mardi, 03 octobre 2017
CATALOGNE : AUTONOMIE PROVINCIALE OUI, SOUVERAINETE ETATIQUE NON !
Le bloc notes de Jean-Claude ROLINAT
Le pseudo référendum illégalement organisé le dimanche 1er octobre par le gouvernement régional de la Catalogne espagnole, s’est achevé dans la confusion et le ridicule. La Généralitat a, toutefois, gagné la bataille des images, et c’est important vis-à-vis de l’opinion publique locale et internationale. On connait, selon le slogan d’un célèbre magazine parisien, « le poids des mots, le choc des images ». Les photos et les films de policiers chargeant des manifestants, s’emparant d’urnes ou empêchant des électeurs « d’accomplir leur devoir » sans ménagement aucun, - mais connait-on une police qui agirait avec des « gants de velours ?-, ont tourné en boucle ce même dimanche 1/10 tant sur les réseaux sociaux que sur les chaines d’informations en continu. A noter que les membres des forces de l’ordre étaient surtout des Gardes civils ou des policiers nationaux rameutés de tout le pays,- pour la petite histoire logés sur des bateaux en rade de Barcelone, les hôtels étant complet ou refusant de les héberger !-, plutôt que des hommes appartenant à la police régionale, les Mossos d’Esquadra (1). Manque de confiance, risque de collusion, mauvaise volonté dans l’exécution des ordres ? Sans doute un peu tout cela mon général !
Madrid ne peut pas accepter un précédent qui ferait éclater l’Espagne !
Après la chute du régime franquiste par la disparition de son fondateur Francisco Franco Bahamonde, lequel avait assuré pendant presque quatre décennies la stabilité dans un pays ravagé par la guerre civile de 1936 à 1939, l’introduction d’un régime démocratique « à l’occidentale » qui se substituait à «celui de la « démocratie organique », permettait aux provinces espagnoles d’accéder à l’autonomie interne. Avec, toutefois, des statuts différents et un degré de compétences variable d’une région à l’autre, Galice, Catalogne et Pays Basque étant en pointe en raison, d’abord, de leur langue locale . Mais est-ce à dire que chaque peuple ayant un idiome, un dialecte, voire une langue spécifiques, aurait automatiquement le droit d’accéder à l’indépendance ? Dans ce cas ce n’est pas 194 pays membres que compterait l’Organisation des Nations Unies, mais mille, deux mille, trois mille et plus ! Rien que l’Inde et la Suisse, cette dernière n’étant qu’observateur à l’ONU, auraient respectivement droit, alors, à 18 et 4 sièges, un par « Etat linguistique » ! Et que dire de la Russie ou du continent africain ! Le morcellement des Etats-Nations en diverses entités politiques n’est pas sérieux, c’est même un facteur dangereux de divisions entre les peuples et un encouragement donné aux forces de la finance mondiale prêtes à s’emparer d’entités au format plus modeste, donc plus faibles à résister. Déjà, « on » nous dit que l’union des pays européens est une nécessité vitale pour pouvoir faire face à la concurrence des grands empires, Inde, Chine, Etats-Unis, Russie, alors que penser de micro Etats, même si, dans le cas catalan, nous avons à faire face à un « pays » de 7 millions d’âmes grand comme la Belgique ? L’Espagne est un vieux pays d’Europe, qui s’est un peu construit comme la France, autour d’un noyau central – Madrid et la Castille – par la volonté d’une dynastie. La volonté d’union du peuple espagnol ne fait aucun doute et même les résidents de Catalogne ne sont pas unanimes derrière la meute séparatiste du Président du gouvernement régional, Carles Puigdemont. Les sécessionnistes, regroupés au sein d’une coalition « Ensemble pour le Oui » » qui va des extrémistes de gauche d’Esquerra républicana aux « modérés » de la droite et du centre de Convergence et Union (CIU), totalisent 83 sièges sur 135 au Parlement de Catalogne, un vaste bâtiment à la façade rose ajourée d’arcades. L’opposition ou « unionistes » est composée de représentants des partis nationaux traditionnels, Parti populaire de Mariano Rajoy, Parti socialiste (PSOE) et les centristes libéraux/libertaires de Ciudadanos. Un sondage réalisé en novembre 2016 par l’institut CEO donnait 44,9 % de Oui, 45,1 % de Non et 10 % d’indécis. Un mois plus tard, l’écart se creusait encore un peu plus entre les « séparatistes » et les « unionistes ». La vérité nous oblige à reconnaitre que, juridiquement, le gouvernement de Madrid est dans son droit, la loi espagnole ne prévoyant pas de référendum « d’autodétermination » pour ses provinces. Les autorités catalanes, par ailleurs, n’ont pas facilité la publicité en faveur du Non, favorisant exclusivement la propagande pour le Oui. Elles ont même placardé des affiches représentant le général Franco disant « ne votez pas le 1er octobre » ou « Non », pensant s’en servir comme d’un repoussoir. Il y eut même ici, en France, sur les ondes de la chaine « C News » le samedi matin 30 septembre, la curieuse prestation de l’ambassadeur d’Espagne présentant face aux caméras une photo du même général remettant un trophée au Barça, le club sportif catalan qui est, on le sait « mas un club », « plus qu’un club », une véritable institution à Barcelone. Pour « culpabiliser » les Barcelonais ? Les résultats, plus ou moins 90 % de votes positifs à l’heure où ces lignes sont écrites, ne sont absolument pas le reflet de l’opinion catalane, la consultation s’étant déroulée dans les conditions que l’on sait, et les partisans du Non l’ayant boycottée. Cette consultation ne peut avoir aucune valeur juridique. Si Madrid entrebâillait la porte pour ce type de « plébiscite », la péninsule risquerait de voler en éclat et la démocratie représentative avec l’armée, la Guardia civil et toutes les forces hispaniques centralisatrices ne l’accepteraient pas.
La Catalogne pourrait-elle vivre toute seule ?
On a soulevé l’hypothèse d’une déclaration unilatérale d’indépendance par le Parlement régional et, dans la foulée, celle de la « République ». D’abord cet Etat ne serait pas reconnu par ses voisins immédiats ni par les autres partenaires de l’Union européenne. Quant à l’économie catalane si florissante parait-il, n’oublions pas que ces 4 provinces du nord-est de l’Espagne ont une dette de 7,5 milliards d’Euros, soit 35,7 % du PIB, et que ce nouveau « pays » importerait plus qu’il n’exporterait. (Si ses frontières n’étaient pas bloquées par les pays voisins, comme celles du Kurdistan le sont et qui est un peu dans le même cas par exemple, par rapport au pouvoir central) .L’Eldorado catalan n’est pas aussi brillant que ses « thuriféraires » veulent bien le dire, le taux de chômage est tout de même de 14,85 %, et nombre de capitaines d’industrie songeraient à s’exiler en cas de séparation avec l’Espagne. Les indépendantistes démontrent leur indéniable force populaire avec la grève générale et la floraison de drapeaux rouges et jaune qui émaillent les cortèges. Mais la majorité – ou minorité ? – silencieuse ne descend pas forcément dans la rue, même si, ici ou là, des patriotes espagnols ont courageusement exprimés leur refus d’un divorce.
Un référendum peut en cacher d’autres
En Amérique du Nord, les Québécois se sont exprimés déjà deux fois sur leur « souveraineté-association ». La majorité des électeurs, dans les deux cas, ont dit non à la séparation d’avec le reste du Canada. En Ecosse aussi, le peuple s’est prononcé sur la sortie du Royaume-Uni, là aussi pour dire Non. Il y a une étonnante caractéristique qui réunit tous ces partis : ils sont, dans leur ensemble, de tendance social-démocrate et résolument immigrationnistes. Le Parti Québécois ne considère-t-il pas qu’est Québécois tout résident parlant le Français ? Madame Sturgeon à Edimbourg, leader du SNP et Premier ministre local, considère également qu’est Ecossais tout habitant de l’Ecosse et les « rebelles » catalans ne se félicitent-t-ils pas d’avoir 500 000 musulmans sur leur sol ? On est loin du sentiment identitaire qui devrait caractériser, logiquement, tous ces mouvements séparatistes. Toutes ces entités provinciales européennes, comme l’Ulster, la Flandre, la Wallonie ou les régions italiennes à statut spécial, bénéficient d’une large décentralisation et d’une capacité à se gouverner elles-mêmes dans de nombreux domaines. Tout peut être amélioré dans le sens d’une plus grande autonomie encore, mais il est une ligne rouge à ne pas franchir. C’est ce que les multiples partis ou organisations séparatistes refusent d’admettre, à commencer, chez nous, par les ultra-minoritaires partisans d’un Etat corse. Il existe au septentrion de l’Europe un archipel tranquille, qui flotte entre ciel et mer, qui aurait pu être au début du XIXème siècle le prétexte à une guerre terrible entre la Suède et la Finlande naissante. La sagesse et le pragmatisme l’ont emporté. Les populations suédoises de l’archipel des iles Åland ont été politiquement rattachées à la Finlande, mais les Alandais jouissent d’une autonomie totale dans TOUS les domaines, à l’exception de la monnaie, des affaires étrangères et de la défense. Dans les Caraïbes, le statut de Porto-Rico est également à méditer : l’ile a toujours refusé l’indépendance tout en souhaitant rester associée au grand frère américain. Bien plus loin encore, les iles Cook dans l’océan Pacifique sont heureuses de leur statut d’Etat associé à la Nouvelle-Zélande. Toute disposition permettant à un peuple de réaliser pleinement son d’identité tout en respectant l’intégrité d’un cadre national, est la bienvenue. Cela nous entraine bien loin de l’Espagne, certes, mais ne serait-ce pas une piste pour solder, par exemple, le dossier néo-calédonien ?
Note
(1) Force créée en juillet 1983 dont l’origine historique remonterait au XVIIIème siècle. Ses 17 à 18 000 hommes assurent les fonctions d’une police civile classique – circulation, enquêtes criminelles, protection. Elles ne se substituent pas, toutefois, à la police nationale ou à la garde civile qui restent les piliers policiers de l’Etat espagnol.
02:29 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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lundi, 02 octobre 2017
La Journée de Synthèse nationale au journal de TV Libertés
A 20 mn 10
20:09 Publié dans 11 - La 11e journée nationale et identitaire, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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LE GRAND MEETING DE SYNTHÈSE NATIONALE À RUNGIS
Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale
Jean-Paul Chayrigues de Olmetta
Président des Amis de Synthèse nationale
Alain Escada, Président de Civitas
Pierre Vial, Président de Terre et peuple
Massimo Magliaro,
ancien dirigeant du Mouvement social italien
Carl Lang, Président du Parti de la France
Jean-Marie Le Pen
19:40 Publié dans 11 - La 11e journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Les interventions de l'après-midi
Table-ronde de l'après-midi : les intervenants
Richard Roudier, Président de la Ligue du Midi
Jean-Claude Rolinat, La Hongrie sentinelle de l'Europe
Serge Ayoub
Gérard Brazon, Riposte laïque
Lire sur Riposte laïque cliquez ici
Steven Bissuel, Bastion social
19:24 Publié dans 11 - La 11e journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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La Journée de Synthèse nationale comme si vous y étiez...
Table-ronde du matin : les intervenants
Hugues Bouchu,
Les Amis franciliens de Synthèse nationale
Philippe Randa, directeur de EuroLibertés
Vincent Vauclin, Président de la Dissidence française
Gabriele Adinolfi, Projet Lansqenets
Alban d'Arguin, Eoliennes un scandale d'Etat
12:24 Publié dans 11 - La 11e journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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PRÈS DE 1 500 PERSONNES ONT ASSISTÉ DIMANCHE À RUNGIS À LA 11e JOURNÉE DE SYNTHÈSE NATIONALE
L'auditorium de l'Espace Jean Monnet de Rungis était comble hier après midi lorsque Jean-Marie Le Pen, invité à la 11e journée nationale et identitaire organisée par Synthèse nationale, a prononcé son discours de rentrée. Près de 1 500 amis de notre revue, une affluence record, sont en effet venus assister à cette réunion.
Très attendue, l'intervention du Président d'honneur du Front national a été précédée par celles d'Alain Escada (Civitas), Pierre Vial (Terre et peuple), Massimo Magliano (ancien dirigeant du MSI venu de Rome), de Carl Lang (Parti de la France) et, bien sûr, de Roland Hélie, Directeur de Synthèse nationale.
Avant, plusieurs tables rondes s'étaient tenues au cours desquelles une quinzaine d'intervenants purent s'exprimer sur le combat pour l'identité ou encore sur les initiatives militantes. Plus de cinquante stands étaient dressés dans les halls, ce qui donna l'occasion au public de rencontrer les différentes maisons d'éditions non conformistes, les artistes et les associations, mouvements et partis qui font la richesse de notre camp.
Nous reviendrons rapidement sur cet événement fondamental qui, quelques mois après la Présidentielle, marque le retour des forces nationales sur le terrain politique.
Le discours de Jean-Marie Le Pen :
07:13 Publié dans 11 - La 11e journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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samedi, 30 septembre 2017
UN ENTRETIEN AVEC ROLAND HÉLIE, DIRECTEUR DE SYNTHÈSE NATIONALE, SUR LE SITE EUROLIBERTÉS
Dimanche prochain, 1er octobre, à Rungis : 11e Journée de Synthèse nationale
Un entretien avec Roland Hélie
Dimanche prochain, 1er octobre, se déroulera à Rungis, près de Paris, la 11e journée nationale et identitaire organisée par la revue Synthèse nationale. Nous avons interrogé Roland Hélie, son directeur, sur cette manifestation.
« Ni soumission, ni abandon, mobilisation ! », tel est le thème de cette onzième journée de Synthèse nationale. Pourquoi avoir choisi cette accroche ?
Il n’a échappé à personne que la France vient de traverser une période électorale pour le moins surprenante. Le Système, jusqu‘alors incarné par ses partis inféodés que sont le PS et les Républicains, était donné en complète « déconfiture » l’hiver dernier. Or, habilement, il a imposé en quelques mois son joker, Emmanuel Macron, afin que tout change pour que, surtout, rien ne change.
Face à une telle imposture, les forces nationales et identitaires qui ne se reconnaissent pas (ou plus) dans le FN doivent aussi passer à l’offensive et procéder, dans la mesure du possible, à une unité d’action. C’est toujours dans cet esprit que, depuis onze ans, Synthèse nationale travaille.
Concrètement, quels sont les résultats à mettre à l’actif de la stratégie de Synthèse nationale ?
L’an dernier par exemple, lors de notre précédente journée annuelle, Jean-Marie Le Pen et Carl Lang, en désaccord depuis plusieurs années, se sont retrouvés à la même tribune. Quelques mois plus tard, aux législatives, avec Civitas et le Siel, il y a eu une entente électorale entre les Comités Jeanne et le Parti de la France.
D’une manière plus générale, Synthèse nationale, dès sa création s’est employée à introduire au sein de notre famille d’idées un « nouvel état d’esprit ». Souvenez-vous de l’époque désastreuse où chaque mouvement s’employait à « dézinguer » ses « concurrents ». Il ne s’agit pas de pousser les différentes composantes à « fusionner » mais au moins de les inciter à agir les uns à côté des autres pour la même cause, à savoir sauver notre nation et notre civilisation. Le temps presse…
Finalement, votre démarche est presque analogue à celle de EuroLibertés.
Nous nous félicitons en effet que EuroLibertés ouvre ses colonnes à toutes les tendances de la droite de combat en Europe. Nous ne pouvons plus nous payer le luxe ; ni au niveau français ni au niveau européen, de la division avec toutes les querelles que cela entraine. Un site comme le votre est un atout majeur pour le combat national et identitaire sur notre continent. D’ailleurs, dimanche prochain, j’espère que les participants seront nombreux à venir visiter votre stand.
Justement, parlez nous un peu du déroulement de la journée de dimanche…
Celle-ci débutera à 11 h. Il y aura différentes tables-rondes dont une sur les initiatives militantes avec, entre autres, Steven Bissuel du Bastion social, Alban d’Arguin, pourfendeur des éoliennes, Vincent Vauclin de La Dissidence française, Gabriele Adinolfi du Projet Lansquenets, le musicologue Thierry Bouzard, auteur d’une récente anthologie des chants identitaires, et une seconde sur l’identité avec entre autres Richard Roudier de la Ligue du Midi, Serge Ayoub que l’on ne présente plus, Gérard Brazon de Riposte laïque, Jean-Claude Rolinat que vos lecteurs connaissent bien…
En milieu d’après-midi, ce sera le meeting politique à proprement parler avec Jean-Paul Chayrigues de Olmetta, Roger Holeindre, Alain Escada, Massimo Magliaro, ancien dirigeant du MSI venu de Rome, Carl Lang, Pierre Vial et Jean-Marie Le Pen qui nous fait l’honneur d’être à nouveau présent.
Et le côté festif de la journée ?
Il y aura aussi des concerts avec Le Chœur Montjoie Saint Denis, Docteur Merlin, le chanteur breton Christoff, le rappeur Kroc Blanc. Vous noterez le côté éclectique de ces spectacles… Des animations aussi avec les dessinateurs Ignace et Pinatel.
De nombreux stands de libraires, d’artisans, d’éditeurs, de revues et journaux, de TV Libertés, d’associations, de mouvements et de partis seront aussi là pour recevoir les visiteurs. De nombreux écrivains dédicaceront leurs ouvrages sur le stand de Philippe Randa.
Sans oublier un restaurant et un bar sur place afin de sustenter nos amis…
Dimanche 1er octobre, de 11 h à 18 h 30, 11e Journée de Synthèse nationale, Espace Jean Monnet, 47 rue des Solets à Rungis (94), RER Rungis-la Fraternelle. Entrée 10€
Plus d'informations cliquez là
Source EuroLibertés cliquez ici
19:20 Publié dans 11 - La 11e journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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LE JOURNAL DU CHAOS DE CETTE SEMAINE
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vendredi, 29 septembre 2017
Méchant, mais...
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Jean-Marie Le Pen prendra la parole dimanche après-midi à la 11e Journée de Synthèse nationale à Rungis
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11:21 Publié dans 11 - La 11e journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Samedi après-midi : Sébastien Jallamion dédicacera son livre à la Librairie française
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29 septembre 1989 : décès de Jean-Louis Tixier-Vignancour
Sur Jean-Louis Tixier-Vignancour cliquez ici
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VENEZ RETROUVER LE QUOTIDIEN "PRÉSENT" SUR SON STAND DIMANCHE À RUNGIS
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08:37 Publié dans 11 - La 11e journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Venez visiter le stand de TV Libertés et de Radio Libertés dimanche à Rungis
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07:59 Publié dans 11 - La 11e journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Pourquoi le CRAN ne demande-t-il pas de débaptiser les écoles, collèges, lycées et rues Victor Hugo, Jean Jaurès, Léon Blum et Edouard Herriot ?
Bernard Lugan
Le journal Le Monde nous apprend que le CRAN (Conseil représentatif des associations noires de France) organisation ultra confidentielle mais percevant des subventions prélevées sur les impôts des Français, fait actuellement circuler une singulière pétition ayant pour cible le grand ministre que fut Colbert. Parmi les signataires de cette pétition, on relève les noms de Lilian Thuram (footballeur), Harry Roselmack (journaliste) et Rokhaya Diallo (journaliste-documentaliste).
Egalement celui d’une certaine Mireille Fanon-Mendès-France qui se présente comme « ancienne présidente du groupe d’experts de l’ONU sur les personnes d’ascendance africaine » (???). Ce titre ronflant fait d’elle, et en toute modestie, la porte-parole auto-proclamée de plus d’un milliard d’hommes et de femmes, ce qui n’est pas rien… Il pousse également à poser la question de savoir qui est l’actuel(le) président(e) de cet organisme et quels émoluments il (elle) perçoit du « machin » auquel la France, 5° contributeur à son budget ordinaire, verse annuellement 122,6 millions de dollars US prélevés, là encore, sur les impôts des Français.
La pétition du CRAN demande rien de moins que de débaptiser les collèges et les lycées portant le nom de Jean-Baptiste Colbert et de déboulonner ses statues au motif qu’il « fonda la Compagnie des Indes occidentales, compagnie négrière de sinistre mémoire ».
Mais pourquoi donc le CRAN s’en tient-il à Colbert ? Au nom du « vivre ensemble » et de l’antiracisme, n’est-il en effet pas nécessaire et plus urgent, de débaptiser les édifices publics portant les noms de Victor Hugo, Jean Jaurès, Léon Blum et Edouard Herriot… pour commencer. La liste est en effet longue de ces personnalités constituant le panthéon de nos gloires républicaines et laïques, de ces figures montrées en exemple de la défense des droits de l’homme, de la tolérance, de la fraternité universelle et qui, en réalité, seraient d’horribles racistes-colonialistes dont les propos abjects font penser aux plus sombres heures de notre passé colonial-esclavagiste. Que l’on en juge :
Victor Hugo, qui a donné son nom à 2555 rues et avenues de France, juste derrière Louis Pasteur, ce chantre de la liberté, n’hésita pas à afficher un détestable mépris à l’égard des Africains auxquels il alla jusqu‘à contester l’appartenance au genre humain : « L’Asie a son histoire, l’Amérique a son histoire, l’Australie même a son histoire qui date de son commencement dans la mémoire humaine, l’Afrique n’a pas d’histoire ; une sorte de légende vaste et obscure l’enveloppe.(…) Le Blanc a fait du Noir un homme (…) Emparez-vous de cette terre. Prenez-là. A qui ? à personne. »
Concernant la conquête coloniale, cette forme moderne de l’esclavage selon le CRAN, Jean Jaurès dont 2215 voies, rues, boulevards ou avenues portent le nom considérait que : « La France a d’autant le droit de prolonger au Maroc son action économique et morale que (…) la civilisation qu’elle représente en Afrique auprès des indigènes est certainement supérieure à l’état présent du régime marocain »
Léon Blum et Edouard Herriot ne sont pas dans le « top 10 » des noms de rues et voies, ce qui est heureux, même si des centaines d’écoles, collèges, lycées, maisons de la culture, portent encore leurs noms. Leurs cas sont en effet encore plus graves que ceux de Victor Hugo et de Jean Jaurès. Celui de Léon Blum est même emblématique. Cet internationaliste aux mains pures, ce défenseur de Dreyfus, cet indéfectible soutien des « républicains » espagnols devenu éminente personnalité du Front populaire, compterait en effet, aux côtés d’Arthur de Gobineau, de Vachet de la Pouge et même du taxinomiste racial George Montandon, parmi les théoriciens (horresco referens !) de l’inégalité des races puisque, cause aggravante, ce fut devant les députés qu’il osa déclarer, l’hémicycle en frémit encore, que : « Nous admettons le droit et même le devoir des races supérieures d’attirer à elles celles qui ne sont pas parvenues au même degré de culture ».
Toujours devant les députés, Edouard Herriot, cette icône de la fraternité laïque, ce chantre de la tolérance républicaine si chère aux Lyonnais, ce frère de tous les humains, ce croisé du suffrage universel, n’a, quant à lui, pas craint d’oser dire que : « Si nous donnions le droit de vote aux peuples de l’Empire, la France deviendrait la colonie de ses colonies ».
Alors, oui, amplifions le grand mouvement de nettoyage de l’histoire de France lancé par le CRAN, qui n’en manque décidement pas, et établissons au plus vite des listes de personnalités qui ne méritent plus d’être respectées. Au nom de l’antiracisme et de l’amour du genre humain, épurons ! Epurons ! Epurons ! Et que revienne le temps béni des Fouquier Tinville, Carrier ou Collot d’Herbois…
Source cliquez ici
07:56 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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jeudi, 28 septembre 2017
LE CERCLE FRANCO-HIPANIQUE FÊTE LE 100e NUMÉRO DE SA LETTRE SAMEDI ET SERA DIMANCHE À RUNGIS
Un communiqué du Cercle Franco-hispanique :
Pour célébrer la parution du numéro 100 de La Lettre des Amitiés franco-espagnoles, à la demande du Cercle Franco-Hispanique (CFH), une messe d’actions de grâce sera dite à l’attention de tous ses adhérents et sympathisants par l’Abbé Philippe Toulza, le samedi 30 septembre à 11 h, Notre-Dame de Consolation, 23 rue Jean Goujon, Paris 8e (Métro Alma-Marceau)
Cette cérémonie sera suivie d’un verre de l’amitié.
Une exposition aura lieu* à Paris, sur le thème de « L’Amitié franco-espagnole, pilier de l’Europe latine » au mois d'octobre
*uniquement sur inscription par courriel : cfh.grimaldi@free.fr ou par voie postale à l’adresse du Cercle qui figure dans le bulletin.
En savoir plus sur la journée de dimanche cliquez ici
18:16 Publié dans 11 - La 11e journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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LES ANIMATEURS DU PROJET LANSQUENETS PÉSIDÉ PAR GABRIELE ADINOLFI VOUS ATTENDENT DIMANCHE 1er OCTOBRE À RUNGIS
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16:58 Publié dans 11 - La 11e journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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DIMANCHE PROCHAIN, 1er OCTOBRE, LES ÉDITIONS DU RETOUR AUX SOURCES VOUS RECEVRONT SUR LEUR STAND À RUNGIS
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01:39 Publié dans 11 - La 11e journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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L’ERREUR GROTESQUE DE MACRON D’AVOIR VENDU ALSTOM POWER À GENERAL ELECTRIC !
Marc Rousset
Patrick Kron et Macron nous avaient juré, la main sur le cœur, que l’activité énergétique d’Alstom Power n’était pas viable en raison de sa taille insuffisante, mais que l’on allait voir ce que l’on allait voir…. Car avec les 12,25 milliards d’euros de vente de cette activité, on allait enfin pouvoir investir dans Alstom Transport, augmenter sa taille, le remuscler, investir et faire rayonner une entreprise française d’avenir dans le monde ! Or, en réalité, suite à des dividendes versés et pour différentes raisons à éclaircir, il n’est pratiquement plus rien resté du produit de la vente à General Electric dans les caisses d’Alstom.
Macron nous dit maintenant que l’on va faire l’« Airbus du rail » ! Oui, mais sous le contrôle de Siemens qui sera majoritaire, avec plus de 50 % du nouvel ensemble. Le lot de consolation sera plus acceptable si le siège reste en France, car la fusion se ferait par l’apport en nature de l’activité ferroviaire Siemens Mobility à Alstom ! Mais le contrôle sera allemand, avec six membres du conseil d’administration sur onze, y compris le président. L’État français ne détiendra plus, lui, que 7,5 % du capital et Bouygues 15 %, donc moins que la minorité de blocage de 33 %. Et Alstom a été conseillé, comme par hasard, par Rothschild, l’ancien employeur de Macron…
Pour combien de temps garderons-nous le guignol français Henri Poupart-Lafarge à la tête du nouvel ensemble ? Tout comme on a eu Attali à Londres lors de la création de la Banque pour le financement de l’Europe de l’Est ! Aujourd’hui, les Anglais ont toujours le siège, la France n’a plus que ses beaux yeux pour pleurer et il y a belle lurette qu’Attali a quitté Londres pour retourner à ses prévisions futuristes et fumeuses.
L’Airbus de l’air, lui, est un partenariat équilibré à 11,1 % entre la France et l’Allemagne, avec impossibilité de monter jusqu’à plus de 15 % au capital pour chaque partenaire.
Quant à l’« Airbus naval », les discussions sont en cours entre le français Naval Group et l’italien Fincantieri et l’on va voir ce qui va sortir du chapeau avec, là encore, des problèmes de taille et de survie face à la concurrence dangereuse du géant russe OSK, des Chinois et des Sud-Coréens !
Boulevard Voltaire cliquez ici
01:23 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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CE JEUDI 28 SEPTEMBRE, L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR RADIO LIBERTÉS REND HOMMAGE À SERGE DE BEKETCHE DÉCÉDÉ IL Y A 10 ANS
01:23 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Un ancien fiché S entre dans la police !
Un communiqué du MNR :
D'après une information de RTL, confirmée par Europe 1, un homme, fiché S en 2012 pour son intérêt pour l'islam radical, était néanmoins entré dans la police comme adjoint de sécurité (ADS), après avoir tenté de faire carrière dans l'armée.. Après trois années de surveillance, la fiche S est levée. Et, « couronnement» de cette histoire, il est devenu vendredi dernier gardien de la paix...Que doit-on penser de la hiérarchie qui a permis cela, cependant que le policier patriote Sébastien Jallamion a été démis de ses fonctions et contraint de s'exiler, suite à la dénonciation d'une collègue qui n'avait pas apprécié un message (privé) sur Facebook pointant du doigt le danger de l'État islamique ? Comment peut-on sérieusement penser que nous sommes protégés des dangers du terrorisme islamique ? Combien faudra-t-il de nouveaux morts pour que nos autorités ouvrent les yeux et arrêtent de parler d' « islamophobie » quand certains veulentt attirer l'attention sur les dangers liés à l'islam ?
Avec tous les patriotes, dénonçons sans relâche les dangers extrêmes de la complaisance envers l'islam radical, fruit abouti de l'islam orthodoxe.
01:16 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mercredi, 27 septembre 2017
SAVEZ-VOUS QUE LES LIVRES DE CHARLES-HENRI D'ELLOY SERONT EN VENTE À RUNGIS DIMANCHE PROCHAIN ?
19:15 Publié dans 11 - La 11e journée nationale et identitaire, Rendez-vous avec Les Bouquins de Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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DIMANCHE QUAND TU SERAS À "SYNTHÈSE"....
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10:56 Publié dans 11 - La 11e journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Les aberrations historiques de Jean-Luc Mélenchon
La chronique de Philippe Randa
Jean-Luc Mélenchon aurait osé comparer l’actuel gouvernement Macron aux nazis en affirmant samedi lors de sa manifestation contre la réforme du Code du travail : « C’est la rue qui a abattu les nazis… »
Qui peut croire une telle contre-vérité ? Le régime hitlérien a été balayé par son écrasante défaite militaire et nullement par des causes intérieures au IIIe Reich ; défaite aidée, certes, par nombre de trahisons, mais nullement populaires !
L’historien Bernard Plouvier n’a pas manqué de le relever dans sa magistrale étude Traîtres et comploteurs dans l’Allemagne hitlérienne (1) : « En regard de la population allemande et autrichienne engagée dans l’expérience politique, économique, sociale et culturelle du nazisme, les traîtres n’ont été qu’une infime minorité, jouant toutefois un rôle fondamental lors de la guerre. […] Les agents recruteurs du Komintern et ceux du GRU ont trouvé, avant, puis durant la guerre, quantité de traîtres dans l’aristocratie et le milieu des artistes, mais aussi dans le corps des officiers d’états-majors et des hauts fonctionnaires ministériels (les diplomates préférant généralement trahir en faveur des Alliés occidentaux, jugés plus raffinés). Ils ont misérablement échoué, en revanche, à débaucher de façon significative savants, techniciens et ouvriers, qui se sont révélés farouchement patriotes jusqu’à la débâcle, pour la quasi-totalité d’entre eux. »
Pour le leader de la France insoumise, revisiter l’histoire par la provocation, la bêtise, l’ignorance et la manipulation a sans doute été le meilleur moyen de faire oublier une mobilisation populaire somme toute décevante…
(1) Traîtres et comploteurs dans l’Allemagne hitlérienne, Bernard Plouvier, éditions Dualpha, collection « Vérités pour l’Histoire », 436 pages, 35 euros. Pour commander ce livre, cliquez ici.
10:55 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Dimanche 1er octobre à Rungis, vous pourrez visiter les stands de nos exposants
09:41 Publié dans 11 - La 11e journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mardi, 26 septembre 2017
Samedi prochain, 30 septembre, à Lille : une conférence organisée par Civitas
22:54 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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JEAN-MARIE LE PEN FERA UN DISCOURS LE DIMANCHE 1er OCTOBRE À RUNGIS LORS DE LA JOURNÉE DE SYNTHÈSE NATIONALE
22:40 Publié dans 11 - La 11e journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Un nouvel outil de dissolution nationale : le clandestin et ses droits
Bernard Plouvier
Autrefois, les choses étaient simples et, somme toute, fort logiques. La clandestinité avait une double connotation : celle du secret et de l’illégalité. Le clandestin était reconduit à la frontière de son choix ou de son origine.
Mais ça, c’était avant la dictature des droits liés au simple fait d’être né, avant la création des lois par et pour le pouvoir économique.
Dès l’Antiquité, en Mésopotamie comme en chine, en Grèce ou à Rome, la notion de droits individuels était corrélée à celle des devoirs : enrichir la collectivité par sa force de travail ou dans la défense du Bien commun & ne pas nuire à autrui par des actions criminelles ou délictueuses.
Ces vieilles lunes se sont effacées devant le nouveau soleil censé éclairer l’humanité : le culte des droits dévolus à n’importe qui ayant l’apparence d’un humain. Du seul fait qu’il existe, l’être humain a le droit de parasiter celles des sociétés où l’on est devenu tellement « libéral » qu’on y oublie l’origine même du Droit : la protection des personnes et des biens de ceux qui enrichissent la collectivité par une honnête activité et de ceux qui l’ont enrichie.
Seuls les niais gobent cet immense bobard qu’est le culte des Droits de tout homme. Sa finalité réelle est de stimuler la consommation, selon le principe bien connu des petits ruisseaux qui font les grandes rivières. Tout est bon, dans nos sociétés décadentes, pour détourner le produit des taxes et des impôts, soit l’argent public, vers la consommation privée.
L’immigré clandestin est bien plus utile à l’économie mondiale s’il peut consommer plus, étant parasite d’une société riche, qu’en restant travailler de façon très peu productive dans son pays d’origine, où il gagne très peu et consomme misérablement.
Veut-on un exemple ? Prenons celui du clandestin en France.
Certes, le clandestin ne peut en principe travailler… mais il jouit des mêmes droits que le travailleur français en matière d’indemnisation des accidents du travail et des maladies professionnelles, et il a de même droit à une retraite !
Certes, le clandestin est exclu du bénéfice de la Sécurité sociale, mais, sans avoir cotisé à la SS ni à une mutuelle, il jouit de l’entière gratuité des soins, via l’AME. Idem, il a droit à un hébergement provisoire gratuit… si on lui trouve une place et s’il hurle assez fort pour qu’on n’ose contester « ses droits ».
Bien entendu, il a droit aux allocations familiales et ses concubines éventuelles, en sus de son épouse reconnue par « la loi » (la loi s’applique donc aux clandestins, comme c’est bizarre !), ont droit à l’allocation de « parent isolé ».
L’État et les collectivités locales lui viennent en aide, probablement pour le remercier d’avoir, de façon illégitime, posé les pieds sur le sol français. L’Allocation Temporaire d’Attente était initialement de 150 euros/mois : avec les majorations pour charge de famille, le clandestin pouvait atteindre 450 euros mensuels ; depuis 2012, l’aumône de la Ripoublique est passée à 467 euros mensuels pour le clandestin isolé, 700 pour un couple, avec 140 euros supplémentaires par enfant à charge.
On comprend aisément que les clandestins, estimés à 400 000 en 2012, soit en afflux permanent et pour trois raisons :
- La loi du 31 décembre 2012 a supprimé le « délit de séjour irrégulier » : le clandestin n’est plus « illégal »… on ne sait plus très bien ce qu’il est !
- On en régularise environ 20 000 chaque année
- Bien que clandestin, l’immigré entré par fraude jouit d’un pouvoir d’achat : il ne s’agit plus seulement de tolérer son entrée irrégulière, mais de lui fournir de l’argent, ce qui lui permet, entre autres choses, de rembourser ses passeurs !
L’argent public alimente le trafic d’humains autant que le parasitisme social, sans que ne soit jamais posée la bonne question. La Nation française (et le raisonnement est identique pour l’ensemble des Nations européennes) a-t-elle besoin d’analphabètes africains alors que notre « Éducation nationale » en fabrique déjà beaucoup, de mahométans à la mentalité médiévale, de jeunes mâles exotiques à la mentalité de conquérants primitifs ?
Seule une réponse affirmative donnée par une majorité de citoyens français, consultés par voie référendaire, permettrait de justifier l’arsenal législatif qui a transformé les clandestins de l’état de délinquants à celui de consommateurs parasitaires, avalisés par l’État.
On le sait depuis longtemps, mais il est utile de répéter les évidences jusqu’à ce que le dernier des abrutis comprenne : les élus trahissent les intérêts de la Nation… et les Français de souche européenne qui tolèrent bovinement cet état de fait sont potentiellement des criminels contre l’humanité : par leur passivité et leur lâcheté, ils préparent l’élimination ou l’esclavage de leurs descendants.
22:37 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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VENEZ VISITER LES NOMBREUX EXPOSANTS QUI SERONT PRÉSENTS À LA 11e JOURNÉE DE SYNTHÈSE NATIONALE
15:30 Publié dans 11 - La 11e journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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lundi, 25 septembre 2017
TUEZ-LES TOUS ! ALLAH RECONNAITRA LES SIENS !
Pieter Kerstens
Il y a 3 ans, par un message audio du 22 septembre 2014, l’imam Abou Mohamed al-Adnani s’adressait ainsi aux musulmans : « La meilleure chose que vous puissiez faire est de vous efforcer de tuer tout infidèle, qu’il soit Français, Américain ou d’un de leurs pays alliés.
Si vous ne pouvez pas trouver d’engin explosif ou de munitions, alors isolez l’Américain infidèle, le Français infidèle ou n’importe lequel de ses alliés. Ecrasez-lui la tête à coup de pierre, tuez-le avec un couteau, jetez-le dans le vide, renversez-le avec votre voiture, étouffez-le ou empoisonnez-le ! »
C’est très exactement ce à quoi nous avons assisté mois après mois dans la plupart des pays d’Europe…alors que nos gouvernements se sont pitoyablement réfugiés derrière des arguments imbéciles : « pas de stigmatisation », « pas d’amalgame », « Je suis…idiot», pour ne pas perturber le « vivre ensemble ».
Durant tous ces mois qui ont vu s’additionner les assassinats de victimes civiles innocentes, de nombreux imams takfiristes et wahhabites ont continué à prêcher leur haine envers les européens dans de multiples mosquées radicales et salafistes. On peut se demander si ceux qui nous gouvernent ont fait preuve d’un déni des réalités ou s’ils ont toléré la présence de ces propagateurs du Djihad par une complaisance coupable, comme cela a été le cas à Molenbeek en Belgique depuis 2005.
Le dernier exemple en date est celui de l’imam marocain Abdelbaki Essatti, de la mosquée de Ripoll en Catalogne, et qui avait fait l’objet, après sa seconde sortie de prison le 29 avril 2014, d’un arrêté d’expulsion qui n’a jamais été appliqué.
La Justice se fout du monde, car déjà il était classé comme « radical salafiste » depuis plus de 10 ans !
Et on apprend aussi que de janvier à mars 2016 il a résidé à Vilvoorde (dans la grande banlieue de Bruxelles) alors que les attentats à l’aéroport et dans le métro de Bruxelles ont été commis le 22 mars.
Coïncidence ? Bizarre ? Vous avez dit « bizarre » ?
Nul doute que d’autres imams du calibre d’Abdelbaki existent en Europe. L’urgence qui se pose est de maintenant les dénicher et de les mettre hors d’état de nuire ! Car c’est la sécurité de nos familles qui est en cause et l’on constate que le déploiement de milliers de policiers et de militaires n’a pas empêché les centaines de morts et les milliers de blessés partout en Europe, victimes innocentes de musulmans fanatiques.
19:10 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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