dimanche, 09 décembre 2018
Les Brigandes ont fait un tabac dimanche après midi à Rungis lors de la journée de Terre et peuple
Si l'on en croit l'applaudimètre, Les Brigandes ont donné un
grand moment de bonheur au public nombreux de Terre et peuple
Pierre Vial et la direction de Terre et peuple sont satisfaits de la Table-ronde qu'ils ont organisée ce dimanche à Rungis et ils ont bien raison.
Pourtant, compte tenu des événements qui se déroulent actuellement à Paris et en provinces, ils avaient de bonnes raisons d'être inquiets. Mais ceux-ci n'ont pas empêché le public de venir beaucoup plus nombreux que d'habitude assister à ce rendez-vous annuel. Ce d'autant plus que la journée était agrémentée par un très attendu concert du groupe fétiche de la Droite nationale, les fameuses Brigandes qui a donné devant une salle bondée et enthousiaste un concert de grande qualité. Aujourd'hui unanimement appréciées dans les milieux nationaux et identitaires, et cela malgré une mauvaise campagne de calomnies lancée par quelques esprits chagrins il y a quelques années, Les Brigandes ont fait très fort, ce dont nous pouvons tous nous féliciter... Rappelons qu'il y a trois ans, dans la même salle lors d'une Journée de Synthèse nationale cliquez là, elles se produisaient pour la première fois en région parisienne.
Nous reviendrons dans les jours qui viennent sur cette belle journée qui marque indéniablement le grand retour de Terre et peuple sur la scène nationale...
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Ces autistes qui nous gouvernent
Le billet de Patrick Parment
Jacques Chirac qui était un vrai castra politique avait pour lui d’avoir un certain flair qui consistait à baisser son froc plus vite que son ombre dès que la rue grondait. Alain Juppé, autre eunuque politique, en sait quelque chose quand en décembre 1995, Chirac lui coupa l’herbe sous le pied de sa réforme pour calmer la rue en proie aux manifs depuis trois semaines. Cela n’induit pas pour autant que Chirac aimait le peuple chez qui il ne voyait, en fait, que des électeurs. Le cul des vaches était chez lui une notion marketing.
Emmanuel Macron n’est pas du même bois : il est autiste. Voici quatre semaines que le peuple est dans la rue aux quatre coins de la France et voici quatre semaines qu’il se mure dans le silence. Ce qui veut bien dire qu’il ne comprend rien à cette colère des Français. Car c’est bien de colère qu’il s’agit. Les gilets jaunes ne sont pas un parti politique et refuse de nommer des représentants, car cela reviendrait à entrer dans un jeu politicard. Ce qu’ils refusent avec raison a bien été analysé par des intellectuels comme Vincent Coussedière, Alain Finkielkraut, Christophe Guilluy, Michel Onfray et quelques autres et parmi les journalistes, des femmes, pas vraiment féministes d’ailleurs, comme Elisabeth Lévy, Natacha Polony, Eugénie Bastié, Charlotte d’Ornellas. Quant à nos politiques les seuls qui arrivent encore à surnager sont à côté de la plaque. Marine Le Pen invite le président à s’exprimer – mais manifestement il n’a rien à dire - et Mélenchon, en bon politicard, demande la dissolution de l’Assemblée. La ficelle est un peu grosse, camarade Méchancon ! Mais Macron n’est pas Chirac version 1997. Laurent Wauquiez, quant à lui, navigue dans le flou de la "Carte du tendre".
Plus Macron se taira, plus dur sera la sortie de crise. S’il avait deux sous de bon sens, il proposerait des états généraux départementaux qui réuniraient les élus (maires, conseillers municipaux et généraux, députés) et les gilets jaunes avec leur cahier de revendications. Ce qui pourrait déboucher sur un cahier de doléances qui remettrait en selle ces corps intermédiaires que sont les élus face au pouvoir. Car, contrairement à ce que l’on peut entendre, ici et là, les gilets jaunes ne veulent pas l’abolition de la République comme on a pu l’entendre sur les ondes par certains journalistes mainstream. Ils veulent des gouvernants responsables susceptibles d’organiser dans ce pays une plus juste répartition des richesses. Richesses dont ils sont l’un des moteurs plus opérants et plus réels que la Bourse. Ce que veulent les gilets jaunes, c’est plus de liberté dans le travail pour entreprendre et qu’on en finisse avec toutes ces normes absurdes qui asphyxient le travail et les taxes qui grèvent les budgets familiaux. Sans parler de l’arrêt des surréalistes diktats bruxellois ! Ce qui devrait déboucher non sur l’abolition mais bien la refonte de notre système économique et social à l’aune des nouvelles donnes que sont l’immigration massive et l’impérative transition écologique.
Mais bigre, les Gilets jaunes, c'est NOUS !
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Journal du chaos
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Jean-Pierre Maugendre : « Les auteurs présents à la fête du livre de Renaissance catholique ont pour dénominateur commun le refus de l’utopie »
Propos recueillis par Gabrielle Cluzel pour Boulevard Voltaire cliquez ici
Ce dimanche 9 décembre se tient, à Villepreux, la grande vente de livres de Renaissance catholique. C’est certainement une des plus grandes séances de dédicace de la région parisienne… Il y a donc encore des Français qui lisent sur de vrais livres en papier ?
Effectivement ! Cela pour la raison bien simple qu’il existe encore des Français qui ont le goût, ou éprouvent la nécessité, de la réflexion, de l’apprentissage et de l’enracinement. Or, la lecture d’un livre reste l’outil privilégié de l’étude. Le livre est fidèle, il demeure. On peut le relire, l’annoter : « Celui qui lit sans crayon à la main dort » (Voltaire). On le lit à son rythme, prenant le temps de l’assimiler, voire de le méditer. On peut se déplacer avec et le prêter. L’ordinateur n’est pas conçu pour de longues heures de face-à-face. Or, ce face-à-face est nécessaire pour se pénétrer d’une pensée, acquérir un niveau de connaissances qui ne soit pas uniquement un vernis superficiel pour dîners mondains et effets de manche en clôture de banquets républicains.
« Enseigner à lire, telle serait la seule et véritable fin d’un enseignement bien entendu ; que le lecteur sache lire et tout est sauvé ! » écrivait, il y a déjà un siècle, Charles Péguy. C’est dire que le mal dont nous souffrons n’est pas si moderne que cela. Notons, enfin – car c’est bien le fond, non exprimé, de votre question -, que la lecture est surtout supérieure à l’audiovisuel en ce que ce dernier exerce une fascination plus qu’il ne forme l’esprit à réfléchir. L’image, et en particulier l’image animée, fascine pour des raisons physiologiques parfaitement connues des médecins.
Mais cette journée n’est pas seulement une « vaste librairie », il y aura aussi des conférences. Quel thème et quels orateurs avez-vous choisis cette année ?
La loi du genre est que nous donnons la parole à des auteurs qui ont publié des livres récemment et dont nous pensons que la présence et l’intervention sont à même de susciter l’intérêt du public. Ainsi, nous accueillerons cette année Éric Zemmour pour son ouvrage Destin français. Quand l’Histoire se venge, François-Xavier Bellamy à l’occasion de sa réflexion philosophique sur Demeure, pour échapper à l’ère du mouvement perpétuel, et enfin Philippe de Villiers, auteur déjà célèbre du Mystère Clovis. Nous sommes, là, sur des ouvrages de fond qui manifestent de manière très concrète la résistance à la pensée unique qui enfle chaque jour et est en train d’inverser les rapports de force en France dans le domaine intellectuel. L’immense atout dont nous disposons est que nous ne sommes pas des idéologues, nous défendons la réalité des faits et, un jour ou l’autre, plus ou moins humide, la vérité finit toujours par sortir du puits. En septembre 2017, le quotidien Le Monde avait organisé, avec Régis Debray et Edgar Morin, un colloque intitulé : « Politique : la fin des utopies ? » Même s’il s’agissait d’une question, le simple fait qu’elle ait été posée manifestait que les utopies constructivistes popularisées par Thomas More (L’Utopie) ou Campanella (La Cité du soleil), réactualisées par les activistes de Mai 68 et les idéologues de tous poils, ne sont plus à l’ordre du jour. Il me semble que le dénominateur commun de la centaine d’auteurs qui nous feront l’amitié et l’honneur d’être présents à Villepreux, le 9 décembre prochain, c’est ce refus de l’utopie. Il existe une réalité, une vérité en philosophie, en politique, en histoire – je pense à l’excellent livre de Jean Sévillia : Les Vérités cachées de la guerre d’Algérie – en sociologie, dans le domaine religieux, etc., dont la manifestation et la mise en œuvre sont la condition de l’harmonie de la vie en société. Le centième anniversaire de la naissance d’Alexandre Soljenitsyne ravive opportunément, en cette période, l’importance de cette recherche et de ce service de la vérité dans la vie sociale.
Ce foisonnement disparate favorise les contacts, non seulement entre lecteurs mais aussi entre auteurs – célèbres ou moins connus – dont le point commun est une pensée plutôt dissidente mais qui, habituellement, s’ignorent… Cette impossible union, que l’on attend comme Godot en politique, vous la mettez en œuvre, l’espace d’un jour, en littérature ?
Il est un fait que notre fête du livre est l’occasion, unique pour certains, de rencontrer des personnes qu’ils connaissent de nom, qu’éventuellement ils apprécient, mais qu’ils n’ont pas l’occasion de rencontrer dans leurs cercles habituels. Nous ne sommes la succursale d’aucun parti politique ni la sacristie d’aucune chapelle. Dans l’amitié française et l’espérance chrétienne, tous les auteurs et participants qui le souhaitent et se reconnaissent dans la tradition religieuse, intellectuelle et politique de notre pays sont les bienvenus. Il est certain qu’au fil du temps, en raison justement de cette indépendance, qui est un affranchissement vis-à-vis des structures mais en aucun cas un syncrétisme religieux ou un relativisme politique et sociétal, de nombreuses personnes, aux opinions et choix parfois différents, ont pris plaisir à se retrouver ou à faire connaissance à cette occasion. La variété des communautés religieuses représentées est le signe le plus éclatant, et manifeste, de cet état de fait. Rajoutons, enfin, que la qualité esthétique et patrimoniale du lieu qui nous reçoit facilite ces rencontres et cette communion au service du vrai, du beau et du bien.
00:36 Publié dans Livres, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 08 décembre 2018
Dimanche 9 décembre, on se retrouve tous à Terre & peuple !
18:43 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine
12:53 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Contre le Pacte de Marrakech
Communiqué de la Dissidence Française
Il doit être signé le 10 décembre prochain par le gouvernement de Macron : le Pacte de Marrakech, ou plus exactement « Pacte mondial des Nations Unies pour des migrations sûres, ordonnées et régulières« , est un traité international visant à faciliter la « circulation », « l’installation » et « l’intégration » des populations immigrées en Europe.
Concrètement ce traité, signé par près de 190 pays, marque une étape majeure dans la marche forcée vers un monde sans frontières et l’effacement des identités nationales sacrifiées sur l’autel des « droits de l’homme » et du mondialisme cosmopolite. Le texte prévoit notamment d’encourager les dispositifs d’intégration, d’étendre les droits à la protection sociale à l’ensemble des migrants, de faire disparaître la notion d’immigration clandestine ou encore de censurer les propos incitant à la « stigmatisation » et à la « discrimination ».
En clair, ce texte pose les bases d’un droit international qui dénient aux nations leurs droits fondamentaux à la souveraineté, à l’indépendance et à l’identité. Alors que notre pays accueille déjà chaque année près de 300 000 immigrés supplémentaires malgré une précarité, un endettement public et un taux de chômage en constante augmentation, le gouvernement Macron s’apprête à signer ce traité qui ne fera que désarmer encore davantage la France face à une pression migratoire – notamment afro-maghrébine – qui ne pourra que s’accentuer dans les années à venir.
Avançant à contre-courant du mondialisme cosmopolite, les nations du groupe de Visegrad (Hongrie, Pologne, République Tchèque, Slovaquie) ont fait savoir le refus de signer ce traité, et ont notamment été rejoint par l’Autriche, la Bulgarie, l’Estonie ou encore l’Italie.
Nous appelons à la mobilisation contre la signature de ce traité par le gouvernement français. Face au Grand Remplacement et à la sédition communautariste, le programme de la Dissidence Française cliquez ici formule des propositions claires pour endiguer la submersion migratoire, organiser une politique de remigration et tuer le multiculturalisme avant qu’il ne nous tue :
- Rétablissement intégral et permanent du contrôle aux frontières, la suspension des Accords de Schengen, et l’abolition du droit d’asile ;
- Expulsion systématique des immigrés clandestins et des prétendus demandeurs d’asile présents sur le territoire national ;
- Lutte contre les filières d’immigration clandestine en coopération avec les États d’Afrique du Nord, et l’obligation d’effectuer les demandes de visas ou de titres de séjour depuis le pays d’origine, et non sur le territoire national ;
- Refondation du principe de nationalité, avec la réintroduction du droit du sang pour l’acquisition de la nationalité Française et la fin du regroupement familial ;
- Expulsion systématique des étrangers ou binationaux ayant commis un crime ou un délit sur notre territoire ces 10 dernières années ;
- Lutte contre le communautarisme, en refusant les financements publics ou étrangers des mosquées, et en fermant les mosquées où sévissent les prêcheurs salafistes ;
- Instauration immédiate de la préférence nationale, en réservant en priorité les offres d’emplois, de logements, de formation et d’allocations sociales aux Français et non aux étrangers.
Pour la France et les Français d’abord !
Source cliquez ici
12:00 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Macron n'ira donc pas à Marrakech... mais signera quand même
Source Valeurs actuelles cliquez ici
Décision. Le chef de l’État devait prochainement ratifier un pacte mondial sur les migrations piloté par l’ONU, par ailleurs très décrié. En pleine crise des “gilets jaunes”, il va finalement déléguer la tâche.
Tandis que les « gilets jaunes » s’apprêtent à participer à l’acte IV de leur mobilisation, à Paris, samedi 8 décembre, Emmanuel Macron n’ira finalement pas, comme prévu, à Marrakech (Maroc) les 10 et 11 décembre prochains, où il était censé ratifier un pacte onusien sur les migrations. Pas de quoi calmer les ardeurs de certains manifestants, qui voient en ce texte la porte ouverte à tous les migrants, d’autant plus que c’est le secrétaire d’État aux Affaires étrangères qui le signera pour lui, rapporte Libération ce vendredi.
Une ratification en catimini ?
Le désistement du président Macron aurait suscité une « grande déception » du côté du Maroc, qui voit dans cette conférence un « moment historique », selon une source diplomatique locale. Ce changement de dernière minute peut être vu comme une stratégie de la part du chef de l’État, qui sait l’impopularité du pacte en question dans les rangs des « gilets jaunes ». Pourtant, l’idée est bel et bien de ratifier ledit texte, qui a déchaîné les passions depuis son adoption en juillet dernier à New York. Aujourd’hui, seuls deux tiers des quelque 190 pays qui l’avaient validé ont confirmé leur présence à l’événement.
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Face aux calomnies de "Nord Littoral", Marie-Jeanne Vincent répond...
Voici l'interview que Marie-Jeanne Vincent, Déléguée du Parti de la France pour le Calaisis, a accordé à nos amis de Riposte laïque cliquez ici
Riposte Laïque : Vous avez été violemment prise à parti par Nord Littoral, en tant que professeur, sur la base d’une intervention que vous avez faite à Synthèse Nationale. Pourriez-vous nous expliquer les faits ?
Marie-Jeanne Vincent : Je suis intervenue le 14 octobre dernier à Rungis dans le cadre d’une table ronde sur la réinformation, aux côtés de membres de TV Libertés et de Synthèse Nationale, en tant que simple citoyenne et déléguée du Parti de la France pour le Calaisis et non en tant que professeur, ce qui est une évidence pour chacun.
Le sens de mon intervention était d’expliquer les méthodes de manipulation de l’information selon la méthode antifasciste théorisée par Willy Münzenberg*, à savoir : destruction de l’adversaire par la calomnie, le mensonge, la diffamation, l’utilisation d’idiots utiles du système et enfin l’inévitable reductio ad hitlerum. C’est cette méthode qui a été utilisée contre moi par Nord Littoral, ce qui démontre la justesse de mon analyse !
Riposte Laïque : Et donc vous avez clamé votre « tolérance pour les nazis » !
Marie-Jeanne Vincent : Lors de ma démonstration, j’indiquais que l’arme ultime de la presse aux ordres était de cataloguer son adversaire en tant que nazi. D’où ma boutade : « Bon, vous êtes nazis si vous le voulez, ça ne me dérange pas, je suis très tolérante ». Cela a naturellement fait rire la salle qui, bien entendu, a mesuré le second degré très lourd de ce propos. Cela n’a pas été le cas de la « petite main » de Nord Littoral dont l’attitude est très significative de la paranoïa de notre société où un Desproges ne pourrait plus s’exprimer et encore moins un Voltaire…
Ayant été élevée par une tante résistante, ayant enseigné l’Histoire et obtenu en 2007, avec mes élèves de lycée professionnel, un prix départemental au Concours national de la Résistance et de la Déportation sur le thème Les Justes, je ne présente aucun trouble mémoriel ou de distorsion historique.
Cela a visiblement échappé au « journaliste » qui sévit dans les colonnes de Nord Littoral dans le courage de l’anonymat. Cet anonymat est un manque de respect pour ses lecteurs et… son directeur de publication qui, ayant été dans ses jeunes années délégué du Syndicat national des journalistes, se doit de connaître les règles de déontologie. Ce qui est comique, c’est que le « non-scoop » de Nord Littoral est sorti près d’un mois après la mise en ligne de la vidéo qui avait déjà circulé sur les réseaux sociaux sans qu’elle suscite la moindre réaction ou indignation.
Riposte Laïque : On vous a également reproché de citer des auteurs comme Brasillach ou Pierre-Antoine Cousteau…
Marie-Jeanne Vincent : Dans ce pays, il est honorable de lire et d’étudier dans les manuels scolaires un Céline qui s’est terré à Sigmaringen en 1944 mais pas un Brasillach qui était le génie littéraire de sa génération. C’est ce génie que je retiens de lui et également le fait qu’il a tourné le dos à la Collaboration en quittant Je suis Partout en 1943. Brasillach a commis une grosse erreur. Il a révélé que le massacre de Katyn avait été commis par les Soviétiques ce que ne lui ont jamais pardonné les communistes au pouvoir en 1944. Des intellectuels comme Camus, Cocteau, etc. on tenté de sauver sa tête. En vain.
Pierre-Antoine Cousteau, qui lui a succédé, a poursuivi une ligne dure, nihiliste. Il a assumé son engagement, a été jugé et a purgé sa peine. Pierre-Antoine Cousteau n’a jamais travaillé avec la milice et encore moins avec la Gestapo, comme il a été écrit dans Nord Littoral. Il n’y a eu aucun témoignage à charge lors de son procès.
On peut ne pas partager le combat de P.-A. C. mais reconnaître son talent journalistique. C’est mon cas.
Vous savez, je pense qu’il faut tout lire. La vue d’un livre de Marx, Lénine ou Che Guevara ne me fait pas lever les bras (les deux !) au ciel ! Il y a toujours des idées à prendre, même chez les auteurs dont on ne partage pas les engagements. On va encore dire sans doute que je suis trop tolérante…
Riposte Laïque : Pourquoi avez-vous fait la promotion du site de réinformation Nous Sommes Partout ?
Marie-Jeanne Vincent : Les membres du collectif informel à l’origine de ce site basé en Suisse m’ont demandé d’en faire la promotion, ce que j’ai fait par sympathie. Ce site, s’il fait écho à Je suis partout, c’est bien au titre d’avant-guerre qui était un magazine culturel et politique de grande qualité. Encore une fois, il faut être particulièrement inculte en Histoire de la presse pour résumer Je suis partout à l’antisémitisme des dernières années. Il y avait dans les années trente une effervescence intellectuelle totale, provenant de tous les courants politiques, effervescence qui a totalement disparu de nos jours.
Aujourd’hui, nous vivons dans un monde formaté qui a besoin de se doter de lois comme les lois Fabius-Gayssot pour encadrer la liberté d’expression et qui, bien entendu, ne sont nullement éducatives. En tant qu’enseignante, je crois plus aux vertus de l’éducation qu’à celles de la répression. Soyons clairs. C’est par l’éducation que l’on forme des citoyens avertis, capables de faire face aux fanatismes de tous bords et de se forger leur propre intellect. La vague d’attentats que nous avons connue en France démontre que l’arsenal juridique existant n’a servi à rien et ne sert toujours à rien. Si nous sommes tombés si bas, c’est que notre société est socialement minée, intellectuellement plombée, foncièrement divisée, d’où le sens de mon engagement politique. Croire c’est Oser ; Oser c’est Croire. Avec nos militants, Nous Osons, Nous Croyons.
Riposte Laïque : J’imagine que l’on doit clamer que vous avez une rancune contre Nord Littoral !
Marie-Jeanne Vincent : Je n’ai de rancune envers personne. Je suis farouchement attachée à la liberté de la presse à condition qu’elle informe, ne déforme pas, ne diffame pas. Il me semble que ces bases du métier sont oubliées par des médias formatés qui cherchent à vendre du sensationnel plutôt que de l’information. Tout cela est le fruit d’une concentration médiatique amorcée à la Libération et qui atteint son summum ces dernières années. Dieu merci, les médias de réinformation existent. Eux ne censurent pas ni ne déforment les propos de leurs interlocuteurs. Pierre Schoendoerffer disait avec justesse : « Je crois que le souhait obscur des hommes est moins d’être libres que d’être inspirés. » Schoendoerffer était un homme d’honneur. Le combat que nous menons pour la France est inspiré. Les quolibets peuvent tomber, seul compte le compte le combat pour la Liberté et l’Honneur.
Propos recueillis par Jeanne Bourdillon
* Willi Münzenberg (né le 14 août 1889 à Erfurt et mort en 1940 à Saint-Marcellin dans le département de l’Isère) est un militant communiste allemand, cadre de l’Internationale communiste, qui établit de nombreuses associations dans le but de favoriser la cause de l’URSS. Il est l’un des propagandistes les plus influents de l’Internationale communiste exerçant une forte attraction auprès d’un certain nombre d’intellectuels occidentaux avant-guerre. Il est particulièrement connu pour sa capacité à instrumentaliser l’antifascisme au service de l’État stalinien. Münzenberg finit néanmoins par rompre avec le communisme en raison des grandes purges de Staline durant les années 1930 et meurt de manière non élucidée en 1940.
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vendredi, 07 décembre 2018
Cette curieuse absence d’autocritique couplée à un cynisme révoltant
Bernard Plouvier
Cela fait environ dix-huit mois que le couple Macron emplit la scène médiatique avec son cabotinage. Dix-huit mois également de baratin modern-style et de mesures économiques ultraréactionnaires : celles qui accroissent les dépenses des salariés, par le biais d’une inflation encore modérée et d’une taxation de moins en moins discrète, et celles qui allègent les dépenses des entreprises, mais sans dynamiser l’emploi, puisque le chômage réel affleure les six millions.
Au lieu de méditer son bilan désastreux, qui est une véritable provocation pour le menu peuple, notre Génial Président-Dictateur Général pique une colère, tandis que son « Premier Flic » laisse transformer une grogne très légitime en une jacquerie sauvage de voyous, sournoisement alimentée par les fonds secrets.
À qui fera-t-on croire que les attaques de policiers par de pseudo-manifestants ne sont pas de grossières provocations, ni que les dégâts monstrueux ne sont pas le fait de casseurs professionnels, engagés pour salir un mouvement de contestation populaire parfaitement compréhensible ?
Il ne s’agit pas, pour nos princes abusifs, de « gérer médiatiquement une crise » (comme ils disent dans leur jargon énarco-administratif) : leur baratin lamentable et hypocrite, la Nation n’en veut plus ! Il s’agit de reconnaître l’état détestable d’une année et demie de gestion ignoble du Bien Commun, de cesser de mépriser le vrai peuple de France et de mettre fin à un spectacle à peine digne d’une principauté d’opérette.
Il s’agit de rompre définitivement avec une politique antinationale où l’immigration et l’insécurité, où le chômage créé par les délocalisations d’entreprises et des importations de produits bas de gamme fabriqués dans un Tiers-Monde esclavagiste, sont financés par une imposition directe et des taxes extraordinairement lourdes, alors même que l’État réduit de plus en plus ses dépenses les plus élémentaires : sécurité intérieure et extérieure, instruction publique, voies de communication, hôpitaux publics, services administratifs au quotidien.
Les Français sont les plus belles vaches à lait fiscales d’Europe. Ce prélèvement d’argent ne doit plus être synonyme de détournement de fonds en faveur de l’immigration-invasion, du tribut payé à la finance cosmopolite ou de l’embauche d’une armée de fonctionnaires sous-productifs engagés par l’effet du piston. L’argent public doit servir la Nation française et elle seule.
Ce doit être la leçon à tirer du mouvement actuel de protestation, un mouvement calomnié par des princes aux abois, qui soldent des voyous, dans l’unique but de continuer les fructueux grenouillages de l’économie globale.
Macron and Co doivent écouter la Nation souveraine, solliciter humblement son avis sur les grands problèmes de société, enfin mettre en œuvre une politique conforme aux souhaits de la Nation. S’ils ne le veulent pas ou n’en sont pas capables, qu’ils s’en aillent. On ne les regrettera pas.
12:01 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
CHANGER DE CAP
Le billet de Patrick Parment
Les Gilets jaunes sont la version émergée d’une crise plus profonde, celle de la vision d’un monde qui refuse de mourir sous la barrière étoilée du capitalisme financier et d’une mondialisation qui trouve son unique justification à la Bourse. Voici belle lurette que la démocratie est un leurre, un cache-misère d‘une oligarchie omniprésente. Comme dans tout régime relevant tant de la monarchie que de la démocratie, ce sont les corps intermédiaires qui font marcher le système, ceux-ci constituant un pont nécessaire entre le peuple et le pouvoir. Par le biais de la noblesse en régime monarchique, par les élus entre la classe moyenne – ouvriers inclus -, et le pouvoir en démocratie. Or, ce système ne fonctionne plus. A cela plusieurs raisons.
L’Etat lui-même s’est financiarisé. On l’a bien vu avec les cadeaux fiscaux consentis par Macron aux satrapes du CAC 40. Par le déséquilibre créé entre les communautés territoriales et le pouvoir central, en les privant de toutes marges de manœuvre économiques. Ce qui par voie de conséquence revient à marginaliser ses élus.
Macron a cru que tout lui était désormais permis avec son élection et la réduction à rien des partis politiques. Ce en quoi il s’est lourdement trompé puisque la réponse est populaire comme c’est le cas à chaque crise grave que traverse notre pays. La réponse à la crise ne consiste pas à distribuer de l’argent pour calmer les ardeurs. Le peuple ne demande pas plus d’assistanat mais de la reconnaissance. La solution passe par un rééquilibrage des territoires de manière à ce que l’on ne parle plus de « désert français ». Rééquilibrer aussi le monde du travail en arrêtant la désindustrialisation de ce pays et en protégeant nos paysans qui sont le moteur de notre industrie agroalimentaire. En oeuvrant pour sortir d’une vision purement industrielle largement prônée par la FNSEA. Cela passe également par une réflexion sur la grande distribution en redéfinissant ses rôles.
Autre volet en instance : la réduction du train de vie de l’Etat et de ses hauts fonctionnaires, issus de l’Ena notamment, qui ont phagocyté tous les postes à responsabilité, bien souvent de leur irresponsabilité. A titre d’exemple, on citera le document publié en annexe de la loi de finances pour 2012 et qui recense 652 commissions pour la plupart Théodule. Ainsi, on trouve une « Commission pour l’indemnisation des victimes de spoliations intervenues du fait des législations antisémites en vigueur pendant l’Occupation » de dix membres qui nous coûte 2,5 M€ par an. Est-ce bien raisonnable ? Ou encore une « Commission de recours contre les décisions de refus de visa d’entrée en France », de cinq membres pour la modique somme de 192 000 €, etc. En annexe, mieux contrôler les dépenses des chefaillons régionaux qui à l’image d’un Michel Vauzelle (PS) en Paca n’avait rien trouvé de mieux que de doubler le musée de la Méditerranée voulu par Jean-Claude Gaudin. Coût : 60 millions d’euros foutus en l’air.
Enfin, dernier gros volet, l’immigration et notamment son coût. Là, il y a fortement à dire et on connaît des solutions peu coûteuses comme la suppression des allocations aux familles de délinquants, des aides aux immigrés clandestins, etc, etc. La suppression des aides sociales renverrait illico bon nombre d’immigrés chez eux. Le chantier est ouvert.
On voit bien qu’à travers la révolte des gilets jaunes se dessine une autre vision du territoire et de la répartition de ses ressources. Il ne nous semble pas qu’Emmanuel Macron soit la personne idoine pour mener à bien de telles réformes. Mais qui ?
11:43 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Selon que vous serez gauchistes à Mantes-la-Jolie ou nationalistes à Assas...
10:48 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Pierre Cassen nous parle du Pacte de Marrakech
09:44 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Allemagne liberticide
Le 15 novembre dernier, la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) condamnait la Russie pour des arrestations jugées « arbitraires » de l’opposant Alexeï Navalny. Pour paraphraser une célèbre parabole de l’Évangile, la CEDH s’intéressait à la paille dans l’œil du voisin russe, mais ignorait la poutre présente dans l’orbite allemande.
Bientôt âgé de 83 ans, Horst Mahler purge une peine de douze ans de prison. Est-il un violeur multirécidiviste, un influent trafiquant de drogue, un tueur en série de vieilles dames, un criminel lié à la pègre, voire un pédophile ? Bien pire ! Horst Mahler est en détention parce qu’il a osé émettre une opinion divergente sur certains faits de la Seconde Guerre mondiale.
Ancien avocat de la « Bande à Baader » dans les années 1970, Horst Mahler fut déjà détenu. Libéré à la fin des années 1980 grâce aux nombreuses démarches de son avocat, le futur chancelier social-démocrate Gerhard Schröder, il rejoint en 2000 à l’instar de nombreux gauchistes d’outre-Rhin la mouvance nationale-révolutionnaire, à savoir le NPD (Parti national-démocrate d’Allemagne). Le Régime américanocentré ne peut tolérer ce nouvel engagement. Horst Mahler et sa compagne, Sylvia Stolz, sont très vite persécutés, arrêtés et condamnés à de lourdes peines pour « déviance intellectuelle et délinquance historique ». Extradé au printemps 2017 par le gouvernement hongrois de Viktor Orban, Horst Mahler croupit, diabétique, dans une cellule alors que son état de santé se dégrade rapidement. L’une de ses jambes a été amputée. Aux dernières nouvelles (inquiétantes), un début de gangrène se manifesterait. Les conditions inacceptables de détention ne semblent guère émouvoir les ONG humanitaires telles Human Rights Watch qui préfèrent dénoncer d’hypothétiques viols organisés en Corée du Nord… Aucune pétition d’« intello » n’a été lancée pour s’indigner des poursuites judiciaires allemandes d’octogénaires et de nonagénaires.
Les Français croient que la RFA est un État démocratique. C’est faux ; le leurre est parfait. Outre l’existence d’une interdiction professionnelle qui entraîne une vraie mort sociale, l’Allemagne de Merkel dispose d’une redoutable police politique : l’Office fédéral de protection de la Constitution (BfV). Ayant largement noyauté le NPD d’indicateurs et d’agents provocateurs, le BfV a cherché à plusieurs reprises à interdire ce mouvement politique. Il veut maintenant placer sous sa surveillance et sous celle de ses équivalents régionaux l’AfD, la première force d’opposition au Système. Si la Russie avait procédé de même, tout l’Occident médiatique et oligarchique aurait crié au viol de la liberté d’expression ! Or l’Allemagne ne cesse d’attaquer cette liberté ainsi que les libertés d’opinion, de recherche et même de croyance, non pas à l’égard des islamistes radicaux, mais contre de supposées « sectes ».
Dans cette ambiance liberticide, des particuliers refusent toute location d’appartement à des responsables locaux de l’AfD. La justice approuve cette incroyable discrimination politique ! Bien entendu, si un propriétaire AfD avait refusé de louer (ou de vendre) à un militant Vert, social-démocrate ou conservateur, il aurait aussitôt été condamné pour discrimination. Un cadre local de l’AfD verra au 31 décembre prochain son compte bancaire, régulièrement approvisionné et jamais à découvert, fermé par la Deutsche Bank sans la moindre raison. À l’heure de la numérisation monétaire, cet exemple de ségrégation invite à maintenir l’argent liquide. En tout cas, il y a vraiment quelque chose de pourri chez nos cousins germains.
Bonjour chez vous !
PS : Le député allemand au Parlement européen du NPD, Udo Voigt, a pu rencontrer Horst Mahler dans sa cellule, cf. « Allemagne : Horst Mahler continue à se battre – Liberté pour tous les prisonniers politiques ! », mis en ligne le 13 novembre 2018 sur Jeune Nation. Son témoignage est édifiant dans le silence assourdissant des zélateurs des mirifiques droits de l’homme.
• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°101, diffusée sur Radio Libertés, le 30 novembre 2018.
09:17 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Bruno Gollnisch commente l'actualité
- 3 sortes de « gilets jaunes » : les vrais, les radicaux et les bandes ethniques.
- Taxation des GAFA : c’est pour aujourd’hui ou pour demain ?
- Le chinois CNPC prend la suite de Total en Iran : « l’Europe » devait intervenir !
- Espagne : Vox obtient 12 élus au Parlement régional d’Andalousie.
- L’hommage des Identitaires à la Vierge Marie interdit pour la 3e fois : grande procession du 8 décembre.
09:17 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Diminuer les dépenses publiques au lieu de taxer les riches et les pauvres !
Le piège, pour les gilets jaunes, serait d’être récupérés par les revendications sociales tous azimuts et de vouloir faire de la France une deuxième Italie, celle de Luigi Di Maio qui conduit le pays à la faillite. La révolte des gilets jaunes a obtenu l’approbation des Français car elle s’élevait contre la taxation énergétique démente et dictatoriale, au nom d’un réchauffement climatique nullement prouvé par le gaz carbonique (CO2) humain.
Il faut que les Français se libèrent du complexe pavlovien et des appels simplistes à taxer les riches. Macron a fait une chose intelligente en supprimant cet impôt imbécile. L’ISF rapportait entre cinq et sept milliards par an à l’État, mais il engendrait un manque à gagner fiscal en impôts classiques de trente milliards par an. Supprimer l’ISF amènerait donc l’État à ponctionner encore davantage les pauvres et les riches restant en France de 24 milliards d’impôts supplémentaires. Il n’y a qu’en France qu’on veut punir bêtement le riche au lieu de chercher à l’attirer pour créer des richesses et des emplois !
Si taxer les riches était la solution, la France serait déjà un pays de cocagne, puisque c’est le seul pays au monde à avoir introduit l’ISF. Il faut, au contraire, faire venir les riches. De même, demander une hausse du SMIC – déjà très élevé en France par rapport aux autres pays européens -, c’est entraîner des hausses de prix, la perte de notre compétitivité avec encore davantage d’emplois qui disparaissent.
La France est le paradis de l’État-providence laxiste puisque ses dépenses publiques représentent 56 % du PIB, dont l’essentiel provient de dépenses sociales. Avant de s’en prendre aux riches, il faut donc commencer par supprimer toutes les dépenses sociales provoquées par l’immigration folle (allocations familiales pour les familles d’origine immigrée, AME, coût régalien de l’accueil des immigrés légaux et clandestins…).
Contribuables associés crie depuis trente ans dans le désert en disant qu’il faut commencer par traquer les gaspillages, diminuer le nombre des fonctionnaires et les dépenses publiques. Les impôts et taxes excessifs sont la simple conséquence de dépenses publiques excessives. Cela fait trop longtemps que la France est championne du monde des dépenses publiques, des taxes et des impôts. En achetant du carburant chez son pompiste, l’automobiliste paye non pas de l’essence mais essentiellement des dépenses publiques !
Si la France ne veut pas connaître le sort de l’Italie et de la Grèce, il faut qu’elle maîtrise son déficit budgétaire. Suite à la pression des gilets jaunes, le gouvernement pourrait être amené à adopter, enfin, une politique intelligente, nonobstant l’invasion migratoire qui paraît une tare congénitale de Macron, puisqu’il souhaite signer l’abominable pacte migratoire onusien de Marrakech. Édouard Philippe a pu déclarer : « Si les impôts baissent, il faudra que les dépenses baissent, car nous ne voulons pas léguer des dettes à nos enfants. » Pour la première fois, le gouvernement semble se préoccuper de « financement par des économies qui seront détaillées prochainement ».
De plus, il ne faut pas être dupe de l’annonce mettant fin à la hausse des prix du gaz et de l’électricité pour cet hiver. Elle est illégale car les coûts d’approvisionnement d’EDF et d’Engie doivent être répercutés intégralement sur les tarifs réglementés qui concernent 26,5 millions de foyers. Le conseil d’État a toujours donné raison aux fournisseurs d’énergie. Le consommateur n’échappera pas à des rattrapages tarifaires et, donc, à une augmentation du prix du gaz et de l’électricité. Par contre, les taxations correspondant à la folle politique des énergies renouvelables sur nos factures EDF devront, un jour, être supprimées.
Les gilets jaunes peuvent être la pire ou la meilleure des choses, selon la tournure gauchiste ou non que vont prendre les événements et les revendications. La France ne doit pas devenir une seconde Italie et sombrer encore davantage dans le laxisme, sinon, seul un militaire à poigne pourra nous sortir de ce pétrin !
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09:05 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 06 décembre 2018
L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" DU JEUDI 6 DÉCEMBRE AVEC NICOLAS GAUTHIER (BOULEVARD VOLTAIRE)
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Les gilets jaunes devraient exiger la fin du mondialisme économique et migratoire
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La crise des gilets jaunes devait se produire tôt ou tard. Elle est le fruit attendu de l’attitude de nos dirigeants qui, décennie après décennie, ont imposé aux Français une politique de rigueur et de sacrifice contraire à leurs aspirations car exclusivement conçue pour être conforme à la pensée unique. Et maintenant que cette révolte se concrétise, il paraît essentiel que chacun en comprenne clairement la portée réelle et ne se trompe ni sur sa nature ni sur ses causes profondes.
La France fragmentée
S’agissant de l’origine des manifestants, les médias les rattachent à une France périphérique qui serait oubliée des pouvoirs publics. Cette analyse, au demeurant exacte est cependant largement incomplète car elle n’appréhende pas et de loin la totalité de la situation dans laquelle se trouve les Français d’aujourd’hui. Notre pays est en réalité fragmenté en trois entités : celle des métropoles, celle des banlieues et celle de la périphérie.
Les minorités dominantes : l’oligarchie et les immigrés
La France des métropoles est celle de l’oligarchie et de ses affidés. Il s’agit des membres du Système et des bobos qui partagent son idéologie politiquement correcte. Ceux-là ne sont pas pénalisés par le libre-échangisme ni par l’immigration et tous communient dans le projet mondialiste cher au cartel de Davos. Tournés vers l’étranger, axés sur le sauvetage de la planète, ils ne se préoccupent plus vraiment de la France si ce n’est pour l’adapter à la mondialisation et au changement climatique.
À l’autre bout de l’échelle sociale, dans les banlieues, on trouve les immigrés ou les personnes originaires de l’immigration. Ils ne sont pas affectés non plus par la mondialisation puisqu’elle leur a permis de venir en France où ils vivent beaucoup mieux que dans leur pays d’origine. Et cela d’autant plus qu’ils sont soutenus par l’oligarchie qui leur donne la priorité sur les Français de souche aussi bien à travers son discours sur le vivre ensemble que par les aides financières massives qu’elle leur apporte. Désireuses de vivre chez nous comme elles vivent chez elles, ces populations n’éprouvent que peu d’intérêt pour la France.
La majorité marginalisée : les Français des classes moyennes et populaires
Enfin, dans la périphérie des métropoles, dans les villes moyennes et dans les zones rurales vivent les Français des classes moyennes et populaires. Ils sont oubliés du Système, ignorés de l’oligarchie, et, bien que majoritaires, marginalisés dans leur propre pays. Eux subissent de plein fouet les effets destructeurs de la mondialisation aussi bien à travers l’immigration avec laquelle ils sont en contact qu’en raison du libre-échangisme sauvage qui provoque un chômage massif dont ils sont les premières victimes. Pis, ce sont eux qui assurent par leur nombre l’essentiel des rentrées fiscales et sociales alors que beaucoup d’entre eux n’ont pas accès aux aides publiques, celles-ci étant pratiquement toutes attribuées sous condition de ressources. Ajoutons qu’ils sont, quant à eux, très attachés à la France et qu’ils constituent la réalité du peuple français.
Les gilets jaunes : le peuple français en colère
On comprend dès lors pourquoi la France est oubliée : les seuls qui s’y intéressent encore, les Français des classes moyennes et populaires, sont étouffés et occultés. Avec les gilets jaunes, clairement issus de cette France périphérique, ce sont donc les Français qui se réveillent. C’est le peuple français en colère qui reproche à la classe dirigeante de l’ignorer et de le pénaliser au profit des minorités que sont les immigrés et, dans un autre registre, les membres de l’oligarchie.
L’oligarchie impose le choix idéologique du mondialisme
S’agissant par ailleurs des causes de la révolte, il y a là encore un manque flagrant de discernement. On nous explique en effet que le problème viendrait d’une insuffisance de pouvoir d’achat résultant d’une mauvaise gestion de l’économie. Ce n’est malheureusement pas la réalité. Si la situation ne cesse de se dégrader, ce n’est pas en raison des erreurs de gestion de nos dirigeants mais à cause de leurs choix idéologiques, des choix qui les conduisent contre toute raison à soumettre notre économie au mondialisme et notre société à l’immigration. C’est pourquoi les Français ne connaissent pas un simple problème de pouvoir d’achat mais un processus majeur d’appauvrissement. Le libre-échangisme sauvage que nous subissons depuis des décennies par la faute de nos dirigeants a en effet provoqué un transfert continu de richesse de la France vers les pays émergents. La concurrence sauvage et déloyale imposée à nos entreprises a engendré avec la désindustrialisation et le chômage de masse un appauvrissement général du pays. Un appauvrissement encore accentué par la charge financière considérable de l’immigration.
Le Système organise l’appauvrissement du pays
Pour traiter ce processus sans renoncer au mondialisme, la classe politique a d’abord cherché à le compenser par le recours à l’emprunt. Mais la dette se creusant, la Commission de Bruxelles se faisant plus pressante, cette politique de court terme n’était plus réellement possible.
Dès lors, deux solutions se présentaient à nos dirigeants. Renoncer au mondialisme, stopper l’immigration, établir des écluses douanières aux frontières de l’Europe et réindustrialiser notre pays pour créer à nouveau de la richesse sur notre sol tout en allégeant le poids de l’immigration. Mais pour nos gouvernants totalement inféodés à la pensée unique, une telle option est évidemment idéologiquement impensable. Aussi ne leur reste-t-il que la seconde option qui consiste à accepter l’appauvrissement du pays et même à l’organiser. C’est ce choix purement idéologique que les dirigeants du Système ont fait au mépris des Français et c’est ce choix que Monsieur Macron et ses soutiens ont entrepris de mettre en œuvre. Dès lors tout s’enchaîne car, pour organiser l’appauvrissement, il faut en effet augmenter les prélèvements et diminuer les prestations ainsi que les services publics et donc réduire le niveau de vie des Français
Les gilets jaunes : en finir avec le mondialisme
Face à cette situation absurde qui voit le pouvoir œuvrer contre le peuple, il était logique que ce dernier se réveille et manifeste sa colère. Tel est le sens du mouvement des gilets jaunes : ils sont le peuple français victime du mondialisme économique et migratoire voulu par la classe politique. Aussi la réponse à leur colère réside-t-elle dans le rétablissement des frontières afin de stopper l’immigration et de mettre un terme à la concurrence sauvage qui appauvrissent notre pays. Bref, pour répondre aux gilets jaunes, il faut sortir de la pensée unique.
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Le terrible constat d'échec
Thomas Joly, secrétaire général du Parti de la France
Le constat d’échec est terrible pour Emmanuel Macron.
En effet, à trois jours de l’« acte IV » – nouvelle manifestation des gilets jaunes – par l’intermédiaire du porte-parole du gouvernement, Benjamin Griveaux, le chef de l’État demande « aux forces politiques et syndicales de lancer un appel clair et explicite au calme ». Face au chaos qui menace le pays, celui qui avait la prétention d’incarner le retour de l’autorité de l’État à lui tout seul, aujourd’hui, en est réduit à appeler au secours ceux-là mêmes dont il avait programmé la fin : les partis, les syndicats, ces fameux « corps intermédiaires ».
Le chef de l’État doit désormais se terrer dans son palais et appeler au secours ceux qu’il méprise. Même s’il s’agissait sans doute d’une poignée de manifestants, l’épisode malheureux du Puy-en-Velay, où l’on a vu un Président se faire huer, en dit long sur cette perte d’autorité d’Emmanuel Macron.
11:20 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
JEUDI 6 DÉCEMBRE : NICOLAS GAUTHIER (BOULEVARD VOLTAIRE) INVITÉ DE L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR RADIO LIBERTÉS
11:12 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 05 décembre 2018
Madrid, 15 décembre : plusieurs représentants européens à la Marche des nationalistes espagnols
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Pacte de Marrakech : le Vlaams belang perturbe une réunion ministérielle à Bruxelles
Opération coup de poing de la part du Vlaams Belang lundi soir. Alors que la réunion du comité ministériel belge restreint consacrée au Pacte de l’ONU sur les migrations s’est achevée peu avant 17h30, le parti nationaliste flamand a projeté un logo lumineux sur la façade du Lambermont, résidence du Premier ministre belge, pour redire son opposition à la signature de ce pacte le 10 décembre à Marrakech.
Source Le Soir de Bruxelles cliquez ici
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Les Québécois de souches soutiennent les Gilets jaunes
Communiqué de la FQS :
Les salaires qui stagnent ; le coût de la vie qui augmente, le citoyen étouffé par les taxes, le système politique qui ne sert plus les intérêts du simple mortel, mais plutôt les privilégiés du système ; la crise des Gilets jaunes était inévitable. La Fédération des Québécois de souche supporte les Gilets jaunes.
11:39 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Avez-vous pensé à vos cadeaux de fin d'année ? Joignez l'agréable à l'utile...
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Le piège mortel du Pacte mondial pour les migrations de l’ONU
Arnaud Raffard de Brienne
En avant-première, l'article qui paraitre dans le prochain numéro (n°50) de la revue Synthèse nationale.
Le « Pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières », conçu par l’Organisation des Nations Unies ne vise, ni plus ni moins, qu’à déréglementer l’immigration et à en faire disparaitre la notion même. Ce sera la fin de l’immigration, des politiques migratoires et des quotas pour la consécration du droit humain universel de s’établir où et quand bon lui semble.
Les 10 et 11 décembre prochain, la quasi-totalité des 192 États-membres des Nations Unies devraient signer, dans le cadre d’une cérémonie officielle qui se tiendra au Maroc, à Marrakech précisément, un accord de l’ONU, le « Pacte mondial pour une migration sûre, ordonnée et régulée ». Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres a exprimé son espoir de bâtir avec les 193 États-membres « un cadre mondial pour une immigration sans entrave ». Ce pacte représentera l’ultime étape d’un processus entamé il y a dix-huit mois, avec la signature de la Déclaration de New-York pour les réfugiés et les migrants, adoptée à l’unanimité lors de l’assemblée générale des Nations unies, en septembre 2016.
Ledit accord, visant officiellement à améliorer leur gestion administrative de l’immigration déboucha sur un Pacte mondial sur les réfugiés, d’une part, et sur le Pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières, d’autre part. Ce dernier, imaginé et conçu pour imposer aux États signataires des directives en matière de gestion et d’accueil de l’immigration, consacre, ni plus ni moins que la disparition même de la notion d’immigration pour imposer un droit perpétuel et universel de tout homme à migrer où bon lui semble. Il constituera le premier document international sur la gestion des migrations et la tentative la plus intrusive, à ce jour, de gouvernance internationale.
Ce pacte entérinera la fin des politiques migratoires nationales et européenne, ce qu’ont bien compris les Etats-Unis en se désolidarisant dès le mois de décembre 2017 de la démarche. Ils furent suivis dans leur retrait par Israël, la Hongrie, l’Autriche, l’Australie, la Bulgarie, la République tchèque et la Pologne dont le Premier ministre, Mateusz Morawiecki rappelait récemment la priorité absolue de protéger les frontières et contrôler les migrations. Pour l’Autriche, le vice-chancelier du FPÖ, Heinz-Christian Strache, rappela que « l’immigration n’est pas et ne peut pas être un droit humain », ajoutant que le pacte représente une menace pour la souveraineté nationale. Un bon sens aux antipodes des prises de position du président français Emmanuel Macron affirmant, sans surprise, depuis une conférence de presse tenue à Bruxelles le 19 novembre dernier, l’entier soutien de la France au « Pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières ».
Un pacte qui imposera aux nations le brassage des populations
À l’étude de ce pacte concocté dans la plus grande discrétion, comme c’est le cas chaque fois qu’il s’agit de ne pas inquiéter le bon peuple avant de lui asséner un mauvais coup, on commence à mesurer l’origine, les raisons et les conséquences de l’apparition relativement subite du terme « migrant », curieusement et rapidement imposé par l’ensemble de la classe médiatique et politique dès les débuts de la déferlante migratoire et de la réalisation des prémices du « Camp des saints ». Exit l’émigré et l’immigré légal ou non, clandestin, climatique ou bénéficiaire de l’asile qui se métamorphosa ainsi en quelques semaines en migrant, citoyen du monde, libre de s’établir où et quand bon lui semble sans limitation aucune.
La signature de ce pacte consacrera non seulement la fin des politiques migratoires et des quotas mais aussi jusqu’aux notions même d’immigration et d’étranger : il prépare et organise la submersion du monde occidental, augurée froidement depuis des décennies par la science démographique, principal alibi de la folie migratoire de l’ONU.
Minimiser l’impact de ce texte en affirmant, par exemple, comme certains, que ce pacte serait inapplicable et que, même signé, il demeurerait par conséquent inopérant, l’ONU ne possédant pas les moyens de le faire appliquer, relève de la plus stupéfiante des inconséquences alors qu’il ôterait à l’évidence aux signataires toute possibilité de maintenir le moindre traitement différencié qui soit en faveur des nationaux dont l’appellation perdra de fait toute signification. Il n’est quand même pas bien difficile d’anticiper qu’aux préconisations et contorsions pédagogiques des débuts succédera immanquablement, à plus ou moins bref délai, la coercition.
Il semble même évident que ce pacte s’imposera rapidement aux nations au titre du droit international et sonnera, de ce fait, le glas de toute politique nationale en matière d’immigration. Certains commencent à comprendre, mais un peu tard, que l’affaire vient de loin et que l’opprobre jetée depuis plusieurs décennies sur les défenseurs et le concept de préférence nationale contribuait à désarmer moralement et intellectuellement des populations dont les mondialistes s’étaient jurés la disparition ou tout au moins la fin de leur homogénéité ethnique. Face à des populations anesthésiées par le plus épais des matérialismes et une perte de repères en grande partie causée par la baisse du niveau d’enseignement et l’abrutissement généralisé lié à la baisse du niveau de l’enseignement, au foisonnement et à la lobotomisation numériques, ces derniers ne dissimulent d’ailleurs plus leur projet de domination mondiale et il semble déjà loin le temps où seuls quelques auteurs non conformistes alertaient sur le complot mondialiste ourdi par différents cénacles plus ou moins occultes tels que Bilderberg, la Trilatérale, le Concil of Foreign Relations, la Franc-maçonnerie, le sionisme international dont les desseins convergent malgré les inévitables oppositions et rivalités. Quelques courageux précurseurs ont alerté à temps et à contretemps dont Henry Coston, Jacques Ploncard d’Assac, Jacques Bordiot, Léon de Poncins, Yann Moncomble, Pierre Virion et un certain nombre d’autres chercheurs catalogués conspirationnistes pour n’avoir fait qu’alerter sur ce que chacun peut aujourd’hui constater. Complotistes hier, visionnaires aujourd’hui pour avoir dénoncé et analysé, il y a plusieurs décennies déjà, l’engrenage mondialiste. Plus besoin donc de se cacher et même les journaux à fort tirage évoquent aujourd’hui banalement des notions naguères férocement taboues telles que mondialisme, gouvernance mondiale, abolition des frontières, monnaie unique…
L’acharnement de l’ONU contre les souverainetés nationales
La résolution 71/80 adoptée le 6 avril 2017 par l’assemblée générale des Nations unies ne fait d’ailleurs aucun mystère des ambitions du texte, lorsqu’elle affirme « Rappelant également que le pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières constituerait un ensemble de principes, d’engagements et d’accords entre les États Membres concernant les migrations internationales sous tous leurs aspects, qu’il serait une contribution importante à la gouvernance mondiale et renforcerait la coordination s’agissant des migrations internationales, qu’il proposerait un cadre pour une coopération internationale globale en matière de migrations et de mobilité humaine (…) ». Le complot d’hier se répand aujourd’hui, dans sa phase ouverte, comme une évidence incontournable et dans une indifférence quasi généralisée.
Jamais consulté au sujet d’une immigration qu’ils subissent de plus en plus péniblement, les peuples continuent d’ignorer ce qui se prépare, se limitant le plus souvent à subir, avec une passivité surprenante, les effets tangibles et quotidiens d’une immigration folle. Combien savent, par exemple, que le texte évoqué stipule que les « réfugiés et migrants bénéficient des mêmes droits de l’homme universels et des mêmes libertés fondamentales (que les nationaux), droits qui doivent être respectés, protégés et déployés à tout moment. » (Préambule, section 4). Des mêmes droits, donc, de tous les droits dont ils disposent, que ces immigrés soient légaux ou illégaux, prétendument clandestins ou non, en matière de vote, de protection sociale, de logement, d’éducation, de santé… Le texte abolit en effet, de fait, toute différenciation entre immigration légale et illégale, de travail ou au titre de l’asile.
Devant cette course folle au chaos, la mission américaine auprès de l’ONU a informé par la voix de son ambassadrice, Nikki Haley, son secrétaire général que les États-Unis mettaient fin à leur participation au Pacte mondial sur la migration, conformément à la décision prise dès le mois de décembre 2017 par Donald Trump. Elle précisa que « l’approche mondiale de la Déclaration de New-York est juste incompatible avec la souveraineté américaine ». Est-il nécessaire de préciser que Barak Obama était un partisan acharné dudit pacte ?
L’Arlésienne des bienfaits de l’immigration
Face à des réticences légitimes, la représentante spéciale du Secrétaire Général pour les migrations internationales, Louise Arbour, après avoir rappelé que « l’adoption du Pacte mondial pour une migration sûre, ordonnée et régulière en décembre à Marrakech sera “un moment décisif” pour l’élaboration des politiques mondiales en matière de migration » a admis du bout des lèvres qu’il y a “des cas où la migration internationale peut avoir des effets négatifs, par exemple lorsque d’importants flux de migrants ont des effets déstabilisateurs à court terme sur les marchés du travail locaux mal réglementés ou lorsqu’un grand nombre de migrants qualifiés quittent un pays, créant des manques de main-d’œuvre qui peuvent être difficiles à combler”. “Mais sur le long terme, les preuves sont claires : les avantages de la migration, en particulier d’une migration bien gérée, dépassent largement les problèmes”, a-t-elle déclaré.
A quelles preuves peut-elle bien faire allusion lorsque l’on sait que l’immigration représente aujourd’hui le premier des problèmes pour nombre de nations et que son coût abyssal semble interdire tout redressement durable à celles dont la politique migratoire s’est révélée des plus laxistes ?
Selon Louise Arbour, l’adoption du Pacte mondial pour une migration sûre, ordonnée et régulière en décembre à Marrakech sera “un moment décisif” pour l’élaboration des politiques mondiales en matière de migration. On ne peut, hélas, mieux dire…
02:58 Publié dans Arnaud Raffard de Brienne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le n°49 de l'Aristoloche
Le n°49 de l'Aristoloche cliquez là
02:49 Publié dans L'Aristoloche (Pierre de Laubier) | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 04 décembre 2018
RAPPEL : jeudi 13 décembre, Lucien Cerise est l'invité des Amis franciliens de Synthèse nationale
10:10 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Amateurisme grave à BFM TV : un histrion dénommé Sylvain Boulouque se fait passer pour un "historien"
Lorsque "l'historien" Sylvain Boulouque confond le drapeau picard et ceux de l'Action française...
La réaction du Picard Thomas Joly ne s'est pas fait attendre :
L’analyse d’images est un exercice périlleux. Le pseudo-historien Sylvain Boulouque, intervenant sur BFMTV, a été interrogé par la chaîne d’infos en continu sous l’angle « Casseurs : qui sont-ils ? » et tenté de décrypter une image de cortège. « On voit un drapeau avec des fleurs de lys, qui illustre la monarchie et la volonté d’un retour du roi », dit « l'expert ».
La lecture du faux historien mais vrai militant communiste est en effet plutôt surprenante, puisqu’il s’agit là du drapeau de la Picardie, dont la fleur de lys symbolise la proximité avec l’Île-de-France. De la même manière, « le lion renvoie à la proximité de la région avec les Flandres », explique Jacques Dulphy, auteur picardisant et passionné d’héraldique.
Source cliquez ici
10:03 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Macron ne doit pas signer le Pacte mondial des migrations imposé par l’ONU !
Approuvé avec « l’autorité morale des Nations unies », reposant sur le dogme de la liberté absolue de circuler, ce texte constituera à coup sûr une base politique et juridique qui invitera mécaniquement les pays à abattre leurs frontières pour accueillir les migrations internationales.
Ce pacte est une menace pour l’intégrité des États de ce monde qui sont appelés à renoncer ainsi aux particularismes de leurs peuples pour ne plus entraver les grands déplacements de populations présents et avenir.
République tchèque, Croatie, Bulgarie, Slovénie, Hongrie, Autriche, Estonie, Danemark, Pologne, Italie, Suisse, États-Unis, Israël, Australie... préférant privilégier la protection de leurs identités nationales, de nombreux pays ont annoncé leur décision de ne pas signer ce pacte. Prenant le contrepied de ce choix courageux, Emmanuel Macron a fait part de sa volonté d’engager la France en signant ce document, sans consulter quiconque, ni les Français, ni les corps intermédiaires de ce pays.
Emmanuel Macron - désavoué actuellement par plus de 80% des Français - a décidé d’apposer la signature de la France au bas de ce Pacte liberticide. Notre pays et plus généralement l’Europe sont en grand danger. Mobilisons-nous partout en France pour exercer une pression populaire puissante sur le chef de l’État et signons massivement la pétition qui sera transmise à l’Élysée.
• Sieghilde Adam – Responsable des ventes • Colonia Agripinensis - Rédacteur de Résistance républicaine • Corinne Bardou – Conseillère régionale RN Occitanie • Pierre Berson – Patriote, Villeréal • Jean Claude Blanchard - Conseiller régional RN, conseiller municipal de Saint-Nazaire • Sylvia Bourdon - Chef d'entreprise • Jean-Yves Briend – Ligue du Midi Provence • Christophe Bugeau – Patriote, Bordeaux • Paul Delorme – Ligue du Midi Vallée du Rhône • Raphaël Delpard - Patriote • Jean Claude Faffa – Ligue du Midi Périgord • Jérémy Fontaine – Technicien sanitaire social • Bernard Gay – Patriote, Arcachon • Olivier Gillot – Ligue du Midi Gironde, viticulteur • Enzo Giornale – Citoyen de Provence • Michel Hospital – Vétérinaire, Conseiller municipal Marmande • André Jahan – Ligue du Midi Hérault • Nicolas Lacave - CNRE • Christian Lesur – Patriote Gard • Jean Louis Levoux – Patriote, Ligue du Midi • Henri Lods-Mellet – Ligue du Midi Gard • Serge Lopez – Technicien Bâtiment • Cédric Mabille – Ligue du Midi Hérault • Jean Miclot – Patriote Gard • Jean Ninot – Patriote Occitanie • Lucien Samir Oulahbib - Auteur, enseignant • Lalanne Michel Pastor - Médaillé Patriote de France • Cécile Peyridieux – Ligue du Midi Hérault • Bojo Pinek – Patriote, Ligue du Midi • Thierry Puech – Patriote, Montpellier • Philippe Randa - Editeur • Edmond Richter - Psychothérapeute • Yohann Rimokh - Avocat • Francis Rognon – Ligue du Midi Lyon • Guy Rolland – Ecrivain, Occitanie • Jean Paul Saint Marc - Enseignant à la retraite • Pierre Saladin – Patriote Vallée du Rhône • Michel Salanon – Chroniqueur « le Phare fouilleur » • Albert Salon - Ancien ambassadeur, docteur d’État ès lettres • Jean Baptiste Santamaria - Philosophe • Anne-Marie Schaapman – Ligue du Midi, Alès • Ann Seban – Ligue du Midi Gard • Luc Sommeyre – Occitanie, ré information • Thierry Vincent – Patriote Occitanie • Vincent Vidal – Responsable SIEL Provence • Hildegard von Hessen Am Rhein - Rédacteur de Dreuz
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lundi, 03 décembre 2018
Marie-Jeanne Vincent victime des attaques de Nord Littoral attaque le journal gauchiste en justice
Communiqué du Parti de la France de Calais :
Marie-Jeanne Vincent, Déléguée du Parti de la France pour le Calaisis, était candidate pour l'Union des Patriotes sous l'étiquette Civitas aux élections législatives en juin 2017. Jusqu'au scrutin, pendant 13 jours, le torchon d'extrême-gauche Nord Littoral a publié quotidiennement un nouvel article diffamatoire, calomnieux et insultant pour la candidate. 13 articles haineux, s'attaquant même à son intégrité professionnelle de professeur.
Relayant ces articles sur son compte Facebook, Nord Littoral a laissé libre cours à un déversement de haine sur sa page, alors même que le moindre commentaire un tant soit peu patriote est immédiatement censuré.
Cette campagne de diffamation a abouti à la dégradation de son véhicule de Marie-Jeanne Vincent, à du vandalisme sur la façade de sa maison et même à des agressions physiques lors de collages d'affiches.
Marie-Jeanne Vincent poursuit le directeur de publication de Nord Littoral pour diffamation et injure publique et l'audience se déroulera mardi 4 décembre à 8 h 30 au Tribunal de grande instance de Boulogne-sur-Mer.
Le Parti de la France invite ses militants, adhérents et sympathisants à venir soutenir Marie-Jeanne Vincent au tribunal.
NDLR : Dernièrement, les "journalistes" sont repassés à la charge à la suite de l'intervention de Marie-Jeanne Vincent le 14 octobre dernier à la 12e Journée de Synthèse nationale cliquez ici. Les attaques contre notre amie sont ignobles. Elles auront les mêmes suites que le précédentes.
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