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vendredi, 19 avril 2019

Une autre Europe, est-elle possible ?

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« La victoire d’Emmanuel Macron […] transforme l’image de la France en Europe et sans doute celle de l’Europe dans le monde […]. Elle voit se reconstituer un axe franco-allemand potentiellement plus solide parce que beaucoup plus équilibré. En Allemagne et en Italie [cette victoire voit] les débuts d’une macromania qui ringardise l’extrême droite de l’AfD et fait repousser des ailes au centre gauche de Matteo Renzi. Plus généralement c’est l’Europe entière, à l’exception peut-être de la Hongrie et de la Pologne, provisoirement aux mains des populistes, qui se trouve ragaillardie. » (Dominique Moïsi, Les Échos, 9 mai 2017).

Ainsi s’exprimait un commentateur avisé au lendemain de l’élection d’Emmanuel Macron. Ne vous moquez pas ; la plupart des analystes parlaient ainsi, avec un ton moins enflammé il est vrai. Même enthousiasme lors de l’élection de Barack Obama. Le culte de l’homme providentiel fait des ravages à gauche comme à droite d’autant plus qu’après le Brexit et l’élection de Donald Trump, « l’homme providentiel » avait mis un terme à la série de succès des populistes. Tout rentrait dans l’ordre.

Que s’est-il passé ? Emmanuel Macron a prononcé un discours de haut vol à la Sorbonne le 26 septembre 2017, il a appelé à l’intégration européenne et fustigé le nationalisme dont il a fait son meilleur ennemi – il a d’ailleurs récidivé dans sa lettre aux Européens du 5 mars dernier.

 
 

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I -Média revient sur l'incendie de Notre-Dame de Paris

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Dimanche 12 mai : la Jeanne d'Arc de Civitas

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Eric Zemmour : ¨La guerre civile sera sanglante¨

Eric Zemmour était reçu par Elie Chouraqui ce dimanche dans l’émission Elie sans interdit.

 
 
 
 

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Notre-Dame du repentir

Par Jarente de Senac

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Ce doit être cette époque vide de sens qui veut cela. Dans une France largement déchristianisée la folie qui entoure Notre-Dame pourrait s’interpréter comme une sorte de repentance métaphysique. Comme si l’oubli des dieux pesait sur ce monde livré au Veau d’Or, à savoir la marchandise.  Cette ferveur soudaine est peut-être aussi la résurgence nostalgique d’un inconscient collectif, celui d’un temps où les baptêmes, les mariages et les enterrements avaient lieu à l’église.

Dans le même temps, à Strasbourg, la Pythie Jean-Marie Le Pen prononçait son discours d’adieu au Parlement européen dont il ne gardera « qu’un sentiment d’inutilité ». Face à l’aveuglement de l’institution à l’égard de l’immigration, Jean-Marie Le Pen leur a balancé : « Députés, aveugles, sourds et muets, la postérité vous maudira ». Il a malheureusement raison et les foules à venir qui visiteront Paris et sa cathédrale n’auront que peu à voir avec le symbole qu’elle représente.

A l’heure où les Gilets jaunes réclament plus de justice sociale, il y a comme une indécence à voir nos abonnés du CAC40 dégainer leurs millions d’euros gagnés à la sueur du front des Gilets jaunes pour que l’on restaure Notre-Dame. Près du milliard en deux jours seulement. Serait-ce le prix de la mauvaise conscience ou le retour sur investissement ?

Demain, la cathédrale et ses 14 millions de visiteurs sera sur pied pour la plus grande satisfaction d’un évêché qui doit confondre les touristes avec les croyants.

Les seuls vrais bénéficiaires de cette manne, ce sont nos artisans qui font vivre un patrimoine unique au monde par sa qualité et sa diversité. Malheureusement, ces merveilleux métiers attirent de moins en moins les jeunes. Parce que l’Education nationale ne fait plus son boulot depuis des lustres et que les jeunes préfèrent cette débile téléréalité qui fait de vous une vedette en trois coups de cuillère à pot.

Triste époque ! 

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jeudi, 18 avril 2019

L'émission "Synthèse" de cette semaine sur Radio Libertés avec Richard Roudier, Président de la Ligue du Midi

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Ecoutez

l'émission cliquez ici

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Beau témoignage de l´aumônier des pompiers de Paris


Avec le Saint-Sacrement, il a béni la cathédrale Notre-Dame en flammes ... de l'intérieur.

Témoignage exceptionnel du père Fournier, aumônier des pompiers de Paris.

recueilli par KTO TV.

 
 

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Mieux que rebâtir, cesser de détruire

Par Périco Légasse

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(…) Combien de trésors sont-ils à ce jour menacés de disparition lorsque plus de 80 % de la bio-diversité a été sacrifiée sur l’autel du profit industriel ? Laisserons- nous encore longtemps se déliter les patrimoines naturels et culturels qui constituent le ferment de la civilisation sous prétexte que la croissance néolibérale a besoin d’actions fraîches pour nourrir le monde ? Nos schémas économiques financiarisent la consommation, en détruisant la ressource planétaire et l’environnement, sous prétexte qu’il ne peut y avoir de progrès sans conquête de parts de marché. Combien de Notre-Dame agricoles, maritimes, minérales, forestières, phréatiques, sociales, animales ou végétales a-t-il fallu immoler pour que le libre-échange globalisé continue à enrichir sa Bourse ? Au-delà des éléphants et des rhinocéros d’Afrique, emblèmes parmi les emblèmes du massacre auquel nous assistons sans rien faire, au-delà de cette faune et de cette flore menacées de disparition parce que les traités commerciaux sont bien plus efficaces que les traités sur le climat, les institutions européennes peuvent-elles enfin prendre les mesures dé nitives pour sauver, autre emblème, nos abeilles. Depuis la fin 2017, on estime à 60 %, voire 90 % dans certains cas, le taux de mortalité des butineuses. Chaque ruche qui disparaît n’est-elle pas, en soi, une petite Notre-Dame réduite en cendres ? Ravagés par la pêche industrielle à outrance, nos océans se vident et 20 % des espèces de l’Atlantique sont en voie d’extinction parce que les Etats voyous se moquent des moratoires. Quand il n’y aura plus d’anchois, d’espadons ou d’aigle fins, n’est-ce pas autant de Notre-Dame océanes qui auront été englouties par la folie humaine ?

Dans notre beau pays, la ruralité se meurt, des artisans mettent la clé sous la porte, des commerces de proximité disparaissent, des écoles et des postes ferment, des champs sont en friche, des villages s’éteignent et, là aussi, nos élus regardent à côté. Un cordon- nier qui tire le rideau, un boulanger qui débranche son pétrin, un instituteur qui donne sa dernière leçon, un facteur qui effectue son ultime tournée, une gare que l’on désaffecte, n’est-ce pas une Notre- Dame qui s’effondre par mépris ou insouciance des pouvoirs publics ? Lorsqu’une fromagerie ne peut plus se procurer de lait parce que le dernier éleveur du canton a déposé son bilan, quand il ne s’est pas suicidé, lorsqu’un menuisier démonte son atelier parce que aucun repreneur ne lui succède, lorsqu’un patron pêcheur envoie son bateau à la casse parce que la jeunesse n’a plus le pied marin, n’est-ce pas une Notre-Dame de plus qui crève du fait d’une gouvernance qui ne surveille que le CAC40?

(…) Combien de Notre-Dame va-t-on encore laisser brûler en regardant ailleurs ? Lâcheté de la classe politique, cécité et surdité de la haute administration, compromissions d’élus sans foi ni loi, médias absents, pression permanente des lobbies, trahison des engagements électoraux (et si l’ENA disparaît, les énarques sont encore aux manettes pour des décennies), il est des jours où la démocratie française prend des allures de charpente médiévale saturées de fils électriques défaillants. Que les larmes partagées par un peuple enfin conscient des périls qui pèsent sur la nation, en voyant ce qui n’est qu’un symbole, mais quel symbole, s’effondrer sous ses yeux, se rassemblent en un grand fleuve citoyen, plein d’espoir et de ferveur, pour rebâtir ce que nous avons de plus précieux, notre République.

Oui, la maison France brûle, il est donc plus que temps de la regarder bien en face.

Source : Marianne 19-25/04/2019

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mercredi, 17 avril 2019

Pour la responsable de l’UNEF, l’incendie de Notre-Dame qui fait pleurer sur « des bouts de bois » : un délire de petits Blancs !

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Jean-Pierre Fabre Bernadac

Boulevard Voltaire cliquez ici

« Allo, l’UNEF, allez-vous enfin réagir aux tweets racistes de votre vice-présidente lilloise Hafsa Askar ? »

Le 29 décembre 2017, la Ligue contre le racisme et l’antisémitisme avait, par ces mots, interpellé « brièvement » (La LICRA avait supprimé son message quelques heures après publication), sur Twitter, la jeune femme vice-présidente du syndicat étudiant lillois UNEF, en joignant une capture d’écran sur laquelle on pouvait voir les paroles de l’intéressée : « On devrait gazer tous les blancs, cette sous-race. »

Cette adorable jeune femme expliquait sans retenue son racisme haineux ciblant spécifiquement les Blancs : « Je suis une extrémiste anti-blancs […] le monde serait bien mieux sans blancs. »

Suite à ces injures, que croyez-vous qu’il arriva ? Rien, elle changea simplement son adresse Twitter !

Pourtant ce monstrueux envoi aurait dû tomber sous le coup de la loi pour racisme, un racisme primaire, viscéral, quasiment d’école pour étudiant en droit.

Or, figurez-vous que, ce 15 avril, elle a remis cela sur Twitter en s’en prenant, cette fois-ci, aux catholiques à travers l’incendie de Notre Dame de Paris : « Je m’en fiche de Notre-Dame de Paris car je m’en fiche de l’Histoire de France. »

« Jusqu’à les gens ils vont pleurer pour des bouts de bois… Wallah vs aimez trop l’identité française alors qu’on s’en balek objectivement c’est votre délire de petits blancs. »

Hélas,ce type de message ne fut pas le seul, ce soir-là ; des centaines, aussi vindicatifs, expliquaient doctement que l’incendie de la cathédrale était la réponse vengeresse d’Allah au tweet du jeune Hugo sur la Kaaba.

J’attends avec impatience de voir si la lettre de Témoignage chrétien et l’hebdomadaire La Vie vont faire état de ces ignominies ?

J’attends, aussi, avec hâte de savoir ce que fera le réseau social face à ces débordements de haine raciste et antireligieuse ?

J’attends, encore, avec empressement le communiqué de l’UNEF condamnant avec la plus grande sévérité ce genre de propos.

Mais peu d’illusions à se faire de ce côté-là quand on sait que l’organisation étudiante « représentative » avait répondu, en décembre 2017, à un correspondant indigné par le propos de Hafsa Askar : « Merci Jean-Michel, le bureau national de l’UNEF va se réunir et réfléchir à comment vous pisser dessus. Bonne journée et continuez d’envoyer des requêtes. »

J’attends, surtout, que Mme Belloubet et M. Castaner fassent enfin leur travail en enquêtant et saisissant la Justice pour ces paroles avérées tombant sous le coup de la loi no 72-546 du 1er juillet 1972 sur la lutte contre le racisme avec « provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes en raison de leur origine ou de leur appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée ».

Si toutes ces attentes se révélaient sans conséquences, alors nous aurions la preuve que la France n’est plus la France et que la Justice qui s’acharne contre les Identitaires n’est plus appliquée correctement dans notre pays.

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L’incendie de Notre-Dame, tout un symbole

le billet de Patrick Parment

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Croyant ou non, la cathédrale Notre-Dame est un symbole qui appartient à notre patrimoine et qui témoigne d’un génie bâtisseur dont nos ancêtres avaient la maîtrise et qui s’est transmis de génération en génération. De Notre-Dame à Versailles, de Versailles au baron Hausmann, ce sont des centaines de métiers qui ont fait la beauté et la grandeur de notre culture et, par-delà, de toute la civilisation européenne. Comparé aux Arts premiers si chers à Chirac, et dont l’Afrique n’est jamais vraiment sortie, on comprendra mieux la nécessité pour les Européens de conserver leur patrimoine génétique.  Car bien souvent, ce que l’on oublie de dire, c’est que la notion même de travail est culturelle et ne relève pas d’une urgente nécessité mais bien d’une longue mémoire de l’esprit et du geste.

Il n’est d’ailleurs que de comparer les différents artisanats, de la Chine, de l’Inde et du Moyen Orient pour s’en convaincre. S’il n’y a pas d’échelle quant à leur excellence respective, il y en a quant à leur exécution et à cet esprit qui les relie à la main. Pour rénover Notre-Dame, il suffira de puiser dans le riche vivier des artisans français, malheureusement, lui aussi, victime d’un libéralisme éradicateur.

Préserver notre patrimoine génétique disions-nous. C’était une évidence hier encore et ce n’est plus le credo d’aujourd’hui.  Le libéralisme lamine tout, les hommes et ses productions selon le principe qu’il faut vendre au plus grand nombre une flopée de saloperie dont il n’a guère besoin et réguler un commerce désormais mondialisé.

A ce titre l’incendie de Notre-Dame apparaît comme un éminent symbole : celui de la fin d’un monde. De ce monde des Indo-européens qui essaima de la Grèce antique aux confins de l’Europe du Nord et de la Russie occidentale. De l’émergence du génie grec revigoré par la Renaissance italienne étendue à  l’Europe entière pour venir au final se casser les dents sur ce XXIe siècle au motif que les valeurs d’hier ne sont plus celles d’aujourd’hui. Je ne suis pas sûr que Nietzsche ait donné le même sens à sa fameuse transmutation des valeurs comparée à celle que nous subissons aujourd’hui. D’ailleurs, nous dit-on, on serait passé de l’holocène à l’anthropocène, à savoir, et pour faire court, de l’époque où l’homme cherchait à vivre en harmonie avec la nature à celle où il la domine. Ce qui en terme plus clair signifie tout simplement qu’on est en train de se suicider.

 
 

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"Notre Dame de Paris, c’est un symbole d’Occident" (Fabrice Luchini)

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"Hier en rentrant sur scène, je me suis permis d’évoquer le drame de Notre Dame. Il était impossible de commencer un spectacle sur les écrivains et l’argent sans évoquer les flammes dans le cœur de Paris. Et le texte de Charles Péguy et sa passion chrétienne nous ont plongés dans une communion dont je ne mesurai pas la puissance. Notre Dame de Paris, c’est un symbole d’Occident. Même si on n’est pas chrétien, même si nous ne sommes plus chrétiens: la France est chrétienne. C’est un fait. Moi-même je suis frappé en plein cœur. Hébété. Quelque chose de supérieur est venu perturber les calendriers des rencontres médiatiques, de la vie anecdotique, de la frénésie. C’est la métaphysique qui descend dans l’hallucinant débat agité des combats politiques pour affirmer une tragédie, restaurer une gravité (...) On pourrait presque penser à un signe."

Fabrice Luchini,

16 avril 2019, Le Figaro.

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mardi, 16 avril 2019

L'attitude des communistes en 1939 1945 examinée sur TV Libertés

19:52 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le discours de Jean-Marie Le Pen au Parlement européen

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19:45 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Jeudi 18 avril, à l'émission "Synthèse" sur Radio Libertés : Richard Roudier, Président de la Ligue du Midi, convoqué par la "Commission parlementaire" sur les organisations de la résistance identitaire et nationaliste

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LES PRÉCÉDENTES ÉMISSIONS CLIQUEZ ICI

18:24 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Notre-Dame : après l’effroi, le temps des questions et de l’indignation

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Un communiqué de la Dissidence française :

Hier soir, un violent incendie s’est déclaré dans la Cathédrale Notre-Dame de Paris, ravageant l’édifice millénaire et plongeant la France entière dans la stupeur et l’effroi.

Malgré les efforts des pompiers de Paris, la flèche de la Cathédrale s’est effondrée et les deux tiers de la toiture sont partis en fumée, défigurant ce monument emblématique du patrimoine religieux, culturel et historique de notre pays.

Si les causes précises de l’incendie ne sont pas encore connues, il est à noter que ce désastre survient le premier jour de la Semaine Sainte et dans un contexte marqué par une vague de vandalisme et de christianophobie sans précédent. Ainsi en 2018, le Ministère de l’Intérieur a dénombré pas moins de 1036 actes antichrétiens en France. Depuis le début de l’année 2019, le nombre de profanations d’églises a explosé (+53% par rapport au 1er trimestre 2018, selon l’Observatoire de la Christianophobie) et pose évidemment la question du caractère criminel ou terroriste de cet incendie dévastateur.

À cette question s’ajoute la colère et l’indignation légitime des Français, face à la jubilation inqualifiable de milliers d’immigrés qui ont affiché publiquement sur les réseaux sociaux leur mépris sarcastique de notre patrimoine et de notre douleur devant cette scène d’horreur. Une telle vague de moqueries conjugue l’indécence à l’affront, et témoigne de la faillite intégrale de la fiction du « vivre-ensemble » et de l’assimilation.

Source cliquez ici

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« Je rage d’impuissance, la France brûle et je ne peux rien faire. »

sos.jpgUn volontaire de SOS Chrétiens d’Orient en mission en Syrie :

Je viens d’apprendre l’incendie en cours à la Cathédrale Notre-Dame de Paris. Je suis volontaire avec l’association SOS Chrétiens d’Orient en Syrie.

J’étais à table, avec les volontaires, et nos téléphones personnels ont presque tous sonné au même moment. S’ensuit un flot de photos toutes plus impressionnantes les unes que les autres. Tous les groupes de conversation, familiaux, amicaux, sportifs, ne parlent que de ça.

J’ai le cœur serré, l’impression que c’est ma maison qui brûle. A l’heure où j’écris ces lignes, la flèche de la cathédrale vient de tomber. La chrétienté de France perd son toit le plus beau. Plus que du bois et des pierres, c’est la France toute entière qui part en fumée. Je repense au fabuleux spectacle « La Dame de cœur », projeté sur la façade du plus beau monument de Paris. Je pense à ces milliers de pèlerins qui, chaque année, marchent de Notre-Dame de Paris à Notre-Dame de Chartres, dont je suis. Je ne peux m’empêcher de songer aux innombrables attaques qui ont frappé les lieux de cultes chrétiens en France ces derniers mois. J’espère qu’il s’agit d’un simple accident. Je rage d’impuissance, la France brûle et je ne peux rien faire. Je songe aux églises qui ont brûlé ici en Syrie. Le Symbole est lourd.

En ce début de Semaine Sainte, nos cœurs de français chrétiens saignent. Il nous reste la prière et l’espérance de la Résurrection.

Beaucoup de mes amis se dirigent en ce moment vers le monument pour y prier. Je les envie. Je n’ai pas grand-chose d’autre à faire que de m’associer à leur prière. Pour les trésors de l’Eglise de France qui partent en fumée. Pour les pompiers qui se démènent.

Plus tard, il nous faudra la vérité et rebâtir.

Notre-Dame de Paris, priez pour nous.

Source: Le Salon Beige

 
 

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Il faut reconstruire Notre-Dame comme il faut reconstruire la France

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Ligne Droite cliquez ici

L’incendie de Notre-Dame de Paris est un événement tragique qui va marquer profondément notre pays.

Car ce n’est pas seulement le fleuron de notre patrimoine, ce n’est pas seulement un bâtiment public emblématique de la Ville de Paris, ce n’est pas seulement la première des églises françaises, c’est à bien des égards le cœur de la France.

Notre-Dame de Paris c’est, inscrite dans la pierre au centre de notre capitale, l’expression flamboyante de notre identité et de notre existence pérenne à travers les siècles.

La destruction de ce joyau de l’architecture gothique est donc symbolique de  l’effondrement civilisationnel que nous connaissons et de la perte d’identité qui menace l’essence même de notre nation.

La tristesse et l’émotion  qui ont saisi la plupart des Français devant le spectacle terrible de la cathédrale en feu montrent d’ailleurs que même inconsciemment notre peuple ressent cette destruction comme l’expression des fléaux qui l’accablent.

Alors de deux choses l’une : ou l’incendie de Notre-Dame de Paris restera dans l’histoire comme le signe de l’effondrement de la France, ou la reconstruction rapide et spectaculaire de la cathédrale par une volonté inflexible de l’Etat et un puissant soutien populaire fera de cet évènement le symbole de la volonté des Français de renaître. Il faut reconstruire la cathédrale comme il faut reconstruire la France.

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L'incendie de Notre-Dame révèle la profondeur abyssale de l'inculture journalistique

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Julien Michel La Lettre patriote cliquez ici

Ils ne savent rien. Ils ne comprennent rien. Ils n’ont plus aucune culture. Tout ce qui est éminemment français leur échappe, ne les intéresse pas. Alors pensez, une cathédrale qui brûle, et qui n’a même pas la politesse de s’écrouler pour faire de l’audience…

La prime revient à Bénédicte Le Chatelier, une présentatrice de LCI (ici en illustration), qui a enchaîné les perles. Juste après minuit et demi, pour lancer l’historien Franck Ferrand au téléphone, elle expliquait doctement que “Notre Dame n’est pas un lieu religieux, mais [que] les catholiques continuent de se l’approprier” ! Salauds de Cathos ! S’approprier une cathédrale, c’est-y-pas honteux ?

Ensuite, durant la nuit, la même journaliste est allée de surprise en surprise. Ah bon, il y a cinq messes par jour ? Ah bon, on y fait des ordinations ? Ah bon, il y a des baptêmes ? Que d’étonnement ! C’était une instant avant qu’elle ne rebaptise Mgr Aupetit “Mgr Auprêtre” et s’interroge à haute voix “mais le bourdon, en fait, il est accroché à une poutre en bois ?” Non, il lévite, c’est magique.

Mais la pauvrette n’est pas la seule. Tous les invités, tous les journalistes, un par un, y sont allés de leur boulette, de leur bourde, de leur approximation.

Ca pourrait être drôle, amusant même, si ce n’était le révélateur de l’incroyable déracinement de ces générations d’incultes.


 

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La Marseillaise à Notre-Dame de Paris

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1 an de prison ferme et mandat d’arrêt contre Alain Soral

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Source Breizh info cliquez ici

1 an de prison ferme et mandat d’arrêt contre Alain Soral. Telle est la peine infligée à l’essayiste, polémiste et animateur du site Egalité et Réconciliation, ce lundi 15 avril 2019.

Voici ce que l’on peu lire sur le site d’Egalité et Réconciliation à ce sujet :

Affaire Shoah où t’es ? : après avoir été condamné à 10 000 euros d’amende pour « contestation de crime contre l’Humanité », Alain Soral est cette fois condamné à un an de prison ferme avec mandat d’arrêt pour « contestation de l’existence de la Shoah » ! Rappel : il est bien question d’un simple dessin de caricature relayé sur E&R !

Le 27 mars 2019, Alain Soral était définitivement condamné à 10 000 euros d’amende avec possibilité d’emprisonnement en cas de non-paiement pour avoir diffusé en avril 2016 un dessin de caricature sur le site internet d’Égalité & Réconciliation ! Malgré le fait qu’Alain Soral ne soit ni l’auteur du dessin ni le directeur de la publication du site internet d’E&R, c’est bien lui qui est condamné pour « injure en raison de sa race, de sa religion ou de son origine » et « contestation de crime contre l’Humanité ».

Dans cette même affaire Shoah où t’es ?, le parquet de Paris a jugé Alain Soral et son avocat Damien Viguier pour « contestation de l’existence de la Shoah ». Le motif ? Avoir publié en novembre 2017 sur le site d’E&R les conclusions de Maître Damien Viguier au sortir de la première instance. Le parquet a alors requis six mois de prison ferme contre Alain Soral et 15 000 euros d’amende contre Damien Viguier. Mais le jugement du 15 avril 2019 est plus sévère pour le président d’E&R : un an de prison ferme assorti d’un mandat d’arrêt. Damien Viguier est quant à lui condamné à 5 000 euros d’amende pour « complicité ».

Rappel : la partie civile principale dans cette affaire est la LICRA. L’Union des étudiants juifs de France (UEJF), Avocats sans frontières (ASF), le Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples (MRAP), J’accuse ! et l’Action internationale pour la justice (AIPJ), le Bureau national de vigilance contre l’antisémitisme (BNVCA) et SOS Racisme étaient également partie civile.

Le compte rendu de Damien Viguier :

Le 4 mars 2019 se déroulait devant la treizième chambre du tribunal de Paris l’audience du procès fait au titre de la loi Gayssot à Damien Viguier et Alain Soral. Le tribunal présidé par Mme Cécile Legidan assistée de Mesdames Jocelyne Palenne et Christine Huertas, Florence Gilbert étant au Parquet, a rendu son jugement ce lundi 15 avril 2019.

Alain Soral était poursuivi à l’initiative du Parquet sur signalement de la LICRA en tant que directeur de la publication du site Égalité & Réconciliation pour la publication d’un article qui faisait le compte-rendu de l’affaire du dessin pastiche de la couverture de Charlie Hebdo « Papa où t’es ? » et reproduisait les conclusions prises par son avocat devant la Cour d’appel de Paris, conclusions qui contenaient les propos poursuivis. Alain Soral pouvait bénéficier de l’immunité journalistique et Maître Viguier de l’immunité du plaideur. Aucun des prévenus n’avait pu prendre connaissance du dossier, le 4 mars ayant été annoncé comme une formalité de fixation du calendrier de procédure. Au fond l’accusation restait très imprécise.

Le Parquet avait requis six mois d’emprisonnement ferme pour Alain Soral et 15 000 euros d’amende pour son avocat. La LICRA, J’accuse, l’UEJF et le MRAP s’étaient portées partie civile.

Les prévenus ont été reconnu coupable de « contestation de l’existence de crime contre l’humanité » et condamnés, pour Alain Soral à un an d’emprisonnement ferme avec mandat d’arrêt, et pour Damien Viguier à 5 000 euros d’amende.

Les parties civiles obtiennent 6 000 euros et la publication du jugement dans la presse.

Alain Soral et Damien Viguier ont fait appel.

NDLR SN : on peut être ou ne pas être d'accord avec Alain Soral. Ses prises de positions sont, parfois, bien éloignées des nôtres. Quoi qu'il en soit, l'essayiste ne manque pas de talent et, même si nous ne l'avons pas attendu pour prendre conscience de certaines réalités, nous ne pouvons que nous réjouir de l'inclure dans le camp anti-mondialiste. La répression dont il est victime relève, à nos yeux, du processus de suppression de la liberté de penser en dehors des clous imposés par le Système et cela est insupportable.

S.N.

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lundi, 15 avril 2019

Notre-Dame de Paris ravagée par un incendie, suivez en direct.

 

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Les aides à la presse pour les grands groupes aux ordres !

Les coups de pouce sous la forme d’aides à la presse ne parviennent pas forcément aux journaux qui en ont le plus besoin : quatre titres de presse accaparent en effet 30 % de ces subventions publiques.

Entretien avec Éric Verhaeghe

Source: RT France

 

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Mercredi 1er mai, avec Jean-Marie Le Pen

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18:40 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les inscriptions au Pèlerinage de Chartres sont ouvertes !

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Message de la Direction des pèlerins :

Ah qu’il est bon d’arriver enfin au week-end ! Qui ne se réjouit pas, les beaux jours aidant, de la perspective d’une grasse matinée avant de projeter une balade au soleil, une terrasse avec des amis, un barbecue familial, une sieste, la lecture d’un bon roman, une séance de cinéma… le week-end est fait pour se reposer ou partager des moments que la semaine travaillée met en suspend. Si le samedi reste souvent consacré aux accompagnements, activités ou supermarché, le dimanche assure dans ces 48h d’interruption, une pause garantie, aussi légitime que méritée, une bouffée d’oxygène, une expiration profonde et libératrice : enfin, on profite de la vie !

Sauf que…il y a un week-end par an où ça peut ne pas se passer tout à fait comme ça ! Un week-end qui en plus de jouer les prolongations, propose un programme nettement plus engageant : mettre entre parenthèse la grasse matinée pour se lever à 5h (ou même n’avoir pas besoin de se lever si l’on est parti la veille au soir en car), démarrer sa journée en tenue décontractée par une messe chantée dans la mythique cathédrale Notre Dame de Paris, s’alléger de tout le superflu en concentrant 3 jours en un sac, troquer ses chaussures de ville pour de bonnes chaussures de marche qui entament ou poursuivent une histoire chargée de souvenirs, préférer le charme de la nature au bitume citadin, l’intimité du chapitre à la foule des magasins, la quiétude de la méditation à l’agitation d’un terrain de sport pour mettre à l’honneur et de manière exclusive le seul, l’unique, le Seigneur.

Sortir ? Oui ! Plus que jamais ! Mais quitter la ville, son bruit, son fourmillement, pour retrouver la campagne, la Beauce, la forêt et la cathédrale, cette forêt de pierre. Quitter son confort, ses pantoufles et son petit-déjeuner, pour vivre trois jours inouïs, et inoubliables, qui prennent chaque année une saveur nouvelle, la question de la météo n’étant que l’élément extérieur d’une montée garantie vers le soleil de l’Eucharistie. Quitter son monde, ses habitudes pour se nourrir de la Foi catholique, boire à la source de la doctrine, se purifier dans le bain de la Confession, en un mot : se plonger en Chrétienté. Faire fie pendant 72h de ses contraintes, ses soucis, ses fardeaux, ses mails, ses whatsapp et sms, se couper de tout pour revenir à l’essentiel, se décharger de tout pour le confier dans la prière, prendre du recul et se donner la chance de repartir à zéro, avec un regard neuf, un cœur allégé, une âme revivifiée.

Le mot est prononcé : Chartres ! Chartres sonne, Chartres t’appelle ! Chartres, c’est la cathédrale, étoile de la Beauce, tour de David, nef victorieuse chargée de blé et de grâces, vision radieuse du dimanche soir, miracle d’une procession du lundi après-midi, joie paisible d’une communion sainte.

Chartres, ce n’est plus une mais deux colonnes immenses de plus de 250 chapitres, s’étalant sur plusieurs kilomètres, magiquement orchestrées par un SO à toute épreuve. La colonne des adultes, et la colonne des familles.

Chartres, c’est la magie de centaines de visages d’enfants de 6 à 12 ans, qui marchent à leur rythme, encadrés par des chefs et des cheftaines énergiques, enthousiastes et dévoués pour leur donner la joie de l’effort, le sens de l’entraide, la soif de la sainteté. Car ils sont nos premiers missionnaires, le « paratonnerre du pèlerinage » selon la belle expression de notre cher abbé Coiffet.

Chartres, c’est la vigueur naissante des Pastoureaux de 13 à 16 ans, adolescents conquérants, assoiffés de plénitude, accompagnés par une équipe de choc et des aumôniers de feu : quel meilleur bain pour les aider à grandir dans le beau et le vrai que ces 3 jours tournés vers l’exigence d’un idéal qu’ils n’entendent plus ailleurs ?

Chartres, c’est l’immensité d’une Chrétienté adulte renouvelée, dont la jeunesse (moyenne d’âge 21 ans) dément toute désespérance du vieillissement de la fille aînée de l’Eglise, puisant aux racines de la Tradition depuis nos prédécesseurs, Péguy et André Charlier, au sein de 13 régions !

Chartres, c’est la Pentecôte, la Babel baptisée, avec ses plus de 1300 pèlerins étrangers venus de tous les continents !

Chartres, c’est un temps familial sous le regard de Dieu, petits et grands sous la même bannière répartis dans 40 chapitres, pour la première fois réunis en 3 régions (1000 adultes et 1000 enfants).

Chartres, c’est un ciel emplumé de ceux que l’on appelle les anges gardiens, et il y en a plus de 3 000sur tous les continents : nos pèlerins qui ne peuvent pas marcher pour des raisons d’âges, physiques, de maternité, d’expatriation et auxquels s’associent les prisons, les monastères, les maisons de retraite et les paroisses spirituellement unis à la colonne avec le livret « ange gardien » et forts des paroles de Notre-Seigneur : « Là où deux ou trois sont réunis en mon nom, je suis au milieu d’eux ».

Chartres, c’est aussi la discrétion absolue d’un nombre incommensurable de bénévoles ; de la DIRPEL (direction des pèlerins), qui coordonne, organise, fait prier et chanter à tous les échelons (étrangers, province, Ile de France, régions, chapitres), qui forme les 750 chefs de chapitre et adjoints, qui pourvoit à l’accueil de chacun… jusqu’à la DIRSOUT (direction des soutiens), en charge de l’intendance, des cuisines, des toilettes, des achats, de la sécurité, du service d’ordre… Tous œuvrent dans la joie et dans l’ombre au service de chacun d’entre vous, chers pèlerins, pour que Chrétienté demeure !

Chartres, c’est donc cette immense foule qui grandit chaque année pour se lancer à corps perdu dans ce challenge un peu fou, dont la finalité se résume en 3 mots : Chrétienté, Tradition, Mission.

Chers amis, chers pèlerins, au week-end ordinaire, préférez l’extraordinaire et rejoignez le pèlerinage les 8, 9 et 10 juin 2019 : Chartres vous ouvre ses bras, inscrivez-vous et faites-le vite car l’anticipation est notre meilleur levier pour organiser ces 3 jours de manière la plus fluide et agréable pour vous. Il n’y a pas de plus grand bonheur pour nous que de recevoir les témoignages de tout ce que vous avez vécu et les grâces reçues chaque année : à l’impossible, nous sommes tenus !

“Une seule condition : l’inscription, rapide et enthousiaste, à partir d’aujourd’hui même, sur www.nd-chretiente.com ! N’attendez pas : fatale est l’hésitation, mais heureuse la décision !”

N’hésitez pas non plus à rejoindre les centaines de bénévoles qui oeuvrent à la réussite du pèlerinage, dans l’une des équipes de la logistique et du service d’ordre, pour le montage des tentes, le transport des sacs, les cuisines, les WC, la propreté, le transport des pèlerins…

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La femme dans l'art européen

13:38 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dimanche 28 avril à Nieppe (59) : Bruno Hirout (PdF) interviendra lors de la 7e Journée régionale de Synthèse nationale

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En savoir plus cliquez ici

12:38 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Enrayer le processus d’appauvrissement des Français

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Ligne Droite cliquez ici

La dérégulation des échanges commerciaux a provoqué en France une perte de richesse significative, en partie camouflée aux yeux des Français par le recours à l’endettement. Aujourd’hui, cette pratique trouve cependant ses limites et conduit le Système, qui ne veut pas renoncer à l’ultralibéralisme international, à accepter l’appauvrissement et même à l’organiser. Refusant cette logique délétère, Ligne droite veut au contraire rétablir une régulation aux frontières de l’Europe et réindustrialiser le continent, seuls moyens d’enrayer le processus d’appauvrissement des Français

L’appauvrissement, un processus inégalitaire mais bien réel

Les Français ont l’impression de voir leur niveau de vie diminuer d’année en année. Et, quelles que soient les dénégations des responsables du Système, cette conviction est maintenant solidement ancrée dans la conscience collective. La plupart de nos concitoyens d’âge mûr éprouvent en effet le sentiment justifié de ne plus disposer aujourd’hui des facilités que leur offrait une position sociale et professionnelle identique à la leur il y a dix ou vingt ans. Et tous les parents savent que leurs enfants rencontrent de nos jours plus de difficultés à débuter dans la vie qu’ils n’en avaient eux-mêmes à leur âge.


Il est vrai que cette situation n’affecte pas également toutes les catégories de la population car, dans le même temps, les inégalités se sont creusées. Alors que les classes populaires et les classes moyennes, voire moyennes supérieures, connaissaient cette régression, les classes supérieures liées au système et au monde financier ont bénéficié au contraire d’une croissance exponentielle de leur niveau de vie.

L’appauvrissement, conséquence du mondialisme

Or, ces évolutions sont directement corrélées au processus de mondialisation sauvage que nous subissons maintenant depuis plusieurs décennies. L’ultralibéralisme international, qui s’est développé sans aucune régulation, a provoqué en effet un transfert de richesses des pays européens vers les pays émergents. Les délocalisations que subit notre pays depuis des décennies ont conduit à la quasi-disparition de secteurs entiers de notre appareil de production. Et personne ne peut raisonnablement nier que cet effacement industriel correspond à une perte de substance économique et donc à une diminution de richesse pour notre pays. Un manque à gagner que rien n’a réussi à compenser ni l’innovation, ni la technologie, ni l’ingéniosité de nos entrepreneurs. D’autant que de nombreux pays émergents, comme la Chine par exemple, ont maintenant rejoint l’Occident dans la maîtrise de la haute technologie et que les propos lénifiants tenus il y a encore quelques années sur le thème « ils ont les industries de main-d’œuvre, à nous les industries du futur, » se sont révélés totalement illusoires.

L’occultation des méfaits de l’ultralibéralisme international

Dès lors, les gouvernements successifs, qui n’ont cessé de vanter les prétendus bienfaits de cette mondialisation, ont cherché à occulter l’appauvrissement qu’elle provoquait en assurant des prestations et des services qu’ils ne pouvaient pas financer. Sans cette politique, l’appauvrissement entraîné par la mondialisation aurait d’ailleurs été beaucoup plus spectaculaire. Car, pour atténuer les effets désastreux de l’ultralibéralisme sauvage, les dirigeants de notre pays ont essayé de maintenir artificiellement le niveau de vie et de protection des citoyens en empruntant massivement. Pour limiter la réduction des prestations sociales, la détérioration des services publics et la baisse du pouvoir d’achat, ils ont donc fait vivre notre pays au-dessus de ses moyens. Comment expliquer autrement que le processus d’endettement commence dans les années soixante-dix et aille croissant à mesure que les droits de douane sont supprimés et que la dérégulation commerciale se généralise ? D’ailleurs, est-il possible d’expliquer les déficits que connaissent de nombreux pays occidentaux uniquement par le laxisme de leurs dirigeants ? Sans doute y a-t-il là une part de vérité, mais on ne peut expliquer un phénomène aussi puissant et aussi continu par une simple dérive des comportements politiques.

À la croisée des chemins

La difficulté est qu’après quarante ans de fuite en avant, cet endettement s’approche maintenant dangereusement des seuils critiques. Dès lors, la politique de camouflage des méfaits du mondialisme est en train d’atteindre ses limites. Il n’est pas possible en effet, même pour un Etat comme la France, de continuer à accumuler dette et déficit. Aussi la France se trouve-t-elle à la croisée des chemins, car il lui faut maintenant revenir à la réalité. Deux voies lui sont alors ouvertes : ou bien elle remet en cause la mondialisation sauvage par une régulation commerciale aux frontières de l’Europe et elle peut alors espérer retrouver, avec les autres peuples européens, le chemin de la prospérité. Ou bien, avec l’organisation bruxelloise, elle laisse les frontières grandes ouvertes et elle sera alors contrainte de réduire le niveau de vie et de protection de nos compatriotes et de faire accepter l’appauvrissement et la régression inexorable de notre pays. À l’évidence, c’est cette voie qu’ont choisie la Nouvelle Gauche et les dirigeants du Système pour qui l’allégeance à l’ultralibéralisme international passe avant les intérêts nationaux de notre pays. Avec eux, le processus d’appauvrissement du peuple français va donc se poursuivre et même s’amplifier.

Enrayer l’appauvrissement

Ligne droite préconise au contraire d’enrayer ce processus délétère d’appauvrissement et donc de choisir l’autre option, celle de la mise en cause du mondialisme sauvage. C’est par une régulation des échanges aux frontières de l’Union, par la protection des économies européennes de la concurrence sauvage et par la réindustrialisation du continent que la France et l’Europe pourront offrir à leur peuple une prospérité renouvelée.

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Mercredi 17 avril : Philippe de Villiers à la Nouvelle Librairie

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Communiqué de la Nouvelle Librairie :
 
La Nouvelle Librairie recevra Philippe de Villiers en dédicace le mercredi 17 avril, à l'occasion de la sortie de son dernier essai "J'ai tiré sur le fil du mensonge et tout est venu" aux éditions Fayard.
 
Ne manquez pas cette rencontre exceptionnelle, de 17h30 à 19h30.  
 
Rendez-vous à La Nouvelle Librairie au 11 rue de Médicis à Paris VIe.

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Face à l’État, l’énergie du désespoir

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Franck Timmermans,
membre du BP du Parti de la France
 
Le 1er août 2018, le parlement entérinait le vote de la Loi instituant un « Droit à l’erreur », texte bénéficiant d’un a priori favorable des media et donc devenu emblématique de la politique de confiance voulue par le président de la République. Tout d’abord, force est de constater que beaucoup de citoyens n’ont pas compris, et n’ont toujours pas compris la réalité macronienne. Certains ont pensé que le Gouvernement invoquait son « droit à l’erreur » mais dans une auto-critique aussi louable qu’inédite sous la Ve République ! Ensuite, d’autres ont compris de quoi il s’agissait mais ont cru que les fautifs repentants seraient une fois et une seule exonérés ou blanchis, selon la nature de l’erreur. Colossale méprise !
 
Examinons l’entourloupe : Le Droit à l’erreur (selon Macron), nous dit le ministère des Finances, garantit aux particuliers de pouvoir régulariser, sous conditions, une erreur commise pour la première fois et de bonne foi, sans s’exposer à une sanction administrative ; ainsi, le particulier repentant et sincère, à condition de restituer les sommes ou avantages indûment reçus, sera dispensé d’avoir à payer des pénalités ou de subir les affres du Contentieux… Tout cela est bel et bien et peut satisfaire des néophytes empêtrés dans les pièges de l’Administration française comme peut apporter une occasion de résipiscence à des tricheurs. Mais, là encore, nous sommes dans la voie à sens unique que l’État s’est ménagée.
 
La considération qu’il a des Français augmente en paramètres : des Gaulois irascibles, des perdants, des gens tentés par l’isolationnisme et la fermeture, des rétifs au progrès, des traînards, des retraités trop nombreux, et maintenant des tricheurs ou des imbéciles. Ce qui choque le plus dans tout cela, c’est d’être à nouveau aspergés par l’arrogance de l’infaillibilité supposée de l’État et de son représentant quinquennal.
 
Et si l’État reconnaissait un jour enfin ses propres erreurs ? Est-ce trop demander à une démocratie ? Sans doute !
  • Premier exemple : Yvan est un jeune de 23 ans de PACA. En décembre 2017, il décide de s’engager dans l’armée. Il y restera jusqu’en septembre 2018 date à laquelle il décide de démissionner pour rejoindre sa fiancée ; il reçoit alors le même mois son solde de tout compte. Tout va bien jusqu’en janvier 2019 quand il reçoit un courrier de l’administration militaire lui annonçant, qu’à la suite d’une erreur de leurs services, il a perçu indûment 2 211 euros de solde. Nul n’est censé ignorer la Loi mais sommes-nous censés connaître à 23 ans toutes les arcanes administratives, salariales etc. ? En avril 2019, le Trésor public vient de lui envoyer la sommation à payer. Aux yeux de la Loi du « droit à l’erreur », le fautif est donc Yvan, l’État n’est jamais fautif, l’État ne se trompe jamais ! Yvan est en CDD, serveur dans un bar et gagne 600 euros actuellement… Comment va-t-il payer pour les erreurs de l’État ? Question subsidiaire : le service concerné et responsable du trop versé sera-t-il sanctionné ? Les fonctionnaires sont protégés et ne risquent rien de fâcheux. Une telle erreur dans le privé donnerait lieu à un litige devant les tribunaux de commerce ou aux prud'hommes, et le comptable responsable serait probablement remercié. De la même façon, quand l’État « se trompe » de date pour payer ses fournisseurs, ceux-ci savent qu’ils n’ont aucun recours réel et qu’une solution : attendre et survivre pour les plus vulnérables d’entre eux.
  • Second exemple : Brigitte est une Auvergnate de 57 ans et a été victime d’un cancer dont elle s’est heureusement mais péniblement remise. À la fin de sa maladie et de ses chimiothérapies, la Sécu a exercé copieusement son droit à l’« erreur » dans le calcul de ses indemnités journalières, d’un total cumulé de 2 400 euros ! La malheureuse avait pour seules ressources son allocation d’adulte handicapé (AAH) de 500 euros et un salaire à temps partiel de 600 euros, donc un total mensuel de 1 100 euros. Aux yeux de tout macronidé, il eût donc suffi d’un peu plus de 2 mois pour tout rembourser à l’État, étant entendu qu’un jeûne prolongé ne peut certainement pas faire de mal à une cancéreuse ! J’exagère à peine… Scandalisé, son médecin est intervenu (car il faut savoir que les médiateurs sont débordés et que leurs délais d’action sont trop longs pour influer sur l’Administration !) et elle a pu obtenir une réduction (de peine) de 50 %, le reste de 1 200 euros étant à payer à raison de 50 euros mensuels, donc pendant deux ans. Mais elle dut en réalité payer pendant 2 ans et demi car elle et son toubib avaient oublié que l’Administration y ajoutait des intérêts, comme pour un prêt ! Pas folle la guêpe de Bercy !
Plusieurs leçons sont à retenir, aussi révoltantes qu’édifiantes.
 
Dans les deux cas, tout d’abord, il apparaît probable que les deux exemples n’avaient pas les bons prénoms et qu’avec d’autres atouts « ethniques » ils auraient pu bénéficier du soutien actif d’associations et d’ONG pour interpeller l’Administration et la faire capituler.
 
Ensuite, le fait de n’avoir jamais été condamné et d’avoir toujours payé ses impôts ne prémunit même pas tout citoyen Français dans la détresse ou la gêne contre le rouleau compresseur fiscaliste qui se met en place. Les meules du seigneur Macron broient finement !
 
Aucun avantage pour les Français de base, privilèges et égards pour les castes, le Cac40 et les étrangers, telle serait la triste conclusion des injustices observées ces dernières années.
 
De fait, toute administration publique responsable devrait surseoir immédiatement à toutes ses prétentions lorsqu’à l’évidence le citoyen est de bonne foi. Le Droit à l’erreur est peut-être une bonne chose pour quelques cas isolés mais, eu égard aux avantages considérables des fonctionnaires publics et des devoirs des politiques, l’État se doit de réparer ses erreurs, de ne jamais accabler les faibles et les démunis ! De même une autocritique est de rigueur sinon la ploutocratie s’installe ! La précarité des Français se généralise, l’écart se creuse entre les nantis et les autres puisque les classes moyennes sont en voie de paupérisation accélérée sous les frappes conjuguées de l’État fiscal, du mondialisme, de l’Europe de Bruxelles et aussi d’impôts locaux que les collectivités initieront bientôt pour pallier les désengagements et reniements gouvernementaux
 
Présentement, les grands sacrifiés des politiques sociales qui se sont succédées sous Sarkozy, Hollande et Macron sont principalement les retraités et les handicapés, exactement comme en Allemagne depuis que Frau Merkel est chancelière. Comment dès lors s’étonner du phénomène des Gilets jaunes ! En d’autres temps, quelques décennies à peine, la révolte eût immanquablement profité au PC champion de la funeste lutte des classes ! Tout se passe comme si Macron élargissait le boulevard réservé à Mélenchon. La France a beaucoup de chance d’avoir des gilets jaunes plus circonspects. Même si notre camp est incapable d’avoir une réelle crédibilité gouvernementale à cause de l’inertie lepénienne, nous pouvons nous réjouir pour notre Pays que l’extrême gauche reste encore contenue.
 
Mais sachons bien que la Droite nationale de demain devra toujours préserver une dimension sociale et populaire, sinon nous n’aurons rien compris à la France profonde.
 

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11:43 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le péril vert

Europe-écologie.pngGeorges Feltin-Tracol

Les observateurs politiques ont la fâcheuse habitude de se focaliser sur les résultats, parfois élevés, de l’« extrême droite ». Ils oublient de signaler que les Vertsconnaissent eux aussi de grands succès électoraux dans plusieurs États européens. Il est même possible aux prochaines européennes, la liste Verte conduite en France par le sortant Yannick Jadot dépasse l’estimation des 8 % prévue par les sondages.

Les élections communales et provinciales d’octobre dernier en Belgique ont vu la percée des Verts, remportant trois bourgmestres dans la région de Bruxelles-Capitale au lieu d’un seul. Aux législatives de l’automne 2018 chez le voisin luxembourgeois, ils prennent cinq points, soit 15,13 %, et renforcent leur influence au sein de l’alliance ministérielle tripartite avec les socialistes et les libéraux. Le gouvernement du Grand-Duché compte dorénavant trois ministres et un secrétaire d’État Verts.

Toujours en automne dernier, les élections régionales en Allemagne confirment leur succès : 17,5 % (+ 8,9 points) dans la très conservatrice Bavière, et 19,8 % (+ 8,7 points) en Hesse. En cas de législatives anticipées outre-Rhin, les Grünendeviendraient la deuxième force politique du pays aux dépens de la sociale-démocratie et pourraient s’entendre avec la CDU pour une coalition gouvernementale.

Outre la formidable complaisance du système médiatique, les Verts qui sont souvent des écologistes de pacotille bénéficient du mécontentement latent présent dans l’ensemble des classes sociales. Les électeurs centristes, sociaux-libéraux et progressistes se détournent de leurs formations politiques habituelles, mais ils ne veulent voter ni pour la gauche radicale, ni pour les forces nationales-populaires. Restent les Verts considérés comme une forme convenable de protestation populiste.

Cet engouement extravagant profite par ailleurs des grotesques « grèves scolaires » déclenchées par une adolescente suédoise qui ne cache pas de manger de la malbouffe industrielle… Ces rassemblements contre les dérèglements climatique font penser à cette manifestation organisée, il y a plus de trente ans, par le groupe Jalons à la station de métro Glacière contre le froid. Les participants criaient : « Hiver assassin ! Mitterrand complice ! ». Lycéens et écoliers se donnent une bonne conscience facile et continuent à fumer régulièrement des pétards sans se soucier du gaz carbonique ainsi rejeté. Pauvres jeunes crétins qui sèchent des cours certes idiots au nom de la lutte contre le réchauffement climatique…

Politiquement schizophrènes (pour les souverainetés énergétique et alimentaire et contre les frontières), les Verts, cosmopolites et multiculturalistes, constituent donc une véritable menace pour l’avenir autochtone de la civilisation albo-européenne. Leur montée en puissance confirme en tout cas l’ouverture d’un nouveau cycle politique. Souhaitons que cette imposture soit vite révélée pour que s’affirme enfin un mouvement identitaire enraciné, tenant d’une écologie armée authentique, communautaire et organique.

Bonjour chez vous !

• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°120, mise en ligne sur TVLibertés, le 8 avril 2019.

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00:15 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |