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lundi, 28 mai 2018

CONFRONTATION : LE GRAND RETOUR

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19:13 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi dernier à Aix-en-Provence : Manifestation du Bastion social pour la préférence nationale

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Source Lengadoc info cliquez ici

Le Bastion Social manifestait ce samedi 26 mai à Aix-en-Provence pour réclamer la « préférence nationale ». Un des responsables de ce mouvement social et patriote nous explique en quoi cela consiste.

Lengadoc Info : Le Bastion Social a appellé à manifester samedi dernier à Aix-en-Provence pour la « préférence nationale », en quoi cela consiste-t-il ?

Jérémy Palmieri : Le Bastion social a choisi comme thème de sa campagne nationale « la préférence nationale » pour diverses raisons. Tout d’abord parce qu’il s’agit d’un thème fondamental mais bien trop souvent délaissé par ceux de notre « camp ». Nous ne voulions pas laisser à l’abandon ce sujet qui, à l’heure actuelle, est d’une urgence vitale.

C’est un sujet sérieux car il englobe tous les aspects de la société. Sur le plan économique avec les problématiques de mondialisation, de démantèlement de notre industrie et donc des délocalisations et du recours aux travailleurs détachés. Cette stratégie économique ne produit que du chômage, de la paupérisation. On oublie trop souvent que nous sommes capables de produire en France mais surtout de produire français. Ensuite, l’immigration qui ne cesse d’augmenter devient problématique pour un certain nombre de choses : elle pose un problème pour parler techniquement de demande et d’offre. Nous ne sommes plus en capacité d’accueillir des flux de personnes, alors que nous sommes en difficulté pour loger décemment, et offrir un emploi non précaire à chacun de nos compatriotes. Par ailleurs cette immigration pose problème sur le plan culturel. Les immigrés extra-européens ne souhaitent pas s’assimiler à la culture française, et adoptent des modes de vie communautaire.

De plus, ces derniers sont le véritable outil du capitalisme qui voit chez eux uniquement une main d’œuvre à bas coût et donc un moyen de faire pression à la baisse sur les salaires des nationaux.

Cette colonisation migratoire va dans le sens des mondialistes qui ne veulent que la création d’un monde uniformisé. Nous, au contraire, sommes les défenseurs des identités, enracinées sur leur terre.

Sur le plan social, et notamment sur l’aide aux plus démunis, nous dénonçons l’incohérence de l’État plus enclin à aider les étrangers avec des prestations sociales non méritées que ses propres concitoyens, qui parfois ont cotisé ou ont contribué à l’effort national toute leur vie. Nous pensons aux retraités pauvres, aux anciens combattants mais aussi aux mères de famille isolées, aux travailleurs précaires et mal logés.

Lengadoc Info : Cette préférence nationale, finalement, elle existe déjà en France dans le domaine de la culture avec « l’exception culturelle » et elle n’est pas remise en cause. Pourquoi l’extension de ce principe à d’autres domaines pose problème ?

Jérémy Palmieri : Vous avez souligné là une belle ambiguïté. Cette extension pose problème, certes. Mais à qui ? Il faut répondre à cela. Elle pose problème à nos élites, aux gens bien intentionnés, aisés et privilégiés. Loin de nous la volonté de rentrer dans une rhétorique de lutte des classes. Voyons les choses en face. La préférence nationale heurte les bonnes consciences et leur idéologie dépassée. Les hommes politiques ont vocation, pour agir dans l’intérêt du peuple à coller au réel et à se rendre compte des énormes fractures générées par des choix politiques lâches qui ont consisté à acheter la paix sociale. Avec nos activités sociales, nous rencontrons chaque jour des Français qui souffrent, qui se sentent complètement abandonnés par l’État. Il ne s’agit pas de prétendre que nous sommes du peuple, ou avec le peuple comme le fait l’intégralité de la classe politique, pour se vernir d’un peu de bonne conscience. Nous pensons que la solution politique passe par la préférence nationale et en agissant à notre niveau, nous sommes certains de faire bouger les lignes et de palier les carences mortelles de l’État. Bien évidemment la première mesure d’urgence à prendre pour stopper l’hémorragie due aux coups portés par la politique menée depuis 40 ans et à l’origine des conséquences susmentionnées est la suppression du droit du sol. Nous en demandons sans aucune concession la mise en œuvre.

Pour finir, je rajouterai qu’il faut donner une véritable définition d’un Français à savoir : être un Européen de langue et de culture française. C’est pourquoi, nous exigeons l’abolition du droit du sol pour faire primer le droit du sang. Être Français n’est pas une question administrative.

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Italie : Le Système plus fort que le pot pourri populiste.

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Jean-Francois Touzé

Membre du Bureau politique du Parti de la France. Directeur de la revue Confrontation.

Le seul but légitime du combat politique est l'accession de ceux qui le mènent aux responsabilités du pouvoir.

Pour le Parti de la France, seul l'exercice, par la droite nationale, de la conduite de l’État permettra à notre Pays de se relever et de se reconstruire.

Pour parvenir à cette fin, aucune stratégie ne peut être exclue et le pragmatisme doit être notre loi tactique. A la condition de ne jamais dévier de notre ligne et de n’agir que dans la cohérence du projet.

Certains, en France comme dans toute l'Europe, suivent des chemins différents.

Les partis du Système, bien sûr, pour qui la « gouvernance républicaine » n'est que prétexte aux ambitions personnelles et, pour les nouveaux venus, volonté de s’accaparer à leur tour d’une part du butin.

Quelques uns (ou quelques unes), convaincus que la métapolitique et la formation des élites constituent la voie royale qui permettra, le jour venu, de dresser des passerelles (oubliant que les passerelles sont avant tout faites pour qu’on leur marche dessus), remettent à plus tard l’engagement militant et électoral, comme si le temps ne nous était pas compté.

D'autres, enfin, dont la sincérité des convictions ne saurait être mise en cause, parent au plus pressé estimant que mieux vaut être en capacité de mettre en œuvre une petite partie de leur programme plutôt que d'attendre indéfiniment de pouvoir en réaliser la totalité.

C'est le cas de nos amis italiens de la Ligue.

En s’accordant sur un programme de gouvernement avec le mouvement cinq étoiles, patchwork improbable de comiques troupiers, de néo écolos et d'anciens gauchistes, Matteo Salvani et les siens faisaient le pari de se servir de leurs alliés du M5S et du nouveau président du conseil désigné par eux, Guiseppe Conte, pour avancer sur la voie de la maîtrise des dépenses publiques, et surtout de la lutte contre la submersion migratoire.

Louables objectifs. Mais l’expérience montre que, chaque fois qu'un mouvement identitaire et national s'est allié avec un autre parti, de droite, de gauche ou d'ailleurs dans une coalition gouvernementale, il s'est embourbé dans le jeu des compromis politiciens comme de la dépendance européiste, et que les avancées promises se sont réduites à quelques gestes symboliques sans portée réelle. L'hétérogénéité de l'alliance italienne porte en elle les germes de l’échec à venir.

Ce n’est pas un hasard si la Commission de Bruxelles est restée plus que prudente après la nomination officielle de Conte par le très systémique président de la République italienne Sergio Mattarella, tandis qu'Emmanuel Macron tendait la main au nouveau gouvernement.

Tout portait dès lors à croire que, dans ces conditions, le printemps italien de l'identité, de la solidarité sociale dans le dynamisme économique, de la volonté anti migratoire et, sur le plan international, du rapprochement avec la Russie ne sera qu’une brève lueur dans la nuit hivernale.

La démission de Conte ce dimanche soir et la probable nomination d'un gouvernement technique avec un Président du Conseil passé par le FMI ne viennent que renforcer notre conviction : il n'est plus temps de transiger avec le Système qui trouve de toutes façons toujours les portes de sortie de crise. Il ne faut pas composer avec lui. Il faut l’abattre, le détruire et lui substituer l’Etat national. Le chemin sera plus long. Mais il sera celui de la vraie victoire.

Le Parti de la France considère que la Droite nationale, si elle doit, un jour, s'inscrire dans un jeu d’alliance pour accéder au pouvoir, ne pourra le faire qu'en situation de force. La situation dramatique de notre France et de notre vieille Europe impose, en effet, l'application d'un programme radical de salut national qui ne peut être que global.

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L'affaire qui tombe à pic !

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dimanche, 27 mai 2018

Sarcasme et incorrection

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de Philippe Randa

Le plus étonnant avec François Marchand, ce n’est pas qu’il est ait écrit jadis un premier roman extrêmement dérangeant pour la bien-pensance, c’est qu’il ait pû récidiver une… sixième fois !

Car Nager dans les dollars (Le Rocher) est à peine moins idéologiquement incorrect que ses précédents livres… Après nous avoir entraîné dans l’univers « j’m’enfoutiste » de la (très) Haute Fonction publique (L’Imposteur), celui du petit patronat obligé par désespoir de s’acoquiner avec une CGT des plus cynique (Plan social, Grand Prix Littéraire du Web Cultura du roman français), l’enfer familial (Un week-end en famille), le complotisme anti-vélibs dans Paris (Cycle mortel)… et surtout Enfilades, un recueil de nouvelles dont le sarcasme le dispute au politiquement ultra-incorrect, l’auteur s’en prend aux grandes multinationales où l’on peut détourner 15 millions d’euro (18 avec le change) sans déranger plus que cela leurs anonymes dirigeants, mais tout de même attiser la convoitise d’un banlieusard, modeste employé d’une société de recouvrement, qui voit là l’occasion de « changer sa vie »… et à François Marchand, celle de ridiculiser les comportements d’humanoïdes qui sont, hélas ! nos contemporains.

« Il semblerait qu’il y ait dans cette société beaucoup de pognon accumulé par les générations précédentes qu’il s’agit maintenant de répartir entre les rentiers d’aujourd’hui », constate avec dépit son héros en regardant le portait de son arrière-grand-père Émile, mort à Verdun.

Ce roman nous entraîne de la banlieue (pourrie) parisienne, via les Tours (inhumaines) qu’on suppose être celles du quartier de la Défense, jusqu’au fin fond de l’Alabama où la sainte trinité est « Bible, arme à feu et drapeau »… « Et pas d’éoliennes. C’est rare ça. »

L’auteur jure que pour une fois, il a tâché d’être modéré. C’est raté !… Mais on ne va pas s’en plaindre ! Oh que non !

Source EuroLibertés cliquez ici

20:54 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Demain, la grande expropriation

Radical-Markets.jpgGeorges Feltin-Tracol

Voir Macron. 8 scénarios pour un quinquennat (NDLR : Michel Drac, Le retour aux sources, 17 € cliquez ici) comporte une terrifiante hypothèse pour les contribuables français qui viennent de remplir leur déclaration annuelle. Dans un troisième scénario intitulé « La grande spolation », Michel Drac envisage qu’à la suite de conflits locaux et de coups d’État financiaristes, des « ajustements financiers sont opérés dans tous les pays de la zone [Euro] par confiscation pure et simple des propriétés, via le plus souvent des moyens insidieux et indirects. En France, par exemple, l’État est maintenant copropriétaire de toutes les propriétés immobilières. Il perçoit donc une redevance de copropriété (p. 144) ». « Fumisterie ! Exagération anxiogène ! Complotisme ! » réagit le Système.

Pourtant, l’ISF transformé en Impôt sur la fortune immobilière (IFI) ne concerne plus les valeurs mobilières. Typiquement bougiste, ce nouvel impôt convient bien à la finance anonyme et vagabonde. Pendant la crise de l’euro, les Grecs ont vu leurs retraits bancaires hebdomadaires limités tandis que les comptes courants des Chypriotes subissaient une forte ponction de la part des organismes financiers. L’Union pseudo-européenne prévoit la généralisation de ce prélèvement non consenti à l’ensemble des titulaires des comptes courants de l’Eurolande en cas de situation grave.

La chronique dans Libération du 15 mai 2018 d’Iona Marinescu, enseignante en économie à l’Université de Pennsylvanie, évoque Radical Markets, un ouvrage d’Eric Posner et Glen Weyl. Les deux universitaires de Chicago dénoncent la propriété privée qu’ils jugent criminelle parce que monopolistique. Ils suggèrent de fiscaliser toutes les formes de propriété, « sauf peut-être, précise la chroniqueuse, les effets personnels ». Cette proposition obligerait ainsi les propriétaires à vendre leur bien si une tierce personne souhaite l’acquérir. Par exemple, une personne déclare au fisc la valeur de sa maison, soit 70 000 €. Si un acquéreur souhaite l’acheter à ce prix, il l’obtiendra sans aucune discussion possible.

Iona Marinescu pense que les rentrées fiscales qui en découleront pourraient alimenter un revenu universel. Bref, cet impôt sur la propriété « est radical, parce qu’il transforme la notion de propriété privée en une notion de propriété collective qu’on loue au plus offrant ». Déjà les cartes bancaires de retrait et les cartes magnétiques de transports tels Navigo en Île-de-France sont la propriété des banques et du STIF… Une nouvelle fois se manifeste un « communisme de marché », titre de l’ouvrage prémonitoire de Flora Montcorbier paru en 2000. Eric Posner et Glen Weyl confirment l’inquiétante convergence entre certains pans de la pensée libertarienne et un gauchisme économique le plus égalitariste, soit l’immense marchandisation de la vie, de la nature et du monde.

Financiers, banquiers et autres cloportes du Capital planétaire nous préparent vraiment un monde affreux. Faisons donc cesser leurs manigances infernales, de gré ou de force !

Bonjour chez vous !

• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°80, diffusée sur Radio-Libertés, le 25 mai 2018.

20:15 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Journal du chaos

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Pour télécharger, cliquez ICI

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samedi, 26 mai 2018

LA VILLE DE BEZIERS REND HOMMAGE A UN VRAI REBELLE DE MAI 1968 : JAN PALACH

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Un nouveau livre de Serge Ayoub : POUR UN NOUVEAU CONTRAT SOCIAL

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« Liberté, égalité, solidarité », telle pourrait être la nouvelle devise d’une France dans laquelle seraient appliqués les principes exposés ici, permettant « l’équilibre entre le capital et le travail, condition sine qua non d’une démocratie sociale véritable ». Mais malgré sa ressemblance avec l’actuelle devise française, ses termes sont loin de recouvrer la même signification.

La fin des corporations ayant débouché sur la soumission du travailleur au capital, le taylorisme et le fordisme sur la course à la productivité et au salariat généralisé, le travailleur s’est trouvé privé de toute véritable liberté. L’égalitarisme promu par les communautarismes victimaires n’est en rien l’égalité ; il est au contraire, « l’appareil idéologique qui abolit la hiérarchie pour mieux instaurer un surcroît de domination ». Car l’égalité n’est pas l’absence de hiérarchie ; cette dernière, justifiée par le mérite et non l’argent, devient non seulement juste mais profitable à tous. Quant à la solidarité, elle n’est pas l’expression d’un État-providence, mais celui d’un État-social mettant en place les conditions d’une « coresponsabilité citoyenne ». Partant du constat que l’injustice sociale est arrivée à une forme d’oppression, et après avoir décortiqué les mécanismes économiques mais aussi idéologiques de cette injustice, l’auteur analyse les forces en présence.

Tout en haut de la hiérarchie sociale se trouvent les oppresseurs, dont on peut suivre la montée en puissance depuis la Renaissance, formant une hyper-classe qui milite pour la mondialisation afin d’échapper à ce qu’il reste des puissances étatiques. Tout en bas, leurs complices inconscients, sous-prolétariat aujourd’hui majoritairement constitué par l’immigration. Entre les deux, les travailleurs, qu’ils soient ouvriers ou petits patrons, pris en étau. Dès lors, que faire ? Retrouver la notion de bien commun, de res-publica, au sein de la nation, repenser la fonction publique et le rôle de l’État, dépasser le salariat, réformer les syndicats, créer des coopératives, une banque solidaire d’investissement : telles sont quelques-unes des solutions proposées ici pour un nouveau contrat social entre l’État et les citoyens.

Serge Ayoub, fondateur en 2010 de Troisième Voie, mouvement pour une avant-garde solidariste, et titulaire d’une maîtrise d’histoire, est l’auteur d’un roman, “Conte barbare”, de plusieurs essais comme la “Doctrine du solidarisme” et, coécrit avec Michel Drac, de “G5G, déclaration de guerre”, d’un recueil intitulé “1ère inter-nationale solidariste” et d’un livre sur l’affaire Méric : “L’affaire Clément Méric, du fait divers au scandale politique”.

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Royaume-Uni : Tommy Robinson condamné à 13 mois de prison pour avoir filmé le procès d’un gang de violeurs musulmans

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Source Breiz Atao cliquez ici

Le reporter Tommy Robinson a été arrêté hier devant le tribunal de Leeds et condamné à 13 mois de prison pour avoir couvert le procès d’un gang de violeurs pakistanais.

Il a peu après été déféré devant le même tribunal et condamné à 13 mois de prison pour « troubles à l’ordre public » bien qu’il ne faisait que couvrir le procès du gang pakistanais.

Les médias ont également reçu l’ordre du gouvernement de ne rien dire sur les faits, sous peine de poursuites.

Les réactions politiques n’ont pas tardé, notamment au vu du fait que ce jugement s’est déroulé en moins de deux heures.

« Arrêtez pour avoir troublé l’ordre public alors qu’il couvre le viol d’un gang de violeurs musulmans ? C’est l’Arabie Saoudite ? » s’est interrogé Geert Wilders, leader de la droite néerlandaise.

Le député de l'UKIP (Souverainistes), Gerard Batten, a dénoncé lui aussi l’arrestation.

Les gangs de violeurs musulmans sont extrêmement puissants, organisés et nombreux au Royaume-Uni. Il y a deux mois, un gang équivalent avait été découvert. On dénombre au moins 1000 victimes sur plus d’une quarantaine d’années, pour l’essentiel blanches.

Le réseau était protégé par la police britannique.

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vendredi, 25 mai 2018

L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" AVEC VINCENT VAUCLIN SUR RADIO LIBERTÉS

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CETTE EMISSION

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13:21 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

NIEPPE (PRÈS DE LILLE) DIMANCHE 16 SEPTEMBRE 2018 : 6E JOURNÉE RÉGIONALE DE SYNTHÈSE NATIONALE

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12:29 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Tout n'est pas perdu : l'Action française reparaîtra à la rentrée...

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Source Infos Toulouse cliquez là

Le journal Action Française qui avait cessé de paraître en début d’année, va de nouveau être distribué par les camelots à partir de la rentrée 2018. L’annonce a été faite lors du colloque organisé le 12 mai dernier. 

L’Action Française va reprendre la plume. Après avoir dû cesser ses activités en janvier 2018, suite à un manque de moyen, le journal du plus vieux mouvement politique français va reparaître dès septembre prochain. Quelques changements sont à prévoir, à commencer par la fréquence, puisque le bi-hebdomadaire deviendra un mensuel.

Annoncé lors du colloque annuel sur Mai 68 et le bien commun, samedi 12 mai dernier, le retour de la revue était déjà évoqué parmi les militants depuis de nombreuses semaines, soucieux de ne pas vouloir voir disparaître ce qui a fait la renommée du mouvement. En effet, la revue a accueilli de nombreuses plumes influentes, de Jacques Bainville à Charles Maurras, ou encore Henri Vaugeois ou Léon Daudet.

Quel forme prendra le journal ? 

Interrogé lors du grand rendez-vous annuel, François Bel-Ker, secrétaire général du mouvement, nous présente le nouveau format. « Avec une hausse de 54% des adhésions en 5 ans, il y a une nouvelle exigence de formation. Cette revue viendra compléter le package de formation », se félicite t-il. Dirigée par François de Marchilhac, la rédaction comptera une quarantaine de personnes collaborant régulièrement, un chiffre stable avec l’ancienne équipe. Le nouveau rédacteur en chef devrait être Philippe Mesnard. Sur le fond, François Bel-Ker l’assure, le journal restera « ouvertement maurassien, nous tenons à garder cette spécificité ».

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Philippe de Villiers raconte le Puy du Fou

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Le Choeur Montjoie St Denis dans l'Aisne samedi prochain

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mercredi, 23 mai 2018

"Le Journal d'Anne-France", un ouvrage remarquable

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Dans une ville proche de Lyon, un jeune pompier est appelé pour une intervention au dernier étage d'un immeuble où se propage une odeur inquiétante. Il découvre dans une modeste "chambre de bonne" le cadavre d'une vieille dame assis devant un ordinateur encore allumé. Instinctivement, il appuie sur la touche "impression" et de là sort de l'imprimante toute la vie bouleversante de cette femme prénommée Anne-France... 

Anne-France, c'est un peu "Madame tout le monde", une Française moyenne qui traversa toutes les turpitudes du XXe siècle sans rien demander à personne. Une vie faite de moments simples et heureux et aussi d'épreuves effroyables. Une vie aussi derrière laquelle se profile l'histoire du suicide de notre nation, la France...

On vous laisse découvrir le talent de Romain Guérin qui a certainement rendu le plus bel hommage qui puisse être à cette inconnue. 

SN

Le Journal d'Anne-France, Romain Guérin, Editions Altitude, 156 pages, 14 € cliquez ici

 

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Samedi 26 mai , 15 h, Aix-en-Provence :

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Dimanche 10 juin : concert des Brigandes en Saône-et-Loire

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ÉCONOMIE : CIEL BLEU MÉDIATIQUE ET NUAGES NOIRS À L’HORIZON

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Marc Rousset

Les oscillations violentes en Bourse à la baisse de début d’année ne sont déjà plus qu’un lointain souvenir. Les acteurs financiers font fi des tensions géopolitiques et concentrent leur attention sur les bonnes nouvelles du verre à moitié plein.

Aux États-Unis, le chômage officiel tronqué est à 3,9 %, soit son plus bas niveau en vingt ans, tandis que l’industrie crée quelques emplois et que la confiance des ménages est plus élevée avec Trump. Ce dernier devrait pourtant léguer à son successeur un déficit budgétaire de plus de 5 % du PIB, une dette alourdie et une balance commerciale déficitaire abyssale, au-delà de quelques victoires ponctuelles remportées par le spécialiste immobilier de la négociation, du « deal ».

Dans le Times, David Stockman, un ancien banquier et adjoint de Reagan, prédit « une catastrophe monétaire et fiscale de proportions bibliques », tandis que le gestionnaire américain de fonds spéculatifs Paul Tudor Jones vient de déclarer : « Nous sommes en train de développer le bon vieux scénario des bulles financières, qui nous est tant familier. » Paul Tudor Jones prédit un effondrement boursier dès 2019, après avoir prédit le krach de 1987. Quant aux gérants de fonds, un grand nombre est conscient de la surévaluation des marchés, mais ils continuent à jouer en pariant sur l’excès de liquidités.

En Europe, la BCE mettra probablement un terme à l’assouplissement monétaire quantitatif fin 2018 et commencera à relever ses taux en 2019. Si la Fed continue d’augmenter aussi les siens, ce pourrait être le début de l’apocalypse dans le monde, même si l’élévation des taux est graduelle. Le bilan des banques centrales dans le monde ne se réduira pas avant des années et devrait être, en 2020, de l’ordre de 20 % du PIB pour la Banque d’Angleterre, 15 % du PIB pour la Fed, 95 % du PIB pour le Japon, 50 % du PIB pour la BCE.

Le pétrole cher fait son retour, porté par la crise iranienne. Atteindra-t-il les 100 ou 150 dollars le baril ? La question divise les experts car les quantités non achetées par les Occidentaux, suite aux sanctions américaines, seront achetées à bas prix par les Chinois qui feront d’excellentes affaires. Au Moyen-Orient, des rumeurs ont circulé selon lesquelles le prince saoudien Ben Salmane aurait fait l’objet d’une tentative d’assassinat. La région est devenue une véritable poudrière.

En Italie les populistes bouclent leur programme de gouvernement. Certaines parties, et tout particulièrement le renvoi dans leurs pays respectifs de 500.000 immigrés clandestins, sont excellentes, mais en matière économique, comme l’a remarqué Audrey D’Aguanno sur Boulevard Voltaire« l’augmentation du PIB à travers la relance de la demande interne » relève des incantations socialistes utopiques à la française. Quant au système bancaire italien, il est trop gros pour faire faillite, mais également trop gros pour être sauvé. Une flambée de la prime de risque devrait bientôt se déclencher sur le marché financier italien de la dette. Le « spread », l’écart entre les taux d’emprunt italien et allemand, vient d’atteindre son plus haut niveau depuis fin mars.

La crise argentine n’est-elle pas le signe avant-coureur d’une crise des pays émergents liée à la hausse des taux américains ? La livre turque a déjà perdu 18 % et d’autres pays, comme le Brésil, l’Afrique du Sud, pourraient avoir à relever leurs taux en réaction à la politique monétaire de la Fed. Cela vaut, bien entendu, aussi pour les pays européens les plus endettés comme l’Italie et la France, qui sont très exposés au relèvement à terme des taux de la BCE.

La Turquie est le dernier pays à avoir rapatrié 220 tonnes d’or, tandis que le milliardaire égyptien Naguib Sawiris vient d’investir la moitié de son patrimoine de 5,7 milliards de dollars dans le métal jaune, qui est le seul à pouvoir se moquer d’une grave crise à venir.

13:43 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 22 mai 2018

« Terrorisme : je ne suis pas plus islamophobe que christianophobe ou judéophobe. Je préfère interpeller sur les causes que sur les conséquences, aussi dramatiques soient-elles… »

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Entretien avec Philippe Randa

Propos recueillis par Guirec Sèvres

Plusieurs personnalités ont signé un « Manifeste contre les nouveaux collabos de l’islam » cliquez ici dont Guy Millière, Guillaume Faye, le Dr Alain de Peretti, Gérard Brazon, Jean Robin, Abbé Guy Pagès, Marc Rousset, Uli Windisch… Pas vous ?

Non, bien qu’on me l’ait proposé, mais je ne suis pas plus islamophobe que christianophobe ou judéophobe… De philosophie païenne, je suis tolérant envers toutes les religions. Les sanglantes dérives au nom d’Allah sont directement et avant tout liées à l’immigration incontrôlée et à l’actuelle politique extérieure des États-Unis… Je préfère interpeller sur les causes que sur les conséquences, aussi dramatiques soient-elles. Au début du XXe siècle, les musulmans en France étaient estimés à environ 120 000 ; ils pratiquaient leur religion au vu et au su de tout le monde sans revendications insupportables et personne n’y trouvait rien à redire… Tout a changé à la fin de ce siècle après l’arrivée incontrôlée de plusieurs millions d’immigrés à majorité musulmane : les conversions à l’islam n’ont jamais été numériquement importantes, c’est le flot continu – car l’immigration officiellement « restreinte » depuis les années soixante-dix du siècle dernier, ne l’a jamais été – de millions d’étrangers convertis qui nous posent aujourd’hui des problèmes autant d’identité que de sécurité : tous les jours, nous pouvons constater autant l’échec de l’intégration que de l’assimilation pour des millions de ces « nouveaux Français » qui, de fait, ne le sont que de papiers ; plus terrible encore, il y a le rôle que jouent les innombrables associations et les « idiots utiles » qui favorisent et accueillent les clandestins : leurs filières sont redoutablement efficaces. Grâce au totalitarisme du « politiquement correct » relayé par la quasi-totalité des médias mainstream, ils agissent quasiment en toute impunité : les différents gouvernements de la France depuis un demi-siècle sont paralysés à l’idée d’être accusés de racisme. Ainsi le passeur de migrants Cédric Herrou qui a enfreint la loi française est invité au Festival de Cannes, tandis que les militants de Génération identitaire qui ont fait respecter sans violence aucune cette même loi française notamment au Col de l’Échelle, sont discriminés jusque sur leurs lieux de travail.

Vous pensez donc que l’islam peut avoir une place en France ?

De fait, il l’a : il y a entre 8 et 10 millions de personnes d’« origine musulmane », plus ou moins croyantes et pratiquantes. On peut imaginer les traquer, les parquer et les expulser, bien sûr ! Mais encore faudrait-il expliquer comment s’y prendre et où « s’en débarrasser »… Leurs pays d’origine ? Ils sont plusieurs millions à être nés sur le sol français, désormais depuis deux ou trois générations…

Cela pourrait au moins s’envisager pour les Fichés « S » ?

Rappelons qu’ils sont au nombre de 20 000 selon l’actuel Ministre de l’Intérieur Gérard Colomb : tous ne sont pas musulmans, certes, mais c’est la majorité. À l’évidence, les pays dont ils sont originaires n’accepteront sans doute par de récupérer de telles canailles, nées qui plus est sur le territoire français. Quant aux naturalisés, tel Khamzat Azimov, né en Tchétchénie en 1997 et naturalisé français, si tant est que leur pays d’origine accepte de les récupérer, on imagine quel sort leur sera réservé sur place… Certains pourront s’en réjouir, mais les associations auto-proclamées des droits de l’homme dont c’est le gagne-pain feront pleurer dans les chaumières françaises sur le sort qui leur sera réservé. Et puis, l’actuel président tchétchène ne s’est pas gêné de dénoncer la responsabilité de notre belle démocratie (que le Monde entier est censé nous envier) dans la dérive djihadiste d’Azimov ; je le cite : « Il est important de noter que l’entière responsabilité de l’orientation criminelle de Khamzat Azimov revient aux autorités françaises ; il est né en Tchétchénie, mais il a grandi dans la société française, où ont été forgées sa personnalité et ses opinions »… Incontestablement, il a raison. Ça fait mal à entendre, certes, même si les coups de couteau d’Azimov ont fait plus de mal encore à ses victimes (1 mort et 4 blessés)…

Alors, il n’y a rien à faire ? On laisse l’islam continuer de progresser en France et les Fous d’Allah frapper où ils veulent, quand ils veulent ?

Bien sûr que non, mais plutôt que des imprécations, ne pourrait-on pas plutôt chercher des solutions efficaces parce que surtout envisageables ? Par exemple, inscrire l’interdiction du « djihad » dans la loi française et l’assortir d’une déchéance automatique de la nationalité française ? Ainsi, tous ceux partis faire la guerre en son nom hors de nos frontières ne pourraient plus revenir… Ce serait déjà autant de personnes dangereuses tenues à l’écart ! Quant aux « terroristes potentiels » qui ne sont pas encore passés à l’acte, ce sont pour la grande majorité d’entre eux d’anciens délinquants de droit commun. C’est donc à ce stade-là qu’il convient d’abord d’intervenir : repérer autant parmi la population carcérale que parmi les aumôniers musulmans ceux qui les radicalisent… Et puis surtout, principalement et impérativement, pour tarir la source d’approvisionnement en terroristes futurs, fermer les vannes de l’immigration incontrôlée… Tant que cela ne sera pas le cas, on ne pourra que compter nos chômeurs et pleurer nos morts. Soit continuer la politique de l’autruche comme depuis des décennies. Le pire serait de découvrir que nos concitoyens s’y sont définitivement résolus.

Directeur du site EuroLibertés. Ancien auditeur de l’Institut des Hautes Études de Défense Nationale, chroniqueur politique, éditeur (éditions Dualpha, Déterna et L’Æncre) et auteur de plus d’une centaine de livres. Sociétaire de l’émission « Bistrot Liberté » sur TVLibertés. Il écrit également des billets pour le quotidien Présent et co-anime chaque jeudi l’émission « Synthèse » avec Roland Hélie sur Radio Libertés. Ses chroniques politiques sont publiées chaque année en recueil sous le titre : « Chroniques barbares ». Dernier livre paru Une démocratie hors de prix, préface d’Aristide Leucate.

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lundi, 21 mai 2018

Réinfo, le magazine du Parti de la France de cette semaine

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Lyon : Yvan Benedetti convoqué au Tribunal le lundi 4 juin

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22:52 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

22 MAI 1988, GIORGIO ALMIRANTE, FONDATEUR DU MSI, S'EN ALLAIT

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Souvenez vous !

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La veille, décès de Pino Romualdi cliquez là

Lu dans le Cahier d'Histoire du nationalisme n°11 consacré au MSI :

22 mai 1988. Rome. Giorgio Almirante meurt à 10h20. Il a 74 ans. Avec Ro­mualdi, il avait été l’édificateur du MSI, jusqu’au point d’identifier sa pro­pre vie avec celle du parti et d’identifier le parti avec sa personne et son leadership. Deux fois secrétaire national (1947 – 1950 et 1969 – 1987), il avait porté, grâce à son charisme et à la cohé­rence de ses idées, le peuple du MSI à l’acceptation des règles démocrati­ques en faisant conquérir au MSI, dans les années 70 et 80, les plus grands succès électoraux de son histoire cinquantenaire et en imposant pour ce faire à la classe dirigeante issue de l’antifascisme, l’acceptation d’une communauté humaine qui, sans lui et son action, ne se serait pas retrou­vée unie pour affronter les grandes difficultés politiques et civiles, impo­sées par le fait d’être héritiers de la double défaite, de la Seconde Guerre Mondiale et de la guerre civile. Jour­naliste, il avait dirigé le quotidien du MSI Secolo d’Italia et, aupara­vant, le premier hebdomadaire du MSI, Lotta Politica (Lutte Politique).

Il laisse une histoire du MSI écrite avec Francesco Palamenghi Crispi, deux volumes de critique à la démocratie parlementaire (Processo alla Repub­blica [Procès à la République] et Processo al Parlamento [Procès au Parle­ment]), la célèbre Autobiografia di un fucilatore (Autobiographie d’un fu­silleur - 11 fois réédité) et les essais Robert Brasillach, Josè Antonio primo de Rivera et Carlo Borsani.

Dans 200 villes italiennes, des rues, places, boulevards, parcs publics, jar­dins, ronds-points et constructions urbaines, jusqu’à un pont, sont po­tent aujourd'hui le nom de Giorgio Almirante.

Le premier à rendre hommage à Almirante, quelques minutes après sa mort, est le président de la République, Francesco Cossiga.

16:51 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

IL Y A 30 ANS, LA VEILLE DU DÉCÉS DE GIORGIO ALMIRANTE, DISPARAISSAIT PINO ROMUALDI

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Giorgio Almirante cliquez ici

Lu dans le n°11 des Cahiers d'Histoire du nationalisme consacré au MSI :

21 mai 1988. Rome. Mort de Pino Romualdi à 4h30. Il a 75 ans. Il avait été le principal artisan de la naissance du Mouvement Social Italien.

Il avait traité, avec le premier Gouvernement antifasciste, l’amnistie pour les prisonniers fascistes, en jouant un rôle important au cours du référen­dum sur la forme institutionnelle du nouvel État italien. Il avait occupé à plusieurs reprises les fonctions de président du MSI-DN, mais également de vice-secrétaire national et de président du Comité central. Dans le monde de la droite italienne, il était le phare de la fidélité aux contenus plus qu’à la forme du Fascisme. Droite oui, nostalgies non. Une leçon adressée surtout aux jeunes générations.

Brillant journaliste, il avait dirigé les quotidiens Gazzetta di Parma (Ga­zette de Parme) et Il Popolo Italiano (Le Peuple Italien), l’hebdomadaire Il Popolo di Romagna (Le Peuple de Romagne) et le mensuel L’Italiano, l’une des plus importantes revues du MSI. Il laisse, entres autres, un livre fon­damental d’analyse historique du Fascisme et de mémoires personnelles intitulé Fascismo republicano (Fascisme républicain).

Au cours de la RSI, il avait été vice-secrétaire du Parti Fasciste Républi­cain. Pour cette raison, durant l’après-guerre, il avait vécu plusieurs mois en cavale.

16:35 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

JEUDI 24 MAI, VINCENT VAUCLIN (LA DISSIDENCE FRANÇAISE) INVITÉ DE L'ÉMISSION SYNTHÈSE SUR RADIO LIBERTÉS

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ECOUTEZ RADIO LIBERTÉS CLIQUEZ ICI

LES PRÉCÉDENTES ÉMISSIONS

SYNTHÈSE CLIQUEZ LÀ

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DOMINIQUE VENNER, 21 MAI 2013

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Le 21 mai 2013 cliquez là

Quelques jours plus tard cliquez ici

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Roland Hélie invité à Barcelone au colloque sur le thème "Catalogne, terre espagnole !"

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Roland Hélie et Gabriele Adinolfi samedi à Barcelone

Samedi 19 mai s'est tenu à Barcelone un colloque sur le thème "Catalogne, terre espagnole" cliquez ici. Compte tenu des récents évènements qui ont secoué la péninsule ibérique, cette réunion tombait, c'est le moins que l'on puisse dire, au coeur de l'actualité. D'où une participation importante comme les organisateurs pouvaient l'espérer.

La dynamique Association pour la mémoire de Juan Ignacio (ACIMJI), fondée il y a quelques années par les camarades de Juan Ignacio Gonzalez, dirigeant du Frente de la Juventud assassiné fin juin 1980 à Madrid et devenu depuis un héros du combat nationaliste outre Pyrénées, était à l'origine de cette initiative. Cette association est, entre autres, animée par Juan Antonio Lopez Larrea, auteur d'un remarquable ouvrage, Sin Remordimiento (Sans remord, Editions Fides, Tarragona, 2017), dans lequel est racontée cette période tragique et méconnue de l'après-franquisme.

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Juan Antonio Lopez Larrea, l'un des organisateurs du colloque

Comme nous l'avons démontré dans le n°47 de notre revue Synthèse nationale (automne 2017), la crise que vient de traverser la Catalogne a redonné au nationalisme espagnol une vitalité qui avait tendance, il faut bien le reconnaitre, à s'essouffler ces dernières années. La Phalange, sous toutes ses formes, redevient donc une force vivante dans le pays.

Tout au long de la journée, interrompue par un sympathique banquet au Cercle militaire de Barcelone, différentes personnalités espagnoles, dont certaines issues du Front de la Jeunesse des années 70 et 80, traitèrent avec brio et enthousiasme le thème central du colloque.

L'après-midi, plusieurs intervenants européens étaient aussi invités par Juan Antonio et ses camarades a prendre la parole. Ce fut d'abord le Grec Konstantinos Bovitsos, représentant de l'Aube dorée au Parlement européen, puis Gabriele Adinolfi, Président de l'Institut romain Polaris, que nous ne présentons plus aux lecteurs de ce site, et, avant le Père Marius Visovan qui témoigna sur le mouvement légionnaire roumain, Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale et des Cahiers d'Histoire du nationalisme, fit un exposé d'1 heure 30  sur l'histoire de la Droite nationale et celle du courant nationaliste révolutionnaire en France.

S'il est vrai que les nationalistes français se référent souvent a des figures ibériques glorieuses telles que José Antonio Primo de Rivera, Ramiro Ledesma Ramos cliquez là ou Onesimo Redondo, grâce au travail effectué par le Cercle Franco-hispanique depuis près de 40 ans, les Espagnols savent aussi honorer les références françaises. Derrière la tribune, parmi les six grands portraits affichés, on retrouvait ceux de François Duprat, Dominique Venner, Pierre Drieu la Rochelle et Robert Brasillach.

Au-delà de la partie "historique" de son intervention, Roland Hélie profita de sa présence à Barcelone pour mettre en garde nos amis catalans contre le "retour au pays" du prédateur Manuel Valls qui affiche, après avoir lamentablement été rejeté par les Français, ses prétentions de faire désormais carrière en Catalogne. Roland Hélie rappela la perversité de ce triste personnage qui se spécialisa, alors qu'il était ministre de l'Intérieur puis Premier ministre, dans la répression contre les patriotes. Le message semble être bien passé...

Ce colloque fut aussi l'occasion de constater avec plaisir la belle production éditoriale espagnole. Plusieurs éditeurs présents proposaient en effet aux participants de nombreux ouvrages de qualités sur le nationalisme espagnol et européen. Ce qui correspond au regain d'intérêt des Espagnols pour l'idéal qui nous anime.

Cette réunion a permis à Synthèse nationale et à son directeur de renforcer les liens d'amitiés qui soudent les nationalistes d'Europe dans leur combat commun contre le mondialisme... Profitons de cet article pour remercier Juan Domingo et les responsables de l'ACIMJI pour leur accueil chaleureux et fraternel.

S.N.

Un compte-rendu filmé de cette belle journée sera bientôt en ligne sur ce site.

Consultez le site non conformiste El Cadenazo cliquez là

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Inimaginable il y a encore quelques mois, la Phalange recrute à nouveau comme ici sur un marché de la banlieue de Barcelone dimanche matin...

dimanche, 20 mai 2018

DÈS MAINTENANT, UNE DATE À RETENIR : CELLE DE LA 12e JOURNÉE DE SYNTHÈSE NATIONALE

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21:43 Publié dans 12 - La 12e Journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Au-delà des midinettes en pâmoison

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Georges Feltin-Tracol

Hier, samedi 19 mai 2018, le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande du Nord a célébré les noces du prince Henry Charles Albert David, fils cadet du prince de Galles Charles, et de l’actrice Rachel Meghan Markle. Ces prénoms ne sont pas anodins. Ils rappellent un tropisme davidique sous-jacent puisque, selon certains cénacles occultistes, les souverains d’Angleterre seraient les héritiers des rois d’Israël de l’Ancien Testament.

Par-delà l’aspect sentimental qui fait tressaillir les midinettes lectrices de Point de Vue – Images du Monde, ce mariage n’est nullement anecdotique, surtout quand il concerne la monarchie britannique. Celle-ci n’hésite jamais à passer des compromis avec les oligarchies cosmopolites afin de conserver ses acquis matériels et moraux.

En avril dernier, malgré l’opposition véhémente du travailliste républicain Jeremy Corbyn, les 53 chefs d’État et de gouvernement décidaient par consensus de désigner le prince de Galles comme prochain Chef du Commonwealth. Vestige anachronique de l’Empire colonial britannique, le Commonwealthdilue lentement les identités autochtones brittoniques dans un mondialisme anglo-saxon. C’est dans cette perspective que la cérémonie de demain satisfera une nouvelle fois la « super-classe » planétaire.

En accueillant une mulâtre, les Windsor montrent aux bien-pensants qu’ils entérinent l’actuelle submersion migratoire des Îles Britanniques et encouragent l’avènement dans les prochaines décennies d’une Babel métissée. Dès à présent pourchassées par les juges, les idées euro-identitaires passeront bientôt pour des actes de « terrorisme intérieur »; leurs promoteurs sont déjà en détention ou expulsés.

D’origine étatsunienne, Rachel Meghan Markle renforce de facto les liens transatlantiques entre Londres et Washington, surtout si la parenthèse Donald Trump se referme rapidement pour cause de démission ou de destitution. De trois ans plus âgée que son époux, Meghan Markle, divorcée, ravit les franges les plus rances du féminisme. Celles-ci se scandalisent quand un homme fréquente une femme bien plus jeune que lui. Elles applaudissent en revanche le phénomène contraire médiatisé par les « cougars » du show biz et de Hollywood.

La dynastie anglaise a l’habitude de se plier aux injonctions conformistes. En attendant que le palais de Buckingham soit le théâtre d’un mariage de même sexe ou d’une GPA, la City, ce repaire de la haute-canaille financière internationale, demeure plus que jamais le plus solide pilier sur lequel repose une monarchie usurpatrice, otage consentant du parlementarisme, de la ploutocratie et du règne absolu des partis politiques.

Dans cette famille dont le cœur penche à gauche et qui s’adonne aux attitudes fantasques les plus mièvres, le membre le plus digne reste encore, pour paraphraser Georges Dumézil quand il parlait des Orléans, la reine Élisabeth II d’Angleterre.

Bonjour chez vous !

• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°79, diffusée sur Radio-Libertés, le 18 mai 2018.

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21:42 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Journal du chaos

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19:24 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |