vendredi, 15 mars 2019
A Rouen, des étudiants identitaires interviennent au cours d'une réunion de repentants shizophrénes
Jeudi après-midi des étudiants identitaires de Rouen ont perturbé une conférence Race(s) sur le thème "Pourquoi l’homme blanc se prend t’il toujours pour le maître du monde ?"
Ces jeunes étudiants, indignés par la tenue d'une telle réunion provocatrice et ethno-masochiste dans leur ville, refusent la culpabilisation perpétuelle des Européens. Ils ne pouvaient donc pas rester sans régir. Rappelons que l’Histoire de l’Europe est riche de 30 000 ans d’identité, et ne se résume pas qu’à certaines courtes périodes qui sont en permanence insultées par les détracteurs de notre civilisation. Voilà pourquoi cette action méritoire a été pacifiquement menée.
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Avez-vous pensé à réserver votre place au 3e dîner des Amis de Synthèse nationale qui se tiendra samedi 6 avril prochain ?
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jeudi, 14 mars 2019
Le nouveau livre de Gabriele Adinolfi est sorti
Pour le commander, cliquez ici
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De l’utilisation scandaleuse des « forces de l’ordre » en notre triste République
Bernard Plouvier
Selon la définition même du Pacte social, l’État est le dépositaire de la violence légitime : celle qu’il est nécessaire d’employer pour neutraliser une crapule dangereuse (assassin, violeur ou auteur de brutalités indues) et, bien sûr, pour calmer des émeutiers.
Encore faut-il que les situations soit réellement périlleuses, pour éviter que les agents de la force publique ne soient lancés un peu trop vite et trop légèrement à l’assaut de simples râleurs. Encore faut-il, au contraire, que ces agents ne soient pas retenus, empêchés d’agir en dépit d’une situation d’insurrection, par des raisons de basse politique.
Or, dans la France de Grand Président Macron, l’homme qui parle beaucoup et partout, l’homme qui cause plus vite qu’il ne pense, le Lucky Luke du discours omniscient, l’on observe, de façon parallèle, un usage scandaleux de la force dans certains cas et un laxisme ahurissant autant que coûteux dans d’autres situations.
Les Gilets Jaunes ont beaucoup râlé, contesté, conspué Génial Président, ternissant une image de marque que notre Jeune et Dynamique Premier Magistrat voulait imposer à l’admiration européenne.
Certes, nos grognards autochtones l’ont fait sans finesse, ni même discernement : la désertification industrielle du pays, la scandaleuse inefficacité de l’enseignement public et - par-dessus tout – les risques monstrueux à long terme que fait courir à notre Nation l’immigration-invasion d’origine extra-européenne, sont des sujets infiniment plus importants que les impôts, les taxes et les attributions, parfois scandaleuses, de logements sociaux.
Que quelques psychopathes violents et des alcooliques dangereux se soient invités aux cortèges, on veut bien le croire. Mais chacun sait que le ministre de l’Intérieur et ses sbires financent des groupuscules d’agitateurs ultra-violents, auxquels une étiquette de « gauchistes » donne bonne conscience... on se demande d’ailleurs pourquoi.
Trop heureux de pouvoir compter sur leurs vandales stipendiés, et vite relâchés si par hasard ils se font alpaguer par erreur, les grands hommes de l’Intérieur ont ordonné d’utiliser des armes vulnérantes. Et l’on a hélas assisté à la polka des éborgnés, des amputés, des contus, faute de pouvoir rejouer le Bal des pendus... mais compte-tenu de la haine manifeste de Grand Président pour notre peuple, il n’est pas impossible qu’on y vienne un jour. La violence fut, à l’évidence, disproportionnée.
Il est bon de rappeler à nos pandores – les donneurs d’ordre et les robots-exécutants - que la Loi est faite pour eux comme pour tout autre citoyen. L’article 18 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme (celle du « machin » ayant pour sigle : ONU) et l’art. 9 de la Convention Européenne ont reconnu une Liberté de Conscience, soit – entre autres choses – le droit pour un militaire ou un policier de s’opposer à certains ordres, notamment ceux dont l’exécution est une flagrante violation de la Loi, comme le fait de tirer avec une arme potentiellement léthale, en tous cas vulnérante, sur des individus désarmés. Il faudra s’en souvenir le jour où Grand Président et ses ministres sortiront de fonction.
De façon opposée, il faudra lui reprocher sa criminelle abstention lors des émeutes raciales de Grenoble, en ce mois de mars 2019, perpétrées après la mort de deux voyous maghrébins qui, montés sur une moto volée, ont grillé vifs lors d’une prise en chasse par des policiers auxquels ils avaient refusé d’obéir.
Alors que l’on mutile des Gilets Jaunes et qu’à leur propos tous les media bon-chic bon-genre hurlent les appels au lynchage, l’on fut fort anodin, chez nos aimables informateurs, sur le saccage de quartiers entiers de Grenoble, sur les dizaines de véhicules incendiés. Et très curieusement, face aux émeutiers d’origine extra-européenne, les forces de l’ordre se sont faites petites, discrètes, anodines. La force publique macronienne était devenue faiblesse !
Résumons : d’un côté l’on mutile de l’autochtone ; de l’autre, on laisse des étrangers à notre culture et à notre continent saccager, incendier, détruire pour « venger » des voyous dont on aurait dû éviter la très indésirable présence sur notre sol national.
La conclusion s’impose d’elle-même.
Il faut d’urgence organiser un plébiscite sur l’immigration extra-européenne et sur le retour à l’envoyeur des parasites, des sociopathes violents, des djihadistes haineux.
Grand Président doit comprendre qu’il est payé pour respecter et faire respecter le Pacte social. La violence n’est légitime que si elle est proportionnée au risque encouru par l’État ou la Nation. Mais, parallèlement, l’ordre doit être rétabli en cas d’émeute véritable.
Car la notion de Démocratie implique que la loi soit appliquée à tous de façon indistincte, sans ségrégation entre les citoyens, et que l’on prenne l’avis de la Nation sur les grandes questions, celles qui engagent son avenir.
22:46 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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RAPPEL : samedi prochain, Forum de la Nation à Lyon
Plus d'informations cliquez ici
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La nouvelle affiche de la Dissidence française
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Marion Sigaut, invitée par Cuvitas au Parlement européen, revient sur les massacres commis à Lyon "au nom de la République"
Source Médias presse info cliquez ici
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UN NOUVEAU "HISTOIRE-ACTU" DE PRÉSENT CONSACRÉ AUX EUROPÉENNES DE MAI PROCHAIN
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L'émission "Synthèse" de jeudi avec Gilles Cosson, écrivain
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UN NOUVEAU RECUEIL DES "CHRONIQUES BARBARES" DE PHILIPPE RANDA
Préface de Richard Dessens au 16e Chroniques barbares de Philippe Randa : Quand la peine le dispute à la colère (Éditions Dualpha).
L’année 2018 passée au crible et par le stylet acéré de Philippe Randa, ça vaut le détour pour quiconque a su conserver, contre les vents et marées de la pensée unique obligatoire, au moins une once d’esprit critique et de liberté d’examen des choses publiques. Consommateur, passe ton chemin ; citoyen, délecte-toi des lignes de Philippe Randa !
Philippe Randa dont la devise pourrait être : « Je suis un auteur censuré extrêmement diffusé », comme il l’affirme lui-même. Un clin d’œil, une boutade, un regret, une frustration ? Non : l’engagement sincère d’un homme libre. De ces hommes libres qui doivent être donc enchaînés ou, comme l’a écrit Guy Béart en substance dans une célèbre chanson : « celui qui dit la vérité doit être exécuté ». Mais un homme libre en effet extrêmement diffusé : auteur de 119 livres, romans policiers, essais, études historiques, dictionnaires ; mais aussi chroniqueur politique, directeur de trois maisons d’éditions, animateur d’émissions sur Radio Libertés et TVLibertés, pour ne signaler que l’essentiel d’une vie riche en diversité et en expériences.
Pour les Chinois, 2018 est l’année du Chien et ce dernier recueil aurait pu s’appeler : « 2018, une année de Chien » ! tant les évènements qui se sont succédés ont été surprenants, inattendus, violents, choquants parfois, improbables souvent. C’est cette actualité qui est traitée à travers les 71 saillies de l’indignation parfois, de l’analyse toujours, de l’humeur encore, de l’humour mordant enfin, de Philippe Randa : 49 chroniques pour le journal Présent, là c’est le journaliste et l’observateur politique qui parle ; 15 « Entretiens avec Philippe Randa » quand l’homme laisse aller son humeur ; 7 « Chroniques Barbares », dans lesquelles l’éclectisme le dispute à l’agacement d’une actualité agressive… et c’est peut-être pour cela que ces chroniques sont « barbares » comme ceux que l’Église appelait les « Barbares », c’est-à-dire des hommes pour lesquels la liberté était leur bien suprême. Être « barbare » c’est être libre et peut-être trop le proclamer au risque d’être anathèmisé ! Dans ces « Chroniques Barbares » le ton est celui de cette liberté qui s’indigne et qui laisse aussi pointer la générosité du cœur.
La galerie de l’année 2018 de Philippe Randa est variée, de Jeanne d’Arc et son avatar black à Johnny Hallyday et sa famille des Atrides, en passant par Bertrand Canta, Michel Onfray ou nos plus beaux spécimens de la vie politique, Gérald Darmanin ou le sacro-saint Nicolas Hulot. Il y en a pour tout le monde ! Mais il y en a qui retiennent plus l’attention par leur caractère poignant. Je pense à ces 13 enfants martyrisés pendant des années aux USA qui ont touchés l’émotion des plus caparaçonnés ; je pense aussi à Samuel Dufour et Esteban Morillo condamnés à des peines iniques (7 ans et 11 ans de prison) par une juridiction dont la politisation atteste le « deux poids deux mesures » d’une partie de la justice française. Là, la peine le dispute à la colère.
La colère justement, mais celle des Gilets Jaunes qui ont éclairé notre fin d’année 2018 d’une lumière improbable, mais pleine d’espoir dans la capacité à résister à l’anesthésie de notre doucereuse et terrible démocratie. Philippe Randa en profite pour aborder le thème d’un antagonisme « Polytechniciens versus les autres, Gilets Jaunes » avec beaucoup d’humour persiflant, pointant d’un doigt vengeur le fossé qui peut exister entre les préoccupations et les modes de pensée des uns et des autres. La froideur technocratique qui ne sait raisonner que sur des statistiques s’oppose à la spontanéité humaine avec ses atermoiements, ses outrances parfois, mais son humanité et sa soif de vivre ensemble surtout.
Cet article m’évoque cette vieille histoire qui remonte aux débuts de l’École Polytechnique révolutionnaire d’abord en 1794, puis militarisée sous le Premier Empire. Un Polytechnicien attrape une mouche, lui arrache un balancier (une mouche a deux ailes et deux balanciers) et lui dit : « Vole ! ». Et la mouche vole. Il lui arrache le second balancier et lui dit : « Vole ! ». Et la mouche vole… un peu de travers toutefois. Le Polytechnicien poursuit son expérience et arrache une aile à la mouche. Il lui dit : « Vole ! ». La mouche vole en rond difficilement, mais elle vole. Il arrache enfin la seconde aile et dit : « Vole ! ». La mouche ne bouge pas. Conclusion de l’expérience pour un Polytechnicien : une mouche sans ailes devient sourde. CQFD. Comment faire confiance à de tels cerveaux qui constituent notre « élite ».
Mais il y a aussi le boycott de Michel Onfray qui n’est plus en odeur de sainteté politico-médiatique depuis qu’il a attaqué la mémoire sacrée de Freud et affirmé une liberté de penser insoutenable pour un establishment, comme le nommait jadis Jean-Marie Le Pen, qui a lâché Onfray pourtant porté aux nues lorsqu’il s’était fait connaître pour son combat contre ce même Jean-Marie Le Pen en 2002. Onfray rejoint le carré des pestiférés avec Éric Zemmour et beaucoup d’autres ! « Ô tempora Ô Mores ». Les limites de la liberté sont vraiment de plus en plus étendues.
Et puis on parle aussi de sujets plus légers, mais toujours avec une – ou deux – pointe d’acidité : la famille Hallyday et ses déboires post mortem. C’est alors la grande presse de référence absolue dont se moque Philippe Randa en constatant que toute la presse est devenue une presse à scandales qui n’est plus limitée à quelques titres spécialisés dans le voyeurisme, voyeurisme qui est devenu ainsi le moteur de notre grande presse si intelligente.
Pour finir Philippe Randa ose – crime de lèse-majesté – un coup de griffe iconoclaste au grand homme disparu. Là ce n’est plus du courage, c’est de la folie !
Et puis il y a Jeanne d’Arc et l’affaire de son incarnation humaine sous les traits d’une jeune métisse. Pourquoi pas ! puisque les Droits de l’Homme ne reconnaissent pas les races humaines et interdisent même d’en faire mention au nom de l’égalité et de l’interchangeabilité parfaites des êtres humains. Certains s’indignent de ce « rôle » inattendu, d’autres applaudissent. La question que pose alors Philippe Randa est intéressante même si elle n’aura jamais de réponse… et pour cause : et si, dit-il, on faisait incarner Anne Franck par une métisse ? Les mêmes qui soutiennent l’avatar de Jeanne d’Arc soutiendraient-ils celui d’Anne Franck ?
Le problème avec Philippe Randa c’est qu’il pose toujours des questions dérangeantes, qu’il apporte des commentaires impertinents et qu’il fournit des analyses à contre-courants. Si cela réjouit les uns, cela indispose beaucoup d’autres. Ce sont des hommes comme lui qui nous attirent les foudres du pouvoir politico-médiatique des élites auto-proclamées ; qui poussent un État aux abois à faire une loi contre les fake news. Car une fake news, telle que presse et politiques la définissent est une information, ou un commentaire, ou une analyse, contraires à leurs propres interprétations réputées « officielles » et revêtues du sceau de la vérité absolue et incontestable !
L’« excellent » journaliste déchu David Pujadas, sur LCI, passe tous les jours en revue ce qu’il nomme lui-même des fake news. C’est effarant de primarité et de parti pris. Il affirme que commenter et analyser « faussement » un texte de traité (c’était le Traité d’Aix La Chapelle en janvier 2019) constitue une fake news, se demandant s’il ne serait pas possible de judiciariser de tels propos !
Plus encore, en soutenant les Gilets Jaunes, Philippe Randa contribue à pousser le Pouvoir à régenter et quasiment interdire de manifester, procéder à des arrestations préventives, dissuader à manifester.
Philippe Randa est ainsi un homme dangereux qui incarne par tous ses propos ce que notre pouvoir politico-médiatique nomme les fake news. La réinformation n’est qu’un ensemble de fake news. Commenter différemment de David Pujadas et des chroniqueurs officiels, c’est diffuser des fake news. La liberté d’analyse est une fake news. Tiens ! ce recueil devrait s’appeler : Vive les fake news 2018 ! Comme ça on serait fixé !
Amis lecteurs, trouvez ici l’expression de mon amitié pour Philippe Randa, mais aussi la lucidité de l’homme sain de corps et d’esprit que je suis et le bol d’air frais dont vous avez besoin pour reconsidérer l’actualité triée, bidouillée, orientée de la grande presse officielle écrite, radio et télévision.
Philippe, on ne lâche rien en 2019 !
Enseignant depuis plusieurs années, Docteur en droit, DEA de philosophie et licencié en histoire, Richard Dessens est l’auteur d’ouvrages d’histoire des idées politiques, de relations internationales, d’essais politiques et d’une biographie du grand journaliste du XIXe siècle Henri Rochefort. Il collabore au site de la réinformation européenne EuroLibertés.
Quand la peine le dispute à la colère, Philippe Randa, préface de Richard Dessens, Éditions Dualpha, collection « Patrimoine des héritages », 212 pages, 25 euros. Pour commander ce livre, cliquez ici.
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CE JEUDI SUR RADIO LIBERTÉS : L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" AVEC LE ROMANCIER GILLES COSSON
LES PRÉCÉDENTES ÉMISSIONS CLIQUEZ ICI
09:02 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mercredi, 13 mars 2019
ALAIN ESCADA, PRÉSIDENT DE CIVITAS, RÉPOND À L'APPEL CONTRE LA DISSOLUTION DU BASTION SOCIAL
De jour en jour le nombre des réponses à l'appel lancé par Synthèse nationale contre la menace de dissolution du Bastion social proférée par Emmanuel Macron lors du dîner du Crif augmente. Les dernières reçues sont :
Alain Escada, Président de l'Institut Civitas
Pierre Gillieth, écrivain, directeur de Réfléchir & agir
Clotaire De La Rue, journaliste à Nous Sommes Partout
Gérard Letailleur, écrivain
Jean-Claude Rolinat, écrivain, grand voyageur.
Vous aussi, signez cet appel cliquez ici
19:18 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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SUITE AUX ATTAQUES CONTRE LA NOUVELLE LIBRAIRIE
16:11 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Lucien Cerise en conférence à Carhaix (29) le 24 mars...
14:46 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Hommage de Pierre Vial à Guillaume Faye
Pierre Vial, Président de Terre & peuple
Eté 1973, en forêt bourguignonne. Le camp d’été d’Europe Jeunesse se termine par un raid destiné à initier nos jeunes camarades, tous citadins, à la magie de la forêt. En fin de journée je fais le compte des troupes, arrivées échelonnées au point de rendez-vous. Il manque un homme. J’épluche la liste des effectifs et fais l’appel. Le manquant est un certain Guillaume Faye. Alors que la consigne, stricte, que j’avais donnée à chaque patrouille était qu’on ne laisse, jamais, quelqu’un derrière soi, il a disparu sans que personne ne le remarque, comme un feu follet. L’image me restera ensuite en tête : Guillaume, un feu follet.
Je suis parti à sa recherche, craignant qu’il ait eu un accident l’immobilisant en terrain isolé. Rien. Pas une trace. Je m’apprêtais à mobiliser un maximum d’effectifs pour organiser les recherches quand j’ai vu arriver au point de rendez-vous un gars épuisé, hirsute. Il m’a dit avoir voulu prendre un raccourci et s’être perdu… Je l’ai envoyé manger et dormir car il en avait grand besoin. J’ai voulu, le lendemain, mieux connaître cet étrange gars. Et j’ai découvert quelqu’un dont les paroles ont révélé un esprit curieux de tout, d’une intelligence aigüe. J’ai donc fait en sorte, fidèle à ma vocation de pêcheur d’âmes, qu’il travaille, très vite, dans le cadre du Secrétariat Etudes et Recherches du GRECE, où ses talents ont fait merveille. Peut-être trop au goût de certains egos surdimensionnés, à qui il faisait (sans le vouloir) de l’ombre. Lesquels ont fini par écoeurer Guillaume, qui a pris le large, à peu près au moment où j’en fis autant, en 1986.
Mais tout au long de son passage au GRECE Guillaume avait donné toute la mesure de son talent, qui était grand. Agitateur d’idées, créateur de concepts originaux et dérangeants, animateur hors pair alliant de solides connaissances et un humour dévastateur, Guillaume a été, pour beaucoup de jeunes camarades, un éveilleur au plein sens du terme. Et il avait un sens de l’amitié toujours prêt à se manifester.
Mais, derrière la façade du blagueur génial, auteur de farces mémorables quand il était devenu Skyman, il y avait un homme en fait très sensible. Et donc fragile. Quand le divorce avec certains hiérarques de la Nouvelle Droite est devenu inévitable, il a été touché au plus profond de son être et nous avons été peu nombreux à nous en rendre compte. Il y avait en lui des blessures qui ne se sont jamais refermées. Les dérives dans lesquelles il s’est noyé, ensuite, ont largement là leur explication, j’en suis persuadé.
Je ne veux garder de lui que l’image de l’homme brillantissime qu’il fut pendant un pan de sa vie, l’auteur de livres-clefs comme « Le Système à tuer les peuples », qui resteront des balises. Alors, il faut oublier le reste.
Salut Guillaume !
14:42 Publié dans Les Nouvelles du Front de Pierre Vial | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Richard Roudier, Président de la Ligue du Midi, sera dimanche aux assises de la France des Gilets jaunes à Rungis
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09:53 Publié dans Gilets Jaunes | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Dans Rivarol de cette semaine Robert Spieler appelle à soutenir la campagne contre la menace de dissolution du Bastion social
Le 20 février, au dîner du Crif, Emmanuel Macron avait annoncé qu'il allait dissoudre le Bastion social, une organisation hautement sulfureuse puisqu'elle consacre la majeure partie de ses activités à la défense de la civilisation européenne et à l'aide aux SDF français. Malgré les fermetures de leurs locaux, souvent sous couvert de normes administratives, le Bastion social avait courageusement résisté.
Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale a, dans un esprit unitaire et trans-courants, pris l'initiative de lancer une pétition demandant au Président de la République de ne pas prendre une "décision injuste, partisane etgravement attentatoire aux libertés démocratiques essentielles." On lit en introduction de cet appel : "Les signataires, qui ne partagent pas forcément les idées du Bastion social sur de nombreux points, s'inquiètent de ce lynchage démocratique d'une association qui n'a comme réel tort que d'aimer son peuple et sa patrie et demandent au Président de la République de revenir sur ses intentions".
De nombreuses personnalités de la mouvance nationale, nationaliste et identitaire, dont Jean-Marie Le Pen, ont d'ores et déjà signé cet appel contre la dissolution du Bastion social. Rivarol, bien entendu, s'y associe. Manifestez vous aussi votre soutien en envoyant un courrier avec vos coordonnées à Synthèse nationale 9, rue Parrot (CS 72809) 75012 Paris.
Rivarol, n°3368, du 13 mars 2019
Signez l'appel cliquez ici
09:49 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Algériens pro-fellouzes : dégagez… de chez nous !
Par Alain Sanders
Jean Madiran disait (et il l’a même écrit dans Présent) : « La France ne peut plus rien en Algérie, la France ne peut plus rien pour l’Algérie. » Il avait raison. Une page est tournée. Ils sont – de satrapes en satrapes – indépendants depuis près de soixante ans. Pour réussir à transformer un pays moderne, qui leur fut remis clefs en main, en un champ d’épandage que des centaines de milliers de jeunes rêvent de quitter. A tout prix.
On entend les manifestants d’Alger scander : « FLN dégage » (sans oublier d’y associer son complice de gouvernement, le RND). Ils auront mis le temps à se réveiller. Mais bon... Qu’ils s’arrangent entre eux, ça ne nous regarde pas. Mais ça commence à nous concerner quand ce même slogan est lancé dans des manifestations organisées en France. Par des « Algériens » dont on ne sait pas s’ils sont Algériens, Français, Algériano-Français ou Franco-Algériens.
Dimanche dernier, ils étaient très nombreux à manifester, youyous à l’appui, place de la République à Paris. Imaginez-vous une manifestation politique de ressortissants français au cœur d’ Alger ? Ils brandissaient des centaines de drapeaux algériens. C’est le cœur serré et la rabia au ventre que j’ai regardé ça. Car ce drapeau algérien, c’est la souquenille FLN. Celle qui a flotté sur les massacres des nôtres. A Oran, en juin 1962, tandis qu’éclataient les youyous stridents des femmes, les dépeceurs, les égorgeurs, les écorcheurs d’Européens, de Juifs, de Français musulmans, arboraient ce même emblème.
Les avez-vous entendus, ces « Algériens » de la place de la République dire leur attachement à l’Algérie (« J’ai l’Algérie au cœur », dira notamment une femme qui, pourtant, excluait d’y retourner, mais embrassait son drapeau comme une kesra sortie du four...) ? Les avez- vous entendus en rajouter avec des trémolos comme là-bas, dis... Des déclarations d’allégeance qui n’auraient rien d’anormal en Algérie. Mais incongrues, indécentes et même inquiétantes, en France.
Vous l’aimez tant que ça, votre pays de fellouzes ? Bravo. Mais que faites-vous en France ? Qu’attendez-vous pour retourner là-bas prendre part à cette (r)évolution politique annoncée et souhaitée ? Ce n’est pas place de la République, à Paris, qu’il faut rouler des mécaniques mais – où vous voulez, zenqet, blasa, berra, fi wast lamdina, charie, l’ baladiya – au bled !
Aussi, Algériens pro-fellouzes (car ce n’est pas le FLN fellagha que vous rejetez, mais ce qu’en ont fait vos politicards corrompus) qui vivez et prospérez en France, un conseil : dégagez de chez nous ! Vous pourrez ainsi manifester sur place et, à l’occasion, voter in situ plutôt que dans les officines « bouteflikesques » de Paris, Marseille, Lille, Roubaix, Mulhouse, Saint-Denis, etc. Je suis oiseau, voyez mes ailes, je suis souris, vive les rats, y’a un moment où ça va bien comme ça... Quand on veut se réconcilier, il faut être deux à le vouloir. On ne peut avoir, d’un côté une France qui se prosterne devant la doxa FLN (par soumission, « femmelitude », diplomatie, business, peu importe), et de l’autre une Algérie qui, dans ses livres scolaires, son enseignement universitaire, les articles de presse, les émissions télé, les diatribes de ses hommes politiques (qui utilisent ce truc depuis 1962 pour juguler tous opposants dès lors considérés comme traîtres aux moudjahidin des années de braise), distille une haine cuite et recuite. Une Algérie arabo-musulmane qui persécute les chrétiens, détruit leurs églises et leurs temples, tient les Kabyles sous le joug. FLN historique ou FLN relooké, c’est kif-kif bourricot finalement. Ce qui va se passer en Algérie ? C’est leur affaire. Et, pour tout vous dire, mâshi souqi ! (« Je m’en fous. »)
Source : Présent 13/03/2019
09:44 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mardi, 12 mars 2019
L'appel contre la menace de dissolution du Bastion social rassemble des nouvelles signatures
Plusieurs centaines de patriotes indignés cliquez ici par l'annonce faite par le président de la République, Emmanuel Macron, lors du dernier dîner du Crif (un conseil prétendu "représentatif" des juifs de France) au mois de février de dissoudre le Bastion social, ont d'ores et déjà signé l'appel lancé par Synthèse nationale contre cette menace inconsidérée.
Le Bastion social est en effet un mouvement de jeunes nationalistes qui a, comme d'autres, l'audace de s'élever contre l'assassinat programmé par l'hyperclasse (politique, économique et médiatique) de notre nation et celui de notre civilisation. Lorsqu'il a été créé, il y a deux ans, le BS a fait beaucoup parler de lui en occupant, durant quelques semaines, avant d'en être délogé par la police, un immeuble abandonné dans le centre de Lyon. Il voulait en faire un foyer d'accueil pour Français en détresse. Le BS appliquait ainsi concrètement les principes solidarises identitaires. Depuis, il a ouvert dans plusieurs villes (Chambéry, Strasbourg, Clermont-Ferrand...) des locaux dans lesquelles des permanences sociales sont tenues. Certains de ces locaux ont été attaqués par les chiens de garde du Système que sont les antifas sans que cela n'émeuve les "bien-pensants institutionnalisés".
En fait, le combat mené par ces jeunes gens est apparemment insupportable pour le Pouvoir en place car il met le doigt là où cela fait mal, à savoir la paupérisation grandissante du peuple français. La Défense des intérêts des nôtres avant ceux des autres étant, pour les nationalistes, une priorité absolue.
Nous ne pouvions donc pas rester muets face à la prétention présidentielle de dissoudre le BS. Voilà pourquoi nous avons pris l'initiative, à quelques uns, de lancer il y a une semaine cet appel qui a déjà reçu de nombreux soutiens aussi bien de personnalités (élus, responsables politiques, associatifs, écrivains, journalistes, éditeurs, artistes... cliquez ici) que de patriotes et de non-conformistes.
Enfin, il faut savoir que le Président Jean-Marie Le Pen recevra en fin d'après-midi ce mardi une délégation du Bastion social à Strasbourg où il siège actuellement au Parlement européen.
Roland Hélie
Directeur de Synthèse nationale
Si vous souhaitez signer cet appel cliquez ici
ou retournez-nous ce bulletin cliquez là
Aujourd'hui, nous publions quelques noms de nouveaux signataires :
Gabriele Adinolfi, Président de l'Institut Polaris (Rome)
Gaston Alcide, écrivain
Serge Ayoub, ancien président du mouvement Troisième voie, lui-même dissout en 2013
Alain de Benoist, éditorialiste de la revue Eléments
François Bousquet, directeur de la Nouvelle librairie
Patrick Cocriamont, ancien député belge
Thierry Dreschmann, libraire
Franck Buleux, écrivain normand, directeur de la collection Les Cahiers d'Histoire du nationalisme
Pascal Eysseric, directeur de la rédaction d'Eléments
Philippe Josselin, mathématicien
Patrick Lusinchi, directeur artistique d'Eléments
Massimo Magliaro, directeur de Nova Historica (Rome)
Jacques Mayadoux, ancien responsable de l'Union des lycéens nationalistes
Bernard Plouvier, écrivain
Joël Provansal, Afrique du Sud
Claudette Rose, retraitée de l'Aviation civile
Alain Sanders, écrivain et journaliste à Présent.
Pour en savoir plus cliquez ici
17:31 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Vandalisme à la basilique de Saint-Denis : le grand silence du gouvernement et des médias
Un communiqué du MNR :
Dans la nuit du 2 au 3 mars derniers, l'un des vitraux de la basilique de Saint-Denis, près de Paris, a été cassé, les portes du buffet du grand orgue (l'un des plus beaux de France) ont été endommagées, ainsi que le moteur. On ignore l'identité et les mobiles du ou des malfaiteurs. Cependant, compte tenu du prestige de cet édifice (nécropole des rois de France), on est éberlué par le silence total des « grands » médias et de nos gouvernants, contrastant avec le battage effectué dès que les lieux de culte musulmans ou israélites sont touchés, si peu soit-il. Comment s'étonner d'une certaine désaffection du public à l'égard des médias ?
Avec tous les défenseurs de notre civilisation, battons-nous pour que cesse le « deux poids, deux mesures » dont est victime le christianisme dans le traitement des (nombreux) faits divers le concernant.
15:30 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Dans Présent d'aujourd'hui, un grand entretien avec Philippe Randa sur le livre "Le Défi" qu'il à co-rédigé avec Marie Simone Poublon sur l'histoire de TV Libertés
Source cliquez ici
Philippe Randa est l’auteur, avec Marie-Simone Poublon, du livre Le Défi, consacré à l’aventure de TVLibertés : votre télévision et votre radio préférées de l’intérieur, comme si vous y étiez !
Pourquoi ce titre, Le Défi ?
Parfois, trouver le meilleur titre pour un livre est ce qui est le plus difficile… Le Défi s’est imposé de lui-même très vite, tout simplement parce que, dans les différents témoignages que Marie-Simone Poublon et moi avons recueillis, il revenait sans cesse. Un défi que bien peu ont cru possible de relever.
Les deux hommes à l’initiative de ce projet de WebTV, Philippe Milliau et Trystan Mordrel, ont démontré une volonté exceptionnelle pour s’accrocher à leur idée… Ils étaient bien seuls à prêcher que ça pouvait réussir ; heureusement, même les plus sceptiques ont accepté de leur apporter leurs concours, qu’ils soient relationnels, financiers ou professionnels, et plus ça durait, plus ça se développait, plus ça prenait corps, plus ils ont été nombreux à commencer à y croire eux aussi. Après, cela a été l’effet « boule de neige », surtout avec l’arrivée d’Arnaud Soyez à la tête de la technique et de Martial Bild à la direction de la rédaction : ils ont incontestablement donné un sacré coup d’accélérateur à l’aventure.
Qu’est-ce qui a permis à TVLibertés de naître et de s’imposer ?
Incontestablement, les progrès de la technique qui permettent d’assurer des émissions de qualité avec du matériel aux coûts désormais abordables (même s’ils restent importants). Egalement le développement d’Internet, qui résout les problèmes de la diffusion (jusqu’à un certain point tout de même ; tout le monde peut désormais être présent sur la Toile, mais faut-il encore se faire connaître et fidéliser les lecteurs, auditeurs ou téléspectateurs). Enfin, un minimum de financement est nécessaire pour assurer les coûts des studios et les salaires des permanents : carnet d’adresses des uns, foi militante des autres et fidélité de tous à des engagements politiques qui datent souvent de l’adolescence ont permis l’impensable.
Quelles sont les motivations principales des donateurs ?
Permettre à la presse alternative de toucher un public toujours plus important ; ne pas laisser le monopole de l’information aux grands médias, dénoncer leurs malhonnêtetés quasi quotidiennes – par conformisme, lâcheté ou souvent encore par simple paresse – et combattre la désinformation continuelle à laquelle ils se livrent, que ce soit de politique intérieure ou extérieure… Bref, faire de la métapolitique, encore et toujours.
Vous livrez notamment un détail ahurissant : des donateurs âgés ne disposent même pas d’ordinateurs et ne peuvent donc voir les émissions. Comment expliquer un tel engagement ?
Parce que ces donateurs ont compris que le combat politique à mener, actuellement, est celui de la réinformation : ouvrir les yeux des citoyens, les empêcher de subir quotidiennement les ukases de la bien-pensance, les empêcher d’être ensorcelés par le pipeau de la pensée unique (comme les enfants disparus de la légende d’Hamelin le furent par un diabolique joueur de flûte). Alors, oui, même s’ils ne sont pas internautes et ne bénéficient pas des programmes qui n’existent que grâce à eux, ils ont conscience que c’est là aussi que « ça se joue »…
Vous qui êtes l’un des fidèles contributeurs de Présent, vous nous voyez donc comme représentant d’une « droite roncho-réactionnaire » (je vous cite) ?
C’est évidemment de l’humour… et ce n’est pas Présent que nous avons ainsi défini, mais l’ancienne « historique » de notre quotidien, Caroline Parmentier, et ce en opposition à l’avocat Nicolas Gardères gratifié, lui, pour l’occasion de « gauche humaniste de progrès ». Je vous rappelle que réactionnaire, aujourd’hui négatif pour beaucoup, signifie « celui (ou celle) qui réagit » : ce n’est donc nullement péjoratif, et que Caroline râle souvent, est-ce un secret d’Etat ? Pas pour les téléspectateurs de l’émission « Bistro Libertés », en tout cas…
La proximité de TVLibertés et Radio Libertés avec un média papier comme Présent est-elle essentielle aux yeux de leurs responsables ?
Evidemment, ils sont à l’évidence complémentaires, occupant des créneaux particuliers qui permettent à la presse alternative de « ratisser » le plus large possible. Tout comme le cinéma n’a pas tué le théâtre, ni la télévision n’a pas tué la radio, les médias internet ne vont pas faire disparaître la presse imprimée. Tout le monde doit s’adapter et trouver sa (nouvelle) place dans l’offre médiatique. En revanche, ce qui peut tuer à l’évidence un média, quel qu’il soit, c’est la désertion de son lectorat.
Philippe Milliau, au cours de la soirée anniversaire fêtant les cinq ans de TVLibertés, a laissé entrevoir de nouveaux projets. Secrets encore ?
Notre livre se veut un témoignage de l’aventure du groupe Libertés de sa naissance à son cinquième anniversaire. Des projets, heureusement, le groupe en regorge, forcément tous plus ambitieux les uns que les autres ; reste à voir ceux qui sont réalisables ou quand ils pourront l’être. C’est toute la sagesse des dirigeants de ce groupe d’avancer prudemment depuis toujours, tout en préparant minutieusement chaque nouvelle étape. Donc, parler trop tôt de certains projets en cours, alors que leur préparation les fait évoluer continuellement, serait risqué.
Marie-Simone Poublon, Philippe Randa, Le Défi, Dualpha, 136 pages, 10 euros.
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Un nouveau livre de Gabriele Adinolfi : "Matteo Salvini ou l'itinéraire d'un parcours politique météorique"
Systématiquement présenté de ce côté-ci des Alpes comme un batteur d’estrade gesticulant et non moins rituellement marqué au fer rouge de l’étiquette « extrême droite », Matteo Salvini appartient à cette espèce d’hommes politiques que nos médias mainstream aiment détester.
Ils ne s’en privent pas, mais cette caricature paresseuse n’apporte aucune clé susceptible de nous aider à comprendre qui est vraiment Matteo Salvini, quelles sont les convictions qui l’animent ni quels sont les objectifs qu’il s’est fixés et, moins encore, comment il a pu effectuer en si peu d’années un parcours politique aussi météorique.
C’est précisément à ces questions que répond l’essai bienvenu de Gabriele Adinolfi, dont l’analyse dénuée de toute complaisance permet aussi de mieux comprendre les ambiguïtés, et donc les limites, de l’alliance improbable de la Ligue avec le mouvement Cinque Stelle.
Acheter ce livre cliquez là
Gabriele Adinolfi est aussi l'auteur de deux autres livres publiés par Les Bouquins de Synthèse nationale :
- Années de plomb et semelles de vent, 2014, cliquez ici
- L'Europe, 2015, actuellement épuisé.
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lundi, 11 mars 2019
Pour Nicolas Gauthier, de Boulevard Voltaire, Jean-Pierre Stirbois était le précurseur du RN actuel...
Nicolas Gauthier, Boulevard Voltaire cliquez ici
Il y a maintenant plus de trente ans, un funeste 5 novembre 1988, Jean-Pierre Stirbois perdait la vie dans un accident de voiture. Même si le statut de numéro deux n’a jamais officiellement existé au Front national, il l’était de fait, en sus d’être la cheville ouvrière historique du mouvement lepéniste. Poursuivant leur travail de remise à l’honneur des divers courants dissidents du siècle dernier, les Cahiers d’histoire du nationalisme ont consacré un essai des plus fouillés à cette figure politique aujourd’hui un peu oubliée.
Si l’intérêt de cet ouvrage consiste évidemment à avoir été rédigé par des témoins de l’époque, compagnons de militantisme pour la plupart, il réside aussi en ce fait voulant que l’on puisse, une fois encore, constater que l’Histoire n’est souvent rien d’autre qu’un éternel recommencement. Ainsi, l’homme qui contribue largement à professionnaliser l’ancêtre de l’actuel Rassemblement national met-il déjà l’accent sur ces deux axes majeurs que sont l’implantation locale et la nécessaire dédiabolisation de la formation en question. Nous sommes en 1983 ; comme quoi, rien de bien neuf sous le soleil.
L’implantation, c’était banal. Mais la dédiabolisation, ça l’était moins, ce, d’autant plus que Jean-Pierre Stirbois n’a rien d’un bourgeois soucieux de sa bonne réputation : il vient de la droite activiste et non point de celle des salons. L’Histoire est ironique, puisque ce sont généralement ses anciens fidèles qui reprocheront ensuite à une Marine Le Pen de mettre en œuvre cette même dédiabolisation. Autre paradoxe : cet homme, on l’a vu, issu de la radicalité, est le premier à chercher des alliances vers une droite plus traditionnelle. Ce qu’il fait avec succès à la mairie de Dreux, en 1983, en concluant une alliance de circonstance avec le RPR. Trois ans plus tard, il est encore l’un des maîtres d’œuvre du Rassemblement national première manière ; soit cette union avec les droites centriste et gaulliste ayant permis au Front national de constituer un groupe parlementaire de trente-cinq députés élus à la proportionnelle.
Pareillement, il a souvent été fait grief à Marine Le Pen de se « gauchiser » avec un programme économique dont la coloration serait à la fois trop sociale et étatique. Pourtant, elle ne fait ici que revenir aux fondamentaux historiques du Front national. Ainsi Jean-Pierre Stirbois vient-il du Mouvement jeune révolution ; mouvement qui prône une doctrine solidariste dont le maître mot, « Ni banques ni soviets », laisse augurer d’une feuille de route n’ayant que peu à voir avec le « thatchero-reaganisme » de ce mouvement, à l’orée des années 80.
Le journaliste Francis Bergeron, du quotidien Présent, et qui fit partie de la très méconnue aventure solidariste, rappelle ainsi : « Historiquement, le solidarisme développait un discours au fond assez centriste ou social-chrétien, bâti notamment par les réformistes russes et antisoviétiques, dans les années trente, une troisième voie. […] En France, le politicien radical et franc-maçon Léon Bourgeois avait posé les bases d’un solidarisme. […] Il est considéré comme le précurseur de la théorie de l’État-providence, qui fit les beaux jours des pays scandinaves, même s’ils furent atteints de fiscalisme confiscatoire, avant qu’ils ne soient noyés sous la déferlante migratoire. »
De même, on se souviendra que, lorsque Marine Le Pen accéda à la présidence du Front national, il lui a aussi été fait reproche de « bazarder » certains « fondamentaux » d’ordre moral, la « remise en cause de l’IVG » au premier chef. On constatera que ces thèmes sociétaux brillaient par leur absence dans le programme lepéniste d’alors. Invoquer la tradition d’une formation politique, c’est bien ; la connaître, c’est mieux encore.
Alors, Marine Le Pen, fille spirituelle de Jean-Pierre Stirbois ? Les auteurs de ce passionnant ouvrage ne vont certes pas jusque-là. Il n’empêche que certains parallèles, à quelques décennies de distance, demeurent pour le moins troublants.
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00:17 Publié dans Les Cahiers d'Histoire du Nationalisme, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Au-delà du vote blanc, de l’abstention et de la nullité des suffrages
Georges Feltin-Tracol
Dans le cadre du fameux « Grand Débat national », vaste fumisterie propice à tous les exercices d’enfumage et bel exemple de jacasseries démocratiques futiles, les Français qui y participent suggèrent à défaut du « référendum d’initiative citoyenne » une meilleure prise en compte du vote blanc. On distingue depuis 2014 les suffrages nuls des votes blancs.
Au second tour de la dernière présidentielle, tandis que l’abstention atteignait 25,44 %, le nombre de suffrages blancs s’éleva à 8,52 % et les votes nuls à 3 %. Comparés à 2012, ces chiffres en hausse expriment paradoxalement par leur non reconnaissance officielle un refus implicite de choisir entre les deux finalistes. Le système électoral hexagonal ignore la pertinence du vote blanc au nom de la fable de la majorité. Cette fiction s’achève enfin.
Certains « Gilets jaunes » proposent que la prise en compte du vote blanc dans les suffrages exprimés permette, le cas échéant, d’annuler l’élection si les bulletins blancs dépassent les 50 %. Ne s’agit-il pas d’une confusion regrettable entre le refus d’entériner le choix (biaisée) proposé et le rejet compréhensible des candidats ? Ne faudrait-il pas plutôt instaurer au côté du vote blanc et du suffrage nul le « vote contre tous les candidats » ? Existe à l’Académie Française une procédure similaire. Les « Immortels » peuvent refuser un candidat en marquant leur bulletin d’une croix noire.
Appliqué en Russie entre 1993 et 2006, réintroduit en 2014 pour les élections locales, ce « vote contre tous » en vigueur aussi en Ukraine témoigne de la détermination d’une partie de l’électorat qui se méfie de tous les candidats. À l’élection présidentielle ukrainienne de 2010, le vote contre tous les candidats au second tour obtenait 4 %. Viktor Ianoukovitch était élu avec 48,95 % face à Ioula Tymochenko (45,47 %).
Plus que l’abstention qui révèle un réel apolitisme/a-civisme, que le suffrage nul qui marque une certaine désinvolture à l’encontre des institutions et que le vote blanc qui exprime un véritable mécontentement impuissant, le « vote contre tous les candidats » représente une indéniable motion de censure populaire aux conséquences considérables. Dans l’hypothèse où ce vote égalerait ou dépasserait la majorité absolue, non seulement la consultation serait annulée, mais les candidats ainsi défiés ne pourraient plus se représenter à la même fonction pour une durée précise. Introduire le « vote contre tous les candidats » correspond en fait à l’ostracisme de la démocratie antique athénienne.
La reconnaissance du vote blanc, voire du « vote contre tous les candidats », ne suffira pas à déstabiliser la partitocratie. Deux autres mesures électorales affranchiraient mieux l’électeur des pressions partisanes : généraliser pour tous les scrutins de listes le panachage et le vote préférentiel. N’est-il pas temps en effet de rendre la parole au peuple, une parole depuis trop longtemps confisquée par les politicards, les médiats officiels, les partis, les lobbies et les banksters ?
Bonjour chez vous !
• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°115, mise en ligne sur TV Libertés, le 4 mars 2019.
00:07 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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dimanche, 10 mars 2019
L'appel contre la menace de dissolution du Bastion social rassemble de plus en plus de personnalités nationales, identitaires et non-conformistes
Liste des 50 premières personnalités (responsables politiques, associatifs, éditeurs, écrivains, journalistes...) signataires de cet appel :
Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, initiateur de l'appel contre la menace de dissolution du Bastion social
Yves Baeckeroot, écrivain
Francis Bergeron, directeur de Présent
Caroline-Christa Bernard, artiste
Jean-Pierre Blanchard, pasteur
Christian Bouchet, enseignant, éditeur (Ars Magna)
Hugues Bouchu, les Amis franciliens de SN
Paule Bouvard, secrétaire départementale des CCP du Gard
Anne Brassié, écrivain
Les Brigandes, groupe musical non-conformiste
Pierre Cassen, Président fondateur de Riposte laïque
Lucien Cerise, écrivain, chercheur en sciences sociales
Jacques Chassaing, collaborateur au site Riposte laïque
François de Chassey, écrivain
Jean-Paul Chayrigues de Olmetta, écrivain, président des Amis de Synthèse nationale
Roland Curtet, responsable du MNR
Jean-Pierre Demol, secrétaire de Nation (Belgique)
Claudine Dupont-Tingaud, présidente du club quimpérois Agir et réagir
Xavier Eman, essayiste, romancier, animateur de Paris-Vox
Georges Feltin-Tracol, éditorialiste de Réfléchir et agir
Jean-Eudes Gannat, porte-parole de Alvarium
Nicolas Gauthier, journaliste
Patrick Gofman, essayiste
Hubert de Mesmay, ancien conseiller régional PACA
Françoise Monestier, journaliste
Thomas Joly, secrétaire général du Parti de la France
Patrick Junca, ancien responsable identitaire
Pieter Kerstens, chef d'entreprise
Jean-Marie Le Pen, député européen, président d'honneur du Front national
Christophe Lespagnon (Dr Merlin), artiste
Juan Antonio Llopart, édition Fides (Barcelonne)
Claudio Mutti, directeur d’Eurasia, éditeur (Parme, Italie)
Patrick Parment, Le Journal du chaos
James Porazzo, éditeur (New-York)
Arnaud Raffard de Brienne, essayiste
Philippe Randa, écrivain, éditeur, directeur d’Eurolibertés
Olivier Roudier, porte-parole Ligue du Midi
Richard Roudier, Président de la Ligue du Midi
Marc Rousset, chef d'entreprise, chroniqueur économique
Lorrain de Saint Affrique, secrétaire général des Comités Jeanne
Yannick Sauveur, écrivain
Luc Sommeyre, blog Minurne
Jacques Soulis, président du Cercle poitevin des Chats bottés
Robert Spieler, ancien député, chroniqueur à Rivarol
Christine Tasin, Présidente de Résistance républicaine
Rémi Tremblay, directeur du Harfang (Canada)
Hervé Van Laethem, porte-parole de Nation (Belgique)
David Veysseyre, essayiste
Pierre Vial, président de Terre & peuple
Marc Vidal, libraire
Marie-Jeanne Vincent, déléguée du PdF du Calaisis.
Une nouvelle liste de signataires sera rendue publique au milieu de la semaine prochaine.
TEXTE DE L'APPEL :
NON À LA DISSOLUTION DU BASTION SOCIAL
UN APPEL AU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE
Le 16 février, un militant islamiste insulte l'écrivain Alain Finkielkraut. Le 20 février, au dîner du Crif, Emmanuel Macron annonce aux présents qu'il va, en conséquence, dissoudre le Bastion social, une organisation, habituellement considérée comme nationaliste révolutionnaire, qui consacre la majeure partie de ses activités à la défense de la culture européenne et à l'aide des SDF français.
On pourrait sourire de l'inconséquence de la décision du Président de la République française si elle n'était pas, en même temps, injuste, partisane et gravement attentatoire aux libertés démocratiques essentielles.
- Injuste, car aucun juriste sensé ne peut trouver dans les activités du Bastion social (ouverture de lieux communautaires, maraudes de soutien aux SDF, nettoyages de parcs, etc.) l'ombre du commencement d'une preuve que ce mouvement prône la violence et l'antisémitisme.
- Partisane, car on ne peut que remarquer qu'alors qu'on veut faire dissoudre le Bastion social pour des faits et des idées qu'il ne prône pas, les groupuscules zadistes et antifas qui de manière récurrente s'en prennent aux forces de l'ordre et aux biens tant publics que privés avec une violence qu'ils revendiquent sans honte ne sont sous le coup d'aucune menace de dissolution.
- Gravement attentatoire aux libertés démocratiques essentielles car elle remet en cause le droit a s'associer, ainsi que celui à exprimer leurs idées, de ceux qui ont le tort de professer des pensées et des comportement dissidents.
Les signataires, qui ne partagent pas forcément les idées du Bastion social sur de nombreux points, s'inquiètent de ce lynchage démocratique d'une association qui n'a comme réel tort que d'aimer son peuple et sa patrie et demandent au Président de la République de revenir sur ses intentions (1).
(1) - A la date de la rédaction de ce texte le Bastion social n'a pas encore été dissout.
Cet appel s'adresse à tous...
Vous aussi, rejoignez les signataires, cliquez ici
ou écrivez à roland.helie@sfr.fr
ou imprimez et retournez ce bulletin cliquez là
10:36 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Le Hijab vous souhaite la bienvenue !
La chronique de Philippe Randa
À défaut d’arrêter le progrès, on n’arrête pas non plus le vivre ensemble. Ainsi, après le burkini sur les plages, voici le temps du hijab sur les panneaux de bienvenue : en Suède, on entre donc dans la ville de Gävle avec le sourire d’une dame « symbole de la grande diversité de la ville » !
Comme on pouvait s’y attendre, la facétie en irrite plus d’un.
« Il faut penser à ce que cela signifie. Certaines portent ce vêtement, le hijab, volontairement. Mais pas toutes. Pour des millions de femmes dans le monde, ce vêtement représente un manque de liberté », s’est insurgé le député démocrate suédois Roger Hedlund, membre du conseil municipal de Gävle.
Ça n’est pas venu à l’esprit de Johan Adolfsson, responsable de la communication pour la municipalité de Gävle pour qui, la femme en question est « une des nombreuses femmes musulmanes de Gävle… »
« Actuellement, nous apprend le site LesObservateurs.ch, la Suède ne connaît pas d’interdiction générale des vêtements islamiques, tels que le hijab, la burqa ou le niqab. Toutefois, les employeurs individuels peuvent interdire aux employés de porter des symboles religieux, philosophiques ou politiques pendant les heures de travail. En revanche, la police et les pompiers sont autorisés à porter le hijab. »
Il est bien loin l’époque où ceux qui martelaient que l’immigration était une chance pour la France, voulaient nous convaincre qu’il fallait aider les immigrés à s’intégrer d’abord pour mieux qu’ils s’assimilent ensuite grâce aux sacro-saintes « valeurs républicaines ». Aujourd’hui, il faut « vivre avec leurs valeurs »… en attendant demain, de « vivre leurs valeurs » ? On ne cache pas sa joie à cette idée !
Lire EuroLibertés cliquez ici
08:37 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Sabre au clair pour le Hussard
Sigisbert Clément Présent cliquez ici
On ne présente plus l’excellente collection Le Lys Noir dirigée par Francis Bergeron et Pierre Gilleth. La série, inaugurée par une édition d’un roman d’Henri Béraud, a ensuite eu la bonne idée de solliciter les plumes de plusieurs figures du milieu patriote et nationaliste pour se frotter à l’exercice du polar français. Doit-on aussi présenter Xavier Eman, auteur prolifique d’articles dans la presse amie, rédacteur en chef de Livr’Arbitres et animateur d’un blog et du site Parisvox.info ?
Xavier Eman a publié précédemment un recueil de ses nouvelles parues dans le magazine Eléments : Une fin du monde sans importance. On retrouve ici la plume acide de l’homme qui sait fouiller la plaie des travers de notre époque. Xavier Eman, c’est le pessimiste actif, (extra)lucide sur le devenir français mais qui ne doute jamais du fait qu’il faille agir. Me ne Frego ! Il écrit de son héros : « Au contraire de beaucoup, s’il appréciait le calme et la tranquillité, il avait besoin de moments de rupture, d’explosion, de tumulte. L’inaction prolongée lui faisait trop penser à la mort qui approchait inexorablement. Mourir d’accord mais pas d’ennui ! Hors de question. » Un vrai autoportrait !
Il faut dire que le monde qui nous entoure prête au mieux à l’ironie et au pire à la fureur. C’est ce mélange qui fait le caractère du personnage principal du roman, Julien Ardant.
Le style de l’auteur convient parfaitement au polar itinérant qu’il nous propose avec Terminus pour le Hussard. Il s’en donne à cœur joie sur le monde mielleux de l’humanitaire et de ses arcanes esclavagistes modernes. « Ha il était vraiment chouette leur village global ouvert et tolérant. Les blagues à connotation racistes étaient désormais passibles des tribunaux mais on tirait au fusil mitrailleur sur les quidams à la terrasse des cafés. »
Le hussard au cœur d’artichaut mais au tempérament énervé se trouve embarqué dans une enquête qui le mènera à résoudre un double meurtre dont les responsables sont haut placés. A qui profite le crime de l’immigration clandestine ?
Eman n’oublie pas de se plier au style et aux ambiances classiques du polar urbain. Les expressions font mouche. Je cite : « son corps s’enfonça dans la mousse du matelas mal soutenue par des ressorts ayant largement dépassé l’âge de la retraite, même sous un gouvernement libéral ». Une tirade à la tonton flingueur.
Marque de fabrique de la série, les auteurs multiplient les clins d’œil à la littérature incorrecte. Le roman entame le bal par « longtemps les trains sont partis à la bonne heure » là où un illustre aïeul finissait par « un jour nous prendrons des trains qui partent ». Il poursuit ailleurs par : « Direction les Décombres ! Enfin ! »
Bref, Eman s’amuse et nous avec. Un carton. Vous me direz, c’est normal pour un franc-tireur.
Terminus pour le Hussard, Xavier Eman, Editions Auda Isarn, collection Le Lys Noir, 2019, 12 euros.
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samedi, 09 mars 2019
Pierre Cassen et Riposte laïque appellent à soutenir la campagne nationale contre la dissolution du Bastion social
Dans ses publications d'aujourd'hui, le site Riposte laïque, dirigé par notre ami Pierre Cassen, invite ses lecteurs à soutenir l'appel contre la dissolution du Bastion social cliquez ici. Pierre insiste sur la nécessité d'une réaction patriotique de grande ampleur face à la gravité des choses et il a raison.
Rappelons que Riposte laïque organise dimanche 17 mars à Rungis (Espace Jean Monnet, 47 rue des Solets) les "Assises nationales de la France des Gilets jaunes" au cours desquelles de nombreuses personnalités, tant françaises qu'européennes, prendront la parole.
Cette réunion s'annonce d'ores et déjà comme une belle réussite en perspective. La revue Synthèse nationale, comme à l'accoutumé, sera présente et tiendra un stand sur lequel vous pourrez venir nombreux nous retrouver et signer l'appel.
Plus d'informations cliquez ici
14:21 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Journal du chaos
Pour télécharger, cliquez ICI
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vendredi, 08 mars 2019
Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine
En fin d'émission, Jean-Marie Le Pen commente fort aimablement notre numéro hors série consacré aux Gilets jaunes.
Le commander cliquez là
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