vendredi, 28 décembre 2018
Dis-moi de combien tu fraudes, je te dirais qui tu es…
La chronique
de Philippe Randa
Quand toute communication téléphonique ne dépendait pas d’un « forfait illimité » comme aujourd’hui, la moindre communication personnelle depuis son lieu de travail était, de la part d’un monsieur Dupont, simple employé, un vol de sa société… et pour le dirigeant de celle-ci, un abus de bien social. Hé oui !
Qui peut alors dire qu’il n’a jamais « profité » d’une telle facilité, sans parler, pour certaines professions, des « notes de frais » parfois un peu – et même un peu beaucoup –… « arrangées » ?
Qui vole un œuf, vole un bœuf, selon l’adage populaire. Certes, mais peut-on vraiment comparer un monsieur Dupont, contribuable lambda aux fins de mois difficiles qui gruge le fisc de quelques centaines ou milliers d’euros avec un Carlos Ghosn (rémunérations en tant que PDG en 2017 : 13 millions d’euros), soupçonné d’avoir dissimulé environ 38 millions d’euros de revenus sur cinq années de 2010 à 2015 ? Ou encore avec une Shakira (chanteuse la mieux payée au monde en 2018 avec des revenus estimés à près de 46 millions d’euros) – soupçonnée par la justice espagnole de s’être fictivement domiciliée aux Bahamas et ainsi d’avoir fraudée le fisc espagnol à hauteur de 14,5 millions d’euros ?
S’il est certain qu’enfreindre la loi, quelle que soit la modicité ou non des sommes, reste bien évidemment condamnable moralement – sauf pour les anarchistes qui condamnent tout ordre établi par principe –, un bon sens tout aussi populaire parce qu’humain, trop humain, reconnaissons-le tout de même, permet à tout à chacun de fermer les yeux sur certains, comment dire… « accommodements » !
À condition de ne pas se faire prendre… sinon, c’est bien la seule égalité qui puisse alors exister entre un monsieur Dupont, un monsieur Ghosn et une madame Shakira.
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Samedi 19 janvier : Carl Lang à Castres (81)
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L’étonnant contraste des bruits furieux et du silence sépulcral
Bernard Plouvier
En cette fin d’année 2018, alors que la Ripoublique française accepte le Diktat de Marrakech qui va accroître l’intensité de l’immigration exotique en Europe, le petit monde des journalistes à scandale retentit des cris d’orfraie de ces dames et des vociférations des messieurs, pour un motif jugé « très sérieux » : des manifestations hostiles auraient accueilli un joueur de football noir sur un terrain sportif de France !
Que ces messieurs-dames (et autres personnes de sexe-genre indéterminé) veuillent bien se documenter : c’est par milliers de cas que sont quotidiennement entendus sur le sol français des injures racistes anti-Blancs.
Que les cris et insultes racistes soient immondes, d’où qu’elles viennent, on l’admet volontiers. Mais il faut reconnaître que seules les rares insultes dirigées contre des Extra-Européens sont relevées par les maîtres de l’information, alors que le racisme anti-Blancs est systématiquement sous-traité, quand il n’est pas nié purement et simplement.
Il est important de constater qu’au moment où ce joueur d’origine africaine se faisait conspuer stupidement, des racailles exotiques ravageaient la ville de Joué-les-Tours, dans la plus profonde indifférence des media bien-pensants et bien-disants.
Dans cette cité, où l’on observe l’une des plus fortes concentrations maghrébines du Centre de ce que l’on nommait autrefois la France, le maire, pourtant fort peu excité dans la répression des troubles, avait instauré un couvre-feu pour les mineurs d’âge, tant cette cité est devenue infréquentable de nuit. En guise de réponse, de merveilleux rejetons de l’immigration extra-européenne ont fait flamber voitures et poubelles en une nuit de fiesta du style : « Vivre ensemble, c’est réellement l’enfer ».
D’un côté, un footballeur noir fait un scandale public parce qu’on l’a insulté - pauvre chéri : si j’avais dû me révolter à chaque fois que l’on m’a traité, à Roubaix, Lille ou Douai, de « Face de craie », j’aurais usé vainement ma vie ! D’un autre côté, la racaille inutilement importée transforme une cité tourangelle en zone de guérilla urbaine.
Dans le premier cas, les media hurlent à la mort. Dans le second, ils se font bénins, voire silencieux.
Bizarre, bizarre. Vous avez dit bizarre, Macroniens ? Comme c’est bizarre !
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Krach boursier : demain, sinon après-demain…
Marc Rousset
La croissance ralentit partout dans un monde hyper-endetté, noyé sous les liquidités. La dette publique de la France dépasse les 2.320 milliards d’euros et va bientôt franchir le seuil symbolique catastrophique des 100 % du PIB. Macron est incapable d’arrêter la ruineuse immigration et de baisser les dépenses publiques en procédant à des réformes structurelles. Les dix milliards annoncés pour les gilets jaunes seront financés à 60 % par la dette, c’est-à-dire les impôts de demain. La double perspective d’une croissance inférieure à 1,5 % en 2019 ainsi qu’une remontée des taux d’intérêt s’annonce catastrophique pour les finances publiques.
Le service de la dette va augmenter d’autant plus par rapport au PIB que les taux d’intérêt seront supérieurs au taux de croissance. L’économie française décroche par rapport à l’Allemagne pour trois raisons : dégradation de la compétitivité du coût du travail, baisse de la durée du travail, faiblesse de l’investissement. Il est probable que la loi Sapin 2 de 2016 qui permet aux autorités de bloquer du jour au lendemain tout retrait, demande d’avance ou arbitrage sur les assurances-vie, durant six mois maximum, sera prochainement appliquée en France.
L’indice Dow Jones a baissé de 13 % depuis le 3 octobre 2018. La Fed a relevé, le mercredi 19 décembre, son principal taux directeur de 2,25 à 2,50 %, tandis que deux relèvements de taux au lieu de trois sont anticipés pour l’année 2019. Comme le rapporte le site Zero Hedge, « les marchés actions américains n’ont jamais autant baissé durant le mois de décembre depuis la Grande Dépression des années 30 ». Selon le sondage d’une université américaine, près de la moitié des directeurs financiers pense que l’Amérique sera en récession dans un an. Toutes les banques sont malmenées à Wall Street et, du côté des fonds d’investissement spéculatifs (« hedge funds »), c’est le massacre.
L’ancien président de la Fed Alan Greenspan n’exclut pas un redressement boursier provisoire, mais il pense qu’une correction significative s’ensuivra. Il a pu déclarer sur CNN : « Après cette éventuelle hausse, courez aux abris. » Les États-Unis pourraient connaître, selon Greenspan, une période de stagflation semblable à celle des années 70 et 80. Les données relatives à l’immobilier aux États-Unis sont particulièrement inquiétantes. Les ventes de maisons neuves et anciennes sont à la baisse depuis novembre 2017.
Rome a pris de nouvelles mesures budgétaires et s’est finalement engagé à faire des économies pour échapper non pas aux sanctions de l’Union européenne mais à celles des marchés. Il n’empêche que Moody’s a abaissé la notation de l’Italie à un niveau seulement au-dessus des obligations pourries (« junk bonds »). Avec la remontée des taux, les 200 milliards d’obligations détenues par les banques sur le Trésor italien ont déjà perdu 15 % de leur valeur. La troisième puissance économique de la zone euro présente tous les symptômes pour faire défaut.
La BCE, avec un bilan gonflé atteignant 42 % du PIB, va mettre fin aux achats cumulés de dette publique de 2.600 milliards d’euros, bien que la croissance économique ralentisse. La politique de création monétaire aboutit, en fait, à financer les déficits publics, en violation des traités européens. Bien que moins draconien qu’aux États-Unis, car il y aura réinvestissement de tous les titres arrivant à maturité, le robinet des liquidités est en train d’être coupé.
Les capitaux italiens fuient l’Italie, la dette de la Banque d’Italie envers la BCE étant de 492 milliards d’euros, tandis que la Bundesbank est créditrice de 982 milliards, d’où des pertes gigantesques pour l’Allemagne si l’Italie fait défaut. Les discussions avec l’Union européenne sur le budget italien sont l’arbre qui cache la forêt. Un tsunami engendré par la hausse des taux et le ralentissement économique va emporter l’Italie. La BCE ne sera pas en mesure de sauver les meubles une seconde fois, après avoir créé de la fausse monnaie qui ne crée aucune richesse, pour donner l’illusion aux pays européens qu’ils payaient leurs dettes.
Si elle redémarrait la création de fausse monnaie, la BCE ne ferait que déclencher la perte de confiance dans l’euro et l’hyperinflation. Il est à craindre qu’en cas d’explosion de la zone euro, l’hyperinflation apparaisse dans chaque pays européen en même temps que la réintroduction et la dévaluation des monnaies nationales.
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00:37 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 27 décembre 2018
Dans sa très belle collection de romans, Auda Isarn vient de publier "Secret mortel" de Philippa Randa. Rencontre avec l'auteur...
Certains se souviennent de vos romans policiers et de science-fiction, mais beaucoup de vos lecteurs actuels ignorent que vous avez été un romancier très prolifique, ne vous connaissant désormais que par vos ouvrages historiques ou politiques. Vous avez pourtant publié sous votre nom, principalement au Fleuve noir et aux Presses de la Cité, plus de soixante romans…
Oui, mais c’était une autre vie. Ma première vie professionnelle, en fait… Je m’en suis éloigné il y a une vingtaine d’années pour me consacrer effectivement à d’autres livres et à d’autres activités très chronophages : l’édition, les chroniques politiques et aujourd’hui, en plus, la direction du site de la réinformation européenne EuroLiberté… Secret mortel est en fait le dernier roman policier que j’ai écrit. Mais j’y tiens tout particulièrement pour une raison amusante : je l’avais écrit à l’origine pour une collection du Fleuve noir qui a disparu avant qu’il ne soit publié, mais l’éditeur en charge de celle-ci (Jean-Baptiste Baronian) et qui m’avait signé le contrat m’en a fait beaucoup de compliments et c’était la première fois, figurez-vous, qu’un éditeur me complimentait sur un de mes romans… Auparavant, je devais me contenter de voir publier ceux que je proposais, qu’on me proposait d’écrire, qu’on me demandait et même quand on m’en réclamait d’autres, encore et encore… J’en concluais évidemment que ce que j’écrivais devait plaire, forcément, mais jamais un éditeur n’avait jusqu’alors trouvé le besoin de me le dire… Et il aura fallu attendre encore près de 20 ans de plus pour que Pierre Gillieth me demande ce livre pour la collection « Lys noir » qu’il dirige avec Francis Bergeron pour en entendre à nouveau du bien… Voilà, c’est le seul roman qui m’a valu des compliments d’éditeur… Reste à savoir s’il en suscitera auprès des lecteurs…
L’action de ce roman se situe donc à la fin des années quatre-vingt-dix…
Oui, 1997… et comme indiqué en début d’ouvrage, à une époque où internet n’a pas l’omniprésence qu’il a actuellement et avant la deuxième guerre du Golfe… Une partie de l’action se situe en Turquie et met en scène les services secrets de Saddam Hussein. Toutefois, ce n’est qu’une péripétie dans l’histoire qui n’est nullement un roman d’espionnage, mais bel et bien un roman policier de suspense…
Sans trahir l’histoire, on peut tout de même indiquer que le « secret » que cherche à percer votre héros va l’emmener sur une route jonchée de morts suspectes, de bagarres, de trahisons, de demoiselles aussi peu farouches que très rapidement dénudées et dépourvues de la plus élémentaire moralité…
Oui, disons qu’il s’agit d’un thriller qui reprend tous les ingrédients habituels des romans et films célèbres que j’apprécie tout particulièrement : un peu de ce qu’on trouve dans les James Bond, les Sherlock Holmes, les Arsène Lupin, mais aussi des films comme Les Tontons flingueurs ou Basic Instinct… Comme Gainsbourg chantait « sea, sex and sun », j’ai voulu écrire pour ma part un roman « intrigue, sexe et crimes » (la comparaison s’arrête là) en émaillant parfois les rebondissements d’un peu humour… noir, forcément !
Sans oublier des réflexions parfois politiquement incorrectes…
Si vous le dîtes…
Secret mortel, Philippe Randa, Éditions Auda Isarn, collection « Lys Noir », 246 pages, 12 euros. Pou commander ce livre, cliquez ici.
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Avec le Vivre ensemble, le Système a-t-il renoncé à la France ?
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« Vivre ensemble », tel est le nouveau mot d’ordre du Système et de ses porte-parole politiques et médiatiques. Face aux problèmes de cohabitation engendrés par l’immigration, face à la pression identitaire de l’islam, le Vivre ensemble est à l’évidence la nouvelle réponse de nos dirigeants. La question qui se pose alors est de savoir s’ils sont conscients que la logique de ce concept aboutit à la création d’un nouveau pays en lieu et place de la France.
Le Vivre ensemble remplace l’assimilation et l’intégration
Derrière ce slogan qui paraît a priori bien anodin, c’est en effet un bouleversement de grande ampleur que le Système introduit subrepticement sur la scène publique. D’abord, parce que la théorie du Vivre ensemble vient remplacer la formule classique de l’intégration comme celle de l’assimilation.
Dans la première moitié du siècle dernier, le concept d’assimilation prévalait. Concept par lequel les immigrés polonais, italiens, espagnols ou portugais sont devenus français sans difficultés majeures. Selon ce principe, l’étranger adopte l’identité française pour se mêler au peuple qu’il a choisi de rejoindre et en faire pleinement partie.
Cette conception a été abandonnée dans les années soixante-dix pour laisser la place au principe d’intégration selon lequel l’étranger peut conserver son identité d’origine mais doit s’adapter aux coutumes et aux règles du pays qui l’accueille afin de s’y insérer au mieux.
Or, depuis que l’islam est devenu une composante dominante du phénomène migratoire, cette seconde conception a elle aussi été abandonnée pour une troisième formule, celle du Vivre ensemble. Notion que l’on rabâche aux Français à longueur de journée et qui renvoie sans le dire à une vision communautariste : chacun conserve son identité, ses coutumes et ses valeurs, mais tous doivent se tolérer mutuellement, s’accepter et même s’aimer pour vivre ensemble harmonieusement sur le même sol.
Le Vivre ensemble représente une exigence insupportable pour les Français
Cette notion diffère fondamentalement de celle de l’assimilation et de l’intégration. En effet, l’effort n’est plus exigé des étrangers, mais des Français de souche qui ont la quasi-obligation d’accueillir les migrants et de s’adapter à leurs mœurs et à leur religion. Derrière les bons sentiments auxquels renvoie la formule, ce mot d’ordre représente en effet une exigence terrible tellement contraire à la nature des peuples que personne ne veut s’y soumettre. Les immigrants n’ont aucune envie de vivre avec nous, ils veulent seulement vivre chez nous comme chez eux. Les Français, de même que les Européens de souche, cherchent de leur côté à vivre loin des zones d’immigration. Les bobos, les patrons et les gouvernants de l’oligarchie, eux-mêmes, qui prêchent pourtant le vivre ensemble se gardent bien personnellement de le pratiquer.
Car la logique du Vivre ensemble conduit à la création d’un nouveau pays
Cette formule introduit en effet un concept particulièrement dangereux car la logique du Vivre ensemble change complètement la problématique du traitement de l’immigration. Il ne s’agit plus pour la nation d’incorporer au mieux des personnes étrangères, il faut faire vivre sur le même sol des communautés radicalement différentes, chacune conservant son identité et toutes ayant les mêmes droits. Dès lors, il n’y a qu’une solution pour satisfaire à une telle exigence : créer un nouveau pays. Ou, à tout le moins, construire sur le sol national une nouvelle société africano-islamo-hexagonale qui se définirait simplement comme la collectivité de ceux qui résident sur le territoire seulement soumis à un état de droit permettant à tous de vivre ensemble.
Les Suédois, qui sont manifestement en pointe sur cette question, ont été, il y a quelque temps, la cible d’une campagne d’opinion sous forme de message publicitaire télévisé pour leur expliquer ce processus. « Il n’y a plus de retour en arrière, est-il expliqué dans ce film, la Suède ne sera plus jamais comme avant. Il est temps de réaliser que de nouveaux Suédois vont venir avec leur culture, leur langue et leurs traditions… Ce “nouveau pays” forme un nouvel avenir. Être suédois doit être accepté non plus comme une question de couleur de peau et lieu de naissance. Cela doit pouvoir être toi, moi et tous ensemble. Ce ne sont pas uniquement les nouveaux Suédois qui doivent s’intégrer. Tout le monde doit s’intégrer, même les Suédois de souche. »
Avec le Vivre ensemble, le Système a-t-il renoncé à la France ?
Certes, cette campagne baptisée « le nouveau pays » n’est pas celle du gouvernement suédois et la France n’en a pas encore connu de comparable. Pourtant ce message montre bien que le Vivre ensemble conduit naturellement à l’avènement d’un pays neuf qui appartiendrait autant aux migrants qu’aux Français de souche.
Si donc les tenants du Système font la promotion du Vivre ensemble en toute connaissance de cause, on peut légitimement s’interroger sur leurs motivations. Confrontés à la contradiction fondamentale qui existe entre le maintien de la France telle qu’elle est et la présence croissante d’immigrés sur notre sol, auraient-ils choisi, pour ne pas assumer une politique courageuse d’arrêt de l’immigration, de suivre la voie aventureuse de la construction d’une nouvelle entité en rupture avec notre nation ?
Si tel est le cas, les Français sont en droit de le savoir. Sur un tel sujet qui engage leur avenir en tant que peuple, ils sont même en droit d’être consultés directement et explicitement.
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Et Boulevard Voltaire a aimé le nouvel album d'Ignace : "La Crise de Jupiter"
Nicolas Gauthier Boulevard Voltaire cliquez ici
En France, le dessin de presse est une tradition à peu près aussi vieille que… la presse. Avec ses grands anciens et ses nouveaux maîtres. Ignace est désormais à placer au rang de ces derniers.
Voilà plus de vingt ans que cet homme à la mine toujours un peu lunaire, au sourire éternellement jovial, officie dans les journaux les plus divers, avec une nette prédilection pour les publications dissidentes. Sur papier, sur Internet, aussi, et à la télévision encore, où il joue le chœur antique, crayons en mains, au « Bistro Libertés » animé avec une belle et bonne humeur par Martial Bild, sur la chaîne TV Libertés. On notera qu’à l’époque du « Droit de réponse » de Michel Polac, modèle revendiqué de cette émission, il fallait quatre dessinateurs pour faire ce qu’Ignace accomplit tout seul comme un grand. Cet homme a décidément tous les talents.
Après, cette question cruciale : Ignace est-il de droite ? Sûrement. Enfin, d’une droite à lui, quelque part entre fleur de lys et croix celtique, Jacob et Delafon, sabre et goupillon, fromage et dessert. Bref, si Dieu et le roi sont de droite, Ignace doit l’être un peu aussi ; même si, hormis la France, il ne connaît manifestement qu’une seule patrie : celle de la poilade. Histoire d’aggraver son cas, ce catholique fervent est doublé d’un libre-penseur. L’un de ses modèles ? Gotlib, celui des « Dingodossiers », des « Rubriques-à-brac » et de « Hamster jovial » ; pas exactement le portrait-robot de la punaise de sacristie.
En ce sens, Ignace est de la trempe d’autres de ses aînés, pas vraiment de gauche, mais persistant à faire preuve d’une ouverture d’esprit de plus en plus rare en nos contrées : Pinatel, Chard, Konk, Aramis, Miège, eux aussi admirateurs d’autres artistes ne fréquentant pas forcément les mêmes chapelles : Cabu, Wolinski et autres Vuillemin. Si le dessin de presse, on l’a vu, est une tradition française, le refus du sectarisme et le goût de la déconne en sont deux autres. D’ailleurs, contrairement aux idées reçues, Ignace n’écoute pas que des chants grégoriens. Il kiffe Queen et Metallica tout aussi grave.
Dans ce copieux ouvrage (six à huit dessins par page sur près de deux cents pages, on en a pour son argent), voilà donc toute la récente actualité nationale et internationale qui défile. Un bon dessin vaut souvent mieux qu’un bon papier, dit-on. Avec lui, jamais l’adage n’aura été aussi fondé. Déjà, Ignace est un dessinateur remarquable et un caricaturiste hors pair. Mais il a également le don de synthétiser un concept complexe en quelques mots ; bons mots, évidemment, drôles avec des morceaux d’humour rigolo dedans. Et qui font sens, tant qu’à faire. Exemple ? Édouard Philippe sur la limitation à 80 km/h sur les nationales : « C’est bon pour la sécurité rentière ! » Tout est dit et bien dit. Ne cherchez pas, c’est du Ignace. Un petit nom charmant, pour paraphraser la chanson. Et le meilleur des camarades, soit dit en passant.
Le commander en ligne cliquez ici
Apocalypse Flamby, il en reste quelques-uns cliquez là
10:02 Publié dans IGNACE, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
En ce moment : une exposition Soljénitsyne à Paris
01:02 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 26 décembre 2018
Samedi 26 janvier : Carl Lang à Bordeaux
20:12 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Tribune libre : Du brillant avenir d’une classe politique moribonde
Bernis
C’est le grand paradoxe qui va marquer l’année 2019 (voire les suivantes) lors des élections européennes, à savoir la victoire probable et écrasante du Rassemblement national (ex-Front national). Un surprenant paradoxe parce que Marine Le Pen n’est en rien la figure marquante d’une possible gouvernance aux yeux des Français et que son parti manque par ailleurs de cadres compétents pour espérer un jour exercer un quelconque pouvoir. La faute, il est vrai, en incombe à Jean-Marie Le Pen lorsqu’il a viré Bruno Mégret, suivi de tous les cadres compétents du Front national puis de sa fille Marine qui, autour du pivot de l’inverti Philippot, s’est entourée d’une bande de gitons tous plus incompétents les uns que les autres (sortie de l’Europe, retour au franc, etc.).
De sorte que le Rassemblement national bénéficie d’une réelle force de frappe militante et d’une grande faiblesse managériale. Ce qui n’est pas sans rappeler le parti communiste qui était un gueuloir maléfique – ses attitudes anti-françaises durant la guerre d’Indochine puis d’Algérie entre autres -, et qui n’a jamais eu la moindre chance d’accéder au pouvoir. Il existe néanmoins une grande différence entre ces deux partis : les communistes étaient des staliniens intransigeants peu portés sur la démocratie quand le Rassemblement national n’a rien à emprunter d’un quelconque modèle mussolinien. Cette brave Marine Le Pen est démocrate et libérale dans l’âme. Il n’y a que le CRIF (Conseil représentatif des institutions juives de France) pour agiter cet épouvantail, mais on sait très bien que c’est pour faire mousser sa cause. Car le danger du RN est nul !
Il y a en revanche au sein des gilets jaunes qui représentent l’essence même du peuple français, une certaine humeur anti-juive (pour être antisémite, il faut être juif, dixit Bernard Franck) qui ne date pas d’aujourd’hui et qui n’a jamais débouché sur le moindre pogrom, et un authentique ras-le-bol d’une diversité raciale exagérément mise en valeur par des élites corrompues. Car l’irritation est grande dans la France profonde, qu’ignore depuis trop longtemps nos gouvernants de droite comme de gauche, de voir ceux-ci baisser leur froc devant un CRIF qui réclame toujours plus de mesures répressives – au point de légiférer ce qui en histoire peu ou non être dit – au nom d’un antisémitisme largement fantasmé et qui trouve d’ailleurs refuge parmi les populations d’obédience islamique. Car l’extrême droite est aujourd’hui tellement éparpillée qu’elle en est devenue fantomatique.
Sauf qu’il est toujours loisible pour un Manuel Valls, hier, et un Castaner aujourd’hui, d’agiter ce chiffon rouge face à une gauche exsangue et un CRIF haletant. Le résultat des courses, c’est qu’aujourd’hui le Rassemblement national fait office de gueuloir et qu’aux prochaines élections les gilets jaunes s’y engouffreront. Ces franchouillards que la gauche bobo et insoumise, ce centre macronien stérile et cette droite émasculée prennent pour des cons. Les cons se rebiffent !
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mardi, 25 décembre 2018
Bilan rapide de l'ère Macron
Le billet de Patrick Parment
En cette fin 2018, le résultat de la gestion du pays par Emmanuel Macron, l’homme qui voulait tout réformer, n’est guère brillant. Rapide inventaire : une nation en lambeaux cumulant une économie à l’arrêt, la montée d’une crise sociale sans précédent – le très libéral Nicolas Baverez ira jusqu’à parler de haine sociale -, une menace terroriste ingérable en l’état actuel des choses et au final la desintégration de notre système politique avec la perspective joyeuse – pour une fois -, de la montée du populisme.
En toile de fond sur l’année 2019 qui s’annonce, la crise de ce que l’on appelle les gilets jaunes qui est une crise sociétale profonde dont il semble bien que le pouvoir actuel n’ait pas mesuré toute l’intensité et la profondeur. Pas plus que les médias mainstream, journaux, hebdos et téloches participant tous de cette bien-pensance d’un politiquement correct qui est en train de voler en éclat. Ce qui, au final, est en cause, c'est le fonctionnement même de notre démocratie tourneboulée oligarchie.
Car la grande question est là : comment moderniser le système français et par-delà réformer l’Union européenne aux mains des technocrates. Inutile de dire que tout le courant libéral qui domine en Europe actuellement n’a pas la réponse.
Pour ce qui concerne la seule France, chaque chose en son temps, on se trouve devant un énorme paradoxe : le mouvement des gilets jaunes ne peut en aucun cas se muer en un quelconque parti politique au risque de perdre son âme et sa substance. Autrement dit sa force. Quant au grand débat national - à ne pas confondre avec le référendum d'initiative citoyenne réclamé par les gilets jaunes -, qu’a fini par consentir le pouvoir dans l’urgence, il risque fort de se terminer en catalogue à la Prévert. Non qu’il soit inutile, mais on peut douter de l’usage qui en sera fait par un gouvernement qui s’est déjà empressé de rayer le problème de l’immigration – et par-delà de l’identité - de la carte alors que cela fait plus de vingt ans que ce thème donne au Front national toute sa force. Et que cela fait plus de vingt ans que les pouvoirs en place, de gauche comme de droite, s’échinent à le maintenir à la marge des institutions. Or, l’immigration demeure bel et bien l’un des problèmes centraux du dysfonctionnement de nos démocraties.
En fait, c’est l’Etat qui est condamné à se réformer au risque de voir le pays sombrer bel et bien dans le chaos le plus total. Et ce sur plusieurs fronts.
Trouver un nouvel équilibre économique et social qui redonne de la confiance à la classe moyenne avec la perspective d’un avenir meilleur. Notamment en lui permettant de faire entendre sa voix et pas seulement lors des élections. Faut-il rappeler qu’Emmanuel Macron a été élu par une minorité de Français !
Refonder le pacte territorial en sortant d’un jacobinisme qui concentre tous les pouvoirs entre les mains de l’Etat. Les élus, quel que soit leur niveau, doivent pouvoir participer de toutes les décisions concernant leur territoire. Garantir un accès effectif aux services publics en tous points du territoire et en n’imaginant pas que le numérique est l'unique solution d’une administration nettement trop tatillonne.
Bref, Emmanuel Macron, s’il entend durer va devoir procéder d’une révolution copernicienne et éradiquer sa secte de zélateurs « trop intelligents, trop subtils, trop techniques », à l’image de cet imbécile de Gilles Le Gendre. Jupiter et son Etat vertical ne sont pas la solution mais bien le problème. La solution, ce sont bel et bien les Français à condition qu’on cesse de leur mentir et qu’on leur fasse enfin confiance. Il y a plus de bon sens dans la tête d’un gilet jaune que d’une gargouille gouvernementale.
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lundi, 24 décembre 2018
Bon Noël à tous nos lecteurs
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dimanche, 23 décembre 2018
Troubles entourant la « loi esclavagiste » hongroise : info et intox
Le parlement hongrois a adopté mercredi 12 décembre 2018 une modification de la loi sur le travail, passant notamment le nombre d’heures supplémentaires légales par an de 250 minimum à 400 maximum (une fourchette trompeuse utilisée par l’opposition). L’opposition libérale a perturbé la séance du vote, et une manifestation a été appelée immédiatement devant le parlement pour le soir même. Manifestation répétée le jeudi soir, encadrée par les partis d’opposition libérale et pro-Bruxelles. Plusieurs policiers ont été blessés, quelques dizaines de personnes ont été arrêtées, et du mobilier urbain a été dégradé. Le sapin de Noël et les luges pour enfants l’entourant ont été vandalisés mais sauvés in extremis par les forces de l’ordre.
Dans cette affaire comme dans d’autres, si la couverture de l’actualité hongroise dans la presse internationale n’était pas si biaisée, on serait presque gêné d’avoir à rectifier les menus mensonges des propagandistes de service :
1. Non, la loi qui vient d’être votée au parlement hongrois n’impose pas l’acceptation d’heures supplémentaires non-payées, mais augmente simplement (d’à peu près un tiers) le nombre d’heures supplémentaires payées auxquelles un employé peut être contraint ; par conséquent, le sobriquet de « loi esclavagiste » que lui a accroché la presse d’opposition est pour le moins exagéré.
2. Non, aucune « masse » n’a manifesté dans les rues de Budapest. En dépit des exagérations de cette même presse (largement relayées – notamment par une presse roumaine qui, par ailleurs, tourne le dos aux Gilets Jaunes français…), les manifestations contre la « loi esclavagiste » (dont on se garde bien de nous proposer des vues aériennes) n’ont rassemblé que quelques centaines – tout au plus un millier de personnes. Dans une situation de disparition du chômage conjoncturel, sur le marché de l’emploi hongrois, l’offre impose ses conditions. Gageons donc que la plupart des manifestants n’étaient pas personnellement concernés par la nouvelle loi.
3. Relevons au passage l’hypocrisie de ladite opposition : pendant qu’à l’extérieur du parlement un député de la Coalition Démocratique « guidait les masses » vers une tentative de blocage du Pont Marguerite, à l’intérieur, l’ineffable Ferenc Gyurcsány, président de ladite Coalition, votait en faveur de la « loi esclavagiste ».
4. Même la thèse du « chantage des multinationales » est trop simplificatrice : en réalité, les grandes entreprises (notamment de l’industrie automobile allemande) présentes en Hongrie ont besoin d’un personnel qualifié qui se fait rare, et dont elles prennent par conséquent grand soin. Les heures supplémentaires au noir, voire impayées, sont plutôt caractéristiques du secteur de la restauration, où prédominent les PME à capital hongrois. En revanche, on peut, avec Anita Élő, soupçonner qu’on assiste à une guerre by proxy entre patronat allemand et grands syndicats allemands (qui ont depuis longtemps ouvert des agences dans tous les pays de délocalisation massive du travail industriel allemand) – nouveau signe du très haut degré d’Anschluss économique de facto de l’Europe centrale dans le Reich merkelien.
Une fois la propagande balayée, il serait en revanche intéressant de replacer cette évolution dans le contexte plus vaste des pays d’Europe continentale accablés d’une natalité désastreuse et cherchant malgré tout à limiter l’afflux d’immigrés extra-européens : l’Autriche de la semaine de 60 heures, la Russie qui repousse l’âge de la retraite. A terme, on peut se demander si leur projet de préservation de l’identité ethnique de chaque pays restera compatible avec un capitalisme qui, en détruisant notamment les valeurs familiales, exige tacitement la mondialisation de la main-d’œuvre.
Source EuroLibertés cliquez là
10:25 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 22 décembre 2018
Le journal du chaos
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15:35 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Quand les lecteurs du Monde s'attaquent à ces "salauds de pauvres"...
« Salauds de pauvres ! » Ainsi Marcel Aymé (et, plus tard, Claude Autant-Lara, dans son film éponyme) faisait s’exclamer Grandgil dans La Traversée de Paris à l’adresse d’une poignée de bougres apeurés, certes pas bien riches, mais petits-bourgeois d’esprit et de tempérament, « ceux qui, bêtement, confondent le bonheur avec la standing, rêvent de consommer toujours plus, préfèrent la quantité à la qualité, ne se posent pas de questions au sujet de la finalité de leurs actes, participent à la destruction de l’univers (sous l’alibi menteur de “progrès”) ou pensent “Après nous, le déluge” » (Freddy Buache, Claude Autant-Lara, Éditions L’Âge d’Homme, Paris-Lausanne-1982).
Mais à quels pauvres s’adressaient ces internautes anonymes, tous lecteurs du Monde, qui, de Facebook en Twitter, se sont répandus en verbiages fielleux suintant la haine de classe, suite à un reportage (15 décembre) sur le quotidien difficile d’un cariste de 26 ans, de son épouse au foyer et de ses quatre enfants, ayant rejoint les gilets jaunes sur le rond-point à côté de chez eux ?
Ici, on passerait très vite de La Traversée de Paris à Uranus, autre œuvre de Marcel Aymé décrivant les turpitudes humaines dans cet entre-deux sordide de la Libération, entre collaboration passive et fausse résistance, ce goguenot qu’à travers toute l’Europe l’on a pudiquement appelé « l’épuration ».
Nos pauvres internautes n’y sont pas allés de main morte. L’hommerie la plus crasse, aurait dit Montaigne.
On se demanderait presque si ce déferlement imbécile n’aurait pas été téléguidé d’un certain château où se terre un certain Emmanuel Can’t exhortant ses godillots « marcheurs » à cracher le portrait type des gilets jaunes, caricaturés en Deschiens : « Parmi les commentateurs figurent également des partisans d’Emmanuel Macron. L’un d’eux affirme ainsi que “rien ne démontre que la politique menée par [le Président] et son gouvernement leur ait enlevé un centime de pouvoir d’achat” », s’émeut notre plumitive…
Un autre d’y aller encore de ses doctes considérations boutiquières sur l’air bien connu du pauvre qui picole avec son pognon fraîchement gagné : « Désolé, mais je n’arrive pas à comprendre », écrit l’un d’eux. « Revenu total : 2.700 euros. Loyer + électricité : moins de 600 euros. Ça fait donc plus de 2.100 euros pour faire vivre 2 adultes + 4 jeunes enfants. Moi aussi je regarde les prix et il n’est pas compréhensible d’être à découvert dès le 15 du mois. »
Pour ces donneuses, au double sens de moralisateur et de délateur, qui connaissent aussi bien les ressorts historiques et sociologiques des luttes sociales que nous autres la physique quantique, la cause est entendue : « Cette révolte [des gilets jaunes] est définitivement celle des assistés. »
Pauvre c… ! aurait assené le regretté Gainsbourg. Décidément, il semblerait que le monde soit divisé en trois catégories : les gavés attaliens (ou oligarchie BHélienne), les cocus contents impatients d’aller transhumer dans les alpages l’hiver avant d’exhiber leur couenne l’été, et les prolos (chômeurs, artisans, petits patrons, femmes seules, familles isolées, retraités indigents…) se désespérant de voir la France de leurs grands-parents se désagréger entre leurs doigts.
Sociologie, certes sommaire, mais pas moins que celle des imMondes lecteurs susvisés…
10:19 Publié dans Aristide Leucate | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L’avenir de l’Europe : des Airbus dans toutes les industries stratégiques
Marc Rousset
Ce mercredi 19 décembre 2018, une fusée Soyouz a lancé avec succès, à Kourou, un satellite d’observation militaire de la composante spatiale optique (CSO). Ces satellites fourniront des renseignements géographiques de très haute résolution à l’armée française ainsi qu’à ses partenaires allemands, belges et suédois. Pas d’opérations militaires au Sahel, au Levant ou ailleurs sans images satellites.
La France ne disposant pas de certains radars échangera ses « données optiques » contre les « données radar » des Allemands et des Italiens. Airbus est le maître d’œuvre et le client est le CNES (Centre national d’études spatiales). Un symbole de l’indispensable coopération européenne, sous peine de voir la France être rayée purement et simplement de la carte militaire, économique, industrielle, scientifique, stratégique et politique du monde.
Il faut que la nation France mette fin à l’immigration afin de retrouver la sécurité et son identité, coupe drastiquement dans ses dépenses publiques afin de diminuer les prélèvements fiscaux de tous les Français, riches ou pauvres, se redresse sur tous les plans : économique, sociétal, social, militaire, éducatif, scientifique, linguistique ; mais ce redressement sera vain si des projets stratégiques d’avenir ne sont pas lancés tous azimuts en Europe.
À ce jour, il y a eu Airbus, Ariane, Galileo, l’A400M, même s’il a coûté plus cher que prévu, l’EPR de Flamanville, qui était au départ un projet franco-allemand avec Siemens, mais le filet se resserre sur l’Europe qui, pour survivre, doit lancer absolument de nouveaux projets tels que le char de combat du futur, l’avion de combat du futur (Dassault) avec l’Allemagne, et tant d’autres projets tels que l’industrie militaire navale, les nanotechnologies, l’Airbus de l’intelligence artificielle afin de faire avancer la recherche, car le seul effort français du superordinateur du CNRS à Saclay ne suffira pas face à la Chine et aux États-Unis.
C’est ainsi que l’Europe, et plus particulièrement l’Allemagne et la France, souhaitent relever le défi de la voiture électrique, en favorisant le lancement d’un « Airbus des batteries » capable de rivaliser avec les Asiatiques, qui détiennent plus de 80 % du marché mondial. La Chine détient, à elle seule, 60 % du marché mondial et sept des dix premiers producteurs mondiaux sont chinois, rattrapant leurs rivaux nippon et sud-coréen.
La Chine, dans la stratégie « made in China » 2025 du président Xi Jinping, vise clairement la suprématie mondiale comme dans un grand nombre d’autres industries clés. Ghislain Lecuyer, directeur général de la société française Saft, filiale de Total, n’y va pas par quatre chemins : « Est-ce que vous voulez, quand vous êtes constructeur européen, que la R&D d’un système clé de votre voiture soit en Asie et détenue par des Asiatiques ? Cela peut être une source d’inquiétude. »
L’industrie des batteries doit nécessairement passer par des aides d’État, puisque celles-ci sont largement subventionnées en Chine. C’est 35 % de la valeur d’une voiture qui risquent de s’envoler en Chine si l’Europe ne construit pas sa propre capacité de production. Pour une fois, l’Union européenne semble avoir compris puisqu’elle est prête à contourner les règles communautaires en accordant le statut IPCEI (Important Project of Common European Interest) qui permettra à cette industrie naissante de bénéficier des aides d’État. Un consortium est déjà constitué avec le Français Saft, les Allemands Siemens et Manz ainsi que les Belges Solvay et Umicore. L’idée serait de s’intéresser à la batterie à l’état solide, c’est-à-dire la prochaine génération.
Il importe donc, pour les Européens, de ne pas détruire l’Union européenne, mais de prendre le pouvoir de l’intérieur pour la mettre au service des nations. Le « gamin » Macron a tout juste sur le but à atteindre de l’Europe-puissance, et des nombreuses réformes économiques à effectuer en France afin qu’elle retrouve la compétitivité, mais il a tout faux par son manque de courage et de réalisme, son conditionnement énarchique, en ne s’attaquant pas à l’immigration et aux dépenses publiques, en n’ayant toujours pas compris, comme de Gaulle, que la seule Europe-puissance est celle des nations.
Les Européens doivent prendre conscience de la nécessité de coopérer entre eux et avec la Russie pour survivre économiquement, militairement, au XXIe siècle, face à la Chine, aux États-Unis, à l’Inde, au Brésil et, sur le plan civilisationnel, face à l’invasion migratoire en provenance d’Afrique.
Aussi passé sur Boulevard Voltaire cliquez là
10:04 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
"Le fin de l'homme blanc", le nouveau roman de Martin Peltier
La fin de l’homme Blanc, Martin Peltier, éditions DIE, 320 p., 32 €
L’auteur nous offre un formidable roman historique qui se développe dans les décors des années 1900, où l’appétit de vivre, le raffinement d’un incroyable progrès scientifique et technique, masquaient mal les terribles conflits qui agitaient la France, l’Europe et le monde.
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09:55 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Tribune libre : les Gilets jaunes et l'incohérence démocratique
Franck Abed cliquez ici
Je ne suis pas un gilet jaune. Pourtant, je ne peux être considéré comme une personne privilégiée. Je ne me reconnais pas, tout simplement, dans ce mouvement, ni par la forme de ses émotions soudaines, qu’elles soient pacifiques ou violentes, ni dans le fond, à travers ses réclamations à la fois contradictoires et fondamentalement incomplètes, même si certaines s’avèrent naturellement légitimes…
En Chine, seul l’Empereur pouvait porter du jaune. En France, cette couleur souffre d’un certain manque d’estime, en dépit du maillot jauneque porte le vainqueur du Tour de France. Le jaune, notamment au théâtre, représente les maris cocus. Dans le monde syndical, les Jaunes sont les briseurs de grève alliés du gouvernement et du patronat. Encore aujourd’hui, les syndicalistes appellent jaunes les syndicats traîtres à leurs yeux. Rappelons que le 1er avril 1902, ce n’est pas un poisson, fut créée une Fédération des Jaunes de France. Elle entendait s'opposer aux syndicats rouges répondant aux ordres de l’étranger. D’un point de vue religieux ou même culturel, le jaune est une couleur méprisable, car il symbolise les pièces que Judas a acceptées après avoir trahi Jésus. Le jaune renvoie également aux flammes de l’enfer éternel ou à la couleur des pommes du jardin des Hespérides qui sont au commencement de la guerre de Troie…
Ces précisions rappelées, j’écris sans détour que je saisis parfaitement la détresse humaine exprimée par ces Français de la France d’en bas ou de cette France périphérique (1), dont les médias et les politiques parlent si peu. Effectivement, quand les premiers les évoquent, dans une large mesure, il ne s’agit pas de proposer des analyses pertinentes mais plutôt de vendre du papier et des espaces publicitaires télévisés pour promouvoir du Coca-Cola (2). Quand les seconds les mentionnent, inutile de se poser des questions : des élections se dressent à l’horizon. Et là, nous les voyons au marché, sourire aux lèvres, clins d'œil malicieux, le tout en serrant les mains de ceux qu’ils méprisent le reste du temps.
Je suis du peuple et je n’ai jamais prétendu le contraire. Je ne veux ni ne désire aucun titre de noblesse. Je ne ressens pas l’envie de revendiquer une épithète que je ne mérite guère.Jamais, je ne quémanderai mon rattachement au peuple car j’en suis. Je comprends parfaitement le dessein des bonimenteurs désirant ardemment se couvrir du titre respecté de défenseur du peuple. Toutefois, j’ai toujours trouvé ridicule que certaines personnes non issues de nos rangs aspirent à parler en notre nom. C’est ainsi depuis bien trop longtemps. Cela doit cesser ! Mon père était un ouvrier, ma mère femme au foyer. Elle préférait m’élever que d’occuper un emploi aliénant. Ceux qui me connaissent et suivent mes travaux savent pertinemment que je défends la France et ses intérêts vitaux.
Il convient donc de protéger tous les Français. Certains de nos compatriotes, les plus faibles, ont rappelé aux dominants - la classe médiatico-politique - que la démocratie en France naquît de cette volonté de contrôler le prélèvement et l’usage des impôts par l’Etat royal, tout en marquant une volonté farouche de refuser les taxations jugées arbitraires. Cela renvoie à l’exemple récent des Bonnets Rouges (3), dont je reparlerai. Les Gilets Jaunes soulèvent, entre autres, la question du consentement structurel ou conjoncturel des électeurs à l’endroit des élus. L’économie politique nous apprend que l’origine de la chute de la royauté en France relève d’un sujet fiscal et non d’un problème politique. Permettez-moi une incise, Al Capone, personnage emblématique du crime organisé dans les Etats-Unis de la Prohibition,n’est pas tombé pour meurtres ou pour coups et blessures. Il fut inculpé pour fraude fiscale à dix-sept années de prison dont onze ans ferme.
Je n’entrerai pas dans des considérations économiques poussées. Cette taxe sur le diesel est profondément injuste et inefficace, à la fois sur le plan écologique mais également au niveau comptable, contrairement à ce que laisse entendre le gouvernement. Il me paraît évident que prélever à chaque Français le même pourcentage sur des produits de consommation grand public et de la vie de tous les jours, dont il est pour le moment difficile de se passer, sans tenir compte du revenu et de la situation - notamment en milieu rural - de ceux qui les utilisent constitue pour moi une véritable escroquerie.
09:53 Publié dans Gilets Jaunes, Les entretiens avec Franck Abed | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 21 décembre 2018
Pierre Cassen, fondateur de Riposte laïque, sur TVLibertés
Le nouveau livre de Pierre Cassen : cliquez là
18:11 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
PARIS, ON S'EN FOUT !
Pierre Vial
Dimanche 16 décembre. En obéissant aux consignes du pouvoir en place, les media aux ordres se réjouissent bruyamment (mais qui croit encore ce que disent les media ?) : hier, 15 décembre, les manifs des Gilets Jaunes, à Paris, ont connu un échec. Echec relatif, mais échec quand même. Par contre, dans les provinces, les Gilets Jaunes ont réussi à maintenir la pression. Le contraste est révélateur.
Les Gilets Jaunes sont tombés dans un piège en se focalisant sur Paris. Ils sont en cela victimes d’un mythe qui est central dans l’idéologie républicaine : le mythe jacobin, dont la base logique est que tout ce qui compte, en France, est à Paris, se passe à Paris. Les Gilets Jaunes ont donc foncé tête baissée et, dans leur sillage, la racaille venue des banlieues a sauté sur l’occasion de piller les magasins chics des quartiers bourgeois, où les bobos macroniens faisaient dans leur froc. Belle aubaine pour le Système : ceux qui se révoltent contre lui sont, forcément, des irresponsables, des amateurs de violences, bref des nuisibles.
Les Gilets Jaunes doivent en tirer les conséquences qui s’imposent. Il ne faut plus tomber dans le piège parisien et se concentrer sur les enjeux locaux, les objectifs « à portée de main » qui permettent un harcèlement durable, usant le pouvoir macronien, en s’épargnant les fatigues et les dépenses provoquées par les longs déplacements et en utilisant au mieux un terrain qu’on connait bien. Le combat des Gilets Jaunes sera durable s’il est enraciné dans nos terroirs. Là où on se contrefout des manœuvres et manipulations parisiennes. Laissons Paris crever sur son fumier.
Source Terre & peuple cliquez là
12:50 Publié dans Gilets Jaunes, Les Nouvelles du Front de Pierre Vial | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le n°1 de Z, Z comme Zentropa, est sorti
Un nouveau né dans la famille de la presse non-conformiste... et celui-là, il parle déjà et il n'a pas peur des mots. Z, c'est son nom, se réclame en effet, comme l'excellent site Zentropa cliquez ici, ouvertement du "fascisme du XXIe siècle". Mais non mais non, vous ne rêvez pas... À ne pas manquer.
Pour recevoir un exemplaire du premier numéro de Z, rien de plus simple : écrivez à zentromag@gmail.com
12:40 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi 12 janvier 2019 : Journée de la Fierté parisienne
12:34 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Quel farceur ce Macron...
12:19 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine
10:19 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
LE NOUVEL ALBUM D'IGNACE : "UN CADEAU SYMPATHIQUE ET ORIGINAL POUR NOËL" Jean-Marie Le Pen
L'acheter en ligne cliquez là
09:01 Publié dans IGNACE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Macron veut gagner et la Nation perdre sa lutte des castes
Bernard Plouvier
La révolte populaire des Gilets jaunes qui, contrairement au mouvement breton des Bonnets rouges, a touché la totalité du pays va perdre la bataille par la bêtise des uns, le cynisme des autres.
Macron, un surdoué de la démagogie mondialiste, a parfaitement compris la technique du pourrissement moderne des mouvements de grogne : la cuillère d’eau sucrée (qu’il fera d’ailleurs lourdement payer aux contribuables) et le noyautage par les ordures de service (les « casseurs », soit des vandales et des incendiaires à gages, qui s’offrent le luxe de rosser du « flic », friandise suprême des psychopathes violents).
Saluons l’exploit : Macron, le soi-disant fragile, va non seulement s’en sortir, mais parvenir à se transformer en Superman du rétablissement de l’ordre ripoublicain (perturbé par les nervis stipendiés par son Premier flic) et en Bon Samaritain de l’accueil des malheureux réfugiés de tous genres, coloris et continents, avec la bénédiction des mollahs, des archevêques des toquées de la générosité absurde et même du pape, tous au service du seul vrai dieu : Mammon (la divinité proche-orientale de la puissance liée à la richesse).
Quelle stupidité d’avoir fondé ce mouvement populaire sur de prosaïques revendications fiscales ! Les seuls sujets d’inquiétude à moyen et long termes de l’Occident, ce sont notre dénatalité et l’immigration-invasion qui dégénèrera en conquête violente, en guerre des races et des religions, une guerre qui sera gagnée par le plus violent, le plus brutal, le plus motivé, le moins encombré d’inhibitions d’ordre humaniste.
En plus de n’avoir pas créé de garde-fou pour éviter le noyautage par l’ordure et ses débordements criminels, les participants au mouvement actuel se sont trompés de cible. Et les commentateurs, abusés par le guignol Marx qui a infesté l’historiographie et la sociologie depuis un siècle et demi, y sont allés de leurs commentaires sur la guerre des classes, alors même que le problème français, depuis la IIIeRépublique, est celui d’une guerre des castes.
Il est évident que toujours et partout – probablement même depuis la préhistoire où l’on réglait les conflits en faisant son repas du vaincu -, celui qui se considère comme pauvre en biens et en jouissances veut ou piquer ses biens, voire prendre sa vie au « riche ». On n’a pas attendu le gros Karl pour observer le phénomène ni même pour l’étudier et y parer : toute vie organisée en cité repose sur une police pour protéger les personnes et les biens.
Depuis la fin du XIXesiècle, la France – à l’exception des années 1940-42, où un régime de Bien public a tenté d’instaurer une méritocratie, mais dans des conditions effroyables qui vouaient le projet à un échec certain - est dominée par des castes qui, comme partout en Occident, furent toujours entrouvertes à quelques jeunes gens dont l’ambition et la servilité servaient de sésame.
Plutôt que de débiter le catalogue absurde des revendications de détail, un véritable chef de mouvement aurait exigé davantage de démocratie : soit la fin du régime des castes et le recours automatique au peuple pour traiter les vrais sujets de société.
Tout poste payé avec l’argent public doit être pourvu par concours anonyme. On ne doit plus accepter l’ignominie des cooptations, sauf pour les inutilités foncières comme les académies de gâteux pontifiants.
Tout grand problème de société doit donner lieu à de vrais débats retransmis sur les chaînes de télévision d’État, suivis d’un vote populaire dont le résultat doit impérativement être respecté par l’Exécutif, car la souveraineté n’appartient qu’à la Nation.
C’est ainsi que doivent être traitées les questions majeures, qui engagent le présent et surtout l’avenir de notre peuple : immigration extra-européenne avec son corollaire l’islam conquérant (ou djihadiste), insécurité et rétablissement de la peine de mort, politique nataliste pour les nationaux de souche européenne et refus de l’avortement de complaisance ou des mascarades ridiculisant les notions de mariage et de famille, lutte active contre le chômage des Français de souche européenne, donc ré-industrialisation du pays – ce qui implique une politique protectionniste, qui ne fera hurler que les négociants et les financiers engagés dans l’économie globale.
Ces mesures dites structurelles sont les seules qui puissent justifier une mobilisation profonde et durable de notre Nation. Et non des réclamations qu’un pouvoir aux abois peut traiter par quelques cuillères d’eau sucrée... que le contribuable-consommateur devra payer très cher !
N’ayant strictement personne en face de lui, sauf des vieilleries sans imagination créatrice de la caste politicienne, Macron, boystar de la globalo-mondialisation, ne peut que triompher, jusqu’à ce que ses maîtres le jettent après usage.
00:04 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 20 décembre 2018
Macron nous annonce des milliers d'éoliennes en plus : il est temps de réagir
Pour s'opposer à l'implantation de nouvelles éoliennes à travers la France, il faut savoir de quoi l'on parle. Et pour cela, il y a une solution : lire et faire lire le livre-choc d'Alban d'Arguin, Eoliennes un scandale d'Etat.
Pour faire connaître ce livre édité par nos éditions, nous venons de publier un tract que nous vous invitons à reproduire et à diffuser autour de vous. Déjà 5 000 exemplaires d'Eoliennes un scandale d'Etat ont été vendus. Depuis deux années consécutives ce livre est le n°1 de nos ventes.
Alors, amplifions l'impact de cet antidote aux bobards de la "transitions énergétiques" véhiculés par le Système...
Le tract : cliquez ici
Commander en ligne le livre cliquez là
23:54 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L'émission Synthèse de ce jeudi avec Philippe Bornet, auteur du livre "Demain la dictature"
15:37 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La conférence de Lucien Cerise aux Amis franciliens de Synthèse nationale
La conférence du jeudi 13 décembre dernier à Paris avec l'écrivain Lucien Cerise (lire son dernier livre cliquez là) sur le rôle de l'OTAN contre les nations...
Merci à Catalyse France pour la réalisation de ce film.
09:18 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 19 décembre 2018
Yvan Benedetti et les Gilets jaunes
17:18 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |