jeudi, 28 mai 2020
Le Journal de TV Libertés du jeudi 28 mai 2020
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Eternel Giorgio Almirante
Julius Caius Nous sommes Partout cliquez ici
Giorgio Almirante fait partie des hommes qui ne traversent pas le temps en costume d’anonyme, bien au contraire. Ce fidèle au Fascisme qu’il a servi en écrits comme en combats fait partie des hommes qui marquent de leur emprunte l’histoire d’une nation. Giorgio Almitante est de la race des seigneurs, de la race des courageux, des héros même s’il refuse ces titres.
D’abord journaliste, Almirante écrit des critiques cinématographiques pour la revue Il Tevere de Telesio Interlandi, dont les colonnes étaient chargées de faire connaître les activités de la jeunesse fasciste dans les années 30. Il est aussi membre des groupes universitaires fascistes mussoliniens, fêtant au passage le dixième anniversaire de l’arrivée au pouvoir du DUCE et il collaborera à Il Tevere jusqu’en 1943 avant d’en devenir le rédacteur en chef. Secrétaire de rédaction jusqu’en 1942 de la revue La Difesa della Razza et correspondant de guerre notamment en Afrique du Nord à la suite de la division des chemises noires, il sera décoré de la croix de guerre pour vaillance militaire.
Il naît en 1914 dans la région de Parme en Emilie-Romagne tout comme il DUCE et comme mon père – décidément c’est une terre fertile pour les héros – et il consacrera toute sa vie aux idéaux fascistes, œuvrant sans cesse pour la grandeur de son pays, honorant à travers ses écrits et discours tout ce que fut ou furent les piliers essentiels d’une civilisation fasciste et mussolinienne, qu’ils soient hommes ou actes. Ces hommes là ne s’arrêtaient jamais, ils sautaient d’un combat à l’autre, tantôt avec les poings, tantôt avec la plume et portaient avec fierté leur empire tout en le servant avec humilité .
Giorgio Almirante mènera après guerre un combat politique acharné contre les démons bolcheviques, agaçant ses adversaires, exhortant ses fidèles à servir les idéaux fascistes du passé, sous la bannière du MSI (Mouvement Social Italien) à la fondation duquel il participera, en 1946 dans un discours enflammé, emplis de courage, de passion, d’amour pour un idéal, de fidélité à un « guide » il Duce et pour servir une cause, celle du peuple fier de ses origines, de son sang et de sa race.
Quand en France sévissait « De Gaulle », en Italie brillaient Giorgio Almirante et Pino Romualdi, le second participera d’ailleurs aux campagnes d’Albanie et de Grèce. De vrai guerriers multi-fronts. De Gaulle parlait dans un micro, les deux autres tenaient un fusil. Voilà des destinées bien différentes, un fossé de différences dans les combats, et quant au courage politique, les actes parlent d’eux mêmes. Ceux-là n’ont pas joué dans la même cour. Il y a 32 ans, mourait Giorgio Almirante et des milliers de fascistes et néo-fascistes accompagnèrent sa dépouille.
Le fascisme perdit la même année Romualdi (la veille de la mort de Giorgio Alminrante, NDLR -SN). Ces deux hommes laisseront un désert politique qui ne sera jamais comblé.
L’Italie a eu besoin de héros. Almirante fut l’un d’eux. Sa voix s’est éteinte définitivement mais reste encore vive dans les cœurs de ses soldats devenus orphelins encore une fois, se rappelant cet homme debout sur les estrades, jurant à pleins poumons son espoir dans la jeunesse italienne, hurlant de ne pas oublier le passé qui ne pouvait que redevenir le futur de tout un peuple. L’Italie est un pays qui ne se repose jamais, les enfants de la louve ont trouvé bien des frères au fil des décennies, les mêmes cœurs ardents et combatifs, et quand le rideau tombe, la mise en scène pour les adieux est inutile, elle devient naturelle et sans fard ! On se doit de rendre hommage à ces hommes là en se les remémorant en costume politique ou bien en essayant de se les imaginer en uniforme, aussi entiers en joutes verbales que forts au combat.
« Notre racisme doit être celui du sang, celui qui coule dans mes veines, que je ressens en moi et que je peux voi, analyser, et comparer avec le sang des autres » Giorgio Almirante.
Sur l'histoire du MSI, lire :
Le commander en ligne cliquez là
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Réindustrialiser la France
Jean-Marc Jancovici est tout sauf un joyeux plaisantin Ce polytechnicien, grand spécialiste des problèmes de l'énergie est le président d'un groupe de réflexion Shift Project à l'origine d'un manifeste esquissant les pistes à suivre pour décarbonner l'Europe d'ici 2050. Dans l'entretien qu'il donne ici à l'hebdomadaire Marianne, il dresse les pistes pour réindustrialiser la France dans une économie décarbonnée.
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Plan de relance de l'UE : qui paye commande !
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Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine
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Et si on parlait solutions concrètes ?
par Natacha Polony
Alors que la crise qui vient s’annonce ravageuse pour des pans entiers de notre économie, et plus largement pour le pays dans son ensemble, du bien-être de sa population à sa place dans le concert des nations, on reste consterné devant le niveau des débats sur le monde d’après et les moyens d’en sortir. Ne parlons même pas de la nouvelle fracture idéologique autour d’une molécule extraite de la quinine, permettant aux uns de dénoncer partout des taupes des lobbys pharmaceutiques et aux autres de débusquer des cryptofascistes. Le reste est à l’avenant. On découvre que notre classe politique est unanimement attachée à la souveraineté (mais « sans tomber dans le souverainisme », pour citer l’inénarrable Najat Vallaud- Belkacem), à l’indépendance, à la préservation de l’industrie... A se demander comment Jean-Pierre Chevènement n’a pas été élu triomphalement en 2002, tant on lui trouve d’électeurs cachés.
Le président lui-même a visiblement décidé d’orchestrer ce que les commentateurs politiques baptisent déjà du ronflant titre d’« acte III du quinquennat » (après trois ou quatre actes II) et qu’il nous promet tourné vers cet impératif d’indépendance. Bref, conforme à ce que réclament depuis déjà quelques décen- nies les citoyens français pour cesser d’être soumis au bon vou- loir de puissances impérialistes, de multinationales adeptes de l’optimisation scale et de fonds vautours spécialistes du pillage de l’outil industriel. Tout le problème, pour opérer un tel tournant (outre la question de la crédibilité, quand on a fondé toute sa « révolution » électorale sur l’éloge du libre-échange, de la nanciarisation anglo-saxonne et de la rigueur budgétaire allemande), est de trouver les hommes capables non seulement de prendre les décisions, mais de les imposer ensuite à une administration toute-puissante et pétrie de vieilles idéologies.
La difficulté est d’autant plus grande que l’on sent déjà s’agiter tous ceux qui, soit par intérêt, soit par aveuglement, n’ont aucune envie de voir remis en cause le système. La popularité mirobolante du Premier ministre nous raconte cette conversion d’une partie de la bourgeoisie française, qui avait voulu voir dans Emmanuel Macron un rassurant hybride d’Alain Juppé et Jacques Delors, mâtiné d’un peu de décoiffante jeunesse, et qui trouve finalement que le juppéisme droit dans ses bottes d’Edouard Philippe est beaucoup plus able que les « réinventions » opportunes du converti de l’Elysée. Un peu comme cette bourgeoisie s’était mise à rêver, après la révolte étudiante, du moderne et sérieux Pompidou pour se prémunir contre les idées baroques du vieux Général, faites de participation, de régionalisation et d’indépendance nationale face à l’emprise croissante du marché. Il serait dommage que le seul moment où Emmanuel Macron pût être comparé à de Gaulle fût non pas 1940 ou 1958, mais 1968... D’autant que c’est justement d’un mai 1958 qu’a besoin la France. Un moment crucial où toutes les structures sont à réinventer. L’hôpital, l’université, l’agriculture, l’industrie, et jusqu’aux institutions elles-mêmes.
L’enjeu est majeur. Rien ne serait pis, face à une telle situation, que d’en rester aux réflexes conditionnés, à la pensée automatique et sectaire. On ne sauvera pas des milliers d’entreprises et des centaines de milliers d’emplois en entonnant les chœurs habituels sur la menace de ces « populistes » tapis dans l’ombre. Pas plus qu’en déversant l’argent public sans imposer aux heureux bénéficiaires une sauvegarde de l’emploi en France. Ce n’est pas d’incantations ni d’esbroufe que nous avons besoin, mais de pragmatisme. Car il s’agit de redonner confiance au pays pour vaincre les forces centrifuges qui sont à l’œuvre dans toutes les strates de la société et, à la fois, d’entraîner tous ceux qui ont envie de voir en n la France inventer un modèle économique fait de filières de pointe, de production locale, de respect de l’environnement et de maillage du territoire par un réseau de PME capables de fournir de l’emploi dans des zones aujourd’hui sinistrées.
Pour l’heure, et faute d’industrie pour produire les équipements nécessaires à notre protection contre la pandémie, l’Etat a fait le choix de bloquer l’économie en compensant par une indemnisation massive à travers le chômage partiel. Pendant ce temps, nos voisins allemands subventionnent l’activité à une échelle incomparable, à travers les aides aux PME. L’urgence est donc de se donner les moyens de redémarrer. En obligeant les banques à jouer leur rôle de soutien. En usant de la BPI, et même de la Banque européenne d’investissement. En émettant, à l’échelle des Etats comme à celle de l’Europe, des obligations perpétuelles permettant à la puissance publique d’investir dans des secteurs d’avenir comme la santé, la transition énergétique... Les solutions existent, mais on ne les trouve ni dans les vieux réflexes des adeptes de la gouvernance bornée, qui n’ont visiblement pas vu le monde changer, ni dans les pétitions de principe des protestataires qui évitent en général de se confronter au réel.
La colère des citoyens gronde. Elle n’est pas – pour l’heure – une rage aveugle. Elle attend des actes qui l’apaiseront. Des perspectives nouvelles. Une idée de ce que doit être la France.
Source : Marianne 28/05/2020
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McDonald’s : du Big Mac au Big scandale !
La chronique de Philippe Randa
Décidément, le temps n’est pas au beau fixe pour les multinationales ; après Amazon – l’ogre du commerce électronique – dont les conditions de travail ont été sévèrement recadrées, jusqu’à obliger ses centres de distribution en France à fermer, faute de conditions sanitaires satisfaisantes – c’est au tour de McDonald’s – le monstre de la malbouffe – d’être dans le collimateur de la justice : il est poursuivi devant l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) depuis le 18 mai pour « harcèlement sexuel systématique ». Qui l’eût imaginé ?
Les conditions de travail des célèbres « restaurants » (sic !) dans plusieurs pays ne sont pas les seules en cause, puisque la plainte déposé par une coalition internationale de syndicat vise également deux banques d’investissement : la néerlandaise APG Asset Management et la norvégienne Norges Bank, actionnaires de McDonald’s.
Le Monde rapporte que « les syndicats ont rassemblé des témoignages, avec des allégations allant de “commentaires vulgaires à des agressions physiques” à l’encontre de salariés en Australie, au Brésil, au Chili, en Colombie, en France, au Royaume-Uni et aux États-Unis. »
Un premier coup de semonce avait pourtant été donné il y a deux ans lorsqu’en 2018 « à l’heure du déjeuner, les employés des McDonald’s de dix villes américaines vont cesser le travail, afin de pousser leurs directions à prendre des mesures plus énergiques contre le harcèlement sexuel au travail » selon le Time Magazine.
Pour se défendre, l’enseigne argue que 90 % de ses restaurants étant franchisés, elle n’est en rien responsable des conditions de travail des employés… et ce sera donc à des juges néerlandais – les pays-Bas sont le « centre nerveux » du groupe en Europe et le siège de la banque APG – de décider si « la violence et le harcèlement basés sur le genre font partie de la culture de McDonald’s. »
On pensait pourtant qu’en s’aventurant chez McDo, les seules craintes à avoir se situaient au niveau du palais et de l’estomac… pas de la chute de rein !
Lire EuroLibertés cliquez ici
00:16 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mercredi, 27 mai 2020
Le Journal de TV Libertés du mercredi 27 mai 2020
21:06 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Canonisation prochaine de Charles de Foucauld.
18:27 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Coronavirus tout était donc faux ? Panique à bord du vaisseau média mensonge
11:32 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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LES ÉLUCUBRATIONS TÉLÉVISUELLES DE MADAME JORDANA...
La réaction de Thomas Joly, président du Parti de la France :
Si Camelia Jordana Aliouane, petite beurette bourgeoise, a si peur de la police française, qu'elle n'hésite pas à remigrer en Algérie. Là-bas, elle n'aura pas à se faire défriser la tignasse puisqu'un voile la couvrira et qu'elle sera consignée dans sa casbah.
Source cliquez ici
11:05 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Un ex-officier du renseignement militaire russe : « Cette pandémie est un mensonge »
11:00 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Bas les masques
Action réalisée devant la préfecture du Var pour dénoncer la gestion de la crise sanitaire par le gouvernement.
Source: Academia Christiana
10:27 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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DÈS À PRÉSENT, RETENEZ LES DATES DES 10 & 11 OCTOBRE PROCHAINS : CE SERA LE GRAND "RENDEZ-VOUS BLEU BLANC ROUGE" DE RENTRÉE 2020 DE SYNTHÈSE NATIONALE
00:54 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mardi, 26 mai 2020
L’ancien ministre de l’Intérieur autrichien Herbert Kickl : "Les médias ont préparé cette mise en scène dramatique"
20:05 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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La députée Sara Cunial accuse Bill Gates de Crime contre l’Humanité et demande son arrestation
Au parlement italien, Sara Cunial dénonce l’Etat profond, la mafia médicale, Bilderberg et Bill Gates ! Vaccin, tatouage quantique et reconnaissance faciale... tout y passe !
Source : Il est temps
19:56 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Economie, finance, le jour d’après avec Pierre Jovanovic
Pierre Jovanovic : "Le Mossad s’en donne à cœur joie en France"
Au sommaire de cette seconde partie du numéro 255 de Politique & Eco :
À qui profite le crime de la pandémie ? Bill Gates, prémonition ou prévision ?
Deux mois de prison à domicile et 400 000 commerces et PME au tapis
Un collaborateur de Véran véreux
Corruption, assassinat de personnes âgées, mensonges publics, mise en danger de la vie d’autrui, dissimulation de preuves...
Les banques centrales rachètent l’or qu’elles avaient vendu !
La France comme le Liban.
La Macronie est-elle en train de couler ?
Les fonds de pension en question
Adieu à l’épargne
19:36 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Trump : "J'ai une chance de briser l'État profond"
Un extrait de l’intervention de Donald Trump dans l’émission Full Measure with Sharyl Attkisson du 24 mai 2020."Ce que je fais ? Je combats l’État profond"
Source: E&R
18:54 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Test Covid : le président tanzanien pense qu’il se passe des choses étranges
18:43 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Le Journal de TV Libertés du mardi 26 mai 2020
17:41 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Par-delà le neuvième groupe…
Georges Feltin-Tracol
Pendant la crise du coronavirus, la tambouille politicienne continue. Tout l’univers et même au-delà ont été saisis d’effroi et de terreur, ce dimanche 17 mai : le député du Val – d’Oise, Aurélien Taché, abandonne le groupe de La République en marche (LREM), lui, le macronien historique venu du PS. Il accuse son ancien groupe de trop tendre vers la droite… Deux jours plus tard, un nouveau coup de tonnerre retentit dans les couloirs du Palais-Bourbon. Avec ses 288 députés, LREM perd la majorité absolue et dépend dorénavant des 46 élus du MoDem et des 27 députés UAI (UDI, Agir et Indépendants). Aurélien Taché, Cédric Villani, Guillaume Chiche, Mathieu Orphelin et l’ancienne ministre PS de l’Écologie, Delphine Batho, l’actuelle présidente de Génération Écologie, s’associent dans un neuvième groupe de 17 membres intitulé « Écologie, Démocratie, Solidarité ».
Depuis juin 2017, LREM subit une déperdition constante de ses effectifs entre exclusions fracassantes et départs plus ou moins volontaires. Son président, Gilles le Gendre, et le délégué général du parti présidentiel, Stanislas Guérini, prouvent à tous leur incompétence réelle à diriger un collectif, fut-il, de godillots. Pour bien tenir les membres, il aurait fallu toute l’expérience d’un Benjamin Griveaux…
La quinzième législature de l’Assemblée nationale sous la Ve République enregistre le record du plus grand nombre de groupes parlementaires. Qu’il est loin le temps dans les années 1970 où seuls quatre groupes (PCF, PS, UDF, RPR) couvraient presque tout l’hémicycle. Ce foisonnement ne reflète pourtant pas l’état véritable des forces politiques françaises. Les groupes UAI et GDR (Gauche démocrate et républicaine) constitué autour des derniers communistes, émanent de formations groupusculaires. Il existe aussi un groupe, plus technique que politique, de 19 députés dont Jean Lassalle, les autonomistes corses, le radical de gauche Olivier Falorni, des centristes proches d’Hervé Morin, des divers-gauche et des divers-droite, « Libertés et Territoires », qui s’inspire de « République et Liberté » (1993 – 1997). Présidé par le très conservateur député-maire de Tours, Jean Royer, ce groupe transpartisan comptait parmi ses 27 membres le centriste Jean-Louis Borloo, des communistes réunionnais, Bernard Tapie, des chevènementistes ainsi que des radicaux de gauche.
« Libertés et Territoires » et « République et Liberté » se réfèrent à la « Formation administrative des non-inscrits » (FANI) présente au cours de la première législature entre 1958 et 1962. D’une quarantaine de membres, dont le démocrate-chrétien ligérien Eugène Claudius-Petit et le divers-droite niçois Jean Médecin, ce groupe laissait cependant à l’écart 36 autres non-inscrits dont les dix députés communistes. Bien que deuxième force politique derrière les gaullistes, le PCF n’avait pas pu constituer de groupe. Jusqu’en 1988, l’article 19 du règlement intérieur de l’Assemblée nationale exigeait un minimum de trente députés pour en former un et ainsi bénéficier d’un plus grand temps de parole, de plus de moyens matériels ainsi que de plus de personnel. En 1988, pour complaire aux communistes, le seuil s’abaisse à vingt députés. En 2009, sur la demande des centristes, Nicolas Sarközy ordonna à sa majorité de diminuer encore le seuil à quinze députés !
Il va de soi que si l’Opposition nationale, populaire, sociale, identitaire et européenne détenait une vingtaine de sièges, le quorum remonterait aussitôt à trente, voire à quarante ou cinquante élus. Dans le second tome de ses mémoires, Tribun du peuple (Éditions Muller, 2019), Jean-Marie Le Pen rappelle qu’entre 1986 et 1988, le groupe FN – RN fut l’objet de tentatives fréquentes de débauchage de la part de la courte majorité RPR – UDF afin de provoquer sa disparition immédiate. Le cas s’est finalement produit en 2016 avec l’explosion du groupe Vert. Tandis que quelques députés verdâtres s’apparentaient au groupe PS, les autres rejoignaient le rang des non-inscrits portés à vingt-cinq, un autre record !
Avec six députés RN, deux divers-droite (Emmanuelle Ménard et Nicolas Dupont-Aignan), l’élue vauclusienne de la Ligue du Sud et un député Les Patriotes, le courant national se voit toujours privé de groupe, ce qui le contraint de siéger avec trois dissidents marcheurs atypiques chez les non-inscrits. Pour l’ancien FN, c’est une habitude tenace depuis 1989 avec Marie-France Stirbois, 1997 avec l’éphémère Jean-Marie Le Chevallier et en 2012 avec Marion Maréchal et Gilbert Collard. S’agirait-il d’une « malédiction » fortuite de Jean Fontaine (1922 – 2014) ? Député de La Réunion à partir de 1968, ce gaulliste très anti-communiste, ancien des Forces françaises libres au physique assez typé, devient non-inscrit à partir de 1978. En novembre 1984, il adhère au Front national et est ainsi jusqu’en 1986 le tout premier député frontiste de la Ve République. Il préside ensuite l’association des élus du FN.
Que ce soit au scrutin majoritaire à deux tours ou au mode proportionnel, le processus complexe de décomposition et de recomposition des forces politiques de l’Hexagone se poursuit et s’accélère. Une véritable assemblée populaire, organique et nationale ne devrait pas accepter des fractions politiciennes litigieuses et factices, mais plus sérieusement les vraies forces vives du travail, de la famille et des patries charnelles de la France européenne.
Bonjour chez vous !
• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°173.
Europe Maxima cliquez ici
12:27 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Eric Zemmour explique l'esclavage... Pas vraiment "politiquement correct" !
11:43 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Les grenouilles se cherchent (encore) un roi.
10:55 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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lundi, 25 mai 2020
Le Journal de TV Libertés du lundi 25 mai 2020
17:49 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Face à la menace d'extrême gauche notre camp doit se renforcer.
15:00 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Philippe Douste-Blazy dénonce l’étude anti-chloroquine et lance un (énorme) pavé dans la mare !
Olivier Piacentini Boulevard Voltaire cliquez là
Récemment, une étude publiée par la revue scientifique The lancet a conclu à l’inefficacité du traitement à la chloroquine du professeur Raoult, voire à sa nocivité. Outre la réputation de la revue, le test porte sur 96.000 patients, ce qui apporte une crédibilité à ses résultats. Immédiatement, les médias ont répercuté ces résultats à grand renfort de publicité. Olivier Véran a saisi le Haut Conseil de la santé publique afin de revoir les conditions de prescription de ce médicament, assouplies il y a quelques semaines.
Interrogé sur BFM TV, Douste-Blazy a violemment critiqué cette étude, dont les résultats seraient biaisés. En effet, sur le groupe testé à la chloroquine, 20 % des personnes seraient atteintes de graves affections respiratoires, explique-t-il, contre seulement 7 % dans le groupe de contrôle… Un déséquilibre qui, évidemment, gonfle artificiellement la mortalité du groupe chloroquine. Et Douste-Blazy affirme avoir lu en détail les conditions de l’étude. « Si vous donnez de la chloroquine à des mourants, c’est sûr qu’ils vont mourir », a ajouté l’ancien ministre.
« Pourquoi des scientifiques reconnus fausseraient-ils des données médicales aussi importantes ? » lui demanda alors Apolline de Malherbe, qui l’interrogeait. La réponse de Douste-Blazy vaut le détour. Selon lui, une revue de renom comme The Lancet, comme d’autres revues aussi reconnues, sont désormais sous l’influence directe des multinationales du médicament. Les sommes en jeu sont tellement énormes que les labos financent en sous-main certains articles. « Si le laboratoire américain Gilead annonce qu’une de ses molécules marche, le Wall Street journal reprend cette info le lendemain et la hausse immédiate du cours de Bourse fait gagner quatre milliards de dollars aux actionnaires. Les laboratoires ne peuvent laisser passer cette chance unique de faire des profits colossaux », selon Douste-Blazy.
À travers les annonces fracassantes de l’ancien maire de Lourdes, et surtout ancien ministre de la Santé, on comprend que l’étude en question pourrait n’être qu’une tentative de déstabilisation du professeur Raoult par les multinationales, pour le discréditer et se donner du temps pour proposer leurs solutions. Au demeurant, Philippe Douste-Blazy a cité comme exemple le laboratoire Gilead : est-ce fortuit, quand on sait que cette société a investi des sommes énormes pour sortir le vaccin avant tout le monde ?
« Si on m’avait dit, après vingt ans de recherche, que je verrais de pareilles choses, je n’y aurais pas cru une seconde », a conclu Douste-Blazy, visiblement abasourdi par ce pavé qu’il a lui même lancé dans la mare. Voila donc à quoi tiendrait la santé publique à échelle mondiale, la survie de millions de malades, les cours de Bourse des multinationales de la santé ? Si les nations ne reprennent pas la main au plus vite, l’avenir de tous sera et restera entre les mains des financiers.
NDLR - SN : je ne pense pas que nous partageons beaucoup d'idées communes avec Philippe Douste-Blazy. Cependant, si celui-ci dit qu'il fait nuit à minuit et jour à midi, nous n'allons pas nous évertuer à essayer de lui prouver le contraire... Or, dans ses récentes prises de positions sur ce qu'il est convenu d'appeler l'"affaire de la chloroquine", force est de reconnaître que cet ancien ministre de la Santé, médecin de surcroit, tient bon sur une position courageuse allant à l'encontre de la pensée dominante encadrée. Qu'il en soit donc félicité.
R.H.
14:53 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Tout doit disparaître
Par Romain Guérin
Une grave crise économique pointe le bout de son vilain nez. Faillites d’entreprises, licenciements groupés via internet, fermetures d’usines. Avant le coronavirus, tout allait très bien madame la Marquise, on ne déplorait pas même un incident, pas même une bêtise. Le secteur financier était vertueux, les banques étaient saines, la corruption et l’esclavage des femmes et des enfants avaient disparu de la surface de la planète. Le plein emploi régnait en France et les travailleurs, une pâquerette au bord des lèvres, sifflotaient joyeusement en partant au travail. La terre jouissait d’un printemps perpétuel, les fruits et les légumes poussaient tout seuls, les maladies et la souffrance n’existaient pas, l’homme vivait presque éternellement. Bref, c’était l’âge d’or. Là, tout n’était qu’ordre et beauté, luxe, calme et volupté. Et puis survint du fin fond du puits des Enfers, la bête immonde de l’apocalypse : le monstrueux pangolin. Après lui, un déluge universel ruina en deux petits mois la citadelle cosmopolite imprenable qui protégeait ce paradis déjà perdu.
Vous avez compris braves gens, la catastrophe qui vient, c’est la faute du COVID-19 et seulement du COVID-19. Ne cherchez pas plus loin. C’est la version officielle. Toute contestation de celle-ci sera considérée comme complotiste et antisémite. La cause de cette dé- pression étant naturelle, il n’y a point de responsables, il est donc vain que la populace rêvasse à de beaux procès ou de belles potences. C’est la faute de monsieur Pas-de-chance. Pas de responsable. Pas de coupable. A la foule massée sur la place de grève, curieuse de découvrir la couleur du sang des assassins, circulez ! Il n’y a rien à voir ! Rentrez chez vous ! Le spectacle est une fois de plus annulé, la justice est depuis bien longtemps souffrante, elle est incapable d’assurer ses représentations.
Monsieur Pas-de-chance étant insolvable, il va falloir faire preuve d’inventivité et de malice pour trouver l’agent. Après Jean-Michel Apathie qui raserait bien le château de Versailles « pour que nous n’allions pas là-bas cultiver la grandeur de la France », après Brigitte Trogneux, épouse Macron, qui va brader le mobilier national au pro- fit de sa propre association « Hôpitaux de Paris-Hôpitaux de France », au concours Lépine de la grande liquidation française, la palme est décernée ce mois-ci à Stéphane Distinguin, PDG de la société Fabernovel. Ce philanthrope soutenu immédiatement par Claude Askolovitch, un autre grand ami du genre humain, propose ni plus ni moins, de vendre La Joconde pour 50 milliards d’euros, car « vendre de l’ancien pour faire du nouveau, du patrmoine pour de la création, c’est la marque d’une nation qui croit en son avenir et ses artistes ». Pour lui, nous n’avons pas d’autres choix : il faut vendre nos bijoux de famille « pour permettre à des artistes, des intermittents du spectacle, toute une filière et une industrie de manger et de créer nos futures Joconde ». Si je comprends bien, pour sauver le plug anal géant de la place Vendôme et permettre aux punks à chien de continuer à faire du yoyo au feu rouge, il n’existe qu’un seul moyen : que les Français vendent leurs tableaux de maîtres, qu’ils échangent avec des rastaquouères leur patrimoine inestimable contre de la monnaie de singe.
Deux questions me chatouillent immédiatement l’esprit. Premièrement : en quoi ce que nous désignons par le « monde de la culture » mérite d’être sauvé ? Deuxièmement : aliéner ses trésors nationaux à des vendeurs de ta- pis est-il vraiment la seule ressource financière que la France possède désormais ? Si nous en croyons Stéphane Distinguin, vendre La Joconde permettrait de faire vivre des artistes pour qu’ils créent nos futures Jocondes. Pour ce faux candide, Jack Lang possède les mêmes exigences esthétiques que François 1er et nos 250 000 intermittents du spectacle sont tous des Léonard de Vinci en puissance. Dans un monde normal, en faisant de telles déclarations, Stéphane Distinguin serait pris pour ce qu’il est, à savoir le Ravi de la crèche, l’idiot du village qui nous fait rire autant que pitié. Depuis que l’Etat s’est fait le mécène de toutes les loufoqueries qui allaient dans son sens, c’est-à-dire vers le bas et la boue, combien de chefs-d’œuvre immortels la France a-t-elle offerts à l’humanité ? Réponse : zéro, la bulle, nada, la tête à Toto.
En ce qui concerne les ressources dont la France dispose, elles sont multiples et importantes. Au lieu de vendre nos forêts aux Chinois, au lieu de livrer nos châteaux aux princes arabes, nous pourrions tout simplement, au choix : se servir sur le budget délirant de l’immigration ; aller chercher les grosses valises de fraîche dans les paradis fiscaux ; récupérer l’immense magot de la fraude sociale. Les Français sont des moutons résignés. La république les a dressés à merveille. A chaque fois que l’Etat a besoin d’argent, le Franchouille de base baisse la tête et se dit :
« Allez, c’est encore moi qui vais devoir payer. » Le veau dans les fers de l’abattoir a dans les yeux plus d’espoir de s’en sortir que Jean Dupond devant sa feuille d’impôt. Jean Dupond ne sait plus ce qu’est le volontarisme poli- tique, pour lui, rien n’est possible ou alors vouloir faire des choses, c’est forcément bousculer des personnes et des habitudes, bref c’est violent. Fasciste. Pas bien donc. Jean Dupond n’a plus de coucougnettes, mais il n’a plus bien de jugeote non plus. Il ne voit pas l’alibabesque gabegie que les barons mondialistes font avec son pèze. Jean Dupond, sais-tu qu’avec la sueur de ton front, tu finances des milliers d’associations comme : Solidarité inter lesbien gay bi ; Cameroun et Solidaire Team Tuk Tuk (solidarité à l’égard des pays en développement) ; Solidarité femme algérienne démocrate (intégration et accès à la nationalité française) ; Africlap ; Africolor ; Africultures, Afrika Tiss ; Afriques et noues ; Afrique étoiles ; Afrique pleine d’avenir ; Afrique en scène ; Afrique sur Bièvre, Afrika Dance Perku. J’en passe et des meilleurs !
Tu sais, toi le pigeon, toi la vache à lait, Dieu a dit à l’homme : « Tu gagneras ton pain à la sueur de ton front ». Il a bien dit TON pain. Dieu dans son immense sagesse, n’a pas dit : « Tu gagneras par ton travail non seulement ton pain, mais celui de tous les Africains. » Il n’a pas dit non plus : « Tu feras des heures supplémentaires pour payer le dernier iPhone à des clandestins et les prothèses de tous les boiteux de la terre » et encore moins « il te faudra prostituer tes enfants pour payer les safaris de BHL, les hôtels d’Attali et les petites sauteries de DSK »
Source : Présent 26/5/2020
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dimanche, 24 mai 2020
Pourquoi les Bourses mondiales jouent aux montagnes russes
Marc Rousset
La Bourse de Paris a repris 5,16 %, lundi 18 mai, suite à un nouveau vaccin américain qui a soulevé des espoirs irréalistes et démesurés. La place new-yorkaise a terminé aussi chaque jour dans une direction différente, depuis le début de la semaine, signe d’une forte volatilité. En fait, les Bourses sont assises sur un volcan car elles se refusent à voir l’éléphant de la crise économique qui attend dans le couloir.
C’est bien l’Union européenne qui empruntera 500 milliards d’euros avec la garantie de tous les États de l’UE, mais l’UE ne pourra rembourser ces emprunts qu’avec un nouvel impôt européen, ou en demandant aux États de rembourser en fonction de leurs pourcentages respectifs dans le PIB de l’UE. Des subventions seraient accordées à certains pays ou à des secteurs économiques en fonction de leurs besoins, et il y aurait donc bien mutualisation au niveau de l’UE avec un taux d’emprunt plus faible et redistribution des ressources vers les plus démunis. Mais la chancelière Merkel a seulement fait un geste politique : l’Allemagne, grande gagnante du système actuel, suite au laxisme des pays du Sud, leur a seulement proposé un os à ronger.
Les pays sérieux et frugaux tels que l’Autriche, la Hollande, la Suède, le Danemark et la majorité des Allemands n’ont pas encore dit leur dernier mot et peuvent contre-attaquer en demandant que des prêts soient accordés et non pas des dons, tout cela se terminant probablement par un mixage prêts/dons. De plus, ces 500 milliards ne représentent que 3,6 % du PIB de la zone euro (14.000 milliards d’euros), soit une goutte d’eau par rapport à l’hyperendettement existant (95 % du PIB) et à l’océan des besoins. L’Allemagne va dépenser 900 milliards d’euros pour ses propres problèmes, la France 500 milliards d’euros. La réalité, c’est qu’il y a toujours deux forces pour mettre fin à l’euro : l’Allemagne qui ne veut pas payer pour le « Club Méditerranée des pays du sud », qui se retranche derrière les traités de l’Union européenne et la Cour de Karlsruhe ; et, d’autre part, l’Italie, avec la France dans sa roue, qui va très vite se retrouver dans une situation impossible, n’ayant plus que la dévaluation d’une nouvelle monnaie nationale pour faire face à ses obligations.
L’espoir de reprise économique en V est risible. La dette des pays de l’Union européenne pourrait passer à 120 % du PIB d’ici fin 2020. Pour tous les économistes, le pire est à venir, la crise du coronavirus n’étant que le verre d’eau qui fait déborder le vase déjà plein en janvier 2020. Le MEDEF propose d’étendre la prime des voitures électriques boudées par les Français aux 700.000 voitures thermiques que les constructeurs ont en stock et dont ils ne savent que faire.
Le plan franco-allemand a ramené le taux d’emprunt italien, qui était monté jusqu’à 2,228 %, à 1,601 %, mais l’endettement italien devrait bondir de 135 % du PIB à 155 % du PIB d’ici fin 2020, soit 2.400 milliards d’euros. De nouvelles frictions avec les pays « frugaux » pourraient faire remonter les taux italiens à la verticale.
La tendance à long terme de l’or, si l’on considère un simple graphique depuis 1971, est clairement à la hausse, avec l’index technique actuel du RSI (relative strength index) de 70 qui renforce la probabilité. La Bourse américaine est toujours surévaluée avec un ratio P/E (cours/bénéfice) qui est actuellement de l’ordre de 30. Le métal précieux pourrait atteindre les 3.500-4.000 dollars l’once dans les trois années à venir. Rien d’étonnant puisque le bilan de la Fed est en train d’exploser, fin mai, à plus de 7.000 milliards de dollars, alors qu’il était à 4.200 milliards de dollars, seulement, fin février 2020.
Si l’on évalue le coût de la facture des dépenses de l’État fédéral pour éviter le coût de la Grande Dépression aux États-Unis, ce pourrait être jusqu’à 10.000 milliards de dollars, soit une augmentation de 50 % de la dette publique américaine, alors que l’on est, à ce jour, à 2.000 milliards de dollars, avec une demande supplémentaire des démocrates de 3.000 milliards de dollars. C’est toujours la même chanson partout dans le monde : toujours plus de dépenses publiques et de dettes !
Tout cela ne peut se terminer que par une immense explosion à venir et un nouvel ordre monétaire international fondé exclusivement sur l’or, contrairement à ce qui avait été décidé en 1945 à Bretton Woods (Gold Exchange Standard).
20:59 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Gérard Darmanin, vous mentez !
Invité ce dimanche du Grand-Jury RTL- Le Monde, Gérard Darmanin qui cumulera donc désormais la gestion de la ville de Tourcoing et la charge du ministère du Budget et des comptes publiques, tout en entretenant soigneusement ses réseaux politiques, économiques et sociétaux patiemment tissés pour lui permettre de gravir une à une les marches de la République conformément à la haute idée qu'il se fait de lui même et en vertu de l'étendue de son ambition, ment deux fois.
20:56 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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ÉLOGE DES FRONTIÈRES...
Franck Buleux Meta infos
Dans les débats qui ont précédé à la période de confinement que nous vivons, la rhétorique politiquement correcte était assez simple, voire simpliste et répétée à l’envi sur tous les médias, en substance le virus n’a pas de frontières, alors il est inutile de fermer celles-ci.
Argument imparable car totalement absurde, comme si le virus avait une quelconque autonomie de déplacement.
Mais revenons-en aux frontières, au Limes, aux limites territoriales des pays. D’abord, à quoi servent-elles s’il n’y en a plus ? L’Union européenne (UE) a mis en place l’espace Schengen. Cet espace européen, qui inclut 22 États de l’Union et les 4 États de l’AELE (la Suisse, le Liechtenstein, la Norvège et l’Islande). On peut noter que parmi les micro-États européens dotés de souveraineté nationale, le Vatican, la République de Saint-Marin et Monaco ont mis en place cet accord, en raison des accords passés respectivement avec leurs voisins, l’Italie et la France, au sein desquels ils sont enclavés.
Cinq pays de l’UE n’ont donc pas ratifié cet accord : l’Irlande, la Bulgarie, Chypre, la Croatie et la Roumanie mais à court terme, seule l’Irlande n’a pas prévu d’intégrer ce marché de près de 500 millions d’habitants. Donc, l’avenir est à la disparition des frontières. C’est ainsi… [et l’on discutait déjà dans les couloirs moribonds de Bruxelles de l’élargissement de l’État mafieux albanais – note de la rédaction de Méta Infos]
Admettons-le et revenons-en à notre ennemi. Ainsi, nos médias assimilent la pollution radioactive de Tchernobyl au virus Covid-19. Et chacun de répéter, inlassablement, son refrain : il n’y a pas de frontières pour la pollution atmosphérique, donc il n’y a pas de frontière pour les virus…
Mais quelle ineptie à laquelle personne n’ose, ou ne daigne, répondre. Admettions que la pollution se propageant dans l’air ne subit pas les frontières territoriales. C’est un fait, mais personne ne remet en cause cette vérité, même si personne n’en a tenu compte en 1985. Cependant, les virus ne s’infiltrent pas dans l’atmosphère, ils ne voyagent pas de manière autonome, il leur faut un porteur, une espèce de cheval de Troie.
Car il n’est pas nécessaire d’être un savant pour comprendre qu’un virus doit avoir un média, si vous préférez. Une fake news ne se déplace pas seule, un média lui est nécessaire, comme toute information d’ailleurs, même vraie. Aussi, le virus doit se déplacer grâce à un être vivant, être humain ou animal.
Ici, les gouvernements mondialistes ont poussé des cris d’orfraie, des hourvaris à l’idée de contrôler, voire de fermer les frontières. Comprenons-nous, ce n’est pas parce que ces gens ne savent pas, c’est parce que ces gens ne veulent pas. Pour un Bobo progressiste, il est inconcevable qu’un individu ne puisse pas se déplacer, non pas à travers un canton ou un département, mais via le monde. Pour ces progressistes dont le monde est un terrain de jeux, Orly est comme un arrêt de bus pour un habitant de notre monde rural ou péri-urbain. Pour ces progressistes mondialisés, Charles-de-Gaulle est avant tout un aéroport. À ce sujet, testez d’ailleurs nos nouveaux arrivants, vous verrez la popularité aérienne de « Mon Général ». L’aéroport est plus connu que l’apport du gaullisme à la société française, à moins de penser à la négligence de cet apport… mais c’est un autre débat !
Les frontières sont faites pour définir, pour délimiter, pour distinguer. Quoi de mal à cela ? Le Covid-19 nous réapprend, pour ceux qui ouvrent les yeux, l’utilité des frontières.
Qu’en est-il aujourd’hui ? Les frontières sont fermées, Orly et Roissy – Charles-de-Gaulle ne jouent plus leur rôle d’« arrêts de bus » mondialisés. Et alors ?
« Nous sommes en guerre », nous a déclamé le Président. Mais être en guerre, c’est se protéger, c’est précisément la fermeture des frontières.
Hier encore, le 4 avril, un ennemi bien réel celui-là, migrant soudanais, abreuvé à l’islamisme militant et au fanatisme sacré, assassinait deux personnes et en blessait plusieurs autres à Romans-sur-Isère, dans la Drôme confinée. Ce Soudanais avait donc passé au moins une frontière, sans doute beaucoup plus pour rejoindre les bords de l’Isère.
Nos ancêtres délimitaient leur territoire, le plus souvent en fonction de la langue parlée ou des reliefs territoriaux.
Il serait temps de restaurer la réalité et l’identité de nos frontières nationales, seules protections face aux ennemis. Certains me répondront qu’il y a des ennemis intérieurs. Oui, c’est probable mais l’ennemi intérieur puisse sa force, sa haine à l’extérieur.
D’une Chine complètement étrangère à l’hygiène à un monde musulman qui convertit, hélas, nombre de nos jeunes pour les rendre ennemis de leur propre nation, l’origine de nos malheurs vient d’au-delà de nos frontières.
Sans doute le libéralisme politique et le progressisme ont le même but, la destruction des frontière, utile aux marchands et aux propagateurs de sociétés sans âme.
Si l’acte de Romans-sur-Isère n’émeut plus grand monde, si ce n’est les familles des victimes, Ciovid-19 arrive encore à le faire. Cette pandémie, du fait de la rapidité de la contagiosité du virus, peut nous permettre d’ouvrir les yeux.
Alors si on nous impose le masque, de grâce, pas sur les yeux !
Note complémentaire de la rédaction de Méta Infos :
À propos de Romans-sur-Isère, on aura remarqué deux choses : la célérité avec laquelle la nationalité du fanatique musulman et de son statut de « réfugié en attente » aura été déclarée dans les merdias qui pour une fois n’ont ps sorti l’excuse habituelle des « troubles psychiatriques » comme une sorte de changement de fusil d’épaule ? Et, quant à la situation épidémique en Seine – Saint-Denis et dans les quartiers dits « sensibles » comprenez « ethniques », l’absence en particulier de mise en application du couvre-feu ne traduirait-elle pas le refoulé d’un gouvernement nouvellement « raciste » dont certains membres souvent transfuges républicains auraient déclaré dans certains couloirs « bon débarras »? Enfin, quid de la couverture des 5 000 libérations dans les prisons ? Quid de la situation déjà catastrophique et inhumaine des hôpitaux psychiatriques ?
11:14 Publié dans Franck Buleux | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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