samedi, 01 juin 2019
Journal du chaos
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Le chanteur Christoff BZH va bientôt sortir un nouvel album CD
Christoff, guitariste et chanteur politiquement incorrect qui avait donné un concert lors de la 11e journée de Synthèse nationale en octobre 2017, a annoncé aujourd’hui qu’il donnait une suite à son premier album l’armée du silence, un album professionnel et sans concession que nous conseillons à tous nos lecteurs. Cet album s’intitulera au crépuscule des braves.
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Pour le découvrir, voici un de ses clips :
Site Kroc blanc cliquez ici
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vendredi, 31 mai 2019
Revue de presse : À l'automne 1944, Français et troupes américaines au bord de l'affrontement
Source Le Point cliquez ici
Trois mois après le jour J, les Normands n'en peuvent plus des exactions des soldats qui les ont libérés. Retour sur un épisode méconnu.
Jean-Pierre Beuve, correspondant du Point à Caen
« Des scènes de sauvagerie et de bestialité désolent nos campagnes. On pille, on viole, on assassine, toute sécurité a disparu aussi bien à domicile que par nos chemins. C'est une véritable terreur qui sème l'épouvante. L'exaspération des populations est à son comble. » Le 17 octobre 1944, quatre mois et demi après le Débarquement en Normandie, La Presse cherbourgeoise, quotidien local de Cherbourg, publie cette mise en garde sous le titre « Très sérieux avertissement ».
À l'automne 44, ceux qui pillent, violent et assassinent sont les Américains : le journal accuse les libérateurs de se comporter en soudards dans un pays conquis. Comment un tel paradoxe deux mois après la fin des combats en Normandie ?
Une fois libérés, la presqu'île du Cotentin et son port sont devenus une gigantesque base logistique. Sur les quais, un millier d'officiers et marins américains assurent, avec les dockers français, le débarquement quotidien de 10 000 tonnes de véhicules, munitions, nourriture. Le 29 septembre 1944, 1 318 camions GMC en partance de Cherbourg acheminent vers les troupes alliées du front 8 000 tonnes de matériel. Sur les premiers kilomètres de la « Red Ball Highway Express », la route du front, défilent hôpitaux, dépôts, aérodromes, camps de repos, chaînes de réparation pour tanks et camions.
Les entrepôts du Cotentin mobilisent des militaires en nombre : les 430 000 habitants du département de la Manche cohabitent avec 120 000 soldats américains, dont 50 000 Afro-Américains. D'emblée, la cohabitation, qui s'est prolongée jusqu'en 1946, ne s'annonce pas facile : « L'enthousiasme des Normands pour les forces anglo-américaines risque de s'inverser proportionnellement à la durée de notre séjour en Normandie », prévient dès l'été 1944 la 1re armée américaine.
Auteur du livre La Normandie américaine, fruit de nombreux témoignages et d'archives dépouillés aux États-Unis, l'historien Stéphane Lamache, 52 ans, met en relief le choc entre le Nouveau Monde et la vieille Europe : « D'un côté, de jeunes Américains très sûrs d'eux-mêmes, dotés en masse de matériels modernes tant en véhicules qu'en moyens de transmissions déjà miniaturisés. Une Amérique au top de son histoire. En face, des familles normandes évoquant Maupassant avec paysans en sabots, maisons au sol en terre battue et chevaux tirant des charrues. Après quatre ans d'occupation et le choc des bombardements, les Normands ont perdu leurs repères. »
La Libération a été payée au prix du sang et des destructions massives dans la Manche, 4 000 morts civils, le double de blessés, 10 000 maisons rasées, 50 000 autres endommagées, 130 000 sinistrés qui n'ont plus rien. « Après ce cataclysme, les Normands n'aspirent qu'à être débarrassés de la guerre. Les Américains visent la victoire finale sans plus se préoccuper des états d'âme des habitants », note Stéphane Lamache. Les graines du divorce sont semées.
Les premières blessures relèvent de l'amour-propre. Les GI, qui organisent des bals sous tente avec plancher, mettent en place des tournées en GMC pour amener les jeunes femmes sous leurs guinguettes. Mais pas ou peu de place pour les jeunes Normands. Le stade de Cherbourg devient un enjeu. Au terme de quatre mois de négociations, les mardi et jeudi sont réservés aux footballeurs cherbourgeois. Un mardi de mai 1945, une violente bagarre éclate entre joueurs de base-ball américains, campant sur place, et footballeurs qui réclament les lieux. La Presse cherbourgeoise compare les libérateurs avec les occupants précédents : « On ne peut pas dire que les relations [avec les Allemands] étaient cordiales mais elles furent correctes. »
À la rentrée scolaire 1945, l'état-major allié (le Shaef pour Supreme Headquarters Allied Expeditionary Force) annonce vouloir maintenir dans plusieurs écoles des détachements de la Military Police, qui y sont installés depuis la Libération : « Maintenant que nous sommes en paix, nous ne pouvons pas tolérer que les militaires aient le pas sur la population civile », tonne le maire de Cherbourg, René Schmitt.
Accidents et agressions
Suivent les querelles financières et matérielles. Fin août 1944, les Américains emploient 7 000 travailleurs civils pour 75 francs par jour et une ration militaire. « Avec 100 francs, les Allemands payaient mieux » constatent les ouvriers. L'Organisation Todt, chargée de construire le mur de l'Atlantique, n'avait pas lésiné sur les moyens. Rapidement, les Français seront remplacés par des prisonniers de guerre allemands…
Les stocks américains suscitent des convoitises. Trop. Le 6 août 1944, treize dockers sont arrêtés pour le vol de 984 paquets de cigarettes et 188 savonnettes. Sanction : de quinze jours à un mois de prison. Dérober un jerrycan d'essence vaut quatre mois de prison. Le marché noir de l'Occupation continue : « On peut faire fortune aux dépens des Américains », souligne Stéphane Lamache.
Ces multiples agaceries réciproques auraient pu rester sans conséquence sans les bruyantes rafales tirées en l'air par des soldats ivres, mais surtout les morts accidentelles. Bien que les routes militaires soient interdites aux civils, on ne compte plus les victimes des camions américains : un enfant de 8 ans tué le 27 août 1944, une mère de famille le 11 septembre, un cycliste le 30 septembre, pour ne citer qu'eux. Autant d'accidents soigneusement rapportés par La Presse cherbourgeoise plus discrète à propos des violences et agressions par les troupes américaines. Du moins jusqu'à son « très sérieux avertissement » du 17 octobre 1944 sur les pillages, viols et assassinats. Le général français, Alphonse Juin, transmet l'article au général Eisenhower avec ce commentaire : « C'est le sentiment de tous les habitants de la Manche et de la Normandie au contact des Américains. » Mais il n'y aura pas de grand déballage.
Ségrégation
Les autorités américaines se disent « émues des crimes dont se rendent coupables les militaires de couleur (sic) » et répliquent dans le même journal en déclarant la « guerre à l'alcool pour enrayer la criminalité ». Une façon aussi de dénoncer le comportement mercantile des Normands qui vendent de l'eau-de-vie et l'inefficacité des pouvoirs publics français. Premières mesures : le couvre-feu est ramené à 22 heures puis 18 heures ; la vente d'alcool aux soldats est interdite. Un café de Carentan qui enfreint l'interdiction est fermé six mois.
En réponse aux exactions touchant les femmes, la justice militaire américaine frappe fort : le 23 novembre, trois GI sont condamnés à mort pour le viol de deux victimes en juillet 1944, près de Cherbourg. En août sont recensés dix-huit viols. Selon la gendarmerie, on en dénombre trente-cinq en septembre et sept en octobre. Dans les campagnes, plus aucune femme ne veut aller traire les vaches seule le soir dans les champs.
Auteur de Les Manchois dans la tourmente 1939-1945, l'historien Michel Boivin a recensé 206 viols d'origine américaine. Selon la Military Police, « 80 à 85 % des crimes graves (viol, meurtre) ont été commis par des troupes de couleur ». L'armée américaine des années 1940 est, à l'image du pays, ségrégationniste. À Cherbourg, on compte deux foyers de la Croix-Rouge : un pour les soldats blancs, un pour les noirs. Dans sa recherche de criminels, la police militaire s'est-elle montrée plus compréhensive pour les premiers que pour les seconds ? Les soldats de couleur cantonnés à la logistique ont stationné de longs mois dans le Cotentin, territoire étroit, alors que les combattants n'y ont que transité. La gendarmerie locale avait recommandé l'ouverture de maisons closes, les autorités américaines s'y sont opposées.
Les alliés de 1944 s'apprêtent à fêter le 75e anniversaire du Débarquement et ses scènes d'allégresse. Ne serait-il pas temps d'évoquer des épisodes plus sombres ?
10:41 Publié dans Revue de presse, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le vote « contre » plus payant que le vote « pour »
La chronique de Philippe Randa
L’instrumentalisation du vote « contre » aura été le fil rouge de ce nouveau scrutin des élections européennes avec des succès, néanmoins, mitigés…
Plutôt payant pour les trois listes arrivées en tête : « contre l’extrême-droite », pilonné par La République en Marche a limité le score de la liste menée par Jordan Bardella dont le score est moindre qu’au précédent scrutin ; « contre la politique d’Emmanuel Macron », prôné par le Rassemblement national lui a certes permis de l’emporter sur celle de Nathalie Loiseau, mais avec seulement 1% de différence ; « contre la détérioration climatique », martelé par les Écologistes les a incontestablement remis dans le jeu électoral d’où il avait disparu précédemment.
Plutôt contre-productif pour les autres listes en course dont l’échec est patent : la liste des Républicains qui s’insurgeait « contre le duel RN-LAREM » s’effondre – à l’instar de la liste menée par Nicolas Dupont-Aignan « contre on ne sait plus qui ni avec qui » –, les électeurs ayant à l’évidence choisi « l’original » à la « copie », selon un adage qui n’avait pas toujours été vrai dans le passé.
Quant aux listes « contre l’Europe », prônant peu ou prou le Frexit, le naufrage le plus évident est celui de La France insoumise, tout autant victime de la fracture sur l’immigration qui divise ses troupes que de la personnalité clivante de son leader historique… Quant à l’inexistence électorale des souverainistes Asselineau et Philippot, la charité n’autorise guère de commentaires après leurs résultats.
Le vote « pour l’Europe » n’aura, lui, guère été payant ; seul le Parti socialiste peut s’estimer un miraculé pour ne pas avoir (encore) sombré définitivement, mais fait jeu égal avec FI et son ancien candidat à l’élection présidentielle Benoit Hamon aura ses frais de campagne remboursés avec 3%.
Cela n’augure par des lendemains qui chantent pour une hypothétique refondation d’une gauche « repassée de la lumière dans l’ombre », comme pourrait peut-être dire aujourd’hui l’inénarrable Jack Lang.
10:13 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Alain de Benoist : « le monde des vieux partis est en train de disparaître ! »
Propos recueillis par Nicolas Gautier
Pour la première fois depuis longtemps, voire pour la première fois tout court, deux intellectuels, Raphaël Glucksmann et François-Xavier Bellamy, figuraient parmi les têtes de liste aux élections européennes. Qu’est-ce que cela vous inspire ?
Cela n’a apparemment pas porté bonheur aux partis qui s’étaient adressés à eux ! L’un et l’autre se trouvent en effet associés à un échec retentissant. L’essayiste bobo Raphaël Glucksmann, libéral de gauche, avait déjà coulé le Magazine littéraire, il n’obtient que 6,1 % des voix avec sa liste « Envie d’Europe », qui n’a visiblement pas fait envie à grand monde. Alors qu’il voulait « reconstruire la gauche », pieux souhait s’il en est, il s’est retrouvé comme un petit ours polaire sur une banquise en train de fondre, godillant comme il le pouvait entre les écologistes, les insoumis, l’« Europe des gens » de Ian Brossat et la « liste citoyenne » de Benoît Hamon, pour ne rien dire des « animalistes » qui, contrairement à ce que l’on aurait pu croire, ne soutenaient pas la dame Loiseau. La « gauche » se retrouve éclatée comme jamais. C’est pathétique.
Le cas des Républicains est encore pire. François-Xavier Bellamy, jeune philosophe de talent, n’a certes pas démérité, mais les résultats qu’il a obtenus (8,4 % des voix) sont une catastrophe comme on en a rarement vu. La droite bourgeoise, qui aurait pu être sensible à son côté bien élevé, a préféré rallier Macron, au point que le petit prince-philosophe a même été battu dans son fief versaillais. Quant aux classes populaires, qu’il n’avait évidemment rien pour séduire, elles lui ont visiblement préféré un candidat encore plus jeune que lui, Jordan Bardella, qui a grandi dans les cités « difficiles » de Drancy, et non dans les beaux quartiers.
Bruno Retailleau a tenté d’expliquer l’échec en disant que Bellamy avait été une victime collatérale du duel Macron-Le Pen. Après quoi les dirigeants de LR ont répété leurs mantras habituels : on va « convoquer des états-généraux pour refonder la droite », on va « retrouver nos valeurs », on va « rassembler » Nadine Morano et Valérie Pécresse, et autres calembredaines. Bref, on va maintenir l’équivoque et continuer à tourner en rond. Ces gens-là sont incorrigibles : ils n’ont pas compris qu’ils vont connaître le sort du PS parce que le monde des vieux partis est en train de disparaître. Ils n’ont pas compris que, dans le monde actuel, on ne peut atteler au même cheval la droite et le centre, les conservateurs et les libéraux. C’est tout aussi pathétique.
De façon plus générale, est-ce le rôle des intellectuels de chercher à faire une carrière politique ? Vous avez naguère écrit que les intellectuels et les politiques vivaient sur deux planètes différentes, les premiers ayant tendance à complexifier les choses, les seconds à les simplifier pour d’évidentes raisons électorales. Ces deux mondes ne sont pourtant pas totalement étanches…
Il y a une différence bien connue entre l’éthique de conviction et l’éthique de responsabilité. “Cela ne signifie pas”, disait Max Weber, “que l’éthique de conviction est identique à l’absence de responsabilité et l’éthique de la responsabilité à l’absence de conviction”. Il faut au contraire souhaiter que les hommes politiques aient des convictions fortes, et tenir compte aussi de ce qu’il est parfois nécessaire de théoriser la praxis. Mais il reste que la politique est l’art du possible (ou de rendre possible ce qui est nécessaire), tandis que la théorie cherche à dire le vrai sans toujours se soucier des conséquences.
Les intellectuels peuvent parfaitement s’engager en politique, mais s’ils en font une carrière, ils ne pourront plus assumer leur rôle d’intellectuels. Ils devront participer à toutes sortes de magouilles auxquelles ils répugnent (ou devraient répugner). Ils devront s’abstenir d’exprimer trop fortement leurs opinions personnelles, et s’ils n’y consentent pas, on leur fera très vite comprendre, comme cela a été maintes fois le cas, que leur place est ailleurs.
N’oublions pas en outre que nous ne sommes plus à l’époque où les intellectuels jouaient encore le rôle de grandes consciences morales ou de porte-parole des sans-voix. Aujourd’hui, il n’y a plus d’Émile Zola, de Jean-Paul Sartre, de Raymond Aron ni même de Michel Foucault. Il y a une multitude d’auteurs de talent, mais qui n’influencent pas vraiment le cours du temps. La figure de l’intellectuel a largement été détrônée au profit de l’« expert », quand ce n’est pas au profit de l’amuseur public ou de l’imposteur. Il faut donc revenir à l’essentiel. Le rôle d’un théoricien, c’est d’abord de produire une œuvre qui expose sa conception du monde, sa conception de l’homme et de la société. Le rôle d’un intellectuel, c’est d’analyser le monde actuel pour aider à comprendre le moment historique que l’on vit. Cela ne l’empêche évidemment pas de donner un avis ou de signer des pétitions !
J’en conclus, avec un sourire, que vous n’accepteriez pas de figurer sur une liste électorale ?
En effet, et pour au moins trois raisons. La première est que je ne suis pas un homme de puissance, mais un homme de connaissance. La seconde est que je ne suis pas un acteur, mais un observateur de la vie politique. La troisième, pour être franc, est que je trouve la politique au jour le jour extrêmement ennuyeuse et qu’elle ne vient pas, et de loin, au premier rang de mes centres d’intérêt.
Source Boulevard Voltaire cliquez là
09:35 Publié dans Européennes 2019, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Européennes 2019 : bilan et résultats de la Liste de la Reconquête
Communiqué de la Dissidence Française
La campagne des élections européennes s’est achevée hier par la proclamation des résultats de métropole et d’Outre-Mer. Sur 47 344 735 électeurs inscrits, 23 613 483 se sont abstenus (soit 49,88% d’abstention). Pour rappel, les élections européennes se déroulent sur une circonscription nationale unique et au scrutin proportionnel à un tour, le seuil de qualification étant de 5% et celui du remboursement des frais de campagne de 3%.
Moins d’un an après sa transformation en parti politique, la Dissidence Française se lançait pour la première fois dans la bataille électorale en présentant la Liste de la Reconquête. Bilan, analyse et résultats de cette candidature.
- Les résultats nationaux
La Liste de la Reconquête a recueilli 4 835 voix, soit 0,02% des suffrages exprimés, selon les derniers chiffres du Ministère de l’intérieur (à consulter ici).
La Liste de la Reconquête arrive donc en 28ème position sur 34 listes, devant les listes « Démocratie représentative » (Hadama Traoré), « Une France royale » (Robert de Prévoisin), « Neutre et actif » (Cathy Corbet), « Evolution citoyenne » (Christophe Chalençon), « Ligne claire » (Renaud Camus) et « Révolutionnaire » (Antonio Shanchez).
- Les résultats en régions
Île-de-France : 932 voix – Hauts-de-France : 472 voix – Normandie : 441 voix – Auvergne Rhône-Alpes : 432 voix – Provence-Alpes-Côte d’Azur : 396 voix – Bretagne : 345 voix – Nouvelle-Aquitaine : 326 voix – Occitanie : 319 voix ; Grand-Est : 319 voix – Pays de la Loire : 298 voix – Centre Val-de-Loire : 211 voix – Bourgogne-Franche-Comté : 180 voix – Français établis hors de France : 45 voix – Martinique : 16 voix – La Réunion : 14 voix – Corse : 6 voix – Guadeloupe : 3 voix – Mayotte : 3 voix – Guyane : 1 voix.
09:29 Publié dans Européennes 2019 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Jeudi 6 juin : SOIRÉE ERNST JÜNGER À LA NOUVELLE LIBRAIRIE
09:14 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 30 mai 2019
L'émission "Synthèse" sur Radio Libertés avec Francis Bergeron du quotidien Présent
21:34 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Hommage à mon ami Marc Noé, qui nous a quittés avant d’aller voter !
Dimanche dernier nous avons appris avec tristesse la disparition de notre ami Marc Noé, directeur du site Le Gaulois.
Sur le site Riposte laïque, Pierre Cassen a publié un magnifique hommage à Marc que nous vous proposons de lire ici. Avec l'article de Philippe Kerbourc'h cliquez ici, il n'y a rien à ajouter.
SN
Pierre Cassen,
Riposte laïque cliquez ici
J’ai appris, ce midi, par un texto de son épouse Danièle, que ses amis appellent Daddie, que mon ami Marc Noé nous avait quittés, à l’âge de 66 ans, dans la nuit de samedi à dimanche. Détail cruel, son épouse que j’ai appelée dès que j’ai eu l’information, m’a confié que Marco tenait absolument à aller voter ce dimanche, et que la veille, après une sieste, affolé, il avait, en se réveillant, eu peur d’avoir oublié d’aller aux urnes !
La première fois que j’ai entendu parler de Marc Noé, j’avais le même âge que lui, 14 ans. Je lisais quotidiennement le journal « L’Equipe » et je découvrais les exploits d’un minime, devenu cadet, qui battait régulièrement des records de saut en hauteur et qui, à l’âge de 15 ans, à l’époque où le « Fossbury » n’existait pas, sautait déjà 2,05 mètres.
Et puis le temps a passé, et j’ai reçu, un jour, quand j’étais directeur de publication de Riposte Laïque, un message de Marc Noé, qui me disait qu’il nous lisait régulièrement, et qu’il souhaitait reprendre contact avec notre contributrice Suzel Anstett, qu’il avait connue, à l’époque gauchiste, au lycée de Montgeron.
21:09 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
JEUDI 30 MAI, FRANCIS BERGERON EST L'INVITÉ DE L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR RADIO LIBERTÉS
09:50 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine
09:27 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L’islam aux Amériques
La chronique hebdomadaire du 11 mars dernier abordait l’existence méconnue des communautés arabes sur le sol américain. Penchons-nous aujourd’hui sur une conséquence de cette présence, à savoir l’islam, quand bien même tous les Américains d’origine arabe ne professent pas la foi musulmane.
Endroit par excellence du multiculturalisme, le Canada en compte environ 3% au point que le gouvernement provincial du Québec cherche à interdire toute ostentation vestimentaire, ce que ne peut accepter le gouvernement fédéral du libéral Justin Trudeau. Les musulmans aux États-Unis ne sont que 1%. La plupart sont des arrivants de fraîche date. La diaspora iranienne préfère ainsi la Californie. Bien des Noirs ont adopté l’islam à l’instar de Malcolm X dans les années 1960. Plusieurs organisations défendent l’islam. L’une des plus anciennes, des plus célèbres et des plus actives demeure Nation of Islam de Louis Farakhan. Elle souhaite la partition des USA et la formation d’un État afro-américain indépendant.
On recense respectivement 20%, 7% et 6% de musulmans dans trois États de l’aire Caraïbe (le Surinam, la Guyana et Trinité-et-Tobago). Si l’islam reste négligeable au Brésil, en Argentine, 2,5% de la population serait musulmane. Encore catholique, l’Amérique romane engendre en réalité un syncrétisme christiano-animiste et devient dorénavant la cible privilégiée des sectes évangéliques et du prosélytisme mahométan. Des prédicateurs, locaux ou venus d’autres continents, parlent sans arrêt des sourates auprès des populations indigènes les plus pauvres de l’Altiplano dans les Andes, en particulier en Bolivie, au Pérou et en Équateur.
La révolte zapatiste du Chiapas au Mexique en 1994 à l’initiative du fameux sous-commandant Marcos attira des imams téméraires. Ils parvinrent à convertir des familles mayas intriguées par cette foi qui inquiète tant le grand voisin du Nord. D’autres Mexicains, indigènes, d’ascendance européenne ou métis, ont eux aussi prononcé la chahada. Ils se justifient par un syllogisme audacieux : « Le Mexique a été conquis par l’Espagne. Or l’Espagne fut une terre d’islam. Donc le Mexique peut devenir musulman. »
Pour l’instant, l’islam maya s’inscrit dans la spiritualité soufie. Embryonnaire, cet islam mexicain n’est pas organisé et n’a toujours pas de structure officielle. Ne maîtrisant pas (ou très mal) l’arabe, ces fidèles lisent le Coran et écoutent les prédications en espagnol et en tzotzil, une langue maya. Cela n’empêche pas les autorités et le renseignement extérieur étatsuniens de les surveiller. Si l’islamisation de l’Amérique n’est pas d’actualité, il reste possible que la religion musulmane soit dans les prochaines décennies une alternative crédible au catholicisme conciliaire sclérosé et à la « théologie de la prospérité » des sectes néo-protestantes.
Bonjour chez vous !
• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°126, mise en ligne sur TVLibertés, le 20 mai 2019.
09:13 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
General Electric : une tragédie sociale dont Macron est le premier responsable
Jean-François Touzé Délégué national du Parti de la France, en charge des études et de l'argumentaire
L'annonce par General Electric de la suppression de 1.000 postes dans son usine de Belfort est incomplète et insincère : si l'on prend en compte les répercussions inévitables sur les sociétés sous-traitantes, c'est, en effet, non pas 1.000 mais au total entre 3.000 et 4.000 emplois qui sont menacés.
Dans cette tragédie sociale, la responsabilité d'Emmanuel Macron est totale. C'est lui, en effet, qui, en tant que Secrétaire général adjoint de l’Élysée chargé des affaires industrielles, puis en tant que ministre de l'économie, fut le chef d'orchestre de la session de la branche énergie d'Alstom à General Electric qui avait pris l'engagement non seulement de conserver tous les postes existants mais d'en créer mille nouveaux.
Macron a donc agi soit par incompétence, soit, en toute connaissance de cause, par cynisme et choix funeste de désindustrialisation de la France amenée à devenir, pour les tenants du mondialisme, un pays de services.
Dans les deux cas c'est un des fleurons industriels et économiques de notre pays que celui qui est aujourd'hui Président de la République a délibérément bradé, et l'intérêt social d'une ville et d'un département qu'il a négligé au profit exclusif de celui des actionnaires.
Le Parti de la France réaffirme sa volonté politique d'une réindustrialisation ambitieuse de la France correspondant aux réalités des besoins du marché, et d'une économie européenne ouverte au monde mais conquérante et protégée.
09:09 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 29 mai 2019
Emmanuel Macron réélu Président en 2022 si…
Oui, vous avez bien lu, en 2022, dans trois ans, nous allons nous retrouver avec, à l’Élysée, le Président Macron. Sûrement pas à cause de ses réformes et réformettes, ni de son bilan qui risque d’être alors catastrophique, mais bien à cause de la fracture qu’il aura réussi à consolider dans une France de moins en moins fraternelle et de plus en plus divisée.
Les résultats de ces européennes sont sans appel. Et si l’on peut comprendre la joie non dissimulée du très jeune candidat frontiste qui en sort vainqueur, son score est néanmoins décevant. Jordan Bardella a, certes, devancé la candidate mise en place par Emmanuel Macron, mais d’un petit point. Le RN n’a pas réussi à creuser l’écart, ni même affaibli le Président et son Premier ministre qui s’est empressé de déclarer que sa politique ne changerait pas d’un iota, bien au contraire. Édouard Philippe va s’empresser d’accélérer les réformes. Quant à dissoudre l’Assemblée nationale, « vous rigolez », semblait-il répondre à Marine Le Pen.
Au vu des résultats de ce dimanche, la France n’est donc plus à droite. La majorité des listes présentées se revendiquait de la gauche, et constat est fait qu’en additionnant les voix des candidats que l’on peut attribuer à la droite, on arrive à un petit 40 %. Mais ce type d’élections ne signifie pas que, politiquement, les électeurs confirmeraient leur vote en 2022.
Les abstentionnistes seront, d’abord, beaucoup moins nombreux et nombre de bulletins absents iront au candidat de droite. À condition que, dans les trois prochaines années, comme l’avait fait François Mitterrand en 1981, la droite propose un programme commun de gouvernement. Le PS d’alors n’avait pas hésité à s’unir au PC qui, il est vrai, à l’époque, était puissant, et au MRG. Les discussions pour créer l’Union de la gauche n’avaient pas duré des lustres et n’avaient pas bouleversé les électeurs de gauche.
Cette union des droites dont on parle beaucoup sans la voir poindre à l’horizon ne serait possible que si LR, RN, DLF, UNR et autres mini-partis pouvaient enfin s’entendre. Les trois prochaines années seront décisives. Les dernières déclarations de Laurent Wauquiez laissent peu d’espoir, tant sont grandes l’inimitié, l’intolérance, l’hostilité entre les deux partis. La gentillesse courtoise d’un Bellamy pourrait-elle, un jour, être un pont entre LR et RN ? J’en doute, mais si ce doute se concrétise, la voie est libre pour Emmanuel Macron.
À moins que Marine Le Pen ne cède sa place. À quelle personnalité ? Une question dont la réponse sera ou non la défaite des droites. Trois années pour changer la donne. C’est court, MM.et Mmes de droite… Alors, à vos téléphones ! Ne tardez pas, car chaque semaine perdue vous éloignera, une fois de plus, du pouvoir de gouverner la France.
21:44 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Tommy Robinson : « Le viol de la Grande Bretagne »
Voici la bande-annonce du documentaire qui va bientôt sortir. Regardez-la, elle dure 3 minutes, et, en seulement 3 minutes, elle dit parfaitement l’horreur vécue par des milliers de gamines et elle dit aussi le fabuleux travail de Tommy Robinson, qui, bien que harcelé, lourdement menacé, notamment de prison interdit d’oublier, interdit de mettre la poussière sous le tapis.
Tommy Robinson prépare un documentaire-choc sur les gangs de violeurs en masse (en anglais: "grooming gangs"), issus pour la plupart de la communauté pakistanaise, de jeunes Anglaises, à une échelle industrielle, et sur les complicités parmi les autorités qui ont permis le plus grand scandale du pays de ce siècle : une véritable trahison.
12:36 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
France. De qui, de quoi parle-t-on ?
Jarente de Senac
On le savait, mais on en a désormais la confirmation, le paysage politique français, bien dévasté, se résume à un face à face entre la République en marche (LREM) et le Rassemblent national (RN). La gauche, qui n’était déjà pas bien vaillante, devient ectoplasmique. Les seuls bénéficiaires, si l’on peut employer ce terme, ce sont les Verts. Mais leur voix reste faible. Car ce qui vaut eux européennes ne s’est jamais appliqué aux législatives comme aux municipales.
A droite on assiste à la fin d’une imposture qui de RPR en UMP pour finir Républicains, n’avaient de droite que le nom. Avec Chirac, l’ex-parti dit gaulliste était devenu une simple machine électorale, un truc à fournir des élus. On n’a d’ailleurs jamais vu la clique du claque gaulliste transcendée par une idée. C’était plutôt un conglomérat de libéraux dont la notion a fluctué au gré des circonstances jusqu’à venir échouer sur l’ultra libéralisme d’un Emmanuel Macron. Que cette droite-là disparaisse, on n’ira franchement pas chialer.
Mais que la droite soit désormais incarnée par le Rassemblement national n’est pas satisfaisant pour autant. En dehors de l’immigration et d’un vague euroscepticisme, on en voit mal les lignes de force. Il n’a échappé à personne que cette confrontation Marine Le Pen – Emmanuel Macron ne bénéficiait qu’à ce dernier. Cet ultra libéral a phagocyté tout le centre, de droite à gauche, et on voit mal, a priori, ce qui pourrait lui faire obstacle.
Sauf le peuple, même.
Car ce qui est tout de même nouveau – enfin pas tout à fait – c’est que nous sommes face à une France fracturée, non entre riches et pauvres, mais entre une France de nantis qui jouit des bienfaits de la mondialisation et une France laborieuse dirons-nous, encore majoritaire électoralement, où nichent les classes moyennes qui demeurent le vrai moteur de la croissance et n’en bénéficient guère. Une France populaire d’un côté et enfin une France d’immigrés où l’on trouve un panel racial des plus variés, qui n’ont que peu à voir avec notre culture et notre civilisation, et qui survivent comme un kyste sur une richesse nationale à laquelle de près ou de loin – voire de très loin -, ils participent.
A défaut de venir des partis qui ne représentent plus rien aux yeux des Français, c’est du peuple - façon Gilets jaunes - que pourrait venir l’explosion du couvercle de la marmite sociale. Il n’y a plus de filtre désormais entre le pouvoir et la rue. Emmanuel Macron marche sur un champ de mines, ça peut péter à tout instant pour des raisons qui nous échappent encore. Car de très nombreux secteurs industriels et agricoles sont au bord de la rupture. Et le jour où certaines catégories de canuts n’auront plus rien à perdre, elles descendront dans la rue.
Voici maintenant une bonne décennie que des intellectuels anticonformistes, c’est-à-dire débarrassés des scories socialisantes, tirent la sonnette d’alarme. Et, tous ceux qui crient au fascisme oublient qu’il s’incarne dans un homme. Où est donc cet homme providentiel et futur Castro ? Nulle part. L’horizon est vide.
12:11 Publié dans Jarente de Senac | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Deux conférences de Philippe Milliau en fin de semaine à Poitiers et à Périgueux
11:30 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 28 mai 2019
Bordeaux : la justice reconnaît des effets néfastes pour la santé du compteur Linky
Maître Hurmic qui porte la voix des 206 particuliers engagés contre les compteurs Linky © Radio France - Stéphanie Brossard
Au nom de leur santé et du principe de précaution, ils étaient 206 plaignants à réclamer devant le juge des référés de Bordeaux, la fin de la pose des compteurs Linky. Treize d'entre eux ont, en partie, obtenu gain de cause. Enedis va devoir poser un filtre pour les protéger des ondes dégagées.
Le juge des référés du Tribunal de Grand Instance de Bordeaux a donné, en partie, raison à treize particuliers, sur les 206 au total, qui avaient engagé une action en justice contre les compteurs communicants Linky. Ces treize plaignants, dotés d'un certificat médical attestant de leur hypersensibilité électromagnétique (maux de tête, insomnies...) lors de l'audience le mois dernier, vont pouvoir réclamer à Enedis, dans les deux mois, la pose d'un filtre les protégeant des champs électromagnétiques.
"Une première brèche... timide"
"C'est une première brèche" estime l'avocat des 206 plaignants, maître Pierre Hurmic, "car la décision ne concerne que quelques demandeurs de la procédure. Mais c'est quand même une première brèche, dans ce qui était, la pensée dominante jusqu'ici ; Enedis se bornant à dire qu'il n'y avait aucun danger !" Pierre Hurmic reconnaît que "c'est timide". Il aurait préféré "l'interdiction de la pose des compteurs Linky. Le combat continue et je ne désespère pas d'aboutir un jour."
Enedis a quinze jours pour faire appel de la décision du juge des référés en attendant le procès au fond. Elle a prévu de le faire a indiqué la filiale d'EDF à l'Agence France Presse, en début de soirée. Pour Enedis la décision du tribunal de Bordeaux "conforte aussi bien le principe du remplacement des compteurs que notre démarche d'écoute à l'égard de certains de nos clients qui se déclarent électro-sensibles."
Enedis souligne encore qu'il s'agit de cas "extrêmement rares pour lesquels nos équipes mettent en oeuvre un accompagnement personnalisé et adapté à chaque situation particulière". La société rappelle que "toutes les mesures réalisées par les organismes indépendants mettent en évidence des niveaux de champs électriques et magnétiques très largement inférieurs aux limites réglementaires".
A Toulouse déjà...
Ce n'est pas le premier jugement allant dans ce sens. A Toulouse, le mois dernier, le juge des référés avait donné gain de cause à treize autres personnes souffrant d'hypersensibilité aux ondes. Ils avaient obtenu le droit de ne pas être équipés, contre leur gré, pour raison médicale, d'un compteur électrique Linky. A ce jour, 22 tribunaux ont été saisis d'actions conjointes. La grande majorité des plaignants, ont été déboutés notamment à Rennes et à Bordeaux.
Le compteur Linky, dont l'installation est pilotée par Enedis et qui permet de relever à distance et en direct la consommation des clients, fait l'objet de polémiques récurrentes depuis son déploiement en 2015.
source: francebleu.fr
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Pédophilie, viol et séduction: Damien Viguier à Annecy ce 1er juin
À l’occasion de la sortie des Leçons de droit n°5, l'équipe E&R Annecy recevra Damien Viguier pour la dernière conférence d'un cycle de conférence-débat-dédicace exceptionnel autour du sujet : « Pédophilie, viol et séduction ».
La conférence aura lieu à Annecy le samedi 1er juin 2019 de 15h à 18h
Réservation obligatoire : conf.hautesavoie@yahoo.fr
Entrée : 7 € (ou 10 CHF)
11:58 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
« La vie commence toujours demain... »
Roland Hélie Directeur de Synthèse nationale
L'Europe a parlé et elle a plutôt bien parlé. Les résultats des élections européennes du 26 mai sont sans équivoque, partout sur notre continent la prise de conscience identitaire pour laquelle nous militons devient une réalité. Sous des formes différentes certes, mais avec un objectif commun, celui de sauver nos nations et notre civilisation, les partis que l’on dit « populistes » font une percée historique. Le combat que nous menons depuis des décennies finit par être entendu tant au niveau national qu’au niveau européen.
Nous l’avons répété à maintes reprises : tant que les peuples européens ne prendront pas conscience au niveau continental des dangers qui menacent leur existence, rien ne sera vraiment possible. Or, ce à quoi on assiste aujourd’hui, c’est justement aux prémices du réveil européen. En 1984, le Front national avait introduit l’immigration incontrôlée dans les débats bruxellois mais il était bien le seul ou presque. Depuis, malgré quelques feux de paille ici ou là, les choses n’avaient pas vraiment changé. Au Parlement européen, les partis nationalistes, parfois pour des raisons historiques ou par crainte (ce qui est un comble) de heurter le « politiquement correct », étaient divisés et leur impact restait donc réduit. Mais cela, espérons-le, c’était avant...
Le cas de la France
Aujourd’hui, dans pratiquement tous les pays membres de l’Union, des forces nouvelles ont émergé et nous ne pouvons que nous en féliciter. Tablons que la raison l’emportera et que celles-ci sauront (dans un esprit de synthèse) travailler ensemble. Contre les diktats politico-économiques de la Finance et face aux flux migratoires, il en va de l’avenir de la civilisation européenne...
Autre constat qu’il faut faire suite à cette élection européenne, ce sont les résultats obtenus par les patriotes en France. Certes, le Rassemblement national arrive en tête mais son score est en deçà des espérances de beaucoup vue la situation dramatique dans laquelle est plongé notre pays. Malgré les difficultés du gouvernement et la crise des Gilets jaunes, ce score est sensiblement le même que celui obtenu par le Front national lors de la précédente consultation de ce type en 2014. Mais, ce qui est intéressant, c’est que celui-ci (tout de même honorable) a été réalisé par un jeune de 23 ans, inconnu jusque là. Marine Le Pen, candidate inamovible depuis son accession à la présidence du FN en 2011, a en effet laissé, par nécessité semble-t-il, la tête de liste à Jordan Bardella et cela, visiblement, n’a pas été un frein pour le Rassemblement national. Bien au contraire, Bardella a égalisé sa présidente et son talent personnel qui est indéniable n’y est certainement pas pour rien. L’émergence de Jordan Bardella donnera-t-elle un élan nouveau au courant national ? L’avenir le dira...
Et le RN n’était pas le seul sur le créneau national et souverainiste. Il y avait bien-sûr l’inévitable Dupont-Aignan qui, en bon gaulliste qu’il prétend être, s’est signalé par une succession de reniements. Il y avait Asselineau et Philippot qui voient en l’Allemagne l’ennemi de toujours et qui s’accrochent désespérément à « la France seule ». Il y avait Renaud Camus qui s’est avéré bien décevant et il y avait aussi, pourquoi pas, une liste royaliste. Mais toutes ces initiatives qui regroupaient des gens certainement sincères n’avaient pas, à proprement parler, de véritables créneaux.
Là où il y a une volonté, il y a un chemin
En revanche, ce qui a retenu notre attention, c’est la présence de la Liste de la Reconquête présentée par La Dissidence française de Vincent Vauclin. Pour être tout a fait honnête, je dois reconnaître mon scepticisme lorsque Vincent, l’hiver dernier, me fit part de son ambition de monter une liste pour que les nationalistes révolutionnaires se fassent entendre lors de cette élection. Présenter une liste, pour une petite organisation comme la sienne, me semblait être un projet bien audacieux. Mais, force est de reconnaître qu’il avait raison puisqu’il a gagné son pari et que, même si son score est modeste (sans bulletin de vote et sans profession de foi, il était difficile qu’il en soit autrement), la DF a réalisé un bon « coup de pub » à moindre frais. Vauclin a aussi prouvé qu’avec une petite structure militante homogène et combative comme la sienne, il est possible de réaliser « l’impossible », ce qui est à son honneur. Comme quoi, là où il y a une volonté, il y a un chemin. Il faudra désormais compter avec lui...
La « macronie » est toujours debout
L’autre leçon que nous retiendrons, c’est que la « macronie » ne s’en tire pas si mal que cela. Et c’est ce qui est le plus inquiétant. Bien-sûr, le pouvoir n’a pas lésiné sur les moyens (et il en a beaucoup) car ce n’était pas gagné d’avance pour lui. Malgré son bilan désastreux, malgré sa soumission aux dogmes mondialistes, malgré la répulsion qu’inspirait sa candidate, la République en marche a réussit à limiter les dégâts. En se positionnant comme la seule alternative au « populisme », LREM a atomisé ses concurrents potentiels et elle a définit le cadre de la prochaine élection présidentielle. Le rêve de Macron étant de se retrouver à nouveau face à... Marine Le Pen qui, consciente des limites de la « victoire » du Rassemblement national, s’est subitement abstenue d’exiger la démission du président de la République. Mais, Macron devrait le savoir, en politique on ne sait jamais de quoi demain sera fait...
Et maintenant ?
Alors maintenant, me direz-vous, en ce qui nous concerne nous autres nationalistes et identitaires, que faut-il faire ? « La vie commence toujours demain » dit souvent avec malice Jean-Marie Le Pen. Nous devons donc continuer et amplifier notre combat afin que ce « demain » soit celui que nous espérons. Nous n’avons plus vraiment le temps de faire les fines bouches. Chaque année, des pans entiers de nos industries sont bradés aux multinationales apatrides. Chaque année, des centaines de milliers de migrants viennent s’agglutiner sur notre continent, victimes qu’ils sont de l’illusion d’un avenir meilleur auquel ils n’accéderont jamais. Ainsi est le monde que veulent nous imposer les mondialistes, qu’ils soient libéraux ou sociaux-démocrates...
Le combat que nous menons est un combat vital pour nos peuples européens. C’est un combat que nous n’avons pas le droit de perdre. Ce n’est certainement pas au moment où l’Europe se montre de plus en plus réceptive à nos idées que nous allons renoncer à nous battre. Voilà pourquoi nous vous fixons à tous rendez-vous le 13 octobre prochain à la treizième journée de Synthèse nationale à Rungis afin de préparer ensemble les nouvelles offensives qui nous mèneront à la victoire finale.
Editorial du n°51 de Synthèse nationale qui sortira en début de semaine prochaine.
11:58 Publié dans Editoriaux, Européennes 2019 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
UNE ELECTION PEUT EN CACHER D’AUTRES
Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat
Alors que tous les regards étaient, à juste titre, braqués sur les scores des uns et des autres aux élections européennes, tant en France même que chez ses voisins, deux autres consultations électorales sont passées, presque, inaperçues.
La première, c’est l’élection du nouveau Congrès de Nouvelle-Calédonie et des trois assemblées provinciales de ce territoire d’outre-mer. La seconde, est l’élection municipale à Barcelone où Manuel Valls s’est fait durement rosser.
A Nouméa, dimanche 12 mai, dans la foulée du référendum du 4 novembre 2018 où le « oui » à l’indépendance a frôlé les 44 %, les indépendantistes pensaient gagner la compétition électorale pour le renouvellement du Congrès de Nouvelle Calédonie et des trois assemblées provinciales nées des accords de Matignon. Pari raté, ce sont les « loyalistes » qui continueront de détenir la majorité territoriale. Ce qui est intéressant à noter, c’est le basculement qui s’est opéré au sein de la majorité, redessinant la carte politique de « La Grande terre ».
C’est ainsi que la coalition « L’Avenir en confiance » regroupant 3 partis, les Républicains calédoniens, le Rassemblement « les Républicains » et le Mouvement populaire calédonien, a emporté 16 sièges sur 54. Elle pourra compter, toutefois, sur l’appui de groupes minoritaires, comme par exemple, l’Eveil océanien, 2 élus, issu des communautés wallisiennes et futuriennes, ou de Calédonie ensemble, 7 élus (-8 !). Le FLNKS, le cartel indépendantiste, totalisant pour sa part 26 conseillers, pas suffisant, à deux voix près, pour construire une majorité. Un basculement s’est opéré au sein du camp « pro-Français » où la coalition « l’Avenir en Confiance », conduite par la blonde Sonia Backès, 43 ans, une syndicaliste aux ascendants portugais, a quasiment remplacé les sortants de « Calédonie ensemble » dirigés par Philippe Gomes. Un glissement inquiétant pour cette formation dont se réclament la présidence du Congrès, celle de la province sud (Nouméa), ainsi que les 2 députés et un sénateur sur 2 de l’île ! Dans la province du Sud, « l’Avenir en confiance » est désormais seule à la manœuvre avec 21 sièges sur 40 postes d’élus locaux. Dans la province du nord, acquise aux séparatistes, « Calédonie ensemble » n’obtient aucun siège, tandis que le PALIKA de Néaoutyne obtient 38,5 % des suffrages, et que son rival au sein du FLN KS , l’Union calédonienne, en enregistre 36 %, pourcentages assurant à ces deux formations l’assurance de gouverner ensemble contre les « loyalistes ». Lesquels, conduits notamment par Alcide Ponga, maire de Kaouaoua, 12,2% , ont amélioré leurs résultats de +3 points . La province des îles, - Ouvéa, Lifou, Maré-, totalement acquise aux séparatiste,- on se souvient de la tragédie de la grotte d’Ouvéa-, restant totalement, elle, entre les mains du FLNKS.
Les méthodes de gouvernement et l’usure du pouvoir auront eu raison des sortants. Sonia Beckès, désormais la « grande prêtresse » du camp loyaliste, s’est félicitée de ces résultats qui mettent sa formation en position de force pour négocier avec Paris et le FLNKS les suites des accords de Matignon et de Nouméa. Il parait évident que l’on s’oriente, à terme, vers un nouveau référendum, jusqu’à ce que les sécessionnistes du FLNKS le gagnent ! C’est la maladie des « démocrates », faire voter les peuples jusqu’à obtenir satisfaction ! Mais, comme on le voit en Grande-Bretagne, ça ne marche pas toujours ! Question de temps, comme en métropole avec l’immigration musulmane, la démographie jouant sa partition. A propos de partition, compte-tenu de la carte électorale et de la répartition des populations, c’est probablement la solution qui émergera du dossier calédonien, à moins que le gouvernement français contemporain, comme son prédécesseur gaulliste dans les années 1960, n’impose le bradage de TOUTE cette ancienne colonie française. Economiquement, ce serait une solution suicidaire pour toutes les parties, le nickel étant un enjeu stratégique et Nouméa, capitale de ce territoire de 240 000 âmes, étant la vitrine de la France dans le Pacifique : prendre un café crème et des croissants place des cocotiers, est une amusante expérience pour le métropolitain fraichement débarqué, de même que photographier de belles vaches normandes à la robe noire et blanche, s’ébattant dans une végétation tropicale !
Une autre solution semble pointer son nez, souvent discrètement évoquée, le statut « d’État associé », comme les îles Cook ou Niue par exemple, par rapport à la Nouvelle-Zélande. Mais, quel que soit le menu qui s’imposera, l’essentiel à notre sens, est que l’on ne nous fasse pas revivre un autre scénario algérien, et que la solution retenue soit la plus « française » !
ADIEU BARCELONE ?
Manolo était venu dans la capitale catalane en conquérant, on allait voir ce que l’on allait voir. Patatras, les électeurs de la grande métropole ibérique n’ont pas voulu de cette greffe venue de l’Essonne, et on les comprend.
Manuel Valls qui avait échoué à être le candidat du parti socialiste lors de la dernière élection présidentielle française, élu député de justesse dans son ancienne circonscription du 91, s’était rallié au camp macroniste, dans l’espoir, sans doute, d’obtenir un hochet digne de sa qualité d’ancien Premier ministre (2014-2016). Macron n’avait pas la nécessité de s’encombrer de ce rescapé du naufrage socialiste.
Manuel Valls, que j’avais observé au Conseil régional d’île de France à la fin des années 1980, fraichement naturalisé d’ailleurs, était un peu « l’homme à tout faire » de Lionel Jospin. Constatant après le cataclysme de 2017, que son avenir politique n’était plus en France, il rompait alors les amarres, changeait de vie et de femme, se séparant de sa violoniste d’épouse !
Revenant dans la ville de son enfance, - son père, Xavier, était un peintre catalan connu et pas forcément classé à gauche -, vivant en couple avec Dame Suzana Gallardo, une riche héritière d’un groupe pharmaceutique, il décidait de se lancer à la conquête de la mairie de Barcelone. Etourdi, sans doute, par les encouragements d’un clan de « bobos » déconnectés de la réalité catalane, il s’y voyait déjà, « en haut de l’affiche ».
« Trop Français » pour les uns, « trop Espagnol » pour d’autres, « parachuté » pour tous, Manolo et le parti Ciudadanos, libéral-libertaire, hostile à l’indépendance de la Catalogne n’avait, objectivement, aucun chance de gagner. Pourquoi s’est-il imposé ce challenge ? Le verdict du dimanche 26 mai était sans appel.
Avec 13 % des voix des Barcelonais, Valls était largement distancé par Ernest Maragall, 21 %, candidat de la Gauche républicaine catalane (ERC) et par Mme Ada Colau, maire sortant, soutenue par Podemos, extrême-gauche, juste derrière. Tirant les leçons du scrutin, Valls déclarait que sa liste était loin de ses attentes.
Cette candidature improbable à une élection municipale dans une grande métropole européenne après une carrière politique de plus haut niveau a–t-elle un sens ? Ayant promis « quoiqu’il arrive » qu’il resterait à Barcelone, Manuel Valls, après avoir été le numéro 2 à Paris, devra se contenter d’un obscur strapontin de conseiller municipal d’opposition. S’en contentera-t-il ? On sait ce qu’il en est des promesses de politicards. La suite des aventures de Manolo au prochain numéro…
10:54 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 27 mai 2019
VOTEZ CONTRE LE CLIMAT : LE TOTALITARISME QUI VIENT
Franck Buleux Métainfos cliquez ici
Lors de ces élections européennes, il est de notoriété publique que la surprise est venue des voix écologiques. Le total des voix EELV (Europe-Écologie-Les Verts), Génération écologie (GE), le Parti animaliste et Francis Lalanne, proche de l’Alliance indépendante écologique (AEI) s’élève à 18 %.
Bien entendu, les médias et l’Éducation nationale ont beaucoup œuvré à ce résultat, intégrant dans l’esprit des plus jeunes électeurs, l’ennemi principal, c’est-à-dire le climat.
Comme nos ancêtres les Gaulois (réfractaires ?) qui avaient peur que le ciel ne leur tombe sur la tête, les néo-électeurs ont peur du climat.
Cette orientation de l’opinion permet de conjurer d’autres phénomènes graves : le phénomène migratoire et les orientations de l’Union européenne. D’ailleurs, on en arrive même à dire que les phénomènes migratoires sont liés au climat, cela pour éviter de limiter les migrations aux guerres (ce qui, de facto, permettrait de rejeter la plupart des migrants), voire même de « surfer » sur cette vague dite populiste en affirmant que la limitation des migrants s’opérera quand le Soleil perdra de son rayonnement… En ce sens, le vote vert est démagogique et d’un populisme exacerbé. Il repose sur un préjugé, celui du réchauffement climatique ou plus exactement, du dérèglement climatique. En effet, si le réchauffement n’est pas avéré, il s’agit probablement de dérèglement. Et si vous n’y croyez pas, les ayatollahs verts vont feront la morale. Le danger c’est le climat vous dis-je, le climat ! Les climato-sceptiques n’ont guère droit à la parole, les médias les traitant même de « révisionnistes », renvoyant le traitement de leurs idées au néant intellectuel. Vous n’avez pas la parole car vous contestez le dérèglement climatique.
Souvenez-vous de la mise à l’écart de l’ancien ministre socialiste de l’Éducation nationale, Claude Allègre, parce qu’il avait osé remettre en cause le dogme, celui du climat déréglé.
Le vote contre le climat représente le choix électoral le plus mondialiste qui soit. Le thème de l’écologie traditionnelle, dite « de droite » est à redécouvrir avec l’expression du localisme. Mais nous en sommes loin et ce n’est pas le propos de ce billet. Aujourd’hui, les défenseurs auto-proclamés de la planète veulent totalement modifier notre système.
Les khmers verts sont près du pouvoir, d’ailleurs ils ont déjà participé au gouvernement de la gauche plurielle de Lionel Jospin, entre 1997 et 2002. En effet, ils n’hésiteront pas à servir de roue de secours de La République en marche (LRM), s’il en était besoin. Comme en Allemagne, ou au choix, ils peuvent soutenir les démocrates-chrétiens d’Angela Merkel comme les sociaux-démocrates.
Le totalitarisme qui vient, ce n’est pas le populisme qui n’a aucune structure idéologique commune si ce n’est la reconstitution des frontières, c’est ce mode de pensée du quotidien, avec des règles alimentaires strictes (les végan), l’énergie du soleil et du vent, la culture sans engrais.
Le modèle écologique est bien plus qu’un mouvement politique, c’est le mouvement qui définira, si l’on n’en prend pas garde, notre quotidien.
Nous nous émouvons, parfois et à juste titre, de modes de vie différents de notre culture européenne mais ces modes de vie ne concernent que des minorités. Ici, le danger ne vient pas de l’étranger mais d’une mouvance occidentale qui n’a qu’un seul but : transformer le quotidien de tous et de chacun.
Bien sûr, cette poussée n’est pas nouvelle, les mouvements écologiques avaient déjà fait l’objet de poussées électorales. En France, la « poussée verte » a fait tomber de nombreuses mairies de droite en 1977. Depuis 1977, les élections européennes ont vu les mouvements verts avec des scores à deux chiffres, d’Antoine Waechter avec 12 % en 1989 jusqu’à Daniel Cohn-Bendit avec 16 % il y a dix ans, mais ce qui est interpelant aujourd’hui, c’est la conjonction entre des institutions, une certaine jeunesse déconnectée des problèmes culturels et sociaux et les urnes.
Ces mouvements n’ont rien de scientifique, ils sont la réponse de l’irrationnel. Ils ne voient pas, ils estiment. Le climat a été remplacé, selon eux. Ils sont les chantres d’un certain remplacement.
Le clivage de demain s’inscrit dans les élections d’hier. Les Gilets jaunes sont loin, j’entends déjà parler d’espérance verte. Une couleur dont il faut se méfier.
23:38 Publié dans Européennes 2019, Franck Buleux | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Fête de la Courtoisie à Paris, dimanche 16 juin 2019
La Fête de la Courtoisie se tiendra à Paris, dimanche 16 juin 2019, de 11 heures à 19 heures.
Venez à la rencontre de toute l’équipe de Radio Courtoisie, de ses patrons d’émission et de ses collaborateurs, qui vous invitent à partager ce moment d’intelligence et d’amitié.
Vous retrouverez les écrivains qui se sont exprimés à Radio Courtoisie. Ils seront heureux de vous dédicacer leurs œuvres.
Où : Espace Champerret, 1 place de la Porte de Champerret, XVIIe.
Accès par la rue Jean Œstreicher. Métro : Porte de Champerret. RER C : Pereire-Levallois.
Accès au parc de stationnement par le boulevard périphérique.
Entrée : 5 euros. Gratuit sur présentation de la carte d’auditeur ou du reçu de dons et pour les personnes de moins de vingt-six ans.
Voici le lien vers le site de Radio Courtoisie
17:51 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Vengez la France, encollez Macron, le menteur de l’Élysée !
A peine une heure après que le drame avait éclaté, Macron donnait des consignes à son gouvernement et à la presse, encore une fois servile : seule la thèse accidentelle devait être retenue et ceux qui osaient émettre l’hypothèse d’un incendie criminel, dans un contexte où les actes contre les églises et les cimetières se multipliaient, devaient être exclus des médias officiels, et qualifiés de complotistes.
Nous ne pouvions, encore moins dans le contexte des élections européennes, rester silencieux devant une telle provocation. Nous avons donc pris la décision, malgré une situation économique difficile pour nous, de proposer aux Français un outil accessible à tous, qui leur permette, de manière efficace et simple, de faire un geste militant pour « pourrir la vie du menteur de l’Élysée » : l’autocollant.
Nous savons que des millions de compatriotes, de toutes les sensibilités, ne supportent plus ce président qui déteste son pays et méprise les Français, leur préférant ouvertement les nouveaux venus, majoritairement africains et musulmans, qu’il leur impose.
Nous savons qu’ils ne pardonneront jamais à celui qui, sans vergogne, incapable d’avoir protégé cet édifice, ose envisager de le reconstruire « de manière plus moderne et plus adaptée aux défis de notre temps » ! Sans doute avec des adeptes de l’Art contemporain, pour tuer Notre-Dame une deuxième fois !
Donc, bien que nous n’ayons pas atteint les objectifs affichés lors de notre appel (nous ne mentons pas, et lancerons, comme annoncé, une campagne papier), nous avons décidé de foncer, parce qu’il le fallait.
D’où l’impression, avec Résistance républicaine, de ces 100 000 autocollants, que nous offrons, ainsi que les frais d’envoi, à tous ceux qui voudront nous en commander.
Pour les recevoir, écrire à : redaction@ripostelaique.com
Nous donner votre adresse, et le nombre que vous voulez recevoir.
Maintenant, c’est à vous de jouer. Vengez-vous de Macron, et vengez la France des affronts que ce président lui fait subir.
Bien évidemment, si des lecteurs veulent participer à cette action en la finançant partiellement, nous les en remercions d’avance.
Chèques à adresser à l’ordre de Riposte Laïque, BP 32, 27140 Gisors
17:07 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le pouvoir du vide
Le billet de Patrick Parment
Ces élections européennes consacrent deux choses : l’Europe d’une part, le parti d’Emmanuel Macron (LREM), de l’autre.
L’Europe d’abord. Au niveau européen et d’après les résultats que nous connaissons, notre première et agréable constatation, c’est qu’il en est bel et bien fini du monopole exercé par la droite (PPE) – sous perfusion allemande – et la gauche des sociaux-démocrates qui nous ont toujours entraîné sur une voie ultra libérale mais surtout maintenus en état de vassalité vis-à-vis des Américains. Au Parlement européen, où rien n’est possible sans compromis, il y a désormais plusieurs composantes avec lesquelles il faudra désormais négocier : les sociaux-démocrates (147 voix), les libéraux (102), les conservateurs (173) et s’ils arrivent à s’entendre, a minima, les euroseptiques (171). Que ressortira-t-il réellement de cette nouvelle configuration ? Clairement, le clan libéral reste majoritaire mais pourrait s’imposer l’idée que le libéralisme nous conduit à la faillite et que les Américains comme les Chinois ne sont pas nos amis mais bien des concurrents. Comme le souligne l’économiste Nicolas Bouzou, l’idéal serait de faire comprendre à l’Europe qu’elle est une puissance et donc de faire enfin de la politique. On l’espère, on le rêve.
L’autre aspect de ces élections est bien évidemment franco-français. Comme le faisait remarquer un sondeur, il ne faut pas confondre les élections européennes avec les élections nationales. Aux européennes, les Français se défoulent. Fut-ce le cas cette fois encore ? Dans une certaine mesure seulement.
Au risque de surprendre, je dirai qu’Emmanuel Macron sort vainqueur de ces élections. Et nullement Marine Le Pen. Vainqueur pour la bonne raison que se plaçant dans la perspective des présidentielles à venir, il a fait le vide politique autour de lui et demeure seul face à Marine Le Pen et son Rassemblement. Et là, Macron joue gagnant.
Les autres formations politiques rament comme des malades sans même atteindre les 10%. Mais les 13% des écolos me direz-vous. Leur score est artificiel car ils ont bénéficié du désenchantement de l’électorat de gauche déboussolé par la multitude des candidatures entre un Mélenchon à 6%, un Glucksmann à 6%, un Benoît Hamon à 3% et aux 2,5% du camarade bolchevique Ian Brossat parti se faire brosser chez les soviets de Tintin. Unis, ces joyeux branquignols seraient à 17%. Sauf que leur égo leur interdit, a priori, toute alliance.
A droite c’est la Bérézina, version Buzzati dans Le désert des Tartares. Passons sur le Rassemblement national qui reste et demeure le grand gueuloir électoral et qui n’a, semble-t-il, que fort peu bénéficié de la crise des Gilets jaunes. Il faut bien avouer qu’en dehors du discours sur l’immigration, Marine Le Pen n’a pas grand chose à dire. Hier encore, elle voulait sortir de l’Europe et plus encore de l’euro, avant de faire machine arrière. Bigre, les Français aiment l'Europe ! Idéologiquement parlant, elle n’a rien à proposer et vit sur l’héritage du père. Qu’elle a bien tenté de tuer lors d’une grande crise oedipienne. Si d’aventure, elle était crédible, elle serait au pouvoir.
Côté droite républicaine, c’est franchement la cata. Logique. Le courant républicain issu de l’UMP et du RPR n’a jamais réussi à surmonter l’obstacle du Front national. Et ses électeurs les plus « popu » sont partis grossir les rangs du Front. Quoi de plus normal quand un radical-socialiste comme Chirac obéit au doigt et à l’œil aux lobbies juif et franc-maçon. Et, là, il n’y a nul complot judéo-maçonnique, mais une réalité très facile à vérifier. Quand on parle des juifs, on entend bien évidemment leurs instances du genre CRIF. Car les juifs n’ont jamais été effrayé par Le Pen. Mais leurs instances ont besoin de lui pour peser sur la communauté en agitant le chiffon rouge du fascisme et de l’antisémitisme. Les partis d’extrême droite israéliens sont nettement plus radicaux que le Front national. Charles Pasqua avait compris qu’il fallait accueillir le Front pour mieux l’étouffer. C’est le contraire qui s’est produit. Et Chirac a coupé l’herbe sous le pied à toute constitution d’une vraie droite dans ce pays. D’où, Macron !
Quant aux centristes, ils ont une énorme qualité, ils se fractionnent eux-mêmes, s’amputent au gré des circonstances et se flagellent pour de maigres intérêts. Voyez ce pauvre Jean-Christophe Lagarde qui plafonne à 2,5%. Quant au Modem, il est passé avec armes et bagages à LREM. François Bayrou devait en avoir marre de se faire bananer d’élection en élection. Il préfère désormais ses bourrins aux castagnes parlementaires.
Face à ce paysage dévasté, que reste-t-il ? Et bien le face à face Macron-Marine Le Pen. C’est-à-dire deux partis qui n’ont aucun fondement idéologique sérieux et qui naviguent à vue. Macron est en train de nous coller un foutoir institutionnel de grande envergure après nous avoir imposé un libéralisme outrancier en faveur « des plus riches » quand le Rassemblement national stagne comme grand réservoir des rancoeurs nationales. Et puis, il y a les Gilets jaunes. Qui ne se reconnaissent ni chez l’un, ni chez l’autre. Et pour cause, ce sont deux valises vides. On est gouverné par le vide, temporel autant que spirituel. On est bien en plein changement climatique.
11:35 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Autre satisfaction du soir : Manuel Valls perd lamentablement à Barcelone et arrive cinquième.
00:30 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le Vlaams Belang fait une percée historique en Flandre
Ce soir, Filip Dewinter et nos amis
flamands sont heureux... Nous aussi.
Source Europe 1 cliquez là
Outre leur quota d'eurodéputés, les Belges votaient dimanche pour élire leurs députés régionaux et nationaux. Les derniers bureaux ont fermé vers 16 heures (14 heures GMT).
Le Vlaams Belang, parti rival des nationalistes flamands de la N-VA et allié du Rassemblement national (extrême droite française) au Parlement européen, dépassait les 18% en Flandre, selon des résultats portant sur environ 15% des bureaux de cette région. C'est nettement plus que les 5,9% enregistrés en mai 2014, et au-delà aussi des 14,8% que promettait le dernier grand sondage d'avant-scrutin à la mi-mai. Cette performance devrait peser sur le résultat des nationalistes flamands de la N-VA, première force politique de Flandre, qui a exercé le pouvoir en coalition au niveau national de 2014 à 2018.
La N-VA s'affichait à 27,2%, en recul de cinq points par rapport au vote de mai 2014, selon ces résultats partiels diffusés notamment par la chaîne publique VRT.
00:10 Publié dans Européennes 2019 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 26 mai 2019
Elections européennes : l'analyse du Parti de la France
Jean-François Touzé
Délégué national du Parti de la France, en charge des études et de l'argumentaire
Au terme d'une campagne atone, terne, et aux enjeux détournés tant il est vrai que, par un accord tacite entre les deux principaux protagonistes, parrains des listes que les sondages donnaient gagnantes, ce n'est pas d'Europe que l'on a parlé mais de stratégies nationales en vue de 2022.
Les électeurs se sont exprimés. Comme ce fut le cas lors des précédentes Européennes, ils l'ont fait sans grand enthousiasme, malgré une participation en très forte hausse (52% de votants) par rapport à 2014, 2009 et 2004 (en moyenne 40%), hausse sans doute induite par le retour à un scrutin national dans une circonscription unique. Les abstentionnistes, pour autant, constituent toujours le premier parti de France, plus par dégoût, rejet et mépris de la classe politicienne et du Système, que par désintéressement de la chose publique.
En obtenant moins de 24% des suffrages et en finissant la course en tête comme ce fut déjà le cas en 2014 avec 24,86% (aucune progression donc), la liste du Rassemblement national, favorisée pourtant par le vote utile anti Macron et servie par l’idée que quelque chose pourrait peut être changer dans les rapports de force au sein du Parlement européen, confirme sans plus son audience, d'autant que celle-ci demeure de circonstance et correspond essentiellement à un vote par défaut. On notera à cet égard que, compte tenu du taux d’abstention, le score réel de la liste conduite par Jordan Bardella ne représente qu'un peu plus de 10% des inscrits ce qui, dans un contexte de rejet du gouvernement et d’accélération des menaces migratoires, économiques, sociales et sécuritaires, ne saurait être considéré comme un succès.
Avec plus de 22,5% la liste de la République en marche, malgré l’hystérie de la propagande européiste de ces derniers jours, se situe très nettement en deçà du résultat obtenu par Emmanuel Macron lors du premier tour de la Présidentielle de 2017 (24,1%). Il s'agit donc clairement d'un revers pour le parti présidentiel qui réussit néanmoins à maintenir l'essentiel de son électorat et conserve donc un socle fort pour les prochaines échéances. Là encore, le vote utile de la droite molle et de la gauche bobo contre le totem brandi du « risque d’extrême droite » a joué en faveur de la liste gouvernementale et a permis de limiter les dégâts. Macron conforte ainsi sa stratégie confiscatoire du choix des électeurs en imposant l'idée du seul duel possible à la future Présidentielle entre Marine le Pen et lui.
Les Républicains, quant à eux, malgré la nouveauté talentueuse et l’image « droitière » de leur tête de liste François-Xavier Bellamy essuie, en n’arrivant, avec moins de 9% qu'en quatrième position derrière les Verts, un échec cuisant qui ne sera pas sans conséquences et sont loin, très loin, de retrouver leurs électeurs perdus après le naufrage Fillon. Le « centre droit républicain » paye ainsi des décennies de mensonges, d’ambiguïté, de laxisme, de faux semblants, de renoncements, d’aveuglement et d'erreurs tactiques. Ce n'est que justice.
La gauche, toute tendance confondue, Verts mis a part qui bénéficiaient de la mobilisation bobo sur le climat, est en pleine déroute et aujourd’hui en pleine atomisation. La France insoumise est au point mort, le PS sombre même si il sauve les meubles en dépassant la barre des 5%, et Hamon disparait corps et bien… Mais attention ! Que personne ne se réjouisse pour autant. Un jour où l’autre et peut être plus tôt qu'on ne le croit, la gauche saura se retrouver au-delà de ses différences et redevenir une force d'autant plus redoutable quelle n'aura rien appris de ses échecs, quelle saura s’appuyer sur les mouvements sociaux et que son regroupement se fera nécessairement autour de la radicalité.
Les souverainistes... Nicolas Dupont Aignan n’enverra aucun député à Strasbourg et perd, à l'issue d'une campagne brouillonne, son pari, à vrai dire bien hasardeux, d'incarner une union des droites dont, à aucun moment, il ne s'est donné les moyens de la réaliser, multipliant les erreurs, les signes de faiblesse à l’égard du Système et faisant parfois preuve d'égotisme et de déloyauté à l’égard de ceux qui l'avaient soutenu. En politique, on est jamais mort. Mais il arrive que l'on soit très durablement blessé.
Florian Philippot, quant à lui tout comme son concurrent en frexit, François Asselineau conserveront sans doute, malgré leurs résultats dérisoires, l'espoir d'entretenir le dernier pré carré de leurs amis et l’illusion d'une gauche chevènementiste sans avenir, sans base militante ni réalité politique. Nous sommes là, il est vrai, dans l'infinitésimal…
Jean Christophe Lagarde et l'UDI, enfin, se ridiculisent.
Les listes virtuelles obtiennent pour ce qui les concerne - et très naturellement - les résultats qui leur étaient promis.
Au lendemain de ces élections, rien, absolument rien ne changera ni d'un point de vue national où les vrais combats politiques sont à venir, ni de celui de l'Europe ou, quels que soient les rapports de force nouvellement créés au sein des futurs groupes parlementaires, la Commission et le Conseil continueront de régner en maîtres au nom de l'immigrationnisme, du mondialisme et de la financiarisation de la planète.
Le Parti de la France, pour des raisons financières aisément compréhensibles, n'avait pas souhaité concourir. Il n'en ira pas de même lors des prochaines consultations électorales de ces trois prochaines années.
Plus que jamais notre pays a besoin d'un parti de convictions, national et identitaire, patriote et européen, structuré, inscrivant son action dans la durée avec le recul que donnent expérience et maturation, mais habité de l’ambition de parvenir aux responsabilités.
Les mois qui viennent seront ceux de l’organisation du Parti et de l’affirmation de ce que nous sommes avec la tenue d'un Congrès décisif à la fin de l'automne.
Dans une semaine, personne ne parlera plus de ces élections européennes, sinon pour s’intéresser à la constitution des groupes parlementaires, à l’élection du Président du Parlement, celui surtout de la Commission et au choix du directeur de la Banque centrale européenne.
Le combat politique, lui, continue. Le Parti de la France doit devenir le pôle de rassemblement de la vraie droite nationale.
Alors, forçons le pas sur notre pente de Sisyphe et poussons encore et encore notre rocher : c'est le bon.
Les résultats détaillés cliquez ici
23:56 Publié dans Européennes 2019 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Marc Noé, notre camarade, nous a quitté ce matin
Nous reprenons ici le magnifique hommage que vient de lui rendre notre ami Philippe Kerbourc'h :
J'avais un camarade...
Je viens de rendre à Marc ma dernière visite, chez lui en Périgord. Nous avions le même âge, bien entendu trop jeune et trop tôt pour partir ! Nous avions également suivi un parcours à peu près similaire depuis cette année folle de 1968...
D'abord AF, puis ce fut ON et le PFN où ce colosse faisait merveille dans les SO..
Une période également au plus haut niveau de l'athlétisme français: membre de l'Equipe de France, plusieurs records mondiaux dès l'âge de 15 ans (saut en hauteur et 110m haies)...
UNP, Cercle Saint Michel, responsable de para-club...
Comme certains, il joue la carte RPR, devient Maire de sa commune et conseiller général de Seine et Marne (ici en photo avec Pierre Sergent) puis claque la porte après les trahisons diverses de Coppé et Chirac...
Féru d'histoire, il exerçait le métier d'enseignant avec passion sans jamais adhérer à la pédagogie dogmatique qui a fait tant de ravages chez nos petites têtes (encore...) blondes; mes enfants ont eu la chance de l'avoir en tant que remplaçant...
Des petites escapades internationales et touristiques avec quelques camarades chiens de guerre...
Et puis l'installation en Périgord avec sa charmante Daddie, une vieille maison retapée, le goût de l'authentique et du bon sens paysan...
Et puis beaucoup de temps passé à la rédaction de son blog d'information et de veille : FPI le Gaulois... Et toujours la joie de retrouver et de recevoir d'anciens camarades...
Et dire que ce matin tu ne t'es même pas réveillé pour glisser ton bulletin (le meilleur bien entendu) dans l'urne... Mais promis, comme tu l'avais demandé, ton béret rouge reposera sur le cercueil et tu partiras avec ce magnifique chant : "Les oies sauvages"...
Allez ciao Marco, à la prochaine et rendez-vous au grand banquet des porteurs du marteau de Thor !
Rien a rajouter. Philippe a tout dit.
Lire aussi l'hommage de Pierre Cassen cliquez là
23:53 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
10 JUIN 1979 : L'EURODROITE EXISTAIT DÉJÀ...
CHN n°4 : le Parti des forces nouvelles cliquez ici
CHN n°6 : Jean-Louis Tixier-Vignancour cliquez là
09:24 Publié dans Les Cahiers d'Histoire du Nationalisme, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |