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mardi, 28 août 2018

CONTRE LE CONCERT DE MÉDINE AU BATACLAN : MOBILISATION GÉNÉRALE !

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Le krach, tout le monde y pense sans en parler de peur de déclencher les foudres divines.

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Marc Rousset

Le krach, tout le monde y pense sans en parler de peur de déclencher les foudres divines. Tel le furet du bois joli, certains le voient poindre à la moindre alerte sur la devise turque, sur les fausses déclarations officielles rassurantes au sujet de la Grèce, à la moindre hausse des taux d’intérêt et du « spread » italien par rapport au taux allemand. Ce n’est pas pour rien, non plus, que les autorités chinoises obligent le groupe HNA à se délester de 50 milliards de dollars d’achats d’actifs à l’étranger ces dernières années (Pierre et Vacances, Hilton, Radisson…) tout comme les groupes Fosun (Club Med), Wanda (immobilier, parcs d’attractions) et Anhang (assurances).

Le krach d’un système mondial surendetté repoussant sans cesse les faillites à venir en empruntant davantage, en maintenant artificiellement les taux d’intérêt à la baisse (pressions actuelles de Trump sur la Fed) et en pratiquant une politique monétaire laxiste (USA, BCE, Japon, Grande-Bretagne), aura bien lieu, mais où et quand dans un premier temps ? Personne ne le sait… Il est, par contre, possible d’imaginer ce qui se passera après le krach.

Nous vivons actuellement les derniers moments du système du dollar roi qui s’est installé sournoisement, diamétralement opposé au système sécurisant et conservateur de l’étalon-or qui a duré jusqu’en 1914, malheureusement enterré suite aux nécessités de financer les dépenses exponentielles de la Première Guerre mondiale alors en cours.

De 1914 à 1944, l’or s’est moins déplacé physiquement, mais il gardait malgré tout son rôle salvateur d’étalon puisque, par exemple, la Réserve fédérale américaine était tenue de garder dans ses coffres une quantité d’or correspondant au minimum à 40 % de la monnaie en circulation.

En 1945, à Bretton Woods, les États-Unis ont imposé le dollar pour remplacer partiellement l’étalon-or en partant du principe que le monde entier avait soif de dollars et en décidant d’abaisser à 25 % au lieu de 40 % la couverture or physique détenue à Fort Knox. En 1965 et 1968, l’Amérique a décidé de se libérer de la contrainte minimum or des 25 %. Et, en 1971 – ce qui a été le pot aux roses et le début du dérèglement du système financier international, dont nous voyons aujourd’hui les catastrophiques conséquences -, Nixon décida tout simplement, unilatéralement, du fait du prince, que le dollar ne serait plus convertible en or, ce qui revenait à remplacer totalement l’étalon-or par l’étalon-dollar dans le monde.

Est apparu alors un système où les capitaux du monde entier étaient appelés à circuler librement avec des taux de change flottant au jour le jour entre les monnaies, la devise de référence principale étant le dollar, mais sans aucun arrimage à un étalon universel et physique.

Tant que le krach et la catastrophe à venir n’ont pas encore eu lieu, personne ne se hasarde à demander, bien évidemment, le rétablissement immédiat de l’étalon-or, conscient que cela briserait tout net, immédiatement, la croissance comme une subite douche glacée après un bain laxiste brûlant, avec une terrible récession à la clé.

En revanche, après le krach, une fois les agents économiques ruinés, il faudra tout reconstruire de zéro. Il est alors très probable que nous vivrons dans un monde sans libre-échange mondialiste, avec des zones autarciques protectionnistes autocentrées et un commerce international réduit au strict échange des produits indispensables à l’importation car non présents ou impossibles à produire dans une zone autarcique (USA, Chine, Russie, Europe de l’Ouest, Japon).

Apparaîtront, alors, quelques grandes devises internationales correspondant à chaque zone autarcique convertibles en or (euro, yuan, dollar, yen). Ce jour-là, les partisans de l’or, les « cocus » du système actuel ne profitant pas des bulles boursières et immobilières, tiendront leur revanche avec la montée à la verticale du prix de l’or, ce qui fut le cas de l’Allemagne en 1923, mais ce sera une bien maigre et triste consolation au milieu des ruines épouvantables d’un système économique explosé, de la misère sociale, du malheur humain, avec de gigantesques et imprévisibles conséquences politiques et géopolitiques à la clé.

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Samedi 1er septembre : colloque en mémoire des morts de Breslan

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Contre la barbarie et la terreur qu'ils cherchent à nous imposer: Union de toutes celles, et de tous ceux, qui sont attachés à nos libertés, et à notre civilisation : 
Mémoires et Vérités rend hommage aux victimes du terrorisme. Beslan (1er septembre 2004) Paris (13 novembre 2015) et Nice (14 juillet 2016).

Le samedi 1er septembre 2018, au Centre Cultuel et Culturel de Russie (1, quai Branly 75007 Paris).

16 heures :
Cérémonie religieuse Cathédrale de la Sainte-Trinité (1, quai Branly à Paris). Chœurs de la Cathédrale dirigée par Alexis Tcherkov.

17 heures :
Cérémonie civile et Colloque Mémoires et Vérités sur le thème Beslan, Paris, Nice, victimes d'un même terrorisme islamiste. Au Grand Amphithéâtre du Centre Culturel russe de Paris.

Henri-Paul Falavigna Vérité pour l’attentat de Beslan, terroristes seuls responsables (vidéos)
Jean-Claude Hubler, vice-President de l'Association des victimes de l’attentat terroriste de Nice : face au terrorisme. Solidarité entre toutes les victime.
Georges Fenech, ancien magistrat : bilan de l'arsenal judiciaire contre l’islamisme.
Xavier Raufer, criminologue : autopsie de l'islamisme.
Emmanuel Leroy, Président d’une association de soutiens aux jeunes victimes du terrorisme : l’étiologie du terrorisme : une stratégie de propagande et de contrôle des populations.
Capitaine (er) Pierre L. Plas (TAP. URH. DRM.) : la terreur est-elle devenue une arme géostratégique de niveau planétaire.

Solidarité enfants de Beslan association humanitaire et d'amitiés France Ossétie-Alania Fédération de Russie.

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Macron finira par diviser l'Europe

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Alice Weidel, 39 ans, a presque le même âge que le président français. Comme lui, elle a commencé dans la banque et surgi au même moment sur la scène politique allemande. Mais la comparaison s’arrête là. Car la patronne de l’AfD, le parti d’extrême droite — désormais troisième force politique outre-Rhin — affiche des postions très anti-européennes.

Comment jugez-vous le projet pour l’Europe d’Emmanuel Macron ?

Alice Weidel. Il fait fausse route. « Plus d’Europe », c’est la mauvaise réponse au scepticisme grandissant dans beaucoup de pays membres de l’Union européenne face à la mise sous tutelle des Etats par Bruxelles. Beaucoup de nations ne participeront pas aux projets de fiscalité et de budget commun ou d’armée européenne. Sa tentative de centraliser encore plus l’Europe est vouée à l’échec.

Le président français veut rassembler les progressistes en Europe. A-t-il une chance ?

Une renaissance ? Non, je n’y vois que le dernier sursaut d’une vieille élite complètement désorientée. Il arrivera à peine à convaincre le nord et l’est du continent. Je pense au contraire qu’Emmanuel Macron finira par accélérer la division de l’Europe. Macron a parlé de la « lèpre populiste ». Votre parti est évidemment visé par ces attaques... Tout cela est hypocrite et bassement polémique. Lorsque des responsables politiques pensent au bien-être de leur propre pays et de ses citoyens, comment peut-on parler de « nationalisme » ? C’est de la démocratie, au contraire. En parlant d’épidémie contagieuse, Macron méprise le peuple.

Ce qu’ont réussi les deux partis populistes italiens, en formant un gouvernement de coalition, c’est un modèle à suivre ?

Ils respectent les inquiétudes de leurs électeurs. Issus de différents courants, ils ont réussi ensemble à prendre la relève d’un establishment usé. Nous souhaitons que cette coalition réussisse.

Où en sont vos relations avec Marine Le Pen et son parti ?
J’ai beaucoup de respect pour sa personnalité et pour sa performance politique qui a permis de faire bouger l’establishment. Elle a su nommer les problèmes et donner une voix à la détresse des citoyens normaux.

Votre vision de l’Europe aujourd’hui, c’est quoi ?

Pour l’AfD, c’est « l’Europe des patries » selon l’idée du général De Gaulle : des Etats-nation souverains qui forment une zone de libre-échange. Ces Etats collaborent à une politique extérieure, commerciale et de défense. Nous voulons une Europe sans la bureaucratie centraliste de Bruxelles qui met les Etats sous tutelle. Nous refusons surtout cette monnaie artificielle, l’euro, qui n’est rien d’autre qu’une gigantesque machine servant à répartir la pauvreté.

Propos recueillis par Christophe Bourdoiseau (correspondant à Berlin, Allemagne) pour Le Parisien du 28/8/2018

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lundi, 27 août 2018

Jean-Paul Chayrigues de Olmetta invité de Martial Bild sur TV Libertés

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Commandant Aubenas, vous connaissez ?

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Commandant Aubenas : cliquez ici

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Immigration : danger toujours immédiat

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Notre société part à la dérive. N’en déplaise aux cœurs sensibles, aux amoureux d’utopiques droits de l’homme, à la fausse générosité d’une gauche méprisante autant que meurtrière, d’une droite irresponsable, mais l’immigration est responsable de la désagrégation de la société française. Par ses dommages collatéraux sur l’ensemble des acteurs sociaux : éducation, santé, religion, justice. Une grande partie des immigrés refusent les lois de la République, plus encore la culture française qu’elle ignore superbement. Cette haine de la France s’exprime aussi dans les moquées qu’on laisse pousser dans toutes les métropoles. Le fossé entre la France gauloise et les immigrés est culturelle. On ne pourra jamais combler le fossé des imaginaires dont la langue est l’expression majeure. Or, dans cette France en voie de déstructuration, les minorités conservent leur langue car elle demeure le lien communautaire par excellence.

 Il nous a paru révélateur de reproduire l’article suivant

 Les policiers, premiers témoins de la brutalité et de la haine

Par Hugo Wintrebert

Il suffit d’un regard. Deux individus se croisent, se toisent et c’est tout. Un coup d’œil ou une simple cigarette refusée : un motif parfois suffisant pour que se déchaîne une haine hors de toute proportion. Une violence sans cause, mais aux conséquences parfois tragiques. À Paris, au petit matin du 8 août, un homme monte dans un bus avec son vélo. Un voyageur lui fait une remarque. Quelques secondes après, le voilà gisant sur le trottoir, le cou transpercé par un coup de clef.

Aux premières loges de ce spectacle sinistre, les policiers. Car derrière les chiffres démontrant la hausse des agressions, se cache un sentiment diffus au sein des forces de l’ordre : celui d’un recours toujours plus débridé à la violence par la population, d’une « radicalisation des rapports sociaux », voire d’un « ensauvagement de la société » pour reprendre les termes de Patrice Ribeiro, secrétaire général du syndicat Synergie police.

« L’utilisation de la violence ne fait que s’amplifier, relève Frédéric Lagache, secrétaire général adjoint du syndicat Alliance. La société ressemble de plus en plus à une rame de métro. C’est un monde du chacun pour soi, où les incivilités sont légion. Et en cas d’agression, les voyageurs préfèrent baisser les yeux, conscients que s’ils interviennent, ils seront forcément victimes. » Un constat partagé par Jérémie Dumont, secrétaire général adjoint du syndicat des commissaires de la police nationale, qui précise qu’« il ne s’agit pas nécessairement que d’individus venant de zones urbaines sensibles, mais d’un mouvement plus large de l’en- semble de la société ».

Pour les policiers, cette recrudescence des violences gratuites s’explique par l’impunité dont profiteraient les auteurs de ces actes. « Les magistrats sont désormais accoutumés. Ils ne condamnent jamais de manière ferme les personnes qui commettent ces violences », s’agace Patrice Ribeiro. « On retrouve les délinquants dans la rue le jour même de leur arrestation, abonde Frédéric Lagache. Seule, la police est impuissante face à une hausse des incivilités. Elle ne peut pas combler les lacunes de l’école, du manque de civisme et d’une justice laxiste. »

La banalisation des violences n’est pas nouvelle mais certains policiers notent un phénomène émergeant : l’exhibition de la haine. Sur les réseaux sociaux, certaines rixes sont désormais filmées et des compilations de bagarres deviennent virales. Témoins de ces violences, les forces de l’ordre en sont aussi parfois les victimes. Selon les intéressés, être policier en 2018, c’est avant tout être une cible. Le moindre contrôle d’identité est source de tension. « Il n’y a plus de routine. Quand il arrive au bureau, un agent ne sait pas ce qui va lui arriver dans la journée, s’inquiète Philippe Capon, secrétaire général Unsa police. Même un petit différend familial peut dégénérer. » Dernier exemple en date : le 10 août, des gendarmes landais interviennent pour une simple affaire de vol de vélo. Trois d’entre eux ont terminé leur mission blessés, deux par arme blanche et un au moyen d’une barre métallique.

Plus largement, les forces de l’ordre se plaignent de ne plus jouir d’une certaine forme de respect. « On ne relève même plus les insultes par exemple, sinon on passerait encore plus de temps derrière un ordinateur plutôt que sur le terrain », assure Frédéric Lagache. Avant de conclure : « Aux États-Unis, si vous frappez un policier, vous allez directement en prison. En France, les forces de l’ordre ne sont pas respectées. Alors pour les personnes lambda, c’est encore pire. »

(Source : Le Figaro 27/08/2018)

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dimanche, 26 août 2018

Vendredi 31 août, Alexandre Gabriac invité en Suisse par Résistance helvétique

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Christoff BZH invité de Daniel Conversano

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L’infosphère doit dénoncer les mensonges d’État sur la faillite grecque et les dépenses publiques

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Marc Rousset

Les contribuables européens ont versé 289 milliards d’euros de prêts à la Grèce lors de trois plans de sauvetage, la part française s’élevant à 40 milliards d’euros. La dette publique grecque s’élève à 180 % de son PIB et le système bancaire est en faillite puisque 98 milliards d’euros, soit 44,9 % des créances bancaires, sont douteuses.

Le PIB grec a chuté de 23 % entre 2008 et 2017, tandis que le salaire minimum est passé de 794 à 684 euros, que les prix de l’immobilier ont brutalement chuté de 50 %, que les systèmes d’éducation et de santé se sont effrités, que les jeunes ne pensent qu’à quitter le pays, d’où une amélioration apparente d’un taux de chômage de seulement 20 %.

Les créanciers de la Grèce (UE, BCE et FMI) ont usé d’un subterfuge honteux pour retarder, une fois encore, la faillite inéluctable de la Grèce. Ils ont repoussé de dix ans, à 2032 au lieu de 2022, la date à partir de laquelle la Grèce devra commencer à rembourser sa dette.

Et que feront les mêmes larrons, de nouveau en 2031, les taux d’intérêt ayant monté entre-temps ? Ils repousseront encore, de nouveau, de dix ans la date de remboursement en affirmant que la Grèce n’est pas en faillite puisqu’elle n’a toujours pas de dette à rembourser ! Les informations sur la Grèce sont un mensonge d’État que l’infosphère, les blogs et les réseaux Internet doivent dénoncer avec force.

L’Italie, c’est dix fois la Grèce, une situation économique, bancaire et financière catastrophique tandis que, depuis mars 2009, le Dow Jones et l’indice NASDAQ ont progressé respectivement de 300 et de 500 %, soit à un niveau plus élevé, respectivement, de 88 % et 55 % que celui d’avant la crise des « subprimes ». Mais pas un mot dans Le Monde ou Le Figaro pour mettre en garde les lecteurs sur un krach éventuel à venir.

Nous croulons sous les mensonges d’un système décadent en faillite ! Le déficit public français est de l’ordre de 3 % alors qu’il est, en moyenne, de 0,7 % dans la zone euro. La France, avec 56,4 % des dépenses publiques par rapport à son PIB, est devenue le pays le plus dépensier du monde, alors que le joueur de flûte Macron, pendant sa campagne, s’était engagé à réduire les dépenses publiques d’au minimum 4 points de PIB, soit 100 milliards d’euros.

La situation est dramatique puisque l’application complète du rapport CAP 22 nous ferait économiser à peine 30 milliards d’euros. La France, face à un déficit public de 59,7 milliards d’euros et de 67 milliards d’euros de sa balance commerciale, a besoin de réformes structurelles pour réduire la dépense publique, retrouver la compétitivité internationale et reprendre des parts de marché qui s’écroulent. Notre niveau de dépenses publiques est de 9 % supérieur à la moyenne dans la zone euro (où il est de 47 %). Le défi des dépenses publiques à réduire est donc, en réalité, de 200 milliards d’euros.

La Cour des comptes sonne le tocsin pour les dépenses publiques, notre système fiscal est basé sur le foyer et non sur les ressources d’un individu, mais Macron, comme disait Pompidou, ne songe qu’à « emmerder » les Français avec le prélèvement inutile à la source. Le technocrate Macron n’a pas pensé à mensualiser le paiement de l’impôt, ce qui aurait été autrement plus simple et efficace.

Selon l’Agence France Trésor, chaque augmentation à venir de 1 % des taux d’intérêt augmentera nos remboursements de 2,1 milliards d’euros la première année et de 6,9 milliards d’euros au bout de trois ans.

Mentez, mentez comme un arracheur de dents jusqu’au jour où tout le monde sait que, comme dans la Pravda de l’URSS, le Système ment ! À la première perte subite de confiance, tout explose !

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samedi, 25 août 2018

L’inquiétante vision du monde des élites progressistes et la mission de la droite

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Par Jean-Claude Pacitto*

Dans un remarquable ouvrage consacré à l’évolution du parti démocrate américain, Pourquoi les riches votent à gauche, Thomas Frank pose une question et surtout y répond : comment des partis qui prétendaient défendre les intérêts des catégories populaires et moyennes sont-ils devenus, à partir des années 80, les porte-parole des catégories sinon privilégiées, du moins fort éloignées de leur sociologie première ? Car ce que dit Thomas Frank du parti démocrate pourrait être généralisé à tous les partis sociaux- démocrates européens, et notamment au PS français. À compter des années 90, les catégories populaires ont commencé à déserter ces formations.

Thomas Frank nous décrit les causes politiques et organisationnelles de cette mutation. Si, aux États-Unis, le parti démocrate avait toujours attiré les intellectuels, il va, au début des années 90, devenir le porte-parole de la « classe professionnelle ». Comme le PS français, le parti démocrate va se muer en parti des élites, avec un fort pourcentage de cadres et d’adhérents issus des grandes universités. Ces nouveaux bataillons du parti partagent un postulat : les études supérieures qu’ils ont accomplies leur confèrent le droit d’imposer à la société américaine leur vision du monde et leurs choix.

Évoluant dans les secteurs de la nouvelle économie ou dans des secteurs souvent protégés de la concurrence mondiale, les élites progressistes - à l’instar de John Sperling qui publie en 2004 un livre qui est tout un programme The Great Divide. Retro Versus Metro America – considèrent qu’il y a d’un côté le vieux monde (industrie d’extraction, agriculture) et de l’autre le nouveau monde, celui des nouvelles technologies, de la banque et des avancées sociétales. D’un côté, un monde ringard et fermé car peuplé de non-diplômés, condamné à tomber dans les oubliettes de l’histoire ; de l’autre, le monde ouvert et branché des diplômés.

À la même époque, en France, think-tanks et économistes proches du PS dissertaient sur l’avènement d’une société sans usines. On connaît la conséquence : le tragique abandon de notre industrie. Lorsque Hillary Clinton traita les électeurs de Trump de «ramassis de minables » lors de la présidentielle, elle était cohérente avec cette vision du monde. De même, le mépris à peine voilé des élites socialistes envers la France périphérique, peuplée de « beaufs et de racistes » ne doit pas étonner, il est la conséquence de cette représentation de la société. Le vieux monde est aussi celui des vieilles croyances auxquelles sont rattachées les religions.

Ainsi, le catholicisme, qui cumule l’ancienneté et une morale jugée « outdated », est devenu la cible de ces nouvelles élites. Très souvent, en matière spirituelle, l’élite progressiste adhère à une sorte de New Age. Un bouddhisme bricolé et peu exigeant est devenu la religion de substitution pour nombre de dirigeants de la nouvelle économie, le cas Steve Jobs en témoignait.

Thomas Frank développe également un point très important : la fusion, au début des années 2000, des élites intellectuelles et économiques. Désormais, les nouveaux capitalistes, à de rares exceptions près, soutiennent en masse le parti démocrate. Si cette question est largement taboue en France, on y ferait les mêmes constats. Le progressisme de certains essayistes à la mode est très proche de celui des élites progressistes américaines. Cette vision d’un monde nomade où le salut de chacun dépend de sa faculté à « s’empoweriser » (sic) et à capter, mieux que les autres, les ressources disponibles est le cœur de l’idéologie progressiste. Dans cette vision, il n’y a plus de place pour la quiétude et l’enracinement.

La valeur de l’individu est mesurée à l’aune de sa propension à bouger et à changer de métier. Le nouveau monde est un monde de gens qui gagnent. Le statut du perdant dans la vision progressiste du monde est celui d’un individu qui n’a pas su saisir sa chance et qui a résisté à l’injonction du changement. Cela explique le paradoxe que les gouvernements de gauche sont souvent plus impitoyables avec les perdants de la mondialisation que ceux de droite. Le « yes we can » tant loué d’Obama n’est pas, comme on l’a cru souvent, une seule injonction volontariste visant à fixer une nouvelle frontière mais une obligation qui ne se discute pas. Si vous ne pouvez pas, c’est que vous êtes un incapable, donc un perdant, et que vous ne méritez pas de faire partie du nouveau monde.

La montée en puissance des partis populistes découle largement de cette mutation de la gauche et le succès de Trump résulte aussi de la prise en compte de cette réalité. À rebours de l’élite  du parti républicain qui pensait que tout se joue dans le domaine du combat culturel, Trump avait compris qu’il fallait aussi réinvestir le domaine économique avec des propositions susceptibles d’intéresser les « retros », telles que la réindustrialisation des États-Unis. Or en ce domaine la droite classique européenne reste souvent inaudible. Le « big business », à qui elle fait toujours les yeux doux, est désormais acquis aux thèses progressistes. Si la droite n’est pas capable de formuler un discours offensif en direction des « retros » (ouvriers, catégories moyennes, dirigeants de PME et bourgeoisie dite conservatrice), bref tous ceux que les progressistes vouent aux poubelles de l’histoire, la droite disparaîtra. C’est un front interclassiste qu’elle doit susciter, celui des gens qui évoluent dans le monde réel et qui ne veulent pas de l’univers que nous promettent les élites progressistes. Cela nécessite d’articuler intelligemment le culturel à l’économique. La droite en est-elle capable ?

(*) Maître de conférence HDR en sciences de gestion à l’université Paris-Est.

(Source, Le Figaro 25/08/2018)

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vendredi, 24 août 2018

L’heure de la libération ?

caspar-david-friedrich.jpgLe blog de

Bruno Gollnisch

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La bêtise, la basse propagande, la partialité ne prennent décidément pas de vacances.  Dans Le Point cliquez là, Fabien Roland Lévy relatait il y a quelques jours que Lucette Destouches, née Lucie Almansor, âgée de 106 ans et veuve de Louis-Ferdinand Destouches, alias Louis-Ferdinand Céline, venait de vendre leur maison de Meudon (Hauts-de-Seine) en viager afin d’éponger ses dettes et de pouvoir y finir ses jours. Le journaliste indique que « le pavillon Second Empire, passablement décati, ne devrait donc pas se transformer un jour en musée Céline. D’autant qu’il ne reste rien à montrer, ni objets ni souvenirs de l’écrivain, après les ravages causés par deux incendies. » « Une manière aussi d’éviter », tient-il à préciser, « que le lieu ne devienne un but de pèlerinage pour des admirateurs du pamphlétaire antisémite de Bagatelles pour un massacre ou Les Beaux Draps. » Une réflexion caricaturale et pavlovienne, comme le fut l’attitude récente du ministre de la Culture (voir ici et ici), qui consiste très bêtement à réduire Céline, un des plus grands écrivains français, aux trois pamphlets susnommés et le cercle de ses admirateurs à des nostalgiques des heures les plus sombres. D’une indignation l’autre, la gauche, les ONG politisées, Soros, les médias progressistes, bref le camp du bien, se sont émus de ce qu’un navire commercial italien (le ravitailleur Asso Ventotto) aurait enfreint le 31 juillet les règles du droit international en ramenant sur les côtes libyennes 108 immigrés clandestins (« migrants ») recueillis dans les eaux internationales au large de Tripoli.

« La Libye n’est pas un port sûr et cela peut conduire à une violation du droit international », a affirmé le Haut-commissariat de l’ONU pour les réfugiés (HCR). Bref, il eut fallu débarquer ces immigrés illégaux  en Europe ont assuré les pleureuses et autres donneurs de leçon(s) professionnels qui tentent de donner mauvaise conscience aux Européens. Les Italiens, comme les autres habitants de la rive nord de la Méditerranée, sont eux très majoritairement en phase avec les propos du ministre de l’Intérieur et chef de la Ligue Matteo Salvini qui s’est félicité la semaine dernière sur twitter « les garde-côtes libyens (aient) secouru et ramené 611 migrants en Libye. » « Les ONG protestent et les trafiquants perdent leur business ? C’est bien, nous continuons. »

M. Salvini est bien évidemment dans le vrai affirme Bruno Gollnisch et Marine Le Pen rapportait à bon escient en fin de semaine le cri d’alarme devant l’immigration illégale hors-contrôle, poussé par José Ignacio Landaluce Calleja, membre du Parti Populaire, député de Cadix, maire de la ville espagnole d’Algésiras, située à l’extrémité est du détroit de Gibraltar. M. Landaluce Calleja a lancé « un appel au secours et pense que sa ville est en train de devenir le nouveau Lampedusa : le seul moyen de mettre fin à cette embolie migratoire, c’est la fermeté totale, à l’italienne ou à l’australienne ! » a rappelé la présidente du RN.

Mais cette prise de conscience là par les peuples de notre continent est-elle seulement permise et envisageable par les gardiens du dogme cosmopolite ? A l’heure ou Le Figaro cliquez là relayait une étude réalisée par trois économistes d’Harvard tendant à prouver que les Français auraient une vision plus juste de la réalité quantitative de l’immigration musulmane, dont l’ampleur serait exagérée par les autres occidentaux, l’Italie plongerait dans la violence raciste. Pour preuve emblématique de ce climat dégradé, les médias français et internationaux ont abondamment commenté le fait que les exactions contre les immigrés auraient augmenté chez nos voisins transalpins de 10% par rapport à l’an dernier. A l’appui de cette thèse, a été évoqué ce triste fait divers qui a vu l’athlète d’origine nigériane Daisy Osakue, lanceuse de disque dans l’équipe d’Italie, très méchamment blessée à l’œil par un jet d’œuf lancé depuis une voiture près de Turin. Le Huffington Post qui cite deux autres cas d’agressions, indique que pour la jeune femme de 22 ans « il n’y a pas de doute : son ou ses agresseurs cherchaient une cible noire car l’attaque a eu lieu dans une zone fréquentée par des prostituées africaines, des femmes sans défense qu’ils pensaient viser selon elle. »

Ce même article donne aussi la parole à Matteo Salvini qui a apporté son soutien à cette jeune athlète lui souhaitant un prompt rétablissement et indiqué sa volonté très ferme de faire respecter l’état de droit : « Toute agression sera punie et condamnée, je serai toujours au côté de qui subit des violences. » L’ensemble du gouvernement italien a fait bloc derrière le ministre de l’Intérieur qui a rappelé un certain nombre de vérités : « Alerte au racisme en Italie ? Ne disons pas de bêtises ! La nouveauté c’est que les médias évoquent les épisodes de ce genre même si le nombre d’agressions n’a pas évolué (…). Qui les utilise contre le gouvernement ne s’attaque pas vraiment au problème du racisme. » « Je rappelle qu’il y a environ 700 délits commis chaque jour en Italie par des immigrés, soit près d’un tiers du total, et ceci est la seule vraie urgence pour laquelle je me bats en tant que ministre. »

« Son ministère a confirmé lundi : sur les quelque 857 000 personnes arrêtées et/ou dénoncées depuis le début de l’année, tous chefs confondus, 30% étaient de nationalité étrangère (33% des détenus au 30 juin (pour plus de la moitié Marocains, Albanais, Roumains ou Tunisiens), alors que les étrangers représentent 8,3% de la population en Italie. »

Oui mais voilà est-il encore indiqué, « le discours antimigrants de Salvini lui vaut aussi les foudres catholiques, résumées par la une du magazine Famiglia Cristiana la semaine dernière : Vade retro Salvini. Mais l’intéressé, adepte des provocations constantes sur les réseaux sociaux, a répondu à ces critiques à sa manière : Beaucoup d’ennemis, beaucoup d’honneur (Molti nemici, molto onore, NDLR) a-t-il écrit (le 29 juillet), en ajoutant l’émoticône d’un baiser. Cette variante d’un slogan de Benito Mussolini très connu des Italiens, utilisée le jour de l’anniversaire de la naissance du Duce, a fait sensation. » 

Rappelons pour l’anecdote qu’il fut reproché à Jean-Marie Le Pen d’avoir lui aussi utilisé cette devise en févier 2012 ce qui l’avait contraint, s’adressant aux « aux incultes et aux ignares », d’expliquer que « la paternité » de celle-ci « n’est pas attribuable à Mussolini mais, quatre siècles plus tôt, au chevalier Georg Von Freundsberg, au service de l’Armée d’Espagne, qui la prononça lors de la bataille de Vicence en 1513 ». « Que cette maxime devenue populaire depuis lors ait été reprise par Mussolini lui en donne-t-il l’exclusivité et l’empêcherait-elle d’être citée jusqu’à la fin des temps ? »

Certes, le Français Jean-Marie Le Pen n’est pas l’Italien Salvini et dans la bouche du ministre de l’Intérieur  le clin d’œil aux années mussoliniennes est lui très certain et évident. Il peut surprendre ou choquer si l’on ne connait pas le sentiment souvent très ambivalent des Italiens sur l’ex instituteur socialiste qui joua le rôle que l’on sait entre sa prise de pouvoir en 1922 et son assassinat en 1945.

On rappellera à ce sujet cette réflexion (en janvier 2013) de Silvio Berlusconi, ancien président du conseil italien et chef de file du parti « Peuple de la Liberté » (PDL) qui avait horrifié les grandes consciences bruxelloises. En marge d’une cérémonie à Milan à l’occasion de la journée (internationale) de la mémoire de l’holocauste, M. Berlusconi avait dénoncé les « lois raciales » antisémites, « la pire faute de Benito Mussolini », édictées par le pouvoir fasciste en Italie en 1938. Mais il avait tenu à préciser que l’Italie « (n’avait) pas les mêmes responsabilités que l’Allemagne », et que « Mussolini (avait) aussi fait de bonnes choses dans tant d’autres domaines. »

Un sentiment partagé par une nette majorité d’Italiens  comme en attestent des sondages récurrents. Italiens qui mettent notamment au crédit des années noires du fascisme les politiques sociales, familiales qui furent alors édictées, certes beaucoup plus avancées que celles conduites en France par un Front Populaire au bilan très majoritairement négatif, mais toujours chez nous très largement mythifié.

Nous l’avons déjà écrit sur ce blogue, coller le mistigri du totalitarisme noir, brun,voire rouge-brun aux   défenseurs des identités, des souverainetés nationales, des valeurs traditionnelles,dénoncer leur inhumanité,  reste une méthode éprouvée de diabolisation. Il s’agit de  rendre infréquentables et illégitimes les courants patriotiques. Une démonisation de l’adversaire politique qui est d’ailleurs le ressort de tous les totalitarismes… Stigmatisation qui touche ainsi en premier lieu les opposants au totalitarisme bruxellois. Dénoncer les ravages de l’idéologie mondialiste, aimer son peuple, défendre l’authentique civilisation européenne, c’est de facto être suspect de fascisme belliciste.

Tout sursaut identitaire doit donc être frappé d’infamie, et les Européens qui entendent le rester sont invités à faire leur autocritique et à se laisser « châtrer » sans moufter… Oui mais voilà, les peuples se réveillent et les Père fouettard du microcosme politico-médiatique qui agitent de mauvais fantasmes pour leur faire plier l’échine et les faire rentrer dans le rang sont de moins en moins craints et écoutés. Nous pouvons encore gagner cette course contre la montre… l’heure de la libération est peut-être plus proche qu’on ne le croit ! 

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jeudi, 23 août 2018

Chômeurs et « déséquilibrés » : l’apport le plus évident de l’immigration-invasion

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Bernard Plouvier

Un fou furieux poignarde et tue deux personnes (de sa famille) et en blesse une autre à Trappes, en gueulant la ritournelle : "allahou akbar", et notre chenu ministre de l’Intérieur – l’homme qui a si bien manœuvré dans l’affaire Benalla – nous apprend que l’assassin est un « déséquilibré mental ».

Que nous voilà bien informés ! On peut difficilement imaginer qu’un terroriste, qu’un meurtrier mû par le fanatisme politique ou religieux, ou encore par la haine raciale (car, n’en déplaise à nos maîtres, il existe des crimes à motivation raciste), soit autre chose qu’un paranoïaque délirant, un halluciné, déséquilibré par une psychose ou une drogue modifiant le bon fonctionnement du cerveau.

Bref, notre génie de la Place Beauvau fait dans le lieu commun, la platitude, l’évidence la plus criante. Il nous prend pour des demeurés. Et il n’a pas tort : la majorité de l’opinion publique est composée de veaux, s’il faut en croire un connaisseur gaullien. La Nation peut donc ruminer la phrase du bon ministre, puisqu’aussi bien un bovin, c’est « bête à manger du foin ».  

Si chaque semaine nous amène son lot d’attentats et de crimes en Europe occidentale et scandinave, c’est que nous en sommes responsables. Nous avons accepté, par notre passivité et par l’élection des nervis de l’économie mondiale, ce très stupide et très inutile brassage des races et des cultures au sein de notre Europe.

Nous avons introduit en masse des mahométans, d’autant plus violents qu’un nombre étonnant d’imams militants les persuadent qu’ils vont gagner leur paradis en implantant la charî’a sur notre sol, qui sera « domaine de guerre » (dâr al-Harb) tant que l’islam n’y règnera pas en maître exclusif. Sauf pour les soufis, ces franciscains éthérés de l’islam, le djihâd est une réalité guerrière rendue obligatoire à tout croyant, robuste et en bonne santé, par une douzaine de sourates coraniques.

On nous a persuadés qu’il fallait introduire des millions d’extra-européens parce que nous étions en pénurie de travailleurs et qu’il fallait du sang neuf pour payer les trop nombreux retraités. Or, les statistiques nous prouvent que nous avons surtout importé des chômeurs, dépourvus de toute qualification professionnelle.

Veut-on prendre l’exemple de Trappes ? Il est démonstratif. Mais la réalité est la même partout : à Roubaix ou à Marseille, à Toulouse ou dans la région lyonnaise, à Rouen ou à Saint-Étienne. Elle l’est aussi en Allemagne, en Belgique, en Norvège et en Suède. Chez nos voisins, plus ou moins proches, les statistiques ethniques démontrent à l’évidence un fort taux de chômage chez les immigrés, bien supérieur à celui des autochtones.

Sur les 32 000 habitants de Trappes, on dénombre officiellement 28% d’immigrés (INSEE, données de 2014), soit 20% d’étrangers et 8% de naturalisés. En pratique, cette estimation est parfaitement inexacte puisque les nombreux enfants issus d’immigrés sont automatiquement déclarés de « nationalité française » par l’effet du droit du sol et comptabilisés dans la rubrique des autochtones.

Le taux de chômage est de 20% de la population en âge de travailler. Au conseil municipal, même les « étrangers » sont sûrs d’être écoutés : sur 35 membres, 10 sont des citoyens français d’origine africaine (noire ou maghrébine) et turque, ou apparentés par mariage. 28% de la population, 28% d’élus : la représentation démocratique est parfaite.  

Une grave question se pose. Quand le peuple souverain a-t-il été consulté sur le bien-fondé de cette immigration massive d’origine extra-européenne ?

Avec en corollaire une question subsidiaire. Quand aurons-nous droit aux véritables statistiques ethniques, à la fois générales et catégorielles : les statistiques ethniques des chômeurs, des criminels et délinquants, des incarcérés, des « fichés » par la police ?

Grand Président, qui est en pleine forme, puisque revenu de vacances fort médiatisées, va très certainement consulter bientôt la Nation, seule titulaire légitime du Pouvoir, et, bien sûr, l’informer aussi complètement que possible. Il va le faire, puisque c’est un grand donneur de leçons de Démocratie… du moins pour l’étranger.    

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Retour au réel

L’espoir européen de contester l’hégémonie du dollar n’est pas près de se concrétiser.

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Par Muriel Motte

 Dans le monde rêvé d’Heiko Maas, le ministre allemand des Affaires étrangères, l’Europe échappe à la tutelle américaine et parvient à sauver l’accord sur le nucléaire iranien, essentiel si l’on veut préserver un semblant de paix au Moyen-Orient. L’exploit ne serait pas seulement diplomatique. Sortir de l’ombre punitive de Donald Trump, qui menace de sanctions tous ceux qui commercent avec Téhéran, implique de couper les ponts avec le droit américain, et donc avec le roi dollar.

Heiko Maas ne l’ignore pas. Dans le quotidien financier Handelsblatt, le ministre prône la mise en place de « canaux de paiement qui soient indépendants des Etats-Unis, un Fonds monétaire européen et un système Swift (réseau interbancaire de paiement, NDLR) indépendant » de manière à ce que Washington « ne porte pas atteinte à nos intérêts sans nous consulter ».

Il n’est pas le premier à vouloir échapper à l’attraction tentaculaire du billet vert et à tout ce qu’elle implique. Les producteurs d’or noir tentent depuis des années de lui trouver des alternatives, notamment depuis que l’ancien président iranien, Mahmound Ahmadinejad, l’a qualifié de « bout de papier sans valeur». En France, le souvenir de l’amende de 8,9 milliards de dollars payée par BNP Paribas aux Etats-Unis, sanctionnant le business – en dollars – de la filiale suisse de la banque au  Soudan, reste vivace. Mais concrètement, le monde a bien du mal à se passer de la devise américaine, toujours utilisée dans le règlement de 70 % de l’ensemble des échanges mondiaux.

L’histoire joue un grand rôle : la monnaie de la première économie mondiale s’est imposée dans l’après-guerre, et n’a jamais perdu son statut de primus inter pares. Les Etats-Unis sont toujours la première puissance de la planète, solidement campée sur leurs deux jambes : un géant financier avec Wall Street, une machine à innover avec la Silicon Valley. De facto, une entreprise qui grandit et s’internationalise croise tôt ou tard le dollar sur sa route.

Quant à la puissance politique, « elle se trouve aux Etats-Unis pas en Europe, commente Philippe Waechter, chef économiste d’Ostrum AM. Depuis un an, personne ne s’oppose aux décisions de Donald Trump. Sanctions, tarifs douaniers, géopolitique, la Maison Blanche donne le tempo de manière spectaculaire, c’est ce qui compte à l’international ». Il estime que « les choses seraient peut-être différentes si nous affichions une unité politique plus forte. Mais quelles anticipations pouvons-nous faire naître aujourd’hui concernant l’Europe, susceptibles d’inciter le monde à utiliser davantage la monnaie unique ? D’une certaine manière, vouloir payer en euros c’est entrer en opposition avec les Etats-Unis ».

Bien peu ont les moyens de prendre ce risque. Peugeot a annoncé son retrait d’Iran en juin dernier et Total n’a pas tergiversé longtemps. Il vient d’annoncer son désengagement  du projet gazier South Pars, faute d’avoir obtenu le feu vert nécessaire de Washington. Et ce « malgré le soutien des autorités françaises et européennes » a précisé le groupe de Philippe Pouyanné. Pot de terre contre pot de fer ? Les promesses du plus grand gisement de gaz naturel du monde n’ont pas pesé lourd face aux menaces Trumpiennes. « Nous nous attendons à ce que les gouvernements européens réalisent, comme le font déjà les entreprises européennes, que le choix entre faire des affaires avec l’Iran et faire des affaires avec les Etats-Unis est très simple », a pu fanfaronner John Bolton, conseiller à la sécurité nationale de l’hôte de la Maison Blanche.

Le problème est que personne ne peut le contredire. « Tout le monde a envie d’une Europe plus unie, plus autonome et plus forte, mais dans les faits nous cédons aux pressions américaines. Se fâcher avec Washington c’est renoncer à 25 % de la richesse mondiale » commente l’économiste Patrick Artus.

Colonie des Etats-Unis. Commercer en dollars partout sur la planète, être présent d’une manière ou d’une autre aux Etats-Unis, ne sont d’ailleurs pas les seuls critères qui placent les groupes étrangers sous la férule du droit américain. Les juges peuvent venir leur demander des comptes dès lors qu’ils incorporent des technologies américaines dans leur business, notamment dans leurs exportations vers d’éventuels pays jugés menaçants à Washington. « L’Europe est une colonie des Etats-Unis par la technologie interposée », déplore Patrick Artus. Faute de parvenir à créer ses propres Gafa, le vieux continent semble d’autant plus fragile que Donald Trump n’a pas hésité le mois dernier à considérer l’UE comme une  « ennemie » de son pays.

La Chine y voit un boulevard. Face à une Europe affaiblie par ses querelles intestines, son poids croissant dans les échanges mondiaux va renforcer le rôle international de sa monnaie, le yuan. L’émergence de géants de la tech (Baidu, Alibaba, Tencent, Wechat, Xiao-mi, Huawei...) vise à déjouer le piège d’une dépendance à l’égard du grand satan américain. Pékin ne manque ni d’ambition, ni de moyens financiers. N’en déplaise à Donald Trump, on attend d’ailleurs que la Chine occupe la place laissée vacante par la France, en reprenant les parts de Total dans le projet South Pars. Le groupe de Patrick Pouyanné affirme ne pas connaître la position de son homologue, CNPC.

Le titre de l'article est de nous (ndlr)

Source : L’Opinion 23/8/2018

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DURANT L'ÉTÉ : REDIFFUSIONS DES ÉMISSIONS "SYNTHÈSE" SUR RADIO LIBERTÉS

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mercredi, 22 août 2018

Samedi 1er et dimanche 2 septembre : Journées chouannes à Chiré en Montreuil (86)

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mardi, 21 août 2018

Jean-Marie Le Pen convoqué par la Justice pour des propos tenus en... 2009 !

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Caroline Parmentier Présent cliquez ici

A 90 ans Jean-Marie Le Pen fait encore l’objet d’un acharnement judiciaire aussi grotesque que scandaleux. Il vient d’être convoqué le 17 septembre prochain par le Tribunal de Grande Instance de Paris qui envisage sa mise en examen pour des propos tenus en 2009 lors d’une interview à RTL.

Interrogé sur l’augmentation des chiffres de l’insécurité en France, notamment celui des violences sur les personnes à l’occasion d’une déclaration du Ministre de l’Intérieur de l’époque (NDLR : Brice Hortefeux, sous le gouvernement Sarkozy), Jean-Marie Le Pen avait déclaré ce jour-là, 20 août 2009 :

« Monsieur Sarkozy ne se donne pas le moyens de faire la politique qui passe d’abord par le contrôle de l’immigration. L’immigration qui n’a cessé d’augmenter dans notre pays et qui crée la situation, principalement l’insécurité. Il n’y a qu’à regarder les faits divers. 90 % des faits divers ont, à leur origine, soit un immigré, soit une personne d’origine immigrée. C’est un fait dont il faut tenir compte » (…)

« Ces propos », conclut le juge d’instruction dans sa convocation datée du 13 août 2018, « contiennent l’allégation ou l’imputation de faits de nature à porter atteinte à l’honneur ou à la considération envers une personne ou un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance à un ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée ». On en est encore là…

Rien à voir avec une origine ou une religion !

A noter que dans notre pays doté du plus gigantesque empilement de lois liberticides antiracistes qui aient jamais été imaginées (loi du 23 juillet 1881, loi Pléven de 1972, loi Gayssot de 1990, loi de 1992 sur la réforme du Code pénal etc.) le délai de prescription pour des simples mots tenus au micro d’une radio, est incroyablement long.

Propos qui déjà à l’époque n’avait rien d’exagéré mais qui à fortiori dix ans après (et après cinq ans de Hollandie) apparaissent en deçà de la réalité. Car depuis il y a eu de nombreux morts. Entre temps, les violences des racailles sont devenues le quotidien d’une multitude de Français à l’image de l’affaire Adrien Pérez assassiné par les frères El Habib pour avoir défendu ses amis à la sortie d’une boite de nuit à Grenoble. Le nombre de victimes qui tombent sous les coups de « toujours les mêmes », de la délinquance issue de l’immigration, le déferlement de témoignages précis de violences sur les réseaux sociaux, le prouvent chaque jour.

Entre temps le terrorisme islamiste est également passé par là. Avec ses 250 morts, ses centaines d’attentats aux cris d’Allah Akbar, militaires et policiers assassinés, jeunes massacrés et mutilés au Bataclan, prêtre égorgé en pleine messe, adolescentes égorgées gare Saint-Charles, enfants écrasés en camion à Nice…

Et là plus que jamais au grand jamais, rien à voir avec un groupe de personnes, son origine ou son appartenance à une religion déterminée. Plus la vérité éclate et plus la répression pour ne pas qu’elle sorte, s’intensifie.

 

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Stopper toute nouvelle immigration

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Ligne Droite cliquez ici

L’immigration n’est plus une chance pour la France. Aujourd’hui, personne sur la scène politique n’ose plus vanter les mérites de ce phénomène tant sont évidents les troubles qu’il crée au sein de la société. Mais dans le même temps, personne n’apporte de solution à ce problème qui ne cesse dès lors de s’amplifier et de s’aggraver. Pour Ligne droite, il est donc urgent de prendre une mesure de sauvegarde qui devrait s’imposer d’elle-même : stopper toute nouvelle immigration.

L’immigration, une source de problèmes majeurs

Même des personnalités de premier plan, pourtant très politiquement correctes, ont reconnu en leur temps les difficultés que suscitait ce processus. M. Mitterrand n’a-t-il pas déclaré il y a plus de trente ans que le seuil de tolérance était atteint ? M. Giscard d’Estaing n’a-t-il pas, de son côté, parlé d’invasion? MM. Chirac et Sarkozy, chacun à leur façon, n’ont-ils pas évoqué les tourments qui en résultaient pour nombre de nos compatriotes ? Même M. Hollande, dans son livre confession, a lui aussi reconnu cette réalité.

Et, de fait, l’immigration, qui a déjà profondément altéré la physionomie de notre pays, soulève d’innombrables difficultés dont les médias se font quotidiennement l’écho. Car c’est l’immigration qui est à l’origine des zones de non-droit où l’insécurité et la drogue règnent en maîtres. C’est l’immigration clandestine qui conduit à la création de bidonvilles dans de nombreux quartiers de nos villes. C’est l’immigration encore qui a installé l’islam sur notre sol, une religion étrangère à notre civilisation qui provoque tous les jours ou presque des débats sans fin. Un jour c’est le voile, un autre ce sont les repas halal. Un autre encore ce sont les mosquées ou les prières de rue. Et que dire du terrorisme islamique perpétré sur notre sol par des immigrés installés chez nous ? À vrai dire c’est dans d’innombrables domaines, comme celui de l’emploi, du logement, de l’école, de la sécurité ou de l’hôpital, que les problèmes s’accumulent. À cela s’ajoute le coût financier de cette immigration qui pèse sur les dépenses publiques pour plus de soixante-cinq milliards d’euros chaque année. Et, même si ce chiffre est contesté par les tenants du Système, personne aujourd’hui ne peut plus nier que l’immigration soit une source de difficultés majeures pour notre société.

Stopper l’immigration pendant dix ans

Face à cette situation, il n’y a donc que deux attitudes possibles. Ou on détourne le regard en ignorant la réalité comme le font les responsables du Système, où on affronte le problème et il n’y a alors qu’une réponse possible : il faut prendre une mesure conservatoire d’urgence et stopper toute nouvelle immigration pendant au moins dix ans. Ligne droite considère qu’une telle mesure s’impose d’elle-même car elle ne procède pas d’une démarche idéologique mais correspond à une attitude purement pragmatique. Lorsqu’un problème se pose, la première mesure à prendre est d’en tarir la source. Si une inondation se déclare dans une maison, avant de réparer les dégâts on obture les arrivées d’eau. De même, face à l’ampleur des troubles provoqués par l’immigration, le bon sens commande d’interrompre les flux d’arrivée de façon à pouvoir résoudre les difficultés liées à ceux qui sont déjà présents sur notre sol.

Une loi d’exception pour des mesures de sauvegarde

Or, contrairement à ce qu’affirment les tenants du Système, il est possible de stopper l’immigration. Il faut pour cela expulser ceux qui entrent clandestinement, ne plus autoriser d’arrivées légales, supprimer tous les avantages qui attirent les immigrés chez nous et s’efforcer au plan européen de limiter la poussée des migrants.

Pour détendre la pression migratoire et en tarir les flux, il faut en effet que la nouvelle Europe, préconisée par ailleurs par Ligne droite, établisse un véritable contrôle à ses frontières extérieures, comme le font les pays du groupe de Visegràd pour leur propre compte, et donne mission aux marines européennes de reconduire les “migrants” dans leurs ports de départ.

Sur le plan national, il convient d’abord de rendre possibles les expulsions de clandestins et de délinquants étrangers en écartant les juges de la procédure, laquelle doit revenir exclusivement aux préfets. Dans cet esprit, il faut aussi suspendre les règles de Schengen et renforcer les sanctions contre les passeurs et les entreprises qui utilisent de la main-d’œuvre illégale. S’agissant des demandeurs d’asile, ils devraient tous être reconduits sans délai à la frontière, à l’exception de quelques personnes reconnues par le gouvernement pour être effectivement persécutées dans leur pays en raison de leurs prises de position politiques.

Le regroupement familial devrait par ailleurs être abrogé et le titre de séjour devenir révocable ad nutum, permettant ainsi de renvoyer chez eux les chômeurs étrangers en fin de droits.

En outre, l’acquisition de la nationalité française ne devrait plus être possible selon la procédure dite du droit du sol. Quant à l’octroi des avantages sociaux d’assistance, il devrait être réservé aux nationaux et aux Européens. Enfin, les immigrants qui démontrent leur refus de s’intégrer notamment par la délinquance, le terrorisme, l’intégrisme islamique et le refus de travailler devraient être expulsés.

Un moratoire consensuel

Ces mesures, prises dans le cadre d’une loi d’exception pour une durée de dix ans, devraient rencontrer un large assentiment. Car, que l’on soit pour ou contre l’immigration dans son principe, chacun devrait reconnaître que la situation exige une pause dans les flux migratoires afin de mettre l’État en mesure de résoudre réellement et efficacement tous les problèmes actuels. Certes, les mesures préconisées sont en rupture avec les principes du politiquement correct et demanderaient pour être adoptées que soit mis fin au gouvernement des juges, mais n’est-il pas temps de sortir de ce carcan pour résoudre les problèmes qui sinon ne le seront jamais ?

Un révélateur des intentions de la classe politique

Au demeurant, l’attitude des responsables politiques et médiatiques à l’égard de ces mesures de sauvegarde serait très révélatrice. Ceux qui, bien qu’idéologiquement favorables à l’immigration, accepteraient le dispositif en reconnaissant le bien-fondé d’une pause dans le processus migratoire, démontreraient ainsi leur sens de l’intérêt national. En revanche, ceux qui s’opposeraient à ce moratoire, acceptant délibérément de laisser les problèmes de l’immigration continuer à s’aggraver, révéleraient la volonté qui est sans doute la leur d’utiliser cyniquement ces vagues migratoires dans le but mortifère de déconstruire notre civilisation.

Vers la réémigration

Chacun serait ainsi amené à prendre ses responsabilités. Mais il est clair que nos compatriotes seraient, quant à eux, largement favorables à l’arrêt de l’immigration pendant dix ans. Une période qui serait mise à profit pour assainir la situation et à l’issue de laquelle le choix serait donné au peuple français de lever ces mesures d’exception ou de les maintenir de façon définitive. Ne doutons pas que les Français, qui auraient expérimenté une amélioration spectaculaire de leur qualité de vie, se prononceraient massivement pour un arrêt définitif de toute immigration et pour le retour dans leur pays d’origine des étrangers qui ne souhaitent pas, ou ne peuvent pas, s’assimiler.

L’immigration n’est pas une fatalité. Si l’on sort du politiquement correct, les solutions existent.

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lundi, 20 août 2018

AQUARIUS : L'ÉTERNEL RETOUR

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Jean-François Touzé

Délégué national du Parti de la France aux études et argumentaires

Comme des dizaines d'autres bâtiments néo-négriers affrétés par les organisations complices des passeurs comme SOS Méditerranée (label « grande cause » décerné par le Premier ministre en 2017 permettant de bénéficier de campagnes publicitaires gratuites dans les médias), agissant sous pavillon de complaisance humanitaire et en partie subventionnées sur fonds publics ou régionaux (Occitanie par exemple), l’Aquarius, jouant de sa proximité phonétique avec l'Exodus à fin de production lacrymale optimum, poursuit ses allées-venues, véritable navette de l’ingression migratoire en Méditerranée.

Qu'au final le gouvernement français n'ait cédé ni aux demandes pressantes du communiste Gayssot (ex-ministre des transports de Mitterrand et auteur de la loi que l’on sait interdisant l’expression non conforme), d’accueillir le vaisseau pirate dans le port de Sète qu'il préside et d'en faire une plate-forme de débarquement pour les nouveaux colons, ni aux mises en demeure du chœur immigrationniste des vierges internationalistes, ne change rien à l'affaire.

Qu'ils débarquent à Malte, en Espagne, au Portugal ou en France comme hier – et peut-être hélas à nouveau demain - en Italie, c'est vers le continent tout entier, à l'exception des pays ayant su retrouver leur dignité nationale comme la Hongrie de Victor Orban, que, par la grâce de Schengen et des quotas de répartition imposée par la Commission européenne, en vagues successives et incessantes, déferle l’écume invasive. Un flux à long terme destructeur de notre civilisation, et à court terme porteur des futurs acteurs de « faits divers » comme ceux – meurtres, viols ou agressions, qui se sont multipliés cet été en France, en Allemagne et ailleurs, sans même parler de la menace islamiste. On notera à ce propos que les demandes d'asile connaissent en France une très forte hausse (+ 17,8 % depuis le 1er janvier) et sont en passe de devenir une des formes les plus usitées d'immigration économique. Nul besoin, on le voit, d'accoster à Sète puisque, de toute façon, ils finissent toujours par échouer chez nous.

  • Rien pourtant qui ne pourrait être stoppé si existait une volonté politique.
  • Rien que ne pourraient bloquer en quelques heures quatre ou cinq frégates des marines nationales européennes par coups de semonce voire plus si nécessaire, et opérations d’arraisonnements avant retour vers la Libye ou la Tunisie.
  • Rien qui ne pourrait être traité par la liquidation physique des réseaux de passeurs et l’arrestation de leurs complices.
  • Rien qui ne pourrait être inversé par une politique de contrôle drastique des frontières maritimes comme terrestres, d'immigration zéro et de rémigration.

Cela, nous l'avons dit, exigerait une volonté sans faille et une détermination radicale.

Cette volonté et cette détermination que possède le Parti de la France.

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samedi, 18 août 2018

Une soirée chez les Brigandes

Christian Ricard EuroLibertés cliquez ici

Je connais le Groupe des Brigandes depuis leur premier album. Je l’ai découvert sur YouTube. Leur insolence, leurs textes, leur charme m’a séduit tout de suite. J’ai regardé leurs entretiens sur TV Libertés, ou sur YouTube avec le contestataire Tepa. Leurs conférences sur Radio Brigande.

Leur discours à contre-courant de la bien-pensance est empreint d’intelligence, de clairvoyance et d’originalité. J’ai suivi les attaques qu’elles subissent en tant qu’êtres libres, résistants au système. L’enracinement, la recherche de la Tradition, le goût du Vrai, l’Amour de la France, le mépris de l’argent en font des ennemies déclarées de l’ordre mondial cosmopolite et marchand (OCMM). J’ai assisté à l’un de leur concert et j’ai noué une petite relation courrielle avec leur secrétaire, commentant et appréciant leur travail.

La Haine est féroce, les accuser de nationalisme et de fascisme n’était pas suffisant. Alors on les accusera d’être une secte. Dans notre société éclatée, où la famille est moquée ou détruite, les Brigandes ont reconstruit une cellule de société traditionnelle, un Clan.

Ayant une activité commune, « la musique », elles ont choisi de mettre en commun leurs ressources et leurs dépenses. Elles ont choisi un lieu commun, une belle et vaste bâtisse à la Salvetat sur Agout, (vous savez le pays de cette source pétillante du Languedoc) et les familles, car les brigandes vivent en famille avec des compagnons ou des époux et des enfants beaux et polis, tout en conservant leurs intimités, partagent les tâches du ménage, de la nourriture. Quoi de plus intelligent dans ce monde où l’économique et la consommation dominent tout, que de réduire les frais individuels en collectivisant les charges. Étrange que nos gauchistes écolo et partageux ne trouvent pas admirable cette démarche collective. Ah ! Mais cela ne s’appelle pas un kolkhoze, c’est un Clan.

Comme le Mir Russe, le clan est une réunion de familles où les décisions sont prises en commun dans l’intérêt de tous : simplement selon le bon sens.

Combien cette démarche met en danger l’Ordre cosmopolite mondial et marchand ! C’est tellement plus simple de contrôler et soumettre l’individu. Un Clan, c’est un rassemblement d’énergie, de volonté et de résistance. Inacceptable ! Alors, Haro sur le Clan !

Le 4 août dernier, un groupe d’Antifas, les mêmes animaux qu’à Notre-Dame-des-Landes (l’ex-nouveau aéroport de Nantes), sales, drogués, excités et manipulés par les tenants de l’OCMM (voir plus haut) a investi le village de la Salvetat sous le thème « les habitants de la Salvetat en ont assez des Brigandes ». Manifestation de rue, tracts, peintures à la bombe, détérioration du mobilier public, la vermine était à son aise. Comme à Nantes, comme Place de la République à Paris.

Mais ici, peu de bobos admiratifs, mais des gens de la terre, du bon sens, de la tradition. La réaction générale de la population de la Salvetat à part les témoins militants melenchonistes locaux ou choisis selon les mêmes critères, dans d’autres communes par FR3 ou le Midi (prétendu) Libre n’a pas été favorable aux crasseux. Comme cela m’a été dit cette fois librement et spontanément : « Ça bouge en ce moment à la Salvetat, oh ! pas à cause des Brigandes, mais de ces voyous venus de l’extérieur pour foutre le b… ».

Partant en vacances au Portugal, je me suis organisé un itinéraire qui passait par la Salvetat. J’ai sollicité les Brigandes pour une visite et ce fut une invitation à dîner.

J’allais entrer dans l’intimité du Clan.

L’accueil d’Antoine fut cordial et légèrement formel (il est nécessaire d’être réservé à l’accueil d’un inconnu) dans une belle pièce meublée d’un bel ensemble de fauteuils indonésiens (racistes, les Brigandes ?) en bois massif disposés en cercle, les murs décorés de tentures peintes représentant des scènes vikings, œuvre d’une Brigande qui « ne se contente pas de paroles de haine et produit de la peinture de haine » (dixit les crasseux de l’Antifa).

Antoine, porte-parole des Brigandes, invité de Radio Libertés.

L'émission Synthèse sur Radio Libertés du 22 décembre 2016 avec Antoine, porte-parole des Brigandes cliquez là

Petit à petit, en même temps que la glace se brisait, Brigands et Brigandes nous rejoignaient. Poignées de mains et présentations. Mais deux bises sympathiques de Marianne.

Autour de bières, de Martini, de cidre ou de jus de poire, la conversation devint tout à fait amicale.

Je fis la connaissance de Joël Labruyère, le compositeur des chansons des Brigandes, mais surtout un esprit libre d’une clairvoyance de notre monde et d’une remarquable connaissance de nos traditions. Celui que les bien-pensants accusent d’être le « gourou » de la secte.

Plein de sujets furent abordés. Bien sûr à la fois sur leurs activités, les menaces qu’ils subissent, leur mode de vie, l’anniversaire de Jean-Marie Le Pen, son intelligence et sa droiture, sa reconnaissance et son émotion pour leur chanson : « Vous m’avez redonné dix ans de vie !!! ».

Nous avons devisé sur l’Histoire, la littérature, leur façon de travailler leurs albums (six albums : le Grand Remplacement en octobre 2015, France notre Terre en juin 2016, Foutez le camp ! en décembre 2016, J’élucubre à Sion en mai 2017, On a le temps de rien en octobre 2017 et Errant et Fugitif en février 2018 ; six bientôt sept en trois ans et un sous le nom des Salvetoises).

Je ne vois pas de chanteurs main-stream qui en fassent autant. Là encore, c’est la force du Clan, le compositeur vit sous le même toit que le musicien, l’arrangeur et les interprètes.

Cela aussi ne plaît pas à l’industrie de la musique.

Nous passons à table.

Un assemblage de six tables disposées en rectangle pour pouvoir accueillir de façon conviviale une douzaine ? Non une quinzaine de personnes.

Au milieu du rectangle, un guéridon supporte une magnifique maquette de drakkar.

Les Brigandes assument leurs références. La Tradition, Le Paganisme et l’Europe Chrétienne, Jeanne d’Arc et Rollon, le Donbass et la Sainte Russie. C’est notre Histoire, celle de la France et de L’Europe.

Celle de nos peuples, Celtes, Vikings, Grecs, Slaves. Peuples d’Europe de race blanche cultivant l’indépendance et l’honneur.

Le repas fut pour moi un vrai moment de bonheur, de simplicité, de gentillesse, d’amitié, de fraternité et d’humour.

Et, en plus, délicieux.

Le Clan est végétarien. Pas pour des raisons compliquées, mais simplement par bon sens.

Nous prétendons aimer la Vie, les chiens, les chats, les chevaux, les mignons petits agneaux, les oiseaux, les canards et les poulets. Et nous acceptons de manger leurs chairs mortes en cannibales ?

La chanson « l’ami fidèle » dit tout. Quelques mots suivirent sur Brigitte Bardot qui aime les Brigandes et qui est, ne l’oublions pas, toujours amie de Jean-Marie Le Pen. « Brigitte Bardot et la charia ça ne s’accorde pas… ».

Sur un buffet, un houmous délicieux, une salade, une sauce vinaigrette et une sauce basilic, mais surtout un gratin de pommes de terre et un gratin de blettes absolument parfumés et goûteux.

Je me suis régalé et servi deux fois.

Comme me l’avait dit en riant Antoine, les Brigands et les Brigandes boivent du vin « végétarien ». Eh bien oui ! Ce n’est que du jus de fruit, après tout. La table était bien approvisionnée en vin rouge et blanc.

Détail amusant, les Brigandes boivent du vin et la plupart des Brigands de l’eau. Supériorité de la Femme d’Occident, je pense.

La conversation ne languit pas. Nos sujets favoris furent échangés. Je me sentais là tout à fait dans le Clan. Nos pensées se répondaient. Nos goûts en littérature, en histoire, en philosophie se confondaient. Un vrai moment d’harmonie. Une grande fraternité.

Et puis, ce fut le bonheur d’écouter trois chansons inédites du futur album qui paraîtra fin septembre.

Trois thèmes : Résistance, La Femme Celte, Vive le Roi.

Chaque chanson est un chef-d’œuvre. J’attends avec impatience la parution.

Puis nos conversations reprirent, alimentées par l’audition. Je goûtais à un délicieux limoncello fait par la mère du chevrier qui les fournit en fromages. Comme quoi, les gens de la Salvetat n’aiment pas les Brigandes…

Le Temps passait, les Brigandes ont aussi des tâches maternelles et ménagères, le temps du sommeil doit être respecté. C’est à regret que nous nous sommes quittés, mais en se promettant de se revoir.

Poignées de mains avec les Brigands et bises affectueuses des Brigandes.

Le 1er septembre les Brigandes donnent un concert pour la Fête de la Ligue du Midi 2018 en Petite Camargue

Je pense ne pas pouvoir y aller ayant d’autres obligations, mais…

En tout cas, lecteur, je te conseille d’y assister.

« Ne tiens jamais pour véritable ce que tu n’as pas jugé de ton libre examen ». Ce précepte doit être obéi. Face à la propagande mensongère, ouvre les yeux et juge par toi-même.

Pour en savoir plus :

Site des Brigandes, cliquez ici.

Blog des Brigandes, cliquez ici.

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Prochain concert des Brigandes :

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Samedi 1er et dimanche 2 septembre : Fête médiévale à la Chapelle d'Angillon (18)

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vendredi, 17 août 2018

En finir avec la censure idéologique des lois par le Conseil constitutionnel

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Source Ligne Droite cliquez ici

Parmi les contre-pouvoirs qui réduisent les prérogatives du gouvernement et du parlement, le Conseil constitutionnel est sans doute le plus puissant. Prévu à l’origine comme une instance aux compétences très limitées, il a progressivement étendu son champ d’intervention au point de contrôler toutes les lois, aussi bien d’ailleurs celles qui viennent d’être votées que celles qui sont entrées en application depuis longtemps. Pour rétablir la souveraineté du peuple, Ligne droitepréconise donc d’instaurer une procédure d’appel des décisions du Conseil constitutionnel qui donne le dernier mot aux Français et à ses représentants. 

Un Conseil constitutionnel de plus en plus puissant

Au début de la Ve République, les neuf Sages se contentaient d’intervenir en application stricte des articles de la Constitution, lesquels portent exclusivement sur le fonctionnement des institutions de la République. Puis, en 1971, inventant la théorie du bloc de constitutionnalité, ils se sont autorisés à fonder leurs décisions sur les textes du préambule de la Constitution, lesquels énumèrent toute une série de principes d’ordre politique, comme ceux contenus par exemple dans la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen ou plus tard dans la Charte de l’environnement. Dès lors, les membres du Conseil constitutionnel ont pu prendre des décisions d’opportunité souvent parfaitement arbitraires car fondées sur l’interprétation qui est la leur de l’esprit des textes du préambule et même parfois sur des normes implicites ou non écrites.

Dans le même temps, le droit de saisine, qui était à l’origine l’apanage du président de la République, du premier Ministre et des présidents des deux chambres du parlement, a été élargie en 1974 aux parlementaires pour peu qu’ils soient au nombre de soixante, ce qui autorise l’opposition à saisir le Conseil constitutionnel de tout projet de loi qu’elle conteste. Puis, avec la question prioritaire de constitutionnalité, la réforme de juillet 2008 a encore élargi la possibilité de saisine en offrant l’opportunité au simple citoyen d’en appeler au Conseil constitutionnel dans le cadre d’une procédure judiciaire.

Une juridiction qui prétend protéger les Français contre eux-mêmes

Ces évolutions renforçant le poids des neuf Sages ont été à chaque étape justifiées par la même argumentation : plus le Conseil constitutionnel a de pouvoir, plus il est facile de le saisir et plus les droits des Français sont protégés. Mais un tel raisonnement, cher aux tenants du Système et aux défenseurs de « l’état de droit », révèle en réalité la nature profondément malsaine de ce dispositif. Car de qui cette haute juridiction est-elle censée protéger les Français sinon du parlement, c’est-à-dire des représentants du peuple et donc du peuple lui-même ? Et l’on touche là au nœud du problème car, si le Conseil constitutionnel s’est arrogé la mission de protéger les Français contre eux-mêmes, cela veut dire qu’il les a placés sous tutelle et que le peuple n’est plus souverain.

Un tribunal idéologique au service de la pensée unique

Cette instance, qui n’existait pas sous la IVe République ni sous les républiques précédentes et qui est inspirée du droit anglo-saxon, a été favorisée par le Système qui voit en elle l’instrument idéal pour empêcher nos compatriotes et leurs représentants de s’écarter de la pensée unique. Aujourd’hui, le Conseil constitutionnel fonctionne en effet comme un tribunal idéologique qui censure les lois non politiquement correctes. Aussi cette haute juridiction compromet-elle la démocratie car, quel que soit le résultat des élections, quelle que soit la couleur politique des parlementaires élus, les lois qui pourront entrer en vigueur seront nécessairement conformes à la pensée unique définie par le Système. C’est là que réside l’une des causes principales du mauvais fonctionnement de la démocratie dans notre pays. La politique y est en effet désormais dominée par des juges nommés qui ont mis sous leur tutelle les députés et les sénateurs pourtant élus par le peuple. En France, aujourd’hui, l’équilibre des pouvoirs est rompu et le gouvernement des juges l’emporte sur le gouvernement légal.

Une réforme pour donner le dernier mot au peuple français

Pour Ligne droite, cette configuration, à la fois illégitime et dangereuse, doit être corrigée au plus vite. Aussi est-il nécessaire de lancer une réforme constitutionnelle pour instaurer un droit de recours des décisions du Conseil constitutionnel concernant les textes législatifs. L’idée est de donner au président de la République le droit de faire appel de ces décisions et de soumettre le texte incriminé soit à l’Assemblée nationale pour un vote définitif soit au peuple par l’intermédiaire d’un référendum. Dans tous les cas, le dernier mot reviendrait à nouveau aux Français ou à leurs représentants élus.

Une telle réforme est essentielle, car, si la souveraineté du peuple n’est pas ainsi rétablie, la France ne sortira pas du politiquement correct et continuera de décliner.

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Le nouveau numéro de Livr'arbitres est sorti

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jeudi, 16 août 2018

Qu’est-ce qu’un envahisseur ?

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Bernard Plouvier

Dans l’imaginaire collectif d’Européens trop sensibles aux fééries hollywoodiennes - tellement schématiques en matière d’histoire qu’elles ne sont que caricatures -, l’invasion est une affaire sanglante, « pleine de bruit et de fureur », de viols et de rapts, de pillages et d’incendies.

Il est exact que l’invasion des hordes d’Attila fut en grande partie cela, et bien davantage encore la déferlante mahométane en Ibérie, en Aquitaine et dans toute la moitié sud de la France ou en Italie méridionale. Puis la barbarie mongole s’abattit sur l’Europe orientale et centrale, et la turque en terres danubiennes. Tout ce la fut sanglant, raciste et ignoble, nul ne le conteste.

L’actualité, en Europe occidentale et scandinave, prouve la persistance et la vivacité de ce type de comportement chez nombre de sauvageons africains, et leurs confrères proches et moyen-orientaux. Si les attentats individuels et collectifs ne défraient la chronique que de façon mensuelle, le vandalisme dirigé contre les installations publiques, les lieux de culte chrétien, les propriétés privées est affaire quotidienne, comme le sont les actes de racket, les vols, les viols et les agressions physiques… et si l’on en venait à dénombrer les manifestations verbales de racisme anti-Blancs, l’on devrait compter en secondes. Tout cela est bien connu – sauf de la presse gaucho-socialo-friquée.

Il est une autre forme d’invasion, moins spectaculaire dans ses manifestations, mais infiniment plus pernicieuse : celle de la mendicité et du service rendu ou soi-disant tel. « Le Barbare peut franchir la frontière en suppliant ou en auxiliaire aussi bien qu’en agresseur… Il use de la prière ou du service plus souvent que de la violence » (Joseph Calmette, in Le monde féodal, 1934).

Il est de fait que les Germains se sont initialement implantés dans l’Empire romain d’Occident comme auxiliaires ou comme réfugiés repoussés par les Slaves puis par les Huns. Ils ont d’ailleurs remarquablement aidé les Gallo-Romains à écraser l’envahisseur hunnique au Vesiècle. En outre, même lorsqu’ils se comportaient en pillards, ils régénéraient les populations occidentales par un fort utile apport génétique : on restait au sein de la même race continentale, l’européenne.

De nos jours, le spectacle des réfugiés africano-asiatiques, chassés de chez eux par la barbarie islamique ou les jeux pervers des dirigeants US, est indéniablement pitoyable. Seulement, après avoir nourri et formé à un métier utile ces extra-Européens, n’avons-nous pas le devoir de les rendre à leurs continents d’origine, pour que ces ex-réfugiés, secourus et convertis à la technicité occidentale, civilisent leurs Nations d’origine ?

Les agents de désinformation clament l’intérêt de la mixité des races et des civilisations pour assurer l’avenir de notre Europe, en complet désaccord avec les faits observés dans les pays multiraciaux : USA, Mexique, Brésil, pour prendre quelques exemples simples où fleurit la violence interraciale de façon quotidienne. On peut prendre ces bêlements de propagande pour ce qu’ils sont : la soumission aux intérêts de la grande distribution.

De fait, les mêmes immigrés-réfugiés-envahisseurs consommeraient infiniment moins s’ils étaient restés chez eux. Accueillis par des États occidentaux, ils jouissent d’une multitude de lois à caractère social (même les immigrés clandestins ont droit à une allocation spécifique en France), en plus d’usages, pas toujours conformes à la loi, des organismes publics locorégionaux, enfin de dons issus de la charité privée. Pourquoi retourneraient-ils dans leurs gourbis insalubres alors qu’ils bénéficient de jouissances matérielles infiniment plus grandes que dans leur continent d’origine et contre un travail nettement moins harassant, voire pas de travail du tout ?     

Or une question simple se pose. Qu’ont-ils à donner en contrepartie de tout ce que nous leur offrons ? De façon trop fréquente, ils nous font présent de rejetons peu doués, souvent délinquants, presque jamais courtois, en sus d’une religion conquérante, aux usages médiévaux adaptés à des continents où la rudesse et une conception très particulière des rythmes de travail sont opposées aux nôtres. L’esclavage et l’intolérance religieuse qui devient facilement meurtrière, le mépris intégral de la femme : de tout cela nous n’avons guère besoin.

Les empires hellénistique et romain ont tenté d’amalgamer l’Afrique du Nord et le Proche-Orient à l’Europe - du moins celle qui était étendue de l’Atlantique et de la Méditerranée au Rhin et au Danube -, et cela fut un échec intégral.

Pourquoi voudrait-on récidiver dans l’erreur ? Si c’est pour satisfaire l’esprit de lucre des très curieux « humanistes » de Wall Street, de la City londonienne et des multinationales, ou pour communier à la niaiserie, plus ou moins intéressée, des affairistes (souvent repris de justice) du Charity business, d’un pape étonnant et de politicien(ne)s toqué(e)s, ce n’est peut-être pas nécessaire.

10:59 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Hayange (57) : dimanche 2 septembre :

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mercredi, 15 août 2018

À LIRE DANS LE N°49 (ÉTÉ 2018) DE LA REVUE "SYNTHÈSE NATIONALE"

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Sur le n°49, l'acheter ou s'abonner cliquez ici

Le livre d'Alban d'Arguin cliquez là

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mardi, 14 août 2018

Bonne question :

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19:01 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Suite aux délires du stalinien Gayssot, la réaction de la Ligue du Midi :

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La « ruine tête alcoolique » stalinienne Gayssot, -qui a bénéficié d’un parachute doré comme directeur du Port de Sète- vient de déclarer son intention d’ouvrir le port à l’AQUARIUS, le navire refoulé de tous les ports européens de Méditerranée. Évidemment Carole Delga, présidente de la région et immigrationniste bêlante lui a immédiatement emboîté le pas…Attention ceci n’est pas une visite technique et il s’agit bien de déverser 141 migrants, dont 67 jeunes migrants isolés en provenance du Soudan et d’Érythrée.

La FRANCE mise sous pression

Comme le Ligue l’avait annoncé lors de la venue de l’AQUARIUS à MARSEILLE, début juillet pour ravitaillement, la fermeture des accès par l’ITALIE et par MALTE à transposé le flux vers l’ESPAGNE et maintenant vers la FRANCE.

Et voilà qu’avec l’initiative irresponsable d’un « bolcheviste » à la botte des multinationales, notre pays se trouve directement concerné et pris en otage. Or, si le précédent se crée, si un seul migrant débarque à SÈTE ou dans n’importe quel autre port français de Méditerranée, ce sera une noria incessante qui se mettra en route et des milliers d’envahisseurs qui seront déversés chez nous dans les mois qui viennent… et avec le chômage qui sévit en Occitanie, « qu’est-ce qu’on va en faire ? » disent nos compatriotes…

Un rejet catégorique et massif de la part du public

La lecture des commentaires des lecteurs dans la presse et particulièrement suite à l’article paru ce jour dans la Dépêche du Midi est édifiante. Elle marque un rejet massif et quasi unanime qui se traduit par des commentaires extrêmement virulents même après la modération habituelle.

La coupe est pleine, malgré la propagande, malgré le bourrage de crâne médiatique, l’opinion n’avale plus, elle recrache toute idée de nouvelle arrivée de migrants. Elle ne supportera aucun précédent de débarquement d’envahisseurs.

Chiffres truqués, situation hors de contrôle…

Les pouvoirs publics sont débordés par l’ampleur de l’invasion. Ils ne savent plus où caser les nouveaux arrivants et le moindre repli du pays en est « farci ». Tous les chiffres sont truqués. Le pays est littéralement submergé. Cela se voit à l’œil nu, plus personne ne peut l’ignorer et encore moins le cacher.

L’affirmation du refus de l’invasion par l’Italie, Malte, la Pologne, l’Autriche, la Hongrie, les pays du groupe de Višegrad a créé un mouvement qui a « libéré » l’opinion publique en France. Désormais la question de l’invasion obstrue tout le champ politique, elle est au premier rang des préoccupations. Plus personne ne croit au mythe de l’intégration ou du vivre-ensemble. Au contraire, quotidiennement, chacun peut mesurer les méfaits de l’invasion, chacun en subit les conséquences directes dans sa vie personnelle. Plus personne n’y échappe. Les consciences se sont éveillées, c’est irréversible. L’immigration clandestine, c’est l’insécurité garantie dans les villes grandes ou moyennes d’Occitanie dès la nuit tombée avec la « valse des poignards ». D’ailleurs certains indices révèlent que le changement d’attitude du peuple est en cours de prise en compte par les tenants de la mondialisation qui sentent bien qu’il leur faut au moins faire une pause (1).

Les politiques dûment avertis

Les politiques ne peuvent pas se tromper sur l’état de l’opinion publique, ils sont avertis. Personne ne veut voir arriver de nouveaux migrants débarqués par ces ONG (2) qui trafiquent avec les passeurs et qui se remplissent les poches tel le Réseau Accueil Insertion des migrants qui vient de se voir sanctionner par le Conseil Départemental de l’Hérault. Par conséquent, toute ouverture du pays même partielle, même a minima pour des raisons prétendument humanitaires sera interprétée comme un défi, comme un passage en force. L’opinion, particulièrement en Occitanie et sur l’arc méditerranéen, n’acceptera aucun compromis aucune mise devant le fait accompli de la part des politiques.

Pour stopper totalement et définitivement l’invasion migratoire, la Ligue du Midi exige l’organisation d’un référendum dès la rentrée.

Des risques très sérieux de troubles à l’ordre public

La Ligue attire solennellement l’attention des décideurs. Le contexte est extrêmement tendu et tout passage en force pourrait provoquer de graves troubles à l’ordre public et des actes de violences qui pourraient ouvrir un cycle que plus personne ne saurait maîtriser.

Que les politiques y prennent garde, les français ne se laisseront pas faire sans réagir. Trop c’est trop.

La Ligue du Midi rejette radicalement cette initiative individuelle d’un personnage caduc qui ne dispose d’aucune autorité pour ouvrir le pays à l’invasion migratoire. Nous appelons les décideurs à la responsabilité et à ne rien faire qui puisse créer les conditions d’une réaction passionnelle d’une population excédée.

Face à la gravité de la situation, nous appelons toutes les organisations patriotes et tous les citoyens à s’unir et à manifester - si le navire se présente au large de Sète - pour faire barrage au débarquement de nouveaux migrants.

Notes

(1) Gibraltar est en train de retirer son pavillon à l’Aquarius qui n’est pas habilité pour procéder à des « sauvetages »

(2) Tout le monde sait que les embarcations des migrants sont guidées par les ONG (naufrageurs des temps modernes) à partir des côtes africaines et coulées sciemment en haute-mer

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lundi, 13 août 2018

À droite contre le mondialisme

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Ligne Droite cliquez ici

Le clivage gauche/droite a changé de nature. Il porte désormais non plus sur la question de la propriété privée des moyens de production, mais sur celle de l’identité. Aussi la droite nouvelle doit-elle se positionner clairement à droite comme défenseur de notre identité face à la menace mondialiste.

Une Nouvelle Gauche

Après la chute de l’URSS et du communisme en Europe, la gauche s’est progressivement ralliée au néo-capitalisme mondialiste pour finir par prendre le visage de la Nouvelle Gauche, incarnée aujourd’hui par Emmanuel Macron.
Consciente que les solutions collectivistes qu’elle soutenait auparavant ont perdu toute crédibilité, cette Nouvelle Gauche a renoncé aux réformes socialistes de la société. Dans le même temps, elle a abandonné les classes moyennes et populaires aux conséquences désastreuses du libre-échangisme et de la dérégulation de l’économie, pour ne se préoccuper désormais que des minorités qui constituent son réservoir électoral et tout particulièrement des immigrants, érigés pour la circonstance en prolétariat de rechange.
Aujourd’hui, la gauche ne s’intéresse plus aux questions sociales, comme par exemple le processus d’appauvrissement qui touche un nombre croissant de nos concitoyens. Pour continuer dans le registre du progressisme, elle se complaît au contraire dans les réformes dites « sociétales », qui consistent à déconstruire la société, les mœurs et la décence commune, aux dépens du plus grand nombre. Ce qui en retour favorise la marchandisation de l’homme et constitue une aubaine pour les grandes firmes mondialisées. La Nouvelle Gauche fait ainsi le lit du néo-capitalisme.

Mais toujours de vieilles utopies

Ce faisant, la Nouvelle Gauche reste fidèle aux constantes de l’idéologie de gauche et à ses plus vieilles utopies. Le mondialisme et l’immigrationnisme ont simplement pris la place de son internationalisme d’antan. Sa négation de la nature humaine, et donc de l’identité, s’incarne aujourd’hui dans la théorie du genre, dans un féminisme agressif ainsi que dans son goût pour tout ce qui est métissage. Sa haine sociale vise désormais non plus les capitalistes, mais au contraire les classes moyennes et populaires, coupables de vouloir défendre leur identité et de mal voter. Son vieil égalitarisme s’exprime de nos jours à travers la promotion d’un individualisme radical et dans l’idéologie des droits de l’homme. Enfin, son constructivisme, ou sa prétention à faire le bonheur des gens malgré eux, prend la forme de l’écologie punitive et de l’hygiénisme totalitaire de l’État « Big Mother ».
Quant à l’extrême gauche, elle prospère, soutenue par le système médiatique et la bienveillance de certains juges. Fonctionnant comme le « service action » de l’oligarchie, elle soutient l’immigration et combat violemment tous ceux qui s’opposent au Système.

Un nouveau clivage politique

Dès lors, le nouveau clivage gauche/droite ne porte plus comme au XXe siècle sur la question de la propriété privée des moyens de production puisque le communisme est mort, ni sur la Révolution puisque la Nouvelle Gauche se place maintenant du côté des puissants.

Il oppose désormais deux camps :
— d’un côté, les libre-échangistes, les atlantistes, les immigrationnistes, les libertaires et les déconstructeurs, qui constituent la Nouvelle Gauche et incarnent les principales composantes du Système que les oligarques de Davos veulent imposer aux Européens ;
— de l’autre, les défenseurs de l’identité, de la souveraineté, des valeurs et de la liberté des peuples européens, comme du respect des cultures et de la multipolarité du monde, c’est-à-dire tous ceux qui devraient être incarnés politiquement par la droite nouvelle.

La question centrale de l’identité

Le clivage principal entre la droite et la gauche porte ainsi désormais sur la question de l’identité.

Héritière de l’esprit des Lumières, la Nouvelle Gauche nie la nature de l’homme et croit que tous les hommes sont interchangeables. Pour cette raison et malgré ce qu’elle prétend, elle ne représente pas à proprement parler un humanisme, à la différence de la Droite qui a toujours pris en compte la nature de l’homme et la diversité des sociétés.
La Nouvelle Gauche veut réduire l’humanité à son plus petit commun dénominateur, la dissoudre dans un grand néant métissé et lui imposer un modèle unique, alors que la droite a de tout temps eu pour vocation de préserver mais aussi de valoriser la diversité du monde.
La Nouvelle Gauche, contrairement à ce qu’elle affirme, ne défend aucune valeur, car elle prêche constamment le relativisme, le nihilisme et la haine de notre civilisation. Seule la droite peut aujourd’hui défendre les valeurs de notre civilisation, notamment face à l’islamisme qui les menacent avec la complicité de la Nouvelle Gauche.
Enfin, la Nouvelle Gauche n’incarne plus l’espoir des peuples comme autrefois la gauche puisqu’elle n’est plus que le parti des puissants, des lobbies, des minorités et des immigrants. Alors qu’au contraire les valeurs de la droite la placent maintenant du côté des peuples, des peuples qui veulent rester eux-mêmes et qui refusent qu’on les « change », qu’on les déconstruise ou qu’on les transforme en agrégats de « communautés » indifférentes ou hostiles.

La Nouvelle Gauche, qui incarne le Système de Davos et dont l’idéologie politiquement correcte provoque chaos et destruction, a perdu toute légitimité à incarner le progrès de notre civilisation. Aussi, la droite nouvelle devient-elle l’espoir de tous les Européens. Et c’est bien le positionnement à droite face à la Nouvelle Gauche qui constitue la seule alternative crédible.

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