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mercredi, 04 avril 2018

JEUDI 5 AVRIL, L'ESSAYISTE FABRICE GRIMAL INVITÉ DE L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR RADIO LIBERTÉS

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Ecoutez Radio Libertés cliquez ici

Les précédentes émissions cliquez là

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mardi, 03 avril 2018

Entretien entre Jean-Marie Le Pen et RéinformationTV

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Le Parti de la France s'implante dans les Côtes d'Armor

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16:56 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Minute change sa présentation

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3,50 €, chez votre marchand de journaux

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Samedi 7 avril : Ve colloque de l'Institut Iliade à Paris

 

Pour en savoir plus sur le colloque annuel : cliquez ici

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09:56 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 14 avril : Terre & peuple en Bretagne

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lundi, 02 avril 2018

Bordeaux, mardi 3 avril : contre la répression judiciaire, tous devant l'Ecole Nationale de Magistrature !

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Communiqué de Riposte laïque et de Résistance républicaine :

Alors que de plus de plus d'internautes, de patriotes, d'hommes politiques, d'écrivains, de cinéastes, se retrouvent devant les tribunaux, et parfois menacés de prison, ce gouvernement vient d'annoncer, par la voix du Premier ministre Edouard Philippe, la mise en place d'une nouvelle loi, encore plus répressive que la précédente, qui faisait pourtant partie des plus sévères du monde.

Le prétexte annoncé est de lutter contre le racisme. Celui du Coran, de Merah, des imams officiant dans des mosquées sous haute surveillance ( ou pas ) ? Vous n'y êtes pas. Il n'en est même pas question. Il s'agit de respecter à la lettre l'esprit du politiquement correct, des associations dites antiracistes et de ce régime. Quiconque osera s'attaquer à l'invasion migratoire sera accusé de racisme. Quiconque osera protester contre l'islamisation de notre pays, et dira la vérité sur la réalité de l'islam, se verra accusé d'inciter à la hain.

L'objectif de ce gouvernement est clair : faire pression sur les hébergeurs pour qu'ils éliminent d'eux-mêmes tous les textes qui seront signalés par de véritables cafards du net, recrutés par la Dilcrah, et payés avec l'argent de nos impôts. Les juges, dont certains se sont illustrés dans le scandale "Murs des cons" auront toute latitude de faire supprimer un article dans les 48 heures, voire de fermer un site.

Cerise sur le gâteau, 400 personnes vont être recrutées pour aller dans les écoles (qui n'ont sans doute pas d'autres priorités) et laver le cerveau de nos enfants, pour leur apprendre ce qu'est la bonne presse, et les éloigner de la réinfosphère.

C'est donc à une véritable déclaration de guerre contre la liberté d'expression et contre l'information alternative permise par Internet que nous sommes confrontés. Nous voilà plus près des modèles totalitaires que de la tradition française !

Nous appelons tous ceux qui, dans ce pays, sont attachés aux libertés publiques, qui faisaient hier que la France était enviée dans le monde entier, à se mobiliser pour mettre en échec ce mauvais coup.

Nous organiserons, pour lancer ce mouvement de protestation, un rassemblement symbolique, le mardi 3 avril, devant l'Ecole Nationale de Magistrature de Bordeaux, à partir de 18 heures. Une dizaine d'intervenants, dont des avocats, militants associatifs, politiques, intellectuels et animateurs de site, prendront la parole.

Nous appelons les habitants de Bordeaux et de la région à venir nombreux, et encourageons, partout où cela est possible, les amoureux de la parole libre à multiplier ce genre d'initiative.

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Scrignac. La tombe de l’abbé Perrot profanée avec des slogans antifas

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Source Breizh-info cliquez ici

Croix celtique brisée, pierre tombale dégradée, tags « FTP » et  « Fascistes dehors »,la tombe de l’abbé Perrot à Scrignac, a été profanée. Les marches de La Chapelle ont aussi été taguées : « Pas de repos pour les merdes nazies ! ». 

Alors que ce lundi 2 avril se tenait à Scrignac la traditionnelle commémoration en hommage à l’Abbé Yann Vari Perrot cliquez  ici – grand défenseur de la Bretagne au 20ème siècle – à laquelle participent notamment des militants nationalistes bretons, ces derniers ont eu la désagréable surprise de découvrir que la tombe de l’Abbé Perrot avait été profanée, avec des tags revendiquant clairement l’action perpétrée par l’extrême gauche et les antifas qui ne respectent pas même la mémoire d’un homme décédé.

Croix celtique brisée, pierre tombale dégradée, tags « FTP » et  « Fascistes dehors », le tableau n’est pas joli joli. Les gendarmes étaient présents ce lundi matin, sans que l’on sache si des relevés d’empreinte ont été effectués pour tenter de retrouver les auteurs de cette profanation.

« Toucher à nos morts, c’est le summum de la saloperie. Ces gens là n’ont pas de face et se sentent d’agir en toute impunité», nous confie un militant particulièrement indigné par cet acte odieux.

Dès ce lundi, les militants se relayaient pour nettoyer et effacer cet affront, cette atteinte à la mémoire d’un homme sans qui, sans doute, il ne leur serait même pas possible aujourd’hui d’écrire ces insanités en langue bretonne.

Les auteurs de cette profanation seront-ils retrouvés, poursuivis et condamnés ? L’extrême gauche, en Bretagne notamment mais pas que, semble bénéficier d’une certaine impunité, tout du moins d’une tolérance de la part des autorités et de la magistrature – les récents évènements de Nantes (occupation illégale, violences sur des étudiants opposés aux grèves, aide à l’immigration clandestine...) ou de Montpellier (blocage, violences...) l’ayant encore récemment démontré.

Deux plaintes (dont une au nom de la paroisse de St Herbot, dépendant de l’évêché de Quimper) vont être déposées dans la semaine.

15:31 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les Brigandes chantent pour Léana morte assassinée le 14 juillet 2016 à Nice

L'Eurovision consacre une chanson à un migrant né sur un bateau, mais personne n'a consacré de chanson aux enfants comme Léana (deux ans), morts écrasés lors de l'attentat du 14 juillet 2016. Les Brigandes s'en sont donc occupées.

Lers CD des Brigandes cliquez ici

Les Brigandes répondent aux calomnies de M6 :

14:52 Publié dans CD | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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Lettres de sang du Donbass

Donbass-187x300.jpgGeorges Feltin-Tracol

La guerre au Donbass dans l’Est de l’Ukraine ne fait plus les gros titres de l’information hexagonale. Les médiats officiels préfèrent se focaliser sur le sort de la Ghouta et l’avenir de ces malheureux rebelles islamistes déchiquetés par les redoutables bombes russo-syriennes. Faisant fi de toute complexité inhérente au contexte, les journalistes enrégimentés gardent leurs œillères manichéennes. Le conflit dans le Donbass ne correspond pas à leur vision binaire « Gentils contre Méchants ».

Ces professionnels le comprendraient s’ils prenaient la peine de lire le nouvel ouvrage de Zakhar Prilepine, préfacé par Monique Slodzian et postfacé par Daria Sinichkina, Ceux du Donbass. Chroniques d’une guerre en cours (Éditions des Syrtes, 2018, 409 p., 22 €). Vétéran des guerres de Tchétchénie dans les forces spéciales, Prilepine est devenu l’« enfant terrible » des Lettres russes. Cet ancien adhérent du Parti national-bolchevique de l’écrivain Édouard Limonov vit à Donetsk et combat aux côtés des « séparatistes ».

Son livre rassemble des témoignages d’habitants pro-russes de la région parmi lesquels le célèbre Motorola et l’actuel président monarchiste de la République populaire de Donetsk, Alexandre Zakhartchenko. On saisit mieux maintenant le caractère syncrétique des sécessionnistes qui amalgament passé soviétique et héritage tsariste, nostalgie de l’URSS et désir de rejoindre un grand-espace eurasiste, défense des acquis sociaux et préservation des traditions populaires.

Certes, si au fil des pages, on rencontre des personnages attachants et sincères comme la poétesse Ania ou le Géorgien Teïmouraz, les chroniques de Prilepine demeurent subjectives et engagées. Ayant grandi dans la patrie des soviets et connu jeune adulte la déflagration de l’Union Soviétique, l’auteur n’est pas loin de penser que les affrontements sur les lieux mêmes de la Grande Guerre patriotique de 1941 – 1945 répètent la lutte tragique entre le monde russe représenté par les républiques de la Novorossia, et un Occident brutal et revanchard incarné pour la circonstance par les nationalistes ukrainiens.

On ne peut que regretter le sang versé dans cette terrible guerre fratricide qui a pourtant donné une grande œuvre à la littérature contemporaine russe.

Bonjour chez vous !

• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°72, diffusée sur Radio-Libertés, le 30 mars 2018.

10:44 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 01 avril 2018

Un nouveau site pour la ré-information

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Toutes ressemblances avec un titre d'hebdomadaire ayant existé en d'autres temps est sans doute le fruit du hasard. Jugez donc par vous mêmes, cliquez ici

 

17:21 Publié dans Web | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 31 mars 2018

La 3e partie de l'entretien entre Jean-Marie Le Pen et TV Libertés

Emission n°1 cliquez ici

Emission n°2 cliquez là

18:27 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un point de vue iconoclaste sur la Syrie...

Source cliquez ici

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C’est 41 % d’électeurs français que le CRIF a insulté !

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Entretien avec Philippe Randa

Propos recueillis par Guirec Sèvres, publiés sur le site Synthèse nationale

France info vient de confirmer (samedi 31 mars) ce que vous aviez le premier déclaré à l’antenne de Radio Libertés, dans l’émission Synthèse que vous co-animez avec Roland Hélie cliquez ici et qui avait surpris : le meurtre odieux de Mireille Knoll n’avait aucun caractère antisémite.

J’ignore si j’ai été le premier, sans doute pas, car je n’ai sûrement pas été le seul à vérifier, dans tous les témoignages recueillis après la découverte de ce crime, les informations publiées désormais par France Info : rien ne peut laisser supposer que ses bourreaux aient agis par haine de la communauté juive ; l’un d’eux la connaissait depuis longtemps, lui rendaient des services, buvait un verre avec elle, du moins le jour de son assassinat et surtout, d’après le propre fils de Mireille Knoll, sa mère « le considérait comme un fils »… On peut donc supposer qu’il connaissait parfaitement son train de vie des plus modeste (« 800 euros d’APL par mois ») ; cela relativise à l’évidence la légende imbécile que tous les Juifs sont richissimes. L’enquête établira pourquoi Yacine M. et son complice s’en sont pris à elle ce jour-là ; en attendant, on peut seulement supposer que l’emprise de la drogue et la crasseuse débilité des deux bourreaux sont des raisons bien plus probables.

Néanmoins, le CRIF a aussitôt organisé une Marche blanche en sa mémoire et a interdit La France insoumise et le Front national de s’y associer ; Jean-Luc Mélenchon et Marine Le Pen ont passé outre, mais n’ont pu se maintenir dans le cortège…

À la scandaleuse récupération communautaire du CRIF s’est donc ajouté une évidente discrimination politique, d’autant plus odieuse qu’interdire à deux députés de la République française qui furent l’un et l’autre candidat à l’élection présidentielle et réunirent les suffrages de 41 % des électeurs français (21,30 % pour Marine Le Pen et 19,58 % pour Jean-Luc Mélenchon) est aussi faire insulte à leurs électeurs. En empêchant ainsi des représentants du Front national et de la France insoumise de s’associer à la douleur de la famille Knoll, c’est clairement sous-entendre qu’ils auraient une quelconque responsabilité dans ce meurtre, et qui plus avec leurs récupération communautaire, un meurtre qui aurait été à connotation religieuse. C’est donc 41 % d’électeurs français qui en sont, de fait, également accusés ; 41 % de Français insultés par le CRIF. On sait la France championne toute catégorie dans la promulgation de lois, mais il n’en existerait donc aucune qui puisse s’appliquer en cette circonstance ? Vraiment dommage ! 

Cette récupération communautaire, comme vous dîtes, n’a-t-elle pas permis également aux médias de « faire oublier » d’autres crimes qui venaient de se produire dans l’Aude et ceux-ci, personne ne contestera qu’ils étaient réellement à motivation religieuse, commis par un « Fou d’Allah » revendiqué…

On n’ose imaginer, tout de même, que les responsables du CRIF soient assez névrosés pour ne pas avoir supporté qu’une autre communauté que la communauté juive dont ils s’autoproclament représentants, puisse inspirer la pitié de nos compatriotes et qu’ils aient procédé à cette captation de l’horreur pour récupérer la compassion de ceux-ci à leurs seuls intérêts… Il est toujours insupportable d’assister ainsi de la part d’un groupuscule à la puissance sans commune mesure avec sa représentativité, à monopoliser la douleur… On pourrait d’ailleurs y voir une des principales raisons d’une résurgence de l’antisémitisme, bien plus évidente que le fumeux fantasme de la richesse des Juifs…

17:40 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La République en marche !... arrière

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Le billet de Patrick Parment

Créer un parti politique de toute pièce, surtout quand on est devenu en l’espace d’une seule élection, le premier parti de France, pose plus de problèmes qu’il n’en résout. Venus d’horizons très différents, la République en marche (LREM) tient tout à la fois du melting pot politique et de l’auberge espagnole. Le patron furtif qu’est Christophe Castaner règne sur un mouvement dont il ne maîtrise pas l’encadrement pour la bonne raison qu’il n’est pas encadré. Ce qui revient à dire qu’il est difficile d’établir un semblant d’organigramme et que faute de connaître les cadres départementaux vraiment opérants, Castaner règne sur un monde d’incertitude.

En veut-on quelques exemples ? En Loire-Atlantique on a assisté à quatre changement de référents depuis l’élection présidentielle. On a constaté la démission de référents dans le Tarn, les Pays de Loire, la Sarthe et dans l’Yonnne où la députée Michèle Crouzet (ex-UDI) est en froid depuis des mois avec le référent départemental Patrice-José Tampied-Azurza. Dans le Maine-et-Loire, l’investiture de l’ex LR Emmanuel Camus pour les élections sénatoriales et le choix comme référent par la direction parisienne (contre les deux tiers des adhérents) de Benjamin Kirschner, transfuge des jeunes de l’UDI et proche du député LREM Matthieu Orphelin, illustrent le malaise des militants.

A Nice, Khaled Ben Abderrahmane, ex-PS, porte-parole d’En Marche! dans les Alpes-Maritimes, a signalé une subordination dela section locale à Christian Estrosi. Même doléances pour David Vidal-Ponsard, animateur du comité Pau-Béarn, qui, en claquant la porte avec 17 autres militants et en rejoignant Les Patriotes, a protesté contre la tutelle du MoDem dans son secteur.

Comment interpréter, par ailleurs, la présence de François Blouvac aux côtés de Christophe Castaner ? Spécialiste du socialisme municipal, ancien collaborateur de Bertrand Delanoë à Paris et de Jean-Marc Ayrault à Nantes, la présence de Blouvac ne peut s’expliquer que dans la perspective des tractations avec les élus socialistes pour les prochaines élections municipales. Notons au passage que Christophe Castaner espère atterrir à Marseille à la faveur de la condamnation à trois ans d’inéligibilité de Dominique Tian, premier adjoint de Jean-Claude Gaudin, donné jusque-là comme potentiel successeur.

Faute de pouvoir compter sur ses propres troupes, Christophe Castaner ne cesse de répéter qu’il faut travailler avec les président des régions de droite en vue des prochaines échéances. Et concernant les prochaines élections européennes, il espère constituer des listes élargies de Cohn-Bendit à Alain Juppé. Autrement dit, tout le spectre centriste puisque se sont déjà ralliés outre le Modem, la grande majorité des centristes, version UDI, et les dissidents des Républicains emmenés par Franck Riester.

Face à l’opposition de Gérard Larcher et des francs-maçons de la Fraternelle parlementaire quant à la révision constitutionnelle via le Congrès, Emmanuel Macron envisage sérieusement d’avoir recours au référendum. Cette solution serait une manière de conforter sa posture gaullienne et de contourner les oppositions. D’autant que le Président a une autre idée derrière la tête. La révision adoptée, il s’agirait de l’appliquer immédiatement à l’Assemblée avec des législatives, désormais partiellement à la proportionnelle, et pour un effectif moins nombreux de députés, ce qui passerait par une dissolution. Politiquement, succéderait à l’ancienne majorité absolue LREM une coalition reposant sur différents groupes à l’Assemblée. En 2022, toujours selon ces scénario, Macron délesté de législatives déjà passées demanderait aux Français un nouveau bail de cinq ans à l’Élysée.

Et voici comment court-circuiter la tambouille des partis politique. Le rêve de tout énarque ! Certes, ce n’est qu’un schéma théorique et l’on sait trop combien les prédictions en la matière sont hasardeuses. Les indicateurs sociaux ne sont pas au beau fixe, ça râle du haut en bas de l’échelle sociale, mais l’opposition de « droite » n’a pas dit son dernier mot. Si, à gauche, Mélenchon ne dépasse pas le stade de la figuration, que l’avenir du Front national est plus qu’incertain - mais pas mort -, en raison de la dévaluation de Marine Le Pen, Laurent Wauquiez a une carte à jouer mais son fusil n’est qu’à un coup. La politique en France, c’est quand même plus marrant que le Loto.

16:36 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Journal du chaos

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L’Union européenne contre les enfants Hallyday

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Franck Buleux

Dans le litige familial qui oppose les enfants légitimes de Johnny Hallyday, Laura Smet et David Hallyday, et sa dernière épouse, veuve de la star française et représentante légale de leurs deux enfants adoptés, Laëtitia Smet, il a été évoqué de nombreux aspects, sauf un, l’essentiel : le droit international privé et son application.

Le droit international privé est la branche du droit qui représente les normes applicables lorsqu’il existe un élément d’extranéité au sein d’un règlement, voire un conflit, juridique : par exemple, je suis français, mais je détiens un bien immobilier au Maroc ou je suis russe, mais je me suis marié en Belgique (avec un contrat de mariage issu du droit belge) et mon lieu de résidence est en France… La mondialisation des échanges et une certaine « mode » ont développé la pratique de ce droit. Et comme toute pratique qui se développe, les litiges se sont accrus, le plus souvent dans la détermination du droit applicable, avant même d’apporter une solution.

En matière de succession, puisque c’est ce qui nous interpelle ici, le droit français a longtemps dérogé au principe de l’universalité du patrimoine. En effet, il est traditionnel de définir que le patrimoine d’une personne, vivante ou non, est constitué de l’ensemble de ses actifs et de ses passifs (dettes) : la différence constituant, en cas de solde positif, l’actif net.

Il apparaissait (vous noterez que j’écris au passé…) que l’ensemble des biens successoraux pouvait donc ne pas être soumis à une loi unique : les biens mobiliers étaient soumis au lieu de résidence et les biens immobiliers en fonction du droit du sol, c’est-à-dire du lieu de la situation de l’immeuble. Sans texte législatif, la France s’appuyait sur la jurisprudence de la plus haute juridiction judiciaire privée française, la Cour de cassation, qui opérait effectivement une distinction, parmi les biens successoraux, entre les meubles (soumis à la loi du dernier domicile du défunt) et les immeubles (régis par la loi de leur lieu de situation). Ainsi, le droit international privé français n’assurait l’unité successorale du patrimoine du défunt que pour la partie mobilière de la succession (meubles meublants, objets de valeur, mais aussi patrimoine financier constitué par exemple de comptes titres bancaires).

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13:21 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 30 mars 2018

LE VIVRE ENSEMBLE SE FRACASSE SUR LE MUR DU RÉEL.

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Arnaud Malnuit

On pourrait revenir sur les propos abjects de cet ancien candidat de la France insoumise, sur l'indécence de ces politiques pompiers pyromanes qui en rajoutent dans l'émotion suite au sacrifice et au martyre du colonel Beltrame, sur le pathétique de certains de ces politiques riant pendant l'hommage à cet officier, mais non d'autres le feront mieux que moi.

Non, il s'agit de dire que ce qui s'est passé à Trèbes est juste la énième preuve que le vivre-ensemble est une blague, une foutaise, un mensonge criminel... Le terroriste qui a frappé dans l'Aude n'était pas un Syrien, mais un bi-national (franco-marocain), déjà condamné pour des faits de délinquance « classiques », issu d'une cité qui a montré son visage à des journalistes qui se sont pris le réel en pleine face. Le visage d'une société vivant sur noter sol, de noter argent via les aides sociales, mais qui nous hait, nous méprise et qui attend la moindre occasion de nous faire la guerre, même larvée. Pour preuve la compagne du terroriste, Française convertie à l'islam, qui considère que son compagnon n'a pas assez tué... 

Non, l'assimilation et l'intégration ne fonctionnent pas, il est temps de l'acter et de considérer qu'en plus de l'arrêt total de toute immigration il faudra mettre en place la remigration, d'abord pour la sécurité de noter pays et de nos compatriotes car oui toute société muticulturelle est par essence une société multiconflictuelle. 

Non on ne mène pas la guerre contre l'ennemi islamiste uniquement en Syrie, en Irak ou au Mali, mais d'abord chez nous conter cet cinquième colonne en nommant clairement les choses, en montrant que les aides sociales financent cette société islamique en France, en établissant les liens entre délinquance et terrorisme, et en prouvant que ces gens ne pourront jamais devenir de bons Français.

Tel est le rôle de la droite nationale : dire clairement, justement les choses sans caricature ni outrance incapacitante, marteler ses solutions, ne pas lâcher un pouce de terrain...

L'avenir nous appartient !

Source Parti de la France cliquez là

17:13 Publié dans Michel Malnuit | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L'émission "Synthèse" de jeudi avec Jean-Pierre Cousteau

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jeudi, 29 mars 2018

Pourquoi Charles Maurras sera honoré le 21 avril à Avignon ?

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« Tenons serré le lien qui nous tient réunis avec les Pères de notre esprit et de notre goût »                

Charles MAURRAS

Préface d’Anthinéa (1942)

Pour que la flamme ne s’éteigne pas…

Le nom de Charles Maurras a été effacé du livre des commémorations nationales. Françoise Nyssen, ministre de la Culture s'explique : il s'agit de « lever l'ambiguïté » sur « des malentendus qui sont de nature à diviser la société française ». Soixante ans après sa mort, le Martégal a toujours contre lui les détenteurs du pouvoir politique, ceux qui l’ont chassé de l’Académie française, ceux qui l’ont condamné à la réclusion perpétuelle et à la dégradation nationale pour intelligence avec l’ennemi. La « gueuse » se défend bien et il n’y a rien d’étonnant à cela. Que peut-on attendre de cette République et de ses serviteurs ? Que peut-on attendre de l’anti France ? Maurras aurait répondu : rien.

Honorer Maurras, c’est avoir pour la Patrie une piété filiale, c’est se savoir comme le dirait Jean Madiran « débiteur insolvable », c’est avoir à l’esprit que le patrimoine reçu est là pour le transmettre et non uniquement pour en jouir de manière égoïste. C’est parce que cette impiété à l’égard de la Patrie n’a jamais été aussi grande que nous honorons ceux qui ont fait la France : nos rois certes, mais aussi l’immense cortège de tous nos saints, de nos héros et de nos soldats, célèbres ou silencieux, qui ont foulé le sol de notre beau pays et contribué à transmettre et à enrichir le patrimoine de notre civilisation.

Honorer Maurras, c’est saluer son œuvre immense, littéraire et politique. Certains – tièdes – ne reconnaissent que le génie littéraire du maître de Martigues ; ceux-là le travestissent, l’accusant d’employer au service de la politique son génie littéraire. Ceux-là n’ont pas compris Maurras et ce qui l’animait : cet amour du Pays Réel, cette ferme volonté de montrer aux français la voie royale du salut national, cet amour de l’Ordre des choses. Honorer Maurras, c’est rendre hommage à son art qui s’est déployé dans une démarche politique et qui fut au service de « la France, la France seule ».

Honorer Maurras, c’est redécouvrir sa doctrine, c'est avoir à l'esprit que « la République en France est le règne de l’étranger ». Dès ses débuts avec Mistral au sein du Félibrige, il s’est efforcé de combattre avec la plus grande fermeté le broyage des identités provinciales, le monolithisme centralisateur de cette république « Une et Indivisible ». Nous devons saluer le grand mérite qu’il a eu d’avoir su conjuguer nationalisme et Contre-Révolution. Maurras est un modèle, il nous invite à mener un combat énergique contre ce qu’il appelait les « Quatre États confédérés », contre ces États dans l’État, contre les lobbies de tout genre. Notre combat doit être politique, culturel et spirituel, de sorte que Washington, Bruxelles et Tel-Aviv ne soient plus maîtres de la moindre parcelle de France. « Règne de l’étranger », la République se montre incapable de faire vivre la nation, la nécessité monarchique s’impose donc, pour rendre à la France un régime qui soit français.

Le 21 avril prochain, à l’occasion du cent cinquantenaire de sa naissance, rendons hommage à Charles Maurras et souvenons-nous des paroles de sainte Thérèse de Lisieux, patronne secondaire de la France que Maurras affectionnait tant : « Il faut toujours prier comme si l'action était inutile et agir comme si la prière était insuffisante. »

« Ma vie s'achève. J'ai beaucoup travaillé pour la France, pour ce beau pays de qui j'ai tout reçu. J'aurais aimé vivre encore quelques temps pour continuer à le servir, pour le voir sortir de ses ruines et rentrer dans son ordre monarchique et catholique, retrouver ses traditions. Toute ma vie j'ai lutté et je lutterais encore pour ce trésor de beauté, de sagesse et de sainteté. Je sais que je n'aurai pas travaillé en vain. Si j'ai pu rendre à quelques Français la fierté de leur tradition, je n'ai pas perdu mon temps. Mon œuvre plaidera devant Dieu qui me jugera. J'ai eu moi aussi, ma mission et j'ai vécu pour elle. » Charles Maurras au Chanoine Cormier le 8 novembre 1852.

N'en doutons pas, « Tout désespoir en politique est une sottise absolue ».

Vive Maurras, Vive le roi, Vive la France !

Toutes les infos cliquez ici

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Aucun compromis avec ces gens là !

18194673_10207212815078183_6216523629335034996_n.jpgJean-François Touzé

Membre du Bureau

du Parti de la France

Ils ont, par idéologie pour les uns, par cupidité pour certains, par facilité pour les autres, organisé l'arrivée massive de millions d'immigrés sur notre sol national.

Ils ont encouragé ou entretenu le sentiment pervers d' une culpabilité coloniale de la France.

Ils ont détruit, les uns après les autres, les murs porteurs et les colonnes de force de notre cohésion civique que sont la famille, l'école, l'armée et la mémoire nationale.

Ils ont, d'années en années, systématiquement affaibli nos outils de défense et de sécurité.

Ils ont abaissé jusque à les rendre inopérants les réflexes moraux et patriotiques sans lesquels les nations se décomposent.

Ils ont cassé l'Etat, érodé son autorité, renoncé à son action de volonté.

Ils ont abdiqué toute ambition française de peser sur les affaires du monde.

Ils se sont vautrés dans leurs jeux politiciens, claniques et partisans quand il leur aurait appartenu de se situer au dessus des calculs subalternes et des ambitions personnelles qui ne sont que passions enfantines.

Ils ont abandonné des pans entiers de notre territoire aux bandes organisées, à la racaille et à la propagande des imams.

Ils sont responsables des centaines de morts massacrés au nom d'Allah sur notre terre chrétienne de France, comme ils le seront de ceux qui, immanquablement, tomberont dans les mois et les années à venir, sous les coups des fanatiques islamiques.

Mis, ces quarante dernières années, à la tête de l'Etat pour le servir, défendre et promouvoir la Nation, faire respecter la République, ils ont failli.

Ils sont responsables et coupables.

Giscard, Mitterrand, Chirac, Sarkozy, Hollande, Macron... Ça suffit !

Notre combat politique est global, total et illimité jusqu'à ce que soit abattu ce Système mortifère.

Aucune alliance, aucune union, aucun "consensus républicain", aucun compromis avec ces gens là !

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mercredi, 28 mars 2018

Les Tartarins de Londres

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Georges Feltin-Tracol

Plus fort que les inspecteurs Barnaby et Morse, Simon Templar, John Steed, Emma Peel, Tara King, Sherlock Holmes et James Bond réunis, Scotland Yard a résolu en moins d’une semaine l’empoisonnement de Sergueï Skripal et de sa fille Youlia dans une rue de Salisbury. Cet officier du GRU, les services de renseignement militaire russe, avait livré de nombreuses informations aux Britanniques avant de s’installer en Occident.

Theresa May, la rombière du 10, Downing Street, cheftaine inaudible d’un ramassis de ministricules incompétents, a finalement accusé Moscou d’être à l’origine de cette action clandestine dont le mode opératoire rappellerait l’empoisonnement au polonium 210, une substance radio-active, d’Alexandre Litvinenko en 2006. Londres riposte par le gel de toutes relations bilatérales avec les autorités russes, l’expulsion de 23 de leurs diplomates et l’absence de représentant officiel à la Coupe du Monde de balle au pied de juin prochain. Nul doute que ces sanctions terrifient Vladimir Poutine…

Berlin, Washington et Paris ont bien sûr apporté un soutien inconditionnel au régime britanniquetandis que le laquais norvégien qui s’occupe de l’OTAN a exigé de la Fédération russe une coopération pleine et entière. Ces gens-là sont d’une impudence incroyable ! En effet, comment en une dizaine de jours, les enquêteurs britanniques peuvent-ils accuser les services secrets moscovites sans même suivre d’autres pistes (mafias d’Europe de l’Est, officines pro-Wall Street bellicistes anti-russes qui souhaitent une nouvelle guerre froide, etc.) ? Pourquoi un tel empressement si soudain et fort suspect ? Seul le chef de l’opposition travailliste, Jeremy Corbyn, a exprimé un scepticisme de bon aloi mal compris par quelques-uns de ses propres députés inféodés aux agences occidentales.

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20:34 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La désinformation par le détail : l’arbre qui cache la forêt

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Bernard Plouvier

La sous-culture mondialiste, répandue par les seuls media de masse qui comptent (télévision, radio et blogs du net) est une tyrannie de l’éphémère, envisagé comme l’essence même de la vie contemporaine. Le culte de l’actualité combat victorieusement la réflexion sur les causes et les conséquences des événements. Toute crise génère une formidable émotion, entretenue par les media, puis le soufflé retombe et l’on passe à autre chose, en alternant savamment courts instants de tristesse et longs moments de gaité.

Rien ne doit perturber l’optimisme des consommateurs. Rien ne doit troubler la quête effrénée des petits instants de bonheur, qui est la traduction comportementale de cette vie consacrée à l’évanescent et que l’on peut définir comme « un nihilisme de la réplétion » (une expression empruntée à Cioran). Contrairement à ce que certains philosophes ont écrit, il ne s’agit pas du règne des abstractions remplaçant les despotismes trop visibles du monde politique dont le XXe siècle a montré tant d’exemples. C’est le triomphe du matérialisme, du sentimentalisme et de l’irréflexion, le règne du néant spirituel et de la sous-intellectualisation.

Les hasards de l’actualité d’un début de printemps glacial illustrent remarquablement cette dérive. Un énième attentat de mahométan dérangé du cerveau a été l’occasion pour un officier supérieur de gendarmerie de se substituer à une faible femme, otage du fou d’Allah. 

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20:29 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Quelques conseils pertinents de Jean-Yves Le Gallou aux journalistes...

20:09 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

JEUDI 29 MARS, JEAN-PIERRE COUSTEAU INVITÉ DE "SYNTHÈSE" SUR RADIO LIBERTÉS

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LES PRÉCÉDENTES ÉMISSIONS CLIQUEZ LÀ

20:00 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Sous les pavés, Paris-Plages

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Patrick Buisson

« Les hommes font l’histoire mais ils ne savent pas l’histoire qu’ils font. » Jamais la maxime de Raymond Aron ne se sera mieux appliquée qu’aux enragés de Mai 68. Croyant combattre l’ordre bourgeois, ils lui ont offert une seconde jeunesse en opérant la convergence entre une révolte individualiste et les besoins économiques et sociaux du néocapitalisme dont la stratégie de développement postulait une révolution culturelle, la liquidation du vieux monde et de cette France antiéconomique, dont le fond anthropologique fait d’entraide et de gratuité restait réfractaire à la modernité. Impulsivité et compulsivité, indifférenciation et illimitation : l’imaginaire libertaire de Mai 68 entra en résonance avec l’hybris du “capitalisme impatient”. Croyant ébranler les colonnes du temple consumériste, ils ont gravé sur les murs de Nanterre et de la Sorbonne les nouvelles tables de la loi de l’ordre marchand : “Prenez vos désirs pour des réalités”, “Jouir sans entraves”, “Tout tout de suite”, “Il est interdit d’interdire”, “Vivre sans temps mort”. Sous les pavés, on sait maintenant qu’il n’y avait pas la plage mais Paris Plages.

Il est vrai qu’avant de faire irruption sur la scène politico-sociale, la jeunesse avait été érigée en marché et le jeunisme en idéologie organique de la société de consommation naissante. Au début des années soixante, le transistor fut le médium d’un vaste processus d’unification des pratiques socioculturelles, en même temps que le vecteur d’une domestication du peuple adolescent. Saluons ce double coup de génie qui consista à convertir la rage improductive de l’adolescent œdipien en une attitude directement exploitable par le marché, tout en la retournant contre les figures d’autorité et les institutions qui faisaient obstacle à l’avènement du tout-marchandise.

Des millions de jeunes vécurent leur soumission au nouvel ordre marchand non comme une aliénation mais comme une modalité socialement valorisante d’une révolte sans concession. Ils s’étaient rêvés en James Dean, ils se retrouvèrent en idiots utiles de la révolution consumériste.

Source : Valeurs Actuelles 22/03/2018

17:32 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

« FICHES « S » ? LA METHODE ROOSEVELT !

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Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat 

Longue est la liste des crimes commis par les adeptes de Dae’ch dans notre pays : deux gendarmettes abattues en 2012 dans le Var, un chef d’entreprise décapité, la tuerie de « Charlie Hebdo » et de l’hyper cacher de la Porte de Vincennes, deux policiers assassinés devant leur enfant, à leur domicile dans les Yvelines, deux jeunes filles égorgées à la Gare Saint-Charles de Marseille, un policier tué sur les Champs Elysées, sans oublier, bien sûr, les massacres du Bataclan et de Nice, les crimes de Mérah à Toulouse. Et dans l’Aude, la furie islamiste a encore frappé la semaine dernière. Et c’est dans ce contexte que Macron a supprimé l’état d’urgence qui permettait, un peu, de semer la crainte dans les milieux djihadistes en France et facilitait, surtout, la tâche des forces de l’ordre, pour perquisitionner les domiciles des suspects.

On nous dit, à la louche, qu’il y aurait une vingtaine de milliers de suspects fichés « S » qui se baladent dans la nature, plus ou moins surveillés par nos services de sécurité et de renseignement. Sachant qu’il faut, au minimum, une dizaine d’agents pour effectuer la surveillance d’un terroriste potentiel 24 h sur 24, on mesure là, l’impossibilité matérielle qu’il y a à assurer une totale sûreté à nos concitoyens.

Expulser les suspects étrangers, supprimer la double nationalité

D’efficaces mesures pourraient, pourtant, être prises rapidement. D’abord expulser tous les suspects étrangers dans leur pays d’origine, retirer la citoyenneté française à ceux qui ont une double nationalité, - on ne peut être à la fois de Sparte et d’Athènes, de Rome et de Florence !-, refuser le retour des familles de « repentis » des théâtres d’opération de l’Etat islamique, supprimer toutes les aides sociales à ces suspects. Et, bien sûr, n’accorder de visa aux ressortissants des pays touchés par l’islamisme militant, qu’au compte-goutte.

Roosevelt n’avait pas fait dans le détail !

Le 7 décembre 1941, une attaque aéronavale japonaise commandée par l’amiral Tojo, en deux vagues successives d’un total de 400 avions, avaient détruit 188 appareils US, tué 2043 Américains et blessé 1178 autres à Pearl Harbour, dans l’ile d’Oahu, archipel des îles Hawaï. La réaction ne se fit pas attendre. Le 19 février 1942, soit deux mois après, le Président des Etats-Unis Roosevelt, signait l’ordre d’incarcération des quelques 110 000 Japonais et Américano-japonais résidant aux USA. Dans le cadre du War relocation centers, ils étaient internés : hommes, femmes, vieillards et enfants, dans des baraquements dressés en toute hâte dans les Etats de Californie, de Washington et d’Oregon, sur la côte Ouest. Après expulsion des indésirables du territoire français, les autorités françaises devraient interner ou mettre en résidence forcée tous les autres « fichés S ». De Gaulle le fit à l’encontre des patriotes « Algérie française », hélas une référence ! Cela nécessiterait, certes, une logistique importante. Mais l’armée, la gendarmerie et leurs réservistes sont là : camps de toile et Algécos feraient l’affaire. Demandons la recette à l’ancien Shérif Arpaio du comté de Phoenix, en Arizona, où il est candidat républicain aux sénatoriales, il connait son affaire ! Et rien n’empêcherait ceux à qui le goût de la semoule viendrait à manquer d’aller demander l’asile dans un pays du Maghreb ou du golfe par exemple !

Un héros français

Le sacrifice suprême du colonel Arnaud Beltrane qui a offert sa vie pour sauver un otage, est la marque d’un homme d’honneur. Combien de ces étoilés et autres politiciens présents à la cérémonie des Invalides seraient capables d’un tel geste ? Qui d’entre nous ? Soyons honnêtes, fort peu. C’est d’autant plus écœurant que cet hommage rendu à l’héroïque officier, avait comme une odeur de récupération par un pouvoir qui, s’il ose, enfin, désigner l’ennemi, n’a pas, - pas encore ? -, choisi tous les moyens, TOUS les moyens mis à sa disposition pour éradiquer ce mal qu’est l’islamisation rampante de notre patrie avec, surtout, son volet fondamentaliste.

Islamophobie ?

Certains diront que l’on ne peut stigmatiser un segment de la population et, qu’en aucun cas, il ne faut pratiquer l’amalgame. C’est vrai que beaucoup de nos compatriotes musulmans vivent sous le règne de l’omerta, et qu’ils ne sont, ni de près, ni de loin, des adeptes du terrorisme islamiste. Mais force est de constater que les « territoires perdus de la République » et autres « zones de non droit », sont les taches noires de la triste peau de léopard qu’est devenu l’hexagone, et que ce ne sont ni des Lapons, ni des Esquimaux, encore moins des bushmen qui les peuplent. Et c’est là que se pratiquent de juteux trafics divers et variés. Les autorités militaires, en tout cas, en sont bien conscientes, puisqu’elles entrainent leur infanterie dans des « Cenzub », ou Centre de combat en zones urbaines. Et mon petit doigt me dit que des officiers israéliens nourris des expériences au Sud-Liban et dans la bande de Gaza, doivent inspirer nos penseurs militaires ! Car, un jour, à défaut d’un inacceptable consentement d’une partition du pays, il faudra bien reconquérir tous ces quartiers, toutes ces cités sans âme, où le terrorisme islamiste trouve un fertile terreau en dépit des milliards déversés depuis des années dans le cadre de l’inefficace « politique de la ville ». En un mot comme en cent, « il faudra prendre le taureau par les cornes », si je puis dire !

15:38 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

INCROYABLE ! Un stock de numéros du mensuel Pour un Ordre nouveau retrouvé dans un grenier...

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Le 28 juin 1973, suite à l'attaque par plusieurs milliers de gauchistes du meeting contre l'immigration sauvage qu'il avait organisé à la Mutualité (Paris) la semaine précédente, le Mouvement Ordre nouveau est interdit par le pouvoir gaulliste de l'époque.

Ordre nouveau éditait un mensuel de combat, Pour un Ordre nouveau, diffusé à plusieurs milliers d'exemplaires par ses militants. Après la dissolution, les stocks de journaux furent saisis. Quelques exemplaires cependant échapèrent aux rapaces de la police politique.

45 ans après, ces numéros sont ressortis du fond d'un grenier et remis en vente pour les collectionneurs et amateurs.

Nous vous proposons le n°15 (oct 1972) qui est en grande partie consacré à la création du Front national. Vous trouverez dedans un article de Jean-Marie Le Pen.

Le reflêt d'une époque, un document historique à ne pas manquer...

D'autres numéros seront bientôt mis en vente..

Pour se le procurer, cliquez ici

15:37 Publié dans Livres, Pour un Ordre nouveau | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

D'où la nécessité du taon qui pique

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Claude Bourrinet

L'influence et l'action de groupes occultes dans la marche de l'Histoire est une question récurrente, qui surgit régulièrement depuis que l’État est l’État, c'est-à-dire susceptible d'être noyauté, ou « orienté ». Louis XIV avait eu fort à faire avec la Compagnie du Saint Sacrement, et avait réussi à se débarrasser aussi bien des quiétistes à la Fénelon, lesquels avaient tenté une intrusion en douceur dans son entourage immédiat, et des jansénistes, qui devaient remporter une victoire avec la révolution de 89. Nul n'ignore les débats polémiques relatifs au poids des société secrètes, franc-maçons, illuminés principalement, dans le déclenchement de ce bouleversement historique, qui ouvrit un fleuve de sang entre deux époques de notre nation. De son côté, Stendhal, à la suite des « philosophes » des Lumières, qui, eux-mêmes, reprenaient à leur compte la tradition gallicane, dénonçait le « parti » des jésuites, actif durant la Restauration. La virulence actuelle des imputations de cet ordre n'est donc pas une nouveauté, bien que l'emprise médiatique, donc propagandiste, sur la société soit infiniment plus complète que dans l'Europe de jadis, qui laissait le champ libre aux communautés de base, variées autant que la France d'Ancien Régime l'était, avec ses corporations, ses Ordres, ses villages, ses provinces, ses us et ses coutumes, société de jadis où les capacités de résistance à la main-mise de l’État était beaucoup plus vivace que dans notre siècle de diplômes abondants, passeports idoines pour le bourrage de crâne enthousiaste d'une classe moyenne indifférenciée, poreuse à l'endoctrinement et à la propagande.

Cette évocation d'un pouvoir supposé de groupes dans la direction politique de masse demanderait à être mesurée, c'est-à-dire ajustée à la réalité des faits. Il est évidemment très difficile de saisir la portée de l'action organisationnelle et du rayonnement d'un cercle, d'une secte, d'une obédience, pour une raison très simple : c'est que son existence, son succès, sont liés au moment historique qui est le soubassement sociétal et « culturel » des conditions de sa naissance et de son évolution. Il est vain alors de se demander qui est premier, de l’œuf ou de la poule. On ne saurait que constater leur lien nécessaire. Les jésuites, comme l'on sait, ont été créés en réaction à la Réforme, et ont eu pour tâche d'encadrer les classes dirigeantes des États catholiques, avec, du reste, bien des réticences, par l'éducation et la propagande, s'aidant des humanités et du culte des images. Cependant, ils n'auraient pu fleurir dans la bonne société des honnêtes gens si la société occidentale ne s'était « modernisée », c'est-à-dire, d'un côté, individualisée, et d'un autre rationalisée, jusqu'à la notion assumée de Raison d’État. Le « Siècle des moralistes » apprend l'utilitarisme aussi bien que les rudiments d'une méthode scientifique (Descartes était du collège de La Flèche) à laquelle une rhétorique séduisante apportait un ornement, une parure, une perruque. De même les Juifs ont-ils émergé de l'obscurité où la société organique chrétienne les tenait en prenant part, avec enthousiasme, à l'éclosion, puis au triomphe de la modernité. Rationalisme, droits de l'homme, humanitarisme, individualisme, scientisme, internationalisme, sous quelque boutique que ces étendards se déclinassent, libéralisme, socialisme, communisme...., étaient des armes de combat. C'est un fait que personne ne nie, car, au fond, il ne saurait être entaché de vilenie, puisqu'il n'existait que pour la bonne cause, le « Bien » n'ayant été, depuis plus de deux siècles, que dans le camp de ceux qui voulaient faire table rase du passé.

C'est pourquoi, en Européen issu des Hellènes, on se gardera bien de tomber dans des excès, qui sont toujours des erreurs intellectuelles, aussi honteuses que des fautes morales (la morale authentique, selon Pascal, consistant principalement à bien penser). Il est, en effet, aussi stupide de nier l'existence de groupes unis dans la défense d'intérêts idéologiques et matériels, cherchant à les défendre en orientant l’État dans leur sens, que de surévaluer leur action, dans une vision complotiste, qui transforme l'Histoire en roman policier.

Si la présence de groupes de pression, au sommet du pouvoir, et dans ses rouages matériels ou immatériels, dans les appareils régaliens ou dans les courroies de transmission idéologiques, ne saurait faire aucun doute, les membres de ces lobbies n'en faisant pas mystère, du reste, et même ne se cachant plus guère, il n'en demeure pas moins qu'il serait aventureux d'en faire les coupables d'une situation que les plus commentateurs de la chose publique les plus lucides et les plus honnêtes peuvent juger intolérable, à tous points de vues. Au fond, que ce qu'on a coutume d'appeler, sans trop bien regarder à la pertinence d'une telle désignation, « peuple », dont il faudrait circonscrire le concept à travers les âges et dans un monde contemporain qui se caractérise par une atomisation intégrale du corps social, accepte la « force des choses », c'est qu'il y donne son assentiment, plutôt d'ailleurs de gré que de force. L' « américanisation », sous toutes les formes qu'un tel processus civilisationnel s'effectue, y compris dans des pays hostiles à l'Amérique, est un fait d'Histoire irrépressible, auquel même les réfractaires à ses dégâts induits sont soumis, nolens volens, car elle constitue l'horizon conceptuel, au-delà duquel seuls certains visionnaires peuvent aller, et encore... Il n'est donc pas étonnant que des groupements machiavéliques, plus ou moins occultes, saisissent pour ainsi dire l'aubaine historiale qu'une telle réalité entraîne.

Si l'on désespère de ce que le monde est devenu, peut-être alors serait-il judicieux d'éviter de viser des boucs émissaires, dont l'éjection hors de la communauté ne changerait strictement rien à la nature de ce que nous sommes. C'est nous-mêmes qu'il faudrait transformer, nos sensations, nos imaginations, nos rêves, nos désirs, surtout s'ils sont médiocres et avilissants.

Et, au fond un tel programme ne jure pas avec ce que les Européens, héritiers de Socrate, de Platon, des stoïciens, des cyniques, de Jésus, des rationalistes, ont toujours été : des êtres sensibles au devoir de critique, et même d'auto-critique.

07:51 Publié dans Claude Bourrinet | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |