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mercredi, 10 mai 2017

DIMANCHE 21 MAI : THOMAS JOLY À LA JOURNÉE RÉGIONALE DE SYNTHÈSE NATIONALE À NIEPPE PRÈS DE LILLE

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Le programme de la journée cliquez là

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MARION MARÉCHAL LE PEN S'EXPLIQUE

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Refuser l'infantilisme

Unknown.jpgBruno Hirout
 
Parti de la France - Calvados cliquez ici
 
Depuis le résultat de l'élection présidentielle, et pour certains depuis le débat de la semaine dernière, les réseaux sociaux ont largement été utilisés par des militants de la cause nationale pour répandre les poisons du désespoir et du défaitisme.
 
Cette attitude négative est totalement contre-productive pour les idées que nous souhaitons voir appliquées à notre pays.
 
Un peu de décence
 
Tout d'abord, le minimum de décence impose à chaque homme de ne pas se plaindre, et encore moins de se répandre en lamentations lorsqu'il s'exprime, surtout lorsqu'il s'exprime sur les réseaux sociaux, c'est-à-dire lorsqu'il couche ses états d'âmes par écrit, sur un support qui permet à n'importe qui de "partager" l'information.
 
C'était juste une bataille
 
Ensuite, ceux qui ont vu dans le débat ou dans la défaite électorale une catastrophe, un début de la fin ou un cataclysme politique et qui s'en sont répandus sur internet, ont commis un double faute : ils ont potentiellement découragé des Français qui souhaitent s'investir en politique pour aider leur pays, et ils ont montré à nos ennemis de quoi les réjouir et éventuellement se foutre de notre gueule.
 
Chaque bataille n'est qu'une bataille, et chialer après une défaite est une attitude puérile et stérile.
 
C'était juste une élection
 
C'est peut-être le plus important, tout ce cirque qui a monopolisé les chaînes d"information continue pendant plusieurs mois, n'était qu'une élection. Une parmi d'autres, et surtout, l'élection n'est qu'un événement parmi d'autres. Qu'est-ce qu'une élection par rapport à la naissance d'un enfant blanc ? Qu'est-ce qu'une élection par rapport à l'arrivée dans le clan d'un militant qui croyait être le seul nationaliste dans sa ville ? Qu'est-ce qu'une élection par rapport à la puissance du rosaire ? Rien du tout !
 
Notre combat est total
 
Notre combat ne peut pas se résumer à la performance d'une patriote laïcarde à la télévision, ni aux turpitudes isoloiriennes d'une masse d'électeurs sous-informés et sous-formés.
 
Notre combat est familial, ethnique, démographique, culturel, religieux, civilisationnel et territorial. Pleurer sur son sort après un vote ou une émission est une grave démonstration non seulement de déséquilibre émotionnel, mais aussi d'absence de sens des priorités et des réalités. Chaque nationaliste doit remettre sa tête à l'endroit et cesser de s'effondrer à chaque épreuve à laquelle il est confronté, il n'est même pas besoin d'être nationaliste pour cela, mais simplement... un homme !
 
Nous ne capitulerons jamais
 
Nous célébrions hier le 8 mai 1945, c'est l'occasion de se rappeler cette épatante injonction allemande : Niemals kapitulieren ! Il n'est jamais question de lâcher le morceau, de se laisser aller à la dépression, au défaitisme et au renoncement. Celui qui cesse de combattre ne fait que s'offrir à l'ennemi, c'est bien sûr une posture inadmissible pour qui veut pouvoir continuer à se regarder en face chaque matin.
 
Nous ne pouvons pas prédire l'avenir
 
Comme nous ne savons pas de quoi le futur sera fait, à part les cyber-oracles qui se trompent tout le temps et qui, tels des Témoins de Jéhovah, nous annoncent chaque jour l'apocalypse pour après-demain, la seule chose que nous avons à faire c'est de continuer le combat, dans tous les secteurs, partout et tout le temps. Ne jamais cesser d'être nationaliste, toujours se demander ce qu'on peut faire pour la nation et pour le nationalisme, ne jamais trouver normal que quelqu'un se plaigne de notre situation sans proposer un seule solution crédible !
 
Nous ne sommes pas des enfants mais des militants politiques, engagés dans une lutte qui nous dépasse : la survie de notre peuple et de notre nation.

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mardi, 09 mai 2017

Dimanche 14 mai, Paris : HOMMAGE UNITAIRE À SAINTE JEANNE D'ARC

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18:41 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

RAPPEL : DIMANCHE 21 MAI, À NIEPPE, PRÈS DE LILLE

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Roland Hélie invité ce mardi à la matinale de Radio Libertés

IMG_1230.JPGRoland Hélie, directeur de Synthèse nationale, était ce matin invité par Arnaud Menu à donner son avis sur la Présidentielle lors de "la matinale" de Radio Libertés.

Pour écouter cette émission cliquez ici (l'entretien avec Roland Hélie débute à 28,50 mn).

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Pour Zemmour, le problème vient de Marine Le Pen

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Source Valeurs actuelles cliquez ici

Présidentielle. Dans un exercice de questions-réponses avec les internautes de RTL, Éric Zemmour a vivement critiqué la campagne tenue par Marine Le Pen.

Éric Zemmour a donné son analyse des résultats de l'élection présidentielle, lundi 8 mai sur RTL. Marine Le Pen était dans le viseur. "Elle était donnée à 30% au premier tour, elle finit à 21%. Elle était donnée à plus de 40 % au second tour, elle finit à 35%. Ça, c'est l'effet campagne de Marine Le Pen. À chaque fois, ses idées sont bien plus hautes qu'elle. Il y a un vrai problème Marine Le Pen aujourd'hui", explique le polémiste."Marine Le Pen est de gauche"

Pour Éric Zemmour, le principal problème provient de sa stratégie de campagne. En d'autres termes, de la ligne Philippot, plus sociale qu'identitaire, plus économique que culturel. Une stratégie mortifère aux yeux du polémiste. "Même si dans ses discours, elle tient compte davantage de l'identité et de l'immigration, de l'islam qui sont les vrais sujets qui peuvent rassembler au-delà de son électorat, elle retombe dans sa stratégie inspirée de Florian Philippot, de gauche. Elle privilégie le social sur l'identitaire" a-t-il déclaré.

Mais Éric Zemmour ébauche également le scénario qui risque de secouer le FN dans les prochains mois : le remplacement de Marine Le Pen. Lors du débat face à Emmanuel Macron, elle a montré une incompétence crasse et une incapacité à prendre de la hauteur (...) Elle est tombée dans tous les pièges que lui tendait Emmanuel Macron, sans être capable de répliquer sur le plan économique et de parler de la France. Elle n'a pas la culture qu'avait son père ou la génération précédente.", a expliqué Éric Zemmour.

Enfin, après avoir rappelé que la présidente du FN était "de gauche, et que tous ses réflexes [étaient] de gauche", Éric Zemmour a évoqué l'union des droites qui permettrait selon lui d'asseoir des idées "majoritaires dans le pays" (sur l’immigration, l’islam…), mais cela dit-il, "ni Marine Le Pen, ni la droite classique ne veut de cette union".

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lundi, 08 mai 2017

Hier soir, j’ai vu l’inquiétante et décérébrée Génération Macron

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Charles Demassieux Riposte laïque cliquez ici

La France a donc élu tout à la fois son président, son roi, son empereur, son pharaon, puisqu’il a choisi le Louvre pour exulter, cadré avec la pyramide dans le dos pendant qu’il s’imprégnait d’une aura prophétique ou… pathétique.

Enfin, la France : plutôt la « Génération Macron », selon la une du quotidien suisseLe Temps. C’est-à-dire des garnements auxquels leurs parents ont enseigné qu’ils n’avaient que des droits, qu’ils étaient les plus beaux et qu’ils pouvaient jouir sans entraves et sans frontières. Des garnements qui sourient toujours parce qu’ils se foutent de tout, à part de leur petit monde sans hauteur.

Une France connectée et ubérisée a plébiscité son candidat. Pour un peu, on se croirait dans le film L’Âge de cristal, où, dans une société futuriste et jeuniste, l’on est forcé de mourir avant de vieillir. Parce que les vieux ce n’est pas dynamique et encore moins nomade. Jacques Attali, conseiller occulte du yuppie victorieux, n’a-t-il pas jadis déclaré : « Dès qu’il dépasse 60/65 ans, l’homme vit plus longtemps qu’il ne produit et il coûte cher à la société. Je crois que dans la logique même de la société industrielle, l’objectif ne va plus être d’allonger l’espérance de vie, mais de faire en sorte qu’à l’intérieur même d’une vie déterminée, l’homme vive le mieux possible mais de telle sorte que les dépenses de santé soient les plus réduites possible en termes de coût pour la collectivité. Il est bien préférable que la machine humaine s’arrête brutalement plutôt qu’elle se détériore progressivement. L’euthanasie sera un instrument essentiel de nos sociétés futures » ?

Le directeur de la campagne numérique du nouveau président, Mounir Mahjoubi, l’a dit : « Soyez prêts à voir de nouveaux visages. Nous allons changer la vie politique » (source : Libération). Oui, du passé faisons table-rase, même si, sans passé, une nation court à sa perte. Peu importe, me direz-vous, puisque la France va devenir un gigantesque open space – faudra s’habituer aux anglicismes car la génération fun est au pouvoir ! –, dont profiteront AUSSI certains, qui entendent quant à eux défendre et imposer leur passé figé et né dans un désert aride. Vous voyez de qui je parle !

Un bémol toutefois, Emmanuel Macron a été élu avec 66% des voix, mais avec 25% d’abstention et près de 12% de votes blancs et nuls, sans oublier les 34% de Marine. Non, le président 2.0 ne fait pas encore l’unanimité. Le culte indiscutable du nouvel Être suprême n’est pas encore pour maintenant.

Un autre bémol, ces casseroles exhumées par WikiLeaks et qui, sauf pour les groupies du gourou-président, risquent d’écorner son image bien lisse de gendre idéal.

Ce président aura tout de même bénéficié d’une chasse aux sorcières sans précédent : celle de Fillon, ce néo-Daladier ayant traîtreusement signé ses propres accords de Munich en filant un chèque en blanc au candidat d’En Marche !, et celle de Marine Le Pen, qui risque de payer cher le fait d’avoir perdu. Un président qui aura reçu les hommages de la quasi-totalité des médias, serviles comme jamais, hargneux, voire enragés, lorsqu’il se trouvait en difficulté. Au moins, les masques sont tombés de ce côté-là.

Quel avenir pour la France ? Poser la question c’est déjà y répondre, hélas. Il reste les Législatives, mais une fois de plus, je crains ce front républicain. Il reste, surtout, le réveil des forces vives de la Nation, sans lesquelles Macron ne sera rien : l’Armée, les forces de l’Ordre, le peuple humilié par l’immigration féroce, l’islam meurtrier et l’élite méprisante.

Qu’il est loin le temps où le duc d’Aumale, présidant alors le conseil de guerre jugeant le maréchal Bazaine pour sa capitulation face aux Prussiens, répondait à l’intéressé qui tentait de se justifier : « Il restait la France, Monsieur ! »

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La réplique au bankster mondialiste Emmanuel Macron ? Le 14 mai 2017, grand défilé unitaire des patriotes et des défenseurs de la famille

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Communiqué d'Alain Escada, Président de Civitas :

La page de l’élection présidentielle est tournée. Voilà un bankster mondialiste aux commandes de l’Etat. Tous les lobbies de l’anti-France pavoisent, tous les cercles cosmopolites applaudissent, tous les acteurs de la haute finance apatride se frottent les mains, tous les promoteurs de la décadence morale sont à la fête.

Si ce résultat a de quoi nous inquiéter, il n’est que la continuité de la politique désastreuse de déracinement que nous subissons depuis des décennies et qui veut nous réduire à l’état de consommateurs nomades sans Dieu, sans famille, sans patrie.

Mais il ne peut y avoir de place ni pour la résignation ni pour la déprime. Dès à présent s’engage la bataille pour les élections législatives. Ensuite viendra le temps de structurer une résistance efficace qui reposera obligatoirement sur un socle de principes moraux sans lesquels aucune véritable restauration nationale ne peut s’envisager solidement.

Au plus vite, nous avons besoin d’un grand évènement fédérateur.

Civitas invite l’ensemble des patriotes et des défenseurs de la famille à faire du défilé d’hommage à sainte Jeanne d’Arc, le dimanche 14 mai 2017 (14 h. place St Augustin), un grand rassemblement unitaire pour réaffirmer publiquement nos valeurs non négociables.

Plus d'informations cliquez ici

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Carl Lang appelle les Français se reconnaissant dans les valeurs et les principes de la droite nationale à rejoindre le Parti de la France.

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Communiqué du Parti de la France :

Le résultat de l’élection présidentielle révèle douloureusement pour les militants nationaux que la stratégie « à gauche toute » et le souverainisme gauchisant de Marine Le Pen ont ruiné les chances de réaliser la grande alternance nationale.

Alors que les conditions historiques et le contexte politique lui étaient exceptionnellement favorables, Marine Le Pen a transformé un boulevard électoral en impasse politique.

Il est nécessaire pour la France de faire à nouveau entendre la voix de la vraie droite nationale française.

Soutenez les candidats du Parti de la France aux élections législatives qui vont faire une campagne de résistance nationale, de défense de nos valeurs de civilisation et de refus de l’islamisation.

Aidez le Parti de la France. Rejoignez-nous.

Site du PdF cliquez ici

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LE COMBAT CONTINUE

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LA HAUTE FINANCE INSTALLÉE À L’ELYSÉE : VIVE LA RIPOUBLIQUE !

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Pierre Vial Président de Terre & peuple

Les gros malins friqués et les jobards ont désormais le Président qu’ils méritent et qu’ils ont voulu : ce produit type de la Haute Finance anonyme et vagabonde, comme disait Henry Coston.

Avec lui, pas d’erreur possible : les très riches seront encore plus riches, les très pauvres encore plus pauvres. En application d’un libéralisme pur et dur, qui sème sur sa route précarité, pauvreté, désespoir. Rassurez-vous : cela n’empêchera pas les bobos de dormir. Tout au moins jusqu’au jour où on ira les réveiller pour les pendre à l’arbre le plus proche…

Car nous entrons dans une nouvelle phase de l’Histoire dont les apprentis sorciers qui ont monté l’opération Macron s’imaginent qu’ils pourront la maîtriser, comme d’habitude. Or ils ont fabriqué et mis en place un Golem (rappelons à ceux qui ne sont pas familiarisés avec la tradition juive et la kabbale que le Golem est un puissant monstre anthropoïde, fabriqué par un rabbin avec de l’argile, destiné à servir inconditionnellement son créateur… mais qui peut lui échapper).

Bien sûr, le monde du fric roi est aux anges : la créature qu’il a fabriquée de toutes pièces et installée à l’Elysée va servir au mieux ses intérêts. Pendant cinq ans ? Les dieux en décideront. En inspirant peut-être à un peuple méprisé, bafoué, exploité une volonté de révolte aboutissant à la destruction du Golem.

C’est à cette œuvre de libération qu’il nous faut maintenant travailler, en particulier sur le terrain social, économique et culturel, au plus près des réalités, à la base, au contact de toutes celles et de tous ceux qui vont souffrir de plus en plus de la casse à grande échelle organisée par des gens qui se croient désormais tout permis et veulent écraser toute résistance. Il faut entrer en sécession, rompre tous les ponts avec un Pays Légal qui doit devenir de plus en plus une carcasse vide. Que le Pays Réel organise son autodéfense et sa survie – et tout sera possible. Comme a dit un jour un grand soldat : « Courage, on les aura ! ».

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dimanche, 07 mai 2017

APOCALYPTIQUE JUSQU'À LA FIN

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LE RÉQUISITOIRE D'IGNACE :

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7 MAI 1954

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samedi, 06 mai 2017

L’omniprésidence turque

Recep_Tayyip_Erdogan-227x300.pngGeorges Feltin-Tracol

Le 16 avril dernier, les électeurs turcs étaient convoqués à un référendum crucial. Ils devaient se prononcer sur une grande révision de la constitution de 1982 rédigée par la junte militaire alors en place.

Premier ministre omnipotent entre 2003 et 2014, Recep Tayyip Erdogan avait déjà réussi une première modification en 2007 en imposant l’élection au suffrage universel direct du président de la République de Turquie pour un mandat de cinq ans renouvelable une fois. Auparavant, le chef de l’État était élu par les parlementaires pour un mandat unique de sept ans et exerçait une fonction principalement honorifique.

L’élection dès le premier tour d’Erdogan et son tempérament autoritaire provoquèrent l’éviction de son ancien conseiller diplomatique, le Premier ministre Ahmet Davotuglu, pour un chef de gouvernement plus malléable. Désormais, malgré une opposition qui soupçonne une vaste fraude électorale et une victoire plus courte que prévue (51,41 %), la nouvelle réforme fait de la Turquie non pas un régime présidentiel calqué sur le modèle étatsunien, mais plutôt un régime présidentialiste.

En effet, toujours élu pour cinq ans, le président qui n’aura plus de premier ministre à partir de 2019, nommera et révoquera les membres de son gouvernement, dirigera tout l’exécutif et aura le droit de présider un parti politique. Chef suprême des forces armées, il supervisera les magistrats et pourra gouverner par décret. La concordance des élections présidentielles et législatives sera appliquée : les Turcs voteront le même jour pour le président et les députés. De fait, la dissolution de la Grande Assemblée nationale (impensable en système présidentiel) entraînera une élection présidentielle anticipée. Observons que cette simultanéité électorale fut défendue en France dans les années 1960 par le Club Jean-Moulin, proche des socialistes, puis par Jean-Pierre Chevènement dans Le temps des citoyens en 1993.

Désireux d’éclipser la figure fondatrice d’Atatürk, Erdogan s’est offert des institutions hyper-présidentielles qui lui assurent la plénitude du pouvoir. La Turquie retrouve ainsi avec lui sa puissance régionale d’avant au risque de déstabiliser une nouvelle fois tout le bassin méditerranéen, les Balkans, le Caucase et, on l’a vu récemment avec l’implantation de fortes communautés immigrées turques, l’Europe occidentale.

Bonjour chez vous !

• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n° 31, diffusée sur Radio-Libertés, le 28 avril 2017.

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Le Journal du chaos de cette semaine

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Pour le lire cliquez ici

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vendredi, 05 mai 2017

Le MNR appelle à voter Marine Le Pen dimanche prochain

Communiqué du MNR :

MNR.jpgHostile à la politique mondialiste, immigrationniste et libertaire, incarnée par Emmanuel Macron, le Mouvement national républicain (MNR), appelle les électeurs à lui faire barrage et donc à voter pour Marine Le Pen.

10:07 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Débat Marine / Macron : deux avis intéressants qui donnent une idée sur l'état des troupes publiés sur le site Boulevard Voltaire

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Marine Le Pen petite joueuse

Jany Leroy, scénariste

L’erreur fatale de Marine Le Pen est de ne pas avoir su poser le véritable enjeu. Plutôt que se laisser enfermer dans des considérations techniques, elle devait se montrer porteuse d’un souffle. D’un élan. D’une dignité. Elle n’a en rien répondu à cette attente.

Un jeu de ping-pong politique, proposition contre proposition – « C’est moi qui ai la meilleure et pas toi, nananère » -, n’était pas adapté à la situation. La question centrale devait être : « Nous sommes sur le Titanic, vous proposez de colmater les brèches, moi je propose de le quitter avant qu’il ne soit trop tard. Point à la ligne. Tout le reste n’est que littérature et baratin de camelot. Pour quitter ce navire, je propose une chaloupe qui, certes, n’est peut-être pas parfaite, mais présente le mérite d’éviter le naufrage intégral. »

L’autre angle d’attaque pouvait être : « Je ne vous reproche pas d’avoir fait partie de ce gouvernement mais d’être porteur d’un projet qui revient à continuer sur la ligne de ce que nous connaissons depuis trente ans. Avec vous, le changement, c’est pas maintenant, ni plus tard.

C’est jamais. Vous êtes le clone de Sarkozy, Hollande et de toute cette oligarchie politique qui emmène la France dans le mur en remettant les clés du pouvoir à des technocrates de Bruxelles qui n’ont même pas été élus. Vous êtes le porte-parole du capitaine de ce bateau qui coule et vous voulez faire croire au Français que la croisière peut continuer… Vous n’êtes pas sérieux mais je vous reconnais la qualité de bien réussir à faire illusion. »

« Monsieur Mitterrand, vous n’avez pas le monopole du cœur. » Boum. Giscard avait gagné. C’est ce langage clair et net que l’électeur veut entendre. Ou façon Hollande : « Moi président je… »  Marine Le Pen n’a pas compris que le seul moyen de remporter la partie était de laminer l’adversaire par une approche en « altitude » illustrée par des images fortes.

Elle se devait d’aborder ce face-à-face avec sérénité. Il était impératif d’éviter l’enlisement dans des modalités de ceci et cela, charges patronales, taxe d’habitation supprimée mais compensée par tel machin et autres imbroglios auxquels les Français ne comprennent pas grand-chose. Elle devait parler au cœur. Or, elle s’est laissée entraîner dans l’arrière-cuisine.

Faire calmement le bilan du chômage, de l’insécurité et de l’immigration sur ces dix dernières années, chiffres à l’appui, puis démontrer que le projet Macron ne proposait en rien d’enrayer cette déconfiture constituait un argument simple en mesure de bousculer l’électeur. Pourquoi ne l’a-t-elle pas fait ? Ses interventions étaient au niveau d’une discussion de bistrot. En adoptant une attitude totalement à côté de la plaque, Marine Le Pen a commis une erreur grave qui amène à se demander si elle a la stature de représenter l’espoir que des millions de Français ont placé en elle.

 

On n’abandonne pas son capitaine avant un assaut final

Me Frédéric Pichon, avocat

Alors que les médias se déchainent dans une incroyable unanimité pour faire l’éloge de Macron – Le Figaro (journal des exilés fiscaux) en tête – suite au débat qui l’a opposé à Marine Le Pen hier soir, certaines voix y compris dans le camp des patriotes  se laissent aller au découragement et à un défaitisme, ce qui démontre une inconstance et une immaturité à l’image de notre époque consumériste. Époque où l’on subit, l’on consomme sans se donner ni se prendre en main.

Je n’évoquerai même pas ici une partie de la prétendue droite, qui a déjà fait une croix sur ce second tour, pour chercher de misérables investitures qu’ils n’auront peut-être pas, dans l’espérance d’un gouvernement de cohabitation.

Ni ceux qui se réfugient dans un confortable ni-ni qu’ils ont l’incroyable indécence de faire passer pour un acte de courage lorsqu’il n’est que l’apanage de leur propre veulerie.

Tous ces barons me font penser à cette noblesse que l’on voit dans Braveheart abandonner au dernier moment William Wallace et ses gueux face aux troupes de la perfide Albion.

Marine Le Pen s’est peut être trompée de stratégie en tentant de faire sortir le candidat du néant de ses retranchements afin qu’il découvre le vide abyssal de sa pensée. Elle n’y est pas parvenue. Dont acte.

Faut-il pour autant joindre ses voix à tous les Cassandres qui se couchent avant même d’avoir combattu, comme le fit François Fillon au bout de deux minutes au soir du premier tour, après avoir auparavant fustigé les manœuvres du cabinet noir et s’être livré à un incroyable chantage au vote utile ?

On n’abandonne pas son poste avant la bataille finale même si les chances de victoire sont infimes. Et ce n’est pas simplement un ressort purement romantique qui m’inspire à livrer cette bataille et encore moins un aveuglement fanatique ayant critiqué en interne lorsque j’ai été élu membre du comité central en 2014, l’abandon des fondamentaux identitaires et civilisationnels au profit d’une logorrhée  anxiogène sur l’euro.

Simplement la conscience d’un enjeu crucial pour l’avenir de notre pays, de nos enfants – je viens d’être père au moment où j’écris ces lignes – face au raz de marée nihiliste, libéral libertaire et remplaciste que nous préparent Monsieur Macron et ses commanditaires.

Marine Le Pen n’est ni Saint Louis ni Jeanne d’Arc certes, mais c’est une fille de France qui combat courageusement comme une lionne dans une arène face à des fauves affamés de haine et de sang.

Il est vraisemblable qu’au soir du second tour, le visage d’Emmanuel Macron apparaisse comme celui du grand vainqueur et que nous verrons des drapeaux algériens flotter sur les champs Elysées sous les youyous des femmes voilées.

Mais je ne voudrais pas si un jour notre pays est amené à disparaître que mon petit garçon ait le souvenir d’un père qui soit devenu un esclave sans avoir combattu.

Source Boulevard Voltaire cliquez ici

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jeudi, 04 mai 2017

Obama, Nietzsche et le « dernier électeur » du candidat Macron

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Bernard Plouvier

On a parfaitement compris, et depuis plusieurs lustres, que la globalo-mondialisation, dans laquelle le gentil consommateur, de préférence endetté, est seul considéré comme un honnête citoyen, exige que le « grand village mondial » ne soit plus peuplé que d’êtres interchangeables, stéréotypés, aussi peu imaginatifs que possible et parfaitement réceptifs à la propagande des media : un ensemble de non-individualités, si l’on préfère la reproduction à des milliards d’exemplaires de ce que Nietzsche appelait « le dernier homme », l’animal gamma du troupeau humain, l’être fongible, c’est-à-dire remplaçable par n’importe quel autre.

Ceci illustre à la perfection la dernière surprise de la campagne démagogique (variante : ultra-libérale) de M. Macron : le soutien logique, mais inattendu, du clown Barack-Hussein Obama, ex-mahométan (durant son adolescence) et dont la politique extérieure fut celle d’un crypto-islamiste, au candidat de l’économie globale, de la mondialisation des vies politique et sous-culturelle et de l’intensification de l’immigration-invasion de l’Europe par des extra-Européens, en majorité mahométans.

Obama, le fou furieux qui a bouté le feu à près d’une dizaine de pays musulmans et qui a « boosté » la Dette des USA, au point de faire passer Bill Clinton et George Bush Junior pour de bons gestionnaires, Obama, le pire Président de l’histoire des USA, pourtant riche en non-valeurs et en demi-fous, se permet d’intervenir dans l’élection présidentielle de France.

Il faudrait peut-être lui apprendre la géographie : la France ne se situe pas dans la zone de Monroë (les Trois Amériques), pas plus que dans les pays de Charî’a.

Mais il est possible que le roué politicien sache ce qu’il fait : il intervient dans une élection fondamentale pour le passage futur de la France du statut de Dâr al-Harb, la zone de guerre des djihadistes, à celui de Dâr al-Islam… ce qui sera réalisé dans 20 à 25 ans, pourvu que l’immigration africaine et proche-orientale se poursuive au même rythme que l’actuel et que les honorables immigrées continuent leur effort génésique, permettant aux mahométans de devenir démocratiquement les maîtres de la France avec les ventres féconds de leurs épouses.

Après le soutien du Président Hollande et celui de quelques excellences européennes ultra-libérales, c’est maintenant l’ex-pion de l’économie globale, mais aussi le maître suprêmement sournois de la stratégie de l’islamo-pétro-dollar qui apporte son appui au candidat Macron. Il ne lui manque plus (sauf erreur) que le soutien de Soros-Schwartz et il aura réuni le plus beau florilège d’ennemis de la Nation française autochtone.

En clair, lorsque l’on est un citoyen français de souche européenne, il faut être le « dernier des électeurs » - dans le sens nietzschéen signifié plus haut – pour élire Macron, le dévoué représentant de la mondialisation, de l’immigration-invasion, de l’économie globale, ce qui promet une belle quantité de délocalisations d’entreprises et la toute puissance du capitalisme de spéculation.

Le 7 mai sera-t-il le jour de triomphe des idiots volontaires, des candidats à la déchéance ? Selon les sondages, c’est probable, à moins d’un sursaut d’orgueil national et d’un minimum de réflexion de la part de l’électeur « souchien » sur l’avenir de ses enfants et petits-enfants.

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Macron est pour les éoliennes... nous, on est contre !

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Eoliennes un scandale d'Etat cliquez ici

L'avis d'Alban d'Arguin cliquez là

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Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

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Camouflet pour le gouvernement Cazeneuve : La 17e Chambre relaxe Pierre Cassen

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COMMUNIQUE DE RIPOSTE LAIQUE ET RESISTANCE REPUBLICAINE

Pierre Cassen, fondateur de Riposte Laïque, vient d’être relaxé par la 17e Chambre. Le Parquet, sous les ordres du gouvernement socialiste, et 6 associations dites antiracistes, voulaient absolument démontrer que Pierre, qui, depuis octobre 2012, avait quitté la direction du site Riposte Laïque, demeurait le vrai responsable du site. Pour cela, le Parquet et ceux qui veulent interdire toute dénonciation de l’islamisation de la France n’ont reculé devant rien pour harceler le fondateur de RL : multiplication de convocations policières, de convocations judiciaires, accumulation de plaintes, venues de Bernard Cazeneuve, Anne Hidalgo, Pierre Bergé, le préfet Clavreul en charge de la Dilcrah, des associations dites antiracistes, d’associations islamistes, de préfets et de journalistes politisés. Le fondateur de Riposte laïque a été, d’autre part, mis trois fois en examen, et a subi une perquisition policière, avec confiscation de son ordinateur et de son téléphone portable. Il était manifestement l’homme à abattre pour un gouvernement qui avait donné trop de gages aux islamistes pour tolérer l’action militante qu’il menait depuis près de 15 ans, pour défendre une République laïque, sociale et identitaire, menacée par l’offensive des soldats d’Allah.

Le 22 mars, Pierre Cassen, attaqué par le Parquet et Sos Racisme, la LDH, la Licra, le Mrap, J’accuse et l’UEJF, a répondu, cinq heures durant, aux questions du tribunal, présidé par Madame Siredey-Garnier, et de ses accusateurs. Maître Pichon, qui assurait la défense, a fourni un dossier complet, montrant la réalité du transfert de responsabilité en Suisse, et prouvant, suite à la condamnation du président suisse Alain Jean-Mairet, par la même 17e Chambre, que son client ne pouvait être le responsable du site. Pierre, avec calme, a répondu avec une grande clarté à toutes les questions qui lui étaient posées, et n’a jamais été mis en difficulté, même quand les avocats adverses essayaient de l’intimider avec agressivité.

Le Parquet avait osé requérir 6 mois de prison avec sursis à l’encontre de Pierre Cassen, ne cachant même pas sa volonté de le faire taire par tous les moyens. Les associations dites antiracistes avaient demandé des dommages et intérêts de plus de 20.000 euros, ne masquant pas davantage leur volonté de réduire Riposte Laïque au silence, en frappant son fondateur au porte-monnaie.

Il n’y avait pourtant dans le dossier instruit par l’accusation pas l’ombre d’une preuve contre notre fondateur, et le tribunal en a tiré la seule conclusion possible : la relaxe. Dans un contexte où nombre de patriotes se retrouvent condamnés, pour avoir osé dire la vérité sur l’islamisation de notre pays et la réalité d’une certaine immigration, les amoureux sincères de la parole libre permise par une justice rendue au nom du peuple français ne pourront que se réjouir de cette décision.

Pour autant, ce même jour, Riposte Laïque a dû acquitter la somme exorbitante de plus de 9.000 euros de dommages et intérêts à deux caissières voilées d’H et M, suite à une décision ahurissante, au niveau juridique, du juge Caroline Kuhnmunch, ancienne collaboratrice de Christiane Taubira.

Nous ne pouvons oublier, d’autre part, que Christine Tasin vient d’être condamnée par la même 17e Chambre pour avoir dit « Islam assassin » au lendemain de l’assassinat de deux policiers, à leur domicile, à Magnanville. De même, le maire de Béziers, Robert Ménard, vient-il d’être condamné pour avoir simplement exprimé la réalité de sa ville, avec des écoles comportant une grande majorité d’élèves musulmans. Et combien d’autres condamnations iniques ?

Nous espérons (avec prudence) que ce jugement rendu par la 17e Chambre mettra fin au véritable harcèlement que subit Pierre Cassen, mais aussi nombre de patriotes, à qui nous exprimons toute notre solidarité, qui se retrouvent trop souvent au tribunal, traînés par des inquisiteurs qui préfèrent la judiciarisation du débat à la parole libre.

Bien évidemment, plus que jamais, et quel que soit le résultat du 2e tour des élections présidentielles, Riposte Laïque et Résistance républicaine continueront à se battre pour la liberté d’expression, et pour le droit à la libre critique de l’islamisation de notre pays, cancer qui menace tous les fondamentaux de la France et de notre civilisation.

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À PROPOS DU DÉBAT D'HIER SOIR

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LA POSITION DE SYNTHÈSE NATIONALE :

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XAVIER RAUFER NOUS ÉCLAIRE SUR L'ATTENTAT DES CHAMPS ÉLYSÉES

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CE JEUDI 4 MAI, CLAUDE CHOLLET, DIRECTEUR DE L'OJIM, INVITÉ DE SYNTHÈSE SUR RADIO LIBERTÉS

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ÉCOUTEZ RADIO LIBERTÉS CLIQUEZ ICI

REDIFS VENDREDI 9H & 14H

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mercredi, 03 mai 2017

Un peu d'Histoire... ça changera

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Octobre 1982. […] Chemisette blanche à manches courtes immaculée, cheveux impeccablement plaqués en arrière, Léon Degrelle, le chef rexiste, nous reçoit chez lui, Walter Spedicato et moi. Très aimablement, il nous demande qui nous sommes et d'où nous venons. L’homme ne mesure pas plus d’un mètre soixante-quinze et pourtant il nous paraît grand.

« L’histoire de votre mouvement est passionnante, nous dit-il, mais ce n’est rien, hélas, face à notre tragédie. Nous rêvions à quelque chose de grand et, juste au moment où nous tenions le monde dans nos mains, nous en avons été privés. Quelle déception ! Ce qu’il y a de terrible dans la défaite, c’est l’impuissance… »

Ses yeux noirs nous fixent intensément. Il serre ses deux poings, ses mains, belles et soignées, blanchissent. Tout son être est tendu, comme au temps où ce « dompteur de foule » électrisait les milliers de personnes massées au Palais des Sports de Bruxelles.

Pendant trois heures, celui qui entraîna deux mille Wallons aux confins du Caucase nous rapporte la saga de Rex et de la division SS Wallonie, depuis son engagement comme simple soldat en juin 1941 jusqu’à la remise des Feuilles de Chêne par le Führer, une des plus hautes décorations allemandes. Son palmarès n’est pas mince : Médaille d’Or des corps à corps, soixante-deux combats homologués, trois fois blessé.

Puis le discours du Volksführer Degrelle se fait poignant quand, tel César dans La Guerre des Gaules, il nous vante le courage de « ses » Belges.

« – Un Wallon vaut mille soldats » leur avait dit le général-colonel Steiner à Dorpat après leur avoir distribué deux cents Croix de fer.
Puis d’un rire éclatant qui dévoile de très belles dents blanches, Degrelle ajoute avec bonhomie :

« – C’était un peu beaucoup, mais on a tout de même fait de la fameuse besogne ! »

L’extraordinaire chez cet homme ne tient pas seulement à la légende, écrite de son sang, mais à la puissante vitalité qu’il dégage. Deux générations nous séparent de ce condottiere de la Renaissance échappé dans le XXe siècle et pourtant, d’instinct, nous nous sentons proches et fraternels. Eternelle joie et éternelle jeunesse du fascisme.

Gabriele Adinolfi, Années de plomb et semelles de vent, Les Bouquins de Synthèse nationale, 2014, 200 pages, 24 € cliquez ici

Source Zentropa cliquez là

16:03 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Guillaume Bernard : « Le front républicain a du plomb dans l’aile et l’élection est loin d’être jouée ! »

BERNARD GUILLAUME.jpgGuillaume Bernard

Politologue et maître de conférences (HDR) à l’ICES (Institut Catholique d’Etudes Supérieures)

Boulevard Voltaire cliquez ici

L’élection présidentielle est-elle déjà jouée, comme s’efforcent de le faire croire nos élites politiques et médiatiques ? Quelles conséquences auront les choix des ténors des partis éliminés au premier tour sur les législatives ? Décryptage de Guillaume Bernard.

Nous sommes à quelques jours du second tour de cette élection présidentielle. Est-ce-que pour vous l’élection est jouée et, Emmanuel Macron, le vainqueur évident de cette élection ?

Il faut quand même noter que le front républicain a du plomb dans l’aile. Il est plus que fissuré.

Le deuxième aspect est la question du résultat. Je crois très sincèrement que tant qu’une élection n’est pas faite, tant que les résultats ne sont pas proclamés, on n’est absolument sûr de rien. Par conséquent, non, l’élection n’est pas faite !

On peut raisonnablement penser qu’il y aura d’une part à droite un assez grand nombre d’électeurs qui se reporteront sur Marine Le Pen. Ils le feront ne serait-ce que pour signifier aux caciques de LR que leur empressement à se reporter sur Emmanuel Macronétait d’une certaine manière indécent ou, en tout cas, incohérent par rapport à la campagne qui a été menée. Et puis aussi, on peut penser qu’une partie très restreinte, beaucoup plus restreinte que ne le pense sans doute la direction du Front national, d’électeurs de gauche pourra se reporter par anti-libéralisme sur le Front national.

L’un des enjeux, c’est quand même la question de l’abstention. Plus l’abstention est haute, plus la barre pour être élu est basse. Et donc, lorsque l’on voit qu’un grand nombre d’électeurs de Jean-Luc Mélenchon sont a priori destinés, ou en tout cas on fait le choix de s’abstenir, on peut penser que, encore une fois, avec cet élément supplémentaire, l’élection n’est absolument pas jouée. Et puis, bien sûr, s’il y a une très grande abstention, cela délégitimera celui qui sera élu quel qu’il soit.

Est-ce-que le score plus ou moins élevé d’Emmanuel Macron, s’il venait à gagner, aurait une influence sur les législatives, et donc demain sur la manière de gouverner ?

Il est certain que s’il faisait un score trop bas, c’est-à-dire moins de 60 % puisque c’est ce qui est a priori donné par les sondages (60 % pour Emmanuel Macron – 40 % pour Marine Le Pen), cela montrerait que l’opinion publique ne suit plus les consignes de vote.
 
Il y a véritablement une distorsion entre la France d’en bas si j’ose dire, et en particulier la droite d’en bas, et la France d’en haut et donc la droite d’en haut. Donc oui, la légitimité du vainqueur dépendra évidemment de l’importance du score qu’il obtiendra. C’est vrai que la suite des évènements, les législatives, c’est un épisode politique important parce qu’on peut se demander si une majorité va véritablement se dégager. Certes, Emmanuel Macronest sur un positionnement politique intéressant parce ce qu’il fait la grande coalition droite-gauche. On peut donc penser qu’il pourrait obtenir, ne serait-ce que thème par thème, une majorité de circonstance.
 
Mais il n’y a pas de certitude du point de vue des résultats des législatives parce qu’il devrait y avoir un assez grand nombre de triangulaires, ce qui pourrait peut être permettre au Front national d’obtenir un assez grand nombre d’élus.

Comment analysez-vous politiquement la volonté affichée par certains cadres des Républicains de vouloir soutenir aujourd’hui Emmanuel Macron pour demain lui imposer une cohabitation à travers les législatives ?

Si Les Républicains veulent imposer une cohabitation au Président de la République qui sera élu le 7 mai, j’avoue que je ne comprends pas très bien pourquoi ils ont choisi l’un des deux candidats. Si l’objectif des Républicains est d’imposer une cohabitation, ils auraient bien pu effectivement annoncer qu’ils voulaient le faire et imposer cette cohabitation aussi bien à Emmanuel Macron qu’à Marine Le Pen.

Je crois que leur empressement à voter pour Emmanuel Macron et à appeler à voter pour lui manifeste tout simplement le fait qu’ils ont une grande proximité idéologique avec lui. Il y a donc une distorsion entre un électorat LR qui a une porosité, qui a une proximité avec le FN, et puis de l’autre côté les ténors de LR qui, eux, en revanche, penchent vers le libéralisme d’Emmanuel Macron. Ça, c’est une vraie distorsion, c’est une vraie différence qui aura sans doute des conséquences, on vient d’en parler, sur les législatives. En effet, que pourront effectivement utiliser comme arguments les candidats LR lors des législatives quand ils seront opposés aux candidats d’Emmanuel Macron alors qu’ils auraient appelé à voter pour le Président de la République Macron quelques semaines auparavant ? Il y a là une sorte d’incohérence du parti Les Républicains à choisir un candidat plutôt qu’un autre lorsqu’ils veulent imposer une cohabitation.

15:09 Publié dans Présidentielle 2017, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Calais : Simonne Héricourt est décédée...

Les patriotes qui étaient présents le 6 février 2016 aux assises de Riposte laïque cliquez ici se souviennent de l'émouvante intervention de Simonne Héricourt, une habitante de Calais fatiguée de voir sa ville sombrer dans le désordre et la faillite en raison du camp de "migrants" installé à ses portes.

Hélas, Simone Héricourt ne verra pas triompher la formidable révolution identitaire qui se prépare. Elle est décédée ces jours derniers. Mais son cri de détresse doit continuer à résonner, voilà pourquoi nous le remettons en ligne aujourd'hui.

Simonne n'est plus là, mais le combat pour rendre la France aux Français continue... 

13:46 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La France macronisée

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Bernard Plouvier

Le candidat Macron, peut-être dopé par le muguet, à moins que ce ne soit par les sondages, joue de plus en plus à l’hercule de foire. Dans sa dernière pitrerie, il voudrait faire de Marine Le Pen la candidate de l’Anti-France !

C’en devient risible et ce n’est pas sans évoquer une supercherie historique : la bataille de Valmy, qui fut selon les doctes historiens militaires une « bataille à fronts renversés ». Effectivement, les Prussiens, venus de l’Est, se retrouvaient à l’Ouest du terrain, et les Français étaient séparés de la direction de Paris par l’armée ennemie. Cela n’avait guère d’importance, puisque les généraux savaient qu’ils ne livreraient qu’un semblant de bataille.

Tout se réduisit, en effet, à une canonnade, qui fit néanmoins quelques centaines de morts des deux côtés. C’était le prix, acquitté par les malheureux figurants, pour créer une légende nationale française et laisser repartir chez eux des généraux d’Outre-Rhin, enrichis par quelques bijoux de la couronne, volés au Garde-Meubles par le sieur Georges Danton (ministre de la Justice !) et ses monte-en-l’air… les mœurs de voyous de nos honorables excellences de la Ve tirent leur origine des « Grands Ancêtres ».

La galéjade macronesque de cette fin de campagne ressemble fort à la comédie burlesque de septembre 1792 et, comme ce fut le cas il y a 230 ans (ou presque), ce sont des Français qui vont faire les frais des macroneries, comme ils devinrent de la chair à canons durant les vingt années qui suivirent la « Victoire de Valmy ».

Prenons le Macron-rigolo au mot : Marine = Anti-France. Cela revient à dire que :

1 – L’immigration-invasion d’extra-européens, singulièrement de terroristes mahométans, d’imams et d’ulémas gueulant leurs appels au djihâd le vendredi soir dans les mosquées (qui servent parfois de salles d’entraînement aux sports de combat), des violeurs en tournantes, des voleurs & nobles racketteurs, des trafiquants de haschisch (cette belle plante, indispensable à la balance commerciale du Maroc), des vandales & casseurs, des petits dictateurs des 2000 cités de non-droit, en un mot : nos exotiques, « c’est la France », selon saint-Macron.

2 – Les financiers et négociants cosmopolites, les spéculateurs à l’argent tellement volatil qu’à la fin d’une journée de boursicotages, il a fait trois fois le tour (fictif) de la planète : « c’est la France » de Macron, le politicien issu du monde merveilleux du capitalisme de spéculation.

3 – La désertification industrielle de la France, liée aux délocalisations d’entreprises (nettement plus nombreuses en France qu’en Allemagne) : « c’est la France » de Macron, l’homme-lige de l’économie globale.

4 – que l’intégration programmée de l’agriculture française au sein d’énormes groupes multinationaux : « c’est la France », chère à Macron-mondialisation.

5 – Que l’insécurité dans les quartiers non-chics (donc non ou à peine surveillés par la police), les forces de l’ordre perpétuellement défiées & ridiculisées par les voyous gauchistes et les délinquants d’origine extra-européenne : « c’est la France » de Mignon-Macron.      

L’étude des promesses de Papa Noël-Macron démontre à l’évidence que la seule Anti-France, c’est celle que nous concoctent, nous préparent, nous fignolent ceux qui agitent les ficelles de Macron-Pantin.

Dès le 8 mai (quel symbole !), les Français vont apprendre à souffrir plus encore qu’actuellement. Ils en viendront même à regretter Bouffon Ier !

09:35 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 02 mai 2017

UN SALMIGONDIS DE LOSERS DECADENTS

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Pieter Kerstens

De Cohn-Bendit à Anne-Marie Idrac, en passant par Robert Hue, François Bayrou, la famille Klarsfeld, Alain Madelin, Jean d’Ormesson, Bruno Lemaire, Jacques Attali, Laurence Parisot, Dominique Perben, Bernard Kouchner, sans oublier Sarközy l’homme du Kärcher, tous les vieux crocodiles de l’Hexagone ont rejoint ou appellent à rallier le marigot du gourou Macron.

Le 23 avril, sans fierté aucune, sans scrupule ni honte, François Fillon, dès les minutes suivant 20 heures, avait appelé ses électeurs et fidèles militants à voter pour Emmanuel Macron.

Fillon non seulement est un filou, mais c’est aussi un menteur et un réel félon. Ayant trahi sa parole et son programme, il est allé rejoindre celui qu’il raillait comme « Emmanuel Hollande » aux côtés des ringards de toutes obédiences ( dont 15 anciens ministres de Chirac) qui attendent profiter des miettes et des prébendes résultants d’une probable victoire macroneuse.

Des milliers de politiciennes et de pourriticards ont critiqué, injurié, stigmatisé, combattu et dénigré la marionnette du lobby médiatico-financier et, à la moindre contrariété, ils ont retourné leur veste (du bon côté ?) pour se joindre aux macronistes.  A vomir !

Et ce sont les mêmes qui, dès le 8 mai, vous demanderont de voter pour eux, afin de combattre la secte Macron & C°, dans l’hypothèse d’une cohabitation utopique. Nauséabond !

Les Ripoux se serrent les coudes …

Les cocos, les Khmers verts, les socialauds, les centristes émasculés, les bobos, les libéraux-conservateurs, les radicaux de droite, les BCBG, les républicains d’opérette et les francs-maçons se retrouvent donc unis derrière la banderole de « la mondialisation pour tous et la liberté pour personne ». Ces éternels donneurs de leçons se sont disqualifiés d’eux-mêmes.

Il est quand même ahurissant de constater que, sur les 11 candidats du 1er tour de la présidentielle, 7 appellent à voter pour « bébé Macron », 2 choisissent le ni-ni, seul Nicolas Dupont-Aignan a eu le courage de se joindre au combat contre les eurocrates de Bruxelles et défendre la culture et l’identité françaises, aux côtés de Marine Le Pen.

Que tous ceux qui fustigent et condamnent le choix de Dupont-Aignan se taisent (les Larcher et Juppé notamment), car ce sont eux les Kollabos et les imposteurs qui ont trahi leurs électeurs de droite en rejoignant la secte « En Marche ! » : une conduite vraiment obscène !

…et serrent aussi leurs fesses !

Car rien n’est encore gagné, même si tous les sondages et les politologues affirment que le chouchou de la corbeille (la Bourse de Paris) gagnerait haut-la-main contre Marine Le Pen.

Dans le secret de l’isoloir, nous devons impérativement « oser penser et oser agir », se souvenir que depuis 2002 avec Chirac, Sarközy et Hollande, les gouvernements de la droite cosmopolite et de la gôche multiculturelle nous ont conduits au chaos social et au fond du gouffre, avec une dette publique de 2.250 milliards d’euros, sans oublier les méfaits de l’immigration/invasion. Alors, sans hésitation, nous devons aujourd’hui donner sa chance à Marine Le Pen, car elle ne fera pas moins bien que ses prédécesseurs, même si l’on ne partage pas tout ce qu’elle raconte et que l’on ne soit pas d’accord avec la totalité de son programme.

L’essentiel est de vaincre Emmanuel Macron, ce candidat mystique adoubé par le Système et qui nous est imposé par la Davos Goldman Sachs Idéologie (DGSI).                  

21:29 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |