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samedi, 16 septembre 2017

En concert le 1er octobre lors de la Journée de Synthèse nationale à Rungis :

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Comment différentier le mahométan djihadiste en puissance du calme musulman ?

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Bernard Plouvier

C’est effectivement non seulement une excellente question, mais également un problème social dont la solution idoine devrait être trouvée d’urgence.

Depuis qu’en 2014, le nouveau calife autoproclamé Abou Bakr II – dont on ne sait trop s’il est encore vivant ou s’il a été expédié en un monde réputé meilleur – a exigé de ses ouailles la pratique intensive du Djihâd, autorisant même femmes et enfants à y participer activement, il n’y a plus de jour sans qu’un attentat soit perpétré quelque part sur la planète par un fou d’Allah.

On sait depuis trois années que les terroristes islamiques ne sont plus seulement des jeunes mâles de 18-25 ans, sans avenir professionnel, généralement ex-dealers, ex-casseurs, ex-vandales ou incendiaires. On trouve désormais des djihadistes de tous âges (aussi bien des gamins de période pré-pubertaire que de gras quadragénaires) et sexes (notamment de jeunes femmes célibataires).

L’on sait bien que le gratin de la spiritualité des sunnites, les soufis, ont proféré cette énormité : pour tout adorateur d’Allah le djihâd (individuel) est une affaire spirituelle. Ce serait l’épuration constante de l’âme du mahométan, par un combat quotidien contre ses mauvais penchants. C’est fort joli et bien apte à faire pleurer les Margots d’Occident, mais c’est pure hérésie !

Dans la sourate 58 du coran, on relève cette forte phrase : « Allah a dit : je donnerai la victoire à mes envoyés ». Dans les sourates 2, 8, 9, 22, 47, 58, 59 et 60, le Djihâd, soit la guerre pour propager l’islam, est présenté comme « bon et juste ». Pour déculpabiliser les guerriers qui seraient pris de scrupules d’ordre humaniste, le prophète a dit : « Ce n’est pas vous qui tuez les idolâtres, c’est Allah » (sourate 8).

Le fidèle (muslim ; en français : le musulman) qui en est physiquement capable doit, en effet, obéir à un ordre aussi formel que simple : « Combats jusqu’à ce qu’il ne subsiste plus d’idolâtre et qu’Allah soit partout adoré » (sourate 8). « Faites la guerre à ceux qui ne croient pas en Allah… tuez les idolâtres partout où vous les trouverez » (sourate 9) ; l’idolâtre est, bien sûr, le fidèle d’une autre religion ou l’athée.

Les guerriers de l’islam qui meurent au combat ou des suites de leurs blessures sont assurés d’être reçus par Allah en son paradis, quel qu’ait été leur comportement sur terre (sourate 47). L’homme idéal selon l’islam est, quoi que puissent en dire les imams, ulémas et autres recteurs de mosquées chargés d’anesthésier les populations occidentales, le guerrier d’Allah et non le digne père de famille œuvrant pour nourrir sa famille et améliorer la société. Un hadîth le proclame : « Le sang du héros de l’islam est plus près d’Allah que l’encre des sages ou les prières des fidèles » (l’auteur reconnaît bien volontiers qu’il a déjà publié ces trois derniers paragraphes dans ces colonnes… il peut être bon de répéter certaines évidences).

Alors, la réponse à l’angoissante question posée en titre est simple : hormis le cas du mahométan hors d’âge et impotent, ainsi que celui de la bonne mère de famille uniquement préoccupée de ses problèmes d’intendance, tout individu qui veut intensément vivre sa foi coranique est un candidat possible au Djihâd. La question tourne, comme très souvent en sociologie des religions, à l’aporie pure et simple : nul ne peut fournir de réponse autre que statistique, ce qui n’est nullement approprié en matière de prévention.

En principe, seuls les mahométans couards et modérément croyants ne sont pas à redouter… avec, toutefois, un bémol. L’histoire des religions démontre qu’un paillard, un être veule ou corrompu, peuvent subitement se convertir à la pratique intégriste de leur religion. Cela se traduit généralement par une austérité, des gémissements et des macérations, mais rien n’empêche le repentant de s’investir dans le « combat pour la vraie foi » !

La débauche d’attentats en Occident (Russie bien évidemment incluse) ces trois dernières années, sans oublier ceux des USA, d’Afrique noire, d’Asie et de Mélanésie, doit faire réfléchir sur l’unique mesure à prendre : l’interdiction pure et simple de la religion mahométane en Europe, où elle n’a absolument rien à faire. Ceci pose le problème connexe du retour des mahométans dans le Dâr al-Islam, soit en terres de Charî’a.

On rappelle à ceux qui aurait oublié ce menu détail : pour un mahométan, le monde se divise en seulement deux parties, le Dâr al-Islam et le Dâr al-Harb… le domaine de la guerre (sainte).    

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Le Bistro Libertés reçoit Emmanuelle Ménard

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Lyon : le Bastion social s'organise

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Steven Bissuel, porte-parole du BS sera à Rungis le 1er octobre :

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vendredi, 15 septembre 2017

À L’UNIVERSITÉ, LES TOILETTES NEUTRES, C’EST LEUR GENRE

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Aristide Leucate

Que « celles et ceux » qui, « en même temps », douteraient de la « détermination » des pouvoirs publics à « lutter » contre toutes les « discriminations » pour « réduire les inégalités » se rassurent. La grande révolution sociétale se poursuit, à bas bruit, au sein des entreprises privées comme dans les administrations publiques.

En cette rentrée, l’université François-Rabelais de Tours a pris « deux engagements » pour les étudiants « transgenres » : elle officialise le prénom d’usage et instaure des toilettes neutres. L’article que consacre La Nouvelle République (11 septembre) à cette incongruité générique vaut son pesant d’hormones : « Tout a commencé par cet étudiant de 1re année de psychologie venu frapper à la porte de la chargée de mission diversité, égalité et handicap, Concetta Pennuto, à la rentrée 2016. Inscrit sous un prénom féminin, il se fait appeler Charly et vient de s’engager dans un parcours de réassignation de genre (sic !). « Je leur ai raconté mon histoire, mon parcours, et j’ai évoqué les problèmes que les étudiants trans rencontrent à la fac », explique ce jeune engagé. […] « La fac est une période charnière », souligne Charly. « On commence notre vie d’adulte, c’est important de se sentir respecté dans son identité. » Engagé dans un traitement hormonal, attaché à son apparence désormais masculine, il doit régulièrement se justifier du décalage entre son apparence et son prénom officiel – en attendant de pouvoir le modifier à l’état civil. […] L’université de Tours décide de s’emparer du sujet en s’appuyant sur la loi de 2016 contre les discriminations de genre. « Même si cela ne concernait qu’un seul étudiant, c’est important qu’il puisse poursuivre ses études dans les meilleures conditions, c’est une question d’égalité des chances », affirme la chargée de mission à l’égalité, fermement soutenue par le président de l’université Philippe Vendrix. « À Tours, une dizaine d’étudiants seraient concernés. »

À part ça, la théorie du genre « n’existe pas », ainsi que se plaisait à le clamer l’ancien ministre de l’Éradication nationale, Najat Vallaud-Belkacem. Mais si cette fumeuse théorie n’existe que dans les cervelles carbonisées au LSD des addictologues de la « French Theory » foucaldienne américaine comme dans celles de leurs épigones européens, la tyrannie du genre, quant à elle, étend tranquillement mais inexorablement sa toile. Cette importation outre-Atlantique – au Canada, des toilettes universelles et des salles de bains « neutres » ont été inaugurées dans les universités – est en train de faire tâche d’huile en Europe – la Suède, aux avant-postes du progressisme le plus échevelé, s’y est mise en 2015 – et gagne petit à petit les universités françaises – Angers, Grenoble, Montpellier, Rennes –, ces autres maisons de tolérance où, en sus du voile mahométan, l’on dispense, le plus sérieusement du monde, d’improbables « cours » de sociologie du genre – dont Marie-Hélène/Sam Bourcier de l’université Lille 3 est la très burlesque et médiatique représentante.

Quand des curiosités médicales ou d’infantiles caprices narcissiques deviennent la norme, qui plus est par la voie légale, l’on se demande, à la manière de Guy Debord, si, dans le monde renversé, le vrai n’est pas un moment du faux. Le père du situationnisme – la plus corrosive critique du capitalisme de la séduction – considérait que « le spectacle qui inverse le réel est effectivement produit. En même temps la réalité vécue est matériellement envahie par la contemplation du spectacle, et reprend en elle-même l’ordre spectaculaire en lui donnant une adhésion positive. » CQFD.

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MARC ROUSSET, ÉCONOMISTE, SERA PRÉSENT LE DIMANCHE 1er OCTOBRE À LA JOURNÉE DE SYNTHÈSE NATIONALE À RUNGIS

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POINT DE VUE MAL VU

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IMPERTINENCE

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jeudi, 14 septembre 2017

SERGE AYOUB INTERVIENDRA LORS DE LA XIe JOURNÉE DE SYNTHÈSE NATIONALE LE DIMANCHE 1er OCTOBRE À RUNGIS

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mercredi, 13 septembre 2017

Hugues Bouchu, responsable des Amis francilien de Synthèse nationale, interviendra lors de la XIe Journée de Synthèse nationale à Rungis dimanche 1er octobre

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JEUDI 14 SEPTEMBRE : LE ROMANCIER TOMÀS TURNER INVITÉ DE L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR RADIO LIBERTÉS

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LES PRÉCÉDENTES

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Sur ADG de Thierry Bouclier, édité dans la collection Qui suis-je ? chez Pardès

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Camille Galic Polémia cliquez ici

Disparu à l’âge de 56 ans, A.D.G. révolutionna le polar mais il fut aussi l’inventeur d’une forme de journalisme mêlant critique acérée de la scène politique, fiabilité de l’information et recherche d’un style extrêmement travaillé sous une apparence rigolarde et populiste, comme on ne disait pas encore.

C’est donc un homme et un auteur assez inclassable que Thierry Bouclier présente dans l’excellente collection Qui suis-je ?

Fin des années 1990 de l’autre siècle. De l’atelier jouxtant mon bureau fusent des éclats de rire. Inutile d’en demander la cause : Jacques Dupuy Le Doublet, notre maquettiste, est en train de formater la chronique d’Alain Fournier, alias Alain Camille, alias Alain Dreux-Gallou, alias A.D.G.– dont Thierry Bouclier, avocat de son état, vient de publier la chaleureuse et dense biographie (1).

Petit-fils d’un ouvrier tourangeau militant communiste, frère d’un prêtre très conciliaire mais aussi ancien enfant de troupe, expérience dont il était fier, A.D.G., qui tâta du socialisme avant de rejoindre la droite radicale par la voie de l’anarchisme et la découverte de Céline, est arrivé à Rivarol en avril 1996, en provenance du Libre Journal de Serge de Beketch (ancien enfant de troupe lui aussi) où il signait des chroniques papoues assez hilarantes. Dans l’hebdomadaire « de l’Opposition nationale et européenne », il se fait plus sérieux, commentant au fil des semaines un remaniement ministériel, une bourde présidentielle comme il n’en manqua pas sous Chirac ou encore un congrès des Verts, mais toujours avec l’inimitable « patte » qui, à Minute dont il fut un collaborateur vedette de 1973 à 1985 ainsi qu’à la Série noire, dont il était le seul auteur « réac» face à une horde de gauchistes, avait fait son succès. Ses romans policiers sont drolatiques, parfois patoisants, grouillant d’une faune étrange et goûteux à souhait : Le Grand Môme, Pour venger Pépère, Cradoque’s Band, La Nuit des grands chiens malades dont Georges Lautner tira le film Quelques messieurs trop tranquilles sur un scénario de Michel Audiard (excusez du peu), etc. Avec son double inversé Jean-Pierre Manchette, comme lui pilier de la Série noire et « lecteur boulimique » mais très proche pour sa part de l’Internationale situationniste, A.D.G. a donné, ainsi que l’écrivit Dominique Venner cité par Bouclier, « un terrible coup de vieux à tout un pan du polar à la française… Impossible après eux d’écrire comme avant ».

Entre Minute, où ses billets intitulés « Minute babillons » sont très prisés, et la « Noire », le Tourangeau (qui défendait férocement les rillettes de sa ville contre celles du Mans et se faisait le champion des vins de Loire) est devenu une célébrité, invité partout et notamment – la Pensée unique ne régissait pas encore totalement l’audiovisuel – à plusieurs émissions de Bernard Pivot ou de Michel Polac, sur le plateau duquel il se castagne avec le dessinateur Siné. La belle vie pour celui qui se définit comme « un peu anar mais royaliste légitimiste, d’extrême droite ».

Toutefois, une actualité plus sombre le rattrape. Deux reportages au Liban, aux côtés des Kataïeb chrétiens, le marquent profondément avant qu’il ne s’envole en 1982 pour la Nouvelle-Calédonie où s’affrontent Caldoches et Canaques et y fonde, en même temps qu’une nouvelle famille – et, ami de Jean Raspail, qu’un vice-consulat de Patagonie ! – l’hebdomadaire loyaliste Combat calédonien. Le journal portait bien son nom : très offensif et… très favorable au Front national dont, responsable local, il accueillera le président Le Pen, Jean-Marie de son prénom, prénom qu’Alain donnera à son fils né sur « le Caillou ».

Comme le dit son biographe, « jeux de mots laids et calembours bons » abondent dans les papiers de sa période rivarolienne comme naguère dans ses polars, mais aussi gallicismes cocasses et mots-valises ; certains étaient géniaux et d’ailleurs pillés sans vergogne ensuite par des confrères, tel ce « bobardement » figurant dans le titre de son article de mars 2003 sur l’invasion de l’Irak par les Etats-Unis, agression précédée depuis des mois par la scandaleuse et surtout mensongère campagne d’intoxication menée de Washington sur la prétendue détention par Saddam Hussein d’un redoutable arsenal d’armes « de destruction massive » – mensonge reconnu sans la moindre gêne, dès le mois de mai suivant, dans le magazine Vanity Fair par Paul Wolfowitz, numéro deux du ministère américain de la Défense.

Alain, qui, ayant des amis dans les deux camps, avait été durement affecté à partir de décembre 1998 par la crise du Front national, était déjà très affaibli par sa lutte contre le Crabe. Les séances de chimio le terrassaient. Souvent, allant dans son bureau, je le trouvais endormi, la tête sur le clavier de son ordinateur d’où, n’ayant pas été enregistrées à temps, les dernières lignes de son article avaient sauté. L’actualité ne le passionnait plus comme autrefois mais cette année 2003 lui fut pourtant propice avec la réédition de La Nuit myope, très joli livre aux antipodes (c’est le cas de le dire) de son ambitieuse fresque néo-calédonienne Le Grand Sud, dont il affirmait lui-même qu’elle « puait des pieds » pour souligner son ancrage dans la réalité parfois sordide des bagnards, et la publication de Kangouroad Movie (2) – encore un terme valise. Ce roman d’aventures très enlevé se déroulant dans l’Outback australien, très loin de son petit Liré, fut presque unanimement salué par la presse, dont Libération, une revanche sur trois lustres d’ostracisme. Dans son malheur, il pouvait surtout compter sur l’assistance et le dévouement de Martine Joulié, une jeune femme exceptionnelle par l’intelligence, la culture et la générosité, qu’il devait épouser le 5 juillet 2004 lors d’une cérémonie célébrée à Saint-Eugène, ce qui lui plut à double titre : d’une part, c’est là que Jules Verne s’était marié en 1857 et, d’autre part, l’abbé François Potez qui officiait était un prêtre selon son cœur, puisque ancien officier de marine.

Nous étions voisins de palier. Quatre mois plus tard, en revenant du journal au soir du 1er novembre, je tombai sur l’équipe du Samu qui, appelée par Martine, tentait de sauver Alain de l’étouffement. Sans succès. Il avait 56 ans.

A.D.G., dont la verve – qui est souvent la politesse des pessimistes et des natures inquiètes, et Alain n’était un joyeux drille qu’en apparence – nous avait tant fait rire, nous faisait maintenant pleurer. Merci à Thierry Bouclier d’avoir ressuscité l’œuvre et la personnalité d’un auteur profondément original, incarnation d’une littérature et d’un journalisme si authentiquement français. Et même identitaires.

Notes :

  1. Thierry Bouclier, A.D.G., coll. Qui suis-je ?, éditions Pardès, 11/08/2017,128 pages.
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23:51 Publié dans Livres, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Adrien Abauzit auteur de, "La France divisée contre elle-même", invité par Daniel Conversano

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Adrien Abauzit était mercredi soir invité de Martin Peltier à son émission sur Radio Courtoisie. Rediffusion jeudi matin à partir de 7 h cliquez ici

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Gérard Brazon, Riposte laïque, interviendra dimanche 1er octobre à la XIe Journée de Synthèse nationale

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LE SCANDALE DE LA NON-APPLICATION DE LA LOI FIORASO

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Marc Rousset

Le président Albert Salon, de l’association Avenir de la langue française, nous met en garde, dans sa Revuen° 62 de septembre 2017, sur la confusion entre anglicisation et internationalisation. Il s’élève avec force contre la couardise et le scandale de la non-application des dispositions législatives de la loi Fioraso par le gouvernement français.

Les tribunaux administratifs, en France, se contorsionnent pour ne pas condamner les universités, dont l’École normale supérieure, et les grandes écoles qui offrent des formations diplômantes exclusivement en anglais. Celui de Paris a refusé de condamner le Comité français d’organisation des Jeux olympiques de 2024, qui avait pourtant choisi le débile slogan publicitaire d’une marque commerciale privée – « made for sharing » – triomphalement projeté sur la tour Eiffel. Le français est pourtant bien la langue officielle fondatrice des Jeux olympiques rénovés par le baron Pierre de Coubertin !

Il se trouve, d’une façon très opportune, que la Cour constitutionnelle italienne vient d’infliger une leçon magistrale à l’Europe, et plus particulièrement à la France de Macron ! Le problème posé était celui du passage de l’Instituto Politecnico di Milano au « tout anglais » à compter du niveau master. Il ne s’agissait en aucune façon de s’opposer à l’enseignement des langues étrangères dans un pays – ce que tout le monde accepte et souhaite. La question était de savoir si on allait autoriser, pour la totalité d’une formation, le remplacement du français par l’anglais en France, de l’italien par l’anglais en Italie, de l’allemand par l’anglais en Allemagne, etc.

En France, le Parlement a dit « non » avec la loi Fioraso ; il a imposé une limite au volume d’enseignement dispensé dans une langue étrangère à 50 % et exigé une maîtrise suffisante du français pour la délivrance d’un diplôme.

Pour la Cour constitutionnelle italienne : « Les buts légitimes de l’internationalisation ne peuvent pas réduire la langue italienne, au sein de l’université italienne, à une position marginale et subordonnée, en faisant disparaître cette fonction de vecteur de l’histoire et de l’identité de la communauté nationale, qui lui est propre, ainsi que son être, en soi, de patrimoine culturel à préserver et à valoriser. »

Malheureusement, en France, la loi Fioraso du 22 juillet 2013 n’est pas appliquée. Le nombre de formations de niveau licence ou master totalement en anglais était de 634 en avril 2013. Il est de 951 en janvier 2017, soit une augmentation, en quatre ans, de +50 % au risque d’une disparition totale des formations supérieures dispensées en français malgré la loi en vigueur dans la République française.
 
Des pays comme la France, l’Allemagne et l’Italie ne peuvent se soumettre. L’important est que la résistance s’organise en France.

Le scandale de l’anglais, seule langue étrangère pouvant être présentée au concours d’entrée de l’ENA – une des dernières inventions de nos lâches élites -, se doit d’être dénoncé et combattu publiquement. Après le Brexit, tous les Français – à l’exception de Macron – se doivent d’œuvrer pour que le français devienne la langue de l’Europe !

Et si ce n’est pas le français, cela ne pourra pas être non plus l’anglais, voire même « l’anglo-américain », langue impérialiste et destructrice de l’Amérique qui conduirait inéluctablement, à terme, à la disparition de toutes les langues nationales de l’Europe. À l’instar du breton en France ou du français en Louisiane.

Il ne restera alors plus, le dos au mur, pour tous les Européens, qu’on le veuille ou non, une seule et unique solution réaliste et n’ayant rien d’utopique : l’espéranto, seule langue neutre et éthique susceptible de préserver à long terme la survie des langues nationales et le plurilinguisme européen !

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mardi, 12 septembre 2017

PHILIPPE RANDA SERA DIMANCHE 1er OCTOBRE À RUNGIS À LA XIe JOURNÉE DE SYNTHÈSE NATIONALE

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18:49 Publié dans 11 - La 11e journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Comme un air de guerre

Werner-198x300.jpgGeorges Feltin-Tracol

Fondées et animées par Slobodan Despot, auteur des brillants romans Le Miel (2014) et Le Rayon bleu (2017), les éditions Xenia ont un auteur fétiche, Éric Werner. Naguère publié par L’Âge d’Homme, ce philosophe suisse poursuit son examen méticuleux du monde hyper-moderne. Son nouvel essai, Un air de guerre (coll. « Franchises », 2016, 93 p., 12 €), s’attarde sur les derniers attentats islamistes survenus en France, en Belgique et ailleurs en Europe.

En fidèle lecteur de Carl Schmitt, Éric Werner désigne sans fausse pudeur l’ennemi. Mais il ne s’en contente pas. Dans sa ligne de mire se trouvent aussi l’État et ses organismes sécuritaires. En effet, les institutions occidentales sont les principaux bénéficiaires des campagnes terroristes. Loin d’être remises en question par les victimes survivantes et leurs proches, elles regagnent à peu de frais une fragile légitimité, ce qui explique en partie l’échec électoral des forces populistes sur le Vieux Continent.

Cette légitimité ténue favorise « l’interpénétration croissante des structures militaires et policières, écrit-il, interpénétration due à plusieurs facteurs, mais en particulier à l’effacement progressif de la distinction intérieur – extérieur (p. 68) ». Désormais, « les forces spéciales ressemblent aux unités antiterroristes de la police (RAID, GIGN). C’est le même concept, mais en plus grand (p. 69) ».

Éric Werner aurait pu aussi se pencher sur la valorisation du terme « sécurité » aux dépens des mots « défense », « police » et « maintien de l’ordre public ». Les militaires intègrent des « forces de sécurité », d’où la propension croissante de certains terroristes à les attaquer au cours de leurs patrouilles. Un air de guerre ne traite pas que de ce sujet. L’ouvrage insiste aussi sur la surveillance généralisée de l’ensemble des habitants par les services de l’État. Au nom d’une soi-disant « guerre contre le terrorisme », des restrictions toujours plus nombreuses (limitation des achats en liquide, fichage des voyageurs, billets de train nominatifs…) s’imposent à une population anesthésiée par un formidable bourrage de crâne médiatique.

Dans cette unanimité pesante et factice, Un air de guerre d’Éric Werner représente vraiment un souffle d’air frais, un vent de liberté venu des Alpes helvétiques.

Bonjour chez vous !

• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n° 43, diffusée sur Radio-Libertés, le 8 septembre 2017.

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Journal du chaos 36

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Le pasteur Blanchard dédicacera ses livres le dimanche 1er octobre à la XIe Journée de Synthèse nationale à Rungis (94)

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09:31 Publié dans 11 - La 11e journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 11 septembre 2017

LOI TRAVAIL : UNE MESURETTE DÉRISOIRE

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Un communiqué du Parti de la France :

A la veille des premières manifestations orchestrées par la gauche et l’extrême gauche contre les ordonnances Macron, le Parti de la France déplore le caractère artificiel à la fois des mesures gouvernementales mais aussi des réactions d’hystérie syndicale qu’elles suscitent.

Une fois de plus, le gouvernement est dans la posture. Il est sans doute légitime de vouloir réformer le code du travail et de le simplifier. Légitime également de souhaiter refonder les conditions du dialogue social. Mais une « loi travail » digne de ce nom, au moment où 10 % de nos compatriotes connaissent les affres du chômage, consisterait avant tout à sortir la France de sa bureaucratie socialiste, à briser les carcans qui étranglent nos entreprises – en particulier les petites et moyennes -, à redonner aux Français le goût et les moyens de la responsabilité, de l’initiative et de l’ambition économique tout en permettant à l’État de développer les stratégies industrielles et sociales nécessaires à la réussite française et à notre cohésion nationale.

Par ailleurs le Parti de la France rappelle la nécessité d'établir une politique de préférence nationale à l'embauche, de patriotisme social et de régulation du commerce international. 

Ni les ordonnances du gouvernement, ni les réactions claniques des syndicats ne sont à la hauteur des enjeux.

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DIMANCHE 1er OCTOBRE : ALAIN ESCADA INTERVIENDRA AU COURS DE LA XIe JOURNÉE DE SYNTHÈSE NATIONALE

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Saint-Martin : La sous-préfète s’est enfuie de l’île, pillage et fusillades sur fond d’effondrement de l’état français

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BREIZATAO – NEVEZINTIOU (10/09/2017) cliquez ici Sur l’île de Saint-Martin, l’État Français s’est effondré en moins de 24 heures après le passage de l’ouragan « Irma ». Largement occultée par les médias étatiques hexagonaux, cette réalité a cependant pu être communiquée au plus grand nombre par les gens présents sur place grâce aux réseaux sociaux. Une anarchie qui tranche avec la mobilisation immédiate du gouvernement américain.

La sous-préfète s’enfuit

Premier élément de cet effondrement, la fuite de la sous-préfète de l’île, Anne Laubiès. Cette dernière a abandonné les habitants à leur sort et avec son départ précipité, c’est l’organisation politico-administrative française qui s’est évaporée instantanément.

Cette fuite n’entraînera, bien sûr, aucune poursuite pénale.

Les nombreux pillards, essentiellement des individus de race africaine, ont rapidement mis à profit cet écroulement du gouvernement pour se livrer à des meurtres et pillages à grande échelle. Les Français de l’île expliquent avoir du organiser, sur conseil d’une gendarmerie totalement dépassée, des milices pour garantir leur sécurité.

Contrairement aux USA qui ont mis en place un vaste plan d’évacuation en Floride, le gouvernement français est pour l’essentiel resté spectateur malgré les informations dont il disposait au sujet de l’arrivée de l’ouragan. Dès le 31 août, les premières informations sur la venue de l’ouragan étaient connues et ce dernier mettra une semaine complète à atteindre l’île de Saint-Martin.

Ce délai n’a pour ainsi dire jamais été mis à profit pour évacuer l’île ou préparer un puissant dispositif sécuritaire.

En Floride, le gouvernement fédéral ainsi que les autorités de cet état ont procédé depuis des jours à l’évacuation préventive des zones potentiellement touchées tandis que tous les services gouvernementaux étaient mobilisés en prévision. Le président Trump détaille depuis des jours les mesures à prendre, donne les adresses des sites internet diffusant les informations indispensables ou supervise la mise en œuvre du dispositif de crise.

En d’autres termes, l’État Français a été mis à genoux par un ouragan ayant frappé l’équivalent d’une petite ville hexagonale comme Alfortville là où les USA assurent, dans l’ordre, la gestion d’une crise impliquant l’équivalent d’un tiers de la population française.

Une priorité pour Macron et l’État Français : sauver les apparences

Face aux images et témoignages communiqués sur les réseaux sociaux, le gouvernement français tente désormais de limiter les retombées politiques. Il s’agit donc d’organiser et de scénariser un déplacement d’Emmanuel Macron sur place. Objectif : faire croire que tout est sous le contrôle de l’état et du président français.

Cet effondrement rapide du gouvernement représente un avertissement pour la société bretonne : en cas de crise et d’émeutes raciales à grande échelle, elle sera livrée à elle-même. Nul ne doit faire confiance à l’état français, sous peine de s’exposer à de cruelles déconvenues.

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dimanche, 10 septembre 2017

10 septembre 1993 : disparition à Strasbourg de Julien Freund

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22:42 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Jean-Claude Rolinat interviendra dimanche 1er octobre lors de la Vie Journée de Synthèse nationale à Rungis

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Le nouveau livre de Jean-Claude Rolinat :

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19:47 Publié dans 11 - La 11e journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 09 septembre 2017

LE CHANTEUR BRETON CHRISTOFF DONNERA UN CONCERT À L'OCCASION DE LA Xie JOURNÉE DE SYNTHÈSE NATIONALE LE DIMANCHE 1er OCTOBRE À RUNGIS

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13:56 Publié dans 11 - La 11e journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Sénatoriales : Thomas Joly dépose la liste du Parti de la France dans l'Oise

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Ce vendredi 8 septembre, Thomas Joly, Secrétaire général du Parti de la France, ancien Conseiller régional de Picardie, a déposé la liste qu'il ménera sous les couleurs du PdF. Ses co-listiers sont Florence Perdu, Cyprien De Vos, Caroline Alamachère, Pierre Verdier et Annabel Ménard.

12:31 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Lorrain de Saint Affrique sur CNEWS ce soir

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12:26 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

LES CONTRATS DE PÉTROLE EN YUAN-OR : LA FIN DU DIEU DOLLAR

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Marc Rousset

Le monopole financier du dollar a commencé le 14 février 1945 sur le croiseur USS Quincylorsque le président Franklin Roosevelt a proposé au roi Ibn Saoud la sécurité politique et militaire avec, en contrepartie, la sécurité énergétique en pétrole pour son pays et la cotation exclusive en dollars. Ainsi naquirent les pétrodollars à l’origine de l’hégémonie financière américaine dans le monde.

Ces accords prévus pour une durée de soixante ans ont été renouvelés en 2005 par le président Bush et reconfirmés tout récemment par Donald Trump avec un gigantesque contrat de vente d’armements pour les États-Unis. Le dollar repose donc, en fait, sur la puissance de l’armée américaine et les ventes d’armes américaines. Mais la Chine, avec l’aide de la Russie, est en train de miner, de mettre fin à la suprématie du dollar.

Dans un article du 1er septembre 2017 de la Nikkei Asian Review, le journaliste Damon Evans nous apprend que la Russie, l’Iran, le Qatar et le Venezuela acceptent désormais de vendre leur pétrole avec des contrats en yuans convertibles en or. Tous ces pays en ont par-dessus la tête de l’impérialisme américain. Il en résulte que la Russie peut maintenant vendre du pétrole à la Chine en yuans et les convertir en or à Hong Kong. La Russie n’est plus obligée d’acheter des actifs chinois pour utiliser ses yuans ou de les vendre sur les marchés pour acheter du dollar. Les producteurs de pétrole préfèrent détenir de l’or en passant par le yuan plutôt que de détenir des bons du Trésor américain dont la valeur peut s’effondrer du jour au lendemain.

La Chine réduit ses achats de pétrole en Arabie saoudite, fidèle pour l’instant en apparence seulement au dollar, tandis que ses importations en provenance de Russie s’envolent et que le yuan est déjà la seconde devise utilisée par l’Angola. Si l’Arabie saoudite cède, ce serait un coup terrible dans l’estomac, proche du KO, pour Washington qui, en représailles, cesserait de lui vendre des armes. Cette dernière reproche aussi à Washington le rapprochement avec l’Iran effectué par Obama et sa non-intervention en Syrie pour renverser Assad avec les rebelles islamistes. Mais les Saoudiens, exclus du gigantesque marché chinois, sont actuellement obligés de vendre leur pétrole un peu partout dans le monde avec des rabais trop importants.
De plus, l’Arabie saoudite est prête à émettre des obligations en yuans et elle vient de créer avec la Chine un fonds d’investissement de vingt milliards de dollars. Il est même question que la Chine prenne une participation de 5 % dans la gigantesque société pétrolière Aramco. L’Arabie saoudite pourrait alors coter son pétrole en yuans et quitter progressivement le dollar.

Et ce qui est vrai pour le pétrole est aussi valable pour le gaz et le cuivre achetés par la Chine, qui développe ses relations tous azimuts avec les pays émergents. De plus, pour le pétrole, la Chine peut compter sur ses grandes sociétés telles que PetroChina et Sinopec, toujours prêtes à se porter en contreparties pour faciliter les contrats en yuans.

Le monde marche donc tout droit et inexorablement non pas vers le retour à l’étalon-or stricto sensu tel qu’il existait en 1914, mais vers le retour – ce qui revient à peu près au même en faisant de l’or le seul étalon universel probablement très fortement réévalué – au Gold Exchange Standard qui a été supprimé arbitrairement par Nixon en 1971. Le monde ne serait plus alors régi par le seul dieu et roi dollar, mais s’appuierait au contraire sur plusieurs devises fortes internationales (yuan, euro, yen, dollar) utilisées comme monnaies de règlement et de réserve qui seraient toutes convertibles en or.

Source cliquez ici

11:17 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 08 septembre 2017

Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

13:29 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Infatigable Henry Coston !

Henry-Coston.jpgLa chronique de

Philippe Randa

Les Journées chouannes des 2 et 3 septembre dernier ont rendu hommage aux soixante ans de Lectures françaises et à son fondateur, Henry Coston (1910-2001). Invité par Françis-Xavier d’Hautefeuille à prendre la parole pour cet hommage, mais n’ayant pu m’y rendre car j’avais promis à Pierre Cassen d’être présent à l’anniversaire de Riposte Laïque qui fêtait ses 10 ans d’existence, voici mon témoignage personnel sur le fondateur de Lectures françaises.

En 1979, Henry Coston, qui préparait un nouveau tome de son Dictionnaire des pseudonymes, envoya à mon père un questionnaire. Il désirait obtenir quelques renseignements et précisions le concernant.

Surchargé de travail, mon père voulait remettre à plus tard sa réponse et c’est moi qui pris l’initiative de remplir le jour même ce questionnaire. Une question concernait ses opinions politiques. Elle était, bien sûr, facultative. Je précisais, en accord avec lui, celles de mon père, notamment qu’il avait été membre, pour les Deux-Sèvres où nous habitions, du comité de soutien à la liste de l’Eurodroite pour les élections européennes de cette année-là.

Par retour du courrier, nous reçûmes le dernier livre d’Henry Coston dédicacé et une longue lettre chaleureuse dans laquelle le fondateur de Lectures françaises ne cachait pas sa surprise de découvrir parmi les auteurs du Fleuve Noir quelqu’un qui partageait une très grande partie de ses convictions. Henry Coston lui signalait d’ailleurs, ce qui ne surprendra pas leurs lecteurs, qu’il correspondait régulièrement avec deux autres auteurs vedettes de cette maison d’éditions : Claude Rank et Jean-Pierre Conty, ce dernier étant même un de ses abonnés.

Lorsqu’en 1996, j’écrivais à mon tour à Henry Coston pour lui demander de relire la notice qui lui était consacrée dans mon Dictionnaire commenté de la Collaboration française, il me promit immédiatement de faire tout ce qui serait en son pouvoir pour faire connaître mon travail. Ce qu’il fit. Amplement. Je lui dois ainsi une grande part du succès que rencontra cet ouvrage. Idem pour le lancement de ma revue Dualpha. La caution d’Henry Coston, pour des milliers de lecteurs, est quelque chose qui compte.

On a déjà écrit beaucoup – et l’on écrira encore énormément – sur l’ancien directeur de La Libre Parole, de Lectures françaises ou de Nous, les Françaises. Que ce soit sur ses qualités incontestables (son œuvre incontournable, son labeur de bénédictin, son extrême gentillesse, etc.), tout autant que sur ses obsessions parfois irritantes. Mais ce qui le définira toujours au plus juste sera son militantisme de chaque instant.

Il est bon de rappeler qu’il lança une pratique essentielle, poursuivie par ceux qui ont succédé aux rênes de Lectures françaises : pas un livre, pas un journal, pas une association, un mouvement ou un parti – peu ou prou comme lui ennemi du régime – dont il ne signalait à ses lecteurs l’existence et l’action, sans oublier d’indiquer l’adresse où l’on pouvait se procurer les uns ou joindre les autres. Cela peut paraître dérisoire à certains, vulgaire à nombre de journalistes qui se font grande idée de leur talent (ils sont souvent les seuls d’ailleurs), mais combien de journaux – surtout les plus modestes – ont-ils vu ainsi, grâce à Henry Coston, leurs lecteurs augmenter, nombre de mouvements nationalistes leurs adhérents décupler, nombre d’éditeurs leurs ouvrages s’épuiser ?

À la fin de sa vie, Henry Coston cherchait obstinément un successeur. Cette question le hantait littéralement. Je lui ai alors fait remarquer qu’il en avait eu bien davantage que tout autre. Lectures françaisesperdurait, alors que nombre de revues mouraient souvent avec leur fondateur, quand elles n’étaient pas rachetées par des gens aux convictions totalement étrangères… La Librairie française avait longtemps été dirigée par le nationaliste Jean-Gilles Malliarakis avant de fermer certes, mais de renaître, dans le même esprit militant, avec L’Æncre ou ensuite avec La Licorne bleue, Primatice, Facta, La (nouvelle) Librairie Française sans parler de la plus ancienne, la Librairie Duquesne.

Oubliait-il aussi Yann Moncomble dont il avait mis le pied à l’étrier et qui publia une bonne dizaine de livres capitaux, dans la droite ligne de ses propres ouvrages ? Et Emmanuel Ratier avec lequel il avait cosigné certains livres et qui a poursuivi son œuvre avec sa lettre Faits & Documents et sa précieuse Encyclopédie politique française ?

Quant à Richard Haddad, à la tête des éditions Godefroy de Bouillon, Roland Hélie à celles des édition Synthèse nationale, moi-même à celles des éditions Dualpha, L’Æncre et Déterna, ne permettons-nous pas à un public intéressé de se procurer les livres de nombre d’auteurs bannis de la grande distribution…

— C’est vrai, il faut continuer, admettait-il.

Si un jour l’un de nous se laissait gagner un instant par la lassitude, puissions-nous tous penser à l’infatigable Henry Coston.

Source EuroLibertés cliquez ici

07:49 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |