vendredi, 22 novembre 2019
Vivre tranquillement
Des juifs qui expliquent ce que c’est qu’être français, des arabes qui énoncent les raisons pour lesquelles on peut éventuellement « avoir le droit » d’être opposé au voile islamique… Sans rien enlever à la justesse de certains de ces propos, ni même au relatif courage de ceux qui les tiennent, est-il définitivement devenu impossible qu’un « de souche » dise simplement qu’il voudrait vivre tranquillement sur sa terre, dans un pays qui lui ressemble et qui ressemble à celui que ses aïeux ont bâti ? Sans haine, sans méchanceté, sans « phobie » quelconque… Juste dire que lui, avant les autres, a le droit de décider de ce qu’il accepte et de ce qu’il refuse sur son sol. Juste dire qu’il veut qu’on lui foute la paix, qu’on ne l’agresse pas, qu’on ne l’insulte pas, qu’on ne lui explique pas comment s’habiller, comment penser, quoi manger et quoi boire… Juste dire qu’il aime les villages avec des clochers, les bistrots, les filles en mini-jupe, les crèches à Noël, les gens qui parlent la même langue que lui, partagent les mêmes repas, vibrent aux même souvenirs, aux mêmes évocations… Que ce n’est « contre » personne, mais que c’est comme ça. Est-ce devenu si odieux, si criminel ?
On peut, bien sûr, - quand on est une grande âme doublée d’un profond intellectuel -, considérer qu’il s’agit là d’une piteuse « étroitesse d’esprit », d’un incontestable « manque de curiosité et d’ouverture », de l’indéniable stigmate d’un front bas et d’une vision réduite… pourquoi pas ! Mais est-ce un délit ? Est-ce une odieuse abomination qui justifie ce flot permanent d’injures et de condamnations ?
Sans aucun doute, les cosmopolites, les mondialistes, sont des êtres supérieurs, leur âme embrasse la planète toute entière, leur sensibilité est universelle et leur générosité sans limite (surtout par procuration), mais ne peuvent-ils pas – du haut de leur piédestal – concéder que nous, les inférieurs, la plèbe, le « vulgum pecus », n’avons pas les moyens de leurs goûts nomades et de leurs appétences exotiques, et que nous voulons simplement – misérablement diraient-ils – vivre comme nos parents et nos grands-parents, en parlant nos langues, chantant nos chansons, commémorant nos morts et construisant notre avenir dans la fidélité à notre histoire ? De bien petites choses, certainement, aux yeux des thuriféraires de la post-humanité trans-humaniste. Mais des choses sans lesquelles nous mourons.
Source : le site amoyquechault
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jeudi, 21 novembre 2019
L'hôpital est vraiment malade
L'avis de Jean-François Touzé
Alors que l'hôpital public, dans son fonctionnement global — ce qui impacte le moral du personnel, la qualité des soins et la sécurité sanitaire, parfois même la sécurité tout court — est au bord de la rupture, le Premier ministre, Édouard Philippe, vient d'annoncer un certain nombre de mesures qui, toutes cumulées, relèvent du simple rafistolage.
La reprise par l'Etat du tiers de la dette des hôpitaux (plus de 30 milliards) n'est qu'un artifice comptable puisque, au bout du compte c'est toujours le contribuable qui paye, que ce soit par ses cotisations sociales ou par l'impôt.
Le coup de pouce budgétaire de 1,5 milliards sur trois ans est dérisoire comparé au milliard annuel du coût de l'Aide médicale d'Etat (AME) accordée aux étrangers clandestins dont la supression constitue une exigence économique, morale et nationale.
La prime de 800 euros par an est une insulte pour les personnels soignants dont la qualité et le dévouement vont bien au delà de ce que propose la mesquinerie comptable du gouvernement.
Les promesses, enfin, du ministère de la Santé de créations de lits ne connaissent quant à elles, pas le moindre début de commencement de concrétisation.
L'hôpital public, asphyxié depuis vingt ans, par les réductions budgétaires, les fermetures de services, le malthusianisme des embauches et les conséquences de l'application des 35 heures, est en voie de tiers-mondisation.
Tiers-mondisation de ses infrastructures, mais tiers-mondisation aussi par la nature même des patients qui y affluent. Tant que la question des flux migratoires ne sera pas traitée et résolue dans le sens national, aucune mesure en faveur des hôpitaux français et de ses services d'urgences ne sera viable.
On l'aura compris: pour nous, un plan d'urgence pour l'hôpital ne peut être qu'englobé dans un plan d'urgence pour la France.
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L'émission "Synthèse" sur Radio Libertés avec Arnaud Raffard de Brienne, essayiste, qui nous parle de l'imposture Greta
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LES 1 AN DES GILETS JAUNES – Les Reportages du Média Pour Tous
Les Gilets Jaunes fêtaient leur première année de mobilisation pour l'acte 53.
Le mouvement des Gilets Jaunes soufflait sa première bougie le week-end du 17 novembre 2019 pour l'acte 53. Action coup de poing devant la Banque de France, manifestation à Paris, l'équipe du Média Pour Tous était à nouveau sur le pont pour couvrir cet anniversaire, Thibault et Vincent Lapierre en tête.
✅ PARTICIPEZ A LA CONSTRUCTION D'UN MEDIA ALTERNATIF : https://lemediapourtous.fr/participez
17:49 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Demain, la faim ?
Par Perico Légasse
Notre pays a perdu son autonomie alimentaire, faisant craindre de regrettables pénuries. Mais ce n’est pas d’agri-“bashing” dont meurt notre agriculture. Ce néologisme est un leurre inventé par le discours agricole of ciel, porté par le lobby FNSEA. Ou comment faire croire que l’opinion en veut aux paysans alors que c’est le productivisme financiarisé qui est accusé.
Faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages. » Repris par le général De Gaulle lors d’une conférence de presse après les événements de Mai 68, le titre du célèbre film de Michel Audiard sied comme un gant à l’idée que les Français en voudraient à leur agriculture. Exprimer des doutes sur la pertinence du port du voile en milieu scolaire relevant illico de l’islamophobie, il est normal que s’inquiéter des dégâts que l’industrie agricole globalisée provoque sur l’environnement et la santé relève de l’agri-bashing... Belle formule pour clore un débat opposant les tenants d’une alimentation bonne, propre et juste, respectueuse de la planète, à ceux expliquant, la main sur le cœur, que sans l’aide de l’agrochimie nombre d’agriculteurs, ruinés par la concurrence des pays qui exportent à bas prix, vont disparaître.
Il est vrai que certains médias sont friands du terme et qu’à force de l’entendre à tout bout de champs on pourrait supposer un désamour de l’opinion vis-à-vis du monde agricole. Mais il n’y pas plus d’agri-bashing en France que d’islamophobie massive. A la fois conscients et lucides, informés des dérives d’un système qui conduit l’agriculture à sa perte, les Français font parfaitement la distinction entre ceux qui, tant bien que mal, développent une agriculture durable et ceux qui, soumis à une logique de production dont la FNSEA leur explique depuis quarante ans qu’elle n’a pas d’alternative, s’accrochent à des pratiques nocives. Et les deux mondes de s’affronter jusqu’à ce que la tension arrive à son comble, opposant les doux rêveurs d’une écologie idéologique inadaptée aux réalités du marché, ainsi qu’en décide la doxa libérale, aux pollueurs obsédés par leurs parts de marché financiarisées, ainsi que le résument les intégristes du tout bio. Ajoutons une louche de véganisme pour jeter l’anathème sur les éleveurs qui nous font manger de la viande torturée, sans jamais distinguer ceux qui respectent la nature et leurs animaux de ceux qui ont transformé leur ferme en usine à lait ou à barbaque, et le tour est joué. Amalgame dont use, une fois encore, la FNSEA en se faisant passer pour une victime du dogme écolo tout en donnant l’illusion de défendre la bonne agriculture avec des opérations coups de poing contre les élus LREM lorsqu’il est question du Ceta et de Mercosur.
Agri-bashing ? Non, juste colère citoyenne et ras-le-bol du consommateur de se faire berner par des opérations de propagande « macronique » comme les états-généraux de l’alimentation. Et si, en effet, l’agriculture française prend du retard en durabilité, si tant d’agriculteurs souffrent des mensonges européistes qui les conduisent dans le mur, si les céréaliers continuent à s’enrichir en massacrant les sols, c’est que le gouvernement, à la demande de la FNSEA, a enterré la loi sur l’Agro-écologie votée par le Parlement en octobre 2014. Il n’y a pas d’agri-bashing, il y a le cynisme morbide du discours officiel.
Source, Marianne 21/11/2019
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mercredi, 20 novembre 2019
Conférence de Fabien Bouglé à Liesse-Notre-Dame dans l'Aisne le 30 novembre à 10 heures
"la face noire de la transition ecologique"
Venez samedi 30 novembre, à 10 heures, à Liesse-Notre-Dame (02) ruelle du regain pour une conférence de Fabien Bouglé qui parlera de son livre et l'arnaque financière des éoliennes, la dévaluation du patrimoine (40%) sans oublier les graves problèmes de santé qu'elles génèrent. L'invasion de ces machines sur les champs de batailles et la destruction de nos paysages.
L'après midi il y aura une manifestation à 14 heures place Victor Hugo à Laon suivi de dépôt de dossiers de prises illégales d'intérêts par une trentaine d'associations du Nord de l'Oise, de la Somme, les Ardennes et l'Aisne à la préfecture.
Soyez nombreux pour faire stopper cette invasion inadmissible d'éoliennes !
17:41 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
20 novembre 1936, prison d'Alicante : José Antonio Primo de Rivera est fusillé par les rouges.
L'avis de Jean-François Touzé
Pour ne pas nous égarer dans les brouillards du doute qui sont pour la Cause comme un début de linceul, gardons toujours en mémoire ces mots qui n'ont rien perdu de leur lourde vérité politique : "La révolution est l’œuvre d’une minorité résolue, inaccessible au découragement, d’une minorité dont la masse ne comprend pas les premiers mouvements parce que, victime d’une période de décadence, elle a perdu cette chose précieuse qu’est la lumière intérieure". Présente !
14:45 Publié dans Jean-François Touzé, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Kakou Ernest Tigori: L'Afrique à désintoxiquer
Kakou Ernest Tigori démonte l'escroquerie de la repentance de la colonisation des européens en Afrique. Il est écrivain ivoirien et homme politique et se bat pour remettre les pendules à l'heure.
« Traite négrière, colonisation, néocolonialisme, racisme, immigration massive… Kakou Ernest Tigori (Prix Mandela de littérature 2017), intellectuel engagé, dénonce depuis la fin des années 1990 la classe politique qui ruine son pays, la Côte d’Ivoire. En exil en France depuis 2009, il invite, à travers ses écrits, à une réflexion sur cette Afrique post-coloniale décadente, productrice de désordre et de misère. Il dénonce particulièrement la trahison des élites noires, et milite pour la constitution d’une Conscience noire plus responsable. Kakou Ernest Tigori se propose de rétablir la vérité sur les relations entre l’Afrique noire et l’Europe occidentale depuis le XVe siècle. Il bat en brèche les lieux communs mensongers et appelle l’opinion du monde noir à sortir du déni confortable qui dédouane l’Afrique de toute responsabilité dans la conduite de son destin, et qui accable à tort l’Europe repentante à propos de l’esclavage, la traite négrière, la colonisation, le néocolonialisme, le racisme ou l’immigration massive. Il invite l’élite africaine à retrouver du sens pour porter l’ambition d’offrir de l’espérance aux masses populaires du berceau de l’humanité.
Amateur d’histoire de l’humanité, sa logique rigoureuse dans l’analyse des faits, ainsi que son courage politique, font de lui un auteur qui sort des sentiers battus. Tigori se distingue de cette élite noire, majoritairement incapable d’autocritique, qui perd son temps en jérémiades au lieu d’être exigeante envers elle-même. Avec cet essai, l’auteur veut liquider quatre-vingts ans de mensonge et, ainsi, libérer l’Afrique et l’Europe occidentale… de l’Union soviétique qui est morte depuis bientôt trente ans. Pour que l’attelage Europe-Afrique retrouve de la vigueur, il importe que les Africains sortent de l’irresponsabilité et de l’infantilisme… et les Européens de la repentance ! »
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Le Cercle Pol Vandromme organise le 3 décembre une conférence à Bruxelles avec Slobodan Despot
A quoi servent (encore) les médias de grand chemin ?
Slobodan Despot est un citoyen suisse d’origine serbe, il est tout à la fois éditeur (l’Age d’Homme et Xenia) et traducteur (il a notamment traduit le grand dissident soviétique Alexandre Zinoviev, dont il fut l’éditeur et l’ami).
Il est l'auteur d’une dizaine d’essais et récits de voyage ainsi que de deux romans publiés aux éditions Gallimard, «Le Miel» (2014, prix des Littératures européennes), et «Le Rayon bleu» (2017, prix Casanova). Il dirige désormais la lettre d’information hebdomadaire, antipresse.net et écrit régulièrement pour la revue Eléments.
La conférence sera suivie d'un verre.
Mardi 3 décembre à 18h30 à l'hôtel Thon Bristol Stéphanie, Avenue Louise 91 Bruxelles.
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Conférence de Nikola Mirković au Cercle de Flore Lyon le 21 novembre
20 ans après les bombardements de la Serbie par l’OTAN, le Cercle de Flore Lyon tient à renouveler sa fidélité à l’amitié franco-serbe.
Le Cercle de Flore recevra Nikola Mirkovic, Président de Ouest-Est, cofondateur de l’association Solidarité Kosovo et auteur de la BD « Bienvenue au Kosovo », œuvre engagée à travers laquelle il continue de dénoncer l’imposture des mensonges occidentaux et éclabousse la version officielle de la guerre du Kosovo.
Inscrivez-vous ICI
12:35 Publié dans Sacha de Roye, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 19 novembre 2019
Amalgame et extrémisme laïcard.
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Gilets jaunes, pandores et racailles*
Par Franck Deletraz
Casseurs d’extrême gauche laissés libres d’agir, gazage massif des manifestants pacifiques pris au piège de la « nasse », manifestation officiellement déclarée mais annulée à la dernière minute... Le moins que l’on puisse dire est que, dans sa volonté de discréditer ce grand mouvement populaire qui bénéficie encore aujourd’hui de la sympathie de plus de 52 % des Français, le gouvernement aura tout mis en œuvre le week-end dernier pour que les rassemblements de Gilets jaunes, notamment à Paris, tournent à l’émeute.
Le scandale de la place d’Italie
Parmi les grandes manifestations prévues samedi dans la capitale, la plus significative de cette volonté du gouvernement aura sans aucun doute été celle de la place d’Italie. En ce lieu où avaient convergé dans le calme plusieurs milliers de GJ, dont beau- coup de provinciaux qui se faisaient un plaisir de revenir défiler à Paris, les fameux black blocs et autres milices d’extrême gauche ont en effet pu très tôt s’en donner à cœur joie, brisant la vitrine d’une banque, incendiant des poubelles et récupérant divers matériaux de chantier « bizarrement » présents sur les lieux, sans susciter de réaction de la part des forces de l’ordre autre que l’envoi de gaz lacrymogène qui a surtout frappé les GJ qui attendaient le départ de la manif. Une agitation qui aura servi de prétexte au préfet de police Lallement pour décider d’annuler in extremis, par le biais d’un simple coup de téléphone, et donc au mépris de la loi, cette manifestation pourtant officiellement déclarée. Injustement privés de manif et coincés par les forces de l’ordre, les vrais GJ n’ont pu qu’assister avec désolation au saccage de la place d’Italie par ces meilleurs alliés de l’Etat que sont aujourd’hui les milices d’extrême gauche. Un saccage qui, contrairement à ce qu’ont prétendu les grands médias et les autorités en parlant d’« ultra-jaunes », porte clairement la signature de l’extrême gauche. Pour preuve, la démolition quasi complète du monument en hommage au maréchal Juin et aux combattants corps expéditionnaire français en Italie, objets pour les gauchistes d’une exécration absolue, là encore sans que les forces de l’ordre n’interviennent !
Des policiers infiltrés…
Il faut dire que certains éléments, au sein des forces de l’ordre, étaient absorbés par d’autres tâches assez « étranges ». Comme ces agents habillés en membres des black blocs, surpris samedi par plu- sieurs caméras alors qu’ils venaient de quitter une barricade et couraient en di- rection d’un cordon de CRS pour s’y mettre à l’abri. Une vidéo devenue virale sur Internet, et sur laquelle on entend distinctement un CRS avertir ses collègues : « C’est la BAC, c’est la BAC »... Bref, dressant samedi soir le bilan de cette journée, Faouzi Lellouche, l’une des figures du mouvement, a dénoncé la stratégie policière « qui a empêché le bon déroulement de la manifestation parisienne ». En effet, a-t-il ajouté, « tout a été fait pour que la manifestation ne puisse pas partir » et « les autorités sont continuellement [...] à dire qu’il n’y avait que des casseurs dans la manifestation ». Comme les grands médias, qui n’ont diffusé samedi que les images de la place d’Italie, alors que les nombreux rassemblements de GJ en province se sont (à quelques exceptions près) déroulés de manière pacifique. Tout comme d’ailleurs le rassemblement organisé dimanche à Paris, place Joachim-du-Bellay, auquel ont participé dans le calme plusieurs centaines de GJ, avant de se rendre aux Galeries Lafayette pour un lâcher de confettis au cri de... « Travaille, consomme et ferme ta gueule»!
(*) Le titre est de nous
Source Présent 19/11/2019
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lundi, 18 novembre 2019
JEUDI 21 NOVEMBRE, SUR RADIO LIBERTÉS, ARNAUD RAFFARD DE BRIENNE NOUS PARLERA DE GRETA OU L'EFFROYABLE IMPOSTURE
LES PRÉCÉDENTES ÉMISSIONS CLIQUEZ ICI
N° DE SYNTHÈSE NATIONALE AVEC L'ARTICLE
D'ARNAUD RAFFARD DE BRIENNE CLIQUEZ LÀ
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"De l'Islam au Christ " témoignage du Père Paul-Elie Cheknoun le 30 novembre à Bruxelles
Le père Paul-Elie Cheknoun est prêtre de la Fraternité Missionnaire Jean-Paul II du Diocèse de Fréjus-Toulon.
Algérien, musulman devenu prêtre missionnaire. Il a à cœur, depuis sa rencontre avec Jésus il y a 20 ans, de L'annoncer aux musulmans et de leur dire que Dieu le Père les a tant aimé qu’il a donné ce qu’il a de plus précieux, sa propre chair, Jésus son fils unique, pour les sauver eux aussi, car Jésus a donné sa vie pour tous les hommes, y compris les musulmans.
L'église Sainte-Catherine est sur la place du même nom à Bruxelles. Elle est accessible en métro - station Sainte-Catherine.
Plus d'info ICI
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«L'Europe face au mystère russe» par Anna Gichkina
Trois mystères de la Russie : son histoire, sa littérature et sa mentalité nationale.
Anna Gichkina, docteur ès lettres, chercheur indépendant et traductrice, est née en 1982 à Arkhangelsk, ville russe au bord du Dvina septentrionale, dans une famille soviétique modeste. Elle fait sa scolarité en Russie selon le schéma plus que traditionnel : d’abord un jardin d’enfants, puis l’école (en russe « chkola », établissement que l’on intègre à 7/8 ans et que l’on quitte à 17/18 ans), enfin l’Université.
Durant ses études en linguistiques française, anglaise et russe et en enseignement des langues à l’Université Pomorski, Anna Gichkina collabore parallèlement avec le département de philosophie où elle assiste au cours pour les chercheurs, participe aux colloques locaux et internationaux, écrit des articles et traduit vers le russe des extraits des ouvrages des philosophes français contemporains.
En 2005, diplômée d’un Master II, Anna Gichkina part en France pour y faire des études de la littérature comparée et des relations internationales à l’Université de Haute Alsace à Mulhouse. N’ayant aucun moyen de financement de son séjour ni de ses études françaises Anna Gichkina, portée par sa volonté et sa persévérance, se retrouve au premier temps dans une famille d’accueil où elle donne des cours de russe contre la possibilité de se loger. Une fois le deuxième Master II obtenu, Anna Gichkina entreprend un doctorat qu’elle finance d’abord grâce aux jobs d’étudiants, puis grâce au poste d’agent d’accueil dans le lieu culturel mulhousien La Filature. Ayant passé deux ans à écrire une thèse sur la réécriture des mythes des frères ennemis dans les littératures francophone, anglophone et russe et n’étant pas satisfaite du sujet qui lui a été imposé durant son DESE (Doctorat d'Études Supérieures Européennes), Anna Gichkina fait des démarches auprès de la Sorbonne qui finit par lui proposer de rédiger une thèse sur le sujet franco-russe dans le domaine à la fois historique et littéraire. Parallèlement à ces études elle est d’abord formatrice dans différents centres de langues, ensuite enseignante dans un collège privé catholique tout en étant gérante de son auto-entreprise de traductions et de contrôle qualité de textes qu’elle crée en 2010.
En 2014, elle soutient brillamment sa thèse sur Eugène-Melchior de Vogüé et la réception de la Russie en France au tournant des XIXe et XXe siècles.
Aujourd’hui, Anna Gichkina écrit des articles scientifiques sur des sujets franco-russes ainsi que sur des problèmes européens. Elle collabore régulièrement avec Le Forum Carolus participant à la mise sur pied de divers projets et manifestations. Elle est également occupée par ses projets personnels d’écriture et d’associations. Anna Gichkina continue néanmoins à travailler avec de différentes sociétés françaises et étrangères dans le domaine de la traduction. Enfin, Anna Gichkina est la maman d'un petit garçon et consacre le maximum de temps à l'éducation de ce dernier. Elle préside toujours l'association franco-russe "Cercle du Bon Sens" .
15:49 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
INCROYABLE ! PAS DE DÉGAT SUR LE TRAJET DE LA MANIF IDENTITAIRE
Une manifestation rassemblant plusieurs centaines de jeunes (et quelques moins jeunes) identitaires parisiens s'est déroulée ce dimanche après-midi cliquez ici dans le quartier de la place Denfert-Rochereau (XIVe) afin de protester contre l'islamisation de la France.
Fait étrange, alors que la presse aux ordres s'offusque à la moindre poubelle renversée, bien peu d'échos sur ce rassemblement dans les journaux (en dehors de Valeurs actuelles cliquez là et de nos gazettes non conformistes bien sûr). Pourtant, celui-ci est suffisamment rare pour qu'il mérite d'être souligné.
En fait, cette manifestation s'est déroulée, malgré la gravité de son thème, dans le calme et la bonne humeur. Pas de voiture incendiée, ni de vitrine brisée... Cela, c'est inconcevable pour les chiens de garde du Système à l'affut de toutes les provocations "d'extrême droite" possibles et surtout imaginables.
Elle a aussi prouvé qu'une partie de la jeunesse française était prête à se soulever contre l'invasion qu'elle ne veut plus subir... Alors là, c'en est trop, il ne faut surtout pas que cela se sache. Silence radio absolu et tout va pour le mieux pour la pensée dominante...
S.N.
12:40 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Pierre Nothomb "paladin de la grande Belgique, entre nationalisme et résistance"
Pierre Nothomb "paladin de la grande Belgique, entre nationalisme et résistance". Entretien avec Lionel Baland à la "La Nouvelle Librairie".
Pierre Nothomb, Lionel Baland, Col. Qui suis-je ?, Pardès, 2019, 12 euros.
11:52 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Juste avant les fêtes de fin d'année : venez nombreux samedi 14 décembre à la journée de l'artisanat identitaire de Terre et peuple
10:50 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 17 novembre 2019
Un entretien entre Vincent Vauclin, président de la Dissidence française, et Pierre Cassen, fondateur de Riposte laïque
Vincent Vauclin intervenant à Synthèse nationale
Lors des journées de Synthèse nationale, notre fondateur, Pierre Cassen, a fait la connaissance de Vincent Vauclin, président de la Dissidence française. L’occasion pour nos lecteurs de mieux connaître cet homme, et son mouvement.
Source cliquez ici
Riposte Laïque : Vous êtes donc président de la Dissidence française. Pouvez-vous nous expliquer la spécificité de votre parti, et sa spécificité par rapport à des partis ou organisations proches comme le Parti de la France, le Siel ou Génération Identitaire ?
Vincent Vauclin : La Dissidence Française est une organisation nationaliste fondée en 2011. Notre mouvement s’est rapidement développé au fil des années et des mobilisations, devenant une association en 2013 puis un parti politique à part entière en 2018. Résolument engagée sur le terrain militant, la Dissidence Française s’engage donc désormais aussi sur le terrain électoral. Notre vocation : faire bouger les lignes à droite, imposer nos thématiques dans le débat public, et construire une alternative politique crédible face aux imposteurs de la fausse droite. Sur le fond, nous partageons évidemment un certain nombre de points communs avec d’autres organisations nationalistes ou identitaires, et je pense que c’est davantage sur la forme et la stratégie que nous divergeons. Cela étant dit, nous avons toujours souhaité travailler en bonne intelligence avec toutes les composantes de notre famille politique, et entretenons des rapports réguliers avec plusieurs de ces organisations.
Riposte Laïque : Vous avez réussi à monter une liste aux dernières élections européennes. Vous avez fait un faible score. Avec le recul, considérez-vous que cette initiative, sans doute coûteuse, en valait la peine ?
Vincent Vauclin : Bien sûr ! Pour la première fois, nous avons pu faire entendre un message clair et sans concession à des millions d’électeurs. Pour la première fois, des millions de Français ont entendu parler de Grand Remplacement, de lobbycratie, et de remigration. Aucune action médiatique ni aucune manifestation n’aurait pu nous permettre de médiatiser notre message à une telle échelle et avec si peu de moyens. Certes, nous avons fait un faible score : environ 5 000 voix, plaçant notre liste en 28e position sur 34. Mais avec un budget de moins de 3 000 euros sur les 800 000 requis, il aurait été difficile de faire beaucoup plus. Cette candidature était d’ailleurs une première pour la Dissidence Française qui, rappelons-le, n’était alors un parti politique que depuis 6 mois. Je pense donc que nous avons réussi notre pari et que cette première candidature nous a permis de nous faire entendre bien au-delà des cercles militants habituels, et de préparer les scrutins et les mobilisations à venir.
Riposte Laïque : Vous avez souvent des propos sévères à l’encontre du Rassemblement national, à qui vous reprochez sa tiédeur. Vous ne voulez pas croire qu’il s’agisse d’une stratégie, afin de rassembler plus largement et prendre le pouvoir au plus vite ?
Vincent Vauclin : Comme beaucoup de vos lecteurs, je pense, j’ai pu croire que le RN incarnait une opposition nationale à la hauteur des enjeux. J’ai d’ailleurs voté pour Marine Le Pen aux deux tours de l’élection présidentielle de 2017. Avec le recul, je pense qu’il aurait été plus pertinent de m’abstenir plutôt que d’accorder mon suffrage à un parti qui, en réalité, est une imposture intégrale. Les déclarations de Marine Le Pen et de ses proches, les témoignages nombreux d’élus locaux ou de militants de longue date, et les errances stratégiques du RN ont fini par me convaincre que Marine Le Pen n’était pas là pour servir, mais pour se servir.
L’équipe dirigeante du RN navigue à vue, au gré des sondages et des polémiques médiatiques, et n’a aucune volonté de renverser la table. Marine Le Pen joue un rôle. Les électeurs y croient encore. Mais il faut se rendre à l’évidence : c’est une mascarade et de plus en plus de Français la perçoivent. Le salut politique de notre pays ne peut pas venir d’un parti qui a renié ses fondamentaux, qui a exclu son illustre fondateur, qui n’est pas capable de définir une position claire sur un certain nombre de sujets fondamentaux et de s’y tenir (par exemple sur le Grand Remplacement, sur l’euro, sur l’Union Européenne, sur le mariage gay etc…). Bref, je crois qu’il est temps de tourner définitivement la page du RN, et de construire une nouvelle force politique véritablement nationaliste, jeune, moderne, efficace, et c’est ce à quoi nous nous employons avec la Dissidence Française.
Pierre Cassen aux journées "Bleu Blanc Rouge" de
Synthèse nationale à Rungis les 12 et 13 octobre derniers.
Riposte Laïque : Êtes-vous victime, vous aussi, de la répression du pouvoir, qui touche nombre de familles de la mouvance patriote ?
Vincent Vauclin : Comme beaucoup d’organisations nationalistes, identitaires ou patriotes, nous ne sommes pas épargnés par la répression. Nos comptes PayPal et YouTube ont été fermés, arbitrairement et sans recours possible. Nous subissons d’incessants blocages et suppressions de publications sur Instagram et sur Facebook. Notre visibilité sur les réseaux sociaux est délibérément limitée par ces multinationales étrangères qui ne prennent même plus la peine de justifier leurs velléités de censure et qui n’hésitent pas à intervenir dans la vie politique de notre pays. C’est la raison pour laquelle, par exemple, nous avons lancé une pétition contre la suppression arbitraire de notre chaîne YouTube. Nous sommes aussi la cible des injures et des diffamations des chiens de garde du Système médiatique, et nous avons d’ores et déjà entamé des procédures judiciaires pour porter un coup d’arrêt à ces campagnes de calomnies. Mais malgré la répression, il faut tenir. Et se souvenir qu’il y a exactement 30 ans, le Mur de Berlin tombait, et avec lui l’un des plus terribles totalitarismes que le monde ait connu. Nul n’aurait pu prévoir qu’un tel événement se produirait si rapidement et si brutalement, et pourtant c’est arrivé. C’est une leçon qu’offre l’Histoire aux dissidents du nouveau siècle que sont les nationalistes français : il ne faut rien lâcher, nous finirons par l’emporter.
Riposte Laïque : Génération Identitaire organise, le 17 novembre prochain, une manifestation contre ce qu’ils ont appelé l’islamisme. Soutenez-vous cette initiative, et y serez-vous présent ?
Vincent Vauclin : Par principe et comme je l’ai toujours fait, je soutiens toutes les initiatives qui sont susceptibles de s’opposer à l’idéologie mondialiste et cosmopolite. Cela étant dit, je pense que le problème n’est pas simplement l’islamisme, mais la submersion migratoire du continent européen et le bouleversement anthropologique, ethnique et culturel qu’elle implique. Bien sûr, l’islamisation de la société française est une réalité. Mais au fond, ce n’est un symptôme, ce n’est qu’une simple manifestation du Grand Remplacement. Il y en a d’autres : le terrorisme, la délinquance, le communautarisme etc…
Cristalliser le débat sur l’Islam, c’est, à mon sens, inverser cause et conséquence et porter le débat sur la question de l’assimilation des immigrés alors que l’enjeu véritable est celui de la permanence anthropologique de notre peuple et donc du retour de ces immigrés dans leurs pays d’origine. Autrement dit, le problème de fond ce n’est pas le voile, ce n’est pas le halal dans les cantines scolaires, ni les revendications communautaristes. Le problème de fond, c’est le remplacement ethnique et culturel du peuple Français par des masses inassimilables de populations d’origines extra-européennes, essentiellement issues d’Afrique et du Maghreb. Notre priorité doit donc être de faire entendre une proposition clairement formulée et assumée : la remigration. C’est-à-dire l’organisation sans délai d’une politique d’arrêt total de l’immigration et d’inversion des flux migratoires. C’était d’ailleurs l’un des mots d’ordre principaux de la Marche de la Reconquête, une grande manifestation unitaire organisée à Paris par la Dissidence Française le 10 novembre 2018.
Riposte Laïque : Souhaitez-vous ajouter quelque chose, Vincent ?
Vincent Vauclin : Les prochaines élections municipales se tiendront en mars prochain. Alors que des dizaines de listes communautaristes et islamistes sont en train de se monter un peu partout en France, nous devons tous nous mobiliser, quelles que soient nos étiquettes ou nos appartenances partisanes, pour faire entrer des élus nationalistes et identitaires dans un maximum de conseils municipaux, pour faire élire des maires dans toutes ces petites communes aujourd’hui sans candidats. Je suis convaincu que c’est en partant de la base, du plus petit échelon local, que l’on pourra amorcer une dynamique de reconquête électorale.
Propos recueillis par Pierre Cassen
Les Journées de Synthèse nationale cliquez ici
Site internet de la
Dissidence Française : www.la-dissidence.org
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Le Parti de la France : vers un élan nouveau.
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Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine
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samedi, 16 novembre 2019
IL FAUT SAUVER LE SOLDAT "PRÉSENT" !
Notre confrère et ami le quotidien Présent est menacé de disparaitre en raison de la décision prise, sous un prétexte plus que discutable, de lui retirer sa subvention annuelle. Présent, depuis 1981, est le seul quotidien durable qui s'engage dans le combat national, catholique et identitaire. Voilà pourquoi il faut le sauver. C'est donc bien volontiers que nous donnons la parole à son directeur, Francis Bergeron, qui nous explique la situation telle qu'elle est.
S.N.
Présent privé des aides aux quotidiens d’information politique et générale...
Une nouvelle offensive qui vise le seul quotidien de réinformation...
Elle pourrait être mortelle !
Le quotidien catholique et identitaire Présent, qui entre dans sa 39e année d’existence, et qui est vendu en kiosques, a appris, par un courriel envoyé du ministère de la culture le 29 octobre à 18h30, qu’il était privé, au titre de l’année 2019, de « l’aide aux quotidiens nationaux d’information politique et générale à faibles ressources publicitaires ».
Au nom de quoi cette aide est-elle supprimée ? Est-ce que Présent ne serait plus un quotidien, mais serait subrepticement devenu un hebdomadaire ou un mensuel ? Est-ce que Présent ne traiterait plus d’informations politiques et générales, mais se consacrerait désormais au tiercé et aux mots croisés ? Est-ce que Présent croulerait actuellement sous les revenus publicitaires ?
Non, le Ministère de la Culture, par la voix de son « bureau du régime économique de la presse, direction générale des médias et des industries culturelles », a trouvé un autre argument, d’ordre technique, bien entendu, et pas d’ordre idéologique. Il nous explique en effet, aux termes d’un message très alambiqué, et légèrement gêné aux, entournures, que, ce qui est en l’occurrence reproché à Présent pour le priver de cette aide légale, dont bénéficient tous les autres quotidiens, c’est de n’être pas vendu assez cher.
Le Ministère de la Culture ne peut pas écrire noir sur blanc que Présent, par son soutien à Eric Zemmour, par ses campagnes en faveur des mairies « hors système », et en faveur des candidats qui vont bousculer en mars prochain l’entre-soi des « partis de l’arc républicain », par son refus des évolutions sociétales matérialistes, eugénistes, par sa dénonciation de l’islamisme et de l’Islam politique, par ses révélations sur les actes, voire les crimes antichrétiens, en France et dans le monde, par sa mise en valeur de toutes les manifestations patriotiques, par ses appels à la résistance au grand remplacement, ne fait pas partie du camp du bien. Présent doit être toujours plus marginalisé, et ne saurait donc bénéficier de quelque façon que ce soit des aides légales de l’Etat. Au nom des valeurs démocratiques, au nom des valeurs républicaines.
18:25 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Un Fantômas géopolitique, Olrik
Certaines enquêtes sont osées. Elles dévoilent des pans entiers de la vie privée des vedettes du cinéma et de la variété. L’ancien ministre français des Affaires étrangères de 1997 à 2002, Hubert Védrine, et son fils, Laurent, évoquent, eux, l’énigmatique personnalité du Colonel Olrik dont l’ombre couvre la plupart des grands événements du XXe siècle.
Olrik ? Oui, le responsable du 13e Bureau de l’Empire Jaune fondé au Tibet par des rescapés de la Division asiatique de Cavalerie du Baron von Ungern-Sternberg. L’homme qui essaya de s’emparer des secrets de la Grande Pyramide, qui explora l’Atlantide, qui fut la « Marque Jaune » et qui tenta de voler le collier de la reine Marie-Antoinette à Paris !
Au terme de longues et patientes recherches souvent infructueuses, les Védrine publient un premier bilan passionnant dans Olrik. La biographie non autorisée (Fayard, 2019, 220 p., 20 €). On y apprend que ce maître-espion et grand criminel rencontre avant-guerre Edgar P. Jacobs qui, très impressionné, en fait l’adversaire principal du professeur Philip Mortimer et du capitaine Francis Blake. Les auteurs confirment aussi une entrevue avec le jeune réalisateur étatsunien George Lucas qui en tira pour la seconde trilogie de StarWars la figure éminemment politique du Chancelier galactique Palpatine alias Dark Sidious, le futur Empereur des Sith !
Né près de la Baltique au temps de la Russie tsariste, Olrik dont la mère était hongroise, aurait été proche des mouvements nationalistes d’Europe centrale. Puis ce génie de la dissimulation aurait tour à tour travaillé pour la CIA, puis pour le KGB. On retrouve sa trace sur presque tous les continents. Il aurait même vécu en Californie aux côtés des réalisateurs, des producteurs de cinéma, des acteurs célèbres et de belles actrices en quête de gloire dont l’une d’elles lui donna sa fille unique, Julia.
Mêlant desseins géopolitiques et appât du gain, Olrik serait à l’origine du programme nucléaire pakistanais. Il aurait aussi permis à la Corée du Nord de contourner l’embargo international afin de se doter de la dissuasion nucléaire. Les auteurs insinuent qu’au début des années 1960, leur sujet aurait rencontré un certain Lee Harvey Oswald. De là à envisager que le célèbre colonel, as de l’espionnage, ait tiré sur JFK, les Védrine ne s’avancent pas, mais le doute persiste…
Cette « biographie non autorisée » d’Olrik demeure néanmoins insuffisante. On peut s’interroger comment un homme seul a-t-il pu survivre à la traque de si nombreux services spéciaux. À moins qu’Olrik soit affilié à une puissante organisation clandestine telle SPECTRE bien décrite par Ian Fleming ou encore Hydra vaincue naguère par Captain America dans l’univers des comics de Marvel. Et si Olrik et le Crâne Rouge n’étaient qu’une seule et même personne ? À d’autres fins limiers mi-journalistes mi-détectives de poursuivre ces recherches afin de mieux cerner le parcours aventurier du Colonel Olrik.
Bonjour chez vous !
• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°146, mise en ligne sur TV Libertés, le 4 novembre 2019.
15:36 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
LA MANIF DE GÉNÉRATION IDENTIAIRE DEMAIN À PARIS :
15:28 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Avez-vous commandé le nouveau numéro (n°17) des Cahiers d'Histoire du nationalisme ?
12:45 Publié dans Les Cahiers d'Histoire du Nationalisme | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le nouveau numéro de "Livr'arbitres" est consacré à Pierre Benoit
Lu dans Le Journal du Chaos de Patrick Parment :
Nouvelle livraison de cette revue littéraire anticonformiste aux antipodes du politiquement correct. Elle consacre son dossier à Pierre Benoit (1886-1962) avec un éclairage sur l’indémodable Georges Bernanos (1888-1948) et Henri Calet (1904-1956).
Deux mots sur Pierre Benoit. A une époque où l’univers n’était pas saturé par Internet et autres Netflix, la littérature était pour les jeunes le mode d’évasion par excellence. On sortait des bras de Bob Morane et de Tintin à la puberté pour plonger avec délice dans les Trois mousquetaires (Ah ! Dumas) et L’Atlantide ou Koenigsmark de Pierre Benoit. Autre temps, autres mœurs.
L’autre originalité de ce numéro, un cahier consacré à la littérature érotique, qui n’est pas un genre mineur, loin s’en faut, tant une grande majorité d’écrivains n’ont pas hésité à plonger leur plume dans « ces plaisirs qu’on nomme à la légère physique » comme le disait la grande Colette. Le summum du genre étant atteint, à nos yeux, par Pierre Louÿs dans Les trois filles de leur mère. Mais, ça n’engage que nous. Hors catégorie, évidemment, le marquis de Sade.
Se le procurer cliquez ici
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Détecteur anti-oubli de bébé : ça manquait, c’est sûr !
La chronique de Philippe Randa
Quel ancien enfant – et nous sommes nombreux dans ce cas – n’a jamais eu conscience d’avoir échappé à ce sort funeste : être oublié par ses parents dans la voiture ! Oh ! La boulette !
Ou quel ancien parent – ça fait du monde, aussi ! – a-t-il jamais imaginé qu’il lui fut possible de commettre une telle abominable étourderie ?
Mais que les générations futures, dignes descendants des preux guerriers de jadis, soient rassurées : leur sécurité est désormais « sous contrôle » avec… le détecteur anti-oubli de bébé dans les voitures !
Ce sont nos proches voisins d’au-delà les Alpes qui ont pris conscience de l’urgence de sauver la vie des plus petits ; ils nous montrent la voie à suivre : « Depuis le 7 novembre, en Italie, tout parent doit posséder un détecteur anti-oubli sur le siège-auto de son enfant, si celui-ci a moins de 4 ans. Qu’ils décident d’acheter un nouveau siège ou qu’ils équipent l’ancien d’un détecteur, les parents éviteront grâce à ce dispositif d’oublier les bambins dans la voiture. En plus d’émettre des signaux sonores, le système peut lancer des appels téléphoniques ou envoyer des messages de type SMS ou WhatsApp aux parents », nous apprend France info.
Et gare aux mauvais parents radins ou distraits : s’ils n’installent pas le détecteur, une amende de 80 à 326 euros et un retrait de cinq points sur leur permis de conduire leur rappelleront leurs nouvelles obligations.
C’est vraiment beau le progrès ! Peut-on vivre sans lui, d’ailleurs ? Sans doute pas pour les Géo Trouvetou de ces idées nouvelles qui ne peuvent que forcer l’admiration de tout un chacun… en nous donnant l’occasion de réaliser avec une stupéfaction matinée d’une horreur incommensurable les dangers que l’on a courus dans la vie, dangers d’autant plus terrifiants… que jusqu’à présent, on les ignorait !
12:22 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Lazare-Bernard et Polanski : deux destins parallèles ?
Roman Polanski est indéniablement un cinéaste de très grand talent. Son Rosemary’s baby a effrayé des millions de spectateurs et en a réjoui des milliers d’autres. Son Chinatown, consacré à un sujet sexuel sulfureux, reste inoubliable, moins toutefois que son chef d’œuvre dans le genre fantastique : La Neuvième porte, servi par une distribution aussi impeccable que celle de Chinatown.
Seulement, l’excellent metteur en scène (et pas mauvais acteur) est aussi un pédophile, comme bien d’autres, certes - comment oublier les plaidoyers curieux de l’ineffable Daniel Cohn-Bendit ou les prestations immondes du Très honorable Lord Leon Brittan, héros des chatteries pédophiles, durant les années 80 et 90, du quartier de Westminster, l’affaire ayant été étouffée par la police de la Gracieuse Elisabeth II jusqu’au début des années 2010 ?
Que fait un Juif talentueux, lorsqu’il est conspué un peu partout et même recherché (sans trop d’insistance) par diverses polices ? Il détourne l’attention en consacrant un film à la Shoah (succès garanti), puis un autre à l’inusable affaire Dreyfus – où, avec son compère le romancier Richard Harris, bien connu des spécialistes du IIIe Reich pour son Fatherland, il se mélange un peu les pinceaux de scénariste en oubliant certains personnages-clés et en regroupant certains individus sous le même patronyme.
Qu’importe ! Ce sera un succès, car l’on traîne dans la boue certaines composantes de la Nation française.
Hélas, des « jaloux », des « envieux » ont osé évoquer la « culture du viol » lors du lancement à grand spectacle du film. Et le scandale espéré, car source de profits, tourne à la déconfiture de l’obsédé sexuel, faisant passer à l’arrière-plan, au moins transitoirement, les réalités troublantes de l’affaire Dreyfus, beaucoup moins simplette que ne l’écrivent universitaires et académiciens - on en reparlera dans un autre article consacré au vrai procès d’Alfred Dreyfus qui fut celui de Rennes, l’été de 1899, et non l’indéniable erreur judiciaire parisienne de décembre 1894.
Or, le recyclage d’un Juif très contesté par ses contemporains grâce à l’affaire du capitaine au bizarre comportement – signalé par tous ses contemporains, dreyfusards compris – avait déjà été observé, de 1896 à 1906. On présente l’anarchiste Lazare Manassé Bernard, devenu « Bernard Lazare » en 1887, lorsque ce littérateur déserté par le succès avait voulu se démarquer du souvenir laissé par le richissime filou juif Samuel Bernard.
La campagne anti-judaïque provoquée par le scandale de la Compagnie du percement du Canal de Panama, reçoit en 1894 son renfort inattendu. Depuis 1890, Bernard-« Lazare » multiplie les articles sur la question juive, tel celui où il présente les ashkénazes comme « descendants de huns », dans la livraison du 1er septembre 1890 des Entretiens politiques et littéraires : « Tous les israélites sont las de se voir confondre avec une tourbe de rastaquouères et de tarés ; ils sont las de cette perpétuelle équivoque qui les range parmi des spéculateurs véreux, des fabricants de musique imbécile, des journalistes sans esprit, des politiciens sans talent ». La violence de « Lazare » n’a rien à envier à celle de son contemporain Édouard Drumont, la bête noire des auteurs bien-pensants. Quant à son jugement musical, il est bien plus grossier que celui pour lequel on conspue Richard Wagner depuis près d’un siècle.
Quelques mois avant le début de l'affaire Dreyfus, paraît son brûlot L’antisémitisme, son histoire et ses causes. C’est un salmigondis des articles qu’il a publiés sur la question depuis quatre ans, mêlant les attaques contre les ashkénazes aux lamentations sur les persécutions des Juifs au Moyen Âge et à des commentaires sur l’accusation de « peuple déicide ». Il fait de Karl Marx un « talmudiste lucide et clair » : il n’est pas sûr que l’intéressé, anti-judaïque, élevé dans la religion luthérienne, aurait apprécié ; en outre, le rapprochement est osé entre le Talmud et la notion de clarté.
Dès les premières phrases, « Lazare » innove, du moins s’agissant d’un auteur juif : « Les causes générales de l’antisémitisme ont toujours résidé en Israël même, et non chez ceux qui le combattent ». Il explique l’antijudaïsme par l’attitude « insociable », « exclusive » du juif, « isolé du reste de l'humanité… Bien que l'antisémitisme se donnât successivement comme raison première une base religieuse, puis sociale, et pour finir nationale, son élément essentiel demeurait toujours le particularisme que les Juifs s’imposaient à eux-mêmes... Cette nation juive... puisait sa force dans sa croyance en la supériorité juive »… on croirait lire du Spinoza ou du Schopenhauer !
« Lazare » insiste beaucoup sur « le juif révolutionnaire » - c’est la grande période de la répression du nihilisme et du terrorisme révolutionnaire en Russie : « Les juifs furent toujours des mécontents... perpétuellement inquiets, en l’attente d’un mieux qu’ils ne trouvaient jamais réalisé... N’ayant aucun espoir de compensation future, le Juif ne pouvait se résigner aux malheurs de la vie… Le Juif est par essence un individualiste, un révolté... Ainsi, le grief des antisémites paraît fondé : le Juif a l’esprit révolutionnaire ».
On imagine mal un auteur non-juif oser écrire, de nos jours : « En général, les Juifs, même révolutionnaires, ont gardé l’esprit juif et, s’ils ont abandonné toute religion, ils n’en ont pas moins subi, ataviquement et éducativement, l’influence nationale du Juif ». Nahum Goldmann a dit la même chose dans les années 1970 !
Petite suggestion amusante pour un éditeur vaguement suicidaire : publier ce texte sous un faux nom de Goy et parier sur le nombre de jours séparant la mise en vente du livre et le dépôt de plaintes des innombrables associations antiracistes et/ou de défense des droits de l’homme.
Cette attitude critique disparaîtra bientôt chez « Lazare », devenu l’employé de la famille Dreyfus et de ce « syndicat dreyfusard », dont les bons auteurs nous assurent (à la suite d’un article de Zola paru dans Le Figaro du 1er décembre 1897) qu’il n’a jamais existé. Hélas, ce gaffeur de Clemenceau l’a désigné en toutes lettres, en 1898, dans un article de L’Aurore où il se félicitait de son « renfort par des intellectuels » ; en ont également parlé l’universitaire Louis Havet qui fut une figure marquante de ce syndicat, et Alexandre Millerand, socialiste et demi-juif par sa maman, futur Président de la République… au fait, l’expression « syndicat dreyfusard » avait été lancée, en 1895, par la très radicale-maçonnique Dépêche de Toulouse !
Dès qu’il est engagé, en 1895, par Mathieu Dreyfus (le seul personnage sympathique de cette triste affaire), « Lazare » devient un laudateur des qualités merveilleuses du Juif et un contempteur féroce, haineux, des anti-judaïques. En 1896, cet homme de conviction fait paraître : Contre l’antisémitisme, où il fait l’éloge du « nationalisme juif » et présente les anti-judaïques français comme « les défenseurs du capitalisme catholique ». Cette absurdité, ce mensonge grotesque ont emporté la conviction de nombreux auteurs au XXe siècle. En 1899, « Lazare » décrit les Juifs comme « un peuple de martyrs », en majorité formé d'êtres « mourant de faim ».
Les prosélytes, c’est bien connu, vont toujours trop loin ! Après avoir lancé, en 1895, l’immonde accusation : « Dreyfus a été condamné parce qu’il était juif » - ce qui était un pur mensonge, il a récidivé en présentant, avec bien d’autres, le procès de 1899 - désastreux pour le « syndicat qui n’existait pas » - comme « une réédition du premier procès » - ce qui était un autre mensonge, un « énaurme » mensonge, comme aurait beuglé Flaubert.
12:21 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Journal du chaos
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03:03 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 15 novembre 2019
TEPA nous à quitté hier soir .
Ce jeudi 14 novembre au soir, s’est éteint Patrick d’Hondt, connu sous le pseudonyme de « Tepa ».
Métis originaire des Antilles et né à Saint-Denis (93), il s’était adonné au rap dans les années 90 et jusqu’en 2009 environ (disque produit par le label de Kool Shen).
Après quoi il commença à s’intéresser à la politique (UPR) et surtout, en 2014, il lança MetaTV, une web-télévision « dissidente », dont il était l’unique animateur.
Presque chaque soir pendant plusieurs années il anima une émission en direct avec un invité, et les internautes pouvaient intervenir par un chat.
Bienveillant et très ouvert d’esprit, il reçut de nombreuses personnes, des plus intéressantes et injustement méconnues, aux plus farfelues (pour être poli). Les millions de vues s’accumulèrent sur la chaîne youtube.
Adepte de la liberté d’expression et curieux, il s’attira logiquement les foudres de l’ignoble LICRA (pour avoir reçu le professeur Faurisson).
Il évolua vers le patriotisme français.
En 2017, après une querelle avec une partie de l’équipe de MetaTV, il lança son site Patriote.info et poursuivit ses entretiens tout en s’engageant personnellement davantage.
En avril 2019, il annonça devoir se mettre en retrait pour lutter contre un cancer, qui finit par l’emporter, à l’âge de 48 ans.
Grâce à lui, de nombreuses personnes se sont intéressées aux questions politiques et ont développé un intérêt pour les mensonges d’État et les complots d’envergure.
Qu’il repose en paix.
Source : Contre-info
12:40 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |