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vendredi, 30 août 2019

"Ordre nouveau raconté par ses militants" : la presse en parle

Après Charlie Hebdo de la semaine dernière :

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Plaidoyer pour un écologie poétique

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Par Alain Finkielkraut, de l'Académie française

On ne saurait nier la gravité du changement climatique ni l’urgence qu’il y a à préserver notre monde reconnaît Alain Finkielkraut. Le progrès, célébré par les Temps modernes, est devenu incontrôlable. Mais, si les faits donnent raison à l’écologie, la science ne saurait être son seul langage, sous peine de provoquer à son tour d’autres catastrophes, juge le philosophe. L’écologie ne doit pas perdre de vue la beauté de la nature, célébrée par les poètes. Lutter contre le réchauffement ne justifie pas de défigurer le paysage par des éoliennes et de se mettre au garde à vous devant des injonctions puériles. Un texte qui donne largement à réfléchir sur l’idée que l’on se fait de l’écologie par cet académicien décidément fort iconoclaste qui n’hésite pas à avouer qu’à 70 ans, il n’en a plus rien à faire de sa réputation.

Pour lire ce texte, cliquez ICI

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Pour avoir voulu défendre nos frontières, ils sont condamnés à des peines de prison

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Un communiqué de Génération identitaire :

Jeudi 29 août 2019, le tribunal correctionnel de Gap a condamné Génération Identitaire et ses dirigeants pour avoir « créé une confusion avec une fonction publique » lors du blocage du Col de l’Echelle en avril 2018.

Clément Galant et Romain Espino écopent de 6 mois de prison ferme et sont privés de leurs droits civiques et familiaux pour une durée de 5 ans.

Le tribunal a également infligé une amende de 75 000 € à notre association.

Ce faisant, les juges du siège valident la position du procureur de Gap qui avait pourtant reconnu l’absence de toute infraction au lendemain de l’opération.

Par cette décision dénuée de tout fondement juridique, la justice cherche à entraver notre combat contre l’invasion migratoire.

Nous avons d’ores et déjà demandé à nos avocats d’interjeter appel de ce jugement qui bafoue toutes les règles de droit.

Les intimidations judiciaires ne nous feront pas taire !

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jeudi, 29 août 2019

Le “grand remplacement” en question

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Par Olivier Maulin

Pour la majorité des médias et des hommes politiques de ce pays, l’affaire est entendue: la théorie selon laquelle on assisterait en en France à un “grand remplacement” de population, qui trouve de plus en plus d’écho dans la société, est un fantasme d’extrême droite reposant sur une peur irrationnelle de l’Autre, une « sinistre farce » (Hervé Le Bras) qui tire son origine dans le nationalisme de la fin du XIXe siècle et son « vieil imaginaire de purification de la société de ses éléments allogènes » (Nicolas Bancel). Et d’ailleurs « jusqu’où faut-il remonter pour être considéré faisant partie du peuple français? », questionnait la démographe Pascale Breuil, interrogée par le Monde sur ce sujet en janvier 2014, avant de conclure qu’il était « très difficile de définir qui est ou non d’origine française ». Très difficile dans les laboratoires de l’Insee, serions-nous tenté d’ajouter, car sur cette question l’homme ordinaire, guidé par son instinct, éprouve beaucoup moins de difficulté à définir les choses, et ne s’embarrasse ni de concepts, ni d’idéologie, ni même de documents administratifs dûment estampillés, et pas plus de biologie, de « race » ou de « pureté » imaginaires: est français celui qui a la nationalité française, bien sûr, pourvu qu’il vive selon les mœurs françaises.

Le vrai fossé entre le peuple et ses élites est là, et explique largement la différence de perception de l’immigration: le premier se voit encore comme appartenant à un peuple uni par un imaginaire, des mœurs et des croyances, en dépit des origines, quand les secondes ne s’attachent plus qu’au caractère juridique de la nationalité. Pour le dire plus crûment: une femme voilée de la troisième génération issue de l’immigration musulmane sera française aux yeux des démographes (et des statisticiens), mais demeurera largement « étrangère » dans la conscience d’une grande partie des Français, posant, à une certaine échelle, le même problème que celui de l’immigration stricto sensu : la destruction progressive d’une civilisation et d’un mode de vie au profit d’une autre civilisation et d’un autre mode de vie; c’est le « grand remplacement » théorisé pour la première fois par l’écrivain Renaud Camus en 2010, lequel y voit « le choc le plus grave qu’ait connu notre patrie depuis le début de son histoire puisque, si le changement de peuple et de civilisation, déjà tellement avancé, est mené jusqu’à son terme, l’histoire qui continuera ne sera plus la sienne, ni la nôtre ».

Le problème, c’est que certains partisans de cette théorie sont dans un tel état de fébrilité qu’un petit vade-mecum d’aide et de conseils juridiques aux migrants trouvé chez des militants associatifs devient pour eux la preuve irréfutable du complot visant à nous « grand-remplacer »! Bref, entre les partisans du « tout va très bien madame la marquise » et ceux du « tous musulmans dans quinze ans », il est difficile de s’y retrouver.

C’est dire tout l’intérêt du dernier livre de Jean-Paul Gourévitch qui a décidé de prendre au sérieux cette théorie, de la confronter à des chiffres sourcés et à des faits avérés et « d’expliciter les enjeux des deux questions majeures qui sont le support de la théorie du “grand remplacement”: les migrations et l’islam », le tout sans passion et sans parti pris, laissant in fine le lecteur se forger sa propre opinion. Les collègues de ce spécialiste de l’islam et des migrations feraient bien de s’inspirer de l’objectivité de son approche qui apporte un peu d’air frais à une époque où, comme le dit Renaud Camus, il ne s’agit plus de se poser la question « est-ce vrai ? » mais « a-t-on le droit de le dire ? ».

S’intéresser sérieusement à la question du « grand remplacement » nécessite bien entendu de commencer par s’arrêter aux chiffres de l’immigration et c’est là que tout se complique. Le problème des statistiques, on le sait, c’est qu’on leur fait dire ce que l’on veut (« Je ne crois aux statistiques que lorsque je les ai moi-même falsifiées », disait Churchill), mais c’est aussi et surtout qu’elles ne procèdent pas des mêmes critères selon qu’elles sont produites par les instituts officiels français sur l’immigration (Insee et Ined), les organismes internationaux (Eurostat, Frontex...) ou les organisations non gouvernementales spécialisées (Migrinter, Migration Watch, Migration Policy Group...), si bien qu’il faut les confronter à d’autres études pour se faire une idée du pourcentage d’immigrés vivant dans notre pays. Gourévitch en profite pour dénoncer les grossières manipulations de l’Insee et les approximations de nombreux journalistes qui s’emmêlent les pinceaux avec les chiffres, volontairement ou non.

Après avoir analysé et critiqué les données disponibles, l’auteur retient les chiffres de l’Office français de l’immigration et de l’intégration (Offi) publiés en octobre 2018 et établissant à 11 % de la population résidente la part des immigrés en France, 25 % si on prend en compte les enfants de la seconde génération issue de l’immigration. À quoi il faut ajouter l’indicateur conjoncturel de fécondité établi à 1,88 enfant par femme en 2017, moins de 1,8 pour les femmes descendantes d’autochtones, 2,02 pour celles descendantes d’immigrés et 2,73 pour les femmes immigrées.

Un quart de la population en lien direct avec l’immigration et une dynamique démographique, ce n’est plus tout à fait le fantasme dénoncé par la presse bien-pensante, mais ce n’est pas non plus le « grand remplacement ». La vraie question à ce stade est de savoir si cette minorité n’exerce pas un pouvoir d’attraction supérieure à sa représentativité; autrement dit, si elle n’est pas dans une dynamique culturelle propice à imposer sa culture et ses mœurs à la culture et aux mœurs des Français autochtones.

Parmi les immigrés ou fils d’immigrés résidant en France, Gourévitch estime entre 7,5 millions et 9 millions le nombre de musulmans, avec une population plus jeune de treize ans en moyenne; 41 % d’entre eux se déclarent croyants et pratiquants, 34 % croyants mais non pratiquants et 25 % d’origine musulmane ou sans religion, les deux tiers pratiquant néanmoins le ramadan.

Pour les historiens de l’immigration Patrick Weil et Gérard Noiriel, les différentes vagues d’immigration ont toutes créé des tensions et suscité des peurs avant de se fondre dans le “creuset français” et il n’y a aucune raison pour que cela change. Pourtant, il est possible que cette certitude orgueilleuse concernant l’attractivité du modèle républicain “universel” et la croyance en une condamnation inéluctable de la religion par la modernité soient le péché originel des politiques d’immigration. Ils finiront par mettre leur religion en sourdine et par s’intégrer, nous répète-t-on depuis quarante ans. Sur le terrain, c’est pourtant l’inverse qui s’observe, avec une affirmation de plus en plus forte de « l’identité musulmane » et un fossé de plus en plus béant entre les modes de vie des immigrés et personnes issues de l’immigration récente, et ceux des autochtones. Dans les territoires où ils sont majoritaires, les musulmans ont tendance à s’affranchir des lois de la République et à imposer leurs coutumes et leurs modes de vie, ce qui a valu cette célèbre mise en garde du ministre de l’Intérieur Gérard Collomb, le jour où il quittait son ministère : « Je suis allé dans tous ces quartiers [...], la situation est très dégradée et le terme de reconquête républicaine prend là tout son sens. Aujourd’hui, c’est la loi du plus fort qui s’impose, celle des narcotrafiquants et des islamistes radicaux, qui a pris la place de la République. [...] Dans la périphérie parisienne, on ne peut plus continuer à travailler commune par commune, il faut une vision d’ensemble pour recréer de la mixité sociale parce qu’aujourd’hui on vit côte à côte et je crains que demain on ne vive face à face. » Un face-à-face qui n’attendra qu’une étincelle pour se transformer en affrontement et qu’un homme d’État digne de ce nom devrait tout faire pour éviter.

Le Grand Remplacement, réalité ou intox ?, de Jean-Paul Gourévitch, Pierre-Guillaume de Roux, 252 pages, 23 €.

Source : Valeurs actuelles 29/08/2019

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Rester européen est devenu un acte de résistance

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Entretien avec David Engels, par Anne-Laure Debaecker, auteur de Que faire ? vivre avec le déclin de l’Europe (Uitgeverij De Blauwe Tijger ed., 122p.)

Après avoir comparé la crise de l’Union européenne avec celle de la République romaine tardive dans un précédent ouvrage, l’historien belge se penche sur les attitudes individuelles à adopter pour préserver et transmettre notre héritage et notre identité dans ce petit manuel très personnel.

A lire ICI

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mercredi, 28 août 2019

Le nouveau numéro (n°80) de Terre et peuple magazine

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Priorité au Grand Négoce : de Roosevelt à Trump

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Bernard Plouvier

Vers 1980-90 a débuté la nouvelle ère – qui n’est plus l’ère chrétienne et n’est fort heureusement pas (du moins jusqu’à présent) l’ère de la régression mahométane.

Nous sommes entrés dans l’ère du gouvernement planétaire (presque) unique et de l’économie globale. Et c’est là que tous les « complotistes » se trompent : l’on n’assiste pas au triomphe des Financiers, mais à celui des Négociants internationaux.

Le grand projet rooseveltien était d’américaniser la production agricole et industrielle et de faire de la planète un grand marché – l’URSS étant exclue, qui devait servir de repoussoir, de contre-exemple, au moins pour les premiers temps de l’ère du One World – One Government. Qu’il ait ou non développé le projet d’une fusion des races et des peuples en une « moyenne humaine », on ne le saura jamais, car Roosevelt ne s’est guère exprimé sur ce point.

Les « complotistes » ont, là aussi, complètement erré. FDR n’était pas au service « des trusts » (et pas plus celui des Rockefeller que d’autres) ; il n’était pas au service « des Juifs ». FDR s’est servi de tous ceux et de toutes celles qui pouvaient faire démarrer puis avancer son projet, qui, pour d’évidentes raisons historiques, n’a pu commencer que 40 années après sa mort, une fois disparue l’hydre communiste qui avait dominé bien plus d’États qu’il ne l’avait prévu dans son plan machiavélique.

Il fallait, dans la pensée du nouveau Prométhée, appauvrir et apeurer l’Europe occidentale pour la délester de ses colonies, de ses capacités productives et commerciales. « Staline »-Dougashvili et son Armée Rouge étaient des moyens idéaux pour remplir ce rôle d’épouvantail et de leurre.

En 1980 sq. après l’implosion des ridicules économies marxistes, les USA se retrouvent en position dominante, ayant vassalisé l’Occident, les pays d’islam et l’Asie non maoïste. Les gouvernants chinois viennent chambouler la donne par leur suprême intelligence : ils multiplient l’efficacité de l’économie occidentale par la discipline d’un régime dictatorial et poursuivent la politique d’imitation des produits issus du génie européen et nord-américain, ainsi que l’irrespect des conventions internationales sur les brevets de fabrication.

Qu’elle soit l’effet d’un capitalisme ultra-libéral ou d’un capitalisme hautement surveillé par l’État, l’économie actuelle n’est pas dominée par les financiers, mais par l’entente des grandes entreprises de négoce et des décideurs politiques.

De ce fait, les banques centrales ont reçu l’ordre d’anéantir (ou presque) l’intérêt de l’argent – c’est le reniement de 3 à 4 milliers d’années d’agiotage -, au profit de la consommation massive, générant de superbénéfices inégalement répartis entre producteurs - à qui on ne laisse que la petite part des profits – et négociants, gros et petits – qui sont les grands gagnants.

Donald Trump poursuit la grande politique rêvée par FDR. Il le fait avec le punch et l’absence d’hypocrisie qui le caractérisent : en parfait Yankee, il dicte sa loi, parce qu’il dispose de la plus grande armée, du plus gros complexe militaro-industriel et des entreprises multinationales les plus puissantes et les plus innovantes.

La minorité agissante de l’humanité actuelle est placée devant une alternative fort simple.

Ou bien, l’on accepte un monde dominé par l’American way of life, ce qui implique à terme l’éclosion d’une humanité métissée, d’un Homo Consumans standard.

Ou bien, l’on organise, continent par continent, des empires ou des fédérations populistes.

Pour l’heure, les nations d’Amérique latine tentent des expériences non coordonnées. En l’Europe, l’Axe Berlin – Moscou pourrait servir de point de départ à un Empire fédératif, à l’unique condition que l’Allemagne réexpédie dans leurs pays d’origine les millions d’Extra-Européens qui sont venus la squatter. Ce sera la condition sine qua non pour inclure dans cet Empire les peuples d’Europe occidentale et scandinave.

L’Europe aux Européens est un slogan tellement évident et naturel que les princes du négoce en font un corpus delicti : énoncer cette banalité mène droit en correctionnelle et, bientôt, non plus au lynchage médiatique, mais à l’égorgement rituel. 

Le monde dominé par le négoce ne peut être que cosmopolite. Un monde populiste ne peut se faire qu’en fédérant des nations homogènes.             

16:55 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Italie : vers une coalition sociale-démocrate étoilée.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Les populistes en peau de toutou du Mouvement 5 étoiles qui ont goûté aux joies des privilèges et au faste des palais nationaux, sont évidemment prêts a tout pour conserver le pouvoir y compris s'allier avec la sociale démocratie.
 
Ceux qui en France rêvent encore de possibles convergences entre les Insoumis et les nationaux doivent enfin rompre avec leurs chimères. Les pourris de la gauche supposée rebelle reviendront toujours à ce qui est leur famille de raison sinon de cœur. C'est une question de gènes, pour ne pas dire une question d'odeur. Asinus asinum fricat...
 
Salvini finira par gagner. C'est écrit et ne se discute pas. Ce sera dans quelques semaines ou dans quelques mois, mais son arrivée aux responsabilités est inéluctable. Et plus l'attente sera longue, plus les solutions à mettre en œuvre devront être radicales.
 
Pour la France et les Français, c'est malheureusement en années qu'il nous faut compter. Mais notre temps viendra.
 
Et quand il sera venu, ce n'est pas en termes de réformes que nous exprimerons, puis appliquerons sans que notre main ne tremble les éléments impératifs de notre politique. Ce sera en termes de révolution nationale.
 

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09:20 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

RETENEZ DÈS MAINTENANT VOTRE STAND AUX RENDEZ-VOUS BLEU BLANC ROUGE DE SYNTHÈSE NATIONALE LES 12 ET 13 OCTOBRE PROCHAIN...

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Depuis 13 ans, Synthèse nationale organise régulièrement chaque année ses journées nationales et identitaires. Depuis 13 ans, celles-ci remportent un succès grandissant. Le moment est donc venu de passer à la vitesse supérieure. Plusieurs éventualités ont été envisagées et nous avons retenu celle du passage de une à deux journées.

Cette formule présente plusieurs avantages : plus de temps nous donnera la possibilité d’organiser plus d’activités et aussi de voir plus de monde. Elle nous permet ainsi, outre la possibilité de consacrer plus de temps aux interventions, d’accentuer le côté « festif » de ce rassemblement. Et, bien sûr, elle nous rappelle (de manière beaucoup plus modeste certes) les Fêtes « Bleu Blanc Rouge » du FN de jadis. Nous avons demandé au Président Jean-Marie Le Pen, détenteur du titre "BBR", l’autorisation de le reprendre ; ce qu’il nous a aimablement autorisé avec ses encouragements.

Les 13Journées nationales et identitaires de Synthèse nationale se dérouleront donc cette année sur deux jours et elles prendront comme nouvelle appellation « Le grand rendez-vous Bleu Blanc Rouge ». Elles se dérouleront le samedi 12 (de 14 h 00  à 23 h 00) et le dimanche 13 octobre 2019 (de 11 h 00 à 18 h 30), à l’Espace Jean Monnet, 47 rue des Solets à Rungis (94).

DOSSIER D'INSCRIPTION CLIQUEZ ICI

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PRENEZ VOTRE BILLET CLIQUEZ LÀ

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09:19 Publié dans 13 - Les 13e Journées de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

"Fils de collabos, neveu de résistant", le nouveau livre du Dr Jean-Pierre Cousteau

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Jean-Pierre Cousteau nous avait fait l'amitié, l'an passé, d'intervenir lors de notre journée Flandre-Artois-Hainaut de Synthèse nationale cliquez là. Ces jours derniers les Editions Via Romana ont publié un nouveau livre de lui : Fils de collabos, neveu de résistant. Ce titre résume à lui-seul l'une des singularités de la vie de l'auteur.

Voici la préface de Nicolas d'Estienne d'Orves :

« Chaque fois que tu le penses possible, fais ce que les autres ne font pas. »
Commandant Jacques-Yves Cousteau, de l’Académie française

«  Mon père est mort en décembre 1958 à 52 ans, alors que j’en avais 20, étais en seconde année de médecine et préparais le concours de l’externat. J’ai pleuré un bon coup comme six ans auparavant pour la disparition de ma mère, mais inconscient de la perte qui allait me frapper. Je pensais écrire le mot "fin" au bas de ma petite histoire de "Fils de" tant il semblait évident que mon existence n’offrirait plus rien que… de commun  !  »

Cardiologue et professeur né à Paris à la veille du second conflit mondial, Jean-Pierre Cousteau confie ici ses souvenirs et réflexions de gentilhomme. Plongée dès l’enfance au cœur des tribulations de la guerre et de l’Épuration, sa vie reflète les ombres et les lumières d’une époque oubliée où « les Français ne s’aimaient pas ». Fils de Pierre-Antoine Cousteau, rédacteur en chef de l’hebdomadaire Je suis partout, condamné à la Libération pour intelligence avec l’ennemi, neveu chéri du commandant Jacques-Yves Cousteau, résistant de la première heure dont il fut le médecin et confident jusqu’à sa mort, Jean-Pierre Cousteau a le caractère d’un battant et le verbe incisif. Sans doute parce qu’il vécut la longue séparation du père, la pension anglaise et ses châtiments, Juilly et ses « humanités » forcées, la mort d’une mère alors qu’à peine adolescent, puis plus heureusement la passion médicale et l’affection et la protection de l’oncle providentiel. Par delà une étonnante carrière médicale achevée dans les coulisses de Roland-Garros, Jean-Pierre Cousteau témoigne ici des riches amitiés littéraires de son père autant que de l’odyssée des profondeurs de son oncle à bord de la Calypso au fil des océans lointains.

Fils de collabos, neveu de résistant, Jean-Pierre Cousteau, Via Romana, 2019, 196 pages, 19 euros.

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mardi, 27 août 2019

la 9e Grande Fête médiévale de La Chapelle-d’Angillon les 31 août et 1er septembre 2019

La 9e Grande Fête médiévale se déroulera les 31 août et 1er septembre 2019 au château de La Chapelle-d’Angillon, dans le Cher. Il s’agit d’une forteresse qui a pour origine un donjon carré construit au XIe siècle. Des bâtiments ont été ajoutés à ce donjon initial pour former un ensemble fortifié de plan trapézoïdal. Ce château abrite un musée consacré à Alain-Fournier (l’auteur du Grand Meaulnes) ainsi qu’une collection sur l’Albanie du XIXe siècle.

Lors des festivités, des démonstrations de béhourd sont prévues : il s’agit de combats avec armures et armes médiévales, régis par des règles précises d’engagement. Les combats se déroulent en duel ou en équipe. Lors des combats collectifs, une équipe l’emporte quand elle met ses adversaires à terre. Afin d’éviter les blessures, les coups d’estoc ainsi que les coups derrière les genoux, aux pieds et à la nuque sont interdits.

D’autres divertissements seront présentés : jonglerie, lancer de haches, escrime, tir à l’arc, ainsi que les animaux de la ferme, la fauconnerie et un marché médiéval de 70 échoppes. Un accro-voile à escalader et un atelier blasons sont prévus pour les enfants. Trois buvettes et quelques échoppes proposeront des spécialités médiévales comme l’hypocras et l’hydromel.

Le samedi soir, un son et lumière exceptionnel est prévu avec un spectacle équestre et un feu d’artifice. Un banquet médiéval (les Ripailles) avec des animations aura lieu le samedi soir dans la cour du château et sous la galerie Renaissance. L’accès aux Ripailles se fait sur réservation car les places sont limitées.

L’année dernière, un spectacle sur Jeanne d’Arc avait été organisé. Cette année, les bénévoles de l’Association universelle des amis de Jeanne d’Arc distribueront des tracts pour faire connaître leur projet : il s’agit d’ériger une statue de Jeanne d’Arc à Saint-Pétersbourg. Le projet est bien avancé : le modèle de la statue est décidé et son emplacement a été validé par les Russes. Une Jeanne d’Arc brandissant un étendard devrait prendre place dans le quartier de l’amirauté à Saint-Pétersbourg en mai 2020.

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Plus d'info ICI

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Un nouveau numéro hors-série de Présent

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Macron, le G7 et les écolos

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Le billet de Patrick Parment

On ne peut nier qu’Emmanuel Macron a réussi « son » G7. Un G7 qui s’est joué à plusieurs niveaux. Sur le fond, il s’agissait rien moins que de contrer les influences planétaires chinoises dans les domaines tant politique qu’économique et de réaffirmer la primauté de l’Occident et de son modèle économique, le libre-échangisme. Pour cette raison majeure, Donald Trump n’avait aucune raison de saboter ce G7 comme il est coutumier dans ce genre de raout. Emmanuel Macron avait préparé le terrain lors de sa rencontre avec Vladimir Poutine à Brégançon, afin de ramener le tsar russe dans le giron occidental. Car, suite aux différents embargos qui touchent son pays, Poutine avait enclenché une série d’entretiens avec Pékin. Autre preuve, la présence du premier ministre indien Narendra Modi, plutôt proche des Russes, et qui incarne la résistance aux visées chinoises en Asie.

Tout était donc réuni pour satisfaire un Donal Trump, symbole d’un monde régi par le libre-échange et dont l’Amérique est de fer de lance. Macron, ayant fait preuve de sa vassalité, Donald Trump pouvait repartir satisfait de ce G7.

D’autant que Trump se fout complètement de la querelle déclenchée par Macron à l’encontre du président brésilien, Jair Bolsonaro. Cette vindicte subite est destinée à la politique intérieure française et à la montée, réelle ou fictive (?), des écolos en vue des prochaines élections municipales. Car Macron veut également phagocyter cet électorat qui manque à son palmarès.

Rappelons les faits. Macron a violemment mis en cause la politique du président Jair Bolsonaro, au sujet des feux de la forêt amazonienne. Bref, Macron s’en prend, au-delà cette forêt qui serait l’un des grands poumons de la planète, au leader populiste, limite facho, aux yeux de notre président. Macron se pose ainsi en défenseur de la démocratie et mieux encore, de la planète. Il va même jusqu’à déclarer vouloir abandonner les accords passés entre l’Europe et le Mercosur – ce qui, entre nous soit dit, serait une excellente chose.

Sauf que ce que vise Macron, c’est bel et bien l’électorat écolo. Car sur le fond, l’affaire amazonienne est marginale. Le vrai poumon de la planète ce sont les océans et non cette forêt qui n’entre dans le processus qu’à hauteur de 5%. D’autre part, les feux les plus importants ne sont pas en Amérique latine mais en Afrique. Enfin, le Brésil n’est pas le seul concerné puisque la forêt amazonienne concerne tout autant les pays limitrophes du Brésil. Jair Bolsonaro n’a pas tort quand il dit que « l’Amazonie sera sauvée par les Brésiliens et non par la rhétorique hystérique et mensongère des médias aux ordres, des bureaucrates transnationaux et des ONG ».

12:04 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dimanche 8 septembre, dans le Gard : la Fête de la Ligue du Midi

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Georges Feltin-Tracol dédicacera ses deux derniers ouvrages (Pour une troisième voie solidariste cliquez ici et Bardèche et l'Europe cliquez là) à l'issue de son intervention.

09:42 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Cercle Edouard Drumont Paris : conférence de Maître Pierre-Marie Bonneau le 13 septembre

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09:34 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dans la collection "Idées" des Bouquins de Synthèse nationale, vient de sortir : un essai de Thomas Ferrier sur le fascisme en Europe dans les années 1930 et 1940

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Note de l'auteur :

Le fascisme a été, avec le communisme, le principal phénomène politique du XXe siècle. Synthèse originale de socialisme et de nationalisme, plus héritier de Blanqui que de Bonald, il a essaimé dans toute l'Europe à des degrés divers, inspirant les uns et les autres. La plupart de ses dirigeants, y compris les deux plus célèbres, viennent de la gauche socialiste. Le fondateur historique du national-socialisme, l'autrichien Walter Riehl, était lui-même un ancien social-démocrate. Et son parti, la DAP devenue DNSAP, était la révision nationaliste d'un courant socialiste classique.

Zeev Sternhell, qui a consacré une part importante de sa vie au fascisme, a toujours exclu le national-socialisme de sa réflexion, et sa démonstration des origines socialistes du fascisme français a abouti à une aberrante conclusion, qui est de relier les Croix de Feu ou le régime de Vichy au fascisme, très loin de toute révision du socialisme et même par bien des aspects l'antithèse. Nous pousserons son raisonnement jusqu'où il n'a pas osé le mener.

Dans cet ouvrage, vous découvrirez un panorama exhaustif des fascismes d'Europe, de la centaine de groupuscules polonais et hongrois jusqu'aux grands partis au pouvoir, du Parti nationaliste islandais au NSDAP. L'idéologie commune de ce mouvement continental sera analysée, ses racines également. Cette expérience historique finira dans le froid de l'hiver russe puis dans les ruines de Berlin. 

On ne saurait comprendre l'Europe d'aujourd'hui sans comprendre les égarements d'hier.

Fascismes d'Europe, Thomas Ferrier, Les Bouquins de Synthèse nationale (collection "Idées"), 148 pages, 18 euros (+ 5 euros de port). Vient de paraître. 

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BULLETIN DE COMMANDE

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lundi, 26 août 2019

Samedi 21 septembre, à Orange et Bollène :

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18:51 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 31 août, près d'Angers :

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18:49 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La Femen profanatrice antichrétienne Inna Shevchenko participait officiellement au G7 et s’est trouvée à la même table qu’Emmanuel Macron

L’information est passée quasiment inaperçue, simplement soulignée par un tweet enthousiaste de l’ineffable Marlène Schiappa et quelques articles de la mouvance “féministe” : la Femen Inna Shevchenko participait de façon officielle au G7 de Biarritz, désignée par la Macronie pour siéger au Conseil consultatif pour l’égalité femmes-hommes du G7 et se retrouver à la même table que le président de la république.

Certes, il fallait un œil très attentif pour la reconnaître. Pour l’occasion, elle avait adopté un look très embourgeoisé, loin de l’image d’hystérique dépoitraillée enchaînant les provocations antichrétiennes, les blasphèmes, les profanations et les séances d’exhibitionnisme sous l’objectif des photographes de presse et des caméras de télévision.

Pourtant, c’était bien elle.

Dès leur arrivée en France, l’ukrainienne Inna Shevchenko et son mouvement Femen avaient bénéficié d’évidentes collusions avec différents cercles du Pouvoir. Mais Inna Shevchenko apparaît désormais de plus en plus officiellement comme une interlocutrice appréciée lors des rendez-vous du Nouvel Ordre Mondial.

Récompensée par la franc-maçonnerie, puis invitée par Jacques Attali au Global Positive Forum, la voilà à un sommet du G7.

 

Source: MPI

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L'Iran invité a Biarritz : diplomatie de substitution.

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L'avis de Jean-François Touzé

Une analyse superficielle de l'invitation surprise  faite au ministre iranien des Affaires étrangères de venir dialoguer à Biarritz, en marge du G7, avec son homologue français, pourrait conduire à attribuer un satisfecit à la diplomatie macronienne.
 
Ce serait une erreur. 
 
Macron, certes, s'agite et discute beaucoup. Avec tout le monde et avec chacun. Son ambition de créer les conditions d'un nouveau multilatéralisme est connue. Elle est supposée s'inscrire dans la contunuité de la politique non alignée gaullienne.
 
Mais l'indépendance ne se décrète pas. Elle se prouve et s'impose. Elle se prend. Or, tout indique que ce mini coup de théâtre est, en réalité, le fruit d'une stratégie établie non pas à Paris, mais à Washington.
 
Décidé par juste raison à entamer une désescalade dans la crise iranienne, tout en maintenant la pression sur Téhéran par les sanctions et le blacklistage, et sur les capitales occidentales par l'inacceptable chantage extra territorial, arme américaine de contrôle de l'Europe qui relève du plus scélérat chantage, Trump a parfaitement compris l'usage qu'il pouvait faire d'un président français égocentré et narcissique dans la reprise d'un dialogue avec un régime iranien par ailleurs demandeur.
 
C'est donc par délégation du Président américain, missionné et mandaté pour cela par l'administration US, qu'agit le President de la République flatté de se voir reconnu sans comprendre qu'il est marionnettisé.
 
Trump, en bon spécialiste du billard à trois bandes, émettra sans doute des réserves. Pour l'heure, il se contente de ne pas commenter. La diplomatie de substitution comporte ses règles qui impliquent que le tireur de ficelles prennent ses distances avec celui qu'il instrumente afin que lui soit epargnée toute imputation de responsabilité en cas d'echec. C'est son jeu. Il le pratique bien. Un jeu que l'enfant de l'Elysée n'est pas en mesure de suivre.
 
Macron saura profiter de cette séquence pour tenter de se crédibiliser sur notre scène intérieure 
 
Il n'est pourtant que le petit télégraphiste de Trump.
 

11:17 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Il faut sauver nos campagnes !

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Il n’y aura pas de “gilets verts” après les “gilets jaunes” », affirme Christiane Lambert, la présidente de la Fédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles (FNSEA). Les agriculteurs ne monteront pas de barricades à la rentrée, pas plus qu’ils ne viendront, sur leurs tracteurs, dire leur colère à Paris. Et pourtant. Les difficultés s’accumulent et la matière à explosion sociale existe. L’inquiétude est là, qui grandit et trouvera en son temps une forme d’expression, qui surprendra les politiques et les Français dans leur ensemble. Comme toutes les incompréhensions, mal perçues, mal analysées, mal traitées. Ou trop tard.

Le climat dans les campagnes s’est considérablement détérioré. Et pas seulement la météo. Les relations sociales entre agriculteurs et leurs voisins atteignent parfois des niveaux d’exaspération encore peu connus.

Les intrusions dans les exploitations agricoles, les actes de vandalisme, les insultes, les discussions houleuses qui tournent mal et qui vont jusqu’à l’agression physique se multiplient. Parfois sur la base de mauvaises interprétations des activités auxquelles se livrent les agriculteurs, violemment attaqués parce que leurs voisins pensaient qu’ils étaient en train d’épandre des pesticides. Des cartes stigmatisant les élevages de porc en attente de feu vert à leur agrandissement ont été publiées sur Internet. Les mises en cause verbales se font aussi dans les magasins ou sur les marchés.

Climat délétère

Sécheresse et canicule sont arrivées dans ce climat délétère. Des mois sans eau ont jauni les campagnes, asséché les réserves d’eau et engagé les éleveurs dans une course épedue à la recherche de fourrage pour le bétail. Au total, 86 départements ont été frappés par le manque d’eau. Le ministre de l’Agriculture, Didier Guillaume, a autorisé 69 départements à utiliser les jachères pour nourrir les bêtes. « Tout cela arrive trop tard, commente Christiane Lambert. Les prairies sont marron. Cela casse le moral des éleveurs. » Le déficit hydrique et le manque de nourriture ont ralenti la croissance des animaux. La mortalité des volailles dans les poulaillers a atteint des niveaux très élevés. Les trésoreries souffrent.

Des aides viendront. Mais à quelle hauteur ? Et quand ? Dans le meilleur des cas pas avant des mois, car les arbitrages ne seront rendus qu’en octobre. Les agriculteurs réclament moins de rigidité dans les règles de l’irrigation et de la création de réserves d’eau. La Hongrie et la Pologne ont accru leurs capacités de stockage de 13 %. L’Espagne de 29 %. En France de... 1,9 %. Les exploitants ne comprennent pas l’acharnement de l’administration tricolore à toujours exiger plus que ne le demande l’Europe.

Les distorsions de traitement au sein de l’UE sont ressenties comme autant d’injustices et de freins inopportuns alors que l’agriculture française perd en compétitivité. Tout comme l’ouverture des frontières à des centaines de milliers de tonnes de viande en provenance du Canada, via l’accord du Ceta, et du Brésil, via le Mercosur. L’idée que la France accepte de faire entrer des denrées si lointaines produites dans des conditions très différentes des attentes des consommateurs, en matière de pesticides, de farines animales, de bien-être, est d’autant plus difficile à admettre pour les agriculteurs que cela intervient en plein débat sur la taxe carbone.

Source : Les Echos 26/08/2019

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dimanche, 25 août 2019

"ORAN, LE MASSACRE OUBLIÉ" LE 5 SEPTEMBRE SUR FRANCE 3

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La chaine France 3 annonce la diffusion le 5 septembre prochain à 23h, d’une œuvre audio-visuelle réalisée par Georges-Marc BENAMOU et Jean Charles DENIAU : Oran, le massacre oublié.

D’une durée de 52’, elle revient sur un des épisodes les plus sanglants de la guerre d’Algérie, la journée du 5 juillet de 1962 où, alors que les Algériens célèbrent l’indépendance, plus de 700 Européens sont massacrés.

Le documentaire bénéficie de la puissance de témoignages inédits à ce jour, et de la présentation d’archives privées et surtout publiques, incontestables.

La responsabilité des plus hautes personnalités de l’Etat français dans la non-assistance aux personnes en danger,  est clairement établie. Comme l’est la réponse à la question : pourquoi ce drame est-il resté depuis près de 60 ans sans reconnaissance officielle ?

Un document d’histoire.

Source cliquez ici

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La Récession, annonciatrice du déluge, à nos portes

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Marc Rousset

Le lingot d’or a coté 44.049 euros à Londres ce vendredi 23 août tandis que les bourses continuent de chuter. L’énarque politiquement correct Alain Minc avoue que « ses certitudes sur l’économie s’effondrent » et ne trouve rien de mieux dans le Figaro du samedi 24 août que d’implorer un nouveau Keynes ou Friedman pour nous sortir miraculeusement d’affaire alors que nous l’avons déjà trouvé depuis longtemps avec le courageux, humble et génial Maurice Allais qui a été rejeté et même moqué par les médias. Alain Minc n’hésite même pas à manger publiquement son chapeau en recommandant l’immobilier, l’or et l’art comme placement !

Pas besoin d’un nouveau pape médiatique d’une nouvelle théorie monétaire moderne « bidon » pour aggraver la situation, ni d’un ridicule « aggiornamento complet de la pensée économique » comme le demande naïvement Alain Minc, mais tout simplement, comme en matière d’immigration, besoin impérieux de retour au bon sens, à la règle de trois et aux réalités ! Les peuples vont tout simplement payer la note effroyable, suite au manque de courage et à l’irresponsabilité des élites technocratiques qui ont pratiqué la fuite en avant du comblement du déficit public par la « planche à billets » (QE), ce que reconnait enfin Alain Minc, ces mêmes élites qui n’ont pas maîtrisé les dépenses publiques, tandis que les Etats et les entreprises continuent à s’endetter d’une façon irresponsable en raison de la baisse artificielle des taux par les banques centrales et des taux d’intérêt négatifs.

Suite aux pressions de Trump, il est probable que la Fed baissera encore de 0,25  ou 0,5 % son taux d’intérêt le 18 septembre. La guerre commerciale de Trump avec Pékin semble maintenant irréversible avec sa décision de frapper de taxes douanières élevées (30 % et 15 % selon la catégorie de produits), à partir des 1er septembre et 1er octobre, la totalité des 550 milliards de produits chinois importés aux États-Unis. La Chine avait en effet manifesté son intention d’imposer de nouveaux droits de douane, en représailles, aux 75 milliards d’importations américaines. Trump a 100 % raison vis-à-vis de la Chine, mais il risque d’échouer, car il devrait en fait taxer tous les pays émergents pour obliger les industriels américains à relocaliser aux Etats-Unis plutôt qu’au Vietnam.

Pour la troisième fois en huit jours, la courbe des taux d’intérêt sur les bons du trésor américain à 10 ans et 2 ans s’est inversée avec un écart irrationnel de -0,5 %, signe qui a toujours préfiguré une crise économique dans les 12 mois. Les marchés financiers sont déboussolés puisque « l’indice Vix de la peur » qui mesure la volatilité, s’est envolé brusquement de 12 à 25. Même l’Allemagne qui espérait obtenir 2 milliards d’euros sur des obligations à 30 ans et à coupon zéro, n’a finalement récolté qu’un peu plus de 800 millions d’euros.

Aux États-Unis, l’indice Markit d’activité manufacturière est passé en territoire négatif pour la première fois depuis la récession de 2009. Trump envisage déjà des baisses d’impôt face au spectre de la récession.Et l’Allemagne, selon la Bundesbank, pourrait entrer en récession, dès le 1er octobre, si la prévision de recul, pour le troisième trimestre, du PIB se confirme. Au premier semestre, les commandes allemandes de machines-outils ont chuté de 9 %. Les cours mondiaux des métaux industriels (cuivre, cobalt, lithium), signes de récession, sont en train de plonger (15 % pour le cuivre).

De plus, les entreprises gèlent leurs investissements partout dans le monde et seraient assises, selon Standard & Poor’s, sur une trésorerie gelée de 6.000 milliards de dollars, alors que 16.000 milliards de dollars d’obligations à rendement négatif ont déjà été émises. Dans les 8.000 milliards de dollars d’obligations émises par les entreprises américaines, il y a aujourd’hui 3.000 milliards de dollars de la catégorie à haut risque BBB, et 1.000 milliards de dollards d’obligations pourries, soit plus que le double de 2007. Dans les bilans des banques centrales, il y a pour 14.000 milliards de dollars d’obligations, suite au « QE » non conventionnel et ces dernières n’ont plus rien sous le pied pour relancer le crédit et baisser les taux d’intérêt lorsque la récession viendra.

Quant aux dépenses du gouvernement américain, elles ont augmenté de 30 % en un an avec un déficit supplémentaire chaque année de 1.000 milliards de dollars. Malgré des taux d’intérêt ridicules, le coût de la dette américaine va bientôt éclipser le budget militaire US le plus élevé du monde, (soit la moitié des dépenses militaires dans le monde). La récession est à nos portes et il ne manque plus qu’une étincelle italienne, iranienne, bancaire ou boursière pour déclencher le déluge !

17:56 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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BULLETIN DE COMMANDE

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samedi, 24 août 2019

Le G7 pour quoi faire ?

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Par Gaëtan de Capèle

La seule énumération des sujets au menu du G7 donne le tournis. Urgence climatique, taxation du numérique, lutte contre les inégalités, mais aussi nucléaire iranien, crise avec la Russie, guerre commerciale… Les chefs d’Etat et de gouvernement réunis en France ce week-end ont du pain sur la planche pour résoudre les problèmes du monde !

En d’autres temps, chacun de ces thème mis sur la table de l’Hôtel du Palais de Biarritz aurait comblé à lui seul un sommet international. Rien de tel aujourd’hui, où tout se bouscule et s’enchevêtre. Cette accumulation  de tourments témoigne de l’instabilité d’un monde devenu dangereux comme jamais, à la merci d’une crise économique, d’un incident militaire, d’une catastrophe écologique.

En dépit de cette montée des périls, le G7 de Biarritz, comme ceux des dernières années, accouchera d’une souris. Au XXIe siècle, ce petit club de démocraties libérales ne possède plus la légitimité ni le pouvoir de régir, comme naguère, l’ordre international. D’autres grandes puissances – Chine, Russie, Inde… -, qui ne participent pas au banquet, pèsent tout autant que l’Occident traditionnel sur les affaires du monde. Surtout, les liens entre les grandes démocraties européennes et américaines elles-mêmes se distendent. L’incontrôlable Donal Trump, en campagne pour sa réélection, tweete une provocation par jour, tandis que l’Europe, en proie à de profonds courants nationalistes, se fracture. A l’évidence, les beaux jours du multilatéralisme, cet horizon autrefois jugé indépassable des relations internationales, sont clairement derrière nous. Comme un symbole, les invités de Biarritz se dispenseront pour la première fois de la traditionnelle comédie du communiqué final.

Faut-il pour autant jeter le G7 aux orties ? Ce serait une erreur. Derrière le grand théâtre médiatique, les acteurs jouent une autre pièce, indispensable, faite d’échanges personnels, de négociations restreintes, de pactes secrets. Dans le monde nouveau, les messes basses valent mieux que les grands-messes…

Source : le Figaro 24/8/2019

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vendredi, 23 août 2019

COMMANDEZ DÈS MAINTENANT LE LIVRE DU 50e ANNIVERSAIRE DE LA CRÉATION D'ORDRE NOUVEAU

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Brexit or not Brexit ?

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Sauf aboutissement des manœuvres partisanes que mène un Parti travailliste tenté de renouer avec ses démons gauchistes des années 1970, allié aux libéraux centristes et à une fraction des conservateurs, artificiellement coalisés dans une recherche désespérée de nouvelles élections après l'éventuel vote d'une motion de défiance ; sauf intervention aussi improbable qu'institutionnellement aventureuse de la Reine ; sauf nouveau délai accordé par la Commission avec l'aval de Berlin, le Royaume (encore) Uni devrait, avec ou sans accord, quitter pour de bon l'Union Européenne dans deux mois.
 
Il faudra alors rendre hommage à Boris Johnson d'avoir su respecter la décision souveraine du peuple britannique, rompant ainsi avec les habitudes félonnes des dirigeants européens.
 
La sortie de cette union technocratique synonyme d'impuissance et de négation d'un destin civilisationnel répond sans nul doute à une aspiration anglaise profonde, à la fois identitaire et économique.
 
Pour autant, au moment où les forces nationales et populaires s'organisent et émergent dans de nombreux pays du continent afin de prendre les commandes, non seulement de leurs Etats, mais aussi d'une Europe politique encore à construire, il serait désolant que la Grande Bretagne s'éloigne trop définitivement de ce qui reste une ambition suprême, conforme à l'Histoire.
 
Boris Johnson, grand admirateur de son prédécesseur au 10 Downing street, Winston Churchill, auquel il consacra une biographie remarquable "Comment un seul homme changea l'Histoire", se souvient bien sûr de la réplique cinglante que fit l'ancien Premier ministre à Charles De Gaulle : "Entre le Grand Large et le continent, nous choisirons toujours le Grand large".
 
De fait, Churchill devenu domestique de Roosevelt, fut, comme on le sait, l'exécutant docile du maître américain, en particulier lors des funestes conférences de Yalta et de Téhéran, qui décidèrent du sort cruel de toute une partie de l'Europe abandonnée à la dictature rouge.
 
Soixante quinze ans plus tard, les appels du pieds appuyés de Donald Trump au nouveau Premier ministre britannique peuvent faire craindre que ce qui fut sera.
 
Le risque est que le "Leave" dont Boris Johnson fut un partisan acharné pendant la campagne référendaire, ne soit au final synonyme de "Return" : retour dans les bras déjà tendus des États-Unis d'Amérique.

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Un nouveau livre sur l'islam publié par Riposte laïque

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Toujours en pointe dans le juste combat contre l'islamisation de la France, Riposte laÏque vient de publier un nouvel ouvrage consacré à ce sujet brûlant. Trop de gens préfèrent confortablement fermer les yeux face à ce fléau que les mondialistes avaient ignoré lorsqu'ils préparaient le "grand remplacement".

Heureusement, des gens comme nos amis de Riposte laïque se sont rendus compte du piège et ont décidé de le dénoncer.

Pour en savoir plus cliquez ici

11:38 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

De la différence à la « diversité »

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Le philosophe et essayiste Alain de Benoist analyse dans ce texte lumineux, comment la notion de différence a évolué jusqu’à faire apparaître une incohérence fondamentale. « La morale enseignait naguère à bien se comporter pour atteindre l’excellence de soi. Aujourd’hui, elle consiste à approuver ce que l’idéologie dominante définit comme une « société plus juste … Il en va de même de la différence. Jusqu’à une époque relativement récente, c’était une notion qui ne posait pas de problème. »

A lire ICI

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jeudi, 22 août 2019

A qui profite la crise ?

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Contrairement à la raison, la crise est la chose du monde la moins bien partagée. En témoignent les montants records de dividendes versés aux actionnaires qui atteignent le chiffre vertigineux de 514 milliards de dollars au deuxième trimestre 2019.
 
Le capitalisme, on le voit, se porte bien malgré la conjoncture internationale, et les entreprises françaises cotées en bourse, viennent, elles aussi, de franchir un nouveau record d'attribution de dividendes: 54 milliards, ce qui les place, et de loin, au rang de meilleurs payeurs d'Europe.
 
On ne peut bien sûr que se féliciter de ce que nos entreprises dégagent bénéfices et profits.
 
Mais l'on préférerait que ces profits soient, pour une part bien plus large quelle ne l'est, utilisés pour l'investissement et le développement technologique, et pour une autre part, certes plus minimes, redistribués aux salariés sous forme d'intéressement.
 
En versant plus de 46 % de dividendes à leurs actionnaires, les entreprises hypercapitalisées du CAC 40 rémunèrent à la fois les sommes investies, ce qui est naturel mais devrait se faire sur le temps long, tout en versant une sorte de prime de risque immédiate aux actionnaires dont la voracité cupide va s'accroissant.
 
En ces temps d'iniquité et de désarroi, pouvoirs publics et présidents de grandes sociétés devraient réfléchir aux moyens les plus sûrs de raffermir les liens sociaux entre français, liens qui garantissent seuls la cohésion nationale, tout en assurant l'avenir et l'essor de leurs entreprises.
 
La prospérité nationale ne viendra que de la synergie des forces entrepreneuriales, de la sagesse des actionnaires et de l'énergie participative des salariés, sous la houlette d'un État fort.
 
L'esprit national en matière économique et sociale est, lui aussi, à réinventer.

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