vendredi, 24 mai 2019
Conférence de Marion Sigaut "L’autorité parentale en danger"
L’équipe d’E&R PACA a reçu Marion Sigaut le 13 avril 2019 à Marseille pour une conférence intitulée « L’autorité parentale en danger ». Plus d'info ICI
16:31 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Samedi 1er juin : conférence de Philippe Milliau, Président de TV Libertés, à Périgueux
16:19 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Nigel Farage pulvérise les adversaires du Brexit, et affole Merkel-Macron
14:03 Publié dans En Europe et ailleurs..., Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Avez-vous lu le nouveau numéro hors-série de Présent sur l'écologie ?
En vente chez votre marchand de journaux
ou sur le site de Présent cliquez là
Lire aussi :
Le commander cliquez ici
12:11 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Un entretien avec Vincent Vauclin (liste Reconquête - Dissidence française) sur Paris-Vox
Propos recueillis par Etienne Lafage
Paris Vox cliquez ici
Paris Vox – Qu’est-ce qui pousse une liste patriote radicale à se présenter aux élections européennes ? Avec des faibles moyens financiers, sans temps de parole dans les débats télévisés, à peine de quoi livrer des bulletins de vote et des affiches dans chaque bureau, Vincent Vauclin parvient tout de même à exister parmi les 33 autres candidats du scrutin. À quelques jours des élections européennes, le président de la Dissidence Française, à la tête de la Liste de la Reconquête, répond aux questions de Paris Vox.
QUEL EST LE BUT DE PRÉSENTER UNE LISTE DE LA DISSIDENCE FRANÇAISE ?
La Liste de la Reconquête présentée par la Dissidence Française est une réponse à la crise de représentation politique qui traverse notre pays. L’aseptisation du débat public par le politiquement correct tue la pensée critique et appauvrit considérablement l’offre idéologique de la plupart partis politiques entre lesquels les différences ne sont plus que de degrés, et non de nature. Or, face à la menace que le Grand Remplacement et l’islamisation font peser sur la civilisation européenne, face à la lobbycratie de Bruxelles qui oeuvre méthodiquement au démantèlement de toutes nos souverainetés, nous avons considéré qu’il était temps de brusquer le conformisme ambiant pour proposer une offre politique radicalement nouvelle.
QUEL MESSAGE VOULEZ-VOUS PORTER AUPRÈS DES ÉLECTEURS ?
Ouvrez les yeux avant qu’il ne soit trop tard. Le nombre de mosquées a été multiplié par seize en quarante ans. L’islam est devenu la première des religions pratiquées en Seine-Saint-Denis. La France compte plus de 750 Zones Urbaines Sensibles (ZUS) abritant 5 millions de musulmans, et où ce sont les prêcheurs islamistes et les dealers qui font la loi. Ces quelques chiffres proviennent directement du Ministère de l’Intérieur et ne souffrent d’aucune équivoque. Ils témoignent d’un bouleversement identitaire considérable dont il est temps de prendre la mesure et de saisir les implications. Car compte-tenu des vagues de naturalisations massives opérées par tous les gouvernements depuis 30 ans, de la dynamique démographique des populations immigrées, et des flux migratoires intarissables qui drainent chaque année près de 400 000 immigrés supplémentaires dans notre pays, nous serons bientôt minoritaires sur notre propre sol. La délinquance, le chômage et le terrorisme ne sont que des symptômes d’un phénomène bien plus diffus et inquiétant, et face auquel les imposteurs de la fausse droite sont tétanisés. Jamais les Français n’ont été consultés par référendum sur l’immigration massive. Jamais on ne leur a demandé s’ils voulaient vivre dans une société multiculturelle. En votant pour la Liste de la Reconquête le 26 mai prochain, ils pourront envoyer un signal très clair qui contribuera à faire bouger les lignes à droite.
IL N’Y AVAIT, POUR VOUS, AUCUNE LISTE PATRIOTE QUI MÉRITAIT VOTRE VOIX ?
Que ce soit le RN de Marine Le Pen, DLF de Dupont-Aignan, ou LP de Philippot, leur patriotisme s’arrête aux bornes du politiquement correct. Ils sont certes les premiers à montrer les dents contre le port du voile à l’école ou les repas halal dans les cantines, mais il ne s’agit en réalité que de postures et de démagogie sur des thématiques secondaires. Car dès lors qu’il s’agit d’aller au bout du raisonnement, c’est-à-dire de constater la réalité du Grand Remplacement, et de considérer que seule l’inversion des flux migratoires (la remigration) permettra de préserver notre pays du spectre de la sédition communautarisme, il n’y a plus personne. Il suffit de regarder leurs programmes : ils se contentent tous de quelques incantations contre l’immigration clandestine et pensent encore pouvoir relancer le processus d’assimilation des étrangers quand tout démontre le contraire. En résumé, ils ont 30 ans de retard, ils n’ont pas pris la mesure des enjeux et préfèrent se coucher devant la gauche – et devant les médias – plutôt que de prendre le risque d’assumer un discours de vérité sur ce qui est en train de se jouer dans notre pays : un génocide par substitution.
QUE RÉPONDEZ VOUS À CEUX QUI APPELLENT À VOTER RN, EN TANT QUE « VOTE UTILE » ?
Le vote véritablement utile, c’est celui des convictions. On vote pour un projet, pour une vision du monde, et pour faire entendre sa voix dans le débat public. Se contenter de « voter contre », c’est s’assurer d’être l’instrument de démagogues et de carriéristes qui n’ont plus aucune garantie à vous donner sur le fond, puisqu’ils sont assurés que quoi qu’ils fassent et quoi qu’ils disent, ils pourront toujours compter sur le « vote utile » pour sauver leur place. Or c’est précisément pour cette raison que la politique se résume aujourd’hui à des querelles de boutiquiers, et que le débat public s’appauvrit en faisant l’impasse sur les grands enjeux de notre temps.
À QUELQUES JOURS DES ÉLECTIONS, QUEL BILAN TIREZ-VOUS DE CETTE CAMPAGNE ÉLECTORALE ?
C’est une première pour nous : la Dissidence Française a opéré sa transformation en parti politique il y a moins d’un an, en octobre 2018. En quelques semaines, nous avons réussi à bâtir une liste d’union des nationalistes pour les européennes, à mobiliser tous les courants de notre famille politique pour lancer cette campagne, et à médiatiser largement nos idées. En cela, c’est déjà une grande victoire. Quel que soit le score que nous ferons, nous pouvons être fiers du travail que nous avons accompli en un temps record et avec des moyens très faibles si on les compare à ceux des partis du Système. Sans subventions publiques ni ressources occultes, nous avons fait imprimer et expédier des milliers d’affiches, des dizaines de milliers de tracts et de bulletins de vote, tout cela grâce à la mobilisation remarquable de mes colistiers et des militants de la Dissidence Française. Mais cette campagne nous laisse également un goût amer, car elle n’est qu’un simulacre de démocratie, tant par la partialité arrogante des médias que par son caractère censitaire : beaucoup d’électeurs l’ignorent, mais l’impression et la distribution des bulletins de vote est à la charge des listes qui se présentent. Contrairement à la plupart des pays européens, ce n’est pas l’Etat qui finance directement l’impression des bulletins de vote pour les mettre à disposition des électeurs, mais bien les listes et les candidats. Et à moins de disposer d’un budget de plusieurs centaines de milliers d’euros, il est tout simplement impossible d’approvisionner tous les bureaux de vote en bulletins de vote. Ainsi, la Liste de la Reconquête – comme une quinzaine d’autres « petites listes » – a dû se résoudre à appeler ses électeurs à imprimer eux-même leur bulletin pour voter, ce qui est tout simplement un scandale dans un pays prétendument démocratique.
CETTE CAMPAGNE MARQUE UNE NOUVELLE ÉTAPE POUR VOTRE MOUVEMENT, DU CHANGEMENT EST À PRÉVOIR À LA DISSIDENCE FRANÇAISE ?
Je vous rassure, pas sur le fond. Nous ne naviguons pas à vue au gré des sondages, ni au gré des succès ou des échecs électoraux. Ce qui fait l’ADN de notre organisation, c’est une volonté affirmée de renverser la table, de bousculer le politiquement correct et de clore définitivement la parenthèse soixante-huitarde. Et si les grandes lignes de notre programme ne varieront pas, nous les préciserons et les développerons encore davantage pour les rendre plus audibles. Sur la forme par contre, nous sommes très flexibles et capables de nous adapter aux circonstances comme nous l’avons démontré lors de cette campagne. Ainsi, je pense que la Dissidence Française a vocation à se développer, à élargir son audience et multiplier les initiatives militantes et électorales pour démasquer les imposteurs de la fausse droite et faire émerger un véritable pôle de droite alternative.
QUEL VISION DE L’EUROPE DOIT PORTER LE CAMP NATIONAL ?
Contre la lobbycratie de Bruxelles, qui organise l’invasion migratoire du continent européen et sa mise sous tutelle par la finance et les grandes multinationales, nous voulons l’Europe des identités, des souverainetés et des subsidiarités. L’Europe que nous voulons n’oppose pas la région à la nation, ni la nation au continent, elle célèbre ses racines et exalte sa volonté de puissance pour reconquérir sa place dans l’espace et dans le temps. Face aux défis posés par la mondialisation économique et la crise écologique, par la pression démographique de l’Afrique et l’avènement d’un monde multipolaire, par les mutations technologiques et le poids croissant des firmes transnationales, les peuples européens ont une responsabilité historique : celle d’être à la hauteur de leurs aïeux en oeuvrant à l’édification d’une Confédération de nations libres dans une Europe indépendante, délivrée des tutelles et des carcans qui aujourd’hui l’enserrent.
QUE PROPOSER FACE À UN SYSTÈME QUI NE CONVIENT À PLUS PERSONNE ?
Les utopies soixante-huitardes ont failli et les mirages du « progrès » se dissipent. Dopée à la surconsommation et à l’individualisme pendant des décennies, la société moderne s’est érigée contre tout ce qui subsistait de normes naturelles, de traditions et d’usages populaires pour y substituer des formes standardisées de socialité. L’avènement du libéralisme-libertaire fut celui de la réification de l’ensemble des rapports sociaux. Le multiculturalisme a fait le lit d’une sédition communautariste qui met en péril l’unité nationale et la paix civile. En résumé, nous vivons une crise profonde de civilisation qui ne trouvera pas de réponse dans les incantations électorales des partis du Système, lesquels se contentent de répéter les mêmes slogans stéréotypés, et se gardent bien d’évoquer les vrais enjeux. Ce que nous proposons ? Une véritable révolution conservatrice, identitaire, sociale et culturelle, destinée à porter un coup d’arrêt définitif à la subversion libérale et mondialiste, et à remettre la France sur les rails de sa destinée. On ne fera pas l’économie d’une rupture nette avec les idéaux mortifères du « progrès » – du libéralisme au féminisme, en passant par l’antiracisme et le laxisme généralisé – si l’on veut véritablement tourner oeuvrer au redressement national.
QUELLES LEÇONS TIREZ-VOUS DES GILETS JAUNES ?
Cette mobilisation fut un moment historique, auquel nous avons bien évidemment participé dès ses débuts. C’était l’affrontement du pays réel contre le pays légal, de la France périphérique contre la lobbycratie hydroponique. Mais la répression policière, sa récupération par l’extrême-gauche et le glissement sociologique de la contestation (déplacement des ronds-points vers les grandes villes) ont eu raison de cette éruption révolutionnaire. Il n’en demeure pas moins que le régime a tremblé, et que les causes latentes de cet épisode sont toujours là : crise de représentation politique, précarité généralisée, sentiment d’effacement et de déclassement, préférence étrangère, matraquage fiscal etc… En tant qu’avant-garde, les nationalistes ont donc désormais la responsabilité de proposer une issue politique à cette colère, et c’est ce à quoi nous nous sommes employés en présentant la candidature de la Liste de la Reconquête pour les élections européennes. Notre message aux Gilets Jaunes de la première heure est très clair : le 26 mai, votez pour flanquer une bonne droite au Système !
IL EST VENU LE TEMPS DE LA RECONQUÊTE ?
Les lignes bougent partout en Europe, ce qui était impensable hier devient possible aujourd’hui. Alors que s’ouvre une séquence de recomposition politique majeure, nous avons la possibilité d’apporter une réponse à la déréliction de la droite et de faire entendre une voix radicalement différente. Ce mouvement de reconquête que nous sommes en train d’amorcer pourrait bien changer la donne, si les électeurs se mobilisent pour donner du poids à notre candidature et une légitimité à notre démarche. Aidez-nous à relever le défi !
Pour voter pour la Liste de la Reconquête, téléchargez le bulletin de vote en cliquant ici.
11:44 Publié dans Européennes 2019 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Retrait de Renaud Camus : la réaction de Pierre Cassen
00:52 Publié dans Européennes 2019 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
jeudi, 23 mai 2019
Le livre de Fernand Le Rachinel est en vente sur le site synthèse-editions.com
17:59 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
L'émission "Synthèse" sur Radio Libertés avec Bernard Monot, économiste
17:58 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
ASSANGE EXTRADÉ ?
Reportage de Vincent Lapierre
Le 2 mai 2019 s’est déroulée au palais de justice de Westminster à Londres l’audience concernant la demande d’extradition de Julian Assange par les États-Unis. Faisant à nouveau entrer en jeu divers actes d’accusation contre lui, ceux-ci entendent condamner Assange sur leur territoire, en réponse aux divulgations faites par ce dernier de crimes de guerres et d’actes de corruption implicant en grande partie les gouvernements américains successifs.
Une cinquantaine de personne, dont des Gilets jaunes français, était rassemblée devant le palais pour protester contre le déroulé de cette affaire qui ne présage rien de bon pour la liberté d’information et d’expression dans le monde occidental. Vincent Lapierre se devait d’aller sur place. Regardez également ICI
16:38 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
A Bruxelles, LR vote toujours à gauche. Qu’en pense Bellamy ?
Ne ratez pas le Présent de demain vendredi 24 mai dans lequel Olivier Bault vous permet de voir comment les députés LR et RN ont voté sur les questions sociétales durant la législature passée au parlement européen.
15:24 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Samedi 1er juin, Rouen honore Jeanne d'Arc
12:49 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
CE JEUDI 23 MAI, L'ÉCONOMISTE BERNARD MONOT SERA L'INVITÉ DE L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR RADIO LIBERTÉS
LES PRÉCÉDENTES ÉMISSION CLIQUEZ ICI
L'EUROVISION POUR LES PEUPLES,
LE LIVRE DE BERNARD MONOT CLIQUEZ ICI
12:41 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Valérie Bugault : Voilà les raisons du chaos universel !
Docteur en droit, Valérie Bugault publie un ouvrage détonnant : "Les raisons cachées du désordre mondial" chez Sigest. Elle explique comment depuis l'époque des grandes découvertes, les Etats sont peu à peu devenus des coquilles vidées de toute légitimité politique. Car en effet, les démocraties actuelles ne représentent plus les intérêts des peuples mais ceux des grands détenteurs de capitaux basés à la City de Londres et organisés comme des mafias. Mais Valérie Bugaut propose des échappatoires au sombre destin promis par les banquiers. Passionnant !
12:22 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine
11:15 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
mercredi, 22 mai 2019
Le Vlaams Belang et la nouvelle génération font trembler l'establishment politique
(Pour un environnement politique plus propre: aidez-nous au grand nettoyage) sous le balai vous voyez: gaspillage, hystérie climatique...
La campagne électorale bat son plein en Flandre. Ce qui inquiète la classe politique est cette nouvelle génération d'électeurs et candidats sur les listes de Vlaams Belang. Les sondages chez les jeunes nous montrent qu'un grand pourcentage d'entre eux rejette une certaine mentalité politico-affairiste qui comme en France ne voit que les intérêts des lobbys, des grands groupes financiers et du grand capital.
Notre vieux camarade dessinateur KORBO soutient d'ailleurs cette jeunesse prometteuse qui a l'ambition et la volonté de mettre un terme à cette mise en faillite de notre civilisation. Malheureusement, la réalité dépasse souvent ses caricatures.
L'homme qui fait peur à cette maffia politique est Dries Van Langenhove. (costume bleu) Il est le fondateur d'un mouvement de jeunes "Schild & Vrienden" (Bouclier & Amis) qui regroupe surtout des étudiants et intellectuels qui seront demain les cadres d'une nouvelle représentation politique en Flandre. Il s'est fait remarqué récemment en organisant à Bruxelles, avec succès, la manifestation contre le traité de Marrakech.
En Belgique les électeurs devront s'exprimer comme partout en Europe pour élire des nouveaux représentants au parlement européen mais également les députés du parlement belge et les représentants régionaux
Dries Van Langenhove est tête de liste à la Chambre de représentants de Belgique dans le Brabant flamant et notre ami Laurent Houllez, (parfaitement bilingue) qui est sur la même ligne de pensée est candidat au parlement flamand dans cette même et belle région non loin de Bruxelles.
Filip Dewinter en campagne :
Quant à notre ami Filip Dewinter, député d'Anvers, il prend aussi une part active dans la campagne. Il était la semaine dernière en Espagne pour convaincre les nombreux Flamands installés dans ce pays de voter pour le Vlaams belang.
18:20 Publié dans En Europe et ailleurs..., Européennes 2019, Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Renaud Camus se retire de la compétition...
L'annonce de Renaud Camus :
"Parce qu’une personne haut placée dans notre liste a été photographiée traçant une croix gammée dans le sable, sur une plage, puis s’agenouillant devant elle en prière. C’est exactement le contraire de tout ce que nous sommes et de tout ce que nous voulons. Je ne pouvais pas demander aux électeurs d’envoyer à Strasbourg une personne qui s’amuse à de tels jeux, même si, comme elle le dit, il ne s’agissait que d’un jeu idiot pour adolescents attardés."
La réaction de Karim Ouchickh :
"Je n’ai pas de commentaire particulier à apporter à l’annonce par Renaud Camus du retrait de la LigneClaire de la compétition électorale du 26Mai, une décision justifiée sur le fond quoique discutable sur la forme.
Le SIEL reprend son entière liberté pour agir demain de plus fort pour la grandeur de la France, la défense de la civilisation européenne et la prospérité de notre peuple".
NDLR SN : Passons à autre chose...
16:25 Publié dans Européennes 2019 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Pierre Hillard: Le mondialisme contre l'Eglise
Conférence donnée mercredi 15 mai 2019 à Saint-Nicolas du Chardonnet par Pierre Hillard au sujet de son dernier ouvrage, "Archives du Mondialisme" aux éditions "Nouvelle Terre".
Reportage réalisé par Jacques Buffet
16:01 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Le livre de Fernand Le Rachinel : une leçon de persévérance
Roland Hélie
Méconnu du grand public, sauf en Normandie bien sûr, Fernand Le Rachinel est un personnage pittoresque qui mérite que l’on s’intéresse à son cas. Et comme notre homme a le sens de la communication, il nous facilite la tâche en publiant un magnifique livre autobiographique.
A première vue, l’ouvrage est déjà impressionnant de par son forma, son épaisseur (560 pages illustrées) et sa reliure de qualité... Mais, ce qui est encore plus impressionnant c’est son contenu. Ce livre relate le destin hors du commun d’un homme parti de peu (issu d’une famille de modestes agriculteurs de la Manche, département particulièrement mal traité en 1944...), qui commença comme simple arpète à 14 ans dans une imprimerie locale et qui devint, à force de volonté et de courage, l’un des entrepreneurs les plus réputés de sa profession, l’imprimerie. Consécration en 1972, il fut décoré par Georges Pompidou de la médaille du MOF, entendez le Meilleur Ouvrier de France...
En effet, Fernand Le Rachinel est avant tout un entrepreneur qui n’hésita jamais à prendre des risques. Des risques physiques d’abord (il s’engagea volontairement en Algérie en 1961), des risques professionnels aussi (il monta plusieurs entreprises qui furent toutes aussi performantes les unes que les autres) et surtout des risques politiques car, élu confortablement comme maire de sa commune et conseiller général de son canton manchois (avec plus de 80% des voix au premier tour), il n’hésita pas, à la fin des années 1970, à s’engager aux côtés de Jean-Marie Le Pen alors que celui-ci était encore considéré comme étant « un élément marginal » de la vie politique française.
Il nous raconte, avec pudeur et franchise, toute sa vie. Ses joies et ses peines, ses convictions, ses espérances... Mais c’est bien sûr l’engagement politique de Fernand qui intéressera le plus les lecteurs de Synthèse nationale. Elu sans étiquette dans son canton (mais avec une solide réputation d’homme de droite), il deviendra à deux reprises député européen du Front national. Il nous livre de nombreuses anecdotes que nous vous laisserons découvrir avec délectation. Etre l’imprimeur du FN et l’ami de Jean-Marie Le Pen n’a pas toujours été de tout repos... loin s’en faut. C’est en lisant ce livre que l’on prend conscience du rôle primordial (et discret) que Fernand Le Rachinel a joué dans la percée et le développement du Front pendant 30 ans.
Homme d’honneur, après l’arrivée de Marine Le Pen à la tête du mouvement en 2011, Fernand ne supporta pas les dérives qui s’annonçaient et il se rangea aux côtés de Carl Lang qui lançait alors la Parti de la France, mais c’est déjà une autre histoire....
En lisant cette passionnante biographie qui a pour toile de fond la France de la seconde moitié du XXe siècle, on ne peut s’empêcher de faire un parallèle avec les Mémoires de Jean-Marie Le Pen dont le second tome paraîtra en septembre prochain. L’un est né en Normandie et l’autre, quelques années plus tôt, en Bretagne et, finalement, ces deux hommes étaient sans doute fait pour se rencontrer...
Mes vies comme un roman, Fernand Le Rachinel, 2019, 560 pages, 40,00 €
Pour commander ce livre cliquez ici
11:56 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Charlotte d'Ornellas démolit Nick Conrad ! Racisme anti-blancs et anti-France
11:24 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Ingérence américaine : il faut annuler l’élection présidentielle de 2017
10:52 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Bilal Hassani ou les Brigandes, un choix de civilisation
Thierry Decruzy Polémia cliquez ici
l’Eurovision, se produit dans les salons dorés de la Mairie de Paris pendant que Les Brigandes sont convoquées à l’Assemblée nationale. Manifestement, les élus de la République démentent Serge Gainsbourg qui classait la chanson dans les arts mineurs [1]…
Bilal Hassani, produit marketing
La nouvelle coqueluche poussée par les médias est un(e) chanteur(euse) transgenre qui représente la France à Tel-Aviv pour l’Eurovision. Il est soutenu dans sa prestation par une danseuse “grosse” et une autre “sourde”. Avec l’origine marocaine du chanteur et asiatique d’une danseuse, on sent que le manager a voulu cocher toutes les cases.
C’était pas gagné, Bilal avait soutenu Dieudonné et accusé Israël de crimes contre l’humanité… Inconnu l’année dernière, il est propulsé « icône pour la jeunesse LGBT+ française » par Têtu en décembre 2018. Dès le 6 du même mois il est parmi les candidats à l’Eurovision, le 20 sa chanson, Roi, est mise en ligne, le 12 janvier il est officiellement le candidat de la France et le 14 sa chanson dépasse les 3 millions de vues.
Vieux crocodile des milieux “branchés” parisiens, le journaliste Patrick Eudeline [2] (Best, Rock & Folk) se lâche expliquant que ça « dégouline sur une boucle en do de quatre accords basiques, le BAba de la chanson commerciale. […] Arpèges façon “Le piano pour les Nuls”, batterie compressée, reverb 80 et clichés R’n’B, faux-violons tartinés, portés de voix et vibes 90 sous Autotune, construction maladroite. » Il confirme que la candidature était « jouée d’avance », que la star aux millions de vues sur Youtube, c’est de l’« enfumage ». Son jugement est celui d’un professionnel qui n’a rien renié de sa jeunesse puisque « Lucifer porte un gilet jaune et le monde qu’on veut nous imposer n’est pas “sataniste”, il est vide ».
Le « jeune gay macroniste » n’est qu’un produit marketing destiné à promouvoir dans la jeunesse française le modèle comportemental voulu (imposé?) par le régime, tout comme Conchita Wurst en 2014. Coupés du pays réel, les Macronistes ont déjà sur le dos les Gilets jaunes et un Marocain transgenre ne peut qu’énerver les banlieues. Pas sûr que tout ce barnum médiatique sera suffisant : Madame Monsieur, les compositeurs choisis pour l’insipide chanson de Bilal, sont les loosers de l’Eurovision 2018, arrivés seulement 13e…
Les Brigandes face aux parlementaires
La chanson préoccupe les élus, pendant que certains font le forcing pour l’Eurovision, d’autres convoquent les chanteuses des Brigandes devant la commission d’enquête parlementaire sur les « groupuscules d’extrême droite ». Pas pour la liberté d’expression, on s’en doute : le compte Youtube du groupe a été fermé sans explication le 11 février dernier. Ça n’a pas intéressé les députés. Pourtant, aucune procédure, ni a fortiori de condamnation, ne pèse sur leurs chansons. Avec des titres dépassant le million de vues (pas l’enfumage de Bilal), cette élimination de pacifiques et charmantes chanteuses est significatif de leur audience et de l’importance que leur accordent les censeurs. Par leur convocation, les députés hissent ces artistes dissidentes quasiment au niveau de l’hommage qu’ils avaient rendu à Johnny en décembre 2017. Leurs compositions bénéficient dorénavant de la reconnaissance des élus de la Nation ! Leur censure n’en est que plus injustifiable.
Le contrôle d’internet, « la lutte contre les propos haineux » en novlangue, est devenu un enjeu stratégique pour les “démocrates”. Vendredi 10 mai, Mark Zuckerberg, fondateur de Facebook est venu spécialement à l’Elysée pour rédiger avec Emmanuel Macron le texte de la nouvelle loi qui va « faire de la France le pays qui invente la régulation », en clair pour alourdir la censure. Promouvoir les bonnes, éliminer les mauvaises, la chanson s’impose comme l’outil de conditionnement des foules.
Un nouveau disque de combat
Dans ce contexte hostile que Les Brigandes diffusent leur 8e CD, Contre le temps avec 12 titres et un bonus. Le 8e en moins de cinq ans ! Et par le seul groupe de musiciens professionnels existant dans la dissidence. Cette productivité et l’audience du groupe en font un véritable phénomène musical, expliquant l‘acharnement de la censure à réduire ces jeunes femmes au silence. Télévisions, radios et journaux ont envoyé leurs commissaires-politiques (journalistes en novlangue) dans leur petit village du Languedoc pour tenter de dresser la population et ses élus contre les musiciens. Le père de la député – Muriel Ressiguier (LFI) préside la commission d’enquête parlementaire – a des attaches dans leur village et leur a déjà manifesté son intérêt [3]. Au final, toutes ces campagnes médiatiques d’ampleur nationale n’ont fait qu’augmenter leur visibilité sans affecter leur créativité.
Dans leur dernier CD, comme pour les précédents, les thématiques se répartissent entre l’actualité et l’enracinement. Car les Brigandes ne vivent pas recluses dans leur village, elles sont au contact de la réalité vécue quotidiennement par les Français des transports en commun et des ronds-points, des impôts, des taxes et des migrants. Leurs dernières chansons puisent donc leur inspiration dans l’actualité la plus brûlante, Quand on voit arriver les migrants. Elles décrivent ce que chacun peut observer et peut aussi chanter avec elles comme dans Tomber plus bas. Très médiatique, notre Président a aussi sa chanson, Ne m’appelez plus président : « J’suis le clown du gouvernement, / Je vaux pas tripette / Comme un haut-parleur / Je suis là pour transmettre… / Les instructions à la lettre / De mes employeurs. » On relève une pointe de provocation dans Ah Ruedi, mets ta kippa dis !
Trois chansons sont empreintes de la nostalgie d’une époque révolue. Elle a quitté le Portugal, pour ces Européens qui venaient chercher du travail en France. On a du mal à croire que Marseille en rêve a pu exister, même si la ville est chantée : « J’entre dans un bistro, ça joue Vincent Scotto ; / Oui, c’est comme Marseille en rêve / La serveuse Fanny vous sert un aïoli, / Que même les morts s’en relèvent / Dans la crèche, un santon a la tête, / Dirait-on, de Francis le Belge / Et l’odeur du pastis repousse le cannabis. » Le coureur cycliste Jacques Anquetil est fêté pour le temps où le dopage n’avait pas envahi la compétition dans La Caravelle.
Les Brigandes chantent leurs rêves avec le serment de Ragnar, « Nous avons frappé avec l’épée / Et moi Ragnar, je le promets / Pour rassembler ma grande armée / Je reviendrai. » Il fait écho à celui du Soldat d’Odin.
Hommage trop rare et donc courageux, elles chantent, Robert Brasillach, le poète assassiné qu’elles ne veulent pas oublier, Dans la prison de Fresnes : « A leurs promesses d’un misérable bonheur, / Sur la voie héroïque, c’est un destin tragique / Pour ceux qui ne suivent que leur cœur. » Bel espoir, les jeunes femmes consacrent un titre pour accueillir la fille de Marianne née le 30 avril, Quand un enfant va venir : « C’est une être qui s’avance, Une âme est venue du Ciel, / Un présent que l’Eternel / Nous confie. »
La culture est un tout, l’esthétique participe du projet culturel des Brigandes. Elles ont donc conçu leur CD avec leurs propres illustrations et si la censure les a empêchées de tourner des vidéos comme elles l’avaient fait pour leurs précédentes compositions, on peut les admirer armées en valkyries. Toutes les titres sont composés par leur (trop?) discret mentor, Joël Labruyère, qui inspire avec brio cette jolie équipe de chanteuses.
Certaines chansons auraient pu totaliser des scores sur Youtube, ce n’est plus possible. Les jaloux, les envieux, les ennemis de la culture populaire ont fait appel à l’implacable censure numérique. La génération « il est interdit d’interdire » ne supporte pas la contradiction.
Mais vous pouvez leur rire au nez en commandant ce CD cliquez là
(1) Apostrophes, 26/12/1986 cliquez ici
(2) L’Incorrect, « Les travelos c’était mieux avant » cliquez là
(3) Languedoc infos cliquez là
09:03 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Vendredi 31 mai : conférence de Philippe Milliau, président de TV Libertés, à Poitiers
01:44 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
mardi, 21 mai 2019
Le gouvernement autrichien tombe : machination internationale ?
Lionel Baland dans Boulevard Voltaire
Le président de la République autrichienne Alexander Van der Bellen s’est prononcé, ce dimanche 19 mai 2019, en faveur d’élections législatives anticipées qui seront organisées en septembre 2019, si possible au début du mois. Il a, auparavant, discuté avec le chancelier social-chrétien Sebastian Kurz (ÖVP) de plusieurs scénarios possibles pour le gouvernement jusqu’à ce scrutin et il rencontrera le président – tout récemment – désigné du FPÖ Norbert Hofer et les dirigeants des partis d’opposition.
Le gouvernement regroupant l’ÖVP et les patriotes du FPÖ est donc tombé, car deux des figures de proue du FPÖ, le président du parti et vice-chancelier Heinz-Christian Strache et le président exécutif du groupe des élus du FPÖ à la Chambre des députés Johann Gudenus, ont été victimes d’une machination réalisée par des professionnels disposant de gros moyens financiers – et ont démissionné de leurs fonctions.
Alors que le gouvernement ÖVP-FPÖ est en place depuis décembre 2017 et est le résultat des élections législatives d’octobre 2017, une vidéo, réalisée le 24 juillet 2017, a été envoyée, quelques jours avant les élections européennes de mai 2019, à des organes de presse allemands, qui l’ont publiée.
Les images montrent les deux cadres du FPÖ discutant avec la soi-disant nièce d’un richissime homme d’affaires russe désirant investir 250 millions d’euros en Autriche et lui proposant de mettre financièrement la main sur le Kronen Zeintung, le quotidien le plus lu du pays, tout en lui expliquant comment contourner les obstacles légaux afin de financer le FPÖ et en proposant d’octroyer à cette dame des avantages en matière d’investissement dans le domaine public lorsque le FPÖ accédera au pouvoir.
Ces images ont été prises sur l’île espagnole d’Ibiza – où Heinz-Christian Strache prend habituellement ses vacances d’été – dans une villa louée et piégée à l’aide de caméras, les véhicules se trouvant devant cette bâtisse étant aussi loués.
Ce traquenard – « coup monté », comme l’écrit Le Monde – réalisé par des professionnels disposant de moyens importants relève de pratiques barbouzardes qui portent atteinte à l’intégrité du système politique autrichien.
Les succès du FPÖ, depuis la prise du contrôle du parti par son aile nationale en 1986, dérange à l’étranger et surtout en Allemagne – autre entité germanophone -, au sein de laquelle le FPÖ constitue un modèle pour certains et une menace pour les partis du système.
Cette formation politique a déjà été victime, dans le passé, de pratiques anormales. Ainsi, lorsque le FPÖ était arrivé au pouvoir en Autriche aux côtés de l’ÖVP, au début de l’année 2000, le gouvernement avait dû subir, avant même d’être entré en fonction, d’énormes pressions internationales et Jörg Haider, qui avait conduit son parti au pouvoir en ayant engrangé, durant quatorze ans, de nombreux succès électoraux, avait dû renoncer au poste de vice-chancelier ou chancelier.
Cette fois, le système politique autrichien est touché par la publication de la vidéo, alors qu’une vague patriotique conduite par le vice-Premier ministre italien léghiste Matteo Salvini déferle, à la veille des élections européennes, sur l’Europe et que la présence au pouvoir, en Autriche et en Italie, de partis politiques patriotiques et favorables au pouvoir en place en Russie dérange.
17:44 Publié dans En Europe et ailleurs..., Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Conflits #21 vient de paraître, et il y est bien évidemment question d'Europe
« La victoire d’Emmanuel Macron […] transforme l’image de la France en Europe et sans doute celle de l’Europe dans le monde […]. Elle voit se reconstituer un axe franco-allemand potentiellement plus solide parce que beaucoup plus équilibré. En Allemagne et en Italie [cette victoire voit] les débuts d’une macromania qui ringardise l’extrême droite de l’AfD et fait repousser des ailes au centre gauche de Matteo Renzi. Plus généralement c’est l’Europe entière, à l’exception peut-être de la Hongrie et de la Pologne, provisoirement aux mains des populistes, qui se trouve ragaillardie. » (Dominique Moïsi, Les Échos, 9 mai 2017).
Editorial de Pascal Gauchon
Ainsi s’exprimait un commentateur avisé au lendemain de l’élection d’Emmanuel Macron. Ne vous moquez pas ; la plupart des analystes parlaient ainsi, avec un ton moins enflammé il est vrai. Même enthousiasme lors de l’élection de Barack Obama. Le culte de l’homme providentiel fait des ravages à gauche comme à droite d’autant plus qu’après le Brexit et l’élection de Donald Trump, « l’homme providentiel » avait mis un terme à la série de succès des populistes. Tout rentrait dans l’ordre.
Que s’est-il passé ? Emmanuel Macron a prononcé un discours de haut vol à la Sorbonne le 26 septembre 2017, il a appelé à l’intégration européenne et fustigé le nationalisme dont il a fait son meilleur ennemi – il a d’ailleurs récidivé dans sa lettre aux Européens du 5 mars dernier. Pour réussir, il comptait sur ses bonnes relations avec Angela Merkel. Le problème est qu’Angela Merkel est affaiblie et sa coalition bancale. Et Emmanuel Macron aussi depuis la crise des gilets jaunes. Il a dû multiplier les promesses qui pèseront sur le budget de la France. Ah ces Français, ils sont très forts pour parler, mais quand il s’agit d’agir sérieusement il n’y a plus personne ! D’où une perte de confiance en Emmanuel Macron, ou en la France, ou en la capacité d’Emmanuel Macron de la réformer. Berlin ne lui tourne pas le dos mais réduit autant que possible les grands projets qu’il avait esquissés.
16:48 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Reportage de la marche blanche à Paris pour Vincent Lambert lundi soir le 20 mai
Reportage de l' Agence LDC News
Vous pouvez également visualiser le long reportage diffusé hier soir en direct par l'équipé de Farida Belghoul en cliquant ICI
15:20 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
21 mai 2013 : l'acte ultime de Dominique Venner
Sur la mort de Dominique Venner cliquez ici
L'hommage militant quelques jours après cliquez là
Sorti en décembre 2014 : cliquez ici
11:48 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Jordan Bardella en tête des sondages
En ce qui concerne la campagne et les propositions de Jordan Bardella, tête de liste du Rassemblement national qui ne manque d'ailleurs pas de talent, nous pensons que les lecteurs de Synthèse nationale ont suffisamment d'informations grâce aux moyens officiels, ce qui n'est pas le cas des autres listes patriotiques.
Cependant, dans un souci d'équité, nous reprenons ici l'appel lancé sur les réseaux sociaux par Véronique Péan, la dynamique responsable du RN en Touraine :
11:24 Publié dans Européennes 2019 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Vincent Vauclin : « La préservation de l’identité française n’est pas négociable »
Source cliquez ici
Doit-on aller vers une politique culturelle Européenne commune ? Quelle doit être l’action de l’UE pour favoriser la création culturelle européenne, sa diffusion, et l’accès à la culture des citoyens européens ?
Les Européens n’ont pas attendu la Commission Européenne pour bâtir, strates après strates, siècles après siècles, une civilisation culturelle parmi les plus rayonnantes du monde. C’est dans le prolongement de cet héritage qu’il convient d’orienter les politiques publiques, au niveau régional, national et européen. À cet égard, le rôle des institutions européennes devrait être d’abord de sanctuariser la richesse de notre culture commune et de protéger sa diversité à la fois des velléités de standardisation du monde marchand et de l’américanisation, mais aussi des négateurs de notre héritage qui entendent escamoter ses particularismes au nom d’une intégration culturelle qui n’est que le faux-nez de l’uniformisation et du nivellement.
Doit-on parler d’exception culturelle française au sein de l’Europe ?
Bien sur, la préservation de l’identité culturelle française n’est pas négociable et doit primer sur toute autre considération. Je pense d’ailleurs que le principe d’exception culturelle devrait faire l’objet d’une sanctuarisation constitutionnelle (actuellement, il n’existe aucune mention des notions de « culture » ou « d’identité » dans la Constitution, ni même dans son préambule).
Quel regard avez-vous sur l’action du parlement européen sortant dans le domaine culturel ?
La majorité sortante n’a fait qu’accompagner le lent processus d’érosion de la culture européenne. Par exemple, en subventionnant l’art « contemporain » plutôt que la restauration de notre patrimoine historique ou l’exaltation de nos racines pluri-millénaires. Dans les faits, on constate qu’une empreinte idéologique post-soixante-huitarde mine la politique culturelle européenne, et ambitionne de faire table-rase de notre héritage pour y substituer une néo-culture aseptisée, « inclusive » et « progressiste ». En somme, il s’agit d’effacer la mémoire des européens pour mieux les remplacer.
Comment associer politique économique et politique culturelle de l’UE ?
Je pense qu’il faut encourager le mécénat, en le conditionnant aux impératifs de préservation du patrimoine historique et d’affirmation de notre héritage culturel sous toutes ses formes. C’est ainsi que l’on pourra également encourager la transmission et les vocations propres à l’art et à l’artisanat traditionnel européen, d’une richesse inestimable, et dont les pratiques et le savoir-faire relèvent d’un patrimoine immatériel aujourd’hui menacé de disparition.
Est-ce que l’action culturelle de l’UE est assez visible par les citoyens européens ?
D’une manière générale, l’ensemble des politiques européennes apparaissent confuses et peu lisibles aux yeux des européens, et je pense que c’est délibéré : cette opacité est constitutive d’une construction européenne qui s’est faite dans le dos des peuples et souvent contre leur volonté.
NDLR SN : comment faire pour voter pour la liste de La Reconquête (Vincent Vauclin, La Dissidence française).
Pour imprimer le bulletin de vote cliquez ici
Site de la Dissidence française cliquez là
11:03 Publié dans Européennes 2019 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Renaud Camus et Karim Ouchikh présentent une liste aux élections européennes
Source cliquez ici
L’écrivain et président du parti de l’In-nocence et le président du SIEL (Souveraineté, Identités Et Libertés) affirment être les seuls à avoir “une ligne claire”. Avec ce constat : “le Grand Remplacement est le seul problème sérieux”. Et une seule solution : “la remigration, la décolonisation, la libération du territoire”.
La seule frontière qui compte aujourd’hui, c’est celle qui sépare les remplacistes des antiremplacistes, ou réfractaires, ou résistants, ou dissidents (du remplacisme).
D’un côté de cette frontière, il y tous ceux qui consentent au Grand Remplacement, peu ou prou, ou qui le promeuvent, ou qui l’incarnent, ou qui le nient ; de l’autre il y a ceux qui le refusent de tout leur être, de toute leur chair, de toute leur âme.
D’un côté, il y a ceux qui acceptent le changement de peuple et de civilisation, soit parce qu’ils en nient l’existence, soit parce qu’ils n’en sont pas dérangés, soit parce qu’il sert leurs intérêts ; de l’autre il y ceux qui aimeraient mieux mourir que de s’y résigner.
D’un côté, il y a ceux pour qui l’occupation étrangère de notre pays n’est pas un problème, soit parce qu’ils ne la voient pas, soit parce qu’ils la jugent normale, inévitable, bien dans l’ordre des choses ; et de l’autre il y a ceux qui ne l’accepteront jamais.
Il y a ceux que la colonisation de la France et de l’Europe laisse de marbre, ceux qui s’en réjouissent, ceux qui ne s’en avisent pas, ou qui ne songent pas à la nommer de la sorte ; et il y a ceux qu’elle obsède comme un horrible cauchemar et qui n’ont qu’une hâte, s’en réveiller.
On le voit, cette frontière n’est pas seulement politique, mais historique, et même ontologique. C’est-à-dire qu’elle concerne l’être, l’être même de notre patrie et de notre civilisation, et celui de chacun d’entre nous : leur existence, leur survie, leur persévérance dans l’être ou leur dissolution dans l’autre, dans le remplacement, dans le néant, l’ethnocide, le génocide par substitution, tels que les annoncent l’immigration de masse et l’islamisation méthodique de notre continent.
La frontière n’est pas politique, ou pas seulement, et pourtant tous les partis politiques sont du même côté d’elle, celui du remplacisme, des remplacistes et du Grand Remplacement : soit qu’ils s’en félicitent, comme les plus extrémistes d’entre eux, par antiracisme absolu ou par servilité impatient aux intérêts de l’hyper-classe ; soit qu’il le nient, comme les plus bêtes ou les plus fourbes ; soit qu’ils l’organisent, comme les plus collaborateurs et compromis ; soient enfin qu’ils s’en accommodent sans le dire, ou en le disant certains jours et en le niant le lendemain — un pas en avant, deux pas en arrière — comme les plus lâches, les plus opportunistes et les plus flous.
Ceux-là ne peuvent pas rompre tout à fait avec le remplacisme, même s’ils le critiquent, parce que le remplacisme c’est le système, c’est le pouvoir, ce sont les places, c’est l’argent, c’est l’accès aux médias, ce sont les médias eux-mêmes, dont il importe peu de connaître l’opinion politique mais beaucoup de savoir à qui ils appartiennent et d’où vient leur financement ; car leur véritable opinion c’est celle-ci : le remplacisme global, l’immigration de masse, l’accroissement des besoins par la croissance démographique, les usines de fabrication de la MHI, la Matière Humaine Indifférenciée.
Nous sommes seuls de l’autre côté de la barrière, seuls à avoir une ligne claire. Nous pourrions même en faire notre nom : la Ligne Claire, au moins à titre provisoire, à l’occasion d’une descente dans l’arène, hors partis, contre partis, le temps des élections européennes. La ligne claire implique un constat : le Grand Remplacement est le seul problème sérieux, qui rend secondaires tous les autres, même les plus graves, et qui empêchera toujours de leur trouver une solution.
Et la seule solution, que ce soit à l’insécurité ou à la surpopulation carcérale, au déséquilibre des comptes sociaux ou à l’artificalisation galopante, à la sécession des « quartiers » ou au réensauvagement de l’espèce, à l’hébétude hyperviolente, à l’expansion du totalitarisme islamique, c’est la remigration, la décolonisation, la libération du territoire.
Dans ces conditions pourquoi songer à une liste aux élections européennes ? Nous n’avons pas un sou, nous n’avons aucun accès aux médias, c’est l’adversaire qui établit les règles du jeu et qui les fait appliquer. Nous partons vaincus d’avance, nous n’avons rien à faire sur un terrain qui n’est pas le nôtre et où tout est prévu pour nous perdre, puisque nous nommons seuls ce qui ne doit absolument pas être nommé et que les électeurs sont dressés dès l’enfance, par l’école, à ne pas voir, à ne pas entendre et à ne pas comprendre.
Tout cela est vrai, mais vrai aussi que ces élections sont européennes, et que c’est l’Europe entière et sa civilisation qui sont menacées de mort : d’où notre volonté d’une liste européenne, justement, avec des résistants, des dissidents, des réfractaires antiremplacistes venus de tout le continent.
L’Europe, il ne faut pas la quitter, il faut s’en emparer avec nos alliés et en chasser les traîtres, pour la reconstruire ; il ne faut pas en sortir, il faut en sortir l’Afrique. Pour réveiller nos concitoyens hébétés, drogués, manipulés, nous devons saisir toutes les occasions qui se présentent, nous afficher partout et ne laisser passer aucune chance, même légale, même électorale, d’interrompre l’ethnocide en cours et d’attirer sur lui l’attention.
Ce n’est pas parce qu’un combat menace de ne pas aboutir qu’il ne faut pas l’entreprendre. Avec toujours la même exigence placée au cœur de notre combat existentiel : œuvrer au rassemblement de tous les Français, de tous les Européens, toutes sensibilités politiques confondues, pour affronter ensemble les périls de ce temps, sans tremblement ni retour.
Outre la ligne claire, celle qui va du constat du Grand Remplacement à la double exigence de la Remigration et de la Désislamisation, nous disposons d’une arme formidable, que les autres, par définition, n’ont pas : la vérité. On l’a vue renverser des murailles, et défaire d’un coup des systèmes presque aussi redoutables que celui auquel nous avons affaire, et comme lui construits sur le mensonge.
Les vidéos de la Ligne claire cliquez là
10:58 Publié dans Européennes 2019 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Des royalistes aux élections européennes. Pourquoi ?
Communiqué de l’Alliance royale
Comme à toutes les élections depuis 2004, l’Alliance royale présente une liste pour réaffirmer la pertinence du principe royal dans l’état actuel d’affaiblissement du pouvoir politique en France. Non seulement, la royauté démontre chaque jour son efficacité dans plusieurs pays européens où elle est un facteur décisif d’unité nationale. Mais elle est particulièrement d’actualité devant la déconsidération, voire le rejet dont font l’objet les derniers présidents de la République : M. Sarkozy n’a pas été réélu, M. Hollande n’a même pas pu se représenter et M. Macron fait maintenant l’objet de la fronde des “gilets jaunes” et sa popularité est similaire à celle de M. Hollande.
A chaque élection présidentielle, les Français cherchent à désigner l’homme providentiel qui sortira la France du marasme dans laquelle elle est plongée depuis plus de 40 ans. A chaque fois, ils sont déçus, car notre système électoral par sa nature ne fait émerger que des personnalités ambitieuses et non pas des personnes réellement au service du bien commun, avec une claire compréhension de notre identité nationale, des enjeux ainsi qu’une vision forte de notre avenir.
A chaque élection, nous retrouvons les mêmes partis, comme Les Républicains, qui tiennent des discours fermes sur l’économie, les questions de société ou l’immigration et, ensuite, votent à Bruxelles comme à Paris les lois désastreuses contraires à notre intérêt national. Il est temps de cesser de les croire et de sortir du système. Il est temps de voter pour vos convictions ; voter utile a toujours été un marché de dupes au bénéfice des ambitieux et au détriment de ceux qui écoutent les promesses électorales.
Vous trouverez ci-dessous les liens vers :
- notre profession de foi ;
- le film de campagne de notre délégué général ;
- le bulletin de vote (à imprimer en noir et blanc au format A4, car vous ne le trouverez ni dans les enveloppes, ni dans les bureaux de vote).
Peut-être continuez-vous à penser que l’on vote pour gagner ? Grave erreur ! On vote pour faire émerger ses idées. A quoi sert-il d’apporter vos suffrages à un candidat qui gagne, mais qui ne vote pas les lois que vous demandez ? Certes, l’Alliance royale n’aura probablement pas d’élu, mais il s’agit de faire émerger un vote royaliste pour les prochaines échéances. Aucun parti n’arrive au pouvoir en une élection, c’est une dynamique qu’il faut lancer. Vous seuls pouvez le faire.
Cyrille Henrys
Vice-président de l’Alliance royale
10:37 Publié dans Européennes 2019 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |