lundi, 29 avril 2019
Encore plus de monde hier à Nieppe, près de Lille, pour la 7e Journée régionale de Synthèse nationale
La journée annuelle de Synthèse nationale dans le Nord s'est déroulée dimanche 26 avril à Nieppe, près de Lille, avec un public encore plus nombreux que d'habitude et dans une ambiance studieuse et sympathique. N'est-ce pas d'ailleurs l'objectif que nous nous fixons pour chacune de nos manifestations ? Les résultats sont donc satisfaisants....
Merci à Luc Pécharman, notre fidèle délégué régional, et à la dynamique équipe du site ami "Nous sommes partout" cliquez ici qui a apporté une aide précieuse pour la tenue de cette réunion. Merci aussi aux orateurs, Robert Steuckers, Thierry Decrucy, Bruno Hirout, Arnaud Raffard de Brenne, Jules Dufresne, les écrivains Gaston Alcide et Philippe Landreux ainsi qu'aux animateurs locaux de la Dissidence française et à ceux de l'association artistique Theusz. Merci bien-sûr aux associations et mouvements présents qui tenaient des stands. Merci enfin à l'équipe logistique militante qui assura le bon déroulement de cette 7e édition des journées de Nieppe. Merci surtout aux amis, lecteurs et sympathisants, qui ont chaleureusement répondu à notre invitation à ce rendez-vous devenu incontournable des forces nationales et identitaires du Nord de la France. Il revenait à Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, de conclure cette réunion en revenant sur l'actualité politique de ces dernières semaines.
Nous reviendrons prochainement sur cet événement important dans la vie de l'association et de la revue Synthèse nationale.
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Les chroniques de Philippe Randa
Rémi Tremblay Présent cliquez ici
Le cerveau est bombardé par l’information. Tous les jours, avec les réseaux sociaux, les journaux, l’information en continu et les radios, l’homme occidental est submergé d’informations qu’il n’a pas toujours le temps de tempérer, relativiser et analyser. Il s’emporte pour certains faits divers, certaines nouvelles, mais cette passion est souvent momentanée et, quelques jours plus tard, la montée de lait ou de joie qui avait accueilli une annonce ou un événement est oubliée, remplacée par une nouvelle vague émotive effaçant de sa mémoire le scandale précédent.
Il faut être doué d’une mémoire considérable pour se souvenir de ce qui nous faisait lever de notre chaise l’an dernier ou même la semaine dernière. La mémoire, saturée par les nouvelles informations, ne parvient pas à garder le rythme de l’actualité. Question de prendre une pause et de justement revenir en arrière, revoir la dernière année, Philippe Randa nous propose Quand la peine le dispute à la colère, collection des chroniques qu’il publia en 2018 dans Présent, mais aussi des entrevues qu’il accorda à d’autres médias comme Synthèse nationale.
Dans ce 16e tome des « Chroniques barbares », tout y passe, des faits divers à la politique en passant par la culture, la littérature et les tendances sociales de fond.
Au-delà de l’exercice que constitue de se replonger dans cette année marquée par le départ de Johnny Hallyday, les dénonciations de #balancetonporc, l’affaire Benalla, l’inique procès d’Esteban et Samuel, mais aussi de quelque chose que personne n’avait pu voir venir, soit l’émergence des Gilets jaunes, on se fait plaisir à apprécier la plume de cet auteur prolifique, père de 119 livres à ce jour.
Contrairement aux éditorialistes de la grande presse qui tentent d’imposer leurs vues à leurs lecteurs, de moins en moins nombreux d’ailleurs, Randa suggère des réflexions, il les oriente, mais les laisse à la discrétion du lecteur considéré comme assez intelligent pour se faire lui-même une idée. Il questionne, soulève les pans d’ombre, mais se refuse à nous dicter quoi penser.
D’où l’intérêt de se replonger dans ces chroniques qui exigent de nous une certaine réflexion personnelle à laquelle le prêt-à-penser de la « grande presse » ne nous a pas habitués.
Randa n’écrit pas pour plaire à son public en le flattant dans le sens du poil et en le confortant dans ses idées, mais pour favoriser la réflexion, le débat. Ce n’est point l’oeuvre d’un doctrinaire ou un propagandiste, mais des propos libres d’un homme affranchi, attaché à la liberté d’expression menacée par les censeurs mais aussi par les monopoles médiatiques faisant main basse sur les moyens d’expression. Philippe Randa, un franc-tireur, dans le bon sens du terme, et non pas dans le sens partisan, qu’on aime lire tant pour le fond que pour la forme.
Quand la peine le dispute à la colère, Philippe Randa, préface de Richard Dessens, Éditions Dualpha, collection « Patrimoine des héritages », 212 pages, 25 euros. Pour commander ce livre, cliquez ici.
(Article paru dans les colonnes du quotidien Présent)
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dimanche, 28 avril 2019
Un président autiste
Le billet de Patrick Parment
La conférence de presse d’Emmanuel. Macron est très loin d’avoir répondu à l’attente des Français et des Gilets jaunes. A défaut d’annoncer des mesures concrètes, il a commencé par dire que le train des réformes déjà engagées était le bon et qu’il allait poursuivre son œuvre sur l’air de « demain ça ira mieux ». En attendant, Français, mettez-vous au boulot !
A la litanie des mesures sur des points de détail a succédé d’inquiétantes généralités en matière de fiscalité, dépenses publiques ou retraités. Enfin, s’il est heureux de prendre la défense de la veuve et de l’orphelin de préférence handicapé, pas un mot sur nos agriculteurs qui sont pour beaucoup d’entre eux en situation de détresse. Or, notre agriculture demeure l’un des poumons essentiels de notre économie et pas uniquement domestique. Pas un mot sur les équilibres à renouer entre la grande distribution et eux, voire la décélération d’une course à la production intempestive. Et donc à l’emploi de pesticides qui nous empoisonnent et qui conséquemment viennent enrichir les actionnaires. Ce n’est donc pas pour demain que l'on enrayera la mécanique libérale du produire plus. Produire plus pour quoi faire ?
Mais revenons à Emmanuel Macron et aux propos qu’il a tenus lors de cette conférence. En premier lieu, on notera qu’il a consacré plus de temps à la situation de politique générale, à l’ENA ou à la conception de son propre rôle qu’aux mesures économiques attendues. La plupart des questions fiscales ont été éludées : pas un mot sur la TVA ou le fardeau fiscal sur les commerçants et entrepreneurs, la promesse d’une baisse de l’impôt – non détaillée – ubuesque car payée par peu de Français. L’unique réforme économique précise étant la ré-indexation des petites retraites en 2020 puis de toutes. Au final, c’est peu dire que l’on reste sur notre faim par son absente de vision. Vision aussi étriquée qu’un costard d’énarque.
Pourtant les pistes ne manquaient pas, même en régime libéral : réserver le statut de la fonction publique aux seuls emplois régaliens, de laisser la liberté d’affiliation à tout régime de protection sociale, santé et retraites aux entrepreneurs, commerçants et artisans ; de réduire les divers impôts sur la production qui détruisent nos emplois et la TVA sur de nombreux produits cruciaux pour les plus faibles des Français ; de redonner du pouvoir d’achat aux Français en leur permettant de recevoir leur salaire complet et de décider eux-mêmes au moins d’une partie du financement de leurs retraites, comme de l’éducation de leurs enfants via le chèque éducation.
Ce manque d’audace marque bien les limites du personnage, ce qui nous promet des lendemains qui ne risquent pas de chanter. Car Macron s’est non seulement aliéné les classes populaires mais s’est mis à dos aussi les milieux économiques qui n’y comprennent plus rien. Le combat continue comme dirait l’autre !
09:55 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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DIMANCHE 28 AVRIL : NIEPPE (PRÈS DE LILLE) 2019 !
7e JOURNÉE RÉGIONALE DE SYNTHÈSE NATIONALE
LILLE - FLANDRE – ARTOIS – HAINAUT
FERME DE L’EPINETTE À NIEPPE (59)
776, rue de l’Epinette
(A 25, Lille / Dunkerque – sortie n°9)
AVEC DES INTERVENTIONS DE :
Luc Pécharman, délégué régional de Synthèse nationale
Arnaud Raffard de Brienne, écrivain, spécialiste de la réinformation
Gaston Alcide, écrivain, auteur de « Reconquête »
Robert Steuckers,essayiste (Bruxelles)
Bruno Hirout, membre de la direction du Parti de la France
Roland Hélie, directeur de la revue Synthèse nationale
Nombreux stands, librairies, mouvements, associations,
presse, restauration rapide sur place, bar…
ET LA PARTICIPATION DU MUSICIEN THEUSZ
ET DU SITE "NOUS SOMMES PARTOUT"
EN SAVOIR PLUS CLIQUEZ ICI
08:24 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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samedi, 27 avril 2019
Zombie ou Zombies
Bernard Plouvier
En lisant les propos de tel ou tel chef d’État ou de gouvernement occidental – et, pourquoi pas, ceux de notre toujours jeune et (redevenu) fringant Président -, l’on se pose inévitablement une question de fond : lequel de l’orateur ou des auditeurs est le mort-vivant, l’être sans volonté propre, le décérébré ?
On propose, pour initier la réflexion, une phrase écrite, dans un contexte de drame national, le 29 mai 1940 (extraite de L’honneur de servir, de l’amiral Gabriel-Paul Auphan) : « Nos enfants ou petits-enfants ranimeront la flamme que vingt ans d’égoïsme et de saletés politiques ont éteinte »… en signalant que, pour nous, Français du XXIe siècle, ce ne sont pas vingt, mais une grosse quarantaine d’années de saletés politiques (de 1976 à nos jours).
Lorsqu’on nous parle de fonction publique, dans des discours d’une ringardise à faire bouillir de rage, l’on se dit que l’orateur n’est pas sérieux. Le nombre des employés de l’État et des collectivités est monstrueux si on le compare à la quantité et à la qualité du travail fourni. Il n’y a aucune raison de justifier une réduction d’un chiffre pléthorique.
Pour prendre un exemple simple que l’auteur de ces lignes connaît un peu, il est évident que, dans les hôpitaux publics, il y a suffisamment de médecins, d’infirmières et d’aides-soignant(e)s pour soigner correctement les patients… à condition d’en revenir à l’état d’esprit antérieur à celui des « 35 heures ». Le métier de soignant en hôpital public est fait pour qui veut se dévouer à la collectivité, nullement pour qui veut jouir de hauts revenus et de longs loisirs. Seul le nombre de postes administratifs est à revoir, par un dégraissage des deux tiers.
Le chômage restera considérable tant que l’enseignement ne sera pas adapté aux besoins réels de notre monde et tant que l’on acceptera la concurrence déloyale d’importations de médiocre qualité venant de pays réellement esclavagistes où les salaires sont misérables et la protection sociale nulle. Mais quel est le roitelet européen, temporairement mis en avant par un électorat mal informé, qui oserait contrarier la production exotique, la grande distribution et le milieu de la finance, le tout dirigeant notre merveilleux système d’économie globale ?
Quel est le Zombie ? Celui qui vante les institutions de la CEE ou celui qui estime que l’euro – qui n’est même pas « monnaie unique » - et l’abolition des barrières douanières furent des mesures injustes parce que l’on n’avait pas, au préalable, harmonisé le coût social du travail. Pour complaire aux maîtres de l’économie globale, on a délibérément sacrifié l’industrie des pays à salaires convenables. Le marché unique européen fut une excellente affaire pour les requins de la production et de la distribution et une catastrophe pour plusieurs dizaines de millions d’Européens autochtones privés d’emploi et de dignité.
Et comme les Européens conservaient, de deux millénaires d’histoire douloureuse, le sens de l’épargne et se méfiaient du consumérisme, la grande distribution aux mains de géants de la finance a organisé l’invasion des pays européens encore riches par des dizaines de millions d’illettrés, impropres à tout emploi, parfois vandales, pillards, tueurs à l’occasion, en interdisant aux nations autochtones, envahies, molestées, dépouillées, de grogner sous peine de subir l’excommunication majeure : l’accusation de « Racisme ».
Qui est le Zombie ? Celui qui nie la possibilité de remplacement de la population majoritaire de certains pays d’Europe occidentale ou celui qui jette un œil effaré aux statistiques sur les « naissances à risque de drépanocytose » ou qui fréquente n’importe quelle maternité de France, Belgique, Grande-Bretagne, Allemagne ? Jamais les Européens n’ont rechigné à former les élites d’Afrique ou du Proche-Orient, mais ces hommes et ces femmes ont le devoir, études et expérience de base faites, de retourner chez eux pour servir leur pays.
Qui est le Zombie ? Celui qui prend peur une fois tous les dix ans, lorsqu’une grogne populaire se rapproche un peu trop du quartier gouvernemental de la capitale ou du palais préfectoral, ou celui qui vit en permanence au contact des voyous issus d’une immigration parasitaire, probablement indésirée… mais, comment le savoir, puisqu’on se refuse à prendre l’avis de la Nation souveraine ?
Qui est le Zombie ? Celui qui importe des millions d’extra-Européens pour « repeupler » ou celui qui combat la Loi Veil sur l’avortement de complaisance – qui plus est, remboursé par la Sécurité Sociale ?
Qui est le Zombie ? Celui qui gémit lorsque, une fois par décennie, on tague les murs d’une synagogue ou que d’immondes crétins souillent un cimetière juif ou l’athée, en principe impartial, qui constate avec effarement que l’on détruit ou vandalise, mois après mois, des églises catholiques, soit – depuis la loi de 1905 - le patrimoine architectural et culturel de tous les Français ?
Pour conclure, on citera un auteur détesté de « l’élite parisienne » de notre triste époque (et c’est tout à son honneur) : « Passer de la barbarie à la civilisation en poursuivant un rêve, puis décliner et mourir dès que ce rêve a perdu de sa force, tel est le cycle de la vie d’un peuple » (Gustave Le Bon, Psychologie des foules).
Sommes-nous mûrs pour le retour à la barbarie ? Dans ce cas, c’est assez simple : il suffit de laisser faire – laisser passer les immigrés – et dans trente années la République franchaouie sera régie par la charî’a, idem pour le Royaume Uni des Pakistanais, Hindous et Antillais (ex-Grande-Bretagne), pour la Seconde République Turque, implantée entre Rhin et Oder, ou la République Congolaise d’Outre-Quiévrain.
À chacun de décider, après s’être informé, avoir regardé autour de soi et réfléchi à son devoir de citoyen.
11:28 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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À MIDI AUJOURD'HUI SAMEDI : DR MERLIN SUR RADIO COURTOISIE NOUS PARLE DE CODREANU
11:24 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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journal du chaos
09:30 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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vendredi, 26 avril 2019
LE NOUVEL ALBUM CD DES BRIGANDES EST EN VENTE SUR LE SITE SYNTHÈSE ÉDITIONS
23:00 Publié dans CD | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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jeudi, 25 avril 2019
Du malheur de naître aux États-Unis
Ils se désignent eux-mêmes comme des « Américains par accident ». Qui ? Ces quelques milliers de Français nés aux États-Unis sans y avoir ensuite vécu longuement. Ces « Étatsuniens accidentels » connaissent aujourd’hui tous les désagréments que confère cette citoyenneté. Ils ne peuvent plus ouvrir de compte bancaire en France, car les banques de l’Hexagone ne veulent pas mécontenter l’administration fiscale US.
Les États-Unis d’Amérique sont l’un des rares États au monde à exiger de leurs expatriés le paiement des contributions. L’IRS (le fisc US) réclame des organismes financiers occidentaux le maximum d’informations personnelles sur les assujettis de Washington. Les Français – Étatsuniens sans le vouloir – subissent un harcèlement psychologique incessant. Ils ont beau clamer qu’ils sont d’abord et avant tout citoyens français, les fonctionnaires yankees restent inflexibles.
Quant à renoncer à la nationalité étatsunienne, elle est presque impossible et nécessite pour le moins, est-ce étonnant ?, de longues et coûteuses démarches. Bien entendu, ni Paris, ni l’Union dite européenne n’osent défendre ces Étatsuniens malgré eux. Aucun ne veut heurter le maître outre-Atlantique qui leur impose déjà les carcans de l’OTAN et du réseau SWIFT de surveillance financière généralisée.
Par crainte du politiquement correct, personne en revanche ne désigne l’origine de cet imbroglio juridique : le droit du sol en vigueur aux États-Unis. Espace structuré par des zélateurs des horribles Lumières et fondé sur le génocide amérindien, cet artefact s’imagine en avant-garde de l’humanité. Le jus solis y est si puissant qu’on ne peut pas prétendre à la Maison Blanche si on ne naît pas sur le sol étatsunien.
« Naître quelque part » pour reprendre le titre d’une sinistre chanson française des années 1980 ne fait pas de facto du natif fortuit un membre effectif de la communauté d’appartenance locale. Bien d’autres facteurs entrent en jeu. Une fois encore, le droit du sol contribue surtout à rendre les collectivités politiques toujours plus cosmopolites, fragmentées et fragiles. Il est temps de retrouver la sagesse de Périclès et de restaurer le droit du sang.
Bonjour chez vous !
• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°121, mise en ligne sur TV Libertés, le 15 avril 2019.
22:30 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Bérénice Levet : "Libérons-nous du féminisme !"
Le Cercle Pol Vandromme recevra Bérénice Levet qui présentera son dernier livre "Libérons-nous du féminisme !" Le mercredi 8 mai à 19h au Thon Hotel Stéphanie à Bruxelles
Dans "Libérons-nous du féminisme !" elle fustige avec talent et rigueur les dérives du néoféminisme qui n’est plus que « criminilisation du désir masculin, guerre des sexes, néopuritanisme, épuration culturelle, politique du deux poids-deux mesures lorsque le mâle est musulman… ».
22:15 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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L'émission "Synthèse" du jeudi 25 avril sur Radio Libertés avec Roger Holeindre
20:07 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Déroulement de la journée du 12 mai avec Civitas à Paris
17:56 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Vincent Lambert condamné à mort, malgré le rapport des experts
Marie Mérotte, Ecrivain cliquez ici
Le Conseil d’État a confirmé, aujourd’hui, la décision du tribunal administratif de Châlons-en-Champagne d’arrêter de nourrir et d’hydrater Vincent Lambert, ce qui revient à le faire mourir de faim et de soif alors même qu’il est vivant.
Les experts mandatés par le tribunal administratif avaient pourtant précisé, dans leur rapport, que la prise en charge de Vincent Lambert ne relevait pas de l’acharnement thérapeutique ou d’une obstination déraisonnable. La Justice ne les a pas suivis. Elle condamne, aujourd’hui, Vincent Lambert à une mort certaine en s’appuyant sur la loi Claeys-Leonetti qui a ouvert la porte à l’euthanasie en France. Vincent Lambert sera plongé dans un état de sédation profonde et continue conformément à cette loi.
Condamner à mort Vincent Lambert, c’est signifier aux personnes handicapées que leur vie n’a aucune valeur aux yeux de la société.
Vincent Lambert est pourtant vivant et il n’est pas maintenu artificiellement en vie. C’est pourquoi ses parents se battent sans relâche pour le sauver.
Saisi par ses parents, opposés à l’arrêt des soins de leur fils Vincent, ainsi que par deux de ses frères et sœurs, le Conseil d’État a entendu, en mars dernier, les divers protagonistes en appel de la décision du tribunal administratif de Châlons-en-Champagne. En janvier 2019, le tribunal avait, en effet, estimé que le traitement qui était donné à Vincent Lambert pour l’alimenter et l’hydrater (par voie entérale) relevait de l’obstination déraisonnable et avait donc refusé d’annuler la décision d’arrêt des soins prise par le Dr Sanchez, du CHU de Reims, après une longue bataille judiciaire où avaient été mises en cause les conditions de réalisation de l’expertise de l’état de Vincent et l’impartialité du tribunal.
Actuellement, Vincent Lambert est dans un état stable et consolidé. Il n’est pas en fin de vie. Tous ses organes vitaux fonctionnent sans appareillage palliatif ni branchement quelconque. Et pourtant, il n’est toujours pas pris en charge de manière adaptée à son état dans un établissement spécialisé. Le CHU de Reims, qui a toujours refusé son transfert, a préféré lancer des procédures d’arrêt des soins qui sont, en réalité, ici, autant de tentatives d’euthanasie d’une personne handicapée.
Les experts judiciaires mandatés en 2018 par ce même tribunal administratif ont écrit, noir sur blanc, que le traitement de Vincent Lambert ne relève pas d’une obstination déraisonnable. Ils ont, également, évoqué la possibilité de son transfert. Rappelons qu’en avril 2018, 70 médecins avaient écrit que Vincent Lambert n’était manifestement pas en fin de vie.
Il est fort probable que l’arrêt d’alimentation et d’hydratation entérales ainsi que la sédation profonde et continue de Vincent Lambert seront rapidement mis à exécution. Plongé dans un état de sommeil sans retour en arrière possible, il ne sera plus ni alimenté ni hydraté et mourra de déshydratation, dans des souffrances que personne ne peut décrire.
15:27 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Samedi 4 mai : Pierre Hillard à Aix-les-Bains (73)
14:25 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Appel à se mobiliser pour Notre-Dame de Paris et pour sainte Jeanne d'Arc
Père Laurent, aumônier de Civitas, ofm cap.
Chers Amis,
C’est avec le cœur endolori par l’incendie de Notre-Dame de Paris que se déroulera cette année notre défilé en l’honneur de sainte Jeanne d’Arc. Comme si cette souffrance ne suffisait pas, cet événement a soulevé un inimaginable déferlement de haine contre l’Eglise catholique et la France chrétienne. Les vrais Français ne peuvent rester insensibles en face de ce torrent de blasphèmes. Oui, Notre-Dame de Paris, sur l’Ile de la Cité, c’est le cœur de notre capitale. C’est là que Louis XIII, en 1638, consacra la France à la Sainte Vierge, en action de grâces pour la protection divine obtenue dans les périls qu’il eut à affronter. « Pour monument et marque immortelle de la consécration présente que nous faisons,dit-il, nous ferons construire de nouveau le grand autel de l’église cathédrale de Paris avec une image de la Vierge qui tienne entre ses bras celle de son précieux Fils descendu de la Croix ; nous serons représentés aux pieds et du Fils et de la Mère, comme leur offrant notre couronne et notre sceptre ». Souvenons-nous que le premier spectacle que virent les pompiers après l’incendie, ce fut précisément ce même autel encore éclairé par les projecteurs.
C’est aussi dans ce sanctuaire que débuta le procès qui annula la condamnation de sainte Jeanne d’Arc. Cette illustre sainte nous rappelle que la solution de nos drames terrestres vient d’abord du Ciel. Les fléaux infligés aux nations sont le châtiment des péchés de leurs enfants. Ces offenses demandent réparation. Mais la sainte guerrière nous dit aussi qu’il faut lutter. C’est par la résistance armée et l’attaque hardie que, au nom de Dieu, elle bouta l’envahisseur hors de France.
Comme Jeanne nous en montre l’exemple, le défilé sera d’abord un témoignage de foi. Pour la première fois, il commencera par le saint Sacrifice de la Messe, lequel sera célébré « pour la France blessée au cœur par l’incendie de Notre-Dame de Paris ». Seul le Sang de notre Rédempteur, répandu sur nos autels, peut réparer les blasphèmes et attirer sur notre pays la pitié divine. En ce 12 mai, veille de l’anniversaire de la première apparition de la Sainte Vierge à Fatima, sera renouvelée la consécration de Civitas au Cœur Immaculé de Marie.
En outre, nous demanderons à sainte Jeanne d’Arc d’être, comme elle, « sans peur et sans reproche, dans les camps comme au champ de bataille » (cardinal Pie). Car, comme le disait saint Pie X lors d’une allocution pour sa béatification (13 décembre 1908), « de nos jours, la force principale des mauvais, c’est la lâcheté et la faiblesse des bons, et tout le nerf du règne de Satan réside dans la mollesse des chrétiens ! ». Venez donc nombreux, chers Amis, pour l’honneur de Notre-Dame et de sainte Jeanne d’Arc, et pour le salut de la France chrétienne. Que Dieu vous bénisse !
14:01 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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JEUDI 25 AVRIL : ROGER HOLEINDRE À L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR RADIO LIBERTÉS
11:42 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine
10:53 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mercredi, 24 avril 2019
Macron le liberticide et son "conseil" viennent de dissoudre ale Bastion social : ils montrent leur vrai visage
Réaction de Synthèse nationale :
Dès les premières menaces émises par Macron lors du dîner du Crif en février dernier, Synthèse nationale, par l'intermédiaire de son directeur Roland Hélie, avait lancé un appel cliquez ici pour tenter de raisonner l'occupant actuel de l'Elysée. Visiblement celui-ci, avec son redoutable ministre de l'Intérieur dont l'étendue de l'incompétence nous épate à chaque fois qu'il est confronté à un problème (c'est à dire à peu près toutes les fins de semaines), n'ont pas tenu compte de cet appel signé par une centaine de personnalités de l'opposition patriotique éprises de libertés cliquez là. Ils sont restés sourds face aux arguments que nous avions avancés, ils viennent de dissoudre le Bastion social.
Cette mesure liberticide est ridicule car jamais une dissolution n'a empêché les forces de la résistance nationale de continuer leur combat. A la limite, les dissolutions, émanant toujours de pouvoirs aux abois, les ont plutôt renforcées.
Au moment où la France sombre dans l'anarchie totale, au moment où notre identité européenne est assassinée par un pouvoir à la solde du parti de la finance mondialisée qui encourage le grand remplacement, au moment où les milices armées auxiliaires de la police (les blacks blocs et autres larbins antifascistes) saccagent nos villes, Macron, en prononçant la dissolution de Bastion social, vient de s'en prendre aux forces nationales et identitaires dans leur ensemble. Il désigne ainsi les vrais ennemis du Système qui asservi la France... Il devra un jour en subir les conséquences et rendre des comptes au Peuple et à la Nation...
Lire l'article de Présent sur l'appel cliquez ici
20:15 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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La bande d'inconséquents qui sert encore de gouvernement à ce qu'il reste de la France vient de prononcer la dissolution du Bastion social...
La réaction de Thomas Joly,
Secrétaire général du Parti de la France
Le ministère de l’Intérieur a annoncé avoir réglé cette question lors du Conseil des ministres de ce mercredi 24 avril.
Le 20 février dernier, lors du dîner du Crif (Conseil représentatif des institutions juives de France) et au lendemain de la profanation de 96 tombes dans un cimetière juif alsacien, le chef de l’État s’était engagé à dissoudre trois associations d’extrême droite pour assouvir les pulsions de ses hôtes.
Pendant ce temps, les groupes ultraviolents d'extrême-gauche et les organisations islamistes radicales ne sont pas inquiétées...
19:32 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Comme tout le monde... Pinatel se pose des questions !
Source Pinatel cliquez ici
16:45 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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JUAN BRANCO: "Macron a été élu par une mafia !"
Condensé de son dernier passage
chez Thinkerview illustré
16:33 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Nathalie Loiseau serait amnésique. C'est plutôt inquiétant pour son avenir...
Roland Hélie
Directeur de Synthèse nationale
Mais non Nathalie, il n'y a aucune honte à avoir été candidate de l'Union des étudiants de droite lorsque tu sévissais à Science-Po*. En revanche, ce qui est honteux c'est de vouloir faire croire que tu ignorais la nature de ton engagement d'alors.
Pourtant, "Union des étudiants des droites", c'était difficile d'être plus claire... De l'UNI au GUD, en passant par quelques militants de l'œuvre française, tout ce que la vénérable école comptait d'anti-communistes et de nationalistes se retrouvait dans ce syndicat. Alors, toi qui était en quatrième année, tu ne savais donc pas de ce dont il s'agissait ? Laisse-nous rire aux éclats.
Il est vrai qu'à cette époque, pour contrer l'omniprésence des gauchistes de toutes obédiences dans l'Université, les nationalistes n'hésitèrent pas, parfois, à ruser. Il y eu ainsi une Fédération des étudiants de Picardie, une Union des étudiants d'Alsace, un Renouveau étudiant à Bordeaux... des appellations imaginatives qui pouvaient, admettons-le, amener l'étudiant moyen à s'interroger sur le positionnement politique de ces syndicats locaux. Mais, avec l'"Union des étudiants des droites"... il ne pouvait pas y avoir de tromperie sur la marchandise.
Ton attitude face aux "révélations" de Mediapart est vraiment déplorable. De deux choses l'une, soit tu es idiote et inculte, ce que nous n'osons pas imaginer ; soit le milieu que tu fréquentes maintenant, LREM en l'occurrence, est tellement sectaire et fanatique que tu ne trouves rien de mieux que d'invoquer ta crédulité de jeune fille effarouchée pour te défendre. Ce n'est pas très courageux...
Et le plus grave, c'est que maintenant tu voudrais t'imposer comme le rempart face à "l'extreme droite". Décidément, tu n'arrêtes pas de nous faire rigoler, Nathalie. Une chose est sûre, c'est que si tu as fréquenté les nationalistes dans ta jeunesse, tu n'as rien retenu de l'éthique qui anime leur idéal. Le reniement est l'apanage des poltrons démocrates, pas celui des "fachos".
Depuis le début de la Ve République, nombre d'élus, voire de ministres, firent leurs premières classes dans la mouvance nationaliste. Face à l'adversité, reconnaissons-le, peu renièrent leurs engagements d'antan (après tout, on a le droit de changer d'idées) et, parmi eux, certains firent même de brillantes carrières. Néanmoins, quelques uns se crurent obligés, lorsqu'ils se virent débusqués par les petits flics de la pensée dominante, de cracher sur leur passé. Ces méprisables personnages sont vite tombés dans les oubliettes de l'Histoire... et c'est sans doute mieux ainsi.
Nathalie, avec ta liste LREM, tu as la prétention de défendre les intérêts de la France dans l'Union européenne. Permet-nous de te dire que, vue ton attitude aujourd'hui, on a de bonnes raisons d'être inquiets pour demain... Mais, rassure-toi, que tu ai été membre de l'UED ou non, cela n'a pas vraiment d'importance car nous n'avions aucunement l'intention de voter pour toi...
* Si je te tutoie dans cet article, c'est parce que dans la mouvance nationaliste, hier comme aujourd'hui, tout le monde se tutoie. Ainsi, tu vois bien que nous ne sommes pas rancuniers.
09:50 Publié dans Editoriaux, Européennes 2019 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Dimanche 28 avril, Roland Hélie interviendra lors de la 7e Journée régionale de Synthèse nationale à Nieppe (59)
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mardi, 23 avril 2019
La pédophilie..., une “orientation sexuelle” ? Nous y voilà !
Le cardinal Joseph Tobin, archevêque de Newark, Etats-Unis, aimerait bien que l'on modifie le Catéchisme de l'Eglise catholique. En qualifiant l'attraction homosexuelle d’« intrinsèquement désordonnée », a-t-il déclaré lors d'une interview sur une chaîne nationale, l’Eglise se rend coupable d’une formulation « très malencontreuse », et il espère qu'elle saura tenir à l'avenir un discours moins « blessant », quels que soient les résultats de sa réflexion sur les relations homosexuelles en elle-mêmes.
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Le PFN est toujours présent... rue du Louvre à Paris
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Le Puy du Fou 2019
09:42 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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lundi, 22 avril 2019
Les Brigandes viennent de sortir un nouvel album : CONTRE LE TEMPS
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SRI-LANKA : « MEURTRES AU PARADIS »
Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat
L’île de Ceylan, rebaptisée République du Sri Lanka par les autochtones, peut-être la plus belle perle de l’ancien collier colonial britannique, a été frappée le dimanche de Pâques par une vague d’attentats anti-chrétiens sans précédent.
Pourtant l’île, pendant la guerre civile entre Cinghalais et Tamouls, en avait connu des horreurs, avant que l’armée nationale n’écrase définitivement dans leur enclave du nord-ouest, dans la péninsule de Jaffna, les « Tigres Tamouls » de l’Etat autoproclamé de l’Eelam. La mort de Velupillai Prabahakaran, chef des Tigres de Libération de l’Eelam tamoul (LTTE), en mai 2009 (1), sonna le glas de leurs espérances séparatistes. Cette guerre avait fait en trois décennies plus de 70 000 morts, chiffre à rapprocher de la population, 20 millions d’âmes. Selon un bilan provisoire à l’heure où ces lignes sont écrites, c’est environ 300 personnes qui ont trouvé la mort dans l’explosion de bombes déposées dans trois églises, notamment Saint-Antoine à Colombo (2), et quatre hôtels, dont le Cinnamon Grand Hôteloù un musulman, Mohamed Azzam Mohamed,s’est fait exploser parmi les clients. L’heure et le jour n’ont pas été choisis au hasard, c’est en pleine célébration de la messe pascale que ces engins de mort ont explosé. De Londres à Washington en passant par Paris ou New-Delhi, c’est la stupeur et l’indignation qui se sont exprimées. Un émoi considérable a frappé les croyants, à commencer par ceux qui se trouvaient au Vatican, le cœur de la Chrétienté. Mais si le pape François n’a exprimé que « sa tristesse », l’archevêque de la capitale cinghalaise a demandé que les coupables « soient châtiés sans pitié ». Un curé de choc, lui, pas un « bisounours » papal !
Une carte postale souillée
La carte postale sri-lankaise, avec ses plages ourlées de cocotiers, ses temples immaculés, ses collines assaillies de plantations de thé, et sa jungle pacifique où fût tourné, notamment, le film « Le pont dela rivière Kwaï » , est sérieusement écornée. Bien qu’une autre bombe ait été désamorcée sur la route menant de la capitale à l’aéroport, ce dernier est resté ouvert au trafic, sous très haute surveillance. La police a officiellement annoncé avoir arrêté des suspects en liaison avec ces actes de terreur. Les regards se tournent vers le National Thow Heeth Jarma’ath (NTJ), une organisation islamiste qui s’était déjà fait connaitre pour son hostilité au bouddhisme. Mais certaines rumeurs, - malveillantes, pour brouiller les pistes ? -, évoquent certains militaires, courroucés, par l’intrusion de chrétiens dans les enquêtes concernant la répression menée contre les Tigres tamouls. Toujours est-il que…
… Là comme ailleurs, « le bien vivre ensemble » est soumis à rude épreuve…
Les attentats de Colombo et de Batticaloa ne sont que les énièmes actes christianophobes qui ensanglantent ou mutilent la planète, du Caire à l’Irak, en passant par notre France profonde où les autorités semblent bien plus préoccupées par une imaginaire islamophobie, que par une réelle haine anti-chrétienne, telle qu’elle s’est exprimée, par exemple, sur les réseaux sociaux à l’occasion de l’incendie de Notre Dame. Incendie, d’ailleurs, dont on ignore encore, à ce jour, les origines et qui, sans complotisme aucun, est peut-être d’origine criminelle. Mais le saura-t-on jamais un jour ? Ce qui ne doit pas faire oublier non plus le départ de feu suspect à Saint-Sulpice, ou les profanations diverses et variées, - d’inspiration sataniques ? -, des cimetières et autres lieux ou symboles chrétiens, calvaires, crucifix etc…
Le Sri-Lanka, avec sa population composite, ethniquement et religieusement divisée, est l’exemple type du refus du « bien vivre ensemble ». Les communautés se supportent, plutôt mal que bien, ici comme ailleurs, à Chypre, au Liban, en Turquie, en Palestine/Israël, aux îles Fidji, Bosnie, etc…Bref partout où l’on oblige des peuples à vivre « dans le même sac » étatique. Et ce ne sont pas les évènements que connaissent quotidiennement nos banlieues, qui démentiront le constat. Le Sri Lanka sort d’une longue et furieuse guerre civile-raciale qui a opposé les « indigènes », les Cinghalais, principalement bouddhistes, -70 % de la population- , aux immigrés tamouls venus de l’Inde dravidienne et à leurs descendants, importés par le colonisateur anglais pour travailler dans les plantations de thé. Ces derniers étaient généralement musulmans, leur pourcentage tournant autour de plus ou moins 10 %, comme d’ autres Sri-Lankais de religion hindouiste. Le reste étant chrétien ou animiste.
Le tourisme local est en grand danger
Le ministère des affaires étrangères local a déclaré à l’AFP « qu’autour de 37 étrangers sont morts,sur lesquels 11 ont été identifiés. Certains des corps sont mutilés et il est compliqué de lesidentifier »…C’est ainsi que le magnat du prêt -à -porter danois a perdu l’essentiel de sa famille. Voici une terrible situation qui ne va pas arranger le tourisme, une activité employant une nombreuse main-d’œuvre, tourisme qui venait de repartir après les « années de plomb » de la guerre contre les rebelles Tamouls. D’autant que la situation politique est compliquée : si le président de la République, Maithripala Sirisena, leader de la coalition de gauche United people freedom aliance(UPFA) a été élu en 2015, c’est le parti de droite de Mr Rani Wickremesinghe de National front for a goodgouvernancequi occupe la primature ! Une situation ubuesque qui ne facilite pas la cohabitation pourtant nécessaire entre deux hommes en conflit politique permanent, dans une île en proie à la corruption, à la pauvreté et à l’intransigeance religieuse.
Notes
(1) Selon des sources officielles, il aurait été abattu en fuyant dans une ambulance, en compagnie de deux de ses lieutenants.
(2) La capitale a été transférée dans la banlieue sud-est de Colombo, à Kotte, rebaptisée pour la circonstance «Sri Jayawardenapura Kotte ». Une tendance très asiatique, avec la Birmanie (Myanmar) et la Malaisie, qui ont délaissé leurs capitales, respectivement Rangoon et Kuala-Lampour au profit de villes nouvelles, Naypydaw et Putrajaya.
17:07 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Yvan Benedetti face à la répression
Un communiqué de Jeune nation :
Condamné en 1ère Instance en juillet de l'année dernière à 4000 € d'amende ou 80 jours de prison, Yvan Benedetti sera de nouveau jugé en appel mardi 7 mai à 16h, à Lyon.
Il est poursuivi au motif de « reconstitution et maintien » de ligue dissoute ce qui constitue selon la citation qu’il a reçue, d’inversion accusatoire, « un crime contre la Nation et une atteinte à la sureté de l’Etat ». Durant l'enquête, devant les policiers, puis devant le juge d'instruction et enfin devant le tribunal, Yvan Benedetti a toujours réaffirmé la permanence de l'Œuvre française et à travers l'Œuvre, celle du nationalisme, et à travers le nationalisme, celle de la France! N'a-t-il pas déclaré haut et fort qu’ « à moins de le dissoudre dans l’acide, il ferait toujours face » et que « l'Œuvre française est comme la braise qui continuerait à luire alors que l'on ne parlerait plus ni de Valls ni Hollande » responsables de la dissolution. Aujourd'hui François Hollande n'est plus qu'un ancien président et Manuel Valls a déserté le champ de bataille, pour continuer ses activités à l'étranger.
Avant cela, le 25 avril, Yvan Benedetti est convoqué devant des membres de la commission parlementaire en charge des « violences d’extrême droite » pour y être entendu. Cette commission, constituée à la demande de la France Insoumise, regroupe des députés de l’ensemble des groupes siégeant à l’Assemblée prétendument nationale et est présidée par le député de l’Hérault du parti du Frère Mélenchon Mme Muriel Ressiguier, issue d’une famille communiste, elle-même ancienne militante de « Ras l’Front ». Elle s’est distinguée en demandant notamment en mars 2018 au président de leur république la dissolution de la « Ligue du midi » du camarade Roudier et en réclamant, auprès de la mairie de Montpellier, la suppression des subventions accordées pour les fêtes patronales « Saint-Roch » de cette ville. Personne n’oserait mettre en doute la parfaite impartialité d’un tel personnage… Rappelons que siège notamment dans cette commission le député Meyer Habib, qui faisait partie des agresseurs du cortège traditionnel en honneur de Sainte Jeanne d’Arc, organisé par l'Œuvre française, en 1988, attaque au cours de laquelle a été blessé Yvan Benedetti.
C’est toujours ce même procédé d’inversion accusatoire, utilisé sans vergogne par les mêmes, contre les mêmes, dans l’intérêt des mêmes…
Ni les menaces, ni les convocations parlementaires, ni les procès ne feront jamais baisser la tête de ceux qui sont engagés dans le combat pour le rétablissement de la France. Encore faut-il que nous soyons unis et solidaires. C’est ainsi que nous serons plus forts.
Si vous voulez aider Yvan Benedetti, confronté une fois de plus à la répression, trois possibilités:
En venant le soutenir au Tribunal des 24 colonnes, cour d'Appel dans le Vieux Lyon, le mardi 7 mai à 16h.
En relayant l’information car il faut alerter.
En participant aux frais de justice.
Par chèque ou espèces à l’adresse suivante : Les Natios – Yvan Benedetti 4 bis rue Caillaux 75013 Paris (Chq à l’ordre d’Yvan Benedetti)
11:37 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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L’exemple ukrainien
Par Patrick Parment
La victoire d’un acteur de série télévisée en Ukraine, Volodymyr Zelensky, aurait de quoi surprendre si le niveau de corruption et l’incapacité de Petro Porochenko à ramener la paix dans le pays n’avaient largement exaspéré une population au bord de la crise de nerf. Aussi, est-ce sans surprise que le programme de Zelensky se soit borné à une lutte contre la corruption et au retour de la paix. Ce qui veut dire également qu’il sera contraint, mais non forcé, de prendre langue avec son puissant voisin russe qui détient les clés du Donbass. Au même tire que de renégocier avec l’Union européenne. Mais sur quelles bases ? C’est sur ce terrain – par-delà la corruption – que Porochenko s’est un peu emmêlé les crayons, suscitant la défiance des uns et des autres. L’autre leçon que l’on peut tirer de cette élection surprenante, c’est que les peuples savent trancher quand il le faut.
Voici qui nous renvoie à l’élection européenne du mois de mai où se manifeste également une forte suspicion à l’égard d’une institution de plus en plus critiquée dans ses modes de fonctionnement. Certes, a priori, le clan des libéraux est suffisamment amarré dans cette Europe pour en attendre un tsunami populiste. Mais le futur Parlement se verra dans l’obligation de tenir compte des fortes tendances qui vont inexorablement se faire jour. Le Brexit fait déjà office de coup de semonce. Sauf qu’il s’agit d’un phénomène typiquement Bristih, c’est-à-dire insulaire. Car, dans les pays continentaux, nul ne souhaite la mort de l’Europe. Mais beaucoup souhaite un mode de fonctionnement plus démocratique, plus « nationaliste », à savoir une Europe des patries et non plus celle de fonctionnaires anonymes et irresponsables. Sinon, à terme, l’Europe pourrait subir un séisme ukrainien.
08:58 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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