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dimanche, 08 mars 2020

Un Système encore plus fragilisé

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Marc Rousset

L’argent bon marché des banques centrales et les aides des États en milliards ne peuvent que soulager les effets de la crise ; ils ne combattent pas la cause de l’épidémie. On est en présence d’un choc économique de l’offre et d’un choc partiel de la demande (tourisme, transports aériens) tout à fait comparable, par son intensité, à celui de 2008, même s’il est de nature complètement différente. La réponse monétaire des banques centrales n’est pas appropriée : les baisses de taux ne sont faites que pour enrayer l’effondrement des marchés boursiers. La Fed – signe de pessimisme à long terme – a surpris, mardi, en réduisant ses taux de 0,5 % et programme une baisse supplémentaire de 0,5 % pour la mi-mars ; mais seul un vaccin de l’Institut Pasteur serait efficace. La Fed tire ses dernières munitions, tout comme la BCE, et n’aura plus aucune marge si la crise empire.

Les banquiers centraux renvoient la balle aux gouvernements en leur demandant d’utiliser l’arme budgétaire, mais cela n’est valable que pour l’Allemagne et la Hollande, des pays sérieux, pas pour des États hyper-endettés comme la France, l’Italie, le Japon ou les États-Unis. Nous vivons dans un monde où les dettes (produits dérivés bancaires inclus) représentent 1,5 million de milliards de dollars.

Le secteur bancaire est déjà touché de plein fouet : Société générale, Crédit agricole et BNP Paribas accusent des baisses de 30 % depuis le début de l’année. Le chômage partiel a, aussi, déjà fait son apparition en France, puisque 400 entreprises ont déposé un dossier pour 6.000 salariés. Les faillites vont se multiplier. La seule façon de se sortir du guêpier sera un immense QE de création monétaire et des prêts long terme TLRO par la BCE, les gouvernements italien et français étant exsangues. Ce sera, alors, le début de l’hyperinflation et de la perte de confiance dans la monnaie. La BCE pourrait commencer par doper de 10 milliards d’euros supplémentaires son programme de rachats d’actifs plafonné, depuis octobre, à 20 milliards mensuels. On risque d’entrer dans une spirale infernale avec une économie à l’arrêt et des clients qui n’achètent plus (absence de commandes pour Airbus en février). La récession a, en fait, déjà commencé.

En Chine, le redémarrage est difficile et 55 % des PME chinoises sont toujours à l’arrêt. La conséquence directe d’une catastrophe sanitaire est le confinement inévitable, ce qui entraîne une dépression économique durable. Thierry Breton parle déjà de récession pour l’Allemagne et l’Italie, tandis que l’OCDE ajuste à la baisse les taux de croissance mondiale. Selon l’économiste Simon Wells, « il est peu probable que l’assouplissement monétaire ramène les gens dans les magasins ou au travail s’ils ont peur de tomber malades ».

Mais le plus préoccupant, au-delà de la dégringolade des Bourses, signe de krach à venir, c’est que le taux de l’obligation du Trésor américain à 10 ans s’est replié sous celui, inimaginable, de 0,7 % ! L’achat d’obligations correspond à une fuite du marché des actions vers la sécurité. C’est un renversement provocateur de la courbe des taux, annonciateur de dépression économique et de chômage.

Malgré la correction en cours, les actions sont toujours aussi chères qu’en 2000, au pic de la bulle Internet. La dégringolade devrait donc se poursuivre comme en 1929, 2000, et 2008. Les obligations à taux négatifs ont atteint le chiffre de 14.000 milliards de dollars, dont 3.700 milliards d’emprunts d’État, et les stocks d’or des ETF ont grimpé à 2.700 tonnes. Goldman Sachs voit l’or à 1.850 dollars l’once, si le coronavirus ne peut être maîtrisé d’ici la fin du deuxième trimestre ; selon Jeff Curie, l’un de ses dirigeants, « l’or, à l’inverse des êtres humains et des économies, est immunisé contre le virus ».

Le coronavirus a fait sortir de sa cachette le monstre caché dans ce Système de pacotille. Les banques centrales et les gouvernements ne peuvent rien contre lui dans des économies sous respiration artificielle qui ne tiennent plus, aujourd’hui, que par des bouts de ficelle. Comment va évoluer l’épidémie, avec quel impact économique dans la durée, c’est toute la question. Le pire n’est pas certain mais très probable. Il faudra bien que ce cycle d’expansion artificiel, de onze ans de hausse, trouve son terme d’une façon ou d’une autre. Le seul élément positif d’espoir, c’est que la situation semble s’améliorer globalement en Chine.

22:00 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 07 mars 2020

Samed 4 avril à Paris : 4e dîner annuel des Amis franciliens de Synthèse nationale avec Jean-Gilles Malliarakis. RÉSERVEZ VOTRE PLACE DÈS MAINTENANT

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SOLUTIONS CORPORATISTES ?

Roland Hélie

Directeur de Synthèse nationale

Après avoir maté la révolte des Gilets jaunes, puis laissé s’enliser le conflit relatif aux retraites, le gouvernement se croyait sorti d’affaires et espérait que la confiance allait revenir... En réalité, des nuages encore plus sombres pointent à l’horizon.

La psychose autour du coronavirus et ses répercussions sur l’économie mondiale démontrent les limites de la globalisation. Avoir voulu, au nom du profit, faire de la Chine la zone industrielle de la planète aux dépens des productions locales ou nationales était une erreur gravissime que seuls les nationalistes ont toujours dénoncée.

Sur un autre plan, la décision de l’islamiste turc Erdogan de lâcher vers l’Europe, via la Grèce, des millions de migrants pour la plupart musulmans devrait mettre l’Union européenne devant ses responsabilités. N’oublions jamais que le but ultime de tout bon islamiste est d’imposer partout sa civilisation. Erdogan le sait parfaitement, mais l’Europe fait semblant de l’ignorer. Là aussi, seuls les nationalistes sont clairvoyants.

Nous savons qu’un jour ou l’autre, et le plus rapidement si possible, l’histoire nous donnera raison. Il est donc temps de préparer l’avenir.

Le samedi 4 avril prochain se tiendra à Paris le 4e banquet des Amis franciliens de Synthèse nationale. Le thème : « Solutions corporatistes ? » et, pour en parler nous avons invité un spécialiste du corporatisme, l’éditeur Jean-Gilles Malliarakis. Depuis toujours, il se bat pour diffuser cette doctrine économique et politique honnie des tenants du Système libéral-mondialiste actuel, mais qui, finalement, s’est montrée plutôt efficace là où elle a été appliquée.

Vouloir abattre le Système, c’est bien. Mais faire des propositions alternatives concrètes, c’est mieux. Et le savoir et le faire savoir, c’est essentiel. Voilà pourquoi nous espérons vous retrouver nombreux à ce dîner amical qui, n’en doutons pas, se déroulera dans une ambiance sympathique et constructive. Alors, dès maintenant, retenez votre place.

ATTENTION : NOMBRE DE PLACES LIMITÉ

Réservation en ligne cliquez ici

Bulletin de réservation

Préparons ensemble les BBR 2020

Samedi 4 avril sera une journée bien remplie pour les Amis de Synthèse nationale. L’après-midi, à partir de 16 h, une réunion interne est organisée à Paris afin de préparer le prochain  rendez-vous Bleu Blanc Rouge qui aura lieu les 10 et 11 octobre à Rungis. Vu l’ampleur que prennent ces journées annuelles (les 14èmes), nous avons besoin de l’aide de nos amis pour la préparation et l’encadrement. Les volontaires sont donc les bienvenus. Si tel est votre cas, inscrivez-vous en écrivant à synthesenationale@club-internet.fr.

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Le commander en ligne cliquez là

23:44 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les pays de la grande Hypocrisie

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Bernard Plouvier

Le site (Net) TV5MONDE a publié le 5 mars 2020, le jugement d’un tribunal du Tennessee ordonnant l’expulsion de Friedrich-Karl Berger, un nonagénaire, citoyen des USA depuis près d’un demi-siècle, parce qu’il avait été, dans sa lointaine jeunesse, un gardien du camp de concentration de Neuengamme, près de Hambourg.

Ce programme spécial de traque et d’expulsion des citoyens US ex-nazis n’a été créé qu’en 1979... c’était déjà un peu tard, un quart de siècle après la guerre. De 1980 à nos jours, 67 ex-nazis, devenus de libres citoyens des USA, ont été dénaturalisés, livrés à un lynchage médiatique, puis expulsés. Le dernier cas connu, en août 2018, portait sur un homme de 95 ans.     

De nos jours, les procureurs de ce programme spécial du ministère fédéral de la Justice ne peuvent effectivement s’en prendre qu’à des nonagénaires. On n’a pas encore la notion qu’ils se soient attaqués à des centenaires, mais l’on peut faire confiance à des juristes comme Eli Rosenbaum qui geint : « le temps travaille contre nous, les procureurs », pour étendre vers la gamme des 100-110 printemps les si utiles recherches.

Ce doit être rageant, pour un vengeur juif, de constater que Dame Nature et Demoiselle Sélection Naturelle sont infiniment plus efficaces que sa haine. C’est avec une angoisse indicible, un effroi incommensurable que l’on constate la fin programmée de la si noble mission de ces merveilleux juristes voués à la traque des « animaux nazis » - une expression ayant cours en Israël. Toutefois, on leur fait confiance pour trouver un gibier de substitution.

De très odieux voyous de l’écriture historique pourraient rappeler l’effroyable surmortalité des camps de prisonniers de guerre (PG) contenant d’ex-membres de la Wehrmacht, de 1944 à 1946, dirigés par les autorités US, françaises et belges en Europe « libérée »... des nazis, mais nullement des communistes.       

Elle a été estimée à 1,1 million, sur un total de 5,9 millions PG (soit 18,6% de morts, à comparer avec la mortalité des PG français, britanniques et nord-américains détenus par le Reich : 3%) : environ 311 000 morts du 8 mai au 8 septembre 1945, puis un peu plus de 793 000 (en y comprenant 67 200 PG morts dans le mois suivant leur libération) du 9 septembre 1945 au 1er janvier 1946 (Bacque, 1990). Cette sélection fort peu naturelle avait été réalisée par le froid et la faim, le manque de soins et d’hygiène, soit autant de sources d’épidémies, mais aussi par des sévices, incluant les meurtres gratuits (Bacque, 1990). En résumé, un authentique crime de post-guerre, un génocide (selon la définition de l’ONU : des meurtres pour raison de différend racial, ethnique, politique...) ayant la pure haine et la basse vengeance pour seules motivations.

Bien entendu, la noble cohorte des grands historiens bien-pensants et bien-disants s’est ruée à l’assaut du manant, de l’amateur révisionniste James Bacque. Or cet homme a été défendu par une foule d’ex-soldats de l’US-Army qui avaient observé les conditions de captivité des vaincus, et aussi par de nombreux ex-gardiens de camp US, honteux de ce qu’ils avaient laissé faire, voire de ce qu’ils avaient fait. Même les statistiques officielles de l’US-Army (totalement fausses) révèlent une mortalité dans les camps de PG allemands administrés par les USA en Europe 4 fois supérieure à celle des camps de Grande-Bretagne où les vivres étaient pourtant sévèrement rationnés (Lowe, 2012).

Enfin, puisque l’actualité nous rappelle le camp de Neuengamme, il est bon de rappeler un fait bien connu ou qui devrait l’être, un crime de guerre des Chevaliers du ciel de la glorieuse Royal Air Force : le scandale de l’attaque des navires partant de Lübeck vers la Suède, le 3 mai 1945.

Ce jour, partent environ 20 000 déportés libérés, sur ordre d’Heinrich Himmler, des camps de Neuengamme (Hambourg) et du Stutthof (Dantzig), transportés sur quatre paquebots ou cargos allemands strictement dépourvus d’arme et porteurs d’immenses drapeaux arborant une énorme Croix Rouge. La direction de la Croix Rouge suédoise a directement averti l’état-major du 21e Groupe d’Armées allié (Fieldmarshall Bernard Montgomery) de ce transfert humanitaire.

Trois bateaux sont attaqués par des Typhoon de la RAF, armés de roquettes air-sol. Le Thielbeck, un petit cargo de 2 800 tonneaux, coule avec 2  750 déportés et une centaine d’hommes d’équipage ou d’escorte. Le Cap Arcona, gros paquebot de 27 500 tonneaux, prend feu puis sombre gardant dans sa carcasse 4 650 déportés et un demi-millier d’hommes d’équipage : il n’y a que 316 survivants, d’autant que les chevaliers du ciel mitraillent les naufragés survivants... eh oui !

Au total, le score de ce jour s’élève à 7 300 déportés (dont quelques Juifs) et 600 Allemands assassinés, qui se croyaient couverts par le drapeau de la Croix-Rouge (Jacobs, 2004). Fatale erreur ! il semblerait que la société Rolls-Royce ait fait circuler des photographies des épaves pour vanter la qualité de ses roquettes et en faciliter la vente. Pure calomnie, cela va sans dire.

L’Occident, devenu succursale de l’économie globale et de la mondialisation de la propagande, est réellement puant d’hypocrisie.

Pour amateurs, indications bibliographiques :

  1. Bacque : Morts pour raisons diverses. Enquête sur le traitement des prisonniers de guerre allemands dans les camps américains et français à la fin de la Seconde Guerre mondiale, Sand, 1990
  2. Jacobs, E. Pool : The 100-year secret. Britain’s hidden World War II Massacre, The Lyons Press, Guilford [Connecticut], 2004 (pour l’instant les vengeurs de la mémoire juive outragée n’ont pas encore osé attaquer l’État britannique au titre de la Shoah, mais ce livre pourrait servir d’argument !)
  3. Lowe : L’Europe barbare. 1945-1950, Perrin, 2013 (première édition anglaise de 2012)

23:43 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

En souvenir de Jean Bastien-Thiry

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23:40 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 06 mars 2020

Faut-il en finir avec les éoliennes ou multiplier leur nombre?

Jean-Louis Butré et Alexandre Roesch sur Sud Radio

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13:14 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Liste des participants au " Dîner du Siècle" du 26 février dernier

Club privé des élites dirigeantes françaises (politiques, industriels, patrons de presse, technocrates, banquiers) fonctionnant par cooptation, Le Siècle organise chaque mois un dîner au cœur de Paris. L’occasion de tractations et de mises au point pour les membres de cette section française de l’hyperclasse mondialisée.

Cliquez sur la première page pour découvrir la liste

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Source: E&R

12:51 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Tous devant l’Elysée le 10 mars

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Mobilisation Marchons Enfants contre le projet de loi bioéthique !

Parce que la France ne peut, par la loi, priver volontairement des enfants de leur père, mobilisons-nous pour le retrait de ce projet de loi qui est ni bio, ni éthique !

Rendez-vous le mardi 10 mars à 19h à proximité de l’Élysée, place Clemenceau.

12:18 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Accord Poutine/Erdogan sur la Syrie : l'Europe fantôme.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
L'accord conclu entre Poutine et Erdogan pour une trêve en Syrie souligne tragiquement l'effacement total de l'Europe dans le règlement d'une crise qui dépasse largement les seuls enjeux régionaux.
 
En imposant à la Turquie la tenue d'une conférence à Moscou, la Russie montre qu'elle est maîtresse des forces et ordonnatrice des antagonismes. En refusant la venue de Macron et de Merkel, Poutine témoigne du mépris dans lequel il tient les dirigeants Français et Allemands. 
 
En politique - et singulièrement en politique internationale - ne compte que ce qui existe et cette existence se mesure à l'aune de la détermination stratégique armée.
 
Soumise à une attaque migratoire de grande ampleur déclenchée par Ankara qu'elle est incapable de contrer, l'Union européenne ne saurait aux yeux de Poutine qui n'oublie ni les sanctions économiques dont la Russie est la cible ni les sombres manœuvres de l'OTAN, constituer un partenaire utile et encore moins un allié fiable.
 
La grande alliance civilisationnelle que nous appelons de nos vœux entre l'Europe et la Russie ne se fera que le jour où les Etats occidentaux de notre continent auront opéré leur reconquête nationale.
 
En attendant, Moscou continuera de ne se fier qu'à elle même, quitte à s'entendre avec un membre de l'Alliance atlantique pour mieux le contraindre, et à laisser le champ libre aux ambitions ottomanes sur des champs d'opérations extérieurs à la sphère d'influence de la Russie.

10:49 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 05 mars 2020

Les Tartarins de l’épidémiologie et du « Principe de précaution »

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Bernard Plouvier

Chacun sait que, depuis le début du XXIe siècle, il existe dans tous les pays occidentaux un rejet de la caste politicienne, une perte absolue de prestige de nos soi-disant princes, dont même les plus simplets de nos contemporains commencent à comprendre qu’ils ne sont que des pions interchangeables, au service des véritables patrons de la nouvelle ère : les maîtres du seul vrai Pouvoir, l’économique.  

Or, si tous les sondages réalisés depuis le lustre 2001-2005 démontrent cette perte de crédibilité et la désaffection des citoyens pour les pitres qui font semblant de gouverner, les sondages d’opinion de la dernière décade montrent, de façon ahurissante, que les populations « font confiance à leurs gouvernements » pour les protéger de la « pandémie à coronavirus ». 

Autrement dit, pour redorer le blason de nos Machiavel, il a suffi d’organiser une panique à l’échelon planétaire, avec la complicité des clowns amoraux des media, et pour un fait épidémiologique MINEUR, une infection dont la mortalité est faible, ne touchant que la petite frange en état de déficit immunitaire sévère (soit un infime pourcentage) de chaque population.

Moins que jamais, notre monde n’est régi par la froide raison et le bon sens. Le XXIe siècle n’est nullement « un siècle des sciences et de la technique », mais demeure, comme les millénaires précédents, une époque « enchantée », où n’importe quel gourou peut lancer un « message » fou, grotesque, disproportionné à la réalité du fait causal.

Notre monde n’est nullement « désenchanté », nullement rationnel. Et c’est logique : Homo Sapiens sapiens demeure ce qu’il est depuis l’éclosion de l’espèce, un gogo crédule. Les prêtres de tous les cultes, les gourous de toutes les sectes, les politiciens les plus ineptes, les démagogues les plus minables restent les rois de la masse imbécile.

Théoriquement, ce qui différencie les régimes populistes des ploutocraties (variante : « démocraties libérales »), des théocraties et des doctrines de haine sociale – comme le crétinisme marxiste -, c’est l’élévation du niveau culturel des membres non débiles mentaux  des Nations. C’est une raison supplémentaire de tenter le pari du Populisme en Occident.     

Chacun sait que, depuis le début du XXIe siècle, il existe dans tous les pays occidentaux un rejet de la caste politicienne, une perte absolue de prestige de nos soi-disant princes, dont même les plus simplets de nos contemporains commencent à comprendre qu’ils ne sont que des pions interchangeables, au service des véritables patrons de la nouvelle ère : les maîtres du seul vrai Pouvoir, l’économique.  

Or, si tous les sondages réalisés depuis le lustre 2001-2005 démontrent cette perte de crédibilité et la désaffection des citoyens pour les pitres qui font semblant de gouverner, les sondages d’opinion de la dernière décade montrent, de façon ahurissante, que les populations « font confiance à leurs gouvernements » pour les protéger de la « pandémie à coronavirus ». 

Autrement dit, pour redorer le blason de nos Machiavel, il a suffi d’organiser une panique à l’échelon planétaire, avec la complicité des clowns amoraux des media, et pour un fait épidémiologique MINEUR, une infection dont la mortalité est faible, ne touchant que la petite frange en état de déficit immunitaire sévère (soit un infime pourcentage) de chaque population.

Moins que jamais, notre monde n’est régi par la froide raison et le bon sens. Le XXIe siècle n’est nullement « un siècle des sciences et de la technique », mais demeure, comme les millénaires précédents, une époque « enchantée », où n’importe quel gourou peut lancer un « message » fou, grotesque, disproportionné à la réalité du fait causal.

Notre monde n’est nullement « désenchanté », nullement rationnel. Et c’est logique : Homo Sapiens sapiens demeure ce qu’il est depuis l’éclosion de l’espèce, un gogo crédule. Les prêtres de tous les cultes, les gourous de toutes les sectes, les politiciens les plus ineptes, les démagogues les plus minables restent les rois de la masse imbécile.

Théoriquement, ce qui différencie les régimes populistes des ploutocraties (variante : « démocraties libérales »), des théocraties et des doctrines de haine sociale – comme le crétinisme marxiste -, c’est l’élévation du niveau culturel des membres non débiles mentaux  des Nations. C’est une raison supplémentaire de tenter le pari du Populisme en Occident.     

19:01 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

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18:55 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L'émission "Synthèse" de cette semaine sur Radio Libertés avec comme invité Alain Escada, président de Civitas

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Cette semaine, l’invité de l’émission « Synthèse », animée par Roland Hélie et Philippe Randa, est le président de Civitas, Alain Escada. Il nous parle de l’actualité politique bien sûr, des élections municipales dans lesquelles son mouvement est engagé dans de nombreuses petites communes, et aussi de la 4e fête du Pays réel qui se déroulera à l’Espace Jean Monnet à Rungis les 28 et 29 mars prochains. Vous retrouverez, en fin d’émission, la chronique historique du professeur Pierre de Laubier, « l’abominable histoire de France ».

10:47 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Munich sur Bosphore

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Par Natacha Polony

Le nouveau ces visages. De nouveau ces gens entas- sés dans des canots, ou massés devant les barbelés d’une frontière. De nouveau leur désespoir et leur révolte. En fait, ils n’avaient jamais disparu. Ils étaient entassés dans des camps, du côté de la frontière turco-syrienne, ou dans le pourtour des métropoles, Istanbul, Izmir... Ils tentaient de survivre, de s’intégrer, de se forger un avenir. Mais voilà qu’ils réexistent tout à coup dans la stratégie de Recep Tayyip Erdogan. Des pions sur un échiquier. Des pions qu’on peut envoyer crever dans des canots de fortune après avoir affrété des bus et lancé des messages mensongers sur l’ouverture des frontières.

A cet ignoble jeu, l’Europe est échec et mat. Trop divisée, trop empêtrée dans ses contradictions. Exactement là où l’attendait le président turc. Ces hommes et ces femmes sont des réfugiés. Ils ont fui leur pays en guerre. Ils ont fui les bombes, la faim, la peur. Et l’honneur de l’Europe est d’avoir inventé le droit d’asile pour tous les êtres humains pourchassés, martyrisés, au nom d’idées politiques et de pulsions guerrières. Ceux, d’ailleurs, qui ne cessent de fustiger le méchant « Occident » prédateur devraient s’en souvenir : cette civilisation européenne qui, certes, a abusé de sa puissance et s’est savamment autodétruite, est celle qui a poussé le plus loin l’idée de respect de toute vie humaine et de protection des plus faibles. Tout n’est pas blanc ou noir. Aujourd’hui, comme en 2015, l’Europe se voit sommée de donner corps à ses principes. Voulons-nous vraiment voir des douaniers grecs tirer sur des hommes, des femmes et des enfants?

Pourtant, dire cela ne suffit pas. De même qu’il ne suffisait pas, en 2015, de déclarer tout de go que l’Allemagne allait accueillir un million de réfugiés, avant de refermer trois semaines plus tard sa frontière avec l’Autriche devant le chaos ainsi provoqué. Erdogan pourrait-il instrumentaliser ces malheureux avec un cynisme répugnant si Angela Merkel n’était allée négocier seule à Ankara pour lui déléguer le problème en échange d’un peu de complaisance vis-à-vis des ressortissants turcs et de beaucoup d’argent ? Et l’on entend certains politiques, les mêmes qui estimaient en 2015 qu’il ne fallait en aucun cas discuter avec Vladimir Poutine, privant la France et l’Europe de toute existence géopolitique, les mêmes qui ont maintenu à toute force le règlement de Dublin en expliquant à l’Italie et à la Grèce qu’elles n’avaient qu’à se débrouiller avec les migrants, armer aujourd’hui que le seul problème est l’absence de cœur des douaniers grecs et des habitants de Lesbos...

La compassion, le respect des principes essentiels de la civilisation européenne, ne doivent pas s’affranchir d’une vision géopolitique. A quoi sert d’avoir les mains propres quand on n’a pas de mains ? En l’occurrence, croire que l’on peut accueillir un million, ou davantage, de réfugiés sans se soucier de ce qu’implique le partage du Proche-Orient entre Poutine et Erdogan, sans se demander, donc, si certains de ces malheureux pourront un jour retrouver leur ville ou leur village, accepter benoîtement d’assumer les échecs cuisants et les erreurs monstrueuses des Etats-Unis depuis 2003 au nom de l’inconditionnalité du droit d’asile, le tout sans jamais se poser la question de l’intégration de ces réfugiés et de la façon dont on va leur transmettre ce qui constitue les fondements de la civilisation européenne, et qui devrait être non négociable pour quiconque entend vivre sur le territoire européen, c’est faire peser sa bonne conscience sur le dos des populations les plus fragiles, celles qui assument déjà l’absence de toute politique migratoire.

Et puisque les mots ont un sens, appeler « migrants » ces gens qui fuient la guerre est significatif. Ceux qui, médiatiquement et politiquement, s’y livrent veulent à toute force effacer la différence qui peut exister entre un Syrien fuyant les bombes ou les représailles du régime de Bachar al-Assad et un Ivoirien ou un Nigérian fuyant la misère pour nous expliquer qu’il s’impose à l’Europe d’accepter indifféremment les uns et les autres. C’est prendre le risque de vider de son sens le droit d’asile, de le voir rejeté par les populations européennes et d’ampli er encore les tensions autour de la question migratoire.

Face aux tragédies humaines, il existe rarement des réponses simples et univoques. Et rien n’est pire que les postures morales de la part de ceux qui ne sont pas les payeurs. La dignité des Européens ne peut passer que par leur décision, enfin, de se construire comme une puissance politique, maîtresse de son destin, capable de n’être pas le jouet des impérialismes et du cynisme de la Russie, de la Turquie ou des Etats-Unis. Encore faut-il qu’entre pays européens comme au sein de chaque nation les grandes âmes évitent les leçons de morale à ceux qui gèrent le chaos.

Source : Marianne, 5/3/2020

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Jean Daniel aux Invalides : l’incroyable indécence…

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Par Alain Sanders

Les jours derniers, Macron aura eu l’occasion de faire étalage de ses sympathies idéologiques et plus à l’égard de trois disparus qui au- raient plutôt mérité qu’on les enterrât sans en faire des tonnes.

Ainsi en va-t-il de Michel Charasse que Macron tutoyait et qu’il prit soin de décorer avant le passage de la camarde. On ne s’arrêtera pas longtemps sur ce franc- mac à la Belphégor, fanatique au point de se faire une gloriole de ne jamais mettre un doigt de pied, quelle que soit la cir- constance, dans une église (et parfois de façon ostentatoire comme lors de la messe pour Mitterrand). Ainsi en va-t-il de Hervé Bourges, porte-coton de Ben Bella, qui en pinçait tellement pour l’Algérie fellouze qu’il en demanda la nationalité. Avant de revenir en France, la queue entre les jambes, mais le verbe haut, quand les choses tournèrent mal pour ses amis politiques algériens. Il avait choisi les fells contre la France ? On fit de lui le souverain pontife de la secte télévisuelle.

Macron a dit toute l’admiration, voire l’affection, qu’il portait à ces deux per- sonnages. Mais c’est surtout pour Jean Daniel qu’il se sera surpassé dans l’en- flure et la flagornerie. Avec rien de moins qu’une cérémonie d’hommage national aux Invalides où ne devraient être honorés que nos soldats et de grands servi- teurs de la France (cf l’article de Camille Galic, Présent du 28 février). On me dira : qu’attendre d’un Macron qui a béatifié le traître communiste Maurice Audin ? Soit. Mais Jean Daniel aux Invalides, je dois dire que ça me reste en travers de la gorge.

En une sorte d’oxymore involontaire, Macron a salué en Jean Daniel « une grande conscience de la gauche » et salué « la justesse visionnaire de ses analyses ». Alors qu’il se sera quasiment trompé sur tout, l’Algérie, Castro, la politique intérieure française, et même sur la gauche, et plus que tout sur la France et son roman national. Ce qui n’a pas empê- ché Macron, qui a les mêmes problèmes que Jean Daniel avec la France et son histoire, de décrire le sinistre – au sens latin du terme – Nouvel Observateur comme « un journal qui fut de tous les combats, de toutes les conquêtes, de tous les progrès ».

Pendant la guerre d’ Algérie, Jean Daniel, natif de Blida hélas, ira si loin dans sa danse du ventre avec le FLN – il sera d’ailleurs inculpé à deux reprises pour at- teinte à la sûreté de l’Etat – qu’Albert Camus, avec lequel il avait eu des relations d’amitié, rompra avec lui. D’où l’indécence supplémentaire, lors de la cérémonie des Invalides, d’avoir lu un texte de Camus, ce qui a constitué une sale petite entourloupe à la mémoire de ce dernier, pied-noir fidèle aux siens et à sa petite patrie charnelle, lui. Il aurait été plus avisé, en l’occurrence, de lire un texte de Castro que Jean Daniel visita à Cuba.

Il faut prendre la mesure de la déchéance dans laquelle on est tombé : un Jean Daniel aux Invalides, ce qui a été refusé à un héros français comme Roger Holeindre... Un Jean Daniel, journaliste militant et, du même coup, membre du conseil supérieur de l’AFP, membre du conseil d’administration du Grand Louvre, membre du Comité consultatif national d’éthique (sic). Comme Hervé Mohammed Bourges avait été patron de ce CSA chargé de dire l’alpha et l’oméga de qu’il faut dire et ne pas dire à la télé... Jean Daniel « un exemple » pour tous les journalistes selon Macron. Sûr qu’avec des « exemples » comme Hervé Bourges et Jean Daniel, il ne faut pas s’étonner que les Français se détournent – et plus encore – des médias... Comme il serait temps que ce carrousel ininterrompu de nécrologies élyséennes nauséeuses (plus d’une centaine depuis 2017...) marque le pas.

Source : Présent 5/03/2020

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mercredi, 04 mars 2020

À Angers comme à Anvers, le soutien à la résistance grec s'organise

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Angers, affichage de nos camarades de l'Alvarium.

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Anvers, manif du Vlaams belang devant le consulat turc...

 
 

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Samedi 28 mars, dans les Landes : 4e édition de "Révolte contre le monde moderne"

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Les yoyos du populisme

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Populisme est devenu un mot à la mode sans cesse employé. Il y aurait le peuple d’un côté et les élites de l’autre. Pourtant, les populistes ont eu aussi besoin d’une élite, ne serait-ce que pour gouverner lorsqu’ils arrivent au pouvoir. L’association des deux devient alors une nécessité. Pascal Gauchon, le créateur de l’excellente revue Conflits, nous expose les tenants et les aboutissants de ce nouveau paradigme.

A lire ICI

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mardi, 03 mars 2020

LE PELERINAGE DE CHARTRES APPROCHE

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César : une feria de l’entre-soi animée par des pantins sinistres

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Source Eléments cliquez ici
 
La 45e cérémonie des César a été marquée par la médiocrité et les vociférations. Mais aussi par la petitesse : le cinéaste Jean-Claude Brisseau a été banni de l’hommage aux disparus de l’année.
 
La 45e cérémonie des César a apporté son lot habituel de gamineries vociférantes, teintées d’air du temps. Il y a deux ou trois décennies, on ne pouvait échapper aux couplets larmoyants, aux poings levés de d’artistes concernés, à l’insurrection courageuse de millionnaires-citoyens poussant des « oh ! » et des « ah ! » à chaque saillie vengeresse d’un invité endimanché qui soudain, s’escrimait contre le pouvoir totalitaire en place. Désormais, toujours dans le sens du vent, on fait des listes, on comptabilise ceux qui sont en trop, et ceux qui ne sont pas assez, le tout sur des critères ethniques parfaitement assumés ; on brocarde en toute décontraction le physique des uns et des autres ; et puis surtout, on parle moins des œuvres que de la moralité supposée de ceux qui les font, là encore sans la moindre gène.

Mais qu’attendre d’autre d’une telle féria de l’entre-soi ? Une fête du bon goût et de la bienveillance où l’on peut être reine d’un jour si l’on a su pleurer à bon escient et conne de l’année quand on bafouille ? Où l’on peut être honoré sans retenue ou renié avec mépris selon la date limite des prises de conscience ? D’ailleurs, quel rapport existe-il véritablement entre les César et le cinéma quand on peut consacrer « meilleur film » Les Ripoux de Zidi devant Les Nuits de la pleine Lune de Rohmer (1985) ou La Haine de Kassovitz plutôt que Nelly et Mr Arnaud de Sautet (1996) ? Quand on a considéré un jour Luc Besson « meilleur réalisateur » qu’Alain Resnais (1998), et quand surtout on n’a jamais récompensé de ce titre Godard, Chabrol, Rohmer ou Schœndoerffer ?

Foresti, Darroussin, pantins sinistres

Que dire enfin de ces présentateurs successifs qui a grand renfort de bourrades, de nez rouges et de rires étouffés nous assurent qu’ils débordent d’humour, quand ils ne sont pourtant, avec leurs gags poussifs et leurs gesticulations éculées, que des pantins sinistres demain mis au rebut ? La dernière en date étant Florence Foresti, humoriste dont la médiocrité jamais démentie de la douzaine de films où elle a figuré, aurait au moins pu conduire à davantage d’humilité.

Tout cela était à ce point attendu, qu’il paraît tout aussi vain de se scandaliser des propos et des attitudes des uns et des autres, lesquels se sont contentés, chacun dans son rôle, de se conformer le plus possible à ce qu’on attendait d’eux. La palme revenant sans doute à Jean-Pierre Darroussin qui disait encore il y a quelques années son admiration pour Tess de Polanski et qui cette fois a volontairement écorché le nom du cinéaste deJ’accuse

On s’en veut d’avoir à rappeler de telles évidences quand les uns s’ingénient à être toujours plus performants dans la bassesse, et d’autres plus indécents dans le panégyrique systématique : ce n’est pas parce que les égéries du néo-féminisme punitif sont bien souvent  stupides, hargneuses ou de mauvaise foi  que Polanski n’est pas coupable (et même si l’on en croit les témoignages de femmes par lui violées, une belle ordure) ; ce n’est pas parce que son œuvre doit être absolument défendue, et certainement pas censurée comme le réclament les apprentis totalitaires du moment, qu’il faut la surestimer.

Jean-Claude Brisseau banni

Non, ce qui était sans doute le plus inattendu et le plus abject de cette soirée, ce fut l’absence de Jean-Claude Brisseau, décédé en mai 2019, de l’hommage rendu aux célébrités disparues. Ce très grand réalisateur, qui a laissé des films magnifiques, et qui a eu lui aussi maille à partir avec la justice (condamné pour harcèlement sexuel en 2005) s’est tout simplement vu dénier le droit, non seulement d’être reconnu par ses pairs, mais surtout d’être associé à ce que nous considérons, nous vivants, nous français, nous cinéphiles, comme notre précieux bien commun. Des gens ont en 2020 refusé d’honorer un mort, pour ce qu’ils ont certainement considéré comme une très bonne raison, vertueuse et responsable,  et qui n’était pourtant que la dernière des indignités. Sous ses allures décontractées et goguenardes, notre époque est ainsi profondément maccarthyste.

Demain, tout le monde aura oublié Aïssa Maïga, Florence Foresti ou Jean-Pierre Darroussin, mais De Bruit et de fureur, Les savates du Bon Dieu ou Choses secrètes continueront d’être l’honneur du septième art.

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Les médias nous racontent-ils des bobards ? avec Jean-Yves Le Gallou – EURÊKA

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Rappel: Samedi 7 mars à Lyon : Forum de la Nation organisé par Jeune Nation

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Rassemblement pour le retrait du projet de loi bioéthique ce soir à Paris

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En dépit de la situation sociale et sanitaire de la France, malgré les divisions et difficultés dont souffre notre pays, Emmanuel Macron maintient pour le moment son projet de loi bioéthique.

Nous intensifions donc le rythme des actions :

Ce soir mardi 3 mars, rejoignez le rassemblement Marchons Enfants pour appeler le Président de la République à retirer le projet de loi :

RDV à 19h sur la place Clemenceau

(à proximité de l'Elysée, métro Champs Elysées-Clemenceau)

 
 

10:44 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

« Thomas Joly répond à vos questions » - N°1

Thomas Joly, Président du Parti de la France, répond aux questions des internautes.

Sujets abordés : les élections municipales, le soutien du PdF à des candidats RN, les relations du PdF avec la Dissidence Française et les autres organisations nationalistes, les « Primaires pour la France », l'élection présidentielle de 2022, Jean « Hossam » Messiha, le site internet du PdF, le meeting du 18 avril à Paris organisé par le PdF.

 
 

10:33 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

MERCREDI 4 MARS, ALAIN ESCADA, PRÉSIDENT DE CIVITAS, INVITÉ DE L'ÉMISSION (TÉLÉVISÉE) "SYNTHÈSE" SUR Radio Libertés

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LES PRÉCÉDENTES ÉMISSIONS CLIQUEZ LÀ

09:11 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Rappel : le samedi 18 avril, le Parti de la France organise un meeting à Paris contre la submersion démographique en présence de Jean-Marie Le Pen

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Thomas Joly, président du Parti de la France, et Jean-Marie Le Pen lors des Journées Bleu Blanc Rouge de Synthèse nationale en octobre dernier à Rungis.

09:11 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Ne pas céder à Erdogan !

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Communiqué de la Dissidence Française 

En ouvrant les frontières turques au passage de milliers d’immigrés clandestins qui souhaitent se rendre en Europe, le président turc Recep Tayyip Erdogan a franchi une nouvelle étape dans l’inadmissible chantage à l’invasion migratoire qu’il exerce contre les pays européens depuis plusieurs mois.

Par son invraisemblable laxisme migratoire et ses atermoiements diplomatiques avec la Turquie d’Erdogan, à qui elle a volontairement délégué la gestion des flux migratoires en provenance du Proche et du Moyen-Orient, l’Union Européenne s’est elle-même exposée aux pressions et aux menaces du régime turc. Face à cette diplomatie agressive, l’Union Européenne fait une nouvelle fois la démonstration de son incapacité à peser sur la scène internationale et à protéger les intérêts de ses états membres. L’OTAN – dont est membre la Turquie – apparaît plus divisé que jamais, et le gouvernement Macron se montre incapable d’assumer une position de fermeté face au régime turc.

Seule et en première ligne face à cette nouvelle vague de migration sauvage, la Grèce continue d’empêcher le franchissement de ses frontières et se refuse à tolérer l’immigration illégale.

La Dissidence Française appelle à la solidarité avec le peuple grec dans cette nouvelle crise diplomatique et migratoire, et rappelle que seule une politique de fermeté en matière d’immigration, et de souveraineté en matière diplomatique, pourra permettre à la France de sortir de l’étau dans lequel les élites mondialistes l’ont enfermé.

Pour la France et les Français d’abord !

09:09 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 02 mars 2020

Conférence de Gabrielle Cluzel à Bruxelles le 25 mars

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Rédactrice en chef de Boulevard Voltaire viendra présenter son dernier livre "Enracinés".
Loin des complaintes réactionnaires et nostalgiques Gabrielle Cluzel délivre à travers ce livre un message d’optimisme et d’espoir incitant à puiser dans nos vertus et notre passé le courage de résister et de bâtir l’avenir.
Inscrivez-vous ICI

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22:25 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Sortie prochaine aux éditions FIDES de la version espagnole du livre de Georges Feltin-Tracol, "Pour une troisième voie solidariste", publié par Synthèse nationale

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Bravo aux éditions espagnoles FIDES qui vont sortir très bientôt "Por una tercera via solidarista", la version ibérique du livre paru en 2018 de Georges Feltin-Tracol. 

Pour en savoir plus cliquez ici

Achetez le livre de Georges Feltin-Tracol en français cliquez là

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21:42 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Quand se lèvent les peuples européens.

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L'avis de Jean-François Touzé

Il serait bien illusoire de voir dans le "message de solidarité" adressé ce lundi par Emmanuel Macron à la Grèce et à la Bulgarie confrontées à l'arrivée massive de migrants propulsés vers l'Europe par la volonté du sultan Erdogan, autre chose que la réaffirmation de la politique de partage du fardeau menée conjointement par Berlin et Paris depuis des années, politique qui consiste, on le sait, à organiser la répartition des arrivants à l'intérieur des nations de l'Union. Loin de se situer dans une perspective de résistance à la déferlante, et de fermeté à l'égard de la Turquie, ce message sera évidemment considéré par les intéressés comme constitutif d'un nouvel appel d'air. Les frontières de l'Europe passent par la Grèce, la Bulgarie, l'Espagne ou l'Italie... Les droits d'asile comme les prestations sociales sont en France où en Allemagne.

Mais le Système aura beau faire : la colère européenne grandit contre l'invasion migratoire et ceux qui — Etats, lobbies, organisations mondialistes, finance — la veulent et l'organisent.
 
Elle se manifeste aujourd'hui en Grèce où les patriotes mènent le combat du refus des camps de l'envahissement. Elle pourrait bien se matérialiser demain sur l'ensemble de notre continent.
 
Nos peuples veulent rester ce qu'ils sont, conformément à leur identité, leur histoire et leurs traditions.
 
Pour notre civilisation, le pire n'est plus du tout certain.

15:13 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Sortie cette semaine du n°53 (printemps 2020) de la revue Synthèse nationale

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Commandez-le dès maintenant cliquez ici

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BULLETIN D'ABONNEMENT

15:13 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La République du chefaillon Macron

Le billet de Patrick Parment

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La dépose d’une motion de censure par l’opposition en réaction à l’application de l’article 49-3 de la Constitution par Edouard Philippe « m’en fait bouger une, sans toucher l’autre », comme disait l’autre idiot inutile de Chirac. La République en marche étant majoritaire à l’Assemblée nationale, le gouvernement ne court donc aucun risque.

Mais le problème n’est pas là.

Il réside  sur la totale opacité d’un texte qui, en l’état actuel, dessert les intérêts des travailleurs. Car, ce système de retraite par point est incapable de nous dire sur quelle base il est calculé. Il risque fort de varier en fonction de la conjoncture économique, exactement ce que les syndicats, mais pas que, veulent justement éviter. Avec cette réforme, Macon s’inscrit  un peu plus dans la vision libérale de l’économie où le peuple ne figure que comme variable d’ajustement. Et le plus navrant dans cette affaire est que le gouvernement navigue à vue.

L’autre aspect des choses, c’est tout de même la fantastique opposition d’une majorité du peuple à cette réforme, que ce soit les Gilets jaunes, les syndicats ou les partis politiques d’opposition. C’est tout de même la majorité de pays qui est arcbouté contre cette réforme. Mais Macon s’en fout, la Constitution lui donne raison. Heureusement, ce qui est fait par cette république bananière, peut être défait par la même, voire une autre. Comme le disait le regretté Jean Baudrillard, « nous ne cherchons pas un destin, nous cherchons une histoire ».

Paris vaut bien une messe

Les mâles que nous sommes encore, assistons, non sans consternation, à cette féminisation qui jaillit de tous les côtés et qui a amené Benjamin Griveaux à s’en remettre aux joies de l’onanisme.

A Paris, tout d’abord, où ce sont trois femmes qui font la course en tête si l’on en croit les sondages, l’homme ayant été émasculé d’entrée de jeu. En fait, c’est l’absence probante de candidat mâle qui a créé la femme. – Mais Cédric Villani ? C’est qui celui-là ? – Adam et Eve en somme où au final Adam se fait baiser ! Classique. Trois femmes – Anne Hildago, Agnès Buzyn et Rachida Dati, trois tempéraments opposés qui ne se crêpent même pas le chignon. Et une équation originale : un, la maire de Paris dont les Parisiens, semble-t-il, ne veulent plus ; deux, Agnès Buzyn, parachutée en catastrophe après l’éjaculation précoce de Griveaux ; trois, une vraie teigneuse, une battante qui illustre à elle seule une assimilation heureuse, Rachida Dati. Devinez qui va gagner ?

Rachida ? Un bon choix dans la mesure où elle est nettement plus à droite que ce lourdingue chiraquisé Christian Jacob. Qu’elle n’a aucun compte à rendre à la chiraquie en général et qu’elle serait plutôt la version travaux pratiques d’un Sarko qui s’est cantonné dans l’effet d’annonces. En fait, Rachida ne s’embarrasse pas d’idéologie, elle n’est pas de gauche, point barre ! Et ses origines la mettent à l’abri de toute concession à l’égard de l’immigration. On peut lui faire confiance pour nettoyer Paris. Elle n’a pas d’état d’âme. Enfin, Paris, elle connaît quand bien même est-elle le maire d’un arrondissement bourgeois. Au final, vous voyez quelqu’un d’autre parmi toute cette bande de baltringues et leurs programmes à la mords-moi-le-nœud ? De toute manière, les Parisiens, ou plutôt ce qu’il en reste si l’on exclut les bobos, se foutent des programmes. Ils veulent une belle image.

 

12:38 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |