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dimanche, 03 novembre 2019

Présidentielle : ne nous laissons pas enfermer dans le piège du Système.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Plusieurs enquêtes d'opinion viennent d'être réalisées et publiées par différents instituts et organes de presse se projetant en 2022 pour tenter de déterminer ce que sera le vote des Français au moment où viendra le temps d'un choix qui, compte tenu des menaces mortelles qui pèsent désormais sur notre Pays, sera, cette fois ci, décisif.
 
A deux ans et demi de la prochaine Présidentielle, ces sondages n'ont aucun sens, aucune réalité, aucune portée.
 
Voulus par le pouvoir dans le but évident d'anéantir toute autre hypothèse politique de rupture avec le régime, ils relèvent de la manipulation en même temps que d'une basse manœuvre à destination prophétique auto-réalisatrice.
 
Le Système veut ce duel. Le bien public impose que tout soit fait pour l'écarter. La prochaine élection présidentielle ne peut pas et ne doit pas être confisquée. Le sort de notre civilisation dépend de son issue.
 
Le salut national exige donc d'autres paradigmes, et d'autres incarnations. Il s'agit pour notre camp de les imaginer, de les concevoir, de les rendre possibles et de les construire. Au plus vite !
 
Le temps presse. Mais il est encore temps.
 
Le discours de Jean-François Touzé aux BBR de SN cliquez là

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JEUDI 7 NOVEMBRE : LIONEL BALAND, SPÉCIALISTE DES DROITES EUROPÉENNES, EST L'INVITÉ DE L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR RADIO LIBERTÉS

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LE BLOG DE Lionel Baland CLIQUEZ ICI

LES PRÉCÉDENTES ÉMISSIONS CLIQUEZ ICI

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La campagne de promotion du livre "Ordre nouveau raconté par ses militants" bat son plein

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Après Angers la semaine dernière où Jacques Mayadoux, accompagné de Jean-François Santacroce, de Franck Timmermans et de Véronique Péan, étaient reçus par l'Alvarium animé par Jean-Eude Gannat (plus de 80 participants), ce sera Strasbourg qui marquera à sa façon le cinquantième anniversaire d'Ordre nouveau le 9 novembre prochain. Une réunion sera animée par Jacques Mayadoux, André Chanclu et par Robert Spieler, ancien député et ancien vice-président de l'Alsace, chroniqueur à Rivarol et fondateur, à l'époque, de la section locale d'Ordre nouveau.

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Le prix Nobel d’économie Robert Shiller voit des bulles et des krachs à venir partout !

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Marc Rousset

Christine Lagarde, interrogée tout récemment sur RTL pour savoir si elle avait des craintes au sujet d’un krach financier, a répondu que la question ne se posait pas et qu’au FMI, on se préoccupait seulement de taux de croissance ! Mme Lagarde, comme les boursiers et les médias, ne veut voir que ce qu’elle croit, alors que l’investissement recule aux États-Unis et que la croissance américaine est à son plus bas, en rythme annuel, depuis trois ans. A contrario, selon le milliardaire américain Ray Dalio, fondateur de la société d’investissement Bridgewater Associates, le pape du marché obligataire mondial, tout comme Warren Buffett est le pape du marché mondial des actions, la situation est « effrayante » !

Ce mercredi 23 octobre, à Los Angeles, le prix Nobel Robert Shiller, l’auteur du livre Irrational Exuberance qui a prédit le krach boursier de 2000 et le krach immobilier de 2007, professeur d’économie à Yale, a déclaré, à l’occasion du lancement de son dernier ouvrage Narrative Economics : « Je vois des bulles partout, il n’y a pas de solution sur les marchés actions, sur les marchés obligataires et sur le marché immobilier », sur le site Investor’s Business Daily en date du 25 octobre 2019.

Shiller est un saint Thomas très intelligent qui ne s’embarrasse pas des pourquoi théoriques des bulles actuelles de tous les actifs en même temps, même si la seule explication valable est la fuite en avant de la création monétaire laxiste ainsi que les bas taux d’intérêt, les taux négatifs des banques centrales, mais il nous éclaire avec un ratio financier indiscutable, appelé le CAPE (Cyclically adjusted price-to-earnings ratio) ou Shiller P/E. En bon français, c’est tout simplement le ratio représentatif cours/bénéfice par action sur dix ans. Le bénéfice retenu n’est plus le dernier bénéfice comptable annuel trop volatil, mais le bénéfice moyen correspondant à une moyenne mobile calculée sur dix ans des bénéfices réajustés chaque année, en tenant compte de l’inflation monétaire.

Premier élément fondamental : le coefficient moyen P/E Shiller pour le XXe siècle, de 1881 à nos jours, s’élève à 15,21 alors qu’il est aujourd’hui à 29, soit pratiquement le double ! En 1929, il était de 35 et le Dow Jones chuta de 13%, le 28 octobre. En 1987, il n’était que de 16 et la grande faute des banques centrales fut d’élever les taux d’intérêt, ce qui entraîna le plus grand krach de l’Histoire le 19 octobre 1987, avec une chute du Dow Jones de 23%. En 2000, le coefficient Shiller était de 45, ce qui entraîna une correction de 49% entre 2000 et 2002. En 2007, le coefficient Shiller était à 25, donc légèrement inférieur au 29 actuel, ce qui entraîna une correction de 57% de 2007 à 2009.

De plus, Shiller s’inquiète autant pour les obligations, dont les cours anciens s’envolent suite à l’écroulement des taux d’intérêt, que pour les actions. Il remarque que le fonds obligataire SPDR™ Portfolio Aggregate Bond ETF a généré un rendement de 8,31% cette année, soit deux fois plus que la moyenne annuelle de ces dix dernières années. Quid le jour où les taux finiront par s’inverser ?

Shiller est un peu moins pessimiste pour la bulle immobilière car, si une bulle est de nouveau en train de se reconstituer aux États-Unis, au même niveau qu’en 2005, avec des fonds immobiliers progressant parfois de 29 % en 2019, soit davantage que les 20 % de progression des actions du S&P 500, l’Amérique a toujours en mémoire la sinistre crise des crédits immobiliers subprime de 2008 pour freiner son avidité.

En résumé, si la baisse des taux et le laxisme monétaire continuent avec Lagarde, qui a déclaré « On sera plus content d’avoir un emploi que d’avoir une épargne protégée », la bulle des actifs pourra gonfler encore jusqu’au krach boursier et la perte de confiance dans la monnaie. Et si les taux remontent, le système explosera immédiatement, comme en 1987, avec un krach boursier encore plus violent ! C’est la raison pour laquelle le très humble et réaliste Shiller, face aux conséquences de la folie humaine passée, n’a plus de solution à nous proposer.

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samedi, 02 novembre 2019

Journal du chaos

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vendredi, 01 novembre 2019

De l'immigration de travail à l'immigration de colonisation.

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L'avis de Jean-François Touzé

Loin des propos lénifiants d'un Hervé Le Bras ("L'immigration est stable en France depuis vingt ans") ou de la désinformation d'un Filippo Grandi, directeur de l'Instance des Nations Unies pour les réfugiés ("L'impression d'une ruée migratoire vers l'Europe est fausse"), la démographe Michelle Tribalat s'efforce depuis des années de rétablir la vérité en se basant sur l'étude historique rigoureuse et la réalité des chiffres, ne serait ce, a minima, que ceux, officiels, du ministère de l'Intérieur ou de l'Insee.

Dans une tribune intitulée "Non, la France n'a pas toujours été une terre d'immigration", publiée ce 1er Novembre dans le Figaro, elle restitue de manière limpide la clarté des faits statistiques : alors qu'en 1851, seuls 381 000 étrangers résidaient sur notre sol, soit à peine 1% de la population, alors qu'au cœur même des années 1960 et 1970, marquées par la volonté pompidolienne de recourir à une main d'oeuvre bon marchée, ce taux n'atteignait pas les 5%, il s'élevera progressivement, à l'approche du troisième millénaire, à 10%. Nous en sommes aujourd'hui à 21%, avec 14 millions d'étrangers installés en France dont 46% d'Africains contre 33 % d'Européens (En 1982, pour une population étrangère globale de 7%, la proportion était inverse, avec 56% d'Européens).
 
Ce que ne dit pas Michelle Tribalat qui, à juste raison, reste dans son rôle d'observatrice et de chercheuse, c'est que l'immigration, en France, a changé de nature.
 
D'immigration de travail, elle est passée avec le regroupement familial decidé par Giscard d'Estaing et Chirac, au stade d'immigration d'installation puis, avec l'échec programmé de l'assimilation, à une immigration d'affirmation et de revendication vers 1990 avec les premières manifestations communautaires.
 
Nous sommes aujourd'hui confrontés à une immigration de captation et de colonisation.
 
Captation de notre identité par dislocation de la cohésion nationale, effacement de nos valeurs et de nos principes, et par dévoiement de notre Histoire.
 
Colonisation par la mise en sécession de fait de pans entiers de notre territoire, par la conquête des esprits, des âmes et des corps,  par l'islamisation, mais aussi par l'africannisation ou l'orientalisation sourdes et progressives de nos mœurs.
 
Face à cette menace mortelle, c'est donc bien un combat POLITIQUE de libération nationale que nous devons mener. Et gagner.
 
Faute de quoi, nous connaîtrons les horreurs d'une guerre qui ne sera pas civile, puis, vaincus par notre anémie et notre déficience démographique, nous disparaîtrons dans les lises de la soumission qui engloutissent les peuples qui renoncent.

17:07 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Manifestation de Génération identitaire le dimanche 17 novembre à Paris

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Un communiqué de Génération identitaire

Le 3 octobre dernier, la France a de nouveau été frappée par le terrorisme islamiste. Mickaël Harpon, Martiniquais converti à l’islam, a froidement assassiné quatre de ses collègues de la préfecture de police de Paris en les poignardant avec un couteau en céramique. Harpon était habilité secret-défense alors qu’il fréquentait des imams salafistes fichés par la DGSI. Un islamiste était donc infiltré au plus haut niveau de l’État, du jamais vu dans toute notre Histoire.

Tragique ironie, en novembre 2017, la préfecture de police de Paris avait interdit la manifestation contre l’islamisme organisée par Génération Identitaire à l’occasion des 2 ans de la tuerie du Bataclan, interdiction qui a finalement été annulée par la justice.

Face à ce nouveau bain de sang démontrant l’existence d’un ennemi intérieur, Génération Identitaire appelle à descendre dans la rue pour dénoncer les djihadistes et tous ceux qui les soutiennent.

Nous n’accepterons jamais de vivre dans la peur sur notre sol. Ensemble, déclarons la guerre totale aux islamistes !

En savoir plus cliquez là

17:06 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

POPULISME : LA GROSSE BÊTE QUI MONTE, QUI MONTE…

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Pierre Vial, président de Terre et peuple

En Italie, les élections en Ombrie ont marqué un grand succès pour la Ligue de Matteo Salvini, dont la candidate, Donatella Tesci, a écrasé , avec 57,5 % des suffrages, son concurrent de la liste Parti-Démocrate- Mouvement des 5 étoiles. 

En Allemagne, l’AFD (Alternative pour l’Allemagne) est arrivée en deuxième position dans les élections régionales de Thuringe. Avec 23,5% des suffrages, elle double son score du scrutin précédent et, plus important encore, elle est en tête chez les électeurs de 18 à 59 ans. La CDU de Merkel est en chute libre (21,8% des voix). Le candidat de l’AFD, Björn Höcke, représente l’aile la plus identitaire de son mouvement.

Macron a déclaré à La Réunion : « Le port du voile dans l’espace public n’est pas mon affaire ». Il pratique ainsi la politique de l’autruche car chacun sait que le port du voile est un signe d’appartenance proclamée à l’islam et donc un défi à tous ceux qui refusent l’islamisation de la France, qui se fait sous une forme rampante mais aussi sous une forme provocatrice – car il s’agit de tester la capacité de résistance des Infidèles. Pendant ce temps, les Gaulois ne font plus confiance au Système en place. D’après un récent sondage Ipsos, 75 % d’entre eux estiment que les partis traditionnels et les politiciens ne se soucient pas d’eux. Cette défiance ne peut qu’être augmentée par l’incohérence des propos gouvernementaux : ainsi Marlène Schiappa, secrétaire d’État chargée de l’Egalité entre les hommes et les femmes (!), a déclaré : « Je ne suis pas favorable à interdire le voile dans les sorties scolaires (…) Ce qui est primordial pour moi, c’est de protéger les enfants du fait religieux dans l’école ». Donc le voile n’est pas « un fait religieux » ? C’est décidément une marque du macronisme : tout et le contraire de tout.

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17:01 Publié dans Les Nouvelles du Front de Pierre Vial | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les journées Bleu Blanc Rouge de Synthèse nationale : les interventions

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Samedi 12 octobre

Samedi, 14 h 30 : message de Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale

Premier forum :

Samedi, 14 h 40 : Hugues Bouchu, délégué des Amis franciliens de Synthèse nationale

Samedi, 14 h 55 : Caroline-Christa Bernard, artiste, témoin de l'attaque du Bataclan

Samedi, 15 h 15 : le Bastion Social dissout en avril dernier

Samedi, 15 h 25 : Daniel Conversano, blogueur, animateur de Suavélos

Samedi, 15 h 35 : Yvan Benedetti, porte-parole des Nationalistes

Samedi, 15 h 50 : Jérôme Bourbon, directeur de Rivarol

Deuxième forum :

Samedi, 16 h 30 : Alberto Martin, secrétaire général de l'ASIM (Espagne)

Samedi, 16 h 45 : Irène Dimopoulos-Papa , directrice de (Grèce)

Samedi, 16 h 55 : Athanasios Konstantinou, député européen de l'Aube dorée (Grèce)

Samedi, 17 h 10 : Thomas Ferrier, essayiste, président du Parti des Européens

Samedi, 17 h 25 : Gabriele Adinolfi, fondateur de l'Institut Polaris (Rome)

Troisième forum :

Samedi, 18 h 00 : Anne Brassié, écrivain

Dimanche 13 octobre

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Forum du matin

Dimanche, 11 h 30 : Jorge Alvarez, professeur d'histoire (El Cadenazo - Espagne)

Dimanche, 11 h 45 : Jean-Eude Gannat, l'Alvarium (Angers)

Dimanche, 11 h 55 : Ernest Tigori, écrivain ivoirien

Dimanche, 12 h 15 : Bernard Monot, économiste, ancien député européen

Dimanche, 12 h 30 : Vincent Vauclin, président de la Dissidence française

Dimanche, 12 h 45 : Jean-François Touzé, membre du Bureau politique du Parti de la France

Après-midi :

Dimanche, 15 h : le concert des Brigandes

Dimanche, 17 h : Serge Ayoub

Dimanche, 17 h 15 : Filip Dewinter, député d'Anvers (VB)

Dimanche, 17 h 25 : Jean-Marie Le Pen

Dimanche, 17 h 45 : Martin Peltier, journaliste

Dimanche, 18 h 00 : Alain Escada, président de Civitas

Dimanche, 18 h 15 : Thomas Joly, secrétaire général du Parti de la France

Dimanche, 18 h 25 : Pierre Cassen, fondateur de Riposte laïque

Dimanche, 18 h 35 : Pierre Vial, Président de Terre et peuple

 

Dimanche, 18 h 45 : Olivier Roudier, porte-parole de la Ligue du Midi.

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Merci à Mathieu MG et à TV patriotes pour leur aimable collaboration.

01:21 Publié dans 13 - Les 13e Journées de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 31 octobre 2019

L'émission "Synthèse" sur Radio Libertés avec Matthieu Baumier, essayiste et romancier

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Ecoutez

l'émission

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19:13 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L'islamisme et la paralysie des idéologues de gauche

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Jean-Gilles Malliarakis L'Insolent cliquez ici

L'audition, ce 30 octobre, du préfet Lallement devant une commission de l'Assemblée nationale ouvre un nouveau champ de réflexion. Et, dans son ensemble d'ailleurs, l'affaire Mickaël Harpon remet en cause la doxa politiquement correcte, à propos de l'islamisme.

On découvre en effet, au gré de ce dossier, des concepts inattendus. Les députés travaillant très officiellement sur "l'attaque" du 3 octobre dans l'enceinte de la préfecture de police, font ressortir, qu'ils le veuillent ou non, un certain nombre de notions nouvelles.

Et celles-ci contredisent largement les idées reçues, lesquelles dans notre malheureux pays, viennent de la gauche et de ses idéologues.

Court-circuitant la notion de terrorisme (article 421 du Code pénal), on nous dit en effet que l'intéressé n'a pris ses ordres auprès d'aucun "calife". Il ne se rattache pas plus au défunt al Baghdadi, – que nous ne regrettons certes pas mais dont la mort ne change pas grand-chose, - que du bien vivant Recep Tayyip Erdogan. On nous révèle que les services spécialisés n'enquêtent pas dans ce sens.

On nous dit simplement que ce sinistre traître était simplement atteint d'un "délire mystique" alimenté par une idéologie, le fondamentalisme islamique.

Cela veut donc dire que cette forme de délire d'inspiration islamiste peut tuer. Dont acte.

Cela veut dire que ce "mysticisme" lui-même appelle, et par conséquent aussi ce qui l'alimente, appelle, tout autant que le "terrorisme", puisqu'ils tuent eux aussi, un traitement répressif. Ils nécessitent une riposte policière et pénale, riposte fondée sur des  définitions légales inédites à ce jour, riposte qui requiert l'appui des citoyens, riposte qui impose particulièrement la mobilisation des fonctionnaires. La négligence, a-t-on découvert, a provoqué l'incendie de Notre-Dame : en face, à la préfecture de Police, la même insouciance coupable a laissé un serpent se réchauffer au sein des services censés protéger les citoyens.

On doit donc désormais se préoccuper grandement de cette absence de vigilance. Ceux qui ont repéré les changements d'attitude fort significatifs du converti salafiste Harponne ne les ont pas signalés soulignent les enquêteurs. Ses scandaleux propos de 2015, approbateurs sur l'attentat de Charlie Hebdo, n'ont donné lieu à aucune sanction. Toute cette déplorable inaction pourrait donc, à l'avenir, être considérée comme de la complicité.

Un sophisme courant consiste à nous objecter les sacro-saints principes de la laïcité qui se définirait comme liberté "de croire ou de ne pas croire".

Une telle affirmation ne veut rien dire.

En quoi, en effet, est-on libre "de croire", selon cette formule, dans la France républicaine ? Il ne s'agit pas, en l'occurrence de dire que l'on peut légalement professer que la terre est plate, encore qu'une telle contre-vérité n'entraînera pas de poursuites judiciaires.

La laïcité, c'est-à-dire la liberté religieuse telle que définie par la loi de 1905, concerne exclusivement au départ les diverses formes du judéo-christianisme en déplorant qu'elles n'aient cessé de se combattre entre elles depuis 2000 ans.

Sur ce point, au moins, je crois que nous sommes tous d'accord. Nous ne voulons plus jamais en France de saint-barthélemy, quel que soit le camp qui la provoque, ni de révocation de l'édit de Nantes. Ce sont en effet leurs déchirements, aux temps de la Guerre de Trente Ans (1618-1648) que les rose-croix du XVIIe siècle prétendaient dépasser. C'est à ces diverses confessions que pensaient au XVIIIe siècle les constitutions d'Anderson fondatrices de la franc-maçonnerie spéculative anglaise, laquelle prohibait en 1717, et condamne encore, l'athéisme (1). C'est à elles que se réfère l'édit de tolérance du roi Louis XVI de 1787, la déclaration de 1789, quand elle affirme (article 10) que "nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la Loi." ce sont elles, également, et elles seules, que le concordat de 1801 en France, le sanhédrin de 1807, puis la loi de séparation de 1905, eurent la prétention d'organiser, etc. Ajoutons, à deux siècles de distance, que les diverses familles spirituelles de nos pays européens doivent d'autant plus aujourd'hui savoir dépasser leurs divergences qu'elles se trouvent confrontées aux mêmes adversaires.

L'islamisme a-t-il été du nombre, tout au long de notre histoire ? À la vérité, au départ, non. Pas plus que la Turquie n'a d'autre place que celle des menaces qu'elle a incarnées pendant des siècles et qu'elle réaffirme aujourd'hui.

Une mosquée, lieu de prédication, et non de "culte", ne devrait donc pouvoir s'installer et prétendre rayonner légalement, – à l'instar de la pagode bouddhiste, par exemple, qui ne dérange personne, – qu'à la condition de prouver désormais, pour chacune d'entre elles, que sa prédication n'est pas contraire à la cohabitation sociale et n'incite pas à la haine. Non pas entre des "communautés", car ce concept n'existe pas en droit français, mais entre les personnes.

En effet "La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui" (article 4 de la déclaration de 1789).

Contrairement à ce que l'on entend trop souvent, il est dans notre république des opinions interdites. J'ai cru comprendre que tout ce qui s'apparente à l'hitlérisme, à son apologie, à l'expression d'une quelconque nostalgie, y compris par voie de collection d'objets fétiches, est susceptible de poursuites judiciaires. Rien de plus compréhensible. Je m'étonne seulement quant à moi, que le stalinisme et le maoïsme qui ont fait quantitativement, et sur une plus longue période, dans un plus grand nombre de pays, des millions de morts ne soient pas mis sur le même plan. D'autres croyances, d'ailleurs, sont légitimement suspectes et nous les appelons des sectes.

Tant que toutes ces questions ne sont pas résolues, on ne doit pas accepter comme deuxième religion de France, la première religion de l'Arabie.

(1) Ce qui la distinque et l'oppose à la franc-maçonnerie dominante en France, celle du grand orient qui a éliminé en 1877 toute référence au "grand architecte de l'univers".

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mercredi, 30 octobre 2019

Numéro hors-série de Valeurs actuelles sur l'Algérie française.. Un entretien avec Arnaud Folch

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Entretien réalisé par Nicolas Gauthier

Arnaud Folch : “Les vérités interdites sur l’Algérie française »

Vous venez de consacrer votre dernier hors-série de « Valeurs actuelles » aux « vérités interdites » sur l’Algérie française. Près de 60 ans après l’indépendance, il y a encore des « vérités interdites » ?

Qui sait que le FLN – toujours au pouvoir en Algérie – a massacré plus de 200.000 Pieds noirs et harkis de 1954 à la fin 1962, dont la plus grande partie après les accords d’Évian ? Qu’il s’est rendu coupable d’effroyables exactions et tortures de masse notamment à l’encontre de la population musulmane qu’il prétendait vouloir « libérer » ? Qui se souvient que Paris a vécu durant cette même période une vague de meurtres et d’attentats sans précédent dans son histoire – entre 6.000 et 7.000 morts ? Qui ose rappeler que la quasi-totalité des chefs de l’OAS et des personnalités pro-Algérie française furent d’authentiques résistants de la première heure en 1940 ? La première des vérités interdites, qui englobe toutes celles que nous traitons, c’est que nous vivons depuis 57 ans sous le joug d’une vérité officielle qui n’est autre qu’un gigantesque mensonge d’État.

Vous parlez de tortures et d’exactions du FLN, apportez-vous des preuves ?

Nous reproduisons plusieurs dizaines de documents classés « confidentiel » et « secret défense » qui l’attestent. Certains révèlent des faits ahurissants, qui, lorsqu’ils étaient évoqués, étaient systématiquement niés, tels ces Françaises envoyées dans les bordels d’abattage du FLN ou ces prisonniers utilisés comme « réservoir à sang », jusqu’à leur mort, pour les soldats de l’armée de la pseudo-« libération ». Mais nous révélons aussi les incroyables complicités dont les terroristes ont bénéficié du côté du pouvoir, à Paris : l’action meurtrière des barbouzes, la quasi-impunité des « porteurs de valise », tous libérés après les accords d’Évian, l’interdiction faite à la Croix rouge par Louis Joxe, ministre des Affaires algériennes du général de Gaulle, de visiter les camps de détentions d’européens tenus par le FLN, ou encore ces cas de civils français échappés des geôles ennemis et rendus à leurs bourreaux…

L’armée française – cela est avéré – s’est aussi rendue responsables d’actes de tortures…

Certes, pour autant il faut là aussi rétablir la vérité : cela fut sans commune mesure avec le nombre et la barbarie des exactions du FLN. Comme l’a reconnu plus tard le très gaulliste général Massu « il y avait des risques et des accidents se sont produits. Mais ce n’était tout de même qu’une pression physique, même violente, utilisée pour le renseignement immédiat et ne dégradant pas l’individu ». Rien à voir avec les abominations du FLN dont témoignent les documents que nous publions : infanticides, viols collectifs, émasculation, corps déchiquetés, yeux crevés…    

Vous consacrez un article aux « guillotinés de Mitterrand »…

C’est un autre tabou français. Interrogez les Français sur Mitterrand et la peine de mort, immédiatement on vous répondra : 1981, Badinter et l’abolition. Or le même Mitterrand, ministre de la Justice, de juin 1956 à mai 1957, s’est montré à cette époque l’un des plus farouches partisans des exécutions capitales. Sur les 45 peines de morts à l’encontre de terroristes FLN qu’il a eu à « traiter » durant cette période, il ne s’est prononcé en faveur de la clémence qu’à huit reprises ! C’est à lui, notamment, que l’on doit l’exécution du communiste Fernand Iveton, devenu depuis, avec Maurice Audin et quelques autres, l’une des icônes de la repentance…

D’où vient, sur la guerre d’Algérie, cette omerta que vous dénoncez ?

Du postulat de base, imposé par la doxa gaulliste, puis propagé ensuite par les médias bien-pensants et l’esprit de repentance : les Français d’Algérie – une terre qui a pourtant été française bien avant Nice et la Savoie ! – sont coupables, forcément coupables ; et le FLN victime, forcément victime. Au nom de la « raison d’État », non seulement le pouvoir a laissé faire les massacres, mais il les a souvent cautionnés. Tout un symbole : le général Katz, qui a laissé tuer plus de 700 Pieds noirs à Oran le 5 juillet 1962, a été décoré un mois plus tard par le ministre des Armées Pierre Messmer en personne de la Croix de la valeur militaire, avant d’être promu général quatre, et cinq étoiles. Puis, dans les années 1070, d’être élu conseiller général de l’Allier sous l’étiquette gaulliste…

Hors-série « Valeurs actuelles » « Algérie française, les vérités interdites », 132 pages, 10,90 euros Disponible en kiosque et sur boutique.valeursactuelles.com

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Diffamation de SOS Racisme : l'Alvarium porte plainte.

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Communiqué de l'Alvarium (Angers) :

Depuis le début de notre existence, nous sommes victimes des insultes les plus idiotes, des calomnies les plus odieuses et des actes les plus vils. Tout cela relayé complaisamment sur internet ; ici par les blogs antifascistes (que nous sommes heureusement presque les seuls à lire), là par une partie de la presse, payée par nos impôts mais prompt à faire la propagande de l'anti-France, quitte à cracher au visage d'une majorité du contribuable. Respectant le principe de liberté d'expression, nous avons le plus souvent ignoré ces choses, dans la limite du tolérable.

Mais nous constatons aujourd'hui que SOS Racisme, officine agonisante du pouvoir destinée à faire taire tous ceux qui pensent différemment, se permet de qualifier l'Alvarium de « bar néo-nazi » en relayant une pétition diffamatoire réclamant notre fermeture. Si insignifiantes que soient pour nous ces insultes, nous refusons de nous laisser appeler ainsi par des professionnels de l'acharnement judiciaire et de la traque anti-française.

Il y a peu, Jean-Marie Le Pen a fait condamner Jacques Séguéla qui l'avait traité de nazi dans le même but de diabolisation facile du camp national. Forts de cette jurisprudence, nous entendons bien à notre tour traîner SOS Racisme devant les tribunaux pour faire comprendre à ces khmers « blacks, blancs, beurs », qu'on ne nous diffame pas impunément et que la peur doit changer de camp.

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Liban : union nationale et populaire

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Par Sophie Akl-Chedid*

« La levée en masse des travailleurs dans tout le pays, ce n’est pas le fait des manipulations “capitalistes”, des réactions bourgeoises ou des rêves d’intellec- tuels. Ce n’est pas le fait d’étudiants privilégiés rêvant de l’Occident et souffrant du mal de vivre en société collectiviste. Ce sont des hommes sur le tas, dans leur milieu de travail, sur le terrain des luttes. Leurs revendications, ce sont celles des travailleurs de tous les pays et de tous les temps : le pain et la liberté, c’est-à-dire les mots d’ordre de tous les grands rassemblements populaires... », écrivait Jean Daniel en octobre 1980 à propos des événements qui donneront naissance au syndicat polonais Solidarnosc.

Ils pourraient s’appliquer, à quelques nuances près, au soulèvement populaire que vit le Liban aujourd’hui. En Pologne, après 40 ans d’oppression communiste, tirant les leçons des grèves avortées de 1970 et 1976, le mouvement ouvrier indépendant a secoué le joug soviétique, créant une première brèche dans le rideau de fer dix ans avant l’effondrement de l’URSS. Au Liban, après 40 ans de domination de la scène poltique et sociale par les seigneurs de la guerre recyclés depuis 1990 en tyrans mafieux, 14 ans après le sursaut national qui a chassé l’oppresseur syrien mais s’est brisé sur les compromissions politiciennes, le peuple libanais joue le tout pour le tout et rejette tout à la fois le modèle confessionnel qui l’asservit en le divisant et ses leaders traditionnels considérés dans leur grande majorité comme des champions du népotisme et du clientélisme les plus éhontés, ayant transformé la Suisse du Moyen-Orient en un des pays les plus corrompus au monde.

Pour se défendre, le régime souffle le chaud et le froid. A les entendre, tous sont aux côtés des protestataires à qui ils font le coup du « je vous ai compris », avant d’envoyer le secrétaire général du Hezbollah en première ligne pour mettre en garde contre le risque de vide institutionnel, de chaos et même de guerre civile. En réponse, les Libanais ont formé dimanche une chaîne humaine de 170 kilomètres du nord au sud du pays avec pour unique slogan l’hymne national.

Accusés d’être manipulés et financés depuis l’étranger, les Libanais soulignent le quasi-silence des médias occidentaux. Accusés d’être des agitateurs, ils refusent toute forme de violence et proposent des solutions conformes à la Constitution telles que l’organisation d’élections législatives anticipées et la nomination d’un cabinet restreint de spécialistes capables de faire face à l’urgence économique. Les universitaires, les avocats, les médecins, les ingénieurs, les artistes prennent la parole tour à tour, mais aussi les mères de famille, les ouvriers, les commerçants, les paysans et les chômeurs.

Tous les jours, le silence se fait à l’heure de la prière devant les églises et les mosquées. Ils sont deux millions, sans leader et donc insaisissables, un cauchemar pour les autorités cramponnées à leurs privilèges. Quoi qu’il arrive dans les jours et les semaines qui viennent, une lame de fond multiconfessionnelle et profondément patriote est en train de consacrer l’union nationale. C’était le rêve assassiné d’un certain Bachir Gemayel

(*) Sophie Akl-Chedid est correspondant permanent au Liban  pour Présent – 30/10/2019

 

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Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

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Thomas Ferrier DÉDICACERA SON NOUVEAU LIVRE "FASCISMES D'EUROPE" JEUDI 31 OCTOBRE À LA NOUVELLE LIBRAIRIE

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COMMANDEZ CE LIVRE CLIQUEZ LÀ

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09:58 Publié dans Livres, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

JEUDI 31 OCTOBRE : MATTHIEU BAUMIER, ESSAYISTE ET ROMANCIER, INVITÉ DE L'ÉMISSION SYNTHÈSE SUR RADIO LIBERTÉS

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LES PRÉCÉDENTES ÉMISSIONS CLIQUEZ ICI

09:42 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 29 octobre 2019

Fabien Bouglé: La face noire de la transition écologique

Fabien Bouglé publie un nouveau livre ICI

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17:17 Publié dans Combat anti-éoliennes, Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L’art contemporain ou le symptôme de la maladie mentale de notre société

La FIAC se déroule chaque année à Paris. Elle permet aux artistes du monde entier d'exposer leurs œuvres dans les rues de la ville lumière. Mais pas n'importe quelles œuvres : des œuvres d'art contemporain. Qu'est-ce que l'art contemporain ? Il est plus difficile de répondre à cette question qu'il n'y paraît... C'est ce que va découvrir Vincent Lapierre au contact de ces étranges réalisations artistiques.

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Source: Le Média pour Tous

12:00 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dérive totalitaire

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La conférence de Sylviane Agacinsky annulée

Par Franck Delétraz

On le savait très influent, particulièrement intolérant et virulent. Mais l’annulation in extremis par l’Université Bordeaux Montaigne du débat auquel devait participer la philosophe Sylviane Agacinski jeudi soir dans ses locaux de Pessac sur « L’être humain à l’époque de sa reproductibilité technique » en raison de « menaces violentes » vient de mettre en évidence l’actuelle dérive totalitaire voire terroriste du lobby LGBT.

A l’origine de cette annulation scandaleuse, un communiqué intitulé « L’Université Bordeaux Montaigne invite une homophobe notoire pour parler PMA/GPA », daté du 6 octobre, émanant du syndicat « Solidaires étudiant-e-s Bordeaux » et des associations « GRRR »,  « Riposte trans », « Mauvais Genre-s » et « Wake Up ! », appelant les « étudiant-e-s à se mobiliser contre la venue de cette conférencière au sein de leur lieu d’étude » et à mettre « tout en œuvre afin que cette conférence n’ait pas lieu ». Sans préciser pour autant quels seraient les moyens de pression utilisés, les auteurs de ce communiqué ajoutaient que « dans un contexte d’homophobie et de transphobie décomplexées (médias, manifestations anti-PMA, agressions, refus de la PMA aux personnes transgenres...), il est dangereux et inconscient que l’université offre une tribune à une personne aux discours dignes de la Manif Pour Tous ». Bref, si l’on ne voit pas trop un commando de folles furieuses mettre à sac le campus, la direction de l’établissement, estimant ne pouvoir « assurer pleinement la sécurité des biens et des personnes, ni les conditions d’un débat vif mais respectueux face à des menaces violentes », a quand même décidé de renoncer à ce rendez-vous. Tout en indiquant fort justement sur son site que « cette manifestation de censure est une atteinte excessivement grave et violente à la confrontation des idées à laquelle notre université est attachée » et qu’« empêcher la discussion au sein d’une communauté participe d’une dérive liberticide ».

Absence de réaction des pouvoirs publics

Une dérive tellement grave qu’elle a d’ailleurs, fort heureusement, suscité l’indignation d’un certain nombre de personnalités depuis jeudi soir. A commencer bien sûr par Sylviane Agacinski elle-même, qui a affirmé comprendre la difficulté de l’université de Bordeaux à « résister à des groupes qui excluent toute critique, y compris celles inspirées par le respect des personnes », et a déploré « une forme de terreur intellectuelle qui affecte gravement l’état du débat public ». Mais aussi l’ancien magistrat Philippe Bilger qui, s’indignant face à cette « honte », a demandé sur Twitter : « Jusqu’où va aller ce terrorisme ? » Tout comme l’eurodéputé LR François-Xavier Bellamy qui, apportant son soutien à la philosophe, s’est lui aussi demandé sur Twitter : « Sommes- nous encore en démocratie ? Incroyable qu’une intellectuelle reconnue soit empêchée de s’exprimer dans une université, au seul motif qu’elle est engagée depuis longtemps contre la marchandisation du corps » ! Mais aussi le CoRP, le collectif pour l’abolition de la maternité de substitution (GPA), auquel participe Sylviane Agacinski, qui a très justement observé que cette atteinte à la liberté d’expression « justifierait une réaction des pouvoirs publics pour garantir cette liberté, notamment au sein de l’université ». Car, a-t-il ajouté, « les associations en question, en voulant par tous les moyens réduire au silence celles et ceux qui ne pensent pas comme elles, utilisent des méthodes qui relèvent d’une forme de violence politique propre aux mouvements totalitaires »

Source : Présent 26/10/2019

10:26 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 28 octobre 2019

Ombrie, Thuringe... Les droites nationales européennes vers la reconquête.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Magnifique succès de Matteo Salvini en Ombrie. La coalition de droite formée autour de la Lega, avec Forza Italia et nos amis de Fratelli d'Italia écrase la gauche et emporte la région.
 
Ceux qui espéraient que le départ de Salvini du gouvernement scellerait la fin de l'ambition qu'il nourrit pour l'Italie en seront pour leurs frais. Pour le Système auquel s'est rallié le Mouvement 5 étoiles, le compte à rebours a commencé.
 
On notera que le hasard — ou le destin — a voulu que ce résultat soit connu ce 28 octobre, jour anniversaire du début de la Marche sur Rome de 1922.
 
Ombrie aujourd'hui, l'Italie toute entière demain.
 
Cette victoire, acquise au lendemain du grand succès en Thuringe de l'AFD qui, avec presque 24% des suffrages double ses voix par rapport à l'élection précédente, témoigne de ce que le vent porte désormais les forces de la droite nationale européenne vers de nouveaux horizons.
 
Tout est maintenant possible. La France ne devra pas être en reste.

23:38 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La vérité sur l'attentat de la gare de Bologne ?

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Dimanche dernier le 27 octobre, une journée militante a été organisée à Rome par Gabriele Adinolfi en collaboration avec le Centre d'étude Polaris, des historiens, avocats, journalistes et des députés, au sujet des massacres des années de plomb faussement attribués à la droite radicale.

La rencontre baptisée "Orchestre Rouge" a annoncé une contre-offensive historique-juridique qui sera articulée dans un jugement international au jugement de Bologne (ils sont en train de mettre en place la Cour qui en prendra la charge) et dans une série d'actions de contre-information locales et, espérons-le, dans des cadres institutionnels (Chambre des députés, Assemblées régionales).

21:54 Publié dans Rubrique d'Italie Gabriele Adinolfi, Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les Brigandes: Concert entier au weekend Bleu Blanc Rouge de Synthèse Nationale

Pour terminer notre série de reportages du weekend Bleu Blanc Rouge nous vous proposons de finir en beauté avec ce concert de nos amies Les Brigandes !

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Les Brigandes - Monsieur Le Pen - Concert aux Bleu Blanc Rouge

Extrait du concert des Brigandes avec la chanson Monsieur Le Pen lors des 13ème journées Bleu Blanc Rouge organisée par Synthèse Nationale, le dimanche 13 Octobre 2019 à Rungis.

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Jean-Marie Le Pen : « Il n’est jamais trop tard pour bien faire »

Jean-Marie Le Pen dans Parade-Riposte sur Sputnik France, une émission dirigée par Édouard Chanot.

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17:40 Publié dans Sacha de Roye, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

De bonnes nouvelles d'Europe

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Björn Höcke a conduit l'AfD de Thuringe 

En Thuringe (Allemagne) et en Ombrie (Italie), se déroulaient ce dimanche des élections partielles. Partout, les droites nationales et identitaires locales triomphent. Nous vous invitons à consulter le site de notre ami Lionel Baland cliquez ici pour avoir les résultats détaillés de ces scrutins.

En Allemagne, l'AfD double son score par rapport à la précédente consultation et écrase la CDU, le parti de Merkel. En Italie, la Ligue et ses alliés sont en tête et vont désormais gouverner cette région libérée. 

On ne peut que se féliciter de voir les choses ainsi bouger. Comme nous l'avons expliqué lors de nos journées BBR il y a 15 jours, nous n'avons plus le temps ni les moyens de faire les "fines bouches". Ces mouvements ne sont peut être pas parfaits, mais les résultats qu'ils obtiennent signifient le début d'une prise de conscience.

Plus que jamais les nationalistes à travers l'Europe doivent se positionner comme étant les pôles vers lesquels le curseur doit continuer à se déplacer...

Synthèse nationale

11:32 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Frémissements populistes au Portugal

Chega-.jpgGeorges Feltin-Tracol

Le 6 octobre 2019 se tenaient des élections législatives au Portugal. Au cours des jours précédant ce scrutin, la grosse presse cosmopolite ne cessa pas de vanter la clique politicienne locale.

Bien qu’arrivée en tête aux élections de 2015, la droite modérée qui se désigne « sociale-démocrate », bel aveu de modération avancée, est incapable de s’entendre au point de laisser le pouvoir aux forces de gauche. Le Parti socialiste d’Antonio Costa négocie âprement avec son ennemi historique, le Parti communiste, et avec le Bloc de gauche, une sorte de condensé lusophone de Mélenchon et de Besancenot. Costa constitue un gouvernement socialiste homogène qui bénéficie du soutien parlementaire des communistes et des gauchistes. Cette alliance inédite n’empêche pas le Portugal d’appliquer une politique économique décidée par la troïka FMI – BCE – Commission de Bruxelles. La violence économique de l’austérité néo-libérale s’édulcore seulement de mesures progressistes d’ordre sociétal.

La médiacratie hexagonale s’extasie surtout de l’absence de tout signe de populisme. Le discours national-identitaire n’est guère audible dans l’opinion portugaise malgré une immigration croissante due à la conjonction de deux phénomènes : l’installation de plus en plus fréquente de ressortissants d’anciennes colonies ultra-marines et l’arrivée des retraités francophones et anglophones. Leur présence favorise la hausse rapide des prix de l’immobilier aux dépens des Portugais eux-mêmes.

Les résultats électoraux voient le vote socialiste croître de 4,3 points et remporter vingt sièges supplémentaires. Antonio Costa est sûr de retrouver son poste de Premier ministre. Le Bloc de gauche garde ses dix-neuf sièges tandis que la Coalition démocratique unitaire, un regroupement de diverses formations dont les communistes et les Verts, n’en a plus que douze, soit cinq de moins. L’alliance gouvernementale est reconduite avec une préférence – implicite – accordée au Bloc de gauche.

La politique sociétaliste de Costa suscite cependant une forte défiance populaire. Outre une abstention élevée (46,5 %), le mouvement environnementaliste et proto-animaliste de centre-gauche Personnes – Animaux – Nature s’emparent de trois autres sièges, soit un total de quatre élus. Mouvement de droite nationale, le Parti national rénovateur ne recueille que 15 272 suffrages (0,3 %), une perte de 0,2 point. Cet échec cuisant s’explique par le (modeste) succès de CHEGA !.

Fondé le 9 avril 2019, CHEGA !, c’est-à-dire « ASSEZ ! », est dirigé par un professeur de droit de 36 ans, André Ventura. Il entre au Parlement avec 66 442 voix (1,30 %). Cet ancien adhérent du Parti social-démocrate entend importer au Portugal les méthodes du voisin espagnol Vox et, lusophonie oblige, l’activisme du président brésilien Jair Bolsonaro. CHEGA ! ne verse pas dans l’euroscepticisme et pencherait plutôt vers l’Alliance des conservateurs et réformateurs européensdorénavant dominée par le PiS polonais. Hostile à l’islam et au mariage gay, ce jeune parti politique promeut une ligne nationale-libérale conservatrice. Il s’affiche libéral en économie, nationaliste sur le plan culturel et conservateur dans le domaine sociétal. À l’instar de Vox, il se déclare irréprochable sur certains sujets supposés controversés et prend par conséquent bien soin de ne pas être confondu avec le RN français, la Lega italienne et l’AfD allemande.

Par cette élection surprise, l’illusion d’une Lusitanie préservée de tout affreux populisme, se dissipe enfin. Faut-il y voir une conséquence indirecte de la polémique de l’été ? En août dernier, le maire socialiste de Santa Comba Dao, Leonel Gouveia, proposa l’édification d’un musée, ou plutôt d’un centre d’étude et d’interprétation du régime de l’enfant de la commune, Antonio Salazar, le président du Conseil de l’« État nouveau » (1933 – 1974). Le 11 septembre suivant, à l’initiative du groupe communiste, le Parlement vota grâce à l’abstention d’une « droite » toujours aussi pleutre, une condamnation de ce projet qui offenserait la mémoire des « victimes » du salazarisme.

André Ventura est bien seul. Et alors ? Pendant près de vingt-huit ans, Jair Bolsonaro fut un député fédéral isolé et méprisé. En dépit d’un changement fréquent d’étiquette partisane, cet isolement politique le préserva des compromissions politicardes. Le président de CHEGA ! a-t-il commencé une longue marche qui en fera un jour le Bolsonaro du Portugal et de la Vieille Europe ?

Bonjour chez vous !

• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°144, mise en ligne sur TVLibertés, le 21 octobre 2019.

11:08 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 27 octobre 2019

Mort du chef de l'Etat islamique : une simple péripétie.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Le bon shérif Trump a finit par abattre le méchant du désert syrien. Tant mieux. Il l'annonce avec tambours, trompettes et hymne étoilé. C'est de bonne guerre. 
 
Le cadavre d'un ennemi sent toujours bon. Celui du chef du soi-disant État islamique plus que tout autre. Mais ne nous y trompons pas : une ordure islamique tuée, c'est dix de retrouvées.
 
D'autres viendront a la suite d'al-Baghdadi. De nouvelles organisations surgiront qui remplaceront Daech, toutes embrasées par l'ambition eschatologique de la reconstruction du Califat et animées par la volonté d'instaurer l'Islam universel. Un islam universel dont l'entreprise stratégique de domination ne passe pas seulement par le djihad ou le terrorisme.
 
La mort de Bakr al-Baghdadi est réjouissante. Elle n'en est pas moins une péripétie. Presque une anecdote. En quelque sorte un point de détail de la guerre de conquête plus que millénaire declarée à l'Occident par les fous d'Allah. 
 
Ce n'est pas le commencement de la fin. Pas même la fin du commencement. 
 
Une guerre, pour être gagnée, doit être reconnue comme telle afin que soient mobilisées toutes les ressources militaires, logistiques, économiques, morales et spirituelles nécessaires à la victoire.
 
Pour le moment nous en sommes loin.

16:05 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Mario Draghi s’en va et le krach se rapproche : l’assurance-vie sous pression

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Marc Rousset

« Super Mario » quittera la BCE le 1er novembre sans rendre le casque à pointe prussien que lui avait offert le journal Bild, après s’être bien payé la tête de l’Allemagne, puisqu’il a pratiqué une politique monétaire diamétralement opposée à celle de rigueur sur laquelle il avait été élu. « Donner, c’est donner », a-t-il pu même ironiser au sujet du cadeau de Bild, dans la langue de Goethe. Il est vrai que « le comte Draghila » a sauvé momentanément la France et l’Italie de la faillite, mais ce n’est que partie remise en pire. Le président de la Bundesbank Jens Weidmann est le cocu magnifique de l’histoire, d’autant plus qu’il s’est fait voler le poste de président de la BCE par Christine Lagarde, une diplomate juriste sans formation économique.

Mario Draghi a fait acheter par la BCE, durant son mandat, 2.600 milliards d’euros de titres souverains payés par création monétaire, soit le quart des dettes publiques des États de la zone euro. Sa politique monétaire laxiste l’a amené à taxer les liquidités excédentaires des banques avec des taux négatifs qu’il vient d’abaisser à -0,5 %, tout en annonçant la reprise par la BCE, à partir du 1er novembre, « aussi longtemps que nécessaire », d’un programme de rachat d’actifs de 20 milliards d’euros par mois. Le conseil sublime de Mario Draghi à Lagarde dans son testament : « Ne jamais abandonner. »

Les taux négatifs mettent les assureurs-vie sous pression, avec la faillite comme seule perspective à terme. En France, après Suravenir, filiale de Crédit mutuel Arkéa, c’est au tour d’AG2R La Mondiale d’annoncer un emprunt obligataire non subordonné de 500 millions d’euros, pour renforcer ses fonds propres. Le spectre de la fin des fonds en euros traditionnels apparaît et l’on cherche des « épargnants suicidaires » prêts à prendre plus de risques, à la veille d’un krach, pour compenser les taux bas… qui pénalisent le rendement du portefeuille des assureurs.

La célèbre association française des épargnants AFER, avec 750.000 adhérents, demande déjà un pourcentage minimum de 30% d’unités de compte (c’est-à-dire des actions au lieu des obligations des fonds euros) pour les nouveaux contrats de plus de 100.000 euros (entre 35% et 70% pour AG2R la Mondiale selon les montants versés). Les compagnies tentent de dissuader les épargnants de se « ruer » sur les fonds en euros, dont le rendement baisse, mais qui peuvent encore rester positifs quelques années, en raison de l’inertie des portefeuilles, car il faut environ quinze ans pour remplacer en totalité les obligations contenues dans les portefeuilles d’assureur en fonds euros.

Selon le cabinet de conseil international McKinsey, alors qu’on nous explique que tout va bien, plus d’une banque sur trois pourrait disparaître dans le monde, 47 % de ces dernières se trouvant en Asie et 37 % en Europe de l’Ouest. Les taux bas diminuent, aussi les marges des banques, suite à des crédits de plus en plus risqués et de moins en moins rémunérateurs, tandis que le coût des dépôts reste stable. Le spectre de la perte de confiance dans le Système apparaît… tandis qu’on nous annonce une croissance chinoise bientôt sous les 5 %.

Aux États-Unis, les bénéfices des entreprises US stagnent depuis 2012 alors que les cours s’envolent. La dette publique et privée des États-Unis s’élève à 73.000 milliards de dollars, soit plus de trois fois le PIB américain, dont 25.000 milliards de dollars ont été ajoutés ces des dix dernières années, d’où, à terme, une charge de la dette insupportable. Le 24 octobre, la Fed a dû injecter une somme anormale de 134 milliards de dollars pour éteindre un nouvel incendie sur le marché monétaire du « repo », ce qui montre qu’il y a des limites à l’endettement. Une récession à venir est plus que probable tandis que la Fed songe, pour la troisième fois, en 2019, à abaisser son taux d’intérêt, tout en ayant repris le dangereux rachat laxiste de 60 milliards de dollars de dettes par mois.

Le drame, c’est que l’Italie et la France de Macron ne font absolument rien pour améliorer l’état des finances publiques. Nous nous dirigeons vers un krach financier et une énorme crise monétaire comme étape ultime. Dans le pire des cas, tout va exploser ; dans le meilleur des cas, la BCE imprimera tellement de monnaie que cette dernière, à terme, ne vaudra plus rien.

13:44 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 9 novembre, présentation du livre "Ordre nouveau raconté par ses militants" à Strasbourg

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06:49 Publié dans Livres, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |