jeudi, 02 mai 2019
Samedi 11 Mai, hommage à Sainte Jeanne d'Arc
Samedi 11 mai à 17h30, à l'issue du Banquet des 10 ans du Parti de la France, un dépôt de gerbe en hommage à Sainte Jeanne d'Arc, héroïne de la Nation, se déroulera Place Saint-Augustin (Paris 8e) devant sa statue.
Carl Lang, Président du Parti de la France, prendra la parole.
Tous les patriotes sont les bienvenus. Sont uniquement autorisés les drapeaux français, régionaux et du Parti de la France. Le SEP (Service Encadrement Protection) encadrera cette manifestation.
15:41 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Gilets Jaunes, Rouges et Noirs : vers une convergence des luttes ?
Pieter Kerstens
Au fil du temps et des rassemblements sur les ronds-points, des blocages de stations-services et des centres commerciaux, on a pu constater une dérive gauchiste vers un rejet des institutions.
Lentement, mais sûrement, le mouvement des « Gilets Jaunes » a en effet été infiltré par les agitateurs marxistes qui, semaine après semaine, ont dénaturé les revendications légitimes initiales en imposant leurs slogans et leurs exigences utopiques fondés sur la lutte des classes. Et dans les manifs on a vu de plus en plus de poings levés…
C’est facile d’être généreux avec l’argent des autres.
« Vous ne pouvez pas aider le salarié en anéantissant l’employeur. Vous ne pouvez pas aider le pauvre en ruinant le riche. Vous ne pouvez pas éviter les ennuis en dépensant plus que vous ne gagnez. » avait déclaré le Président américain Abraham Lincoln en 1860 devant le Congrès.
Ces affirmations de bon-sens devraient aussi inspirer les « figures » des Gilets Jaunes (Drouet, Ludoski, Chalençon, Espinosa, Rodrigues, Clément & C°), comme d’ailleurs le gouvernement actuel.
En imposant un Référendum d’Initiative Citoyenne (RIC) révocatoire, on ne pourra pas résoudre la mauvaise gestion des trois secteurs de l’administration française (centrale, territoriale et hospitalière).
Augmenter le SMIC à 1.800 ou 2.000 € par mois ne va pas enrayer le déficit commercial structurel qui, année après année, plombe les comptes de la Nation.
En 2016, seuls 16,5 millions de foyers fiscaux payaient l’impôt sur les revenus, alors que 21,5 millions (58%) étaient non imposables, ceux-là même qui rouspètent le plus.
Qui va payer l’addition ?
A ce jour, la dette publique en France est de 2.380 milliards d’euros, soit 37.800€ par habitant. Fin 1980, avant l’arrivée de Mitterrand, la dette publique n’était que de 92 milliards d’euros. Puis, fin 1995 elle atteignait 663 milliards d’euros (élection de Chirac), pour grimper à 1.000 milliards en 2003 et elle dépassait les 2.000 milliards en 2014 sous Hollande.
Face à ce fléau, qui est un réel héritage empoisonné pour les futures générations, il est indispensable et urgent de stopper l’hémorragie financière.
Seuls un langage de vérité et des réformes structurelles courageuses mais impopulaires pourront rétablir l’équilibre du budget annuel, avant de pouvoir résorber la dette publique.
OUI, il va falloir travailler plus. OUI, l’Etat devra diminuer ses dépenses. OUI, il faudra aussi se serrer encore la ceinture. OUI, il sera dès lors nécessaire de distinguer l’essentiel du superflu, surtout dans la perspective d’un nouveau krach financier qui s’annonce.
Par manque de courage, par lâcheté, par clientélisme ou incompétence, les responsables ministériels depuis 40 ans ont ignoré les rapports de la Cour des Comptes qui, les uns après les autres, décrivaient les dangers des dépenses inconsidérées et non justifiées et proposaient des solutions structurelles.
11:55 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 01 mai 2019
RAPPEL : mercredi 1er mai, 11 h 30, place des Pyramides avec Jean-Marie Le Pen
09:41 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Question ?
09:40 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 30 avril 2019
L'intervention de Robert Steuckers lors de la Journée régionale de Synthèse nationale à Nieppe, près de Lille, dimanche 28 avril 2019.
Sur cette journée : cliquez ici et cliquez là
Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs,
Chers amis et camarades,
Aujourd’hui, nous avons les élections législatives espagnoles ; dans moins d’un mois, les élections européennes. Très récemment, nous avons eu les législatives finlandaises qui ont fait du parti des Finlandais la deuxième formation du pays, qui talonne les sociaux-démocrates, généralement vainqueurs dans le grand Nord et cette fois avec un écart de seulement 0,2% des voix (17,5% contre 17,7%). En septembre, les sondages donnent l’AfD victorieuse en Saxe où s’effondrent le parti de Merkel et les sociaux-démocrates. Le vent semble tourner en Europe et les chances de Vox en Espagne sont réelles aujourd’hui, où l’on vote pour des législatives anticipées. Nous verrons ce soir ce que ce scrutin donnera et s’il y aura, ou non, dans les prochaines semaines, un gouvernement PP/Vox/Ciudadanos. Mais ces diverses élections, à quoi pourraient-elles bien servir ? Quels projets nouveaux et nécessaires devraient-elles promouvoir pour autant que les élections apportent réellement du nouveau ? La nécessité, urgente aujourd’hui, est l’émancipation de l’Europe qui doit échapper, coûte que coûte si elle veut simplement survivre, à l’étau qui l’enserre, à l’étau qui est formé par la politique du Deep State américain et par les initiatives, en théorie privée, des multiples associations et ONG patronnées par George Soros. Les élections italiennes, qui ont porté au pouvoir et le populisme de droite de la Lega de Salvini et le populisme de gauche du « Mouvement Cinq Etoiles » de diMaio, semble être de bon augure et les meilleures nouvelles, en ces temps moroses où les gilets jaunes peinent à obtenir gain de cause, viennent assurément d’Italie.
Dans quel contexte, plus précisément, ces espoirs de changement rapide se déploient-ils ? Le principal de ces contextes a été, sans aucun doute, la 63e Conférence sur la Sécurité de Munich, tenue en février dernier dans la capitale bavaroise. Lors de cette conférence, où, généralement, les participants ânonnent benoîtement les mots d’ordre de l’OTAN, les dissonances entre les deux rives de l’Atlantique se sont fait bruyamment entendre sur des points essentiels comme le gazoduc Nord Stream 2 et les relations euro-iraniennes. Auparavant, l’alignement inconditionnel des instances européennes sur les positions de l’OTAN (donc des Etats-Unis) faisait dire au ministre russe Sergueï Lavrov que l’UE ne détenait pas le monopole de la décision dans le modelage de ses propres affaires régionales et avait raté toutes les occasions de construire réellement la « maison commune européenne ». Pour le journaliste italien Lorenzo Lamperti, qui écrit pour Affari italiani (cliquez ici), l’Europe semble avoir pris la voie de l’émancipation en n’acceptant pas la politique violemment anti-iranienne de Washington et en créant, pour la contourner et la vider de tout contenu articulable, l’instance baptisée « Instex », véhicule financier destiné à commercer avec Téhéran selon les bonnes vieilles règles du troc, sans passer par une monnaie d’échange donc sans passer par le dollar. La volonté américaine de faire jouer le « droit » et la « justice » pour punir tous ceux qui contourneraient les embargos qu’ils imposent, surtout dans la question iranienne, a attiré les critiques de Lavrov, véritable vedette à Munich, contrairement aux émissaires de Trump (Pompeo, Pence et Bolton, trois « faucons », nouvelles moutures du néo-conservatisme belliciste). Federica Mogherini a clairement affirmé que l’Europe n’entendait pas se faire dicter une conduite dans l’affaire iranienne ni s’aligner, ipso facto, sur les politiques bellicistes, dictées par les Etats-Unis, d’Israël et surtout de l’Arabie Saoudite, à laquelle les Américains s’apprêteraient à vendre des technologies nucléaires pour que l’épicentre du wahhabisme se dote de l’arme atomique pour affronter l’Iran (à la place d’Israël, qui conserverait son arsenal intact et échapperait à d’éventuelles représailles perses ?). C’est, on le voit, dans le cadre de l’UE, le retour, encore bien timide, de la géographie, donc de la géopolitique et de la géo-économie. A Munich, l’Administration Trump avait exigé que les Européens reprennent les quelque 800 prisonniers de l’Etat islamique faits en Syrie par l’US Army et qu’en cas de refus, ceux-ci seraient libérés : les Allemands ont sèchement répondu que c’était impossible.
22:45 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Romain Guérin : Je préfère la France des croisades à celle de « Plus belle la vie »
Riposte laïque cliquez ici
L’écrivain-poète Romain Guérin m’a accordé un entretien autour de son roman Le Journal d’Anne-France, paru aux éditions Altitude. Ce récit constitue une histoire française puisant dans les entrailles de notre passé collectif tourmenté, tout en pointant notre descente aux enfers contemporains que trop peu de plumes, à mon goût, ont le courage de dénoncer…
Riposte laïque : Un tel titre – évoquant immanquablement un autre journal fameux – ne fait-il pas de votre personnage principal, Anne-France, une sorte de symbole du martyre subi par le peuple français depuis plusieurs décennies de trahisons de la part de ses élites ?
Romain Guérin : C’est tout à fait ça. Si on se réfère à la déclaration des droits des peuples autochtones, la France subit un génocide ethnique et culturel. Suicides, avortements, expatriations, addiction à la drogue et aux médicaments, immigration délirante, etc. : physiquement, les Français disparaissent. Génocide à petit feu, ce qui est moins spectaculaire que d’autres grands massacres ; et pourtant, il suffit de prendre un train à la gare du Nord et d’allumer la télévision pour voir que notre pays n’est plus celui d’Audiard ou de Brel. En quarante ans, la France s’est défigurée à une vitesse inédite dans son histoire.
Le spectacle ubuesque de cette lente agonie est une torture pour toutes les âmes françaises. Cette agonie n’a même pas la solennité de la mort pour nous consoler, Drumont dit cela mieux que moi, alors je lui laisse la parole : « La France, au lieu de se résigner ou, mieux encore, de se recueillir, de rentrer en elle-même, d’essayer de guérir puisque Dieu, disent les Écritures, a fait les nations guérissables, semble vouloir finir en apothéose théâtrale ; elle magnifie sa décadence avec une ostentation vaniteuse, une outrecuidance charlatanesque et délirante qu’elle n’avait point aux jours heureux de sa force et de sa splendeur. »
Au-delà d’un symbole, c’est une prosopopée, c’est-à-dire qu’Anne-France c’est la France elle-même. Compris comme cela, le moindre détail de la vie d’Anne-France est effectivement un symbole et renvoie à ce que la France subit.
10:53 Publié dans Livres, Rencontre avec..., Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Guillaume Bernard s'exprime sur les élections européennes
10:33 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Économie : les fondamentaux dans le monde se rient des illusions boursières
Marc Rousset cliquez ici
Le CAC 40 a progressé de seulement 0,21 %, le NASDAQ de 0,34 %, le Dow Jones de 0,31 %, ce vendredi 26 avril, car les Bourses sont aux aguets, conscientes que trop de fondamentaux posent problème dans le monde. En Grèce, après huit années de coupes drastiques dans les salaires et les retraites, quatre ménages sur dix sont dans l’incapacité de rembourser leurs dettes. Les créances douteuses dépassent 93 milliards d’euros, selon la Banque de Grèce.
La Chine ne pourra pas sauver, cette fois-ci, les économies occidentales. Des doutes sont permis sur le dernier chiffre de croissance publié (6,4 %) car les exportations vers la Chine du Japon, de Corée, Singapour, d’Indonésie et de Taïwan ont chuté respectivement de 9,4 %, 8,2 %, 8,7 %, 22 % et 27 %. La banque japonaise Nomura ne croit pas à un rebond mais à un gonflement des statistiques passées par l’État central et les gouvernements locaux. Si le PIB réel chinois n’est que de 75 % du PIB annoncé, cela signifie que le taux d’endettement global du pays est de 400 % et non plus de 300 %.
L’augmentation des crédits de 430 milliards de dollars, en mars dernier, et les baisses d’impôts récentes de 300 milliards de dollars ne semblent plus faire effet. Selon le FMI, la Chine doit émettre maintenant 4,5 yuans de crédit pour un yuan de croissance, contre seulement 3,5 en 2015 et 2,5 en 2009. L’empire du Milieu semble se diriger plutôt vers des taux de croissance de 4,5 %, ce qui ne sera pas sans conséquences boursières.
En France, le prix de l’immobilier va bientôt dépasser les 10.000 euros du mètre carré à Paris, soit une hausse de plus de 50 % en dix ans ; cela n’est jamais que la finalisation d’une bulle immobilière avec une multiplication des prix de 2,38, entre 1995 et 2015, dans l’ensemble des pays de l’OCDE, tandis que le coefficient d’inflation était de seulement 1,8. Selon le FMI, les prix évoluent de concert partout dans le monde, ce qui rend plus forte la possibilité d’un krach. La BCE remarquait même, fin février, lors d’un colloque au Luxembourg, que « plus des deux tiers des 46 crises bancaires systémiques ont été précédés d’épisodes de boom et de chute des prix immobiliers ». En précisant que, dans tous ces cas, les chutes de PIB ont été « trois fois plus importantes » que pour les récessions sans effondrement des prix.
L’immobilier constitue la principale richesse des ménages, tandis que les prêts hypothécaires représentent 85 % de leurs dettes. L’immobilier n’a pas de valeur intrinsèque en soi car sa valorisation dépend des taux d’intérêt à long terme, ridiculement bas à l’heure actuelle, suite à l’action de la BCE. À Berlin, les loyers ont doublé en dix ans, tandis qu’ils progressaient fortement dans les autres grandes villes allemandes.
Tous les programmes de « Quantitative Easing » (QE) monétaire dans le monde (BCE, Fed, Japon) sont dans une impasse, avec impossibilité de passer la marche arrière. Aux États-Unis, la masse monétaire est passée de 1.000 milliards à 4.000 milliards de dollars, entre 2008 et 2014, suite à l’achat massif, par la Fed, de bons du Trésor et de titres hypothécaires, une première dangereuse dans l’histoire économique du monde. Une économie saine doit reposer sur une épargne solide, la production réelle et non pas sur la consommation ainsi que sur une dette monétisée de façon artificielle par les banques centrales.
L’inversion, en mars, de la courbe des taux aux États-Unis est aussi très préoccupante puisque les taux des titres du Trésor à court terme sont passés au-dessus des emprunts souverains à long terme. Cela signifie que les marchés s’inquiètent pour l’avenir immédiat plus que dans dix ans, que survivent des entreprises zombies endettées et non rentables, que l’endettement continue d’augmenter d’une façon accélérée en raison des taux bas. C’est la raison pour laquelle il y a eu ralentissement économique et krach aux USA ainsi qu’en Europe en 1990, 2000 et en 2008, lors de la dernière grande crise financière.
09:54 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 29 avril 2019
Espagne : l'espoir est de retour
Forum SI cliquez ici
Après les élections générales espagnoles du 28, qui voient l’extrême droite enfin de retour au Parlement avec les 24 sièges de Vox, la première réaction s’exprime par une brève formule : « ¡arriba España! »
Ceci dit, il convient de se garder de tout triomphalisme excessif. Tel est le sens du communiqué, traduit de l’italien par ForumSi, mis en ligne par Gabriele Adinolfi, le 28 avril dans la nuit :
« Résultats en Espagne.
Vox, avec 10,2 %, obtient 24 sièges.
Les socialistes et Podemos obtiennent la majorité relative et, pour gouverner, doivent s’entendre avec les séparatistes basques et catalans.
L’avancée des populistes espagnols a, par conséquent, un sens en soi, mais n’a pas d’incidence sur un cadre général qui a empiré.
Ceci indépendamment de considérations sur la direction ultralibérale de Vox, qui laisse perplexe, mais qui, en l’état actuel, n’est qu’un élément secondaire.
En somme, le Système tient, s'il ne se renforce pas, même là où les scénarios politiques contraignent les partis de gouvernement à se remettre lentement à évoluer et la déception populaire s’exprime avec des chiffres significatifs. »
En résumé, le séparatisme catalan et la politique immigrationniste débile du PSOE ont provoqué l’exaspération de l’électorat et remis l’extrême droite espagnole en selle. Que celle-ci, comme nombre de mouvements populistes, soit, en partie dotée d’une direction « ultralibérale » est évidemment un facteur de perplexité, comme l’écrit Adinolfi. Cela étant, certains dirigeants de Vox ont quand même une facilité à tendre le bras qui laisse penser que, sous le verni libéral, des tendances plus profondes peuvent se manifester, si l’occasion s’en présente. On verra bien. En attendant, ne boudons pas notre plaisir : l’émergence de Vox est un élément de forte perturbation du Système qui va dans le bon sens. Souhaitons qu’il soit exploité comme il convient…
NDLR SN : Forum SI a bien raison : "ne boudons pas notre plaisir". Depuis le regretté Blas Pinar (président de Fuerza Nueva, décédé en 2014), à la fin des années 1970 et au début des années 1980, la droite nationale espagnole était complètement absente aux Cortes.
Il faut savoir que celle-ci, depuis 40 ans, subissait une escroquerie un peu comparable à ce que fut le gaullisme en France à la même époque. En effet, tout reposait sur une ambiguïté. En 1976, lorsque eurent lieux les premières élections "démocratiques", fut créé à l'initiative d'un ancien ministre du Général Franco, Manuel Fraga Iribarne, un mouvement sensé incarner la continuité. Il s'agissait de l'Alliance populaire. Celle-ci se transforma au début des années 1990, après le retrait de son fondateur, en "Parti populaire". Ce changement de nom coïncida avec un changement d'orientations politique et idéologique puisque le PP devint très vite un parti libéral-conservateur comparable à ce qu'était le RPR en France. Mais, en douce, le Parti populaire continuait à s'accaparer les voix nationales en jouant sur ses racines post franquistes... tout en appliquant une politique de soumission aux désidératas de la finance mondialiste. Mis à part quelques organisations lucides et courageuses comme la Phalange (bien que divisée), tout le monde semblait se satisfaire de cette situation peu reluisante. L'émergence de VOX marque probablement la fin de cette OPA douteuse...
Ce qui est hallucinant depuis ce matin, c'est d'entendre les commentaires fielleux de certains journalistes français qui, en serviles chiens de garde du Système qu'ils sont, s'évertuent à diminuer la victoire des nationalistes espagnols. Pourtant, partis de rien, insultés à longueur de journées par les médias "bien-pensants", culpabilisés pour un passé dont ils n'ont pourtant pas à rougir, les nationalistes de VOX débarquent de manière spectaculaire sur la scène politique ibérique. Que cela plaise ou non aux plumitifs aux ordres, il en est ainsi.
L'Espagne était, jusqu'à ces derniers mois, restée en dehors du vaste mouvement de renaissance nationale et identitaire qui s'apprête à libérer l'Europe du joug des mondialistes. Aujourd'hui, ce vide est comblé... et nous ne pouvons que nous en réjouir.
Roland Hélie
Directeur de Synthèse nationale
Il reste quelques exemplaires de ce n°47 de Synthèse nationale consacré à la crise espagnole de 2017 cliquez ici
22:10 Publié dans Editoriaux, En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Macron aux Français : « Je ne vous ai pas compris »…
16:47 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L’urgence climatique
Par Jarente de Senac
L’urgence climatique est à double détente : nationale et mondiale. Nationale en ce qui concerne les pays industrialisés incités à se montrer moins gourmands en énergie, notamment fossile ; internationale dans la mesure où il est difficile de discipliner des pays qui veulent accélérer leur développement, comme la Chine et l’Inde. Sans exclure les Etats-Unis qui, en bon insulaire trumpien, se foutent carrément des problèmes inhérents au climat et qui entendent bien demeurer le leader mondial d’une économie qui nous voue au suicide.
En matière de climat, nous l’avons déjà dit et répété, la terre subit une nouvelle phase climatique contre laquelle on ne peut rien, si ce n’est s’en accommoder en s’adaptant. Mais il est un autre aspect d’une nécessaire politique écologique, celle qui consiste pour l’homme à lever le pied sur la destruction de son environnement et de ses écosystèmes. Cela nécessite comme l’ a bien énoncé, à ma grande surprise, Nicolas Hulot, de changer notre modèle économique et donc nos modes de production. Pour les raisons de notre remise en cause du système libéral, je vous renvoie à l’incontournable ouvrage d’Alain de Benoist (Contre le libéralisme, Rocher) qui en détaille clairement les motifs.
Paris a vu se réunir pendant une semaine des chercheurs de 50 pays différents sous l’égide de la Fondation pour la recherche sur la biodiversité. Un gros rapport doit voir le jour, plus qu’inquiétant, sur la destruction par l’homme d’une large part de sa faune et de sa flore (de 500 000 à 1 million d’espèces) de son environnement naturel. Ce que d’aucuns ont traduit par le passage de l’holocène à l’anthropocène, à savoir d’une époque où l’homme vivait en harmonie avec la nature à celui où la main de l’homme agit sur elle. Pour la détruire comme le constatent les chercheurs. Cela signifie que l’homme est purement et simplement en train de se suicider à l’heure même où son génie lui a fait atteindre un degré inégalé dans les sciences et la compréhension de son monde.
Et l’unique responsable de ce désastre, c’est notre système économique, le libéralisme, qui est en train de tout détruire au nom du seul profit financier. On appelait cela le Veau d’Or, hier encore. Ou bien, ce qu’avait illustré en son temps l’écrivain Robert Louis Stevenson dans son roman L’Etrange cas du docteur Jekyll et de M. Hyde. On peut y voir également une excellente illustration du populaire héros allemand, Faust, apparu au XVIe siècle, actualisé par Goethe et qui vend son âme au diable afin de percevoir les secrets de l’univers.
N’en sommes-nous pas là aujourd’hui ! Sauf que cette urgence environnementale se heurte aux égoïsmes nationaux et à l’absence d’hommes capables de porter cette exigence au premier rang de nos préoccupation.
16:09 Publié dans Jarente de Senac | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Encore plus de monde hier à Nieppe, près de Lille, pour la 7e Journée régionale de Synthèse nationale
La journée annuelle de Synthèse nationale dans le Nord s'est déroulée dimanche 26 avril à Nieppe, près de Lille, avec un public encore plus nombreux que d'habitude et dans une ambiance studieuse et sympathique. N'est-ce pas d'ailleurs l'objectif que nous nous fixons pour chacune de nos manifestations ? Les résultats sont donc satisfaisants....
Merci à Luc Pécharman, notre fidèle délégué régional, et à la dynamique équipe du site ami "Nous sommes partout" cliquez ici qui a apporté une aide précieuse pour la tenue de cette réunion. Merci aussi aux orateurs, Robert Steuckers, Thierry Decrucy, Bruno Hirout, Arnaud Raffard de Brenne, Jules Dufresne, les écrivains Gaston Alcide et Philippe Landreux ainsi qu'aux animateurs locaux de la Dissidence française et à ceux de l'association artistique Theusz. Merci bien-sûr aux associations et mouvements présents qui tenaient des stands. Merci enfin à l'équipe logistique militante qui assura le bon déroulement de cette 7e édition des journées de Nieppe. Merci surtout aux amis, lecteurs et sympathisants, qui ont chaleureusement répondu à notre invitation à ce rendez-vous devenu incontournable des forces nationales et identitaires du Nord de la France. Il revenait à Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, de conclure cette réunion en revenant sur l'actualité politique de ces dernières semaines.
Nous reviendrons prochainement sur cet événement important dans la vie de l'association et de la revue Synthèse nationale.
10:55 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Les chroniques de Philippe Randa
Rémi Tremblay Présent cliquez ici
Le cerveau est bombardé par l’information. Tous les jours, avec les réseaux sociaux, les journaux, l’information en continu et les radios, l’homme occidental est submergé d’informations qu’il n’a pas toujours le temps de tempérer, relativiser et analyser. Il s’emporte pour certains faits divers, certaines nouvelles, mais cette passion est souvent momentanée et, quelques jours plus tard, la montée de lait ou de joie qui avait accueilli une annonce ou un événement est oubliée, remplacée par une nouvelle vague émotive effaçant de sa mémoire le scandale précédent.
Il faut être doué d’une mémoire considérable pour se souvenir de ce qui nous faisait lever de notre chaise l’an dernier ou même la semaine dernière. La mémoire, saturée par les nouvelles informations, ne parvient pas à garder le rythme de l’actualité. Question de prendre une pause et de justement revenir en arrière, revoir la dernière année, Philippe Randa nous propose Quand la peine le dispute à la colère, collection des chroniques qu’il publia en 2018 dans Présent, mais aussi des entrevues qu’il accorda à d’autres médias comme Synthèse nationale.
Dans ce 16e tome des « Chroniques barbares », tout y passe, des faits divers à la politique en passant par la culture, la littérature et les tendances sociales de fond.
Au-delà de l’exercice que constitue de se replonger dans cette année marquée par le départ de Johnny Hallyday, les dénonciations de #balancetonporc, l’affaire Benalla, l’inique procès d’Esteban et Samuel, mais aussi de quelque chose que personne n’avait pu voir venir, soit l’émergence des Gilets jaunes, on se fait plaisir à apprécier la plume de cet auteur prolifique, père de 119 livres à ce jour.
Contrairement aux éditorialistes de la grande presse qui tentent d’imposer leurs vues à leurs lecteurs, de moins en moins nombreux d’ailleurs, Randa suggère des réflexions, il les oriente, mais les laisse à la discrétion du lecteur considéré comme assez intelligent pour se faire lui-même une idée. Il questionne, soulève les pans d’ombre, mais se refuse à nous dicter quoi penser.
D’où l’intérêt de se replonger dans ces chroniques qui exigent de nous une certaine réflexion personnelle à laquelle le prêt-à-penser de la « grande presse » ne nous a pas habitués.
Randa n’écrit pas pour plaire à son public en le flattant dans le sens du poil et en le confortant dans ses idées, mais pour favoriser la réflexion, le débat. Ce n’est point l’oeuvre d’un doctrinaire ou un propagandiste, mais des propos libres d’un homme affranchi, attaché à la liberté d’expression menacée par les censeurs mais aussi par les monopoles médiatiques faisant main basse sur les moyens d’expression. Philippe Randa, un franc-tireur, dans le bon sens du terme, et non pas dans le sens partisan, qu’on aime lire tant pour le fond que pour la forme.
Quand la peine le dispute à la colère, Philippe Randa, préface de Richard Dessens, Éditions Dualpha, collection « Patrimoine des héritages », 212 pages, 25 euros. Pour commander ce livre, cliquez ici.
(Article paru dans les colonnes du quotidien Présent)
07:38 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 28 avril 2019
Un président autiste
Le billet de Patrick Parment
La conférence de presse d’Emmanuel. Macron est très loin d’avoir répondu à l’attente des Français et des Gilets jaunes. A défaut d’annoncer des mesures concrètes, il a commencé par dire que le train des réformes déjà engagées était le bon et qu’il allait poursuivre son œuvre sur l’air de « demain ça ira mieux ». En attendant, Français, mettez-vous au boulot !
A la litanie des mesures sur des points de détail a succédé d’inquiétantes généralités en matière de fiscalité, dépenses publiques ou retraités. Enfin, s’il est heureux de prendre la défense de la veuve et de l’orphelin de préférence handicapé, pas un mot sur nos agriculteurs qui sont pour beaucoup d’entre eux en situation de détresse. Or, notre agriculture demeure l’un des poumons essentiels de notre économie et pas uniquement domestique. Pas un mot sur les équilibres à renouer entre la grande distribution et eux, voire la décélération d’une course à la production intempestive. Et donc à l’emploi de pesticides qui nous empoisonnent et qui conséquemment viennent enrichir les actionnaires. Ce n’est donc pas pour demain que l'on enrayera la mécanique libérale du produire plus. Produire plus pour quoi faire ?
Mais revenons à Emmanuel Macron et aux propos qu’il a tenus lors de cette conférence. En premier lieu, on notera qu’il a consacré plus de temps à la situation de politique générale, à l’ENA ou à la conception de son propre rôle qu’aux mesures économiques attendues. La plupart des questions fiscales ont été éludées : pas un mot sur la TVA ou le fardeau fiscal sur les commerçants et entrepreneurs, la promesse d’une baisse de l’impôt – non détaillée – ubuesque car payée par peu de Français. L’unique réforme économique précise étant la ré-indexation des petites retraites en 2020 puis de toutes. Au final, c’est peu dire que l’on reste sur notre faim par son absente de vision. Vision aussi étriquée qu’un costard d’énarque.
Pourtant les pistes ne manquaient pas, même en régime libéral : réserver le statut de la fonction publique aux seuls emplois régaliens, de laisser la liberté d’affiliation à tout régime de protection sociale, santé et retraites aux entrepreneurs, commerçants et artisans ; de réduire les divers impôts sur la production qui détruisent nos emplois et la TVA sur de nombreux produits cruciaux pour les plus faibles des Français ; de redonner du pouvoir d’achat aux Français en leur permettant de recevoir leur salaire complet et de décider eux-mêmes au moins d’une partie du financement de leurs retraites, comme de l’éducation de leurs enfants via le chèque éducation.
Ce manque d’audace marque bien les limites du personnage, ce qui nous promet des lendemains qui ne risquent pas de chanter. Car Macron s’est non seulement aliéné les classes populaires mais s’est mis à dos aussi les milieux économiques qui n’y comprennent plus rien. Le combat continue comme dirait l’autre !
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DIMANCHE 28 AVRIL : NIEPPE (PRÈS DE LILLE) 2019 !
7e JOURNÉE RÉGIONALE DE SYNTHÈSE NATIONALE
LILLE - FLANDRE – ARTOIS – HAINAUT
FERME DE L’EPINETTE À NIEPPE (59)
776, rue de l’Epinette
(A 25, Lille / Dunkerque – sortie n°9)
AVEC DES INTERVENTIONS DE :
Luc Pécharman, délégué régional de Synthèse nationale
Arnaud Raffard de Brienne, écrivain, spécialiste de la réinformation
Gaston Alcide, écrivain, auteur de « Reconquête »
Robert Steuckers,essayiste (Bruxelles)
Bruno Hirout, membre de la direction du Parti de la France
Roland Hélie, directeur de la revue Synthèse nationale
Nombreux stands, librairies, mouvements, associations,
presse, restauration rapide sur place, bar…
ET LA PARTICIPATION DU MUSICIEN THEUSZ
ET DU SITE "NOUS SOMMES PARTOUT"
EN SAVOIR PLUS CLIQUEZ ICI
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samedi, 27 avril 2019
Zombie ou Zombies
Bernard Plouvier
En lisant les propos de tel ou tel chef d’État ou de gouvernement occidental – et, pourquoi pas, ceux de notre toujours jeune et (redevenu) fringant Président -, l’on se pose inévitablement une question de fond : lequel de l’orateur ou des auditeurs est le mort-vivant, l’être sans volonté propre, le décérébré ?
On propose, pour initier la réflexion, une phrase écrite, dans un contexte de drame national, le 29 mai 1940 (extraite de L’honneur de servir, de l’amiral Gabriel-Paul Auphan) : « Nos enfants ou petits-enfants ranimeront la flamme que vingt ans d’égoïsme et de saletés politiques ont éteinte »… en signalant que, pour nous, Français du XXIe siècle, ce ne sont pas vingt, mais une grosse quarantaine d’années de saletés politiques (de 1976 à nos jours).
Lorsqu’on nous parle de fonction publique, dans des discours d’une ringardise à faire bouillir de rage, l’on se dit que l’orateur n’est pas sérieux. Le nombre des employés de l’État et des collectivités est monstrueux si on le compare à la quantité et à la qualité du travail fourni. Il n’y a aucune raison de justifier une réduction d’un chiffre pléthorique.
Pour prendre un exemple simple que l’auteur de ces lignes connaît un peu, il est évident que, dans les hôpitaux publics, il y a suffisamment de médecins, d’infirmières et d’aides-soignant(e)s pour soigner correctement les patients… à condition d’en revenir à l’état d’esprit antérieur à celui des « 35 heures ». Le métier de soignant en hôpital public est fait pour qui veut se dévouer à la collectivité, nullement pour qui veut jouir de hauts revenus et de longs loisirs. Seul le nombre de postes administratifs est à revoir, par un dégraissage des deux tiers.
Le chômage restera considérable tant que l’enseignement ne sera pas adapté aux besoins réels de notre monde et tant que l’on acceptera la concurrence déloyale d’importations de médiocre qualité venant de pays réellement esclavagistes où les salaires sont misérables et la protection sociale nulle. Mais quel est le roitelet européen, temporairement mis en avant par un électorat mal informé, qui oserait contrarier la production exotique, la grande distribution et le milieu de la finance, le tout dirigeant notre merveilleux système d’économie globale ?
Quel est le Zombie ? Celui qui vante les institutions de la CEE ou celui qui estime que l’euro – qui n’est même pas « monnaie unique » - et l’abolition des barrières douanières furent des mesures injustes parce que l’on n’avait pas, au préalable, harmonisé le coût social du travail. Pour complaire aux maîtres de l’économie globale, on a délibérément sacrifié l’industrie des pays à salaires convenables. Le marché unique européen fut une excellente affaire pour les requins de la production et de la distribution et une catastrophe pour plusieurs dizaines de millions d’Européens autochtones privés d’emploi et de dignité.
Et comme les Européens conservaient, de deux millénaires d’histoire douloureuse, le sens de l’épargne et se méfiaient du consumérisme, la grande distribution aux mains de géants de la finance a organisé l’invasion des pays européens encore riches par des dizaines de millions d’illettrés, impropres à tout emploi, parfois vandales, pillards, tueurs à l’occasion, en interdisant aux nations autochtones, envahies, molestées, dépouillées, de grogner sous peine de subir l’excommunication majeure : l’accusation de « Racisme ».
Qui est le Zombie ? Celui qui nie la possibilité de remplacement de la population majoritaire de certains pays d’Europe occidentale ou celui qui jette un œil effaré aux statistiques sur les « naissances à risque de drépanocytose » ou qui fréquente n’importe quelle maternité de France, Belgique, Grande-Bretagne, Allemagne ? Jamais les Européens n’ont rechigné à former les élites d’Afrique ou du Proche-Orient, mais ces hommes et ces femmes ont le devoir, études et expérience de base faites, de retourner chez eux pour servir leur pays.
Qui est le Zombie ? Celui qui prend peur une fois tous les dix ans, lorsqu’une grogne populaire se rapproche un peu trop du quartier gouvernemental de la capitale ou du palais préfectoral, ou celui qui vit en permanence au contact des voyous issus d’une immigration parasitaire, probablement indésirée… mais, comment le savoir, puisqu’on se refuse à prendre l’avis de la Nation souveraine ?
Qui est le Zombie ? Celui qui importe des millions d’extra-Européens pour « repeupler » ou celui qui combat la Loi Veil sur l’avortement de complaisance – qui plus est, remboursé par la Sécurité Sociale ?
Qui est le Zombie ? Celui qui gémit lorsque, une fois par décennie, on tague les murs d’une synagogue ou que d’immondes crétins souillent un cimetière juif ou l’athée, en principe impartial, qui constate avec effarement que l’on détruit ou vandalise, mois après mois, des églises catholiques, soit – depuis la loi de 1905 - le patrimoine architectural et culturel de tous les Français ?
Pour conclure, on citera un auteur détesté de « l’élite parisienne » de notre triste époque (et c’est tout à son honneur) : « Passer de la barbarie à la civilisation en poursuivant un rêve, puis décliner et mourir dès que ce rêve a perdu de sa force, tel est le cycle de la vie d’un peuple » (Gustave Le Bon, Psychologie des foules).
Sommes-nous mûrs pour le retour à la barbarie ? Dans ce cas, c’est assez simple : il suffit de laisser faire – laisser passer les immigrés – et dans trente années la République franchaouie sera régie par la charî’a, idem pour le Royaume Uni des Pakistanais, Hindous et Antillais (ex-Grande-Bretagne), pour la Seconde République Turque, implantée entre Rhin et Oder, ou la République Congolaise d’Outre-Quiévrain.
À chacun de décider, après s’être informé, avoir regardé autour de soi et réfléchi à son devoir de citoyen.
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À MIDI AUJOURD'HUI SAMEDI : DR MERLIN SUR RADIO COURTOISIE NOUS PARLE DE CODREANU
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journal du chaos
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vendredi, 26 avril 2019
LE NOUVEL ALBUM CD DES BRIGANDES EST EN VENTE SUR LE SITE SYNTHÈSE ÉDITIONS
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jeudi, 25 avril 2019
Du malheur de naître aux États-Unis
Ils se désignent eux-mêmes comme des « Américains par accident ». Qui ? Ces quelques milliers de Français nés aux États-Unis sans y avoir ensuite vécu longuement. Ces « Étatsuniens accidentels » connaissent aujourd’hui tous les désagréments que confère cette citoyenneté. Ils ne peuvent plus ouvrir de compte bancaire en France, car les banques de l’Hexagone ne veulent pas mécontenter l’administration fiscale US.
Les États-Unis d’Amérique sont l’un des rares États au monde à exiger de leurs expatriés le paiement des contributions. L’IRS (le fisc US) réclame des organismes financiers occidentaux le maximum d’informations personnelles sur les assujettis de Washington. Les Français – Étatsuniens sans le vouloir – subissent un harcèlement psychologique incessant. Ils ont beau clamer qu’ils sont d’abord et avant tout citoyens français, les fonctionnaires yankees restent inflexibles.
Quant à renoncer à la nationalité étatsunienne, elle est presque impossible et nécessite pour le moins, est-ce étonnant ?, de longues et coûteuses démarches. Bien entendu, ni Paris, ni l’Union dite européenne n’osent défendre ces Étatsuniens malgré eux. Aucun ne veut heurter le maître outre-Atlantique qui leur impose déjà les carcans de l’OTAN et du réseau SWIFT de surveillance financière généralisée.
Par crainte du politiquement correct, personne en revanche ne désigne l’origine de cet imbroglio juridique : le droit du sol en vigueur aux États-Unis. Espace structuré par des zélateurs des horribles Lumières et fondé sur le génocide amérindien, cet artefact s’imagine en avant-garde de l’humanité. Le jus solis y est si puissant qu’on ne peut pas prétendre à la Maison Blanche si on ne naît pas sur le sol étatsunien.
« Naître quelque part » pour reprendre le titre d’une sinistre chanson française des années 1980 ne fait pas de facto du natif fortuit un membre effectif de la communauté d’appartenance locale. Bien d’autres facteurs entrent en jeu. Une fois encore, le droit du sol contribue surtout à rendre les collectivités politiques toujours plus cosmopolites, fragmentées et fragiles. Il est temps de retrouver la sagesse de Périclès et de restaurer le droit du sang.
Bonjour chez vous !
• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°121, mise en ligne sur TV Libertés, le 15 avril 2019.
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Bérénice Levet : "Libérons-nous du féminisme !"
Le Cercle Pol Vandromme recevra Bérénice Levet qui présentera son dernier livre "Libérons-nous du féminisme !" Le mercredi 8 mai à 19h au Thon Hotel Stéphanie à Bruxelles
Dans "Libérons-nous du féminisme !" elle fustige avec talent et rigueur les dérives du néoféminisme qui n’est plus que « criminilisation du désir masculin, guerre des sexes, néopuritanisme, épuration culturelle, politique du deux poids-deux mesures lorsque le mâle est musulman… ».
22:15 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L'émission "Synthèse" du jeudi 25 avril sur Radio Libertés avec Roger Holeindre
20:07 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Déroulement de la journée du 12 mai avec Civitas à Paris
17:56 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Vincent Lambert condamné à mort, malgré le rapport des experts
Marie Mérotte, Ecrivain cliquez ici
Le Conseil d’État a confirmé, aujourd’hui, la décision du tribunal administratif de Châlons-en-Champagne d’arrêter de nourrir et d’hydrater Vincent Lambert, ce qui revient à le faire mourir de faim et de soif alors même qu’il est vivant.
Les experts mandatés par le tribunal administratif avaient pourtant précisé, dans leur rapport, que la prise en charge de Vincent Lambert ne relevait pas de l’acharnement thérapeutique ou d’une obstination déraisonnable. La Justice ne les a pas suivis. Elle condamne, aujourd’hui, Vincent Lambert à une mort certaine en s’appuyant sur la loi Claeys-Leonetti qui a ouvert la porte à l’euthanasie en France. Vincent Lambert sera plongé dans un état de sédation profonde et continue conformément à cette loi.
Condamner à mort Vincent Lambert, c’est signifier aux personnes handicapées que leur vie n’a aucune valeur aux yeux de la société.
Vincent Lambert est pourtant vivant et il n’est pas maintenu artificiellement en vie. C’est pourquoi ses parents se battent sans relâche pour le sauver.
Saisi par ses parents, opposés à l’arrêt des soins de leur fils Vincent, ainsi que par deux de ses frères et sœurs, le Conseil d’État a entendu, en mars dernier, les divers protagonistes en appel de la décision du tribunal administratif de Châlons-en-Champagne. En janvier 2019, le tribunal avait, en effet, estimé que le traitement qui était donné à Vincent Lambert pour l’alimenter et l’hydrater (par voie entérale) relevait de l’obstination déraisonnable et avait donc refusé d’annuler la décision d’arrêt des soins prise par le Dr Sanchez, du CHU de Reims, après une longue bataille judiciaire où avaient été mises en cause les conditions de réalisation de l’expertise de l’état de Vincent et l’impartialité du tribunal.
Actuellement, Vincent Lambert est dans un état stable et consolidé. Il n’est pas en fin de vie. Tous ses organes vitaux fonctionnent sans appareillage palliatif ni branchement quelconque. Et pourtant, il n’est toujours pas pris en charge de manière adaptée à son état dans un établissement spécialisé. Le CHU de Reims, qui a toujours refusé son transfert, a préféré lancer des procédures d’arrêt des soins qui sont, en réalité, ici, autant de tentatives d’euthanasie d’une personne handicapée.
Les experts judiciaires mandatés en 2018 par ce même tribunal administratif ont écrit, noir sur blanc, que le traitement de Vincent Lambert ne relève pas d’une obstination déraisonnable. Ils ont, également, évoqué la possibilité de son transfert. Rappelons qu’en avril 2018, 70 médecins avaient écrit que Vincent Lambert n’était manifestement pas en fin de vie.
Il est fort probable que l’arrêt d’alimentation et d’hydratation entérales ainsi que la sédation profonde et continue de Vincent Lambert seront rapidement mis à exécution. Plongé dans un état de sommeil sans retour en arrière possible, il ne sera plus ni alimenté ni hydraté et mourra de déshydratation, dans des souffrances que personne ne peut décrire.
15:27 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi 4 mai : Pierre Hillard à Aix-les-Bains (73)
14:25 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Appel à se mobiliser pour Notre-Dame de Paris et pour sainte Jeanne d'Arc
Père Laurent, aumônier de Civitas, ofm cap.
Chers Amis,
C’est avec le cœur endolori par l’incendie de Notre-Dame de Paris que se déroulera cette année notre défilé en l’honneur de sainte Jeanne d’Arc. Comme si cette souffrance ne suffisait pas, cet événement a soulevé un inimaginable déferlement de haine contre l’Eglise catholique et la France chrétienne. Les vrais Français ne peuvent rester insensibles en face de ce torrent de blasphèmes. Oui, Notre-Dame de Paris, sur l’Ile de la Cité, c’est le cœur de notre capitale. C’est là que Louis XIII, en 1638, consacra la France à la Sainte Vierge, en action de grâces pour la protection divine obtenue dans les périls qu’il eut à affronter. « Pour monument et marque immortelle de la consécration présente que nous faisons,dit-il, nous ferons construire de nouveau le grand autel de l’église cathédrale de Paris avec une image de la Vierge qui tienne entre ses bras celle de son précieux Fils descendu de la Croix ; nous serons représentés aux pieds et du Fils et de la Mère, comme leur offrant notre couronne et notre sceptre ». Souvenons-nous que le premier spectacle que virent les pompiers après l’incendie, ce fut précisément ce même autel encore éclairé par les projecteurs.
C’est aussi dans ce sanctuaire que débuta le procès qui annula la condamnation de sainte Jeanne d’Arc. Cette illustre sainte nous rappelle que la solution de nos drames terrestres vient d’abord du Ciel. Les fléaux infligés aux nations sont le châtiment des péchés de leurs enfants. Ces offenses demandent réparation. Mais la sainte guerrière nous dit aussi qu’il faut lutter. C’est par la résistance armée et l’attaque hardie que, au nom de Dieu, elle bouta l’envahisseur hors de France.
Comme Jeanne nous en montre l’exemple, le défilé sera d’abord un témoignage de foi. Pour la première fois, il commencera par le saint Sacrifice de la Messe, lequel sera célébré « pour la France blessée au cœur par l’incendie de Notre-Dame de Paris ». Seul le Sang de notre Rédempteur, répandu sur nos autels, peut réparer les blasphèmes et attirer sur notre pays la pitié divine. En ce 12 mai, veille de l’anniversaire de la première apparition de la Sainte Vierge à Fatima, sera renouvelée la consécration de Civitas au Cœur Immaculé de Marie.
En outre, nous demanderons à sainte Jeanne d’Arc d’être, comme elle, « sans peur et sans reproche, dans les camps comme au champ de bataille » (cardinal Pie). Car, comme le disait saint Pie X lors d’une allocution pour sa béatification (13 décembre 1908), « de nos jours, la force principale des mauvais, c’est la lâcheté et la faiblesse des bons, et tout le nerf du règne de Satan réside dans la mollesse des chrétiens ! ». Venez donc nombreux, chers Amis, pour l’honneur de Notre-Dame et de sainte Jeanne d’Arc, et pour le salut de la France chrétienne. Que Dieu vous bénisse !
14:01 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
JEUDI 25 AVRIL : ROGER HOLEINDRE À L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR RADIO LIBERTÉS
11:42 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine
10:53 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 24 avril 2019
Macron le liberticide et son "conseil" viennent de dissoudre ale Bastion social : ils montrent leur vrai visage
Réaction de Synthèse nationale :
Dès les premières menaces émises par Macron lors du dîner du Crif en février dernier, Synthèse nationale, par l'intermédiaire de son directeur Roland Hélie, avait lancé un appel cliquez ici pour tenter de raisonner l'occupant actuel de l'Elysée. Visiblement celui-ci, avec son redoutable ministre de l'Intérieur dont l'étendue de l'incompétence nous épate à chaque fois qu'il est confronté à un problème (c'est à dire à peu près toutes les fins de semaines), n'ont pas tenu compte de cet appel signé par une centaine de personnalités de l'opposition patriotique éprises de libertés cliquez là. Ils sont restés sourds face aux arguments que nous avions avancés, ils viennent de dissoudre le Bastion social.
Cette mesure liberticide est ridicule car jamais une dissolution n'a empêché les forces de la résistance nationale de continuer leur combat. A la limite, les dissolutions, émanant toujours de pouvoirs aux abois, les ont plutôt renforcées.
Au moment où la France sombre dans l'anarchie totale, au moment où notre identité européenne est assassinée par un pouvoir à la solde du parti de la finance mondialisée qui encourage le grand remplacement, au moment où les milices armées auxiliaires de la police (les blacks blocs et autres larbins antifascistes) saccagent nos villes, Macron, en prononçant la dissolution de Bastion social, vient de s'en prendre aux forces nationales et identitaires dans leur ensemble. Il désigne ainsi les vrais ennemis du Système qui asservi la France... Il devra un jour en subir les conséquences et rendre des comptes au Peuple et à la Nation...
Lire l'article de Présent sur l'appel cliquez ici
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La bande d'inconséquents qui sert encore de gouvernement à ce qu'il reste de la France vient de prononcer la dissolution du Bastion social...
La réaction de Thomas Joly,
Secrétaire général du Parti de la France
Le ministère de l’Intérieur a annoncé avoir réglé cette question lors du Conseil des ministres de ce mercredi 24 avril.
Le 20 février dernier, lors du dîner du Crif (Conseil représentatif des institutions juives de France) et au lendemain de la profanation de 96 tombes dans un cimetière juif alsacien, le chef de l’État s’était engagé à dissoudre trois associations d’extrême droite pour assouvir les pulsions de ses hôtes.
Pendant ce temps, les groupes ultraviolents d'extrême-gauche et les organisations islamistes radicales ne sont pas inquiétées...
19:32 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |