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jeudi, 25 janvier 2018

TRIBUNAL D’EVRY : POLICIERS ET AGENTS DE SÉCURITÉ PILLAIENT LES SACS

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Paris Vox cliquez ici  Le poste de sécurité à l’accueil du tribunal d’Evry s’est révélé être en réalité un haut lieu de vol. En effet, des policiers et des agents de sécurité y avaient mis en place un système permettant de dérober des objets dans les sacs passés par le scanner.

A la suite d’une enquête de six mois, cinq personnes ont été interpellées, trois agents de sécurité d’une société privée (S3M) ainsi que deux policiers adjoints de sécurité. Ils ont tous été suspendu de leurs fonctions.

Les vols, plusieurs dizaines, auraient débuté en septembre 2017 et duré plusieurs mois. Les complices dérobaient essentiellement l’argent liquide présent dans les sacs.

Un scandale qui secoue tout le tribunal, choqué d’avoir été le théâtre de tels agissements. L’image de la police se trouve elle aussi écornée, au grand dam de Jean-François Papineau, le chef de la police dans le département, attaché à « l’exemplarité » de la fonction.

Ni la société impliquée ni la présidence du tribunal qui l’a choisie comme prestataire ne se sont exprimées sur cette affaire.

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Dimanche 4 février : Thomas Joly à Bruz (près de Rennes)

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17:57 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Éléments : Demain, tous crétins ?

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n°170

en kiosque : 6,90 €

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Depuis l’affaire du Barbe-Bleue de Hollywood, avec le délicat hashtag « Balance ton porc ! », on assiste au grand retour des précieuses ridicules et des dames quakeresses, des Trissotines et des Torquemadettes, des mères Fouettard.e.s qui traquent les « dérapages » et les comportements « inappropriés ».

La police de la pensée est dépassée, on en est à la police des arrière-pensées. Le soupçon vaut accusation, l’accusation vaut condamnation.

On ne distingue plus la véritable agression sexuelle de la blague de mauvais goût ou de la drague lourdingue. Montée de la subjectivité (le « ressenti ») : si le harcèlement commence quand on se sent harcelé, n’importe quoi peut devenir du harcèlement. Le viol et le chantage sexuel se retrouvent ainsi banalisés.

Multiplier les amendes morales, purger la société des impuretés du désir, instaurer la « transparence » de la vie intime : la censure au nom de la morale, cela n’a rien de bien nouveau. On sait depuis Robespierre que la Terreur est une « émanation de la vertu ». Cinquante ans après Mai 68, il n’est plus question de « jouir sans entraves », mais au contraire d’entraver le désir, de rendre les relations entre les hommes et les femmes insupportables, de dégoûter chaque sexe de l’autre.

Mais il s’agit aussi d’abolir la nature humaine. L’homme est carnivore, donc prédateur, donc carnassier, donc agresseur, donc violeur en puissance. L’idéal serait qu’il devienne herbivore. On assiste à la condamnation des hommes, non seulement parce qu’ils sont des hommes, mais parce qu’ils s’obstinent, en manifestant leur attirance pour l’autre sexe, à témoigner du fait que l’espèce humaine est sexuée et qu’il y a en elle du masculin et du féminin. Ce sont ces notions de masculin et de féminin qu’il faut déconstruire, dissoudre, liquéfier au nom de l’hybridation qui aboutira, simultanément, au métissage universel et à l’androgynat généralisé.

Le seul moyen pour les hommes de ne pas être dénoncés comme des « porcs » serait donc d’accepter la suppression de la différence sexuelle, tout comme le seul moyen d’échapper au racisme serait d’accepter la suppression des différences ethniques. L’homme de demain ne sera d’aucun peuple ni d’aucun sexe.

Cette tendance à la neutralisation, qui va de pair avec l’allergie à la diversité, on la retrouve désormais partout : il s’agit de gommer les différences, de lisser les aspérités, d’instaurer partout la grisaille uniforme, de rendre les êtres et les choses interchangeables.

Il y a au fond trois féminismes : celui qui défend les femmes et rappelle que les valeurs féminines ne sont pas moins respectables que les valeurs masculines – c’est le seul qui soit à la fois légitime et nécessaire –, celui qui veut mettre les hommes plus bas que terre parce que la Terre doit être « délivrée du mâle », et celui qui décrète que tout compte fait il n’y a ni hommes ni femmes : le sexe n’est rien, le « genre » est tout. Le mélange des trois aboutit à des contradictions. De même qu’il est difficile de défendre à la fois la parité et la « non-mixité », il est assez contradictoire de dire que les hommes sont des « porcs », que les femmes sont des « hommes comme les autres » et que le masculin n’est qu’une illusion.

Le 9 décembre 2017, autour de l’église de la Madeleine, un million de Français en larmes assistaient aux funérailles d’un chanteur populaire qui se faisait appeler Johnny. Un mâle blanc hétérosexuel de plus de cinquante ans qui chantait : « Allumez le feu ! » Reste à trouver les allumettes.

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Notre-Dame des Landes

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Pierre Vial Terre et peuple cliquez ici

L'affaire de Notre-Dame des Landes présente un grand intérêt à plusieurs titres car elle est révélatrice d'une situation prometteuse pour ceux qui luttent contre le SATLP (Système à tuer les peuples)  :

1) En baissant son froc devant une bande de pouilleux (je mets à part les paysans qui voulaient légitimement garder leur terre) l'Etat-Macron a avoué son impuissance à faire face aux défis de la racaille : c'est le cas à Notre-Dame des Landes comme c'est le cas à l'intérieur des prisons (où, de l'aveu même des matons la racaille fait la loi) ou dans les "quartiers" dits pudiquement "de non droit", c'est à dire, en clair, des territoires où "l'autorité de la République", comme disent les larbins du Système, ne s'exerce plus (policiers, pompiers, professionnels des métiers de santé en savent quelque chose, qui savent ne pouvoir attendre aucune aide d' "autorités" (?) démissionnaires et lâches). Leçon édifiante et bien enregistrée pour ceux qui, un jour plus ou moins proche, voudront étendre leur domination à de nouveaux pans de territoire, où les Blancs auront le choix entre se soumettre, partir ou... mourir. J'exagère ? Prenez donc la peine d'écouter les messages diffusés  par ceux qui prêchent la guerre sainte. Tout est dit. Clairement. Mais il n'est pire sourd que celui qui ne veut pas entendre. 

2) Macron et son porte-serviette censé être Premier ministre se préparent des jours difficiles. Les Zadistes, pour qui Notre-Dame des Landes était un test, ont annoncé la  couleur :  Notre-Dame des Landes ? Ce n'est qu'un début, continuons le combat. L'objectif ? Avoir dix, cent Notre-Dames des Landes. Qui les en empêchera ? Malgré les rodomontades  élyséennes, ceux qui seraient tentés de le faire (par exemple les élus locaux) auront contre eux, comme cela vient d'être démontré, l'Etat (ce qu'il en reste...) qui est prêt à tout accepter pour ne pas prendre le risque d'être accusé de "fascisme" (le péché mortel). Avec l'appui des bobos et des braves connards qui n'ont pas conscience de creuser leur tombe (mais ça, c'est plutôt rigolo) en votant pour des gredins que le sort des petites gens laisse profondément indifférents car, eux, ils sont hors d'atteinte grâce aux privilèges qu'ils se sont accordés. Du moins le croient-ils... Car un jour, peut-être, le réveil sera difficile pour eux aussi. Ce jour-là nous boirons un dernier verre de chablis car nous risquons d'être nous aussi entraînés dans l'apocalypse. Mais il faut bien mourir un jour, n'est-ce pas ?

17:26 Publié dans Les Nouvelles du Front de Pierre Vial | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Mémoires de Le Pen : des auteurs menacent leur éditeur

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Info VA cliquez ici Plusieurs écrivains, dont Amélie Nothomb, ont notamment fait pression sur Albin Michel pour refuser la publication des ouvrages du cofondateur du FN.

Très attendu, parce que maintes fois annoncé, le premier tome des Mémoires de Jean-Marie Le Pen, portant sur la période 1928-1972, paraîtra en mars prochain. Les mastodontes parisiens ayant boudé sa publication, c’est donc Muller, petite maison d’éditions d’Asnières-sur-Seine, qui a raflé la mise. Après avoir lu l’ouvrage, Robert Laffont a préféré décliner l’offre. Idem pour Albin Michel, contraint pour sa part de céder à la pression de certains de ses auteurs phares, telle Amélie Nothomb, menaçant de changer d’éditeur… Le deuxième tome, dans lequel quelques pages devraient être consacrées à la relation père-fille, est prévu pour le premier trimestre 2019. De quoi pimenter la campagne des européennes.

17:20 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Election législative partielle le 28 janvier dans le Val d'Oise, la Droite nationale a sa candidate : HUGUETTE FRANÇOIS

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14:30 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 24 janvier 2018

Jeudi 25 janvier, Massimo Magliaro invité de l'émission "Synthèse" sur Radio Libertés

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Ecouter Radio Libertés cliquez ici

Les précédentes émissions cliquez là

Le livre de Massimo Magliaro sur le MSI cliquez là

23:24 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Adrien Abauzit invité de TV Libertés

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Lire le livre d'Adrien Abauzit cliquez ici

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LE CONSEIL MUNICIPAL DE STRASBOURG DEMANDE LA FERMETURE DE L'ARCADIA, LE LOCAL DU BASTION SOCIAL !

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Steven Bissuel, président du Bastion Social. Cliquez ici

Le maire socialiste de Strasbourg Roland Ries, ardent défenseur du droit des étrangers, ainsi que ses amis/soutiens demandent la fermeture de l'Arcadia et la dissolution du Bastion Social pour des motifs complètement fallacieux.

Ces politiques savent que nous faisons le travail qu'ils ont été incapables de réaliser pendant des décennies, bien installés dans leur place grassement payée.

Ils savent, Roland Ries en tête, que nous sommes la voix du peuple, ce peuple qu'ils font mine d’écouter à l’occasion des échéances électorales afin de renouveler leur mandat. Ils ont peur de notre ascension et ont raison !

A l’heure où les représentants de la ville de Strasbourg demandent la fermeture de notre local, des espaces d'extrême-gauche comme le Molodoï sont subventionnés à hauteur de 23 000€ par an depuis des décénnies (ce lieu dont les travaux de rénovation ont par ailleurs été financés à hauteur de 500 000€ d’argent public !) avec la complaisance de la caste politique locale. Rappelons au passage que le Bastion Social et son antenne strasbourgeoise sont intégralement auto-gérés tant financièrement que politiquement, et ne fonctionnent qu’avec l’aide et la contribution de ses membres et de ses sympathisants… le tout pour servir le bien commun et agir sur la politique locale !

Nous sommes l'alternative aux technocrates à la solde du mondialisme destructeur des identités, aux de défenseurs du politiquement correct et aux élites complètement déconnectées des réalités des Français !

Il y a des Français qui ne se rendent pas !

10:18 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Marine Le Pen veut supprimer le poste de Président d'honneur du FN

02d1f608654f53f6b93e085f5e2527ae.jpgRéaction de Jean-Marie Le Pen :

« C'est évidemment ridicule, je pensais que Marine le Pen avait d'autres soucis à régler. Ma qualité de Président d'honneur est de plus irréversible. Il n'appartient à personne de la supprimer, même pas à ma fille, se défend au Figaro, Jean-Marie Le Pen. Marine Le Pen veut supprimer le seul titre qui aurait pu la distinguer après sa présidence. C'est ce qu'on appelle se tirer une balle dans le pied. »

10:08 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L'étatisation sans fin du modèle social

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Jean-Gilles Malliarakis

L'Insolent cliquez ici

Le 24 août 2017 le chef de l'État s'exprimait devant la communauté française de Bucarest. Et en cette occasion on l'entendit proférer un lamento bien familier. "Les Français, croit-il savoir, détestent les réformes." Décidément, ce pays "n'est pas réformable".

Un tel type de jugement, maintes fois répété ne doit pas être interprété de la même manière suivant celui qui l'énonce. S'il émane d'un dirigeant en exercice, d'un technocrate de Bercy attaché à ses propres privilèges et qui s'emploie à les protéger en détournant le sens des réformes, ou s'il vient d'un simple manant contribuable corvéable à merci il ne s'agit pas de la même chose. Hélas, désigner ce dernier interlocuteur comme un citoyen revient peut-être à entretenir de dérisoires illusions quant aux pratiques de notre démocratie.

On ne saurait objectivement dire en que Macron n'aurait fait, depuis son élection que promettre des réformes, comme une gourmandise proposée mais qui ne sera jamais consommée. Car, évidemment, tout texte de loi, bon ou mauvais, peut être assimilé à une démarche réformatrice : il tend à changer quelque chose.

D'un tel point de vue, le pouvoir actuel, assis sur une confortable majorité parlementaire, a initié des changements, quant à l'économie et aux institutions sociales, au moins dans 6 directions en 18 mois.

Les flatteurs ne manquent pas d'applaudir.

On pardonnera au libre chroniqueur de ne pas se considérer comme obligé de se compter parmi eux.

Car la vraie question demeure celle de la pertinence des évolutions amorcées.

En fait, toutes les décisions prises vont dans le sens de l'étatisation. La ligne de plus grande pente de l'action gouvernementale, fiscale et législative, depuis des décennies, ne se démentit pas.

Premier exemple : la petite manipulation fiscalo-comptable sur la CSG, alourdie de 1,7 point, illusoirement compensée par des baisses de cotisations échelonnées dans le temps. Cette décision, de longtemps annoncée pendant la campagne présidentielle, ne fait que prolonger jusqu'à son achèvement, le plan Juppé de 1996 et son basculement des cotisations d'assurances sociales vers l'impôt. La mainmise de Bercy sur l'assurance maladie est ainsi désormais totale.

Les autres exemples relèvent de la même farine.

Ainsi l'apprentissage reste toujours conçu comme une sorte de sous-traitance trop tardive de l'Éducation nationale. Cet immense ministère gère une énorme institution étatique. Celle-ci n'est pas seulement gangrenée depuis les années 1990, non plus même par la vieille FEN devenue UNSA, qui était socialiste, mais par la FSU d'obédience néocommuniste. S'employant à dénigrer systématiquement l'entreprise, elle ne cherchera jamais à former des travailleurs employables dans l'économie, mais ce qu'elle appelle des citoyens, c'est-à-dire des téléspectateurs, des électeurs, et des militants formatés à gauche.

Il est certes permis d'entrevoir certaines dispositions et déclarations positives de la part du ministre Blanquer. Mais dans la pratique on ne change pas l'article L131-1 du Code de l'éducation qui dispose que "l'instruction est obligatoire pour les enfants des deux sexes, français et étrangers, entre six ans et seize ans."

Outre la fourchette d'âge, que faut-il entendre par "instruction"? On ne touchera pas à l'obligation scolaire jusqu'à 16 ans, pas plus que la fameuse réforme du Code du travail ne touche aux 35 heures.

Tout cela mène à toujours plus d'étatisme.

L'étatisation du modèle français remontait aux premières étapes de sa fondation : front populaire en 1936, charte du travail version 1941, ordonnances de 1944 et lois d'inspiration communiste votées en 1946, avec presque les mêmes équipes, inchangées, impénitentes, intouchables.

Les politiciens, depuis plus de 70 ans maintenant, ont piloté nominalement la marche d'un navire essentiellement sous les fourches du ministère des Finances.

Leur ligne constante aura consisté à aggraver le score et à alourdir l'intervention de l'État. C'est aussi cela qu'on appelle le modèle français.

10:08 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 20 janvier, Galette des rois du PDF à Calais

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Correspondant SN Calais 

Franc succès, samedi dernier, pour la galette des rois organisée par la section locale du Parti de la France, à Calais, lieu éminemment symbolique du remplacement de population en cours. Au cours de sa tonique intervention, Thomas Joly, rappela l’étrangeté d’une situation dans laquelle une majorité de nos concitoyens, floués mais visiblement consentants, persiste depuis des décennies à voter pour des politiciens œuvrant à contrepied de leurs intérêts et de leurs idées et hypothéquant ainsi lourdement leur avenir et celui de leurs enfants. Il engagea aussi l’auditoire à dépasser le pseudo-militantisme virtuel consistant à flâner sur les réseaux sociaux en se contentant de cliquer de temps à autres sur « j’aime » alors que la situation exige plus que jamais engagement sincère et activité militante.

Le militantisme s’organise à Calais et un site internet viendra bientôt s’ajouter à la page Facebook -« Le Calaisis réel » - dont la fréquentation ne cesse de progresser. Les militants du Parti de la France s’organisent en même temps pour une activité militante au plus près de la population trahie et délaissée par les politiciens de droite comme de gauche.

Enfin, malgré les prévisions apocalyptiques de submersion migratoire, Thomas Joly conclut sur un message d’espérance, affirmant que rien n’est aujourd’hui irrémédiablement perdu et que, par conséquent, tout demeure possible.

09:47 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 23 janvier 2018

Marche pour la Vie à Paris, manif contre l'islam à Rotterdam, hommage à Louis XVI...

09:17 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Carl Lang dans l'Aude samedi prochain

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09:09 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 22 janvier 2018

HORAIRES DANS LA FONCTION PUBLIQUE : CES CHIFFRES QUI FÂCHENT

bienveillance-au-travail---appel-.jpgMarc Rousset

Clemenceau avait fait mettre l’affiche suivante au ministère de l’Intérieur : « Messieurs les employés sont priés de ne pas partir avant d’être arrivés. » Peut-être s’était-il inspiré de Courteline : « L’administration est un lieu où les gens qui arrivent en retard croisent dans l’escalier ceux qui partent en avance. »Clemenceau disait également que « les fonctionnaires étaient les meilleurs maris : quand ils rentrent le soir à la maison, ils ne sont pas fatigués et ont déjà lu le journal ».

Dans son numéro de janvier 2018, Capital présente un dossier très complet qui interpelle sur les fonctionnaires : « Ceux qui bullent… et ceux qui bossent. » On apprend, ainsi, que les 55.000 agents de la ville de Paris ont droit à 33 jours de congés payés et 22 jours de RTT, que le temps de travail minoré dans les collectivités locales coûte 1,2 milliard d’euros par an au contribuable.

Fêtes locales, ponts, récupérations… Grâce aux largesses des élus, plus de la moitié des deux millions de fonctionnaires territoriaux travaillent moins que le temps réglementaire. La palme revient à la ville de Sainte-Rose, avec 45 jours de congés par an. La fonction publique territoriale bénéficie, en moyenne, de cinq jours de congés et de RTT de plus par an (37 jours) que dans le secteur privé (32 jours).

La Gironde pourrait faire l’économie de 190 postes à temps plein, soit sept millions d’euros par an : ce sont les économies que ferait cette collectivité si ses fonctionnaires effectuaient les 1.607 heures annuelles réglementaires. À Marseille, la réputation qu’ont les 12.000 agents de ne pas trop se fatiguer n’a rien d’une galéjade. Ils travaillent 40 heures de moins que la durée annuelle légale. Dans le SAMU social de Marseille, les employés ne travaillent même que 10 à 12 jours par mois.

Suite au manque de personnes à leurs postes pour diverses raisons, de très nombreux fonctionnaires sont donc obligés d’effectuer des heures supplémentaires. Ces heures à récupérer s’ajoutent aux RTT, ce qui entraîne des départs à la retraite plusieurs années avant le délai légal. Les fonctionnaires sont donc payés pendant ces années pour rester chez eux et l’administration n’a plus d’argent pour embaucher des remplaçants.

Les 35 heures ont fabriqué une bombe financière à retardement de 4 milliards d’euros. C’est ainsi qu’un policier a accumulé tant d’heures sup’ à récupérer qu’il pourra cesser de venir au travail dès 2019, alors que sa date de départ à la retraite initialement prévue était 2022.

Les agents de conduite de la SNCF nés avant 1967 peuvent partir à la retraite à l’âge de 50 ans ; ceux nés après 1972 à 52 ans. Si les agents de conduite partaient à la retraite à 62 ans, on pourrait baisser leur effectif de 25 %.
 
Les aiguilleurs du ciel travaillent 24 heures par semaine avec 51 jours de congé par an. S’ils travaillaient autant que les Allemands, on pourrait réduire leur effectif de 50 %.

Suite aux congés maladie, les fonctionnaires s’absentent deux fois plus que les salariés du privé.

Quant aux fonctionnaires haut gradés, les sinécures ne manquent pas. Ségolène Royal devenue ambassadrice des pôles, Thierry Lepaon, ex-leader de la CGT, nommé président de l’Agence nationale contre l’illettrisme, les « préfets fantômes » sans préfecture payés 6.000 euros par mois…

Le drame, c’est que la feuille de paie des fonctionnaires, c’est en réalité la feuille d’impôt des Français.

Adrian Rogers a pu écrire : « Quand la moitié d’un peuple croit qu’il ne sert à rien de faire des efforts car l’autre moitié le fera pour elle et quand cette deuxième moitié se dit qu’il ne sert à rien d’en faire car ils bénéficieront à d’autres, cela, mes amis, s’appelle le déclin et la fin d’une nation. »

11:56 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 3 février : TOUTE LA NORMANDIE A RENDEZ-VOUS À OUISTRHAM !

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11:49 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L'émission "Synthèse" sur Radio Libertés de jeudi dernier consacrée aux artisans

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Pour écouter cette

émission cliquez ici

11:39 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Règlement de conte

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Georges Feltin-Tracol

A-t-on atteint les limites de la sottise humaine ou bien celle-ci est-elle illimitée ? L’affaire Harvey Weinstein n’a fait qu’accélérer la diffusion du venin gynocratique dans toutes les sociétés occidentales ultra-modernes, en particulier chez les Anglo-Saxons. Ses répercussions quotidiennes auraient ravi Pierre Gripari qui publiait en 1982 une Patrouille du conte. L’histoire raconte le travail d’agents qui rectifient les contes dans un sens politiquement correct. L’Ogre du Petit Poucet devient ainsi végétarien.

À la fin du mois de novembre 2017, une mère de famille, Sarah Hall, de Newcastle en Grande-Bretagne s’indigne de la scolarité de son fils de 6 ans. Y a-t-il trop de professeurs absents ? Sont-ils trop sévères ou bien trop laxistes ? La nourriture est-elle mauvaise à la cantine ? Non, ses griefs sont bien plus graves. Cette Sarah Hall se scandalise que son fils apprenne en classe le conte de La Belle au bois dormant, un bel exemple selon elle de harcèlement sexuel. En effet, le baiser que donne le Prince charmant à la belle endormie afin de la réveiller soulève le problème du consentement.

Plus généralement, des féministes hystériques condamnent maintenant les héroïnes de conte parce qu’elles sont blanches, passives (sic), minces et hétérosexuelles. Ces malades préféreraient que Blanche-Neige se mette en couple avec Gretel et aient plein d’enfants grâce à la GPA. Ce délire atteint aussi l’opéra. En Italie, la fin tragique de Carmen vient d’être modifiée. Elle ne meurt plus (triste exemple de « féminicide »), mais tue Don José, ce qui est une apologie de la violence faite aux hommes et par conséquent une incitation à commettre un homicide ! Mais bon ! passons, voulez-vous ? On attend avec impatience d’autres changements. La Grand-Mère du Petit Poucet n’est plus avalée par le Loup, horrible acte de spécisme, mais se marie avec lui !

Un révisionnisme sordide s’insinue dans nos esprits. Il importe de le rejeter par toutes nos forces. Il est inacceptable que le patrimoine littéraire de notre civilisation européenne soit ainsi édulcoré, violé, profané. Sinon pourquoi ne pas inciter le Prince charmant à épouser la Belle au bois dormant, Blanche-Neige et Cendrillon en même temps ?

Bonjour chez vous !

• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°62, diffusée sur Radio-Libertés, le 19 janvier 2018.

07:05 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Pen, les Mémoires : l'entretien avec Guillaume de Thieulloy, son éditeur, publié dans Présent

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C’est aux éditions Muller que Jean-Marie Le Pen publie ses Mémoires à paraître le 1er mars, extrêmement attendus et juste avant un congrès où le Front national changera peut-être de nom. A la tête de Muller, quelqu’un que l’on ne présente plus : Guillaume de Thieulloy, le directeur de publication du Salon beige, de Nouvelles de France, de l’Observatoire de la christianophobie et des 4 Vérités. Il a fallu le torturer car le secret est bien gardé, mais nous sommes arrivés à en savoir un peu plus.

Comment avez-vous réussi ce gros coup d’édition ? Tous les éditeurs parisiens devaient être sur les rangs ?

C’est aussi ce que j’aurais pensé spontanément. Mais manifestement, ce n’était pas le cas. Autant que je sache, Jean-Marie Le Pen et son entourage se sont heurtés à plusieurs refus. Ce qui est certain, c’est que ce gros coup m’est « tombé dessus », sans que je l’aie cherché. Mais je ne vais pas jouer les saintes nitouches, j’avoue que cela m’a bien plu de faire un peu la nique à des confrères plus prestigieux que moi.

Quand doit sortir le premier tome ? A combien d’exemplaires doit-il être diffusé ? Combien prévoyez-vous de volumes et concernant quelles époques ?

Le premier tome doit sortir début mars. A priori, la mise en place en librairie devrait être de l’ordre de 40 000 exemplaires. Ce premier tome couvre la période qui va jusqu’en 1972, date de la fondation du Front national (NDLR : Marine Le Pen avait quatre ans). Je n’ai pas encore vu le deuxième tome, mais je dois avouer que ce premier m’a semblé presque plus intéressant que les récits de combats politiques qui vont suivre : l’enfance d’un pupille de la nation, la Résistance, la décolonisation, la Corpo de droit et le poujadisme, les combats pour l’Algérie française, la campagne de Tixier-Vignancour, Mai 68… Tout cela fait un demi-siècle de vie française contemporaine vue par un acteur de premier plan. Franchement, je ne comprends pas qu’il ne se soit pas trouvé un seul « grand éditeur » pour publier ce livre.

Quelle anecdote vous a le plus marqué ?

Je ne voudrais pas déflorer le contenu, mais, pour moi, la plus grande surprise a été de lire le récit de l’enfance d’un fils, puis d’un orphelin de marin pêcheur. On a peine à imaginer qu’il y a 80 ans, des Français vivaient dans de telles conditions. Je ne dis pas cela pour faire pleurer dans les chaumières, mais cela relativise un tantinet l’image, complaisamment colportée par certains médias, du milliardaire exploitant cyniquement la misère du « populo »… Je ne suis pas sûr qu’il y ait beaucoup d’hommes politiques qui aient une telle expérience de la vie dudit « populo ».

On sait que la parole de Jean-Marie Le Pen est très libre. Avez-vous posé certaines limites en tant qu’éditeur ?

Non, les seules limites que j’avais fixées – mais qui n’ont posé aucun problème – étaient les limites de la loi. Pour le reste, je suis suffisamment attaché à ma liberté pour laisser aux autres leur propre liberté et, naturellement, la responsabilité de ce qu’ils écrivent !

Avec le recul du temps, est-ce que Jean-Marie Le Pen a pris des distances avec ces « bons mots » qui ont parfois été contre-productifs pour le combat de ses idées ?

Nous n’en avons pas parlé. Et ce premier volume s’arrête précisément à la fondation du FN, donc bien avant les fameux « bons mots ». Comme beaucoup d’amis de Présent (je pense, en particulier, à Bernard Antony), je ne suis pas de ceux qui trouvaient que ces mots étaient particulièrement bons. Quant à savoir quel rôle ils ont joué dans la progression des idées de Jean-Marie Le Pen, j’avoue que je serais bien incapable de le dire, même s’il est bien évident qu’ils ont été utilisés pour « diaboliser » et pour installer ce « cordon sanitaire » qui permet à la gauche – alliée, rappelons-le, aux communistes aux cent millions de morts depuis 1917 ! – de gouverner la France, alors que cette dernière est majoritairement à droite. Ceci étant, j’ai l’impression qu’avec ou sans « bons mots », le machiavélique Mitterrand aurait trouvé le moyen de mettre ce coin entre la « droite parlementaire » et la « droite nationale ».

Est-ce que la mémoire de Jean-Marie Le Pen est aussi performante que celle de Trump selon ses derniers examens médicaux ?

Je ne saurais mieux vous répondre qu’en vous invitant à lire ce premier tome : vous verrez un homme politique qui a traversé des décennies de combats de toute sorte et qui en parle avec force détails, et dans une langue magnifique. J’imagine qu’il s’est aidé de notes et sans doute du souvenir de ses proches, mais le résultat fait honneur à sa mémoire ! Je laisse les médecins faire un bilan de santé comparé de Trump et Le Pen ; moi, je me contente de lire les deux – bien que leurs styles respectifs soient aussi différents que l’imparfait du subjonctif est éloigné du langage des « twittonautes » – avec l’admiration d’un simple observateur pour des acteurs à la carrière si bien remplie…

Propos recueillis par Caroline Parmentier

Article paru dans Présent daté du samedi 20 janvier 2018

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dimanche, 21 janvier 2018

Une aimable prensé pour nos frères québécois

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FQS : CLIQUEZ ICI

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21 janvier 1793

Louis16-1775.jpgBernard Plouvier

Le 21 janvier 1793 fut guillotiné un homme intelligent, très cultivé – à son époque, il était l’un des rares Français à écrire sans truffer ses textes d’une multitude de fautes d’orthographe, en plus d’être un grand connaisseur des choses maritimes, de l’histoire antique et moderne, de la géographie physique et humaine –, par ailleurs bon bricoleur, excellent mari et père, pieux au-delà du raisonnable et même fort peu dépensier, contrairement à son épouse : Louis XVI, passé du statut de roi de France et de Navarre (1774) à celui de roi des Français (1791), après avoir été gratifié du titre de « restaurateur des libertés » (1790). 

De nos jours, il est encore des Français pour lamenter le sort de « notre bon roi ». Or, s’il avait indéniablement été un homme bon, il s’est révélé, à l’usage, un souverain lamentable. Doté de toutes les qualités qui font l’excellent bourgeois – et il n’y a nulle honte à être un honnête bourgeois –, il n’avait aucune des qualités requises pour être un chef d’État.

Il avait parfaitement mérité le sort que lui réserva la Convention Nationale. Cet excellent homme était un faible, un irrésolu, incapable de diriger une Nation, incapable de réprimer l’agitation de quelques privilégiés (1787-1788), puis celle de quelques dizaines d’intrigants, œuvrant pour flatter les ambitions de son très vil et très lâche cousin Louis-Philippe d’Orléans (1788-1792), enfin incapable de calmer, par quelques exécutions ou l’envoi au bagne (« aux galères »), l’embrouillamini créé à dessein, en 1789-1791, par quelques centaines d’excités avides de sensations fortes, de publicité, de places et de richesses.

Quand l’on est insuffisant pour la fonction que l’on occupe, pour la tâche échue par naissance ou par élection, la sagesse commande de se retirer en faveur d’un plus apte. C’est une « leçon de l’histoire » que certains de nos contemporains feraient bien de méditer.

Car s’il est facile de « colérer le peuple », il est beaucoup plus malaisé de lui faire réintégrer sa tanière… « colérer » est un néologisme emprunté à un expert : Maximilien Robespierre, qui, comme Messieurs Danton, Marat et bien d’autres, avait usurpé la particule avant de se faire appeler « citoyen ».

Un chef, de famille ou d’État, ne doit avoir pour buts que de conserver et accroître le Bien commun, de permettre à chacun de ses administrés ou de ses ouailles d’exercer ses talents au mieux des intérêts collectifs et de refréner ses pulsions morbides ou franchement dangereuses. Si le chef est incapable, le groupe humain qu’il est censé protéger autant que diriger se dissout.

Napoléon Ier l’a dit : « Il n’y a pas de mauvais régiments. Il n’y a que de mauvais colonels ». C’est une phrase profonde, vérifiée à toute époque et pour toute collectivité. L’exemple de Louis XVI doit être, non pas lamenté, encore moins glorifié, mais sérieusement médité.

11:50 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

MACRON, UN HOLLANDE BIS RECENTRÉ, UN GAULLISTE D’OPÉRETTE PRATIQUANT L’ART DE PLAIRE !

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Marc Rousset

Macron se prétend anti-système avec un parti « En marche ! » ramasse-tout. Macron est, en réalité, le Gorbatchev de la pensée unique, la dernière carte à jouer du Système qui cherche à faire illusion. Il importe de ne pas être dupe.

Ministre socialiste, Macron a pu dire : « Moi, je suis socialiste et je l’assume, et être socialiste aujourd’hui me paraît une nécessité de bâtisseur, parce que c’est croire qu’à certains moments de notre histoire, il y a une France qui se réveille, qui veut autre chose. »Candidat à la présidence, il a pensé intelligent de racoler du côté de Philippe de Villiers afin de chercher une caution de droite : « L’honnêteté m’oblige à vous dire que je ne suis pas socialiste. »

Macron a compris un axiome fondamental de l’art de plaire politicien : dire tout et son contraire, en faire dans la réalité le moins possible de façon à ce que les naïfs entendent au moins une fois des propos qui vont dans le sens de leurs convictions. Cette attitude d’équilibriste a été confirmée par sa responsable de la communication Sibeth Ndiaye : « J’assume parfaitement de mentir pour protéger le président. »

Wauquiez et tous les partis de droite n’ont donc qu’une seule stratégie à adopter pour vaincre Macron : faire l’unité de la droite, parler vrai comme Trump et redoubler les attaques contre Macron d’une façon précise et agressive pour le confondre afin de montrer qu’il ne remue que du vent, ne s’attaque pas aux vrais problèmes, le démasquer en tant qu’imposteur, l’obliger parfois à faire quelque chose de véritablement efficace.

Wauquiez semble avoir compris et a tout juste, même si le démarrage est laborieux car il a en face de lui toute la pesanteur du Système, non seulement à l’intérieur du parti LR avec les Pécresse et consorts, mais l’hostilité des médias qui le décrivent sous un jour antipathique depuis qu’il a décidé de s’en prendre au politiquement correct. Trahira-t-il un jour lui aussi, comme Sarkozy, une fois arrivé au pouvoir ? La question est posée, mais démasquer la langue de bois de Macron ne peut aller que dans le bon sens des intérêts de la droite.
 
Macron nous affirme qu’il y aura des baisses d’impôt pour tout le monde en 2018, alors qu’il y aura, en réalité, une augmentation globale de 4,5 milliards de la charge fiscale en France. Chaque fois qu’un impôt est baissé d’une façon bizarroïde, comme la taxe d’habitation, il est remplacé par un nouvel impôt tel que la taxe d’inondation, la hausse du diesel, de l’essence, des contrôles techniques et des amendes, avec la nouvelle règle démagogique des 80 km/h. Macron ne s’attaque pas aux dépenses publiques et à la diminution du nombre des fonctionnaires. La hausse de la CSG, c’est 23 milliards d’euros d’impôts pour la grande joie, entre autres, de nombreux retraités. Il aurait été préférable d’augmenter le taux de la TVA, qui freine les importations, ce qu’a fait l’Allemagne, en excédent commercial alors que le déficit commercial de la France est abyssal !

Macron ne réagit pas face à l’agression immonde de policiers à Champigny alors que les peines plancher s’imposent pour que la peur change de camp.

Macron pratique la politique du vent en matière migratoire. Selon Wauquiez, « les clandestins resteront sur notre sol » et, pour la première fois, nous avons franchi, en 2017, la barre des 100.000 demandeurs d’asile. Macron fait beaucoup de bruit sur l’asile sans diminuer l’invasion migratoire de 300.000 immigrés par an. Il ferait mieux, également, de s’en prendre à la radicalisation de l’islam, de mettre fin à la radicalisation antichrétienne de la laïcité.

Macron n’a aucune vision stratégique courageuse à long terme semblable à celle du général de Gaulle. Il importe donc de démasquer l’énarque dévirilisé de l’Europe technocratique de Bruxelles, de l’oligarchie de l’argent, cherchant avant tout à plaire aux électeurs lobotomisés quotidiennement par les médias porteurs de « fake news » (informations fausses).

11:41 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

02:50 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 20 janvier 2018

Journal du chaos

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18:00 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un samedi avec le Parti de la France

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Reportage Var cliquez ici

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Reportage Calais cliquez ici

09:21 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 19 janvier 2018

Bonne nouvelle : il y a désormais une rue Giorgio Almirante à Trieste...

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À Trieste (Italie), malgré les insultes de la gauche, la majorité municipale d’union des droites a décidé de baptiser une rue du nom du dirigeant du Mouvement social italien (MSI), Giorgio Almirante (1914-1988). Honneur à cette municipalité courageuse...

N'oublions pas que c'est grâce à la détermination et à la combativité du Mouvement social italien, au début des années 50, que cette ville, alors occupée par les Britanniques, a été finalement rattachée à l'Italie malgré l'opposition des vainqueurs de 45 qui voulaient la livrer à la féroce Yougoslavie communiste de Tito. Plusieurs militants du MSI périrent dans cette bataille. Gloire à ces camarades !

Aujourd'hui Trieste se rappelle donc à qui elle doit sa liberté... 

Synthèse nationale

Toute cette histoire est d'ailleurs racontée dans le n°11 des Cahiers d'Histoire du nationalisme par notre ami Massimo Magliaro, ancien bras droit de Giorgio Almirante. Pour l'acheter en ligne cliquez ici ou le commander à Synthèse nationale 9, rue Parrot (CS 72809) 75012 Paris (correspondance uniquement). 250 pages, 20 € + 4 € de port.

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15:03 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dans "Présent" daté de samedi, un entretien avec Jean-Marie Le Pen sur la publication prochaine de ses Mémoires

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Présent cliquez ici

Chez votre marchand de journaux.

14:34 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Liste (sans doute non exhaustive) des messes pour Louis XVI

26814752_912543848920725_7678359342801390294_n.jpgListe (sans doute non exhaustive) des messes pour Louis XVI cette fin de semaine cliquez ici 

13:37 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dimanche 21 janvier, à Paris : Marche pour la Vie

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12:17 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Tribune libre : RESTAURONS LA VERTU DE FORCE !

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Alain Escada, Président de Civitas

Laissez-moi tout d’abord vous souhaiter une bonne et sainte année 2018 !

Mais permettez-moi de vous demander aussi de prendre quelques bonnes résolutions pour la France et la Chrétienté.

Car cette année nécessitera bien des efforts si nous voulons qu’elle amorce un élan de reconquête. Un rêve insensé, diront certains, au regard de la situation générale. Je ne prendrai qu’un exemple dont ont parlé tous les médias : les policiers tabassés par une horde de sauvages à Champigny-sur-Marne.

La réaction des autorités, du président de la république au ministre de l’Intérieur, est tout simplement affligeante : des mots creux pour faire part d’une indignation sans prendre aucun des moyens nécessaires pour répliquer comme il se doit à cet acte de barbarie.

A aucun moment, ces dites autorités n’osent évoquer que les auteurs de ce fait sont les fruits pourris d’un chaos migratoire organisé depuis plusieurs décennies.

En fait, ce gouvernement n’est capable d’identifier correctement ni les causes ni les conséquences du désordre dans lequel nous vivons.

L’autorité n’est plus respectée. Ni celle des policiers, ni celle des enseignants, ni celle des parents. Et il n’est pas possible d’envisager de changer cela sans une restauration morale, qui elle-même implique une restauration spirituelle.

Commençons par cette évidence : il faut rétablir la vertu de force !

Il existe quatre vertus cardinales : la prudence, la justice, la force, la tempérance. La force est probablement la plus oubliée. Dans le langage courant, le mot « force » désigne seulement un principe d’action, une manière d’exercer sa volonté de pouvoir, parfois de façon arbitraire et injuste.

La confusion est d’autant plus générale que les notions associées à la vertu de force – les convictions, les principes, le souci du bien commun pour lesquels on s’engage, la fidélité à ces engagements, le sens de l’honneur et du devoir, l’esprit de sacrifice – sont considérées désuètes et ringardes de nos jours.

Comment parler de convictions dans une société saturée de libéralisme et de relativisme, permettant à chacun de construire “sa” vérité personnelle ? Comment parler de fidélité quand l’une des principales fidélités, la fidélité conjugale, est ridiculisée et violée à grande échelle ? Comment parler de sacrifice dans un monde voué au plaisir ?

Retrouver la vertu de force oblige donc à rompre avec le modernisme, l’hédonisme, le matérialisme.

Les personnes devant exercer une quelconque forme d’autorité devraient lire saint Thomas d’Aquin (Somme théologique, secunda secundae, question 123) : « La force, considérée comme une certaine fermeté de l’âme, est une vertu générale, ou plutôt la condition générale de toute vertu ; mais considérée dans son action en nous quand nous sommes en présence d’un grand danger, elle est une vertu spéciale. »

« La force résumant éminemment en elle une des conditions nécessaires à toute vertu, à savoir la fermeté dans le bien, c’est à juste titre qu’elle est rangée parmi les vertus cardinales. »

« (La vertu de force) ne consiste pas seulement aujourd’hui à tenir ferme dans les périls corporels, mais à maintenir l’essence de l’homme, et avant tout sa nature d’ « animal politique » tant au plan naturel qu’au plan surnaturel, contre les dangers de plus en plus nombreux qui la menacent de mort, et à contre-attaquer les ennemis qui pullulent autour d’elle et tentent de l’asservir, de la transformer pour l’anéantir. »

« La force a une utilité générale qui est de maintenir l’ordre de la justice tout entier. »

« La vertu de force « supporte et repousse les assauts et les périls extrêmes dans lesquels il est le plus difficile de rester ferme ».

« La force inclut la résistance à un monde extérieur ennemi ou à un autrui antagoniste qui attaque l’être humain en sa réalité propre. »

« La vertu de force se définissant en son essence par son degré supérieur, se trouvera ainsi dans l’acte de supporter le danger en chassant la crainte (…). Du fait que l’acte principal de la force soit de résister, il ne faudrait pas conclure qu’il consiste uniquement dans la défensive (…). La vertu de force implique secondairement, mais nécessairement, l’attaque. »

Prenons la ferme résolution, en ce début d’année 2018, de restaurer en nous et dans la société la vertu de force.

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Venez nous retrouver sur

le stand de Synthèse nationale

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