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lundi, 05 novembre 2018

TRIBUNE LIBRE La dernière Macronerie : un referendum grotesque

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Bernard Plouvier (*)

Les Néo-Calédoniens veulent majoritairement rester « Français » et on les comprend ! Chaque année, la République française alimente ses territoires extra-européens à coups de centaines de millions d’euros, alors même qu’en métropole – d’où provient la manne issue des impôts et des taxes -, il manque d’argent pour créer ou moderniser les structures indispensables à la vie des Français de souche européenne. Cherchez l’erreur dans cette « votation populaire » ! 

Ce n’est pas la minorité des bénéficiaires qu’il faut interroger, mais la majorité des payeurs. S’il doit y avoir un referendum sur la séparation de la métropole d’avec ses couteux DOM-TOM, c’est la Nation entière qui doit être consultée.

Pourquoi conserver les résidus d’une colonisation qui a coûté énormément d’argent au peuple français depuis des siècles, avec pour unique contrepartie des reproches d’enfants gâtés de la part des ex-colonisés, tirés du Moyen Âge ou de la préhistoire et propulsés à l’ère moderne par le colonisateur.

Certes, quelques colons, quelques négociants se sont enrichis – et puisque la Nouvelle Calédonie est le sujet d’actualité, on peut mentionner l’enrichissement de tel groupe financier par l’exploitation des gisements de nickel. Mais l’État a énormément investi de fonds, tirés de la Nation.

Il est aisé de traire la vache à lait fiscale et taxable de métropole. Mais la démocratie exige qu’on demande l’avis de la Nation sur l’opportunité de poursuivre ou d’arrêter cette hémorragie externe de capitaux publics, sachant que l’immigration-invasion représente une autre hémorragie, interne celle-là, par son coût pharamineux en allocations, en répression de la délinquance et de la criminalité, en réparation des monstrueux dégâts après chaque émeute raciale ou chaque attentat de mahométans.

La décolonisation est, en effet, une réalité à envisager d’un double point de vue.

D’abord, il est souhaitable de se retirer de territoires où les « locaux » déclenchent des émeutes raciales pour satisfaire l’ego de politiciens exotiques (Guyane, Mayotte, Antilles - et la Nouvelle-Calédonie fut naguère une terre de terrorisme). C’est chose envisageable en une époque où notre économie n’est pas aussi florissante que Grand Président ne l’assure.

S’il est logique d’exiger que notre Europe n’appartienne qu’aux Européens, il faut envisager la réciprocité pour l’Afrique et l’Asie, sachant que les Trois Amériques furent dès la préhistoire des terres de brassage des races, mais que la géographie commande la séparation.

La décolonisation doit aussi et surtout se jouer à l’intérieur du territoire métropolitain.  L’on sait (grâce au rapport d’activité de l’AFDPHE pour 2016) que, de 1995 à 2015, sont nés en métropole approximativement 4,5 millions d’enfants à risque de drépanocytose, soit des enfants par définition de souche non-européenne. De ce chiffre, on peut inférer qu’il existe entre 6 et 8 millions de géniteurs d’origine extra-européenne (les mariages mixtes ne sont nullement majoritaires en métropole). Joint au nombre des enfants, ceci permet de penser que s’agitent, étudient, travaillent ou gaspillent leur temps, 10 à 12 millions d’extra-Européens de souche, même si, du fait de l’archaïque « droit du sol », un nombre indéterminable d’entre eux jouit du privilège de la nationalité française.

Au moins les deux tiers de ces non-Européens de souche sont mahométans, ce qui est leur droit le plus strict. Mais certaines bonnes âmes proposent d’envisager un « double droit », à savoir la coexistence de la Loi française et de la médiévale charî’a, voire même une bipartition du territoire, prenant en compte les zones de non-droit qui seraient regroupées en un seul tenant !

Décolonisation versus explosion économique ou sociale, avec, dans le second cas, une guerre civile suivie de l’épuration des ex-collaborateurs de l’envahisseur. On a déjà vécu ce scénario lamentable.

Évitons de rejouer un drame inutile. Que nos princes administrent le Bien commun et qu’ils prennent, très démocratiquement, l’avis de la Nation. Ça nous changera du triste temps présent.

(*) On peut, évidemment, ne pas être tout à fait d'accord avec cette analyse de notre ami Bernard Plouvier. C'est d'ailleurs mon cas. Certains seront peut être étonnés, voire agacés, de la lire ici. Cependant, fidèle à sa vocation et comme son nom l'indique, Synthèse nationale tient compte sur certains sujets d'actualité des différentes approches qui se retrouvent dans notre camp. Voilà pourquoi nous avons décidé de publier cet article...

Roland Hélie

09:23 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier, Tribunes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 04 novembre 2018

SAMEDI APRÈS-MIDI, LA DROITE NATIONALE A RENDU HOMMAGE À JEAN-PIERRE STIRBOIS

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A l'initiative du Parti de la France, une forte délégation de responsables et militants nationaux et nationalistes s'est rendue samedi après-midi au cimetière Montparnasse à Paris sur la tombe de Jean-Pierre Stirbois, secrétaire général du Front national, prématurément décédé il y a 30 ans, dans la nuit du samedi 5 novembre 1988 à Pontchartrain dans les Yvelines, en revenant de Dreux où il venait de tenir un ultime meeting pour la défense de la Calédonie française.

Au cours de cette émouvante cérémonie, Carl Lang, Président du Parti de la France, qui, rappelons-le, lui succéda au secrétariat général du FN, souligna le rôle éminent joué par Jean-Pierre Stirbois, aux côtés de Jean-Marie Le Pen, dans l'émergence au début des années 80 du Front national. Il rappela aussi que Jean-Pierre fut l'un des premiers à dénoncer ce danger grandissant que représente pour notre peuple l'immigration incontrôlée et à réaliser, lors de l'élection municipale partielle de Dreux en septembre 1983, l'union victorieuse de la droite contre la liste socialo-communiste.

Notons la présence de nombreux anciens proches collaborateurs et amis de Jean-Pierre à cet acte hautement symbolique ce qui prouve, s'il en était encore besoin, que dans notre camp la fidélité n'est pas un vain mot...

S.N.

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Pour information, sachez que dans quelques semaines, pour marquer le trentième anniversaire de sa disparition, sortira le n°15 des Cahiers d'Histoire du nationalisme consacré à Jean-Pierre Stirbois.

12:34 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Valeurs républicaines ou valeurs démocratiques ?

DaaeDRcXUAAA3bZ.jpgBernard Plouvier

N’en déplaise à nos pitres, ces gens qui font semblant de nous gouverner et ne sont que les syndics temporaires de l’économie globale au sein du grand village mondialiste, il n’existe pas plus de valeurs républicaines que de valeurs impériales ou monarchiques.

Il existe, en revanche, des valeurs démocratiques, celles qui permettent aux Nations d’être bien gouvernées, dans l’intérêt des citoyens honnêtes et laborieux.

Dans la bonne gestion du Bien commun, il n’existe que quatre valeurs absolues qui, toutes, sont détruites ou amoindries en régime de capitalisme débridé ou dans les immondes dictatures marxistes :

1 – L’isonomia ou égalité de tous les citoyens devant la loi, ce qui implique un libre et honnête exercice de la justice, dégagé de toute ingérence de l’Exécutif (chef de l’État et gouvernement) ou des élus, qui se comportent trop souvent en petits rois.

2 – La méritocratie, soit l’attribution des postes payés par l’argent public – le produit des impôts et des taxes – par concours anonyme, pour éviter le favoritisme, qu’il soit de nature familiale (le classique népotisme), de nature ethnique, religieuse ou sectaire (ce bon vieux Grand-Orient d’essence si « ripoublicaine »), voire les passe-droits achetés (qui font si souvent ressembler notre État à une République bananière) ou obtenus par la pure prostitution !

3 – L’absolue liberté d’expression de la pensée, seules étant censurées la pornographie et la calomnie.

4 – Enfin, le recours systématique au corps électoral pour trancher les grandes questions de société comme l’immigration de masse provenant d’un autre continent, la peine de mort, les droits et les devoirs des minorités, les traités politiques, économiques ou militaires mettant en jeu l’avenir de la Nation.

Toutes ces valeurs n’ont rien à voir avec la nature du gouvernement. Certaines Nations sont bien dirigées et leur Bien commun est correctement géré. D’autres n’ont pas cette chance. C’est le cas de la Nation française dans la VeRépublique, entrée en sa phase de pourrissement accéléré.

11:33 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 03 novembre 2018

Emmanuel Macron, bel et bien continuateur d’un monde politique plus « failli » qu’« ancien » !

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Entretien avec Philippe Randa, directeur du site de la réinformation européenne EuroLibertés

Propos recueillis par Guirec Sèvres

Le président français Emmanuel Macron a comparé la situation actuelle en Europe avec celle de l’entre-deux-guerres du siècle dernier en fustigeant notamment les victoires des partis populistes en Europe qu’il considère comme une lèpre ; qu’est-ce que cela vous inspire ?

D’abord, traiter ses rivaux politiques et leurs partisans de « lépreux » est une injure à considérer comme telle, c’est-à-dire par le mépris. Une telle injure ne suscite guère de réprobation dans la classe politique, mais on n’ose imaginer quelle aurait été la réaction de celle-ci si des populistes avaient dénoncé leurs ennemis politiques, voire l’invasion migratoire, en termes similaires. On accuse (entre autres maux) les populistes de violences verbales, mais ils ont en général plus de retenue que beaucoup de leurs adversaires. Ensuite, Emmanuel Macron n’a cessé de marteler qu’il fallait en finir avec « l’ancien monde » politique : avec sa douteuse comparaison historique, il incarne justement l’« ancien monde politique » dont les représentants n’ont eu d’autres arguments, ces dernières décennies, que de brandir l’épouvantail d’un fascisme fantasmé, mal absolu s’il en était à les entendre…

Ces dernières décennies, c’est-à-dire ? Depuis la fin de la IIe Guerre mondiale ?

Non, depuis la fin des « Trente glorieuses », soit le début du premier septennat de François Mitterrand… Jusque-là, depuis 1945, on avait surtout l’obsession de panser les plaies des deux guerres civiles européennes, de construire une Europe forte économiquement… Mais avec les premières crises pétrolières, l’arrivée du chômage de longue durée, puis de masse, enfin avec la chute de l’URSS – soit la fin de la Guerre froide qui perdurait de façon plus ou moins larvée – et la « découverte » par les Européens de l’invasion migratoire, les gouvernements ont vu la situation se détériorer inexorablement… Des années durant – grosso modo, pour la France jusqu’à la fin du quinquennat de Jacques Chirac – les partis de gouvernement sont parvenus à persuader une majorité d’électeurs qu’il suffisait d’attendre le retour de la croissance économique pour vivre à nouveau des lendemains qui chantent… « Sœur Anne, ne vois-tu rien venir ? » a été le leitmotiv de la classe politique aux affaires, qu’il s’agisse des élus du Parti socialiste et de ses alliés communistes et écologistes ou de ceux de la droite et du centre… Les quinquennats de Nicolas Sarkozy et de François Hollande ayant été les requiem de cette droite et de cette gauche de gouvernement, Emmanuel Macron et sa République en Marche ont ramassé la mise en se présentant comme l’alternative à un monde moins « ancien » que surtout « failli »… Le naufrage du pays perdurant depuis son élection, dans l’affolement d’une situation qui lui échappe chaque mois un peu plus – chômage qui perdure et s’aggrave même selon les mois ; affaire Benalla ; démissions de Nicolas Hulot et Gérard Collomb, deux « éléphants » du gouvernement d’Édouard Philippe ; selfie équivoque avec des racailles d’outre-mer après la réception de « vogueurs » en Lunettes noires et maillots de résillelors de la Fête de la musique à l’Élysée, etc. –, Emmanuel Macron montre qu’il n’a aucun autre argument, aucune autre défense que de reprendre l’antienne du danger fasciste…

Une rhétorique de diabolisation des Populistes qui, jusqu’à présent, a tout de même bien fonctionné pour les empêcher d’accéder aux Affaires…

Ralentie tout au plus car les populistes sont dans des coalitions au Pouvoir en Italie, en Autriche, en Pologne et en Hongrie ou l’ont été (Slovaquie, Finlande)… Et sont rentrés dans la quasi-totalité des parlements où ils étaient jusqu’alors absents (le cas le plus significatif est celui de l’Afd en Allemagne)… Quant à la France, par deux fois en quinze ans, ils ont été au second tour de la Présidentielle, Marine Le Pen doublant en 2017 le score de son père en 2002… Mais si, en France, les Populistes n’ont pas profité davantage de l’écroulement de la droite et de la gauche de gouvernement, est-ce véritablement à cause de la diabolisation dont ils auraient été victimes… ou de leur manque de crédibilité ? Ce qui était vrai du temps de la présidence chiraquienne – Jacques Chirac fut un mauvais président, mais « savait faire président » ; Jean-Marie Le Pen préconisait des solutions de bon sens, mais pouvait-il « faire président » ? Les électeurs hésitants (ceux qui font la différence le soir d’une élection) ne l’ont jamais pensé… Et cela a été le cas également pour sa fille, surtout lors de son débat avec Emmanuel Macron. Elle a fait une campagne électorale plutôt bonne au premier tour, mais ce soir-là, elle a atterré les électeurs hésitants bien plus par sa gestuelle et ses diatribes que par ses manques d’arguments économiques… Donald Trump avait fait une campagne « destroy » contre tous ses rivaux, ce qui lui a permis d’être désigné candidat des Républicains, mais lors du débat face à Hillary Clinton – même s’il a été, dit-on, moins brillant qu’elle, et alors ? – a convaincu les électeurs hésitants qu’il « pouvait faire président »… Et quoiqu’on ait pu dire de lui, quoi qu’on dise toujours, Donald Trump « fait président », incontestablement ! Ç’aurait pu être le cas des Le Pen, père ou fille, on ne le sait pas… à ce jour, en tout cas !

Et sur la situation actuelle en Europe qui ressemblerait à celle de l’entre-deux-guerres, qu’en pensez-vous ?

Je ne vois pas en quoi elle lui ressemblerait « spécialement »… À cette époque, il y avait en Allemagne un grand sentiment de revanche à prendre après l’armistice de 1918 ; un danger communiste à l’Est avec la Russie bolchevique et, à l’ouest, une guerre civile en Espagne… Non, si l’on veut vraiment trouver une comparaison historique avec la situation actuelle en Europe, c’est plutôt avec celle de la France de 1789, fracturée entre pays légal et pays réel… On peut donc craindre – ou espérer – une imminente nouvelle « nuit du 4 août » qui abolirait les actuels privilèges des représentants de la finance internationale et des autoproclamés dépositaires des « valeurs républicaines ». On aimerait bien d’ailleurs avoir enfin une définition exacte de celles-ci. Cela reste pour l’heure un vœu pieux…

10:40 Publié dans La chronique de Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

DIMANCHE 14 OCTOBRE, À LA JOURNÉE DE SYNTHÈSE NATIONALE, ON SE L'ARRACHAIT...

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Journal du chaos

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09:47 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 02 novembre 2018

MACRON NOSTALGIQUE DES ANNÉES 30 ?

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Source MPI cliquez ici

12:28 Publié dans IGNACE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Référendum en Nouvelle Calédonie : le Parti de la France appelle à voter contre l'indépendance

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Communiqué du Parti de la France :

Trente ans presque jour après celui de 1988 qui visait à entériner les « Accords de Matignon » voulus et négociés par Michel Rocard alors Premier ministre socialiste, le référendum organisé en Nouvelle Calédonie ce 4 novembre se veut l'ultime étape du processus d’indépendance du territoire confirmé par les Accords de Nouméa signés en 1998 par le gouvernement Jospin.

Ultime étape si le oui à l’indépendance venait à l'emporter… Car, dans le cas contraire, les pouvoirs publics, acquis aux revendications mélanésiennes et soumis aux pressions australiennes et néo-zélandaises, ont, dans leur acharnement à brader ce sol français depuis un siècle et demi, prévu de nombreux autres scénarii permettant a une majorité qualifiée aux Congrès de revenir sur ce vote et de continuer le processus d’autodétermination canaque.

Riche de ses ressources minières (le Nickel en particulier), la Nouvelle Calédonie constitue, pourtant, pour la France un atout important permettant une présence renforcée dans la zone pacifique et une consolidation majeure de notre espace maritime national (la zone économique exclusive, normalement fixée à 200 milles des côtes a été étendue à 350 milles en 2015 après l'avis favorable de l'ONU).

Le Parti de la France appelle tous les sympathisants de la droite nationale et en particulier ceux faisant partie du corps électoral appelé à voter dans le territoire dimanche (tout à été fait pour en réduire le nombre et pour favoriser le vote aborigène), à se mobiliser contre le bradage de ce territoire français pour lequel se sont battus bien des nationaux et sont morts nos gendarmes dans la grotte d'Ouvéa en 1988.

Rappelons que la Droite nationale fut en pointe pendant toute les années 80 contre les exactions commises par les activistes kanaks et les agents du séparatisme. C'est à son retour de Nouvelle Calédonie où, à la tête d'une délégation Front National, il avait mené une rude et dangereuse campagne, que notre camarade et ami Jean-Pierre Stirbois, Secrétaire général du FN trouva la mort le 5 novembre 1988 à Pontchartrain dans le département des Yvelines (NDLR SN cliquez ici).

Deux jours plus tard, grâce à l'apathie des Français et surtout à la trahison (une fois de plus) du RPR de Jacques Chirac qui avait appelé à l'abstention, le référendum, au niveau national, entérinait à 79% le processus d'autodétermination tandis qu’en Nouvelle Calédonie, les Caldoches, sous l’influence et par l’action de Jean-Pierre Stirbois, refusant dans leur immense majorité de suivre le RPR dont beaucoup étaient pourtant adhérents, répondaient clairement non à la séparation d’avec la France.

Faisons en sorte qu'il en soit de même dimanche.

10:44 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Pierre Vial soutient le mouvement du 17 novembre

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Pierre Vial, Président de Terre et peuple

Le 17 novembre beaucoup de Français vont manifester leur ras le bol contre l’exploitation éhontée qu’ils subissent en tant qu’automobilistes, dont pour beaucoup l’automobile n’est pas un objet de luxe, de loisir mais bel et bien un outil de travail ou un moyen de liaison indispensable dans la vie quotidienne, en particulier dans les zones rurales, pour lesquelles les technocrates parisiens ont un souverain mépris. C’est pourquoi Terre et Peuple appelle ses membres et ses amis à participer activement aux manifestations du 17 novembre. Le peuple doit se faire entendre et respecter. Seule paie la rébellion.

Le mouvement est aussi soutenu par Carl Lang cliquez là et par la Ligue du Midi cliquez ici

10:40 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Espagne : un "artiste" vandalise la tombe de Franco

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Comme nous le rappelle l'excellent éditorial de Boulevard Voltaire d'hier, la tombe du Général Franco, sauveur de l'Espagne décédé le 20 novembre 1975, n'arrête pas de poser des problèmes à la clique socialiste momentanément au pouvoir à Madrid et qui ne sait plus comment se dépêtrer de cette affaire. Mais comme il y a toujours plus radical que soit, hier un scribouillard qui se prend pour un artiste est venu sur la tombe du Caudillo pour la maculer de peinture pensant peut être que cela allait précipiter les choses. Pauvre crétin qu'il est...

Arnaud Robert, dans le quotidien Présent cliquez ici d'aujourd'hui, revient avec humour sur ce "fait d'armes" d'un demeuré sans gloire : Il y a la myriade de « déséquilibrés » qui jouent du couteau halal ou de la voiture mal entretenue et incontrôlable.

Il y a par ailleurs les « artistes » du bon goût, activement promus par les médias, comme les Femen du cirque Soros, Jeff Koons et ses ballons gonflables, Paul Mc Carthy et son délicat plug anal ou ce peintre talentueux, Enrique Tenreiro, subversif ô combien !

Boris Vian allait cracher sur les tombes. Tenreiro, lui, a profané la tombe de Franco, profitant de la Toussaint. Quelle formidable « performance », quelle prise de risque insensée, quelle créativité, digne d’un Ribes !

Chapeau bas, monsieur l’artiste.

S.N.

10:29 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La dépouille de Franco, sparadrap du capitaine Haddock pour le nouveau pouvoir espagnol

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Richard Hanlet

« On ne sait jamais, sur un malentendu, ça peut marcher… » La réplique culte des Bronzés a permis, en juin, au socialiste Pedro Sánchez de prendre la tête du gouvernement espagnol. Mais avec une majorité en kit façon IKEA, il sent bien qu’il aura du mal à tracer un avenir qui mette beaucoup de gambas dans les paellas de ses compatriotes. Alors, il fait ce que la gauche a toujours fait de mieux : attaquer le passé en faisant, après des années de tergiversations, voter l’expulsion de la dépouille du général Franco de la Valle de los Caídos. Plus de 80 ans après la fin de la guerre civile, les revanchards du peuple de gauche ne baissent pas les bras, mais la France spécialiste de l’exercice serait malvenue de se moquer de ce genre d’épuration.

Étonnamment, la famille du Caudillo accueillit le sacrilège avec une flegmatique indifférence. Disposant, en effet, d’un panthéon familial au cimetière privé du Pardo, tout le monde – à commencer par Sánchez – pensait que les descendants du Caudillo transféreraient tout naturellement sa dépouille dans ce lieu plus discret, offrant au nouveau pouvoir la gloire immortelle d’une victoire sans risque et à peu de frais sur une dictature fasciste.

Mais patatras ! La famille avait dans son jeu un atout majeur ! Parce que Franco avait, de son vivant, acheté, à deux cents mètres du Palais royal, un caveau dans la cathédrale de l’Almudena, laquelle, pour la modique somme de six euros, est bien plus visitée que la lointaine et lugubre Valle de los Caídos… Comme presque toujours, le remède socialiste se révèle donc pire que le mal et le Premier ministre, qui se disait « très fier » d’avoir obtenu le retrait du corps du dictateur « d’un endroit où il n’aurait jamais dû se trouver », est dans la seringue. Légalement, il ne peut rien faire parce que, comme le rappellent les autorités religieuses, « on ne peut empêcher un chrétien d’enterrer un parent dans une crypte qu’il a préalablement achetée ».

À part la trêve hivernale des expulsions (ça marche aussi pour les morts ?), seule une intervention divine semblait en mesure d’éviter aux épurateurs un résultat diamétralement opposé à celui recherché. C’est pourquoi, lors de sa visite au Vatican à la fin du mois, le numéro 2 de l’exécutif espagnol a tenté d’arranger le coup avec le pape François. Un communiqué du gouvernement espagnol, publié à la suite de la rencontre de la vice-présidente avec le cardinal Parolin, affirme que celui-ci a « garanti » que le Vatican « ne va pas s’opposer à l’exhumation des restes de Francisco Franco du Valle de los Caídos ». Mais, pour le reste, c’est bien vague : « concernant l’inhumation, les deux parties sont convenues de la nécessité de trouver une solution et de maintenir le dialogue ».

Source Boulevard Voltaire cliquez ici

10:14 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

IL ARRIVE ! SORTIE DANS QUELQUES JOURS DU NOUVEL ALBUM DU DESSINATEUR IGNACE

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10:07 Publié dans IGNACE, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

SAMEDI 3 NOVEMBRE (15 H), 30 ANS APRÉS SA MORT : VENEZ NOMBREUX ASSISTER À L'HOMMAGE DES PATRIOTES À JEAN-PIERRE STIRBOIS ORGANISÉ PAR LE PARTI DE LA FRANCE

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Boulevard Voltaire rend hommage

à Jean-Pierre Stirbois :

In memoriam : Jean-Pierre Stirbois, grand précurseur de la lutte contre l’immigration

Il y a trente ans, Jean-Pierre Stirbois, alors secrétaire général du Front national, trouvait la mort à Ponchartrain, dans un accident de voiture, en revenant d’une réunion électorale. Il y a les morts qu’on déplore et celles dont on se réjouit : dans son ensemble, la presse salit la mémoire du défunt et trouva l’accident plutôt bienvenu. À l’image de Charlie Hebdo, qui titra « Les arbres sont sympas » pour évoquer l’obstacle meurtrier rencontré. Vingt ans plus tard, Benjamin Biolay fit le tour des médias avec son opus Vengeance : « La vengeance est un plat que certains mangent froid comme Stirbois s’est mangé son cèdre. »

Difficile à excuser. Mais facile à comprendre. Maire adjoint, conseiller régional, député européen, député national, Jean-Pierre Stirbois exerça beaucoup de mandats. Mais ce n’était pas un homme politique ordinaire. Son action a eu une dimension historique.

1) C’est l’un des premiers hommes politiques français (avec Jean-Marie Le Pen) à avoir discerné l’ampleur des problèmes migratoires et avoir eu l’audace d’en faire un thème électoral.

2) Grâce à un travail de terrain exemplaire (tractages, boîtages, marchés, cages d’escalier, réunions d’appartement), il a montré qu’il était possible de construire un électorat autour de la défense de l’identité française et de la lutte contre l’immigration. Ses propos paraissaient vifs ; ils sont, hélas, en deçà de la situation que nous subissons aujourd’hui.

3) « Le tonnerre de Dreux » – 16 % aux élections municipales de 1983 – fut une étape décisive dans l’émergence du Front national, son succès électoral aux élections européennes de 1984 (11 % des suffrages) et l’implantation durable de ce parti.

4) Enfin, beaucoup l’ont oublié, tant l’affaire peut paraître étrange aujourd’hui, mais Jean-Pierre Stirbois fut un promoteur de l’union des droites. Il réussit à s’allier au RPR Jean Hieaux pour chasser de la mairie de Dreux l’immigrationniste Françoise Gaspard.

5) Ce bel édifice se heurta à une puissante campagne de diabolisation menée par les lobbies de l’immigration : le CRIF, les chrétiens progressistes, la LICRA, des obédiences maçonniques, les associations subventionnées et SOS Racisme firent tout pour obtenir du RPR le refus de tout accord avec le FN. Les Français le payent aujourd’hui de trente ans d’immigration incontrôlée.

6) Pourtant, trente ans après, le modèle de Jean-Pierre Stirbois à Dreux (la lutte contre l’immigration et l’alliance des droites) reste une nécessité pour la survie du peuple français et des peuples européens.

Voilà pourquoi Jean-Pierre Stirbois, trente ans après sa mort, doit rester présent dans la mémoire des combattants identitaires. Comme précurseur à honorer.

Une cérémonie d’hommage aura lieu, samedi 3 novembre à 15 heures, au cimetière de Montparnasse à Paris.

Source Boulevard Voltaire cliquez ici

Hommage du samedi 3 novembre cliquez là

07:55 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 01 novembre 2018

À FRIVILLE-ESCARBOTIN (80) : LES CLANDESTINS SE FONT LA MALLE...

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Un communiqué de Thomas Joly, Secrétaire général du Parti de la France :

La plupart des clandestins installés autoritairement à Friville-Escarbotin (80) par le préfet la semaine dernière, avec la complicité active de la municipalité, sont partis. D'une part, parce qu'ils souhaitent passer en Angleterre et vont tenter leur chance à Calais, Dieppe, Ouistreham ou Dunkerque. Et d'autre part, parce que, la veille de leur arrivée, les militants du Parti de la France avaient alerté les habitants de l'arrivée ces migrants. Il en a été de même à Moreuil (80).

Quoi qu'en dise la presse locale xénophile pro-invasion, les habitants des communes concernées étaient en très grande majorité hostiles à l'installation de ces clandestins, et la mobilisation des militants locaux du Parti de la France a été particulièrement appréciée et soutenue.

Partout où il le pourra, le Parti de la France sera aux côtés des Français qui refusent que leur commune soit colonisée par des migrants.

Source cliquez ici

19:09 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Contre la politique de la clique mondialiste, en attendant la grève générale : à partir du 17 novembre la France sera bloquée

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La colère gronde, les automobilistes appellent à se mobiliser le 17/18/19/20 novembre, contre l'augmentation du prix du gasoil/essence. Des dizaines d'opérations escargots sur les autoroutes de France partout sont prévues. Un seul responsable : le pouvoir mondialiste !

La Ligue du Midi appelle au blocage :

Savez-vous que depuis le mois de janvier 2018, à la pompe, le gazole a augmenté de près de 50 centimes, soit une hausse de l’ordre de 50 % en 10 mois ?

Ça ne peut plus durer… Pour un automobiliste lambda de la France périphérique qui prend son véhicule pour aller travailler chaque jour, la dépense supplémentaire est de 120 euros par mois, soit près de 250 euros pour un couple. Dans ces conditions, nombreux sont ceux qui se demandent si ça vaut « vraiment le coup » d’aller travailler en ville, surtout si l’on rajoute l’usure du véhicule, le parking, les radars, la garde des enfants, la cantine etc…etc.

Selon un sondage IFOP publié par le JDD, 77 % des Français jugent que leur pouvoir d’achat a diminué depuis l’élection d’Emmanuel Macron. Aussi, le gouvernement qui sent la colère populaire gronder, tente de se défausser en accusant l’augmentation des cours du pétrole, et prétend « Taxer la pollution plutôt que les travailleurs ». Foutaises… En fait, ils ne font rien contre la pollution – exemple du glyphosate ou du nucléaire –, mais ils sont en train de ruiner les travailleurs et plus généralement les couches populaires qui représentent la grande majorité de la population.

Ce gouvernement est en train de ruiner la FranceLe « système » à la solde de Bruxelles et des multinationales a un besoin impératif de croissance qu’il tente de trouver en finissant de livrer aux marchés les derniers pans du patrimoine commun : services publics, participations publiques, fonctions régaliennes, tout va y passer… MACRON n’est là que pour finaliser la « grande braderie », car les marchés n’ont pas besoin de travailleurs mais de consommateurs même insolvables. Leur consommation sera financée par la suppression de notre protection sociale et par la dette qui sera ponctionnée sur le patrimoine financier et foncier de la classe moyenne de souche. Un immense transfert social est en train de se produire, les classes populaires doivent être ruinées pour que les nouveaux venus puissent consommer et produire de la croissance.

Les automobilistes et motards sont d’autant plus en colère que l’État tente de les culpabiliser afin de les tondre un peu plus chaque jour : de nouveaux radars haute performance, capables de flasher 32 véhicules à la fois, des retraits de points en folie, des contrôles techniques angoissants…

Face à un État centralisateur aux mains des mondialistes qui stérilise tout contrepouvoir et digère toutes les oppositions conventionnelles au parlement, seule la mobilisation de terrain peut être efficace. Rares sont les hommes politiques venus au renfort des aspirations du peuple. Le vide s’est fait entre le pouvoir et le peuple. Les partis électoralistes conventionnels sont aux abonnés absents. Des opportunités historiques vont se faire jour, il n’y a plus rien entre le peuple et ce pouvoir en phase de décomposition finale.

Car ce pouvoir malgré son arrogance est extrêmement fragile, son socle de légitimité est trop faible pour qu’il puisse contenir la poussée qui monte inexorablement… Qui dans l’administration ou dans la société civile le protégera contre un mouvement populaire de vaste ampleur ?

Souvenons-nous de la « révolution de jasmin » en Tunisie et le départ de BENALI, parce qu’un marchand à la sauvette s’était fait brutaliser par un policier à Sidi Bouzid. Des conditions analogues se présentent à nous. Un premier ballon d’essai nous est proposé : celui des actions à travers tout le territoire le 17 novembre qui pourraient tout emporter.

Qui peut savoir qui ou quel évènement fera reculer ce régime ? Quelle sera la goutte qui fera déborder la coupe « trop pleine » ? Cette goutte sera peut-être celle du prix du gazole et des carburants qui prend à la gorge les familles d’ouvriers, de cadres, d’artisans, d’entrepreneurs…

Les identitaires et patriotes doivent venir en soutien et contribuer à la réussite de la mobilisation du 17 novembre. Nous devons tout faire pour développer ce mouvement et pour le faire déboucher sur ces questions vitales pour notre peuple qui sont celles du déclassement et de la paupérisation.

Richard Roudier

Consignes

La 17 novembre : ne faire « aucun achat », n’aller dans « aucune banque », ne « pas se servir aux pompes » à essence, « aucun cinéma », « aucune dépense » de quelque sorte, pas « un seul centime », « aucune caisse en marche dans tout le pays », « ne pas prendre de transports en commun », pas de péages, parkings, autoroutes, là oui on bloque ce qui emmerde le plus le gouvernement c’est à dire « LE FRIC »

En voiture, moto, scooter… amenez vos gilets jaunes !!!

* comme partout en France

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Pierre Vial, Président de Terre et Peuple, apporte son soutien à la marche de la Reconquête du samedi 10 novembre prochain

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Pierre Vial, Président de Terre et peuple, invite les adhérents et sympathisants du mouvement à participer, dans un souci unitaire et avec les drapeaux tricolores frappés de l'Edelweiss, à la marche de la Reconquête du samedi 10 novembre organisée par le Dissidence française de Vincent Vauclin.

Le communiqué de la Dissidence française :

Le samedi 10 novembre à 15h s'élancera la Marche de la Reconquête, contre l'immigration massive et pour l'instauration immédiate de la préférence nationale !

MOBILISATION GÉNÉRALE !

Nous lançons aujourd'hui un appel à tous les nationalistes et patriotes français : soyons nombreux à répondre présents à cet évènement, pour enfin faire entendre notre voix et ne plus laisser la rue aux ennemis de notre pays !

Cette manifestation a été déclarée en préfecture et son parcours approuvé par les pouvoirs publics. Plusieurs organisations patriotes seront représentées lors de cette grande manifestation unitaire.

Invitez vos amis et partagez massivement cet évènement, nous comptons sur vous !

RDV LE SAMEDI 10 NOVEMBRE 2018 À 15H
PLACE DE LA BOURSE, PARIS (2ème ARR.)

L'appel de Vincent Vauclin :

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Le Journal de Bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

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Sortie le 2 novembre : UN NUMÉRO HORS SÉRIE DÉTONNANT DE "PRÉSENT" SUR "L'AFFAIRE MÉRIC"

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À NE PAS MANQUER, CHEZ VOTRE

MARCHAND DE JOURNAUX OU SUR

LE SITE DE PRÉSENT CLIQUEZ ICI

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Du carnaval moche au vandalisme, voire au terrorisme

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Bernard Plouvier

Passé du rituel celtique au Nouveau Monde anglo-saxon, revenu en Europe occidentale pour familiariser les enfants, grands et petits, avec le parfum de l’horreur, Halloween pourrait bien devenir une occasion d’émeutes pour la racaille autochtone et immigrée.

Vous la connaissez – même si le pouvoir et les media font semblant de la minimiser voire de l’ignorer -, cette racaille qui règne en France sur deux mille cités de non-droit et vomit régulièrement ses hordes sur les quartiers adjacents et les centres-villes (un mot composé que chacun peut conjuguer à son aise, car les chenus académiciens ne sont point parvenus à s’accorder sur son pluriel... encore un symbole du laisser-aller post-soixante-huitard).

La violence sous toutes ses formes a envahi jusqu’aux églises (mais pas les mosquées, allez savoir pourquoi), les hôpitaux et les écoles. Nos excellences jouent aux matamores, mais aucune n’ose présenter la cause véritable de ce déchaînement de bestialité, qui depuis les années 1950 avait disparu d’Occident.

Les mahométans, soutenus par les roitelets des terrains pétrolifères, des champs de haschisch et de pavot, sont intouchables. Oser parler des Africains et des Moyen-Orientaux comme cause essentielle de la violence, c’est faire du « wouacisme ». Prétendre qu’il existe en France, en Belgique, en Allemagne, en Grande-Bretagne un racisme anti-Blancs effarant, c’est délirer !

Certes, il existe une minime source autochtone de violence : celle des gauchistes, trotskistes et autres fils à papa friqués jouant avec le feu, comme un honteux procès récent l’a démontré. Mais ces tristes sires – encouragés par quelques politiciens que nul n’inquiète pour leur machiavélisme de débiles – ne représentent que quelques dizaines d’attardés, qu’un unique affrontement avec une horde de « jeunes chances pour la France » anéantirait.

Il n’est pas étonnant qu’en tout pays envahi, les populistes gagnent en crédibilité. À dire vrai, ils remporteraient toutes les élections si, au lieu de parler lors des périodes pré-électorales, ils montraient simplement les images exactes des quartiers de cités européennes saturés d’individus exotiques, des émeutes raciales, des actes de violence menés individuellement ou plus souvent en bande par nos « chers immigrés »... et c’est vrai qu’ils sont « chers » : les impôts et taxes à la consommation grimpent à chaque nouvelle arrivée massive de ces « invités ».

Si halloween est – comme l’a été la finale de la coupe du monde de football – l’occasion de débordements haineux des indésirables, il faut qu’un maximum de citoyens filment ces émeutes et en fassent circuler les images sur le Net, qui reste encore – mais plus pour très longtemps – un espace de liberté d’expression, alors que les media consensuels jouent le jeu de la désinformation, donc du pourrissement de la situation.

Il faudra bien un jour que nos princes reconnaissent qu’en terre civilisée, seule la Nation est souveraine. Seule, elle a le pouvoir de statuer sur l’arrêt ou la continuation de l’invasion de sous-doués violents qui nous submerge et sur l’opportunité de renvoyer impitoyablement les inutiles : chômeurs, délinquants et criminels.

À trop laisser monter la colère du bon peuple, il arrive qu’il se fâche. Les guignols qui se sont succédés aux apparences du pouvoir depuis le milieu des années 1970 n’ont fait qu’accroître les risques pour la Nation. Il ne lui restera bientôt plus qu’une alternative simple : l’expérience populiste ou la révolution, qui toujours et partout fut aussi bête que violente.     

11:58 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Reconstruire un État fort qui se fasse respecter

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Ligne Droite cliquez ici

Devenu tentaculaire et omniprésent, incarné par une armée de fonctionnaires, l’État multiplie aujourd’hui les règlements, les taxes et les impôts. Mais il s’agit en réalité d’un État faible qui s’acharne sur les honnêtes citoyens alors qu’il est incapable de faire observer les lois de notre nation à ceux qui le défient. Aussi Ligne droite considère-t-elle comme indispensable de reconstruire un État fort, qui puisse reprendre le contrôle du territoire, se faire respecter par tous et qui, dans le même temps, soit capable de maîtriser les finances publiques et de réguler l’économie et le social.

L’État, ennemi du Système

L’État fort a en effet disparu en France car il est le grand ennemi des tenants de l’idéologie libérale libertaire qui, depuis la fin du XXe siècle, ont entrepris sa déconstruction méthodique.

Les néo-libéraux ne voyant en lui qu’une menace contre les droits individuels pensent donc qu’un État faible qui réduit l’action publique à la mise en œuvre de l’état de droit et au respect des contrats, assurera mieux la liberté des personnes.

Quant à l’oligarchie mondialiste, elle s’appuie sur cette idéologie pour réclamer la privatisation la plus large des fonctions étatiques et offrir ainsi, au prétexte d’une efficience supérieure, de nouveaux marchés aux grandes entreprises. Elle estime de surcroît que l’affaiblissement des États favorise l’émergence de la « gouvernance mondiale », qu’elle appelle de ses vœux.

L’État illégitime, obèse et impuissant

Ligne droite rejette cette idéologie pernicieuse qui n’a nullement amélioré la situation des Français, comme on le leur promettait. Au contraire, les libertés se sont réduites, l’insécurité et la violence ont explosé et les services publics fonctionnent moins bien qu’avant. L’État est devenu dès lors illégitime car à la fois tentaculaire et impuissant.

L’État a en effet accentué son emprise sur les Français pour orienter leur façon de vivre, les soumettant par exemple au vivre ensemble ou leur indiquant comment ils doivent se comporter avec leurs enfants ou avec leur conjoint. Devenu une gigantesque bureaucratie en charge de la vie privée des citoyens, il ne cesse de réduire leurs libertés concrètes en multipliant les réglementations, les taxes et les impôts.

Mais dans le même temps l’État n’assure plus correctement ses fonctions essentielles. Les services publics paupérisés se retirent des territoires et sacrifient leurs investissements. Les racailles n’ont plus peur de la police ni de la justice. Ce sont au contraire les forces de l’ordre, sous-équipées, qui n’osent plus s’aventurer dans les zones de non-droit. Quant aux frontières, elles sont devenues inexistantes pour le plus grand profit des passeurs et des trafiquants. 

L’État n’est désormais fort que vis-à-vis de ceux qu’il devrait protéger, comme les Français des classes moyennes et populaires qu’il accable de règlements et de taxes. Mais à l’égard de ceux qu’il devrait contraindre, comme les voyous, les lobbies, les islamistes, les clandestins ou les puissances économiques ou financières, l’État se montre d’une grande faiblesse.

Ligne droite dénonce cet abandon et préconise le retour d’un État fort et respecté.

Restaurer la prééminence du pouvoir politique

Pour ce faire, Ligne droite propose d’abord de renforcer le pouvoir politique et donc de restaurer la primauté de l’exécutif et la légitimité du législatif, conformément d’ailleurs aux principes de la VeRépublique. La durée du mandat présidentiel devra dans cet esprit être portée à sept ans afin de permettre au président d’agir dans la durée. Le gouvernement des juges sera démantelé et pour ce faire la suprématie des députés et sénateurs élus sur les juges nommés sera rétablie. Enfin, le système électoral sera revu pour que l’Assemblée soit de nouveau représentative de la réalité du peuple.

Reprendre le contrôle du territoire

Pour Ligne droite le retour à un État fort exige ensuite de restaurer la souveraineté politique de la France sur son territoire. Ce qui implique que l’État retrouve le contrôle de ses frontières, maîtrise l’immigration et reconquière les zones de non-droit. Autant d’exigences impératives sans lesquelles l’État continuera d’être bafoué et avec lui la France et les Français. Malgré les graves difficultés qui se présenteront, il est possible atteindre ces objectifs et Ligne droite a explicité par ailleurs les moyens d’y parvenir.

Reconstruire des forces de sécurité qui imposent le respect

Tout cela suppose cependant que les forces de l’ordre, les services de renseignement et les armées soient de nouveau prioritaires tant pour leurs équipements que pour le soutien qu’ils reçoivent du pouvoir. Tout doit être fait pour que les forces de sécurité reprennent pleinement confiance en elles-mêmes et inspirent le respect et la crainte chez les voyous. Un État fort est un État qui sait mater ceux qui le défient et ne tolère pas que certains s’exonèrent impunément des règles qu’il édicte. La remise à niveau organisationnelle et budgétaire de la police et de l’armée doit donc constituer une priorité, tout comme la réforme de la politique pénale qui doit permettre de neutraliser durablement les voyous, les groupes séditieux, les délinquants et les terroristes.

Retrouver la maîtrise des finances publiques

Le retour d’un État fort exige par ailleurs le rétablissement de l’équilibre des finances publiques. Un impératif pour rendre sa liberté de manœuvre à l’État et éviter qu’il se trouve soumis au chantage des institutions financières internationales ou de la Commission européenne.

Pour réduire en conséquence les dépenses publiques, Ligne droitepréconise une profonde réforme qui mette un terme au foisonnement des agences et services administratifs, qui réduise le millefeuille de l’organisation territoriale française, qui supprime les dépenses de transfert et les subventions aux associations dont l’utilité économique et sociale est douteuse. Si l’on ajoute à cela la préférence nationale dans l’accès aux prestations, il sera possible de retrouver des finances saines qui rendent son autorité à l’État.

Assurer la régulation de l’économie et du social

Un État fort doit aussi retrouver son rôle d’arbitre du bien commun en matière économique et sociale pour corriger les errements du marché ainsi que les initiatives intempestives qui ne seraient pas conformes à l’intérêt national.

Mais il doit aussi être porteur d’une stratégie industrielle volontariste et s’affirmer à nouveau comme l’initiateur de projets d’envergure. Les grandes réalisations, notamment celles des années soixante – soixante-dix, dont s’enorgueillit à juste titre notre pays ne sont pas le fruit de l’initiative spontanée du marché, elles résultent de l’action publique qui a mis en mouvement l’initiative privée. Pour Ligne droite, un État fort doit retrouver au XXIe siècle l’esprit pionnier des grands administrateurs de jadis qui ont fait avancer la France en relevant de grands défis collectifs par la mobilisation du génie national.

Il n’y aura pas de renouveau national et civilisationnel sans un État fort.

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24 et 25 novembre : deux journées avec les Éditions de Chiré à Lille

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mardi, 30 octobre 2018

Chômage : Non ! On n'a pas tout essayé.

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Jean-François Touzé,
Membre de la Direction du Parti de la France
 
François Hollande avait fait de l'inversion de la courbe du chômage la condition sine qua non d’une candidature à sa réélection à la Présidence de la République. On sait ce qu'il en advint.
 
Emmanuel Macron, quant à lui, promettait solennellement, il y a un peu plus d'un an, de faire passer le chômage sous la barre des 7 %. C'est bien mal parti…
 
Le nombre de demandeurs d'emploi inscrits en catégorie A (sans activité) a, en effet, augmenté de 16 400 personnes au troisième trimestre, pour atteindre 3,7 millions, selon les chiffres trimestriels publiés jeudi par le ministère du Travail. Au deuxième trimestre, la hausse avait déjà été de 0,1 %.
 
Certes, sur l'année, la tendance reste à la baisse (-1 %). Mais il ne faut voir là que l'effet mécanique du vieillissement de la population et de la réduction conjointe du nombre d'actifs. Au total, si l'on tient également compte des personnes qui ont une activité réduite (catégories B et C) et celles qui ne sont pas tenues de chercher un emploi (catégories D et E), le nombre d'inscrits s'établit à 6,6 millions de personnes. Ces mauvais résultats ne sont pas une surprise. Ils résultent du tassement de la croissance économique qui a progressé de seulement 0,2 % au premier et deuxième trimestre. Ce phénomène s'est fait sentir sur le nombre de créations nettes d'emplois dans les secteurs public et privé, qui a atteint 12 500 entre avril et juin, selon les derniers chiffres de l'Insee publiés en septembre. Soit quatre fois moins qu'au premier trimestre. Et l'institut officiel table sur un ralentissement conséquent de l'emploi sur l'ensemble de l'année, avec seulement 129 000 créations nettes, contre 342 000 en 2017.
 
Signe particulièrement inquiétant de la dégradation de la situation, le nombre de demandeurs d'emploi inscrits depuis un an ou plus a augmenté de 1,1 % entre juillet et septembre et de… 6,4 % sur l'année, se chiffrant à 2,8 millions de personnes. Autre point alarmant : le nombre de demandeurs d'emploi inscrits en catégorie B, qui exercent une activité réduite de courte durée (78 heures ou moins par mois), a progressé de 2,1 % au troisième trimestre et de 2,7 % sur l'année, en France métropolitaine.
 
On le voit, le macron-libéralisme ne fonctionne pas mieux que le socialo-capitalo-laisser-faire de ses prédécesseurs.
 
Nous sommes toujours dans le même renoncement et la même persistance dans l'aveuglement qui unit Mitterrand, Chirac, Sarkozy, Hollande et maintenant Macron qui, n'en doutons pas, ne tardera pas à renouer avec les vieilles ficelles du « traitement social du chômage ».
 
Pour le Parti de la France, seule une politique économique volontaire alliant réindustrialisation(plus encore que ses prédécesseurs, Macron a abandonné l’industrie française au triste sort de la néantisation), préférence nationale à l'embauche, priorité aux produits français et européens, protections douanières continentales, réduction drastique des dépenses non régaliennes (et hors santé publique) de l'État permettant la baisse des impôts, des taxes et des charges, elle-même induisant le retour à la compétitivité pour nos entreprises et la relance de la consommation par la hausse du pouvoir d'achat des ménages, sera en mesure d’opérer un retour de la France vers le plein-emploi.
 
En 1993, Mitterrand affirmait « Contre le chômage, on a tout essayé »… Non ! Pas la voie nationale.

07:14 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 29 octobre 2018

La bonne (et la mauvaise) nouvelle du jour :

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Source MPI cliquez ici

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Après des décennies de corruption, de violences et de mensonges, le Brésil en liesse fête sa libération

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Victoire cliquez ici du candidat nationaliste Jair Bolsonaro avec 56% des voix.

08:34 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les soubresauts d’un cadavre

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Georges Feltin-Tracol

Il faut parfois s’attarder sur des événements bousculant l’infiniment petit, à savoir les récents soubresauts du Parti communiste français. Plus grande formation groupusculaire française, le PCF est aujourd’hui très loin du 1er tour de la présidentielle de 1969 où son candidat, Jacques Duclos, avait atteint 21,3 % des suffrages. Aux législatives de 2017, les candidats de la place du Colonel-Fabien n’ont rassemblé que 2,72 % des voix. Ce résultat dérisoire ne les a pas empêchés d’obtenir dix sièges et de former avec six députés d’Outre-mer le groupe Gauche démocrate et républicaine. Aussi présent au Palais du Luxembourg avec douze sénateurs, le PCF dirige encore un département (le Val-de-Marne), dispose d’une trentaine de conseillers régionaux et administre quelques communes, les plus mal gérées de l’Hexagone et les plus touchées par le communautarisme allogène rampant.

Les 6 et 7 octobre derniers, les adhérents communistes devaient choisir entre quatre propositions de base commune à débattre par leur conseil national (au PS, on aurait parlé de « motions »). 30 172 militants y ont participé. Le résultat final révèle un véritable tremblement de terre ! Pour la première fois, le texte de la direction et du secrétaire national, le sénateur de Paris Pierre Laurent, intitulé « Le communisme est la question du XXIe siècle », se retrouve en minorité. Certes, avec 11 461 voix (37,99 %), il arrive en tête dans 49 fédérations et remporte la majorité absolue dans 29 autres dont les Bouches-du-Rhône et la Seine – Saint-Denis. Il est cependant dépassé par la proposition présentée par André Chassaigne, le truculent député du Puy-de-Dôme de la circonscription d’Ambert – Thiers, et de son collègue nordiste, Fabien Roussel. « Pour un manifeste du Parti communiste du XXIe siècle » recueille 12 719 voix (soit 42,15 %), arrive en tête dans 40 fédérations et obtient la majorité absolue dans 24 fédérations, en particulier le Nord, le Pas-de-Calais et le Val-de-Marne. Catalogué « orthodoxe », le duo Chassaigne – Roussel dénonce les atermoiements de Pierre Laurent, rêve d’un PCF plus revendicatif et soutient une ligne d’indépendance par rapport à l’hégémonisme croissant de La France Insoumise de Jean-Luc Mélenchon.

Les mélenchonistes du PCF connaissent pour leur part une cuisante défaite. Déjà, en 2016, seuls 53,6 % des militants communistes avaient approuvé le soutien officiel à l’ancien sénateur trotsko-mitterrandien de l’Essonne pour la présidentielle. « Se réinventer ou disparaître ! Pour un printemps du communisme » ne récolte que 11,55 % et 3 607 suffrages, c’est-à-dire 3 300 voix de moins que deux ans auparavant. Ce désaveu cinglant traduit l’immense méfiance des derniers communistes à l’égard des « Insoumis ». Dès à présent, Ian Brossat, l’adjoint de l’exquise mairesse de Paris, doit conduire une liste concurrente aux européennes de mai 2019.

Quant à l’éternel opposant Emmanuel Dang Tran qui défend des positions strictement ouvriéristes orthodoxes, sa contribution, « PCF : reconstruire le parti de classe, priorité au rassemblement dans les luttes », ne récolte que 2 385 suffrages (7,90 %). Ce chef de file de la faction « Vive le PCF ! » refuse toute négociation avec les mélenchonistes, l’extrême gauche trotskyste, le PS et la gauche modérée. Ce néo-bolchevik appelle au contraire au retour décomplexé de la tactique du Parti dans les années 1920 appelée « classe contre classe ».

Les cabines téléphoniques ont été supprimées. C’est bien dommage, car on aurait pu mieux observer les jeux d’appareil, les trahisons internes ainsi que les rivalités personnelles exacerbées de ce microcosme tant la crise devient profonde au PCF. Ne vaudrait-il pas mieux l’euthanasier ?

Bonjour chez vous

• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°96, diffusée sur Radio Libertés, le 26 octobre 2018.

Source cliquez ici

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08:34 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Réinfo, le mag du Parti de la France de cette semaine

• Fiscalité : Les réformes fiscales de l'exécutif n'arriveront pas à endiguer l'augmentation vertigineuse des prélèvements obligatoires. Emmenant le déficit de l'État au-delà des abysses. L'État est partout, l'État coûte cher et l'on constate tous les jours la dégradation généralisée des services publics.
• Promotion de Jean-Marc Borello : Dans la république des copains, c'est un visiteur du soir, un pilier de la Macronie, encensé par le Forum de Davos, qui s'est vu confié rien de moins que la déradicalisation. Son parcours pourtant édifiant laisse planer un doute sur ses compétences et aurait dû le tenir éloigner de toute responsabilité.
• Tout va bien, vous êtes en Macronie.Avec le nouveau copain antillais de Macron sous les verrous, les délires christiques de Marlène Schiappa, l'accueil d'un migrant à cinq euros la nuit et la suppression des périodes militaires pour le calcul de la retraite.
•Démocratie inquiétante en Pologne :La réforme judiciaire, soutenue par 80 % de la population polonaise, qui se passe en douceur et sans incident, inquiète l'Union européenne. Elle envoie donc une délégation du Parlement européen pour enquêter.

Et pour finir, l’actualité du parti de la France et les prochains rendez-vous du mouvement.

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07:55 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 28 octobre 2018

Le nouveau numéro (n°48) de l'Aristoloche

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Lire ce numéro 48 cliquez ici

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Face à la hausse des taxes et impôts : Carl Lang apporte son soutien à l'initiative populaire du samedi 17 novembre

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Un communiqué de Carl Lang,

Président du Parti de la France :

Tandis que le prix du pétrole ne cesse de monter et que le baril de brent vient de dépasser les 80 dollars (+ 15% en deux mois), le gouvernement choisit d'aggraver encore la charge fiscale sur les carburants, soumettant ainsi les automobilistes français  – et singulièrement nos compatriotes vivant dans les zones rurales ainsi que ceux pour qui la voiture est un instrument de travail indispensable – à une pression intolérable. 

Depuis janvier, les taxes ont augmenté de 7,6 centimes par litre pour le gazole et de 3,9 pour l'essence.

Pour faire simple, pour un plein de 50 litres de diesel hebdomadaire, l'augmentation fiscale sur l'année 2018 sera de 200€ et de 100€ pour l'essence. Une hausse inacceptable qui obère un peu plus le pouvoir d’achat des familles et contraint certains de nos compatriotes à limiter leurs déplacements. 

Le samedi 17 novembre 2018, à l'appel de nombreuses associations et collectifs, les automobilistes français sont appelés à manifester leur colère et à bloquer pacifiquement les routes. Le Parti de la France s'associe à cette mobilisation nationale et invite ses adhérents et sympathisants à y participer.

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Samedi prochain, 3 novembre, 30 ans après sa mort, le Parti de la France rendra hommage à Jean-Pierre Stirbois

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Ouistreham, contre l'immigration clandestine, face aux valets du Système, ils ont sauvé l'honneur de la Normandie

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Samedi après-midi, le Parti de la France du Calvados appelait à un rassemblement sur la jetée de ce qui fut la paisible station balnéaire de Ouistreham. Rappelons que celle-ci est en passe de devenir une sorte de Calais-bis en raison des liaisons maritimes avec la Grande-Bretagne qui attirent de nombreux immigrés clandestins. Plusieurs dizaines de patriotes normands, dont de nombreux jeunes, ont participé à cette manifestation qui avait le soutien de la Dissidence française, le parti de Vincent Vauclin.

Face à cette initiative salutaire, la meute des chiens de garde de la finance mondialisée que sont les syndicats et partis de gauche, ainsi que les guignols gauchistes de toutes obédiences, avaient appelé à contremanifester. En tout, une poignée de sexagénaires déchainés, protégés par les forces de police, qui se sont totalement ridiculisés.

Notons les brillantes interventions de Thomas Joly, Secrétaire général du PDF, et de Vincent Vauclin. La réaction de Bruno Hirout, le dynamique et sympathique responsable local du Parti de la France, est claire  : "Je suis très heureux de notre rassemblement de ce jour à Ouistreham, beaucoup d'énergie positive et un état d'esprit offensif qui a fait plaisir à voir !".

Les habitants de la ville, abandonnés par les politicards locaux face à la promiscuité peu enviable qui leur est imposée, ont été nombreux à soutenir cette belle manifestation. Pour le PDF du Calvados, le combat pour sauver Ouistreham ne fait que commencer...

S.N.

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11:19 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |