mardi, 05 novembre 2019
5 NOVEMBRE 1988-5NOVEMBRE 2019 : ANNIVERSAIRE DE LA MORT DE JEAN-PIERRE STIRBOIS
10:13 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Dimanche 10 novembre à 14 h 30 : le Parti de la France participera au rassemblement de soutien à Eric Zemmour devant C News à Boulogne-Billancourt
Le Parti de la France invite ses militants et sympathisants à participer au rassemblement pour la liberté d'expression d'Éric Zemmour, organisé dimanche 10 novembre à 14h30 par Riposte Laïque et Résistance républicaine devant le siège de la chaîne CNews (1, Rue les Enfants du Paradis, Bâtiment C, Boulogne-Billancourt).
Alexandre Simonnot, Conseiller municipal de Taverny, prendra la parole au nom du Parti de la France.
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lundi, 04 novembre 2019
Émeutes urbaines: la répétition générale.
23:21 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
FRANÇAISE DES JEUX VERSUS PMA : CONTRE LE LIBERTARISME
Franck BULEUX
Un an après, qu’est devenue la dynamique des Gilets jaunes du 17 novembre 2018 ?
Fruit des réseaux sociaux, du spontanéisme apolitique, d’une espèce de révolte fiscale de ceux qui n’ont rien face aux élites, ce mouvement avait commencé, fort opportunément, en mettant en cause le système dirigeant incarné par Emmanuel Macron, élu par la conjonction des puissants, c’est-à-dire par celles et ceux qui estiment que la société leur apporte consumérisme économique et joie (s) sociétale (s). Une économie libérale dans une société de droits individuels illimités, double fondement de notre pouvoir actuel, qui doit nous apparaître comme l’élément structurant du système à combattre.
Le libéral libertarisme est l’idéologie du système, une forme d’aile libérale du Parti démocrate américain, où il est de bon ton d’organiser le « laissez faire ».
Illustrons cette politique par des actes, a priori sans lien. D’un côté, la vente des aéroports de Paris (ADP) et de la Française des jeux (FDJ) mêlés, d’un autre côté, à la PMA (procréation médicalement assistée) pour toutes, c’est-à-dire sans pères, illustrent bien la cohésion de cette politique : le libéralisme libertaire. Vendre des sociétés nationales qui fonctionnent bien au profit d’actionnaires et rendre les droits individuels supérieurs à toute notion d’intérêt général, c’est la double structure idéologique de notre Président.
La politique menée est amorale. Vendre la FDJ, c’est laisser à l’entreprise privée le soin de gérer des jeux d’argent. Dans quelques années, il n’est pas très compliqué de penser qu’il y aura des dérives. Les jeux de hasard (sic) ne le restent pas souvent lorsqu’ils sont dans les mains de personnes peu scrupuleuses. Un vieux fond de moralisme, français notamment, a toujours condamné les jeux d’argent, à telle enseigne qu’il a fallu attendre la captivité du roi François 1eraprès la défaite de Pavie, pour que l’État se décide de créer une loterie nationale dans le but de payer l’exorbitante rançon imposée. Plus près de nous, après la Grande Guerre, l’association des Gueules cassées et la Fédération Maginot prenant en charge des anciens combattants furent les bénéficiaires de la Loterie nationale. Ces deux associations sont d’ailleurs toujours actionnaires de la FDJ, qui a succédé à la Loterie nationale. Avec la FDJ, l’État exerce une tutelle morale sur le monde des jeux d’argent, évitant la politique des bookmakers véreux torpillant les sports avec des paris truqués. Or, voilà que l’État macroniste, selon la logique libérale qui l’inspire, décide de privatiser, donc de vendre la FDJ.
Nous ne doutons pas que des investisseurs seront intéressés mais ces investisseurs protégeront-ils les intérêts des anciens combattants et des blessés de guerre ?
FDJ, ADP… L’État se désengage économiquement tout en s’engageant pleinement dans notre vie privée, en permettant la PMA pour toutes, PMA qui n’est, probablement, qu’une marche vers la gestation pour autrui (GPA). Une loi pour les époux Fogiel, en quelque sorte ? Il s’agit, ici, d’orienter notre futur, l’enfant sur catalogue, en fonction de critères imposés, bien entendu. On le voit clairement, l’État ne veut plus contrôler l’économie (la Seine-Saint-Denis, nouvelle « Californie » dixit Macron, s’auto-gère d’ailleurs via l’économie parallèle) mais se place clairement sur la case « vie privée ».
Le pouvoir semble attendre ses limites économiques mais perçoit un intérêt à devenir un guide sociétal.
C’est ce système, libéral-libertaire, contre lequel il faut s’opposer. Les Gilets jaunes n’ont été qu’un espace de furtivité médiatique limité au samedi et à des considérations liées au pouvoir d’achat.
L’esprit « gilet jaune » ne peut se concevoir que s’il définit un ennemi principal, cette politique libérale-libertaire qui se conçoit sans la volonté populaire.
Seules les notions de conservatisme (protéger ce qui est, par essence, de la tradition) et de populisme (comprendre les exigences du peuple) réunies peuvent lutter contre cet esprit progressiste, qui met en place un panurgisme systémique.
Un an après, que reste-t-il d’un mouvement qui, en se focalisant sur l’attitude provocante d’un homme, en a oublié de s’en prendre à son idéologie.
Que l’État s’occupe de la FDJ et non de la PMA, et pas l’inverse ! Mais l’inversion des valeurs semble être dans la nature du nouveau pigiste de Valeurs actuelles…
Source Métainfos.fr cliquez ici
23:15 Publié dans Franck Buleux | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Franck Abed analyse la révolte des Gilets jaunes
Franck Abed est un historien engagé. Il est monarchiste et catholique de tradition. Et cela ne l'empêche pas de s'intéresser de près à ce qui se passe dans le monde et en France en particulier. De la même manière, il a toujours privilégié les moyens modernes de communication. Ainsi, il y a une dizaine d'année, il fut un précurseur en réalisant des entretiens filmés de qualités avec les responsables et les écrivains de notre famille politique, assurant ainsi la promotion de bien des les projets qui voyaient alors le jour.
Il est aussi un observateur et un théoricien politique qui analyse l'actualité en restant fidèle à ses idées. Il a donc suivi de près les Gilets Jaunes, mouvement de protestation apparu en France en novembre 2018.
Au fil des semaines, il a rédigé des articles d’analyse sur ce phénomène social, politique et culturel, en rappelant qu’un combat mené sur de mauvaises bases ne pouvait déboucher sur un « Grand Soir » tant espéré par les protestataires. Effectivement, les différentes manifestations organisées par les Gilets Jaunes, loin de montrer la force de la France des sans-grade, ont rappelé que, sans doctrine sûre et sans une organisation digne de ce nom, il était extrêmement difficile de faire vaciller la République.
Nous ne pouvons que vous conseiller de lire le petit livre qu'il vient de publier sur ce conflit qui, bien que démarré avec des références intéressantes, s'est très vite vu récupéré par les larbins du Système.
S.N.
Gilets jaunes, les raisons d'un échec dévoilé, Franck Abed, Editions orviloise, 80 pages, 8 euros
Pour acheter ce livre cliquez ici
23:04 Publié dans Gilets Jaunes, Les entretiens avec Franck Abed, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Terres de mission : Transcendance en terre d’islam
Guillaume de Thieulloy reçoit avec l’abbé Guy Pagès, prêtre du diocèse de Paris, Moïse, jeune converti de l’islam au christianisme. Ce dernier évoque son itinéraire, le rôle de Bernanos dans sa découverte du Christ et son accueil dans l’Eglise, après la découverte de la transcendance en terre d’islam.
18:25 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Pierre Cassen : Chanteloup-les-Vignes brûle, mais c'est Zemmour qu'il faut éliminer...
09:11 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 03 novembre 2019
L’immigration, source majeure de nos maux
Le billet de Patrick Parment
Le climat est morose et le bateau prend l’eau de toute part. Le gouvernement s’est engagé dans un train de réformes qui irrite tout le monde et plus encore cette France périphérique des Gilets jaunes et des classes moyennes. Partout souffle un vent de révolte : chez les pompiers, dans la police, à l’hôpital, dans l’enseignement, dans la justice, etc. La seule réforme des retraites qui mobilise la SNCF le 5 décembre prochain risque fort de cristalliser tous les mécontentements. Quand bien même les syndicats ne représentent-ils plus le monde des travailleurs, le patron de la CFDT, Laurent Berger, le confirme, les fractures territoriales et sociales sont loin d’être réduites.
Nul besoin d’être grand clerc pour en connaître la raison majeure : l’immigration qu’elle soit clandestine ou pas.
Si les gouvernements de gauche comme de droite s’étaient employés à la juguler et à contenir l’islam nous n’en serions pas là aujourd’hui. C’est que l’immigration impacte tous les secteurs de la société, économiquement d’une part et, plus grave encore, culturellement. Le gouvernement doit faire face à un marché du travail très étroit quand par ailleurs il s’est largement employé à désindustrialiser notre pays et à créer du chômage. Dernier exemple en date, la vente d’Alstom à l’américain General Electric sur les conseils d’une certaine énarque Clara Gaymard, vendu aux Américains depuis belle lurette et de son irresponsable patron d’alors, un certain Patrick Kron. En cause également, un certain patronat français toujours à l’affût d’une main d’œuvre bon marché histoire de faire la nique aux revendications syndicales.
Bref, à tous les échelons de la société française on bute sur les effets pervers d’une immigration largement incontrôlée, malgré quelques efforts ridicules (15 794 soi-disant reconduites à la frontière en métropole). Il est donc urgent de repenser nos politiques migratoires et d’arrêter en urgence outre le regroupement familial, d’octroyer la nationalité française ou d’accorder le droit d’asile. D’autant que l’on sait très bien que ceux qui se le voit refuser demeure en France malgré tout.
Mais il y a surtout urgence culturellement. Car les Français – pas nos pseudo élites gaucho-bobos aussi imbéciles qu’aveugles mais acharnées à défendre leur casse-croûte -, ont le sentiment largement partagé qu’ils n’habitent plus leur propre pays. A cela une raison majeure, la déliquescence de notre système éducatif, la veulerie de notre classe politique agenouillée devant le Veau d’Or des droits de l’homme, le laxisme de certains juges, la trouille de passer pour raciste et la soumission au libéralisme anglo-saxon. Paradoxalement, ce sont les pays de l’ex-Europe de l’Est – sans compter la Russie -, qui nous donnent l’exemple par la défense acharnée de leur identité. D’où les conflits avec cette galéjade qu’est l’Union européenne. Un traitement à la paille de fer s’impose. Mais y-a-t-il encore sur ce continent un homme capable de porter les espérances des peuples européens ?
10:40 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Présidentielle : ne nous laissons pas enfermer dans le piège du Système.
10:37 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
JEUDI 7 NOVEMBRE : LIONEL BALAND, SPÉCIALISTE DES DROITES EUROPÉENNES, EST L'INVITÉ DE L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR RADIO LIBERTÉS
09:48 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La campagne de promotion du livre "Ordre nouveau raconté par ses militants" bat son plein
Après Angers la semaine dernière où Jacques Mayadoux, accompagné de Jean-François Santacroce, de Franck Timmermans et de Véronique Péan, étaient reçus par l'Alvarium animé par Jean-Eude Gannat (plus de 80 participants), ce sera Strasbourg qui marquera à sa façon le cinquantième anniversaire d'Ordre nouveau le 9 novembre prochain. Une réunion sera animée par Jacques Mayadoux, André Chanclu et par Robert Spieler, ancien député et ancien vice-président de l'Alsace, chroniqueur à Rivarol et fondateur, à l'époque, de la section locale d'Ordre nouveau.
Achetez le livre cliquez ici
00:59 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le prix Nobel d’économie Robert Shiller voit des bulles et des krachs à venir partout !
Marc Rousset
Christine Lagarde, interrogée tout récemment sur RTL pour savoir si elle avait des craintes au sujet d’un krach financier, a répondu que la question ne se posait pas et qu’au FMI, on se préoccupait seulement de taux de croissance ! Mme Lagarde, comme les boursiers et les médias, ne veut voir que ce qu’elle croit, alors que l’investissement recule aux États-Unis et que la croissance américaine est à son plus bas, en rythme annuel, depuis trois ans. A contrario, selon le milliardaire américain Ray Dalio, fondateur de la société d’investissement Bridgewater Associates, le pape du marché obligataire mondial, tout comme Warren Buffett est le pape du marché mondial des actions, la situation est « effrayante » !
Ce mercredi 23 octobre, à Los Angeles, le prix Nobel Robert Shiller, l’auteur du livre Irrational Exuberance qui a prédit le krach boursier de 2000 et le krach immobilier de 2007, professeur d’économie à Yale, a déclaré, à l’occasion du lancement de son dernier ouvrage Narrative Economics : « Je vois des bulles partout, il n’y a pas de solution sur les marchés actions, sur les marchés obligataires et sur le marché immobilier », sur le site Investor’s Business Daily en date du 25 octobre 2019.
Shiller est un saint Thomas très intelligent qui ne s’embarrasse pas des pourquoi théoriques des bulles actuelles de tous les actifs en même temps, même si la seule explication valable est la fuite en avant de la création monétaire laxiste ainsi que les bas taux d’intérêt, les taux négatifs des banques centrales, mais il nous éclaire avec un ratio financier indiscutable, appelé le CAPE (Cyclically adjusted price-to-earnings ratio) ou Shiller P/E. En bon français, c’est tout simplement le ratio représentatif cours/bénéfice par action sur dix ans. Le bénéfice retenu n’est plus le dernier bénéfice comptable annuel trop volatil, mais le bénéfice moyen correspondant à une moyenne mobile calculée sur dix ans des bénéfices réajustés chaque année, en tenant compte de l’inflation monétaire.
Premier élément fondamental : le coefficient moyen P/E Shiller pour le XXe siècle, de 1881 à nos jours, s’élève à 15,21 alors qu’il est aujourd’hui à 29, soit pratiquement le double ! En 1929, il était de 35 et le Dow Jones chuta de 13%, le 28 octobre. En 1987, il n’était que de 16 et la grande faute des banques centrales fut d’élever les taux d’intérêt, ce qui entraîna le plus grand krach de l’Histoire le 19 octobre 1987, avec une chute du Dow Jones de 23%. En 2000, le coefficient Shiller était de 45, ce qui entraîna une correction de 49% entre 2000 et 2002. En 2007, le coefficient Shiller était à 25, donc légèrement inférieur au 29 actuel, ce qui entraîna une correction de 57% de 2007 à 2009.
De plus, Shiller s’inquiète autant pour les obligations, dont les cours anciens s’envolent suite à l’écroulement des taux d’intérêt, que pour les actions. Il remarque que le fonds obligataire SPDR™ Portfolio Aggregate Bond ETF a généré un rendement de 8,31% cette année, soit deux fois plus que la moyenne annuelle de ces dix dernières années. Quid le jour où les taux finiront par s’inverser ?
Shiller est un peu moins pessimiste pour la bulle immobilière car, si une bulle est de nouveau en train de se reconstituer aux États-Unis, au même niveau qu’en 2005, avec des fonds immobiliers progressant parfois de 29 % en 2019, soit davantage que les 20 % de progression des actions du S&P 500, l’Amérique a toujours en mémoire la sinistre crise des crédits immobiliers subprime de 2008 pour freiner son avidité.
En résumé, si la baisse des taux et le laxisme monétaire continuent avec Lagarde, qui a déclaré « On sera plus content d’avoir un emploi que d’avoir une épargne protégée », la bulle des actifs pourra gonfler encore jusqu’au krach boursier et la perte de confiance dans la monnaie. Et si les taux remontent, le système explosera immédiatement, comme en 1987, avec un krach boursier encore plus violent ! C’est la raison pour laquelle le très humble et réaliste Shiller, face aux conséquences de la folie humaine passée, n’a plus de solution à nous proposer.
00:46 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 02 novembre 2019
Journal du chaos
Pour télécharger cliquez ICI
09:22 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 01 novembre 2019
De l'immigration de travail à l'immigration de colonisation.
Loin des propos lénifiants d'un Hervé Le Bras ("L'immigration est stable en France depuis vingt ans") ou de la désinformation d'un Filippo Grandi, directeur de l'Instance des Nations Unies pour les réfugiés ("L'impression d'une ruée migratoire vers l'Europe est fausse"), la démographe Michelle Tribalat s'efforce depuis des années de rétablir la vérité en se basant sur l'étude historique rigoureuse et la réalité des chiffres, ne serait ce, a minima, que ceux, officiels, du ministère de l'Intérieur ou de l'Insee.
17:07 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Manifestation de Génération identitaire le dimanche 17 novembre à Paris
Un communiqué de Génération identitaire
Le 3 octobre dernier, la France a de nouveau été frappée par le terrorisme islamiste. Mickaël Harpon, Martiniquais converti à l’islam, a froidement assassiné quatre de ses collègues de la préfecture de police de Paris en les poignardant avec un couteau en céramique. Harpon était habilité secret-défense alors qu’il fréquentait des imams salafistes fichés par la DGSI. Un islamiste était donc infiltré au plus haut niveau de l’État, du jamais vu dans toute notre Histoire.
Tragique ironie, en novembre 2017, la préfecture de police de Paris avait interdit la manifestation contre l’islamisme organisée par Génération Identitaire à l’occasion des 2 ans de la tuerie du Bataclan, interdiction qui a finalement été annulée par la justice.
Face à ce nouveau bain de sang démontrant l’existence d’un ennemi intérieur, Génération Identitaire appelle à descendre dans la rue pour dénoncer les djihadistes et tous ceux qui les soutiennent.
Nous n’accepterons jamais de vivre dans la peur sur notre sol. Ensemble, déclarons la guerre totale aux islamistes !
En savoir plus cliquez là
17:06 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
POPULISME : LA GROSSE BÊTE QUI MONTE, QUI MONTE…
Pierre Vial, président de Terre et peuple
En Italie, les élections en Ombrie ont marqué un grand succès pour la Ligue de Matteo Salvini, dont la candidate, Donatella Tesci, a écrasé , avec 57,5 % des suffrages, son concurrent de la liste Parti-Démocrate- Mouvement des 5 étoiles.
En Allemagne, l’AFD (Alternative pour l’Allemagne) est arrivée en deuxième position dans les élections régionales de Thuringe. Avec 23,5% des suffrages, elle double son score du scrutin précédent et, plus important encore, elle est en tête chez les électeurs de 18 à 59 ans. La CDU de Merkel est en chute libre (21,8% des voix). Le candidat de l’AFD, Björn Höcke, représente l’aile la plus identitaire de son mouvement.
Macron a déclaré à La Réunion : « Le port du voile dans l’espace public n’est pas mon affaire ». Il pratique ainsi la politique de l’autruche car chacun sait que le port du voile est un signe d’appartenance proclamée à l’islam et donc un défi à tous ceux qui refusent l’islamisation de la France, qui se fait sous une forme rampante mais aussi sous une forme provocatrice – car il s’agit de tester la capacité de résistance des Infidèles. Pendant ce temps, les Gaulois ne font plus confiance au Système en place. D’après un récent sondage Ipsos, 75 % d’entre eux estiment que les partis traditionnels et les politiciens ne se soucient pas d’eux. Cette défiance ne peut qu’être augmentée par l’incohérence des propos gouvernementaux : ainsi Marlène Schiappa, secrétaire d’État chargée de l’Egalité entre les hommes et les femmes (!), a déclaré : « Je ne suis pas favorable à interdire le voile dans les sorties scolaires (…) Ce qui est primordial pour moi, c’est de protéger les enfants du fait religieux dans l’école ». Donc le voile n’est pas « un fait religieux » ? C’est décidément une marque du macronisme : tout et le contraire de tout.
17:01 Publié dans Les Nouvelles du Front de Pierre Vial | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Les journées Bleu Blanc Rouge de Synthèse nationale : les interventions
Samedi 12 octobre
Samedi, 14 h 30 : message de Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale
Premier forum :
Samedi, 14 h 40 : Hugues Bouchu, délégué des Amis franciliens de Synthèse nationale
Samedi, 14 h 55 : Caroline-Christa Bernard, artiste, témoin de l'attaque du Bataclan
Samedi, 15 h 15 : le Bastion Social dissout en avril dernier
Samedi, 15 h 25 : Daniel Conversano, blogueur, animateur de Suavélos
Samedi, 15 h 35 : Yvan Benedetti, porte-parole des Nationalistes
Samedi, 15 h 50 : Jérôme Bourbon, directeur de Rivarol
Deuxième forum :
Samedi, 16 h 30 : Alberto Martin, secrétaire général de l'ASIM (Espagne)
Samedi, 16 h 45 : Irène Dimopoulos-Papa , directrice de (Grèce)
Samedi, 16 h 55 : Athanasios Konstantinou, député européen de l'Aube dorée (Grèce)
Samedi, 17 h 10 : Thomas Ferrier, essayiste, président du Parti des Européens
Samedi, 17 h 25 : Gabriele Adinolfi, fondateur de l'Institut Polaris (Rome)
Troisième forum :
Samedi, 18 h 00 : Anne Brassié, écrivain
Dimanche 13 octobre
Forum du matin
Dimanche, 11 h 30 : Jorge Alvarez, professeur d'histoire (El Cadenazo - Espagne)
Dimanche, 11 h 45 : Jean-Eude Gannat, l'Alvarium (Angers)
Dimanche, 11 h 55 : Ernest Tigori, écrivain ivoirien
Dimanche, 12 h 15 : Bernard Monot, économiste, ancien député européen
Dimanche, 12 h 30 : Vincent Vauclin, président de la Dissidence française
Dimanche, 12 h 45 : Jean-François Touzé, membre du Bureau politique du Parti de la France
Après-midi :
Dimanche, 15 h : le concert des Brigandes
Dimanche, 17 h : Serge Ayoub
Dimanche, 17 h 15 : Filip Dewinter, député d'Anvers (VB)
Dimanche, 17 h 25 : Jean-Marie Le Pen
Dimanche, 17 h 45 : Martin Peltier, journaliste
Dimanche, 18 h 00 : Alain Escada, président de Civitas
Dimanche, 18 h 15 : Thomas Joly, secrétaire général du Parti de la France
Dimanche, 18 h 25 : Pierre Cassen, fondateur de Riposte laïque
Dimanche, 18 h 35 : Pierre Vial, Président de Terre et peuple
Dimanche, 18 h 45 : Olivier Roudier, porte-parole de la Ligue du Midi.
Merci à Mathieu MG et à TV patriotes pour leur aimable collaboration.
01:21 Publié dans 13 - Les 13e Journées de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 31 octobre 2019
L'émission "Synthèse" sur Radio Libertés avec Matthieu Baumier, essayiste et romancier
19:13 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L'islamisme et la paralysie des idéologues de gauche
Jean-Gilles Malliarakis L'Insolent cliquez ici
L'audition, ce 30 octobre, du préfet Lallement devant une commission de l'Assemblée nationale ouvre un nouveau champ de réflexion. Et, dans son ensemble d'ailleurs, l'affaire Mickaël Harpon remet en cause la doxa politiquement correcte, à propos de l'islamisme.
On découvre en effet, au gré de ce dossier, des concepts inattendus. Les députés travaillant très officiellement sur "l'attaque" du 3 octobre dans l'enceinte de la préfecture de police, font ressortir, qu'ils le veuillent ou non, un certain nombre de notions nouvelles.
Et celles-ci contredisent largement les idées reçues, lesquelles dans notre malheureux pays, viennent de la gauche et de ses idéologues.
Court-circuitant la notion de terrorisme (article 421 du Code pénal), on nous dit en effet que l'intéressé n'a pris ses ordres auprès d'aucun "calife". Il ne se rattache pas plus au défunt al Baghdadi, – que nous ne regrettons certes pas mais dont la mort ne change pas grand-chose, - que du bien vivant Recep Tayyip Erdogan. On nous révèle que les services spécialisés n'enquêtent pas dans ce sens.
On nous dit simplement que ce sinistre traître était simplement atteint d'un "délire mystique" alimenté par une idéologie, le fondamentalisme islamique.
Cela veut donc dire que cette forme de délire d'inspiration islamiste peut tuer. Dont acte.
Cela veut dire que ce "mysticisme" lui-même appelle, et par conséquent aussi ce qui l'alimente, appelle, tout autant que le "terrorisme", puisqu'ils tuent eux aussi, un traitement répressif. Ils nécessitent une riposte policière et pénale, riposte fondée sur des définitions légales inédites à ce jour, riposte qui requiert l'appui des citoyens, riposte qui impose particulièrement la mobilisation des fonctionnaires. La négligence, a-t-on découvert, a provoqué l'incendie de Notre-Dame : en face, à la préfecture de Police, la même insouciance coupable a laissé un serpent se réchauffer au sein des services censés protéger les citoyens.
On doit donc désormais se préoccuper grandement de cette absence de vigilance. Ceux qui ont repéré les changements d'attitude fort significatifs du converti salafiste Harponne ne les ont pas signalés soulignent les enquêteurs. Ses scandaleux propos de 2015, approbateurs sur l'attentat de Charlie Hebdo, n'ont donné lieu à aucune sanction. Toute cette déplorable inaction pourrait donc, à l'avenir, être considérée comme de la complicité.
Un sophisme courant consiste à nous objecter les sacro-saints principes de la laïcité qui se définirait comme liberté "de croire ou de ne pas croire".
Une telle affirmation ne veut rien dire.
En quoi, en effet, est-on libre "de croire", selon cette formule, dans la France républicaine ? Il ne s'agit pas, en l'occurrence de dire que l'on peut légalement professer que la terre est plate, encore qu'une telle contre-vérité n'entraînera pas de poursuites judiciaires.
La laïcité, c'est-à-dire la liberté religieuse telle que définie par la loi de 1905, concerne exclusivement au départ les diverses formes du judéo-christianisme en déplorant qu'elles n'aient cessé de se combattre entre elles depuis 2000 ans.
Sur ce point, au moins, je crois que nous sommes tous d'accord. Nous ne voulons plus jamais en France de saint-barthélemy, quel que soit le camp qui la provoque, ni de révocation de l'édit de Nantes. Ce sont en effet leurs déchirements, aux temps de la Guerre de Trente Ans (1618-1648) que les rose-croix du XVIIe siècle prétendaient dépasser. C'est à ces diverses confessions que pensaient au XVIIIe siècle les constitutions d'Anderson fondatrices de la franc-maçonnerie spéculative anglaise, laquelle prohibait en 1717, et condamne encore, l'athéisme (1). C'est à elles que se réfère l'édit de tolérance du roi Louis XVI de 1787, la déclaration de 1789, quand elle affirme (article 10) que "nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la Loi." ce sont elles, également, et elles seules, que le concordat de 1801 en France, le sanhédrin de 1807, puis la loi de séparation de 1905, eurent la prétention d'organiser, etc. Ajoutons, à deux siècles de distance, que les diverses familles spirituelles de nos pays européens doivent d'autant plus aujourd'hui savoir dépasser leurs divergences qu'elles se trouvent confrontées aux mêmes adversaires.
L'islamisme a-t-il été du nombre, tout au long de notre histoire ? À la vérité, au départ, non. Pas plus que la Turquie n'a d'autre place que celle des menaces qu'elle a incarnées pendant des siècles et qu'elle réaffirme aujourd'hui.
Une mosquée, lieu de prédication, et non de "culte", ne devrait donc pouvoir s'installer et prétendre rayonner légalement, – à l'instar de la pagode bouddhiste, par exemple, qui ne dérange personne, – qu'à la condition de prouver désormais, pour chacune d'entre elles, que sa prédication n'est pas contraire à la cohabitation sociale et n'incite pas à la haine. Non pas entre des "communautés", car ce concept n'existe pas en droit français, mais entre les personnes.
En effet "La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui" (article 4 de la déclaration de 1789).
Contrairement à ce que l'on entend trop souvent, il est dans notre république des opinions interdites. J'ai cru comprendre que tout ce qui s'apparente à l'hitlérisme, à son apologie, à l'expression d'une quelconque nostalgie, y compris par voie de collection d'objets fétiches, est susceptible de poursuites judiciaires. Rien de plus compréhensible. Je m'étonne seulement quant à moi, que le stalinisme et le maoïsme qui ont fait quantitativement, et sur une plus longue période, dans un plus grand nombre de pays, des millions de morts ne soient pas mis sur le même plan. D'autres croyances, d'ailleurs, sont légitimement suspectes et nous les appelons des sectes.
Tant que toutes ces questions ne sont pas résolues, on ne doit pas accepter comme deuxième religion de France, la première religion de l'Arabie.
(1) Ce qui la distinque et l'oppose à la franc-maçonnerie dominante en France, celle du grand orient qui a éliminé en 1877 toute référence au "grand architecte de l'univers".
10:34 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 30 octobre 2019
Numéro hors-série de Valeurs actuelles sur l'Algérie française.. Un entretien avec Arnaud Folch
Entretien réalisé par Nicolas Gauthier
Arnaud Folch : “Les vérités interdites sur l’Algérie française »
Vous venez de consacrer votre dernier hors-série de « Valeurs actuelles » aux « vérités interdites » sur l’Algérie française. Près de 60 ans après l’indépendance, il y a encore des « vérités interdites » ?
Qui sait que le FLN – toujours au pouvoir en Algérie – a massacré plus de 200.000 Pieds noirs et harkis de 1954 à la fin 1962, dont la plus grande partie après les accords d’Évian ? Qu’il s’est rendu coupable d’effroyables exactions et tortures de masse notamment à l’encontre de la population musulmane qu’il prétendait vouloir « libérer » ? Qui se souvient que Paris a vécu durant cette même période une vague de meurtres et d’attentats sans précédent dans son histoire – entre 6.000 et 7.000 morts ? Qui ose rappeler que la quasi-totalité des chefs de l’OAS et des personnalités pro-Algérie française furent d’authentiques résistants de la première heure en 1940 ? La première des vérités interdites, qui englobe toutes celles que nous traitons, c’est que nous vivons depuis 57 ans sous le joug d’une vérité officielle qui n’est autre qu’un gigantesque mensonge d’État.
Vous parlez de tortures et d’exactions du FLN, apportez-vous des preuves ?
Nous reproduisons plusieurs dizaines de documents classés « confidentiel » et « secret défense » qui l’attestent. Certains révèlent des faits ahurissants, qui, lorsqu’ils étaient évoqués, étaient systématiquement niés, tels ces Françaises envoyées dans les bordels d’abattage du FLN ou ces prisonniers utilisés comme « réservoir à sang », jusqu’à leur mort, pour les soldats de l’armée de la pseudo-« libération ». Mais nous révélons aussi les incroyables complicités dont les terroristes ont bénéficié du côté du pouvoir, à Paris : l’action meurtrière des barbouzes, la quasi-impunité des « porteurs de valise », tous libérés après les accords d’Évian, l’interdiction faite à la Croix rouge par Louis Joxe, ministre des Affaires algériennes du général de Gaulle, de visiter les camps de détentions d’européens tenus par le FLN, ou encore ces cas de civils français échappés des geôles ennemis et rendus à leurs bourreaux…
L’armée française – cela est avéré – s’est aussi rendue responsables d’actes de tortures…
Certes, pour autant il faut là aussi rétablir la vérité : cela fut sans commune mesure avec le nombre et la barbarie des exactions du FLN. Comme l’a reconnu plus tard le très gaulliste général Massu « il y avait des risques et des accidents se sont produits. Mais ce n’était tout de même qu’une pression physique, même violente, utilisée pour le renseignement immédiat et ne dégradant pas l’individu ». Rien à voir avec les abominations du FLN dont témoignent les documents que nous publions : infanticides, viols collectifs, émasculation, corps déchiquetés, yeux crevés…
Vous consacrez un article aux « guillotinés de Mitterrand »…
C’est un autre tabou français. Interrogez les Français sur Mitterrand et la peine de mort, immédiatement on vous répondra : 1981, Badinter et l’abolition. Or le même Mitterrand, ministre de la Justice, de juin 1956 à mai 1957, s’est montré à cette époque l’un des plus farouches partisans des exécutions capitales. Sur les 45 peines de morts à l’encontre de terroristes FLN qu’il a eu à « traiter » durant cette période, il ne s’est prononcé en faveur de la clémence qu’à huit reprises ! C’est à lui, notamment, que l’on doit l’exécution du communiste Fernand Iveton, devenu depuis, avec Maurice Audin et quelques autres, l’une des icônes de la repentance…
D’où vient, sur la guerre d’Algérie, cette omerta que vous dénoncez ?
Du postulat de base, imposé par la doxa gaulliste, puis propagé ensuite par les médias bien-pensants et l’esprit de repentance : les Français d’Algérie – une terre qui a pourtant été française bien avant Nice et la Savoie ! – sont coupables, forcément coupables ; et le FLN victime, forcément victime. Au nom de la « raison d’État », non seulement le pouvoir a laissé faire les massacres, mais il les a souvent cautionnés. Tout un symbole : le général Katz, qui a laissé tuer plus de 700 Pieds noirs à Oran le 5 juillet 1962, a été décoré un mois plus tard par le ministre des Armées Pierre Messmer en personne de la Croix de la valeur militaire, avant d’être promu général quatre, et cinq étoiles. Puis, dans les années 1070, d’être élu conseiller général de l’Allier sous l’étiquette gaulliste…
Hors-série « Valeurs actuelles » « Algérie française, les vérités interdites », 132 pages, 10,90 euros Disponible en kiosque et sur boutique.valeursactuelles.com
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Diffamation de SOS Racisme : l'Alvarium porte plainte.
Communiqué de l'Alvarium (Angers) :
Depuis le début de notre existence, nous sommes victimes des insultes les plus idiotes, des calomnies les plus odieuses et des actes les plus vils. Tout cela relayé complaisamment sur internet ; ici par les blogs antifascistes (que nous sommes heureusement presque les seuls à lire), là par une partie de la presse, payée par nos impôts mais prompt à faire la propagande de l'anti-France, quitte à cracher au visage d'une majorité du contribuable. Respectant le principe de liberté d'expression, nous avons le plus souvent ignoré ces choses, dans la limite du tolérable.
Mais nous constatons aujourd'hui que SOS Racisme, officine agonisante du pouvoir destinée à faire taire tous ceux qui pensent différemment, se permet de qualifier l'Alvarium de « bar néo-nazi » en relayant une pétition diffamatoire réclamant notre fermeture. Si insignifiantes que soient pour nous ces insultes, nous refusons de nous laisser appeler ainsi par des professionnels de l'acharnement judiciaire et de la traque anti-française.
Il y a peu, Jean-Marie Le Pen a fait condamner Jacques Séguéla qui l'avait traité de nazi dans le même but de diabolisation facile du camp national. Forts de cette jurisprudence, nous entendons bien à notre tour traîner SOS Racisme devant les tribunaux pour faire comprendre à ces khmers « blacks, blancs, beurs », qu'on ne nous diffame pas impunément et que la peur doit changer de camp.
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Liban : union nationale et populaire
Par Sophie Akl-Chedid*
« La levée en masse des travailleurs dans tout le pays, ce n’est pas le fait des manipulations “capitalistes”, des réactions bourgeoises ou des rêves d’intellec- tuels. Ce n’est pas le fait d’étudiants privilégiés rêvant de l’Occident et souffrant du mal de vivre en société collectiviste. Ce sont des hommes sur le tas, dans leur milieu de travail, sur le terrain des luttes. Leurs revendications, ce sont celles des travailleurs de tous les pays et de tous les temps : le pain et la liberté, c’est-à-dire les mots d’ordre de tous les grands rassemblements populaires... », écrivait Jean Daniel en octobre 1980 à propos des événements qui donneront naissance au syndicat polonais Solidarnosc.
Ils pourraient s’appliquer, à quelques nuances près, au soulèvement populaire que vit le Liban aujourd’hui. En Pologne, après 40 ans d’oppression communiste, tirant les leçons des grèves avortées de 1970 et 1976, le mouvement ouvrier indépendant a secoué le joug soviétique, créant une première brèche dans le rideau de fer dix ans avant l’effondrement de l’URSS. Au Liban, après 40 ans de domination de la scène poltique et sociale par les seigneurs de la guerre recyclés depuis 1990 en tyrans mafieux, 14 ans après le sursaut national qui a chassé l’oppresseur syrien mais s’est brisé sur les compromissions politiciennes, le peuple libanais joue le tout pour le tout et rejette tout à la fois le modèle confessionnel qui l’asservit en le divisant et ses leaders traditionnels considérés dans leur grande majorité comme des champions du népotisme et du clientélisme les plus éhontés, ayant transformé la Suisse du Moyen-Orient en un des pays les plus corrompus au monde.
Pour se défendre, le régime souffle le chaud et le froid. A les entendre, tous sont aux côtés des protestataires à qui ils font le coup du « je vous ai compris », avant d’envoyer le secrétaire général du Hezbollah en première ligne pour mettre en garde contre le risque de vide institutionnel, de chaos et même de guerre civile. En réponse, les Libanais ont formé dimanche une chaîne humaine de 170 kilomètres du nord au sud du pays avec pour unique slogan l’hymne national.
Accusés d’être manipulés et financés depuis l’étranger, les Libanais soulignent le quasi-silence des médias occidentaux. Accusés d’être des agitateurs, ils refusent toute forme de violence et proposent des solutions conformes à la Constitution telles que l’organisation d’élections législatives anticipées et la nomination d’un cabinet restreint de spécialistes capables de faire face à l’urgence économique. Les universitaires, les avocats, les médecins, les ingénieurs, les artistes prennent la parole tour à tour, mais aussi les mères de famille, les ouvriers, les commerçants, les paysans et les chômeurs.
Tous les jours, le silence se fait à l’heure de la prière devant les églises et les mosquées. Ils sont deux millions, sans leader et donc insaisissables, un cauchemar pour les autorités cramponnées à leurs privilèges. Quoi qu’il arrive dans les jours et les semaines qui viennent, une lame de fond multiconfessionnelle et profondément patriote est en train de consacrer l’union nationale. C’était le rêve assassiné d’un certain Bachir Gemayel
(*) Sophie Akl-Chedid est correspondant permanent au Liban pour Présent – 30/10/2019
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Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine
10:36 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Thomas Ferrier DÉDICACERA SON NOUVEAU LIVRE "FASCISMES D'EUROPE" JEUDI 31 OCTOBRE À LA NOUVELLE LIBRAIRIE
09:58 Publié dans Livres, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
JEUDI 31 OCTOBRE : MATTHIEU BAUMIER, ESSAYISTE ET ROMANCIER, INVITÉ DE L'ÉMISSION SYNTHÈSE SUR RADIO LIBERTÉS
LES PRÉCÉDENTES ÉMISSIONS CLIQUEZ ICI
09:42 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 29 octobre 2019
Fabien Bouglé: La face noire de la transition écologique
Fabien Bouglé publie un nouveau livre ICI
17:17 Publié dans Combat anti-éoliennes, Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L’art contemporain ou le symptôme de la maladie mentale de notre société
La FIAC se déroule chaque année à Paris. Elle permet aux artistes du monde entier d'exposer leurs œuvres dans les rues de la ville lumière. Mais pas n'importe quelles œuvres : des œuvres d'art contemporain. Qu'est-ce que l'art contemporain ? Il est plus difficile de répondre à cette question qu'il n'y paraît... C'est ce que va découvrir Vincent Lapierre au contact de ces étranges réalisations artistiques.
Source: Le Média pour Tous
12:00 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Dérive totalitaire
La conférence de Sylviane Agacinsky annulée
Par Franck Delétraz
On le savait très influent, particulièrement intolérant et virulent. Mais l’annulation in extremis par l’Université Bordeaux Montaigne du débat auquel devait participer la philosophe Sylviane Agacinski jeudi soir dans ses locaux de Pessac sur « L’être humain à l’époque de sa reproductibilité technique » en raison de « menaces violentes » vient de mettre en évidence l’actuelle dérive totalitaire voire terroriste du lobby LGBT.
A l’origine de cette annulation scandaleuse, un communiqué intitulé « L’Université Bordeaux Montaigne invite une homophobe notoire pour parler PMA/GPA », daté du 6 octobre, émanant du syndicat « Solidaires étudiant-e-s Bordeaux » et des associations « GRRR », « Riposte trans », « Mauvais Genre-s » et « Wake Up ! », appelant les « étudiant-e-s à se mobiliser contre la venue de cette conférencière au sein de leur lieu d’étude » et à mettre « tout en œuvre afin que cette conférence n’ait pas lieu ». Sans préciser pour autant quels seraient les moyens de pression utilisés, les auteurs de ce communiqué ajoutaient que « dans un contexte d’homophobie et de transphobie décomplexées (médias, manifestations anti-PMA, agressions, refus de la PMA aux personnes transgenres...), il est dangereux et inconscient que l’université offre une tribune à une personne aux discours dignes de la Manif Pour Tous ». Bref, si l’on ne voit pas trop un commando de folles furieuses mettre à sac le campus, la direction de l’établissement, estimant ne pouvoir « assurer pleinement la sécurité des biens et des personnes, ni les conditions d’un débat vif mais respectueux face à des menaces violentes », a quand même décidé de renoncer à ce rendez-vous. Tout en indiquant fort justement sur son site que « cette manifestation de censure est une atteinte excessivement grave et violente à la confrontation des idées à laquelle notre université est attachée » et qu’« empêcher la discussion au sein d’une communauté participe d’une dérive liberticide ».
Absence de réaction des pouvoirs publics
Une dérive tellement grave qu’elle a d’ailleurs, fort heureusement, suscité l’indignation d’un certain nombre de personnalités depuis jeudi soir. A commencer bien sûr par Sylviane Agacinski elle-même, qui a affirmé comprendre la difficulté de l’université de Bordeaux à « résister à des groupes qui excluent toute critique, y compris celles inspirées par le respect des personnes », et a déploré « une forme de terreur intellectuelle qui affecte gravement l’état du débat public ». Mais aussi l’ancien magistrat Philippe Bilger qui, s’indignant face à cette « honte », a demandé sur Twitter : « Jusqu’où va aller ce terrorisme ? » Tout comme l’eurodéputé LR François-Xavier Bellamy qui, apportant son soutien à la philosophe, s’est lui aussi demandé sur Twitter : « Sommes- nous encore en démocratie ? Incroyable qu’une intellectuelle reconnue soit empêchée de s’exprimer dans une université, au seul motif qu’elle est engagée depuis longtemps contre la marchandisation du corps » ! Mais aussi le CoRP, le collectif pour l’abolition de la maternité de substitution (GPA), auquel participe Sylviane Agacinski, qui a très justement observé que cette atteinte à la liberté d’expression « justifierait une réaction des pouvoirs publics pour garantir cette liberté, notamment au sein de l’université ». Car, a-t-il ajouté, « les associations en question, en voulant par tous les moyens réduire au silence celles et ceux qui ne pensent pas comme elles, utilisent des méthodes qui relèvent d’une forme de violence politique propre aux mouvements totalitaires »
Source : Présent 26/10/2019
10:26 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 28 octobre 2019
Ombrie, Thuringe... Les droites nationales européennes vers la reconquête.
23:38 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La vérité sur l'attentat de la gare de Bologne ?
Dimanche dernier le 27 octobre, une journée militante a été organisée à Rome par Gabriele Adinolfi en collaboration avec le Centre d'étude Polaris, des historiens, avocats, journalistes et des députés, au sujet des massacres des années de plomb faussement attribués à la droite radicale.
La rencontre baptisée "Orchestre Rouge" a annoncé une contre-offensive historique-juridique qui sera articulée dans un jugement international au jugement de Bologne (ils sont en train de mettre en place la Cour qui en prendra la charge) et dans une série d'actions de contre-information locales et, espérons-le, dans des cadres institutionnels (Chambre des députés, Assemblées régionales).
21:54 Publié dans Rubrique d'Italie Gabriele Adinolfi, Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |