jeudi, 20 février 2020
PARIS VAUT MIEUX QU’UN PETIT BRANLEUR ARROGANT ET PRETENTIEUX.
Pieter Kerstens
Toute la classe politico-médiatique s’est offusquée de l’attaque contre le candidat de la majorité, pour les élections municipales dans la Ville Lumière. Celui-ci s’est quand même personnellement mis en scène et a diffusé sa vidéo scabreuse à une gente dame, autre que son épouse, en adulte responsable.
Et tous ceux qui dans un concert unanime ont pris sa défense « au nom du respect de la vie privée » et se sont plaints d’une « montée intolérable de la violence » font preuve d’une amnésie coupable.
Car, depuis des siècles, les moyens de déstabilisation et les opérations visant à éliminer des adversaires ou des concurrents en tout genre se sont multipliés et accélérés par les progrès techniques, de la simple rumeur populaire à l’utilisation actuelle des « réseaux sociaux » qui propagent une information à la vitesse de l’éclair.
Chacun sait que le numérique, les algorithmes, l’intelligence « artificielle » et l’utilisation des cartes plastiques munies de « puces électroniques » alimentent un Internet ouvert et par conséquence manipulable par des esprits mal intentionnés.
Il est donc naïf de croire que notre vie privée resterait un « jardin secret », d’autant plus que l’informatique permet une kyrielle d’effets spéciaux, et que d’autre part, la moindre trace que vous laissez au départ de votre téléphone mobile, de votre tablette ou d’une carte de paiement pourra être exploitée par un tiers, via des fichiers qui se promènent au gré des utilisations commerciales ou dans un but inavouable par certains « services ».
D’aucun exigent une transparence généralisée et clament une « République exemplaire », mais se plaignent quand leurs turpitudes sont étalées sur la voie publique. Il serait logique et de bon ton d’être irréprochable lorsqu’on occupe une haute fonction, qu’elle soit dans le secteur privé, l’administration publique ou que l’on soit élu par la souveraineté populaire.
Car à ces postes, à toutes époques et en tous lieux, on constate que « le Pouvoir corrompt et que beaucoup de Pouvoir corrompt énormément » puisque de nombreuses « affaires » ont parsemé la vie politique en particulier, qu’elles soient d’ordres financier ou sexuel ou bien l’objet de contraintes psychologiques. Souvenons-nous de trois dossiers différents qui ont alimenté les chroniques de la Ve République Française.
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Fessenheim : le totalitarisme vert contre la Nation.
00:29 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mercredi, 19 février 2020
Grande journée d'Action Française "120 ans qui nous donnent raison" Paris Samedi 29 Février
Il y a 120 ans, l'affaire du traître Dreyfus donnait naissance à un mouvement politique dont personne n'aurait imaginé qu'il deviendrait le fer de lance du nationalisme Français et qu'il serait encore bien vivant aujourd'hui. L'Action Française a été de tous les combats pour "préserver l'héritage en l'absence de l'héritier" : elle n'a cessé de se battre pour l'intégrité nationale et contre les puissances extérieures mais aussi intérieures qui voulaient sa perte. Elle n'a cessé de dénoncer l'imposture des Droits de l'Homme et de la démocratie tout en pratiquant le compromis nationaliste.
Jamais autant que sous nos yeux ne se sont vérifiées les analyses politiques de l'Action Française : la monarchie ou la ruine de la France !
Samedi 29 février nous fêterons à Paris les 120 ans de notre mouvement : les membres du comité directeur seront présents : Gérard Bedel, André Charles, Élie Hatem, Marie Gabrielle Pujo, Clément Gautier. De nombreux amis ont d'ores et déjà répondu présent : le prince Sixte Henri de Bourbon Parme, Jérôme Bourbon, Marion Sigaut, Pierre-Antoine Plaquevent, Anne Brassié, Alain Escada, Yvan Benedetti, Stéphanie Bignon et d'autres...
Réservations obligatoires avant le 25 février en cliquant ici
ou par mail contact@lactionfrancaise.fr
ou en téléphonant au 06 46 33 56 95
14:50 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Tarascon : Valérie Laupies a déposé sa liste de rassemblement des patriotes
10:22 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mardi, 18 février 2020
A Mulhouse, Macron prononce son discours de la méthode rustine pour sauver le "vivre ensemble".
20:19 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Sexe : c’est pas Griveaux qu’il fallait piéger, c’est Zemmour !
Pierre Cassen revient sur les conséquences dévastatrices de la vidéo de Griveaux, et sur les accusations graves qui pèsent sur Juan Branco, suspecté d'avoir monté l'opération. Il explique que s'ils avaient piégé Zemmour, tout irait pour le mieux, dans le meilleur des mondes !
Juan Branco, branché ou branquignole ?
Même l'extrême gauche se fout de sa gueule.
17:09 Publié dans Sacha de Roye, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Le poisson pourrit toujours par la tête
Jean-Gilles Malliarakis L'Insolent cliquez ici
L'écœurante, et passablement ridicule, affaire Griveaux, le montage répugnant qui l'entoure, et l'unanimité tant soit peu factice de sa condamnation, nous prouvent une fois de plus une réalité paradoxale. L'action des pires crapules et autres déchets de l'humanité peut en effet se retourner contre leurs inspirateurs.
Coup de tonnerre, mais aussi coup double, en l'occurrence au sein de la Macronie en décrépitude : d'une part, la campagne électorale parisienne après avoir perdu un mauvais candidat, gagne une tête de liste improvisée, plan-plan mais bon genre, de nature à rassurer in extremis une partie des lecteurs du Figaro.
D'autre part ce ministre de la Santé largement dépourvue de pouvoirs, porte parole de la technocratie de Bercy, laisse la place à un des véritables promoteurs du projet de réforme des retraites, dont il faisait office de rapporteur.
Faisant retour sur image et remémorant le parcours de Griveaux, le Point ce 17 février parle d'une "malédiction des strauss-kahniniens" (cliquez ici). Griveaux, les « Mormons » qui ont organisé la conquête de Macron, Cahuzac, Le Guen… Quel proche de DSK, demande l'hebdomadaire,n'a pas été frappé du sceau de l'arrogance ?"
Et de remonter à 2006, année où Dominique Strauss-Kahn, ancien ministre socialiste, avant de se trouver propulsé en 2007 par la grâce de Sarkozy à la tête du Fonds monétaire international, s'oriente vers une candidature à l'élection présidentielle cuvée 2007.
Autour de cet ambitieux se regroupent de petits arrivistes. Frais émoulus de Sciences Po et de HEC, ils s'appellent Stanislas Guerini, Cédric O, Ismaël Emelien et Benjamin Griveaux, mains qui composeront la future Macronie.
Mais au-delà de Strauss-Kahn, au-delà de Macron, nous pouvons observer aujourd'hui à quel point ce sont les institutions de la cinquième république qui n'ont cessé de décliner.
Cela vient de loin. Et comme le poisson pourrit par la tête, le processus a commencé très tôt, par la démonétisation du personnage central.
Dès qu'en décembre 1965, il fut mis en ballottage, le rapport du fondateur, De Gaulle lui-même, à l'exercice de son propre pouvoir a changé de nature et de sens.
Lui-même mit fin, lors d'une entrevue avec le comte de Paris en janvier 1966, à un rêve monarchiste secret, aujourd'hui oublié, mais rêve caressé par les maurrassiens, rêve qui avait été encouragé par le général et imaginé par le prétendant depuis une entrevue, et un accord formel des deux hommes, remontant à 1954. Si l'un des deux principaux rédacteurs de la constitution René Capitant, républicain sincère, n'en avait jamais abordé l'hypothèse, son associé Michel Debré, au contraire, avait cultivé l'ambiguïté, en sa qualité de Maire d'Amboise dont le château appartenait encore, très bourgeoisement, à la famille d'Orléans. Premier ministre de 1959 à 1962 il jouait, tel un rôle de comédie, royaliste côté cour, jacobin côté jardin.
La réforme de l'article 7 fut validée par référendum en 1962. La procédure contredisait l'esprit et la lettre du texte fondamental de 1958. Elle fut dénoncée comme forfaiture par l'opposition, mais entérinée par un conseil constitutionnel alors docile. Or, ceci transforma un adoubement et un hommage par les notables en un scrutin plébiscitaire. Aux représentants supposés de la France réelle on avait substitué le concept abstrait du peuple dans ses profondeurs.
De moins en moins depuis lors, le chef de l'État n'a conservé la hauteur d'un arbitre, encore moins la prestance d'un conducteur de peuple.
Il est temps de réfléchir, et urgent d'agir, aux voies du rétablissement de la dignité de la nation.
10:03 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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lundi, 17 février 2020
Mercredi 19 février : l'émission Synthèse sur Radio Libertés (télévisée) en hommage à Roger Holeindre
22:48 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Elections, piège a c…
Par Jarente de Sénac
L’affaire Griveaux, sur laquelle tout le Landerneau politique s’apitoie est l’expression d’un rien. Y-a-t-il quelque chose de plus que rien ? interrogeait le grand philosophe allemand Martin Heidegger. Oui, il y a Griveaux qui est moins que rien. C’est l’ectoplasme Serge July qui a finalement bien résumé la situation : « Griveaux est un con ». Pour la bonne raison que quand on est un homme politique ambitieux, et à l’heure des réseaux sociaux, on ne s’adonne pas à ce genre de plaisanterie, quand bien même est-on très fier d’exhiber un sexe érectile afin d’appâter une dame.
Paris n’est pas orphelin pour autant puisque les responsables de la République en marche ont désigné Agnès Buzyn qui avait déjà refusé toute investiture. Et pour cause, la dame n’a jamais affronté un quelconque suffrage. On se demande bien ce qui l’a poussé à accepter le job. A un mois de l’échéance, elle court au bide total avec une macronie qui prend l’eau de toute part. Cédric Villani fait la gueule, car nolens volens, elle va lui piquer des voix.
On semble donc bien d’acheminer vers un duel Rachida Dati/Anne Hidalgo. Qui l’eut cru ? Certainement pas cet hurluberlu de Philippe Goujon.
Mais, il n’y a pas qu’à Paris que c’est la confusion la plus totale. En province on assiste aussi à des alliances de la carpe et du lapin. Les étiquettes valsent. En fait, la plupart des candidats nouent des alliances en vue de figurer sur la possible liste gagnante. C’est particulièrement vrai à droite où centristes de toujours et gaullistes antédiluviens quand ce n’est pas le Modem, passent des accords faisant fi des consignes de leurs états-majors. Quant à l’Union des droites souhaitée par Robert Ménard, elle reste pour l’instant marginale.
A gauche, seuls les Insoumis font chambre à part. Les autres tentent de s’acoquiner avec les Verts qui ont le vent en poupe mais qui, surtout, recueillent tous les déçus du socialisme. Enfin, nul ne sait comment vont voter, s’ils votent, ces Gilets jaunes qui transcendent à eux seuls tous les partis et qui sont le reflet de cette France fracturée. Une chose semble certaine, ces élections seront plus le reflet d’une « municipalité » que d’un test national. Si ce n’est de confirmer la volatilité des partis.
Ces élections, vont-elles nous révéler une nouvelle géographie politique ? Une chose est sûre (enfin presque), ces élections n’anticiperont en rien la prochaine présidentielle. Et dans le désert actuel, si l’on s’en tient à ce que nous disent les sondages, on file droit vers un duel Macron/Le Pen. Or, comme le dit très justement Natacha Polony, la patronne du seul hebdomadaire lisible de la place de Paris, Marianne, de Marine Le Pen, les Français n’en veulent pas.
10:15 Publié dans Jarente de Senac | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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L'oeil et les crayons d'Ignace
Avis aux collectionneurs : Il nous reste quelques exemplaires du livre de dessins d'Ignace Apocalypse Flamby sorti en 2017.
Vous pouvez en acheter en cliquant ici
09:54 Publié dans IGNACE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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L’autre droite polonaise
Quatre faits majeurs ont marqué les élections générales du 13 octobre dernier. La majorité gouvernementale constituée autour du PiS (Droit et Justice) de Jaroslaw Kaczynski est reconduite, ce qui est en soi un événement majeur depuis la fin du régime communiste en 1990.
Si le PiS et ses alliés remportent la majorité absolue des sièges à la Diète, cette entente ne dispose que de 48 sièges sur cent au Sénat désormais présidé par un opposant de centre-droit. Disparue à l’occasion des élections précédentes, l’Alliance de la gauche démocratique retrouve une représentation parlementaire de 49 sièges. Animée par les agrariens du Parti paysan qui sert souvent de force d’appoint aux gouvernements de droite comme de gauche, la Coalition polonaise (30 députés) réunit les centristes de l’Union des démocrates européens, les libéraux-sociaux du Parti démocratique, les régionalistes de Silésie ensemble et les anciens populistes de Kukiz’15 désormais ralliés à la démocratie directe, au conservatisme libéral et à l’intégration européenne.
Mais la surprise provient de la Confédération, véritable cauchemar de Kaczynski qui n’a pas empêché l’émergence sur sa droite d’un pôle authentiquement radical. Lancée le 6 décembre 2018, la Confédération Liberté et Indépendance avait récolté aux élections européennes de mai dernier 621 188 voix et 4,55 %. Aux législatives, ce cartel obtient 1 256 953 voix, soit 6,81 % et onze députés. Grâce à un usage massif et réfléchi des réseaux sociaux, il devient la troisième force politique chez les moins de trente ans. Pour le Sénat, en raison du mode de scrutin majoritaire uninominal à un tour, elle ne rassemble que 144 124 bulletins (0,79 %).
La Confédération Liberté et Indépendance soutient la sortie de la Pologne de l’Union européenne. Cet ensemble souverainiste s’oppose aussi à l’avortement, au féminisme et à la vague LGBTXYZ. Plutôt climatosceptique, il préconise l’emploi simultané du charbon et des énergie renouvelables. C’est enfin une alliance électorale de sept mouvements, trois majeurs et quatre mineurs. Parmi ces derniers, mentionnons l’Association nationale STOP NOP pour la connaissance de la vaccination qui rejette les campagnes de vaccination obligatoire, les protestataires anti-bureaucratiques relativement « poujadistes » du Parti des chauffeurs qui exige un code de la route moins répressif et des infrastructures routières plus sûres, l’Union des familles chrétiennes qui défend la vie et le catholicisme traditionnel, et, rassemblant d’anciens activistes de la Ligue des familles polonaises et de Samoobrona, la Ligue nationale, un temps proche du PiS, dont le discours se réfère à la doctrine sociale de l’Église et au solidarisme de troisième voie.
Examinons maintenant ses principaux piliers. Avec un élu, la Confédération de la Couronne polonaise dédiée à Dieu et à la Vierge Marie, est une formation monarchiste sans prétendant, car le royaume de Pologne fut jusqu’en 1772 une monarchie élective. Avec cinq députés chacun, le mouvement KORWIN et le Mouvement national en sont les deux moteurs. KORWIN est l’acronyme polonais de Coalition pour la restauration de la liberté et de l’espoir de la République, clin d’œil évident à son président-fondateur, l’ancien député européen loufoque Janusz Korwin-Mikke de sensibilité libertarienne minarchiste (un État réduit à ses seules prérogatives régaliennes). Lointain héritier du Parti national-démocrate du penseur nationaliste Roman Dmowski (1864 – 1939), le Mouvement national lutte pour une Pologne subsidiariste et ethniquement homogène.
La Confédération Liberté et Indépendance s’oppose avec force à la politique étrangère catastrophique, atlantiste et pro-occidentale, du PiS. Sur les traces du pro-russe Roman Dmowski, elle a proposé à la Russie de partager l’Ukraine : l’Est dont le Donbass reviendrait à Moscou, l’Ouest, y compris la Galicie, à la Pologne. Elle reprend à son compte la vision géopolitique du grand rival de Dmowski, le maréchal Pilsudski. Elle se justifie par le fait que la Pologne accueille déjà des centaines de milliers d’immigrants d’origine ukrainienne. Si pour certains, l’ukrainien ne serait qu’une variante dialectale du russe, la Confédération estime qu’il s’agit d’une variante paysanne du polonais. Aucun ne s’est demandé si l’ukrainien ne serait pas plutôt la langue-mère du polonais, du russe et du bélarussien…
Si la Confédération Liberté et Indépendance ne sombre pas dans de vaines querelles de personnes, elle pourra à terme vraiment représenter une alternative crédible à Jaroslaw Kaczynski. Encore faudrait-il qu’elle délaisse une bonne fois pour toute l’impression persistante d’amateurisme politique.
Bonjour chez vous !
• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°159, mise en ligne sur TVLibertés, le 10 février 2020.
09:12 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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dimanche, 16 février 2020
Les illusions de Trump sur l’état réel de l’économie américaine
Marc Rousset
Lors de son discours du 4 février sur l’état de l’Union au Congrès, Donald Trump aurait mieux fait d’être un peu moins sûr de lui et triomphant, d’en rabattre un peu sur « tout ce qu’[il a] créé », sur « les réussites les plus palpitantes à venir devant nous », sur l’état réel de l’économie américaine, qui est en fait portée par une croissance malsaine et artificielle.
Trump n’est pas à l’abri d’un retour de boomerang en pleine figure, d’un krach soudain à Wall Street, même s’il va tout faire dans les mois qui viennent, bien évidemment, pour ouvrir encore plus les vannes de la Fed, poursuivre sa politique de fuite en avant des dépenses publiques afin de passer au moins le cap des élections présidentielles en novembre 2020.
Suite au laxisme sans fin du « QE », aux diminutions d’impôts, aux diminutions des taux d’intérêt, l’économie américaine est en train de battre un record établi en 1857, soit 127 mois ininterrompus de croissance éternelle pour « God Save America » ! Le NBER (National Bureau of Economic Research) a pourtant calculé que, depuis 1945, les récessions et les périodes d’expansion n’ont duré respectivement que 11 mois et 58 mois. Wall Street vit donc une période d’euphorie qui rappelle les années 1920 avec, à la clé, le krach de 1929 et certains spéculateurs qui ont mis fin à leurs jours. L’ère triomphante du numérique, des GAFA et de Goldman Sachs a seulement remplacé l’ère triomphante du moteur à explosion, de Ford, de General Motors et de Rockefeller.
Jusqu’à présent, les causes des crises dans des économies occidentales gérées d’une façon rationnelle ont toujours été la hausse des taux d’intérêt ou une élévation subite du prix du pétrole. Mais, suite à la politique nouvelle des banques centrales, l’augmentation des taux d’intérêt à court terme est provisoirement écartée, tout comme l’augmentation des taux à long terme, suite aux rachats anormaux par ces dernières d’obligations sur le marché secondaire. Les banques centrales ne font que reporter la date des explosions à venir, ce qui, suite à une perte subite de confiance, ne pourra pas durer éternellement.
Continuer à imprimer des billets de banque et acheter des actions, voilà la nouvelle formule magique pour l’Occident en matière économique, les banques centrales étant là pour garantir que les arbres montent jusqu’au ciel ! Si les crédits et l’endettement provoquent, en Occident, la faible croissance artificielle d’un maximum de 2% depuis 2007, les revenus de la récession à venir devront rembourser les crédits et les dettes d’hier. Les bénéfices des entreprises doivent beaucoup plus à l’endettement accru, à l’effet de levier hyper-élevé en raison des taux d’intérêt ridicules, au rachat d’actions pour augmenter le bénéfice par action, qu’à la croissance des marchés.
Les courbes des valeurs des Bourses divergent de celles des taux de croissance de l’économie réelle. Si Trump n’avait pas provoqué un déficit public annuel énorme de 1.000 milliards de dollars aux États-Unis, l’Amérique serait déjà en récession ! L’économie américaine démarrera la prochaine récession avec un déficit public annuel qui sera, alors, de 2.000 milliards de dollars, une dette de 24.000 milliards de dollars et un sous-financement des retraites de 6.000 milliards de dollars.
Et si Trump regardait autour de lui, il devrait réaliser que ce n’est pas brillant non plus en Europe et dans le monde. L’industrie allemande souffre et certains redoutent une récession en Allemagne, tandis qu’en zone euro, la production industrielle a affiché une baisse prononcée de 4,1% en 2019. L’économie italienne, maillon faible de la zone euro, est à l’arrêt, avec une croissance de 0,2% en 2019 et une prévision de 0,3% en 2020.
Quant à la France, l’endettement des grandes entreprises explose. La dette des entreprises a augmenté de 27% depuis 2009 et, pour la Banque de France, il y aurait 187 milliards d’euros de crédits d’entreprise dits à risque dans l’économie française. On assiste, en fait, à une japonisation de l’économie française avec l’accélération de la dette publique (100,4% du PIB), mais aussi de celle des ménages et des entreprises, favorisée par les taux négatifs et le déversement des liquidités par la BCE. L’hyperendettement est le seul virus qui continue de menacer l’économie mondiale.
15:55 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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samedi, 15 février 2020
LUNDI 24 FÉVRIER, À PARIS : DINER DÉBAT SUR LA TURQUIE AVEC JEAN-GILLES MALLIARAKIS ET GABRIELE ADINOLFI
16:39 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Journal du chaos
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10:56 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Benjamin Griveaux jette l’éponge à Paris : La République en marche s’ébranle…
Nicolas Gauthier Boulevard Voltaire cliquez ici
C’est le gag matinal de ce vendredi 14 février. Benjamin Griveaux est l’invité d’Alba Ventura sur RTL. Et Yves Calvi d’annoncer que l’entretien a été annulé au dernier moment pour raison de « vidéo à caractère sexuel » impliquant l’ancien porte-parole du gouvernement et prétendant à la mairie de Paris.
Enquête faite dans les heures qui suivent, la vidéo existe bel et bien. Elle est très explicite. Mais, comment dire… Manifestement filmée sur téléphone portable, le principal incriminé, fort d’un réveil triomphant, s’y livre à un assez joli exercice de tirlipompon sur le chihuahua. Un polissage de chinois ; en plein coronavirus, ça tombe à pic. Un cinq contre un, si vous préférez. On n’y voit, certes, pas son visage, mais l’essentiel y est, dira-t-on.
D’ailleurs, son visage, on le voit en vignette, à gauche du cadre permettant de commenter l’action en direct. « Moi, ce matin au réveil, l’enfer… » Puis : « Tu me repasses ta vidéo d’hier, quelle poitrine ! » Et de conclure, toujours dans le registre de la carte de Tendre : « J’ai tellement envie… » Après tout, pourquoi pas ? De telles pratiques adolescentes sont le signe d’une indéniable jeunesse. Le problème est que ces petits mots doux ne sont pas adressés à son épouse mais à une tierce dame. Le jour de la Saint-Valentin, cet homme ne manque ni de tact et encore moins d’à-propos.
Bien sûr, le premier réflexe consiste à dire qu’il s’agit d’un fake ou d’un « complot », sûrement ourdi par le cabinet noir de l’hôtel de ville, à Paris. Mais si tel était le cas, pourquoi Benjamin Griveaux aurait-il jeté l’éponge – ou le Kleenex™ – quelques heures plus tard ? Là, l’exercice est déjà plus digne : « Je ne souhaite pas nous exposer davantage, ma famille et moi, quand tous les coups sont désormais permis, cela va trop loin. C’est pourquoi j’ai décidé de retirer ma candidature à l’élection municipale parisienne. Cette décision me coûte, mais mes priorités sont claires, c’est d’abord ma famille. » Il est seulement à craindre que le repas familial de ce soir ne se présente pas sous les meilleurs augures.
Entre-temps, la vérité finit par sortir nue du caleçon. Qui a balancé ? Même pas un concurrent, mais un artiste russe un peu fou (pléonasme) : Piotr Pavlenski, déjà condamné en Russie par Poutine et en France par Macron, pour avoir incendié une succursale parisienne de la Banque de France.
Le jeudi 13 février, il aurait expliqué au quotidien Libération pourquoi il allait rendre cette vidéo publique : « Benjamin Griveaux est quelqu’un qui s’appuie en permanence sur les valeurs familiales, qui dit qu’il veut être le maire des familles et cite toujours en exemple sa femme et ses enfants. Mais il fait tout le contraire. Ça ne me dérange pas que les gens aient la sexualité qu’ils veulent, ils peuvent même baiser des animaux, pas de problème, mais ils doivent être honnêtes. » Que l’ami Piotr soit rassuré, aucun animal ne semble avoir été maltraité durant le tournage de la vidéo en question.
À l’Élysée, on imagine que les cellules de crise sont en plein branle-bas de combat, sachant que tout cela fait malgré tout un peu tache. Bref, à un mois des élections municipales, comment dénicher un autre candidat plausible, capable de jouer collectif au lieu de s’amuser tout seul dans son coin ?
Pour le moment, les candidats ne se bousculent pas. Quelle ingratitude vis-à-vis d’un Emmanuel Macron censé emmener ses jeunes pousses loin des rives du vieux monde. Ainsi va la vie. O tempora, o mores. Onanisme. Sacré Benjamin Grivois !
10:51 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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vendredi, 14 février 2020
Un nouveau voyage organisé en Syrie par l'association Communauté syrienne de France
23:24 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Le bombardement de Dresde, un crime de guerre ?
Dans la nuit du 13 au 14 février 1945, l'aviation britannique et américaine déverse une pluie de bombes sur la ville allemande de Dresde. Au total : 1300 bombardiers ont largué 3900 tonnes de bombes faisant plus de 35 000 victimes parmi la population civile. Aujourd'hui encore, l'intérêt stratégique de cette opération est contesté. D'un côté, on avance que Dresde était un important centre industriel mais surtout un nœud de communication majeur. De l'autre, on soupçonne les Anglais d'avoir voulu venger les bombardements allemands, terrifier la population et surtout impressionner les Soviétiques en vue de la guerre froide à venir. Qu'en est-il vraiment ?
23:09 Publié dans Sacha de Roye, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Griveaux : quand la République cannibale dévore ses valets.
20:04 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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La soumission de l’Allemagne à la repentance coloniale
Par Bernard Lugan
Outre-Rhin, bien que la parenthèse coloniale n’ait duré que deux décennies, l’exigence de repentance atteint en ce moment des sommets inégalés. Même en France où, pourtant, il n’est pas possible de parler de la colonisation sans avoir préalablement revêtu le cilice de pénitence, l’exigence de soumission au dogme de la culpabilité coloniale n’a pas (encore ?) une telle ampleur.
En Allemagne, il est aujourd’hui impossible, tant elle est longue, de dresser la liste des rues, des places, des squares, des musées, des instituts et des casernes débaptisés au seul motif qu’ils ont un rapport avec la période coloniale ou avec des personnages ayant un lien avec cette dernière. Dirigé par la gauche, le Land de Berlin a même fait de la repentance coloniale un de ses principaux axes politiques, comme si la ville n’avait pas de problèmes plus urgents et plus concrets à régler… Ici, il n’est pas un jour sans qu’il soit demandé aux habitants transformés en chiens de Pavlov de l’auto-flagellation, de psalmodier la liste des péchés ultramarins de leurs grands-parents et de « regarder en face les crimes coloniaux allemands ainsi que le génocide des Herero et des Nama » commis en Namibie, l’ancien Sud-Ouest africain.
Or, dans cette affaire, l’acte d’accusation contre l’Allemagne est un montage datant de la Première guerre mondiale, quand Français et Britanniques qui avaient besoin d’arguments « moraux » pour s’emparer de ses colonies, accusèrent l’Allemagne d’avoir « failli » à son « devoir de civilisation ». Fut alors constitué le dossier à charge de la guerre des Herero réutilisé aujourd’hui par la gauche allemande.
Ce dossier passe totalement sous silence les actes atroces commis par les Herero: familles de colons massacrées, torturées, les femmes dépecées vivantes sous les yeux de leurs enfants, les hommes émasculés puis éventrés... Quand elles tombaient entre leurs mains, et après avoir été violées, les femmes allemandes étaient suspendues par les pieds à un arbre, jambes écartées, puis éventrées et éviscérées, comme des bêtes de boucherie…Or, ce furent à ces mêmes arbres, qu’après les avoir jugés, les Allemands pendirent ceux des Herero qui s’étaient rendus coupables de ces meurtres abominables. Mais, alors que nous n’avons que des témoignages concernant les premiers crimes, les exécutions judiciaires furent quant à elles photographiées et ces clichés furent ensuite utilisés par la propagande alliée pour « démontrer » la « culpabilité coloniale allemande ». Aujourd’hui, ce sont ces mêmes photos qui alimentent la campagne de repentance nationale.
Pour la gauche allemande et pour les Eglises qui soutiennent naturellement, et même avec gourmandise, son combat, tous ceux, civils et militaires qui participèrent, de près ou de loin, à la guerre des Herero sont donc par définition des criminels.
En premier lieu Paul Emil von Lettow-Vorbeck (1870-1964), légendaire officier colonial qui devrait pourtant figurer au Panthéon des gloires allemandes pour sa campagne de l’est africain (1914-1918). Or, tout au contraire, bien qu’il ait été un adversaire du IIIe Reich, présenté aujourd’hui comme l’archétype du « criminel colonial », il est donc devenu une des principales cibles de ce politiquement correct qui achève d’émasculer une Allemagne étouffée sous ses complexes. Les rues et les casernes von Lettow-Vorbeck sont ainsi débaptisées pour recevoir les noms de déserteurs ou de militants de gauche, comme à Brême, à Bad Segeberg, à Hambourg-Jenfeld et à Leer. Quant au conseil municipal de Sarrelouis, sa ville natale, il s’est déshonoré en débaptisant l’avenue qui portait son nom et en lui retirant la citoyenneté d’honneur de la ville. Il en fut de même à Wuppertal, Brême, Cuxhaven, Mönchenglabad, Halle, Radolfzell et même à Graz, en Autriche. Des ouvrages indigents et d’une rare malhonnêteté intellectuelle sont également publiés afin de salir sa mémoire.
Mais, face au Mythe, que pèsent les pelotes fécales roulées par les bousiers de la repentance ? Ces derniers pourront toujours débaptiser, interdire, détruire, condamner, vociférer et finalement trépigner. Ils ne parviendront jamais à faire oublier la dévotion que les askaris vouaient au général Paul von Lettow-Vorbeck, un chef qu’ils admiraient et auquel ils avaient donné, avec amour et respect, le nom de « Bwana mukubwa ya akili mingi » (le grand homme qui peut tout).
Ils ne pourront également jamais, ces coprophages, empêcher les jeunes européens rebelles de chanter le Heia Safari durant leurs randonnées et lors de leurs veillées. Cet hymne à la liberté et aux grands espaces qui résonne encore du Kilimandjaro à la Rufidji porte, avec les échos lointains des fifres et des caisses plates, les rêves d’une Europe en dormition dont le réveil sera douloureux aux hypnotiseurs vicieux qui pensaient la tenir définitivement en leur pouvoir…
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L’affaire Gabriel Matzneff : pas un scandale, une chasse à l’homme…
« Certains même doivent applaudir ses éditeurs
– parmi les plus prestigieux de France –
qui, du jour au lendemain,
semblent découvrir ce qu’ils ont imprimés et diffusés :
Oh zut ! la boulette… »
Entretien avec Philippe Randa, directeur du site de la réinformation européenne EuroLibertés.
(Propos recueillis par Guirec Sèvres)
Que vous inspire le scandale autour de l’écrivain Gabriel Matzneff ?
Soyons précis : ce n’est pas un scandale, mais une chasse à l’homme… Cela aurait été un scandale si on avait « découvert » que Gabriel Matzneff est pédophile, qu’il était passé à l’acte et avait tout fait pour le dissimuler comme c’est en général (toujours ?) le cas avec les prédateurs sexuels ; en ce qu’il le concerne, c’est exactement le contraire : cela fait plus d’un demi-siècle que non seulement il défend, à qui veut le publier ou l’inviter à s’exprimer, sa conception de l’amour – autant sentimentale que physique – avec les « moins de seize ans » ; jusqu’à en avoir fait le titre, pour le moins explicite, d’un de ses livres.
Comment expliquez-vous qu’au vu et au su de tous, Gabriel Matzneff ait ainsi bénéficié d’une totale impunité ?
Pour s’exprimer ? Mais, après les événements de Mai 68, aucun média d’importance, aucun intellectuel ou auto-proclamé tel, aucun artiste, aucun acteur politique n’aurait pris le risque de s’offusquer des livres de Gabriel Matzneff ou de ses invitations à s’exprimer sur les plateaux télés ou sur les ondes des radios… Il est tout de même effarant de voir les mêmes qui continuent de glorifier la chienlit de Mai 68 s’offusquer brusquement d’une des conséquences les plus officiellement « appréciée » de celle-ci : le vagabondage sexuel, sous toutes ses déclinaisons… Oublie-t-on les slogans ineptes en vogue alors et devant lesquels beaucoup se pâment toujours, tels « il est interdit d’interdire » ou encore « Jouissez sans entraves »… Condamner les livres de Gabriel Matzneff ou ne serait-ce que suggérer d’en interdire la publication vous aurait fait clouer au pilori… comme aujourd’hui on le cloue, lui !
Les livres de Gabriel Matzneff ne sont pas encore interdits, mais déjà retirés de la vente par ses éditeurs…
Et personne n’y trouve rien à redire ! Certains même doivent applaudir ses éditeurs – parmi les plus prestigieux de France – qui, du jour au lendemain, semblent découvrir ce qu’ils ont imprimés et diffusés (Oh zut ! la boulette…) Va-t-on voir organiser des autodaffés des livres de Gabriel Matzneff en place publique comme ceux organisés avant-guerre en Allemagne par les sections d’assaut du NSDAP avec les livres des auteurs juifs ? Et sans que personne ne s’en indigne de peur d’être à son tour cloué au pilori ?
Vous trouveriez normal que ses livres continuent à être diffusés ?
Si Gabriel Matzneff a trouvé tant d’éditeurs et durant si longtemps, c’est qu’il a existé, qu’il existe et existera toujours un public important pour le lire… C’est même quelque part, et même s’il ne s’y attendait pas et si cela lui pose sans doute des soucis certains dans sa vie quotidienne, une consécration de son œuvre littéraire : les auteurs consensuels passent rarement à la postérité. Du marquis de Sade à Oscar Wilde, ils sont légions à avoir connus les persécutions policières et judiciaires pour leurs écrits… qui ont été interdits eux aussi, en leur temps, après avoir déclenchés de terribles scandales dans l’Opinion publique qui s’en est tant repûs, puis tant offusqués… Tout change pour que rien ne change, constat connu !
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jeudi, 13 février 2020
13 février 1984 : un Jean-Marie Le Pen visionnaire crève l’écran
L’heure de Vérité | Antenne 2 | 13/02/1984 Invite de "l'heure de vérité" : Jean-Marie LE PEN, président du Front national. Il répond à 3 journalistes :Alain Duhamel, Jean-Louis Servan-Schreiber et Albert du Roy.
source: E&R
18:42 Publié dans Sacha de Roye, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Les médias de grand chemin nous imposent leur propagande
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Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine
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Les arnaques de la révolution verte
Ecologie, développement durable, économie circulaire, j’en passe et des meilleurs, on n’a que ces mots à la bouche pour caractériser les effets du réchauffement climatique. Sauf que l’on emprunte des chemins qui ne sont pas les bons et que toute cette tambouille revient à ripoliner les programmes des partis politiques qui n’ont plus d’idées, plus d’électeurs non plus d’ailleurs, et encore moins de saints vers lesquels se tourner, hormis les oiseaux de mauvais augures que sont tous ces zozos estampillés écolos. Mickaël Fonton, dans Valeurs actuelles remet les pendules à l’heure.
A lire ICI
09:28 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Toulouse. Une conférence de François Bousquet et de Robert Ménard attaquée, la police absente
Source Breiz info cliquez ici
On a frôlé le drame mercredi 12 février au soir, à Toulouse, lorsqu’une milice antifasciste a déboulé devant le lieu où devait se tenir une conférence de François Bousquet, patron de la Nouvelle librairie, et de Robert Ménard, maire de Béziers finalement absent pour l’occasion malgré le fait d’avoir été annoncé.
En plein centre ville de Toulouse (Au Loft, un site spécialisé dans l’organisation d’événements privés) des antifas armés, ont pu, pendant plusieurs minutes, jeter des fumigènes, des chaises, des barres, sur le service de sécurité tentant de contenir ce déchainement de violence. Les forces de l’ordre, pourtant promptes habituellement à gazer et à réprimer à tout va en manifestation (beaucoup de Gilets jaunes s’en souviennent encore sur Toulouse) n’arrivèrent qu’une fois le gros de l’attaque passé. Et cela alors même que le maire d’une commune importante du sud de la France était annoncé.
« Il y a forcément des questions qui se posent à ce sujet » glisse un participant. « On se demande même si la Préfecture ne voulait finalement pas de ces incidents. Que se serait-il passé si notre sécurité avait fait usage de sa légitime défense pour neutraliser avec force ces antifas ? On aurait alors assisté à un déferlement médiatique sans précédent …alors même que ces gens voulaient manifestement nous tuer »
A noter le traitement de l’information par la presse mainstream, prise en flagrant délit d’une forme de complicité avec les antifascistes. Ainsi, La Dépêche titre : « une conférence que devait animer Robert Ménard, perturbée par des antifascistes », et parle d’un évènement « perturbé ». Sylvain Duchampt, journaliste manifestement militant pour le service public, à France 3 Occitanie, ose même parler d’un « face à face entre militants ». « Très rapidement le groupe d’extrême-gauche arrive sur place et fait face au service de sécurité composé notamment de membres de Génération identitaire. L’opposition entre les deux parties dure une dizaine de minutes. Les membres d’extrême-droite tenant l’entrée de la salle afin d’empêcher l’intrusion de la cinquantaine de militants antifascistes jusqu’à l’arrivée d’un important dispositif policier, comme le montre cette vidéo de France 3 Occitanie »
Ce n’est d’ailleurs pas une première pour France 3 Occitanie. Il y a quelques mois, une de leur équipe avait déjà fait un reportage complaisant sur la façon dont les antifas traquent les groupes dits « d’extrême droite », reprenant quasiment toute la trame habituelle des sites antifascistes de type La Horde.
Une chaine de télévision du service public donc, qui n’avait pas dit un mot lorsqu’un journaliste indépendant, Vincent Lapierre, avait été attaqué par les mêmes personnes que ce journaliste du service public interviewa en toute sympathie.
Les exactions de ces milices se reproduisent désormais hebdomadairement partout en France. Des militants sont agressés. Des réunions et des conférences sont attaquées, quand elles ne sont tout simplement pas annulées par les organisateurs. En toute impunité, l’Etat et leurs relais médiatiques au sein de la presse mainstream versant dans l’angélisme (la complicité ?). Dans l’attente d’une nouvelle affaire Clément Méric ?
09:25 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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DEVOIR DE MEMOIRE = DRESDE, les 13, 14 et 15 FEVRIER 1945.
Pieter Kerstens
Le XXe siècle laissera dans l’Histoire le souvenir d’un cortège d’horreurs sans nom. La communauté juive se souvient de ses morts et impose le recueillement permanent à Auschwitz. Pour le peuple juif, ses dirigeants, ses groupes de pression et ses porte-paroles, Auschwitz est un symbole unique, le symbole d’une souffrance indicible et impose une obligation morale de culpabilité permanente enseignée dans les écoles.
DRESDE doit être le symbole de toutes les victimes civiles et innocentes de la guerre aérienne à outrance, qui a frappé tous les peuples européens, jour après jour, de 1940 à 1945. La stratégie des tapis de bombes (imposé par le « théoricien », major anglais Harris, pour « casser » le moral des populations et forcer les peuples à se soulever contre leurs dirigeants), est une négation de la civilisation qui, elle, postule que la guerre doit être menée par des militaires contre des militaires, en épargnant les femmes et les enfants. DRESDE doit être un symbole car elle était une ville d’art, reflétant une culture de la joie de vivre, diamétralement différente du militarisme que l’on a généralement reproché aux Allemands. Paradoxalement, c’est cette ville, « la Florence de l’Elbe », vouée au théâtre, à la musique, aux porcelaines et à l’art, que les anglo-américains ont rasé, sans le moindre impératif militaire ou stratégique, comme l’ont reconnu par ailleurs la majorité des observateurs britanniques et américains. Cette stratégie de la terreur n’a pas brisé le peuple allemand qui, au contraire, a su faire face !
En ce jour anniversaire de ce crime de guerre atroce, le souvenir nous impose :
*que 8.000 bombes explosives et 600.000 bombes incendiaires ont conduit 135.000 civils au royaume des cieux, selon les estimations les plus basses. D’après les sources officielles allemandes, il y en eu plus de 250.000 (« Deutschland Heute ». Editions Press und Informazionsambt des Bundesregierung. Page 31. 1961).
*que parmi les morts se trouvaient de très nombreux réfugiés civils et beaucoup de prisonniers de guerre alliés, qui fuyaient l’avance des troupes soviétiques.
*que l’ensemble des raids aériens en Europe a fait des millions de victimes civiles, qui ne peuvent pas simplement et hypocritement être envoyées aux oubliettes.
*que l’horreur des bombardements aveugles allemands ou alliés, qui ont frappé aussi les populations françaises (Caen, Le Havre, Rouen, Lisieux, Carentan, Royan, Boulogne-Billancourt) et belges (Anvers, Courtrai, Etterbeek, Forest, Houffalize, Namur, Saint-Vith,) doit inciter nos responsables moraux à condamner sans appel de telles pratiques et à nos gouvernants qu’ils expriment leur refus et s’opposent à leur réédition sous toutes les formes, comme au Vietnam, en Irak, à Belgrade, en Afghanistan, à Bagdad, en Lybie ou encore en Syrie.
*qu’à l’avenir, les tactiques incluant le bombardement de zones habitées devraient être considérées comme des crimes de guerre imprescriptibles et jugés comme tels.
*que les élus des municipalités, villes et villages, qui ont été frappés en Europe, se souviennent de ces raids aériens destructeurs et mobilisent leurs efforts à l’échelon local afin de raviver le devoir de mémoire au nom de la multitude d’innocents arrachés à l’amour de leur famille.
*qu’un centre d’études devrait s’occuper de cultiver le souvenir de nos morts, de récolter les témoignages des derniers survivants, afin d’étayer la mémoire des générations futures, qui ne peuvent pas oublier.
*que cette horreur, partagée par tous les Européens, puisse au moins servir à souder les hommes et les femmes de notre continent et leur fasse comprendre qui sont réellement les ennemis de la paix et de l’unification de l’Europe, dans la fraternité et la réconciliation.
Note : Sur les raids aériens alliés lire « L’Incendie » de Jörg Friedrich aux éditions .de Fallois. 2004.
09:10 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mercredi, 12 février 2020
Suite aux divagations du "journaliste" inculte Frédéric Martel qui voie des "nazis" partout : la réaction du CNC
Communiqué du Cercle National des Combattants
Monsieur Frédéric Martel, de France-Culture, s’est cru devoir émettre ce 9 février un tweet injurieux qui ne grandit pas son auteur.
Rappelons que Roger Holeindre fut résistant à 15 ans, âge auquel il s’empara sous le feu de deux mitrailleuses allemandes, qu’en Indochine et qu’en Algérie, il dirigea des partisans autochtones ainsi que des scouts musulmans qu’il aima et respecta toujours, et dont il parlait encore le jour de son décès.
Comment un « grand reporter » d’une radio d’Etat peut-il ainsi qualifier le salut scout de « salut nazi » ? Cet amalgame révèle une ignorance totale le la culture scoute. En effet, si l’auteur avait écouté l’homélie du Père Argouac’h puis le « Chant de la Promesse » qui retentissait au même moment, il aurait pu éviter de se vautrer dans le ridicule. Mais le ridicule ne tue pas, donc toutes le manipulations sont permises ! Comment peut-il faire croire que les proches du grand soldat (pour sa part ensuite vrai grand reporter) pourraient ainsi porter atteint à la mémoire de leur ami disparu ?
Roger avait souhaité des obsèques soient célébrées selon le rite dit « extraordinaire », autorisé par Rome. La paroisse St Roch n’a en aucun cas pris une position politique mais a simplement accédé à la demande du défunt et de sa famille.
Le Cercle National des Combattants est fier d’avoir organisé une si belle cérémonie en hommage à son président disparu et remercie les donateurs qui nous ont permis d’offrir à Roger Holeindre et à sa famille ce grand moment de recueillement et de prière.
Eric Vieux de Morzadec
Secrétaire général du CNC
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Face à l'expansionnisme turc, la Russie réagit, l'UE se couche.
16:28 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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RÉFÉRENDUM D’INITIATIVE POPULAIRE : LA DROITE HELVETIQUE VICTIME D’UN « COUP DE BOOMERANG » !
Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat
Dimanche 12 janvier, la loi condamnant l’homophobie a été adoptée par référendum avec 62% des électeurs suisses qui avaient fait le déplacement. Mais, paradoxe et pas des moindres, ce sont les partis conservateurs qui l’avaient provoqué, - et qui espéraient, bien sûr, un tout autre résultat -, qui en ont été pour leurs frais.
En effet, il s’agissait d’un référendum d’initiative populaire au résultat ayant abouti à l’inverse de celui qu’espéraient ses promoteurs. Il y avait un petit parti chrétien, l’UDF emmené par Marc Frueh allié pour la circonstance à l’UDC, Union démocratique du Centre, premier parti de Suisse, - on pourrait dire qu’il est de nos amis en dépit de son appellation centriste -, comme initiateurs de cette consultation électorale. La question était d’approuver oui ou non, la réforme du code pénal suisse interdisant la discrimination fondée sur l’orientation sexuelle et, surtout, désormais, la pénalisant. Il s’est trouvé une majorité d’Helvètes, - rappelons le pourcentage : 62% -, pour l’approuver. La nouvelle loi ainsi sanctifiée, élargit un dispositif déjà copieux, comme en France, qui sanctionne les appels à la haine raciale.
Un dispositif à sens unique
Mais cette disposition ne s’applique jamais lorsqu’il s’agit de racisme « anti-blanc », tel que celui qui sévit dans le répertoire de nombre de « chanteurs » de rap. Les Parquets, lorsqu’il s’agit par exemple du « mâle hétérosexuel blanc de plus de 50 ans » qui en est victime, sont bien souvent sourds, muets et aveugles. Un certain Marc Reynard, parlementaire socialiste, - si, si, le socialisme au pays des banques, ça existe ! -, à l’origine de cette extension de la loi anti-discriminations, s’est félicité du résultat du référendum sur les ondes suisses, saluant « un jour historique (…) un signal magnifique pour toutes les personnes concernées ». Cette réforme du code pénal votée en 2018, s’était heurtée jusqu’ici à l’hostilité des milieux conservateurs et catholiques traditionnalistes, lesquels ont dénoncé une « censure » et une atteinte « à la liberté d’expression et de conscience ». Et c’est bien là où le bât blesse. Où commence et où s’arrête la liberté de critiquer, de plaisanter sur un sujet délicat comme l’homosexualité ? Et nous venons de voir la même chose à propos de l’islam lors de l’affaire Mila. Sur ces sujets-là, la Suisse, c’est la France, ou vice-versa.
Où commence, où s’arrête « l’homophobie » ?
Une pièce de théâtre, un film à grand succès comme « La cage aux folles », sont-ils « homophobes » ? Tout sera, en fait, entre les mains d’un juge qui appréciera en fonction de ses opinions sur la question, et non pas sur l’évaluation objective des faits. Cette loi à notre sens, est une régression dans la liberté de s’exprimer sur un sujet de société. Pas question bien évidemment d’appeler à la haine, de stigmatiser méchamment quelqu’un comme cela se fait dans les cours de récréation depuis des générations, ou de faire du mal à telle ou telle catégorie d’une population en fonction de son origine ethnique, de sa religion, de sa profession, de son handicap ou de ses penchants sexuels. Mais une réflexion humoristique, une blague ou un constat négatif sur ce phénomène dans le cadre de la défense d’une politique familiale, par exemple, sont-ils, seraient-ils du ressort des tribunaux ? Il en va de même pour le harcèlement dit « de rue ». Un sourire, un sifflement d’admiration, ou un compliment fait à une jolie femme, tout cela est-ce une « agression sexuelle » ? Trop facile pour certaines ou certains de vouloir tirer profit d’un incident discutable.
Des Suisses lucides ?
Toutefois, il y a des personnes concernées dans cette belle Confédération helvétique, qui émettent des signaux négatifs, notamment au sein des milieux LGBT, « communauté » humaine très composite, laquelle craint qu’une protection juridique spéciale ne l’expose encore plus à être stigmatisée. Michel Frauchiger, co-président du comité « Droits spéciaux NON », était de ceux-là. À force d’être juridiquement hyper-protégé, on risque d’être stigmatisé. D’autres communautés ethno-religieuses l’expérimentent, bien souvent, à leurs dépens. Alors, un aimable conseil au passage, que les « Gay pride » soient plus discrètes, moins, disons, « exhibitionnistes », moins provoquantes, et tout passera comme une lettre à la poste des deux côtés du Léman… On n’est jamais trop aidé que par soi même.
13:56 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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L’homme d’action face aux femelles et aux capons
Bernard Plouvier
Il y a deux millénaires, un très grand esprit semble avoir enseigné cette profonde vérité : « C’est aux fruits qu’on juge l’arbre ». Et nos paysans répètent depuis des siècles qu’on récolte ce qu’on a semé... du moins en qualité, la quantité dépendant d’une foule d’éléments contingents.
Les pays d’Europe occidentale et scandinave sont gouvernés par des femelles et des capons, et sont donc des proies faciles pour les masses d’immigrés d’origine extra-européenne. Et, en France macronienne, l’on n’a même plus le droit d’énoncer cette évidence : l’immigration à coup de millions de femmes, d’hommes et d’enfants, cela s’appelle une "invasion".
L’"invasion" que nous subissons – sans avoir été consultés, ce qui témoigne du caractère totalitaire des régimes européens, singulièrement du français - n’est pacifique qu’en apparence, parce que dans le lot des aimables réfugiés politiques, économiques, sanitaires, climatiques etc, se sont glissés nombre d’adeptes du Djihâd, comme nul ne l’ignore depuis 2014 sq.
Curieusement, dans les deux grands États de la planète gouvernés par des hommes, des vrais, les immigrés sont fort peu nombreux et sont vite rentrés dans le rang après quelques attentats perpétrés au nom d’une divinité moyen-orientale, révérée en son temps par le crypto-islamique Barak-Hussein Obama.
Poutine et Trump savent que la force dicte le droit, selon les principes bien connus : dieu est du côté des gros bataillons (et si la divinité n’en a cure, du moins le succès est garanti par l’anéantissement de l’ennemi) & force doit toujours rester à la Loi.
En nos États décadents, des esprits évaporés glapissent sur les droits des minorités et inventent des lois loufoques sur l’inexistence des races humaines, sur la repentance pour avoir sorti des peuplades arriérées de la crasse, de la maladie et du travail inefficace, sur le droit au mariage pour tous les « genres » y compris les plus improbables, sur l’abolition de la peine de mort... sauf pour les fœtus, car sur ce point, on assassine par centaines de milliers chaque année en France macronienne – et c’est même remboursé SS !
Pendant que nous nous enfonçons une année après l’autre dans le déshonneur, les vrais hommes agissent... et ça marche fort bien !
La Russie redevient un grand pays industriel, où l’on s’équipe et favorise la consommation intérieure – ça change de l’ignominie communiste où seuls les nomenklaturistes n’étaient pas des pauvres. L’armée russe est redevenue la première de la planète, à égalité d’entraînement et de sophistication matérielle avec celle des USA. Néanmoins, la politique du grand Poutine est résolument pacifique, ce qui ne fait pas plaisir aux fous furieux qui veulent imposer leur impérialisme au nom de leur seul vrai dieu.
Aux USA, après les années Obama où les produits chinois avaient envahi la distribution US, la méthode Trump est un succès comme on ne peut guère en rêver dans la France macronienne... qui ne gagne pas ! Exportations et créations d’entreprises au zénith, chômage au nadir, importations maîtrisées, croissance économique réelle (et non pas soutenue par de grossiers artifices de calcul).
À toute époque, la véritable force a moins reposé sur le nombre des humains (après tout, l’Afrique – le boulet économique de la planète – a un poids démographique égal à 3,7 fois celui des USA : 1,22 milliard vs 330 millions) que sur la puissance de travail et l’inventivité, mais aussi sur la volonté du patron, sur sa détermination dans la prise de décisions et l’énergie avec laquelle il impose sa politique.
Poutine comme Trump agissent et gagnent en dépit des critiques, des crises de nerfs et des larmes (de crocodile) des manipulateurs des media. Le réaliste se reconnaît au fait qu’il n’est pas impressionné par la démagogie, même criarde, ni par les injures. Il agit et il gagne.
L’homme d’État – soit une rareté dans l’histoire humaine – est celui qui règle, au mieux des intérêts de sa Nation, une grave crise, généralement d’ordre mixte : économique et morale. En politique, seul est grand celui qui réussit à surmonter ce type de crise et crée les institutions destinées à éviter de nouvelles épreuves à son peuple.
Le contraste entre ce que nous fûmes, Européens d’Occident, et ce que nous sommes devenus n’est pas à notre honneur.
11:15 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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