lundi, 11 décembre 2017
Alban d'Arguin au Parlement européen à Bruxelles mercredi 6 décembre 2017
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dimanche, 10 décembre 2017
Journal du chaos
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samedi, 09 décembre 2017
Jérusalem, capitale d’Israël : où est le problème ?
Bernard Plouvier
Au Nord de la Judée, sur quelques plateaux rocheux, existait il y a quatre millénaires un bourg fortifié, celui des antiques Jébuséens, dont le grand homme mythique était Melchisédech.
Le fortin du Mont Moriah fut pris d’assaut à la fin du 11e siècle avant J.-C. par les sicaires d’un chef de guerre, unificateur de quelques tribus d’hébreux, le sieur David, tributaire du pharaon de son temps. On imagine les tueries, le pillage et les viols qui ont suivi.
Rien n’a changé en trois millénaires. Les Juifs ont choisi pour capitale de Judée la cité de Jérusalem, où Moïse, le créateur de Yavhé, n’avait jamais traîné ses sandales.
Jésus de Nazareth y est venu prier et prêcher dans le Temple rebâti sur l’ordre du métis de Juive et d’Édomite (variante : Iduméen), Hérode le Grand, soutenu par Pompée puis par Marc-Antoine. Le plus beau des fils des hommes fut même crucifié sur le Mont Golgotha (où Adam était réputé enterré).
Après une énième révolte juive, Hadrien, qui à la différence de Titus n’aimait pas les femmes et ne se souciait pas de prendre un giton juif, fit niveler en partie le site de Jérusalem et, pour avoir la paix, en chassa les Juifs.
Mahomet, l’inventeur d’Allah, calqué sur la divinité hébraïque, le racisme matrimonial et le séparatisme forcené en moins, ne s’est intéressé qu’à La Mecque, après avoir été chassé de Médine. Mais ses califes ont voulu annexer Jérusalem, que les chrétiens ont voulu reprendre. Il s’en est suivi trois siècles de guerres, de massacres, puis l’occupation ottomane, synonyme d’immobilisme et de paresse, fit entrer la région dans un état de quasi-néant.
Durant la seconde moitié du XIXe siècle, des milliardaires juifs de France et de Grande-Bretagne, effrayés de l’afflux de Juifs d’Europe centrale et orientale, achetèrent des terres aux seigneurs turcs de Palestine pour y implanter des foyers agricoles juifs. Ils n’eurent guère de succès.
Là-dessus, un Juif qui voulait à tout prix faire parler de lui, Theodor Herzl, reprit la vieille idée du retour à Jérusalem (en France, on en parlait au moins depuis le règne de Louis XIII). Ni le calife-sultan d’Istanbul ni les Juifs d’Europe occidentale ne voulaient de ce sionisme et l’opposition fut pire après 1918.
Les Britanniques, maîtres des pétroles d’Irak, d’Iran et de Mossoul, voulaient bien de quelques colonies agricoles juives et d’une cité côtière juive en Palestine – Tel-Aviv, sur le site de l’antique Jaffa -, mais il était pour eux hors de question de mécontenter les fanatiques mahométans en offrant Jérusalem aux Juifs.
Les sanglantes bacchanales d’Adolf Hitler et quelques guerres, menées avec le soutien des USA où le lobby juif terrifie l’Exécutif par sa richesse, sa puissance médiatique et son pouvoir de nuisance, réglèrent la question et Jérusalem devint la capitale de l’État d’Israël, reconnue par la Russie du grand Poutine… et comme nous avons là un homme de grande intelligence, il n’a reconnu comme capitale israélienne que « Jérusalem-Ouest ».
Qu’en ce mois de décembre 2017, l’autre super-grand chef d’État, celui des USA, reconnaisse Jérusalem comme capitale de l’État hébreu ne peut étonner personne. Trump marque clairement qu’il en a assez de l’autre lobby, celui du pétrodollar qui finance le fanatisme mahométan.
Bien évidemment, il serait souhaitable que la direction US fasse preuve de la même intelligence politique que celle de Poutine et différentie clairement Jérusalem-Ouest, capitale israélienne, de Jérusalem-Est, future capitale de l’État indépendant de Palestine, peuplé d’Arabes.
Ceci posé, si après l’instauration d’un véritable État palestinien, les fanatiques de Yavhé veulent tuer les fanatiques d’Allah et réciproquement, en quoi, nous autres Européens, sommes-nous concernés ?
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Une fin de semaine à la rencontre d'Alban d'Arguin
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vendredi, 08 décembre 2017
L'émission "Synthèse" de jeudi dernier avec Alban d'Arguin
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jeudi, 07 décembre 2017
Mercredi 6 décembre : Alban d'Arguin était au Parlement européen à Bruxelles pour donner une conférence sur le nécéssaire combat contre les éoliennes
Le député européen Georgios Epitidelos et Alban d'Arguin lors de la conférence sur laquelle nous reviendrons très prochainement.
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L’IMMORTEL ET LE ROCKEUR S’EN SONT ALLES MAIS LA LECTURE A TREPASSE…
Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat
Le jour même où le plus célèbre de nos académiciens quittait le monde des vivants, on annonçait, comme en écho à cette ultime pirouette de notre facétieux aristocrate, que la France tutoyait le peloton de queue dans le classement des écoliers européens pour la lecture.
Promis, juré, craché, le ministre de l’éducation nationale va « prendre le taureau par les cornes ». Acceptons-en l’augure, car « la France, pays des armes et des lois » de notre bon Joachim Du Bellay n’est plus qu’un lointain souvenir….
Le lendemain de l’annonce de la disparition de Jean d’Ormesson, la France était à nouveau saisie par le deuil : notre « rockeur » national venait de mourir des suites d’une « longue maladie » comme ils disent, dans la nuit du mardi 5 au mercredi 6 décembre dans sa maison familiale de Marne la Coquette. A quelques lieues de distance et à quelques heures d’intervalle, deux gloires nationales quittaient la scène de la comédie humaine.
Comme toujours, Macron n’utilise pas les bons mots
En effet, le Président de la République a qualifié « de héros » Johnny Hallyday le mercredi 6 décembre depuis Alger où il se trouvait en visite, avant de rejoindre le Qatar, un autre pays « ami » de la France. Non, notre Johnny national, cette immense vedette, n’est pas un héros, c’est un monstre sacré du « showbiz », « l’idole des jeunes et des moins jeunes », un talentueux « rockeur» qui a électrisé les foules pendant plusieurs décennies. Et bien souvent nous fredonnons une ou deux de ses chansons qui ont marqué notre temps.
Mais un héros, c’est un Darnand, celui de 1940, pas de 1943, qui ramène sur son dos, depuis les lignes ennemies, le corps de son officier, c’est un passant qui sauve de la noyade un inconnu ou un pompier qui, se jetant dans les flammes pour en retirer une personne, fait honneur à sa devise, « sauver ou périr ». Emmanuel Macron cultive l’outrance verbale, comme le prouve, coïncidence, sa brutale analyse délivrée aussi à Alger, lorsqu’il était candidat à la fonction présidentielle, qualifiant la colonisation française de « crime contre l’humanité ». Comme quoi des études très supérieures ne donnent pas forcément un bon brevet en sémantique.
« Tout ce qui est excessif est insignifiant »
Certains ont même évoqué comme sépulture pour Johnny, carrément, le…Panthéon ! Qu’un hommage national soit rendu à ce « gratte guitare » de génie, à ce géant de la scène, soit. Mais là encore, sachons mesure et raison garder. Et le signataire de ce court papier est d’autant plus à l’aise pour l’écrire qu’il se trouve qu’il était jadis, il y a longtemps, au siècle dernier, en 1965, dans la même caserne d’Offenbourg (FFA) que le sergent Smet du 43 ème RBIma.
Et je me souviens d’une folle soirée où, sur le plateau des couleurs, Johnny et Sylvie, hissés sur un châssis de VTT ou d’AMX, je ne sais plus, chantaient en duo devant un public fraternellement mêlé d’Allemands et de Français, de jeunes appelés et de cadres de carrière, képis ou bérets en bataille, bousculés par l’ardeur des spectateurs.
C’est, je l’avoue, un souvenir inoubliable. Et, avec la mort du célèbre chanteur, avec la disparition du soldat Smet qui gagna ses galons de sergent, c’est aussi, pour nous ses contemporains qui partagions les mêmes chambrées, les mêmes réfectoires, un peu à notre propre effacement auquel nous assistons. Français d’origine belge, - c’est presque pareil ! -, populaire, adoré d’un public bien « franchouillard », Johnny ne quittera jamais nos mémoires.
10:19 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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L’Europe Unie du grand remplacement : comment en est-on arrivé là ?
Bernard Plouvier
Durant les Golden Sixties, il y a avait du travail et même beaucoup de travail, plus que les Européens ne pouvaient en assumer. En outre, le « peuple éternellement martyr » voulait assurer ses arrières en introduisant des cibles potentielles, en cas de nouveau déchaînement xénophobe.
Le résultat ne se fit pas attendre. On introduisit massivement des travailleurs, soit des hommes faits, provenant de Turquie (Allemagne), du Maghreb (France, où les Noirs ne sont arrivés que secondairement), d’Afrique noire et maghrébine (Belgique), d’Insulinde et de Guyane (Pays-Bas), des Antilles, des Indes et d’Afrique noire (Grande-Bretagne).
Là-dessus, se produisit un phénomène imprévu, tant il est vrai que les experts ne servent strictement à rien : ils ne prévoient jamais que ce qui ne se produit pas ! Dès le premier choc pétrolier et la montée en flèche de toutes les matières premières, en 1973, les Européens – qui n’étaient pas, alors, des réplicons de Nord-Américains -, réduisirent leur consommation et en revinrent aux ancestrales habitudes d’économie.
La grande distribution d’Europe occidentale, qui rêvait aux superbénéfices des cousins d’Amérique du Nord, se lança dans une opération de propagande humanitaire : il fallait absolument, au nom du Seigneur et des Droits de l’Homme réunis, regrouper les familles des pauvres travailleurs immigrés.
En France, deux politiciens très sensibles aux ukases des hommes d’argent, les sieurs Giscard d’Estaing et Chirac, édictèrent le Décret 76-383, du 29 avril 1976 (paru au JO du 2 mai), légalisant le regroupement familial. Et affluèrent femmes, enfants & vieillards ; coran, mosquées & imams ; jeunes (et moins jeunes) délinquants-racketteurs-vandales-violeurs ; trafiquants de haschich (Maroc), d’héroïne (via la Turquie), ecstasy, méth-amphétamine, cocaïne et autres merveilles de la chimie parfois casher (si, si !).
Il ne manquait plus que quelques guerres néocoloniales, induites par les maîtres des USA et imposées à leurs valets des États européens, pour que surgisse le Djihâd et ses attentats aveugles, prouvant que l’on peut tuer beaucoup d’innocents avec des moyens rudimentaires.
En résumé, l’on en est arrivé là, parce que les opinions publiques européennes se sont laissé berner par de faux sentiments humanitaires. On avait besoin de travailleurs et on importa la misère, sous-douée & sous-productive, du Tiers-Monde. S’enrichit beaucoup la grande distribution, tandis que la foule des glorieux parasites d’associations humanitaires trouvait à s’occuper de façon particulièrement flatteuse pour l’égo de ses membres.
Manifestement, au moins 45% des citoyens des États d’Europe occidentale et scandinave ont compris l’origine de leur malheur, mais beaucoup n’osent s’affranchir de la propagande niaise et catastrophiste : que vont devenir nos gentils immigrés et notre économie si compliquée, lorsque les méchants populistes seront arrivés démocratiquement au pouvoir ?
C’est à répondre à ces questions que les populistes doivent s’attacher. Les remèdes existent, puissants, impitoyables, car adaptés à la situation très périlleuse des Européens. Il importe de les faire connaître en assurant les Nations autochtones qu’ils seront appliqués dans toute leur rigueur.
- Retour intégral des extra-Européens dans leurs continents d’origine, une fois terminées leurs études et leurs stages de formation.
- Retour à une politique économique de préférence continentale en matière d’emploi, de ré-industrialisation européenne, d’accords commerciaux négociés de pays à pays.
- Indépendance totale des États européens, avec abandon des tutelles de New York (Finance) et de Washington (Ukases politiques et militaires).
- Union intime de l’Europe occidentale et scandinave avec l’Europe danubienne et l’immense Russie.
En France, on en est loin, voire même à des années-lumière ! Le personnel politique est vieux, usagé, bon à mettre, très poliment, à l’hospice. C’est à la jeune génération de créer le nouveau populisme européen.
02:05 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Jeudi 7 décembre : dîner-débat avec Gabriele Adinolfi et Philippe Conrad sur les 100 ans de la révolution bolchevique
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mercredi, 06 décembre 2017
Johnny le Gaulois
Le billet de Patrick Parment
C’est l’histoire d’un mec ! Un rockeur de guinguette comparé à Elvis Presley, l’idole absolue ! Oui mais voilà, Johnny c’était notre rockeur à nous au pays des fromages qui puent et de la baguette de pain. Johnny n’a jamais été mon idole, loin s’en faut. Mais force est de reconnaître que par ses chansons, il a accompagné cinquante ans durant toutes les mutations de la société française. Il avait le chic pour saisir l’air du temps et rebondir au bon moment. Cent fois sur le métier, il a remis l’ouvrage. Et ses fans ne l’ont jamais abandonné. D’un tempérament hors norme, il a brûlé la vie par tous les bouts. Il a tout eu, s’est tout offert, maisons, voitures, motos, femmes, alcool, drogue et tous ceux qui l’ont côtoyé précisent bien que c’était un ami généreux. Le timide qu’il était n’était pas un intello, mais plutôt son contraire, et il avait l’instinct du peuple qui l’a toujours porté à fréquenter plutôt les Giscard, Chirac et Sarkozy que les Mitterrand, Bernard-Henri Lévy et toute la racaille gauchiste. Dans une France où il est de bon ton d’être de gauche – surtout dans le showbizz – et de chialer sur tout, de se plaindre de tout, il a assumé ses choix de brave et rugueux Gaulois. Car au fond, Johnny était un vrai Celte, bagarreur, dur à la douleur, bosseur… et bringueur.
Salut l’artiste et merci pour tout.
19:23 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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JEUDI 7 DÉCEMBRE SUR RADIO LIBERTÉS : ALBAN D'ARGUIN ET LE COMBAT CONTRE LES ÉOLIENNES
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mardi, 05 décembre 2017
EN 2017, LE TAUX RÉEL DU CHÔMAGE EN FRANCE N’EST PAS DE 10 %, MAIS D’AU MINIMUM 20 % !
Marc Rousset
En France, il y a cinq catégories de personnes à Pôle emploi :
– les chômeurs de la catégorie A, des demandeurs d’emploi sans aucune activité ;
– les chômeurs de la catégorie B, des personnes exerçant une activité réduite courte de 78 h ou moins dans le mois ;
– les chômeurs de la catégorie C, des personnes en activité réduite longue (plus de 78 h dans le mois) ;
– les personnes de la catégorie D, des personnes sans emploi et non immédiatement disponibles car en formation, stage, contrat de sécurisation professionnelle, maladie ;
– les personnes de la catégorie E, des personnes non tenues de chercher un emploi car, par exemple, créations d’entreprises ou contrats aidés.
Fin octobre 2017, selon Pôle emploi, le nombre de demandeurs d’emploi (y compris les départements d’outre-mer) s’élevait à 3.742.000 personnes pour la catégorie A. Si l’on ajoute simplement les catégories A, B et C, ce nombre s’établit déjà à 5.923.200 personnes !
La population active, selon l’INSEE, en âge de travailler étant de 28,4 millions de personnes, cela donne déjà un taux de chômage minimum de 20 %, soit le double du taux annoncé et généralement retenu par les Français de 10 %.
Mais la situation est bien plus dramatique, car incorporer les 6,9 millions de fonctionnaires et agents publics dans la population concernée par le chômage minimise le taux réel du chômage. En effet, les fonctionnaires évitent le risque du chômage puisque le statut de fonctionnaire procure un emploi à vie. Ce serait comme si on rapportait le taux de cancer du sein à la population hommes et femmes. Si l’on exclut le nombre de fonctionnaires et d’agents publics, le taux réel de chômage du secteur privé salarié en France, sans même tenir compte des personnes catégories D et E, peut donc être estimé à 28 %. Et ne parlons pas du rôle d’éponge à chômeurs que joue, en France, une fonction publique pléthorique, notamment avec l’explosion des embauches dans les collectivités territoriales ces dernières années. Si l’on retire, enfin, les indépendants et professions libérales qui n’ont pas droit au chômage, on se retrouve même avec un taux de chômage du secteur privé salarié atteignant 30 % de la population active.
Il importe, aussi, d’être conscient du « chômage camouflé », ce qu’ont toujours compris la plupart des gouvernements, et tout particulièrement ceux de François Hollande, qui consiste à faire passer des chômeurs de catégorie A dans les catégories D et E (stages, formations, contrats aidés).
Il nous parait donc possible d’affirmer que le taux de chômage réel en France n’est pas de 10 % mais d’au minimum 20 % !
Or, ce déni sur les chiffres du chômage explique que certains économistes, relayés par exemple par Jean-Pierre Robin dans sa dernière chronique du Figaro du 28 novembre, ne comprennent pas pourquoi l’inflation ne repart pas. Pour eux, la courbe de Phillips, qui voudrait que l’inflation reprenne avec la diminution du chômage, ne joue plus. Elle se serait par miracle soudainement et bizarrement aplatie ! En fait, la courbe de Phillips est toujours bien là, inchangée dans sa forme courbée jouant parfaitement son rôle explicatif car le taux de chômage à regarder sur l’axe des abscisses est 20 % et non pas le taux de chômage officiel annoncé de 4,7 % aux États-Unis, de 10 % en France.
Enfin, si 42 % des chefs d’entreprise ont, dans certains secteurs, des difficultés à embaucher, ce n’est pas parce que le taux de chômage est bas, mais parce qu’il manque du personnel qualifié et compétent pour les technologies anciennes et nouvelles. En Allemagne, sur le million d’immigrés entrés par effraction, suite à la trahison de madame Merkel, un très faible pourcentage seulement a trouvé un emploi effectif, car ils sont inadaptés aux emplois proposés.
12:32 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Samedi prochain, à la Librairie française à Paris :
Le Pasteur Blanchard dédicacera ses livres à la Librairie française 5, rue Auguste Bartholdi 75015 Paris (Métro Dupleix ou la Motte Piquet) le samedi 9 décembre 2017, de 15h à 18h. Venez nombreux pour le rencontrer, en cela vous témoignerez votre soutien, à la cause des plus défavorisés des nôtre.
Le même jour, au même endroit :
12:28 Publié dans Rendez-vous avec Les Bouquins de Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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lundi, 04 décembre 2017
L'intervention de Bruno Mégret au forum de Polémia
14:29 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Adrien Abauzit, auteur de "La France divisée contre elle-même" (Editions Altitude) était samedi après-midi l'invité des Amis franciliens de Synthèse nationale
Face à un public nombreux et attentif : Jean-Paul Chayrigues de Olmetta, Président des Amis de Synthèse nationale, Roland Hélie, Adrien Abauzit et Hugues Bouchu.
Les Amis franciliens de Synthèse nationale, dirigés par Hugues Bouchu, organisaient une conférence samedi après midi avec Adrien Abauzit qui présentait son livre "La France divisée contre elle-même". Dans les jours qui viennent, nous mettrons en ligne un reportage plus complet sur cette passionnante conférence.
Pour acheter le livre d'Adrien Abauzit cliquez ici
10:23 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Dimanche prochain, 10 décembre, on se retrouve à la Table ronde de Terre et peuple à Rungis
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Une bonne nouvelle : le retour de Jean-Gilles Malliarakis
Depuis quelques mois, en raison d'un grave problème de santé, Jean-Gilles Malliarakis était dans l'impossibilité de publier ses chroniques sur son site L'Insolent. Aujourd'hui, il revient et annonce qu'il reprend ses activités. Tant mieux et souhaitons-lui bon courage...
L'Insolent cliquez ici
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N°9000 de Présent : le message de Roland Hélie à sa direction
Message de Roland Hélie à la direction de Présent à l'occasion du n°9000 :
Il y eu le n°00, puis le n°0 et enfin, quelques jours plus tard, le n°1… c’était en décembre 1981 et le vieux rêve d’un quotidien patriote se réalisait enfin. Tout le « Landerneau national » de l’époque s’en réjouissait mais beaucoup pensaient que l’aventure ne passerait pas l’hiver. Et, plus de 35 ans après, voici le n°9000 de Présent... Comme quoi, il ne faut jamais écouter les sceptiques.
Le miracle de la longévité de Présent, c’est sans doute la ténacité de ses rédacteurs et la fidélité de ses lecteurs. Certes, je n’ai pas toujours été en accord total avec la ligne du journal mais qu’importe, dans le contexte actuel nous devons passer au-dessus des divergences. Nous avons surtout besoin de munitions et Présent, plus encore depuis qu’il a adopté sa nouvelle formule élégante et ouverte à toute la famille, est devenu dans ce domaine un véritable arsenal. Qu'il en soit remercié.
Site de Présent cliquez ici
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OBAMACRON
Le billet de Patrick Parment
Guignol est donc venu à Paris ! Pardon, l’ex-président des Etats-Unis qui avoue que l’Amérique adore la France. Et pour cause… depuis le temps qu’elle la saigne. Barack Obama donc, pour 400 000 dollars a fait le déplacement à Paris où l’agence qui l’a invité avait retenu rien moins que la Maison de la radio, Quai Branly, pour que l’afro-américain s’exprime. Au final, un tissu de banalités voire de lapalissades.
Obama a abordé trois thèmes : l’économie, le changement climatique et le terrorisme. Et ce devant un parterre qui comptait des ministres, des politiques et des chefs d’entreprise. Et non des moindres, tel Stéphane Richard, patron d’Orange, qui a réglé l’addition. 400 000 dollars pour entendre un tissu de banalités, avouez que ça fait chère la séance de masochisme. Mais que ne ferait-on pas pour voir le sourire béat de Jack Lang, Roselyne Bachelot, Anne Hidalgo et consorts.
Pour commencer, on rappellera les propos de François Mitterrand, « avec l’Amérique nous sommes en guerre ». Sur deux fronts au moins. Culturel où l’on est envahi par la musique et le cinéma américains qui véhiculent des valeurs qui ne sont pas toujours les nôtres. En économie surtout, où les Américains sont prêts à tous les coups bas pour éliminer les entreprises françaises des marchés convoités ou nous couper l’herbe sous le pied comme avec Peugeot en Iran. Sans compter le racket bancaire. Enfin, une économie réelle qui « profite à tous » passe nécessairement par l’éradication du capitalisme financier et boursier. Nous sommes loin du compte et les gogos dans la salle ont becqueté ça tout cru avec le sourire béat de l’idiot du village. Le seul à réellement se marrer, c’est Obama.
Deuxième thème abordé, le réchauffement climatique. Il y a beaucoup à dire sur le sujet. Mais plutôt que de s’en prendre au sempiternel climat – contre lequel on ne peut pas grand-chose – on ferait mieux de se concentrer sur les énergies renouvelables et les solutions dont on dispose afin d’arrêter de détruire tous nos écosystèmes, notre faune et notre flore. De tout cela, Obama n’a soufflé mot.
Troisième thème enfin : le terrorisme. Alors là, on se marre franchement. Car ce sont les Etats-Unis et leurs désastreuses interventions en Afghanistan et au Moyen Orient qui ont déclenché les vagues terroristes dont Europe fait trop souvent les frais, ce qui n’aura échappé à personne. Je ne parle même pas des dommages collatéraux du conflit israélo-palestinien. Pas plus que du financement des Frères musulmans par la CIA depuis des décennies. On pourrait ajouter la vassalisation de l’Arabie saoudite qui finance les différents mouvements terroristes et à la pointe du combat contre Bachar al-Assad en Syrie. J’en passe et des meilleurs. Si l’on doit dresser un rapide bilan, l’Europe n’a rien à gagner d’une amitié avec l’Amérique. A moins d’être aveugle, on se demande bien ce qu’un Macron et un Obama ont pu à se raconter, vu que l’un n’est plus aux manettes et que l’autre, mis à part un coup de pub, n’a rien à y gagner.
Le seul dans cette affaire qui a fait une bonne opération, c’est bien Obama qui moyennant une somme illimitée de niaiseries pseudo géopolitiques et économico-délirantes a enflé une bande de guignols de 400 000 dollars ? Chapeau l’artiste !
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dimanche, 03 décembre 2017
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vendredi, 01 décembre 2017
Le n°47 de Synthèse nationale est sorti
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Samedi 2 décembre, Paris : conférence organisée par les Amis franciliens de Synthèse nationale avec Adrien Abauzit
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L'émission Synthèse sur Radio Libertés avec Bernard Gantois, auteur de la lettre ouverte au Pape François
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Samedi, c'est le numéro 9000 du quotidien Présent
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L’Intelligence Artificielle, la médecine, les transports et le secteur financier
Pieter Kersrtens
Les climatologues prévoient la disparition des glaciers et des pôles glaciaires, les géopoliticiens, quant à eux, n’envisagent pas une guerre nucléaire, mais plutôt d’importants conflits liés à la répartition de l’eau potable sur les cinq continents et alors que certains démographes nous annoncent 10 milliards d’individus sur la planète en 2050, on nous laisse supposer que ces problèmes pourraient aussi être résolus grâce à l’Intelligence Artificielle (I.A).
DEMAIN, PLUS BESOIN DES HUMAINS ?
Les progrès techniques, scientifiques et sanitaires ont conduit ces 30 dernières années à une très nette amélioration du niveau de vie de l’espèce humaine et à une prolongation de son existence qui s’accroît particulièrement en Europe d’une année par tranche de 4 ans pour chacun d’entre nous. (durée de vie moyenne de 84 ans pour les femmes et 80 ans pour les hommes).
Dans ce contexte il pourrait y avoir plusieurs millions de centenaires à l’horizon 2050 vivant dans notre « vieille Europe ».
Le système des retraites, qui date d’un demi-siècle, ne pourra plus supporter ces charges car déjà en déficit chronique. Prétendre maintenir la retraite à 60 ans, diminuer la durée hebdomadaire du travail ou réduire le niveau des cotisations sociales, relève de l’utopie et du fantasme.
En examinant le bond fantastique des technologies de pointe dans les pays asiatiques en particulier, on peut constater que -mise à part la Chine qui dispose d’une main-d’œuvre gratuite dans les Laogaïs- la numérisation, les robots et l’Intelligence Artificielle ont maintenant remplacé une partie du prolétariat dans toutes les industries à forte main d’œuvre non qualifiée. Chez nous, peu de responsables politiques nous en expliquent les conséquences.
Acheter aujourd’hui des produits asiatiques à bon marché, c’est supprimer l’emploi de nos enfants et petits-enfants, demain. Car il faut en être conscient : le nier, c’est les condamner !
Et accepter les directives de la Commission Européenne sans broncher, c’est aussi se sacrifier sur l’autel du mondialisme financier qui rêve d’un homo-consuméris au niveau mondial !
BLACK FRIDAY, BLACK MONDAY … BLACK IS NOT BEAUTIFUL!
Le Nouvel Ordre Mondial tisse sa toile mortifère jour après jour dans la totale indifférence des citoyens d’Europe, totalement tétanisés par les sirènes de la démocratie totalitaire, de l’hédonisme débridé et du politiquement correct. Sans réflexion et animé par un désir de consommation irraisonné par simple réflexe de paraître ou d’avoir l’air de …
Rare sont ceux qui osent penser puis osent agir.
C’est pourquoi, dans cette fin de civilisation (initiée vers 1920), l’I.A fera des ravages en utilisant la généralisation du numérique et de la robotique parmi les emplois de la médecine, des transports et de la finance, après ceux de l’industrie européenne déjà sinistrée aujourd’hui.
Si à cette perspective on ajoute l’usage exclusif de la carte plastique dans tous les domaines de la vie courante, nous entrons dans l’Empire de Big Brother, cher à Georges Orwell.
18:01 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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jeudi, 30 novembre 2017
Mercredi 6 décembre : Alban d'Arguin reçu au Parlement européen à Bruxelles pour donner une conférence
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JEUDI 30 NOVEMBRE : BERNARD GANTOIS, AUTEUR DE "LA LETTRE OUVERTE AU PAPE FRANÇOIS", SERA L'INVITÉ DE L'ÉMISSION SYNTHÈSE SUR RADIO LIBERTÉS
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mercredi, 29 novembre 2017
Samedi 9 décembre, Alban d'Arguin dédicacera Eoliennes un scandale d'Etat (Synthèse éditions) à la Librairie française à Paris
Eoliennes un scandale d'Etat cliquez ici
20:37 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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La presse aux ordres s'offusque que Donald Trump retweet les vidéos proposées par Jayda Fransen
Donald Trump a relayé aujourd'hui sur son compte Twitter une série de vidéos publiées par une responsable politique britannique d'extrême droite. Ces trois vidéos, tweetées par Jayda Fransen, vice-présidente du parti d'extrême droite Britain First, montrent des exactions commises par des musulmans.
Plutôt que de s'indigner et d'enquêter sur les crimes commis sur les vidéos publiées, la presse internationale s'offusque que le Président américain ose révéler au monde entier ce que les médias omettent de faire par islamophilie pathologique.
Source Thomas Joly cliquez ici et Le Figaro cliquez là
Jayda Fransen avec le Président Jean-Marie Le Pen dimanche 1er octobre dernier à Rungis (94) lors de la XIe Journée de Synthèse nationale cliquez ici
19:39 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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