mercredi, 08 mai 2019
LREM et le règne de la post-vérité
Guillaume de Thieulloy dans Les 4 Vérités
Après avoir semblé pourfendre les «fake news» comme on dit dans le jargon contemporain, qui semble ignorer que le français connaissait les «fausses nouvelles», bien avant l’invention de Twitter!, Emmanuel Macron et ses amis s’embourbent dans les marais de la «post-vérité».
Aura-t-on assez entendu dénoncer les médias russes, les tweets de Donald Trump, la «fachosphère», ou les «populistes», ces derniers mois ?
Aura-t-on vu assez de lois liberticides pour prétendument empêcher la diffusion de fausses nouvelles?
Pourtant, depuis quelques semaines, ce sont les ministres et les dirigeants LREM qui sont pris en flagrant délit de mensonge et qui se trouvent coincés par leurs propres lois ineptes.
Sans prétendre le moins du monde à l’exhaustivité (il y faudrait un dictionnaire!), signalons les déclarations fanfaronnes de Christophe Castaner sur la fameuse attaque de la Pitié Salpêtrière, dont tout le monde sait aujourd’hui qu’il ne s’agissait pas d’une attaque mais de manifestants fuyant une charge de police.
Signalons aussi l’extravagante nouvelle de Marlène Schiappa qui a osé prétendre que la police camouflait des meurtres de femmes par leurs conjoints sous le terme « accident domestique».
Mais la championne toute catégorie du n’importe quoi est sans conteste pour le moment Nathalie Loiseau.
La tête de liste LREM aux européennes multiplie les bourdes.
Ainsi s’est-elle défendue d’une façon bouffonne d’avoir figuré sur une liste «d’extrême droite» quand elle était étudiante.
Elle a d’abord prétendu que la liste était un faux, puis qu’elle ignorait la couleur politique de la liste. Pourtant, bien des hommes politiques ont eu un parcours politique agité dans leur jeunesse (plus souvent à l’extrême gauche qu’à l’extrême droite, il est vrai; mais il n’est peut-être pas inutile de rappeler qu’Occident n’a tué personne, alors que le maoïsme a tué des dizaines de millions d’êtres humains !). Après tout, Mme Loiseau avait bien le droit d’évoluer.
Le pompon fut atteint, lorsque cette ancienne directrice de l’ENA, se félicita du projet macronien de fermeture de l’école alors même qu’elle dénonçait ce genre de projets comme démagogique voici peu.
Le plus drôle est de voir leurs lois idiotes se retourner contre eux.
Nous avons vu récemment Twitter refuser une campagne gouvernementale qui appelait à voter aux européennes.
La semaine dernière, ce fut au tour de YouTube d’annoncer qu’en vertu de la loi, la plateforme vidéo allait annoncer qui était financé par l’argent public.
Aussitôt, tous les médias subventionnés (et Dieu sait s’ils sont nombreux !) de crier au scandale.
Cela fait déjà un quart de siècle que je me bats dans la presse dissidente, mais il y avait bien longtemps que je ne m’y étais pas autant amusé !
14:15 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Urgence Mhardeh, ville chrétienne sur la ligne de front en Syrie.
Une partie de la Syrie se relève péniblement de sept années de combats destructeurs. Pourtant, à Mhardeh, la guerre n’est pas finie. Au sud de la province d'Idlib, 20.000 chrétiens vivent sur la ligne de front et subissent quotidiennement des attaques terroristes.
Travaux de rénovation de l’hôpital, donations alimentaires et sanitaires, visites aux familles de martyrs ; face à la l’urgence humanitaire, SOS chrétiens d’Orient se mobilise pour apporter un soutien matériel et psychologique aux habitants de Mhardeh.
12:01 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Un entretien avec Vincent Vauclin, tête de liste de la Reconquête présentée par La Dissidence française, sur le site "Nous sommes partout"
Source cliquez ici
La Liste de la Reconquête (cliquez ici) est officiellement validée dans la course aux Européennes. Quelle est votre réaction et celle de vos militants ?
Si nous participons aux élections, nous y allons pour gagner et faire le score le plus haut possible. Mais au-delà de cette considération, notre objectif est d’abord et avant tout de faire émerger durablement un pôle de droite alternative, capable de défier la pensée unique et de formuler des propositions que personne d’autre que nous n’aurait le courage d’assumer : par exemple la remigration. Et pour cela, nous n’avons d’autre choix que de participer à un maximum de scrutins électoraux, car il faut bien admettre que les formes habituelles de militantisme ont aujourd’hui une portée politique très relative, d’une part à cause de la répression croissante du Système qui se saisit de la moindre occasion pour prononcer interdictions et dissolutions, et d’autre part à cause de la censure que nous subissons de plus en plus sur les réseaux sociaux, et sur internet de manière générale.
11:11 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 07 mai 2019
Didier Maïsto, Étienne Chouard et Michel Collon sur Sud-Radio
15:11 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Biodiversité : la terre paye en espèces
Aude Massiot
En million d’espèces vivantes pourraient disparaître dans les toutes prochaines décennies, sous le coup des activités humaines. Au moins 680 espèces de vertébrés ont péri depuis le XVIe siècle, et beaucoup d’autres s’éteignent avant même que l’humanité ne les découvre. Le constat est vertigineux, difficile à croire, mais impossible à contredire. Il est le fruit du travail de 145 experts issus de 50 pays, sur les trois dernières années, soit le document le plus exhaustif réalisé à ce jour. Basé sur une revue systématique d’environ 15 000 références scientifiques et gouvernementales, le rapport de 1 800 pages est publié ce lundi (6/5) par la Plateforme intergouvernementale sur la biodiversité et les services écosystémiques (Ipbes), souvent considérée comme le «Giec de la biodiversité».
La Terre serait ainsi au début de la 6ème «extinction de masse», si on ne déploie pas les moyens pour l’empêcher. «La santé des écosystèmes dont nous dépendons, ainsi que toutes les autres espèces, se dégrade plus vite que jamais, alerte le président de l’Ipbes, Robert Watson. Nous sommes en train d’éroder les fondements mêmes de nos économies, nos moyens de subsistance, la sécurité alimentaire, la santé et la qualité de vie dans le monde entier. Le rapport nous dit aussi qu’il n’est pas trop tard pour agir, mais seulement si nous commençons à le faire maintenant à tous les niveaux, du local au mondial.» Depuis plus d’un siècle, le nombre d’individus des 8 millions d’espèces estimées sur Terre (dont 5,5 millions d’insectes) a diminué d’au moins 20% en moyenne. Plus de 40% des espèces d’amphibiens, plus d’un tiers des récifs coralliens et des mammifères marins sont menacés. Du côté des insectes, le tableau est tout aussi noir, bien que les données manquent. Fin 2017, une étude menée sur vingt-sept ans en Allemagne a dénombré la perte de 75% des insectes volants dans le pays – et cela seulement dans les zones naturelles protégées. «On accuse souvent les scientifiques d’être pessimistes, mais ce rapport montre qu’au contraire, nous avons toujours sous-estimé la réalité du déclin qui s’accélère de manière effroyable, interpelle Gilles Bœuf, biologiste, ancien président du Muséum national d’histoire naturelle. Il n’est pas trop tard pour agir. Les politiques, comme les citoyens, doivent s’emparer du sujet. Cela doit les prendre aux tripes.» Dans les mers, les airs, les forêts, les champs et sous terre, le déclin se produit en chaîne. A chaque fois qu’un maillon des écosystèmes disparaît, tout le reste en subit les conséquences. Du petit ver de terre au plus puissant rapace.
Déforestation
Pour pousser les décideurs politiques à l’action, les scientifiques ont rédigé un résumé aux conclusions sans équivoque: il faut changer radicalement de modèle économique. Le système de surconsommation actuel n’est pas compatible avec la protection de la nature, dont l’humanité dépend. Dans le top 5 des principales causes du déclin, établi par les chercheurs, on trouve par ordre décroissant : les changements d’usage des terres et de la mer (soit l’urbanisation, la déforestation, la transformation en terres agricoles), l’exploita- tion des organismes vivants, le changement climatique, la pollution et les invasions d’es- pèces exotiques (favorisées par le dérèglement du climat). Ce résumé de 39 pages a été approuvé, ligne par ligne, samedi par l’ensemble des 196 Etats membres de la Convention sur la diversité biologique de l’ONU, réunis la semaine dernière à Paris. Ils en soutiennent donc le contenu, mais sont encore loin d’en appliquer les principes. Politiquement, l’état des lieux est tout autant dramatique. Deux ans avant l’échéance du Plan d’action stratégique 2011-2020 de la Convention sur la diversité biologique, il apparaît clairement que la plupart des «objectifs d’Aichi», pris en 2010 au Japon, ne seront pas atteints. Ils prévoyaient, entre autres, que « d’ici à 2020 au plus tard, les incitations, y compris les subventions néfastes pour la diversité biologique, seront éliminées, réduites progressivement ou réformées». Ou encore qu’à cette même échéance «les gouvernements, les entreprises et les parties prenantes, à tous les niveaux, auront pris des mesures ou auront appliqué des plans pour assurer une production et une consommation durables». Autant dire que les Etats sont très loin du compte. Certains, comme la France, ont pris des engagements ambitieux, comme l’objectif de zéro «artificialisation» nette des sols (pour lequel aucune échéance n’a été fixée dix mois après l’adoption du plan Biodiversité). Ces promesses attendent juste de devenir réalité. Actuellement, l’Hexagone voit, tous les dix ans, l’équivalent d’un département disparaître sous l’urbanisation et la construction de routes, d’aéroports ou de parking. « Aucun projet humain qui, dès le départ, ne prend pas en compte ses conséquences sur la nature, ne devrait être autorisé, reprend Gilles Bœuf. Nous devons redonner de la vie aux sols, qui hébergent près de 600 000 espèces.»
Un cadre mondial
Comme pour le climat, Paris s’autoproclame pourtant leader, à l’international, sur le front de la défense de la biodiversité. Le pays a ainsi accueilli la session de l’Ipbes, à Paris, le G7 Environnement les 5 et 6 mai à Metz, et hébergera en juin 2020 le congrès mondial de l’Union internationale pour la conservation de la nature à Marseille. Pourtant, difficile de considérer la France, qui abrite environ 10 % de la biodiversité mondiale, comme exemplaire dans ses actions. Le gouvernement peut encore faire ses preuves, alors que 2019 promet d’être cruciale dans le processus de négociations onusiennes sur la protection de la nature. Les voix sont de plus en plus nombreuses à réclamer un accord, comparable à celui conclu à Paris sur le climat en 2015. Il pourrait voir le jour lors de la COP15 sur la biodiversité, organisée fin 2020 en Chine. Le but : créer un cadre mondial robuste qui pousserait les Etats à prendre des engagements ambitieux après 2020. Et à les respecter.
Les scientifiques de l’Ipbes soulignent qu’il ne s’agit pas seulement de sauver des espèces innocentes. La nature rend d’énormes services à nos sociétés : du bois qui permet à plus de 2 milliards de personnes de se chauffer et se nourrir, aux remèdes naturels dont dépendent 4 milliards d’être humains, en passant par les processus naturels de purification de l’air, de l’eau et des sols. La planète régule aussi le climat pour qu’il reste viable. Les forêts, sols et océans capturent le dioxyde de carbone émis par les hommes avant qu’il ne participe à l’effet de serre. Le texte insiste: «La majorité des contributions de la nature aux sociétés ne sont que partiellement remplaçables, voire irremplaçables.»
Source : Libération 6/5/2019
12:44 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le second procès de Charlotte Corday, aux Éditions d'Héligoland
Guillaume Lenoir
Dans une préface tout à fait adapté, le Général de gendarmerie Jean-Louis Esquivié, ami de l’auteur, pose bien le problème : Charlotte Corday, qui fait pleinement partie de notre imaginaire, fut-elle une héroïne cornélienne ou une préfiguration du fanatisme terroriste dont nous connaissons aujourd’hui les tristes séquelles ? Gérard Roger, l’auteur, l’un de nos amis du Mouvement Normand et de l’O.D.I.N., qui a derrière lui un certain nombre d’ouvrages touchant à la matière normande, a manifestement été fasciné au cours de sa vie culturelle militante par la personnalité exceptionnelle de la meurtrière de Jean-Paul Marat. Il a d’ailleurs présidé le « Comité Charlotte Corday » et organisé l’une des plus prestigieuses expositions commémoratives du Bicentenaire de la Révolution autour du personnage de Charlotte Corday.
À la lecture de cet ouvrage passionnant, car fourmillant de citations et de références tant du personnage que de sa victime ou, même du contexte politique, on comprend que Gérard Roger considère encore Charlotte Corday comme une énigme. Il fait part de son désarroi par un procédé uchronique, à savoir un procès posthume de la jeune Normande, descendante du Grand Corneille, et ce, à la lumière des découvertes archivistiques et des écrits de certains historiens ou hommes politiques qui, eux aussi, se sont interrogés sur la personnalité de celle qui fut désignée par certains comme l’Antigone normande, la Vierge viking, la Judith normande, l’Ange de l’assassinat… C’est trop de qualificatifs, semble dire l’auteur, qui veut revenir aux faits, à ses motivations, à la dimension humaine, trop humaine, d’une jeune fille entraînée dans le maelstrom d’une Révolution qu’elle a rêvée parce que républicaine dans l’âme, détestée parce que girondine horrifiée par la violence jacobine.
Ce second procès posthume – qui semble se tenir de nos jours, d’où des références à des événements contemporains, explore l’ascendance paternelle et l’enfance de Charlotte. Une analyse freudienne du personnage est à prendre en compte… même si elle ne convainc pas. Les rapports de Charlotte Corday avec les Girondins bavards qu’elle côtoie suscitent bien des interrogations. La fixation sur la criminalité de Marat semble être la motivation principale de notre héroïne (nous n’employons pas ce mot à la légère, mais avec toutes ses acceptions). Bref, on peut davantage comprendre, lors de ce second procès fictif, les mobiles du tyrannicide. Charlotte Corday, une criminelle avérée (la préméditation est démontrée), une terroriste (au sens moderne du terme) ? Ou bien une idéaliste, qui met sa peau au bout de ses idées, comme une héroïne cornélienne ? Elle savait ce qu’elle devait à son ascendance cornélienne et elle en jouait, soit dit sans esprit de critique, mais il y a quelque chose de théâtral dans la démarche de Charlotte Corday…
Le livre de Gérard Roger pose finalement plus de questions qu’il n’en résout : il donne à réfléchir, notamment sur l’étonnante popularité du personnage de Charlotte Corday. La meurtrière suscite infiniment plus de curiosité, voire d’enthousiasme, que sa victime, véritablement jetée aux poubelles de l’histoire. Cela rappelle un excellent ouvrage « L’affaire Corday – Marat – Prélude à la Terreur » (Éditions le Cercle d’Or – 1980) de notre défunt ami, Jean Epois : il dressait un portrait équilibré de la victime et de sa meurtrière.
L’histoire n’est pas manichéenne : Gérard Roger nous le rappelle. Il faut l’en remercier.
Le second procès de Charlotte Corday, Editions d'Héligoland (BP n°2 27290 Pont-Authou), 230 pages, 29 €, cliquez ici
00:22 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 06 mai 2019
Unplanned : Un film qui cartonne en faveur de la vie
Le succès de la sortie de Unplanned aux États-Unis a dépassé tous les pronostics, surtout si l’on considère le sujet controversé du film : l’avortement. Le film a réalisé plus de six millions de dollars au box-office à l’issue de la 1re semaine de sortie. Unplanned (Non planifié) est un film extraordinairement choquant. Il dénonce les souffrances liées à l'avortement et l’énorme business de l’avortement.
La Première du film a été précédée d’une campagne de harcèlement contre le producteur Pure Flix. Son compte Twitter a été suspendu de manière temporaire. Les médias ont largement refusé de promouvoir un film qui s’attaque à l’avortement et à son principal fournisseur mondial, Planned Parenthood— Le planning familial.
Ce long métrage de haute qualité, digne des meilleurs films hollywoodiens, raconte la vie d’Abby Johnson. Elle travaillait dans une succursale d’une multinationale spécialisée dans l’avortement au Texas. Elle est devenue militante pro-vie en 2009 après avoir vu de ses propres yeux un avortement. L’expérience a été si traumatisante que ses opinions sur l’avortement ont pris un virage à 180 degrés. Depuis, elle a consacré sa vie à la lutte contre le planning familial, l’entreprise pour laquelle elle travaillait, et à la lutte pour la vie dans son ensemble.
Depuis sa sortie le 29 mars dernier, le film a été projeté sur plus de 1 700 écrans aux États-Unis. On peut dire, sans aucun doute, que Unplanned a déjà eu le plus grand impact de tous les films pro-vie jamais réalisés.
Une sortie du film est prévue au Canada, mais les producteurs ont rencontré des problèmes avec la compagnie de théâtre Cineplex. Cineplex reconnaît que l’intérêt du public pour le film est très important, mais considère qu’il est trop « controversé » pour être projeté dans les salles de cinéma canadiennes.
22:48 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L’Eglise renaîtra autrement …
22:17 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Daniel Cohn-Bendit interpellé par Isadora Duncan sur la pédophilie
21:51 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Un point de vue européen : celui de Thomas Ferrier
20:20 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Dien Bien Phu, le 7 mai 1954
Jean-François Touzé
Pour beaucoup de jeunes de la génération qui m'a précédé, la chute de Dien Bien Phu, le 7 mai 1954, fut l'élément déclencheur de leur engagement au service de la cause nationale.
Hélas ! Bien d'autres drames allaient suivre engendrant d'autres abandons et d'autres trahisons.
Mais ces trois mots, Dien Bien Phu, scansion obsédante d'un chant funèbre et de rage, continuent de raisonner en nous comme un rappel constant au devoir militant.
Honneur à tous nos officiers, sous officiers et hommes du rang tombés en Indochine et à ceux qui subirent l’abomination physique et mentale des camps viets.
10:23 Publié dans Jean-François Touzé, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Prisonnier politique
Judas a vendu le Christ pour trente deniers. En cette période d’instabilité financière, le pathétique président équatorien Lenin Moreno a trahi Julian Assange pour un prêt de dix milliards de dollars accordé par la Banque mondiale, le FMI et d’autres organismes banksters. Au terme de six ans, neuf mois et vingt-deux jours de protection diplomatique, la police britannique a pu arrêter le fondateur de WikiLeaks dans l’ambassade de l’Équateur à Londres, ce 11 avril 2019.
La Grande-Bretagne souhaite juger Julian Assange pour toutes ces années où il a nargué depuis son balcon extraterritorial la méprisable caste britannique. En mauvaise condition physique, le dissident occidental croupit désormais dans la pire des prisons de la perfide Albion. Ses geôliers ne lui pardonneront jamais les nombreuses révélations sur la nature réelle des régimes politiques en vigueur en Occident, ces oligarchies ploutocratiques inféodées à Washington.
Julian Assange risque maintenant les poursuites de trois États guère fiables sur le plan du droit, trois entités dont le système judiciaire privilégie l’argent, l’intérêt des officines et de leur caste et le politiquement correct, jamais la stricte vérité. Outre des tribunaux britanniques ivres de vengeance, la justice étatsunienne rêverait d’exécuter ce traître d’Australien. Pour quelle raison ? Depuis quand un non-Étatsunien devrait-il la moindre loyauté envers les États faillis d’Amérique ? Quant à la pseudo-justice de Stockholm, elle pourrait relancer des enquêtes autour des sornettes proférées par deux nymphomanes suédoises notoires (oui, on n’échappe pas parfois aux redondance !).
Le sort indigne qui frappe Julian Assange ne suscite guère d’empathie de la part de ses « confrères », les médiacrates. Révélateur fut ainsi le traitement de son arrestation au « 19 – 20 » de France 3 ce jour-là : la présentatrice osa parler de la fin d’une cavale. Plus forte que le paradoxe de Zénon d’Élée, la péronnelle venait d’inventer la « cavale statique » ou « immobile »…
Une pesante opacité entoure dorénavant le quotidien carcéral du plus célèbre prisonnier politique de la planète. Il faut en particulier craindre pour sa vie quand la mortalité en détention y est souvent plus élevée pour les personnalités dérangeantes. Ne peuvent plus en témoigner le penseur européen d’Amérique Francis Parker Yockey et le président serbe Slobodan Milosevic !
Bonjour chez vous !
• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°123, mise en ligne sur TV Libertés, le 29 avril 2019.
10:01 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Les dinosaures se portent bien
09:17 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 05 mai 2019
Économie : le Système ne sait plus quoi inventer pour sauver sa tête
Marc Rousset
Les épiphénomènes médiatiques des variations des taux de croissance sont l’arbre qui cache la forêt, les somnifères pour endormir les foules, en oubliant les éléphants dans le couloir. Qu’au premier trimestre 2019, l’Italie soit à 0,2 % de croissance, que la zone euro soit à 0,4 % de croissance, que les 263.000 créations d’emploi aux États-Unis aient dépassé le consensus en avril ne change rien à la situation catastrophique de l’Italie, à la fragilité de la zone euro et des États-Unis, car ces rebonds ne seront probablement pas durables. Les hirondelles médiatiques ne feront jamais le printemps.
Les médias ont découvert une pseudo-« théorie monétaire moderne » qui consiste tout simplement, comme Macron et la BCE, à raser gratis en faisant fonctionner la planche à billets, en augmentant les dettes et les déficits, en baissant les taux d’intérêt, alors que la monnaie, l’investissement et la vie économique ne peuvent reposer que sur la confiance dans la monnaie, la non-banqueroute à venir d’un État. Une variante de cette « TMM » est la plaisanterie de l’hélicoptère monétaire, l’« assouplissement quantitatif pour le peuple »», qui consisterait, pour une banque centrale, à créer de la monnaie et de la distribuer aux citoyens sans avoir aucun actif en contrepartie. En fait de miracle économique, ce serait le début de la faillite et de l’hyperinflation. Le président actuel de la BCE, l’acrobate italien Mario Draghi, plutôt que de la rejeter purement et simplement, a pu dire que cette éventualité serait examinée. Le nouveau miracle du XXIe siècle avant la catastrophe, ce ne serait plus Jésus multipliant les pains mais la BCE qui verserait 150 euros par mois à tout le monde !
David Andolfatto et Jane Ihrig, deux économistes américains de la Fed de Saint Louis, ont imaginé, de leur côté, une nouvelle opération de « standing repo facility » (un « repo » consiste en une mise en pension de titres contre du numéraire avec un rachat à terme) qui permettrait aux banques d’échanger à la Fed leurs bons du Trésor contre des réserves liquides, ce qui équivaudrait à augmenter automatiquement, selon le seul bon vouloir des banques, la création monétaire par la Fed. Ce serait donc un nouveau type de « QE », un rafistolage financier qui diminuerait, en apparence seulement, le bilan de la Fed, car les banques diminueraient leurs réserves à la Fed, moins bien rémunérées (0,04 %) que les bons du Trésor.
Mais la triste réalité, c’est qu’un État qui crée des dettes et imprime de la monnaie sans valeur ment à son peuple et le conduit vers le précipice. De 1970 à 2008, il fallait, aux États-Unis, 0,77 dollar de dette publique pour produire 1 dollar de PIB. De 2008 à 2019, il a fallu 4 dollars de dette pour produire 1 dollar de PIB. Selon l’économiste Patrick Artus, « une remontée des taux provoquerait une crise de grande ampleur ». La faiblesse de l’inflation sur les biens et les services, pas sur les actions et l’immobilier (bulles), justifie en apparence les taux bas de la Fed et de la BCE, mais quid si l’inflation repart ou si la récession arrive ? L’État japonais, les États européens, les États-Unis et les agents économiques dans le monde seront incapables de résister à une remontée des taux ou à une récession.
L’autre triste réalité, c’est que les banques centrales continuent à acheter de l’or et à dédollariser leurs réserves. Depuis 1971, les banques centrales n’obligent plus les exportateurs à leur céder leurs dollars. 3.603 milliards de dollars sont donc détenus par des entreprises ou des particuliers sous forme de dollars électroniques dans le système bancaire américain (euro-dollars). La Chine, elle, échange ses dollars contre des actifs tangibles dans le monde. Au premier trimestre 2019, la demande d’or des banques centrales (Inde, Russie, Chine, Kazakhstan, Iran, Turquie) a progressé de 68 % par rapport à 2018, pour atteindre 145,5 tonnes. La Bundesbank et les Pays-Bas continuent à rapatrier leurs lingots des États-Unis, tandis que la Turquie a terminé l’évacuation de son or en avril 2018. L’or représente, à ce jour, 70 % des réserves monétaires de l’Allemagne et des États-Unis. Ce n’est donc pas une relique barbare alors que le dollar, malgré les manipulations du cours de l’or par les États-Unis, perd progressivement son statut de monnaie de réserve. L’or, qui valait 35 dollars l’once en 1971, vaut aujourd’hui 1.300 dollars l’once et pourrait connaître un nouveau cycle haussier de longue période.
Source Boulevard Voltaire cliquez là
20:00 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
31 août - 1er septembre : fête médiévale à La Chapelle d'Angillon (18)
19:59 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L'intervention d'Alain de Benoist lors du colloque de l'Iliade, le 6 avril dernier
L'Iliade cliquez ici
Alain de Benoist est essayiste, philosophe, auteur d’une centaine d’ouvrages portant sur la philosophie politique est l’histoire des idées. Il vient de publier Contre le libéralisme. La société n’est pas un marché, aux Éditions du Rocher. Il intervenait au sixième colloque de l’Institut ILIADE, « Europe, l’heure des frontières », le 6 avril 2019.
Mesdames, Messieurs, Chers amis,
Je vais vous parler d’un phénomène relativement nouveau et qui n’est pas sans rapport avec le thème de cette journée. Il s’agit de l’illibéralisme. Le mot est un peu barbare, mais son sens est assez clair : il désigne l’apparition de nouvelles formes politiques qui se réclament de la démocratie, mais veulent en même temps rompre avec la démocratie libérale qui se trouve aujourd’hui en crise dans à peu près tous les pays du monde.
Le terme est apparu à la fin des années 1990 dans les écrits d’un certain de distingués politologues, mais ce n’est que tout récemment, en 2014, qu’il s’est imposé auprès du grand public lorsque le Premier ministre hongrois, Viktor Orbán, a publiquement déclaré, lors d’une Université d’été de son parti : « La nation hongroise n’est pas un agrégat d’individus, mais une communauté qu’il nous faut organiser, fortifier et aussi élever. En ce sens, le nouvel Etat que nous sommes en train d’édifier n’est pas un Etat libéral mais illibéral ». Il ajoutait qu’il est temps maintenant de « comprendre des systèmes qui ne sont pas occidentaux, qui ne sont pas libéraux, et qui pourtant font le succès de certaines nations ».
17:19 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La Jeanne d'Arc d'Action française
15:31 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
TRENTE TROIS LISTES ET LES BANQUES
Franck Buleux
On peut penser, en constatant les trente-trois listes validées par l’Intérieur qui vont briguer nos suffrages le 26 mai prochain, à l’occasion des neuvièmes élections européennes, à une vitalité démocratique sans précédent dans notre pays.
En tout cas, c’est l’a priori qui me vient immédiatement à l’esprit. L’immédiateté supprime la réflexion. Les médias me disent, m’inoculent « 33 » et je me dis, c’est beaucoup ! Et je vois d’ores-et-déjà cette grosse enveloppe kraft marron adressée par la Préfecture de mon département comprenant 33 professions de foi et 33 bulletins de vote avec, chacun, soixante-dix-neuf candidats. Oui, 79 car la France a récupéré 5 sièges à la suite du Brexit, qui n’a pas encore eu lieu. Il y a donc 74 sortants français et 79 candidats, alors que des élections auront lieu au Royaume-Uni… Donc, il n’y aura que 74 élus si les Britanniques votent, sinon 79. Cela fait partie du rêve européen, l’incapacité à trois semaines du scrutin de connaître la répartition des élus par pays. Il y aura donc 5 battus qui atteindront, impatiemment, le Brexit, même s’ils sont opposés à la sortie de la Perfide Albion.
Bref, tel n’est pas notre propos. Je m’imaginais donc déjà attendre de longues minutes pour voter car Madame Louise (appelons-là comme cela puisque l’Alliance royale a déposé une liste), âgée de 90 ans et qui ne loupe jamais une élection, avait des difficultés compréhensibles à prendre, un à un, les grands bulletins avec tous ces patronymes. Les prendre un à un, les ranger, retrouver le « bon » (alors qu’elle a pris le bon chez elle, qu’elle a glissé dans une poche) pendant que les autres tombent… Le calvaire du vote. Du vécu, j’ai longtemps été assesseur et même présidé un bureau pendant quelques scrutins.
De longues files d’attente, des personnes qui désespèrent, ne trouvant pas sur quelle liste se trouvent Jean-Luc Mélenchon ou Marine Le Pen (en fin de listes car déjà députés nationaux français tous les deux, pour cause de non cumul des mandats), quelle belle journée que ce dimanche 26 mai. Des assesseurs débordés qui doivent vérifier l’ordre des bulletins déposés sur la table à l’entrée, le niveau des tas (qui doit être homogène) et cette masse d’hommes et de femmes qui représentent toutes les tendances, toute la diversité nationale… Des animalistes aux décroissants, des communistes aux insoumis, et toux ceux qui cherchent, en vain, le terme « parti socialiste » sur les bulletins… Mais il n’y a plus de Parti socialiste ? Ben non, mais bon on ne peut pas dire –tout haut- que le compagnon de Léa Salamé a réalisé une OPA sur ce qui reste du PS. Raphaël Glucksmann a créé le mouvement « Place publique » et a rencontré sa concubine sur le plateau de « On n’est pas couchés ». Tout doit être révélé, donc.
Mais non, mon rêve s’est évanoui, les banques, l’oligarchie financière (d’ailleurs depuis la disparition de son mentor américain, Lyndon LaRouche, le groupe Solidarités & Progrès de Jacques Cheminade, a jeté l’éponge, du moins pour cette année ; ainsi, ce terme est moins employé même s’il nous reste le gaulliste candidat pour Jean Tibéri en 2001 à Paris, Asselineau). Eh oui, car ce sont les banques qui financent via des prêts de centaines de milliers d’euros, les mouvements politiques. Pourtant, me direz-vous, la Constitution du 4 octobre 1958 prévoit que les partis politiques concourent à la vie politique et il existe désormais un financement public lié aux résultats, en voix et en nombre de députés, des élections législatives. Oui, mais pour concourir, il faut de l’argent.
Pour une campagne électorale avec une information complète et totale, chaque liste devrait, ayant glané quelques informations à ce sujet auprès de compétiteurs, apporter 800 000 € et ces deniers seraient remboursés (il y a un plafond) à la condition de représenter 3 % du corps électoral exprimé. Environ un million de voix, enfin selon le nombre de personnes qui se déplaceront dans les isoloirs.
Je trouve 3 % un peu élevé. Même des élus importants de notre République ont parfois des difficultés à atteindre cet objectif : Jean Lassalle, homme apprécié des Français, n’a obtenu que 1,1 % des suffrages exprimés lors de la présidentielle de 2017 et l’Eurodroite avec Jean-Louis Tixier-Vignancour n’avait pesé que 1,3 % des suffrages lors des premières élections européennes en 1979 (rappelons que le Front national de Jean-Marie Le Pen en obtenait 11 % seulement cinq ans plus tard, en 1984). Toujours en 1979, le trio que l’on qualifierait aujourd’hui de populiste Malaud (qui deviendra président du CNIP), Médecin (l’ancien maire de Nice) et Poujade (du mouvement éponyme) n’obtint que 1,7 %….
Donc, une liste non connue (et même connue, parfois car une banque ne souhaite pas être associée au Rassemblement national, car dans « Rassemblement », il y a « Race », non ?) a peu de probabilités d’obtenir 3 % et donc, préalablement, d’obtenir un prêt. Alors, bien sûr, il y a les dons, les appels aux militants, aux proches, mais tout le monde n’est pas sponsorisé par les médias pour faire connaître un projet et des militants il en faut et ils doivent avoir quelques moyens. Tout le monde n’a pas le même répertoire que Macron ou Fillon.
Mon rêve s’est envolé. Il n’y aura ni 33 bulletins dans vos enveloppes, ni même 33 bulletins déposés sur les tables tenues par les employés de mairie le 26 mai.
Plutôt que de se lamenter, essayons de développer une alternative : celle du vote électronique. À l’heure de la digitalisation, il apparaît naturel d’utiliser ce type de procédé électoral pour choisir son candidat et éliminer les autres.
Alors, rêvons à nouveau : nous pourrions voter sans voir le regard courroucé du professeur des écoles, militant Insoumis sur la place publique (ou l’inverse), la dame âgée (Louise, voir plus haut) pourrait voter sans faire tomber son bulletin (LERM ou LR) ou/et sa canne, on pourrait éviter les banalités dominicales avec ses voisins (puisqu’on n’a pas le droit de parler de politique dans le bureau de vote).
Les hommes politiques ont peur des hackers ? Ah, la belle excuse, on connaît, depuis des années, les modes de fraude à petite ou à grande échelle de certains de nos édiles. Souvenez-vous, en 1983, le nombre considérable de municipalités d’union de la gauche qui avaient vu leur victoire annulée (pour fraude) et qui sont toutes, en presque, passées à droite lors de partielles organisées entre juin 1983 et les européennes de juin 1984. Parmi ces municipalités, Dreux qui vit la victoire avec plus de 55 % de l’union des droites, Front national compris.
À quand un projet de loi (ou une proposition mais un projet est plus certain quant à son résultat, puisqu’il émane du gouvernement) sur le vote électronique ?
Ce modèle électoral permettrait de sortir de l’hypocrisie : disposer d’un choix de 33 listes et de 2607 candidat(e)s serait alors une réalité et non une simple annonce médiatique.
Je sais cette proposition ne fait pas partie du Grand débat. Alors, si cela ne concerne pas le Grand débat, c’est comme l’immigration, on classe. Verticalement.
Métainfos cliquez ici
15:28 Publié dans Européennes 2019, Franck Buleux | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 04 mai 2019
Une autre liste dans la mouvance patriote et identitaire, celle de Renaud Camus et du SIEL
Le mouvement souverainiste SIEL a annoncé qu'il présentait aussi une liste intitulée "La Ligne claire" aux élections européennes du 26 mai prochain. Cette liste sera conduite par l'écrivain Renaud Camus, auteur du fameux livre sur le Grand remplacement. Parmi les candidats, il y a en deuxième position Florina Lignier, la jeune étudiante amiénoise victime de la répression policière (elle a perdu un oeil lors d'une manif de Gilets jaunes en décembre dernier), et Karim Ouchickh, président de ce mouvement.
En savoir plus cliquez là
14:47 Publié dans Européennes 2019 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Jeudi 9 mai : hommage aux morts pour la cause
10:34 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
C'est pourtant une évidence...sauf, évidemment, pour les tenants de la pensée dominante
10:23 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le nouveau vandalisme religieux supra-sélectif
Bernard Plouvier
C’est bien connu : depuis la Loi de 1905 instaurant la séparation des Églises et de l’État, nos princes – le Président de la République, son Premier ministre et le titulaire de l’Intérieur et des Cultes - sont rigoureusement impartiaux dans leur attitude envers les religions, leurs clergés et leurs fidèles.
On se souvient des hurlements des media lorsque des crétins (restées anonymes et impunies) ont profané un cimetière juif en Alsace et un autre dans la région lyonnaise, au mois de février 2019. Il faut croire que les choses vont plus mal encore en Europe centrale et orientale, puisque les autorités de Pologne, Lituanie, Ukraine, Moldavie et Grèce font survoler les cimetières juifs par des drones.
Toutefois pour être logique, l’on doit comparer les retentissements médiatiques des profanations de cimetières et d’édifices religieux de tous bords. C’est ce que peut faire l’athée, strictement indifférent au plan dogmatique, mais financièrement intéressé par les conséquences du vandalisme… puisque, par l’effet de la Loi de 1905, les contribuables réparent les dégâts.
En 2018, ce sont 59 cimetières chrétiens qui ont été profanés, dans le silence sépulcral (!) du ministre et des media. En 2017, 1063 églises, chapelles et temples ont été vandalisés et 875 durant l’année 2018, pour la seule métropole.
Seul l’aveugle et le sourd ignorent l’origine des profanateurs, une origine commune aux actes antichrétiens et judéophobes.
Le traitement médiatique est aussi sélectif que l’attention du ministre de tutelle, surmené à force de réprimer les dangereux « fascistes » et autres Gilets mordorés. On nous ressort l’antienne de « l’extrême-droite », alors que les attentats qui se sont multipliés en France sont exclusivement dus aux djihadistes.
Des élections doivent prochainement avoir lieu. L’occasion serait peut-être bonne pour les croyants sincères de sanctionner un pouvoir sourd et aveugle aux véritables sociopathes, inutilement importés en France, par complaisance envers l’islamo-pétrodollar.
10:18 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi 25 mai, Clermont-Ferrand : conférence de Terre et peuple
10:09 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Toulouse, samedi 11 mai : 3e anniversaire d'Infos-Toulouse
10:02 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Une expo a visiter en Forêt de Brocéliande
09:58 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La liste de la Dissidence française officiellement enregistrée
Communiqué de la Dissidence Française
La Liste de la Reconquête est officiellement dans la course aux européennes ! Nous avons en effet reçu ce jour le récépissé définitif de déclaration de candidature du Ministère de l’Intérieur.
Rassemblant des élus locaux, des militants issus de tous les courants du nationalisme français ainsi que des gilets jaunes de la première heure, la Liste de la Reconquête conduite par Vincent Vauclin ambitionne de faire entendre une autre voix lors de ce scrutin.
À l’heure où les partis du Système multiplient les reniements et les trahisons, notre pays est traversé par une profonde crise de représentation politique. Il est ainsi plus urgent que jamais de formuler des propositions nouvelles pour répondre aux enjeux de notre temps, et de défier le politiquement correct pour opposer une alternative véritable au mondialisme libéral.
En savoir plus cliquez là
09:41 Publié dans Européennes 2019 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Journal du chaos
Pour télécharger, cliquez ICI
09:32 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 03 mai 2019
Le numéro hors série de Présent sur l’écologie est sorti
17:48 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine
09:50 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
SAMEDI 11 MAI : LES 10 ANS DU PARTI DE LA FRANCE
09:49 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |