du dictateur soviétique.

De fait, jusqu’à l’époque où la trahison de marxistes (en grande partie des judéo-marxistes) aura permis aux Soviétiques de faire exploser leur bombe au Kazakhstan, le 29 août 1949, débutant « l’équilibre de la terreur nucléaire », « Staline » laissera en paix le reste du monde. C’est la trahison du secret atomique qui fut la cause première du déclenchement de la Guerre de Corée, le 25 juin 1950.

De nos jours, s’il faut en croire le Yearbook de 2018 (rapport annuel) du SIPI (le Stockholm International Peace Institute), dont le siège est à Solna, dans la banlieue nord-ouest de la capitale suédoise, environ 15 000 bombes contenant des isotopes radioactifs menacent notre environnement… soyons honnêtes : depuis 1990, le stock a été divisé par cinq (il en existait un peu plus de 70 000 à la fin de la Guerre froide).

Les 6 500 bombes russes et autant pour les USA ne sont guère à craindre, comme le sont les 300 françaises ou les 215 britanniques, et il est probable que les dirigeants de la Chine n’useront pas de leur stock, évalué entre 270 et 300 « têtes nucléaires ». Peut-on en dire autant des 140 bombes pakistanaises et de la même quantité dont dispose l’armée indienne, des 80 à 90 bombes israéliennes ou des 15 à 30 de Corée du Nord ?

Certes, des méta-analyses ont démontré que les bombes d’Hiroshima et de Nagasaki n’avaient pas entraîné ces flambées de mutations génétiques et de malformations fœtales évoquées par toutes les publications des écologistes de pacotille. Mais il est exact qu’après une explosion atomique ou une fuite grave d’isotopes radioactifs, l’on observe durant trois à cinq ans une augmentation régionale des cancers de la thyroïde, des leucémies et des lymphomes.

Bombes atomiques et bombes à neutrons sont des armes qui menacent les populations civiles désignées comme cibles par des dictateurs déments ou par des stratèges du terrorisme politique ou religieux. Il y a juste 70 ans que nous en sommes menacés et cela n’est pas près de finir ! La vie sur Terre est un Enfer, chacun peut le constater. Était-il absolument nécessaire d’y ajouter un nouvel ingrédient ?   

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Jean-Pierre Mocky : le dernier des anarchistes ?

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Nicolas Gauthier

C’est l’un des réalisateurs les plus singuliers qui vient de nous quitter, à l’âge de 86 printemps, ou 90 hivers, selon ses dires, parfois fantasques. Dans le monde du septième art, il n’est pas donné à tout un chacun de devenir un « auteur » ; c’est-à-dire de créer son propre univers, à nul autre comparable, dans lequel on entre ou non, c’est selon. En France, il y a eu Éric Rohmer et Jean Rollin. Il y a encore Jean-Luc Godard et Claude Lelouch. Jean-Pierre Mocky était au rang de ces derniers.

En effet, il y avait une patte Mocky, un style Jean-Pierre. Des films (plus d’une soixantaine) et des séries télévisées (plus d’une quarantaine) ; souvent tournés à l’arrache, généralement avec de grands acteurs – Bourvil, Michel Serrault, Jean Poiret ou Catherine Deneuve – venus se faire plaisir avec le trublion. On dit « plaisir », sachant qu’ils étaient à peine payés au tarif syndical : avec la seule moitié du budget cocaïne d’un Top Gun(Tom Cruise devant la caméra et Tony Scott derrière), Jean-Pierre Mocky aurait pu tourner au moins vingt longs-métrages…

On reconnaît aussi un « auteur » au fait que son œuvre repose sur les mêmes thématiques. Ainsi, l’homme avait ses cibles de prédilection, notables et curés au premier chef ; les hypocrites, surtout. Mais c’était sans haine. Et quand il s’empaille sur les plateaux de télévision, avec Christine Boutin et l’abbé Laguérie, à propos de son film Le Miraculé, consacré aux marchands du Temple de Lourdes, c’est finalement en une saine polémique empreinte de franche rigolade.

À cette occasion, Christine Boutin, alors députée des Yvelines, estime que le cinéaste n’est autre qu’un « grand farceur », ce qui n’est pas faux. Certains critiques de cinéma ont tenté de le tirer, qui à gauche, qui à droite, alors qu’il n’était au fond que vieil anarchiste bougon. Michel Marmin, éminent spécialiste du cinéma et dont les mémoires, La République n’a pas besoin de savants, ont été salués sur ce site, se souvient :

« Ce que je pense aujourd’hui de Mocky, je l’ai exprimé dès les années 70 dans Valeurs actuelles, notamment à propos de L’Ombre d’une chance et d’Un linceul n’a pas de poche. On me permettra de me citer : “C’est un utopiste à la manière des vieux républicains fouriéristes, qui pense que la société devrait être fondée sur la morale et sur la vérité, qui croit à la mutualité universelle, et qui ne peut se consoler de la méchanceté des hommes.” Tel est resté, selon moi, le sens de la violence et de la dérision de ses films, et jusque dans les téléfilms de la série Myster Mocky présente, toujours réjouissants. Mocky était un anachronisme permanent, et j’ai même écrit qu’il était “un homme de la seconde moitié du XIXe siècle”, je dis bien du XIXe siècle ! L’admiration que je lui témoignais dans mes articles l’avait d’abord surpris, venant d’un critique œuvrant dans un journal de droite, mais son anarchisme n’avait pas de frontières : la gauche parlementaire ne lui inspirait guère plus de sympathie que la bourgeoisie pompidolienne ou giscardienne, surtout quand elle s’acoquinait avec les communistes (que l’on se souvienne de sa désopilante caricature de Georges Marchais dans Y a-t-il un Français dans la salle ?). Il y avait un côté L’Assiette au beurre chez Mocky, et ce côté-là en faisait une sorte de petit-cousin de Léo Malet, qu’il lisait et adorait. Je me suis alors mis en tête de les rapprocher, ce rapprochement aboutissant à un projet d’adaptation par le cinéaste de la série des Nouveaux Mystères de Paris. Le projet n’eut malheureusement pas de suite. Malheureusement, car Mocky, dont on oublie qu’il était aussi un merveilleux acteur, eût fait lui-même un formidable Nestor Burma. »

Comme aurait chanté Eddy Mitchell, vu dans Ville à vendre et À mort l’arbitre !, deux des films les plus réjouissants du défunt, cette vieille canaille nous manquera.

Boulevard Voltaire cliquez ici

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mardi, 13 août 2019

Mascarade, fantasmagorie et flon flon

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Par Jarente de Senac

Faisons un rêve titrait naguère Sacha Guitry. Ceci s’applique désormais aux trois gugusses qui briguent la présidence des Républicains, parti désormais moribond depuis que les électeurs l’ont déserté. Laurent Wauquiez assurant l’échec a regagné ses pénates rhodaniennes. Ce parti n’existe plus désormais que par ses très nombreux élus à l’Assemblée nationale, au Sénat, en région, aux départements, dans les mairies avec ses nombreux conseillers. Depuis Sarkozy, ce parti manque singulièrement de leader. Et encore, Sarko n’était qu’un feu follet qui n’a jamais su donner corps aux propos qu’il tenait. Propos qui avaient réussi à ébranler l’électorat du Front national.  Seulement de la pensée à l’acte Sarko n’a jamais franchi le Rubicon. N’est pas César qui veut.

Trois candidats se sont donc déclarés à ce jour pour reprendre le flambeau d’un parti qui se consume : Christian Jacob, Julien Aubert et Guillaume Larrivé.

Christian Jacob, 59 ans, est l’un de ces nombreux sous-produits du chiraquisme totalement dénué d’idée et peu susceptible d’incarner « une certaine idée de la France ». Cet ancien de la FNSEA n’a finalement réussi qu’à être un habile politique, roué à la tambouille parlementaire. Avoir fait de ce gardien de vaches le patron de son groupe à l’Assemblée en dit long sur le niveau intellectuel de ses membres. On en rigole encore. Julien Aubert, 41 ans, énarque, n’est pas mieux loti. Lui, il ambitionne de revenir aux beaux jours de l’UMP, l’alliance impossible entre centristes et vagues droitistes tendance zombi gaulliste. Quant à Guillaume Larrivé, 42 ans, ex-conseiller de Sarko, il veut redonner toute sa place aux militants sur un axe ni République en marche, ni Rassemblement national. Du chiraco-coco-sarkozisme.

Certes, l’un d’eux sortira du chapeau. Qu’importe d’ailleurs lequel, car tous trois ont un charisme de poisson rouge. Ces tenants d’une droite dite républicaine, tant elle exclue du paysage le poids électoral du Rassemblement national, est vouée à l’échec. Il n’est pas nécessaire d’être grand clerc pour comprendre que se priver de 20% d’un électorat français dont les abstentionnistes sont majoritaires, revient à se coller une balle dans le pied. Cette droite-là n’a toujours pas compris qu’il fallait revoir ses fondamentaux à l’aune d’un paysage sociologique français qui a profondément changé et tout droit issu des erreurs commises par nos politiques - de droite comme de gauche - depuis cinquante ans. Giscard n’avait déjà rien compris au film, ses successeurs encore moins.

De cette petite révolution à faire, nos trois gugusses en sont totalement incapables, tant ils ont aux pieds le poids des lobbies. L’avenir, pour l’instant, est toujours macronien. Un Macron qui ne fait que gérer, au jour le jour, les emmerdements de la boutique France. Mais de politique, il n’est toujours pas question !

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Quelques sorties en septembre :

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lundi, 12 août 2019

Les grands méfaits du libéralisme

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Le billet de Patrick Parment

Inutile d’être un analyste politique distingué pour se rendre compte que le fait majeur n’oppose plus la gauche à la droite – notions a priori obsolètes – mais bien les tenants du libéralisme aux antilibéraux. Autrement dit les partisans d’une économie mondialisée, aux « nationalistes » mais dans une perspective moins "natio" qu’européenne, cela va s’en dire. Pour nous l’enjeu c’est bel et bien la défense et l’illustration d’une Europe de la puissance plutôt que ce magma libéral informe qui ouvre nos économies à tous les vents et dont Bruxelles est devenu le symbole.

C’est curieusement dans un domaine où l’on ne s’y attendait pas que se révèle l’un des méfaits majeurs du libéralisme pour les Européens : le médicament. Autrement dit notre santé. Ce problème a été mis en lumière récemment quand certaines pathologies se sont vues soudainement privées de leurs médicaments salvateurs.

Horresco referens, on s’est alors aperçu que nombre de médicaments étaient fabriqués en Asie du Sud-Est, en Inde et en Chine. Regardons de plus près cette affaire qui nous affecte. C’est en 2018 (seulement !) qu’un rapport sénatorial (27 septembre 2018, rapport n° 737, dirigé par Yves Daudigny) se penche sur cette soudaine pénurie. Celles-ci trouvent, en partie, leur origine dans la délocalisation des entreprises pharmaceutiques. 40% des médicaments finis commercialisés en Europe sont fabriqués hors de l’Union européenne, contre 20% il y a trente ans. La Chine et l’Inde concentrent désormais l’essentiel de la production. Et, la demande des marchés asiatiques, en forte croissance, contribue à fragiliser le système.

La question qui se pose est : comment en est-on arrivé là ? Le phénomène débute dans les années 2000 quand de nombreux médicaments d’origine chimique voient leurs brevets tomber dans le domaine public et peuvent, dès lors, être « génériqués ». Quand la valeur d’un médicament princeps se dégrade, son prix et ses volumes chutent rapidement. La bataille ne se fait plus sur le prix et les marges. La concurrence s’exerce alors au centime d’euro près. Raison pour laquelle les grands labos se mettent à sous-traiter la production de principes actifs et d’excipients à des pays disposant d’un main d’œuvre bon marché et soumis à des exigences réglementaires et environnementales moins fortes. Même logique pour le fabricants de médicaments génériques à marges faibles qui doivent serrer les coûts.

Comme le note un spécialiste du secteur, « les laboratoires devaient aussi faire place à de nouvelles molécules, plus rentables, dans leurs usines ». Et c’est ainsi, à titre d’exemple, que Rhodia a fermé sa dernière usine de production de paracétamol (Doliprane, Efferalgan, pour ne citer qu’eux) en Europe, située en Isère. Et c’est ainsi que l’Asie du Sud-Est est devenu l’atelier de la pharmacie. Sur les 206 médicaments chimiques autorisés par l’Agence européenne du médicament, entre 2012 et 2016, 16 sont produits en France, 65 en Allemagne et 57 en Angleterre. Il n’y a plus que 92 sites de production en France quand l’Inde et la Chine en comptent plusieurs milliers. Cherchez l’erreur ?

Le libéralisme signe là une de ses nombreuses victoires. Au détriment, de notre santé, mais plus encore des intérêts européens. Comme le disait Alexandre Vialatte, « Et c’est ainsi qu’Allah est grand » !

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dimanche, 11 août 2019

BRIGITTE BARDOT DÉNONCE SUR UNE PLEINE PAGE LES MÉTHODES DE "L'AÏD EL-KEBIR" DANS LE FIGARO

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Le vieux bellâtre défraîchi Richard Gere apporte son soutien aux clandestins qui viennent envahir l'Europe

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Quand Hollywood vient faire la leçon aux citoyens européens. Ce vendredi 9 août, Richard Gere, célèbre acteur américain, est monté à bord de l'Open Arms, ce navire pseudo-humanitaire à qui l'Italie, Malte ou encore l'Espagne ont refusé d'ouvrir leurs ports.

« Nous sommes ici sur le navire Open Arms », a-t-il indiqué dans une vidéo diffusée par l'ONG espagnole Proactiva Open Arms. Et d'ajouter : « Je viens d'arriver depuis Lampedusa, nous avons apporté autant d'eau et de nourriture que possible pour tout le monde à bord ».

Le vieux beau aux multiples navets n'a pas précisé combien de migrants il comptait recueillir et loger dans ses luxueuses propriétés.

Par ailleurs, également ce vendredi, l'Ocean Viking, le nouveau navire de SOS Méditerranée et Médecins sans frontières (MSF), a « secouru » 85 migrants. L'embarcation en question, qui était partie de Libye, a été repérée jeudi soir par un avion de l'opération européenne Sophia. Matteo Salvini, de son côté, a rapidement adressé un courrier au gouvernement de Norvège, dont le navire bat pavillon. « L'Italie n'est pas juridiquement tenue, ni disposée à accueillir les immigrés clandestins non identifiés, se trouvant à bord de l'Ocean Viking », a fait savoir le ministre italien de l'Intérieur.

Source Thomas Joly cliquez ici

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Économie mondiale : récession et retour de l’or

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Marc Rousset

L’or est tellement inutile par rapport au dollar, comme nous l’ont répété inlassablement pendant des années l’Amérique et le politiquement correct, qu’aujourd’hui, tout le monde en veut. Le 7 août, l’once de métal précieux a passé le seuil des 1500 dollars : un sommet inconnu depuis le plus haut de 2013 et le plus bas de 2014, suivi d’une remontée continue et irrésistible en accélération rapide. Depuis le début du mois de juin, le cours s’est apprécié de plus de 15 %. Dans un monde en quasi-récession où l’argent ne rapporte plus rien, la « relique barbare » de Keynes retrouve son statut de « valeur refuge ».

Mario Draghi, lors de sa dernière conférence de presse à la BCE, avait confirmé « que la situation est inquiétante. On est en zone de vigilance rouge. » La croissance s’affaiblit en zone euro, plus particulièrement en Allemagne et dans le secteur manufacturier. L’Italie pourrait même connaître la récession en 2019, avec un taux de chômage de 28,1 % chez les 15-24 ans et une différence de taux d’emprunt de 2,35 % par rapport au taux allemand à 10 ans en raison de la crise politique. En Chine, on assiste à un premier repli en trois ans de 0,3 % en juillet des prix à la production, tandis que Pékin envisage des mesures de soutien supplémentaires.

Le monde assiste à une première qui n’a jamais existé dans l’histoire économique, à savoir la folie de l’argent gratuit et des taux d’intérêt négatifs. Tout le monde veut de l’inflation pour rembourser ses dettes en monnaie de singe et une dévaluation des taux de change pour vendre davantage aux autres pays.

La Banque du Japon et la BCE détiennent respectivement 50 % et 30 % des obligations émises par leurs gouvernements. Alors que les taux ne cessent de baisser, les obligations à rendement négatif ont dépassé, pour la première fois, la barre des 14.000 milliards de dollars, dont 1.000 milliards en augmentation accélérée pour les entreprises. Tout cela ne peut se terminer, compte tenu de la fragilité du système bancaire européen, que par un krach pire qu’en 1929, avec un effondrement de la monnaie style Zimbabwe ou Venezuela où le salaire mensuel actuel est inférieur à 8 euros.

Une guerre des devises démarre dans le monde, suite à la nouvelle arme chinoise de dévaluation de 7 yuans pour 1 dollar, nonobstant l’arrêt de l’achat de produits agricoles américains. Il est difficile de savoir si l’« usine du monde » Chine va résister ou s’effondrer, ne serait-ce que par le risque d’exode des capitaux. La stratégie de dévaluation est donc pour elle à double tranchant. La Chine pourrait, en revanche, augmenter la pression sur les États-Unis en réduisant sa montagne de 1.000 milliards de dollars de bons du Trésor américain. Tout le monde veut également baisser les taux d’intérêt par crainte de la récession (Nouvelle-Zélande, Philippines, Inde).

Quant à l’inversion de la courbe des taux qui a toujours précédé une crise financière et économique aux États-Unis en 1990, 2000 et 2008, elle atteint aujourd’hui le chiffre record de -0,5 %, avec un taux américain à 10 ans de 1,75 %, contre 3 % à l’automne et un taux à court terme de la Fed de 2,25 %.

Les banques centrales européennes viennent de mettre fin à leur pacte sur l’or en s’engageant à ne plus en vendre. Depuis la crise financière de 2008, elles ont même été acheteuses nettes d’or, bien qu’en moins grandes quantités que la Russie, la Chine, la Hongrie, la Pologne, l’Égypte, le Kazakhstan, la Turquie et l’Inde. Durant la dernière décennie, les banques centrales ont acheté plus de 4.300 tonnes d’or, l’or ne représentant actuellement que 11 % des réserves mondiales.

Selon l’économiste Ambrose Evans-Pritchard, « petit à petit, le monde se dirige vers un standard or de facto, sans aucune réunion du G20 pour l’annoncer », ce qui conforte l’analyse des experts de JP Morgan Chase comme quoi le dollar est surévalué. Comme la livre sterling après les accords de Bretton Woods en 1945, le dollar perdra progressivement son statut de monnaie de réserve mondiale (61,7 % des réserves des banques centrales aujourd’hui). La chute du dollar pourrait commencer dès fin 2019, selon JP Morgan, au fur et à mesure que le prix de l’or continuera de s’envoler.

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samedi, 10 août 2019

Un livre à lire cet été : Le 1er Bataillon de Zouaves de Louisiane

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Peu de gens le savent : durant la guerre de Sécession un bataillon de Zouaves français s'est battu aux côtés des Confédérés. C'est cette aventure surprenante faite de multiples rebondissements que nous raconte avec brio dans un livre sorti récemment à l'Atelier Fol'fer, Eric Vieux de Morzadec.

En lisant Le 1er Bataillon de Zouaves de Louisiane non seulement vous passerez un bon moment, et, en plus, vous apprendrez beaucoup sur cette guerre qui déchira les Etats-Unis au XIXe siècle dont les causes sont bien souvent réduites à quelques fadaises adaptées à la pensée dominante d'aujourd'hui.

Les choses n'étaient pas aussi simples... Loin de se résumer à une caricaturale affaire d'esclavagisme, cette guerre vit s'affronter deux conceptions de l'Union : celle du Nord libéral et affairiste et celle du Sud traditionnel et identitaire... Et il est bien dommage que ce soit le Nord qui en sorti vainqueur...

R.H.

Voici la note de l'éditeur :

Un régiment français dans l'armée confédérée durant la guerre de Sécession
Eric Vieux de Morzadec

La guerre de Sécession est revenue récemment sur le devant de la scène avec les tentatives de destruction des monuments mémoriaux du Sud. Un Sud qui s’est battu pour combattre l’invasion de son territoire, décidée en toute illégalité. Dans les deux camps, des Français de naissance ou d’origine se sont engagés avec détermination. La Louisiane, État de culture française, prit le parti de la Sécession et mit sur pied des unités pour renforcer l’armée de la Confédération.

À La Nouvelle-Orléans, la famille Coppens, originaire du Nord de la France et de Belgique, leva un bataillon de zouaves qui allait participer à la plupart des grandes batailles de cette guerre.

Ce livre raconte l’histoire de ces hommes qui, loin de leur patrie d’origine que certains avaient servie en Crimée et en Italie, ont mis leur vie et leur honneur au service des États confédérés d’Amérique. Le Premier Bataillon de Zouaves de Louisiane se distingua à chacun de ses engagements. Il est temps de rendre justice à ces soldats français oubliés. Malheur aux vaincus ! Mais gloire aux combattants !

Éric Vieux de Morzadec, ancien officier de carrière, a participé à des opérations extérieures sur le terrain. Il est membre de l’Association des Fils des Combattants de la Confédération. Il connaît bien le Sud des États-Unis auquel des liens particuliers l’attachent. Chroniqueur occasionnel sur l’antenne de Radio-Courtoisie, il y évoque régulièrement avec Alain Sanders l’épopée du Sud, pour rétablir une vérité occultée et déformée depuis 1865 par le politiquement correct.

Le commander à l'éditeur cliquez ici

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A propos de "l'union des droites"...

KauGK8qK_400x400.jpgL'avis de

Jean-François Touzé

Je ne crois pas à court terme à l'Union des droites en France. La droite républicaine malgré son affaiblissement clinique n'a pas encore atteint le point de décomposition absolue et Macron, en en récupérant une partie, pérennise le Système, tandis que la droite nationale reste éparpillée et sans leader incontesté. Les choses se feront un jour. Probablement dans des conditions, selon des modalités et autour d'une personnalité encore imprévues.

Mais si l'Union des droites est un jour possible chez nous, elle devra ressembler à ce que bâtit aujourd'hui Matteo Salvini.

l'Union de la Lega, structure majeure et centrale, de Fratelli d'Italia, des reliefs de Forza Italia, le tout soutenu par Casa Pound, voilà qui me va très bien.

12:19 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 09 août 2019

Rendez-vous Bleu Blanc Rouge : RETENEZ DÈS MAINTENANT VOTRE PLACE AU BANQUET PATRIOTIQUE DU SAMEDI 12 OCTOBRE À RUNGIS

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Dans le cadre du rendez-vous Bleu Blanc Rouge des 12 et 13 octobre prochains (13e Journées de Synthèse nationale), samedi 12 octobre à partir de 19 h 30, vous pourrez participer au banquet patriotique qui se déroulera dans une grande salle réservée spécialement à cet effet sur place dans l'Espace Jean Monnet à Rungis.

Ce banquet amical, réalisé par un traiteur alsacien, sera accompagné d'une animation musicale.

Pour nous simplifier la tâche, nous vous invitons à vous inscrire dès maintenant à cette soirée festive.

Participation : 30 euros par personne (indépendante du ticket d'entrée) 

Vous pouvez aussi envoyer vos réservations à Synthèse nationale 9 rue Parrot (CS 72809) 75012 Paris (correspondance uniquement, chèque à l'ordre de Synthèse nationale).

Réservation en ligne cliquez ici

19:23 Publié dans 13 - Les 13e Journées de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

« Le plus grand massacre de l’histoire de l’humanité »

Conférence du docteur en philosophie Holger Strohm.

Une analyse que tout humain devrait considérer avec la plus grande attention et la plus grande gravité ! Holger Strohm rend compte aujourd’hui des liens et des causes des nombreux conflits et des nombreuses souffrances qui sévissent actuellement sur notre planète. Il y soulève de nombreuses questions. Les nombreuses guerres des dernières décennies, ainsi que les Première et Seconde Guerres mondiales, sont-elles le fruit du hasard ? Ou y a-t-il un plan soigneusement élaboré derrière cette destruction, derrière cet endettement mondial, derrière le déclin des valeurs à tous les niveaux, derrière l’immense pollution de l’environnement, etc.

Y a-t-il des gens qui ont planifié et écrit depuis longtemps cette situation désastreuse ? Et qu’est-ce que les Guidestones en Géorgie, aux États-Unis, et le plan visant à réduire la population mondiale à moins de 500 millions de personnes ont à voir avec cela ? L’histoire de l’humanité est pleine de pillages et de guerres. Et au Moyen Âge et à l’époque coloniale, des pays entiers ont été anéantis et pillés, et ainsi certaines personnes sont devenues incroyablement riches. Comme le montrent sans équivoque les citations de Churchill, deux guerres ont été imposées à des pays comme l’Allemagne pour nous piller. Et tout cela ne s’arrête pas parce que le Nouvel Ordre Mondial et ses francs-maçons de haut rang prétendent tout contrôler et dominer : l’éducation, l’argent, le droit, la politique, l’économie, l’histoire, la psychologie, le mental, la médecine, la religion, les médias, etc., et ils décident aussi quelles personnes peuvent prendre des postes importants pour imposer leur politique. Ces personnes ne sont ni de gauche, ni de droite. Elles sont tout à la fois. Elles divisent les gens pour les exploiter, selon le système du fascisme. Elles provoquent le chaos et les conflits pour dominer sur le monde.

Source: kla.tv

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12:31 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

9 AOÛT 1945 : À NAGASAKI, LE DIABLE L’EMPORTE

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Francis Goumain dans Jeune-Nation

Et si la reddition du Japon avait été retardée pour pouvoir lancer les deux bombes atomiques ? Il est maintenant admis par tout le monde que la reddition du Japon n’était pas l’objectif des deux bombes lancées les 6 et 9 août dans ce qui restera une sorte de 69 atomique « américain ».

Le Japon avait déjà proposé sa reddition à partir d’avril 1945, dans des termes très proches de ceux finalement retenus, la seule condition qu’ils avaient : qu’on ne touche pas à l’Empereur. Refusée par les Américains, alors que pourtant, par la suite, non seulement les Américains ne vont pas toucher à l’Empereur (en le faisant comparaître pour crime de guerre), mais qu’ils vont s’appuyer sur lui pour gérer l’après-guerre. Pourquoi alors avoir retardé la reddition ? Parce que les bombes n’étaient pas prêtes !

Deux raisons ont été jusqu’ici avancées pour expliquer ces deux bombardements : marquer de façon spectaculaire l’ouverture de la période de domination américaine, et faire peur à Staline et à l’Armée rouge qui menaçaient de déferler sur le reste de l’Europe.

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11:54 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

SOLIDARITÉ AVEC CASAPOUND ! NOS CAMARADES ITALIENS DANS LE COLLIMATEUR DE LA MAIRIE DE ROME

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Matteo Petrachi Terre et peuple cliquez ici

Rome, le 25 Juillet 2019

C'est en fin de matinée qu'a pointé le bout de son nez le Maire de Rome, Virginia Raggi, accompagnée de policiers au siège de nos camarades de la Casapound, située « via Napoleone III ». En effet, les lettres de marbre ornant la façade de l'immeuble sont jugées « abusives »... Il est vrai que dans le quartier « populaire » de l'Esquilino, cela ferait presque « brutta figura1 »... ! D'autant plus que nos chers camarades à la Tortue Fléchée, toujours aussi clairvoyants et prompts à systématiquement se remettre en question, ont suspendu une longue bannière plus haut sur la façade sur laquelle est écrit : « Questo è il problema di Roma », littéralement « Ceci est le problème de Rome ». Pour Virginia Raggi, peut-ête la provocation de trop, ou peut-être une occasion de pouvoir faire évacuer une bonne fois pour toutes les militants.

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Casapound Italia a donc été mise en demeure de retirer la bannière ainsi que les lettres de marbre, sous peine d'amende et d'évacuation forcée. Cependant, au gouvernement, l’évacuation du bâtiment ne semble pas être considérée comme une priorité, bien qu'il eut été soi-disant estimé depuis 2003 un « dommage public » supérieur à 4 millions d’euros pour les « pertes de recettes » du fait de « l'occupation » des lieux.

Début juillet, l’Agenzia Del Demanio2 avait déjà déposé une plainte pour demander l’évacuation : une plainte qui, selon ladite agence publique, « promet de faire bondir au sommet de la liste des expulsions le siège de CasaPound » mais jusqu’à présent, il ne semble pas y avoir eu de mesures allant dans ce sens. Alors que la Raggi essayait de notifier sa mise en demeure, la Lega et le M5S ont rejeté à la Chambre un ordre du jour proposé par le Parti Démocrate qui engagerait le gouvernement à faire évacuer le bâtiment.

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Rome, le 06 Août 2019

Nouvelle venue de Virginia Raggi et ses sbires en fin d'après-midi, sommant nos camarades de retirer immédiatement leurs lettres de marbre. C'est après de longues discutions visant à apaiser les tensions et surtout pour faire entendre raison à Madame le Maire que les militants ont finalement décidé de s'exécuter.

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« Virginia Raggi marque un point. Dans une ville devenue latrine et blague de l’Italie, la beauté d’une écriture de marbre parfaitement en ligne avec le style rationaliste d’un palais des années 1930 dénote trop. Nous l’enlevons momentanément en attendant la renaissance de Rome qui aura lieu le jour – désormais proche – dans lequel le fléau taliban de Madame Raggi sera définitivement vaincu et chassé de Notre ville ». C’est ainsi que CasaPound a motivé sa décision de supprimer la célèbre inscription en marbre de la façade de l’édifice de via Napoléon III.

Casapound, le problème de Rome. Vraisemblablement, faire partie d'un mouvement nommé « 5 Étoiles » ne fait pas briller de par son bon sens Madame le Maire, qui semble oublier ou ne pas voir ce qui se passe dans les rues de sa ville : Ordures non ramassées et accumulées, végétation non entretenue, routes et ouvrage d'art dégradés, migrants parfois drogués et/ou alcoolisés, violents ou parfois nus, faisant leur besoins en pleine rue à la vue de tous, sans oublier les « oubliés » : ces familles Italiennes sans ressources, dont certaines d'entre elles sont justement hébergées par « le problème de Rome ».

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Nous faisons naturellement part de tout notre soutien à nos camarades Italiens, en leur souhaitant de savoir rester les derniers debout dans l'Arène. Et comme le chante notre camarade et ami Gianluca Iannone, à notre tour nous leur disons : « Tenete duro, non mollare, ne vedrete delle belle ! Arremba Sempre ! »3

Notes

1 Trad : « Mauvaise Image »

2 Organisme public gérant les propriétés appartenant à l'état.

3 « Tenez-bon, ne lâchez rien, vous en verrez de belles ! Toujours à l'abordage ! » Zetazeroalfa, Disperato Amore, RTP / Perimetro 2010.

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jeudi, 08 août 2019

L’EXPLOIT ET LE SACRIFICE

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Par Natacha Polony

La langueur estivale de ce début de mois d’août a vu émerger deux figures qui nous racontent une part de la France. L’un incarne la volonté, l’autre le dévoue- ment. L’un l’exploit, l’autre le sacrifice. D’un côté, un fou volant sur sa drôle de machine, Franky Zapata, de l’autre, un simple édile donnant sa vie pour une idée du bien commun, Jean-Mathieu Michel. Et chacun à sa manière rend un peu de fierté à un pays en quête de lui-même, oublieux de ce qui fit sa grandeur : un mélange de ténacité et de civisme, de liberté transgressive et de respect des lois.

Le premier, Franky Zapata, a ce mélange de gouaille et de simplicité qu’on aime aimer. Un type qui parvient à bricoler une machine comme tout le monde en rêve, tout seul, dans son coin, à partir d’un premier prototype à propulsion à eau destiné à amuser les amateurs de jet-ski. Il teste, il perd deux doigts dans sa première tentative, mais il continue. Et, parce qu’on est en France, le premier réflexe des autorités est de le convoquer au commissariat pour violation de l’espace aérien sur un appareil non homologué.

Partout ailleurs, sans doute, le bricoleur génial aurait été contacté par des entreprises, soutenu par des banques, récupéré par une filière économique flairant le bon filon, avec la bienveillance d’un ministère de l’Economie soucieux de repérer les futurs producteurs de richesse. En France, non, on lui envoie la police pour avoir enfreint un règlement. Et ce n’est qu’après qu’il a menacé de quitter le pays avec son incroyable joujou que le ministère de la Défense, visiblement l’une des dernières administrations où l’on comprend la notion d’Etat stratège, le prend sous son aile. L’inflation de normes, contrairement à ce que croient certains, n’est pas la conséquence d’une omniprésence de l’Etat mais le signe de son recul par absence de vision et impuissance des politiques. Mais l’enthousiasme populaire qui accompagnait Franky Zapata sur la plage de Sangatte pour son second essai au-dessus de la Manche vaut plus que toutes les tracasseries administratives. Il y avait de la joie pure dans les voix aux accents ch’tis qui disaient leurs convictions que ce Marseillais fou allait y arriver. La joie d’un peuple qui croit en cette nation. Et cette joie n’a rien de contradictoire avec la colère des derniers mois. C’est parce qu’il croit encore en la France que ce peuple, parfois, laisse éclater sa colère. Une colère qui ne se confond pas avec la haine et l’individualisme que l’on voit aussi se manifester avec une violence croissante.

C’est pour cette raison que la France a également besoin de héros républicains. Le civisme, la défense du bien commun, le don de soi... autant de valeurs sans lesquelles une société s’effondre sur elle-même. Quel terrible symbole que la mort de Jean-Mathieu Michel, maire de Signes, dans le Var, renversé par la camionnette de deux ouvriers du bâtiment alors qu’il venait de les obliger à recharger les gravats qu’ils avaient déversés illégalement sur un chemin.

Il est de bon ton, dans les sphères de la haute administration française, de se gausser de ces 36 000 communes totalement archaïques, qu’il faudrait regrouper en communautés d’agglomérations pour ressembler un peu plus à nos voisins européens. Le dévouement d’hommes et de femmes qui choisissent de se consacrer à faire vivre des territoires, à maintenir le lien social, ne recueille qu’indifférence ou mépris chez les brillants technocrates qui jugent parfaitement inutile de connaître le pays pour le gouverner. Mais il n’est pas davantage considéré par des individus devenus consommateurs bien avant d’être des citoyens. Car le civisme est l’opposé absolu du consumérisme. Il consiste à refréner ses pulsions, à s’interdire certains comportements au nom de l’intérêt général, à limiter la toute-puissance de l’individu au nom de la collectivité. Dans l’émotion qui a entouré la mort de Jean-Mathieu Michel, il y a la révolte, mais aussi le regret devant notre impuissance collective à perpétuer et transmettre cette vertu cardinale de toute société civilisée qu’est le civisme. Il y a la tristesse devant l’indifférence qui gagne, une indifférence qui aurait pu inciter le maire à continuer sa route plutôt que de s’arrêter pour empêcher ces deux hommes de dégrader ce chemin. L’indifférence est le pire poison d’une société.

Deux Français sans aucun lien, sans rien de commun, mais dont le destin nous rappelle qu’un pays vit des modèles qu’il se choisit et qu’il offre à sa jeunesse. Le rêve, pour l’un, et la ténacité pour que ce rêve se concrétise. Le sens du devoir, pour l’autre, et l’obstination à défendre le bien commun. Deux leçons pour un pays qui ne veut pas se recroqueviller sur ses rancœurs et ses haines, mais retrouver ce qui pourrait être un destin.

Source : Marianne 9 au 15/08/2019

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Racisme anti-Blanc sur France Inter

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Essayez de dire ça : «  L'homme noir ne peut pas, dans sa chair, dans son âme, incarner l'antiracisme. Non. Il ne peut pas être antiraciste. Jamais il n'aura raison contre une femme blanche ou asiatique. Il va bien falloir que l'Afrique le comprenne un jour ». Bien sûr que vous ne le direz pas. Et à supposez que vous le fassiez, les micros, dégoûtés, se détourneraient de vous.

Et maintenant, écoutez ça. « L'homme blanc ne peut pas, dans sa chair, dans son âme. incarner l'antiracisme. Non. Il ne peut pas être antiraciste. Jamais il n'aura raison contre une femme noire ou arabe. Il va bien falloir que la France le comprenne un jour. » C'était dans l'émission de Lauren Bastide sur France Inter, une radio qui vit de notre redevance audiovisuelle. Il est bien normal de payer pour être insulté, non ?

La personne qui a tenu, en toute liberté ces propos abjects, s'appelle Maboula Soumaharo. Pour éviter tout jeu de mot facile sur « Maboula, le féminin de maboule ? », précisons qu'elle est parfaitement saine d'esprit. La haine, en effet, n'est pas considérée comme une pathologie psychiatrique.

France Inter la présente comme étant « angliciste » et « civilisationniste ». Et précise qu'elle est maître (la radio dit « maîtresse ») de conférence à l'université de Tours. Pas un mot, en revanche, sur le fait qu'elle est proche des Indigènes de la République, une association qui vomit les « souchiens ». Pas un mot non plus sur le fait que Maboula Soumaharo co-organise des camps « dé-coloniaux » interdits aux Blancs.

Normal que France Inter ne le dise pas : on ne va quand même pas expliquer aux auditeurs à qui ils ont à faire. N'en déduisons pas pour autant que Maboula Soumaharo déteste tous les Blancs : elle en aime certains. Par exemple, Lauren Bastide, qui l'a reçue. Sa sympathie pour elle est si grande qu'elle n'a pas exigé être interviewé par un journaliste noir. Et si vous voulez savoir pourquoi la journaliste n'a pas réagi aux propos écœurants de Maboula Soumaharo, voici la réponse : c'est qu'un Blanc, ou une Blanche, ne peut pas avoir raison contre une femme noire...

Source : site Atlantico

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mercredi, 07 août 2019

Mettre l’Union européenne à l’heure suisse

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Ancien directeur de La Tribune de Genève et député à l’assemblée cantonale de Genève d’abord sous l’étiquette démocrate-chrétienne, puis comme indépendant, le Russo-Suisse Guy Mettan vient de signer un essai qui mécontentera les européistes « bruxellobéats » et agacera les souverainistes nationaux, Le continent perdu. Plaidoyer pour une Europe démocratique et souveraines (les Éditions des Syrtes, 2019, 266 p., 19 €).

Il jette en effet un regard extérieur sur la question européenne ou, pour être plus précis, sur le devenir de l’Union européenne. Guy Mettan commet toutefois une erreur fréquente, celle de confondre l’Europe et l’Union dite européenne. L’auteur ne cache pas avoir été un chantre de l’adhésion suisse au grand ensemble continental voisin. Il en est aujourd’hui revenu au point de le qualifier de « machine déréglée (p. 109) » au « circuit législatif abscons (p. 123) » qui pratique « un coup d’État judiciaire permanent (p. 121) ». Il juge les institutions actuelles de l’UE ne pas être à la hauteur des défis.

Fort des précédents historiques, Guy Mettan s’inquiète de l’inertie croissante du processus européen qui suscite en revanche une décomposition étatique inouïe avec le Brexit, générateur d’une incroyable instabilité politique outre-Manche, les revendications indépendantistes de la Catalogne, de l’Écosse, de la Flandre ou les tentations illibérales en Europe centrale. Ces phénomènes politiques profonds affaiblissent des États européens qui deviendront bientôt des proies faciles pour la Chine ou l’Inde. Il craint par ailleurs que le destin des nations européennes soit de finir digérées par les États-Unis comme les cités grecques le furent par Rome…

L’auteur déplore en outre la confrontation stérile entre de faux européistes qui croient l’UE comme un accélérateur de dépolitisation du monde au profit d ela technique, du droit et de l’économie, et des souverainistes populistes qui préfèrent se rétracter sur le seul cadre national. Guy Mettan ose pour sa part proposer un projet européen souverainiste et fédéraliste, ce qui peut paraître contradictoire pour un esprit français. Pas du tout quand on s’inspire de l’exemple helvétique. Ainsi défend-t-il que « l’Europe, plutôt que de vouloir devenir un empire non impérial, devrait au contraire avoir l’ambition de se transformer en un “ anti-empire ”, en un État fédéral fort, libre, démocratique, souveraine et respectueuse des autres (p. 222) ».

Hormis l’emploi dans une acception courante, inexacte et polémique du concept d’empire, l’auteur avance, à rebours de la doxa dominante, que le processus européen ne peut se concrétiser qu’autour de « la neutralité (ou le non-alignement) comme principe d’action (p. 248) ». Certes, « évoquer cette perspective, concède-t-il, fera naturellement bondir les atlantistes fanatiques et les intellectuels partisans de l’ingérence humanitaire et de la mission civilisatrice de l’Europe, censées apporter les lumières de la démocratie et des droits de l’homme au reste du monde plongé dans les ténèbres de la barbarie (idem) ». Si la neutralité coïncide à la spécificité suisse, correspondrait-elle à l’âme européenne définie naguère par Robert Dun ? Or il existe une subtile différence entre la neutralité et le non-alignement.

Charles De Gaulle esquissa aux débuts de la Ve République une diplomatie non-alignée en vive opposition avec le bloc atlantique anglo-saxon. La neutralité suisse est par nature dépolitisante puisqu’elle récuse toute puissance. Or, l’hypothétique non-alignement alter-européen qui impliquerait au préalable la fin de l’OTAN et la présence militaire étatsunienne serait quant à lui résolument politisé, axé sur la notion de puissance, et s’incarnerait dans une « Europe cuirassée » comme l’entendait Maurice Bardèche. L’État européen de demain (ou d’après-demain ?) pourra bien sûr se mettre à l’heure de Genève mais à la condition impérative de se placer au centre du grand jeu tragique des rapports de forces géopolitiques et non point à l’écart.

Bonjour chez vous !

• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°136, mise en ligne sur TV Libertés, le 29 juillet 2019.

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Ordre mondial et destinée humaine : un séminaire à Paris le 15 septembre

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Renseignements cliquez ici

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lundi, 05 août 2019

28 et 29 septembre : pélérinage légitimiste à Ste Anne d'Auray (56)

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Plaidoyer pour l’énergie nucléaire

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François Jourdier dans Boulevard Voltaire

Dès les années 50, des gouvernants visionnaires décident de faire appel à l’énergie nucléaire pour accroître l’indépendance énergétique de la France. Après avoir construit six réacteurs « graphite gaz » maintenant arrêtés, la France choisit d’exploiter une licence General Electric de réacteurs PWR (pressurized water reactor/réacteur à eau pressurisée).

58 réacteurs à eau pressurisée seront construits, de 1971 à Fessenheim, à 1991 à Civaux, ce réacteur étant terminé en 1997. Ils produisent 72 % de notre électricité. La filière a évolué, les premiers réacteurs produisaient 900 MW, les derniers 1400 MW. La filière PWR est la filière la plus exploitée, il y en a plusieurs centaines au monde.

Depuis le début de leur fonctionnement, il y a près de cinquante ans, les réacteurs français n’on jamais eu d’avarie mettant en jeu la sécurité des personnes. Le seul accident important sur un PWR a eu lieu aux États-Unis, à la centrale de Three Mile Island, en 1979 ; il a entraîné la perte du réacteur mais n’a provoqué aucune victime et a occasionné seulement une faible émission de radioactivité.

À une époque où on se préoccupe de l’émission de CO2 (gaz carbonique), constatons que le nucléaire est la seule source d’électricité continue qui ne produit pas de « gaz à effet de serre ».

Pour des raisons inexpliquées, les écologistes veulent « sortir du nucléaire ». C’est la raison pour laquelle la loi de transition énergétique a prévu de ramener à 50 % la part du nucléaire dans la production française d’électricité et d’arrêter prématurément des réacteurs pouvant encore fonctionner de nombreuses années, moyennant une refonte.

La sortie allemande du nucléaire a entraîné une augmentation de la consommation de charbon et une hausse importante du coût de l’électricité ; il en serait de même en France.

Si on veut prolonger la vie des réacteurs en service, il faut leur faire subir un « grand carénage ». Le coût de ce programme est estimé à 51 milliards d’euros, soit, pour une prolongation de vingt ans, 2,5 milliards d’euros par an, ce qui est inférieur aux aides aux « renouvelables ».

Areva et Siemens ont développé un réacteur de 3e génération, l’EPR (Evolutionary Power Reactor/réacteur européen à eau pressurisée). Ce réacteur très puissant (1.600 MW) est prévu pour résister au terrorisme, y compris la chute d’un avion commercial. Le premier réacteur en construction, Olkiluoto en Finlande, mis en chantier en 2005 n’est pas encore en service, ce qui provoque des surcoûts importants. Le réacteur français de Flamanville souffre de nombreuses malfaçons, dans le béton, dans la fabrication de la cuve, des soudures pas aux normes, ce qui entraîne, là aussi, surcoût et retard. Par contre, deux réacteurs construits en Chine à Taishan n’ont pas rencontré de grandes difficultés et produisent maintenant. Les contempteurs de l’énergie nucléaire voudraient profiter de ces difficultés pour abandonner la construction de nouveaux réacteurs. En fait, nous sommes restés quinze ans sans en construire et nous avons perdu le savoir-faire. Les difficultés de construction des réacteurs finlandais et de Flamanville nous permettent de cerner les problèmes. La France a besoin d’un vrai programme industriel, comme dans les années 1970 lorsque l’on a mis en œuvre le parc actuel.

Le GIEC lui-même reconnaît que les objectifs de réduction de production de gaz carbonique ne pourront être tenus sans faire appel à l’énergie nucléaire. Les énergies dites renouvelables sont intermittentes et la construction de milliers d’éoliennes entraîne de graves nuisances et défigure les paysages.

Il faut, dès maintenant, construire de nouveaux réacteurs pour assurer notre sécurité en approvisionnement car beaucoup d’unités atteindront 60 ans en 2040.

Avec un peu de volonté et de constance, on peut regagner l’expérience acquise et continuer à produire une électricité continue et bon marché.

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dimanche, 04 août 2019

HALTE A LA DICTATURE DES « CLIMATO CATASTROPHISTES » !

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Jean-Claude Rolinat

Greta Thunberg, - le petit « singe savant » venu du froid, était à Paris il y a quelques jours, pour pérorer devant un parterre d’environ 165 députés, tous ébahis d’entendre et d’écouter le messie du catastrophisme climatique… (A 16 ans, sa place serait d’être au lycée, et non pas sur les chemins de l’Ecole buissonnière !).

Non seulement, il y avait 165 parlementaires français qui avaient jugé que leur emploi du temps leur permettait d’écouter la jeune donzelle, mais cette dernière avait déjà été  reçue par le Pape, -  l’homme en soutane blanche qui baise et lave les pieds de musulmans en signe d’humilité, lesquels doivent bien rire ! -, et par le frétillant président de notre belle République française, Emmanuel Macron. Après les humiliations subies par la France à l’occasion de la victoire de l’Algérie dans la Coupe d’Afrique des nations, était-il judicieux qu’une gamine vienne tancer nos « illustres » représentants dans les locaux de l’Assemblée nationale ? N’avaient-ils pas mieux à faire ces élus, par exemple,  de tenter d’expliquer aux éleveurs de bovins leur adhésion au  traité euro-canadien, dit « CETA » ? Quelle sinistre plaisanterie. Mais, avant d’aller plus loin sur le fond, interrogeons-nous sur la forme : qui finance les voyages de cette jeune fille, qui tire les ficelles de cette marionnette dont le visage et le regard, parfois étrangement immobiles, me font penser à quelque poupée maléfique de l’industrie hollywoodienne ? Oui, qui ? Il y a des gens qui ont intérêt à manipuler les foules avec de faux prophètes, « un prophète du vide » comme l’écrivait PRESENT dans son édition du mercredi 24 juillet. Un prophète qui me rappelle les lectures de ma jeunesse, l’album « L’étoile mystérieuse » notamment, dans lequel Hergé fait croiser la route de TINTIN avec celle d’un prophète de malheur, Philippulus, qui prédit au milieu d’un public terrifié, à grands coups de gong, la fin du monde ! Eh bien, nous en sommes presque là. Le réchauffement climatique va faire monter les eaux d’un mètre avant la fin du siècle, les ours blancs disparaitront inexorablement avec la fonte des glaces, etc. Voici le genre de sornettes qui nous sont prodiguées par tous ces catastrophistes patentés, les fanatiques du GIEC en tête. (Il est vrai qu’il faut les comprendre, ils défendent leur beefsteak !).

Non, l’eau des océans ne montera pas d’un mètre, et l’essentiel de l’archipel des Maldives, par exemple, survivra. Je ne suis pas un  scientifique, j’étais même plutôt mauvais élève en physique/chimie, préférant l’histoire et la géo, mais la hausse moyenne du niveau des océans mesurée par des centaines d’appareils, des « marégraphes », est de un millimètre par an, UN millimètre, ce qui fera, en gros, 8 à 10 cm en 2100. Quant aux plantigrades, les « nounours » blancs, une spécialiste incontournable de l’Université de la province canadienne de Colombie britannique, Susan Crockford, dénonce les calculs faits à partir de modèles informatiques non vérifiés, disant que 67% des ours blancs disparaitraient à l’horizon 2050. C’est-à-dire que sur 24 500 de ces bébêtes, seules 8 000 à 8 100 resteraient en ce monde. Or, les effectifs d’ours blancs, malgré, effectivement le déclin spectaculaire de la banquise, surtout dans l’Arctique, ont augmenté d’environ 16% depuis 2007. Le paradoxe, c’est que les ours prospèrent, dit la dame, dans des régions où la perte de glace marine a été la plus forte, mer de Barents ou mer des Tchouktches, du côté des Russes. Et leurs effectifs diminuent en Alaska. Pourquoi ? C’est que les glaces printanières, dans cette dernière région, sont épaisses et compactes et qu’elles chassent les femelles phoques qui ne peuvent mettre bas, privant ainsi les ours de leur nourriture favorite. Il y a là un paradoxe certain, car ces animaux continuent de prospérer. Mais, apparemment, ce sont des ours… russes, dans des zones de glaces friables, celles que préfèreraient les dames phoques….

Le CO2, l’ennemi public numéro 1 !

Il est vrai que l’on ne peut nier, toutefois, l’intérêt qu’il y a de coopérer avec tous les États pour réduire les gaz à effet de serre, même si la COP-21 était un grand cirque pour mettre en valeur les socialistes français. Ces fameux gaz, - décidément ! -, parlons-en. Il est exact qu’ils ont battu des records, et que ça va continuer, même si on embête « Monsieur Toutlemonde » avec des règles de plus en plus coercitives. Mais n’oublions pas non plus, - c’est très pervers, cette affaire du climat -, que le CO2 est nécessaire à l’agriculture, car l’accumulation de ce gaz dans l’atmosphère favorise la photosynthèse. Et comme la planète augmente le nombre de ses bouches à nourrir, principalement en Afrique, mais pas que, il y a une nécessité urgente à produire plus et mieux.

Nous venons de vivre une séquence de canicule éprouvante. Et cette épreuve semble renforcer, bien sûr, les prédictions des « oiseau de malheur », nous culpabilisant pour notre mode de vie, et enfonçant le clou  du slogan incontestable désormais, répété comme une litanie, « qu’il faut sauver la planète ». Mais est-ce uniquement en raison des échappements des gaz d’automobiles ou des réacteurs d’avions ?

A-t-on jamais pensé aux éruptions solaires ? Je ne suis pas non plus astronome, alors je vais simplement en venir à des choses simples, à des constats basiques, mais de bon sens : si, d’abord, on consommait plus « local », on économiserait du carburant sur la navigation de ces énormes porte-containers qui acheminent toute la bimbeloterie asiatique. Et ce n’est pas en punissant les voyageurs aériens avec une nouvelle taxe,- veut-on « tuer » Air France ? -, que l’on empêchera des pays peu vertueux comme l’Inde, la Chine, les Etats-Unis et l’Allemagne, de polluer à tour de bras ! La Pologne est aussi concernée, comme sa voisine occidentale, avec leur production très polluante de charbon. D’ailleurs, c’est là que l’on voit les limites du raisonnement des écologistes, ces marxistes repeints en « vert » : comment peut-on vouloir supprimer une source d’énergie « clean », le nucléaire, même s’il faut s’entourer de toutes les garanties de sûreté et de sécurité de façon à ne jamais revoir de tragiques épisodes comme Tchernobyl ou Fukushima, pour la remplacer par des armées d’éoliennes qui balafrent nos paysages, sorte d’épouvantails géants de l’inutile, qui brassent de l’air et du… fric, et sont si peu productives d’électricité ? Le panneau solaire ou l’usine marémotrice ainsi que la bonne vieille « houille blanche » me paraissent de meilleures pistes, d’autant que beaucoup de pays du tiers-monde, notamment au Sahel, ont d’énormes surfaces ensoleillées disponibles. Mais il y règne l’insécurité, et çà, c’est une autre problématique qui n’entre pas, aujourd’hui, dans le cadre de ce papier

Alors, est-il juste d’être « climatosceptique » ?

On ne peut nier  un certain réchauffement, pour ne pas dire un réchauffement certain. Mais il y a des cycles. Là, dans ces dernières années, nous sommes dans une phase d’accélération des températures. Mais, dans l’histoire de notre bonne vieille planète bleue, il y a eu aussi, en alternance, des périodes glaciaires… Les Asiatiques qui peuplèrent l’Amérique, ne traversèrent-ils pas le détroit de Behring à « pied sec », tout au moins sans aller dans l’eau ? Et puis, pourquoi le Groenland, qui fut investi par les Vikings d’Erik le Rouge, fut-il appelé « Groenland » qui signifie, si je ne m’abuse "terre verte" ?

L’homme s’adaptera. Canadiens, Scandinaves ou Russes s’amusent bien, lorsqu’ils voient la France paralysée par quelques millimètres de neige recouvrant ses routes l’hiver ! L’urbanisme, discipline exigeante, doit faire évoluer nos villes, les habiller peut-être, de bien plus de vert, en un mot « végétaliser » les immeubles. Les Nations dites unies devraient prendre à bras le corps le problème de la démographie dans les pays pauvres, et investir massivement dans des programmes d’éducation des jeunes filles. Mais Il est vrai que l’Islam est un frein puissant à toute modernité. Le besoin de terres, notamment en Afrique, rétrécit le territoire des animaux sauvages. Moins de fauves, égale moins de touristes, donc moins de rentrées de devises. Le problème est simple à comprendre. Pourtant, un certain nombre de pays ont commencé leur transition démographique. Et que les donneurs de leçons donnent l’exemple. Si la Chine ou l’Inde, pour ne citer que ces deux pays, ne font pas des efforts pour régler les questions d’environnement, la simple gestion des ordures ménagères, - mais Marseille ou Naples entre autres sont aussi concernées -, ainsi que  des déchets en général, à quoi serviront nos voitures électriques et autres trottinettes pour « bobos » parisiens ? 

Les jeunots allemands et les  ados d’autres nationalités, peuvent bien se réunir et manifester à Dortmund en faveur du climat, contre le réchauffement. On peut aussi bien demander l’extinction de la paupérisation après 22 heures ! La décision n’est pas entre leurs mains, elle appartint à notre bonne vieille planète où l’homme n’influence que de façon marginale, pour l’instant, et c’est heureux, son évolution. Ce qui ne veut pas dire qu’il ne faut pas être vertueux, et rechercher l’équilibre entre développement économique et respect de l’environnement.

Malheureusement, les « Verts » ont pris la question climatique en otage : ce ne sont pas des écologistes, ce sont des marxistes teigneux et sectaires. Il faudra bien que les VRAIS défenseurs de dame nature finissent par le comprendre et ne leur accordent plus leurs suffrages. Alors, à ce moment-là, nous pourrons parleur objectivement, sans tabous, « défense de l’environnement », avec des gens honnêtes.

23:30 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un livre en hommage à Guillaume Faye décédé il y a quelques mois

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Un communiqué des Editions du Lore :

Dans cet ouvrage collégial signé par trois des plus anciens « complices » de Guillaume, ce sont plus de quarante années de combat métapolitique mené par un véritable esprit-fusée qui défilent.

Hommages par la poésie, en passant par l’évocation de la notion d’amitié, sans oublier de rétablir plusieurs vérités sur le rôle de Guillaume au sein de la « Nouvelle Droite », ce livre doit être lu par quiconque a déjà croisé, au fil de ses lectures, la plume incisive de cet esprit-fusée.

Guillaume Faye, PRESENT ! 

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vendredi, 02 août 2019

Attentat de Bologne du 2 août 1980, 85 morts !

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Gabriele Adinolfi

Il y a 39 ans a eu lieu le massacre à la gare de Bologne (85 ou 86 morts). J'ai été plusieurs fois victime de manœuvres faites pour m'accuser. Les dirigents des services secrets italiens et aussi étrangers ont participé à ces manœuvres. Certains d'entre eux ont été reconnus coupables de calomnie et je suis officiellement victime de ces manœuvres. Je n'ai jamais cessé de me battre pour la découverte de la vérité. Je ne suis pas le seul. Des journalistes, des avocats et des juges courageux se sont battus efficacement.

Cette année, j'ai lancé un processus international avec des avocats de différents pays. Pendant ce temps, quelque chose fait surface. Après 39 ans, nous avons pu obtenir une expertise officielle sur l'explosif utilisé à Bologne (cela n’avait pas été fait jusqu’à présent!) Et cela a prouvé que l’explosif, la gâchette et la technique sont les mêmes utilisés pour des autres attaques en Italie, en Grèce et en France. Un marque de fabrique. Il s'agit du milieu de l'Internationale trotskyste lié au service HVA de la Stasi (Allemagne communiste) et à "l'école de langue" Hypérion à Paris (Brigades rouges et divers services internationaux).


Ce n'est pas que le début puisque ils travaillent avec d'autres alliés plus puissants et intouchables, mais c'est encourageant.

 
 

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1969-2019 : IL Y A 50 ANS NAISSAIT LE MOUVEMENT "ORDRE NOUVEAU"

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1969-2019 : IL Y A 50 ANS NAISSAIT LE MOUVEMENT ORDRE NOUVEAU

Bien qu'ayant eu une existence éphémère (création en 1969 et dissolution par le conseil des ministres en juin 1973) le mouvement Ordre nouveau a sans doute été le plus dynamique de son époque. Pour marquer le cinquantième anniversaire de sa création, à l'initiative de deux anciens militants, André Chanclu et Jacques Mayadoux, un livre rassemblant une quarantaine de témoignages sort au mois de septembre 2019. Toutes les étapes de la vie d'Ordre nouveau sont racontées par ceux qui ont fait le mouvement.

Un document unique sur le mouvement qui fut à l'origine du Front national...

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Sortie début septembre 2019

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BULLETIN DE COMMANDE

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jeudi, 01 août 2019

Vincent Lapierre nous parle du Bilderberg

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Pierre Péan : un géant du journalisme vient de nous quitter

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Nicolas Gauthier Boulevard Voltaire cliquez ici

Après la mort de Gérard de Villiers, auteur de la saga des SAS, c’est un autre grand observateur des choses du vaste monde qui vient de nous quitter : Pierre Péan. À la mort du premier, Hubert Védrine, dernier grand patron du Quai d’Orsay, avait dit, à propos du père de Son Altesse Sérénissime, le prince Malko Linge : « Aujourd’hui, les journalistes veulent juger sans comprendre, alors que Gérard de Villiers cherchait à comprendre sans jamais juger. » Une telle oraison funèbre vaut aussi pour Pierre Péan.

Christophe Nick, son ancien compère du mensuel Actuel et auteur des Trotskistes, passionnant et très exhaustif essai sur la Quatrième Internationale, a ces mots encore plus définitifs : « C’est terrible. Le Patron, Pierre Péan, est parti ce soir. » Même son de cloche chez Pascal Boniface, expert socialiste en matière de politique étrangère, mais cloué au pilori par d’autres socialistes mettant défense d’Israël et des USA au-delà de toutes autres considérations géopolitiques : « Très triste d’apprendre le décès de Pierre Péan. C’était un vrai et un grand journaliste d’enquête d’une parfaite intégrité. »

Un peu plus à droite sur l’échiquier, l’africaniste Bernard Lugan, joint par nos soins, confirme : « Avec Noires fureurs, blancs menteurs, Pierre Péan a signé le livre définitif sur le drame rwandais. Mieux, il a été l’un des premiers à mettre en lumière l’alliance des anciens porteurs de valises du FLN, désormais retraités du CNRS, avec les réseaux néoconservateurs américains. »

Il est vrai que le défunt, en matière africaine, n’était pas tout à fait premier venu et ravi de la Crèche, tel qu’en témoigne Affaires africaines , l’un des ses premiers essais à succès mettant, si l’on peut dire, la face noire de la « Françafrique », à l’époque plus connue sous le sobriquet de « Pompafric. » Valéry Giscard d’Estaing en sait quelque chose, Pierre Péan étant parvenu, malgré des pressions venues de toutes parts, à faire sortir l’affaire désormais plus connue sous le nom des « diamants de Bokassa ».

Pareillement, c’est le même Pierre Péan qui révélera officiellement le passé maurrasso-pétainiste d’un certain François Mitterrand. Certes, tout cela avait déjà été détaillé par le menu par des journaux tels que Minute ou L’Humanité. Mais, avec Pierre Péan, c’était désormais devenu officiel. À l’époque, il était encore dans les petits papiers de cette fameuse République des Lettres. Jusqu’au jour où, en compagnie de son confrère Philippe Cohen, journaliste à Marianne – hebdomadaire dissident de cette gauche qu’on pourrait tenir pour « nationale-républicaine » -, il commet le péché ultime avec ce pamphlet des plus documentés : La Face cachée du Monde : du contre-pouvoir aux abus de pouvoir.

Là, ça ne rigole plus. Ça rigole d’autant moins que, derrière ce train susceptible d’en cacher un autre, s’en dissimule un dernier : le définitif Le monde selon K, consacré à un certain Bernard Kouchner. Là, Pierre Péan passe en une autre sorte de dissidence politique. D’où les hommages un brin gênés qui lui sont aujourd’hui rendus. Ainsi, hormis le fait qu’un certain Jean-Marie Le Pen puisse être, de longue date, l’un de ses lecteurs les plus assidus, le moins qu’on puisse prétendre est que l’homme ne sera pas plus honoré, au moment du grand saut, qu’il ne le fut de son vivant.

Voilà pourquoi la petite équipe de Boulevard Voltaire, déjà nettement moins gênée aux entournures que ses autres puissants concurrents, salue sans réserve cet homme qui faisait honneur à celui (ou le peu qui en reste) de notre périlleuse profession.

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