lundi, 15 avril 2019
Mercredi 1er mai, avec Jean-Marie Le Pen
18:40 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Les inscriptions au Pèlerinage de Chartres sont ouvertes !
Message de la Direction des pèlerins :
Ah qu’il est bon d’arriver enfin au week-end ! Qui ne se réjouit pas, les beaux jours aidant, de la perspective d’une grasse matinée avant de projeter une balade au soleil, une terrasse avec des amis, un barbecue familial, une sieste, la lecture d’un bon roman, une séance de cinéma… le week-end est fait pour se reposer ou partager des moments que la semaine travaillée met en suspend. Si le samedi reste souvent consacré aux accompagnements, activités ou supermarché, le dimanche assure dans ces 48h d’interruption, une pause garantie, aussi légitime que méritée, une bouffée d’oxygène, une expiration profonde et libératrice : enfin, on profite de la vie !
Sauf que…il y a un week-end par an où ça peut ne pas se passer tout à fait comme ça ! Un week-end qui en plus de jouer les prolongations, propose un programme nettement plus engageant : mettre entre parenthèse la grasse matinée pour se lever à 5h (ou même n’avoir pas besoin de se lever si l’on est parti la veille au soir en car), démarrer sa journée en tenue décontractée par une messe chantée dans la mythique cathédrale Notre Dame de Paris, s’alléger de tout le superflu en concentrant 3 jours en un sac, troquer ses chaussures de ville pour de bonnes chaussures de marche qui entament ou poursuivent une histoire chargée de souvenirs, préférer le charme de la nature au bitume citadin, l’intimité du chapitre à la foule des magasins, la quiétude de la méditation à l’agitation d’un terrain de sport pour mettre à l’honneur et de manière exclusive le seul, l’unique, le Seigneur.
Sortir ? Oui ! Plus que jamais ! Mais quitter la ville, son bruit, son fourmillement, pour retrouver la campagne, la Beauce, la forêt et la cathédrale, cette forêt de pierre. Quitter son confort, ses pantoufles et son petit-déjeuner, pour vivre trois jours inouïs, et inoubliables, qui prennent chaque année une saveur nouvelle, la question de la météo n’étant que l’élément extérieur d’une montée garantie vers le soleil de l’Eucharistie. Quitter son monde, ses habitudes pour se nourrir de la Foi catholique, boire à la source de la doctrine, se purifier dans le bain de la Confession, en un mot : se plonger en Chrétienté. Faire fie pendant 72h de ses contraintes, ses soucis, ses fardeaux, ses mails, ses whatsapp et sms, se couper de tout pour revenir à l’essentiel, se décharger de tout pour le confier dans la prière, prendre du recul et se donner la chance de repartir à zéro, avec un regard neuf, un cœur allégé, une âme revivifiée.
Le mot est prononcé : Chartres ! Chartres sonne, Chartres t’appelle ! Chartres, c’est la cathédrale, étoile de la Beauce, tour de David, nef victorieuse chargée de blé et de grâces, vision radieuse du dimanche soir, miracle d’une procession du lundi après-midi, joie paisible d’une communion sainte.
Chartres, ce n’est plus une mais deux colonnes immenses de plus de 250 chapitres, s’étalant sur plusieurs kilomètres, magiquement orchestrées par un SO à toute épreuve. La colonne des adultes, et la colonne des familles.
Chartres, c’est la magie de centaines de visages d’enfants de 6 à 12 ans, qui marchent à leur rythme, encadrés par des chefs et des cheftaines énergiques, enthousiastes et dévoués pour leur donner la joie de l’effort, le sens de l’entraide, la soif de la sainteté. Car ils sont nos premiers missionnaires, le « paratonnerre du pèlerinage » selon la belle expression de notre cher abbé Coiffet.
Chartres, c’est la vigueur naissante des Pastoureaux de 13 à 16 ans, adolescents conquérants, assoiffés de plénitude, accompagnés par une équipe de choc et des aumôniers de feu : quel meilleur bain pour les aider à grandir dans le beau et le vrai que ces 3 jours tournés vers l’exigence d’un idéal qu’ils n’entendent plus ailleurs ?
Chartres, c’est l’immensité d’une Chrétienté adulte renouvelée, dont la jeunesse (moyenne d’âge 21 ans) dément toute désespérance du vieillissement de la fille aînée de l’Eglise, puisant aux racines de la Tradition depuis nos prédécesseurs, Péguy et André Charlier, au sein de 13 régions !
Chartres, c’est la Pentecôte, la Babel baptisée, avec ses plus de 1300 pèlerins étrangers venus de tous les continents !
Chartres, c’est un temps familial sous le regard de Dieu, petits et grands sous la même bannière répartis dans 40 chapitres, pour la première fois réunis en 3 régions (1000 adultes et 1000 enfants).
Chartres, c’est un ciel emplumé de ceux que l’on appelle les anges gardiens, et il y en a plus de 3 000sur tous les continents : nos pèlerins qui ne peuvent pas marcher pour des raisons d’âges, physiques, de maternité, d’expatriation et auxquels s’associent les prisons, les monastères, les maisons de retraite et les paroisses spirituellement unis à la colonne avec le livret « ange gardien » et forts des paroles de Notre-Seigneur : « Là où deux ou trois sont réunis en mon nom, je suis au milieu d’eux ».
Chartres, c’est aussi la discrétion absolue d’un nombre incommensurable de bénévoles ; de la DIRPEL (direction des pèlerins), qui coordonne, organise, fait prier et chanter à tous les échelons (étrangers, province, Ile de France, régions, chapitres), qui forme les 750 chefs de chapitre et adjoints, qui pourvoit à l’accueil de chacun… jusqu’à la DIRSOUT (direction des soutiens), en charge de l’intendance, des cuisines, des toilettes, des achats, de la sécurité, du service d’ordre… Tous œuvrent dans la joie et dans l’ombre au service de chacun d’entre vous, chers pèlerins, pour que Chrétienté demeure !
Chartres, c’est donc cette immense foule qui grandit chaque année pour se lancer à corps perdu dans ce challenge un peu fou, dont la finalité se résume en 3 mots : Chrétienté, Tradition, Mission.
Chers amis, chers pèlerins, au week-end ordinaire, préférez l’extraordinaire et rejoignez le pèlerinage les 8, 9 et 10 juin 2019 : Chartres vous ouvre ses bras, inscrivez-vous et faites-le vite car l’anticipation est notre meilleur levier pour organiser ces 3 jours de manière la plus fluide et agréable pour vous. Il n’y a pas de plus grand bonheur pour nous que de recevoir les témoignages de tout ce que vous avez vécu et les grâces reçues chaque année : à l’impossible, nous sommes tenus !
“Une seule condition : l’inscription, rapide et enthousiaste, à partir d’aujourd’hui même, sur www.nd-chretiente.com ! N’attendez pas : fatale est l’hésitation, mais heureuse la décision !”
N’hésitez pas non plus à rejoindre les centaines de bénévoles qui oeuvrent à la réussite du pèlerinage, dans l’une des équipes de la logistique et du service d’ordre, pour le montage des tentes, le transport des sacs, les cuisines, les WC, la propreté, le transport des pèlerins…
16:26 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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La femme dans l'art européen
13:38 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Dimanche 28 avril à Nieppe (59) : Bruno Hirout (PdF) interviendra lors de la 7e Journée régionale de Synthèse nationale
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12:38 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Enrayer le processus d’appauvrissement des Français
Ligne Droite cliquez ici
La dérégulation des échanges commerciaux a provoqué en France une perte de richesse significative, en partie camouflée aux yeux des Français par le recours à l’endettement. Aujourd’hui, cette pratique trouve cependant ses limites et conduit le Système, qui ne veut pas renoncer à l’ultralibéralisme international, à accepter l’appauvrissement et même à l’organiser. Refusant cette logique délétère, Ligne droite veut au contraire rétablir une régulation aux frontières de l’Europe et réindustrialiser le continent, seuls moyens d’enrayer le processus d’appauvrissement des Français
L’appauvrissement, un processus inégalitaire mais bien réel
Les Français ont l’impression de voir leur niveau de vie diminuer d’année en année. Et, quelles que soient les dénégations des responsables du Système, cette conviction est maintenant solidement ancrée dans la conscience collective. La plupart de nos concitoyens d’âge mûr éprouvent en effet le sentiment justifié de ne plus disposer aujourd’hui des facilités que leur offrait une position sociale et professionnelle identique à la leur il y a dix ou vingt ans. Et tous les parents savent que leurs enfants rencontrent de nos jours plus de difficultés à débuter dans la vie qu’ils n’en avaient eux-mêmes à leur âge.
Il est vrai que cette situation n’affecte pas également toutes les catégories de la population car, dans le même temps, les inégalités se sont creusées. Alors que les classes populaires et les classes moyennes, voire moyennes supérieures, connaissaient cette régression, les classes supérieures liées au système et au monde financier ont bénéficié au contraire d’une croissance exponentielle de leur niveau de vie.
L’appauvrissement, conséquence du mondialisme
Or, ces évolutions sont directement corrélées au processus de mondialisation sauvage que nous subissons maintenant depuis plusieurs décennies. L’ultralibéralisme international, qui s’est développé sans aucune régulation, a provoqué en effet un transfert de richesses des pays européens vers les pays émergents. Les délocalisations que subit notre pays depuis des décennies ont conduit à la quasi-disparition de secteurs entiers de notre appareil de production. Et personne ne peut raisonnablement nier que cet effacement industriel correspond à une perte de substance économique et donc à une diminution de richesse pour notre pays. Un manque à gagner que rien n’a réussi à compenser ni l’innovation, ni la technologie, ni l’ingéniosité de nos entrepreneurs. D’autant que de nombreux pays émergents, comme la Chine par exemple, ont maintenant rejoint l’Occident dans la maîtrise de la haute technologie et que les propos lénifiants tenus il y a encore quelques années sur le thème « ils ont les industries de main-d’œuvre, à nous les industries du futur, » se sont révélés totalement illusoires.
L’occultation des méfaits de l’ultralibéralisme international
Dès lors, les gouvernements successifs, qui n’ont cessé de vanter les prétendus bienfaits de cette mondialisation, ont cherché à occulter l’appauvrissement qu’elle provoquait en assurant des prestations et des services qu’ils ne pouvaient pas financer. Sans cette politique, l’appauvrissement entraîné par la mondialisation aurait d’ailleurs été beaucoup plus spectaculaire. Car, pour atténuer les effets désastreux de l’ultralibéralisme sauvage, les dirigeants de notre pays ont essayé de maintenir artificiellement le niveau de vie et de protection des citoyens en empruntant massivement. Pour limiter la réduction des prestations sociales, la détérioration des services publics et la baisse du pouvoir d’achat, ils ont donc fait vivre notre pays au-dessus de ses moyens. Comment expliquer autrement que le processus d’endettement commence dans les années soixante-dix et aille croissant à mesure que les droits de douane sont supprimés et que la dérégulation commerciale se généralise ? D’ailleurs, est-il possible d’expliquer les déficits que connaissent de nombreux pays occidentaux uniquement par le laxisme de leurs dirigeants ? Sans doute y a-t-il là une part de vérité, mais on ne peut expliquer un phénomène aussi puissant et aussi continu par une simple dérive des comportements politiques.
À la croisée des chemins
La difficulté est qu’après quarante ans de fuite en avant, cet endettement s’approche maintenant dangereusement des seuils critiques. Dès lors, la politique de camouflage des méfaits du mondialisme est en train d’atteindre ses limites. Il n’est pas possible en effet, même pour un Etat comme la France, de continuer à accumuler dette et déficit. Aussi la France se trouve-t-elle à la croisée des chemins, car il lui faut maintenant revenir à la réalité. Deux voies lui sont alors ouvertes : ou bien elle remet en cause la mondialisation sauvage par une régulation commerciale aux frontières de l’Europe et elle peut alors espérer retrouver, avec les autres peuples européens, le chemin de la prospérité. Ou bien, avec l’organisation bruxelloise, elle laisse les frontières grandes ouvertes et elle sera alors contrainte de réduire le niveau de vie et de protection de nos compatriotes et de faire accepter l’appauvrissement et la régression inexorable de notre pays. À l’évidence, c’est cette voie qu’ont choisie la Nouvelle Gauche et les dirigeants du Système pour qui l’allégeance à l’ultralibéralisme international passe avant les intérêts nationaux de notre pays. Avec eux, le processus d’appauvrissement du peuple français va donc se poursuivre et même s’amplifier.
Enrayer l’appauvrissement
Ligne droite préconise au contraire d’enrayer ce processus délétère d’appauvrissement et donc de choisir l’autre option, celle de la mise en cause du mondialisme sauvage. C’est par une régulation des échanges aux frontières de l’Union, par la protection des économies européennes de la concurrence sauvage et par la réindustrialisation du continent que la France et l’Europe pourront offrir à leur peuple une prospérité renouvelée.
12:38 Publié dans Ligne Droite | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Mercredi 17 avril : Philippe de Villiers à la Nouvelle Librairie
12:36 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Face à l’État, l’énergie du désespoir
- Premier exemple : Yvan est un jeune de 23 ans de PACA. En décembre 2017, il décide de s’engager dans l’armée. Il y restera jusqu’en septembre 2018 date à laquelle il décide de démissionner pour rejoindre sa fiancée ; il reçoit alors le même mois son solde de tout compte. Tout va bien jusqu’en janvier 2019 quand il reçoit un courrier de l’administration militaire lui annonçant, qu’à la suite d’une erreur de leurs services, il a perçu indûment 2 211 euros de solde. Nul n’est censé ignorer la Loi mais sommes-nous censés connaître à 23 ans toutes les arcanes administratives, salariales etc. ? En avril 2019, le Trésor public vient de lui envoyer la sommation à payer. Aux yeux de la Loi du « droit à l’erreur », le fautif est donc Yvan, l’État n’est jamais fautif, l’État ne se trompe jamais ! Yvan est en CDD, serveur dans un bar et gagne 600 euros actuellement… Comment va-t-il payer pour les erreurs de l’État ? Question subsidiaire : le service concerné et responsable du trop versé sera-t-il sanctionné ? Les fonctionnaires sont protégés et ne risquent rien de fâcheux. Une telle erreur dans le privé donnerait lieu à un litige devant les tribunaux de commerce ou aux prud'hommes, et le comptable responsable serait probablement remercié. De la même façon, quand l’État « se trompe » de date pour payer ses fournisseurs, ceux-ci savent qu’ils n’ont aucun recours réel et qu’une solution : attendre et survivre pour les plus vulnérables d’entre eux.
- Second exemple : Brigitte est une Auvergnate de 57 ans et a été victime d’un cancer dont elle s’est heureusement mais péniblement remise. À la fin de sa maladie et de ses chimiothérapies, la Sécu a exercé copieusement son droit à l’« erreur » dans le calcul de ses indemnités journalières, d’un total cumulé de 2 400 euros ! La malheureuse avait pour seules ressources son allocation d’adulte handicapé (AAH) de 500 euros et un salaire à temps partiel de 600 euros, donc un total mensuel de 1 100 euros. Aux yeux de tout macronidé, il eût donc suffi d’un peu plus de 2 mois pour tout rembourser à l’État, étant entendu qu’un jeûne prolongé ne peut certainement pas faire de mal à une cancéreuse ! J’exagère à peine… Scandalisé, son médecin est intervenu (car il faut savoir que les médiateurs sont débordés et que leurs délais d’action sont trop longs pour influer sur l’Administration !) et elle a pu obtenir une réduction (de peine) de 50 %, le reste de 1 200 euros étant à payer à raison de 50 euros mensuels, donc pendant deux ans. Mais elle dut en réalité payer pendant 2 ans et demi car elle et son toubib avaient oublié que l’Administration y ajoutait des intérêts, comme pour un prêt ! Pas folle la guêpe de Bercy !
11:43 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Le péril vert
Les observateurs politiques ont la fâcheuse habitude de se focaliser sur les résultats, parfois élevés, de l’« extrême droite ». Ils oublient de signaler que les Vertsconnaissent eux aussi de grands succès électoraux dans plusieurs États européens. Il est même possible aux prochaines européennes, la liste Verte conduite en France par le sortant Yannick Jadot dépasse l’estimation des 8 % prévue par les sondages.
Les élections communales et provinciales d’octobre dernier en Belgique ont vu la percée des Verts, remportant trois bourgmestres dans la région de Bruxelles-Capitale au lieu d’un seul. Aux législatives de l’automne 2018 chez le voisin luxembourgeois, ils prennent cinq points, soit 15,13 %, et renforcent leur influence au sein de l’alliance ministérielle tripartite avec les socialistes et les libéraux. Le gouvernement du Grand-Duché compte dorénavant trois ministres et un secrétaire d’État Verts.
Toujours en automne dernier, les élections régionales en Allemagne confirment leur succès : 17,5 % (+ 8,9 points) dans la très conservatrice Bavière, et 19,8 % (+ 8,7 points) en Hesse. En cas de législatives anticipées outre-Rhin, les Grünendeviendraient la deuxième force politique du pays aux dépens de la sociale-démocratie et pourraient s’entendre avec la CDU pour une coalition gouvernementale.
Outre la formidable complaisance du système médiatique, les Verts qui sont souvent des écologistes de pacotille bénéficient du mécontentement latent présent dans l’ensemble des classes sociales. Les électeurs centristes, sociaux-libéraux et progressistes se détournent de leurs formations politiques habituelles, mais ils ne veulent voter ni pour la gauche radicale, ni pour les forces nationales-populaires. Restent les Verts considérés comme une forme convenable de protestation populiste.
Cet engouement extravagant profite par ailleurs des grotesques « grèves scolaires » déclenchées par une adolescente suédoise qui ne cache pas de manger de la malbouffe industrielle… Ces rassemblements contre les dérèglements climatique font penser à cette manifestation organisée, il y a plus de trente ans, par le groupe Jalons à la station de métro Glacière contre le froid. Les participants criaient : « Hiver assassin ! Mitterrand complice ! ». Lycéens et écoliers se donnent une bonne conscience facile et continuent à fumer régulièrement des pétards sans se soucier du gaz carbonique ainsi rejeté. Pauvres jeunes crétins qui sèchent des cours certes idiots au nom de la lutte contre le réchauffement climatique…
Politiquement schizophrènes (pour les souverainetés énergétique et alimentaire et contre les frontières), les Verts, cosmopolites et multiculturalistes, constituent donc une véritable menace pour l’avenir autochtone de la civilisation albo-européenne. Leur montée en puissance confirme en tout cas l’ouverture d’un nouveau cycle politique. Souhaitons que cette imposture soit vite révélée pour que s’affirme enfin un mouvement identitaire enraciné, tenant d’une écologie armée authentique, communautaire et organique.
Bonjour chez vous !
• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°120, mise en ligne sur TVLibertés, le 8 avril 2019.
00:15 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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dimanche, 14 avril 2019
13 avril 1990 : l'Agence Tass reconnait la responsabilité des soviétiques dans le massacre de Katyn
23:46 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Le dîner annuel de Synthèse nationale, samedi 6 avril dernier à Paris, comme si vous y étiez...
Les interventions d'Hugues Bouchu, délégué des Amis franciliens de Synthèse nationale, Jean-Paul Chayrigues de Olmetta, Président de l'Association des Amis de Synthèse nationale, Roland Hélie, directeur de la revue Synthèse nationale, et de Martial Bild, directeur de TV Libertés, notre invité d'honneur.
Lire aussi l'article sur cette soirée cliquez ici
17:00 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Un n° hors-série de la revue Livr'arbitres consacré à l'Europe et à ses frontières
A l'occasion du colloque de l’Institut Iliade, Europe : l’heure des frontières, qui s'est tenu à Paris le 6 avril, la revue littéraire non conforme Livr’Arbitres a réalisé un hors série regroupant une grande partie des interventions de la journée. Ce numéro hors-série exceptionnel est disponible à la Nouvelle Librairie ou sur le site de la revue cliquez là.
16:59 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Finalement, l'Eglise Sainte-Rita à Paris ne sera pas détruite...
Selon le site Info Catho cliquez ici, il y a une bonne nouvelle pour tous ceux qui se sont battus contre la démolition de cette église parisienne Sainte-Rita : celle-ci ne sera pas détruite. C’est en effet ce que le maire du XVe arrondissement de Paris, Philippe Goujon, a annoncé publiquement. La mobilisation a donc porté ses fruits. La préservation de Sainte-Rita ne relevait donc pas de l’impossible.
12:28 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Folle exubérance boursière : plus dure sera la chute
Marc Rousset
Les médias et le CAC 40 à plus de 5.500 points rêvent debout tandis que le FMI semble être la seule organisation du Système à nous mettre en garde, face au ralentissement attendu pour 70 % de l’économie mondiale en 2019. Christine Lagarde estime que « de nombreuses économies ne sont pas assez résilientes » et exhorte les pays à se préparer à la prochaine récession en adoptant, dès maintenant, les réformes nécessaires. La Société générale est la seule banque appelant à la prudence sur le marché des actions. La montée des marchés boursiers ne fait que refléter le laxisme monétaire et les déficits budgétaires généralisés partout dans le monde (Europe, USA, Japon, Chine) en oubliant les fondamentaux de l’hyper-endettement, de la fragilité des systèmes bancaires et de la récession à venir.
Si l’on regarde l’évolution des actifs des banques centrales depuis deux siècles, avec à l’origine le fameux currency principle, on peut dire que nous sommes au sommet du laxisme. On est passé progressivement du 100 % or du Gold Standard du début du XIXe siècle à une fraction de plus en plus faible en or puis, en 1945, au remplacement de l’or par le dollar qui, toutefois, devait être convertible en or (Gold Exchange Standard) pour ne plus l’être en 1971 avec Nixon et, donc, pour passer alors au dollar standard qui se terminera par la chute du dollar et sa valeur zéro.
Au passif des banques centrales, c’est aussi le même phénomène de détérioration continue. Ainsi, on est passé de la banque centrale prêteuse en dernier ressort de l’économiste anglais Walter Bagehot (1826-1877) au banking principle (émission de monnaie en fonction des besoins de l’économie et non plus de la quantité d’or détenue à l’actif). Puis à la politique actuelle ahurissante non conventionnelle consistant à émettre de la monnaie contre des titres d’État, des obligations privées et même parfois des actions (Suisse et Japon) pour en arriver au stade ultime actuel du pompier de service prêteur tous azimuts, c’est-à-dire de la création monétaire illimitée avec des taux zéro ou négatifs (une première depuis 2.000 ans !), ce que préconisent les adeptes de la dernière théorie « bidon » en vogue : la théorie monétaire moderne.
Les actions des banques centrales sont, en fait, un aveu implicite que l’hyper-endettement est intenable avec des taux d’intérêt normaux, que le Système exploserait par manque de liquidités. Aux États-Unis, sept millions d’Américains ont au moins 90 jours de retard pour les mensualités de leur crédit auto et un grand nombre d’étudiants sont dans l’incapacité de rembourser les frais de leurs études. On va donc tout droit vers l’explosion, mais les boursiers regardent le doigt lorsqu’on leur montre la lune des réalités.
À la BCE, l’ordre du jour, c’est : ouvrez toutes les vannes ! À partir de septembre 2019, afin de sauver les banques italiennes, un « TLTRO III » (prêts à long terme à taux zéro) sera lancé et échelonné sur sept trimestres. Les taux zéro sont confirmés pour 2019 et l’Institut de Francfort s’engage à réinvestir aussi longtemps que nécessaire son stock d’obligations pléthorique de 2.600 milliards d’euros.
Aux USA, Wall Street croit de nouveau au père Noël, suite à l’annonce de la Fed que les taux pourraient même baisser en 2019, que la politique de réduction du bilan (« QE » à l’envers) serait arrêtée en septembre 2019, avec même une reprise possible, si nécessaire, de la création monétaire non conventionnelle. Dans ces conditions, rien à perdre, mieux vaut continuer à faire gonfler la bulle boursière, même si la dette publique états-unienne représentera, d’ici quatre ans, 110 % du PIB.
Quant à la bombe italienne, la dette publique devrait atteindre 132 % du PIB en 2019, 138,5 % en 2024, avec un déficit public supérieur à 3 % en 2020. Les banques italiennes détiennent 360 milliards de dettes de leur propre pays, soit 10 % de leurs actifs. La prime de risque du taux des obligations italiennes par rapport au Bund allemand est de 2,56 %. Plus grave : BNP Paribas perdrait 47 % de ses capitaux propres si ses débiteurs italiens faisaient défaut, le Crédit agricole 29 % et la banque Dexia 556 % (ratios CET1 de la BRI).
La triste vérité, c’est que nous vivons dans un monde politicien de déni des évidences, aussi fou en matière économique qu’en matière d’invasion migratoire, qui consiste à cacher les réalités derrière un nuage de fumée jusqu’à ce qu’un jour, tout explose !
10:22 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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samedi, 13 avril 2019
FACE À L'HYSTÉRIE COLLECTIVE DES CHIENS DE GARDE DU SYSTÈME : COURAGEUSEMENT, VINCENT VAUCLIN DIT LA VÉRITÉ
Un communiqué de Vincent Vauclin, Président de la Dissidence française :
Jeudi sur C8, en direct lors d'un débat houleux sur l'immigration.
J'ai été contacté en début de semaine par l'équipe de Cyril Hanouna pour participer à ce débat au cours duquel, m'a-t-on dit, toutes les opinions pourraient se faire entendre.
Bien évidemment, nous avons pris le temps de la réflexion avant d'accepter cette invitation. D'une part parce que c'est pour le moins inhabituel, d'autre part parce que la réputation d'Hanouna le précède et laissait craindre une émission pour le moins fantasque.
Nous avons malgré tout décidé qu'il était pertinent d'accepter. On ne peut pas se plaindre de ne jamais être reçus dans les médias tout en déclinant des invitations à y participer. A cela s'ajoute une considération stratégique élémentaire : touchant entre 300 000 et 500 000 téléspectateurs par émission, en particulier des jeunes de notre génération, l'émission Balance Ton Post nous donnait l'opportunité de nous adresser à un public large et de faire entendre nos idées à une autre échelle. Même si le direct et la présence de contradicteurs chevronnés impliquaient une prise de risque non-négligeable, j'ai estimé que le jeu en valait la chandelle.
Très concrètement, ma participation n'a été confirmée que quelques heures avant l'émission, de même que la liste définitive des invités et le périmètre du débat. J'ai tout de même pris le temps d'une préparation studieuse qui s'avéra relativement inutile compte-tenu de ce qui s'est réellement passé.
Car en effet et comme vous avez pu le constater, ce débat est rapidement devenu une véritable foire d'empoigne, d'une part à cause d'un nombre particulièrement élevé de contradicteurs hystériques, d'autre part à cause de la nature même de ce "talk-show" dont la formule repose essentiellement sur le clash et le buzz à outrance. Je me suis donc retrouvé au beau milieu d'une des émissions les plus bordéliques du PAF pour parler du sujet le plus important du siècle. Un exercice pour le moins périlleux, pas franchement agréable, et qui requiert une certaine aptitude au self-control dont je m'étonne parfois moi-même.
Je pense néanmoins avoir réussi à placer quelques arguments sérieux dans le débat, malgré la logorrhée quasi-ininterrompue d'Esther Benbassa - dont la pertinence était inversement proportionnelle à son volume - et de ses comparses qui rivalisaient de démagogie sophistique et outrancière pour couvrir la voix de leurs contradicteurs. On notera enfin que, de tous les intervenants présents sur le plateau, je suis le seul dont le livre (Remigration) n'a pas été présenté ni annoncé (bien qu'il fut sur le pupitre d'Hanouna durant toute l'émission).
Merci à tous les nationalistes et patriotes qui m'ont soutenu sur les réseaux sociaux, et particulièrement aux camarades de la DF qui ont mené bataille sur Twitter. Voir les visages défaits des gauchos à l'annonce du résultat du sondage final était jubilatoire.
On ne lâche rien !
NDLR SN : nous pensons aussi que Vincent Vauclin a eu raison de relever le défi. Il n'est pas évident, en telles circonstances, de s'imposer face à une meute haineuse de chiens de garde du Système. Il a répondu avec courage et pertinence. Bravo...
Sans doute plus bienveillante, écoutez l'émission Synthèse sur Radio Libertés avec Vincent Vauclin cliquez ici
18:46 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Vous êtes en France : bienvenue chez les fous !
par Eric Zemmour
Fou. Cinglé. Maboul. Malade mental. Dingue. Irresponsable. En quelques mots, en quelques synonymes, on peut résumer l’épilogue de ce qu’on a appelé l’affaire Sarah Halimi, cette vieille dame juive assassinée au cri de « Allah Akhbar » par son voisin, Kobili Traoré. Un crime ? Non ! Un assassinat antisémite ? Que nenni ! Un meurtre islamiste ? Pas d’amalgame ! Les experts ont évalué, tranché, décidé. Les experts ont expertisé et leur parole est sacrée. Kobili Traoré est fou. Cinglé. Maboul. Dingue. Irresponsable.
Il a tué, mais ce n’est pas lui qui agissait. « Je est un autre », disait Rimbaud. Il avait fumé du cannabis la veille. Il a crié « Allah Akhbar » et « J’ai tué le sheitan » (le diable, en arabe), mais il aurait pu crier n’importe quoi : « Vive la sociale ! » ou « Je suis tombé par terre, c’est la faute à Voltaire » mais il ne connaît ni Voltaire ni Hugo. La justice est bonne mère. La République aussi. Quand un homme boit avant de tuer, c’est une circonstance aggravante ; quand il fume du cannabis, c’est une circonstance atténuante ! Les djihadistes qui ont massacré chez Charlie ou au Bataclan consommaient eux aussi des drogues avant d’agir ; et criaient « Allah Akhbar » au moment de passer à l’acte : ce qui prouve bien qu’ils sont fous ! Cinglés. Mabouls. Malades mentaux. Irresponsables. Le tueur de Nice ? Fou. Psychopathe. L’égorgeur du père Hamel ? Fou. Irresponsable. En effet, il faut être fou pour commettre des actes aussi cruels.
Magnifique trouvaille. Magnifique excuse. Les SS d’Oradour qui ont brûlé des femmes et des enfants ? Fous. Les milices staliniennes qui affamaient les Ukrainiens ? Fous. Les sans-culottes qui exécutaient en masse, les 2 et 3 septembre 1792, aristocrates et prêtres, dans la prison du Temple ? Fous. Irresponsables. Comme disait Shakespeare : « L’histoire humaine, c’est un récit raconté par un idiot plein de bruit et de fureur, et qui ne signifie rien. » Tous fous. Tous cinglés. Tous irresponsables. Les militants de l’Islam, qui est, plus qu’une religion, un système juridico-politique, une idéologie totalitaire, « un communisme avec Dieu » selon Maxime Rodinson, sont donc en réalité des fous irresponsables. Mais ceux qui tentent d’alerter sur le danger qu’ils représentent sont eux aussi des fous, des islamophobes atteints de démence, à psychiatriser. A enfermer d’urgence. Comme au bon vieux temps des asiles psychiatriques de Brejnev. Il n’y a plus de débats, plus de conflits politiques, plus d’affronte- ments idéologiques. Plus de militants, plus de combattants, plus d’ennemis. Plus de responsables. Pourquoi avoir jugé les dignitaires nazis au procès de Nuremberg ? Ils étaient tous fous. Pourquoi s’étriper encore sur Robespierre et la Terreur ? Il était fou. Rien que des fous et des asiles psychiatriques où les enfermer. Au fait : reconnu dément, Kobili Traoré ne sera pas pénalement responsable. Mais, en l’absence de pathologie mentale chronique, il ne sera pas non plus hospitalisable d’office à long terme. Bienvenue chez les fous !
Source : Figaro Magazine, 13/04/2019
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Journal du chaos
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vendredi, 12 avril 2019
Francis Bergeron présente le n° hors série de Présent
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Exclusif ! Un nouveau complot lepéniste déjoué ?
Nicolas Gauthier Boulevard Voltaire cliquez ici
L’heure est grave et la République en danger. Certes, il y a les incidents du Bataclan et de Charlie Hebdo, les problèmes rencontrés par le père Hamel et le gendarme Beltrame, sans oublier quelques autres faits divers de même acabit. Mais allons plutôt à l’essentiel : ces ennemis de la démocratie et de la bonne humeur qui, dans l’ombre, fourbissent leurs funestes projets ; au premier rang desquels, évidemment, un certain Jean-Marie Le Pen.
Rappelons les faits : lors de l’incendie ayant ravagé son nid d’aigle de Rueil-Malmaison en janvier 2015, les pompiers, n’écoutant que leur courage insensé et les voix humanistes les appelant, en leur for intérieur, à discerner les véritables périls, ont donc, au lieu d’éteindre les flammes, déniché une arme de destruction massive dans le repaire de l’infâme. Soit un fusil de chasse que son épouse tenait de son premier et défunt mari. Déjà, ces premières preuves sont accablantes.
Mais c’est ensuite qu’elles deviennent irréfutables. Lors d’une perquisition dans le Parc de Montretout, relative à des « emplois fictifs » présumés au Parlement européen, d’intrépides policiers font une découverte autrement plus alarmante, celle de deux armes de poing. La possession de la première est parfaitement légale – en tant que personnalité menacée, l’ogre de Saint-Cloud détient un port d’armes. Celle de la seconde est encore plus intrigante, ayant paraît-il été offerte par un ancien patron des services de renseignement français. D’ignobles subterfuges qui, heureusement, ne trompent personne.
Quoi qu’il en soit, voilà bien la preuve que le complot est fort de ramifications tissant leur toile dans un filet remontant au plus haut sommet de la tête de l’État. Une chance que les autorités judiciaires, garantes de nos institutions, n’aient pas hésité à convoquer le factieux avant qu’il ne soit trop tard, ce jeudi 11 avril. Il va sans dire que le présumé coupable ne s’est pas rendu à la convocation, croyant peut-être à un tardif 1er avril relayé par les réseaux médiatico-ploutocratiques. Un indice de plus. Bref, l’étau se resserre et les ennemis du vivre ensemble n’ont plus qu’à bien se tenir.
À l’heure où ces mots sont mis en ligne, d’autres arrestations du proche entourage lepéniste ne sauraient tarder. Son attaché de presse aurait été surpris avec un coupe-papier et son jardinier avec un sécateur. Quant à Jany, son épouse et âme damnée, elle devrait tôt s’expliquer de la possession illégale d’une pince à épiler et d’un fer à friser. Le complot semble donc avoir pour le moment avorté, étouffé dans l’œuf par des juges courageux et des forces de l’ordre prêtes à tous les sacrifices pour préserver la quiétude de notre démocratie apaisée.
Heureusement que ces « belles personnes » veillent, dans l’ombre, face aux menées sournoises de ces forces ténébreuses, immanquablement promptes à téléguider des coups bas venus de haut. En attendant, il paraît que prisons et tribunaux seraient surchargés. Encore une « fake news »visant à nous faire perdre de vue l’essentiel : la sauvegarde du vrai et du beau, du bon et du bien. Et c’est aussi pour ça que nous pouvons nous montrer si fiers d’être Français en France.
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L'émission Synthèse sur Radio Libertés avec Patrick Gofman à propos, entre autres, des trotskistes lambertistes
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jeudi, 11 avril 2019
Le nouveau livre de Gabriele Adinolfi sur Matteo Salvini est aussi sorti en Italie
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Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine
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La fête du Pays réel organisée par Civitas
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Commission parlementaire « extrême droite » : auditions publiques pour les accusateurs, huis clos pour les accusés !
Depuis le 23 janvier 2019, et jusqu'au 16 mai prochain, se tient une curieuse commission d'enquête contre de supposées violences des groupes d'extrême droite, à la demande de Jean-Luc Mélenchon. Cette commission est présidée par Mademoiselle Muriel Ressiguier, député des Insoumis de l'Hérault. Elle devait conclure ses travaux le 16 mai, et rendre son rapport le 11 juin.
Communiqué commun de la Ligue du Midi, de Vigilance Halal, de Riposte laïque et de Résistance républicaine :
Nous avons appris, par une fuite du Figaro, qui n'a pas été démentie, que nos responsables devaient faire partie des personnalités auditionnées. Pourtant, nous ne nous reconnaissons absolument pas dans cette définition donnée par les députés : « Tous ces groupes ont en commun la violence, l’incitation à la haine raciale, homophobe et sexiste. Ils agressent des couples, des cyclistes, des passant-e-s, des étudiant-e-s pour leurs opinions, leur orientation sexuelle ou leur origine. Ils agressent, insultent, intimident, menacent de simples citoyen-ne-s mais aussi des élu-e-s de la Nation ».
Nous y verrions plutôt les pratiques des groupes d'extrême gauche, antifas ou Black Blocs, qui ont multiplié, à l'occasion du mouvement des Gilets jaunes, les actes de vandalisme contre des symboles qui leur déplaisent, des agressions contre des journalistes, des librairies ou des opposants politiques, ainsi que des violences graves contre les forces de l'ordre, ce qui ne paraît pas émouvoir le chef des Insoumis, ni Mademoiselle Ressiguier.
À quelques jours de leur éventuelle audition par la Commission d’enquête, les personnalités et leaders des groupes visés, n’ont toujours reçu aucune notification. Par conséquent, en fonction de leur éloignement ou de leur emploi du temps déjà engagé, certains d’entre eux pourraient avoir à demander des reports d’audience.
Par ailleurs, si aucun texte ne précise les conditions permettant de décréter le huis clos en commission, il semble pourtant que les règles constantes du droit commun, ainsi que l’usage, commandent d’en justifier l’emploi.
Les parlementaires voudront bien se demander pourquoi Madame HERVOUËT, présidente d’une association immigrationniste - dont les curieuses pratiques ont été épinglées par le conseil départemental socialiste de l’Hérault - a été auditionnée à huis clos alors qu’elle était là en infraction totale avec le principe de séparation des pouvoirs ; pourtant, dans le même temps cette disposition a été refusée à Monsieur BATTESTI, président de Facebook, qui la demandait, terrorisé par les menaces induites par la Présidente.
Pareillement, on se demandera ce qui justifie le huis clos pour les auditions de Messieurs Fabrice ROBERT et Romain ESPINO, animateurs de mouvances identitaires, convoqués ce jeudi 11 avril. Ce refus du principe du « contradictoire » n’est pas sans rappeler les pratiques d’autres pays, d’autres époques et d’autres mœurs.
De notre point de vue, aucune raison réelle et sérieuse ne justifie le huis clos pour les personnalités et leaders des groupes visés ; sinon celle de leur fermer la tribune qui leur est due et d’occulter aux yeux du public les éléments qu’ils pourraient faire valoir en défense ; alors que tous les éléments à charge les concernant ont été largement rendus publics et de manière tendancieuse et très exagérée ; parfois même en infraction avec le principe de séparation des pouvoirs.
Les parlementaires devraient s’interroger sur le sens de ces manœuvres arbitraires qui n’ont d’autre but que de nous bâillonner et de présenter au public un seul son de cloche : démarche publique résolument à charge d’un côté, interdiction de publicité de notre défense de l’autre. Ce déséquilibre est inadmissible dans un état de Droit, surtout émanant du pouvoir législatif.
En conclusion de tout ce qui précède, les signataires entendent, si leur convocation était confirmée, se présenter à un débat public, équilibré et contradictoire.
Par conséquent, ils demandent la levée du huis clos en ce qui les concerne, et à défaut, qu’en soient publiquement justifiées les raisons dès avant leur audition.
Montpellier, le 9 avril 2019
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On a les gauchistes les plus cons du monde, mais aussi les plus nuisibles
Riposte laïque cliquez ici
On a souvent dit que la France avait la droite la plus bête du monde. Ce n’est pas faux, car il faut être sacrément crétin pour être tombé, comme l’ensemble des chefs de cette mouvance, depuis les années 1985, dans le piège que lui a tendu avec machiavélisme François Mitterrand. Ce vieux renard politicien a réussi à interdire à la droite de faire des alliances avec le Front national, tout en s’autorisant tous les accords avec le PCF et l’extrême gauche trotskiste. Résultat, bien que largement minoritaire, la gauche a gagné nombre d’élections qu’elle aurait dû perdre.
Dans un autre registre de stupidité, on a assisté à la première confrontation entre les douze têtes de listes aux Européennes. Et on a écouté Raphaël Glucksmann, que les socialauds ont mis en tête pour mieux dissimuler leur naufrage, l’écolo Yannick Jadot, l’Insoumise Manon Aubry, le coco Ian Brossat et Benoit Hamon, de Génération.s (défense de rigoler). C’était grotesque. Ces charlots étaient d’accord sur l’essentiel : urgence de la transition écologique, obligation de continuer la submersion migratoire, soumission à l’islam, négation de toute question identitaire, nécessité de rester dans l’Union européenne, pour la changer de l’intérieur.
Il n’ont même pas réussi à voler dans les plumes de Nathalie Loiseau, car, à part la question sociale, qui leur sert à se différencier de Macron, ils sont d’accord avec lui sur ces questions essentielles. Ils avaient tout ce qu’il fallait pour faire une liste commune, qui s’appuyant sur l’impopularité de l’équipe présidentielle, aurait pu réussir un bon score.
Mais ils ont choisi de jouer chacun leur partition, pour pouvoir exister. Les réveils vont être douloureux, quand on sait qu’il faut atteindre 3 % des voix pour être remboursé, et 5 % pour avoir des élus, qui donnent des moyens organisationnels (autrement dit des sous) aux postulants. Sans risque de grosse erreur, on peut considérer que Brossat va rester à 1 %, ce ne sont pas les stupidités qu’il a racontées sur les avions qu’il convient de réserver aux seuls riches qui vont l’aider. Benoît Hamon, que nous avions surnommé Bilal pour sa course au vote musulman, aura également bien du mal à atteindre les 3 %, et comme il n’intéresse pas grand monde, son avenir politique est assombri, il va peut-être devoir travailler pour la première fois de sa vie, à 51 ans, et ne pas vivre que de la politique…
Reste Glucksmann, cache-sexe du PS moribond. Pour lui aussi, le réveil va être difficile, et s’il va dépasser les 3 %, la barre des 5 % est loin d’être garantie. Il n’est pas certain que ces grandiloquentes déclarations d’amour à l’Europe ne soient très payantes.
Les Insoumis, avec la médiocre caricature haineuse Manon Aubry, seront bien sûr fort éloignés des scores que seule la personnalité de Mélenchon leur permettait d’atteindre aux Européennes. Tel que cela est parti, ils risquent de plafonner à 7 %, ce qui leur permettra quand même d’envoyer à Bruxelles tous les tocards qu’ils n’ont pas réussi à faire élire au Palais Bourbon, et d’avoir quelques moyens supplémentaires.
Quant aux écolos, avec toute la propagande faite sur l’urgence climatique, il devrait se trouver les habituels crétins qui, à l’occasion des Européennes, se disent qu’effectivement, il faut qu’on défende la planète, et donc que le vote écolo s’impose. Bien que discrédités nationalement, ils sont bien capables d’atteindre les 10 %, ces imposteurs !
Mais la nuisance de la mouvance gauchiste s’exerce dans nombre d’autres secteurs, bien plus importants que les élections. Elle s’exerce d’abord dans la rue, où les Antifas et les Black Blocs sont les véritables milices du régime, interdisant d’expression la mouvance patriote, qu’elle peut agresser avec une totale impunité. À notre connaissance, ceux qui ont frappé à dix contre un le journaliste Vincent Lapierre à Toulouse, bien que connus, n’ont pas encore été arrêtés. Pas davantage ceux qui ont essayé de vandaliser la Nouvelle Librairie, dans le Quartier Latin. Ces milices ont été indispensables à Macron-Castaner pour pourrir de l’intérieur, sur Paris essentiellement, le mouvement des Gilets jaunes. Travail complété par l’infiltration de gauche et d’extrême gauche, qui ont noyauté le mouvement, l’enfermant dans les seules revendications sociales, et y interdisant toute allusion sur l’immigration (qui coûte très cher aux Gilets jaunes) et sur l’identité.
Naturellement, l’agitation entretenue contre ce qu’ils appellent l’extrême droite, en fait la mouvance patriote et identitaire, seule opposante sérieuse à Macron et au mondialisme, fait le jeu du pouvoir. C’est dans ce contexte qu’il faut comprendre la grotesque commission Ressiguier, contre « les violences commises par l’extrême droite », et la volonté affichée de Génération Identitaire, qui n’a jamais exercé la moindre violence contre des policiers, des migrants ou des gauchistes. Ce régime, aidé par les gauchistes, ne cache plus sa volonté de briser par tous les moyens la dissidence patriote, par des dissolutions ou la censure opérée sur les réseaux sociaux. Nous ignorons, à l’heure où nous écrivons ces lignes, si Pierre Cassen et Christine Tasin seront auditionnés par leur grande amie Muriel Ressiguier, qui paraît vouloir imposer le huis-clos pour ces interrogatoires… Mais nous savons que l’un comme l’autre devront encore consacrer du temps à se défendre devant les tribunaux, sans savoir s’ils ne vont pas tomber sur des juges « Mur des Cons ».
La nuisance gauchiste s’exerce également dans tous les domaines de la société, où leur travail de déconstruction quotidien sape la France depuis cinquante ans : la magistrature, les médias, l’école, l’université, la Culture. Naturellement, elle est l’alliée naturelle des islamistes, contre qui elle n’a jamais un mot. Cela s’appelle l’islamo-gauchisme.
C’est une véritable cinquième colonne, au cœur de l’appareil d’État, qui constitue un véritable contre-pouvoir à tout gouvernement légitiment élu. Et cela dans tous les pays occidentaux, Donald Trump y étant confronté quotidiennement depuis deux ans.
S’il arrivait au pouvoir en France, comme cela s’est fait en Italie et dans les pays de l’Est de l’Europe, il devrait se donner des moyens exceptionnels, en s’appuyant sur le peuple, pour briser, par la force s’il le faut, ce cancer qui exerce sa capacité de nuisance contre le peuple français, au service du mondialisme, du Grand Remplacement, du changement de civilisation et de l’islamisation de notre pays.
Un passage obligatoire.
Avant la Reconquête du pays, qui passera par l’éradication de la cinquième colonne islamiste, il faudra en finir avec le cancer gauchiste.
08:06 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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JEUDI 11 AVRIL : PATRICK GOFMAN, ROMANCIER, INVITÉ DE L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR RADIO LIBERTÉS
07:59 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mercredi, 10 avril 2019
Philippe Randa nous parle de la surpopulation sur TV Libertés
17:31 Publié dans Philippe Randa, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Samedi 27 avril, à Cauchy-à-la-Tour (62) : commémoration de la naissance du Maréchal Philippe Pétain
Comme chaque année, l'Association pour la Défense de la Mémoire du Maréchal Pétain (ADMP), célèbre l’anniversaire de la naissance du Maréchal à Cauchy-à-La-Tour (Pas-de-Calais), dans sa ferme natale.
PROGRAMME DE LA JOURNÉE DU 27 AVRIL 2019 :
10 h 00 : Rassemblement dans la Ferme Pétain (6, rue Camblain 62260 Cauchy-à-la-Tour).
10 h 30 : Messe célébrée dans une grange de la Ferme.
11 h 30 : Dépôt de gerbes à la Ferme Pétain.
13 h 00 : Déjeuner dans la propriété sous une tente (traiteur).
18 h 00 : Retour vers Paris.
UN CAR ADMP permettra de se rendre à Cauchy depuis Paris.
Le départ aura lieu à 7 heures très précises. Le retour est prévu au même endroit vers 20h30.
LES FRAIS DE PARTICIPATION POUR CETTE JOURNÉE SONT DE :
60 € pour le voyage en groupe, comprenant le prix du car, le déjeuner et frais d’organisation.
30 € pour tous ceux qui choisiraient de se rendre à Cauchy par leurs propres moyens.
Nous vous remercions de bien vouloir vous inscrire au plus tôt en raison de la réservation du nombre de places en car et du nombre de repas à prévoir (réunion à caractère privée).
Renseignements :
ADMP, 5, rue Larribe 75008 Paris - Tel : 01 43 87 58 48
10:52 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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L'arrière-petit-fils du Duce candidat aux élections européennes en Italie
Il est dirigeant d'entreprise et il a 50 ans, c'est sur les listes de Fratelli d'Italia qu'il se présente aux élections européennes de mai prochain en Italie. Caio Giulio Cesare Mussolini, arrière-petit-fils de Benito Mussolini, l'a annoncé dans un entretien avec le journal Il Messaggero publié ce mardi.
"Tout le monde veut mettre Mussolini sur le bulletin de vote", déclare cet ancien officier sous-marinier. Il reconnait n'avoir jamais fait de politique, mais il assure avoir "respiré" la politique toute sa vie.
Déjà une Mussolini eurodéputée
Ce n'est pas la première fois que le patronyme Mussolini fait campagne en Italie. Caio Giulio Cesare est le petit-cousin d'Alessandra Mussolini, petite-fille du Duce, eurodéputée depuis 2014 après avoir été sénatrice et députée nationale.
09:00 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Discours de Viktor Orbán, à l’occasion de la présentation du programme du Fidesz-KDNP
Si je vois bien, je suis ici l’œuf du coucou. Tous ceux qui ont pris la parole avant moi étaient des experts dans les sujets qu’ils ont abordés, et même notre ministre de la Justice n’était qu’une exception apparente puisqu’il a été pendant de nombreuses années ambassadeur à Bruxelles, il peut donc être considéré comme un expert en politique étrangère. József Szájer préside notre groupe parlementaire à Bruxelles, et Péter [Szijjártó] est notre ministre des Affaires étrangères. Je suis le seul à me singulariser. Alors, pourquoi ai-je reçu la parole ?
J’ai reçu la parole parce que c’est l’usage au début d’une campagne : la revue des troupes, la réunion, le lancement de la campagne, l’exposé des objectifs. Si nous regardons autour de nous – pas seulement dans cette salle, mais dans le pays tout entier –, nous pouvons dire avec assurance que notre communauté politique est sûre d’elle, forte et de bonne humeur. Mais il faut se garder d’un excès de confiance : nous sommes tout de même face à une compétition. Nous avons eu la fin de semaine dernière les championnats de Hongrie de natation, qui pour certaines épreuves a plutôt été un championnat d’Europe, et Katinka Hosszú (1) a pu dire, après l’une d’entre elles, qu’il est bel et bon d’avoir quelques médailles d’or olympiques – nous aussi, nous avons bien quelques victoires électorales derrière nous – il est bel est bon d’avoir confiance en soi (nous n’en manquons pas), mais lorsque l’on se présente pour la compétition suivante, lorsque l’on monte sur le socle de départ, alors ce qui s’est passé avant ne compte plus. Une seule chose compte : ce qui va se passer après, l’épreuve qui nous attend. C’est pour cela que j’ai reçu la parole, pour que je vous rappelle cette vérité. Je suis heureux de vous retrouver. Nous devrions parler de beaucoup de choses aujourd’hui sur le thème de l’Europe, mais nous n’aurons peut-être pas le temps de tout couvrir, la campagne ne fait que commencer. Nous ne pouvons pas parler de tout au
jourd’hui, et c’est pourquoi je me bornerai à indiquer, en ce début de campagne, ce qu’est l’enjeu des élections du 26 mai. Nous pourrions pourtant évoquer des sujets d’actualité brûlants, comme par exemple la relation entre le Fidesz et le Parti populaire européen (PPE). Je ne voudrais pas m’y attarder aujourd’hui, et je me limiterai à souligner devant vous que c’est nous, et pas le PPE qui décidons de notre avenir. Nous verrons, après les élections, la direction que prendra le PPE. Il semble aujourd’hui qu’il prenne celle de la gauche libérale, de la constitution d’un empire européen libéral et d’une Europe des immigrés. Si c’est cette direction qu’il prendra, vous pouvez être sûrs que nous ne l’y suivrons pas. Il y a bien sûr les humeurs et les irritantes déclarations de M. Weber sur le sentiment national. Il n’est donc pas étonnant que l’on prononce et écrive de plus en plus souvent en Hongrie ce seul mot : dehors ! (2) En ce qui me concerne, je voudrais appeler à la patience. Nous déciderons en temps opportun, sur la base de nos intérêts nationaux.
Avouons-le, les élections européennes précédentes n’avaient pas de grands enjeux. En gros, leur fonction était de déterminer si le président de la Commission européenne sera de droite ou de gauche. Cela non plus n’est pas aussi simple qu’on pourrait le croire. Voici par exemple un certain Jean-Claude Juncker : nous avons cru qu’il était de droite, et au lieu de cela nous avons reçu un socialiste européen bon teint, dont la responsabilité est déterminante dans le Brexit, dans l’invasion migratoire et dans le conflit de plus en plus vif entre l’Europe centrale et l’Europe occidentale. Aujourd’hui en revanche, il s’agit de davantage que du choix d’une seule personne. Fin mai, c’est son avenir que l’Europe choisira. L’enjeu n’est pas de savoir si ce sont les socialistes ou les conservateurs qui enverront le plus de députés à Bruxelles. Cette fois-ci, plusieurs centaines de millions d’Européens se prononceront sur des sujets plus importants que la politique partisane. L’enjeu sera de déterminer si l’Union aura des dirigeants pro-immigration ou des dirigeants anti-immigration. Nous nous prononcerons sur le destin de l’Europe : si elle devra continuer d’appartenir aux Européens, ou si nous devrons céder la place à des masses venues d’autres cultures, d’autres civilisations. Remplacement des populations, disent les Français. Si nous continuerons de protéger notre culture chrétienne, européenne, ou si nous nous effacerons devant le multiculturalisme. Tout cela fait qu’il n’est pas non plus surprenant que la ligne de fracture entre les parties en présence ne corresponde plus à l’ordre de valeurs classique entre la gauche et la droite. Voyez par exemple les quatre États membres du groupe de Visegrád et les chefs de gouvernement de ces États. Nous siégeons chacun dans des groupes différents au sein du Parlement européen, et je ne peux même pas dire que nous soyons tous du même bord idéologique. Il y a parmi nous des libéraux, des socialistes, des membres du PPE et des conservateurs – la liste doit s’arrêter là, car nous ne sommes que quatre –, et pourtant nous sommes d’accord sur l’essentiel : nous voulons que nos pays et l’Europe restent tels que nous les avons connus. Selon le vieil adage : unité sur l’essentiel, liberté sur le reste, mais empathie sur le tout. Le 26 mai, mes chers amis, nous voterons sur l’essentiel : l’enjeu est notre civilisation chrétienne. Souvenons-nous : lorsque l’Union a été fondée – rappelons-nous nos lectures d’alors –, elle avait une grande âme et un petit corps. Aujourd’hui, c’est l’inverse : son âme se rétrécit et son corps grandit. Comment donc en sommes-nous arrivés là ? Comment avons-nous pu arriver à une situation où il soit devenu possible d’avoir à mener un combat, sur notre propre continent, pour la préservation de notre mode d’existence, de notre mode de vie, de notre cadre de vie naturel ?
Nous en sommes arrivés là parce qu’un défaut s’est glissé dans l’appareil de l’élite bruxelloise. Il y a à Bruxelles une bulle, le monde virtuel de l’élite européenne privilégiée, décalée de la réalité, décalée de la vraie vie, de celle qui se déroule non pas à Bruxelles, mais dans les États-membres. Cette élite européenne ne veut pas comprendre l’avertissement du général de Gaulle, qui avait dit ceci : « La politique doit reposer sur la réalité, et la politique est justement l’art de savoir défendre un idéal sur la base des réalités ». Et ces réalités, mes chers amis, ce sont les réalités historiques, culturelles, démographiques et géographiques. Ce sont précisément ces réalités-là, la réalité de la vie des États-nations, que l’élite qui vit dans la bulle bruxelloise ne veut pas prendre en considération. Peut-être d’ailleurs ne les connaît-elle même plus. C’est ainsi qu’il peut se produire qu’un catholique comme Weber offense régulièrement les Hongrois. Un Bavarois de Bruxelles peut le faire, mais un Bavarois de Munich ne le ferait sûrement jamais. Tandis que l’élite bruxelloise ne cesse de s’en prendre à nos nations d’Europe centrale, la réalité est que l’attachement à l’adhésion à l’Union européenne n’est nulle part en Europe aussi fort qu’en Hongrie et en Pologne. Nous pouvons dire modestement que nos gouvernements y sont pour quelque chose. Nous avons beaucoup fait, au cours des dernières années, pour que les Hongrois croient en une Europe forte et performante, et ils y croient. Le résultat des élections passées le montre clairement : le Fidesz et le Parti chrétien-démocrate ont obtenu 47% des voix à nos premières élections européennes en 2004, 56% en 2009 et 51,5% en 2014, soit le premier rang en Europe en termes de soutien populaire.
La conclusion de ce qui précède est que les Hongrois, qui défendent l’Europe depuis mille ans, veulent l’Union européenne, mais qu’ils en ont assez de la manière dont les choses sont gérées à Bruxelles et qu’ils veulent un changement.
Voilà bientôt neuf ans que les Hongrois ont des controverses avec Bruxelles. Ces controverses sont apparemment chaque fois différentes, mais si nous creusons un peu, nous voyons qu’elles portent toujours sur la même chose. Elles portent sur le fait que nous ne sommes pas disposés à faire ce que dicte Bruxelles si cela n’est pas bon pour les Hongrois. Ils ont exigé des mesures d’austérité en 2010, lorsque notre gouvernement venait à peine de se former, mais au lieu de cela nous avons renvoyé le FMI et réduit nos impôts. Ils ont voulu que les banques encaissent au centuple sur les gens leurs prêts en devises étrangères, mais nous avons imposé une taxe aux banques, nous avons converti les prêts en monnaie nationale et nous avons exigé que les banques rectifient leurs comptes avec leurs emprunteurs. Ils ont voulu que les Hongrois paient les tarifs énergétiques les plus élevés – au profit des entreprises occidentales, soit dit en passant –, mais nous avons imposé la réduction des prix de l’énergie. Ils ont voulu que nous laissions passer les migrants à nos frontières, mais au lieu de cela nous avons érigé une clôture. Ils ont voulu que nous reprenions des migrants depuis l’Europe occidentale, mais nous avons tenu bon dans notre refus du système des quotas obligatoires. Voilà la situation. Nous menons depuis neuf ans un combat difficile, mais si nous voulons apprécier à l’aune de la situation actuelle de la Hongrie s’il a valu la peine que le gouvernement mène ce combat, je ne peux que dire : oui, cela en vaut la peine. Si nous jetons un œil sur l’économie hongroise, nous voyons que de plus en plus de Hongrois ont un travail, la performance de l’économie hongroise ne cesse de progresser, il vaut la peine de travailler, et chacun peut faire, chaque année, un nouveau pas en avant. Un pas peut-être pas aussi grand qu’il le souhaiterait, mais un pas tout de même, et vers l’avant. Il n’y a aucune comparaison entre l’image de la Hongrie aujourd’hui et la situation qui régnait en 2009, à la fin des gouvernements socialistes. Qu’il est loin le temps où ils sont partis, en nous laissant en héritage le FMI et l’endettement, et en laissant au pauvre Hongrois le soin de s’en débrouiller, si déjà il n’avait pas eu suffisamment de force pour les faire dégager quand il en était encore temps !
Quant aux dirigeants de l’Union européenne, ils ne nous ont pas beaucoup aidés au cours des cinq dernières années. Loin de la renforcer, ils ont affaibli notre maison commune, cette Europe qui abrite aussi la Hongrie. Le bilan des cinq années écoulées depuis 2014 est que l’un des États-membres les plus puissants de l’Union européenne, le Royaume Uni, se prépare en ce moment à quitter l’Europe, pendant que des millions de migrants ont pénétré illégalement sur le territoire de l’Union et peuvent, comme nous l’avons entendu, présenter un danger – et en présentent effectivement un, comme nous avons pu le voir de nos propres yeux – pour la sécurité des Européens et l’identité culturelle chrétienne de l’Europe. Les Anglais s’en vont, et les migrants sont entrés : voilà le bilan de la Commission Juncker.
La majorité des Européens souhaite maintenant voir un changement. J’espère que cela sera aussi ce qui sortira des urnes. L’on voit aussi – assez curieusement, si l’on considère notre propre histoire – que c’est dans les États occidentaux que l’insatisfaction augmente le plus fortement. Là précisément d’où l’on se plaît à donner des leçons à l’Europe centrale, aux Hongrois, aux Slovaques, aux Polonais, et tout dernièrement aux Roumains. Je n’aurais jamais cru que nous combattrions un jour aux côtés des Roumains sur le champ de bataille du Parlement européen. Mais c’est bien le cas, Mesdames et Messieurs, et nous assumerons ce combat. L’institut Századvég effectue depuis des années des sondages d’opinion dans chacun des 28 États-membres de l’Union européenne, sur les sujets les plus divers. J’ai pu prendre connaissance de la synthèse du dernier sondage, que le grand public connaîtra aussi bientôt. Il en ressort clairement que la population de l’Union a aujourd’hui perdu confiance dans la perspective que la vie des générations futures sera meilleure que celle de maintenant. Le rêve européen s’est brisé, ou plutôt – soyons prudents – s’est au moins cabossé. Le camp des pessimistes est aujourd’hui beaucoup plus nombreux dans les pays occidentaux que dans les pays d’Europe centrale. La proportion de ceux qui pensent que les générations futures vivront moins bien que celles d’aujourd’hui est de 68% en France, 57% en Autriche, 59% en Italie, 52% en Allemagne. Plus de la moitié en Allemagne ! Face à cela, en Hongrie – je n’évoque pas ici les autres pays d’Europe centrale – cette proportion est de 26%, et près de la moitié des Hongrois – je pourrais dire seulement encore la moitié – pensent que leurs enfants, leurs petits-enfants vivront mieux que leurs parents aujourd’hui. Je crois qu’ils ne se trompent pas. La situation actuelle est que les enfants hongrois vivront bel et bien mieux que leurs parents ne vivent aujourd’hui. Toutefois, la source principale de l’insatisfaction vis-à-vis des élites européennes n’est pas la précarisation croissante de la classe moyenne des pays d’Europe occidentale – bien qu’elle y ait joué un rôle –, mais plutôt la gestion de la migration. Dans ce même sondage, 70% des citoyens européens trouvent tout simplement faible la performance de l’Union sur ce terrain. 61% des Européens interrogés estiment que l’immigration exerce plutôt un effet de ralentissement sur l’économie européenne, et un cinquième seulement – 20% – pensent qu’elle la renforce. Nous évoquons souvent avec amertume la force gigantesque que représente ce qu’on appelle le « soft power », qui avec les universités, les instituts de recherche, les ONG, les organisations de la société civile, les médias entoure le « hard power » de la politique et qui bénéficie d’après moi, en Europe occidentale, d’une suprématie de plus de 80% : eh bien, si je regarde les chiffres de l’immigration, je vois que leurs biceps auront beau être trois fois plus gros qu’aujourd’hui, ils n’auront que très peu de chances de déboulonner le simple bon sens.
La majorité de la population de l’Union craint toujours qu’au cours des prochaines décennies des migrants continueront d’arriver massivement en Europe à partir de l’Afrique. Les Européens considèrent comme une véritable menace que l’Europe puisse cesser d’être européenne, et en viennent à dire des choses qui surprennent à première vue, car une majorité n’hésite pas à déclarer que nous devons préserver notre culture chrétienne et nos traditions. Il est vrai qu’en Europe occidentale ils ne sont que 55% à l’affirmer, mais les migrants y sont déjà comptés. Face à cela, en Europe centrale et orientale, la proportion de ceux qui estiment que la préservation de la culture chrétienne est importante est de 70%, et en Hongrie, s’il vous plaît, de 80%. Dans un pays comme la Hongrie, que nous connaissons bien, où le degré de sécularisation de la société est particulièrement avancé – nous connaissons parfaitement le taux de fréquentation des églises – plus de 80% des personnes interrogées, indépendamment de leur appartenance personnelle à une religion, affirment qu’il convient de préserver la culture chrétienne. C’est là un mandat incontestable et très clair à l’attention du gouvernement.
Une seule conclusion résulte de tout cela : les Européens ne veulent tout simplement pas d’immigration. En revanche, un certain Timmermans en veut, comme il l’a affirmé textuellement : « Partout dans le monde, les sociétés sont appelées à devenir diverses, c’est l’avenir du monde. C’est pourquoi les pays d’Europe centrale devront s’y habituer ». Un véritable discours marxiste et socialiste pur et dur, et il n’est pas étonnant que Juncker et Timmermans s’entendent comme larrons en foire. La seule question est celle-ci : comment Manfred Weber, membre du PPE, fait-il pour s’acoquiner avec un tel individu ?
L’Europe est aujourd’hui menacée par une migration de masse, parce que lorsque de telles masses humaines se mettent en route et quittent leur terre natale pour gagner d’autres contrées, ce n’est pas simplement une crise migratoire, mais un mouvement de population planétaire. L’on peut même prendre le risque d’affirmer que jamais une masse comparable d’hommes et de femmes n’a pris la route dans l’histoire du monde.
Que cela nous plaise ou pas, nous devons aussi réaliser que les grandes migrations n’ont jamais été de nature pacifique. Lorsque de grandes masses partent à la recherche de nouvelles patries, il en résulte inévitablement des conflits, parce qu’elles souhaitent en général occuper des territoires où d’autres vivent déjà, où d’autres se sont installés et qui sont également en mesure de défendre leur territoire, leur culture et leur mode de vie. Dans notre cas particulier d’aujourd’hui, l’objectif de la migration de masse est le monde occidental, et en son sein l’Europe occidentale, notre continent, considérée comme la destination la plus vulnérable. Cependant, Mesdames et Messieurs, devenir un objectif vulnérable n’est pas le fruit du hasard. Toute migration a ses causes propres, et dans le cas présent beaucoup se plaisent à évoquer les causes extérieures que sont la pauvreté, la faim, la pénurie d’eau, le changement climatique, la guerre, la persécution. Ce sont des causes évidentes, mais nous devons admettre qu’elles ne sont pas nouvelles. La cause principale, pour moi, est tout autre. La cause principale est la douloureuse constatation que bien plus d’enfants naissent hors d’Europe qu’en Europe, et c’est cela qui permet de comprendre que la cause première de la migration de masse, avec la crise migratoire européenne qui en découle, doit être recherchée non pas à l’extérieur, mais à l’intérieur. Si des enfants ne naissent pas en plus grand nombre en Europe, c’est parce que notre continent est aux prises avec un trouble de conscience doublé d’un trouble d’identité.
L’immigration est comme la goutte d’eau de mer : tous les problèmes de l’Europe y sont contenus : la crise identitaire, la crise de la gouvernance politique, les problèmes démographiques, le déclin de la compétitivité de l’Europe et aussi l’opposition entre l’Europe occidentale et l’Europe centrale. Mais ce qui s’y montre plus que tout, c’est la véritable nature de la bulle bruxelloise, ou bien – comme l’a dit Péter Szijjártó – sa véritable intention.
L’Europe est une communauté d’un demi-milliard d’êtres humains, nous sommes plus nombreux que les Russes et les Américains réunis. Si elle le voulait, l’Europe pourrait arrêter la migration de masse qui se dirige sur elle, mais la vérité est qu’elle ne s’y essaie même pas, elle fait même plutôt le contraire. Les dirigeants actuels de l’Europe encouragent et incitent à la migration, et n’hésitent pas à vouer aux gémonies ceux qui, comme moi-même ou Salvini, le ministre de l’Intérieur italien, s’efforcent de l’arrêter. L’on ne peut pas considérer autrement que comme des incitations à l’immigration les mesures que Bruxelles a préconisées au cours de la période récente et qu’elle préconise toujours. Ces mesures affaiblissent des droits des États-membres à la protection de leurs frontières. Le Parlement européen vote l’introduction du visa migratoire. Le Parlement européen a approuvé une augmentation significative des sommes allouées aux organisations favorisant l’immigration et aux groupes d’activistes politiques. Ils offrent aussi des cartes bancaires pré-approvisionnées et lancent des programmes expérimentaux d’immigration avec des pays africains. Et enfin, pour casser l’opposition, ils exercent un chantage ou au moins essaient de le faire sur les pays qui font de la résistance en proposant des sanctions financières contre les récalcitrants. Voilà à quoi se prépare Bruxelles. Observez bien : dès qu’il s’agit de migration, ils en arrivent toujours au même point. Ils ont beau tordre le sujet dans tous les sens, il en sortira toujours à la fin une manière ou une autre de favoriser l’immigration. C’est comme la vieille blague que nous avons héritée de l’ancien régime sur les pièces détachées de l’usine de bicyclettes soviétique : quelle que soit la manière dont on les assemble, il en sortira toujours une mitrailleuse.
Bruxelles, mes chers amis, veut davantage de pouvoirs, davantage de pouvoirs par-dessus la tête des nations européennes. C’est l’objectif que sert le super-État supranational, le projet des États-Unis d’Europe. Il représente l’aspiration au pouvoir de l’élite bruxelloise contre les États-nations qui forment l’Europe. Et ce sont les États-nations, avec leur culture chrétienne européenne, qui barrent la route à ce projet. Il est de fait que dans la bulle bruxelloise les postes de direction sont occupés par les forces politiques et les groupements d’intérêts qui veulent mettre fin à la priorité de la culture européenne chrétienne, sur la base de l’analyse pleinement assumée selon laquelle si l’arrivée en masse d’immigrants d’autres cultures permet de repousser le christianisme, il sera possible de mettre fin non seulement au christianisme, mais avec lui également aux nations. Les démographes ont calculé à Bruxelles – pas seulement à Budapest – que si la tendance actuelle se poursuit, le nombre des musulmans en Europe passera des 43 millions de 2010 à 70 millions en 2050, et la population chrétienne diminuera de 99 millions. Les plans de la bulle bruxelloise ne prévoient aucune action visant au ralentissement de ce processus, et se préoccupent au contraire de savoir comment l’accélérer. C’est pour cela que nous n’entendons rien à Bruxelles en matière de politique familiale, et que l’on nous abreuve au contraire quotidiennement de considérations sur l’importance de la migration légale. Le commissaire chargé de l’immigration a déclaré voici trois jours que Bruxelles ne souhaite pas porter l’aide là où se trouvent ceux qui en ont besoin, mais au contraire faire venir les migrants en Europe, qui plus est – comme il l’a dit –, légalement, sur de nombreuses années et par centaines de milliers. Son programme d’immigration légale n’est autre que la couverture d’un programme de changement de la population de l’Europe. C’est à cela que nous aurons affaire pour les élections.
Sans aucune emphase, sans considération de l’ambiance classique d’une réunion électorale, je voudrais quand même affirmer sereinement que nous autres Hongrois vivons ici depuis mille ans, au cœur du Bassin des Carpates. Nous avons plusieurs niveaux d’ambition, mais nous avons au moins celle de vouloir y rester pendant au moins mille autres années, de conserver nos frontières et de laisser quelque chose à la génération qui nous suit. Je sais que les bureaucrates bruxellois s’en étranglent, s’indignent et préparent le banc d’infamie pour nos rencontres de demain, mais je voudrais tout de même rappeler que nous avons déjà l’expérience d’un empire qui a commencé avec l’attribution de davantage de pouvoirs aux Soviétiques. C’est pourquoi, chez nous, « donner davantage de pouvoirs à Bruxelles » sonne mal. Ce que nous voudrions, c’est que les nouvelles générations, nos enfants, nos petits-enfants puissent décider librement de leur vie, de la même manière que nous le faisons aujourd’hui pour la nôtre. Si toutefois l’Europe devient un continent d’immigration, les nouvelles générations n’auront pas la possibilité de choisir elles-mêmes leur forme de vie. Elles n’auront ni le droit, ni la possibilité d’en décider librement. En luttant aujourd’hui, nous luttons pour ces droits et pour ces possibilités, nous voulons que ces droits et ces possibilités soient également les leurs.
C’est pourquoi la crise de l’Europe doit être traitée à la racine. Il faut freiner les aspirations au pouvoir de l’élite bruxelloise. Quant à l’immigration, elle doit tout simplement être arrêtée. J’ai résumé en sept points ce que doivent être les mesures d’urgence qui devront être prises en Europe immédiatement après les élections dans le but d’arrêter l’immigration :
- Retirer la gestion de l’immigration aux bureaucrates bruxellois et la rendre aux gouvernements nationaux
- Déclarer ouvertement qu’aucun pays ne pourra être contraint à accueillir des migrants contre sa volonté
- Déclarer que personne ne devra être admis en Europe sans papiers d’identité en règle
- Supprimer d’un geste simple la carte bancaire migratoire et le visa migratoire
- Le plus important, et qui tombe le mieux : que Bruxelles ne donne pas davantage d’argent aux organisations de George Soros qui favorisent l’immigration, et que les fonds ainsi économisés soient affectés à la compensation des dépenses de protection des frontières
- Personne ne devra faire l’objet de discrimination négative en Europe pour s’être affirmé chrétien
- Que les instances compétentes – essentiellement le Parlement européen et le Conseil européen – placent des dirigeants opposés à l’immigration à la tête des institutions de l’Union
Ce sont là, Mesdames et Messieurs, les points essentiels pour nous permettre d’arrêter l’immigration et préserver notre culture chrétienne.
Je pense que nous nous sommes réunis ici aujourd’hui parce que nous croyons que dans une démocratie la décision est entre les mains des gens. Il en résulte qu’il n’est pas correct de voir le PPE s’associer à l’avance avec la gauche et les libéraux, sans même attendre la décision des électeurs. Pour ma part, je demande aux Hongrois, je demande à nous tous de souscrire au programme présenté ici et d’aller voter le 26 mai. Allez voter, et montrons à Bruxelles le 26 mai que ce ne sont ni les ONG-Soros, ni les bureaucrates de Bruxelles dans leurs opaques bureaux qui auront le dernier mot, mais toujours les électeurs, dans le secret des isoloirs.
Allez la Hongrie, allez les Hongrois !
(1) Célèbre championne de natation hongroise
(2) Allusion à certains articles parus récemment dans la presse hongroise appelant le Fidesz à quitter le PPE
Source: visegradpost
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mardi, 09 avril 2019
Entre libéralisme et étatisme, adopter les principes de régulation et de liberté
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Toute politique doit reposer sur des principes clairs. En matière économique, Ligne droite fonde l’action de la droite nouvelle sur deux axes essentiels. L’un exige la suprématie du pouvoir politique sur les forces économiques internationales passant principalement par une régulation des échanges aux frontières de l’Europe et visant prioritairement les groupes transnationaux du cartel de Davos. L’autre affirme la nécessité de rendre aux acteurs petits et moyens du tissu économique national leurs libertés économiques par la baisse des charges et des impôts et la limitation des règlements. Ce faisant, la droite nouvelle, qui n’est ni libérale ni étatiste, se déclare exclusivement motivée par la défense pragmatique des intérêts de la France et de l’Europe.
Le débat récurrent entre libéraux et étatistes
La question économique a en effet de tout temps suscité de vifs affrontements sur la scène politique. Plusieurs clivages ont structuré le débat mais celui opposant les libéraux aux étatistes a été et demeure le plus significatif mais aussi le plus polémique et le plus confus. Car toute critique du libéralisme est interprétée par certains comme une justification de l’intervention de l’État et donc de la réglementation et du fiscalisme étouffant qui bride les initiatives dans notre pays. De même, toute mise en cause de l’économie étatisée est considérée par d’autres comme un plaidoyer pour le libre-échangisme international et la dérégulation générale voulue par les mondialistes. Il est vrai que la question n’est pas simple et qu’elle s’est considérablement complexifiée avec le processus de globalisation.
La nécessité de principes simples et clairs
C’est pourquoi la droite nouvelle n’a pas dans ce domaine une réponse tranchée car, si elle n’est pas adepte du libéralisme, elle n’est pas non plus pour l’étatisme. Son positionnement relève en effet d’une autre logique que l’on peut, au risque d’être accusé de simplisme, schématiser par deux principes simples et structurants.
Premier principe : prééminence du pouvoir politique sur les forces économiques internationales
Pour la droite nouvelle, le premier impératif est celui de la prééminence du pouvoir souverain sur le pouvoir économique. Cette hiérarchie est d’ailleurs conforme à la tradition des Européens dont les sociétés ont de tout temps respecté l’ordre trifonctionnel qui place le souverain devant le militaire, lequel l’emporte sur le marchand. Un ordre dont la rupture crée de graves dysfonctionnements car, si le marchand domine le politique, c’est la communauté toute entière qui perd ses valeurs et se dissout.
Or, tel est précisément le cas dans la France et l’Europe d’aujourd’hui où les considérations économiques l’emportent sur toutes les autres. Plus grave encore, ce n’est pas un pouvoir économique national qui s’impose au gouvernement de la France, mais un pouvoir de dimension internationale. Dans le monde mondialisé du début du XXIe siècle, les grands groupes transnationaux ont en effet acquis un tel pouvoir qu’ils se sont affranchis du contrôle politique des États. Avec des chiffres d’affaires dépassant souvent le budget de nombreux pays, avec des implantations dans tous les États du monde, ces groupes cherchent de plus à faire prévaloir leurs normes et leurs exigences. Quant à leurs dirigeants constitués en une super classe mondiale (le cartel de Davos), ils œuvrent de concert pour imposer leur vision du monde et créer une gouvernance mondiale à leur convenance.
Aussi, Ligne droite considère-t-elle comme essentiel de replacer ces forces économiques internationales sous le contrôle des États et en l’occurrence de le faire grâce à la puissance politique que pourrait représenter l’Europe érigée en une vaste confédération. Cette Europe-là pourrait en effet retrouver l’indépendance et la puissance nécessaires pour rétablir la prééminence des peuples et des nations sur le monde marchand du capitalisme financier international.
Deuxième principe : rétablissement des libertés économiques
Pour autant, cette exigence de souveraineté du politique ne doit pas conduire à justifier le maintien dans notre pays d’une bureaucratie et d’un fiscalisme qui brident les initiatives et empêchent trop souvent les entreprises, notamment les PME, de se développer et de s’épanouir. C’est pourquoi Ligne droiteentend appliquer comme second principe celui des libertés économiques. C’est en effet en libérant les acteurs productifs des contraintes et des charges souvent insupportables que leur impose l’État qu’ils pourront œuvrer à la croissance, à l’emploi et à la richesse de la nation.
À chaque principe son domaine d’application
Ces deux principes, suprématie du politique sur l’économie et libération de l’économie des contraintes étatiques, peuvent paraître a priori contradictoires. En réalité, il n’en est rien car Ligne droite entend les mettre en œuvre chacun dans un domaine différent.
Le rétablissement de la souveraineté du politique sur les forces économiques mondialisée passe en effet principalement par la remise en cause du libre-échangisme mondial et donc par l’instauration d’une régulation des échanges économiques et financiers aux limites territoriales de l’Europe. En redressant les frontières économiques de l’Union, les nations européennes pourraient ainsi reprendre la main sur les grands groupes transnationaux conformément au premier principe de la droite nouvelle.
Ensuite, à l’intérieur du marché européen désormais protégé de la concurrence sauvage et des initiatives incontrôlées des groupes du cartel de Davos, il serait possible de baisser tant les charges que les impôts et de limiter la réglementation pour stimuler l’initiative et la croissance intérieure en application du second principe proposé par Ligne droite.
À, chaque principe sa cible d’intervention
Ajoutons que les pouvoirs publics doivent par ailleurs faire clairement la distinction entre les grands groupes transnationaux et le tissu des entreprises souvent petites et moyennes de l’économie nationale. Les premiers qui ont tendance à échapper au contrôle notamment fiscal des États, doivent être soumis à nouveau à leur imperium. Les seconds, qui sont écrasés par les bureaucraties étatiques, doivent en être libérés.
Une politique pragmatique mise en œuvre dans le cadre de la nouvelle Europe
Si, dans la pratique, la politique à suivre devra être mise en œuvre avec les précautions qu’exige la prise en compte de toute réalité complexe, les principes de cette politique seront quant à eux à la fois simples et clairs et devront s’inscrire dans le cadre de l’Europe confédérale que Ligne droite appelle de ses vœux. Le pouvoir souverain de la nouvelle Europe doit reprendre l’ascendant sur les forces économiques internationales en assurant la régulation des échanges aux frontières. À l’intérieur, en revanche, les charges et les contraintes doivent être allégées par les États nationaux pour offrir aux acteurs économiques les libertés dont ils ont besoin.
Régulation vis-à-vis de l’extérieur, liberté à l’intérieur, le pouvoir souverain, ni libéral ni étatiste, doit gérer les questions économiques avec la seule préoccupation de défendre au mieux les intérêts des nations d’Europe.
23:31 Publié dans Ligne Droite | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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