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mardi, 14 mai 2019

Marion Sigaut : L’incendie de Notre-Dame, à qui profite le crime ?

 
Discours de Marion Sigaut, historienne, au défilé en hommage à Sainte Jeanne d’Arc organisé par Civitas. A Paris, le dimanche 12 mai 2019.

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Question sur notre présence en Afrique

Le billet de Patrick Parment

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La mort de deux soldats français en Afrique pose la question de savoir ce que nous faisons sur ce continent et surtout qu’ambitionnons-nous ? Il y a des restes de la Françafrique me direz-vous, correspondant à une zone d’influence. Mais est-ce toujours le cas à l’heure où le continent fait l’objet des ambitions des Chinois et des Américains qui se livrent une sourde bataille.

Il est bien fini le temps que l’on a appelé colonial et qui consistait à apporter les bienfaits de notre civilisation en pacifiant les rapports entre les ethnies, en les dotant d’infrastructures diverses (routes, ponts, bâtiments) et surtout à mettre en place un système de santé - n’en déplaise aux tenants d’une chimérique « décolonisation » - et non à les dépouiller de leurs ressources, vu qu’à l’époque, il n’en était guère question. La grande erreur de la colonisation a été d’avoir dressé une géographie des frontières qui ne tenait pas compte de l’essence même de la réalité africaine, l’appartenance ethnique. Or, cette réalité d’hier est aussi celle d’aujourd’hui. Il est d’autres fractures, religieuses celles-là, entre chrétiens et musulmans par exemple. On retrouve en général les premiers dans l’orbite des pouvoirs, ce qui ne manque pas d’engendrer des rancoeurs.

Tout cela pour dire que dans ce que l’on a appelé le colonialisme, il y avait avant tout de l’humain avec ses vertus et ses défauts. Ce n’est plus le cas dans le cadre de la Françafrique qui est devenu un concept purement économique. Ce n’est plus le cas aujourd’hui où tous les protagonistes, occidentaux ou chinois, n’ont d’autre motivation que l’appropriation des ressources dont le continent est riche : pétrole, uranium, métaux rares, etc.

C’est triste à dire, mais tous les efforts consentis pour faire décoller l’Afrique n’ont pas donné de grands résultats. La grande erreur, sans doute, est d’avoir greffé des concepts occidentaux comme la démocratie ou les droits de l’homme sur des populations pour qui cela n’a aucun sens. Egalité, fraternité, parité, liberté, n’ont pas la même signification en Afrique. Et encore moins le rapport au temps, historique en Occident, ahistorique (au sens splenglérien du terme), en Afrique. Tout l’argent versé (et tous les Etats ne sont pas pauvres) n’a bien souvent servi que les intérêts de la caste au pouvoir et nourri leurs comptes en Suisse. Le mot répartition n’a semble-t-il guère de sens ici. Même un esprit éclairé comme Houphouët-Boigny a servi ses intérêts et ceux de son clan comme en témoigne la surréaliste cathédrale de Yamoussoukro. On a laissé des fous furieux ramener leur pays à l’âge de pierre comme c’est le cas au Zimbabwé, comme c’est le cas en Afrique du Sud avec l’ANC au pouvoir qui est en train d’appauvrir à grande vitesse ce qui était hier encore le pays le plus prospère d’Afrique. La comparaison entre le niveau de vie des Noirs hier et celui d’aujourd’hui, l’atteste malheureusement.

Aussi, à coups de milliards, Chinois et Américains sont en train d’inaugurer une autre forme de colonisation qui est proprement une autre version de l’esclavage. Car l’objet de ces attentions est économique avant d’être humain.

C’est la raison pour laquelle on se pose la question de savoir qu’elle est la finalité de notre présence en Afrique, mais surtout notre intérêt à intervenir militairement. S’il s’agit de contenir les flux migratoires, alors c’est toute l’Europe qui est concernée et pas seulement la France. C’est donc des « casques bleus » européens qui devraient opérer et pas seulement l’armée française. D’autant que l’Europe dispose encore d’une belle force de frappe économique pour contraindre les pays du pourtour méditerranéen comme de l’Afrique subsaharienne à contenir les flux migratoires.

Par ailleurs, il ne semble pas que dans ces pays de l’Afrique subsaharienne on protège des intérêts nationaux comme ceux des Bolloré et autre Total. Mali, Niger, Tchad, Mauritanie ne sont pas, que je sache, des terres de grand business à l’exception, peut-être, des mines d’uranium du Niger. Certes, ces pays ont pour langue officielle le français et le franc CFA pour monnaie. Mais est-ce suffisant pour envoyer nos soldats au casse-pipe au nom de la lutte contre Daech et sur un territoire gigantesque en grande partie désertique. On saisit mal l’intérêt. Le bilan économique est maigre. D’où ma question : qu’est-ce qu’on fout là ? Il est bien évident que d’un point de vue européen, la question serait tout autre. Il marquerait l’existence d’une Europe  de la puissance et donc décidée à en découdre avec les Américains et les Chinois. Ce qui n’est pas le cas.

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L'intervention de Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, lors du meeting de Civitas dimanche à Paris

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Hausse du carburant : c'est reparti.

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Jean-François Touzé
Délégué national du Parti de la France
aux Études et Argumentaire
 
La hausse de la taxe carbone avait en novembre dernier teinté du jaune de la colère une bonne partie du peuple français.
 
Qu'en sera-t-il du niveau record atteint ces dernières semaines par le prix du carburant ?
 
Depuis le début de l’année, les prix ne cessent, en effet d'augmenter et frôlent à nouveau des sommets. Le litre de sans-plomb 95 s’affichait ainsi dans les stations-service à 1,60 € en moyenne début mai. Et à 1,50 € pour le diesel. Soit une hausse supérieure à 17 centimes pour le diesel ; et de plus de 10 centimes pour le SP 95. Bref, le sans-plomb n’a jamais été aussi cher depuis avril 2013. Et le diesel frôle son record historique d’octobre 2018. 
 
Cette remontée des prix a trois causes :
  • Le prix du pétrole tout d’abord. Depuis le début de l’année, une baisse de la production et un euro faible face au dollar ont largement renchéri les cours du baril de brut. Celui-ci rentre pour un tiers environ dans le niveau du prix d’un litre de carburant, avec le transport et la distribution.
  • Le contexte géopolitique, ensuite. Les incertitudes liées à la guerre commerciale voulue par les États Unis et la situation de plus en plus menaçante au moyen Orient créent les conditions d'une crispation des marchés pétroliers ; une situation que la crise ouverte entre les États Unis et l’Iran à propos du nucléaire, assortie de menaces militaires US (les Américains ont envoyé un porte-avions, plusieurs dizaines de bombardiers B52, des véhicules amphibies et une batterie de missiles Patriot sur zone), de gesticulations menaçantes de l’Arabie Saoudite, et d'un ultimatum sur 60 jours de Téhéran mettant les Européens devant leurs responsabilités, ne peut qu'aggraver dans la mesure où la France doit importer 99 % du pétrole dont elle a besoin.
  • Le poids de plus en plus lourd de la fiscalité, enfin. Si un tiers du prix du carburant est lié à celui du brut, les deux autres tiers sont intégralement constitués par deux taxes : la TVA et surtout la TICPE (taxe intérieure sur la consommation de produits énergétiques), qui inclut la taxe carbone dont la hausse, rappelons-le, n'a pas été annulée par le gouvernement en décembre dernier comme veut le faire croire la propagande de Matignon, mais seulement reportée au début de l’année prochaine. Résultat : sur un litre de carburant vendu 1,60 € à la pompe, un euro part dans les poches de l’État. Ce qui représente une manne de 34 milliards d’euros (Mds€) par an, dont le gouvernement n’a nullement l’intention de se déposséder (la proposition émise par Macron au mois de février de restaurer la taxe flottante de Lionel Jospin censée faire baisser la fiscalité sur le carburant en fonction de l’augmentation du coût de l'importation du pétrole étant un leurre destiné à tromper les consommateurs : la taxe flottante, si elle a coûté 2,7 milliards d'euros à l'État pendant le court moment où elle fut en vigueur, n'a nullement bénéficié aux automobilistes puisque la baisse du prix à la pompe n'a, à aucun moment, dépassé les 2,2 centimes.
Pour le Parti de la France, dans ce domaine comme dans tous ceux qui touchent à la fiscalité, seule une baisse significative des dépenses publiques et des économies substantielles réalisées sur le budget de l'État (immigration, mille feuilles administratif, désengorgement de la fonction publique hors domaine régalien, gaspillages, fraude fiscale et sociale…) permettra d’opérer une baisse réelle des impôts des Français et des taxes qui les écrasent, redonnant ainsi à chacun du pouvoir d'achat propice à la consommation et donc à la croissance, et aux entreprises les moyens de leur compétitivité et de leurs initiatives.
 
Macron, dans son langage déroutant, déclarait en mars dernier : « le prix du carburant c'est pas bibi ». C'est pourtant bien lui qui en encaisse les dividendes.

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Affaire des otages : une déclaration de Jean-Marie Le Pen

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AFRIQUE DU SUD : UNE FOIS DE PLUS, LES BLANCS « SONT ROULES DANS LA FARINE » !

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Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

L’Afrique du Sud a voté le 8 mai et, partant, a désigné de factoson Président, le leader du parti qui obtient le plus grand nombre de députés, sans compter, si nécessaire, les marchandages de dernière minute. Depuis avril 1994, c’est le règne du « one men, one vote », la catastrophique soumission de  Frédérik De Klerk, dernier leader du grand Parti national. Ce parti qui fut, par excellence, le parti afrikaner, n’existe plus, il s’est immolé et s’est dissous, - un comble ! -, au sein de l’ANC avec ses derniers renégats en quête d’un poste ministériel !

L’Afrique du Sud des dernières années de l’apartheid, s’était pourtant bien « améliorée », si je puis dire. Les noirs, toutes ethnies confondues, majoritaires, pouvaient exercer leurs droits civiques dans leurs Etats d’origine, une dizaine, dont 4 indépendants, les fameux « TBVC », Transkei  et Ciskei pour les Xhosas, - l’ethnie de Mandela -, le Bophuthatswana pour les Tswanas et le Venda pour les… Venda. Plus 6 autres entités autonomes. Sans oublier les township, ces immenses banlieues aux toits de tôles ondulées, où les noirs détribalisés qui les habitaient, élisaient en toute indépendance leurs conseils municipaux. Les métis, peuple issu de la fusion des premiers colons blancs et de leurs domestiques, tout comme les Indiens, importés si je puis dire, par les Anglais pour travailler dans les plantations du Natal, avaient leur propre chambre élue aussi au suffrage universel, et leur propre conseil ministériel pour gérer les affaires concernant leur communauté. Certains de leurs membres, minoritaires, siégeaient au sein du cabinet national, à Pretoria. Ce système, en net progrès, avec parallèlement l’abolition de l’apartheid mesquin et la légalisation de l’African national congress (ANC), allait sur la bonne voie et n’attendait plus qu’un coup de pouce pour faire surgir les Africains, à leur tour, sur la scène politique nationale.

A vouloir tout garder, les blancs ont tout perdu

La grande erreur des blancs, on ne le dira jamais assez, fut  de ne pas avoir consolidé territorialement ces Etats ethniques, véritables « archipels en terre ferme ». (Le Bophuthatswana par exemple, riche en minerais, s’éparpillait en sept enclaves !). Et, à vouloir tout garder, ils ont tout perdu. Car, c’est la théorie de l’ethno mathématique électorale énoncée par le Professeur Bernard Lugan, qui s’avère prédominer partout en Afrique. Au lieu de négocier la création d’une Union fédérale, avec des garanties fondamentales pour la minorité blanche, et pas seulement elle d’ailleurs, - car on voit bien que les métis font de la part des noirs de l’ANC, l’objet de suspicion -, De Klerk a tout lâché à Nelson Mandela. Ce dernier, si je puis dire, « a roulé les blancs dans la farine ! ».

L’African National Congress est devenu le premier parti d’Afrique du Sud grâce à sa masse électorale noire dominante. Et il l’est resté, même si ses scores se sont érodés. Pourquoi ? Il est sévèrement concurrencé sur sa gauche par le parti extrémistes, raciste et haineux, l’Economic freedom fighters, l’EFF de Julius Maléma dont les slogans sont, rappelons-les, « une balle, un blanc » ou « tuez les Boers », les Boers étant ces fameux paysans d’origine hollandaise qui devinrent ,au fil du temps, avec l’absorption de Huguenots et de réformés allemands, les Afrikaners créateurs, avec les Anglais, de l’Afrique du Sud moderne que j’ai connue, et qui n’est plus que l’ombre d’elle-même.

Mandela, un moindre mal, mais aujourd’hui….

Les premières années du règne de Mandela, tant bien que mal, se déroulèrent sans trop de heurts, encore que, déjà, des assassinats de blancs précipitèrent la fuite d’un grand nombre d’entre eux, un million en 25 ans. (A noter que la première épouse de Frédérik De Klerk, le dernier président « blanc » de la RSA, fut assassinée). Et pour 4 départs, on ne recense qu’un  seul retour, le mal du pays peut-être, ou la nostalgie du « biltong », cette viande sauvage séchée ! Connaissant leur savoir-faire, le Mozambique, le Congo Brazza, la Zambie et la Russie, ont proposé gratuitement des terres aux fermiers, afin  de développer de vastes superficies. Il faut dire que les meurtres, dans des conditions abominables d’agriculteurs et de leurs familles, sans oublier la menace prégnante de la confiscation de leurs biens sans indemnisation, poussent aux départs. Par exemple, à Perth, très grande ville de l’Ouest australien, on recense plus ou moins 20 000 Sud-africains exilés, principalement anglophones.

De sinistres exemples qui ne serviraient à rien ?

Comme si le sinistre exemple du Zimbabwe n’avait pas servi de leçon, le président sortant Cyril Ramaphosa, ancien syndicaliste qui a brillamment réussi dans le business, comme son prédécesseur d’ailleurs, - ce Jacob Zuma remercié par l’ANC pour faits avérés de corruption et de détournement de fonds publics à usage personnel -, se préparerait-il à nationaliser les propriétés des blancs, pour les distribuer à ses frères noirs, la plupart, hélas, incapables comme leurs voisins du nord, de les exploiter correctement ? Comme si les exemples, en vrac, de l’Algérie, du Venezuela ou de leur voisin zimbabwéen ne servaient pas d’expériences maléfiques, d’exemples où l’on voit des pays bénis des Dieux, ayant tout ou presque, s’enfoncer dans la misère par la seule incurie de leurs mauvais dirigeants. Les responsables sud-africains, en agissant de même, s’enfermeraient alors dans une profonde  bêtise idéologique. Les recours juridiques suspendront-ils leurs décisions et les expropriations ? Dans ces inconfortables conditions de vie et l’incertitude planant sur leur avenir, on comprend que le taux de natalité chez les femmes d’origine européenne baisse constamment : de 3,1 en 1971 à 1,4 en  2007, pour ne retenir que ces deux chiffres. Au train où vont les choses, - baisse démographique et émigration -, un institut démographique local, le SAIRR a prédit… zéro blanc présent en RSA en 2101 ! C’est dans 82 ans, c’est-à-dire après-demain… 

L’ANC sort affaibli de ce nouveau scrutin

Alors, après cette sombre mais objective approche, quels sont les résultats de cette consultation ? Quelles leçons peut-on  en tirer, qui sont les perdants et les gagnants ? L’ANC est concurrencée sur sa gauche, comme sur sa droite. Les noirs éduqués et friqués, certains en tout cas, - il faut dire et redire qu’il y a plus ou moins 4 millions de noirs qui vivent, sinon comme des nababs, mais qui ont un standard de vie compatible avec les niveaux européens les plus développés -, peuvent avoir renoncé à soutenir l’ANC. Ceux-là auraient tendance à rejoindre les métis, qui votent pour l’Alliance démocratique (DA), l’alternative multiraciale, pourtant essentiellement blanche lors de sa création. Elle domine au gouvernement de la ville du Cap et dans sa province. Qu’en est-il en ce mai 2019, 25 ans après la honteuse capitulation de l’ex-président De Klerk, redisons-le, en rase campagne ?

L’ANC garde la majorité, Cyril Ramaphosa restera président de la RSA

Avec plus ou moins 57% des suffrages, l’African National Congressreste le parti majoritaire au sein des 400 députés de l’Assemblée nationale, mais il va perdre des sièges au profit de Julius Malema et de son mouvement, l’Economic Freedom Fighters (EEF) qui passe de 6 à 10% des voix. L’Alliance démocratique (DA), qu’a rejoint la communauté métisse et les noirs modérés , stagne à  moins de 21% des électeurs qui se sont exprimés. Le Freedom Front +, (FF ou VF selon la langue utilisée), le petit parti de la minorité afrikaner, - 6% de la population totale -, obtient 2,3% et conservera ses 4 députés, 1% des effectifs parlementaires. Il lutte contre la ségrégation à l’envers, le Black économic empowerment, une discrimination positiver qui avoue son nom et qui réserve un avantageux quota de jobs aux seuls noirs, entrainant de fait, la misère chez les anciens fonctionnaires « pâles », dont certains sont devenus des abonnés à la soupe populaire. Cyril Ramaphosa aura fort à faire face à ses concurrents en interne et, surtout, face à la surenchère démagogique de l’EEF, qui joue sur le mécontentement d’une grande partie de la population, laquelle se sent toujours frustrée, en dépit de la disparition du pouvoir politique des blancs. Scolarisation, adduction d’eau, effacement progressif des bidonvilles, électrification, redistribution des terres, sont au menu du gouvernement ANC. Et en même temps, il faut rassurer les investisseurs étrangers afin de combattre un chômage endémique touchant, officiellement, 27 % de la population active, en réalité bien plus.

L’ANC avait déjà enregistré lors des dernières élections municipales de 2016, son plus bas score, un pourcentage historique de 54%, lui faisant perdre les mairies de Johannesburg et de Pretoria, respectivement métropole économique et capitale politique du pays. Le Président a maintenant devant lui cinq ans pour faire mentir les mauvais pronostics, sans compter que ses propres amis de l’ANC l’attendent « au coin du bois ». Un tournant majeur pour la crédibilité du pays sera la grande affaire de la redistribution des terres. Si la République d’Afrique du Sud s’entêtait à copier les modèles zimbabwéen ou algérien, c’en serait fini de la prospérité agricole, partant des rentrées de devises, avec, à la clé, d’énormes problèmes alimentaires. Ramaphosa, que l’on dit pragmatique, cèdera-t-il aux démons idéologiques ? « La suite au prochain numéro… »

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lundi, 13 mai 2019

Dimanche, avec plusieurs défilés, Paris à honorer Sainte Jeanne d'Arc

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Plusieurs défilés ont marqué ce dimanche, comme chaque année, la Fête de Jeanne d'Arc à Paris.

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Celui de l'Action française

Tout d'abord, à tout seigneur tout honneur, le traditionnel cortège de l'Action française. Toujours très animé, parti de l'Opéra dès 10 h, il fut le premier à arriver devant la statue de la Place des Pyramides. Enfin, presque le premier... car, dès potron minet, les autorités y avaient fort discrètement (bien que la fête de Jeanne d'Arc soit une fête nationale dont il n'y a pas à rougir) fait déposer quelques couronnes de fleurs (service minimum). Rappelons que dans les années 1920, les Camelots de Roi (les troupes de choc de l'Action française), avaient réussi, "au prix de 10 000 jours de prison" selon la formule consacrée, à imposer le deuxième dimanche de mai comme jour de cette fête patriotique.

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Celui des nationalistes

Une fois la commémoration monarchiste terminée, vinrent les organisations nationalistes au premier rang desquelles se distinguait, avec ses nombreux drapeaux noirs frappés de son emblème, le fer de lance, la Dissidence française de Vincent Vauclin. La DF réalise actuellement un joli coup en présentant la liste de la Reconquête aux élections européennes du 26 mai prochain. Des délégations du mouvement belge francophone Nation, des jeunes camarades lillois d'Action nationale radicale, des monarchistes dissidents de l'AF étaient aussi présentes. Le Parti nationaliste français d'Ivan Benedetti, venu en force, bouclait ce défilé. Devant la statue de la Sainte les responsables des différents mouvements ainsi que le directeur de la revue Synthèse nationale, Roland Hélie, qui dans un esprit de synthèse avait bien volontiers répondu à l'invitation amicale de Vincent Vauclin (tout comme à celle d'Alain Escada l'après-midi), prirent la parole pour expliquer le sens profond de cette manifestation.

et celui de Civitas

L'après midi, c'était au tour de Civitas de battre le pavé parisien. Comme c'est le cas depuis plusieurs années le cortège catholique est parti de la Place Saint Augustin... là où la veille Carl Lang, au nom du Parti de la France, avait aussi organisé une cérémonie.

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Avant le départ de cette manifestation, plusieurs responsables politiques et associatifs, parmi lesquels Alexandre Cabriac et Pierre Studer de Civitas ainsi que l'historienne Marion Sigaut, Clément Gautier au nom des royalistes, Alexandre Simonot des Comités Jeanne et Roland Hélie pour Synthèse nationale, intervinrent sur une tribune spécialement installée pour ce meeting en plein air et en plein soleil. 

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En tête du cortège qui rassemblait plus d'un millier de participants, trois cavaliers dont une Jeanne d'Arc en armure avaient fière allure. Cela n'échappa pas aux milliers de Parisiens qui flânaient en ce bel après-midi sur les Boulevards. Beaucoup manifestèrent d'ailleurs leur sympathie au passage de la procession. Les slogans : "La république est maçonnique, la France est catholique", "Nous voulons la vérité sur Notre-Dame" ou encore "Dissolution du CRIF et de la LICRA" ne laissaient pourtant pas planer l'ombre d'un doute sur la nature de celle-ci.

L'abbé Xavier Beauvais et Alain Escada, président de Civitas, prononcèrent leurs remarquables discours au cours desquels l'un et l'autre n'hésitèrent pas à émettre de sérieux doutes sur la version officielle de l'incendie "accidentel" de la Cathédrale Notre-Dame de Paris, avant la dispersion, sans incident, en fin d'après-midi place des Pyramides. 

Le succès rencontré par ces différents rassemblements nous confirme que quelque chose est en train de changer dans notre beau pays de France...

S.N.

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20:51 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

LA FRANCE SACRIFIE LES MEILLEURS DE SES FILS : POUR QUI, POUR QUOI ?

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Pierre Vial, Président de Terre & peuple

Deux soldats français d’élite, Cédric de Pierrepont et Alain Bertoncello, appartenant au célèbre commando Hubert, sont morts pour libérer deux olibrius, deux pédagos français, homosexuels qui venaient de se « marier » et étaient en « voyage de noce » au Bénin, dans une zone réputée dangereuse (source : Le Figaro).

Les autorités françaises étaient parfaitement informées de cette situation. Elles portent donc la responsabilité d’avoir sacrifié deux soldats exemplaires pour récupérer deux zozos qui méritaient de goûter aux charmes de la séquestration par des djihadistes.

Décidément ceux qui sont censés représenter la France (plus pour longtemps, je l’espère) ne méritent ni notre respect ni notre obéissance. A chacun d’en tirer les conséquences.

PS : pour les élections européennes, évidemment tout sauf Macron.

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12:23 Publié dans Les Nouvelles du Front de Pierre Vial | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un nouvel ordre multipolaire fondé sur la régulation

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Ligne Droite cliquez ici

Le concept de communauté internationale, qui revient de façon récurrente dans le discours des diplomates occidentaux, n’est qu’un artifice destiné à légitimer la politique étrangère des États-Unis. Or celle-ci, porteuse de l’idéologie mondialiste, est contraire aux intérêts de la France et de l’Europe. Aussi notre pays devrait-il, selon Ligne droite, contester l’organisation actuelle des relations internationales et nourrir la grande ambition d’œuvrer à l’avènement d’un « nouvel ordre multipolaire » ancré dans la réalité du monde d’aujourd’hui et axé sur la régulation des échanges.

La notion de communauté internationale, un instrument de l’imperium américain

La notion de « communauté internationale », qui reprend sous un angle un peu différent celui de nouvel ordre mondial très en vogue à la fin du XXe siècle, est en effet une formule des plus ambiguë. Ceux qui s’en réclament laissent entendre qu’ils parlent pour l’ensemble des nations du monde, alors qu’il ne s’agit le plus souvent que des États-Unis et de leurs « alliés ». Cette référence à la communauté internationale est dès lors quasi systématiquement utilisée pour des actions ou des prises de position qui servent les États-Unis et leur vue du monde.

Autant dire, dans ces conditions, que cette notion s’inscrit dans un cadre très politiquement correct. Elle repose sur l’idée que le modèle américain fondé sur le libéralisme et la démocratie va s’étendre au monde entier et s’appuie sur l’idéologie mondialiste qui conduit à supprimer les frontières, à réduire le pouvoir des États et à œuvrer à la globalisation de la planète. En effet, la communauté internationale en question ne se préoccupe pas des identités et considère avec méfiance les États qui y demeurent attachés comme la Russie et tous les pays de l’Est de l’Europe.

Une conception politiquement correcte inadaptée au monde multipolaire d’aujourd’hui

Ligne droite estime en conséquence que les notions de nouvel ordre mondial et de communauté internationale doivent être rejetées car elles véhiculent le mondialisme, le libre-échangisme intégral, l’immigrationnisme et l’atlantisme. À ce titre, elles vont à l’encontre de ce qui est souhaitable pour le France et l’Europe, aussi notre pays doit-il les contester tout en proposant une autre vision.

Cette démarche se révèle d’autant plus légitime que le concept de communauté internationale ne correspond en rien à la réalité du monde d’aujourd’hui. La planète est en effet loin de converger autour du pôle américain, lequel perd d’ailleurs de son influence. Notre époque apparaît au contraire marquée par l’émergence de nouvelles puissances qui structurent la scène mondiale selon un schéma multipolaire. Un schéma qui n’est pas compatible avec la notion de communauté internationale puisqu’aucun des nouveaux pôles émergents comme la Chine, l’Inde ou le monde musulman, pas plus d’ailleurs que la Russie, le Brésil ou l’Afrique, ne sont prêts à s’aligner sur les États-Unis.

Il faut lui substituer le concept de nouvel ordre multipolaire

Ligne droite considère donc que la France devrait se faire le champion d’une autre conception des relations internationales. Une conception qu’elle devrait populariser sous le nom de « nouvel ordre multipolaire » et qui devrait reposer sur deux grands principes : prendre en compte la réalité multipolaire du monde d’aujourd’hui et substituer à l’ultralibéralisme international le principe de la régulation générale de tous les échanges.

Le nouvel ordre multipolaire pour une régulation des échanges

Contrairement au nouvel ordre mondial qui organisait le laisser-faire laissez-passer général tant pour les biens et services que pour les mouvements migratoires, le nouvel ordre multipolaire proposé par la droite nouvelle devrait s’appuyer sur le principe simple selon lequel les échanges ne sont admis que s’ils sont bénéfiques pour les deux parties concernées et doivent donc être régulés en conséquence.

Dans ce cadre, l’organisation du commerce mondial devrait être entièrement revue et de nouvelles négociations devraient être ouvertes en son sein pour mettre en place des écluses douanières entre les grands ensembles économiquement homogènes.

De même, s’agissant de l’immigration, la maîtrise des flux devrait s’imposer comme la règle commune. Aucun mouvement migratoire ne pourrait être organisé sans l’accord des deux pays concernés. Quant aux déplacements clandestins, ils devraient être combattus par les pays d’émigration comme par ceux d’immigration et, dans la mesure où ils sont organisés par des filières mafieuses, traités comme tels par les services compétents.

Le nouvel ordre multipolaire pour la stabilité du monde

Par ailleurs, le nouvel ordre multipolaire devrait prendre en compte la réalité du monde et reconnaître son caractère multipolaire. Pourrait en effet être constitué un G9 d’un nouveau genre regroupant les principaux pôles de puissance: Chine, Japon, Inde, Brésil, États-Unis, Russie et Europe, auxquels devraient être adjoints deux autres États, l’un représentant le monde musulman et l’autre l’Afrique (au besoin selon une formule de tourniquet). Une telle instance même informelle qui représenterait avec neuf partenaires la presque totalité de la population mondiale pourrait être le lieu le plus pertinent où débattre des conflits et des problèmes du monde. Une configuration qui serait capable d’apporter une plus grande stabilité internationale, car fondée, non plus sur une puissance unique qui cherche à s’imposer, mais sur l’équilibre des principaux pôles de puissance de la planète.

Le nouvel ordre multipolaire, un projet susceptible de s’imposer

Pour mettre en œuvre un tel projet, très différent des pratiques actuelles, la droite nouvelle, une fois au pouvoir, devrait commencer par faire de la France le champion de cette idée, à charge pour elle de l’expliquer et d’en assurer la promotion. Si, ensuite, l’Europe confédérale, telle que préconisée par Ligne droite, reprenait ce projet à son compte, gageons que tout deviendrait alors possible. L’idée d’un nouvel ordre multipolaire pourrait en effet intéresser les BRICS. Le Brésil, la Russie, la Chine, l’Inde et l’Afrique du Sud cherchent en effet à réduire l’influence des États-Unis dans le monde. Ils ne pourraient dès lors que soutenir un projet visant à institutionnaliser la réalité multipolaire qu’ils incarnent et, forte de ce soutien, l’Europe serait en mesure de faire prévaloir ce changement radical de l’organisation des relations internationales.

En tout état de cause, la France, dirigée par la droite nouvelle, aurait tout intérêt à porter l’idée d’une rénovation profonde des relations internationales. En dehors des bénéfices qu’elle et les autres pays européens pourraient en retirer si le projet se concrétisait, le seul fait de s’en faire l’artisan permettrait à la France de gagner en stature et d’offrir aux Français des perspectives ainsi qu’une ambition collective qui leur rendrait espoir et fierté.

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dimanche, 12 mai 2019

Samedi à Paris, dans une ambiance chaleureuse, le Parti de la France a fêté ses dix ans

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Le reportage du Parti de la France cliquez là

Salle comble ce samedi pour le banquet du Parti de la France organisé dans un grand restaurant parisien où nous avons dû, hélas, faute de places, refuser des réservations. Merci à tous nos militants qui, par leur mobilisation, ont rendu ce succès possible.

Aux côtés de notre Président étaient présents, les principaux membres fondateurs du Parti, Roger Holeindre, Christian et Myriam Baeckeroot, Michel Bayvet, Jean Verdon, Michelle Carayon, Éric Pinel, tandis que ceux de nos camarades disparus étaient dans toutes les mémoires, en particulier Pierre Descaves, mort il y a cinq ans presque jour pour jour, combattant national « de la race de ceux qui ne renoncent jamais » comme le rappela Carl Lang, où notre cher Robert « Freddy » Moreau, le fameux Bourreau de Béthune, qui, avant de devenir conseiller régional du Nord-Pas de Calais, fut pendant plus de dix ans le garde du corps fidèle et efficace de Jean-Marie Le Pen. 

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De nombreuses personnalités extérieures, mais partie prenante du mouvement national français et européen, avaient répondu à notre invitation. Ainsi Koen Dillen, ancien député européen du Vlaams Belang qui transmit son amitié personnelle et celle des nationalistes flamands à Carl Lang et au Parti de la France, et  Bernard Monot, économiste réputé et très actif député français au Parlement européen. On notait aussi la présence chaleureuse de Christelle Lechevalier, députée européenne, elle aussi, et conseillère régionale de Normandie, Valérie Redl conseillère régionale de Bourgogne, Lorrain de Sainte-Affrique, secrétaire général des Comités Jeanne et Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale.

À la demande de Carl Lang, une minute de silence fut respectée en mémoire de nos deux officiers mariniers du Commando Hubert, Alain Bertoncello et Cédric de Pierreport, morts la veille au combat au Burkina Faso dans l’accomplissement de leur mission, exemple parfait des vertus militaires et du sens du sacrifice de nos soldats d’élite.

Tout au long de ce banquet se sont succédés les orateurs du mouvement, tous membres du Bureau politique, présentés avec précision, talent et efficacité par notre ami Jean Verdon qui, en prélude, avait brièvement rappelé les conditions de la création du PdF.

C’est ainsi que notre Secrétaire général Thomas Joly rappela l'engagement de nos militants dans l’action électorale et de terrain depuis dix ans, avant de placer chacun devant ses responsabilités : face à la déferlante migratoire et à l'offensive islamique, nous ne pouvons compter que sur nous. « Ce sera eux ou nous ! ».

Myriam Baeckeroot, trésorière nationale, ancienne conseillère régionale d'Ile de France, dressa un panorama financier du PdF, parti économiquement sain car sans dettes, contrairement à toutes les autres formations de l’échiquier politique. 

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Roland Hélie et Jean-François Touzé

Jean-François Touzé, délégué national aux études et argumentaire et directeur de Connexion rappela que l'engagement militant, loin d’être une option était une nécessité et un devoir. « Nous ne sommes pas un club de joueurs de boules, pas plus que nous ne sommes l’Amicale des anciens de la flamme, mais un parti politique qui a vocation à parvenir aux responsabilités ».

Sylvie Collet, ancienne conseillère régionale de Normandie, présentatrice du magazine Réinfo, évoqua tout le travail accompli par elle-même et Gilles Arnaud pour faire de la communication en ligne du Parti un outil performant au service de notre combat, outil qui, dans les prochains mois va se rénover et se redéfinir pour mieux répondre encore aux attentes.

Fernand Le Rachinel, figure historique de la Cause, ancien député européen membre fondateur du PdF, fit un historique de ces dix années de combat, précédées de plusieurs autres décennies au sein de la Droite nationale, et confia sa confiance dans l’avenir de notre parti.

Particulièrement applaudi, son blazer couvert de ses décorations gagnées au feu, Roger Holeindre, président d'honneur du Parti de la  France, ancien député, soldat de toujours et combattant inlassable, emblème du courage et de la constance nationale, parla avec sa force et sa foi inaltérables de ses soixante quinze ans passés au service de la France française donnant ainsi, comme il a toujours si bien su le faire, l’exemple de la volonté et de la détermination militante.

Dans un grand, long, profond et brillant discours, notre Président, Carl Lang, rappela le sens politique et spirituel de notre engagement. Se revendiquant comme un homme de droite, un combattant national et un partisan de l'Europe européenne, il dénonça longuement les trahisons et les renoncements – ceux de nos adversaires tenants du mondialisme et de l'immigrationnisme bien sûr, mais aussi, hélas, ceux venus de notre camp, avant d'appeler chacun à la résistance et à la mobilisation militante totale dans la discipline, le respect des décisions stratégiques et des lignes politiques adoptées. « J'ai voulu que nous soyons un parti, pas un simple mouvement. J'ai, en effet, la certitude que, au milieu des dangers immenses qui menacent l'existence même de la France et de notre civilisation, seul un parti sera en mesure de faire face ».

À l'issue de ce banquet, une délégation du PdF s'est rendue Place Saint Augustin à Paris où Carl Lang, conformément à la tradition nationale, déposa une gerbe au pied de la statue de Jeanne d’Arc, sainte et héroïne de la Patrie.

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21:15 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Pierre Cassen ne se laisse pas impressionner par "l'affaire des otages"

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20:37 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Mobilisation générale ce dimanche 12 mai à Paris

Venez nombreux !

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00:50 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 11 mai 2019

Une soirée d'hommage à Dominique Venner le mardi 21 mai à Paris

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22:24 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Alain de Benoist sur TV Libertés

Le philosophe et écrivain Alain de Benoist enregistre une nouvelle émission des « Idées à l’endroit » sur le thème de la géopolitique. Pour évoquer cette science sociale, il s’entoure de plusieurs invités de grande qualité : Pascal Gauchon, Hervé Juvin et Gérard Dussouy. Ensemble, ils évoquent l’influence des facteurs géographiques sur l’histoire et sur la politique, sur les rapports de force dans l’espace, dans les territoires.

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21:42 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Mercredi 15 mai, une soirée cinéma à la Nouvelle Librairie

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Guillaume Tell, un héros suisse à La Nouvelle Librairie !

Rencontre autour de David L'Épée, le plus suisse des rédacteurs d'Eléments, et de Thierry Lopez d’Artus Film, à l'occasion de la sortie en DVD du film « Guillaume Tell » (1961) de Michel Dickoff et Karl Hartl. Avec ce rarissime film de cape et épée sur le héros national suisse, l’éditeur à l’ours noir inaugure une prometteuse collection « Histoires et légendes d'Europe ». Au programme également, un classique « perdu » et retrouvé par Artus, « Les Vieilles légendes tchèques » (Staré povesti ceské, 1953), du maître de l’animation tchèque Jirí Trnka.

Présentation des fabuleuses collections d'Artus Film par Nicolas Gautier et Pascal Eysseric, de la rédaction d'Eléments, le mercredi 15 mai de 18 à 20 heures à la Nouvelle Librairie 11, rue de Médicis à Paris 6e.

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20:59 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le prix du sang

Anne-Sophie Chazaud*

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L'homofestivus est partout chez lui...avec le sang des autres.

Afin d'aller secourir deux hommes otages, Messieurs Picque et Lassimouillas qui avaient cru bon d'aller célébrer leur voyage de noces en batifolant dans une zone hautement déconseillée par le Quai d'Orsay depuis plusieurs mois pour cause de terrorisme islamiste, deux commandos de Marine, Cédric de Pierrepont et Alain Bertoncello, parmi l'élite de l'armée française, sont morts.

Il est normal d'aller secourir les ressortissants français en danger partout où ils se trouvent. Il serait normal ensuite d'interroger ces "homos festivus" sur leur degré de responsabilité dans la situation que leur propre insouciance a créée, voire de leur faire payer les dommages, étant entendu que pour les parents des deux militaires, c'est la condamnation à la douleur à perpétuité.

Là où l'on dévisse complètement dans l'indignité, c'est quand on apprend que le chef de l'Etat les recevra en grande pompe à l'aéroport de Villacoublay, comme s'ils étaient des héros, alors que par leur comportement stupide et irresponsable ils ont mis en péril et causé indirectement mais clairement la mort de deux de nos concitoyens parmi les plus valeureux.

Mais, dans le fond, le bobo mondialiste, l'adulescent hors sol, le branchouille inclusif qui pense que la planète entière est son terrain de jeu et que l'homme par nature est bon, ne constitue-t-il pas une bonne définition et une parfaite connivence avec ce qu'incarne, aussi, la non-pensée macronienne?

Dans ces conditions, après tout, il est normal que tout ce petit monde se retrouve, en vie.

(*) Journaliste (Causeur, Marianne, etc) - Le titre est de la rédaction

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Journal du chaos

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09:18 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 10 mai 2019

Escroqueries à la CAF : pourquoi le gouvernement reste-t-il si discret sur les fraudes ?

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Philippe Kerlouan  Boulevard Voltaire

Si vous prétendez que les fraudes aux allocations familiales sont nombreuses et qu’elles peuvent impliquer des étrangers, vous vous ferez traiter aussitôt de fabulateur ou de xénophobe. Et pourtant, les faits viennent parfois vous donner raison. On apprend ainsi, dans Le Parisien, qu’une bande organisée de Roumains vient d’être démantelée : elle avait escroqué la CAF de Valenciennes d’1,7 million d’euros d’aides sociales.

Une paille, par rapport au chiffre avoué par les responsables de la Caisse nationale d’allocations familiales (CNAF), pour l’année 2018 : plus de 300 millions d’euros, pour 44.897 cas officiellement détectés ! Mais rassurez-vous : si le chiffre a doublé depuis 2013, ce n’est pas parce que les manœuvres illicites augmentent, c’est, selon le directeur général de la CNAF, « le signe d’un meilleur ciblage des contrôles ». Mince consolation, car on se demande combien de fraudes restent encore inconnues.

La majorité des fraudes (73 %) proviendraient de fausses déclarations ou d’omissions, 8,5 % de faux et usages de faux, 18,4 % de fraudes à l’isolement (ah, qu’en termes galants ces choses-là sont mises !). Mais cela ne représente que 0,35 % des allocataires : « L’immense majorité des personnes qui se trompent ne sont pas des fraudeurs. » D’où le « droit à l’erreur », introduit par la loi intitulée « pour un État au service d’une société de confiance ». On est content de savoir que les Français ne sont pas des fraudeurs – ce dont on ne doutait pas –, mais, alors, quelle est cette minorité qui parvient à escroquer, en un an, plus de 300 millions d’euros ?

En l’occurrence, dans l’affaire en question, ce sont des Roumains, deux hommes et leurs compagnes, qui sont soupçonnés d’avoir monté, rien qu’en 2017, 1.200 dossiers frauduleux. Sous le statut d’auto-entrepreneur, de jeunes femmes déclaraient qu’elles étaient enceintes pour toucher des indemnités de la CAF. Apparemment, cette bande comptait des faussaires, puisqu’elle fabriquait de fausses cartes d’identité roumaines et de faux certificats de naissance. Mais notre gouvernement ne va tout de même pas faire preuve de discrimination à l’égard de ressortissants de l’Union européenne.

Selon Le Parisien, au terme de plus de deux ans d’enquête, la police judiciaire de Lille et la police aux frontières de Valenciennes ont pu appréhender une partie de la bande… dans le Bas-Rhin, où ils montaient une autre affaire. Les donneurs d’ordre ont été arrêtés en Roumanie, en attendant leur transfert devant un juge français. Il ne s’agit pas d’être alarmiste, mais force est de constater que ce sont des étrangers – fussent-ils européens – qui sont les auteurs de ces fraudes.

Ce genre de pratiques ne recouvre qu’une petite partie des fraudes sociales. Selon la sénatrice centriste Nathalie Goulet, la fraude aux numéros de Sécurité sociale, attribués sur la base de faux documents, serait évaluée à 14 milliards par an. Quand Marine Le Pen ou Nicolas Dupont-Aignan ont dénoncé ce chiffre, voici quelques mois, on les a traités de tous les noms. On ne pouvait en faire autant avec une honorable parlementaire centriste. Le secrétaire d’État au Numérique a, d’ailleurs, assuré de la détermination du gouvernement à « lutter massivement contre la fraude documentaire ». On se demande bien pourquoi, en décembre, l’Assemblée nationale a voté contre la remise d’un rapport d’information sur le sujet.

Emmanuel Macron et son gouvernement, si sensibles à la lutte contre les fausses nouvelles, ne contribuent-ils pas eux-mêmes à la désinformation en n’exigeant pas une transparence totale sur ces pratiques frauduleuses ?

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17:15 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Jean-Yves Le Gallou : « Il pourrait y avoir une politique européenne restrictive à l'immigration »

Jean-Yves Le Gallou, fondateur de l'institut Polemia, est l'invité politique de l'Info avec Stéphanie De Muru, sur RT France, le 9 mai.

Il réagit aux propos de la ministre de la Justice, Nicole Belloubet, qui a affirmé que l'immigration est «un phénomène mondial» qui ne peut pas être arrêté. Selon lui, des solutions existent contre «l'invasion migratoire» à l'échelle des Etats comme à l'échelle européenne, à condition d'appliquer des «législations moins attractives».

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10:05 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les rendez-vous patriotiques de la fin de la semaine :

Samedi 11 mai 2019 :

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Dimanche 12 mai 2019 :

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09:47 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un entretien entre Vincent Vauclin, tête de liste Reconquête, et Franck Buleux

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Source Meta infos cliquez ici

Trente-trois listes validées par le ministère de l’Intérieur, dont la Liste de la Reconquête que vous emmenez. Comment vous différenciez-vous des autres listes pour attirer des électeurs ?

Trente-trois listes, c’est effectivement un record. Dans une telle confusion, et avec des moyens très modestes, nous avons la lourde tâche de faire connaître notre liste aux électeurs et surtout d’en démontrer la légitimité. Car ce qui nous différencie, c’est le sens de notre candidature : loin des carriéristes, des girouettes et des démagogues, nous réunissons une nouvelle génération de Français de toutes conditions, des militants nationalistes et patriotes venus de partout, des élus locaux, des gilets jaunes de la première heure. Nous assumons un discours de vérité sur la situation de notre pays, et nous avons l’audace de porter des propositions que personne d’autre que nous n’aurait le courage d’assumer. En résumé, on se bat pour la France, et non pour des places.

L’intitulé de votre liste rappelle La Reconquista et votre mouvement Dissidence Française me rappelle ceux qui luttaient contre le pouvoir soviétique en publiant des Samizdats. Il y a un continuum entre vos positions et ces deux combats historiques ? 

Ces deux parallèles historiques sont tout à fait pertinents et l’Histoire semble se répéter. Comme la péninsule ibérique du VIIIème siècle, nous vivons bien une invasion migratoire doublée d’une islamisation rampante. Comme les pays de l’Est du XXème siècle, nous sommes effectivement sous le joug d’un système répressif et totalitaire.

Seules les échelles et les méthodes ont changé. Je dirais même que ces dernières sont plus pernicieuses qu’autrefois. Car cette invasion migratoire ne s’opère plus par les armes, mais par le truchement d’une immigration massive, de naturalisations systématiques et d’une démographie galopante. Elle ne concerne plus seulement l’Espagne mais l’ensemble du continent européen. Elle n’est plus le fait d’un rapport de force militaire, mais le résultat de la trahison délibérée des élites européennes. Quant au totalitarisme d’aujourd’hui, il se manifeste davantage par une propagande omniprésente, un moralisme frelaté et un endoctrinement médiatique que par des barbelés, des miradors et des miliciens à chaque coin de rue. Il n’y a certes plus un parti unique, mais des partis semblables qui donnent l’illusion du pluralisme alors que tous se sont alignés sur l’idéologie officielle, libérale et libertaire, mondialiste et cosmopolite.

Votre volonté est-elle de concurrencer d’autres listes ou de créer une dynamique auprès d’électeurs déçus ou/et fréquentant rarement les isoloirs ?

Notre but est tout simplement de faire entendre une autre voix, de proposer une alternative à ces partis aseptisés qui naviguent à vue au gré des sondages, qui sont déconnectés du pays réel et intégralement soumis au politiquement correct. Il ne faut pas aller chercher plus loin la cause de l’abstention croissante, et de l’épisode des Gilets Jaunes. Notre pays traverse une profonde crise de représentation politique, précisément parce qu’entre les partis du Système, il n’y a que des différences de degrés et non de nature. Nous avons donc l’ambition de brusquer le conformisme ambiant et de proposer une offre politique radicalement nouvelle.

Avez-vous des alliés au sein de l’Union européenne ? Au-delà de cette question, quelle est votre position par rapport aux instances européennes et à leur éventuelle évolution ? 

Ces dernières années, nous avons eu l’occasion de tisser des relations au-delà de nos frontières, avec le NPD en Allemagne par exemple, dont j’ai récemment rencontré l’ancien président et eurodéputé Udo Voigt au Parlement Européen, mais aussi avec des camarades de CasaPound et de Forza Nuova en Italie, ou encore Nation en Belgique, sans oublier l’Espagne, la Suisse, la Pologne et la Hongrie où nous avons des interlocuteurs et des amis. 

Pour répondre à la seconde partie de votre question, je pense que l’idée d’une coopération entre des nations qui partagent un espace civilisationnel et un héritage commun n’est pas mauvaise en soi. Elle répond d’ailleurs à une logique incontournable à l’heure de la mondialisation. Compte-tenu des enjeux démographiques et technologiques, écologiques et économique, considérant l’émergence d’un monde multipolaire constitué en blocs continentaux plus ou moins antagonistes, l’idée européenne est plus actuelle que jamais. Mais les institutions européennes sont dévoyées, le Parlement Européen est une fiction qui dissimule la toute-puissance des lobbies et des groupes de pression. L’UE est ainsi devenue un carcan pour l’ensemble des nations européennes, mais aussi pour l’idée européenne elle-même. Une seule issue à la hauteur des enjeux : s’appuyer sur la défiance des peuples contre les technocrates de Bruxelles pour accomplir de l’intérieur un « putsch institutionnel » destiné à libérer l’Europe des féodalités qui l’étranglent et amorcer la reconquête de nos souverainetés. En résumé : contre la lobbycratie de Bruxelles, sortons l’Europe de l’UE !

Une question très matérielle mais utile pour (certains de) nos lecteurs, j’en suis persuadé : aurez-vous des bulletins de vote en nombre suffisant, à la fois dans les plis officiels et l’ensemble des bureaux de vote ? Cette question renvoie aussi, fatalement, au coût, et donc au financement, de la campagne.

Contrairement aux partis du Système, nous ne disposons ni de subventions publiques, ni de ressources occultes. Notre budget est donc nécessairement limité, et vos lecteurs ne trouveront probablement pas de bulletin de vote de la Liste de la Reconquête dans les plis officiels et dans les bureaux de vote. Cependant, ils pourront tout de même voter pour nous en téléchargeant et en imprimant chez eux le bulletin en question (qui sera bientôt en ligne sur notre site www.la-dissidence.org/eu2019). Ils pourront ainsi soutenir la seule liste antisystème de ce scrutin, et leur vote sera effectivement pris en compte dans les suffrages exprimés.

Les élections européennes, pour essentielles qu’elles soient, seront terminées le 27 mai. Quels sont les objectifs de votre mouvement ? La DF va t-elle s’élargir puisqu’a priori votre liste a pour vocation d’élargir votre audience ? 

En effet, l’objectif de la Dissidence Française est d’élargir son audience et de faire émerger durablement un pôle de droite alternative au sein duquel se retrouveraient toutes les tendances de notre famille politique. Cette nécessité part d’un constat très simple : nous ne sommes plus représentés, notamment par le RN de Marine Le Pen. Et alors que nos idées n’ont jamais été si actuelles et si nécessaires, nous ne pouvons nous résoudre à voter par défaut, ou à nous abstenir de participer à la vie politique. Je suis convaincu qu’il existe un espace politique, laissé vacant par la dédiabolisation du RN, qu’il s’agit d’occuper pour faire entendre plus largement nos propositions et proposer une alternative véritable au mondialisme libéral. Si nous ne le faisons pas, personne ne le fera à notre place.

L’entretien a été réalisé par Franck Buleux.

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09:46 Publié dans Européennes 2019 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Une conférence d'Académie Christiana à Toulon samedi 11 mai

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Marche du Comité 9 mai jeudi soir à Paris

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300 jeunes nationalistes parisiens ont participé hier à la marche du Comité 9 mai organisée en mémoire de Sébastien Deyzieu décédé le 9 mai 1994 lors de la dispersion d'une manifestation du GUD par la police.

En savoir plus cliquez ici

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09:34 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 09 mai 2019

Le père de la députée Insoumise Muriel Ressiguier, un amateur des Brigandes ?

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Lengadoc info cliquez ici

Lengadoc Info est allé à la rencontre du groupe de musique identitaire Les Brigandes après que l’un de ses membres ai été convoqué par la commission parlementaire contre les « groupuscules d’extrême droite ».

Lengadoc-info : Antoine, vous êtes le porte-parole du groupe Les Brigandes qui a été convoqué le 25 avril dernier devant la commission parlementaire présidée par Muriel Ressiguier (LFI) dans le cadre de la commission d’enquête sur les « groupuscules d’extrême-droite ». Pouvez-vous nous expliquer comment cela s’est déroulé ?

Antoine : Nous avons tout d’abord reçu un mail, (même pas un courrier avec accusé de réception, un simple mail !), qui visait à convoquer notre directeur artistique, Joël Labruyère, qui est également l’auteur-compositeur des chansons des Brigandes. Celui-ci étant malade et en incapacité de déplacement, ils se sont tournés vers Marianne, la chanteuse-leader de notre groupe, mais qui, ayant accouché quelques jours auparavant, ne pouvait pas se déplacer non plus. Ils ont lourdement insisté puis se sont finalement reportés sur Irène, l’une des chanteuses que vous pouvez voir dans certaines émissions.

Lengadoc-info : Quelle a été la teneur des questions auxquelles vous avez dû répondre en tant que groupe de musique ?

Antoine : Irène nous a rapporté avoir été assez effarée par les questions qui lui avaient été posées et surtout par la façon dont celles-ci avaient été orientées. Représentez-vous cela comme un procès d’idées. Une forme d’interrogatoire mené de façon à ce que les réponses, quelles qu’elles puissent être, finissent toutes dans une seule petite boîte portant l’étiquette ô combien pratique d’ « extrême-droite ». Une caricature grossière qui ne vise aucunement à ouvrir un débat ou à entendre les personnes convoquées mais bien à porter une accusation pure et simple d’illégalité sur elles et leurs propos pour pouvoir dissoudre, sans autre forme de procès, le groupe dont elles font partie.

Pour vous donner un exemple, parmi nos clips indéniablement provocateurs, il en est un qui s’intitule « On vous emmerde », plusieurs livres interdits y figurent, et à un moment donné, une couverture, certes particulièrement sulfureuse, apparaît à l’écran. Eh bien, l’une des premières questions qui aura été posée à Irène fut : « Lisez-vous Mein Kampf dans votre groupe ? ». (Magistrale illustration d’un reductio ad hitlerum fort convaincante !) Dans la même veine, par rapport à la chanson « Foutez le camp », elle aura eu à essuyer des « Êtes-vous xénophobes ? » ou « Êtes-vous anti-républicains ? »… Autant de clichés reprenant la propagande noire dont notre groupe avait fait l’objet dans les colonnes de journaux peu scrupuleux (voire suffisamment mal intentionnés ou du moins à la déontologie douteuse pour exposer des détails sur nos enfants !).

En résumé, ils vous convoquent pour pouvoir noter sur leur petite feuille qu’ils vous ont rencontré et accorder à leur mascarade une forme de crédit, de crédibilité, mais les réponses que vous pourrez leur donner ne revêtiront aucune espèce d’importance. Tout ce qui compte, c’est que vous puissiez être jugé pour non-conformité à leur idéologie et donc rentrer dans la case fourre-tout qui s’y oppose dans leur esprit et qu’ils ont construite à cet effet en l’affublant du nom d’extrême-droite.

Lengadoc-info : A ce propos, on a été assez étonnés d’apprendre que les entretiens lors de la commission parlementaire se soient déroulés pour certains à huis-clos. Alors que certaines séances étaient disponibles en live sur internet, pourquoi vous, et d’autres groupes avez eu droit à ce huis-clos ?

Antoine : De notre point de vue, il n’y a pas de huis-clos quand il s’agit du préfet de l’Hérault ou la présidente de la Ligue des droits de l’homme de Montpellier, Sophie Mazas. En gros, des personnes qui vont dans le sens de la commission. Pour eux, c’est filmé et diffusé. Par contre, pour les groupes qui sont accusés, car il s’agit de ça, si on les filme et qu’on diffuse leurs propos, ces derniers peuvent avoir le dessus au niveau des arguments voire même ridiculiser les membres de la commission. A la fin, la commission pourra dire qu’elle a auditionné les groupes en question, elle pourra remettre ses conclusions mais sans que les propos des groupes n’aient été diffusés. Toutes les auditions à charge ont été diffusées et tout ce qui aurait pu être à décharge ne l’a pas été.

Lengadoc-info : Quel a été le ressenti de votre porte-parole quant à la personnalité de la présidente de la commission Muriel Ressiguier ?

Antoine : Irène l’a trouvée particulièrement désagréable vu qu’il s’agissait d’un procès d’intention. Il s’agissait d’un tribunal idéologique déguisé en commission d’enquête démocratique. Quant à la présidente, cette dernière a deux ennemis majeurs dans l’Hérault : la Ligue du Midi et les Brigandes. Il faut savoir que Muriel Ressiguier a des intérêts personnels directs ou par personne interposée avec la Ligue du Midi et les Brigandes. La compagne de son père habite à la Salvetat, petit village où nous habitons, son père s’est déjà rendu à une de nos expositions de peinture dans le village de la Salvetat. Nous avons de très bons rapports avec eux et ça, pour elle, ça lui reste en travers de la gorge. Il y a donc un motif personnel qui se rajoute au motif idéologique. On se retrouve donc face à quelqu’un qui n’est pas du tout neutre.

Lengadoc-info : Votre chaîne YouTube a été supprimée il y a de cela quelques mois alors que c’était votre seul moyen de diffusion sur les réseaux. Pensez-vous qu’une censure est mise en place au-delà de la compétence des Etats ?

Antoine : C’est évident ! Depuis janvier-février 2019 il y a une augmentation des actes de censure. Des procédures de dissolution ont été entamées par l’Etat, ce qui est préoccupant, mais ce qui est particulièrement alarmant, ce sont les décisions prises par les géants d’internet (YouTube, Facebook…) appelés communément les GAFA. Ces derniers ont des règles propres que l’on ne peut pas attaquer avec la législation nationale. Ils agissent donc comme bon leur semble. Ainsi vous pouvez trouver des clips de rappeurs français qui tiennent des propos clairement racistes et haineux sur YouTube avec des millions de vues alors que certains clips des Brigandes sont considérés par YouTube comme des incitations à la haine raciale alors qu’il n’y a jamais eu aucune condamnation de la part de la justice française. Le rappeur peut donc « Niquer la France » alors que les Brigandes ne peuvent pas dire « Foutez le camp ! ».

Ce qui est comique avec la présidente de cette commission c’est qu’elle est issue de la France Insoumise, les soi-disants ennemis du grand Capital, mais ils n’hésitent pas à collaborer avec Macron, la marionnette des Rothschild, pour dissoudre le Bastion Social et ils n’hésitent pas à collaborer avec les GAFA pour accentuer la censure sur les réseaux sociaux.

Lengadoc-info : Etes-vous pessimistes ou optimistes pour l’avenir ?

Antoine : Plutôt pessimistes. Les Français bougent uniquement quand leur assiette est vide. On ne pense pas que les choses vont s’améliorer de manière spontanée. Le pouvoir d’achat c’est une chose mais il n’y a pas que ça : le Grand Remplacement, la technocratisation du monde, la destruction de la nature, la destruction des genres, peut-être même à terme la destruction de l’espèce humaine. Quand on voit un Trump aux Etats-Unis ou un Orban en Hongrie, ils peuvent réformer tout ce qui s’écroule mais ils ne peuvent pas inverser le courant de l’histoire mondiale. C’est pour ça que nous sommes plutôt pessimistes, surtout en France qui est, depuis la Révolution, le laboratoire de l’oligarchie mondialiste.

Lengadoc-info : Si vous êtes pessimistes, doit-on s’attendre à l’arrêt de votre production musicale ?

Antoine : Absolument pas ! Pessimistes ne veut pas dire défaitistes. Nous tâchons de voir froidement la réalité en restant lucides et ne pas perdre nos énergies dans des combats qui ne mènent à rien. La nature mène le monde et c’est toujours l’effort qui l’emporte. Nous voulons nous battre pour ce qui est vrai, pour ce qui est juste, pour ce qui est beau. Et ça, ça passe par les chansons des Brigandes pour toucher le cœur des gens. Notre façon de vivre en clan peut aussi servir de modèle pour d’autres personnes. Notre combat ne vise pas à changer le système, on ne s’appelle pas Rothschild ou Goldman Sachs. Notre combat vise à réveiller des gens et à proposer des alternatives de vie, réveiller des sentiments d’identité chez les gens, tout ça ce sont des petites victoires. Et malgré la censure ça continue puisque notre dernier album est sorti il y a maintenant 2 semaines. Nous travaillons déjà sur un neuvième album. L’absence de clip sur YouTube ne nous empêchera pas de produire des chansons et de les diffuser auprès de ceux qui apprécient notre travail.

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18:19 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Mardi 28 mai : Martial Bild à Bordeaux

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16:31 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Il y aussi une liste royaliste aux élections européennes

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L’Alliance Royale sera présente aux élections européennes du 26 mai prochain. Nos confrères et amis du site Nous sommes partout cliquez ici ont rencontré Cyrille Henrys, vice-président de ce parti politique qui prône l’instauration d’une monarchie adaptée au XXIe siècle.

Comment est née l’Alliance royale ?

Cyrille Henrys : L’Alliance royale est un parti politique fondé en 2001 par Yves-Marie Adeline. C’est à notre connaissance le seul parti politique royaliste officiellement enregistré auprès de la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques. Sa création visait initialement l’élection européenne de 2004, avec l’espoir qu’elle permettrait la réémergence des idées royalistes, comme elle avait permis précédemment au Front national, puis aux écologistes ou à Chasse, pêche, nature et traditions d’acquérir une bonne notoriété.

Quels sont ses objectifs ?

L’Alliance royale a pour objet de promouvoir, auprès des Français, une réforme des institutions, des lois et des politiques inspirées de l’héritage monarchique. Pour faire resurgir dans le débat public la conviction que le principe royal est toujours fécond et efficace en politique, l’Alliance royale vise non pas la restauration d’une royauté idéale sortie du passé (mais à quelle période de sa longue vie de 1400 ans ?) mais l’instauration d’une monarchie adaptée au XXIe siècle. C’est pourquoi nous ne proposons pas de faire table rase du passé mais de commencer à rebâtir la royauté sur la base de la constitution de la VRépublique.

N’est-il pas contradictoire, lorsque l’on est monarchiste, de se présenter aux élections républicaines ?

Cette objection nous est souvent faite, mais elle ne rend pas bien compte de la réalité. Ce n’est pas une question de principe (on votait beaucoup sous l’Ancien Régime et même Hugues Capet a été élu) mais une question de réalisme : pour être présent dans le débat public, il ne suffit pas d’être dans la rue, il faut aussi être présent dans le débat électoral. Bien sûr, il ne s’agit pas de faire élire le roi ; il s’agit de faire connaître et comprendre le principe royal.

Vous présentez une liste aux élections européennes. Quelles sont vos principales propositions ?

Notre proposition essentielle est toujours la même : avoir à la tête de l’État un véritable arbitre, le roi, qui n’a pas à conquérir sa place par une ambition déplacée et des promesses creuses. Parce qu’il ne doit son pouvoir à personne, il est là au service de son peuple ; il ne se préoccupe pas de la prochaine élection ; il travaille pour la prochaine génération.
Nous ne sommes pas là pour développer un programme de gouvernement mais pour préparer le retour du roi. Toutefois, pour répondre aux attentes face aux urgences du moment, nous avançons quelques idées fortes :

  • rétablir les grandes fonctions régaliennes en France : la justice et la sécurité pour tous, une défense forte à nos frontières nationales.
  • redonner au peuple français sa fierté, l’amour de son histoire et de sa forte identité nationale.
  • s’appuyer sur de vraies valeurs : le service du bien commun, le sens du travail bien fait, la solidarité nationale.
  • redonner sa vitalité à notre économie, en réduisant le carcan réglementaire dans tous les domaines ; redresser notre natalité, en donnant la priorité à la famille.
  • arrêter le flux migratoire. Malgré toute la générosité de notre pays, il faut bien admettre que le chômage et l’endettement dépassent la ligne rouge. Dans un pays qui s’endette toujours plus et où des millions de Français sont privés de travail, quel sens cela a-t-il de vouloir prendre en charge la misère du monde, quand on ne prend pas soin correctement de ceux qui souffrent chez nous ?
  • faire des économies. L’État, les collectivités locales et les organismes sociaux sont tous en déficit chronique. Ils doivent s’appliquer les règles qui s’imposent aux entreprises et aux familles. Les hommes politiques ne savent que prendre l’argent dans la poche des gens… C’est tellement plus facile que de réformer.
  • définir de vraies frontières européennes qui défendent les Européens des concurrences déloyales. A défaut, la France doit le faire elle-même, associée avec d’autres pays européens.
  • assurer une véritable solidarité tout d’abord en faveur de nos anciens en réévaluant l’allocation de solidarité aux personnes âgées.
  • protéger notre environnement en commençant par une organisation plus efficace des transports (remettons le fret sur les rails !) et en cessant de défigurant nos paysages par des éoliennes aussi inefficaces que nocives pour les oiseaux comme pour les personnes.

Comment allez-vous vous organiser pour diffuser professions de foi et bulletins de vote dans la mesure où tout est fait pour empêcher les petits partis de se faire connaître ?

Effectivement, la lutte est volontairement inégale entre ceux qui sont assurés d’obtenir le remboursement de leurs frais et ceux qui ne le sont pas. Faute de moyens financiers à la hauteur des coûts, nous ne pouvons recourir qu’aux réseaux sociaux électroniques… en comptant sur nos sympathisants pour faire le relais. Le bulletin de vote est à télécharger sur notre site cliquez là 

Depuis l’assassinat de sa majesté Louis XVI, la France manque d’un roi. Quel héritier verriez-vous sur le trône ?

Notre rôle est de réunir les royalistes autour du principe royal pour le présenter aux Français d’une manière harmonieuse et non pas dans la diversité des fidélités dynastiques, qui peut apparaître incompréhensible voire dissuasive à nos contemporains. En tant que parti royaliste, nous n’avons pas la mission de choisir le roi. Il reviendra au peuple français de donner son assentiment à un prince le moment venu.

Pensez-vous que malgré le lavage de cerveau républicain, l’idée monarchiste peut encore séduire la jeunesse ?

La jeunesse qui a au cœur l’amour de la France et le souci du bien commun est toujours pure et ardente. Elle continue à être attirée par les racines chrétiennes de la France, qui sont aussi royales depuis le baptême de Clovis et de son peuple.

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14:34 Publié dans Européennes 2019 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Familles nombreuses : malheureuses peut-être, écolos sûrement !

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Sabine de Villeroché Boulevard Voltaire

Plutôt le moral en berne, ces familles de trois enfants et plus ; à lire cette enquête de l’UNAF, c’est « 62 % des familles nombreuses qui jugent leur image négative ». Elles avouent se sentir assimilées à « des gens qui profitent», « qui vivent des allocations au lieu d’aller travailler ». Leurs concitoyens les jugent, dans l’ensemble, « bruyantes », « trop envahissantes » et « encombrantes ». Quel triste bilan !

Mais ce n’est pas tout. Au regard négatif de certains, on pourrait rajouter le mépris officiel du président de la République qui, avec cette petite phrase assassine, « Présentez-moi une femme parfaitement éduquée qui ait 7, 8 ou 9 enfants », aurait un peu tendance à prendre les mères de familles nombreuses pour des demeurées.

Ne parlons pas de ces écologistes pour qui les parents sont, à la limite de la délinquance, coupables de procréation. Un nouveau modèle vertueux d’individus est né : les « No Kids », ceux qui renoncent à avoir des gosses pour sauver la planète Terre.

En toute logique, dans leur grande majorité, les familles interrogées par l’UNAF ont le sentiment d’être de moins en moins soutenues par la politique familiale. Plus qu’une impression, c’est la réalité : depuis 2012, les baisses du quotient familial, la modulation de leurs allocations et la disparition des dispositifs locaux (gratuité des transports scolaires, tarifs préférentiels dans la restauration scolaire…) n’ont fait qu’appauvrir les familles. La première de leurs difficultés est d’ordre matériel : 73 % des familles de quatre enfants ont du mal à boucler leurs fins de mois.

Sans encouragement financier, c’est inéluctable : « Le niveau de vie des familles nombreuses est très inférieur à celui des familles de un ou deux enfants. Celles ayant 3 enfants à charge perdent 14 % de leur niveau de vie médian par rapport à celles qui n’en ont que 2. »

Et pourtant, contre toute attente, malgré l’abandon et le mépris des politiques, « les familles nombreuses, loin d’être une population marginale ou résiduelle, sont un phénomène massif et durable ». Plus d’un enfant sur trois, en France, vit en famille nombreuse. Malgré les écolos, malgré les gouvernements successifs, envers et contre tout ; quel héroïsme ! Selon l’UNAF, « avoir 3 enfants demeure l’idéal personnel d’un tiers de la population ». Mystère et grandeur de l’âme humaine qui ne se contente pas d’un bonheur purement matériel vanté par une société consumériste à souhait ?

Osons le mot : la famille n’est pas une espèce nuisible. Elle est même utile : à son prochain, à la société dans son ensemble. Ça vaudrait vraiment le coup de s’en préoccuper. Ne serait-ce que pour penser au renouvellement des générations… et pour plein d’autres raisons : le paiement des retraites, la dynamique d’un pays, la transmission des savoirs, de la culture, de l’identité, l’éducation des citoyens de demain, la solidarité gratuite, l’apprentissage et la consolidation du lien social, la prise en charge des aînés, le refuge des plus fragiles… Tout cela mérite bien d’alourdir un peu la facture la carbone, non ?

Encore que… en matière d’écologie, justement, la famille n’a pas attendu Emmanuel Macron pour avoir des idées : qui dit famille nombreuse dit niveau de vie diminué, choix à l’économie, non-gaspillage, recyclage des vêtements… Dans une famille nombreuse, on « fait attention » à ce que l’on possède, on ne gâche pas, on ne brûle pas beaucoup le kérosène des compagnies d’aviation. Pour Jean-Philippe Vallat, responsable des études à l’UNAF, « avoir une famille nombreuse n’est pas forcément antinomique avec un comportement écolo, au contraire ». N’aurait-on pas sous les yeux le premier cercle vertueux où le geste écologique se pratique et se transmet ?

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12:36 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L'Église ne peut pas coopérer à des trafics humains qui ressemblent à un nouvel esclavage.

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Cardinal Sarah

Je suis scandalisé par tous ces hommes qui meurent en mer, par les trafics humains, par les réseaux mafieux, par l'esclavage organisé. Je reste perplexe devant ces gens qui émigrent sans papier, sans projet, sans famille. Ils pensent trouver ici le paradis terrestre ? Il n'est pas en Occident ! S'il faut les aider, je pense que c'est sur place, dans leurs villages, dans leurs ethnies. On ne peut cautionner ces déséquilibres économiques et ces drames humains. Vous ne pouvez pas accueillir tous les migrants du monde. Accueillir, ce n'est pas seulement laisser entrer les gens chez soit, c'est leur donner du travail. Vous en avez ? Non. Leur donner un logement Vous en avez ? Non. Les parquer dans un endroit indécent, sans dignité, sans travail, ce n'est pas ce que j'appelle accueillir les gens. Cela ressemble plus à une organisation mafieuse ! L'Église ne peut pas coopérer à des trafics humains qui ressemblent à un nouvel esclavage.

Ce que je trouve également scandaleux, c'est qu'on utilise la Parole de Dieu pour justifier cela, Dieu ne veut pas la migration. Le Christ, enfant, s'est réfugié en Égypte, à cause d'Hérode, mais il est rentré chez lui ensuite. De même, Dieu a toujours ramené son peuple en Israël, après chaque famine et chaque déportation en Babylonie. Un pays est un grand trésor, c'est là que nous sommes nés, c'est là où sont enterrés nos ancêtres. Quand on accueille quelqu'un, c'est pour qu'il ait une vie meilleure, et ce n'est pas dans un camp qu'on a une vie meilleure. Quand on est nourri sans travailler, on n'a aucune dignité. Quelle culture avez-vous à leur offrir ? Est-ce que vous êtes encore capable de partager votre culture et vos racines chrétiennes ? J'ai peur que le déséquilibre démographique engendré par ces vagues migratoires vous fasse perdre votre identité et ce qui fait votre spécificité. L'Europe a une mission spéciale que Dieu lui a donnée c'est par vous que nous avons connu l'Évangile, que nous avons connu les valeurs de la famille, la dignité de la personne, et la liberté. Si vous renoncez à votre identité, si vous êtes noyés par une population qui ne partage pas votre culture, vos valeurs chrétiennes et votre identité risquent de disparaître. C'est comme la Rome ancienne envahie par les barbares. Il faut réfléchir aux migrations c'est un nouvel esclavage qu'on organise parce qu'on a besoin de travailleurs. Toutes ces personnes qui viennent ici en croyant trouver une vie rêvée. Quel mensonge ! Quel cynisme ! Benoît XVI fut particulièrement clair et prophétique sur toutes ces questions. [...]

Vous avez été façonnés par le christianisme, tout est chrétien en Europe. Pourquoi nier cela ? Aucun musulman ne nie son identité. Si vous ne retrouvez pas ce que vous êtes, vous disparaîtrez. Et si l'Europe disparaît, il y aura un bouleversement épouvantable: le christianisme risquerait de disparaître sur la surface de la terre. Voyez bien que vous êtes envahis par l'islam: ils veulent islamiser le monde entier, et ils ont les moyens financiers. Ils ne réussiront pas, parce que le Seigneur est avec nous jusqu'à la fin du monde. Mais il ne faut pas nier ce que vous êtes : ceux que vous accueillez doivent s'intégrer à votre culture. Encore faut-il que vous ayez une culture : vous ne pourrez pas les accueillir dans votre athéisme, dans votre matérialisme, dont ils ne veulent pas.

 
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09:33 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 08 mai 2019

L’Algérie aux Algériens. L’Afrique aux Africains. Européen maître chez toi !

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Pieter Kerstens

Les printemps arabes sont derrière nous et les « Révolutions » ont fané le jasmin pour aboutir à des guerres civiles en Lybie et en Syrie, orchestrées par des coalitions ayant des visées nauséabondes.

En Algérie, l’armée a sorti la clique du dictateur Bouteflika et il semblerait que les manifestations populaires successives aboutissent à un nettoyage anticorruption. Des milliardaires comme les frères Kouninef et Issad Rebrab, ainsi que l’ex-premier ministre Ouyahia et l’actuel ministre des Finances Mohamed Loukal devraient rendre des comptes devant la Justice. Depuis 57 ans, l’Algérie était dominée par un parti unique, le FLN (Front de Libération Nationale), qui s’est accaparé tous les leviers du Pouvoir en instaurant un réel régime totalitaire et menant le pays à la ruine alors même qu’il dispose de richesses innombrables qui lui assurait une totale auto-suffisance alimentaire il y a plusieurs décennies. Possédant des ressources pétrolières, gazières, agricoles et industrielles importantes, capables d’assurer un niveau de vie acceptable pour ses 45 millions d’habitants, force est de constater que ses caisses sont vides, que le chômage touche la moitié des 15 à 25 ans et que les colons Français ont été remplacés par des travailleurs chinois qui s’emparent des marchés publics à vil prix.

Quand Emmanuel Macron déclare que « la colonisation a été un crime contre l’humanité » et que quelques mois plus tard il rend hommage à Maurice Audin membre du Parti Communiste Algérien, il oublie de préciser que ce militant communiste avait choisi le camp des ennemis de la France. Parce que depuis le 7 janvier 1957, les militaires agissaient en toute liberté car ils étaient investis des pouvoirs de police que leur avait donné le gouvernement socialiste avec le soutien des communistes, pour mener la bataille d’Alger contre le FLN. Notre devoir de mémoire nous impose ce rappel : François Mitterrand, ministre de l’Intérieur avait aussi déclaré « l’Algérie c’est la France ! ».

PLUS UN EURO POUR L’AFRIQUE. L’ARGENT POUR NOS HOPITAUX D’ABORD !

De tous côtés on entend des propositions aussi variées que saugrenues pour arrêter l’immigration-invasion qui déferle sur l’Europe depuis trop longtemps et avec la complicité des eurocrates de Bruxelles. Ces euro-mondialistes sont évidemment soutenus par les instances de l’ONU, qui en 2000 avaient pondu un rapport signé par un certain Joseph Chamie, rapport qui conseillait aux gouvernements européens d’accueillir 165 millions d’immigrés extra-européens à l’horizon 2025, seule façon de palier au vieillissement des populations et de pouvoir payer les retraites futures.

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16:44 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Thierry Bouclier dédicacera sa biographie d'Alphonse de Chateaubriant (Pardès - Qui suis-je ?) vendredi 17 mai à la Nouvelle Librairie à Paris

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