lundi, 07 janvier 2019
Métainfos, un nouveau dans la galaxie non-conformiste
Il y a quelques semaines, nous vous faisions part de la regrettable disparition du site Métamag cliquez là. Celle-ci témoignait de la difficulté d'entretenir par les réseaux militants dissidents un site quotidien de qualité. Beaucoup ignorent le travail que représente une telle entreprise. Nous en savons quelque chose...
Mais, heureusement, il en faut plus que cela pour décourager les bonnes volontés. Et, grâce à la ténacité de quelques rédacteurs de Métamag regroupés autour de notre camarade Michel Lhomme, un nouveau site vient de naître.
L'esprit est le même et il s'intitule Métainfos. Vous pouvez le consulter en cliquant ici
S.N.
10:02 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Rome, 7 janvier 1978 : trois militants du Front de la Jeunesse étaient assassinés par la police
Zentropa cliquez ici
Le 7 janvier 1978, trois militants nationalistes tombent sous les balles de terroristes et de la police.
Les trois jeunes Italiens militaient au Front de la Jeunesse (FGD-Fronte della Gioventù). La première fusillade se déroula quand les militants sortaient alors d’une réunion du Mouvement social italien (MSI-Movimento sociale italiano). Ils furent mitraillés par cinq ou six extrémistes de gauche qui attaquèrent avec des armes automatiques.
Franco Bigonzetti, un étudiant en médecine de 20 ans est tué. Francesco Ciavatta, 18 ans, est blessé ; il parvint à quitter les lieux, pendant que trois autres militants réussissent à revenir au local du MSI, dont Vincenzo Segneri, également blessé par balles.
Les lâches criminels poursuivent Francesco et l’abattent, dans le dos. Il décèdera dans l’ambulance qui le conduit à l’hôpital. Une manifestation spontanée s’organise alors contre ce crime ignoble. Dans une atmosphère tendue, un journaliste de la RAI se livre à un acte tout aussi ignoble : il va éteindre sa cigarette dans le sang de l’une des victimes. Un mouvement de protestation gronde dans la foule ; la police intervient alors est le capitaine de police Edward Sivori abat Stephen Recchini. L’intention de tuer est certaine puisqu’il tire en pleine tête, entre les deux yeux du jeune militant de 19 ans, par ailleurs guitariste du groupe Janus.
Stephano Recchioni décède après deux jours d’agonie.
L’action criminelle des marxistes fera une quatrième victime : le père de Francesco Ciavatta se suicide quelques mois plus tard.
Un cinquième militant nationaliste sera assassiné suite à cette affaire. Un an après le massacres, les organisations nationalistes italiennes veulent démontrer publiquement en souvenir de leurs camarades et pour protester contre l’inaction de la police et de la justice. La marche est interdite par les autorités. Une manifestation spontanée aura pourtant lieu et se déroulera sans le moindre incident.
Alors qu’il rentre chez lui avec un camarade, Alberto Giaquinto est approché par une voiture de police banalisée. Des policiers finissent par en descendre est l’un d’eux tire une balle dans la nuque d’Alberto. Grièvement blessé, il tombe à terre ; les policiers s’enfuient, laissant leur victime mourir. Il demeure plus de 20 minutes dans la rue sans qu’aucun secours n’arrive. Transporté à l’hôpital, il y décède peu après.
Alors qu’il meure, sa famille à ses côtés, le domicile de ses parents est vandalisé par des policiers qui veulent se couvrir et cherchent des preuves – mais agissent sans mandat. Ils prétendirent en effet qu’Alberto était armé, ce qui était faux.
Albert Giaquinto avait 17 ans. La justice n’a jamais condamné les assassins. Plusieurs criminels rouges ont été identifiés : Mario Scrocca, Fulvio Turrini, Cesare Cavallari, Francesco de Martiis e Daniela Dolce. Sans aucun doute coupables, le premier s’est suicidé, le dernier s’est enfui. Les autres seront finalement acquittés.
Les flics tueurs ont également été acquittés.
Trente ans après, aucun des criminels n’a été condamné.
Depuis, nos camarades italiens commémorent la mort de leurs camarades sur les lieux du drame.
09:50 Publié dans En Europe et ailleurs..., Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 06 janvier 2019
Entretien avec Pierre Vial sur Vive l'Europe
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Réunion nationaliste à Paris le 19 janvier
20:37 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Jean-Jacques Goldman, pourquoi pas. Mais pourquoi ?
La chronique de Philippe Randa
À nouveau, et pour la huitième fois (mais pas consécutive), le chanteur Jean-Jacques Goldman sort gagnant dans la 66e édition du Top 50 Ifop-JDD, avec, note le JDD, un cru marqué, cette année « par la percée des Bleus, le recul des femmes et la disparition des politiques. »
Bon, pourquoi pas ! Loin de nous l’idée de contester ce sacre dont personne non plus nous empêchera néanmoins de songer : Oui, pourquoi pas ! Mais pourquoi ?
Frédéric Dabi, directeur général adjoint de l’Ifop, donne bien un début d’explications qui en vaut d’autres : « Il n’a pas d’actualité, mais il fait résolument partie de la vie des Français »… Ah bon ? De quel Français précisément, on ne le précise pas… Pas davantage que de savoir si 9 autres suivant (Omar Sy, Dany Boon, Kylian MBappé, Thomas Pesquet, Zinédine Zidane, Michel Cymes, Jean Reno, Jean-Paul Belmondo, Soprano) en font donc moins, un peu moins ou beaucoup moins « résolument partie »…
Et pas davantage sur quels critères s’est joué cette préférence, s’agissant pour 7 d’entre eux de saltimbanques ; le spationaute Thomas Pesquet et le médecin-chirurgien Michel Cymes faisant dès lors quelque peu figure de faire-valoir…
Il en va donc des personnalités préférées des Français comme des vœux de Nouvel An : l’un et l’autre sont inévitables chaque année… Mais si les seconds, en général, sont plaisants, même si un peu « obligés », les premiers ne cessent de nous laisser quelque peu perplexe…
EuroLibertés cliquez ici
19:50 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Du désaveu à la sanction démocratique
Bernard Plouvier
Les dix-huit mois d’administration de la France par le Président Macron et son gouvernement, les dix-huit mois de spectacle médiatique indécent du couple Macron aboutissent à une fronde durable, sans précédent depuis la chienlit de 1968.
Un sondage rendu public la première semaine de 2019 tendrait à démontrer que 75% des Français sont très mécontents de l’Exécutif... et l’on aimerait savoir quels sujets de contentement peuvent avoir les 25% restant, car il n’y a assurément pas 25% de millionnaires en euros au sein de la Nation, soit les seuls Français qui pourraient être satisfaits du gouvernement ultraréactionnaire, dirigé par le tandem Macron – Philippe.
Il serait d’ailleurs bon que les « politologues » - cette engeance fondamentalement inutile – et les journalistes comprennent enfin que seuls représentent « l’Extrême-Droite » les hommes et les femmes voués à la conservation des privilèges des puissances d’argent.
Macron, Philippe et consorts, qui œuvrent à l’évidence pour les financiers internationaux, créanciers-charognards de l’État français (et des autres États européens, mais c’est l’affaire des autres Nations d’Europe), qui alimentent les bénéfices des multinationales de la production et de la distribution des biens de consommation – qui sont les uniques bénéficiaires de l’immigration-invasion que nous subissons, sans avoir été consultés, en négation du principe démocratique -, ces parvenus au pouvoir, forment la pire réaction que nous ayons connue depuis les débuts de la Ve République.
Même Georges Pompidou, qui était déjà un « homme des Rothschild », n’avait pas osé en faire autant pour le grand capital et ses titulaires que les hypocrites de la « République en marche »... vers un désastre économique et financier sans précédent, mais surtout – et c’est infiniment plus grave – vers l’anéantissement de notre Nation.
Charles De Gaulle était, certes, un général de guerre civile, mais du moins savait-il que la France est peuplée de membres de la race européenne et s’opposait-il à son invasion par les Extra-Européens. Il est de bon ton, en nos jours de confusion sémantique et d’abjecte démagogie tiers-mondiste – ou mondialiste, comme on voudra - d’en faire « un raciste ».
Mais s’il faut affronter ce qualificatif, qui effraie les esprits simples ou émotifs, pour libérer notre patrie des envahisseurs qui n’ont rien, absolument rien à y faire, alors affrontons-le !
Il est absolument nécessaire, en cette année 2019, d’exploiter, pour le salut de notre Patrie et la sauvegarde de notre Nation, le mouvement de rejet de l’abjecte mondialisation qui est incarné – de façon malhabile, c’est évident – par l’émotion populaire durable des Gilets Jaunes.
Il est grand temps que les Français de souche européenne comprennent que les clivages droite-centre-gauche ne signifient plus rien en cette ère d’économie globale qui nous tue.
Il n’existe qu’une alternative : ou l’on continue de subir la véritable réaction - celle du grand capital international – ou l’on se lance dans l’expérience populiste. Les échéances électorales prochaines ne seront qu’un test et sûrement pas le plus important. L’essentiel est de regrouper la Nation autour d’idées simples orientées vers la conservation et l’accroissement du Bien Commun. Rien ne se fera sans un chef, jeune, dynamique et charismatique, capable d’unir les forces vives de notre Nation.
15:26 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Revendiquer notre héritage chrétien, une composante importante de l’identité européenne
Ligne Droite cliquez ici
L’oligarchie rejette les racines chrétiennes de notre civilisation. Lors de la mise au point du traité de constitution européenne, elle refusa qu’on y fît référence et, à l’intérieur de notre pays, cette simple évocation attire ses foudres au nom du dogme de la laïcité. Pourtant, l’histoire, la culture et l’esprit de notre nation sont imprégnés de christianisme, preuve que ce dernier est bien une composante de notre identité. Ligne droite estime en conséquence que nos racines chrétiennes, qui font partie de notre héritage, doivent, en dehors de toute considération religieuse, être reconnues, revendiquées et assumées.
Le christianisme, pas seulement une religion, une réalité culturelle et historique
Pour le Système, l’identité de notre pays se réduit à un ensemble de prétendues valeurs, toutes inspirées par la pensée unique, au sein desquelles l’héritage chrétien n’a pas sa place. Parmi celles-ci, figure en revanche la laïcité dont se servent les idéologues laïcards et déconstructeurs de l’oligarchie pour considérer que le christianisme, n’étant qu’une religion, doit être traité comme tel et placé au même rang que l’islam par exemple.
Cette conception abstraite de notre identité ignore complètement que le christianisme a aussi une dimension culturelle et historique qui a forgé l’identité de notre nation depuis des siècles. Car, que l’on soit chrétien ou non, pratiquant ou non, personne ne peut nier que le christianisme a joué un rôle moteur dans la formation de notre nation et qu’il représente à ce titre une composante importante de notre identité nationale et civilisationnelle.
Le christianisme a façonné notre nation pendant mille cinq cents ans
Il suffit pour s’en convaincre de parcourir notre pays où sont implantées chapelles, églises et cathédrales par milliers, où beaucoup de lieux portent le nom d’un saint et où le calendrier qui règle la vie collective est constitué par les fêtes chrétiennes. Il suffit aussi de se remémorer notre histoire qui, pendant près de quinze cent ans, a été façonnée par le christianisme. Une influence qui a d’ailleurs profondément marqué toutes les facettes de notre civilisation, aussi bien les arts, la littérature que la philosophie ou les sciences.
Le christianisme marqué par l’esprit européen
Symétriquement, le christianisme a été marqué par l’esprit européen, en raison notamment de sa conception de la liberté humaine. Devenu religion officielle de l’Empire romain, le christianisme a été le réceptacle des valeurs de l’antiquité finissante. Nombreux sont en effet les Pères de l’Église et les premiers évêques à avoir été des patriciens grecs ou romains. Par ailleurs, la conversion des tribus germaniques et franques au christianisme est venue renforcer son caractère européen. Que serait l’héritage antique sans le christianisme qui l’a porté jusqu’à nous à travers la pensée des Pères de l’Église ou le patient travail des moines copistes ?
Nos racines chrétiennes pour résister à l’islamisation
Aujourd’hui, la dimension chrétienne de notre identité contribue par ailleurs à marquer la spécificité de notre civilisation en particulier par rapport à l’islam. Ainsi, par exemple, le christianisme est-il pour beaucoup dans la distinction entre le spirituel et le temporel propre à notre civilisation. Cette distinction renvoie en effet à une conception chrétienne de la société fondée par les paroles du Christ annonçant que son royaume n’est pas de ce monde, affirmation unique à l’époque. Le célèbre « Rendez à César… » a ensuite structuré les sociétés européennes jusqu’à nos jours en distinguant les domaines temporel et spirituel, à l’inverse de l’islam qui les confond totalement en considérant la loi civile comme de nature divine.
De même, le christianisme a accompagné notre civilisation dans sa quête de connaissance et sa recherche du progrès technique et scientifique. Cette caractéristique de notre civilisation fondée sur l’expérimentation scientifique n’est pas étrangère à la pensée chrétienne. Depuis la Renaissance, le christianisme a en effet encouragé l’homme à comprendre le monde qui l’entoure et à développer son intelligence. Une démarche très différente de celle de l’islam qui bride la pensée et fige les connaissances depuis le treizième siècle.
Ainsi, la composante chrétienne de notre identité peut-elle jouer un rôle utile dans la résistance à l’islamisation. Comme elle peut par ailleurs servir de levier pour contrer les entreprises de déconstruction du Système.
L’héritage chrétien pour contrer les entreprises de déconstruction
Le christianisme est en effet porteur de l’idée de bien commun propre à notre civilisation. Depuis des siècles, les penseurs chrétiens affirment la nécessité pour la politique d’être orientée vers le bien commun et par conséquent d’agir au bénéfice de la communauté que constituent les membres d’une même nation. Le bien commun s’oppose donc à la conception du Système, qui de son côté cherche à substituer à l’intérêt général la somme des intérêts particuliers.
De même, comme les peuples d’Europe, le christianisme a toujours pris en compte la réalité de la nature humaine, considérant qu’elle répond à une loi naturelle qu’il a théorisée et défendue comme référence éthique. Une loi qui s’oppose, là aussi, au projet du Système de déconstruire nos valeurs de civilisation. Aucune des réformes voulues par l’oligarchie concernant par exemple le mariage pour tous ou la GPA n’est en effet compatible avec la loi naturelle.
Il n’est donc pas étonnant que le Système, conscient que la prise en compte de cet héritage peut constituer une menace pour ses initiatives mortifères, s’efforce de couper les peuples de leurs racines chrétiennes.
Ligne droite estime nécessaire que notre peuple reprenne pleinement conscience de la richesse de sa civilisation et que, dans ce cadre, il donne toute sa place à la composante chrétienne de son identité. Indépendamment de sa dimension religieuse, celle-ci est porteuse d’histoire et de valeurs qui font une part de ce que nous sommes. Une part aujourd’hui menacée par la poussée islamique ainsi que par le travail de déconstruction. Aussi, nos racines chrétiennes sont-elles indispensables pour assurer l’avenir de la civilisation européenne. Il est important de les reconnaître et de les prendre en compte.
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Un reportage sur la Nouvelle Droite aujourd'hui
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samedi, 05 janvier 2019
Journal du chaos
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vendredi, 04 janvier 2019
SPÉCIAL ESPAGNE : MANUEL VALLS AU SEIN D’UNE COALITION DES DROITES
Franck Buleux Metainfos cliquez là
En Andalousie, pour la première fois depuis l’après-franquisme, une coalition de droite dirige la grande région autonome espagnole.
En effet, bien qu’arrivé en tête des voix, le Parti socialiste ouvrier espagnol (PSOE) d’Andalousie au pouvoir depuis 1976 connait un fort recul, tandis que Ciudadanos, parti de centre droit dont fait partie Manuel Valls, connait une forte hausse. Le scrutin est cependant surtout remarqué dans le pays et à l’étranger par la percée du parti Vox, qui fait son entrée au parlement andalou et devient ainsi le premier parti de droite nationale espagnole à obtenir des sièges dans un parlement régional depuis la transition démocratique. Un coup de tonnerre… L’Espagne faisait souvent figure d’exception en matière de percée des droites populistes ou/et identitaires.
Avec respectivement 21 %, 18 % et 11 %, la droite traditionnelle, le Parti populaire (PP) espagnol, en baisse, le centre droit et la droite nationale sont majoritaires en voix comme en sièges, le mode de scrutin étant proportionnel de l’autre côté des Pyrénées, favorisant ainsi le respect du suffrage universel direct et l’union de mouvements.
Toutefois, un problème semble venir de France… Même si celle-ci fait figure de pays précurseur en matière d’union des droites, puisque dès 1983, une coalition RPR-UDF-FN ravissait la ville de Dreux à la gauche, les élites françaises semblent totalement hermétiques à la démocratie, lorsque celle-ci envoie des élus à droite de la droite.
Or, Vox est un parti fondé en 2013 par des déçus des pratiques du Parti populaire, la droite « classique » espagnole. Vox défend la royauté espagnole, l’unité du pays, la famille et souhaite le rattachement de Gibraltar, actuellement sous contrôle britannique. Enfin, Vox plaide pour la fermeture des mosquées fondamentalistes ainsi que l’arrestation et l’expulsion des imams extrémistes, ce qui doit effectivement le rendre extrémiste aux yeux des bien-pensants hexagonaux.
Et le problème est là… Le candidat à la mairie de Barcelone pour le parti de centre droit, Ciudadanos, membre de la coalition des droites andalouses, est l’ancien Premier ministre français, ancien député-maire d’Évry, Manuel Valls.
L’élection du gouvernement andalou incluant les trois partis de droite, il est donc juste de dire que Manuel Valls fait partie d’un mouvement qui s’unit, au moins régionalement, à l’extrême-droite espagnole. En attendant les élections nationales où cette coalition pourrait faire chuter le Premier ministre socialiste ?
Soyez rassurés, Manuel Valls, membre du centre droit espagnol, a vigoureusement dénoncé l’union des droites andalouses. Mais il reste membre du parti de centre droit. En France aussi, nous avons connu des élus de droite qui condamnaient les alliances avec le FN, tout en restant dans leur parti.
Déjà mal placé dans les sondages pour conquérir Barcelone face à la gauche radicale et indépendantiste catalane, Manuel Valls aura besoin de toutes les voix de droite pour l’emporter.
Alors, Manuel Valls est déjà confronté à un dilemme : ravir Barcelone en s’alliant avec toutes les droites ou… revenir en France ?
Ultime solution, si un pays n’importe où dans le monde ne subit pas la poussée de la droite populiste, il se pourrait que le binational Manuel Valls soit intéressé par une troisième nationalité.
Un Manuel au Brésil aurait fait bonne figure, selon la théorie des prénoms, chère à Éric Zemmour mais vous n’y pensez pas…
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Les méchants et les gentils...
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Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine
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jeudi, 03 janvier 2019
Invraisemblable : LE TRAIN BLEU PORTE PLAINTE CONTRE DES SALARIÉS POUR CRIME DE « QUENELLE »
Pas de prescription pour les "crimes de quenelle"...
Source Paris Vox cliquez là
LE CÉLÈBRE RESTAURANT DE LA GARE DE LYON (PARIS 12e) A ANNONCÉ QU’IL ALLAIT PORTER PLAINTE ET SANCTIONNER CERTAINS DE SES SALARIÉS SUITE À LA DIFFUSION D’UNE PHOTO LES MONTRANT EN TRAIN DE RÉALISER UNE « QUENELLE », LE GESTE HUMORISTIQUE POPULARISÉ PAR DIEUDONNÉ.
Les mal-pensants présents sur le cliché sont au nombre d’une douzaine, tous souriants et en tenue du prestigieux restaurant.
Dans un communiqué, la direction de l’établissement, qui appartient au géant britannique de la restauration dans les transports SSP, a déclaré avoir découvert ce cliché avec « effarement et horreur », rien de moins.
Bien que la photo date visiblement de plusieurs années, l’entreprise a annoncé des sanctions « exemplaires » contre ceux ayant perpétrés « ce geste en forme de salut nazi inversé, devenu un signe de ralliement dont nous n’ignorons ni la gravité ni la signification antisémite avérée » et qui ont ainsi « violé les valeurs de notre entreprise qui réprouve toute forme de haine, de racisme et de discrimination ». En ce sens la société « se tiendra à la disposition des autorités pour permettre l’identification de toutes les personnes qui se sont adonnées à un geste haineux et qui ont fait partie de l’établissement Train Bleu. »
10:42 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Procurez-vous donc le calendrier 2019 de La Dissidence française
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Un dictionnaire hors des chemins convenus
Ancien rédacteur à L’Action Française, collaborateur à Synthèse nationale, à Réfléchir & Agir, à EuroLibertés, à Éléments, et chroniqueur hebdomadaire de l’émission « Synthèse », Aristide Leucate est aussi un auteur prolifique. À peine a-t-il publié chez Pardès un remarquable Carl Schmittqu’il vient de sortir aux éditions Dualpha un Dictionnaire du Grand Épuisement français et européen (préface de Pierre Le Vigan, 2018, 393 p., 33 €).
Certes, Aristide Leucate ne cache pas son royalisme maurrassien, ce qui ne l’empêche pas d’aborder une actualité que n’aurait jamais pu imaginer le natif de Martigues. Ainsi traite-t-il du Qatar, de l’ubérisation des rapports sociaux, de Macron, voire d’Élie Wiesel. Son farouche anti-républicanisme, fort plaisant, lui permet de rappeler que « la France, à travers une politique étrangère oscillant entre ingénuité universaliste et ignorance coupable, ouvre inconsidérément ses bras à un État qui a délibérément fondé sa stratégie de puissance sur un impérialisme financier décomplexé (p. 298) ».
Même si l’on ne partage pas son avis sur l’Europe, l’avenir de la Corse ou sur une hypothétique restauration monarchique, on le rejoint volontiers quand il pense que « la fonction présidentielle, écrit-il encore, a perdu en majesté ce que ses titulaires ont progressivement engrangé en banalité vulgaire. Avec l’élection de François Hollande, la République a définitivement administré la preuve de son état moribond. Il est désormais accessible à n’importe qui de briguer la charge suprême de l’État. En somme, pour paraphraser Céline, l’Élysée serait devenu cet infini à la portée des caniches (p. 305) ». Et c’était avant la victoire d’Emmanuel Macron, le sous-Jupiter de l’Hexagone !
Outre une qualité exigeante d’écriture, il faut lire ce Dictionnaire du Grand Épuisement français et européen parce qu’il pose le constat clinique sur le déclin avancé de notre civilisation. Le Romain Symmaque a trouvé son successeur, il s’appelle Aristide Leucate !
Bonjour chez vous !
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10:15 Publié dans Georges Feltin-Tracol, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Vers le krach : tout va mal partout dans le monde
Marc Rousset
La Bourse de Paris a fini sa pire année depuis 2011, en chute de 10,95 %. À Wall Street, le Dow Jones, le NASDAQ et le S&P 500 ont respectivement lâché 5,6 %, 3,9 % et 6,2 % alors qu’ils s’étaient envolés l’année dernière de 25,1 %, 28,2 % et 19,4 %. 2018 est l’année du retour sur Terre. Les banques du S&P 500 ont perdu 14,7 % et le secteur de l’énergie 20,5 % en raison du plongeon du cours du pétrole de 86,3 dollars, le 3 octobre 2018, à 53,8 dollars, le 26 décembre 2018, soit une chute de 37,7 % en trois mois.
Le repli, à Wall Street, de plus de 10 % sur le mois de décembre – la plus forte baisse mensuelle depuis février 2009, du jamais-vu depuis 1929 – a été spectaculaire, et de 26.000 points au début du mois de décembre 2018, le Dow pourrait chuter jusqu’à 14.000 points durant l’été ou l’automne 2019. Autre signe des temps : la bulle des crypto-monnaies a explosé. En 2018, plus de 700 milliards de dollars sont partis en fumée sur le marché du bitcoin et de ses alter ego. La Bourse de Shanghai, elle, a baissé, en 2018, de 25 % et 75 fonds d’investissement chinois en actions ont fait faillite.
Les obligations d’État japonaises à dix ans considérées comme des valeurs refuges au même titre que l’or ont vu leur rendement tomber en territoire négatif à -0,005 % pour la première fois depuis 2017. De son côté, la Bundesbank est pessimiste pour l’économie allemande, ne prévoyant plus que 1,6 % de croissance en 2019, avec des rumeurs de fusion entre Deutsche Bank et Commerzbank, une crise démographique, un manque de main-d’œuvre – l’armée allemande, faute de recrues, envisageant même très sérieusement de recruter des Européens pratiquant la langue de Goethe.
Une très forte volatilité règne sur les marchés. Du jour au lendemain, le pessimisme des investisseurs peut faire place à l’optimisme. Les indices de volatilité VSTOXX et VIX (connu sous le nom d’« indice de la peur ») se sont envolés, du jamais-vu pour un mois de décembre depuis 1931. Une politique d’assouplissement monétaire comme au Japon, avec des taux d’intérêt négatifs en vue de repousser un krach boursier, ne peut durer indéfiniment ou laisserait place à la perte de confiance et à l’hyperinflation.
L’euro est une excellente idée, un succès reconnu dans le monde, mais suite au laxisme, à l’inconscience des pays non sérieux tels que les pays européens du Sud dont la France, la zone euro est à la veille de l’éclatement. Non seulement les économies n’ont pas convergé, mais l’hétérogénéité structurelle a augmenté entre les différents pays européens. De plus, 50 % des obligations d’entreprises européennes sont notées BBB- (la plus basse note avant d’être placé dans la catégorie « obligations pourries »). Il y a dix ans, ce chiffre n’était que de 19 %. C’est dire le nombre de sociétés dépendant des taux d’intérêt pour assurer leur survie en Europe.
Rome a mis de l’eau dans son vin pour échapper aux sanctions des marchés et de l’Union européenne en ramenant son déficit public de 2,4 % à 2,04 % en 2019. Le plan d’investissement a été réduit, les impôts sur les sociétés augmentés, le revenu minimum de citoyenneté, l’abaissement de l’âge de la retraite, la diminution des impôts des auto-entrepreneurs maintenus. Les syndicats et la gauche demandent maintenant la désindexation des pensions de retraite supérieures à 1.500 euros nets par mois. Avec ce budget démagogique, épris en apparence seulement de justice sociale pour augmenter, finalement, le nombre de chômeurs, l’Italie sérieuse et travailleuse va continuer de décrocher par rapport à l’Europe du Nord.
Le libre-échange mondialiste, avec sa course incessante aux bas salaires et aux délocalisations, doit être mis à bas dans une Europe-puissance protectionniste. 85 millions d’emplois pourraient être théoriquement délocalisés de l’« usine du monde Chine ». La grande mode, la dernière « trouvaille » pourraient maintenant être l’Éthiopie, avec son salaire moyen de 50 euros par mois. Le basculement sans fin du capitalisme vers le Sud conduit à la déstabilisation et à la paupérisation des classes moyennes en Europe. Les pseudo-élites ont été amenées à distribuer du pouvoir d’achat fictif en augmentant la dette publique d’une façon suicidaire et en créant de la fausse monnaie d’une façon non conventionnelle dans les banques centrales. Une raison supplémentaire d’explosion sociale, d’éclatement de la zone euro, de krach économique et financier, de révolution conservatrice en Europe.
Boulevard Voltaire cliquez ici
01:09 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi 26 janvier à Beauvais : galette des Rois du Parti de la France
Samedi 26 janvier à Beauvais se déroulera à 15h la traditionnelle galette des rois du Parti de la France - Picardie.
À l'invitation de Thomas Joly, Secrétaire général et Délégué régional, sera présent Jean-Claude Rolinat, membre du Bureau Politique du PdF, auteur du récent ouvrage « La bombe africaine et ses fragmentations » qui sera vendu à un tarif promotionnel pour les participants.
Réservations au 06 09 96 44 37
ou thomasjoly60@yahoo.fr
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mercredi, 02 janvier 2019
Quand l’urbanisme explique, en partie, les gilets jaunes
Par Catherine Tricot*
Largement soutenu par la population, le mouvement des «gilets jaunes» ne s’est cependant pas généralisé. Il y a bien eu le ralliement des dockers du Havre, de quelques centaines de lycées ou du comité Justice pour Adama Traoré, mais la grande convergence des luttes n’a pas eu lieu. Au-delà de positions sociales communes, les catégories populaires se révèlent profondément fragmentées.
Le peuple d’hier était largement – mais jamais complètement − structuré par une relative communauté de vie et par le mouvement ouvrier. Son unité a été mise à mal par le recul de la grande entreprise, l’externalisation des fonctions et le développement de la sous-traitance, la diversification des statuts de travailleurs, l’apparition de nouvelles formes d’organisation du travail. Le mouvement des « gilets jaunes » met en évidence la dimension territoriale de cet éclatement populaire. Les « gilets jaunes » se sont surtout manifestés hors des grandes métropoles, plutôt dans les anciennes terres industrielles et dans la « diagonale du vide » qui dessine la France centrale, encore agricole, celle des moyennes industries, des petites et moyennes villes.
Certes, le critère territorial ne supplante pas tous les autres, mais il compose et caractérise autant ce mouvement que la mosaïque populaire elle-même. Si cette carte est si marquée, c’est qu’elle s’emboîte avec des modes de vie, des expériences politiques et des représentations de l’avenir. Pour se mobiliser, le lieu d’habitation s’avère aussi structurant que le niveau des revenus ou le statut. Pour prendre la mesure de cette réalité des catégories populaires, la grille de lecture par le travail et le revenu ne suffit plus.
Au vu de nombreux reportages, on comprend qu’une forte proportion des « gilets jaunes » résident dans de petites et moyennes villes, qu’ils sont propriétai- res de pavillons construits il y a plus de quinze ans, difficiles à chauffer. Souvent issus d’un monde qui se souvient de la maison familiale à la campagne, beau- coup ont acheté leur logement pour se prémunir de l’avenir.
DIFFICILE ACCESSION À LA PROPRIÉTÉ
Ils ont parfois quitté la grande ville, trop chère, trop dangereuse ; ils entendaient échapper à la « cité ». Dans le jardin, le barbecue est en bonne place: le voici sur les ronds-points. Ils aspiraient à une idée du bien-vivre, mais la situation s’est révélée plus difficile, avec des services publics raréfiés et éloignés, des réseaux 4G ou la fibre optique inaccessibles, et la voiture, indispensable, de plus en plus coûteuse. La métropolisation, subie, a accentué le sentiment d’une mise à l’écart de la modernité; elle a alimenté le rejet d’une élite méprisante.
Cette histoire est bien loin de celle des habitants des ensembles construits dans les années 1960 et 1970, les logements sociaux habités majoritairement par des familles issues de l’immigration. Ce parc immobilier est important à la périphérie des métropoles, mais on le trouve aussi dans les villes moyennes d’anciennes industries. Loué, et non acheté, l’appartement bénéficie rarement d’espaces extérieurs conviviaux où, ne serait-ce que sur le balcon, on peut manger et inviter. La grillade, on n’y pense même pas... Pour ces familles, obtenir un tel logement est souvent une chance, mais rarement un choix. Les habitants des cités se savent discriminés et vivent dans des quartiers où la règle n’est pas commune : rapports délétères avec la police, services publics de moindre qualité, invisibilité généralisée, centre commercial comme substitut au marché et à la place publique, qui n’existent pas.
Pour une troisième grande catégorie populaire, celle qui vit en ville ou près des grands centres-villes, les loyers absorbent une part croissante des revenus. Elle consent d’énormes sacrifices de temps et d’argent pour rester branchée sur « une modernité » : transports en commun, em- ploi, commerces et loisirs, services pu- blics encore debout. Les services les plus socialisés sont théoriquement à leur portée et à celle de leurs enfants : universités, hôpitaux, musées et salles de concert... La précarité n’est pas que profession- nelle; elle a aussi le visage des projets immobiliers des propriétaires. L’accession à la propriété pour se sécuriser ? Dans le cœur des métropoles, elle devient hautement improbable pour les catégories populaires. Alors, ce qui reste commun, ce sont les problèmes d’argent, l’inquiétude face à l’avenir, souvent la souffrance au travail. Mais tout cela est vécu selon des perspectives divergentes en partie en fonction des lieux, voire des stratégies, de résidence.
Cette réalité éclatée du monde populaire signifie-t-elle l’impossibilité d’une unité future? L’exigence de vivre de son travail et non d’aides, la fronde contre les inégalités et les impôts injustes, l’affirmation de la dignité et du respect ont fait le socle du soutien aux « gilets jaunes ». Sans faire converger ces mondes populaires. Leur réunification ne peut se concrétiser que dans un projet porté par un discours politique d’ampleur. C’est ce qui a manqué au mois de décembre 2018.
(*) Catherine Tricot est architecte. Le titre est de nous.
Source : Le Monde 3/01/2019
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Le Prix 2019 des Lecteurs et Amis de Présent est attribué à Jean-Marie Le Pen
32 % des participants au Prix du livre des Lecteurs et Amis de Présent ont voté pour Fils de la nation, le premier tome des mémoires de Jean-Marie Le Pen.
L’idée nous était venue un matin d’octobre, lors d’un comité de rédaction, alors que nous évoquions le contenu des pages littéraires de Présent :
— Et si nous demandions à nos lecteurs de désigner le livre qui, à leurs yeux, a été le plus important, cette année ? Nous pourrions les interroger, sans opérer de pré-sélection, mais en orientant éventuellement les choix par des tribunes de collaborateurs et de proches du journal, et de lecteurs, qui expliciteraient leur soutien à tel ou tel livre.
Nos rédacteurs sont montés au créneau. Et nous vous avons invités à en faire autant, à vous exprimer en toute liberté sur vos lectures de l’année 2018 et à propos de celui des livres qui avait le plus marqué.
Le Prix a été placé sous la présidence de Maître Thierry Bouclier, avec l’obligation pour lui de veiller au respect du règlement prédéfini, règlement qui a été rappelé à plusieurs reprises dans les pages de Présent. Maître Bouclier devait également s’assurer de la sincérité du scrutin. Mission dont il s’est parfaitement acquitté.
Le choix est sans appel, et l’ordre d’arrivée ne sera pas bouleversé par d’éventuels votes expédiés tardivement.
Fils de la nation recueille plus de 32 % des suffrages ;
La France interdite, de Laurent Obertone qui, au début de la procédure de désignation, faisait jeu pratiquement égal avec le livre de Jean-Marie Le Pen, arrive en seconde position, ayant recueilli un peu plus de 15 % des votes.
Un grand nombre d’autres titres
Pour que le podium soit complet, il convient de signaler la troisième place, obtenue par Bruno Lafourcade, pour son roman L’Ivraie (9 % des voix). Concernant ce dernier livre, il s’est trouvé propulsé à cette place inattendue après que nos amis et partenaires de la revue littéraire Livr’arbitres eurent rejoint notre entreprise. Il n’est pas exclu que cette troisième place soit le fruit d’un intense lobbying (mais, pour le coup, le règlement ne l’interdisait pas). Ces votes sont en effet arrivés dans la dernière ligne droite, et battent au poteau, pour cette troisième place, l’excellent Destins français, d’Eric Zemmour. L’Ivraie est une satire très méchante, mais très juste, de l’école républicaine, et un roman extrêmement drôle, ce qui ne gâte rien.
Il convient de remarquer que vos suffrages se sont surtout dispersés sur un grand nombre d’autres titres. Citons par exemple, sans prétendre faire preuve d’exhaustivité, Un automne romain, de Michel De Jaeghere, Le Mystère Clovis, de Philippe de Villers, L’Immaculée Conception, de Michèle Reboul, Arnaud Beltrame, gendarme de France, de Christophe Carichon, Blanquer ce monstre froid, de Claude Meunier-Berthelot, Demeure, de François-Xavier Bellamy. Ces livres ont recueilli un nombre non négligeable de votes. Mais il faut citer aussi Un été avec Homère, En terrasse avec Cicéron, L’Eté des quatre rois, Qu’est-ce qu’un chef ?, Mabire (la biographie de Jean Mabire) etc.
Enfin de nombreux livres ont été défendus – et souvent bien défendus – par un ou deux lecteurs seulement. Nous avons essayé de publier un grand nombre de ces messages de soutien à tel ou tel livre, moins médiatisé que les best-sellers, qui, eux, ont assez naturellement trouvé des voix pour les porter. Mais le contenu entier dePrésent n’aurait pas suffi pour citer tous vos messages.
Une critique revenait souvent dans vos courriers : « Vous auriez dû réserver le prix à de bons livres qui, sans un coup de projecteur, ne trouveront pas leur public. » Nous comprenons cette remarque. Mais le livre de Jean-Marie Le Pen n’est-il pas un bon livre ? Et nous savons aussi les entraves apportées à sa diffusion, même s’il est vrai qu’il a su quand même trouver son public.
Le livre qui raconte nos combats et nos espérances, nos joies et nos peines, nos colères et nos passions
Toutefois, l’objectif de notre Prix du Club des Lecteurs et Amis de Présent n’est pas d’abord de révéler des talents cachés ou nouveaux, de faire des paris sur de jeunes auteurs, à la façon du prix Goncourt. Il s’agit pour nous de mettre à l’honneur le livre et la lecture et de montrer l’extraordinaire diversité des thèmes, des talents, des genres, illustrant nos valeurs. De ce point de vue, la démonstration a été parfaitement réussie. Et Jean-Marie Le Pen fait un lauréat plus que légitime ! Pour beaucoup d’entre nous, c’est le livre qui raconte nos combats et nos espérances, nos joies et nos peines, nos colères et nos passions, sur bien plus d’un demi-siècle.
Bravo, donc, à Jean-Marie Le Pen, bravo aux autres auteurs, sélectionnés par notre jury, qui est le plus beau des jurys, puisqu’il est composé, pour l’essentiel, de nos lecteurs ! Et merci à vous, lecteurs, de vous être pris massivement au jeu.
Que va-t-il se passer, maintenant ?
Conformément à notre promesse, nous publierons dix encarts publicitaires dans les pages de Présent pour Fils de la Nation, avec un bandeau : « Prix 2019 du Club des Lecteurs et Amis de Présent ».
Nous allons ensuite contacter le récipiendaire et voir dans quelle mesure nous pouvons solenniser, en sa présence, cette attribution du prix. Il est prévu un partenariat avec La Nouvelle Librairie (11 rue Médicis dans le VIe arrondissement de Paris), et avec un restaurant parisien, La Mère agitée, situé non loin de là, qui pourrait bien devenir notre Drouant à nous. Nous vous tiendrons informés de tout cela dans les pages de Présent.
Mais ce que nous souhaitons par-dessus tout c’est que, l’année prochaine, l’attribution, pour la seconde fois, de ce prix, fasse l’objet d’une plus forte mobilisation, bien au-delà du public des lecteurs de Présent. Nous espérons, forts de ce succès, que les auteurs, les maisons d’édition, les diffuseurs, les librairies amies, rejoignent notre initiative et participent plus massivement à la mise en valeur de nos « grands livres ». Ce prix a vocation à devenir un événement annuel, un rite, un rendez-vous festif, mêlant auteurs, lecteurs, éditeurs et diffuseurs.
Cette attribution du prix 2019 des Lecteurs et Amis de Présent n’est donc pas la fin d’une aventure commune, mais son commencement.
Francis Bergeron, président du CLAP
Thierry Bouclier, président du Prix du CLAP
Source cliquez ici
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Les voeux de Carl Lang et du Parti de la France
11:18 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 01 janvier 2019
Ignace débusque les mensonges
19:41 Publié dans IGNACE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
DE LA FISCALITE ABUSIVE NAISSENT DES MOUTONS ENRAGES.
Pieter Kerstens
Quelques centimes de taxes supplémentaires en octobre ont fait déborder le réservoir des automobilistes et enclencher la rébellion des gilets jaunes. Ce mouvement disparate, essaimé sur l’ensemble de la France, reflète très exactement la majorité de la population dans les tranches d’âge, les niveaux culturels, sociaux, économiques ou financiers, à l’exception notable des citadins diplômés, écolos-bobos friqués et votant à gôche.
Cette diversité fait sa force, additionnée à une capacité de réaction rapide via les réseaux sociaux et excluant toute forme de hiérarchie.
La vingtaine de « figures » qui ont été interrogées abondamment par les médias traditionnels ces dernières semaines ont déclaré en permanence être « apolitiques » et rejeter les élus et les structures issues de la République.
Par contre, leurs discours et revendications sentaient bon un parfum de gauchisme.
Cette France « d’en bas », cette majorité silencieuse depuis des décennies, symbolise le béret, la baguette, le saucisson, le vin rouge les clopes et le gas-oil.
Curieusement sur les ronds-points, les péages d’autoroute et autour des centres commerciaux bloqués, on ne voyait aucune « chance pour la France », aucun « d’jeune » ni de black. A croire que ceux-là étaient satisfaits et non concernés par les maux qui touchent les Gaulois au quotidien.
NON A LA TRANSITION ENERGETIQUE.
Quand un état taxe à 66% le prix des carburants au prétexte de l’écologie et du « sauvetage de la Planète », c’est prendre les automobilistes pour des arriérés mentaux.
Il faut combattre les talibans verts et les gouvernements européens qui culpabilisent leurs populations comme d’affreux pollueurs, alors même que l’Europe a réduit ses émissions de CO 2 et de gaz à effet de serre de 30% entre 1990 et 2010.
La France ne représente aujourd’hui que 2% du total mondial de la pollution au CO 2 !!!
Il faut le dire et le répéter partout et toujours : les paquebots de croisières, les cargos porte-conteneurs et les éruptions volcaniques sont la cause de la majeure partie de la pollution par le CO2, l’émission de gaz sulfureux et la diffusion de particules fines. Ce que rejette votre diesel est infime et non-recevable.
Un gros paquebot de croisière comme « L’empire des mers », brûle 150 tonnes de fuel lourd et pollue autant qu’1 million de voitures, chaque jour. Les énormes porte-conteneurs qui amènent le made in China en Europe et sont la cause de la fermeture de nos usines polluent encore bien plus, de même que les milliers d’avions qui sillonnent le ciel de l’Hexagone tous les jours. Bizarrement le kérozène, lui, est détaxé.
Personne ne dénonce également les millions de tonnes de gaz sulfureux, de CO 2 et de particules fines qui sont crachés tous les ans dans l’atmosphère par la trentaine de volcans en éruption (sans compter la quinzaine supplémentaire en activité), comme le Stromboli et l’Etna en Italie, le Popocatépetl au Mexique, le Erta Ale en Ethiopie, Le Nyiragongo en RDC, le Krakatoa en Indonésie, le Reventador en Equateur ou le Kilauea à Hawaï, par exemple.
De cela, les Duflot, de Rugy, Mamère, Cohn-Bendit et autres Hulot ne parlent pas. Silence et bouche cousue. Pour les ayatollahs de l’écologie et les ONG de la transition énergétiques, SEUL L’HOMME BLANC serait responsable de la destruction de la Planète. Pas un mot sur les Asiatiques, les pétromonarques ou les Africains.
Quelle arrogance et quel orgueil de croire que ces donneurs de leçons pourraient influencer la Nature !
J’ADORE LA CORRIDA, J’AIME LE FOIE GRAS, JE SOUTIENS LA CHASSE A COURRE ET JE ROULE AU DIESEL.
N’en déplaise aux Eurocrates de Bruxelles, aux laquais du Nouvel Ordre Mondial, aux charlatans du métissage généralisé et aux gourous de la Nouvelle Religion Droits-de-l’Hommiste, je constate qu’un nombre de peuples européens de plus en plus nombreux aujourd’hui ouvrent les yeux et osent agir contre les fadaises, les utopies et la propagande dont le Système nous abreuve depuis bientôt 75 ans. Les macronariens ont voulu les salir et les calomnier en les accusant de destructions et de pillages, alors même que les responsables en étaient l’ultra-gauche et la racaille des banlieues, individus bien connus des services de police. C’est cela la réalité.
Les gilets jaunes sont l’expression d’une exaspération accumulée depuis quatre décennies. Les gouvernements devraient prendre garde que cette exaspération ne conduise à un désespoir qui ouvrirait les portes à des insurrections ou des révoltes plus dangereuses.
Sans aucun doute, les élections du 26 mai 2019 vont être le dernier avertissement adressé à des élites politiques peu soucieuses de la souveraineté, de l’identité et des intérêts des peuples qu’ils ont l’obligation de défendre.
Que l’An Nouveau puisse nous apporter la Force et la Joie indispensables au combat que nous menons.
19:40 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine
19:34 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 31 décembre 2018
Bonne année 2019 !
13:16 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 30 décembre 2018
Mentez, mentez, il en restera toujours quelque chose… enfin, peut-être !
La chronique de Philippe Randa
C’est le nouveau monstre à la mode qui défraie les landernaux politiques dans le monde entier : la fausse nouvelle ou « fake news ».
Emmanuel Macron, à peine élu à la Présidence de la République s’est plaint d’en avoir été particulièrement victime, accusant la Russie poutinienne, par complaisance lepéniste, d’avoir abondamment fourni les réseaux sociaux en mensonges divers et variés pour l’empêcher d’accéder à la Fonction Suprême. Sans succès, à l’évidence.
Du coup, une loi est annoncée pour lutter contre les « fake news » et beaucoup craignent qu’elle soit principalement destinée à museler les médias hostiles envers la pensée unique : que ce soit moins le mensonge qui soit à juste titre traqué que la liberté d’expression qui ne soit réprimée au nom d’une censure d’État qui n’oserait pas dire son nom.
Paranoïa ? Manipulation politique ? Complotisme ? À l’évidence, personne ne sait trop quoi en penser. François-Bernard Huygue a donc jugé utile de publier un petit livre fort décapant pour trier le bon grain de la réelle manipulation de l’ivraie complotiste : « Fake news la grande peur » (VA Editions cliquez ici) se lit facilement en une dizaine de chapitre qui permettent de se faire une idée sur la façon de « nommer le faux », de comprendre une « fausse nouvelle », de savoir si la société actuelle baigne autant qu’on le dit dans le « faux », de découvrir qui en sont véritablement les responsables et en fin de compte, de répondre à une question qui pourrait surprendre de prime abord : les citoyens en sont-ils finalement les victimes …ou les coupables ? Enfin, existe-t-il des « remèdes » pour contrecarrer la désinformation sous toutes ses formes…
Autrefois, en temps de guerre , on nommait cela, tout simplement, de la propagande ; à moins, que nous ne soyons déjà (encore ? toujours ?) en guerre… et que tout le monde n’en ait pas vraiment conscience. Le livre de François-Bernard Huygue n’en serait donc que plus urgent à découvrir.
Publiée dans le quotidien Présent.
11:25 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Journal du chaos
Pour télécharger, cliquez ICI
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samedi, 29 décembre 2018
2018 : RÉTROSPECTIVE DE L'ANNÉE MILITANTE DE SYNTHÈSE NATIONALE
C'est devenu incontournable, à la fin du mois de décembre nous publions la rétrospective des activités de Synthèse nationale au cours de l'année écoulée cliquez ici. Et 2018 fut riche en événements, aussi bien sur le plan militant que sur celui de nos éditions...
♦ JANVIER 2018
04/01 : reprise de l'émission "Synthèse" sur Radio Libertés
Chaque jeudi, tout au long de l'année 2018, Roland Hélie, Philippe Randa, Aristide Leucate et Pierre de Laubier animent l'émission "Synthèse" sur la web-radio Radio Libertés, liée à TVLibertés. Ils reçoivent ainsi chaque semaine un invité. Cette émission renforce le prestige de la revue Synthèse nationale et permet de rencontrer de nombreuses personnalités non-conformistes cliquez ici
12/01 : présentation à Paris du livre de Carl Lang "Un chemin de résistance"
Les Amis de Synthèse nationale étaient invités à venir écouter Carl Lang, Président du Parti de la France, présenté le livre-entretien dans lequel il répond aux questions de Jean-François Touzé sur son engagement politique. Ce livre est publié dans la collection Les Bouquins de Synthèse nationale cliquez ici.
♦ FÉVRIER 2018 :
09/02 : la campagne contre les éoliennes continue. Réunion publique à Vervins (Aisne)
Alban d'Arguin, auteur du livre-choc "Éoliennes un scandale d'État" cliquez ici était invité ce soir là à Vervins dans l'Aisne pour faire une conférence. Belle réussite pour notre ami Bruno Dekkers organisateur de la réunion : salle comble, public enthousiaste ! cliquez ici
10/02 : Alban d'Arguin dédicace son livre à la Librairie Facta à Paris cliquez ici
♦ MARS 2018 :
01/03 : Poitiers, conférence sur la ré-information
Invités par le dynamique Cercle des Chats bottés cliquez là animé par notre ami Jacques Soulis, Roland Hélie, Philippe Randa et François-Xavier d'Hautefeuille, directeur de DPF (les éditions de Chiré) ont tenu une conférence devant un public nombreux et passionné cliquez ici sur la ré-information.
09/03 : conférence d'Alban d'Arguin contre les éoliennes à Fallon (Haute-Saône)
Un mois à peine après le succès de Vervins, rebelote à Fallon (70) cliquez là où notre camarade Daniel Cavalotti avec ses amis de l'association locale mènent un combat acharné contre l'implantation de ces machines infernales dans leur canton. Près de 200 personnes ont assisté à la réunion cliquez ici
19/03 : sortie du n°48 de la revue Synthèse nationale
En savoir plus sur ce n°48 cliquez là
24/03 (en journée) : Synthèse nationale à la Journée du Pays réel de Civitas
Toute la journée, lors de cette belle réunion qui se tient à Rungis (94), les collaborateurs et les écrivains édités par notre maison d'édition ont reçu de nombreux lecteurs sur le stand de Synthèse nationale...
24/03 (en soirée) : le banquet annuel des Amis franciliens de Synthèse nationale avec comme invité d'honneur Jean-Marie Le Pen
Ce samedi 24 mars le salon de la grande brasserie parisienne que notre ami Hugues Bouchu avait retenue pour notre deuxième banquet annuel des Amis de notre revue était trop petite (200 convives + des dizaines de réservations impossibles à caser). Un triomphe pour cette formule du banquet annuel inaugurée en 2017 avec Massimo Magliaro à l'occasion des 70 ans du Mouvement social italien cliquez là. L'invité d'honneur était le Président Jean-Marie Le Pen dont le premier tome des mémoires venait juste de sortir. La séance de dédicaces à l'issue du banquet se termina tard dans la nuit. cliquez ici
Les interventions filmées de Carl Lang et de Jean-Marie Le Pen cliquez ici
Le message de Roland Hélie cliquez là
♦ AVRIL 2018 :
21/04 : Hubert de Mesmay représentait Synthèse nationale à Avignon
Lors de la réunion organisée près d'Avignon pour marquer le 150e anniversaire de Charles Maurras, fondateur de l'Action française, notre ami Hubert de Mesmay, auteur du livre plutôt polémique consacré à la dérive du FN, Autopsie d'un crash annoncé cliquez ici, représentait notre revue cliquez là.
26/04 : Alban d'Arguin à Bordeaux
Invité par le Cercle Rencontre et Amitiés françaises animé par Bernard Pascaud, Alban d'Arguin a fait ce soir là une très belle conférence à Bordeaux contre les éoliennes. cliquez ici
Notons que toutes les conférences d'Alban d'Arguin sont autant d'occasions de faire connaitre nos différentes éditions auprès d'un large public. En menant cette campagne nous prouvons que Synthèse nationale peut être partout et surtout là où on ne l'attend pas...
Tout au long de l'année écoulée, l'auteur d'Éoliennes un scandale d'État a été invité dans de nombreuses réunions privées et son livre a dépassé les 3000 exemplaires vendus à ce jour.
29/04 : Jeanne d'Arc à Noisy-le-Sec (93)
Roland Hélie était invité par le Parti de la France de Seine-St-Denis à prendre la parole lors du dépôt de gerbe aux pieds de la statue de Jeanne d'Arc à Noisy-le-Sec cliquez là.
♦ MAI 2018 :
01/05 : suite aux émeutes, Synthèse nationale demande la dissolution des bandes gauchistes
Par tracts cliquez ici et par flyers sur les réseaux sociaux notre revue réagit immédiatement aux actions violentes menées lors de la manifestation du 1er mai par les gauchistes du Black Bloc.
13/05 : fête nationale de Jeanne d'Arc
Belle journée de Synthèse nationale... c'est le cas de le dire. Roland Hélie était en effet invité le matin à prendre la parole lors du rassemblement de la Dissidence française dirigée par Vincent Vauclin cliquez ici et l'après-midi lors de celui de Civitas d'Alain Escada cliquez là
19/05 : Synthèse nationale à Barcelone
Suite au numéro 47 cliquez ici de notre revue consacré à l'Espagne, Roland Hélie fut invité à Barcelone pour un meeting en faveur de la Catalogne espagnole cliquez ici
♦ JUIN 2018 :
10/06 : parution du n°4 de la revue Confrontation
Cette revue, fondée par Synthèse nationale et dirigée par Jean-François Touzé est spécialisée dans les problèmes liés à l'immigration et à l'islamisation cliquez ici.
21/06 : envoie d'une brochure de huit pages présentant Synthèse nationale à plusieurs milliers de sympathisants
Opération publicitaire de grande envergure sur les fichiers de sympathisants nationalistes et identitaires. De nombreux nouveaux abonnements à la revue enregistrés.... A refaire.
♦ JUILLET 2018
Deux nouvelles publications :
Le n°14 des Cahiers d'Histoire du nationalisme
consacré à Oswald Mosley cliquez ici
Le Guide sulfureux du Paris réac & facho
que nous devons à Patrick Parment cliquez là
♦ AOÛT 2018
Parution du n°49 de la
revue Synthèse nationale cliquez ici
Une campagne d'abonnements à la revue en août avec comme objectif : dépasser le cap des 1000 abonnés. On y est pas encore, mais on en approche. A propos, si vous n'êtes pas encore abonné, n'hésitez pas à le devenir : cliquez ici
♦ SEPTEMBRE 2018 :
01 & 02/09 : un stand de Synthèse nationale aux journées chouans de Chiré-en-Montreuil (86) cliquez ici Grand moment de convivialité nationaliste cliquez là...
14/09 : verdict invraisemblable à l'issue du procès de l'affaire Méric
Nos camarades Esteban Morillo et Samuel Dufour sont condamnés à des peines exorbitantes. Réaction immédiate de Roland Hélie cliquez ici sur le site Synthèse nationale. Cette réaction sera reprise dans de nombreux médias... Quelques semaines plus tard, le quotidien Présent sortira un remarquable n°hors-série sur ce procès inique cliquez ici.
16/09 : 6e Journée régionale de Synthèse nationale à Nieppe près de Lille
Belle réussite pour Luc Pécharman et ses équipes. Nieppe 2018 a fait le plein. Invité d'honneur, le Dr Jean-Pierre Cousteau cliquez là
21/09 : sortie du nouveau livre de Georges Feltin-Tracol " Pour une 3e Voie solidariste"
Le commander cliquez ici
♦ OCTOBRE 2018 :
10/10 : Roland Hélie invité de Martial Bild sur TVLIbertés
Regarder l'émission cliquez ici
14/10 : la 12e Journée nationaliste et identitaire de Synthèse nationale
Moment fort de l'activité annuelle de notre revue et de l'association des Amis de Synthèse nationale, la 12e journée qui s'est tenue à Rungis (94) a remporté un grand succès. Près de 1800 entrées, des dizaines de stands, des tables-rondes de qualités, un meeting unitaire de rentrée... cliquez ici
♦ NOVEMBRE 2018 :
04/11 : 30e anniversaire de la mort de Jean-Pierre Stirbois
Le Parti de la France a organisé un dépôt de gerbe ce jour-là pour marquer sa fidélité à celui qui a, aux côtés de Jean-Marie Le Pen, bâti le FN cliquez ici. SN a bien sûr soutenu cette initiative du PdF cliquez là.
09/11 : Attaque de la presse du Nord contre Synthèse nationale
Le quotidien Nord Littoral attaque notre amie Marie-Jeanne Vincent, contributrice au site Nous sommes partout cliquez là et ancienne candidate aux législatives à Calais, suite à sa brillante intervention lors de la 12e Synthèse nationale.
Lire notre réponse cliquez là
10/11 : Marche de la Reconquête à Paris organisée par la Dissidence française
Roland Hélie prend la parole lors de la 1ère marche de la Reconquête organisée par la Dissidence française cliquez ici.
Voir les films cliquez là
24/11 : Synthèse nationale dénonce les délires de Castaner sur les réseaux sociaux cliquez ici
♦ DECEMBRE 2018 :
01/12 : Synthèse nationale aux côtés des Gilets jaunes
Distributions de tracts à Paris et en Province pour soutenir le soulèvement populaire des Gilets jaunes. Un accueil très sympathique, de nombreux nouveaux contacts. Le prochain numéro (le n°50) de la revue traitera de cette nouvelle forme de contestation du Système...
Lisez le tract cliquez là
03/12 : parution du n°15 des Cahiers d'Histoire du nationalisme consacré à Jean-Pierre Stirbois
En savoir plus cliquez ici
05/12 : sortie de La crise de Jupiter, le nouvel album de dessins d'Ignace
Après l'immense succès, il y a deux ans, d'Apocalypse Flamby, cliquez ici, Ignace, le talentueux dessinateur nationaliste vient de récidiver. Son nouvel album est publié par Les Bouquins de Synthèse nationale. cliquez là
10/12 : Synthèse nationale à Terre & peuple
Le stand de Synthèse nationale à la Table-ronde de Terre & peuple, l'organisation de Pierre Vial, a été, comme chaque année, très visité.
13/12 : conférence des Amis franciliens de Synthèse nationale avec Lucien Cerise
Sur la conférence cliquez ici
Le film cliquez là
30/12 : le n°50 de la revue Synthèse nationale
Le commander ou s'abonner cliquez ici
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vendredi, 28 décembre 2018
IL NE RESTE PLUS QUE QUELQUES JOURS : si vous en avez assez de financer l'immigration avec vos impôts, il y a une solution...
Depuis sa création, il y a maintenant 12 ans, Synthèse nationale occupe une place prépondérante au sein de la droite nationale, sociale, populaire et identitaire. En effet, que ce soit dans la revue, à travers nos différentes publications ou lors de nos réunions (en particulier les Journées nationales et identitaires du mois d’octobre), nous avons toujours rassemblé, dans un souci d’efficacité, l’essentiel des composantes de notre famille.
Dans le contexte qui est celui que nous vivons actuellement, une telle démarche trouve évidemment tout son sens. Au moment où une partie grandissante de notre peuple semble se réveiller, ce dont nous n’allons pas nous plaindre, il est du devoir des forces nationalistes, au premier rang desquelles Synthèse nationale, de l’aiguiller.
Nous l’avons rappelé à maintes reprises, le choix est simple. Soit on accepte le diktat de l’hyperclasse politico-affairiste dominante, relayée par les médias aux ordres, de dissoudre notre nation et notre civilisation dans un vaste conglomérat aux dimensions planétaires, soit, comme c’est notre cas, on le refuse... Or, pour inverser les choses, il faut une prise de conscience populaire. Pour faire la révolution, il faut une volonté révolutionnaire...
Dans notre pays que l’on prétendait aseptisé, les premiers symptômes de la révolte apparaissent. Il y a quelques années, c’était avec la Manif pour tous ; aujourd’hui, ce sont les Gilets jaunes qui mobilisent. Qu’importe les motivations momentanées des uns et des autres, ce qui est important, c’est que nos compatriotes réalisent enfin qu’ils ne sont plus maitres de leur destin et que notre communauté nationale et ethnique est en train de disparaitre. Pour nous, qui depuis si longtemps sonnons le tocsin, c’est la preuve que notre combat n’a pas été inutile. Mais il reste encore beaucoup à faire...
Voilà pourquoi, au nom de toute l’équipe, je m’adresse à vous tous qui êtes attachés à notre liberté et à notre identité et qui, à plusieurs reprises et sous différentes formes, avez manifesté votre soutien à Synthèse nationale ces dernières années. Vous avez pu apprécier, ne serait-ce qu’en consultant notre site quotidiennement actualisé, le suivit et le développement de notre action. Cependant, tout cela à un prix.
Certes, le nombre des lecteurs et abonnés à nos revues (Synthèse nationale, les Cahiers d’histoire du nationalisme et Confrontation), les ventes des Bouquins de Synthèse, les adhésions à l’association des Amis et la fréquentation de nos réunions augmentent en permanence mais les rentrées ne suffisent pas pour équilibrer notre budget annuel. Même si, par la force des choses, nous avons appris à faire 1 euro avec 80 centimes... C’est toujours grâce à la générosité et au dévouement d’un tout petit nombre que nous franchissons cette douloureuse épreuve.
Synthèse nationale a donc, plus que jamais, besoin de votre aide à tous pour continuer et amplifier son combat. Cela d’autant plus que, désormais, vous pourrez déduire en partie votre don de vos impôts car, en raison de la pluralité de la presse, Synthèse nationale rentre dans la catégorie des organes de presse d’intérêt général (*). Ainsi, en nous aidant, vous avez la garantie que votre argent ne servira pas à subventionner les faiseurs de n’importe quelle ONG immigrationniste et qu’il servira bel et bien à la cause qui nous est chère.
Nous savons que nous pouvons compter sur votre contribution pour faire triompher vos convictions. Partout sur notre continent les dogmes commencent à s’écrouler et les curceurs se déplacent dans notre sens. Ce n’est donc pas le moment de flancher... Par avance, merci à tous !
Et, comme c’est l’usage chez les civilisés, je profite de cette circulaire pour vous souhaiter à tous, Chers Amis, un bon Noël et de bonnes réjouissances de fin d’année...
Roland Hélie
Directeur de Synthèse nationale
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(*) Chaque don permet une déduction fiscale à hauteur de 66%. À titre d’exemple, pour un don de 100 euros, la déduction fiscale est de 66 euros. Ainsi, votre don ne vous coûte en réalité que 34 euros (un document vous sera adressé par notre secrétariat suite à la réception de votre don).
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