vendredi, 22 septembre 2017
DIMANCHE 1er OCTOBRE, LE CHOEUR MONTJOIE SAINT DENIS CHANTERA LORS DE LA JOURNÉE DE SYNTHÈSE NATIONALE À RUNGIS
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Dans Minute de cette semaine, la XIe Journée de Synthèse nationale est annoncée
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LA SEULE VOIE D’AVENIR POUR L’EUROPE : UN AXE PARIS-BERLIN-MOSCOU
Marc Rousset
Notre ami Henri Temple, sur Boulevard Voltaire, vient se livrer à un véritable plaidoyer en faveur de l’Angleterre et nous conseille de nous éloigner de l’Allemagne. Il fait malheureusement fausse route ! La seule voie d’avenir possible pour la France, c’est bien au contraire un rapprochement avec l’Allemagne sans l’Angleterre pour constituer à l’Ouest, dans un premier temps, un bloc carolingien, qui devrait ensuite se rapprocher de la Russie, afin de constituer un axe Paris-Berlin-Moscou et la grande Europe de Brest à Vladivostok. En ce sens, le Brexit est un don et un cadeau du ciel pour la France !
S’il est possible de critiquer de Gaulle pour la fin catastrophique de la guerre d’Algérie et pour ne pas avoir réussi à réconcilier les Français après 1945, ce que souhaitait à juste titre Saint-Exupéry, il faut reconnaître qu’en ce qui concerne l’Europe, il a vu juste ! De Gaulle avait fort bien compris la nécessité d’un rapprochement de la France avec l’Allemagne et la Russie lors de sa conférence de presse géniale et visionnaire, en pleine guerre froide, du 29 mars 1949 au palais d’Orsay : « Moi, je dis qu’il faut faire l’Europe avec pour base un accord entre Français et Allemands. Une fois l’Europe faite sur ces bases, alors on pourra essayer, une bonne fois pour toutes, de faire l’Europe tout entière avec la Russie aussi, dût-elle changer de régime. Voilà le programme de vrais Européens. Voilà le mien. »
Le Brexit est une chance pour la France, ne serait-ce que pour la langue française et la possibilité de mettre fin à la domination de l’anglais à Bruxelles, problème que Pompidou avait perçu très clairement, avant même l’entrée de l’Angleterre dans le Marché commun. Pompidou avait exigé que les fonctionnaires britanniques à Bruxelles parlent français. La promesse fut tenue, puis, suite aux pressions de l’Amérique et à la lâcheté des élites françaises, elle fit place à l’unilinguisme anglo-américain.
Notre ami nous parle des trois derniers conflits entre la France et l’Allemagne ! Il oublie que, depuis la guerre de Cent Ans, l’Angleterre a été l’ennemi héréditaire de la France et a tout fait pour diviser le continent européen, pour que le Marché commun ne voie pas le jour. André Siegfried disait que l’Angleterre est une île entourée d’eau de toutes parts. N’oublions pas, enfin, l’Empire carolingien et sa disparition par le traité de Verdun en 843.
L’avenir de l’Europe est à l’est, pas en Angleterre ! L’Europe doit se considérer comme l’Hinterland de la Russie face à la Chine pour garder le contrôle de la Sibérie, plus grande que les États-Unis ! En Sibérie, en Asie centrale, l’Européen, c’est le Russe ! Mais, sans un premier rapprochement indispensable entre la France et l’Allemagne, le monde européen se condamnerait à un suicide civilisationnel.
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jeudi, 21 septembre 2017
Philippot OUT !
La réaction de Thomas Joly, Secrétaire général du PdF :
Incapable d'assumer ses propres responsabilité dans l'échec des Présidentielles et des législatives, alors même que toutes les conditions politiques étaient réunies pour que le FN fasse un carton électoral, Marine Le Pen a poussé son lieutenant à démissionner du parti en lui retirant ses délégations liées à sa vice-présidence, sous le prétexte fallacieux de son association « Les Patriotes ».
Le problème du FN n'est pas tant Florian Philippot que Marine Le Pen lesquels sont, stratégiquement et politiquement, exactement sur la même ligne de reniement, de normalisation, de souverainisme de gauche, de soumission à tous les lobbies de l'anti-France .
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mercredi, 20 septembre 2017
Gabriele Adinolfi nous présente ses projets
Quelques jours avant la XIe Journée de Synthèse nationale qui se déroulera le dimanche 1er octobre à Rungis près de Paris, Gabriele Adinolfi qui y prendra la parole nous présente ici ses projets et ses organisations.
Êtes-vous un nouveau mouvement politique ?
Non, et nous n'avons pas l'intention d'en devenir un. Mais nous sommes activement impliqués dans la politique sous toutes ses formes.
Êtes-vous un nouvel institut métapolitique ?
Non. Nous avons une forte propension au rôle métapolitique, mais toujours voué à la politique et à l'économie, c'est-à-dire dans tous les domaines où l'on peut livrer un combat.
Êtes-vous un groupe radical qui croit posséder le monopole de la vérité et la réponse à tout ?
Nous ne sommes pas une secte qui vit béatement assiégée dans un château de sable. Nous ne marchons pas non plus, tous vaniteux, en nous disant combien nous sommes beaux. Tout le contraire.
Êtes-vous contre les partis politiques ?
Les partis politiques sont un moyen de communication et de mobilisation et sont des sources économiques. Ensuite, ils sont des organes d'administration.
Ils doivent être conçus en tant que tels. Nous sommes contre l'abdication des cerveaux et des énergies au profit du schéma électoral seul et nous ne croyons pas à la délégation ni à l'efficacité de la démocratie. Les partis sont comme des leviers: ils servent les points d'appui et l'intelligence pour déplacer les rochers. Sans cela, ce sont des bois inertes.
Êtes-vous le noyau d'un mouvement d'opinion ?
Non. Les mouvements d'opinion meurent comme il sont nés. Nous sommes intéressés par les choses qui durent, par les idées qui deviennent action et ne cessent de l'être.
Nous sommes intéressés par la construction de cadres stables et efficaces, et le reste suit.
L'histoire est faite par des minorités organisées, nous devons organiser notre minorité.
Pourquoi parlez-vous d'évolénisme ?
Parce qu'Evola offre une distance métaphysique et une profondeur philosophique qui permettent d'être toujours présents, et qui rendent incorruptibles ceux qui raisonnent en conséquence. En revanche, Lénine explique parfaitement comment une minorité organisée doit comprendre les mécanismes dans lesquels elle opère et comment elle doit agir pour effectuer ses conquêtes.
Il y a besoin d'une académie d'officiers et d'un corps de sous-officiers pour créer une armée formidable. La Reichswehr a raisonné ainsi après le traité de Versailles. Et Franco a gagné la guerre civile parce qu'il avait les sous-officiers avec lui.
Qu'est-ce que cela signifie être des Lansquenets ?
Il s'agit tout d'abord de respirer profondément et de regarder le monde avec d'autres yeux. Ensuite, de chercher l'unité d'âme et d'esprit avec les camarades de toute l'Europe pour réussir, ensemble, à comprendre la nécessité d'une refondation de la pensée et, surtout, de la création de réseaux synergiques qui ne se limitent pas aux initiatives politiques renfermées dans notre microcosme.
Qu'est ce que EurHope ?
EurHope, un groupe de réflexion basé à Bruxelles, est le terminal de plusieurs centres d'études européens, dont le plus connu est l'italien Polaris aux colloques duquel ont participé des hommes politiques de droite et de gauche, des entrepreneurs, des syndicalistes, des intellectuels et des structures tels que l'OSCE et l'ONU.
EurHope organise des colloques dans différentes villes européennes, publie un magazine international, possède un site en 18 langues, produit des cours de formation cadres en 4 langues et pousse à renouveler la mentalité et à adapter la pensée et la réflexion à la seule chose qui compte: le combat efficace.
Que signifie Lambda ?
C'est une organisation active en Italie qui a réussi à impliquer des entreprises de production dans des projets internationaux en Afrique, en Asie et en Amérique du Sud.
Ces actions produisent de l'argent, mais surtout des influences politiques. Au niveau international (il est toujours bon d'avoir des amitiés de haut niveau dans divers pays du monde), et sur le plan social (il est important d'être reconnu par les producteurs qui peuvent également être orientés politiquement). De plus, ce sont des projets visant à freiner la migration d'Afrique vers l'Europe.
Nous prévoyons d'étendre la structure de l'Italie à d'autres pays (France, Espagne, Hollande).
En Europe avec qui êtes-vous engagés ?
Les partis nationalistes et populistes sont divisés en quatre regroupements différents, ce qui est triste.
Nous sommes en bons termes avec tous et nous avons également réussi à les faire coopérer entre eux malgré les divisions existantes. Ceci est possible parce que personne ne voit en nous un rival, et certains nous considèrent même comme une valeur ajoutée.
Quelle est votre relation avec les forces militantes nationalistes ?
Nous leur offrons notre contribution, notre mentalité et notre “know how” pour les aider à grandir, à former des structures, à créer du pouvoir. De leur part, nous nous attendons à ce qu'ils nous aident à grandir créant ainsi une spirale ininterrompue. Il ne sont pas toujours disposés à le faire, mais les choses s'améliorent et nous avons des coopérations importantes aujourd'hui.
Comment devient-on des Lansquenets ?
Pour en devenir un à la fin d'un long parcours, il faut avant tout avoir en soi les caractéristiques de l'impersonnel militant. Mais il est difficile et on ne peut pas encore dire avec certitude que quelqu'un «est devenu» lansquenet. C'est un chemin existentiel qui nous vient de la sagesse grecque "devient ce que tu es".
La formation des Lansquenets dans cette mentalité signifie travailler pour s'assurer que les futures classes dirigeantes aient une relation correcte avec l'argent, avec le pouvoir et l'ambition personnelle, et ne soient plus leurs esclaves. Et aussi de faire en sorte que chacun de nous pense comme les autres camarades européens, tous dans la même direction.
Dans quels pays y a-t-il déjà des Lansquenets ?
Italie, France, Belgique, Espagne, Portugal, Hollande, Grèce, Norvège, Hongrie, Suisse, Roumanie, Chili.
Comment il est possible de participer activement au projet Lansquenet ?
De multiples manière. Cela peut se faire en participant aux rencontres européennes des Lansquenets (en l'espace d'un an, nous sommes allés en Provence, en Grèce, en Italie à cheval, en Transylvanie). Vous pouvez écrire pour EurHope. Vous pouvez suivre les cours de formation en ligne. Organiser chez vous des cours de formation de cadres. Ou des réunions publiques avec des conférenciers européens. Une coopération entre les Lansquenets et votre groupe militant peut être activée. Vous pouvez vous activer pour Lambda.
Il y a toujours quelque chose à sa propre hauteur. Nous verrons ensemble.
A Paris ?
Partout.
Comment adhère-t-on en France ?
Les activités en France sont coordonnées par l'Association Artémis : assoc.artemis@gmail.com
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JEUDI 21 SEPTEMBRE : PIERRE HILLARD INVITÉ DE SYNTHÈSE SUR RADIO LIBERTÉS
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DIMANCHE 1er OCTOBRE À RUNGIS : DES ARTISANS EXPOSENT À LA JOURNÉE DE SYNTHÈSE NATIONALE. VENEZ RENCONTRER PIERRE CHABOT, LE PLOMBIER
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21:55 Publié dans 11 - La 11e journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Alban d'Arguin était ce mercredi matin l'invité de Jean-Paul Chayrigues de Olmetta sur Radio Courtoisie
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ILS SERONT PRÉSENTS DIMANCHE 1er OCTOBRE À LA JOURNÉE DE SYNTHÈSE NATIONALE À RUNGIS (94) :
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18:39 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 19 septembre 2017
THOMAS JOLY, SECRÉTAIRE GÉNÉRAL DU PARTI DE LA FRANCE, SERA À LA JOURNÉE DE SYNTHÈSE NATIONALE DIMANCHE 1er OCTOBRE
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18:43 Publié dans 11 - La 11e journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L’indispensable radicalisation de la Nation française
Bernard Plouvier
On ne cesse de nous parler d’islamistes « radicalisés », alors qu’ils ne sont que des fanatiques prêts à tuer n’importe qui dans le cadre de leur Djihâd moyenâgeux et oriental. Une fois encore, les fabricants d’opinion publique jouent sur les mots (en termes nobles : ils usent et abusent des confusions sémantiques) pour tromper les nations européennes.
Le terme « Radical » implique le refus de transiger avec ses principes d’ordre éthique et les nôtres sont simples et démocratiques : travail, famille, patrie européenne, égalité de tous devant la Loi, strict respect des libertés d’opinion et d’expression, laïcité de l’État, enfin respect de la logique géographique – ce qui signifie que pour devenir membre de la Nation française, il faut, par définition, appartenir à la civilisation européenne.
Toute mixité raciale ne peut que créer une société multiraciste. De même, les cultures exotiques ne sont que des curiosités pour esthètes, à la façon des pièces de musée ethnographique. L’Europe est riche de sa civilisation et d’une culture plurimillénaire ; elle n’a nullement besoin d’importer du fatras exotique, sauf à titre de curiosités (comme l’on disait au XVIIIe siècle).
Les partisans des sociétés multiraciales et multiculturelles peuvent s’expatrier là où l’on aime le genre pot-pourri, par exemple dans les Amériques. Mais nous autres, Européens, n’avons pas à subir les effets pervers d’un afflux massif – par le nombre, la brutalité et l’insociabilité – d’immigrés souvent inadaptés à nos conditions de vie, parce qu’étant issus de pays sous-développés, aux mentalités opposées à notre modernité.
La vie moderne est faite d’un travail où l’intelligence et l’adaptation ont remplacé la force physique, nettement moins efficace et contrôlable que l’énergie matérielle. Elle est faite aussi de respect absolu de la vie privée, des sentiments d’autrui, de la liberté de penser et de s’exprimer pour tout citoyen honnête. La vie publique moderne est donc laïque, le phénomène religieux étant d’ordre strictement privé.
Notre conception de la vie est en tous points opposée au fanatisme mahométan. Dans la société islamique, totalitaire comme toute société à dogme unique – qu’il soit de nature religieuse ou politique ne fait rien à l’affaire -, le moindre crétin fanatique peut dénoncer son « frère » en allah, comme autrefois le communiste dénonçait au parti ou à la police politique le « camarade déviant » ou « l’ennemi de classe ».
Envahies, appauvries, meurtries, les Nations européennes doivent contre-attaquer. Le milieu politico-médiatique étant, sinon entièrement pourri, du moins assez faisandé et largement pénétré par la propagande globalo-mondialiste, métisseuse de races et de cultures, les Nations ne peuvent espérer de salut que par le populisme.
Un mouvement populiste efficace doit diffuser quotidiennement sur les réseaux sociaux un bilan des pillages, incendies, scènes de vandalisme, rackets et viols perpétrés par la racaille (autochtone et immigrée), de façon à ce que même le bobo le plus larvaire comprenne, grâce aux images et au discours, simple et véridique, que notre pays est délabré par l’effet d’un mauvais usage de l’argent public, dévasté de façon pluri-hebdomadaire par des individus hautement indésirables et que des citoyens français y sont molestés de façon pluriquotidienne.
L’on n’a pas besoin du discours néolibéral des mollassons du « Front national nouvelle vague ». L’on a besoin d’images du désastre français et de l’invasion exotique. L’on a besoin d’un avatar de Jean-Marie Le Pen, jeune et charismatique. Seul comptent le présent et l’avenir.
Il est absurde de discuter de problèmes économiques, financiers, sociaux, etc. tant que l’on n’a pas défini une attitude générale de défense vigoureuse – ce qui implique une action dure – de nos valeurs et tant que l’on n’a pas pris la ferme décision de rejeter l’envahisseur inassimilable.
La globalisation de l’économie fait de l’Europe (à l’exception de l’Allemagne, pour l’instant) un désert industriel. C’est le seul problème économique et social à régler d’urgence… alors que les démagogues parlent de réduire la quantité de travail à fournir par ceux qui ont (encore) un emploi !
L’ouverture des frontières aux êtres et aux biens, fondement de la société globalo-mondialiste, fait de l’Europe un caravansérail pour inadaptés, tout en créant les conditions optimales pour une fin de civilisation.
L’Europe ne sera de nouveau forte que lorsqu’elle ne contiendra que des Européens de souche et n’englobera que des terres européennes. Les territoires extra-européens doivent être abandonnés, sauf s’ils sont peuplés quasi-exclusivement d’Européens (tels le Groenland et les îles Saint-Pierre-et-Miquelon, qui appartiennent à la plaque tectonique nord-américaine). Les DOM-TOM ne font en aucun cas partie intégrante de la France : la décolonisation doit être complétée, tant pis pour les nostalgiques du XIXe siècle conquérant.
A contrario, il faut organiser sans faiblesse le retour intégral en leurs terres d’origine des extra-Européens. La preuve est faite, et largement, du caractère inassimilable des populations exotiques demeurées primitives, même si les rares élites d’origine extra-européenne s’assimilent assez aisément… mais que font ces personnes en Occident ? Leur devoir, envers leur race et leur continent, est de retourner dans leurs contrées d’origine pour les civiliser.
Pour défendre nos valeurs, nous devons radicaliser notre discours, mais surtout nos actes. La seule radicalisation efficace, c’est d’organiser des manifestations de grande ampleur, soit témoigner de notre force. Les arguments logiques sont manifestement inopérants auprès des pantins qui se sont hissés aux apparences du pouvoir pour servir des maîtres non-européens. La preuve est faite que l’expression de la volonté populaire est biaisée par le matraquage médiatique au service du pouvoir économique, ce qui revient à dire : la Finance.
Le discours populiste n’est en aucun cas suffisant. Un mouvement populiste doit être orienté vers un militantisme politique pour reconquérir les rues et les places publiques, de façon à permettre la libre expression de tous – et plus seulement celle des pseudo-gauchistes, nervis de la finance cosmopolite, et des forts en gueule exotiques – et pour assurer la libre déambulation, ce qui implique d’aider les forces de l’ordre, totalement dépassées, à lutter contre les bandes de sauvages qui pillent, violent, incendient, rackettent, molestent.
L’époque du bobo consommateur béat, tiers-mondiste & féministe, est révolue - aux USA comme en Europe, d’ailleurs, mais la décrépitude de la classe moyenne d’Outre-Atlantique est dépourvue d’intérêt pour les Européens, qui n’ont pires ennemis que les financiers installés en Amérique du Nord qui façonnent l’opinion mondialiste.
Finies les années de jouissance molle et de bêtise crasse. Commencent les années rudes de la guerre des races et des religions en notre Europe. Ou nous nous battrons, ou nos descendants seront esclaves… comme les Européens de l’Est le furent des Mongols, puis des assassins marxistes.
L’avenir de notre continent dépend de notre action.
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LE SCULPTEUR SUR BOIS PERIG KERYS EXPOSERA LE 1er OCTOBRE À LA JOURNÉE DE SYNTHÈSE NATIONALE À RUNGIS
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12:21 Publié dans 11 - La 11e journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
JEAN-MARIE LE PEN CE SOIR À 18 H 20 SUR RTL
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Quimper : le minaret retoqué (annulation du nouveau projet), une victoire pour la résistance patriotique
Quimper (Breizh-Info.com) – Pour la troisième fois, la municipalité de Quimper, dirigée par Ludovic Jolivet, s’est opposée au permis de construire concernant une troisième mosquée dans la capitale de la Cornouaille. Pour l’association culturelle et cultuelle turque de Quimper, c’est la fin de la bataille juridique, puisque cette dernière a décidé de stopper ses actions en faveur du projet et de se consacrer à la rénovation de la mosquée déjà existante, route de Douarnenez.
Pour justifier l’annulation, Ludovic Jolivet a notamment argué de l’avis négatif de l’architecte des Bâtiments de France qui a déclaré : « Ce projet, en l’état, n’étant pas conforme aux règles applicables dans ce site patrimonial remarquable ou portant atteinte à sa conservation ou sa mise en valeur, l’architecte des Bâtiments de France ne donne pas son accord ».
Ali Dere, président de l’association turque, a notamment réagit en expliquant : « On ne veut pas faire de procès d’intention. Si le maire a estimé que le projet ne pouvait se faire comme nous le demandions, on respecte sa décision. Depuis trente ans, nous travaillons en bonne intelligence avec la municipalité dans le respect du cadre légal, mais aussi en nous intégrant dans le tissu socio-économique, associatif et culturel breton. Cette décision n’empêchera pas de nouveaux projets d’être élaborés et soumis en toute transparence au contrôle des services concernés. »
Pour l’association RéAgir (Résister et Agir) qui s’est opposée depuis le début aux différents projets de mosquée à Quimper, c’est une bataille remportée, « mais pas la guerre », comme Claudine Dupont-Tingaud l’explique dans un communiqué :
« Car si à Quimper, en Cornouaille bretonne, la communauté turque installée depuis 1970, vient de prendre acte (provisoirement ?) du refus des « Bâtiments de France » d’autoriser, sur sa mosquée un minaret assorti de coupoles prévus par son architecte – évident et provocant emblème de sa conquête physique de notre territoire !- nous savons que ces musulmans fidèles d’Erdogan – l’actuel tyran de l’Etat Turc – n’ont jamais renoncé à suivre sa célèbre recommandation : « ….profitez de votre double nationalité pour voter en France…..mais ne vous assimilez jamais : nos mosquées seront nos casernes, leurs coupoles nos casques, leurs minarets nos baïonnettes ,et leurs fidèles nos soldats » comme l’a écrit l’un de leurs poètes….»
Et l’association d’insister :
« Ce n’est donc pas une renonciation définitive de la communauté turque et nous devons en persuader nos édiles qui en ce domaine, font preuve, comme d’ailleurs l’Administration, d’un dangereux angélisme !
Nous ne pouvons nous satisfaire de ce recul , après 3 présentations de projets , uniquement, dû à une contrainte purement environnementale risquant de céder devant « l’accroissement démographique » comme nous en prévient le président de la communauté mahométane qui se félicite que son implantation bretonne ait permis, cette année, l’édition d’un festival Turc’o Breton !
REAGIR restera donc vigilant car l’actualité récente,- et la Bretagne dans sa générosité n’est pas épargnée – révèle le résultat du cosmopolitisme et du communautarisme dont l’Angleterre et la Catalogne donnent, hélas, un bien triste et sanglant exemple de non- résistance opposée au salafisme…. donc au terrorisme.»
L’association turque, forte d’un millier de membres dans les environs, dispose toutefois pour l’instant (avant la rénovation) d’une capacité d’accueil, au sein de sa mosquée, de 500 personnes, et d’une salle de réception pouvant en accueillir 800 avec notamment une salle réservée exclusivement aux femmes.
NDLR : comme quoi, là où on se bat, on peut gagner...
09:23 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Thierry Bouzard, musicologue, interviendra dimanche 1er octobre lors de la XIe Journée de Synthèse nationale
08:56 Publié dans 11 - La 11e journée nationale et identitaire, Rendez-vous avec Les Bouquins de Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Dédiabolisation : Lettre ouverte à un camarade nationaliste
Camarade,
De toutes parts, j’ai entendu nos élus, cadres et responsables politiques affirmer, depuis plusieurs années déjà, qu’il fallait « adapter notre discours », devenir « acceptables », ou encore cesser « les critiques outrancières ou blessantes », comme si nous étions coupables d’hérésies.
Peux-tu alors me faire savoir si , durant les 30 dernières années :
Le chômage a diminué ?
La pression fiscale s’est allégée ?
L’arrivée de clandestins hors-la-loi a cessée ?
La sécurité sur la voie publique et dans les écoles a été rétablie ?
La vente de drogues a été éradiquée ?
La dette publique est en voie d’être résorbée ?
L’islamisation de nos quartiers et de notre mode de vie est une illusion ?
Face à ces maux qui gangrènent le quotidien de nos compatriotes, un constat s’impose :
« La classe politique dans son ensemble entasse les bêtises sur son imbécilité, cumule erreurs et mensonges, et son arrogance frise son incompétence ! ».
Partout dans les pays d’Europe on constate une radicalisation des électeurs envers le Système.
Dès lors, pourquoi changer de stratégie dans la conquête du Pouvoir ?
Quelles raisons s’imposent-elles aujourd’hui pour modifier la tactique destinée à mettre le Régime face à ses contradictions ? Pourquoi vouloir changer le nom d’un parti, connu dans l’Europe entière, au prétexte de respectabilité ? Changer d’emballage, pour garder le contenu ?
Comment garder (ou récupérer) nos électeurs, déçus par les partis traditionnels, si nous suivons, nous aussi, les règles du jeu et l’autocensure imposées par les gouvernants ?
Et qu’est-ce qui distinguerait encore ton parti des autres pourriticards, dès lors que vos discours « soft » dérouteraient ceux qui vous soutiennent encore. Parce que la majorité d’entre nous sommes non seulement des révoltés, mais plus encore des rebelles envers le Régime, prétendu « démocratique », qui tolère une invasion de barbares inassimilables, en fermant les yeux depuis des décennies sur leurs dérives.
Nous voulons abattre cette coalition faite de libéraux conservateurs alliés aux démocrates chrétiens et aux écologistes ; coalition complice des maffieux socialo-marxistes qui nous a entrainés au fond du gouffre économique, financier et moral. Ici, .et ailleurs en Europe !
Depuis longtemps ces adeptes du consensus mou de la Pensée Unique ont jeté les valeurs de notre Société aux orties en livrant nos quartiers à l’emprise musulmane.
Pire, les laquais du Nouvel Ordre Mondial ont élaboré des lois liberticides qui interdisent la liberté d’opinion, de réunion, d’expression et de presse à tout mouvement nationaliste et identitaire. Curieusement et depuis longtemps, je n’entends plus les ténors de ces partis, présents également au Parlement Européen, défendre ces libertés fondamentales et au contraire ils me donnent le sentiment de se coucher devant le Pouvoir.
Il serait grand temps que, tous, vous ouvriez les yeux sur les raisons qui ont motivé ceux qui, depuis 30 ans, vous ont permis de connaître vos succès politiques et électoraux, ceux-là mêmes à qui vous ne demandez jamais leur avis. Ces citoyens « d’en bas » dont un nombre important vous abandonnent depuis 2007, parce qu’ils ne trouvent plus dans vos écrits et dans vos discours le ton et les arguments qui les avaient séduits auparavant...
Reçois, Camarade, mon sincère salut nationaliste.
A Bruxelles, le 15 septembre 2017
08:55 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 18 septembre 2017
Dame Rantanplan à l’assaut de la droite et du centre !
La chronique de Philippe Randa
Valérie Pécresse, présidente de la région Île-de-France, se voit déjà « en haut de l’affiche » avec son mouvement « Libres ! », lancé ce week-end à Argenteuil, bien décidée à occuper l’espace politique entre Laurent Wauquiez et les « constructifs ».
La nature a certes horreur du vide, mais les ambitieuses bien nées à Neuilly-sur-Seine et encore mieux mariée au président d’Alstom, font parfois sourire.
N’a-t-elle pas été un important soutien de François Fillon avant de soutenir Alain Juppé lors de la joviale campagne des primaires de la droite ? Qu’à cela ne tienne, dame Pécresse –joli minois et cheveux au vent – a des convictions, faute d’arguments : celle, intime, « que rien ne serait pire que de repartir comme avant (ou encore) de servir aux Français la saison 3 de “à droite toute !”, une série dont ils connaissent déjà le scénario, dont ils anticiperont à l’avance les péripéties, une série vue et revue, avec des mots entendus, des réflexes stéréotypés… »
La nouvelle passionaria d’une droite républicaine encore sonnée de ses deux échecs électoraux successifs, a ainsi martelé qu’il faut « rassembler toutes les sensibilités de la droite et du centre… » (« Vaste programme ! » aurait dit le général De Gaulle) et, bien sûr : « refuser toute porosité avec le Front national » : en voilà des idées-qu’elles-sont-neuves, n’est-ce pas ?
Valérie Pécresse fait immanquablement songer à Rantanplan, le célèbre chien le plus bête de l’Ouest dont les tentatives pour sauter dans les bras d’un personnage se soldent inlassablement par des échecs : « Zut, trop court »… « Zut, trop long »…
Source EuroLibertés cliquez ici
22:42 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Vincent Vauclin, la Dissidence française, interviendra le dimanche 1er octobre lors de la XIe Journée de Synthèse nationale
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15:56 Publié dans 11 - La 11e journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Alban d'Arguin, auteur du livre choc "Eoliennes un scandale d'Etat", sera mercredi matin l'invité du Marquis sur Radio Courtoisie
Eoliennes un scandale d'Etat cliquez ici
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Le Journal du chaos de cette semaine
Pour télécharger, cliquez ICI
12:41 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Roland Hélie vous invite à venir nombreux dimanche 1er octobre à Rungis à la XIe Journée de Synthèse nationale
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Le 30 septembre et le 1er octobre Patrick Gofman est très occupé
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PARUTION LE 1er OCTOBRE À L'OCCASION DE LA JOURNÉE DE SYNTHÈSE NATIONALE DU LIVRE DE CARL LANG : UN CHEMIN DE RÉSISTANCE
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dimanche, 17 septembre 2017
Maudits Jeux Olymfric !
La grande catastrophe est entérinée sous les applaudissements du pouvoir d’occupation médiatique, serviteur toujours zélé de la Finance et de la Banque. Réuni à Lima au Pérou le 13 septembre dernier, le CIO (Comité international olympique) a attribué l’organisation des XXXIIIe Olympiades de 2024 à Paris et les XXXIVe en 2028 à Los Angeles.
Toute la clique politico-économico-médiatico-sportivo-dopée de l’Hexagone exhulte ! Trente-deux ans après les Jeux d’hiver d’Albertville en Savoie, le grand cirque du sport-spectacle, de l’hégémonie publicitaire et du fric-roi reviendra en France, et pas n’importe où ! Dans le territoire – modèle de la « France périphérique » décrite par Christophe Guilluy, Paris et l’Île-de-France. Une fois encore, le centralisme parisien permet à la région-capitale de bénéficier d’investissements financiers colossaux pour les aménagements prévus et les nouveaux réseaux de transports. Certes, ces travaux d’aménagement peuvent empêcher l’asphyxie, la thrombose et l’apoplexie de cette région obèse en population, en activités économiques et en richesses produites. Toutefois, pour quinze jours de gloriole mondio-diffusée, le régime d’Emmanuel Macron délaisse volontiers les régions rurales, ferme des lignes ferroviaires non rentables mais indispensables au tissu local, et favorise les aires métropolitaines.
La France a-t-elle encore les moyens de se payer une danseuse capricieuse appelée « Jeux Olympiques » ? Vu la situation économique déplorable, la réponse est non. Mais les homoncules qui dirigent l’Hexagone savent être très généreux avec l’argent public, cet argent extorqué à des contribuables épuisés. Ces politiciens devraient quand même se souvenir qu’Athènes accueillit les JO en 2004. Six ans plus tard, la Grèce entrait dans une interminable récession.
L’avenir hexagonal de 2024 a déjà un passé et c’est celui, hélas !, de la patrie de Platon et d’Aristote.
Bonjour chez vous !
• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n° 44, diffusée sur Radio-Libertés, le 15 septembre 2017.
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PATRICK GOFMAN SERA LE DIMANCHE 1er OCTOBRE À LA JOURNÉE SE SYNTHÈSE NATIONALE À RUNGIS
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Prenez dès maintenant votre billet d'entrée à la XIe Journée de Synthèse nationale du dimanche 1er octobre prochain
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JEAN-PAUL CHAYRIGUES DE OLMETTA INTERVIENDRA DIMANCHE 1er OCTOBRE LORS DE LA JOURNÉE DE SYNTHÈSE NATIONALE À RUNGIS
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NOTRE DAME DE RANGOON N’EST PLUS EN ODEUR DE SAINTETE !
Le Bloc-notes de Jean-Claude Rolinat
Tout ce que la sphère médiatique et la « bobocratie » comptent comme desservants de la néo religion « droitdlhommiste », est en émoi, en ébullition, en transe, en pamoison, s’interrogeant sur le silence, jusqu’à présent, de l’une de ses icônes… Comment, Aung San Suu Kyi, Prix Nobel de la Paix, principale ministre du gouvernement du Myanmar (1) depuis qu’elle a passé un accord avec le Conseil d’Etat pour la Restauration de la loi et de l’Ordre, le « SLORC », autrement dit la junte militaire birmane, ne dit rien à propos de la minorité persécutée des Rohingyas ? Comment est-ce possible, se pourrait-il qu’elle trahisse ainsi les « siens », ses adorateurs germanopratins des beaux quartiers parisiens qui ne savent de ce pays d’Asie du Sud-Est que ce que les médias aux ordres leur distillent comme infos ?
Ce n’est pas le premier exode, ce ne sera pas le dernier
Conviée comme tous ses pairs à l’Assemblée générale de l’ONU qui se tient chaque mois de septembre à New-York, la ministre des affaires étrangères a refusé l’invitation pour bien marquer l’indignation de son pays qui fait figure d’accusé dans l’exode de cette minorité musulmane de la côte sud-occidentale birmane.
Pourquoi cette fuite éperdue de 300 à 400 000 Rohingyas quittant l’Etat d’Arakhan pour rejoindre le Bangladesh musulman à travers l’Etat Chin ? Les Rohingyas viennent de l’ex-Empire britannique des Indes avec qui ils coopérèrent pendant la colonisation, ce que les nationalistes birmans ne leur pardonnent pas, les considérant comme des « traitres ». D’autre part, cette minorité islamique vit au milieu d’un monde majoritairement bouddhiste et les adeptes de cette religion, généralement pacifiques, n’aiment pas « qu’on leur écrase les orteils », d’autant qu’ils marchent souvent pieds nus, comme j’ai pu le constater dans des pays voisins comme la Thaïlande ou le Cambodge ! Autrement dit, le comportement de cette minorité ne convient pas, mais pas du tout au monde birman qui les entoure.
Persécuté bien avant l’éclatement du « Raj » Victorien et l’indépendance de ses composantes, ce peuple n’a jamais été accepté dans ce sac d’ethnies qui constitue depuis 1948 l’Union birmane. Il a été victime d’une sorte d’apartheid bien plus radical qu’en Afrique du Sud. Là comme ailleurs, le colonisateur a eu une grande responsabilité dans le découpage de ses possessions. Ces gens-là n’auraient jamais dû se retrouver du côté birman des nouvelles frontières ! Mais hier, c’est le passé et aujourd’hui l’objectivité nous pousse à constater qu’ils ne peuvent plus vivre en Birmanie. Ici comme chez nous, le « bien vivre ensemble » a ses limites. L’attaque en août dernier de postes de police et de militaires birmans par des rebelles armés de cette ethnie, a entrainé de sanglantes représailles, quasiment inévitables dans ce contexte de haine exacerbée. La solution humaine réside, bien sûr, dans la migration, « l’exfiltration », de ce peuple musulman vers le Bangladesh, l’ex-Pakistan oriental, où il retrouvera un contexte islamique. Ce ne serait pas le premier exode contemporain.
Déjà, en 1945 et jusqu’en 1949, des millions d’Allemands avaient quitté la Prusse orientale, la Silésie, les Sudètes et Dantzig (Gdansk), 6 à 7 millions de Belges et de Français avait erré sur les routes de notre pays en mai et juin 1940 et en 1947, on avait assisté à un chassé-croisé d’Hindous et de musulmans quittant respectivement le Pakistan naissant, et l’Inde de Gandhi. Cinq cent mille Palestiniens n’ont-ils pas été stupidement chassés par la guerre inopportunément déclenchée par les pays arabes contre Israël en 1948, et plus d’un million de Pieds noirs, de harkis et leurs familles, n’ont-ils pas quitté précipitamment leur Algérie natale après la trahison gaulliste de 1962, appelons « un chat, un chat » ?
L’intérêt de l’Union birmane d’abord
Curieusement, lorsque le peuple Karen, majoritairement chrétien, luttait pour son indépendance (2) contre les soldats du général Ne-Win et ceux de la junte qui lui succéda, personne ne descendait dans la rue ou ne se réunissait au Trocadéro comme l’ont fait de squelettiques effectifs de protestataires pro-Rohingyas. C’est ce que l’on appelle l’indignation à deux vitesses. Lorsque Bo Mya, le chef rebelle de l’Union nationale Karen (KNU en Anglais), est décédé en décembre 2012 sans pouvoir réaliser son rêve, -la constitution d’un Etat Karen indépendant, le Kawthoolei-, et que les forces de la KNU ont dû se replier avec leurs familles en Thaïlande, personne n’a versé une larme sur ces chrétiens persécutés.
De nos jours, Aung San Suu Kyi qui gouverne sous l’œil attentif des militaires qui détiennent 25 % des sièges au gigantesque parlement de Nay Pyi Taw, la nouvelle capitale depuis décembre 2011, incarne l’identité birmane et ne peut décevoir son peuple. Même si, intérieurement, elle peut regretter ces évènements, voire souffrir devant ces évidentes violations des droits humains, elle est en charge de l’intérêt supérieur de son pays. Et l’intérêt de la Birmanie, c’est de rester unie après les confrontations inter-ethniques du passé, les diverses tentatives de sécession, et la dictature implacable des militaires qui ont regagné leurs casernes. Certes, la ligne de crête est étroite. Mais « the Lady » comme elle est ainsi désignée dans le film éponyme de Luc Besson, garde auprès de son peuple un immense prestige acquis pendant ses longues années de prison et de résidence surveillée, sans pouvoir revoir son Anglais de mari agonisant. Les portes de la liberté sont ouvertes, mais elles peuvent vite se refermer, les baïonnettes sont à deux pas…
La dame de Rangoon n’a pas le choix. Elle doit composer avec l’Etat-major. Tant que leurs intérêts vitaux ne seront pas menacés, les généraux lâcheront la bride, trop contents d’ailleurs de voir leur ancienne ennemie être la garante de la paix sociale et civile. Alors, les Rohingyas…
Notes
(1) Nouveau nom donné au pays par les militaires qui ont aussi changé le drapeau national
(2) Quelques jeunes européens, notamment des Français épris de justice et d’aventure, sont partis donner un coup de main aux rebelles de la KNU dans les années quatre-vingts
11:21 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
ROGER HOLEINDRE PRENDRA LA PAROLE DIMANCHE 1er OCTOBRE LORS DE LA JOURNÉE DE SYNTHÈSE NATIONALE À RUNGIS
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11:06 Publié dans 11 - La 11e journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Irma tempête de mensonges
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samedi, 16 septembre 2017
LA DETTE DES ÉTATS-UNIS VIENT DE DÉPASSER LES 20.000 MILLIARDS DE DOLLARS !
Marc Rousset
Le gouvernement des États-Unis vient d’annoncer que la dette américaine a dépassé les 20.000 milliards de dollars, soit environ dix fois la dette de la France, qui est déjà irremboursable pour une population seulement cinq fois plus grande. C’est ce que nous fait remarquer le journaliste Simon Black dans une excellente chronique sur le site SovereignMan.com du 12 septembre 2017.
La dette publique américaine s’élève exactement à 20.100 milliards de dollars, soit plus de 100 % du PIB. Elle augmente sans cesse et personne ne voit comment elle pourrait diminuer. C’est ainsi que, d’octobre 2016 à juillet 2017, le déficit des États-Unis s’est élevé à 566 milliards de dollars, soit davantage que le PIB de l’Argentine !
Tout cela n’est pas sans nous rappeler l’endettement extravagant de la monarchie française à la veille de 1789 et les assignats devenus sans valeur de la République française. On se souvient des paroles de l’ancien secrétaire au Trésor Lawrence Summers : « Combien de temps le plus gros emprunteur du monde pourra-t-il rester la première puissance planétaire ? »
Il en résulte que la soi-disant première puissance du monde doit constamment emprunter de l’argent aux Chinois… et créer ex nihilo de la monnaie avec le « Quantitative Easing ».
Le problème de la dette américaine paraît insoluble car les quatre postes de dépense les plus importants du budget américain représentent 90 % des dépenses du budget fédéral et semblent incompressibles : la sécurité sociale, « Medicare », la Défense et le service de la dette.
Quant au service de la dette, il est tout à fait impossible de le réduire sous peine de défaut, de krach financier immédiat et de proclamation officielle de la faillite des États-Unis.
Aux États-Unis, depuis 1945, les rentrées fiscales sont stables et représentent 17 % du PIB. Or, il se trouve que la dette américaine progresse trois plus vite que le PIB ! Et la croissance économique actuelle est très faible alors que les taux d’intérêt sont très bas. Si les taux augmentent – ce qui finira inéluctablement par arriver malgré toutes les contorsions et le cinéma médiatique de la Fed -, la croissance économique ralentira et le coût du service de la dette augmentera d’une façon vertigineuse, même supplice que vivra la France beaucoup plus tôt que Macron le pense !
La seule solution qu’ont trouvée les pays occidentaux jusqu’à ce jour, c’est la fuite en avant, la création de monnaie et « tout va très bien, Madame la Marquise » dans les médias… mais jusqu’à quand ? Réponse : jusqu’à ce que tout explose un beau matin d’une façon imprévisible dans le monde entier sans crier gare.
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17:11 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |