vendredi, 23 février 2018
Le 500e Journal de bord de Jean-Marie Le Pen
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Dimanche 18 mars à Rostrenen (22) : une conférence de Christian Bouchet sur François Duprat à l'occasion du 40e anniversaire de son assassinat
Sur François Duprat, lire :
Cahier d'Histoire du nationalisme n°2 : cliquez ici
François Duprat, le prophète du nationalisme révolutionnaire Edition Ars Magna : cliquez là
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Jeudi 15 mars : soirée des Amis de Livr'arbitres à l'occasion de la sortie du numéro 25 sur Michel Mohrt
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L'émission Synthèse sur Radio Libertés avec Les Brigandes
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Saint-Malo (35) : Le maire Claude Renoult annonce « l’objectif de repeupler » la cité historique avec des migrants musulmans clandestins
Source Breiz Atao cliquez ici
La cité historique de Saint-Malo va bientôt recevoir des dizaines de migrants clandestins à l’initiative du maire, Claude Renoult. L’objectif décrété par ce dernier : « repeupler » la ville historique avec des allogènes, notamment en accordant des logements sociaux aux clandestins afro-musulmans.
Saint-Malo participera à « l’élan de solidarité nationale », comme le souhaitait le maire, en ouvrant un centre d’accueil pour migrants. Plus précisément un centre d’accueil et d’examen des situations (CAES). Le préfet de Bretagne Christophe Mirmand et le maire de Saint-Malo Claude Renoult l’ont confirmé mercredi 21 février 2018.
Une première colonie de 50 éléments extra-européens seront installés dans la commune, « pas de famille, uniquement des hommes majeurs isolés et résidant actuellement en région parisienne », précise le Préfet seront logés dans cette partie d’immeuble composée de plusieurs appartements.
Cependant, le maire a un autre objectif : « repeupler » le centre historique de la cité corsaire. Pour cela, il va offrir des logements sociaux flambants neufs.
Quant à l’ancien bâtiment de la DDTM, situé rue de la Crosse Intra-Muros, et longtemps pressenti pour accueillir ce centre, la mairie est actuellement en pourparlers pour le racheter à l’État et y aménager des logements sociaux et intermédiaires, toujours dans l’objectif de « continuer à repeupler Saint-Malo », insiste le maire.
Des logements sociaux qui bénéficieront, naturellement, aux « nouvelles populations » devenues prioritaires en la matière. La colonisation rampante de la ville au profit des migrants afro-musulmans a donc commencé. Ce que l’édile qualifie de « repeuplement », c’est-à-dire l’exacte application de ce qu’avait annoncé Manuel Valls lorsqu’il était chef du gouvernement français (lire ici).
Le niveau de xénophilie du maire et de la clique qui l’entoure est tel que l’africanisation et l’islamisation sont perçues comme devant être recherchées à tout prix pour « repeupler » cette cité historique emblématique.
La tiers-mondisation qu’elle induira fatalement, spécialement en termes d’effondrement culturel et de crime, condamne la ville à disparaître dans l’abîme du déclin et de la déchéance.
La dégénérescence du personnel politique actuel annonce l’inévitable catastrophe pour des populations qui auront accepté de se subordonner à des chefs qui organisent l'invasion et le chaos ethnique.
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LA PEINE DE MORT A ETE ABOLIE, SAUF POUR LES VICTIMES. MERCI MAITRE BADINTER !
Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat
Deux récentes affaires criminelles particulièrement odieuses, viennent de remettre en selle l’opportunité ou non du rétablissement de la peine capitale, sachant que, de toute façon, un tel mode d’exécution des criminels ne pourrait être rétabli qu’après une dénonciation des conventions européennes. Ensuite ces dernières, compte-tenu de leur « sensibilité », ne pourraient être invalidées que par un vote populaire. Et là, il faudrait avoir déjà réformé la constitution pour que l’on puisse organiser une consultation référendaires sur un tel sujet de société, ce qui n’est pas le cas actuellement, avant de modifier la loi.
Une « punition », vraiment ?
Supposons que ces obstacles juridiques importants soient levés, quels avantages y auraient-ils à rétablir la peine capitale pour sanctionner des crimes particulièrement horribles, commis par des assassins ayant manipulé l’opinion publique ? Tout le monde se souvient du cynisme d’un Patrick Henry interviewé à Troyes par la télévision, s’indignant de la disparition d’une petite victime alors qu’il savait très bien qui était le coupable, – lui-même ! –, ou, encore, de la duplicité de cette mère de famille de Clermont-Ferrand inventant « l’évaporation » de sa petite fille dans un jardin public.
Autres affaires, avec dernièrement la disparition d’Alexia Daval le 28 octobre 2017, une joggeuse assassinée à Gray en Haute-Saône par, si l'on en croit ses aveux, son mari, qui a joué pendant plus de trois mois la comédie auprès des siens, ou celle de Maëlys, tuée dans l’Isère dans la nuit du 26 au 27 août dernier par l’un des convives d’un mariage à laquelle elle assistait avec ses parents.
Ces deux crimes ont bouleversé la France profonde. Dans tous ces cas, les assassins ont joué avec les proches, la presse, les enquêteurs, mentant effrontément, se joignant même aux recherches avec une cynique hypocrisie. Y a-t-il des circonstances atténuantes pour de pareils monstres ? Dans l’état actuel de l’échelle des peines, que risquent-ils ? Une perpétuité assortie d’une peine dite « incompressible » de 20/25 ans, c’est selon ? Sachant que des remises de peines pour « bonne conduite » ou pour cause de maladie sont toujours possibles. C’est inacceptable. C’est pourquoi l’application de la peine de mort représenterait, elle, un avantage, disons…. définitif !
Quatre bonnes raisons
La première, c’est la sanction suprême pour une faute impardonnable.
La seconde, c’est l’exemplarité de la peine qui, quoiqu’on en dise, refroidirait l’ardeur de quelques imitateurs tentés de commettre, eux aussi, l’irréparable.
La troisième, c’est la certitude d’une non récidive, car certains condamnés « à la perpétuité » ressortent de prison, bien souvent, avant d’être des vieillards repentis, et recommencent leur cycle criminel.
La quatrième, c’est une saine mesure économique : point de frais d’internement !
L’affreuse guillotine inventée à une époque, comme aurait dit Georges Pompidou dans d’autres circonstances, « où les Français ne s’aimaient pas », pourrait être avantageusement remplacée par une injection létale comme cela se pratique dans nombre d’Etats américains. Un pays, aux dernières nouvelles, classé parmi les « démocraties », non ?
Une Justice « juste », doit être rendue au nom du peuple
Or, que constate-t-on aujourd’hui ? De plus en plus de magistrats ont les yeux de Chimène pour les coupables qui sont des victimes de la société, on connait le fameux « l’homme est bon, c’est la société qui le corrompt ». Avec ce raisonnement celui, probablement, des membres du Syndicat de la magistrature notamment, - ceux qui s’amusaient avec le fameux « mur des cons »-, le sort de la victime passe au second plan. Heureusement, c’est encore l’USM qui est majoritaire chez les robes noires et pourpres. Le hasard a fait que j’ai été juré titulaire-suppléant dans une Cour d’assises. (Fonction très frustrante, car on participe de bout en bout aux débats sans avoir le droit de vote).
.J’avais pu remarquer dans ce cas précis, le travail remarquable de la Présidente, mais aussi l’influence énorme des juges professionnels sur les jurés. Etant « le muet du sérail », je ne pouvais mettre mon… « grain de sel » pour faire dévier les perspectives de la sanctions. Tout dépend donc, en fait, du professionnalisme des magistrats et, in fine, qu’on le veuille ou non, de leurs inclinations idéologiques ou philosophiques, même s’ils s’efforcent de suivre le code pénal. Est-ce à dire que le système américain de juges élus par les citoyens serait meilleur ? Je ne me prononce pas, n’ayant pas assez de recul ni d’expérience en matières judiciaire et juridique. Mais force est de constater que depuis l’action de Robert Badinter à la tête du ministère de la justice sous l’ère de François Mitterrand (1) et l’abolition de la peine capitale, toute l’architecture des peines appliquées s’est trouvée bouleversée dans un sens plus laxiste. « On » nous avait vendu l’abolition par son remplacement par la prison à perpétuité. Or, les abolitionnistes nous disent aujourd’hui que tout le monde a droit à la rédemption, à une « deuxième chance », - en ont-ils laissé, eux, les criminels, une deuxième chance à leurs victimes ? -, et que des hommes ou femmes enfermés à vie seraient des démons incontrôlables. Les Chrétiens diront que c’est la seule justice de Dieu qui compte et que tout pécheur a droit au rachat.
Une peine de substitution effective et radicale !
La cause est entendue, et pour le moment, le couperet a été remisé au magasin des accessoires obsolètes. Mais la pire des solutions est celle qui existe. Elle va à l’encontre d’une société paisible que nous appelons de nos vœux. Car, faute d’une vraie justice condamnant sévèrement, mais avec équité, tout criminel, il est possible, qu’un jour, l’homme de la rue règle lui-même ses comptes, ce qui nous conduirait à la loi du lynchage. (Nous l’avons observé dans un prétoire allemand !). Tout se discute donc, actuellement, autour de la peine de remplacement. Pour l’honneur de la justice, pour le respect de la mémoire des victimes, pour apaiser la peine de leurs familles et pour le condamné lui-même, il faudrait que cette peine de substitution ne soit pas un purgatoire doré, sorte d’antichambre d’une liberté conditionnelle à terme, mais le châtiment quotidien d’une faute à expier que seule la loi naturelle interromprait. Aux dernières nouvelles, il n’en est rien. La prison à vie, ça n’existe plus. Non seulement les partisans de la suppression de la peine capitale ont gagné, mais, en plus, ils ont aboli aussi la perpétuité.
La Droite nationale s’honorerait de réfléchir sur ce sujet et d’imaginer, faute de pouvoir juridiquement rétablir la sanction suprême, un système pénitentiaire radical pour les criminels les plus odieux, terroristes compris. Un « Guantanamo à la Française », une prison « à murs ouverts », en Terre Adélie ou aux iles Kerguelen, par exemple ?
(1) Lequel, lorsqu’il était ministre de l’intérieur sous la IVème République pendant la guerre d’Algérie, n’avait pas hésité à laisser nombre de condamnés du FLN à subir le châtiment suprême !
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jeudi, 22 février 2018
La débilité morale
Bernard Plouvier
Tout le monde raisonnable en est d’accord : la situation en France (et aux ex-colonies devenues Dom-Tom) est explosive. L’existence de zones de non-droit, l’explosion des actes de violence physique sont infiniment plus graves que les « incivilités » et les cambriolages que les journalistes ont l’ordre de mettre en avant, de façon à ce que l’arbuste cache la forêt des véritables menaces.
Et l’on a l’impression qu’il en va de même partout en Europe occidentale et scandinave. On parle des vols à la tire et du racket, pour camoufler les viols et les assassinats ; on évoque les « incivilités » pour masquer le racisme effarant des extra-Européens envahissant notre continent.
Tout d’un coup, Gérard Collomb, notre chenu ministre de l’Intérieur, chaudement applaudi par ses confrères ministres et notre sémillant Président, se lance dans un effet d’annonce. Il va réduire « l’insécurité » par son remède miracle : la police de proximité.
Nous prendrait-il pour des amnésiques ? Car, du temps du grandiose Mitterrand, le Président de l’entrée dans l’économie globale et le brassage des races, et du non moins grandiose Chirac, le Président Black-Beur, on nous a promis que tout irait mieux grâce aux « ilotiers »... et l’on parlait déjà de « police de proximité ».
De nos jours et pour faire plus sérieux, on use non seulement du comique de répétition mais aussi du pléonasme et on lance le slogan de « police de proximité au quotidien » !
En réalité, si l’on prenait l’avis des Français de souche européenne, on obtiendrait des avis qui ne pourraient que terroriser nos vrais maîtres : rétablissement de la peine de mort pour les assassins, castration des violeurs, tir à balles réelles en cas d’émeute ou d’agression des forces de l’ordre, refus d’accueillir le moindre « réfugié-immigré » d’origine extra-européenne et retour massif au continent d’origine des sans-travail, délinquants, mahométans faisant dans l’import-export du Djihâd. Enfin, il paraîtrait logique de se séparer de tous les territoires exotiques, à l’exception de ceux peuplés d’Européens qui peuvent difficilement se plaindre de notre prétendu « racisme colonialiste ».
Certes, la situation est explosive, mais vouloir faire semblant de les résoudre avec des petits moyens déjà essayés sans le moindre succès – ce qui est logique : on n’éteint pas un incendie avec une cuiller à café d’eau, fût-elle sucrée -, c’est à la fois se moquer du bon peuple, celui des contribuables, et faire preuve d’absence de sens moral.
Lorsqu’on est à la tête d’un État, le premier devoir est d’y assurer l’Ordre, ce qui commence par la sécurité des personnes et ensuite celle des biens.
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Samedi 24 mars, les patriotes ont un emploi du temps chargé :
Dans la journée : la Fête de Civitas
La Fête du Pays Réel sera un grand rendez-vous de l’année 2018, avec comme intervenants : l’abbé Xavier Beauvais, Pierre Hillard, Marion Sigaut, Valérie Bugault, Virginie Vota, Johan Livernette, Olivier Wyssa, Carl Lang et Alain Escada.
Parmi les nombreux exposants déjà inscrits : ACIM (Association catholiques des Infirmières et Médecins) – ACOM (chocolats) – Action Familiale et Scolaire - ADMP – Artisanat Saint Louis – Association Missions - Atelier des dix doigts (sculptures religieuses) – Vanessa Batlle (artiste peintre) - La Boîte à Bons Points (jeux et jouets en bois) - Boutique de la Trinité (objets de décoration en bois) - Cadets de France – Capucins de Morgon – Centre Grégorien Saint Pie X - Cercle National des Combattants (CNC) – Laurence de Chabot (artiste peintre) - Chœur Montjoie Saint-Denis – Civitas – Compagnie de la Sainte-Croix - Comptoir d’Ecosse - Cours privé CEFOP – Raphael Delpard (cinéaste, film “La Persécution des Chrétiens aujourd’hui dans le monde”) - Domaine Le Maine Castay (Cognac, Pineau des Charentes et Vins de France) - Dominicains d’Avrillé – Echoppe Fron (porcelaines et friandises) - Editions Charlemagne - Editions Francephi – Editions Kontre Kulture – Editions Librim Concept - Editions Retour aux Sources- Editions Hervé Ryssen – Editions Saint Agobard - Editions Saint Remi – Editions Saint Maximilien Kolbe - Editions Reynald Secher - Editions Sel de la Terre - Editions Sigest – Galerie JPM (livres et enluminures) - Fédérations Civitas de l’Aude et de Savoie – Film “La Rébellion cachée” (génocide vendéen) - Formes et Ombres (objets médiévaux) – Guillaume Le Baube (artiste peintre) – Thierry Gillaizeau (sculpteur sur bois) - Ignace (dessins) - Librairie Damase - Livres d’occasion Grimaux – Clémence Meynet (illustratrice) - Médias Presse Info/Médias Catholique Info - Nation (Belgique) – Nouvelles Editions Latines - Résistance Helvétique - Rosa Mystica - Synthèse Nationale – Patrimoine et Renaissance (tapisseries) – La Pierre de la Celle (tailleur de pierre) – Poterie Marie-Laure Cantuel – Rosaire aux Frontières - Stop Provocs Hellfest - Vins Domaine de Champ Fleury, Pierre Coquard...
Parmi les auteurs et dessinateurs qui ont déjà annoncé venir dédicacer : Frédéric Andreu – Alban d’Arguin - Stéphanie Bignon – Franck Bouscau - Anne Brassié – Valérie Bugault - Lucien Cerise – Lorris Chevalier – M. l’ambassadeur Henry Cuny - Anne-Marie Despas - Docteur Jean-Pierre Dickès – Jean-Arnaud Dollié - Michel Drac - Apolline Dussart – Philippe Fortabat Labatut - Bernard Gantois – Patrick Gofman - Françoise Gondrée - Yves Guézou (dessinateur) – Pierre Hillard - Roger Holeindre – Johan Livernette - Lysistrata - Hubert de Mesmay - Claude Meunier-Berthelot – Alain Monestier – Abbé Guy Pagès - Alain Pascal - Pinatel (dessinateur) - Philippe Prévost – Jean Rémy - Olivier Roney - Jean de Rouen - Catherine Rouvier – Reynald Secher - Marion Sigaut – Dominique Tassot - Arnaud Upinsky – Jean-Michel Vernochet – Hristo Xiep.
Dans la soirée : le Banquet de Synthèse nationale
Réservation cliquez ici
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Jawad relaxé, Pierre Cassen condamné à 3 mois de prison... soutenez Pierre Cassen
Riposte laïque
Comment mieux résumer la France de Macron ? Dans notre pays, un djihadiste dealer qui héberge des terroristes se retrouve en liberté, mais…
On me condamne, dans les circonstances ahurissantes que je décris dans cette vidéo, que j’ai réalisée rapidement chez des amis, à cause de problèmes techniques, à 3 mois de prison avec sursis.
- Dans ce pays, on condamne 5 jeunes Identitaires à 1 an de prison avec sursis, et à des amendes exorbitantes.
- Dans ce pays, on harcèle judiciairement Christine Tasin.
- Dans ce pays, on multiplie les plaintes contre Robert Ménard.- Dans ce pays, on oblige Mohamed Louizi à faire une grève de la faim, après six plaintes déposées contre lui par des islamistes, quand celles qu’il dépose ne sont pas instruites.
- Dans ce pays, on condamne l’apostat Pascal Hilout, né Mohamed, mais on fout une paix royale au CCIF ou aux Indigènes de la République, qui ne cachent pas leur volonté d’islamiser notre pays, ni leur haine des Français blancs.
- Dans ce pays, on condamne une oeuvre du cinéaste Gérard Boyadjian, coupable de délit d’audace.
- Dans ce pays, on condamne le blogueur Boris Le Lay à des peines de prison supérieures à celles d’islamistes qui ne cachent pas leur inféodation à Daesch.
- Dans ce pays, on traîne le talentueux Eric Zemmour devant les tribunaux.
- Dans ce pays, enfin, nombre de Français, coupables de trop aimer leur pays, sont harcelés par une véritable police politique, au service du régime, et par trop de magistrats, qui ne rendent plus la justice au nom du peuple français, mais au nom de leur idéologie mondialiste et multiculturelle.
Je m’adresserai, suite à cette condamnation inique, que je vais essayer de contester, aux lecteurs de Riposte Laïque ce jeudi, à 13 heures, pour expliquer quelques dessous croustillants de cette condamnation, et mettre en place la meilleure riposte possible.
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Jeudi 22 février, l'émission "Synthèse" sur Radio Libertés consacrée au nouvel album des Brigandes
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Plan Loup 2018-2023 : Hulot flingue le Loup en France
du Klan du loup :
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"Les grands excentriques", un nouveau livre de Nicolas Gauthier (lui aussi un peu excentrique...)
Dingos, princes de la ribouldingue, fêlés, zozos, fantaisistes, égocentriques, monomaniaques, capricieux… et tellement drôles, aussi !
Les grands excentriques apportent une pincée de vie dans un univers qui en manque parfois cruellement. Car, avouons-le, sans leurs excès, le monde serait bien morne. Ce document rend honneur à ces rois de l’extravagance, si toutefois ils en avaient encore besoin. Dix destins de peintres, musiciens, écrivains et acteurs parmi les plus fascinants et les plus étonnants.
Les portraits de : Francis Blanche, Jean Cocteau, Salvador Dali, Sacha Guitry, Jean-Édern Hallier, Howard Hughes, Liberace, Bela Lugosi, Andy Warhol et Oscar Wilde.
Les grands excentriques, Nicolas Gauthier, préface d'Alain de Benoist, Dualpha, 208 pages, 25 €
Pour acheter le livre cliquez ici
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mercredi, 21 février 2018
À propos de l'héritage de Johnny Halliday : le point de vue de Philippe Randa
Entretien avec Philippe Randa, directeur du site de la réinformation européenne EuroLibertés. Propos recueillis par Guirec Sèvres, publiés sur le site Synthèse nationale.
Que vous inspire la zizanie chez les héritiers Halliday ?
Tout d’abord, c’est une affaire strictement familiale qui aurait dû le rester ; en quoi le cupide crépage de chignon d’une famille trois fois recomposée concerne-t-il le domaine public ? Les journalistes, qui en font toujours tellement avec la supposée déontologie de leur profession, brocardent pourtant allégrement celle-ci pour une basse question d’audience… Autrefois, ce type de déballage relevant du seul voyeurisme était cantonné à une presse spécialisée qu’on appelait avec mépris « la presse à scandale »… Aujourd’hui, toute la presse est devenue « à scandale »… Et certains journalistes, bien sûr, n’hésitent pas à brandir leur fameux slogan du « droit à l’information » du public. Imposture et médiocrité, voilà ce que cela m’inspire, à titre personnel.
Certains en profitent pour affirmer que souvent les héritages divisent, provoquent des drames et qu’au fond, ils contreviennent à la Déclaration universelle des droits de l’homme qui stipule que « Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits » ; qu’en pensez-vous vous-mêmes ?
Que cette Déclaration universelle des droits de l’homme, dont l’époque actuelle fait tellement de cas, est généralement diversement interprétée par les uns ou par les autres en fonction d’intérêt le plus souvent strictement personnel… Pour ma part, si je la prends en considération, je n’en fait pas pour autant l’alpha et l’oméga obligatoire de la condition humaine. Quant à la notion d’héritage, la grande majorité des gens, toutes classes sociales confondues, considère généralement l’héritage, non seulement comme parfaitement naturel, mais surtout exempt de toute réprobation. Si la richesse de quelqu’un vient d’un héritage familial, personne ne le lui reprochera, considérant qu’il a bien de la chance et qu’on aimerait bien en avoir soi-même ; de même, si sa richesse provient d’un gain au loto, par exemple : personne ne lui en tiendra rigueur… Mais un homme très riche qui doit sa réussite financière à son seul travail, à sa seule intelligence, suscitera bien souvent l’aigreur chez ses contemporains ; il n’est pas rare alors que jaillissent à son propos des suspicions acides : il n’aura pas été un remarquable travailleur, mais un odieux exploiteur du labeur d’autrui ; il n’aura pas été malin, ses escroqueries supposées n’auront pu être prouvées, etc. Et pour les complotistes, sa réussite ne pourra qu’être la preuve de son appartenance à quelque société secrète, qui en douterait ?
Personnellement, que pensez-vous du droit à l’héritage ?
Ce n’est ni un droit, ni un devoir, c’est naturel… Quel parent, digne de ce nom, ne voudrait pas transmettre un héritage à ses proches ? Je soupçonne fortement ceux qui y voir malice d’être particulièrement égoïste et de vouloir profiter eux et eux seuls de ce qu’ils ont acquis (ou reçus, ce qui les gênerait nullement !) en se donnant bonne conscience vis-à-vis de leurs héritiers légitimes. Mais on songe toujours de l’héritage sonnant et trébuchant, alors que le premier héritage qu’on doit transmettre à ses proches, se fait d’abord et principalement de son vivant : son affection, son exemplarité, son devoir de transmissions d’une éthique de vie, sa protection éventuellement… Dans le cas de la famille Halliday qui défraie la chronique actuellement, personne ne fait remarquer qu’elle s’agite dans la fange parce que le responsable de ce désastre humain n’est plus de ce monde… Favoriser certains de ses enfants, pourquoi pas ! cela peut avoir une explication parfaitement honorable. Encore faut-il, de son vivant, en fournir la raison à tous les intéressés et prendre ses dispositions pour ne laisser planer aucune discution ensuite.
Johnny Halliday n’en a peut-être pas eu le temps…
Que l’on sache, il n’est pas décédé brutalement, mais d’une longue maladie… qui lui a laissé le temps d’établir 3 ou 4 testaments différents ! Comme quoi, il n’y a pas que les imbéciles qui ne changent pas d’avis ; les bêtes de scène également.
Philippe Randa est écrivain, éditeur et chroniqueur politique, directeur du site de la réinformation européenne EuroLibertés ; il vient de publier Une démocratie hors de prix (éditions Dualpha, préface d’Aristice Leucate, 172 pages, 23 euros).
22:04 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Ce que l'Histoire fait, l'Histoire peut le défaire...
On ne peut qu'admirer cet exemple de courage face à la vague homosexuelle militante qui déferle sur le monde depuis des années.
Que nos hommes politiques (notamment de « droite ») méditent l'exemple des Bermudes, quand ils disent ne pas vouloir, ni pouvoir revenir sur la loi Taubira de 2013 dite du « mariage pour tous »...
11:14 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi 10 mars : XXe Forum de la Nation à Lyon
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mardi, 20 février 2018
Jan Faure, artisan d'art
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Mort de trouille, Florian Philippot refuse un débat télévisé avec Carl Lang sur LCP !
Florian Philippot invité de LCP ce soir dans l’émission "Ça vous regarde", dont le lancement officiel, à Arras cette fin de semaine, de son mouvement de patriotes a fait un flop remarquable, a mis son veto à la présence de Carl Lang, Président du Parti de la France, sur le plateau. L'enfant chéri des médias ferait-il des caprices de star ou craint-il un débat de fond avec un représentant de la vraie droite nationale ?
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SNCF : l'héritage étatiste et l'ombre communiste
Jean-Gilles Malliarakis
On a diffusé le 14 février auprès de la presse et du grand public le rapport Spinetta et ses quelque 43 propositions. Il se fixe pour but de sauver la SNCF. Il vient après de nombreux avis, circonstanciés et documentés, mais sans suite, de la cour des Comptes. Et cela pose une fois de plus la question du rapport de l'opinion, des médias et de notre chère classe politico-technocratique à la dépense d'État.
Dès 2011, en effet, aux Assises du ferroviaire un groupe de travail avait conclu à l'insoutenabilité financière du système. Et quand, en 2014, fut votée la plus récente réforme ferroviaire, on promettait une fois encore un nouveau modèle économique.
Il n'a toujours pas vu le jour. Et la ministre actuelle Élisabeth Borne qui connaît bien le dossier, juge impossible le statu quo.
L'une des ritournelles de ces derniers temps consiste donc à demander à l'État de résoudre le problème ferroviaire. Les gros moyens de désinformation semblent même avoir récemment découvert le gouffre de l'endettement de la SNCF.
Il s'agit pourtant d'un secret de Polichinelle. Il y a quelque 20 ans de cela, en effet, le gouvernement Juppé, n'avait entrepris d'en camoufler le montant que pour pouvoir faire semblant de satisfaire aux critères théoriques de l'euro. Et, dans ce but, avait été créée en 1997 une société gestionnaire de l'infrastructure. Faussement séparée du transporteur monopoliste, fut ainsi fondée Réseau Ferré de France. Cette entreprise était dotée, dès la fondation, de plus de 20 milliards d'euros de dettes. Artificiellement soustraite des comptes publics, elle atteint désormais un montant de 45 milliards.
Or, comme la logique d'une gestion de RFF ne pouvait conduire qu'à une tarification plus réaliste de l'utilisation des voies et des gares. Ceci aurait coïncidé avec la remise en cause du monopole ferroviaire. On a donc décidé en 2013 de rebaptiser le gestionnaire d'infrastructures SNCF-Réseau afin qu'il soit bien clair qu'elle serait repassée sous le contrôle de Guillaume Pépy patron demeuré indéboulonnable, malgré ses échecs, de SNCF-Mobilité.
Pour complaire à cette technostructure, l'organisme prétendument indépendant Arafer chargé, au sein de l'État, de réguler les transports, a, discrètement, toujours empêché que soient calculés les péages à hauteur des besoins de l'entretien des voies.
Toutes ces feintes et galanteries ne peuvent plus dissimuler, cependant, que l'héritage étatiste produit chaque année un passif de plus de 3 milliards de dettes supplémentaires, qui, sans mesures drastiques, ne sauraient être remboursées en dépit des subventions auxquelles les régions sont contraintes, sans pouvoir les contrôler.
Parmi les causes de ce déficit, on ne peut pas omettre les très coûteux avantages sociaux concédés aux cheminots.
On n'oubliera pas, dans cette affaire, la place quasi séculaire de l'idéologie marxiste et de l'appareil communiste.
À presque un siècle de distance en effet, loin d'être crédités de l'image de privilégiés qui les entachent aujourd'hui, les salariés des compagnies de chemin de fer passaient pour l'incarnation même de l'exploitation capitaliste.
C'est en 1920 que des grèves très dures sont brisées par le gouvernement, et que la ville emblématique de Saint-Pierre-des-Corps et son maire Robespierre Hénault hébergent le congrès dit de Tours, où se fonde le parti communiste. La SNCF ne sera cependant fondée qu'en 1937, par le gouvernement Chautemps, étatisant et fusionnant les compagnies privées alors concessionnaires dans une société anonyme d'économie mixte dont l'État possédait la majorité du capital.
Le cheminot passe dès lors à l'avant-garde de ce qu'on dénomme désormais modèle social français : retraites, heures ouvrées, emploi à vie, etc. Le statut d'ensemble, sans équivalent dans aucun pays du monde, sera plusieurs fois transformé et toujours aggravé. En 1983, notamment, il reviendra à Fitermann, ministre communiste des Transports du gouvernement Mauroy, de lui donner un caractère toujours plus étatiste et d'y imposer un Comité central d'entreprise contrôlé aujourd'hui encore par la CGT.
Contre les projets gouvernementaux de réformes du secteur public les appareils syndicaux ont annoncé une mobilisation à compter du 22 mars. La direction de la CGT, par la voix de son secrétaire général Martinez, fait actuellement campagne pour intégrer aux manifestations une grève du chemin de fer.
Chacun sent, chacun sait, le rôle structurant du chemin de fer. Il remonte à des temps très anciens. Il a certes été réactivé avec le développement du TGV depuis 1981, qui bouleverse l'espace hexagonal, toujours dans le sens de l'hypercentralisation parisienne. Dès la loi fondatrice de 1842 a été dessiné et pensé un découpage de la France en 7 grandes lignes convergeant à Paris. Surnommé l'étoile de Legrand, du nom du directeur général des Ponts et chaussées de l'époque, ce schéma corseté empêche aujourd'hui encore le décloisonnement des régions de notre pays.
On ne s'en sortira donc que par une réforme radicale à laquelle l'idéologie étatiste et centraliste répugne.
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La lettre ouverte de Jean-Marie Le Pen à sa fille
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lundi, 19 février 2018
Les pronostics de Michel Drac
Auteur De la souveraineté en 2008, de Crise économique ou crise du sens en 2010 et de Triangulation. Repères pour des temps incertains en 2015, Michel Drac poursuit sa réflexion sur l’actualité du monde. L’élection d’un zélote des marchés totalement inconnu des Français cinq ans auparavant, l’a surpris et quelque peu sidéré. L’hébétement passé, il vient d’observer les six premiers mois de la nouvelle présidence et se demande comment le nouveau locataire de l’Élysée pourrait se comporter en cas de crise(s) majeure(s). Tel est le sujet de son nouvel ouvrage, Voir Macron (Le Retour aux Sources, 2017, 197 p., 17 €).
Le sous-titre est encore plus signifiant : « 8 scénarios pour un quinquennat ». Il s’agit de huit hypothèses de situation de crise qui peuvent surgir entre maintenant et 2022. La démarche est osée pour Michel Drac qui risque de voir ses pronostics – souvent pessimistes – en économie et en géopolitique démentis, voire contredits, par les faits. Toutefois, ses supputations demeurent réalistes et possibles, même si les facteurs déterminants sont bien trop nombreux pour être intégrés dans une analyse prospective d’ensemble.
Les scénari sont précédés par un panorama non exhaustif des grandes tendances économiques, écologiques, démographiques, technologiques, géopolitiques, culturelles et politiques du moment. Comme toujours chez Michel Drac, en digne héritier des honnêtes hommes des XVIIe et XVIIIe siècles, le lecteur apprend beaucoup. Ainsi la monnaie unique européenne est-elle « une union de monnaies homonymes à parités fixes. L’euro n’est pas émis par la Banque Centrale européenne : ce sont les banques centrales des États membres qui l’émettent. Entre elles existe un système de compensation [qui…] s’appelle Target 2 ». Si l’intention est fédéraliste, la gestion quotidienne de l’euro est plutôt confédérale, voire presque co-souveraine entre les dix-neuf « associés ».
Michel Drac perçoit très finement la position ambiguë d’Emmanuel Macron. Du fait de son « en même temps », celui-ci est dès à présent tiraillé entre un tropisme continental incarné par l’Allemagne, et une forte attraction atlantiste elle-même scindée entre une Grande-Bretagne en Brexit, soucieuse de ne pas favoriser l’émergence d’une super-puissance européenne à sa porte, et des États-Unis qui renforcent leur coopération avec une armée française bien mal en point. L’heure arrivera peut-être pendant ce quinquennat pour que le start upper d’En Marche tranche ce dilemme avec toutes les incertitudes qu’elles recèlent.
Bonjour chez vous !
• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°66, diffusée sur Radio-Libertés, le 16 février 2018.
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Clandestins à Ouistreham, jusqu'où les autorités laisseront-elles pourrir la situation ?
Source PdF Calvados cliquez ici
Clients du Casino importunés par les Soudanais qui déambulent et qui squattent aux alentours, riverains qui voient les clandestins casser les fenêtres des résidences secondaires pour essayer de s'y installer, touristes qui annoncent qu'ils ne reviendront plus à Ouistreham malgré "l'accueil et la gentillesse des habitants", présence quasi-hebdomadaire d'agitateurs d'extrême gauche qui se servent des pseudo-migrants pour fantasmer sur une révolution, etc., Ouistreham a-t-elle définitivement vocation à devenir un repoussoir invivable ?
Lorsque nous avons manifesté contre l'implantation des clandestins en 2016, les autorités et les médias nous accusaient de dénoncer un problème imaginaire, sous-entendant largement que nous exagérions, voire que nous mentions.
Deux ans plus tard, quand nous avons de nouveau manifesté le 03 février dernier, les médias ne pouvant plus nier la problématique migratoire, nous avons été accusés de ne voir que le mauvais côté des choses.
Pourtant, la vérité c'est qu'il n'y a aucun bon côté, et les exemples que nous avons cités en début d'article, ne sont que quelques-unes des problématiques que les Ouistrehamais et les amoureux de Ouistreham nous remontent quasi-quotidiennement.
Si, à l'appel de l'Association pour le Retour au Pays des Expatriés (ARPE), nous avons manifesté pour demander l'expulsion de tous les clandestins, c'est notamment pour que cette charmante station balnéaire ne perde pas sa belle réputation qui attire tant de touristes vitaux pour le commerce local.
Le Parti de la France s'associe une fois de plus à l'ARPE et à tous les Ouistrehamais mobilisés contre la colonisation migratoire, pour demander la libération totale et immédiate de la ville !
Rejoignez nos équipes militantes en écrivant à calvadospdf@gmail.com et n'hésitez pas à contacter l'ARPE à cette adresse : arpecourriel@gmail.com
Sur la manif de Ouistreham cliquez ici
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dimanche, 18 février 2018
Journal du chaos
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Affaires Darmanin et Hulot : Délation et rumeur, les nouvelles vertues citoyennes
par Guirec Sèvres
Philippe Randa est écrivain, éditeur et chroniqueur politique, directeur du site de la réinformation européenne EuroLibertés ; il vient de publier Une démocratie hors de prix (éditions Dualpha, préface d’Aristice Leucate cliquez ici).
Que vous inspire les récentes mises en cause des ministres Gérald Darmanin et Nicolas Hulot dans des accusations d’harcèlement sexuels ?
Comme pour beaucoup, un profond dégoût de la médiatisation à outrance de prétendues accusations du passé, basées pour l’un sur de simples faits que la justice a classé sans suite, pour l’autre sur de simples rumeurs… Et quelles que soient les conséquences futures les concernant – l’obligation de démission, la fin de leur carrière politique,… – il est certain que leur réputation en est imprégnée à tout jamais. La rumeur qui vous frappe, c’est comme une maladie dont on ne guérit jamais ; on survit avec les stigmates, on garde des séquelles à jamais selon l’adage populaire « il n’y a pas de fumée sans feu »… Et puis, même s’il n’y aucune suite judiciaire et même si un non-lieu est finalement prononcé, l’obsession complotiste de beaucoup suffira à continuer de colporter les accusations ad vitam aeternam… Désormais, Darmanin et Hulot, « Ah oui ! ce sont ces gars qui ont violés… euh ! harcelés, oui… pas de preuve ? Oui, ils s’en sont tirés, quoi ! Enfin, on sait bien que… hein ! » Et puis, à défaut de preuve, les déclarations « volées » du président des Républicains Laurent Wauquiez accréditent la culpabilité de son ancien complice de parti lorsqu’il affirme que « c’est du Cahuzac puissance 10 ! Le type sait très bien ce qu'il a fait, il sait très bien ce qui va arriver »… Propos – « volés » ou hypocritement déclarés pour qu’il en soit fait un usage – qui font pencher la balance, mais qui ne sont même pas poursuivables en justice : « sait très bien ce qu'il a fait, il sait très bien ce qui va arriver » : des mots vides de sens, mais lourds de condamnation.
C’est le cas dans la grande majorité des scandales médiatiques à connotations sexuelles depuis « l’affaire Weinstein »…
Cette dernière est en effet à l’origine de la démentielle campagne mondiale de délation tous azimuts ; rappelons que ce producteur américain n’avait certes pas la réputation d’être un gentleman, mais que les accusations à son encontre sont, à ce jour, de simples actes d’harcèlement sexuels sur des femmes dont il aurait, je cite « tenté d'obtenir d’elles des massages, les ayant forcées à le regarder nu ou en leur ayant promis de favoriser leur carrière contre des faveurs sexuelles… »… « Elles » étant en l’occurrence des femmes majeures dont on peut légitiment penser qu’elles étaient prêtes à beaucoup – mais peut-être pas à tout, effectivement – pour décrocher un rôle qui lancerait (ou relancerait) leur carrière… Certaines ont d’ailleurs admises qu’elles avaient acceptés les avances du producteur en toute connaissance de cause et après avoir été mises en garde sur ses habitudes… Et puis, dans un pays connu pour son caractère terriblement procédurier, le procureur de l'État de New York a jusqu’à présent seulement ouvert une enquête pour, je cite à nouveau : « déterminer si la Weinstein Company pourrait être poursuivie pour discrimination sexuelle ou d’autres violations de la législation… »
Celles ou ceux qui comparent ces « victimes »-là, dont beaucoup s’affichaient dès le lendemain de leur consentement sexuel au bras de leur tourmenteur, tout sourire et généralement peu avare de compliments à son sujet, avec les véritables victimes de viol sous menace physique, droguée à leur insu (notamment par l’utilisation de la fameuse drogue du violeur) ou abusée parce que trop alcoolisée pour se défendre, sont ignobles… aussi ignobles, voire tout aussi condamnables moralement, que les simples harceleurs, pauvres types s’il en est.
Il est à remarquer que ces scandales touchent principalement des personnalités au faîte de leur puissance…
En tous cas, dans les cas rapportés par les médias, mais la délation de la campagne #balancetonporc sur Twitter frappe, je le repète, tous azimuts et lorsque le soufflet des personnalités mises en cause retombera – forcément, ça finira par lasser – on nous « apprendra » probablement – pour tirer de ce sujet un maximum d’audimat – que nombre de citoyens lambdas ont subis les mêmes dénonciations… Mais pour l’heure, oui, ce sont des personnalités que l’on croyait ou qui se croyaient « intouchables » qui sont frappées de plein fouet, « dégommées » de leur piédestal comme au tir aux pigeons… Laissons à chacun la liberté de s’en réjouir ou non ; pour ma part, même si beaucoup d’entre elles n’étaient pas mes idoles (euphémisme !), la nausée de constater que la délation et la rumeur sont devenues subitement une des, voire LES vertues suprêmes pour certaines féministes, m’en empêche.
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Samedi 24 février : réunion Terre et peuple à Rennes
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Dans la famille Sarkozy, junior s’exprime…
La chronique de Philippe Randa
Sarko junior, ainsi qu’il a l’habitude de signer ses réflexions sur Twitter, a livré sur le site de l’hebdo américain conservateur Washington Examiner un virulent plaidoyer pour la légalisation de… toutes les drogues, à l’instar de l’économiste Milton Friedman ! Tant qu’à faire, pourquoi se limiter au cannabis, comme en a l’habitude le « vulgus gauchistum » (et pas que !, d’ailleurs). Non, lui considère que « la politique de répression sur la drogue est également un échec avec du temps et de l’argent gâchés » : ce qui est incontestablement assez vrai au vu de l’augmentation du trafic… et tout autant de la répression du viol sexuel, des violences conjugales et des autres formes de délinquance en général, puisque toutes ces facéties « humaines, trop humaines », sont vieilles comme le Monde, n’est-ce pas ?
N’en déplaise à Sarko junior, si le cannabis n’a pas encore été légalisé, ce n’est nullement pour complaire aux dinosaures d’une époque révolue, mais bien plus sûrement pour empêcher une explosion sociale des Cités de non-droits… et la reconversion des trafiquants dans d’autres activités rémunératrices, bien plus meurtrières encore !
Lire EuroLibertés cliquez ici
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Projection du film "Damas 2011" à Paris le 24 février
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samedi, 17 février 2018
Vincent Lapierre chez Les Brigandes
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Car Lang sur Radio Libertés
13:24 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 16 février 2018
Débat : JE NE SUIS PAS D’ACCORD AVEC ALAIN DE BENOIST QUAND IL DEVIENT MALTHUSIEN !
La dernière interview d’Alain de Benoist par Nicolas Gauthier sur Boulevard Voltaire cliquez ici comporte des vérités sociologiques originales, mais elle nous semble pouvoir prêter à une confusion malthusienne digne des médias de la pensée unique. Proudhon disait qu’« il n’y a qu’un homme de trop sur cette Terre, c’est M. Malthus » » alors que, selon Jean Bodin, « il n’y a de richesse que d’hommes ».
L’affirmation gratuite comme quoi la grande majorité des avortements est compensée par des naissances futures qui ne seraient pas survenues si ces avortements n’avaient pas eu lieu aurait gagné à être expliquée et justifiée, car elle doit laisser beaucoup de lecteurs très perplexes. Les 220.000 avortements par an, en France, équivalent à l’immigration légale de 200.000 immigrés légaux et 20.000 clandestins. Ces avortements ont plutôt pour conséquence de ramener, en fait, le taux réel de mortalité à la naissance, en France, à des niveaux équivalents au taux monstrueux qui prévalait sous le règne de Louis XIV.
Vouloir rassurer les foules face à un taux de fécondité en déclin à 1,88 enfant par femme parce que la population globale, en France, augmente en raison de l’invasion migratoire et suite à l’augmentation de la durée de vie est inacceptable pour un patriote soucieux de son identité française et européenne. Ce taux de 1,88 est d’autant plus dangereux et décadent qu’il est en dessous du taux de renouvellement à l’identique des populations de 2,1 enfants par femme, qu’il cache la réalité catastrophique du taux de fécondité des femmes européennes en France de seulement 1,6 enfant par femme, contre 3,2 enfants par femme d’origine extra-européenne. Ce qui signifie que, même avec une immigration zéro, la population d’origine immigrée, le plus souvent musulmane, continuera d’augmenter en France, tout comme la population d’origine palestinienne continue d’augmenter dangereusement à l’intérieur même de l’État hébreu, posant un problème grave de survie et de guerre civile à long terme pour Israël.
IL ne s’agit, également, en aucune façon, pour l’Europe, de vouloir se livrer à une « revanche des berceaux », à une concurrence nataliste stupide avec l’Afrique et son taux de fécondité moyen de 4,5 enfants par femme, contre 1,6 pour l’Europe – populations immigrées incluses. L’Afrique doit, effectivement, passer de 1,3 milliard d’habitants, en 2017, à 2,6 milliards en 2050, et 4,4 milliards en 2100, tandis que l’Europe, sans relance de la politique de la natalité, et compte tenu de l’immigration, restera stable à 700 millions d’habitants. Le Nigeria, qui compte 160 millions d’habitants, devrait atteindre entre 500 et 914 millions d’habitants en 2100.
Ce qui importe seulement, comme disait Alfred Sauvy, « c’est que les pays riches ne se mettent pas à la diète sous prétexte que des obèses habitent les maisons voisines », et donc d’encourager en France, comme Poutine en Russie avec des primes, la venue du troisième enfant ainsi que les familles nombreuses. Le non-dit dans l’interview, c’est que toutes les femmes européennes rêveraient d’avoir un enfant de plus que le nombre d’enfants nés effectivement.
« De quelque façon que nous organisions le travail, nos rapports sociaux, notre sécurité même, s’il est acquis que décidément le peuple français ne se multiplie plus, alors la France ne peut plus rien être qu’une grande lumière qui s’éteint. »
11:06 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Dimanche 18 mars : Les Brigandes en concert en Avignon
Le lieu du concert sera donné 48h avant l’événement aux personnes ayant réservé leur place !
Réservation et informations sur la page suivante : https://leconcertdesbrigandes.fr/
Attention, les places sont limitées !
09:11 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |