jeudi, 11 octobre 2018
À 3 jours de la réunion de dimanche de Synthèse nationale, Riposte laïque donne la parole à Roland Hélie
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Comment passer à côté du jovial et sympathique Roland Hélie, qui va organiser ce dimanche une journée sur le thème « Ne laissons pas mourir la France »…
Riposte Laïque : Vous fêterez ce dimanche 14 octobre, à Rungis, le 12e anniversaire de Synthèse nationale, dont vous êtes le fondateur, et le président. Pouvez-vous nous rappeler le concept de votre association ?
Roland Hélie : Effectivement, la revue Synthèse nationale a été créée en 2006, il y a déjà 12 ans.
À l’époque, l’objectif était simple. Nous pensions, quelques amis et moi-même, qu’il fallait introduire un nouvel état d’esprit au sein de la famille « nationale ». Nous devions en finir avec ce climat difficile qui régnait entre les différentes formations de la droite nationaliste et identitaire (j’emploie le mot « droite » afin de simplifier les choses, mais cette démarche devait aller bien au-delà, vous le savez mon cher Pierre) qui stérilisait chacune d’entre elles.
Pour cela, nous avons, dans un premier temps, créé la revue ouverte aux différente sensibilités de la famille nationale, puis nous avons organisé les journées annuelles de Synthèse nationale au cours desquelles de nombreux responsables de formations, allant de Civitas à Riposte laïque en passant par Terre et peuple ou le Parti de la France, sont venus s’exprimer. La 12e édition aura lieu dimanche prochain, 14 octobre, à Rungis (*).
Synthèse nationale c’est, en quelque sorte, le carrefour de toutes les forces nationales, identitaires, anti-mondialistes et non conformistes.
Riposte Laïque : Et en dehors d’une journée annuelle, quelles sont vos autres activités ?
Roland Hélie : Depuis 2012, nous avons monté une maison d’édition, Les Bouquins de Synthèse nationale, qui vient de publier son 40e ouvrage, Pour une troisième voie solidariste de Georges Feltin-Tracol. Nous publions aussi deux autres revues, Les Cahiers d’Histoire du nationalisme, le n° 14 est sorti cet été et il est consacré à l’Anglais Oswald Mosley, et, dans un tout autre domaine, la revue Confrontation, dirigée par Jean-François Touzé, qui traite des problèmes liés à l’immigration et à l’islamisation de la France et de l’Europe (**).
Outre nos journées régionales de Lille, nous organisons aussi des conférences, tant à Paris qu’en province, sur différents thèmes. Par exemple, depuis quelques mois, nous menons une campagne contre l’implantation des éoliennes en France. Nous avons édité sur ce sujet, un livre, Éoliennes un scandale d’État, que nous devons à Alban d’Arguin et qui est maintenant une référence pour ceux qui s’engagent dans ce combat. Pour nous, l’implantation des éoliennes, aussi inutiles que nuisibles et coûteuses, relève de la volonté des mondialistes de détruire les identités en saccageant la nature et la beauté de chaque pays.
Riposte Laïque : Vous avez choisi, cette année, comme thème « Ne laissons pas mourir la France ». La situation vous paraît donc plus grave que l’an passé ?
Roland Hélie : Cela ne semble pas s’arranger. De toute façon, il n’y avait rien à attendre de Macron car, depuis le début, nous savions qu’il n’était que la roue de secours du Système aux abois après les catastrophiques quinquennats de Sarkozy et de Hollande.
Pour en revenir au thème de la journée de Synthèse nationale, aujourd’hui, le choix est simple. Soit on se soumet à la volonté ultra-libérale de détruire les identités au profit d’un monde globalisé dans lequel les humains ne seraient plus que des consommateurs formatés, dociles et interchangeables, soit on le refuse. Si c’est le cas, si on ne veut donc pas laisser mourir la France, avec tout ce que cela représente, il faut venir nombreux le dimanche 14 octobre à Rungis.
Riposte Laïque : Comment se passera cette journée, et qui y interviendra ?
Roland Hélie : Le moment fort sera bien sûr le meeting politique en milieu d’après-midi au cours duquel prendront la parole des personnalités aussi différentes que Pierre Vial, de Terre et peuple, Alain Escada, de Civitas, Richard Roudier, de la Ligue du Midi, Jean-Paul Chayrigues de Olmetta, président des Amis de Synthèse nationale, Massimo Magliaro, ancien responsable du Mouvement social italien, Roger Holeindre que l’on ne présente plus, Carl Lang, président du Parti de la France, et Jean-Marie Le Pen qui devrait, à cette occasion, prononcer un discours important sur l’avenir de la Droite nationale dans la perspective des élections européennes de l’an prochain.
Auparavant, la journée se divisera en plusieurs parties. Le matin, elle débutera par un forum consacré aux initiatives nationalistes et identitaires au cours duquel interviendront des responsables de mouvements militants comme la Dissidence française de Vincent Vauclin, le Bastion social, le Projet Lansquenet de Gabriele Adinolfi, ainsi que des militants syndicalistes comme Gérard Orget, président du CIDUNATI francilien. Nous recevrons aussi à ce forum Juan Antonio Lopez Larrea, responsable phalangiste de Barcelone, qui s’est engagé pour défendre, l’an passé, l’unité de l’Espagne menacée par le séparatisme catalan.
En début d’après-midi, un second forum portera sur la réinformation avec Arnaud Raffard de Brienne, Philippe Randa, que les lecteurs de Présent connaissent bien, Jean-François Touzé, directeur de la revue Confrontation, Arnaud Menu, ancien directeur de Radio Libertés, Jean-Claude Rolinat, écrivain qui vient d’écrire un nouveau livre « La bombe africaine » (Éditions Dualpha). Une partie de ce forum sera aussi consacrée à « l’affaire Méric » où, avec Serge Ayoub et Aristide Leucate qui a couvert le procès pour Présent, nous essayerons de remettre les pendules à l’heure…
Riposte Laïque : Pourquoi choisir Rungis, vous n’avez pas de solutions, à Paris ?
Roland Hélie : Dans un premier temps, jusqu’en 2012, nous organisions ces journées à Paris. Et en 2013 il y a eu ce qu’il est convenu d’appeler « l’affaire Méric » dont j’ai eu l’occasion de parler récemment dans les colonnes de Riposte laïque. À la suite de celle-ci les idiots utiles du Système, les « antifas », se sont déchaînés contre les nationalistes et pas seulement de manière frontale mais aussi de manière sournoise en intimidant les directeurs de salles (les vitres de la salle où nous devions tenir cette année-là notre réunion ont été brisées et les murs recouverts de grafittis quelques jours avant). Nous avons donc été obligés de trouver une solution de rechange et, il faut le dire, c’est grâce à Pierre Vial et à Terre et peuple, qui organisent depuis longtemps leurs réunions dans cet endroit, que nous nous sommes retrouvés à l’Espace Jean Monnet à Rungis.
Depuis, plusieurs organisations patriotiques nous ont emboîté le pas…
Riposte Laïque : Je présume que vous allez expliquer à nos lecteurs comment faire pour s’y rendre, et espérant qu’il reste des places disponibles…
Roland Hélie : Simple ! En voiture il suffit de se rendre à Rungis dans le Parc d’affaire ICAD et là l’Espace Jean Monnet est bien indiqué. De plus il y a deux grands parkings. En RER, Ligne C2, Train Mona, station Rungis La Fraternelle à 300 m de l’Espace Jean Monnet. En tramway Ligne T7, départ de la station de métro Villejuif Louis Aragon, arrêt La Fraternelle.
Riposte Laïque : Vous avez d’autres projets, après le 14 octobre ?
Roland Hélie : Continuer le combat pour que la Droite nationale se ressaisisse et qu’elle redevienne une force crédible capable de mettre fin au processus criminel contre notre nation et contre notre civilisation. Ce ne sont pas les exemples qui manquent en Europe…
Riposte Laïque : Souhaitez-vous ajouter quelque chose, Roland ?
Roland Hélie : Les lecteurs et les militants de Riposte laïque, dont je salue ici le juste combat, sont tous les bienvenus dimanche prochain 14 octobre à la 12eJournée de Synthèse nationale à Rungis.
Propos recueillis par Pierre Cassen
(*) 12e Journée nationaliste et identitaire organisée par la revue Synthèse nationale, dimanche 14 octobre 2018, Espace Jean-Monnet 47 rue des Solets à Rungis (Val-de-Marne), station RER et Tramway Rungis-La Fraternelle, vaste parking, restauration sur place, bar, concerts et animations, près de 80 stands, de 11 h à 18 h 30, billet entrée 10 €.
(**) consultez le site Synthèse éditions cliquez là
Réaction de l'intéressé : Merci Cher Pierre pour une si aimable présentation. Roland Hélie
19:15 Publié dans 12 - La 12e Journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
INFORMATION POUR DIMANCHE PROCHAIN :
10:41 Publié dans 12 - La 12e Journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
VGE – Chirac : Ni oubli, ni pardon possibles
Bernard Plouvier
Alors que l’un de ses enfants s’est fait agresser à Paris par deux Romanichels, ce qui a coûté quelques centaines d’euros à ce monsieur qui n’est guère dans le besoin, il semble que l’ex-Président Giscard estime que, tel qu’il fut appliqué, le décret de regroupement familial fut une erreur.
D’abord, il serait temps que ce funeste politicien comprenne que cela ne fut pas une « erreur », mais un crime et une forfaiture. Un crime contre la Nation française et une forfaiture car, lorsqu’on hypothèque l’avenir du peuple souverain, l’on prend au moins son avis. Quand y-a-t-il eu un referendum sur l’immigration de masse d’origine extra-européenne dans la Ve République Française ?
Contrairement à ce que plaide le vieillard au bord de la tombe, ce ne fut pas « une mesure juste et généreuse ». Ce fut un décret publié le 29 avril 1976, sans débat parlementaire, donc à la sauvette, et non par « générosité », mais parce que la consommation intérieure française baissait en raison de l’inflation et du chômage et que grognaient les pontes de la distribution, aux bénéfices amoindris.
Ce décret 76-383, qui marqua le début du désastre pour la Nation, n’exigeait du migrant qu’une durée de séjour d’une année et rien ne l’empêchait d’amener toute sa smala au titre du « regroupement », les vieux parents et les femmes justifiaient l’implantation d’une multitude d’enfants, mais aussi de jeunes frères et de jeunes sœurs. Ce ne fut pas un regroupement familial, mais une entrée massive de clans, de familles élargies.
En 2003, devant la prolifération des émeutes raciales et des zones de non-droit dans notre pays envahi, et au lieu de prendre l’avis du seul souverain légitime de l’État : le corps électoral, on allongea simplement à deux années la durée de séjour du migrant avant qu’il puisse exiger son « regroupement familial ». Tout au plus, les hypocrites rédigeant le nouveau décret spécifièrent-ils que le migrant devait faire preuve « d’une bonne intégration dans la société française » !
Le trafic de haschich, les vols, les viols en tournantes et les émeutes raciales étaient monnaie courante en 2003. Depuis, nous avons connu pire : le terrorisme aveugle et lâche des mahométans djihadistes. Et personne, chez les titulaires des apparences du pouvoir n’envisage de referendum sur l’immigration-invasion.
De 1976 à 2018, rien n’a changé dans la forfaiture permanente. Les droits fondamentaux du peuple souverain : Sécurité, Préférence nationale en matière d’emploi public (c’était un dogme au temps du Front populaire, même au PCF !), protection des générations à venir, sont toujours bafoués.
Giscard et Chirac sont coupables d’avoir fait entrer la Nation dans cette spirale infernale. Et il ne faut pas oublier la Loi Veil sur l’avortement de complaisance du 17 janvier 1975, également publiée lors de la présidence funeste de VGE, Chirac piaffant d’impatience à Matignon, entre deux saillies et deux repas pantagruéliques.
En conclusion, il ne peut et ne doit y avoir ni pardon, ni oubli pour Giscard et Chirac.
10:21 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Roland Hélie ce mercredi soir sur TV Libertés
10:21 Publié dans 12 - La 12e Journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Comme chaque année depuis 12 ans, La Diffusion du Lore ont un stand à la 12e Journée de Synthèse nationale dimanche prochain à Rungis
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08:36 Publié dans 12 - La 12e Journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
JEAN PICOLLEC, ÉDITEUR ET BRETON, INVITÉ DE L'ÉMMISSION "SYNTHÈSE" SUR RADIO LIBERTÉS JEUDI 11 OCTOBRE À 18 H
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08:34 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Triste nouvelle : YVAN BLOT EST DÉCÉDÉ
01:05 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 10 octobre 2018
ROLAND HÉLIE, DIRECTEUR DE SYNTHÈSE NATIONALE, INVITÉ CE MERCREDI SOIR PAR MARTIAL BILD AU "COUP DE PROJECTEUR" DE TV LIBERTÉS
15:26 Publié dans 12 - La 12e Journée nationale et identitaire, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
JEAN-FRANÇOIS TOUZÉ, DIRECTEUR DE LA REVUE "CONFRONTATION" INTERVIENDRA DIMANCHE PROCHAIN À LA 12e JOURNÉE DE SYNTHÈSE NATIONALE
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15:26 Publié dans 12 - La 12e Journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
12e JOURNÉE DE SYNTHÈSE NATIONALE, DIMANCHE 14 OCTOBRE, LE PROGRAMME :
12eJOURNÉE DE
SYNTHÈSE NATIONALE
NE LAISSONS PAS MOURIR LA FRANCE !
DIMANCHE 14 OCTOBRE 2018
ESPACE JEAN MONNET, 47 rue des Solets 94 Rungis
11 h 00 : ouverture des portes - Entrée : 10,00 € (gratuit pour les moins de 16 ans)
11 h 15 : message de bienvenue de Roland Hélie, Directeur de Synthèse nationale
11 h 20-12 h 30 : forum des initiatives avec Hugues Bouchu, les Amis francilien de SN, Vincent Vauclin, La Dissidence française, Juan-Antonio Lopez Larrea, El cadenazo (site phalangiste de Barcelone), Gabriele Adinolfi, Projet Lansquenets (Rome), Emmanuel Albach, auteur de "Beyrouth 1976, des Français aux côtés des Phalangistes", Gérard Orget, dirigeant du CIDUNATI francilien, un responsable du Bastion social
A partir de 12 h 30 et jusqu'à 17 h 30 : Restaurant ouvert au public (repas ou sandwichs)
14 h 00-14 h 45 : forum sur la réinformation animé par Luc Pécharman avec avec Philippe Randa, éditeur, Radio Libertés, Jean-François Touzé, Directeur de Confrontation, Arnaud Raffard de Brienne, écrivain, Arnaud Menu, journaliste, Marie-Jeanne Vincent, contributrice à Nous sommes partout, Jean-Claude Rolinat
14 h 45–15 h 15 : Affaire Méric : rétablir la vérité avec Serge Ayoub, ancien dirigeant de Troisième voie, Aristide Leucate, écrivain et collaborateur à Présent pour qui il a suivit le procès, Roland Hélie
15 h 30–16 h 15 : concert, Docteur Merlin… présenté par Thierry Bouzard
16 h 30-18 h 00 : le meeting politique présidé par Jean-Paul Chayrigues de Olmetta avec : Roland Hélie, Richard Roudier, la Ligue du Midi, Alain Escada, Président de Civitas, Pierre Vial, Président de Terre et peuple, Massimo Magliaro, ancien responsable du MSI, Carl Lang, Président du Parti de la France, et
JEAN-MARIE LE PEN
Séance de dédicace du 1ertome de ses mémoires
Toute la journée : le grand stand de la revue Synthèse nationale, des Cahiers d'Histoire du nationalisme,de Confrontation, des Bouquins et de l'Association des Amis. Vous pourrez y retrouver Jean-Claude Rolinat, Alban d'Arguin, Georges Feltin-Tracol, le Dr Jean-Pierre Cousteau, Didier Lecerf, Pieter Kerstens, Thierry Bouzard, Arnaud Menu, Patrick Parment, Hubert de Mesmay, Commandant Aubenas, le dessinateur Ignace et les collaborateurs de la revue.
Nombreux stands d'associations, journaux, mouvements, éditeurs, libraires, artistes et artisans...
Un bar (bières, sodas, pas de Coca...)
Comment accéder à l'Espace Jean Monnet, 47 rue des Solets à Rungis (94) ?
En RER : ligne C2 Train Mona, station Rungis La Fraternelle (située à 300 m de l'Espace Jean Monnet)
En Tramway : ligne T7, arrêt La Fraternelle (directe en partant de la station de métro Villejuif-Louis Aragon)
En voiture : se rendre dans le Parc d’affaires ICAD de Rungis, l'Espace Jean Monnet y est bien fléché. Vaste parking gratuit à la disposition des visiteurs.
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11:27 Publié dans 12 - La 12e Journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
JEAN-PAUL CHAYRIGUES DE OLMETTA, PRÉSIDENT DES AMIS DE SYNTHÈSE NATIONALE, INTERVIENDRA DIMANCHE PROCHAIN À RUNGIS...
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10:53 Publié dans 12 - La 12e Journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Agression contre la Nouvelle Librairie hier soir
Les nervis du Système intitulés "antifas" ont agressé mardi soir la Nouvelle Librairie, espace de Liberté rue Médicis au coeur de la Capitale. Encore une fois des vitres ont été brisées et les forces de l'ordre sont intervenues.
Exprimons notre solidarité et notre amitié aux courageux animateurs de la Nouvelle Librairie qui, une fois de plus, ont fait face à l'adversité. Venez leur témoigner, vous aussi, votre soutien en passant à la NL si vous êtes dans le quartier.
Synthèse nationale
09:57 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Les Editions Ars Magna vous attendent dimanche sur leur stand à la 12e Journée de Synthèse nationale à Rungis
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09:38 Publié dans 12 - La 12e Journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Arnaud Beltrame, gendarme de France
Communiqué de TV Libertés :
La personnalité d'Arnaud Beltrame, fruit de siècles d'une haute civilisation, est devenue un exemple pour les jeunes générations françaises.
TV Libertés revient sur la vie de ce héros en uniforme dans un entretien avec Christophe Carichon auteur d'un livre passionnant sur cette belle figure de militaire français.
Le 23 mars 2018, après avoir offert de remplacer un otage lors de l'attentat de Trèbes (Aude), le lieutenant-colonel de gendarmerie Arnaud Beltrame (44 ans) est blessé grièvement dans des circonstances dramatiques par un islamiste se revendiquant de DAESH. Décédé le lendemain à l'hôpital, l'annonce de sa mort bouleverse le pays tout entier et un hommage national lui est rendu quelques jours plus tard. En France et à l'étranger, les hommages se multiplient pour célébrer un « héros » du temps présent.
Élaboré après de mois d'enquête de terrain, des entretiens avec ses amis, le témoignage de ses proches et surtout de sa famille, de ceux qu'il a eus sous son commandement ou qui l'ont dirigés, de nombreux responsables de la gendarmerie, de ceux qui ont suivi son évolution intérieure, ce livre permet non seulement de faire partager la vie d'un homme d'exception à la riche carrière militaire et aux engagements variés mais également de présenter, à travers le parcours d'Arnaud Beltrame, ce qui fait l'identité et les valeurs de l'officier de gendarmerie aujourd'hui.
Christophe Carichon est historien et chercheur associé au Centre de recherche bretonne et celtique (université de Brest). Auteur d'une centaine d'articles et de plusieurs ouvrages couronnées par des prix littéraires, il est ancien auditeur de l'Institut des hautes études de la défense nationale et officier de la réserve opérationnelle dans l'armée de terre.
09:38 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
LE BASTION SOCIAL SERA PRÉSENT DIMANCHE 14 OCTOBRE À RUNGIS POUR LA 12e JOURNÉE DE SYNTHÈSE NATIONALE
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00:42 Publié dans 12 - La 12e Journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
MARIE-JEANNE VINCENT, COLLABORATRICE AU SITE "NOUS SOMMES PARTOUT" PARTICIPERA À LA 12e JOURNÉE DE SYNTHÈSE NATIONALE DIMANCHE 14 OCTOBRE À RUNGIS
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00:37 Publié dans 12 - La 12e Journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 09 octobre 2018
Vous avez dit réchauffement ?
Le billet de Patrick Parment
Le GIEC (Groupe d’experts sur l’évolution des climats) vient de publier un nouveau rapport qui nous promet, une fois de plus, bien des catastrophes naturelles. Cet organisme qui œuvre à l’ombre de l’ONU a été contesté par bien des scientifiques des plus sérieux. Toutefois, il est incontestable que la terre est entrée dans un nouveau cycle climatique, comme elle en a connu beaucoup tout au long de son histoire, et qui se manifeste sous nos yeux par la fonte des banquises, l’accumulation de violents cyclones, des modifications de température sous tous les climats. Et il est certain qu’une augmentation de la température de la terre de 1,5 à 2°C aurait des conséquences écologiques qu’il est difficile d’évaluer.
Mais, rendre responsable de ce réchauffement l’activité humaine, tant industrielle qu’agricole, relève en grande partie de la fantaisie.
En revanche, ce qui est vrai c’est que l’accès aux ressource énergétiques non renouvelables (gaz, pétrole, charbon, uranium) pour satisfaire une société de consommation qui est en train de s’étendre à la terre entière, est un authentique fléau. Car, cet épuisement des ressources de la terre, modifie gravement nos écosystèmes et réduit de manière dramatique la faune et la flore, c’est-à-dire le vivant. Tout cela au nom d’un capitalisme effréné qui entraîne l’humanité sur la voie du suicide. Le réchauffement climatique comparé à la destruction de nos environnements n’est somme toute que marginal. Le vrai combat, ce n’est pas de vouloir s’en prendre au réchauffement climatique contre lequel l’homme est impuissant, mais bien de préserver et protéger nos environnements. En privilégiant par exemple les énergies renouvelables et surtout en limitant nos besoins en matière d’énergies non renouvelables. Ce qui revient à mettre en cause la société de consommation et son modèle frénétique, le capitalisme en général et financier en particulier. Ce qui reviendrait à penser que l’homme peut être un animal raisonnable. Ce dont nous doutons fortement. Nos sociétés se sont construites sur la rareté, elles risquent de disparaître sous l’abondance.
19:16 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Venez retrouver le journal "Présent" et ses journalistes sur leur stand dimanche prochain à la 12e Journée de Synthèse nationale à Rungis
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09:32 Publié dans 12 - La 12e Journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Vincent Vauclin donne le statut de parti à son mouvement, la Dissidence française. Il explique pourquoi :
Entretien avec Vincent Vauclin sur Fréquence Europa, émission enregistrée le lendemain de l’annonce de la transformation de la Dissidence Française en parti politique.
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Vous avez annoncé hier la transformation de la Dissidence Française en parti politique. Quelles en sont les raisons ?
Depuis plusieurs années, nous avons travaillé activement à faire entendre nos idées, nos propositions. Nous avons multiplié les actions, les déplacements, les manifestations partout en France, en partant du principe que notre rôle était de faire évoluer les mentalités, de réveiller la jeunesse, de rassembler autour d’un programme de rupture ceux qui ne se reconnaissent pas dans la pensée unique, mais aussi de « brusquer » le milieu nationaliste français pour le renouveler, pour rompre avec des méthodes et des discours dépassés qui n’avaient plus d’efficacité concrète depuis des décennies.
Bref, nous avons accompli un travail métapolitique d’émulation, de refondation, et nous pensons qu’il est temps aujourd’hui de franchir un cap, de travailler à une autre échelle. Alors que jamais les circonstances n’ont été plus favorables à nos idées, les errances du Front National et l’effondrement des partis d’hier nous obligent à revoir notre stratégie. On ne peut pas faire comme si rien n’avait changé. Partout en Europe les choses bougent, et nous ne pouvons pas nous faire à l’idée que les nationalistes et patriotes français soient orphelins d’un parti à la hauteur des enjeux. Il est temps de construire un parti véritablement de Droite, qui ne cède rien à la pensée unique, qui ne recule plus face aux lobbies, et qui ose porter des propositions radicales pour répondre aux défis de notre époque. C’est ce défi que nous avons décidé de relever.
Est-ce que cela implique un changement de la ligne politique du mouvement ?
En aucun cas. Nous ne changerons pas une virgule au programme de la Dissidence Française. Nous ne cèderons rien au politiquement correct, nous ne tomberons pas dans le panneau de la « dédiabolisation ». Car je pense que le temps de la radicalité est venu, et c’est justement aujourd’hui qu’il faut faire entendre une ligne claire, un programme de rupture véritable. À l’heure où le discours politique se résume à des slogans creux et aseptisés, notre rôle est justement de renverser la table et de brusquer le conformisme ambiant. Les enjeux sont trop grands pour qu’on se contente de petites réformes et de quelques compromis, et ça de plus en plus de français le comprennent. Nous portons un projet de révolution conservatrice qui représente la seule alternative au mondialisme libéral, et c’est aussi ce qui fait notre différence avec les fausses « oppositions » téléguidées par le Système.
Quelles sont les prochaines étapes ?
Dans les semaines et les mois qui viennent, je vais enchaîner les réunions publiques un peu partout en France pour présenter notre démarche, nos actions, notre projet. Bien sur, je serais aussi présent à l’occasion de la Journée de Synthèse Nationale qui se déroulera le 14 octobre à Rungis, à l’initiative de notre ami Roland Hélie. Le 1er décembre, la DF organise la troisième édition de son assemblée annuelle ReVolt, et d’ici-là nous organiserons d’autres rendez-vous et d’autres actions dans le cadre de notre campagne « Pour la France et les Français d’abord ».
09:29 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi 27 octobre à Paris : conférence de Philippe Conrad, Président de l'Institut Iliade
09:24 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
On a toujours raison à un moment ou a un autre... mais le mieux, c'est d'avoir raison au bon moment.
Giscard confie ses regrets au sujet du regroupement familial... Il est temps !
Lu dur f.desouche.com cliquez ici :
Comme rarement, l’ex-chef de l’État s’est livré au biographe Éric Roussel. Ses blessures, ses doutes, ses idéaux… Extraits en avant-première du livre.
« Son grand regret, le regroupement familial, décidé par un simple décret de Jacques Chirac en 1976. (…) L’idée de faire venir les familles des immigrés paraissait, à l’époque, naturelle. Avec l’augmentation massive de l’immigration en provenance de pays musulmans, elle divise profondément. Raymond Barre, d’ailleurs, le suspendit pour trois ans, avant que le Conseil d’État annule cette décision au motif que le regroupement familial faisait désormais partie de principes généraux du droit. »
Avec le recul, Valéry Giscard d’Estaing regrette cette initiative : « L’idée en soi était juste et généreuse (…) Mais elle a été mal appliquée, et j’ai eu le tort de ne pas plus surveiller l’application ; j’en ai donc la responsabilité (…) Nous visions le noyau familial tel que nous le connaissons et nous avons vu arriver des noyaux familiaux totalement différents. »
Dans son essai, Le sens de la République, l’historien Patrick Weil a aussi révélé que le président avait eu le projet de dénoncer les Accords d’Evian pour pouvoir rapatrier quelque 500.000 Algériens en cinq ans.
09:20 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 08 octobre 2018
TV LIBERTÉS AURA UN STAND DIMANCHE PROCHAIN À RUNGIS À LA 12e JOURNÉE DE SYNTHÈSE NATIONALE
21:58 Publié dans 12 - La 12e Journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
RÉINFO, LE MAGAZINE TV DU PARTI DE LA FRANCE DE CETTE SEMAINE
21:56 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Dans le quotidien Présent d'aujourd'hui, un grand entretien avec Roland Hélie sur la 12e Journée de Synthèse nationale, dimanche prochain à Rungis.
Entretien avec Roland Hélie.
« Les lecteurs de Présent
sont les bienvenus ! ».
La 12e journée nationaliste et identitaire se tiendra sur ce thème : Ne laissons pas mourir la France. A qui adressez-vous ce souhait qui est aussi un mot d’ordre ?
A celles et ceux qui ne veulent pas voir notre pays, et notre civilisation, sombrer dans le magma mondialiste que veulent nous imposer les tenants du Système. Aujourd’hui, le choix est simple. Soit on se soumet à la volonté ultralibérale de détruire les identités au profit d’un monde globalisé dans lequel les humains ne seraient plus que des consommateurs formattés, dociles et interchangeables, soit on le refuse. Si c’est le cas, si on ne veut donc pas laisser mourir la France, avec tout ce que cela représente, il faut venir nombreux le dimanche 14 octobre à la 12e Journée de Synthèse nationale.
Quels intervenants prendront la parole cette année, et sur quels sujets précisément ?
Le moment fort sera bien sûr le meeting politique en milieu d’après-midi au cours duquel prendront la parole des personnalités aussi différentes que Pierre Vial, de Terre et peuple, Alain Escada, de Civitas, Richard Roudier, de la Ligue du Midi, Jean-Paul Chayrigues de Olmetta, président des Amis de Synthèse nationale, Massimo Magliaro, ancien responsable du Mouvement social italien, Roger Holeindre que l’on ne présente plus, Carl Lang, président du Parti de la France, et Jean-Marie Le Pen qui devrait, à cette occasion, prononcer un discours important sur l’avenir de la droite nationale dans la perspective des élections européennes de l’an prochain.
Auparavant, la journée se divisera en plusieurs parties. Le matin, elle débutera par un forum consacré aux initiatives nationalistes et identitaires, au cours duquel interviendront des responsables de mouvements militants comme la Dissidence française de Vincent Vauclin, le Bastion social, le Projet Lansquenet de Gabriele Adinolfi, ainsi que des militants syndicalistes comme Gérard Orget, Président du CIDUNATI francilien. Nous recevrons aussi à ce forum Juan Antonio Lopez Larrea, responsable phalangiste de Barcelone, qui s’est engagé pour défendre, l’an passé, l’unité de l’Espagne menacée par le séparatisme catalan.
En début d’après-midi, un second forum portera sur la réinformation avec Arnaud Raffard de Brienne et Philippe Randa, que les lecteurs de Présent connaissent bien, Jean-François Touzé, directeur de la revue Confrontation, Arnaud Menu, ancien directeur de Radio Libertés. Une partie de ce forum sera aussi consacrée à « l’affaire Méric » où, avec Serge Ayoub et Aristide Leucate qui a couvert le procès pour Présent, nous essayerons de remettre les pendules à l’heure…
Vous-même avez publié un texte fort (NDLR SN cliquez là) après le verdict qui a condamné à la prison ferme Esteban Morillo et Samuel Dufour.
Lorsque, début juin 2013, cette affaire éclata, je me suis engagé aux côtés de Serge Ayoub, alors mis en cause en tant que responsable de Troisième voie, pour défendre Esteban et ceux qui étaient accusés d’avoir tué le gauchiste Méric. Il y avait deux versions, celle imposée par les médias et par la classe politique, d’Alexis Corbière à Nathalie Kosciusko-Morizet, d’une part, et celle relatée par ceux qui ont assisté de visu, et pas seulement les jeunes nationalistes, à cette altercation malheureuse d’autre part. La partialité, l’injustice et le mensonge étaient flagrants.
Rappelez-vous qu’à cette époque le pouvoir socialiste était au plus mal face aux gigantesques manifestations contre le « mariage » gay. Un an à peine après son arrivée à l’Elysée, Hollande se retrouvait confronté à une situation dramatique pour lui. Il fallait donc discréditer l’opposition radicale et l’affaire Méric est tombée à point nommé pour cela. Il ne restait plus pour les socialistes qu’à faire l’amalgame entre ce « fait divers » et les manifestations, afin de dissuader les « modérés » d’y participer. Du grand classique… En attendant, des jeunes patriotes sont en prison aujourd’hui alors que ce sont eux qui ont été agressés par les idiots utiles du Système que sont les antifas. Il s’agit là d’une affaire politique et je regrette que la défense ne se soit pas placée sur ce terrain là. De tout cela, nous parlerons le 14 octobre…
Quel accueil réservez-vous aux lecteurs de Présent, habitués ou qui viendraient pour la première fois à une journée de Synthèse nationale ?
Les lecteurs de Présent, vous le savez bien cher Samuel, ne veulent pas laisser mourir la France. Ils sont donc les bienvenus et ils pourront en profiter pour visiter le stand de leur quotidien préféré…
Propos recueillis par Samuel Martin
- 12e Journée nationaliste et identitaire organisée par la revue Synthèse nationale, dimanche 14 octobre 2018, Espace Jean-Monnet 47 rue des Solets à Rungis (Val de Marne), station RER et Tramway Rungis-La Fraternelle, vaste parking, restauration sur place, bar, concerts et animations, près de 80 stands, de 11 heures à 18 h 30, entrée 10 euros.
- Présent participe ! Retrouvez Caroline Parmentier et Samuel Martin au stand de Présent.
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19:06 Publié dans 12 - La 12e Journée nationale et identitaire, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Tapis Franc Productions, auteur du film sur les persécutions de Chrétiens dans le monde, a un stand à la 12e Journée de Synthèse nationale dimanche 14 octobre à Rungis
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18:49 Publié dans 12 - La 12e Journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
60 ans de la Ve République : 60 ans d'imposture et d'illusions entretenues
- Mensonge d'un État fort et d'un pouvoir d'autorité. Perdu dans ses rêves donquichottesques de grandeur, De Gaulle à prétendu restituer à l’exécutif toute sa place sans pour autant léser les droits du Parlement… Subterfuge institutionnel dans un décor Potemkine de fausse reconstruction nationale. Résultat : un pouvoir bancal où le Président entre inévitablement en conflit avec son Premier ministre, un gouvernement coupé du peuple, un Parlement croupion, une domination des puissances d’argent sur la vie publique, des médias aux ordres, une Justice disciplinée et une impuissance programmée.
- Imposture d'un régime fondé dans l'ambiguïté et la manipulation, forgé dans la félonie, pérennisé dans la commodité réglementaire et la satisfaction des ambitions personnelles. La Ve République c’est l’État égotiste de De Gaulle, l’État affairiste de Pompidou, l’État libéral avancé de Giscard, l’État cynique de Mitterrand, l'État immobile de Chirac, l'État agité et bling-bling de Sarkozy, le non-État de Hollande et l'État boite de nuit glauque de Macron.
- Confiscation des droits du peuple français à disposer de lui-même par le totalitarisme architectural d’une démocratie de façade et la soumission aux règles du mondialisme.
- Détournement des aspirations nationales à l'identité, à la sécurité, à la prospérité et aux libertés par un tour de passe-passe permanent digne des plus grands prestidigitateurs qui savent tromper la vigilance des spectateurs en détournant leurs regards de l'essentiel.
18:02 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Lundi 15 octobre à Paris : un diner avec Arthur Grabé qui revient de Syrie où il a travaillé avec "Chrétiens d'Orient" et Maître Elie Hatem
13:02 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
PERIG KERYS, LE SCULPTEUR D'EXTREME OCCIDENT, EXPOSERA DIMANCHE 14 OCTOBRE À RUNGIS LORS DE LA 12 e JOURNÉE DE SYNTHÈSE NATIONALE
09:03 Publié dans 12 - La 12e Journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Parachutage sur Barcelone !
Georges Feltin-Tracol
Dans la soirée du 25 septembre dernier, l’ancien Premier ministre hexagonal Manuel Valls aofficiellement présenté sa candidature à la mairie de Barcelone, sa ville natale. Cette annonce originale incite à trois commentaires différents.
Le premier concerne le personnage hautement antipathique. Après avoir espéré de l’Élysée en 2012 et en 2017 et subi un échec cuisant de la part des électeurs de gauche à la primaire de décembre 2016, celui qui, à l’instar de François de Rugy, renia sa promesse initiale de soutenir le vainqueur de la primaire pour mieux se rallier au candidat bancaire Macron chercha d’abord, en intrigant à la petite semaine, à se rapprocher du nouveau pouvoir. Ainsi au terme d’une réélection plus que contestable,s’affilia-t-il au groupe LREM en tant qu’apparenté. Il comprit vite qu’Emmanuel Macron ne lui pardonnerait jamais ses remontrances parfois publiques. L’ancien rocardien sut dès lors que sa carrière politique se fossiliserait dans sa circonscription de l’Essonne. Cela n’aurait été que justice pour ce déplorable chef de gouvernement et cet exécrable ministre de l’Intérieur, auteur de la dissolution honteuse et inacceptable de l’Œuvre française, de Troisième Voie pour une avant-garde solidariste et des Jeunesses nationalistes-révolutionnaires. N’ayant jamais connu le monde réel dans lequel il faut se lever tôt pour gagner sa croûte, Valls lorgna alors de l’autre côté des Pyrénées.
Sa candidature confirme l’émergence planétaire des « villes-monde » ou des « métropoles globalisées ». À la suite de New York du milliardaire Michael Bloomberg et du libéral-gauchiste Bill de Blasio, de Londres du national-mondialiste Boris Johnson et du progressiste multiculturel Sadiq Khan, et de Paris du volubile Bertrand Delanoë et de l’exquise Anne Hidalgo, Manuel Valls aimerait faire de Barcelone une place internationale majeure qui s’écarterait non seulement de l’hypothèse sécessionniste catalane, mais aussi des pesanteurs historiques et territoriales espagnole et européenne. Au nom de ce cosmopolitisme si prisé par la super-classe oligarchique occidentale, il tente d’une manière très macronienne de s’opposer en même temps aux indépendantistes catalans et à l’actuelle mairesse proche de la gauche radicale Podemos, Ada Colau. Or Barcelone est moins séparatiste que son arrière-pays si bien qu’en cas d’indépendance de la Catalogne, certains Barcelonais exigeraient à leur tour la sécession…
Enfin, quand bien même Manuel Valls reste le rejeton idéal du mondialisme, sa candidature aurait été saluée par Jean Thiriart. Celui-ci rêvait qu’un originaire de Copenhague suive des études à Rome, fasse son service militaire à Bucarest, épouse une Bretonne à Varsovie et soit maire de Séville. Cette candidature novatrice fait bouger les lignes et interloque des journalistes jusqu’à présent blasés. Ces béotiens oublient que le cas Valls était assez courant dans l’Europe d’avant 1789. Régente de France pendant la minorité de son fils, le roi Louis XIV, Anne d’Autriche était une princesse espagnole et son Principal ministre et parrain du jeune roi, Mazarin, italien. L’ancien maire d’Évry renoue sans le vouloir avec la pratique médiévale du « capitaine du peuple », un étranger qui administrait avec le podestat les affaires publiques des républiques urbaines italiennes.
Par-delà une évidente ambition politicienne, l’acte de Manuel Valls valorise une appartenance prioritaire européenne. Son exemple devrait se généraliser pour qu’en 2022, les Français puissent enfin choisir entre de médiocres politiciens hexagonaux (les Macron, Wauquiez, Sarközy, Hollande, etc.) et de véritables hommes d’État tels Viktor Orban, Vladimir Poutine ou Alexandre Loukachenko.
Bonjour chez vous !
• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°93, diffusée sur Radio-Libertés, le 5 octobre2018.
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08:32 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Carl Lang invité de Michel de Rostolan aujourd'hui lundi à 12 h 30 sur Radio Courtoisie
08:22 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |