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samedi, 27 juillet 2019

Sylvain Tesson contre la "starbuckisation" du monde

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Le quotidien Le Monde, qui n'est pas notre tasse de thé comme chacun sait, a parfois des moments de lucidité quand il ne cherche à nous imposer sa "moraline" droit de l'hommesque. Entreprenant une série sur l'état écologique du monde (physique et intellectuel), il a donné la parole - ô stupeur ! - à ce merveilleux écrivain-voyageur et fort peu progressiste  qu'est Sylvain Tesson (dernier ouvrage, Un été avec Homère).

Pour télécharger l'entretien, cliquez ICI

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vendredi, 26 juillet 2019

Le 26 juillet 2007 disparaissait Roland Gaucher.

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Jean-François Touzé

Jusqu’à son dernier jour, il fut un inlassable combattant de la Cause. 

Grand journaliste, directeur historique de notre cher National hebdo auquel je suis fier d'avoir appartenu dès son premier numéro, député européen, il était avant tout un militant national populaire et un soldat politique physiquement, moralement et intellectuellement particulièrement courageux.

Lors de ses obsèques où je me rendis en compagnie de mon ami Roland Hélie, nous n’étions que deux membres du Bureau politique du Front national, Bureau dont il fut pourtant membre pendant presque vingt ans : Jean-Claude Varanne qui lui avait succédé à la tête de NH et moi. L'oubli qui est une forme accomplie de la trahison, était déjà à l'œuvre.

Quelques mois plus tôt, toujours avec Roland Hélie, j'avais déjeuné avec lui. Conscient de son âge et de sa fatigue, il était pourtant habité par son engagement et foisonnant de projets. 

Ne jamais renoncer... La vie et le combat commencent toujours demain.

Salut Roland. Salut, vieux camarade.

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Le clown utile et ses manipulateurs

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Bernard Plouvier

Le XXe siècle de l’ère dite chrétienne fut le grand siècle des expériences politiques.

Après les excès d’un enthousiasme trop facilement détourné par des aventuriers, qui ont parfois dégénéré en guerres civiles ou internationales et ont constamment débouché sur un échec, les bons peuples d’Occident se sont laissé tenter par les démons de l’individualisme et de l’hédonisme, mâtinés d’altruisme à grand spectacle, dont la dernière plaisanterie est une grotesque manifestation de mégalomanie : il ne s’agit rien de moins que de « sauver la planète ».

De leur côté, les mahométans, stimulés par le pétrodollar, se sont éveillés après un demi-millénaire de léthargie, découvrant la joie de nuire à autrui masquée par l’alibi religieux. Il faut reconnaître que la théorie puis la pratique impérialiste et guerrière du sionisme leur ont fourni l’occasion idéale d’un déchaînement de fureur destructive et de haine meurtrière.

Notre triste présent d’Européens est fait de terrorisme, de haines raciales, d’immigration-invasion et de vaticinations pseudo-écologiques. On a les quatre Cavaliers de l’Apocalypse qu’on mérite !

Les seuls media qui comptent de nos jours - les « réseaux sociaux » et la TV, qui ont relégué au rang d’accessoires la radio et le cinéma - ont renouvelé le mode opératoire du bourrage de crâne.

On préfère désormais multiplier les présentateurs plutôt que d’exhiber constamment la même tête et la même voix. La diversité apparente a pour but de faire croire en une multiplicité d’opinions. Mettre en scène chaque mois, voire toutes les semaines, un nouveau pitre pour vanter la qualité d’un brouet inchangé depuis les années 1990, c’est devenu le nec plus ultra du formatage d’opinion publique.

Puisque les adultes travaillent (du moins sont-ils censés le faire), on a de plus en plus recours aux adolescents, à la fois improductifs et gros consommateurs, mais d’un fanatisme à toute épreuve. Convaincus de l’excellence de ce qu’on leur a mis en tête, ils emportent très facilement la conviction de leurs contemporains, tandis que des adultes à-demi idiots s’extasient devant ces perroquets juvéniles.

Il n’existe aucun consensus scientifique sur les mécanismes qui font se déplacer la glace d’un pôle à l’autre de notre planète (dislocation au Nord et accrétion au Sud, avec refroidissement de l’Atlantique Nord et de l’Antarctique & réchauffement médian).

Alors que les grosses têtes et leurs super-ordinateurs géants multiplient en vain les modèles théoriques, on exhibe devant des parlementaires incompétents, mais avides d’esbrouffe, une dinde prétentieuse et nordique, tandis qu’en Afrique du Sud s’agite une prophétesse locale… ce ne fera jamais que deux candidates de plus au Prix Nobel de la Paix !

Derrière les prestations à hurler de rire ou à vomir des charlots et des charlottes de l’écologie de pacotille, il est indispensable de chercher à qui profite le spectacle.

L’Afrique est un énorme continent, aux sol et sous-sol richissimes, nanti de populations incapables de les exploiter. De nombreuses sociétés, multinationales ou non, dirigent cette exploitation depuis plus d’un siècle. Étant donnée la rapacité des dirigeants autochtones, qui est la principale activité africaine à connaître une expansion, les patrons de ces grandes entreprises aimeraient refiler aux contribuables des pays développés la facture du graissage de patte des insatiables élus du peuple et des innombrables profiteurs de leurs clans.

Le tam-tam médiatique sur le « réchauffement climatique » et ses explications foireuses vole au secours des superbénéfices des grandes compagnies. C’est assez dire à quel point les clowneries d’adolescents, en apparence moins faisandés que les ringards du marxisme reconvertis dans l’écologie de bazar, revêtent une importance majeure dans le monde merveilleux de l’économie globale et de la mondialisation du bourrage de crânes.       

15:08 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Différence de style

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Anne Le Pape dans Présent             

On notera, comment dire ? une certaine différence de style…

 
 

12:03 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 25 juillet 2019

RAPPEL : SAMEDI 27 JUILLET, EN PROVENCE, VENEZ ASSISTER À LA "SYNTHÈSE EUROPÉENNE" DES LANSQUENETS

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Du jeudi 25 au dimanche 28 juillet, en Provence (le lieu sera précisé aux inscrits quelques jours avant) se déroulera le 4e "Été de l'Europe", rencontre organisée par les Lansquenets, l'association européenne dirigée par Gabriele Adinolfi.

L'un des moments forts de cette rencontre sera la "Synthèse européenne" du samedi 27 juillet en fin d'après-midi (elle sera suivie d'un dîner amical auquel nous vous proposons de vous inscrire au plus vite). Des responsables européens interviendront parmi lesquels des Français. Ce sera le cas de Vincent Vauclin, Président de la Dissidence française, de Richard Roudier, Président de la Ligue du Midi, de l'éditeur Philippe Randa et de Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale.

Bien sûr, tous les amis de Synthèse nationale de la région, ou bien en villégiature dans celle-ci, sont les bienvenus à cette Synthèse européenne. 

Plus d'infos : assoc.artemis@gmail.com

16:51 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le catalogue d'été de Synthèse nationale :

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Pour le lire, le télécharger et l'imprimer cliquez ici

Vous pouvez aussi passer commande en cliquant là

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16:50 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La prise de position de Jean-Marie Le Pen sur la PMA ne fait pas l'unanimité

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Lettre ouverte de Jean-François Touzé (Parti de la France) à Jean-Marie Le Pen :
 
Cher Jean-Marie,
 
Vous avez exprimé votre ouverture à la possibilité d'accorder le droit aux femmes seules et aux couples lesbiens de recourir à la procréation médicale assistée, ce qui est une reconnaissance de la filiation sans père. 
 
"Mieux vaut", dites-vous, "des enfants sans pères que pas d'enfants du tout".  L'argument serait recevable s'il ne conduisait pas à une absolue inversion de tout ce qui fait la base de notre civilisation.
 
Est-il vraiment nécessaire de pousser le goût du paradoxe à ses limites ?
 
La question démographique est centrale. Nos peuples, si ne se produit pas dans les toutes prochaines années une réaction vitale, seront, en effet, submergés par la déferlante migratoire et l'exponentialité nataliste de l'Afrique. C'est votre force et votre honneur d"avoir été le premier à tirer le signal d'alarme.
 
Notre salut sera demain dans une révolution nationale nouvelle qui prendra à bras le corps ces questions en stoppant l'immigration, en organisant la rémigration et en mettant en œuvre une politique des naissances et de la famille. Espérer dans le recours aux pires extrémités de la science constructiviste, c'est à la fois renoncer et se plier aux exigences du totalitarisme progressiste, ce que toute votre vie durant, vous avez refusé, nous donnant l'exemple de ce que doit être le combat politique national. 
 
La PMA doit être réservée aux couples homme/femme qui ne peuvent naturellement avoir un enfant. Point. Déroger à ce principe c'est accepter tous les glissements de société, toutes les dérives de laboratoire, toutes les négations de l'ordre naturel. C'est reconnaître par avance le bien fondé du clônage et de l'abomination qu'est la gestation pour autrui (GPA), techniques golèmiques, qui seraient, si l'on suit la logique de votre propos, de nature également à palier le déficit démographique...
 
Cher Jean-Marie, cher Président, vous le savez mieux que quiconque, vous qui nous avez enseigné le culte de la volonté politique, c'est par nous mêmes et en fidélité avec nos valeurs que nous nous relèverons. 
 
Cette fois ci, quels que soient notre respect et notre affection à votre égard, nous ne vous suivrons pas dans votre analyse.
 

13:53 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Philippe de Villiers parle de Soros

13:36 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Conférence de presse unitaire organisée par plus de 20 associations

Suite à la présentation du projet de loi « bioéthique » en conseil des ministres le 24 juillet, de nombreux portes-paroles d'associations se réunissent pour une conférence de presse unitaire.

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10:34 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 24 juillet 2019

Revue de presse : GRETA LA SCIENCE

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Michel Onfrey cliquez ici

François de Rugy s’étant fait rattraper cet été par des homards devenus fous, peut-être parce qu’ils étaient imbibés d’Yquem, a quitté son poste de ministre de l’Ecologie. J’aurais aimé qu’il soit remplacé par Greta Thunberg qui, végane, n’aurait jamais pu causer la mort de ces pauvres crustacés géants ! Végane et probablement buveuse d’eau, elle ne sort jamais sans sa gourde rouge écoresponsable - comme jadis le commandant Cousteau avec son bonnet ou aujourd’hui Christophe Barbier qui arbore son écharpe rouge, même en temps de canicule - pardon : en temps d’épisode caniculaire. La jeune fille qui ne sourit jamais, comme Buster Keaton à qui elle ressemble tant, ne pourrait donc pas non plus vider la cave du contribuable. Ce serait une garantie de moralisation de la vie politique. Après quinze défections depuis le début de son court règne, dont celles de onze ministres, Manu, tu devrais y songer…

Cette jeune fille arbore un visage de cyborg qui ignore l’émotion - ni sourire ni rire, ni étonnement ni stupéfaction, ni peine ni joie. Elle fait songer à ces poupées en silicone qui annoncent la fin de l’humain et l’avènement du posthumain. Elle a le visage, l’âge, le sexe et le corps d’un cyborg du troisième millénaire : son enveloppe est neutre. Elle est hélas ce vers quoi l’Homme va.

Les journalistes nous font savoir avec moult précaution, presque en s’excusant, qu’elle est autiste - il faut le dire, sans le dire, tout en le disant quand même. Dont acte. Je laisse cette information de côté. L’usage métaphorique de ce mot est interdit par la bienpensance, mais on découvre également qu’il l’est aussi dans son sens premier. Donc on le dit, mais on n’a rien dit.

Quelle âme habite ce corps sans chair ? On a du mal à savoir… Elle sèche l’école tous les vendredis en offrant l’holocauste de ce qu’elle pourrait apprendre à l’école pour sauver la planète. Est-ce que ce sera suffisant ? Vu la modestie de l’offrande, je crains que non…

Trop contents de ce magnifique prétexte pour ne pas aller au collège, un troupeau de moutons de cette génération qui se croit libre en bêlant le catéchisme que les adultes leur inculque, propose de suivre son exemple et offre en sacrifice expiatoire la culture qu’elle n’a pas, mais qu’elle pourrait avoir - si d’aventure elle allait à l’école, encore que, si c’est pour y apprendre les billevesées gretasques…

La cyborg suédoise a même annoncé qu’elle prévoyait de prendre une année sabbatique pour sauver la planète ! En effet, pourquoi apprendre des choses à l’école quand on sait déjà tout sur tout ? La preuve, plume à la main, le soir dans son lit, elle lit avec passion les volumineux dossiers du GIEC dont elle débite les chiffres, donc la science, avec une voix de lame de fer - jadis, c’était Rimbaud ou Verlaine qu’on citait quand on n’avait pas dix-sept ans…

Quelle intelligence est celle de ce cyborg ? On ne sait… Ce qu’elle lit, à défaut de le dire librement, n’est pas écrit par une jeune fille de son âge. La plume sent trop le techno. Sa voix porte le texte d’autres qui n’apparaissent pas. Qu’est-donc d’autre qu’un cyborg, si ce n’est le sujet d’acteurs invisibles ? Cette intelligence est vraiment artificielle, au sens étymologique : c’est un artifice, autrement dit, un produit manufacturé. Toute la question est de avoir par qui. Or, la réponse est simple, il suffit de se poser une autre question : à qui profite ce crime ? La réponse se trouve probablement dans l’un des dossiers du GIEC - la bible de cette pensée siliconée.

Que dit ce corps qui est un anticorps, cette chair qui n’a pas de matière, cette âme qui fait la grève de l’école, cette intelligence ventriloquée ? Ce que les adultes de la bienpensance progressiste débitent depuis des décennies.

Notre époque voit arriver au devant de la scène des enfants rois. J’ai dit ailleurs que la maladie avait gagné le palais de l’Elysée. Ce règne des enfants rois est celui de l’intolérance à la frustration et du mépris des adultes, alors que ces êtres en cours de fabrication se contentent de débiter des discours d’adultes - du moins, de certains adultes, ceux de l’avant-garde éclairée de la métamorphose la plus récente du capitalisme : l’écologisme. Ce cyborg parle en faveur d’une révolution initiée par le capitalisme vert.

Certes, comme toujours, les véritables motifs - d’incommensurables profits… - ne sauraient être avoués tels quels. Il faut un excipient moral à cette révolution permettant d’entretenir le culte du Veau d’Or. Et quoi de mieux que le projet de sauver une planète en danger de mort ?

Cette jeune fille de seize ans qui prévoit de ne plus aller à l’école, puisqu’elle parle au nom de la science, ignore qu’un philosophe qui s’appelle Hans Jonas a rédigé il y a bien longtemps le logiciel avec lequel fonctionne son intelligence artificielle.

Dans Le Principe responsabilité (1979), Jonas fait avoir qu’en matière de survie de la planète, il s’agit d’en finir avec la raison des Lumières qui n’a rien produit, sinon des catastrophes, et qu’il faut désormais opter pour "une heuristique de la peur". Autrement dit : il faut dramatiser, inquiéter, amplifier, exagérer, faire peur, c’est-à-dire tout le contraire de penser, examiner, réfléchir, débattre. On ne pense plus, on récite ; on n’examine plus, on assène ; on ne réfléchit plus, on psalmodie; on ne débat plus, on insulte, on excommunie, on anathèmise. On ventile…

Ce cyborg post-capitaliste parle en effet au nom de LA science. Mais, du haut de ses seize ans, que sait-elle de l’astrophysique, des cycles cosmiques, des orages solaires et de leurs cycles, autant d’informations qui relèvent aussi de la science, mais auxquelles ni elle ni les siens ne font jamais référence quand il s’agit de penser la question du réchauffement climatique - une incontestable vérité : il n’y a pas à douter de ce fait mais des causes que certaines en donnent.

Pour Greta Thumberg, il semble que LA science se réduise au compendium de passages à réciter, hiératique comme dans une cour du palais des papes planétaire, après prélèvement des phrases stabilotées dans les rapports du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat.

A l’Assemblée nationale, où, semble-t-il, elle a été invitée par un monsieur Orphelin, toujours avec le masque de Buster Keaton, elle a froidement fait la leçon à des adultes qui, se faisant mépriser, ont consciencieusement applaudi. Il faudra un jour réfléchir sur le rôle tenu en politique par l’humiliation chez certains qui jouissent à se trouver des maîtres et à jouir dans la soumission - fasciste, brune, rouge, noire, islamiste ou verte. 

Cette fois-ci, le maître est une maîtresse : c’est une jeune fille au corps neutre et à la parole belliqueuse. A la tribune, il semblait que c’était Mélenchon dans le corps d’Alice au pays des merveilles. Effet terrible : la menace du Tribunal révolutionnaire exprimée avec une voix pré-pubère blanche comme la mort… On se croirait dans un manga. Glaciale, elle a tapé les élus, elle a cogné les politiques, elle a frappé les chefs d’entreprise, elle a giflé les adultes, elle a molesté les journalistes, et le public a applaudi, la regardant comme s’il s’était agi d’une nouvelle apparition de Thérèse à Lourdes.

"Nous les enfants", dit-elle quand elle parle ! Quelle civilisation a jamais pu se construire avec des enfants ? C’est le monde à l’envers ! Qui plus est : avec des enfants expliquant aux adultes qu’il n’ont rien à faire des cours qu’ils leurs dispensent et que, de ce fait, ils entendent prendre une année sabbatique avant même d’avoir obtenu le brevet des collèges ? C’est vouloir entrer dans le monde du travail en commençant par plusieurs années de retraite !  Il est vrai que le coeur du projet présidentiel du "socialiste" Benoit Hamon…

Que disent les adultes ayant fabriqué cette génération d’enfants rois qui décrète les adultes criminels, irresponsables, méprisables, détestables ? Comme dans les mangas SM, ils jouissent et disent "Encore ! Encore !"… Elle attaque les journalistes ? Et que répond la corporation ? Elle prend les coups et se force à sourire : ce serait Mélenchon, ils le vomiraient, mais comme c’est du Mélenchon enveloppé dans les rubans d’Alice, ils baissent le tête, regardent leurs pieds et filent doux… Le fouet claque au-dessus de la tête des patrons ? Le Medef se tait et, penaud, tient la main des journalistes.

L’Alice suédoise tance les adultes, elle leur dit, avec son visage non pas de marbre mais de latex: nous sommes des objets de haine, vous nous menacez, vous nous traitez de menteurs. Des adultes censés incarner la représentation nationale applaudissent… Prenant un plus long fouet, elle ajoute, s’adressant aux mêmes : "vous n’êtes pas assez mûrs". Dans un spasme de jouissance sadomasochiste, sauf une femme qui semble raison garder, bravo madame, tous applaudissent.

Et puis, le diable est dans les détails, ce cyborg neutre et pâle comme la mort, au visage tendu par les épingles du néant, signe parfois ses imprécations avec l’index et le majeur de chaque main, comme pour signifier des guillemets. Il n’y a que dans ces cas-là qu’elle semble encore humaine.

On retrouve alors, débordant cette intelligence artificielle, un geste d’humanité, même si c’est un geste panurgique : c’est celui d’une gamine de seize ans qui a les tics de son âge - autrement dit : l’éthique de son âge… Cherchons bien, elle pourrait même arborer un tatouage et rentrer dans son hôtel végane en trottinette électrique - escortée toutefois par des motards de la République. Qu’attend Macron pour la nommer en remplacement du ministre que le homard a tué ?

Il n’y a rien à reprocher à une enfant qui veut voir jusqu’où va son pouvoir d’agenouiller les adultes, c’est dans l’ordre des choses. Le pire n’est donc pas chez elle, elle fait ce que font tous ses semblables, mais il se trouve chez ces adultes qui jouissent de se faire humilier par l’une de leur créature : un enfant qui fait la leçon aux adultes qui ne mouftent pas et jubilent même de recevoir des coups de leur progéniture, voilà sans conteste matière à conjecturer que nous entrons dans le stade suprême du nihilisme…

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L’inutile importation du racisme exotique

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Bernard Plouvier

Un supporter d’une équipe de football est agressé par un supporter d’une équipe concurrente ; le plus faible physiquement meurt sous les coups de son agresseur. Triste affaire, mais fort banale et somme toute très classique : l’histoire nous enseigne qu’on s’entretuait à Constantinople-Byzance au sortir de l’hippodrome et le phénomène de l’hooliganisme est bien connu en Europe depuis les années soixante… c’est encore un apport à la civilisation de la Perfide Albion !

Dans la France de Super-Macron - mais l’histoire aurait pu se dérouler sous Giscard-Mitterrand-Chirac-Sarkozy-Hollande, divers personnages jouant très exactement le même rôle de Gentil Organisateur de l’immigration-invasion -, ce meurtre imbécile se double d’une affaire de racisme.

Le meurtrier est un Turc, toxicomane et raciste. La victime est un Noir. Le tueur Turc n’aime pas les Noirs ; on ne sait ce que le Noir tué pensait des Turcs.

Il est une leçon à tirer de l’événement qui n’a en soi rien d’original, mais qui permettra de pimenter la vie des Français, durant les semaines à venir, grâce à de si utiles et de très nombreux défilés « contre la haine », « contre le racisme » etc.

On peut imaginer, vu le contexte actuel, que certains en profiteront pour nous resservir la tirade sur la nécessité de voter au plus vite des lois punissant le « crime d’antisémitisme ».  Sachant la servilité de nos merveilleux élus et la proximité des élections municipales, il est évident que ces dispositions législatives seront votées, toutes affaires cessantes, à la session d’automne de notre Parlement.  

Or la leçon à tirer de ce crime crapuleux est autre. Nous avions déjà assez à faire avec le racisme intrinsèque : les haines entre Français issus des provinces du Nord et du Sud, entre « souchiens » et immigrés venus d’autres pays européens, entre Juifs et Goyim, entre Gitans et Gadjos et on en oublie. Pourquoi avoir importé le racisme exotique : racisme des Maghrébins contre les Noirs (et vice-versa), racisme des Touraniens (Turcs et apparentés) contre le reste du monde, et par-dessus tout racisme des immigrés de couleur contre les Blancs ?

Une société multiraciale est une société multiraciste. L’exemple des USA ou celui du Brésil sont suffisamment connus. Que chacun retourne dans son continent d’origine pour y régler ses problèmes de développement et ses querelles. C’est d’une logique imparable.

Cela ne favorise pas les affaires des tenants de l’économie globale et du métissage universel. Qu’à cela ne tienne ! La nation française est encore majoritairement composée d’Européens de souche. La Nation, seule souveraine légitime de l’État, doit réagir avant qu’il ne soit trop tard. C’est l’unique leçon à tirer du drame survenu dans une banlieue de Rouen.

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Samedi 31 août et dimanche 1er septembre : 49e Journées chouannes à Chiré-en-Montreuil (86)

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Greta Thunberg : Notre-Dame-de-la-Désolation

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Richard Dessens EuroLibertés cliquez ici

Greta Thunberg, jeune suédoise de 16 ans, est une militante pour le climat. Elle a notamment commencé la Skolstrejk för klimatet (« grève de l’école pour le climat ») et donné un discours à la conférence de Katowice de 2018 (COP24) sur les changements climatiques, concluant : « Notre biosphère est sacrifiée pour que les riches des pays comme le mien puissent vivre dans le luxe. Ce sont les souffrances du plus grand nombre qui paient pour le luxe du plus petit nombre. Et si les solutions au sein du système sont impossibles à trouver, nous devrions peut-être changer le système lui-même. »

Voilà qui est clair sur l’idéologie de l’enfant suédois.

Critiquée de tous côtés pour l’utilisation affectée de ses prétendues maladies (le syndrome d’Asperger, un trouble obsessionnel compulsif et un mutisme sélectif lui ont été diagnostiqués), son financement douteux, sa manipulation présumée, Greta Thunberg est reçue par le Pape François, proposée pour le Prix Nobel de la Paix, intervient au sommet de Davos, est invitée par Arnold Schwarzenegger, reçoit le prix « prestigieux » d’Ambassadeur de la Conscience par Amnesty International, etc. Pas mal à 16 ans…

La fulgurance de son irruption encensée et la mise en scène plus qu’ostentatoire de sa démarche par les médias laissent songeur… comme les attaques dont elle est l’objet.

Vegan, refusant d’utiliser l’avion, dressant un tableau apocalyptique de notre futur déjà présent, Greta Thunberg est invitée à l’Assemblée nationale par 162 députés ce mardi 22 juillet, reçue par son vice-président, et participe à un débat et aux questions au gouvernement.

Mieux que Jeanne d’Arc, elle n’entend pas la voix de Dieu qui l’appelle, elle est Dieu lui-même. On croit marcher sur la tête. Un mélange d’écologie politique radicale, d’ultragauchisme, de droits-de-l’hommisme extrême, de prophétisme de gourou, d’apocalypse imminente. Icône d’une jeunesse inculte et caution généreuse de politiques manipulateurs à mauvaise conscience.

L’écologie politique paroxystique sombre dans une pantalonnade dérisoire et inquiétante.

Et pourtant, comme d’autres depuis peu, Greta Thunberg pose les bonnes questions, mais apporte des réponses ineptes dont on est en droit de se demander à qui elles profitent. La question de la décroissance est bien réelle et même incontournable et elle doit certainement être reconsidérée de manière radicale. Comme celle du système capitalisme financier mondialisé, obstacle fondamental à tout changement radical écologique. Nicolas Hulot les a déjà évoquées. Le grand journaliste objectif Jean-Michel Aphatie aussi, avec gêne. Mais aucun d’eux, y compris l’icône suédoise, ne propose de solutions satisfaisantes, au contraire, se contentant de psalmodier des incantations en appelant un progrès salvateur putatif autant qu’utopique et mortifère en réalité, ou de rêver d’une révolution systémique cosmopolite, genre hippies des années 68 puissance 10, comme Notre-Dame-de-la-Désolation.

Si notre Planète est en péril, c’est du fait de sa surpopulation humaine, au-delà des cycles naturels, par ailleurs, de réchauffement et de refroidissement alternatifs de la Terre. Or, cette surpopulation, mère de tous nos maux, y compris l’immigration, n’est jamais évoquée ni même envisagée comme la cause des nombreux dérèglements et pollutions catastrophiques, en effet, eux aussi. On lui préfère les bonnes vieilles solutions idéologiques de la gauche –comme de la droite moribonde d’ailleurs– nappées dans l’utopie d’une « race humaine » sacralisée au développement infini, qui détruit faune et flore allègrement avec tous les équilibres naturels, sans que cela fasse sourciller le moins du monde nos ayatollahs de l’écologie politique, Greta en tête aujourd’hui. L’Homme se développe non avec la Nature mais contre la Nature, éclairage que personne ne veut utiliser pour mener une véritable révolution naturaliste.

Nous voilà donc revenus aux « provos », « plutôt rouges que morts », et autres pacifistes béats des années 60 et 70 avec l’enfant-Dieu Greta Thunberg. Seuls les manipulateurs ont changé en modernisant un peu les thèmes mais avec les mêmes ressorts. On en finit par regretter l’ex-URSS et la Chine de Mao. Au moins, eux, on pouvait les identifier clairement.

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mardi, 23 juillet 2019

DANS LE N°51 DE SYNTHÈSE NATIONALE : UN ENTRETIEN AVEC JEAN RASPAIL

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Yvan Benedetti : son audition devant la Commission d'enquête parlementaire

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Un communiqué d'Yvan Benedetti

Le 25 avril dernier, j’étais convoqué en audition devant la Commission d’enquête parlementaire de lutte contre les groupuscules d’extrême-droite constituée à l’initiative de la France insoumise et présidée par Muriel Ressiguier. Celle que les Languedociens surnomment Miss Goulag n’a pas fait honneur au nom de son parti, en laissant cette instance parlementaire qui visait à étudier tous les mouvements identitaires et nationalistes – y compris les milices juives alliées de Marine Le Pen avec lesquelles les mélenchonistes avaient eu maille à partir – passer sous le contrôle des sionistes.

Je démontre comment l’homme de Nétanyahou en France, Meyer Habib, un des terroristes condamnés pour l’attaque – à coup de barre de fer – du cortège en l’honneur de Sainte Jeanne d’Arc de 1988, au cours de laquelle j’avais été blessé, s’est, conjointement avec le rapporteur Morenas et la député Fajgeles, emparé de la Commission, écartant de son « périmètre » d’investigation le néo-FN des ultra-sionistes Collard et Le Pen et même retournant celle-ci contre la France insoumise qui l’avait initiée et qui s’est finalement retrouvée, lors des débats, accusée à mots à peine couverts d’antisémitisme en raison de son soutien aux Palestiniens.

Je dévoile ensuite l’intégralité du compte-rendu sténographique de mon audition, publié furtivement sur le site de l’Assemblée avant d’être censuré à la demande du Crif… Mes propos, rapportés dans ce verbatim, bien que tenus dans une enceinte qui, normalement, couvre de son immunité les déclarations des personnes auditionnées, sont aujourd’hui visés – au prétexte d’une remise en cause des dogmes de la religion shoatique – par une enquête préliminaire du Parquet de Paris.

Les Français vont désormais pouvoir juger sur pièce si, lors de cette audition, mes propos étaient si abjects que la presse le prétend aujourd’hui en n’en citant que de courts passages…

J’ajoute, puisque mon agenda judiciaire est plutôt chargé et que mon procès en appel pour le maintien de l’œuvre française dissoute par Manuel Valls s’est déroulé à la même période, quelques textes concernant cette affaire.

Le commander cliquez ici

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lundi, 22 juillet 2019

Du 19 au 25 août : l'Université d'été d'Académia Christiana dans l'Orne

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Communiqué d'Universita christiana :

Nous voulons que notre pays renoue avec son âme française, c'est-à-dire avec notre histoire. Autrement dit : vivre de notre identité. Nous croyons que la tradition n’est pas le passé mais ce qui ne meurt jamais. Nous voulons que notre identité perdure. Provinciale, française, européenne et catholique, notre identité est une richesse. Nous ne sommes pas des conservateurs de musée, nous brûlons d’un ardent désir de vivre ici et maintenant de nos traditions millénaires.

Nous voulons également la justice et militons pour un ordre politique régi par les lois qui transcendent la volonté des hommes. Notre norme, c’est le réel, c’est-à-dire la nature créée par Dieu. Enfin, parce que nous sommes catholiques, nous voulons que l’ordre politique n’ordonne rien qui soit contraire à la foi et n’interdise rien qui soit exigé par elle. Nous ne sommes pas les gardiens aigris d’un nouvel ordre moral, mais simplement les porteurs d’un ordre politique apte à servir le véritable bien commun.

UDT Academia Christiana
Du 19 au 25 août à Sées (61)
Inscription : academiachristiana.org

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LA GUERRE D’ALGERIE N’EST PAS FINIE !

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Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

« Jamais deux sans trois », nous apprend un dicton. Par trois fois, au prétexte que l’Algérie s’est qualifiée aux éliminatoires et à la finale de la coupe africaine des nations, une partie de la jeunesse algérienne, pardon «…française », s’est déversée dans les rues de nos principales villes pour clamer sa joie et, accessoirement pour certains, commettre vols et déprédations, ainsi qu’ attaquer les forces de l’ordre. Ces dernière, il faut bien le constater, ont réagi bien plus mollement que contre les « Gilets jaunes » : point de flash ballni de matraquages, seulement des gaz lacrymogènes lancés contre les émeutiers. Le pouvoir, qui est tétanisé lorsqu’il s’agit de l’Algérie, avait-il donné des ordres de « modération » à ses « prétoriens 

Des stigmates non effacés

Depuis l’indépendance de l’Algérie en juillet 1962, les stigmates de la guerre qui nous a été imposée à partir de la Toussaint 1954, sont toujours aussi « saignants » si je puis dire.

En effet, la Guerre d’Algérie n’est pas finie. D’un côté, on continue de stigmatiser l’oeuvre coloniale française, - et le Président Macron, lorsqu’il était candidat, rappelez-vous, était à la manœuvre en dénonçant depuis Alger, les prétendus « crimes contre l’humanité » commis par notre pays -, de l’autre le FLN, qui  n’a jamais reconnu les massacres des harkis, les assassinats et les enlèvements de Pieds noirs. (Notamment à Oran, le jour même de la proclamation de l’indépendance).

S’il n’est pas question dans cette chronique de revenir sur la pseudo indépendance d’El Djézaïr, - mal gouvernée, elle crève sous sa manne pétrolière qui va en s’épuisant, tout le monde le sait -, mais de dénoncer les collabos qui polluent nos médias et qui peuplent les allées du pouvoir politique et médiatique français. L’occasion nous en est donnée par les scandaleuses manifestations de ces maghrébins d’origine algérienne, notamment dans les rues de Paris, symboliquement le 14 juillet au soir. Que je sache, les Sénégalais, qualifiés eux aussi pour la finale gagnée par les Fennecs, ne sont pas descendus sur la voie publique pour crier leur joie et en profiter, au passage, pour démontrer sinon leur haine, tout au moins leur hostilité au pays qui les abrite, les éduque et les nourri !

Car, redisons-le, en raison de lois iniques, tous les maghrébins d’origine algérienne, de quelque générations qu’ils soient, sont considérés comme étant « français », - entre guillemets pour moi -, en raison du lieu de leur naissance, c’est-à-dire la France. (Utilisons une amusante métaphore champêtre : comme si un lapin, né dans un poulailler, allait pondre des œufs frais !). C’est l’infect jus solis,le droit du sol qu’il faudrait supprimer et remplacer par le jus sanguinis, le droit du sang : « être Français, cela s’hérite ou se mérite » ! Car tous ces pseudos Français descendant dans la rue, couverts de drapeaux algériens ou le brandissant, n’expriment rien d’autre que leur amour pour une équipe qui est réellement la leur, pas le onze tricolore.

« Français » quand ça les arrange ?

Après tout, pourquoi pas ? Mais alors, dans ces conditions, pourquoi sont-ils « Français » ? Pour les avantages que pourraient procurer, à l’étranger, la possession d’un passeport de notre belle république, pour la soupe, les aides sociales diverses et variées ? Comme le disait en toute franchise et sans animosité un supporter Marseillais des Fennecs interrogé sur une chaine d’infos en continu, je cite de mémoire, « ce drapeau est historique, on l’a dans le cœur ! ». Dans ces conditions, pourquoi ces messieurs-dames ne quittent-ils pas ce pays, la France, la Gaule, qui n’est pas le leur ? Pourquoi ne renoncent-ils pas à cette nationalité dont ils vomissent le pays, la distribuant entre parenthèses, TROP généreusement ? Et il se trouve des parlementaires, notamment la sénatrice Esther Ben Bassa par exemple, du groupe écolo, pour stigmatiser à la télévision les défenseurs d’une France française, comme sa collègue de Marseille, socialiste, d’origine maghrébine dont j’ai oublié le nom, ainsi qu’un anonyme député LREM du Val de Marne, qui s’indignait que l’on puisse stigmatiser ces supporters. Eh bien oui, n’est-ce pas, quoi de plus naturel, de plus normal, que des « Français » supportent, parfois dans la violence et même dans l’homicide,* la victoire d’une équipe étrangère ? Combien de pseudos journalistes se sont engouffrés dans cette brèche, en s’indignant que des Français « de souche », comme on dit, et pas uniquement membres d’ailleurs du Rassemblement national, puissent trouver anormal que des « compatriotes », parait-il, soutiennent des footeux étrangers ?

Un pouvoir normal se poserait la question de la double allégeance et de la double nationalité. J’ai déjà eu l’occasion de citer cet exemple : ma cousine qui s’est mariée il y a plus de 50 ans avec un Italien, pouvait à la fois voter pour Sarkozy, et pour Berlusconi, - nul n’est parfait -, c’était son choix. Elle vient ENFIN, de renoncer à sa nationalité française et, désormais, ne voter qu’en Italie… (Pour Salvini j’espère !). Les Franco-algériens sont les seuls, les seuls supporters à descendre dans la rue et à manifester, surtout bruyamment, violement, agressivement, la victoire de ceux qui sont, en fin de compte, comme le disait le  « jeune » marseillais interrogé sur C-News ou LCi, je ne sais plus, « du même sang ! ». C’est lui qui utilisait cette formule très « racialiste ». Il serait temps que l’on considère, une bonne fois pour toutes, que la guerre d’Algérie n’est pas terminée, qu’elle se poursuit sur notre sol sous d’autres formes.

« Vérité et réconciliation » ?

Tant qu’une commission mixte d’historiens objectifs, - dur, dur de les trouver -, ne sera pas mise sur pied officiellement et conjointement pour explorer toutes les zones, - ombres et lumières confondues -, de l’histoire franco-algérienne, dans un esprit type « vérité et réconciliation » à la sauce «  Mendela », rien de serein ne sera possible dans les relations, d’une part entre Français de souche et immigrés algéro-descendants et, d’autre part, entre les républiques française et algérienne. Pour ma modeste part, et je ne suis pas un « Pied noir », je considère que le fossé est toujours trop profond entre nos deux pays pour qu’une relation normale et apaisée puisse s’établir entre Paris et Alger, comme c’est peut-être le cas entre Paris et Rabat, Paris et Tunis. Tout le reste n’est que littérature. Il y a certes, nos intérêts économiques et géostratégiques bien compris qui comptent, - et Alger est un partenaire incontournable -, mais nous ne pouvons pas, PLUS, passer par pertes et profits toutes les humiliations, toutes les avanies que nous subissons de la part de ces gens-là.

Qu’ils balayent d’abord devant leur porte ! A mon sens, c’est à ces conditions-là que nous pourrions avoir des relations diplomatiques très amicales, à défaut d’être jamais fraternelles.

*A l’heure où ces lignes sont écrites, il semblerait qu’un universitaire guinéen, considéré parméprise comme étant un supporter sénégalais, ait été brutalement « effacé » du monde desvivants ! (Sources : chaines d’infos en continu).

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dimanche, 21 juillet 2019

Vers l’apocalypse : stress tests bancaires « bidon » et entreprises « zombies »

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Marc Rousset

Les « stress tests » bancaires de l’Autorité bancaire européenne (ABE), basée maintenant à la Défense depuis qu’elle a quitté Londres, sont du « bidon » intégral et ont été officiellement critiqués par la Cour des comptes de l’Union européenne, selon un rapport publié mercredi dernier. Une véritable bombe ! Les médias en ont, évidemment, peu parlé et continuent de nous endormir avec les sempiternelles litanies d’histoires de taux et de « QE » de la Fed, de la BCE, de l’arrivée de la juriste Lagarde qui va miraculeusement sauver les meubles.

Ce n’est pas l’ABE qui calcule les ratios mais, ce qui est ahurissant, les banques elles-mêmes avec des calculs opaques non vérifiés ! Les banques les plus fragiles, les banques restructurées, les banques grecques et italiennes surexposées aux risques sont exclues des tests. Le nombre des établissements soumis aux tests a été divisé par deux en sept ans, soit aujourd’hui seulement 48 banques, contre 90 en 2011, et dans seulement 15 des 28 pays de l’Union europénne. C’est la raison pour laquelle les banques Bankia BFA, Dexia et Banco Popular ont été déclarées en faillite après le passage des inutiles « stress tests ».

Ces tests « hors-sol », pour ne pas affoler les populations, s’intéressent seulement à d’hypothétiques petites récessions à venir et non aux dures réalités de krachs et de descentes aux enfers. Ne sont pas pris en compte, également, ce qui relève de l’escroquerie pour faux bilan, les créances douteuses, appelées benoîtement « crédits non performants », les risques réels de liquidités plus graves et plus probables que les tests axés uniquement sur la solvabilité, comme l’a fait justement remarquer la Banque centrale d’Angleterre, ni les taux négatifs, qui représentent un danger mortel pour les marges des banques. Ce qui permet de faire oublier les 20.000 emplois supprimés dans le monde à la Deutsche Bank, en quasi-faillite, une autre bombe en puissance en Allemagne.

La seule information intéressante de l’ABE, c’est que les banques devront mobiliser 135,1 milliards d’euros de capital supplémentaire d’ici 2027 (demain, on rase gratis !), soit une augmentation minimale des fonds propres de 24,4 %, pour respecter les nouvelles exigences de la BRI (Bâle III).

Comme seule réponse aux observations de la Cour des comptes, la très politique ABE n’a rien trouvé de mieux que de dire qu’elle va réfléchir à ses critères pour les prochains tests prévus en 2020. Quant à Édouard Philippe, il a éludé ces révélations embarrassantes et a simplement exhorté la Commission à défendre les banques européennes face aux banques américaines, tout en plaidant pour l’union des marchés de capitaux dans la zone euro, un rêve souhaitable mais ne pouvant être réalisé que par des gens sérieux.

Et, cerise sur le gâteau, les entreprises zombies sont parmi nous. La zombification de l’économie est en marche. Une entreprise zombie, c’est tout simplement une entreprise cotée en Bourse dont le bénéfice avant impôt et intérêt (EBIT) est inférieur aux intérêts à payer, c’est-à-dire une entreprise non rentable, même avec les taux ridicules actuels. Selon la BRI, les entreprises zombies représentent 10 % des entreprises cotées en Bourse. Les banques préfèrent continuer à les financer que de constater les pertes de créances douteuses dans leur bilan. On imagine l’explosion à venir de ces entreprises si les taux d’intérêt augmentent. En ce qui concerne les TPE et PME, c’est encore plus catastrophique puisque la BCE estime que 30 % d’entre elles sont des entreprises déficitaires en zone euro, contre 20 % aux États-Unis, avec une dette financière des entreprises supérieure à celle de 2008, et 25 % au Royaume-Uni.

C’est la raison pour laquelle Ray Dalio, le fondateur de Bridgewater, le plus gros fonds américain d’investissement au monde, parti de rien et détenteur, aujourd’hui, d’une fortune de 18,4 milliards de dollars, vient de déclarer : « Nous entrons dans un nouveau paradigme, vendez vos actions et achetez de l’or. » Quant à Kenneth Rogoff, ancien chef économiste du FMI de 2001 à 2003, il a pu dire : « Les systèmes tiennent souvent plus longtemps qu’on ne le pense, mais finissent par s’effondrer beaucoup plus vite qu’on ne l’imagine. »

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Le tour de France, c’est politique

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Le billet de Patrick Parment

Contrairement aux apparences, le tour de France cycliste est un événement éminemment politique. Parce qu’il est d’abord une manifestation européenne, gauloise et franchouillarde. Parce qu’il est un regard géographique sur la France des champs et des campagnes. Par ce qu’il est depuis que la télévision en a fait une émission phare, un regard inégalé sur le paysage français et son patrimoine et qui en appelle à ces générations de Gaulois qui ont fait de notre pays ce qu’il est encore aujourd’hui.

C’est-à-dire tout le contraire de ce monde d’immigrés qui n’ont rien à voir avec cette histoire. Si la France de demain devait succomber sous le poids démographique des extra-européens, alors c’en sera bel et bien fini de notre beau pays étant donné que ces « populations » ne seront jamais à la hauteur de notre histoire. Les fossés sont non pas raciaux mais culturels.

Car ce que se garde bien de nous montrer ces reportages épurés d’images dérangeants, c’est que la plupart de ces villes que traverse le tour de France sont gangrenées par une immigration qui rend villes et villages de moins en moins sécures et bien souvent en proie à l’islamisation.

Là où le tour de France est aussi éminemment politique, c’est dans les populations qui viennent applaudir les coureurs où l’on note surtout l’absence de ces populations exogènes issues pour la plupart du Maghreb, d’Afrique subsaharienne ou des races dérivées du continent indien.

Eminemment politique encore ces foules franchouillardes qui sont aussi celle des Gilets jaunes, de tous ces mouvements qualifiés d’extrême droite sans compter le gros des troupes du Rassemblement national. Bref, tous ces réfractaires d’une France qu’on voudrait nous faire croire multiraciale quand ces « minorités » demeurent encore minoritaires ! Mais, la bien-pensance à l’œuvre dans les médias est aussi et surtout celle du parti pro-immigrés, d’une anti-France au masochisme malsain.  

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Daria Douguine : "le concept de tolérance a été créé pour détruire l'identité européenne"

Comment la Russie observe l'Europe...

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samedi, 20 juillet 2019

« Sadic » Khan et les nouveaux égorgeurs de Londres

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Bernard Plouvier

Tout le monde le sait, nos paisibles immigrés algériens ont ravagé, ces jours derniers, quelques quartiers de Paris, Lyon, Nantes (entre autres lieux festifs) dans les suites d’une victoire sportive de la République algérienne, où les activités mafieuses sont plus connues que les exploits sportifs.

On comprend que les « jeunes » aient voulu célébrer l’événement. Ils l’ont fait à leur façon : pillages, incendies de voitures, attaques de commissariats et caillassages des voitures de police et de pompiers, agressions physiques diverses – les femmes violées n’osent même plus porter plainte, d’autant que les « forces de l’ordre » macroniennes ne sont guère intéressées : les grands patrons carriéristes nagent dans le sens du courant de Fringant Jeune Président.

Eh bien, il en va de même à Londres ! Les journaux qui ne pratiquent pas l’auto-censure sur l’immigration exotique – le Brexit connaîtrait même un regain de ferveur – évoquent la « perte de la maîtrise des rues dans certains quartiers du Grand Londres ». Bref, il y a des zones de non-droit chez Britannia, comme à Marseille, Roubaix, Rouen, Saint-Étienne, Toulouse etc.

Il faut dire que la Perfide Albion nous avait précédés en matière d’émeute raciale. Lorsque François le Mondialiste (rien à voir avec François II, le Gras) était arrivé à Londres, pour sa première visite officielle, cornaqué par son petit génie Attali, en 1981, il avait assisté à une émeute de Jamaïcains…  il aurait pu tomber sur une émeute de Pakistanais ou d’Ougandais : on vit avec la racaille qu’on importe.   

Chacun se souvient qu’en mai 2016, un avocat politicien travailliste est devenu Lord-maire de Londres, avec le soutien d’une grosse partie de l’électorat de souche européenne : le mahométan de souche pakistanaise Sadiq Khan, dont la femme s’exhibe voilée dans sa limousine… à quand la burka et le burkini ?

Or, les chiffres de la criminalité & de la délinquance londoniennes sont tombés en ce beau mois de juillet. En trois années de fonction, l’équipe du maire mahométan a remporté le grand prix du chaos. Les agressions au couteau – certes bien connues dans la ville de Jack, The Ripper, mais sur un mode occasionnel et somme toute artisanal – ont explosé de 52%, dépassant un peu les 108 000 en trois ans. Les cambriolages ont crû de 17% ; c’est une simple peccadille, car les vols avec agression physique ont augmenté de 59%.

Comme Washington, avant qu’une équipe énergique décide de la nettoyer grâce au sain principe de « la tolérance zéro » (très peu apprécié du crypto-islamiste Barak Hussein Obama, allez savoir pourquoi ?), Londres est devenue capitale du crime et de la violence. Le jeu de mots sur le nom du Lord-maire circule sur toutes les lèvres tuméfiées.

Encore un effort dans la régression sociale et le Paris macronien rivalisera avec le Londres des nuits sadiques, pour la plus grande joie de la racaille inutilement importée.  

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La niaiserie journalistique française

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A propos, il reste quelques albums

Apocalypse Flamby d'Ignace cliquez là

 

Lu sur Forum SI :

CAN : L’ALGÉRIE GAGNE LA COUPE ET LA RÉPUBLIQUE HUMILIE LA NATION FRANÇAISE

Le vendredi 19 juillet en fin de soirée, l'Algérie a gagné la Coupe d’Afrique des nations et des milliers de supporters algériens déchaînés ont immédiatement occupé les Champs-Elysées, de même qu’ils descendaient dans les rues d’autres grandes villes françaises, par exemple à Marseille.

A l’heure où ces lignes sont écrites, soit le 20 juillet à 0 heure 10, aucun incident grave n’a encore été signalé. Mais le vrai problème n’est pas là. Il est que, alors que la République interdit aux Gilets jaunes, c’est-à-dire à des Français qui sont ici dans leur propre pays, de manifester sur les Champs-Elysées, elle laisse une population étrangère encercler l'Arc de triomphe, soi-disant pour « exprimer sa joie ».

Tout ceci est scandaleusement immonde. Une fois de plus, la République montre à quel point elle déteste la France et les Français.

09:01 Publié dans IGNACE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

A propos de l'Algérie : « Ils ne sont grands que parce que nous sommes à genoux »

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Bernard Lugan

Cette phrase d’Etienne de la Boétie résume la relation franco-algérienne. A chaque fois qu’il est en difficulté, le « Système » algérien sort en effet le joker-martingale de l’accusation de la France, sachant qu’il sera immédiatement relayé par les héritiers des « porteurs de valises », ethno-masochistes buvant goulûment au calice de la repentance et de la contrition.

Le 15 juillet dernier, montrant en cela qu’il n’est pas encore mentalement décolonisé, Mohand Ouamar Bennelhadj, membre essentiel du « Système » algérien puisqu’il est le secrétaire général par intérim de l’ « Organisation nationale des moudjahidines », les « anciens combattants », a ainsi appelé le parlement algérien à voter une loi criminalisant la colonisation française. Il a en outre demandé que cette loi ouvre la voie à des « compensations », osant écrire que les Français ont « génocidé » les Algériens et que, après avoir pillé le pays, ils « n’ont laissé ici que des broutilles, des choses sans valeur».

Ces accusations ne relèvent pas de l’anecdote. Ce n’est pas de sa propre initiative que ce pâle apparatchik dont l’association constitue le pivot du « Système » et dévore 6% du budget de l’Etat -plus que ceux des ministères de l’Agriculture (5%) et de la Justice (2%)-, a lancé ces accusations gravissimes. Depuis deux ou trois semaines, acculé par la rue, le général Gaïd Salah a en effet ordonné qu’une offensive anti-française destinée à tenter de faire dévier la contestation populaire soit lancée. Face à cette véritable déclaration de guerre, le président Macron garde un étourdissant silence…

Alors, puisque, comme ils en ont hélas l’habitude, les « lapins de coursive » qui dirigent la France se tairont, il est donc nécessaire que les « réseaux sociaux » s’emparent de l’affaire, à la fois pour exiger une réponse officielle des autorités françaises, et pour « remettre les pendules à l’heure ».

En 1962, la France a légué à l’Algérie un héritage exceptionnel et non des « Broutilles » et des « choses sans valeur », à savoir 54 000 kilomètres de routes et pistes (80 000 avec les pistes sahariennes), 31 routes nationales dont près de 9000 kilomètres étaient goudronnés, 4300 km de voies ferrées, 4 ports équipés aux normes internationales, 23 ports aménagés (dont 10 accessibles aux grands cargos et dont 5 qui pouvaient être desservis par des paquebots), 34 phares maritimes, une douzaine d’aérodromes principaux, des centaines d’ouvrages d’art (ponts, tunnels, viaducs, barrages etc.), des milliers de bâtiments administratifs, de casernes, de bâtiments officiels, 31 centrales hydroélectriques ou thermiques, une centaine d’industries importantes dans les secteurs de la construction, de la métallurgie, de la cimenterie etc., des milliers d’écoles, d’instituts de formations, de lycées, d’universités avec 800 000 enfants scolarisés dans 17 000 classes (soit autant d’instituteurs, dont deux-tiers de Français), un hôpital universitaire de 2000 lits à Alger, trois grands hôpitaux de chefs-lieux à Alger, Oran et Constantine, 14 hôpitaux spécialisés et 112 hôpitaux polyvalents, soit le chiffre exceptionnel d’un lit pour 300 habitants. Sans parler d’une agriculture florissante laissée en jachère après l’indépendance, à telle enseigne qu’aujourd’hui l’Algérie doit importer du concentré de tomates, des pois chiches et de la semoule pour le couscous…

Tout ce que la France légua à l’Algérie avait été construit à partir du néant, dans un pays qui n’avait jamais existé et dont même son nom lui fut donné par la France. Tout avait été payé par les impôts des Français. Daniel Lefeuvre a montré qu’en 1959, toutes dépenses confondues, l’Algérie engloutissait 20% du budget de l’Etat français, soit davantage que les budgets additionnés de l’Education nationale, des Travaux publics, des Transports, de la Reconstruction et du Logement, de l’Industrie et du Commerce !

Tous les arguments permettant de réfuter la fausse histoire de l’Algérie écrite par les profiteurs du « Système » se retrouvent dans mon livre Algérie, l’histoire à l’endroit.

Source cliquez ici

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vendredi, 19 juillet 2019

L’impasse libérale par Philippe Arondel

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Franck Abed

Philippe Arondel, économiste et philosophe, a travaillé au bureau d’études de la CFTC (Confédération Française des Travailleurs Chrétiens). Il est actuellement l’une des voix de Fréquence protestante dans l’émission culturelle quotidienne Midi Magazine. Il a publié plusieurs ouvrages dont L’homme-marché. Son dernier essai lui donne l’occasion de revenir sur le libéralisme, et de contredire l’affirmation selon laquelle le capitalisme et le catholicisme peuvent faire bon ménage.

Dès la première page du livre, pour introduire son propos, il nous soumet une pertinente interrogation : « Et si, sans en avoir toujours une perception aiguë, nous nous dirigions, lentement mais sûrement, vers une sorte de fin de l’histoire où la marchandise dicterait sa loi à toutes les relations humaines, sur fond de société du spectacle mortifère? » En réalité, les observateurs ayant une saine vision de l’actualité savent que nous vivons déjà dans cette époque, qui érige l’insupportable marchandisation de l’homme en valeur fondatrice. Heureusement que l’Eglise, par la voix des Papes et de sa Doctrine Sociale, avait critiqué avec véhémence dès le XIXsiècle le libéralisme, tout en proposant une autre vision de l’économie : une économie au service de l’homme, de tous les hommes, de tout l’homme.

En définitive, ce n’est donc pas par hasard qu’Arondel pose une deuxième question qui fait écho à la première : « Et si, à chaque instant, via les scansions improbables d’une économie libérée de toute tutelle éthique, nous étions les témoins effarés de l’émergence d’une société de marché visant ni plus ni moins à en finir avec une certaine anthropologie humaine souvent affublée du terme méprisant et polémique de traditionnelle ? » Non seulement, nous sommes les témoins impuissants et les victimes de ce changement de paradigme imposé par les libéraux (au sens large et convenu du terme), mais en plus rien ne semble pouvoir arrêter cette mécanique implacable.

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Brandir un drapeau est un acte éminemment politique

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Par Malika Sorel*

LE FIGARO. - Dimanche dernier, après la qualification de l’Algérie, il y a eu 282 interpellations suite aux désordres causés par des supporteurs algériens. Doit-on y voir de simples « débordements » liés à la liesse ou le symptôme d’un malaise plus profond ?

Malika SOREL. - Ce n’est pas la première fois qu’on observe ce phénomène, et cela prend une ampleur inquiétante, du fait du nombre de personnes enclines à braver l’ordre républicain. Par ailleurs, hisser ou planter un drapeau n’est jamais anodin. C’est un acte éminemment politique qui symbolise, tout comme l’hymne national, un ancrage moral, l’attachement à un socle de principes et de valeurs, et bien sûr un enracinement sentimental. Brandir le drapeau sous le nez de l’ancien pays colonial, c’est l’expression d’une revanche sur l’Histoire. Une revanche qui s’est trouvée légitimée par le candidat Macron lorsqu’il a accusé la France de « crime contre l’humanité ». L’Occident freudien justifie, excuse, et son monde politique affiche au grand jour sa trouille des « jeunes » de l’immigration. Il est donc perçu comme accommodant, conciliant, peureux : traduire « dévirilisé ». Cet Occident n’inspire plus ni respect ni crainte, sentiments ici intimement liés. Est désormais profondément ancrée la conviction que pour obtenir, il faut faire peur ; terrible spirale !

Au-delà des violences, comment expliquez-vous ce besoin d’afficher bruyamment leur identité d’origine pour des jeunes souvent nés en France ?

C’est bien la démonstration que la naissance en France n’est pas un critère d’analyse pertinent ! L’arrivée continue de migrants produit un réenracinement dans les mœurs d’origine. L’intégration s’est dégradée dans le temps avec le refus croissant de respecter les principes républicains, à commencer par la laïcité et la liberté qui permet à chacun de choisir sa propre vie. Ce sont les femmes qui en subissent de plein fouet les conséquences. J’ai souvent pensé que si les menaces avaient pesé en priorité sur les hommes, nos gouvernants auraient su réagir promptement. Afficher son identité d’origine, c’est montrer son allégeance et ainsi avoir la paix, car à mesure que l’État cédait aux revendications commnautaires, le groupe culturel d’origine accroissait sa pression – voire sa répression – sur chacun des membres supposés lui appartenir. C’est la capitulation de l’État qui pousse un nombre croissant de personnes de l’immigration à tourner le dos à l’intégration culturelle. Autre faute: avoir installé une prime à la non-assimilation. Du fait des politiques de discrimination positive progressivement mises en place, s’afficher ou se revendiquer de la « diversité » peut parfois faire office de coupe-file. Il n’y a plus vraiment de raison pour que les enfants de l’immigration s’assimilent. Or, le gouvernement prévoit d’intensifier ces politiques.  

« C’est un pauvre cœur que celui auquel il est interdit de renfermer plus d’une tendresse », expliquait Marc Bloch dans L’Étrange Défaite. Peut-on reprocher aux enfants de l’immigration leur fierté pour leurs origines ? Celle-ci est-elle incompatible avec le respect, voire l’amour, de la France ?

Nul n’interdit de renfermer plusieurs tendresses dans son cœur, mais Marc Bloch disait bien plus important: que la France était la patrie dont il ne saurait déraciner son cœur et qu’il s’était efforcé de la défendre de son mieux. Il est mort pour la France! Nous ne sommes pas du tout dans la même situation. Nombre de parents éduquent leurs enfants dans un respect quasi religieux de leur pays d’origine. Et c’est lui qui devient ainsi le vrai pays de leurs enfants. Un pays qui n’a rien fait pour eux et qu’ils adulent. Quant à la France, c’est elle qui leur a donné ce qu’ils possèdent, les prend en charge si besoin... Le problème n’est donc pas économique, et l’amour ne se décrète ni ne s’achète ! Le passé douloureux de la France se trouve constamment remis sur le devant de la scène, et il n’est plus question que de lutte contre des discriminations et une « islamophobie » dont les Français de souche se rendraient coupables. Des lois sont votées pour contraindre l’expression et empêcher ainsi les Français de dire ce qu’ils ont sur le cœur. Il ne fait plus bon être français dans ce pays que je ne reconnais plus. Mon chagrin est infini.

Dans votre dernier livre notamment, Décomposition française, vous montrez toute la complexité du processus d’assimilation. Est-ce toujours un choix douloureux ?

Oui. S’assimiler à un autre peuple que celui de ses ancêtres est une décision personnelle, intime, qui se joue entièrement sur le registre affectif et moral. Au sein d’une même famille, et évoluant dans un même environnement, certains enfants s’assimilent, d’autres pas. Cette problématique dépasse par ailleurs largement l’approche simpliste et nuisible de l’origine des prénoms. Ayant travaillé à l’intérieur du système politique et administratif, je peux témoigner du fait que beaucoup de ceux qui ont participé à mener la France dans la situation actuelle portaient des prénoms chrétiens.

Vous plaidez plutôt pour l’intégration...

Je plaide pour la reconnaissance du fait  que l’intégration est un processus à l’issue non prédictible qui peut déboucher ou pas sur une assimilation. Or le code civil, qui imposait que l’octroi de la nationalité française soit subordonné à l’assimilation, a été violé. La citoyenneté a été vidée de sa substance. Plus grave encore, les papiers d’identité confèrent un droit de propriété sur la terre. Les élites ont donc disposé de la France comme si elle leur appartenait en propre, ce qui est contraire au principe démocratique inscrit dans la Constitution : « Le gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple ».

François Hollande, dans Un président ne devrait pas dire cela, évoquait le risque de la partition. Comment l’éviter ?

J’ai abordé à maintes reprises la liste des erreurs à éviter et des politiques à déployer. L’urgence ici, c’est d’alerter sur deux projets en cours qui pèseront sur la cohésion nationale. Le président a évoqué l’idée d’une organisation de l’« Islam de France ». L’opération a déjà commencé dans les territoires avec une circulaire adressée aux préfets par le ministre Castaner. L’expérience montre que le risque existe que certains membres partagent de près ou de loin des idéologies incompatibles avec la République. Or, la défense de l’intérêt général commande non pas le placement sous tutelle d’une partie des descendants de l’immigration, mais au contraire leur émancipation pour qu’ils puissent vivre leur religion dans sa seule dimension de foi, donc dépouillée de ses dimensions politiques. Par ailleurs, en reconnaissant récemment les diasporas africaines, le président donne corps à l’existence de plusieurs peuples sur un même territoire : les diasporas sont des peuples qui gardent un sentiment de leur unité malgré l’éclatement géographique (Dominique Schnapper). Il accélère, là aussi sans le vouloir, la partition de la France. Qui saura lui faire entendre raison? Il y a urgence.

(*) Décomposition française. Comment en est-on arrivé là ? (Fayard) a reçu le prix Honneur et Patrie de la Société des membres de la Légion d’honneur.

Source : Le Figaro 19/07/2019

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Le nouveau num&ro d'Eléments en vente à partir du 20 juillet

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Ni CETA ni TAFTA : Stop au libre-échange !

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Communiqué de la Dissidence française :

Mardi prochain sera examiné à l’Assemblée Nationale le projet de ratification du CETA, traité de libre-échange global entre l’Union Européenne et le Canada. Négocié en coulisses, soutenue par la majorité LREM et le gouvernement Macron, ce texte a pour ambition de faire tomber les barrières douanières entre les espaces économiques européen et canadien, et de développer le commerce international au nom de l’idéologie du libre-échange.

Dans les faits, ce traité exposera notre économie – et en particulier notre modèle agricole – au dumping social, fiscal et environnemental exercé par les entreprises canadiennes qui ne sont pas tenues par les mêmes règles que les entreprises françaises. Le CETA prévoit également, dans la droite ligne des préconisations de la Commission Européenne, l’ouverture à la concurrence des services publics et donc, à terme, leur démantèlement. Pire, ce texte offrira la possibilité aux multinationales d’attaquer en justice les Etats grâce à un « Système de Cour sur l’Investissement » (ISC) : les lobbies financiers et industriels pourraient ainsi faire condamner des Etats souverains, coupables d’avoir adopté des mesures (nommées « barrières non-tarifaires ») qui entraveraient le commerce transatlantique (telles que l’interdiction des OGM, la prohibition des farines animales ou du glyphosate, et évidemment la mise en oeuvre d’une politique protectionniste). Il est par ailleurs évident qu’en accroissant les flux commerciaux et les exportations transatlantiques, et donc le transport naval de marchandises, ce traité contredit les ambitions prétendument écologistes du gouvernement.

En résumé, le CETA – à l’instar du TAFTA, le traité transatlantique UE/USA – constitue un texte éminemment favorable aux grandes multinationales au détriment des peuples européens, de nos entreprises et de notre agriculture. Contre cette logique libérale et mondialiste, la Dissidence Française propose l’abandon immédiat des négociations de ratification du CETA et du TAFTA, l’instauration d’une politique protectionniste et localiste qui favorise les circuits courts par la détaxation de proximité, qui protège nos entreprises de la concurrence déloyale en taxant les importations, et qui assure une relocalisation des activités économiques par une baisse drastique de la pression fiscale qui pèse sur les PME.

Pour la France et les Français d’abord ! 

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jeudi, 18 juillet 2019

Ignace fait la différence...

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A propos, il reste quelques albums

Apocalypse Flamby d'Ignace cliquez là

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L’affaire de Rugy où l’extrême vulnérabilité du pouvoir

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Le billet de Patrick Parment

Je n’ai aucune sympathie particulière pour monsieur de Rugy qui est à l’écologie ce que le hamburger est à la haute gastronomie. Mais je me pose la question de savoir quel crime il a commis pour bénéficier d’un tel acharnement médiatique ? Acharnement qui a abouti à sa démission. La réalité veut qu’il n’a commis aucun délit relevant des tribunaux. Il a vraisemblablement invité une bande de potes à faire ripaille en l’hôtel de Lassay dont il était l’éphémère locataire. Une bonne bouffe comme en font tous les ministres aux frais du contribuable. Est-ce pour autant un crime, d’autant que l’hôtel de Lassay est réputé pour sa cave fort bien achalandée depuis un certain… Jacques Chaban-Delmas.

La fonction crée le larron. L’affaire de Rugy, ce n’est pas l’affaire Benalla et autre Cahuzac. La question qui n’a pas été posée dans cette affaire, c’est le rôle joué par Mediapart. Car sur le fond, c’est l’histoire d’un ragot de chiottes. Et des chiottes, Edwy Plenel, son fondateur, en a fait son bureau depuis des lustres. Plenel, c’est un journaliste délateur fort bien connu pour ses accointances avec la famille Poulaga.  Donc, dans cette histoire, qui ne relève en rien des tribunaux mais bien du fait divers, il serait intéressant de savoir qui a balancé à Mediapart les photos dudit gueuleton dans l’intention évidente de nuire au sieur de Rugy. Et surtout à ce média dont l’extrême conscience de gauche – de celle qui lave plus blanc que blanc – n’est plus à démontrer.

Le plus étonnant aussi est que ni le Président, ni le Premier ministre ne sont montés au créneau pour le défendre et surtout en savoir plus sur cette affaire de Pieds-Nickelés. Mais surtout de ne pas baisser son froc face aux ragots colportés par Mediapart et le sourire méphistophélique d’Edwy Plenel en appelant à une transparence qu’il se garde bien d’appliquer à lui-même au nom de sa fluctuante déontologie. Ne pas faire un bras d’honneur aux médias et aux réseaux sociaux montre bien l’extrême vulnérabilité du pouvoir en place. Comble du bonheur... face à lui, il n'y a personne !

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Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

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10:10 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |