mardi, 03 décembre 2019
L’OTAN, il faut en sortir. Et vite !
22:54 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Les paradoxes d'Emmanuel Macron
Seul au monde, Emmanuel Macron ? Sur trois dossiers de politique étrangère majeurs, le président français a provoqué une onde de choc chez ses partenaires européens. Sur l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord (OTAN), tout d’abord, lorsqu’il a décrit l’organisation en « état de mort cérébrale » dans un entretien, début novembre, à The Economist. Sur le rapprochement avec la Russie, ensuite, en appelant à « repenser la relation stratégique » avec Moscou, confirmant ainsi un tournant amorcé dès cet été, lors de la réunion des ambassadeurs à Paris. Sur l’élargissement de l’Europe, enfin, la France a mis son veto à l’ouverture de négociations avec la Macédoine du Nord et l’Albanie, deux pays au centre de tous les trafics.
Voir la suite ICI
16:06 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
lundi, 02 décembre 2019
RAPPEL Dimanche 8 décembre : Fête du livre de Renaissance catholique
Plus d'informations cliquez là
16:15 Publié dans Livres, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Lancement du premier gazoduc reliant la Chine à la Russie
16:13 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Grève du 5, Black Blocs, Castaner : un policier dit tout haut ce que beaucoup pensent tout bas !
Interview exclusive d’un policier – sous couvert de l’anonymat – sur la grève du 5 décembre, l’attitude des syndicats, du ministre Castaner, les gilets jaunes, les Black Blocs.
À écouter absolument.
11:41 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Le Traité de Lisbonne fête ses 10 ans : le jour où la volonté des Français a été trahie
Retour sur l’événement le plus anti-démocratique de la Ve République
Le mode de fonctionnement de l’Union Européenne que nous connaissons actuellement repose en très grande partie sur ce traité, entré en vigueur le 1er décembre 2009. Suite au vote négatif du peuple français lors du référendum de 2005 au Traité établissant une constitution pour l’Europe (TECE), le nouveau Président Nicolas Sarkozy s’était empressé de faire ratifier, cette fois par le parlement et avec un large soutien de la gauche, le Traité de Lisbonne qui reprenait les points essentiels du précédent traité. Retour chronologique sur ces événements.
Le 29 mai 2005 se tenait ce qui reste à ce jour comme le dernier référendum organisé en France. La question posée était simple : “Pour ou contre l’établissement d’une constitution pour l’Europe ?”. Jusque tard dans la campagne (mars), les sondages prédisent une victoire assez large des partisans du traité. Les principaux partis de l’époque, de gauche comme de droite, le PS, les Verts, l’UDF et l’UMP se battent pour la victoire du «oui». Le Président Jacques Chirac, déjà fatigué, s’emploie tant bien que mal dans une émission sans contradicteur à répondre à un panel de français. Il tente de convaincre. Le débat peut apparaître biaisé, les Nonistes étant facilement qualifiés d’anti-européens, voire pire. Le jour du vote la participation est forte, proche des 70%. Le verdict tombe : les Français rejettent massivement le texte à plus de 54%.
Jacques Chirac n’a pas toujours été un européiste convaincu… Instant magique de lucidité !
Lire la suite ICI
11:30 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Colonel Corvez : «Les Américains ont utilisé Daech contre les talibans en Afghanistan»
Des combattants irréguliers, soutenus par la CIA, ont commis des atrocités dans leur combat contre les talibans en Afghanistan, accuse Human Rights Watch. Le colonel Alain Corvez, ancien conseiller du général commandant la FINUL (ci-dessous), confirme au micro du Désordre mondial que les États-Unis ont utilisé des membres de Daech contre les talibans.
11:15 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
PÈLERINAGE 2020: DÉCOUVEZ L'AFFICHE!
Voici l'affiche du prochain pèlerinage de Chartres des 30, 31 mai et 1er juin 2020. Les inscriptions seront ouvertes à partir du dimanche 5 avril (dimanche des Rameaux).

également sur Facebook et sur Twitter @ndchretiente
10:55 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Le 5, tous dans la rue !
Par Jarente de Senac
Si l’on part du principe que plus t’es petit, plus t’as une grande gueule, alors la manif du 5 décembre des syndicats répond de ce critère. Car voici belle lurette – et nul ne l’ignore – que les syndicats ne représentent plus grand-chose de ce monde des « travailleurs » si cher au grand Georges Marchais. Aujourd’hui leur pouvoir de nuisance s’exerce essentiellement dans l’administration, là où les fonctionnaires sont à l’abri du chômage. Je veux parler plus précisément des transports – SNCF, RATP – seuls susceptibles d’emmerder le maximum de travailleurs. Tel n’est pas le cas des hôpitaux évidemment dont le personnel se met en grève tout en travaillant. Un bel exemple d’abnégation qui ne risque pas de toucher le gréviste cégétiste de la SNCF. Là où l’on peut mesurer le degré de bêtise de ces syndicats, c’est leur incapacité à imaginer qu’un service gratuit des transports serait plus efficace et surtout plus populaire que la paralysie. Il faut bien dire, à leur décharge, qu’ils sont paralysés du cerveau.
Mais revenons au 5 décembre, où nos syndicats de nantis vont crier victoire, c’est que ce jour symbolique va en fait être l’expression du ras-le-bol de la France d’en bas contre la France d’en haut, celle des Gilets jaunes contre celle des bobos mondialisés du CAC 40, de ses troupes urbanisées, de ses patrons grassouillets et de tout son petit personnel parlementaire et quelques autres encore. Une sorte de rat des villes contre rat des champs. Car, dans cette histoire, les retraites ne sont qu’un prétexte vu que les populations concernées ne sont quasiment pas nées et que d’ici là, comme l’on dit, de l’eau aura coulé sous les ponts. Le 5, on sera donc en présence d’un pays dont la majorité des citoyens entend manifester contre la politique libérale menée par Macron et qui est en train de ruiner ceux-là même qui créent de la richesse au bénéfice de ceux qui en profitent et en tirent les bénéfices plus que grassement.
C’est donc plus une vision de notre avenir qui va animer tous ceux qui vont descendre dans la rue que nos tartignoles syndicalistes que l’Etat macronien – après bien d’autres d’ailleurs – va continuer de déplumer. Car, sur le fond, voici belle lurette que nos gouvernants ont fait tout et n’importe quoi avec ce fleuron des transports qu’était la SNCF. Dernière bêtise en date, d’avoir à obéir aux injonctions de Bruxelles nous obligeant à la privatiser en partie. Mais passons.
Donc, le 5 décembre, on a tout lieu d’espérer que ces Français qui font la France, descendront nombreux dans la rue pour manifester contre ceux qui nous exploitent sans rien donner en retour, ceux qui nous épuisent par leur irresponsabilité, ceux qui veulent éradiquer notre identité, nos modes de vie, nos coutumes au profit d’un monde standard mondialisé. De ce monde-là, on n’en veut pas.
10:28 Publié dans Jarente de Senac | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Le Parti de la France a tenu son quatrième congrès ce samedi 30 novembre à Paris.
02:03 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Une interprétation audacieuse du fascisme
Georges Feltin-Tracol
Patron du « Libre-Journal des Européens » un mardi sur quatre en semaine C de 21 h 30 à 23 h 00 à Radio Courtoisie, président – fondateur du Parti des Européens et animateur engagé sur YouTube, Thomas Ferrier étudie l’histoire du fascisme en Europe dans un ouvrage dense sur le fond et succinct (un peu trop ?) sur la forme.
Il intègre sous ce terme l’ensemble des mouvements politiques européennes entre 1918 et 1945, y compris le national-socialisme allemand. Il complète son (assez) courte étude par trois annexes sur les relations entre le paganisme et le national-socialisme, les symboles fascistes et le mésusage par l’hitlérisme du mot « Aryen ». Ainsi Thomas Ferrier observe-t-il que le fascisme « idéal » se manifeste en une profusion de fascismes historiques, car « ce qui modifie le fascisme idéal en un fascisme historique, c’est le contexte politique et le contexte national (p. 91) ».
Au-delà du socialisme
L’auteur apporte cependant un éclairage aujourd’hui largement occulté : « Le fascisme puise ses racines dans la tradition européenne, et a été l’aboutissement sous la forme d’une synthèse nouvelle de nombreux thèmes antérieurs (pp. 5 – 6). » Au risque de choquer une opinion publique moutonnière, il est patent que « la triade Machiavel – Voltaire – Nietzsche est un des fondements idéologiques du fascisme (p. 35) ». Il ajoute même que « le fascisme est un des héritiers de la Révolution française de 1789 (p. 29) ». Syncope générale au Grand Orient de France et chez Vincent Peillon !
De ce constat fort peu historiquement correct, il s’interroge sur la complexité originelle du national-socialisme allemand. Celui d’Adolf Hitler qui dirigea l’Allemagne une douzaine d’années associait un pangermanisme dément, un antisémitisme forcené et une slavophobie exacerbée. Héritier indirect des socialistes révolutionnaires français Auguste Chirac, Alphonse Toussenel et de Benoît Malon, « l’antisémitisme fasciste est essentiellement issue de la gauche, mais de celle du XIXe siècle (p. 19) ».
Thomas Ferrier avance par exemple que « le national-socialisme d’Hitler est un authentique mouvement socialiste et de gauche mais qui, pour des raisons politiques, a laissé partiellement son programme en suspens en attendant de pouvoir l’imposer intégralement (p. 73) ». Les premiers mois de l’après-Première Guerre mondiale demeurent d’ailleurs assez obscurs pour Adolf Hitler. Avant d’être retourné (ou de changer de camp au bon moment) et de devenir un officier de renseignement politique, le futur Führer « semble bien avoir brièvement fait partie de la SPD, la social-démocratie allemande, dans sa frange la plus révolutionnaire, proche de la USPD [NDLR – EM : les socialistes indépendants à l’origine du mouvement spartakiste]. En effet, il était selon toute vraisemblance garde rouge à Munich en 1918 et il aurait même assisté aux funérailles du dirigeant socialiste Kurt Eisner (p. 71) ».
Cette information renforce le parallélisme entre Adolf Hitler et Benito Mussolini dans leur formation initiale socialiste-révolutionnaire. Thomas Ferrier assume que sa « grille de lecture […] consiste à prendre au sérieux la dimension socialiste du fascisme (p. 5) ». « En tant que socialisme communautaire, le fascisme met l’accent sur l’intérêt général en même temps que sur l’identité propre à cette communauté (p. 25). » Joue ici la polysémie du vocable « communauté ». Le fascisme s’inscrit dans trois catégories de communautés éventuellement rivales : l’État, la race ou bien la priorité accordée à la question sociale, ce qui se traduit par le syndicalisme national. Toutefois, hors du fait national-syndicaliste, le fascisme demeure « également un nationalisme mais révolutionnaire(p. 14) ».
Thomas Ferrier évoque par conséquent un socialisme national idéal articulé autour d’un socialisme non marxiste et non collectiviste, d’un nationalisme ethnique revendiqué, d’une conception « res-publicaine » des institutions publiques, d’une démocratie autoritaire, directe et organique, de l’écologie radicale et d’une spiritualité païenne – polythéiste. Présenté ainsi, le socialisme national ou « le fascisme se distingue profondément de l’extrême droite. Celle-ci est cléricale, chauvine, réactionnaire et monarchiste, et s’oppose au nationalisme ethnique (p. 23) ». Pour preuve, le renversement du Duce en juillet 1943 par le Grand Conseil du fascisme avec l’aval du roi Victor-Emmanuel III et l’attentat raté de juillet 1944 du colonel von Stauffenberg contre le Führer. « La réaction, poursuit Thomas Ferrier, n’entend pas tolérer un 1789 fasciste (p. 83). »
Une réponse païenne
Bien mieux que les collectivistes, les anti-fascistes les plus véhéments demeurent les conservateurs, souvent fort religieux surgis du catholicisme. Ils se méfient avant tout de sa portée spirituelle. « Le fascisme met naturellement en avant le paganisme, celui du peuple auquel chaque parti fasciste s’adresse (p. 14). » Il détient une autre conception du monde. Si « vouloir sortir l’Europe de 1500 ans de christianisme était osé (p. 99) », l’auteur insiste sur l’essence spirituelle du fascisme qui ne relève pas du christianisme. « Le paganisme est perçu comme une religion républicaine et authentiquement européenne développant les vertus héroïques et guerrières, et compatible avec les autres éléments doctrinaux, notamment l’écologie et le nationalisme (pp. 88 – 89). » Tout cet arrière-plan est ignoré quand on accuse aujourd’hui quelqu’un d’être fasciste. « À peine mort, souligne encore l’auteur, son nom a servi à désigner tout et n’importe quoi (p. 6). »
En Européen convaincu, Thomas Ferrier signale enfin que « le fascisme est également favorable à la formation d’une Nouvelle Europe dans une perspective aryaniste (p. 15) ». Or cette dernière ne se restreint pas au seul paganisme. L’aryanisme a pu être chrétien avec la thèse chère à certains Völkischen du Christ aryen puisque la racine Gal indique la présence de tribus celtiques – gauloises en Gaule, au Pays de Galles, en Galilée, en Galicie, en Galatie et en Galice.
« La renaissance de l’Europe aurait-elle besoin que le fascisme, même dissimulé sous un autre nom, aboutissement d’une idéologie européenne énergique qui plonge ses racines dans l’Antiquité européenne la plus ancienne, soit réhabilité quant à ses valeurs, sans que cela n’implique le retour à une conception totalitaire et criminogène, en somme compatible avec la démocratie ? (pp. 97 – 98). » Thomas Ferrier le pense. Il mentionne par exemple une multitude de formations fascistes en Europe dans les décennies 20, 30 et 40 du XXe siècle. La Pologne de l’Entre-deux-guerres fut riche en mouvements fascistes divers et variés. En Grande-Bretagne, avant l’arrivée des « Chemises noires » de Sir Oswald Mosley en 1932 existait dès 1916 (et non 1918 !) un National Socialist Party de l’antisémite Henry Mayers Hyndman (1842 – 1921). L’ouvrage aurait mérité de mieux entrer dans les détails afin d’examiner leurs différences programmatiques tangibles.
Signalons enfin un oubli majeur et deux erreurs relevés dans Fascismes d’Europe. Thomas Ferrier n’évoque jamais Qu’est-ce que le fascisme ? de Maurice Bardèche et sa conception anhistorique du fascisme. Il est en revanche inexact, d’une part, de parler d’une « Internationale » fasciste dès 1946. Le Congrès fondateur du Mouvement social européen se déroule à Malmö en mai 1951. L’erreur plus manifeste concerne « Vilfredo Pareto, philosophe socialiste (p. 41) ». L’économiste et sociologue italien a certes écrit Les systèmes socialistes pour les condamner, lui qui professait volontiers le libéralisme.
Fascismes d’Europe de Thomas Ferrier n’en demeure pas moins une belle introduction au « croque-mitaine » des idées politiques du siècle dernier. Il risque de ne pas satisfaire les connaisseurs pointus du sujet. Néanmoins, grâce à une vraie aptitude pédagogique, il est facile et finalement plaisant de plonger dans cette histoire condensée des fascismes européens.
• Thomas Ferrier, Fascismes d’Europe. Origine, idéologie, histoire…, Les Bouquins de Synthèse nationale, coll. « Idées », 2019, 121 p., 18 €. cliquez ici
RAPPEL :
Pour le commander cliquez là
02:02 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
dimanche, 01 décembre 2019
Pourquoi Jean-Paul Delevoye a tort
Le billet de Patrick Parment
Alors médiateur de la République (2004-2011), Jean-Paul Delevoye avait commis en 2009 un rapport qui dressait un constat lucide de la société française. Il en dénonçait déjà les fractures anticipant en cela le mouvement des Gilets jaunes. Les politiques d’alors avaient fait la sourde oreille tout en louant la qualité du travail.
Issu des rangs du RPR, ce directeur de sociétés agroalimentaires, va basculer en politique, s’inscrivant dans ce que certains appellent le gaullisme social. Maire de Bapaume (Pas-de-Calais), il va effectuer le cursus obligé du parfait élu : conseiller général, maire, député, président de l’Association des maires de France, sénateur et enfin ministre de Jacques Chirac qui a largement contribué à son ascension. En 2004 son destin va basculer en devenant médiateur de la République, se libérant de ses attaches UMP pour rejoindre Emmanuel Macron. Il faut bien dire que la droite qui se réclame de De Gaule, se barre en sucette sur fond de massacres organisés. C’est la Saint-Barthélémy tous les jours rue de Vaugirard avec au programme Copé, Sarko, Fillon pour finir en Wauquiez, j’en passe et des meilleurs. Delevoye va faire son trou chez Macron qui nomme ce spécialiste du social à la tête de la réforme des retraites.
En bon libéral qu’il est et selon une implacable logique comptable, il balance soudain qu’il faudra « 50 millions de population étrangère en Europe en 2050 » pour assurer l’avenir de nos retraites. Il a mathématiquement raison mais culturellement tort. La fausse droite monte au créneau selon une pure logique politicarde vu que c’est Chirac qui a ouvert le robinet de l’immigration. Que cette droite vérolée n’a eu de cesse de condamner Jean-Marie Le Pen pour avoir justement dénoncé très tôt les dangers de l’immigration et avec lui une large majorité de Français. La classe politique, dans son ensemble, se voile la face, baisse son froc et joue même les collabos tant elle est morte de trouille. C’est l’une des raisons pour laquelle le Front national n’a jamais baissé mais au contraire constamment progressé aux élections. Sans faire bouger d’un cil, les racailles cornaqués franc-macs Chirac, Juppé et autres imbéciles de gauche du même acabit.
Qu’on le veuille ou non, il y a en effet de moins en moins d’actifs dans notre pays et en Europe et de plus en plus de retraités. Fatalement, il arrive un moment où ça coince dans les finances de l’Etat, surtout quand ses énarques n’ont cessé de détruire depuis des décennies nos emplois industriels. L’idée de faire appel à une main d’œuvre étrangère est donc la solution de gens qui n’en ont pas. Il y a en France près de 10 millions d’immigrés et, jusqu’à preuve du contraire, ils n’alimentent pas les caisses de la Sécu ni celle des retraites suffisamment pour rétablir l’équilibre des comptes. Bien au contraire, l’argent qu’investissent les gouvernements successifs dans l’immigration sous forme d’aides sociales diverses, obèrent d’autant les finances de cette France gauloise qui bosse et qui en a marre comme l’attestent les Gilets jaunes. Sans oublier ce patronat irresponsable qui réclame son lot d’esclaves migrants payés avec un lance-pierre. Manière de faire pression sur les syndicats et surtout l’emploi, donc le gouvernement.
Des emplois qualifiés, les immigrés, dans leur immense majorité, sont incapables de les assumer. Parce que ce n’est pas leur culture et que la religion islamique, de surcroît, se révèle incapacitante dans nos sociétés. Il serait souhaitable d’ailleurs que les analyses et autres statistiques du monde du travail se penchent sur ses composantes ethniques. On aurait des surprises. Les faits révèlent que de nombreux patrons ne veulent pas entendre parler d’immigrés dans leurs entreprises. Pas ceux dont les emplois sont peu qualifiés comme dans le BTP ou la restauration. On a constaté récemment qu’au sein même de la police, l’islam posait problème comme dans le monde hospitalier d’ailleurs. Ce n’est pas la race qui fait la différence, c’est bien la culture. Il n’est que de constater la réussite des Japonais, des Chinois et des Indiens dans le domaine scientifique notamment pour s’en convaincre.
Pour toutes ces raisons – et bien d’autres - qui ne relèvent pas d’un odieux colonialisme ou d’une atteinte aux droits de l’homme, mais bien de la culture, monsieur Delevoye ne dit rien. Culturellement parlant, sa déclaration est un non-sens. Si elle devait avoir du sens, cela voudrait dire que les Européens ont perdu l’essence même de ce qu’ils ont d’unique : leur âme.
03:03 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
samedi, 30 novembre 2019
Thomas Joly devient le nouveau président du Parti de la France
20:52 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine
20:26 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Journal du chaos
Pour télécharger, cliquez ICI
01:44 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
vendredi, 29 novembre 2019
L'émission "Synthèse" sur Radio Libertés avec Stéphanie Bignon, présidente de Terre et famille
14:37 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Colloque à Paris le 30 novembre "La France et l'islam: état des lieux"
13:00 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
PIQUETS DE MOBILISATION DANS TOUTE LA FRANCE CE WEEK-END
Albéric Dumont l’avait annoncé lors de la manifestation du 6 octobre : si un dialogue ne s’ouvrait pas avec le Président de la République, si les implications et conséquences de la PMA sans père n’étaient pas enfin prises en compte, des actions d’ampleur toujours plus grandes auraient lieu le week-end du 30 novembre et le dimanche 19 janvier.
Depuis le 6 octobre, le silence est complet : pas un commentaire sur le projet de loi bioéthique ni sur l’immense opposition qui s’est exprimée. Sans doute un silence embarrassé face au succès de la manifestation, mais aussi un silence contradictoire : même dans leurs longues interviews au JDD – des 6 octobre et 10 novembre – le Premier ministre Edouard Philippe et la ministre de la Santé Agnès Buzyn ne disent pas un mot de la PMA alors qu’ils répondent à des questions sur l’ensemble des réformes urgentes pour la France. Si le projet de loi bioéthique est si peu important à leurs yeux, si eux-mêmes considèrent que ce n’est pas une réforme nécessaire, raisons de plus pour retirer ce projet de loi.
Comme prévu donc, les dates annoncées seront marquées par des actions d’ampleur auxquelles Marchons Enfants vous invite à participer :
- Le week-end du 30 novembre-1er décembre, des piquets de mobilisation pour les droits de l’enfant seront installés sur tout le territoire.
- Le 19 janvier, une manifestation nationale est prévue à Paris.
Pour ce week-end du 30 novembre, vous trouverez sur la carte en ligne ci-contre tous les départements concernés par des piquets. Vous trouverez dans les jours à venir les lieux de ces piquets de mobilisation : grâce à la carte interactive, vous pouvez trouver le piquet le plus proche de vous, ainsi que l’adresse mail du responsable.
Ces piquets, qui concrétiseront partout en France l’opposition au projet de loi bioéthique et la volonté de respecter l’être humain, se situeront sur des lieux d’échanges et de passages. Vous serez accueilli par des équipes motivées, prêtes à vous informer et à dialoguer avec vous : venez rencontrer, soutenir les équipes, et pourquoi pas les rejoindre et les aider pour ce week-end exceptionnel.
Ces piquets permettront bien sûr de s’adresser directement aux Français, de les alerter pour ceux qui ne sont pas encore au courant du contenu du projet de loi, de les inviter à signer la pétition « Papa t’es où ? » et de les appeler à se joindre à la mobilisation nationale du 19 janvier.
Et justement, si ce n’est pas encore fait, pensez à signer la pétition en ligne à l’attention du Président de la République. Mais si vous préférez la signer dans sa version papier, vous pourrez le faire sur les piquets de mobilisation du 30 novembre-1er décembre.
Source LMPT
11:34 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Bachar el-Assad à Paris Match : « Daech continue à être soutenu par l’Occident ! »
Nicolas Gauthier cliquez là
Alors que le Proche et le Moyen-Orient semblent retrouver un semblant de calme trompeur, Daech ayant largement perdu le terrain qu’on sait, le président syrien Bachar el-Assad sort de son silence en accordant un long entretien à notre confrère Paris Match.
On peut penser ce que bon semble de l’homme fort de Damas. Il est encore licite de demeurer sceptique sur la nature profonde du parti Baas, cette tentative, à la fois nationaliste et socialiste, de fédérer les Arabes au nom du panarabisme et de la laïcité. En effet, en cette région du monde ayant vu la naissance des trois religions abrahamiques révélées, la laïcité à la française n’est que vue de l’esprit, tout comme son socialisme national n’est jamais rien d’autre que concept d’importation européenne. Quant à l’arabisme, il est à mettre en regard avec la francophonie : tous ceux qui parlent français ne sont pas forcément français, à l’instar de ces arabophones étant loin d’être arabes.
Il n’empêche que la parole de la bête noire des médias occidentaux mérite d’être écoutée. Surtout quand Bachar el-Assad n’hésite pas à mettre les pieds dans le plat de tajine : « Le terrorisme est toujours là dans les régions du Nord syrien. Ce qui est plus regrettable, c’est qu’il bénéficie toujours de soutiens de la part de la Turquie et des pays occidentaux, les USA, la Grande-Bretagne, et notamment la France. »
Il est un fait avéré que, depuis le début du conflit afghan, en 1979, le djihadisme de combat n’aurait pu voir le jour sans l’appui militaire américain, les financements saoudiens et la caution théologique d’oulémas égyptiens prêts à vendre leur science islamique au plus offrant. Quant à la France ? Le président syrien n’a pas tort quand il rappelle : « Pourquoi les gouvernements français combattent-ils Daech, alors qu’ils soutiennent Al-Nosra ? Les deux sont des terroristes ! » Il est vrai que, le Al-Nosra n’étant jamais que le dernier épigone en date d’Al-Qaïda, nous ne sommes pas tout à fait dans le registre d’une opposition « démocratique » estampillée par le grand géopoliticien qu’on sait : sa seigneurie Bernard-Henri Lévy.
Le même flou plus ou moins artistique est tout aussi vrai pour les factions kurdes, un jour « terroristes » et l’autre non, un soir tenues pour « humanistes » et l’autre pas. Flou que Bachar el-Assad dénonce d’ailleurs en ces termes, à propos de la question du reporter spécialisé en poids des mots et choc des photos, Régis Le Sommier, expliquant que « les Français sont venus en appui des Kurdes qui combattaient Daech » : « Vous pensez franchement que nous pouvons envoyer des forces syriennes en France combattre le terrorisme sans y être invités par le gouvernement français ? »
Et c’est là qu’on en arrive au fond du problème : ces nations occidentales se voulant garantes du droit international et qui ne cessent de le violer au gré de leurs intérêts fluctuants. Intervenir dans les pays du « tiers-monde », c’est de l’humanitaire ; l’inverse, de l’ingérence… Ce à quoi le président syrien a beau jeu de répondre : « Bush [le père comme le fils, NDLR] a tué un million et demi d’Irakiens derrière le grand slogan de la démocratie. Sarkozy a contribué au meurtre des centaines de milliers de Libyens, en se cachant derrière celui de la liberté pour le peuple libyen. »
Et puis, il y a le problème qui taraude toutes les capitales du Vieux Monde : quid des djihadistes, européens de souche ou de branche, partis là-bas faire la guerre ? Sur la question, la position de Damas est des plus limpides : « Tout terroriste qui se trouve dans les régions contrôlées par les forces syriennes sera soumis à la loi syrienne. Ils seront donc traduits en justice devant les tribunaux spécialisés en matière de terrorisme. » C’est dire si on ne donne pas cher de leur peau ; mais tels sont aussi les risques du métier.
En revanche, Bachar el-Assad en profite pour tacler son homologue d’Ankara : « Erdoğan tente de faire chanter l’Europe. Quelqu’un qui se respecte ne parle pas de cette manière. […] Quant au fait de sortir de prison quelqu’un que vous savez être un terroriste et de le renvoyer chez lui pour qu’il tue des civils, c’est immoral. » On ne le lui fait pas dire. Et surtout pas aux europhiles béats qui se roulent par terre afin que la Turquie intègre une Europe n’ayant pourtant pas besoin de ça.
En attendant, ça fait un peu tout drôle d’entendre un président s’exprimer comme un président. En France, nous n’y sommes guère habitués.
11:11 Publié dans Revue de presse, Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Dhimmitude : tout le monde ne se laisse pas faire !
Philippe Randa
Lors de sa revue de presse le lundi 18 novembre, la journaliste Amandine Begot sur RTL a dû faire sursauter plus d’un sourcilleux garde-chiourme de la Bien-pensance lorsque celle-ci a raconté la monté des incivilités en France… Dans le temps, les incivilités expliqua-t-elle, c’était surtout les week-ends, de la part de quidams en fort état d’ébriété. Mais aujourd’hui, c’est partout et à tout bout de champs et par forcément sous l’effet de l’alcool. On crie, on menace pour un oui ou pour un non, pour un regard ou un mot mal interprété, ou encore pour… un refus de dhimmitude !
Amandine Begot relata le témoignage d’un homme qui attendait son tour à une caisse de supermarché. Une « femme voilée » lui demanda de lui céder sa place. Il refusa parce qu’il était pressé d’aller chercher à temps ses enfants à l’école… Hurlements de la femme voilée à qui il refusait d’obéir et qui l’a poursuivi de ses insultes jusqu’à sa voiture, le traitant de… raciste ! Ben voyons…
Une scène qui vous en rappelle une autre ? Beaucoup d’autres ?
Ce qui est plus étonnant, c’est que ce triste – et de plus en plus courant – fait-divers ait été relaté à une heure de grande écoute (juste avant Laurent Gerra). Depuis des décennies, les journalistes avaient appris à taire l’origine des voyous ou autres faiseurs de troubles, terrorisés à l’idée d’être accusé par les associations auto-proclamées anti-racistes de « faire le jeu de l’extrême droite. »
Comment expliquer un tel changement d’attitude ? Une telle libération de la parole ? Un tel retour à une information libre et honnête sur « la première radio de France » comme RTL aime tant à le rappeler ?
Tout change pour que rien ne change, dit-on habituellement, mais est-ce toujours exact ? Ne devra-t-on pas dire désormais « Tout change parce que ça a trop changé » ?
Ecoutez les émissions cliquez ici
08:53 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
jeudi, 28 novembre 2019
Redoutant «que Julian Assange puisse mourir en prison», 60 médecins internationaux lancent l'alerte
Alors que le lanceur d’alerte est actuellement détenu à Londres et risque l’extradition vers les États-Unis, soixante médecins ont publié une lettre ouverte alertant sur son état de santé très préoccupant. Ils appellent les autorités britanniques à réagir.
Dans une lettre ouverte publiée ce 25 novembre, plus de soixante médecins, en provenance de divers pays mais en majorité britanniques, ont attesté leurs profondes inquiétudes sur l’état de santé du fondateur de WikiLeaks, Julian Assange. Actuellement détenu dans la prison de haute sécurité de Belmarsh, dans le sud de Londres, le lanceur d’alerte a vécu reclus dans une pièce exiguë aménagée en studio, au sein de l’ambassade de l’Équateur à Londres, du 19 juin 2012 au 11 avril 2019.
Julian Assange « désormais en danger »
« Nous écrivons cette lettre ouverte, en tant que médecins, pour exprimer notre grave préoccupation sur l’état de santé physique et mental de Julian Assange », débute la missive écrite par ces professionnels du corps médical et adressée à la ministre britannique de l’Intérieur, Priti Patel et à Diane Abbott, chargée des mêmes questions au sein du Parti travailliste, principale formation d’opposition en Angleterre.
Les signataires de ce courrier poursuivent en exprimant leur « sérieuse inquiétude collective » tout en souhaitant « attirer l’attention de l’opinion publique et du monde sur cette situation grave ». « Nous sommes d’avis que M. Assange a besoin d’urgence d’une évaluation médicale de son état de santé physique et psychologique », témoignent ensuite les soixante médecins, parmi lesquelles figurent des Américains, des Australiens, ou encore des Suédois.
Ces-derniers suggèrent même que le fondateur de WikiLeaks devrait être transféré dans un hôpital doté de personnel qualifié afin d’y recevoir les soins adéquats. « [Sans cela] nous redoutons vraiment, sur la base des éléments actuellement disponibles, que Julian Assange puisse mourir en prison », alertent-ils.
Nils Melzer, rapporteur spécial de l’Organisation des Nations unies (ONU) sur la torture, avait déjà exprimé ses craintes, début novembre, en affirmant que la vie de Julian Assange était « désormais en danger ».
Il avait alors précisé que de « nouvelles informations médicales transmises par plusieurs sources fiables [affirmaient] que la santé de Julian Assange [était] entrée dans un cercle vicieux d’anxiété, de stress et d’impuissance, typique des personnes exposées à un isolement prolongé et à un arbitraire constant ».
Une peine encourue allant jusqu’à 175 ans d’emprisonnement
Actuellement détenu à Londres, le lanceur d’alerte risque l’extradition vers Washington. Il encourt une peine allant jusqu’à 175 ans d’emprisonnement aux États-Unis, qui lui reprochent d’avoir mis en danger certaines de leurs sources au moment de la publication, en 2010, de 250 000 câbles diplomatiques, et d’environ 500 000 documents confidentiels portant sur les activités de l’armée américaine en Irak et en Afghanistan.
Sorti blanchi par le parquet de Suède le 19 novembre dans le cadre d’une accusation pour viol, une audience prévue en février 2020 sur une éventuelle extradition vers les États-Unis attend désormais Julian Assange. Le lanceur d’alerte fait actuellement face à 18 chefs d’accusation.
Source: RT France
18:57 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Attaque "antifas" à Rennes : réaction du Parti de la France
Soutien aux étudiants du journal "L'étudiant libre" victimes d'une violente attaque des antifas lors de la réunion qu'ils tenaient mercredi soir à Rennes.
Une fois de plus la vermine gauchiste, auxiliaire d'un Système qu'elle n'a jamais cessé de servir, a accompli ses basses œuvres.
Espérons que les jeunes conservateurs agressés dont certains ont été sérieusement blessés auront ainsi compris que l'engagement politique national n'était pas un simple échange intellectuel entre "gentlemen" et ne se réduisait pas au seul champ du "méta".
17:54 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Angers, vendredi 13 décembre : Bruno Gollnisch à l'Alvarium
17:48 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
TOUS UNIS LE 5 DECEMBRE POUR LA DEFENSE DES DROITS « ZAKIS », DES PRIVILEGES CATEGORIELS ET POUR LE MAINTIEN DES INEGALITES ?
Pieter Kerstens
Quand un pays comme la France accumule les déficits budgétaires année après année et une dette de 2.400 milliards d’euros, on peut quand même se poser la question de savoir qui va payer l’addition.
Ce poids financier réel sera supporté par nos enfants et petits enfants durant leurs vies professionnelles et handicapera lourdement le développement de l’activité économique durant des décennies.
Le docteur Micron n’est pas mon préféré, mais certains de ses constats relèvent du bon sens quand il déclare « qu’il faut traverser la rue pour trouver du boulot », que dans une gare « certains ne sont rien » ou encore que dans un abattoir « certaines ouvrières sont des illettrées », phrases qu’il faut replacer dans leur contexte, mais qui sont des réalités. Et qui pourrait contester que parmi les 6 millions de chômeurs indemnisés, des centaines de milliers parasitent le système au détriment de ceux qui en ont le plus besoin ?
C’est facile d’être généreux avec l’argent des autres.
Depuis fort longtemps les gouvernements successifs n’ont pas su, pas voulu ou refusé d’appliquer les réformes structurelles indispensables à l’assainissement des finances publiques. Il est indispensable et urgent de montrer maintenant un réel courage politique face au chaos qui règne dans l’Hexagone.
Je ne parle pas ici des régimes « autonomes » gérés en bon père de famille depuis fort longtemps, ni des régimes complémentaires destinés à améliorer les pensions futures, mais bien des régimes « spéciaux », privilèges de certaines castes et propriétés des syndicats, dont par ailleurs les prérogatives devraient être revues.
En outre, il serait souhaitable de se pencher efficacement sur la gestion des deniers publics dans toutes les administrations et dans tous les secteurs, car là aussi existe un gaspillage phénoménal.
Déjà dans les années 1980, l’Etat avait puisé dans le régime général des retraites du privé pour boucher le trou des retraites des fonctionnaires. Années après année, l’armada œuvrant dans les divers secteurs de la Fonction Publique est responsable de l’hémorragie financière qui creuse l’abîme des finances publiques. C’est pourtant une réalité qu’on passe sous silence que les actifs n’arrivent plus à payer les retraites des agents de l’Etat, que ce soit au niveau national, régional, départemental, municipal et dans les entreprises publiques.
Quand on voit que seuls 48% des foyers fiscaux payent des impôts sur le revenu, il est bien temps de réduire les dépenses de la France et de tenir un langage de vérité en dehors de toute démagogie ou de discours clientélistes.
Peut-on effectivement maintenir un système de régimes « spéciaux » avec des départs à la retraite à 55 ans et une pension moyenne de 3.500 euros par mois comme à la RATP ? Et pour la SNCF une retraite à 57 ans et 2.750 euros par mois ? Accepter qu’un ancien fonctionnaire d’un service culturel, actuellement « Gilet Jaune », bénéficie depuis plus de 10 ans d’une mise à disposition avec une indemnité de 2.600 euros par mois ?
OUI, en France, 80% de la population bénéficie des largesses de l’Etat Providence et les 15% des plus défavorisés n’en voie pas les attraits, ni les 5% des plus nantis qui n’en n’ont nul besoin.
Ce sont effectivement les classes moyennes qui en supportent les inconvénients financiers, sous forme de taxes, d’impôts divers et de charges « sociales » plus nombreux depuis 40 ans.
Et pour les indépendants, les agriculteurs ou les petits commerçants qui ne cessent de rouspéter, personne ne s’avise de leur demander combien d’argent « noir » ils ont accumulé au fil de leurs années d’activité afin de se constituer un « bas de laine » (sous diverses formes) en vue de leurs années de retraite. Chacun d’entre nous en connait plusieurs qui font preuve de modestie.
Travailler plus pour gagner plus ?
Le devoir de mémoire nous oblige à se rappeler que l’allongement de l’espérance de vie a été porté de 63 ans en 1948 à 77 ans en 2017, soit 14 années de plus en moyenne en 70 ans. Mais durant cette période, l’âge de la retraite avait été diminué de 65 à 60 ans en 1981, par François Mitterrand, par pure démagogie et électoralisme, alors même que le chômage allait en augmentant et diminuait par conséquence le nombre des cotisants ! Cet écart d’une retraite plus longue (quasi 20 années) est bien sûr le facteur prépondérant du déficit des régimes de retraite, tous secteurs confondus.
Le fait que la ministre Aubry ait imposé une durée hebdomadaire du travail à 35 heures n’a pas non plus amélioré la compétitivité de notre économie, déjà handicapée par des règlements plus idéologiques que fondés sur l’efficacité, et ce, au titre d’un principe de précaution instauré dans divers domaines industriels ou commerciaux.
L’évolution de la démographie en France comme dans la plupart des pays européens, avait donné lieu en 2000 à un rapport d’une commission de l’ONU, présidée par M. Jamie, qui préconisait une immigration extra-européenne de 150 millions d’individus afin de pouvoir suppléer au manque de financement des retraites pour les divers pays de l’Union Européenne. Tous ces migrants auraient-ils été (ou sont-ils) des travailleurs cotisants aux régimes sociaux des retraites ? L’exemple de l’Allemagne, qui avait accepté 1.500.000 nouveaux immigrés
en 2015, montre à l’évidence que 70% de ceux-ci ne répondait en aucune façon aux critères de réfugiés, et que seul à peine 30% ont été intégré au marché du travail !
Hormis le fait de combler le gouffre financier des retraites futures par les contribuables, comme c’est le cas actuellement, il devrait être envisageable de pouvoir adopter des mesures structurelles :
- Ramener l’âge de la retraite, comme avant 1981, à 65 ans pour tous.
- Exiger au minimum 160 trimestres de cotisation pour une pension à 100%
- Augmenter le taux de cotisation retraite pour tous les salariés, dans le public comme dans le privé.
- Diminuer le montant des retraites au-delà des 5.000,00€ par mois.
- Octroyer un bonus de 5% par an pour ceux qui choisissent de partir à la retraite après 65 ans.
- Pour ceux qui le désirent, départ anticipé à la retraite avant 65 ans avec un malus de 5% par an.
- Pour les mères de famille, bonus de 2 ans par enfant, par carrière d’au moins 20 années.
Afin d’augmenter les recettes de l’Etat, améliorer et augmenter la répression des fraudes.
Il n’est plus un secret pour personne, que 600 milliards d’euros appartenant à des résidents français dorment toujours dans les paradis fiscaux. Que faire alors pour exiger leur rapatriement ?
Et tous les ans, les fraudeurs du fisc (argent « noir » liés aux divers trafics, fraude à la TVA, fausses factures et blanchiment, omissions volontaires, etc..) volent plus de 60 milliards au budget de l’Etat.
En outre, différents rapports récents ont mis à jour des fraudes sociales et administratives (usurpation d’identité, fausse déclaration, escroquerie et faux en écriture) qui s’élèvent au minimum à 14 milliards d’euros tous les ans, creusant le déficit de la Sécurité Sociale.
Pour les fraudeurs viscéraux et invétérés il est indispensable que la Justice se montre plus ferme, prononce plus de peines de prison effectives et mette le patrimoine des condamnés sous séquestre.
Ces divers « manque à gagner » pourraient aussi aider à l’équilibre des finances publiques et en conséquence diminuer d’une manière significative la dette publique.
Il est vrai que le droit de grève est reconnu, mais la liberté du travail doit primer sur toute autre considération !
17:24 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens, Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Strasbourg : LE "NOUVEAU DÉPART" DU PARLEMENT EUROPÉEN C'EST L'HORREUR ABSOLUE
09:20 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Macron ou le triomphe de la destructrice pensée néolibérale
Par Johann Chapoutot*
Macron a une signification historique réelle : il est l’artisan zélé du néolibéralisme dont il veut assumer la règne en France. Sa « révolution » est l’introduction d’un programme néolibéral trop longtemps retardé. ( …) Le moment néolibéral fut inauguré en 1979, avec la victoire de Margaret Thatcher en Grande-Bretagne, puis celle de Reagan aux Etats-Unis en 1981. Après la tentative chiraquienne, celle de 1986, et malgré les accommodements de la «gauche» dite «de gouvernement», la France a du retard ! La logique purement comptable et rentable n’a été introduite à l’hôpital qu’en 1995, avec la tarification à l’acte, puis en 2002, avec les «indicateurs de performance» dans la police, grâce à Sarkozy, avant d’arriver à l’université en 2007, avec Pécresse. L’«efficacité» peut désormais être évaluée – en burn out, en blessures à vif et en morts. Education, santé, police : la «pensée complexe» du génie du Touquet sape et détruit ces trois piliers de la nation. Avec les drames que nous vivons, cette «pensée» apparaît pour ce qu’elle est : bête et méchante.
(*) Historien, professeur d’histoire à la Sorbonne
Libé 28/11/2019
03:39 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
mercredi, 27 novembre 2019
JEUDI 28 NOVEMBRE, AU COURS DE L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR RADIO LIBERTÉS, STÉPHANIE BIGNON, PRÉSIDENTE DE TERRE ET FAMILLE, NOUS PARLERA DE La Défense DE LA RURALITÉ
LES PRÉCÉDENTES ÉMISSIONS CLIQUEZ ICI
20:27 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Lucien Cerise participera aux Assises de la Dissidence française
19:18 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Le neuvième album CD des Brigandes, "Là-Haut", vient de sortir
Le commander cliquez ici
Les Brigandes aux BBR de Synthèse nationale...
C'était le 13 octobre 2019 à Rungis.
15:31 Publié dans CD | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Appel au soutien aux Parisiens... ce vendredi soir pour sauver Présent
14:33 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |