Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

dimanche, 24 mai 2020

ÉLOGE DES FRONTIÈRES...

maxnewsworldfive074993-4761280.jpg

Franck Buleux Meta infos 

Dans les débats qui ont précédé à la période de confinement que nous vivons, la rhétorique politiquement correcte était assez simple, voire simpliste et répétée à l’envi sur tous les médias, en substance le virus n’a pas de frontières, alors il est inutile de fermer celles-ci.

Argument imparable car totalement absurde, comme si le virus avait une quelconque autonomie de déplacement.

Mais revenons-en aux frontières, au Limes, aux limites territoriales des pays. D’abord, à quoi servent-elles s’il n’y en a plus ? L’Union européenne (UE) a mis en place l’espace Schengen. Cet espace européen, qui inclut 22 États de l’Union et les 4 États de l’AELE (la Suisse, le Liechtenstein, la Norvège et l’Islande). On peut noter que parmi les micro-États européens dotés de souveraineté nationale, le Vatican, la République de Saint-Marin et Monaco ont mis en place cet accord, en raison des accords passés respectivement avec leurs voisins, l’Italie et la France, au sein desquels ils sont enclavés.

Cinq pays de l’UE n’ont donc pas ratifié cet accord : l’Irlande, la Bulgarie, Chypre, la Croatie et la Roumanie mais à court terme, seule l’Irlande n’a pas prévu d’intégrer ce marché de près de 500 millions d’habitants. Donc, l’avenir est à la disparition des frontières. C’est ainsi… [et l’on discutait déjà dans les couloirs moribonds de Bruxelles de l’élargissement de l’État mafieux albanais – note de la rédaction de Méta Infos]

Admettons-le et revenons-en à notre ennemi. Ainsi, nos médias assimilent la pollution radioactive de Tchernobyl au virus Covid-19. Et chacun de répéter, inlassablement, son refrain : il n’y a pas de frontières pour la pollution atmosphérique, donc il n’y a pas de frontière pour les virus…

Mais quelle ineptie à laquelle personne n’ose, ou ne daigne, répondre. Admettions que la pollution se propageant dans l’air ne subit pas les frontières territoriales. C’est un fait, mais personne ne remet en cause cette vérité, même si personne n’en a tenu compte en 1985. Cependant, les virus ne s’infiltrent pas dans l’atmosphère, ils ne voyagent pas de manière autonome, il leur faut un porteur, une espèce de cheval de Troie.

Car il n’est pas nécessaire d’être un savant pour comprendre qu’un virus doit avoir un média, si vous préférez. Une fake news ne se déplace pas seule, un média lui est nécessaire, comme toute information d’ailleurs, même vraie. Aussi, le virus doit se déplacer grâce à un être vivant, être humain ou animal.

Ici, les gouvernements mondialistes ont poussé des cris d’orfraie, des hourvaris à l’idée de contrôler, voire de fermer les frontières. Comprenons-nous, ce n’est pas parce que ces gens ne savent pas, c’est parce que ces gens ne veulent pas. Pour un Bobo progressiste, il est inconcevable qu’un individu ne puisse pas se déplacer, non pas à travers un canton ou un département, mais via le monde. Pour ces progressistes dont le monde est un terrain de jeux, Orly est comme un arrêt de bus pour un habitant de notre monde rural ou péri-urbain. Pour ces progressistes mondialisés, Charles-de-Gaulle est avant tout un aéroport. À ce sujet, testez d’ailleurs nos nouveaux arrivants, vous verrez la popularité aérienne de « Mon Général ». L’aéroport est plus connu que l’apport du gaullisme à la société française, à moins de penser à la négligence de cet apport… mais c’est un autre débat !

Les frontières sont faites pour définir, pour délimiter, pour distinguer. Quoi de mal à cela ? Le Covid-19 nous réapprend, pour ceux qui ouvrent les yeux, l’utilité des frontières.

Qu’en est-il aujourd’hui ? Les frontières sont fermées, Orly et Roissy – Charles-de-Gaulle ne jouent plus leur rôle d’« arrêts de bus » mondialisés. Et alors ?

« Nous sommes en guerre », nous a déclamé le Président. Mais être en guerre, c’est se protéger, c’est précisément la fermeture des frontières.

Hier encore, le 4 avril, un ennemi bien réel celui-là, migrant soudanais, abreuvé à l’islamisme militant et au fanatisme sacré, assassinait deux personnes et en blessait plusieurs autres à Romans-sur-Isère, dans la Drôme confinée. Ce Soudanais avait donc passé au moins une frontière, sans doute beaucoup plus pour rejoindre les bords de l’Isère.

Nos ancêtres délimitaient leur territoire, le plus souvent en fonction de la langue parlée ou des reliefs territoriaux.

Il serait temps de restaurer la réalité et l’identité de nos frontières nationales, seules protections face aux ennemis. Certains me répondront qu’il y a des ennemis intérieurs. Oui, c’est probable mais l’ennemi intérieur puisse sa force, sa haine à l’extérieur.

D’une Chine complètement étrangère à l’hygiène à un monde musulman qui convertit, hélas, nombre de nos jeunes pour les rendre ennemis de leur propre nation, l’origine de nos malheurs vient d’au-delà de nos frontières.

Sans doute le libéralisme politique et le progressisme ont le même but, la destruction des frontière, utile aux marchands et aux propagateurs de sociétés sans âme.

Si l’acte de Romans-sur-Isère n’émeut plus grand monde, si ce n’est les familles des victimes, Ciovid-19 arrive encore à le faire. Cette pandémie, du fait de la rapidité de la contagiosité du virus, peut nous permettre d’ouvrir les yeux.

Alors si on nous impose le masque, de grâce, pas sur les yeux !

Note complémentaire de la rédaction de Méta Infos :

À propos de Romans-sur-Isère, on aura remarqué deux choses : la célérité avec laquelle la nationalité du fanatique musulman et de son statut de « réfugié en attente » aura été déclarée dans les merdias qui pour une fois n’ont ps sorti l’excuse habituelle des « troubles psychiatriques » comme une sorte de changement de fusil d’épaule ? Et, quant à la situation épidémique en Seine – Saint-Denis et dans les quartiers dits « sensibles » comprenez « ethniques », l’absence en particulier de mise en application du couvre-feu ne traduirait-elle pas le refoulé d’un gouvernement nouvellement « raciste » dont certains membres souvent transfuges républicains auraient déclaré dans certains couloirs « bon débarras »? Enfin, quid de la couverture des 5 000 libérations dans les prisons ? Quid de la situation déjà catastrophique et inhumaine des hôpitaux psychiatriques ?

11:14 Publié dans Franck Buleux | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les commentaires sont fermés.