Info VA - Enfin! Le parquet antiterro saisi après de grosses tensions avec l'exécutif - Selon nos infos, le pouvoir politique ne le souhaitait pas pour éviter de faire peur avant débat sur l'immigration. Paradoxe car la section autiterro et la dgsi concourraient deja à l enquête.
mercredi, 09 octobre 2019
Plus aucun intervenant public ne dit réellement ce qu’il pense
Entretien d’Eugénie Bastié avec Richard Malka*
Le Figaro. - Des voix réclament qu’on bannisse des médias des personnalités soit condamnées par la justice pour provocation à la haine, soit mises en cause après des déclarations publiques. Assiste-t-on à une judiciarisation du débat d’idées ?
Ce n’est pas la judiciarisation qui est inquiétante, mais le triste renoncement à la culture du débat. La polémique est l’oxygène de nos sociétés. C’est un droit reconnu par les tribunaux et obtenu après des siècles de douloureuses luttes et de maturation démocratique. La libre expression des idées gênantes est une nécessité, parce que ces idées sont présentes dans l’esprit de chacun de nous. À défaut de pouvoir en débattre, nous les ruminons, elles métastasent, se répandent d’autant plus facilement qu’il n’existe plus de moyens techniques pour les endiguer, deviennent séduisantes par goût de la transgression et de l’interdit, alimentent le complotisme et créent des martyrs et des héros de la pensée « non officielle », là ou le débat démontrerait l’inanité et la pathologie de leurs thèses. Nos sociétés ne survivront pas si nous n’acceptons pas l’expression des idées qui nous blessent. C’est un impératif collectif qui nous dépasse.
N’y a-t-il pas une tendance à vouloir restreindre le champ des propos jugés légitimes et autorisés ?
Jamais, dans notre histoire, la justice n’a été aussi protectrice de la liberté d’opinion des journalistes et des intellectuels, et, par un effet paradoxal, ce sont main- tenant journalistes et intellectuels qui ré- clament des excommunications médiatiques. Mieux, on voudrait transformer des juges, qui n’ont pas le pouvoir de prononcer des interdictions professionneles, en directeurs de publication des médias. Ainsi, certains voudraient qu’une condamnation pour des propos passés interdise de s’exprimer pour le futur, ce qui porte un nom : la censure. Une telle règle, qui n’existe dans aucun code, ni même charte déontologique, entraînerait une multiplication exponentielle des poursuites de tous contre tous afin d’obtenir le Graal permettant d’écarter tel ou tel adversaire du débat public. Elle influerait sur les décisions des juges qui n’oseraient plus condamner et déresponsabiliserait les dirigeants de médias. Quand comprendrons-nous qu’interdire une personne d’expression, c’est laisser croire à un grand nombre qu’elle détient une vérité interdite ?
Qu’en est-il des sanctions non judiciaires ?
Le danger pour la vie des idées, c’est précisément le transfert de la responsabilité de sanctionner à des autorités administratives composées de personnes nommées par le pouvoir politique. Celles-ci, très respectables, privilégieront toujours l’air du temps, les pétitions et la sensibilité de leur entourage plutôt que les problématiques extrêmement complexes de la liberté d’expression qui n’est pas leur culture. Je ne crois pas que l’avenir des chaînes de télévision ou de radio soit de s’adresser uniquement au centre droit et au centre gauche, et encore, pas sur tous les sujets ni sur tous les tons.
Les partisans de cette surveillance affirment que « les mots tuent ». N’ont-ils pas raison d’établir un continuum entre la parole et les actes ?
Cela me semble indiscutable. Au commencement, il y a toujours le verbe. Sans remonter à la propagande nazie, Radio Mille Collines a méticuleusement préparé les esprits au génocide rwandais et on ne se réveille pas Mohamed Merah allant tuer des enfants juifs de 4 ans sans lavage de cerveau préalable. Avant, il y a, partout, les mêmes discours victimaires : « Vous êtes humiliés, bafoués, méprisés, exploités... Il est temps de réagir en exterminant vos ennemis. » Cette rhétorique primaire fait des ravages dans les têtes avant de se transformer en actes. Pour autant, je ne veux pas l’interdire - ce qui serait impossible -, mais la déconstruire.
En définitive, qu’est-ce qu’un délit d’opinion ? En existe-t-il aujourd’hui dans notre droit ?
Théoriquement, non, l’opinion et les jugements de valeur sont libres, protégés par la Cour européenne des droits de l’homme, nos lois et nos tribunaux, et cela s’étend expressément aux idées « qui heurtent ou qui choquent ». Aux États-Unis, cette liberté est quasi absolue, protégée par le premier amendement de la Constitution. On peut y défiler avec des croix gammées. Et une loi prohibant le négationnisme serait inimaginable. Ce choix consiste à parier sur le bon sens du peuple censé être effaré par la violence de propos extrêmes, alors qu’il pourrait être séduit par un discours délétère mais lissé sur la forme ou codifié pour éviter les foudres de la loi.
Sous nos latitudes, bien plus traumatisées par les crimes du nazisme, ce système juridique serait culturellement inacceptable et la liberté d’expression est plus encadrée. Le délit d’incitation à la haine et à la discrimination est un délit d’opinion. Dire que les Juifs sont responsables de tous les malheurs du monde ou que les musulmans vont exterminer les « Français » relève de l’opinion, mais aussi des tribunaux, en raison du nécessaire maintien de la paix publique.
Il y a donc des opinions interdites. N’est ce pas-là une boîte de Pandore pour la liberté d’expression ?
La jurisprudence de la Cour de cassation a évolué en 2017 dans un sens libéral. Pour que le délit d’incitation à la haine ou à la discrimination soit retenu, il est mainte- nant exigé une « exhortation » à la haine ou à la discrimination, ce qui explique qu’un groupe de rap qualifiant la France de «pays de nazillons puants et de petits Gaulois de souche, racistes et assassins » ait été relaxé. De même pour Alain Soral et un dessin représentant une caisse enregistreuse marquant 6 millions à côté du camp d’Auschwitz en ironisant sur la « Shoah business ». De même pour Christine Boutin dénonçant l’homosexualité comme « une abomination ». Ces propos sont écœurants, mais on ne peut pas interdire tout ce qui nous choque si ce n’est en renonçant au débat. L’interdiction d’une opinion, la plus monstrueuse soit- elle, est toujours un aveu de faiblesse de la démocratie, elle dit que nous ne croyons pas en nos capacités de conviction et à la maturité du peuple. Plus nous interdisons, plus nous avouons avoir perdu la foi et être incapables de protéger nos valeurs autrement qu’en bannissant de la cité le point de vue adverse. Les délits d’opinion doivent rester exceptionnels, réservés à l’insupportable - d’où l’exigence d’une véritable exhortation – et à l’incontestable, car, sur nombre de sujets, ce que l’un estimera légitime sera nauséabond pour l’autre. Qui détient la vérité ?
Vous êtes l’avocat de Charlie Hebdo. Diriez-vous que, près de cinq ans après la tuerie, la liberté d’expression a régressé en France ?
Vu le journal dans lequel je m’exprime, permettez-moi de citer la fameuse réplique de Figaro : « Pourvu que je ne parle en mes écrits ni de l’autorité, ni du culte, ni de la politique, ni des gens en place, ni des corps en crédit, ni de l’opéra, ni des autres spectacles, ni de personne qui tien- ne à quelque chose, je puis tout imprimer librement, sous l’inspection de deux ou trois censeurs. »
Deux cent cinquante ans plus tard, malgré une révolution, la proclamation de la liberté d’expression comme un des droits les plus précieux de l’homme, la grande loi protectrice de 1881, et un siècle de plus pour que la justice se transforme en ultime garant et non en censeur de cette liberté, nous sommes revenus à l’état décrit par Beaumarchais par l’effet de l’irrépressible besoin des hommes d’interdire les opinions qui ne sont pas les leurs, par peur du doute et amour des certitudes. Si seulement c’était l’inverse ! Les tabous ne sont plus les mêmes qu’à l’époque de Beaumarchais, mais la liste des interdits s’allonge chaque jour : les religions, les communautés, le sexe, le genre, le climat, l’humour noir, tout y passe jusqu’aux pièces du théâtre antique accusées d’être racistes. On doit parler avec des pincettes géantes sur un tel nombre de sujets que plus aucun in- tervenant public ne dit réellement ce qu’il pense. Le double discours devient la norme par peur du lynchage. C’est un mouvement profond et d’ampleur. Ce qui a changé, c’est que l’État ou la justice n’y sont plus pour rien, c’est nous-mêmes qui dressons la liste.
(*) Richard Malka est l’avocat au barreau de Paris qui a notamment défendu « Charlie Hebdo », est un ardent partisan de la liberté d’expression.
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LA BOUTIQUE D'ART "FORMES ET OMBRES" SERA PRÉSENTE LORS DU RENDEZ-VOUS "BLEU BLANC ROUGE" DE SYNTHÈSE NATIONALE LES 12 ET 13 OCTOBRE À RUNGIS (94)
00:22 Publié dans 13 - Les 13e Journées de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Débat sur l'immigration.
00:19 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
DANS "PRÉSENT" D'AUJOURD'HUI : UN GRAND ENTRETIEN AVEC ROLAND HÉLIE AU SUJET DU RENDEZ-VOUS BLEU BLANC ROUGE DE SYNTHÈSE NATIONALE DES 12 ET 13 OCTOBRE
Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, présente le rendez-vous Bleu Blanc Rouge (13e Journées nationalistes et identitaires) des 12 et 13 octobre prochains à Rungis (propos recueillis par Fabrice Dutilleul).
Entretien publié dans les colonnes du quotidien Présent.
Samedi 12 et dimanche 13 octobre prochains, votre revue Synthèse nationale organise à Rungis ses 13e Journées annuelles. Comment cela va-t-il se passer ?
Pour la 13e année consécutive, Synthèse nationale organise ses journées nationalistes et identitaires. Mais cette année, il y a du nouveau. Tout d’abord, vu le succès grandissant des précédentes éditions, nous avons décidé de les tenir sur deux jours, le samedi et le dimanche. De plus, en accord avec le président Jean-Marie Le Pen, détenteur du titre et qui sera d’ailleurs présent dimanche 13 octobre, nous les avons intitulées « Le grand rendez-vous Bleu Blanc Rouge », ce qui, n’en doutons pas, évoquera bien des souvenirs aux patriotes et donnera un nouvel élan à ce rassemblement annuel des Français attachés à la défense de la France française et de la civilisation européenne…
Dans le contexte actuel, il y a beaucoup à faire, ne croyez-vous pas, pour maintenir face au mondialisme triomphant, la volonté nationale et européenne ?
Tout d’abord, il convient de bien faire la part des choses. Si la « mondialisation », à l’heure des voyages et transports rapides et de l’internet, est un fait, le « mondialisme » destructeur des nations et des identités, lui, est un dogme. Et c’est ce type de dogme que nous combattons.
Il se trouve que nous sommes français et européens et que nous entendons le rester. Je dis cela sans aucun mépris pour quiconque, mais je pense que notre pays ne doit pas disparaître dans le magma nationicide et ethnocide que veulent nous imposer les promoteurs du monde globalisé dans lequel seuls les profits et la finance seraient les gagnants. Cela aux dépens des peuples qui en paieront très cher les conséquences bien sûr…
Comment cela se caractérise-t-il ?
Par le formatage systématique, à l’école comme dans les médias, des cerveaux. Par le grand brassage des populations avec toutes les conséquences néfastes que l’on observe de plus en plus. Par la destruction volontaire des repères, familiaux, sociétaux, historiques, géographiques… En fait, les mondialistes n’ont qu’une ambition, celle de réduire les humains à l’état de consommateurs dociles et bien gavés juste bons à enrichir les multinationales apatrides…
Que proposez-vous face à cela ?
Pour nous, il ne peut pas y avoir d’avenir radieux pour notre peuple sans une rupture totale avec le dogme mondialiste. Il faut que la France et l’Europe retrouvent leur liberté et leur identité. Seule une mobilisation unitaire des forces nationales et nationalistes pourra mettre à bas les prétentions de la classe politico-affairiste. Notre devoir à tous est de redonner par tous les moyens à nos compatriotes une conscience nationale et identitaire. C’est dans cet esprit que, depuis la création de la revue Synthèse nationale, en 2016, nous nous battons.
Revenons au « Rendez-vous Bleu Blanc Rouge » des 12 et 13 octobre…
Nous essayons de faire en sorte que toute la famille nationale, tout du moins ses composantes qui le veulent bien, se retrouve afin de montrer que, pour nous, les mots « nations » et « civilisations » ont encore un sens. Nous ne demandons pas aux gens de forcément s’unir, nous leur proposons simplement de travailler pour la même cause. Chacun a ses particularités, mais tous ont un dénominateur commun (le plus petit peut-être, mais pas le moindre à nos yeux), celui de l’amour de la France et de l’Europe. Voilà pourquoi, durant ses deux jours, une trentaine d’intervenants, aux sensibilités différentes et parfois même opposées, se succéderont lors des forums ou du meeting final.
Notre but est de prouver, grâce à ces journées, que le courant national non renié, au sens large du terme, a plus que jamais toute sa place dans le paysage politique et culturel français…
Dernièrement s’est déroulée à Paris une « convention de la droite » qui a beaucoup fait parler d’elle. N’est-ce pas une sorte de concurrence pour vous ?
Absolument pas. Il faut que cent fleurs s’épanouissent. Cette convention, comme toutes les initiatives similaires, montre que le curseur se déplace de plus en plus vers « la droite » (employons ce terme pour faire simple) et je m’en réjouis. Nous n’avons pas la prétention d’agir seuls. Si d’autres nous emboitent le pas, c’est tant mieux… Nous, c’est-à-dire l’ensemble des mouvements et associations présents à nos journées, nous sommes le pôle précurseur.
La situation se détériore de jour en jour. Nous n’avons plus le temps ni les moyens de nous offrir le luxe d’entretenir des querelles stériles. Il est regrettable que certains ne l’aient pas compris et continuent à lancer des anathèmes stériles internes à notre famille de pensée. Bientôt, il sera trop tard si rien n’est fait… C’est aussi pour instaurer un nouvel état d’esprit que nous agissons… Mais, je le rappelle, Synthèse nationale n’est ni un parti ni un mouvement. C’est simplement une revue qui propose… Après, les organisations compétentes disposent.
Concrètement, comment cela se déroulera-t-il ?
Ouverture des portes samedi 12 octobre à partir de 14h00. Plus de 70 stands politiques, associatifs, culturels et mêmes commerciaux seront là pour vous accueillir. Trois forums dans l’après-midi : un sur la liberté d’expression animé par Hugues Bouchu, délégué francilien des Amis de SN, avec des victimes récentes de la répression d’État comme Yvan Benedetti, Jérôme Bourbon (Rivarol), Daniel Conversano, Caroline-Christa Bernard, les responsables du Bastion social dissout en mai dernier… Un deuxième sur l’Europe, animé par Gabriele Adinolfi de l’institut Polaris avec l’écrivain Thomas Ferrier et des amis venus de Grèce, d’Italie, d’Espagne, de Belgique et d’ailleurs… Un troisième sur la culture autour de Philippe Randa (EuroLibertés et collaborateur de Présent) avec Anne Brassié, Thierry Bouclier, Pierre Gillieth (Réfléchir et Agir)… De nombreuses autres personnalités participeront à ces forums.
Le samedi soir, à partir de 19h30, se déroulera un grand banquet patriotique et festif (concert de Dr Merlin et des Feux follets, groupe de folk traditionnel européen, auquel nous vous invitons à participer nombreux (30 euros par personne).
Le dimanche, ouverture à 11h00 avec un forum sur l’avenir de notre nation et de notre civilisation auquel participeront entre autres Jean-François Touzé, Serge Ayoub, Vincent Vauclin (la Dissidence française) et aussi l’économiste Bernard Monot. Après le déjeuner (restauration et bar sur place), le concert très attendu de nos chères Brigandes (14h30) puis, à partir de 16 h, le meeting final avec Pierre Vial (Terre et peuple), Richard Roudier (Ligue du Midi), Pierre Cassen (Riposte laïque), Alain Escada (Civitas), Thomas Joly (Parti de la France), Martin Peltier (journaliste et écrivain), Roger Holeindre sur lequel nous venons d’éditer un livre-entretien, des amis européens, et, comme je vous l’indiquais, Jean-Marie Le Pen qui nous parlera du deuxième tome de ses Mémoires qui vient de paraître. Je conclurai pour ma part ces journées vers 18h00.
Ajoutez à tout cela de nombreuses animations ludiques et musicales, les dessinateurs Ignace et Pinatel, des auteurs indépendants et non-conformistes… Bref, vous ne regretterez certainement pas d’être venu. Le programme complet est disponible sur notre site cliquez là
Un nouveau succès pour Synthèse nationale en perspective ?
Qui y sera verra…
Rendez-vous Bleu Blanc Rouge, 13e Journées de Synthèse nationale, samedi 12 (à partir de 14 h 00) et dimanche 13 octobre (à partir de 11 h 00), Espace Jean Monnet 43 rue des Solets à Rungis (94), entrée (pour deux jours) : 10,00 euros. Facile d’accès par RER ou par métro et tram. Parking assuré.
00:13 Publié dans 13 - Les 13e Journées de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L'ADMP SERA PRÉSENTE LORS DU RENDEZ-VOUS "BLEU BLANC ROUGE" DE SYNTHÈSE NATIONALE LES 12 ET 13 OCTOBRE À RUNGIS (94)
00:05 Publié dans 13 - Les 13e Journées de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 08 octobre 2019
Il vaut mieux en rire... pendant que le pays s'effondre
Petite plongée dans les abysses du progressisme macronien. Le prochain débat sera consacré au sexe des anges. pic.twitter.com/TkPB9A1bPk
— Ridicule TV (@RidiculeTV) 23 septembre 2019
14:53 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
MANIF POUR TOUS LE RETOUR !
Reportage réalisé par Le Cercle Richelieu sur "Marchons enfants" qui a eu lieu dimanche dernier.
Le retour de la manif pour tous contre la PMA et la GPA.
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Les effarantes dérives de l’Aide médicale de l’Etat
Chargée pendant onze années de la facturation des soins à la direction financière d’un hôpital public, Véronique Prudhomme publie La Vérité sur l’AME, un livre dans lequel elle dénonce les dysfonctionnement du système.
C’est un patient venu d’Afrique du Nord, monté dans l’avion avec un drain thoracique. Il se présente aux urgences muni d’un courrier d’un médecin de son pays demandant à ses confrères français de lui prodiguer un traitement chirurgical précis. L'homme n'en est pas à son premier traitement dans l'Hexagone: il bénéficie de l'aide médicale de l'État (AME) pendant un an, tout en continuant à résider à l'étranger. Alors qu'il n'est pas clandes tin, ce qui est pourtant la condition pour être éligible à l'AME.
Vrais ou faux touristes, étrangers fortunés, fraudeurs en bande organisée, Véronique Prudhomme en a vu passer, des resquilleurs, en onze ans à la direction financière d'un hôpital public d'Île de-France, chargée de la facturation des soins... « Témoin de tant de dévoiements et de dysfonctionnements », elle décrit dans un livre, La vérité sur l'AME, « un système extrêmement permissif ».
Venu tout spécialement se faire opérer à Paris en neurochirurgie, cet autre étranger a naturellement enchaîné avec le service de rééducation fonctionnelle d'un grand hôpital de l'AP-HP, où il séjourne - et progresse - « depuis plus d'un an ». Il « est aujourd'hui entré dans une durée déraisonnable d'hospitalisation en rééducation, observe le chef de service. Mais il répète que si on entreprenait de le transférer vers un hôpital de son pays, où pourtant les soins de rééducation sont relativement développés, il « préférerait se jeter dans Seine ». Quelle solution à cette « équation médicale, sociale et psychologique complexe, de plus en plus fréquente ? interroge-il. « L'obtention de l'AME et la gratuité qui en découle rendent encore plus improbable son acceptation de poursuivre dans son pays ses soins de rééducation, qui devraient se prolonger sur de nombreuses années en ambulatoire » Dans l'hôpital où travaille ce professeur de médecine, « près d'un tiers des lits de rééducation » sont occupés « à l'année » par ce type de patients. Ce qui entraine, fait-il remarquer, « une perte de chances pour tous ceux qui, en attente de rééducation, ont contribué toute leur vie au système par le paiement de cotisations sociales ».
Le cas le plus fréquent, témoigne Véronique Prudhomme, est celui du patient qui, arrivé avec un visa touristique, attend que sa durée de séjour autorisée expire pour devenir illégal et obtenir l’AME. D’autres étrangers semblent « tomber malade dans l’avion », et, entrant par les urgences d’un hôpital public, s’affranchissent sans scrupule de l’étape du règlement. « Qu’ils aient une couverture maladie, par le biais de l'AME ou non, ne fait pas de différence pour ceux-là, explique l'auteur. Ils viennent recevoir des soins, de façon préméditée ou non , et peu leur importe que la facture soit impayée ou payée par le dispositif. En revanche, le service financier de l'établissement concerné est particulièrement demandeur d'obtenir une AME pour ces patients, afin d'assurer le paiement des frais de santé engagés... » Elle a ainsi vu « arriver des personnes de tous les coins de la planète, notamment des pays du Golfe », la plupart du temps accompagnés d'un interprète qui connaît parfaitement le système... Une liste d'interprètes « que l'on avait l'habitude de voir au guichet avec des patients, jamais les mêmes », deux ou trois adresses autour de l'hôpital, qui revenaient en boucle, voilà « la preuve d’une organisation bien rodée ».
Créances irrécouvrables
« Recruté sur l'application Whats App, l'interprète organise à distance le voyage, tel un super majordome, trouve un logement et coordonne les déplacements en taxi, détaille-t-elle. Au guichet, il se présente comme un ami du patienf malencontreuseme tombé malade durant ses vacances.» À l'un de ces « interprètes », qu'elle commence à bien connaître, elle demande s'il a « donné les tarifs de l'établissement » à son « ami » du jour: « Eh non!, s'exclame-t il. Il vient en France, je m'occupe de tout et il n'a rien à payer, c'est gratuit, ici ! »
Le coût de l'AME, insiste l'auteur, n'est que l'un des paramètres pour considérer le coût des soins délivrés aux étrangers sur le sol français. Il faut, par exemple, y ajouter les « non facfurables ». Ainsi ce Géorgien pris en charge aux urgences: « La discussion avec lui était impossible.» Où envoyer la facture? Du coup, elle n'a jamais été émise. Ou encore ce vendeur de rue : hospitalisé en juin, il n'a obtenu son AME qu'en août... « Ces soins non facturés et ces créances irrécouvrables, souligne-t-elle, ne s'invitentjamais au débat sur l'AME et aux études de son bilan financier.» Son établissement, d'environ cinq cents lits, « a facturé en 2016 et 2017 entre 320 000 et 400 000 euros de soins à l'AME ». Quant aux créances irrécouvrables, elles représentent « un peu plus de 500 000 euros chaque année ».
Stéphane Kovacs pour Le Figaro
La vérité sur l’AME, Véronique Prudhomme, Editions Viasocial, 200 p., 18 €.
11:29 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
TV LIBERTÉS SERA PRÉSENTE LORS DU RENDEZ-VOUS "BLEU BLANC ROUGE" DE SYNTHÈSE NATIONALE LES 12 ET 13 OCTOBRE À RUNGIS (94)
10:41 Publié dans 13 - Les 13e Journées de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Jean Lasalle, ce Don Quichotte tellement français
La chronique de Philippe Randa
Jean Lasalle, député des Pyrénées-Atlantiques depuis 1982 (tout de même !), s’est fait connaître de beaucoup de Français dès 2013 par son tour de France à pied à la rencontre de ses compatriotes, puis par tous avec sa participation à la dernière élection présidentielle.
Quel étonnant bonhomme : le qualificatif lui va à ravir avec sa gouaille et son accent impayable ! Car cet ancien-vice-président du Modem vient d’accorder un entretien des plus roboratif au très modérément « centriste » site de réinformation Breizh info (www.breizh-info.com) !
Qu’en en juge : « Nous étions dans un modèle de démocratie qui devient désormais un système soviétique, avec la dictature de la finance à la place de la dictature du prolétariat. Cette finance échappe totalement au contrôle de l’homme, et tout est fait même pour que l’homme ne représente plus rien (…) Les Gilets jaunes ont certes fait progresser plus la France en 15 semaines que les politiques en 40 ans (:) C’est la dernière question révolutionnaire de notre pays, cependant elle a été anéantie par le pouvoir en place qui a utilisé l’extrême-gauche et n’a pas fait de quartier sur le plan judiciaire. »
Quand à « la Pravda », ainsi que notre Don Quichotte de la politique française définit le consortium France Télévisions, il assène : « C’est surtout un totalitarisme financier, et la finance investit dans les médias qui deviennent totalement aux ordres. Les médias mainstream ne présentent plus aucun intérêt, il n’y a plus de quatrième pouvoir. À la place, on a le bourrage de crâne permanent qui accompagne les déclarations de Macron, qui parle par exemple dernièrement sur les bourgeois et les couches populaires pour qualifier la France. »
Il ne cache pas son intention de « rempiler » à la prochaine présidentielle. Et s’il était élu par une « divine surprise » ? L’histoire est parfois si facétieuse…
Notre pays y gagnerait sans doute un honnête homme, mais surtout un sacré franc-tireur de la liberté d’expression. Il sont si peu nombreux !
10:17 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 07 octobre 2019
LES "FEUX FOLLETS" PROPOSERONT UNE INITIATION AUX DANSES ET À LA MUSIQUE TRAD FOLK LORS DU RENDEZ-VOUS "BLEU BLANC ROUGE" DE SYNTHÈSE NATIONALE LES 12 ET 13 OCTOBRE À RUNGIS (94)
EN SAVOIR PLUS CLIQUEZ ICI
PRENEZ VOTRE BILLET SUR PLACE
RETENEZ VOS PLACES AU BANQUET
PATRIOTIQUE DU SAMEDI SOIR CLIQUEZ ICI
23:07 Publié dans 13 - Les 13e Journées de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
JORGE ALVAREZ, HISTORIEN ESPAGNOL, NOUS PARLERA DE LA PROFANATION DE LA TOMBE DU GÉNÉRAL FRANCO LORS DU RENDEZ-VOUS "BLEU BLANC ROUGE" DE SYNTHÈSE NATIONALE LES 12 ET 13 OCTOBRE À RUNGIS (94)
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PRENEZ DÈS MAINTENANT
VOTRE BILLET CLIQUEZ
RETENEZ VOS PLACES AU BANQUET
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21:24 Publié dans 13 - Les 13e Journées de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le Zéro et l’Infini, version XXIe siècle : Macron et ses électeurs
Bernard Plouvier
Emmanuel Macron, jeune et beau gosse, de l’énergie et du bagout à revendre, présente toutefois un petit inconvénient – oh, minime, on le reconnaît volontiers : son bilan est aussi nul que celui des Giscard-Mitterrand-Chirac-Sarkozy-Hollande qui l’ont précédé.
Grand Président People c’est :
- L’immigration incontrôlée (avec 1 à 1,5 million d’immigrés en situation illégale en plus des 10 à 13 millions d’autres, dit « légaux », voire naturalisés)
- Une propagande mensongère quant aux bénéfices supposés des immigrants africains, antillais et proches-orientaux (où l’islam djihadiste recrute), d’où :
- Des mensonges, également, sur l’innocuité de l’islam en France
- Un chômage qui continue de croître
- Et une croissance des dépenses publiques, en dépit des promesses électorales
- Le mépris total du menu peuple et des notions de famille et de patrie (mais le mondialiste Macron ne doit même pas connaître les mots de Nation et de Terre des Pères)
Bref, ce jeune Président, très arrogant, « dominateur et sûr de lui » (comme aurait dit un spécialiste de la chose, l’illustre « Général-micro »), nous a apporté – à nous autres Français de souche européenne - moins que Zéro : du négatif !
L’ennui est que la stupidité – osons le mot : la CONNERIE – des électeurs français donne à l’observateur un aperçu de l’Infini.
Au total, Macron a de fortes chances d’être réélu si ses maîtres lui offrent quelques dizaines de millions d’unités de compte (dollars ou euros, cela importe peu) pour battre la grosse caisse médiatique.
La démocratie est la loi du nombre et, sauf accident rarissime, c’est le nombre de millions versés aux media qui oriente le million de votes, unité avec laquelle on élit un Président de la Ripoublique.
19:30 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Rouen explose – Les Reportages de Vincent Lapierre
L'explosion de l'usine Lubrizol a produit autant de pollution que de questions. Les Rouennais demandent toute la vérité sur cette affaire.
L'usine de pétro-chimie Lubrizol située à Rouen a explosé au matin du jeudi 26 septembre, provoquant un nuage de fumée toxique qui a survolé la ville durant de longues heures. A quels produits ont été exposés les Rouennais ? Pourquoi les autorités ne donnent aucune information concernant la procédure à suivre pour se protéger ? Pourquoi disent-elles qu'il n'y a aucun risque alors que tout indique le contraire ? C'est ce que sont allés demander les Rouennais à une réunion d'élus locaux avec le préfet.
Vincent Lapierre et l'équipe du Média pour Tous étaient également sur place.
17:54 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
« Marchons enfants » contre la PMA… la foule des grands jours est de retour !
De Gabrielle Cluzel dans Boulevard Voltaire
Disons-le, personne ne s’y attendait. Personne n’imaginait la foule des grands jours de la Manif pour tous capable de se remobiliser, en tout cas pas dans ces proportions : l’usure du combat, le mépris, la brutalité et l’injustice patente avec lesquels elle avait été traitée en 2013 – Emmanuel Macron ne reconnaissait-il pas lui-même qu’elle avait été humiliée ? – et puis surtout le sentiment las et résigné que tout est déjà plié, acté…
Non, personne ne s’y attendait, ni manifestants venus par devoir, ni organisateurs ravis et éberlués, ni opposants, dont les commentaires dépités et acides grincent sur les réseaux sociaux, ni surtout préfecture de police, si l’on en croit l’itinéraire sous-dimensionné aux artères trop étroites et saturées, qui a forcé, après quelques cafouillages – dont l’ordre de rebrousser chemin ! -, à aiguiller dans un parcours de délestage une partie des manifestants, encore bloqués et serrés autour du Sénat alors que la tête de cortège arrivait à Montparnasse.
Les organisateurs revendiquent 600.000 manifestants, chiffre sans doute (c’est la loi du genre) un peu surévalué. Occurrence, un « cabinet de comptage indépendant » – l’est-il réellement ? Au vu des tweets émanant de certains de ses dirigeants, on peut en douter -, donne le chiffre de 74.500… mais son calcul repose sur l’installation préalable, en hauteur, de capteurs sur le chemin de manifestation ! Quid, donc, du deuxième parcours, décidé à la hâte au vu de la saturation du premier ?
Mais au-delà de la guerre des chiffres demeure une réalité palpable qui a fait l’unanimité sur le terrain : journalistes, policiers et manifestants présents ont constaté une affluence supérieure à la première Manif pour tous, laissant imaginer ce que pourrait être une montée en puissance, au fil des mois, du mouvement désormais regonflé d’espoir par ce premier succès, puisque déjà de nouvelles dates de rassemblement ont été données.
Bien sûr, les atouts et les faiblesses demeurent.
Faiblesse d’une France bien élevée qui ne fait pas peur, que l’on ne redoute en rien parce qu’elle n’est pas prête à tout. La fin, pour elle, ne justifie pas les moyens, et elle n’est pas agressive, elle est donc – c’est son honneur, et sur un plan cyniquement stratégique son erreur – inoffensive. Rien, bien sûr, n’a été cassé. Aucun débordement n’a été constaté. Des groupuscules provocateurs porteurs de rainbow flag ont arpenté et harangué le cortège sans réussir à s’attirer le moindre quolibet. Il serait intéressant de faire la même expérience avec un porteur de drapeau LMPT à la Gay Pride… si l’on trouve un kamikaze assez fou pour le tenter. Elle n’est pas la France du Grand Soir qui fait la révolution, elle est la France du Petit Matin qui ne connaît que la (re)construction. Alors, évidemment, la manifestation n’est pas son terrain de prédilection.
Atout d’une France bien élevée forte de sa jeunesse que l’on retrouve une nouvelle fois très nombreuse, structurée, gaie, endurante, aimant la vie et les amis qu’elle se plaît à retrouver ici et, parce que c’est de son âge, attirée par ce parfum de transgression dont, par un retournement des valeurs, ces manifestations dites conservatrices sont devenues porteuses.
Gagnera, gagnera pas ? L’avenir le dira. En tout cas, la PMA ne passera pas si simplement que ça.
17:21 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Christophe Castaner doit démissionner !
Le bidonnage des chiffres de la manifestation d’hier est le dernier scandale qui agite la place Beauvau. Mais celui sur l’identité de Mickaël Harpon, le terroriste infiltré dans la police, agite toutes les rédactions :
Après un hiver et un printemps marqué par les polémiques autour de son incapacité à maintenir un ordre public bousculé par les Gilets Jaunes, puis autour de la violence de la répression policière, y compris à Nantes dans l’affaire Steve Maia Caniço, voici une nouvelle épine dans le pied du gouvernement. Un attentat islamiste vient d’être commis dans les locaux de la Préfecture de police, par un fonctionnaire informaticien affectée à la direction du renseignement… Or, peu de temps après l’attentat, à l’unisson de la communication gouvernementale hasardeuse sur l’affaire Lubrizol, Christophe Castaner expliquait la bouche en coeur que rien ne permettait d’anticiper l’attentat.
Jeudi, peu après les faits, le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, affirmait que l’adjoint administratif n’avait « jamais présenté de difficulté comportementale », ni « le moindre signe d’alerte ».
Malheureusement pour lui, la vérité est très différente.
Assez rapidement, les informations ont filtré sur le véritable profil de Mickaël Harpon, très éloigné de l’image rassurante que Castaner en a dressée.
Ainsi, dès le lendemain de l’attentat, le Parisien donnait des détails instructifs sur le mode opératoire du terroriste et surtout sur les signalements dont il avait fait l’objet de la part de ses collègues:
Sur procès-verbal lors des premières investigations, un des collègues de Harpon a indiqué qu’après l’attentat de Charlie Hebdo qui avait fait douze morts en janvier 2015, ce dernier s’était écrié : « C’est bien fait ! ». Le 30 août de la même année, Harpon relayait sur Facebook un article jugeant que « la France est classée en tête des pays les plus islamophobes d’Europe ». Pour autant, il restait inconnu des services de renseignement, ces alertes n’étant apparemment pas remontées.
Certes, on veut bien qu’il n’y ait pas plus mal chaussé qu’un cordonnier. Mais quand même… Que les services de renseignement soient si mal renseignés sur un informaticien dont il est précisé qu’il a « accès à des informations ultrasensibles, entre autres celles en lien avec l’islam radical », ça pose un petit problème.
Dès samedi, le procureur anti-terroriste donnait une conférence de presse précisant le profil du terroriste:
Les premières investigations ont relevé son «approbation de certaines exactions commises au nom de cette religion», «son souhait de ne plus avoir certains contacts avec des femmes», «sa justification» des attentats de Charlie Hebdo en 2015, «son changement d’habitude vestimentaire depuis quelques mois», a déclaré le procureur antiterroriste lors d’une conférence de presse.
Progressivement, on comprend que le discret informaticien était en contact par Telegram avec trois djihadistes dont on ne sait où ils se trouvent. Le ministère prend donc peu à peu conscience de la présence d’une taupe de Daesh dans ses rangs.
Toute la question est de savoir, comme Christophe Castaner et Laurent Nunez l’ont affirmé devant les caméras de télévision, pourquoi les signalements émis par les collègues d’Harpon n’ont pas été « remontés ». Sur ce point, qui risque de s’envenimer dans les jours à venir (Castaner sera auditionné mardi au Parlement, et cette audition vaudra son pesant de cacahuètes), il existe aujourd’hui un grand flou. Selon Laurent Nunez, interviewé ce midi sur BFM TV, la hiérarchie directe des policiers aurait refusé de faire « remonter » leur signalement. Selon Christophe Castaner, les deux collègues de Harpon ont refusé de faire le signalement:
Selon Christophe Castaner, «deux collègues de l’assaillant auraient, en juillet 2015, fait état d’un comportement anormal et d’un problème suite à l’attentat de Charlie Hebdo. Ils auraient décidé de ne pas faire de signalement, après avoir discuté avec leur collègue chargé des radicalisations». Selon le ministre de l’Intérieur, qui a déploré qu’aucun signalement ne soit remonté, «le dysfonctionnement se fait à ce moment-là». (…)
Deux mois plus tard, les mêmes collègues ont maintenu leur volonté de ne pas faire de signalement, arguant «ça va, on va gérer», toujours selon les propos de Christophe Castaner.
On ne sait pas encore tout des circonstances qui ont amené les collègues de Mickaël Harpon à ne pas formaliser leur signalement. De nouvelles péripéties sont sans doute à attendre sur ce sujet. D’ici là, on est bien obligé de mettre bout à bout les relations complexes de la Préfecture de Police avec le pouvoir exécutif.
Tout commence avec l’affaire Benalla. Selon ce qui ressort du dossier, ce sont des policiers gradés de la Préfecture de Police qui proposent à Alexandre Benalla de jouer au CRS, en dehors de toute couverture hiérarchique explicite, selon ce que l’on sait aujourd’hui. Lorsqu’une enquête parlementaire interroge Alain Gibelin, le directeur de l’ordre public et de la circulation (DOPC), on découvre qu’un policier de ce rang peut publiquement fragiliser la version de l’Élysée. Selon le Préfet de police, lui aussi auditionné, des fonctionnaires de la DOPC prennent des décisions sans en référer à leur hiérachie.
Quelques mois plus tard, le préfet de police est poussé à la démission au vu des désordres qui règnent dans Paris chaque samedi. Il prétend alors que les ordres qu’il donne ne sont pas appliqués dans les services. Une fois de plus, la police parisienne apparaît en roue libre.
On comprend progressivement que, avec l’arrivée de Macron au pouvoir, et plus singulièrement avec l’arrivée de Castaner à Beauvau, les policiers parisiens prennent seuls des décisions politiques qui concurrencent directement l’autorité des ministres. Jusqu’à considérer qu’ils n’ont pas à respecter des consignes de prévention du terrorisme sur leurs propres bancs. Ils forment un gouvernement profond qui s’émancipe de l’autorité démocratique. Visiblement, ceux-là ont poussé l’ambition jusqu’à mettre en danger leurs effectifs. La démocratie peut-elle tolérer longtemps ce genre d’écart ? La balle est dans le camp de Macron et de Castaner.
La peur du procès en islamophobie nous coûte des vies : on n’ose plus éloigner les islamistes des professions à risques. Nous sommes en présence d’une cinquième colonne, infiltrée dans nos rangs. C’est la rançon de l’idéologie du “vivre-ensemble”. Quand Eric Zemmour dénonce l’islamisme, l’idiot dénonce Zemmour. Nos 4 policiers ont perdu la vie car les bien-pensants ont perdu la raison.
Source: Le Salon Beige
16:52 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
LE PARTI DE LA FRANCE SERA PRÉSENT LORS DU RENDEZ-VOUS "BLEU BLANC ROUGE" DE SYNTHÈSE NATIONALE LES 12 ET 13 OCTOBRE À RUNGIS (94)
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10:54 Publié dans 13 - Les 13e Journées de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L’Etat gangrené par l’islamisme radical
Le billet de Patrick Parment
C’est la goutte d’eau qui fait déborder le vase. L’assassinat de quatre fonctionnaires de police au sein même de la Direction du renseignement de la préfecture de police (DRPP) par l’un des leurs, au nom d’un islamisme radical, dépasse, sans l’absoudre, l’incompétence du ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner. Car c’est tout notre système sécuritaire et son fonctionnement qui est en cause. Concernant le ministre de l’Intérieur – dont ce n’est pas la première bourde -, le fait qu’il ait été mal informé de la part de ses servies démontre qu’il ne tient pas sa boutique. N’a-t-il pas commencé par nous dire que cet attentat n’avait rien d’islamique ! Sauf qu’on a fini par s’apercevoir que le roi était nu.
L’auteur de cet attentat – quatre personnes tuées avec un couteau qui n’était pas en céramique comme avancé -, est un Martiniquais de 45 ans, marié à une Marocaine et converti depuis de nombreuses années à l’islam. L’homme et la femme étant par ailleurs tous deux malentendants, ce qui les a réuni.
Or, il appert que cette conversion à l’islam était connue de son service. Mickaël Harpon est un informaticien habilité secret défense qui a été embauché en 2003 au service de maintenance technique de la DRPP dont l’une des priorités est justement le terrorisme islamique radical. La première question qui vient à l’esprit est : a-t-il siphonné durant des années les informations au profit d’une nébuleuse djihadiste ? Auquel cas, on serait bel et bien face à un problème sécuritaire et politique majeur. Car, au-delà du cas Castaner qui n’est jamais qu’un pion sur l’échiquier du pouvoir, c’est toute la hiérarchie et le fonctionnement de la lutte antiterroriste qui est en cause et donc à revoir. Cela laisse supposer également que ce n’est peut-être pas la seule institution étatique gangrené par l’hydre islamique et qu’un état des lieux s’impose. Il va falloir sortir de l’angélisme et arrêter de nous enfumer avec un l’islam doucereux impacté par les droits de l’homme si chers à nos universalistes francs-macs.
Macron et sa clique ne sont donc pas différents de nos politiques d’hier. Ils sont de la même eau. Et il est désormais bien inutile d’accuser sans cesse l’extrême-droite de tous les maux puisqu’elle est la seule, toutes tendances confondues, à avoir dénoncé le laxisme de la droite, de la gauche et des pouvoirs publics face au danger que représentent l’immigration et l’islam.
09:52 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
YVAN BENEDETTI INTERVIENDRA LORS DU RENDEZ-VOUS "BLEU BLANC ROUGE" DE SYNTHÈSE NATIONALE LES 12 ET 13 OCTOBRE À RUNGIS (94)
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09:52 Publié dans 13 - Les 13e Journées de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La reprise du laxisme monétaire évitera le krach immédiat, mais pas la récession
Il en est en matière boursière comme en matière d’immigration. Les médias mentent et les boursiers se mentent à eux-mêmes, si ce n’est que les chiffres sont beaucoup moins truqués en matière économique et financière. C’est ainsi qu’après le recul des Bourses à plusieurs reprises pendant la semaine passée, jusqu’à 3,12 % en une seule séance pour le CAC 40, la bourse de New York a terminé en hausse de 1,42 %, le vendredi 4 octobre, sous le seul prétexte que le taux de chômage à 3,5 % était au plus bas depuis cinquante ans. Ce chiffre est contesté par de nombreux experts qui estiment le taux réel de chômage, aux États-Unis, à un minimum de 8 %.
En fait, les nouvelles ne sont pas bonnes puisqu’on nous avait annoncé, le 2 octobre, que l’activité du secteur manufacturier (indice ISM) aux États-Unis avait encore reculé en septembre pour tomber à son plus bas niveau depuis dix ans, tandis que le secteur privé a créé seulement 135.000 emplois en septembre, soit moins que le mois précédent et les attentes des analystes. La vérité, c’est que les créations d’emploi ralentissent, que l’augmentation des salaires stagne, que l’activité manufacturière diminue constamment (+3,5 % en septembre 2018, -0,4 % en août 2019), que le taux à 10 ans de la dette américaine est de 1,534 % (inversion de la courbe des taux). L’unique raison de la hausse de vendredi, à Wall Street, c’est que, suite à ces mauvaises nouvelles, il est à peu près certain que la Fed va baisser à nouveau ses taux d’intérêt fin octobre.
Le commerce mondial connaît une nette décélération constante (+4,6% en 2017, +0,5 % pour 2019) selon les dernières prévisions de l’OMC. L’Allemagne devrait entrer en récession au troisième trimestre 2019. L’indice PMI manufacturier, en raison de l’affaiblissement de la demande de biens d’équipement sur les marchés clés, est tombé en septembre à 49,1, soit en dessous du chiffre critique de 50, et son plus bas niveau depuis 2009. Quant à l’Italie, elle ne va pas sortir du marasme avec l’arrêt des investissements et de la progression des revenus, des gains de productivité trop faibles, une démographie défavorable, des banques dans une situation critique et une lourde dette de 134 % du PIB.
La France, avec une dette de 99,5 % du PIB, rejoint le « club » des pays surendettés dépassant les 100 % du PIB, soit les États-Unis (106 %), la Belgique (102 %), la Grèce (181 %) et le Japon (238 %).
Il suffirait que les rebelles houthis envoient de nouveau quelques drones sur des sites pétroliers en Arabie saoudite pour que les prix mondiaux du pétrole en baisse, suite à la récession économique, remontent à la verticale.
Les emprunts des États et des entreprises affichant des rendements négatifs viennent d’atteindre 17.000 milliards de dollars, soit 20 % du PIB mondial. Les fonds en euros d’assurance-vie, acheteurs obligés de ces titres, selon les réglementations prudentielles, continuent donc leur lente marche vers l’agonie en prélevant, pendant quelque temps encore, sur les réserves de la PPB (provisions pour participation aux bénéfices). Mais ces fonds seront un jour dans l’incapacité de faire face à la liquidité et de garantir le capital des épargnants.
Dès novembre, avec la nomination de Lagarde, se posera le problème de la survie de la zone euro. Ou bien les Allemands, tétanisés par les souvenirs de l’hyperinflation de 1923, tapent du poing sur la table et sortent de la zone euro avec, peut-être, les Hollandais et les Autrichiens, ou ils acceptent de sombrer lentement et inexorablement avec le navire européen, suite à la récession en vue, la perte de débouchés dans le monde et en Europe, et les difficultés supplémentaires pour leur économie que provoquerait une réévaluation du Deutsche Mark par rapport à l’euro.
L’Europe économique vit en fait, comme en matière migratoire, le supplice programmé de la mort de la grenouille dans sa casserole d’eau dont la température augmente régulièrement et inexorablement. La volatilité des Bourses augmente partout dans le monde et les épargnants français ont raison de se méfier des actions au moment où, véritable supplice de Tantale, Macron leur propose le plan d’épargne retraite (PER) avec la grande avancée de la déductibilité des versements du revenu imposable.
09:50 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 06 octobre 2019
RENDEZ-VOUS BLEU BLANC ROUGE DE SYNTHÈSE NATIONALE DES 12 ET 13 OCTOBRE À RUNGIS : LE PROGRAMME
DE BONNES RAISONS DE NOUS RETROUVER
La situation n’est guère réjouissante. La France et l’Europe sont sous la férule d’oligarchies acquises à l’ultra libéralisme mondialiste qui a pour objectif la destruction des nations et des civilisations au profit d’un vaste marché aux dimensions planétaires. Cette machine à broyer les identités génère le grand brassage de populations que nous subissons chaque année davantage. À terme, si ce plan machiavélique aboutit, les générations futures vivront dans un monde aseptisé, déculturé, asexué et mono-ethnique dans lequel seule la finance règnera et les êtres humains ne seront plus que des consommateurs dociles juste bons à enrichir les consortiums économiques apatrides. Telle est la dérive de la mondialisation et du « progrès » mal maîtrisé...
On nous rétorquera qu’à l’heure d’internet et des voyages à bas prix, cette mondialisation est un « fait » difficilement contestable. Certes, mais si elle est un « fait », le mondialisme, lui, est un « dogme » et c’est ce « dogme » qu’il faut abattre car c’est lui qui mène les peuples vers la ruine et la soumission...
Mais, rassurez-vous, il n’y a pas de fatalité du déclin... Partout en Europe et ailleurs des voix s’élèvent pour dénoncer les menées nationicides et ethnicides des mondialistes. Partout, les peuples prennent conscience qu’ils ne sont plus maîtres de leur destin et que, s’ils ne se réveillent pas, leur identité et leur liberté sont, à court terme, condamnées. Partout, des mouvements que la presse aux ordres qualifie avec dédain de « populistes » s’organisent et mènent un combat salvateur.
Le France ne doit pas échapper à cette nouvelle donne. Les Français, on le voit autour de nous, sont de plus en plus nombreux à, parfois sans le savoir, partager nos thèses. Ils ne supportent plus les mensonges démagogiques de la classe politique assujettie au parti de l’étranger.
Notre devoir de militants est de redonner à nos compatriotes une véritable conscience nationale et identitaire. C’est dans ce but que nous vous invitons à nous retrouver nombreux samedi 12 et dimanche 13 octobre à Rungis pour participer aux 13e journées de Synthèse nationale qui seront le Grand rendez-vous « Bleu Blanc Rouge » pour la renaissance d’une France française dans une Europe européenne.
Roland Hélie
Directeur de Synthèse national
SAMEDI 12 OCTOBRE
14 h 00 : ouverture des portes. Entrée : 10,00 € (valable pour les deux journées).
14 h 30 : message de bienvenue de Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale.
14 h 30 - 15 h 30 : 1er forum : Le Système veut tuer nos libertés...
Hugues Bouchu, délégué des Amis franciliens de Synthèse nationale.
Yvan Benedetti, Les Nationalistes,
Jérôme Bourbon, Rivarol,
Daniel Conversano, Suavélos,
Caroline-Christa Bernard, artiste et témoin du Bataclan
Un responsable de l’ex. Bastion social.
16 h 00 et jusqu'à 17 h 00 : 2e forum : Sur l'Europe...
Gabriele Adinolfi, Institut Polaris (Rome),
Thomas Ferrier, écrivain
Irène Dimopoulos, directrice de Empros (Athènes)
Des délégations grecques et espagnoles...
17 h 30 - 18 h 30 : 3e forum : La nécessaire reconquête culturelle...
Philippe Randa, directeur d’EuroLibertés,
Robert Steuckers, éditeur (Bruxelles),
Anne Brassié, écrivain
Thierry Bouclier, écrivain
Pierre Gillieth, Réfléchir et Agir.
19 h 30 – 23 h 00 : Banquet patriotique (repas alsacien : 30 €)
Animation musicale par Dr Merlin et par le groupe de folk traditionnel européen Les Feux follets.
Nous vous conseillons de retenir vos places à l’avance. cliquez ici
DIMANCHE 13 OCTOBRE
11 h 00 : ouverture.
11 h 30 - 12 h 30 : 4e forum : L’autre Europe que nous voulons...
Bernard Monot, économiste, ancien député européen,
Ernest Kigali, écrivain ivoirien,
Jean-Eude Gannat, l'Alvarium (Angers)
Massimo Magliaro, directeur de la revue (Rome),
Vincent Vauclin, Président de la Dissidence française,
Serge Ayoub, militant solidariste,
Jean-François Touzé, membre du BP du PdF.
12 h 30 - 12 h 30 : restauration (repas ou sandwichs, bar).
14 h 30 - 15 h 30 : Grand concert des Brigandes.
16 h 00 - 18 h 00 : MEETING FINAL.
Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale,
Richard Roudier, la Ligue du Midi,
Alain Escada, Président de Civitas,
Pierre Cassen, fondateur de Riposte laïque
Martin Peltier, écrivain,
Pierre Vial, Président de Terre et peuple,
Filip Dewinter, député flamand (VB, Anvers),
Thomas Joly, Secrétaire général du Parti de la France.
Roger Holeindre, président du CNC
Jean-Marie Le Pen présentera le second tome de ses Mémoires.
Plus de 80 exposants vous accueilleront durant ces deux jours...
Ce programme est susceptible d’être complété. Consultez le site de Synthèse nationale.
08:22 Publié dans 13 - Les 13e Journées de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 05 octobre 2019
ROGER HOLEINDRE INTERVIENDRA LORS DU RENDEZ-VOUS "BLEU BLANC ROUGE" DE SYNTHÈSE NATIONALE LES 12 ET 13 OCTOBRE À RUNGIS (94)
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22:56 Publié dans 13 - Les 13e Journées de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Mobilisation Générale: le 6 octobre dans les rues de Paris
22:52 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
En attendant le krach, les banksters se gavent !
Pieter Kerstens
Plus les mois passent et plus nombreuses sont les autorités financières qui mettent les gouvernements en garde contre une nouvelle crise qui sera bien plus dévastatrice que celle que nous avons connue en 2007/2008. Depuis janvier 2019, ce sont plus de 50.000 emplois qui ont été supprimés dans les banques européennes.
Les médias et les politiciens nous parlent de « sauver la Planète » ou la forêt amazonienne, en ralliant la bannière du méchant petit troll nordique. Les mêmes monopolisent les antennes avec les dangers d’un Brexit, qui partage les actualités avec une guerre commerciale entre l’Asie et l’Occident, pimentée d’un risque de nouveau conflit au Moyen-Orient.
Peu de choses en ce qui concerne les bourses surévaluées où l’économie réelle a cédé la place aux algorithmes et aux échanges à haute fréquence, capables de créer le chaos en quelques minutes, mais également d’enrichir en un clin d’œil les spéculateurs avides.
Quelques rares esprits lucides, comme Nouriel Roubini, Georges Ugeux, Christine Lagarde, Charles Gave, Jean-Claude Trichet et certains autres tirent le signal d’alarme. Car il est faux de croire que les déficits des budgets successifs et la hausse des dettes publiques permettront la mise en œuvre des réformes structurelles indispensables à une bonne gestion des affaires.
Pour ceux et celles qui en ont encore la possibilité et veulent se préparer à la pire crise financière en gestation, il y a lieu de réduire sa dépendance aux banques et à l’Euro. Comment ?
- En possédant des espèces (de 3 à 6 mois) afin de couvrir ses dépenses courantes.
- En convertissant son épargne en or (napoléons) ou en argent métal.
- En se procurant diverses devises (telles que des francs suisses, des livres sterling, des couronnes norvégiennes ou des dollars)
- Eventuellement en investissant dans l’économie réelle (immobilier, secteur alimentaire ou encore dans la production d’énergie).
Les ennemis de l’Europe, les mondialistes, qui nous ont imposé le traité de Maastricht et qui rêvent d’un homo consuméris universel, nous traitent d’oiseaux de mauvais augure et tentent de convaincre les populations d’un risque zéro concernant les finances mondiales.
Certes, certains secteurs d’activités ont permis une amélioration de notre niveau de vie ces dix dernières années, mais cela au prix de déficits des comptes publics, dont bien sûr nos enfants et petits-enfants vont hériter.
Après 40 ans de gabegie, il est grand temps de tenir un langage de vérité et de restaurer des mesures de bon-sens. On ne peut pas éviter les problèmes en dépensant plus que l’on gagne. Et ce n’est pas non plus en matraquant les riches de taxes et d’impôts divers que l’on va aider les pauvres.
Pour revenir à un équilibre sain des comptes publics, il faudra se serrer la ceinture, tout en travaillant plus et plus longtemps. Il y a 40 ans (avant Mitterrand) on pouvait travailler 40 heures/semaine et prendre sa retraite à 65 ans. Est-ce que les gens étaient plus malheureux pour cela ? Les élèves et les étudiants étaient-ils moins éduqués que maintenant ?
22:44 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le gouvernement a délibérément masqué la radicalisation musulmane de Mickaël Harpon
Le parquet national antiterroriste s’est donc saisi seulement hier de l’enquête sur l’attaque meurtrière à la préfecture de police alors que les premiers indices étaient pourtant connus très tôt par l’administration.
Louis de Raguenel, spécialiste Police de Valeurs Actuelles, révèle que “le gouvernement a retardé cette saisine pour éviter de semer la panique avant le grand débat sur l’immigration.”
Louis de Raguenel@LouisDeRaguenelInfo VA - Enfin! Le parquet antiterro saisi après de grosses tensions avec l'exécutif - Selon nos infos, le pouvoir politique ne le souhaitait pas pour éviter de faire peur avant débat sur l'immigration. Paradoxe car la section autiterro et la dgsi concourraient deja à l enquête.
Peu après l’attaque, jeudi, le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner avait indiqué que cet employé atteint de surdité “n’avait jamais présenté de difficultés comportementales” ni “le moindre signe d’alerte”.
Mickaël Harpon, 45 ans, était agent administratif depuis 2003. Selon les premiers éléments de l’enquête et malgré plusieurs alertes sur une possible radicalisation après sa conversion à l’islam en 2008 (et non 2018), un djihadiste en puissance était donc employé dans l’un des principaux services de renseignement français, en pointe dans la lutte contre l’islam radical.
Le jour de la tuerie, l’une des victimes décline l’invitation à déjeuner de ses collègues. Ce major, membre de la DRPP, reste à son bureau. C’est là, au premier étage, qu’il est égorgé. Les autres victimes sont, elles, frappées au niveau du thorax avec acharnement. L’enquête met très rapidement en évidence l’achat d’un couteau, muni d’une lame de 33 cm en céramique, une matière non détectable par les portiques de sécurité. Mickaël H. se l’est procuré le matin même à proximité de la préfecture. Peu avant de passer à l’action, il a envoyé à sa femme un SMS évoquant cet achat. L’épouse, qui se trouvait toujours en garde à vue vendredi, aurait répondu en substance : « Seul Dieu te jugera. Allahou akbar «.
Deuxième point central du début de l’enquête, l’analyse poussée du portable du meurtrier a démontré ses liens avec un prédicateur d’une mosquée du Val-d’Oise connu de la DGSI.
Mickaël Harpon, chargé de la maintenance des ordinateurs du millier de fonctionnaires du renseignement parisien, avait accès à des informations ultrasensibles, entre autres celles en lien avec l’islam radical. Il disposait d’une habilitation secret-défense, situation qui impose une enquête administrative approfondie. « Il disposait notamment des adresses de chaque fonctionnaire », s’inquiète un policier.
Ces quatre dernières années pourtant, le comportement de cet agent administratif avait plusieurs fois attiré l’attention :
- un des collègues de Harpon a indiqué qu’après l’attentat de Charlie Hebdo qui avait fait douze morts en janvier 2015, ce dernier s’était écrié : « C’est bien fait ! ».
- Le 30 août de la même année, Harpon relayait sur Facebook un article jugeant que « la France est classée en tête des pays les plus islamophobes d’Europe ».
Selon le Daily Mail, le téléphone de Mickael Harpon le relie à une organisation terroriste comme Isis ou Al-Qaeda.
Source: Le Salon Beige
22:35 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Y a un problème, chef ?
Le billet de Patrick Parment
A l’heure même où le thème de l’immigration titille le président de la République, un nouveau carnage s’est produit à l’intérieur même de l’institution chargée de nous protéger. C’est le serpent qui se mord la queue. Mickaël Harpon, 45 ans, Martiniquais, est employé depuis treize ans – excusez du peu – à la très sensible Direction du renseignement de la Préfecture de police de Paris (DRPP). Un poste, on s’en doute, où l’on n’accède pas sans une enquête approfondie sur votre vie privée, vos travers sexuels et autre équilibre psychologique. Sauf qu’en matière de religion on aborde les strates de l’irrationnel que tous les psycho machins de tous bords ne peuvent détecter. Sauf que le christianisme et ses corollaires n’appellent pas ses membres à la guerre sainte (c’était le cas il y a très longtemps du temps des Croisades) comme c’est le cas avec l’islam actuel et dont, malheureusement, nous en avons eu de trop nombreuses démonstrations ces dernières années et que résume le sinistre « Allahu Akbar » que hurlent tous ces cinglés. Que notre justice républicaine et bananière s’empresse de justifier au titre de troubles psychiatriques, schizo machin, etc !
Or, Mickaël Harpon s’est converti à l’islam il y a peu et fréquentait assidûment la mosquée de Gonesse où il se rendait, apprend on, dans le costar du bon musulman. Puis, peinard, il gagnait le RER pour se rendre à la DRPP.
Rien à voir avec l’immigration me direz-vous puisque ce mec est un Français de Martinique. On est bien d’accord. Sauf qu’en matière d’immigration, une très large majorité d’entre eux sont musulmans. Et que face à l’islam, nos politiques baissent leur froc depuis longtemps à l’image d’un Alain Juppé, vous savez « le meilleur d’entre nous », nommé au Conseil constitutionnel, qui a laissé construire une mosquée gigantesque à Bordeaux. Comme tant d’autres d’ailleurs, à Lyon, Marseille, Lille etc., sans parler des zones de non droit carrément aux mains des musulmans et des lois coraniques. De droite comme de gauche, tous ces mecs sont pris par la trouille d’une religion qu’ils ne connaissent pas – et pour cause -, le trop grand nombre d’immigrés musulmans sur leur territoire, la peur de troubles divers et variés et surtout de passer pour des ennemis des droits de l’homme et donc de contrarier les loges maçonniques qui gangrènent les conseils municipaux, départementaux et régionaux.
Dès lors, comment ne pas faire le lien entre islam et immigration. On aimerait bien que Macron nous précise les contours qu’il entend donner au mot immigration.
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