samedi, 19 janvier 2019
Prendre en compte l’impératif de puissance
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La puissance n’est pas politiquement correcte et le Système la refuse tant pour la France que pour l’Union européenne. Pourtant, la puissance est un principe vital profondément bénéfique qui offre aux nations la sécurité, l’indépendance, la souveraineté et la liberté en même temps que la vitalité et l’expansion. Pour assurer l’avenir de la France et des autres nations européennes, Ligne droite préconise en conséquence de reconstituer sur le continent un grand pôle de puissance.
La puissance, une notion aujourd’hui diabolisée
De nos jours, en France comme en Europe, la puissance est en effet une notion désormais ignorée, rejetée, voire diabolisée. On voit en elle un instrument de conflit, d’affrontement ou de domination et la recherche de la puissance est dénoncée et condamnée comme intrinsèquement liée aux régimes totalitaires du XXe siècle.
Une telle conception est cependant absurde car, s’il est vrai que la puissance peut être utilisée à des fins contestables, que dire de son contraire ? Si la puissance est à proscrire, faut-il vanter les mérites de l’impuissance ? Certainement pas car, chacun le sait, l’impuissance conduit à la paralysie, à la soumission et à l’insécurité.
La puissance peut être foncièrement bénéfique
En réalité, la puissance est comme la force : tout dépend de l’usage qu’on en fait. Mise au service de notre peuple, de notre nation et aujourd’hui de notre civilisation, elle serait foncièrement bénéfique. À l’heure où les pays européens affichent leurs faiblesses et connaissent le déclin, la puissance pourrait être un facteur très efficace de redressement et de renouveau.
La puissance, un facteur de sécurité
D’abord, et c’est une évidence, la puissance, dans sa dimension militaire, offre à la nation qui la détient une garantie de paix et de sécurité. L’histoire le montre amplement, ce ne sont pas les droits ni les traités qui peuvent protéger une nation, seule la puissance dont elle dispose peut dissuader ses ennemis de lui porter préjudice.
La puissance, une condition pour l’indépendance et la souveraineté
La puissance apporte aussi l’indépendance et la souveraineté. Car, dans le monde interdépendant que nous connaissons, l’indépendance ne peut plus être garantie par l’autarcie mais seulement par la puissance. Si les liens entre les nations sont innombrables et ne peuvent être rompus, les seuls pays qui restent maîtres de leur destin sont ceux pour qui le rapport de force est favorable. C’est notamment ce que l’on observe dans les relations transatlantiques : malgré la multiplicité des liens entre l’Europe et les États-Unis, seuls ces derniers, parce qu’ils ont la puissance, demeurent indépendants quand l’Europe de son côté doit se soumettre à son partenaire. De même, il ne peut y avoir de souveraineté nationale sans puissance pour la rendre possible. Car, sans puissance, la souveraineté juridique demeure vaine comme peut l’être un droit sans la force pour le faire respecter.
La puissance, un instrument de liberté
La puissance est aussi l’instrument de la liberté des nations. Car, en leur apportant la sécurité, l’indépendance et la souveraineté, elle leur offre les moyens de choisir leur destin, de suivre leur voie et de prendre sur la scène internationale les initiatives qu’elles jugent nécessaires à leurs intérêts. Ainsi par exemple serait-il aujourd’hui indispensable de réguler les échanges économiques mondiaux pour mettre un terme à la désindustrialisation que subit notre pays comme les autres nations européennes. Or, la France seule, parce qu’elle manque de puissance, ne peut rien obtenir dans ce domaine, alors que, si elle le décidait, l’Europe pourrait imposer régulation même de façon unilatérale comme le président Trump commence à le faire au bénéfice des États-Unis.
La puissance, un principe de vitalité
Mais au-delà de ces considérations liées au rapport de force, la puissance est aussi un principe de vitalité qui contribue au dynamisme d’une nation. La conscience qu’ont les citoyens de cette puissance les conduit à éprouver de la fierté pour leur pays et donc à conforter leur sentiment d’appartenance à leur communauté : la puissance resserre les liens du peuple autour de sa nation. Plus encore, elle stimule en son sein l’esprit d’initiative, de créativité et d’entreprise dans tous les domaines et notamment sur les plans économique et culturel. Ce sont les nations puissantes qui produisent le plus d’artistes de talent, de savants découvreurs et de chefs d’entreprise inventifs. N’est-ce pas sous le règne de Louis XIV que la France, en même temps qu’elle connaissait l’apogée de sa puissance, éblouissait le monde par sa production culturelle et artistique ?
La puissance ou le refus du déclin
En réalité, le choix de la puissance va de pair avec la volonté d’expansion, c’est-à-dire avec le refus de la régression et du déclin. Les nations et les civilisations sont comme tous les êtres vivants, la prime va à la force sur la faiblesse et, si elles ne sont pas en expansion, elles sont en régression. La puissance est donc à bien des égards une nécessité vitale.
Sans doute est-ce donc le manque de puissance et le refus idéologique de l’acquérir qui expliquent la faiblesse de la France et de l’Europe. C’est parce que notre continent a renoncé à cette force bénéfique qu’il est aujourd’hui sous le contrôle politique des Américains, qu’il subit la suprématie commerciale de la Chine et se laisse envahir par des masses immigrées qu’il ne contrôle pas. Le refus de la puissance est donc un facteur essentiel du déclin.
Avec l’Europe, retrouver la puissance
Aussi est-ce la raison pour laquelle la France doit renouer avec la puissance. Malheureusement, elle ne dispose plus comme par le passé des facteurs de puissance qui sont nécessaires dans le monde multipolaire d’aujourd’hui. C’est pourquoi la puissance, la vraie, n’est plus possible qu’au plan européen. Les États d’Europe doivent en effet s’entendre pour créer à l’échelle du continent un pôle de puissance. Cette puissance qu’ils ne parviennent plus à mobiliser chacun de leur côté, c’est collectivement au niveau d’une Europe libérée du mondialisme et de la bureaucratie qu’ils doivent la construire.
La France et l’Europe sont donc à la croisée des chemins. Si elles continuent à refuser la puissance, elles connaîtront la régression et le déclin mais si elles s’érigent en un pôle de puissance, tout pour elles redeviendra possible. L’avenir de l’Europe passe par le retour à la puissance.
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00:51 Publié dans 07 - La 7e Journée nationale et identitaire, La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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vendredi, 18 janvier 2019
RAPPEL Dimanche 20 janvier : marche pour la vie à Paris
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18:38 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Macron à Souillac débusqué par Ignace
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Parution prochaine du nouveau numéro de la revue Eléments
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Le krach dès 2019 plutôt que l’effondrement ultérieur du Système
Marc Rousset
La France vit le Mai 68 des classes moyennes qui souffrent et ne veulent pas mourir en raison de la trahison, de l’irréalisme et de l’incompétence des élites. Un krach pourrait bien déclencher un processus politique révolutionnaire en Europe. La crise de 2008 n’a pas été réglée d’une façon économique structurelle interne dans chaque pays, mais par la fuite en avant sous forme de l’hyperendettement des États et de création monétaire non conventionnelle par les banques centrales.
L’Union européenne n’a fait que reporter la date de faillite inéluctable de la Grèce de dix ans en reportant ses créances, et Tsípras est passé du « Go Back Merkel » à « Willkommen Angela » car le taux d’emprunt de l’État grec reste au-dessus de 4 %. La Grèce est bien sortie des programmes de tutelle budgétaire de l’Union européenne depuis le 20 août 2018, mais elle ne parvient pas à emprunter de l’argent sur les places financières.
La ruineuse réforme démagogique du « revenu citoyen » en Italie est très difficile à mettre en place, suite aux conditions strictes et trop nombreuses. Le président de la « Cofindustria » craint surtout que ce revenu favorise le travail au noir et dissuade les chômeurs de rechercher un emploi. Le pays se dirige, de plus, vers la nationalisation de la banque Carige. Le président du Conseil Giuseppe Conte vient de signer, en urgence, un décret permettant de mobiliser jusqu’à quatre miliards d’euros d’argent public pour la sauver.
Les « stress tests » des ratios des banques européennes ne résisteraient pas en cas de crise. En France, le Fonds de garantie des dépôts et de résolution ne dispose que de trois milliards d’euros pour garantir des centaines de milliards d’euros de dépôts jusqu’à 100.000 euros par déposant en cas de faillite bancaire. L’État français en faillite serait tout aussi incapable de garantir ces dépôts.
Selon le professeur Omar Issing, économiste en chef de la BCE, « un jour, le château de cartes va s’effondrer ». La BCE ne va pas avoir d’autre choix que la reprise de la fuite en avant de la non-augmentation des taux d’intérêt et la création monétaire non conventionnelle si les taux d’intérêt devaient s’élever à leur niveau historique de 3 % au-dessus des taux actuels afin d’éviter, au deuxième semestre 2019, le « défaut » à la Grèce, à l’Italie avec ses 500 milliards d’euros de dette TARGET2. La zone euro et la BCE se retrouveront alors dans la situation actuelle complètement bloquée du Japon.
Le Système se prépare à reculer pour mieux sauter jusqu’à l’impossibilité de sauter et à l’effondrement total, en 2020-2021, avec hyperinflation, perte de confiance dans la monnaie, arrêt du paiement ou paiement en monnaie de singe, pour les retraites, les salaires des fonctionnaires, les loyers. Mario Draghi n’aura pas été le sauveur mais le fossoyeur de l’Europe en n’obligeant pas les gouvernements européens à se réformer d’une façon viable par la réduction structurelle des dépenses.
En octobre 2018, le bilan en augmentation constante de la BCE se montait à 4.632 milliards d’euros, soit 41 % du PIB de la zone euro. Aux États-Unis, le bilan de la Fed, qui totalise 4.000 milliards de dollars, en constante diminution depuis peu de temps de 50 milliards de dollars par mois, représente 22 % du PIB. Mais avant la crise financière de 2007-2009, le bilan de la Fed ne s’élevait qu’à 900 milliards de dollars. Powell, le président de la Fed, parle de nouveau de souplesse des taux, voire de freiner la réduction mensuelle du bilan de la Fed. Le même ratio est de 101 % au Japon, le pays étant sauvé jusqu’à ce jour de la faillite par les détenteurs de la dette, car japonais et patriotes !
On retrouve, partout dans le monde, la problématique de l’irresponsabilité en matière économique et politique aboutissant à la révolte des peuples. En fait, on peut légitimement se poser la question s’il n’est pas déjà trop tard pour la France et la zone euro, si l’effondrement du Système n’est pas d’ores et déjà inéluctable ? L’or est la seule valeur refuge qui se moque de la folie humaine, ce que vient de reconnaître Russ Koesterich, gestionnaire du gigantesque fonds américain d’investissement BlackRock.
Article aussi paru sur Boulevard Voltaire cliquez là
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Le Parti de la France soutient la Marche pour la Vie de dimanche prochain à Paris
Un communiqué du Parti de la France :
Comme chaque année, le Parti de la France appelle ses militants et sympathisants à participer à la grande Marche pour la Vie qui se déroulera dimanche 20 janvier à Paris (13h30 - porte Dauphine).
Face aux tenants de la Culture de mort qui veulent tout à la fois banaliser l'interruption volontaire de grossesse et légaliser l'euthanasie, le Parti de la France et Carl Lang proposent l'inscription dans la Constitution du principe du respect de la Vie, de la conception jusqu'à la mort naturelle, ainsi que le remplacement des lois Veil, Roudy et Aubry par une grande politique familiale favorisant l'accueil de la Vie.
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jeudi, 17 janvier 2019
L'émission "Synthèse" avec Ignace sur Radio Libertés
Ecoutez l'émission cliquez ici
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Les précédentes émissions Synthèse cliquez ici
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Brigneau et Madiran sur TVLibertés
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mercredi, 16 janvier 2019
REPRISE DE L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" CE JEUDI AVEC COMME INVITÉ LE DESSINATEUR NON-CONFORMISTE IGNACE
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La réponse aux « gilets jaunes » ? L’impératif d’une même règle pour tous
Chantal Delsol*
On a l’impression de ne pas comprendre au juste ce que veulent les gilets jaunes, ni pourquoi le mouvement continue alors que le gouvernement a déjà concédé beaucoup et fait des efforts en termes de concertation. Pourtant, un mouvement de cette ampleur, aussi durable, aussi profond (appuyé par une majorité de la population), ne doit rien au hasard ni au caprice. Il vient de loin, et Emmanuel Macron hérite probablement aussi des négligences de ses prédécesseurs. Il est alarmant, parce que c’est un drame social qui révèle des fractures de longue date, bien installées dans le paysage, et mortifères. On peut s’étonner de voir les occupants des ronds-points réclamer la justice sociale, le partage, davantage d’égalité entre les plus riches et les plus pauvres. La France est sans doute le pays du monde où il y a le plus de redistribution.
Plus de la moitié de la population (ce qui est énorme) n’y paye pas d’impôts sur le revenu. Tous les habitants, citoyens ou non, y bénéficient de l’école gratuite, de la santé gratuite et de toutes sortes d’autres services qu’il serait trop long d’énumérer. Beaucoup de citoyens du monde rêveraient d’être français. Alors on pense au syndrome de Tocqueville: plus votre société est égalitaire, plus vous ressentez la moindre inégalité comme insupportable.
Il faut pourtant aller plus loin. L’inégalité qui engendre la révolte n’est pas seulement celle du porte-monnaie, mais celle des statuts. Des avantages. Des sécurités. Des préséances. Disons-le : des privilèges. On dirait bien que la société des réseaux sociaux a révélé l’ampleur des corporatismes. C’est là que s’incarne le mépris de classe. C’est là que surgissent le malaise et les revendications. Car la France n’est pas seulement un pays monarchiste, où le présidentialisme ne cesse de s’accroître au détriment du gouvernement et des assemblées, et où le président vient d’arracher aux collectivités locales la dernière autonomie qui leur restait : la possibilité de lever un impôt, en l’occurrence la taxe d’habitation. La France est de surcroît un pays dans lequel un quart des habitants bénéficient de régimes corporatistes obtenus au fil des 75 ans qui nous déparent de la guerre et grâce notamment aux Trente Glorieuses. Les avantages de ces systèmes sont parfois exhorbitants toujours intéressants, en tout cas intouchables et dissimulés. Le premier avantage, et non le moindre, étant l’emploi garanti.
Les bénéficiaires des corporations travaillent souvent moins, voire beaucoup moins que les autres, ne risquent pas le licenciement et bénéficient de protections de tous ordres. Le sommet de ce système étant la classe mandarinale, qui, ayant réussi un concours vers l’âge de 25 ans, reçoit de l’État un salaire à vie avec tous les avantages attenants, même hors périodes de travail. Depuis le tournant du XXe au XXIe siècle, cette classe est devenue une caste – les chiffres montrent depuis cette période que contrairement à ce qui se passait auparavant, il faut désormais être fils de mandarin pour avoir vraiment des chances de le devenir soi-même. La révolte des « gilets jaunes » face au salaire de Mme Jouanno était la partie émergée d’un iceberg.
L’autre caractéristique de ces corporatismes, c’est le secret : ils sont entourés de silences et de ténèbres. Il est probable qu’une sorte de honte saisit Bercy à l’idée de dévoiler le coût énorme de ces emplois à vie, tous avantages additionnés. C’est si peu démocratique. C’est si digne d’une oligarchie bananière. Le secret évidemment encourage toutes les fausses informations : chaque avantage qu’on révèle en suppose mille autres qu’on ignore et mille autre qu’on invente – ce qui alimente les « fakes news », c’est moins la sottise populaire que l’opacités des privilèges. Les gilets jaunes savent, en tout cas, qu’au moment où l’Etat est surendetté et ruiné, un groupe de chanceux dont on peut discuter l’ampleur, vit confortablement sans crainte du chômage ni du lendemain, peut demander un emprunt à la banque ou aller chez le dentiste sans état d’âme. C’est sans doute d’un mouvement salutaire qu’Emmanuel Macron s’était saisi de la question du statut des cheminots, lequel représente l’un des exemples du corporatisme français. L’idée était bonne, mais il aurait fallu commencer par le haut ! L’autorité ne peut pas décider de priver le système de certains avantages indus, sans commencer par s’en priver elle-même. C’est le b.a.-ba du commandement. Faute de quoi, on court à l’échec. Et dans le cas précis, s’étend encore la guerre des classes. Certaines mesures ont été prises dans ce sens, traduisant bien la volonté du pouvoir en place. J’ai constaté personnellement, à ma grande satisfaction, que dans les premiers mois après l’élection présidentielle il avait été donné ordre de supprimer l’abonnement SNCF gratuit à vie (en première classe, naturellement) pour les parlementaires honoraires – exemple d’un avantage injustifié et injuste qui ne doit pas être indolore à la nation. Encore un effort, Monsieur le Président !
Les samedis à la figure révolutionnaire auxquels nous assistons depuis deux mois racontent la fureur d’une population qui voit lever d’énormes impôts pour financer des corporatismes. Alors que les impôts devraient servir, comme dans tous les pays alentour, à financer les services publics, ici devenus indigents à force de surendettement. La revendication de démocratie n’est pas seulement liée au référendum d’initiative citoyenne, mais à la suppression des privilèges.
C’est probablement en partie pour cette raison que l’élite française est si réservée devant cette révolte – et en privé, si méprisante. Elle commence à comprendre que c’est elle-même qui est mise en cause, non dans son autorité, mais dans ses passe-droits. Tu trembles, carcasse ! Aux premiers jours du conflit, et pour l’enterrer dans l’œuf, elle avait commencé à proposer quelques allocations supplémentaires : on se rappelle un responsable politique annonçant que dans certaines écoles on servirait un petit déjeuner aux enfants... pathétique ! Les occupants des ronds-points sont des gens qui travaillent et ne veulent pas mendier. Ils demandent juste que l’argent des impôts soit utilisé au bon endroit.
Notre élite, depuis qu’elle a abandonné le marxisme, ne porte plus le peuple aux nues et même ne le défend plus guère. Elle ne voit plus en lui une foule d’opprimés portant l’avenir du monde, mais une population de « petits Blancs », de poujadistes revanchards et frustes, plus proches de l’électorat Le Pen que du glorieux prolétariat d’antan. D’où sa réserve. Il est aujourd’hui savoureux de voir les médias les plus à gauche prendre le parti de l’Ordre. Les clivages idéologiques périmés ont été remplacés par des antagonismes de classe. Le malheur est que si les premiers portent au moins des convictions, les seconds sont carrément répugnants. Il nous faudrait au plus tôt une nuit du 4 Août. Ce serait la vraie réponse aux « gilets jaunes ».
* Philosophe, professeur des universités, membre de l’Institut.
Source : le Figaro 16/01/2019
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Quand le social efface le sociétal
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Les gilets jaunes, c’est aussi le retour du politique
Le 17 novembre, on n’entend plus parler de genre, de PMA, de GPA, plus de LGBT pour nous seriner leurs petits besoins, plus de coming out de « personnalités ». Bref, la subversion de la société, la destruction de la famille, les utopies sexualistes, passent désormais au second rang.
Le sociétal revendication minoritaire
Cela n’est pas sans signification et prouve ,s’il en était besoin, que ce type de préoccupation était, d’une part celle d’une minorité, d’autre part, celle d’une société qui s’offrait à bon compte la révolution des mœurs comme si elle n’avait rien d’autre à faire. Il est vrai aussi que la Gauche ayant abandonné depuis longtemps le peuple et la Droite la nation, il restait aux politiques toujours en mal de faire notre bonheur, l’ultime recours du sociétalisme pour prétendre changer le monde… Ce fut là tout ce que pu faire, au cours de son mandat étriqué, le médiocre Hollande avec la loi Taubira (mariage des homosexuels). Le sociétal, c’est l’impuissance du politique.
Virilisme versus féminisme
Pire encore, on entend de-ci de là, dans les manifestations, venant des uns et des autres, et les gendarmes ne sont pas en reste, voler des noms d’oiseaux que la morale officielle réprouve tels : « Dégage PD ! »
Et je ne parle pas des invectives aux femmes très nombreuses dans les manifestations. Horresco referens !
Quant à la figure de Christophe Dettinger, elle consacre le retour du virilisme, et, s’il est devenu un héro des GJ, c’est aussi, dans l’inconscient collectif, une réaction au féminisme dont nous bassinaient les médias, et cette logorrhée : transidentité, intersexuation, racisé, activistes hystériques, Christine Angot, Caroline de Haas et les brigades d’intervention, aussi pléthoriques qu’absconses : Osez le féminisme, Femen, Me too et autres Balance ton porc, devenu aujourd’hui balance ton poing.
Schiappa dénonce
Ce n’est pas un hasard si c’est Marlène Schiappa qui est montée au créneau contre la fameuse cassette du boxeur qui a fait reculer seul des CRS ; elle s’est sentie directement attaquée par ce vote populaire que représente le versement à la cagnotte… Un plébiscite qui lui est resté en travers de la gorge et, si l’on peut dire, qu’elle a eu du mal a avaler (!). Du coup la voilà qui, sous l’effet de l’indignation, accumule, pour le compte, les fautes politiques en faisant pression sur Leetchi, entreprise privée (quoique qu’assez proche du Pouvoir) et voulant ficher ceux qui ont cotisé.
Quand un ministre devient flic, et qu’il foule au pied les règles de droit et met la société Leetchi en situation d’abus de bien social, il lui reste la démission, sauf en Macronie.
Retour du politique et clap de fin pour Mai 68
En définitive, la crise des gilets jaunes signe le retour du politique dans ce qu’il a de meilleur et signifie combien les Français sont indifférents aux préoccupations de nos élites obsédées de révolution sexuelle. On peut dire que face à cette logique héritée de Mai 68, dans une large mesure, le retour du peuple via les gilets jaunes, c’est aussi le retour du politique.
Dans les revendications des gilets jaunes, on trouve de réelles préoccupations politiques : souci du bien commun, annulation de la dette, demande d’assemblée constituante , sortie de l’UE et de l’Otan, fin des monopoles médiatiques, défense des libertés, arrêt de l’immigration et bien d’autres sujets authentiquement politiques.
Il aura fallu 50 ans pour éteindre les vieilles lunes soixante-huitardes. Ce retour du politique était déjà acquis au plan international depuis le début du XXe siècle, le voilà de retour en France, il s’affirme comme une rupture, le pouvoir devra impérativement en tenir compte et quitter ses rêveries « start-up nation » et autres chimères sociétales, la France n’est pas la Californie.
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LES DINDONS LIBÉRAUX QUI ONT COULÉ LA FRANCE
00:44 Publié dans Gilets Jaunes, La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Jean-Yves Le Gallou : « Imaginez ce qu’ils diraient si c’était Poutine ou Orbán qui réprimait ainsi des manifestants chez eux ! »
Source Boulevard Voltaire cliquez ici
Jean-Yves Le Gallou a organisé et participé à de nombreuses manifestations, généralement pacifiques. Il a, par ailleurs, travaillé à l’Inspection générale de l’administration au ministère de l’Intérieur, où il a échangé avec des préfets, des chefs de la police et des officiers généraux de gendarmerie. Il nous livre ici son analyse des violences qui émaillent les manifestations des gilets jaunes.
Comment expliquez-vous l’ampleur des violences dans le cadre ou en marge des manifestations de gilets jaunes.
Il y a dans toute manifestation un potentiel de violences. Parce que des manifestants veulent souvent aller un peu plus loin que ce que leur autorise la police. Et que celle-ci dispose du monopole de la violence légitime dont il peut lui arriver de faire un usage disproportionné.
Il y a eu des violences en 1968, en 1986 (contre la loi Devaquet), en 2006 (contre le contrat première embauche), en 2013/2014 (contre la loi Taubira) et aujourd’hui avec les gilets jaunes.
Quelles sont les différences, alors ?
La première différence tient au traitement médiatique ! Généralement, les médias se focalisent sur les « violences policières » contre les manifestants et, le cas échéant, les journalistes, et sont moins diserts sur les provocations des manifestants. Ce fut le cas en 1968, 1986, 2006. Avec les gilets jaunes comme pour la Manif pour tous, ils insistent beaucoup plus sur les « violences des manifestants ». Par parti pris idéologique particulièrement visible lors de la Manif pour tous, qui fut pourtant très policée – pour ne pas dire davantage – mais dont le moindre « débordement » était dénoncé, y compris par les… organisateurs de LMPT.
Avec les gilets jaunes, n’y a-t-il pas davantage de violences de la part des manifestants ?
Oui, bien sûr. Pour plusieurs raisons. Ce sont des manifestations spontanées sans service d’ordre. Et où des éléments radicaux peuvent donner un ton offensif. De nombreux manifestants ont aussi le sentiment d’être méprisés et comme beaucoup sont des hommes jeunes, pas toujours assis derrière une chaise, cela donne des manifestations plus « physiques ». Ajoutons à cela les consignes provocatrices du gouvernement.
Qu’entendez-vous là ?
Le gazage massif de foules pacifiques… ce qui peut les rendre – légitimement – « haineuses ». En voulez-vous un exemple ? À l’acte II sur les Champs-Élysées (le 1er décembre), la police a engagé les canons à eau dès 10 heures du matin et a gazé les Champs–Élysées sur 1,5 kilomètre. Ce qui a énervé des gens tranquilles situés à plusieurs centaines de mètres des barrages de police. Cette pratique s’est étendue aux grandes villes de province. C’est ce qui a radicalisé beaucoup de gilets jaunes, parfois entraînés par des éléments plus aguerris venus souvent de l’extrême gauche. Mais cela ne justifie pas les violences policières qui se sont multipliées.
Rappelez-nous les chiffres.
Plus de 5.000 interpellations, des milliers de gardes à vue, des centaines de mandats de dépôt et d’incarcérations, près de 2.000 blessés, des dizaines de fractures faciales, 12 éborgné(e)s, des fractures du crâne, et ce, dans le silence quasi total des grands médias français… Imaginez ce qu’ils diraient si c’était Poutine ou Orbán qui réprimait ainsi des manifestants chez eux ! Ce serait 20 minutes au 20 heures tous les soirs. Imaginez ce qu’ils diraient si les victimes venaient des quartiers de l’immigration ! Souvenez-vous du battage fait autour du mythomane escroc Théo, prétendument victime d’un viol à Aulnay. Mais là, cela ne compte pas : les victimes sont, pour l’essentiel, des Français ou des Françaises de souche. Vous parlez, quelle importance !
Mais il faut bien que la police se défende et maintienne l’ordre.
Certes. Mais c’est à se demander si les consignes qu’elle reçoit du trio infernal Castaner-Philippe-Macron – et qu’elle exécute – ne sont pas des consignes de guerre civile !
Vous n’exagérez pas un peu ? Qu’est-ce qui vous permet de dire cela ?
Il me semble que ce sont des consignes implicites. Si les policiers ne se sentaient pas « couverts », ils seraient beaucoup plus prudents. Et d’après de nombreux témoignages de policiers (policiers en colère, notamment), c’est la hiérarchie qui donne les ordres d’utiliser les tirs tendus. Or, la hiérarchie, c’est le ministre, le préfet puis le commissaire et/ou l’officier de gendarmerie.
La répression actuelle s’éloigne totalement des règles habituelles du maintien de l’ordre à la française :
– par l’usage massif du canon à eau,
– par l’engagement de blindés,
– par la venue des forces de l’ordre au contact des manifestants,
– par des passages à tabac,
– par le rétablissement des équipes de voltigeurs,
– par l’usage massif des grenades lacrymogènes, y compris sur des foules éloignées des forces de l’ordre (depuis les toits, voire – à vérifier – par hélicoptère),
– par l’usage injustifié de grenades de désencerclement,
– par la banalisation des tirs par lanceurs de balle de défense dont l’usage est, théoriquement, interdit en manifestations,
– par les tirs tendus de grenades.
Oui, mais c’est sans doute nécessaire.
Exceptionnellement, sans doute. De manière systématique et disproportionnée, sûrement pas !
Je vais vous citer le cas de la jeune Fiorina, éborgnée le 8 décembre. Elle manifestait pour la première fois avec son fiancé. Castaner avait annoncé que les Champs-Élysées seraient accessibles… pour mieux les fermer. Quand Fiorina a vu que la situation se tendait, elle a cherché à en sortir. Elle en a été empêchée par un cordon de gendarmes. Elle est restée bloquée plus d’une heure. Quand il y a eu des échauffourées sur le versant sud des Champs-Élysées, elle est passée sur le versant nord comme beaucoup de manifestants pacifiques. Les CRS ont alors grenadé ces manifestants pacifiques qui s’éloignaient d’eux. Fiorina a perdu l’œil gauche et a eu la mâchoire fracturée par un tir tendu. Malheureusement pour Castaner, toutes les vidéos confirment ce point de vue. C’est lui qui devra rendre des comptes un jour, et pas seulement le CRS qui a tiré.
C’est un cas particulier ?
Non, des éborgnés, il y en a plus d’une dizaine, dont au moins deux jeunes femmes, et des mâchoires ou des membres fracturés, des dizaines d’autres. Et pour beaucoup, il s’agit de manifestants pacifiques. J’ai recueilli de nombreux témoignages, notamment de jeunes femmes, qui montrent que la doctrine de répression est la suivante : créer des nasses (pour faire du chiffre d’interpellations) et canarder des manifestants pacifiques pour les dissuader de revenir.
Comment est-ce possible ?
Grâce à la complicité des médias qui mettent en exergue les violences de certains manifestants, souvent en les sortant du contexte, comme pour le « boxeur » ou les « voltigeurs » en haut des Champs-Élysées. Et surtout en faisant le silence ou en minorant les violences policières. Avec les médias, c’est toujours deux poids deux mesures : d’habitude, tout contre les « violences policières » ; là, tout contre les « violences des manifestants ».
Cela ne justifie pas pour autant la violence contre les médias.
Non, bien sûr, mais cela l’explique.
Je n’approuve pas les (rares) violences contre les médias mais je peux les comprendre.
Je peux comprendre les prises à partie verbales, je peux même comprendre certaines conduites de Grenoble.
Pour des raisons psychologiques : les gilets jaunes ont le sentiment d’être inéquitablement traités et méprisés.
Mais aussi pour des raisons politiques : les médias leur apparaissent comme le soutien du pouvoir.
J’irai même plus loin : les médias sont LE pouvoir, celui qui décide du bien et du mal, de ce qui est acceptable et de ce qui ne l’est pas, de ce dont on a le droit de parler et de ce qui est interdit. Des revendications qu’un gouvernement peut reprendre et de celles qu’il doit refuser.
Qu’est-ce qui vous permet de dire cela ?
Les faits, tout simplement : quand les médias soutiennent les manifestants, le gouvernement finit par leur céder : 1968, 1986, 2006. Quand les médias condamnent les manifestants et soutiennent la répression, le gouvernement tient bon : 2013/2014, 2018/2019.
Pourtant, beaucoup d’observateurs reprochent aux médias de faire la part belle aux gilets jaunes.
Oui, il est reproché aux télés en continu de rendre compte des manifestations, ce qui est à la fois normal et leur intérêt. Mais ceux qui expliquent les gilets jaunes par les télés en continu sont les mêmes (intellectuellement et psychologiquement) que ceux qui expliquaient Mai 68 par le rôle des… radios périphériques. Les censeurs sont des imbéciles : si BFM TV, LCI et CNews remballaient leurs caméras, il resterait celles des médias alternatifs et les images des smartphones sur les réseaux sociaux.
Ce ne sont pas les technologies qui créent les événements, ce sont les acteurs des événements qui utilisent les technologies.
Au final, qu’attendez-vous des grands médias ?
Pas grand-chose. Je les crois incapables de se remettre en cause. De rétablir le pluralisme dans leurs rangs. De présenter des points de vue contradictoires. Dans la situation actuelle, ils représentent le quart de l’opinion. Les trois quarts des Français ne sont ni intellectuellement, ni politiquement, ni sociologiquement représentés dans les médias. Et pourtant, cela leur coûte six milliards par an (redevance, subventions à la presse, AFP, CSA). Six milliards : l’équivalent de cinq pleins d’essence par famille française.
Un dernier mot ?
Rendez-vous au théâtre du Gymnase, le 18 février à 20 heures pour la dixième cérémonie des Bobards d’or. Il y aura même une séquence particulière, les bobards gilets jaunes.
00:00 Publié dans Gilets Jaunes, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mardi, 15 janvier 2019
Serge Ayoub invité par Anne Brassié sur Radio Libertés
Pour écouter l'émission cliquez ici
20:39 Publié dans Gilets Jaunes, Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Quelques rendez-vous avec le Parti de la France
20:29 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Dédicaces du mois de janvier à la Nouvelle Librairie

19:18 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Dimanche 20 janvier à Paris : hommage au Roi Louis XVI
11:33 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Face aux éoliennes, Vervins résiste toujours
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11:32 Publié dans Combat anti-éoliennes, Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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lundi, 14 janvier 2019
QUEL IMAGINATIF CE GÉRALD DARMANIN...
16:55 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Gilets Jaunes | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Qu'est-ce qui est plus crétin qu'un Manuel Valls ? Une bande de gauchistes catalans qui le prennent pour un "fasciste"...
Source cliquez ici
La campagne de Manuel Valls pour la mairie de Barcelone est décidément bien compliquée.
Alors que les sondages semblent ne pas lui être favorables, sa sortie dans un quartier de la capitale catalane a été perturbé, mardi 4 décembre par quelques dizaines de militants d’extrême-gauche ou indépendantistes.
Certains, munis de drapeaux antifascistes et de banderoles prônant la liberté d’expression n’ont pas hésité à le qualifier de fasciste, raciste et lui intimant de rentrer en France.
Manuel Valls n’a pas pu prononcer son discours jusqu’au bout dans les rue de Barcelone.
Il a dû finir par quitter le quartier, escorté par des forces de l’ordre jusqu’au métro.
NDLR SN : trop drôle... mais surtout, gardez-le et arrêtez d'insulter le fascisme !
14:13 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Ignace nous épate toujours plus !
Francis Bergeron Présent cliquez ici
Le dessinateur Ignace est assez bluffant. Ce garçon sympathique est actuellement l’un des meilleurs dessinateurs de presse. Et si le monde – et Le Monde, éventuellement – était bien fait, non seulement ses dessins trôneraient en première page de la grande (grosse) presse, mais Ignace serait en outre constamment invité à la radio et à la télévision, il serait la coqueluche du Tout-Paris, fêté, décoré de la Légion d’honneur et du mérite agricole ; et lors des Salons du livre de Paris ou de Brive la queue de ses admirateurs, venus se faire dédicacer un album, déborderait jusque dans la rue. Et je ne vous parle pas de la cote de ses dessins, à Drouot ou chez Artcurial : mieux que du Tintin ! Un intense trafic agiterait les courtiers tentant d’acheter à vil prix des dessins originaux, à la sortie de TVLibertés, pour les stocker dans des coffres-forts, spéculation oblige.
C’est d’ailleurs à TVLibertés, plus précisément dans l’émission phare de Martial Bild, « Bistro Libertés », que j’ai vraiment pris conscience de l’exceptionnel talent d’Ignace. Car tandis que les invités débattent des sujets du jour, Ignace, hors du champ des caméras, commente à sa façon cette même actualité, avec des dessins pleins d’humour et de rosserie. On le voit circuler ensuite – à quatre pattes, pour ne pas perturber l’émission – ses dessins entre les dents (ce qui l’empêche d’aboyer), afin de les remettre à Martial Bild. Le problème, c’est que Bild, qui les présente à la caméra, rit tellement que, le plus souvent, le téléspectateur ne distingue qu’un vague gribouillis tremblotant. La parution de cet album va permettre à chacun de comprendre ce qui faisait tant rire Bild.
En effet, comment garder son sérieux devant ce dessin montrant Macron, assis sur un trône, en train de rendre hommage à Charles Aznavour, sur ces paroles : « J’habite seul avec maman, dans un superbe appartement », tandis que maman Brigitte le foudroie du regard ?
Vous l’avez compris, avec Ignace, on ne s’ennuie jamais.
Un petit malin – peut-être Roland Hélie – a collecté tous ces beaux dessins, et vient de sortir un magnifique album grand format de près de 200 pages, La Crise de Jupiter. Bien évidemment Macron en est le héros. Cela doit représenter environ 500 dessins, couvrant la période 2017 et 2018. Précipitez-vous, car il n’y en aura pas pour tout le monde. Par une indiscrétion, nous avons appris que l’album avait été fabriqué avec du papier recyclé, des livres invendus de Hollande, Valls et Le Maire. Le plaisir n’en est que plus intense !
Permettez-moi de vous prédire enfin que, quand nous aurons pris le pouvoir (ce qui ne saurait tarder), au moins le pouvoir des idées (ce qui est bien parti), il faudra faire la queue, à TVLibertés aussi, pour nous procurer l’un des précieux dessins tout en couleurs d’Ignace, que nous irons tout aussitôt revendre à prix d’or à la sortie de Saint-Nicolas-du-Chardonnet !
Bonne et hilarante lecture.
La Crise de Jupiter, par Ignace, « Les Bouquins » de Synthèse nationale, 2018, 194 pages, 24 euros (+ 5 euros de port).
Le commander en ligne cliquez ici
11:31 Publié dans Livres, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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dimanche, 13 janvier 2019
IL PRÉTEND S'OPPOSER AU SYSTEME : MÉLENCHON N'EST QUE SON CHIEN DE GARDE
20:13 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Gilets Jaunes | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Eoliennes: le saccage idéologique du littoral picard
Malgré l’opposition des habitants, l’impact économique et environnemental désastreux, le gouvernement persiste à vouloir saccager la côte picarde à coups d’éoliennes. Explication de Georges Clément, le président de l’Association SCOPA (Sauvegarde des Côtes d’Opale Picardes et d’Albâtre).
Source Nous sommes partout cliquez là
Quand avez-vous créé l’association Sauvegarde des Côtes d’Opale Picardes et d’Albâtre et pourquoi ?
Georges Clément : Scopa a été créée en décembre 2014 après le lancement du deuxième appel d’offres éolien en mer et l’attribution à la Compagnie du vent (GDF Suez) des sites définis par l’Etat au large du Tréport et de Yeu Noirmoutier. Les fondateurs de l’association avaient déjà largement participé à la première Enquête publique qui avait eu lieu en 2010 et dont le déroulement et les conclusions avaient particulièrement mis en évidence l’impossibilité de faire entendre nos arguments, l’impossibilité de modifier le projet pour en limiter l’impact environnemental et économique, et l’absence complète de participation démocratique, contrairement aux dispositions de la convention d’Aarhus. Scopa est une association dont l’objet est la protection de l’environnement et à ce titre s’engage à mettre en œuvre tous les moyens légaux dans ce but.
Comment agissez-vous pour alerter le public ?
G.C : Pour alerter le public nous avons fait des communiqués de presse, organisé des manifestations et des séances d’information et de signature, nous avons mis sur le site www.scopa.fr une pétition qui a recueilli plus de 4000 soutiens et une autre plus récemment sur le site www.cityzaction qui a dépassé 7000 signatures. Par ailleurs Scopa adhère à la Fédération Environnement Durable qui apporte son soutien dans ce domaine.
En plus de défigurer le paysage, les éoliennes constituent une aberration économique et s’avèrent finalement plus polluantes que productives. Pouvez-vous nous décrire exactement les conséquences environnementales de l’implantation de ces éoliennes offshore ?
G.C : L’impact environnemental de ce projet est majeur du fait de sa situation, le site imposé par l’Etat d’une surface de 100 Km2, recouvre très exactement la zone la plus importante pour la pêche, aussi bien pour la pêche elle même que pour la reproduction des espèces. Les pêcheurs ont constaté que la campagne de forages d’étude qui a eu lieu de juin à septembre 2018 sur le site du projet avait déjà fait fuir la majorité des espèces.
Cette zone de dune très riche mais très fragile, serait irrémédiablement compromise par les 252 forages nécessaires à l’installation de 62 « jackets » support des éoliennes et du poste de transformation, et les quelques 100 km de tranchées pour l’enfouissement des câbles électriques HT de liaison des générateurs au poste de transformation et ensuite au point d’atterrage sur le littoral.
Ce projet entrainerait rapidement la disparition de la pêche artisanale et la ruine de l’économie locale.
Un tiers du site éolien se trouve dans le Parc Naturel Marin des Estuaires Picards et de la Mer d’Opale, au sujet duquel le Conseil de gestion a émis en 2017 un avis conforme défavorable au projet éolien en raison de son impact environnemental majeur sur le milieu marin, la faune en particulier, poissons, mammifères marins, oiseaux. Avis qui a été bafoué par une décision de la nouvelle Agence Française de la Biodiversité, autorisant la poursuite du projet moyennant quelques mesures compensatoires mineures comme l’augmentation de l’espace libre entre le bas des pales et le niveau de la mer pour réduire les collisions avec les goélands, et surtout la création d’un organisme de suivi scientifique largement doté…
L’impact visuel serait considérable, situées à 15 Km du rivage les machines dont les pales culmineraient à 210m de haut seraient très visibles de jour comme de nuit, signalées en plus par leurs feux de balisage aériens Ce spectacle barrant tout l’horizon marin du Tréport à Ault, face au littoral classé « Grand site de France » de Mers les Bains à la Baie de Somme, et devant le site classé de Mers les Bains pour ses villas balnéaires, et célèbre pour ses couchers de soleil, en compromettrait définitivement l’attrait touristique, ressource principale de l’économie locale.
Quand à l’intérêt économique de cette filière, avec un prix d’achat garanti de 150€/MWh soit plus de 3 fois le prix du marché, une concession du domaine publique maritime gratuite pour 40 ans et des coûts de raccordements supportés par les consommateurs, elle ne ferait qu’alourdir encore le montant des taxes, sans aucun bénéfice pour la réduction des émissions de CO2, en raison de l’intermittence de la production nécessitant des centrales complémentaires à gaz productrice de CO2 !
Il semble que les Français aient pris conscience des errements d’une transition énergétique imposée par une idéologie et non pas par une analyse objective et responsable. L’envolée des taxes, dont la taxe carbone a été le révélateur et le mouvement des gilets jaunes la conséquence.
Il faut espérer que le gouvernement saura en tirer les conséquences
La région de la Baie de Somme abrite de nombreuses espèces d’oiseaux migrateurs qui seront littéralement massacrées par le mur d’hélices des éoliennes. Avez-vous reçu le soutien d’associations de protection de la nature et y-t-il eu une réaction du ministère de l’écologie ?
G.C : Hélas aucun soutien de ces organismes, quand au Ministère de l’écologie, mais surtout de la transition énergétique, sa principale action a été d’activer l’Agence Française de la Biodiversité, dont on a pu immédiatement apprécier le rôle avec la décision prise pour le Parc Naturel Marin !
Ce projet a t-il fait l’objet d’un débat public ?
G.C : Il y a eu deux débats publics, en 2010 comme indiqué plus haut et en 2015, ce dernier ou la participation a été encore plus forte que lors du premier débat a soulevé les mêmes problèmes, choix du site par l’état, impact environnemental et économique et impossibilité de modification les choix ayant été faits par le gouvernement avant le débat, ce qui a été souligné par le Président de la CNDP dans sa conclusion, à savoir qu’il ne servait à rien de lancer cette procédure lorsque tous les choix ont déjà été faits.
Quels sont actuellement vos moyens d’action légaux pour empêcher cette désastreuse installation? Avez-vous le soutien des élus locaux ?
G.C : Les moyens légaux dont disposent les citoyens et les associations sont les recours légaux gracieux auprès des Ministres et contentieux, auprès de la Cour administrative de Nantes qui est un véritable tribunal d’exception spécialisé dans le traitement des recours contre les projets d’éolien en mer, le recours ultime étant le Conseil d’État. Les six sites du littoral Manche Atlantique ont des procédures en cours. Il y a aussi la possibilité de déposer une plainte auprès de la Commission Européenne.
Le projet de la société des Éoliennes en Mer de Dieppe le Tréport (EMDT) a mobilisé contre lui Les pêcheurs, une bonne partie de la population, la majorité des municipalités du littoral concerné de Dieppe à Saint-Valery-sur-Somme, et qui soutiennent l’action des deux associations SCOPA à Mers les Bains et SOS à l’horizon au Tréport.
Envisagez-vous des actions particulières en cas de poursuite du projet ?
G.C : L’Enquête publique s’est terminée le 29 novembre 2018 et nous en attendons les conclusions. L’avis de la Commission, n’est qu’un avis que le préfet n’est pas tenu de suivre, et nous avons déjà pris des dispositions conformément aux statuts de Scopa.
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20:07 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Un ouragan politique pour 2019 ?
Georges Feltin-Tracol
Le Chroniqueur hebdomadaire du Village planétaire vous présente tous ses meilleurs vœux pour cette nouvelle année. La période est propice tant pour dresser le bilan de l’année achevée que pour se lancer dans l’exercice périlleux des prévisions concernant les 358 prochains jours. Au risque de la banalité, 2019 sera une année cruciale comme 2018 le fut et comme le sera 2020.
Moins de deux ans après son élection, Emmanuel Macron se trouve au tournant de sa présidence. Le mouvement inédit des « Gilets jaunes » qui marquera 2018 bien mieux que la victoire sportive des Français à la Coupe du Monde à Moscou couronne un impressionnant effondrement, rapide et continu, commencé à la mi-juillet avec l’extravagante affaire Benalla. Il est probable que les jours d’Édouard Philippe en tant que Premier ministre soient dorénavant comptés. François Bayrou rêverait de le remplacer, mais Emmanuel Macron qui se méfie du maire centriste de Pau, n’aime pas se faire forcer la main.
Vu l’étroitesse extrême du vivier dans lequel il pourrait puiser un nouveau chef du gouvernement, l’actuel locataire de l’Élysée pourrait désigner Jean-Michel Blanquer ou, si la situation sociale s’envenime vraiment, Nicolas Sarközy avec qui il entretient des relations cordiales. Heureux de revenir aux affaires et malgré plusieurs enquêtes judiciaires qui le ciblent, l’ancien chef de l’État serait aussi ravi d’écarter Laurent Wauquiez qu’il n’apprécie pas et dont le message tout en tiédeur ne parvient pas à imprimer dans l’opinion. Choisir l’ancien président (ou l’un de ses lieutenants) présenterait pour Emmanuel Macron l’avantage de dynamiter la droite mollasse après s’être débarrassé d’une gauche aujourd’hui en ruines, éclatée entre La France insoumise, un PCF ectoplasmique, l’éco-socialisme bobo inclusif de Benoît Hamon, les Verts et des restes sociaux-démocrates prêts à se donner aux Thénardier du social-libéralisme, Ségolène Royal et François Hollande.
L’agitation sociale qui secoue la France inquiète l’hyper-classe cosmopolite. Elle s’interroge désormais sur la fiabilité de son poulain présidentiel. Les modestes et médiocres concessions qu’il a accordées aux « Gilets jaunes » indisposent Wall Street, la City, Francfort et l’incompétente classe politique allemande bornée. Certains cénacles mondialistes recherchent dès à présent son successeur, non pas pour 2022, mais pour les prochains mois. Dans sa livraison du 15 au 31 octobre 2018, l’excellente lettre d’informations confidentielles Faits & Documents annonçait que plusieurs dirigeants européens envisagent dans leur entourage le plus proche l’éventualité d’« une élection présidentielle anticipée en France dans la foulée des élections européennes (p. 4) », suite à la démission d’Emmanuel Macron.
Le président démissionnaire pourrait alors tenter de se représenter afin que les électeurs reconfirment leur choix de mai 2017. Il n’est toutefois pas certain que Emmanuel Macron obtienne cette fois-ci les 500 parrainages requis en raison de l’immense déception qu’il a provoquée auprès des élus locaux… Des coteries atlantistes et/ou mondialistes miseraient dans ces circonstances exceptionnelles sur une candidature de François Hollande, de Nicolas Sarközy, voire de Ségolène Royal (en attendant peut-être celle de Jacques Chirac, de Valéry Giscard d’Estaing et de Georges Pompidou…). D’autres cénacles pencheraient plutôt pour une personnalité plus consensuelle. L’actuel président du Sénat, le Républicain des Yvelines Gérard Larcher, fait figure de favori. Son élection permettrait la constitution d’un gouvernement d’« union nationale », comprendre d’alignement inconditionnel sur l’Occident globalitaire financiariste. En revanche, en cas de reprise – une fois les fêtes passées – et d’aggravation de la crise des « Gilets jaunes » qui virerait en une « insurrection de basse intensité », le général Pierre de Villiers constituerait un recours possible acceptable aux yeux de l’opinion et pour le petit milieu conservateur-libéral atlantiste et sécuritaire.
Quand bien même ces spéculations se révéleraient erronées, il est indéniable que la recomposition du paysage politique français va se poursuivre et même s’accélérer. L’Hexagone reste dans le « grand échiquier planétaire » un acteur majeur qui ne doit pas être négligé.
Bonjour chez vous !
• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°107, mise en ligne sur TVLibertés, le 7 janvier 2018.
19:58 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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CONSEIL DE SECURITE DES NATIONS-UNIES : PARIS VA-T-IL CEDER A BERLIN ?
Le bloc-notes de Jean-Claude. Rolinat
Pendant que les « gilets jaunes » défilent et captent l’attention des médias et du public, le pouvoir orchestre, en douce, dans ses arrières boutiques, quelques mauvais coups contre la France. La signature du pacte onusien de Marrakech en est une illustration. Mais il y a une autre affaire qui pourrait se tramer dans le dos des citoyens français.
Depuis la fondation des Nations Unies au lendemain de la deuxième Guerre mondiale, la France est avec les Etats-Unis, le Royaume-Uni, l’ex-URSS et la Chine, membre permanent du Conseil de sécurité, l’organe exécutif du « machin », comme disait De Gaulle. Une prime aux vainqueurs, en quelque sorte. Le siège onusien de la Chine changea, passant des mains du gouvernement du maréchal Tchang-Kaï-Tchek ,- celui de la Chine nationaliste réfugié dans l’ile de Formose (Taiwan) -, à celle de la Chine rouge, le gouvernement de Pékin. Après la reconnaissance du régime de Mao par, notamment, le Royaume-Uni, la France en 1964 et, surtout les USA du Président Nixon, Pékin devint aux yeux du monde la « seule Chine » au grand dam du gouvernement de Taipeh. Aujourd’hui, il semblerait que nos bons alliés allemands, faute de pouvoir accéder eux-mêmes à titre permanent au Conseil de sécurité, mènent une activité de lobbying pour éjecter, semble-t-il, leur partenaire d’outre Rhin, c’est-à-dire… nous !
Prétexte, l’équilibre européen. C’est ainsi que le vice-chancelier de la République fédérale, Olaf Scholz, a déclaré, « Si nous prenons l’Union européenne au sérieux, l’U-E devrait également parler d’une seule voix au Conseil de sécurité des Nations unies (…) A moyen terme, le siège de la France pourrait être transformé en siège de l’Union européenne ». Et ceci est exprimé au moment même où l’administration Trump ne semble plus accorder de statut diplomatique au représentant de cette Union européenne à Washington, au prétexte, tout à fait justifié, que l’U-E « n’est pas un Etat » !
Une réforme, oui, un abandon, non
La France propose une réforme du fonctionnement du Conseil de sécurité, en avançant l’idée d’un élargissement aux puissances montantes, une par continent, Inde, Nigéria ou Afrique du Sud, Brésil. Russes comme Américains estiment quant à eux, que l’institution onusienne est régulièrement bloquée par le fameux « droit de veto », dont les deux compères usent et abusent réciproquement sans vergogne !
Que va faire Paris alors que des voix s’élèvent, encore bien timides et isolées, pour suggérer que la France devrait se retirer au profit d’un partenaire européen ? Le Quai d’Orsay, par l’intermédiaire de son porte-parole a déclaré :
« La France est favorable à l’élargissement du Conseil de sécurité (…) pour faire entrer comme membres permanents l’Allemagne, mais aussi le Japon, le Brésil, l’Inde ainsi que deux pays africains ».
Un avocat des intérêts d’Outre-Rhin ?
Paris qui, pour l’instant n’a officiellement rien choisi, s’efforce de cacher sa gêne derrière le paravent de sa bonne conscience européenne en disant qu’au-delà de son propre discours, la France s’efforce toujours d’exprimer le « consensus » européen tel qu’il ressortirait des décisions de son Conseil. Que fera Macron, européiste convaincu ? Voilà une bonne question à soumettre à un référendum : « Voulez-vous que la France abandonne son siège au Conseil de sécurité des Nations unies au profit de l’Union européenne ? ». Prenons tout de suite les paris ! Mais attention, il y a des voix étranges qui s’élèvent au sein de La République en Marche, - en marche arrière ? -, favorables à la « Grosse Germania », telle celle de cet Aurélien Taché, député du Val d’Oise, qui n’hésite pas à déclarer : « Le fait de transférer une grande partie de la souveraineté nationale au niveau européen, c’est le cœur de ce que l’on va proposer aux élections européennes ».
Ce jeune homme ferait mieux de lire et relire l’histoire s’il veut sauver en 2022 ou avant, son siège éjectable de parlementaire !
19:41 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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CHAQUE SEMAINE, EDOUARD PHILIPPE NOUS ENFUME AVEC SES MESURETTES LIBÉRALES...
10:49 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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samedi, 12 janvier 2019
CARL LANG S'EXPRIME
18:27 Publié dans Gilets Jaunes, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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CHAQUE SEMAINE, IL ORDONNE À LA POLICE DE TABASSER LES GILETS JAUNES
17:07 Publié dans Gilets Jaunes, La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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COMME CHAQUE SAMEDI, ON NOUS ANNONÇAIT UN "ESSOUFFLEMENT" DU SOULÈVEMENT POPULAIRE...
14:35 Publié dans Gilets Jaunes, La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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