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dimanche, 14 mai 2017

Ce dimanche 14 mai, à 14 h : TOUS PLACE St AUGUSTIN

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Le Parti de la France a tenu ce samedi son Conseil national à Paris

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Le Parti de la France, dirigé par Carl Lang, tenait ce samedi à Paris son Conseil national. Plus de 150 responsables nationaux et locaux ont assistés à cette réunion au cours de laquelle a été annoncée l'entente entre le PdF, les Comités Jeanne et Civitas pour les législatives du mois de juin. Ainsi, plus de 130 candidats représenteront la Droite nationale à ces élections.

Compte tenu du positionnement hasardeux adopté ces dernières années par le néo FN et vu l'échec de la campagne "dé-diabolisée" de sa candidate à la Présidentielle, le Parti de la France et ses alliés entendent s'imposer comme étant dorénavant la seule alternative nationale crédible au pouvoir mondialiste de Macron.

Notons les interventions de Roger Holeindre, Christian et Myriam Baeckeroot, Jean-François Touzé, Dominique Slabolepszy, responsables du Parti, Thomas Joly, son Secrétaire général qui sera dimanche prochain à Nieppe (près de Lille) pour la 5e Journée régionale de Synthèse nationale.

Jean-Marie Le Pen, Président d'honneur du Front national, est venu dans la matinée et a prononcé un discours sur la situation générale du pays et a apporté son soutien aux candidats patriotes. Carl Lang a conclue, en fin d'après-midi, ce Conseil national par un exposé à la fois politique et militant.

Parmi les invités à cette réunion, il y avait Alain Escada, Président de Civitas, Alexandre Gabriac, candidat de ce mouvement à Grenoble, Lorrain de Saint Affrique, Secrétaire général des Comités Jeanne, Thierry Bouzard, Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale...

Ce dimanche 14 mai, jour de la Fête de Jeanne d'Arc, à 14 h, toutes les forces nationales et nationalistes se retrouveront à l'appel de Civitas devant l'église St Augustin dans le 8e arrondissement de Paris pour un grand meeting unitaire. Suivra un défilé jusqu'à la statue de Jeanne d'Arc, Place des Pyramides.

Synthèse nationale

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samedi, 13 mai 2017

Bistro Libertés avec François Bousquet

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Dimanche prochain, 14 mai, plusieurs rassemblements et défilés pour honorer Jeanne d'Arc

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vendredi, 12 mai 2017

Éric Zemmour : Le fiasco intégral de Marine Le Pen

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Eric Zemmour Le Figaro magazine cliquez ici

CHRONIQUE - Au cours de cette campagne présidentielle, Marine Le Pen a changé en plomb tout l'or qu'elle touchait.

Tout le monde connaît la légende du roi Midas : le roi qui transformait le plomb en or.

Au cours de cette campagne présidentielle, Marine Le Pen a réussi l'exploit de réécrire la légende à l'envers : elle a changé en plomb tout l'or qu'elle touchait.

Au début de la campagne électorale, les sondages lui promettaient un score avoisinant les 30 % ; elle a fini à 21 %. Sa place au second tour était assurée ; il n'a pas manqué grand-chose pour que François Fillon et même Jean-Luc Mélenchon lui passent devant. Elle devait sortir première ; elle a fini deuxième derrière Macron. Au début de l'entre-deux-tours, on lui promettait 40 % des voix, voire davantage. Une dynamique pouvait la conduire, non à la victoire, mais à 45 % des suffrages. Une défaite honorable. Et qui préserve l'avenir. Mais avant, il y eut le débat télévisé : Marine Le Pen a fini à 33 % !

On peut se ­demander aujourd'hui si ce n'est pas la candidate qui plombe son camp et les idées qu'elle est censée défendre.

Depuis des années, son entourage explique que le Front national, le parti, son image, son nom même, l'héritage sulfureux de son père, ses « obsessions » historiques et démographiques, tout cela obère la progression de la candidate. On peut se demander aujourd'hui si ce n'est pas la candidate qui plombe son camp et les idées qu'elle est censée défendre. C'est au contraire parce que les intuitions de son père sur l'immigration se sont avérées pertinentes que la fille engrangeait un électorat qu'elle ne mérite pas.

A l'époque, on le sommait de se taire au nom de la morale. Ce n'est plus nécessaire : à part quelques discours bien troussés, Marine Le Pen s'autocensure d'elle-même ; jamais, dans un débat télévisé, elle n'a développé son programme en matière d'immigration. Jamais, ou presque, elle n'a évoqué la suppression du regroupement familial, du droit du sol, de la double nationalité, l'interdiction des tenues religieuses et islamiques dans la rue, etc. Et quand elle en parlait, c'était en coup de vent. Comme si elle avait honte de son père. C'était pourtant ce que son électorat attendait. C'était pour cela qu'il l'avait rejointe. Et c'était pour cela que d'autres auraient pu venir. D'autres qui avaient voté Fillon hier, ou Sarkozy avant-hier.

Mais Marine Le Pen voulait parler d'économie, d'Europe et d'euro. L'identité était pour elle un gros mot ; la souveraineté était son graal. Elle s'était mis dans la tête - ou plutôt Florian Philippot lui avait mis dans la tête - qu'il fallait réussir le rassemblement du camp du non aux référendums de 1992 et de 2005. L'idée est belle, et aussi ancienne que la campagne contre Maastricht il y a vingt-cinq ans. L'idée n'a jamais réussi, même lorsqu'un homme de gauche, républicain impeccable, Jean-Pierre Chevènement, la mettait en œuvre. Parce que le sectarisme de la gauche est tel que même Philippe de Villiers fut ostracisé par les amis du « Che ».

Jacques Sapir gère le cerveau de Florian Philippot, qui gère le cerveau de Marine Le Pen. Trio infernal. Trio de l'échec.

La leçon n'a pas servi. Un économiste brillant, Jacques Sapir, homme de gauche et pourfendeur talentueux de l'euro, a convaincu ses nouveaux amis, Marine et Florian, que tout était possible. Que le rapprochement des deux rives, comme disait Chevènement, pourrait s'opérer autour d'un ennemi commun: l'euro. Mais cette alliance avait un prix : il fallait mettre un bémol sur l'immigration. Renoncer à juguler l'islam et sa prétention à régenter des parties de plus en plus importantes du territoire français. Ce que Sapir appelait « un discours républicain », alors que c'est en vérité l'exact opposé. Toute la campagne de Marine Le Pen est inscrite dans ce funeste compromis : Jacques Sapir gère le cerveau de Florian Philippot, qui gère le cerveau de Marine Le Pen. Trio infernal. Trio de l'échec.

Quand on est incompétent en économie, on parle d'autre chose

Pour deux raisons majeures. L'électorat de gauche ne fut pas au rendez-vous : les mélenchonistes se sont abstenus ou ont voté Macron ; dédaignés, voire méprisés par la candidate, les électeurs de Fillon ont fait pareil: seuls 20 % d'entre eux ont mis dans l'urne un bulletin Marine Le Pen. C'est ce qui s'appelle perdre sur les deux tableaux.

Et puis, il y eut le débat télévisé. Les médias lui reprochèrent son agressivité ; ce fut sans doute son seul atout. Marine Le Pen s'est avérée insuffisante et incompétente. Incapable d'argumenter et de défendre des positions économiques, qui avaient fluctué dans les derniers jours, et dont elle ne semblait pas comprendre les ressorts. Quand on est incompétent en économie (Mitterrand l'était), on parle d'autre chose : d'histoire, de littérature, de la France, de son destin, de son peuple, de sa grandeur. Mais Marine Le Pen ne le fit pas. Pourtant, elle avait une chance inouïe : l'économisme est passé de mode. La science des technocrates, qui impressionnait et intimidait au temps de Giscard et de ses graphiques, est délégitimée par les échecs.

En revanche, les attentats, les vagues migratoires, le retour de la lutte des classes, la dissidence des élites occidentales ont remis au premier plan les questions historiques du destin des peuples et des nations : les questions identitaires.

C'est la leçon qu'il fallait tirer du Brexit et de Trump, et pas le départ de l'Union européenne ! Marine Le Pen a eu tout faux de bout en bout. Faux sur la stratégie, faux sur la tactique.

Un fiasco intégral.

18:36 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

ROLAND HÉLIE SERA DIMANCHE 21 MAI À NIEPPE (PRÈS DE LILLE) POUR LA 5E JOURNÉE RÉGIONALE DE SYNTHÈSE NATIONALE

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18:13 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Ce vendredi soir, sur Méridien zéro

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Méridien zéro cliquez ici

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Marie Guévenoux, de l’UNI à Emmanuel Macron…

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Source Paris Vox cliquez ici

Cette candidature étonne d’autant plus que Marie Guévenoux était encore salariée de l’équipe de campagne de François Fillon il y a quelques semaines. Décidément, en poltique politicenne, les conviction n’ont d’égales que les fidélités…

Marie Guévenoux avait tout d’abord travaillé avec Alain Juppé jusqu’à sa défaite à la primaire de droite avant de rejoindre les rangs de François Fillon. Chargée des ressources financière, elle abandonne son poste en mars lorsque la mise en examen du candidat de la droite est annoncée. Cependant elle a continué à être payée (environ 4000 euros par mois) jusqu’à la fin de son CDD.

Elle se retrouve donc aujourd’hui candidate à la députation pour le parti du nouveau président de la République. Toujours au secours de la victoire, le parcours de Marie Guévenoux apparaît assez révélateur d’un personnel politique exclusivement motivé par des ambitions personnelles et la recherche frénétique des « places » rémunératrices.

16:27 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

ALBAN D'ARGUIN DONNERA UNE CONFÉRENCE SUR LE MENSONGE DES ÉOLIENNES À LA 5E JOURNÉE RÉGIONALE DE NIEPPE (59) DIMANCHE 21 MAI

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11:20 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Marion Sigaut et Alban d'Arguin invités par Anne Brassié sur TV Libertés

Eoliennes, un scandale d'Etat,

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08:56 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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Bookchin au Rojava

110px-Flag_of_Syrian_Kurdistan.svg_.pngGeorges Feltin-Tracol

Il est des penseurs guère connus du grand public dont les idées circulent néanmoins et s’implantent dans des terreaux fertiles. C’est le cas de l’écologiste social étatsunien Murray Bookchin (1921 – 2006). Intellectuel de la « Nouvelle Gauche » favorable au féminisme et aux sociétés non hiérarchiques, Bookchin théorise le municipalisme libertaire qui postule le renversement des sociétés patriarcales et l’abolition de l’État.

Dans les dernières années de sa vie, Bookchin a correspondu avec Abdullah Öcalan, le chef du PKK (le Parti des travailleurs du Kurdistan) détenu en Turquie. Ses arguments firent évoluer Öcalan et ses partisans indépendantistes du marxisme-léninisme maoïste à une conception socio-politique attentive aux questions d’environnement, aux droits des minorités ethniques et religieuses, à la démocratie directe et à l’égalité des sexes (les combattantes kurdes sont réputées pour leur vaillance militaire).

Dans le conflit syrien, l’émanation locale du PKK s’appelle le PYD (Parti de l’union démocratique). Grâce à ses forces armées et l’aide des Occidentaux, il contrôle trois territoires non contigus (Afrine, Kobané et la Djézireh) qui constituent le Rojava (« l’Ouest » en kurde). Cet ensemble autonome se désigne lui-même de « Système fédéral démocratique de Syrie du Nord » sans officiellement exprimer la moindre revendication séparatiste.

Un texte constitutionnel, la Charte du Contrat social, organise les structures politiques du Rojava. Si ce document s’inspire des expériences communistes libertaires, anarchistes (dont Makhno en Ukraine) et zapatistes au Mexique, il applique aussi de nombreux concepts chers à Bookchin et ce, en dépit de la situation conflictuelle avec le voisin turc, l’Organisation de l’État islamique, les autres groupes rebelles sunnites et, parfois, l’armée nationale syrienne du Président Bachar al-Assad.

Si les Kurdes longtemps soucieux de concilier lutte des classes et libération nationale-populaire, se montrent sensibles aux idées bookchiniennes, c’est peut-être parce que « son mode de réflexion, note Frédéric Dufoing dans L’écologie radicale, relève d’une logique dialectique issue du marxisme et de l’hégélianisme (Infolio, 2012, p. 88) ». Après le Chiapas du sous-commandant Marcos dans les années 1990, il est possible qu’une fois les combats terminés, le Rojava devienne le nouveau modèle de l’utopie post-gauchiste.

Bonjour chez vous !

• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n° 32, diffusée sur Radio-Libertés, le 5 mai 2017.

08:50 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L’illusion protectionniste européenne de Macron

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Marc Rousset Boulevard Voltaire cliquez ici

Sur les tas de fumier naissent parfois de belles fleurs ! L’illusion protectionniste européenne de Macron en est une !

Macron jure ses grands dieux qu’il ne soutient pas le libre-échange mondialiste. Dans son programme pour se faire élire, il demande en effet que l’accès aux marchés publics européens soit réservé aux entreprises qui localisent au moins la moitié de leur production en Europe. Mais étant élu, soutenu et financé par les multinationales et le capitalisme financier, son combat apparent est l’arbre qui cache la forêt de la soumission effective à la « mondialisation naïve », cause de la montée du chômage et de la disparition des classes moyennes dans les pays industrialisés.

Le « Buy European Act », équivalent européen de ce qu’appliquent les États-Unis avec le « Buy American Act » depuis 1933, se heurte déjà, alors qu’il n’est même pas à l’Élysée, à une levée de boucliers en Allemagne, en Europe du Nord et à la Commission de Bruxelles, l’Angleterre n’étant plus là pour ajouter sa voix au concert des jeunes vierges libre-échangistes effarouchées.

La Commission Juncker vient, en effet, de publier ses « Réflexions sur une reprise en main de la mondialisation ». Elle s’oppose au protectionnisme européen et à ce que les frontières soient fermées car, dit-elle d’une façon hypocrite et inacceptable pour la France, « les autres pays feront de même et tout le monde se retrouvera perdant ». Mais c’est justement là que le bât blesse puisque les autres pays le font déjà, l’Amérique le fait déjà, la Chine le fait déjà d’une façon officielle et légale.

Or, un Macron ou même les Républicains n’arriveront pas à faire plier Bruxelles et l’Allemagne ; seul un parti comme le FN pourrait le faire ! Le malheur est que le FN a mis à sa tête un chef incapable de discuter ces problèmes d’une façon intelligente et qu’il préconise un protectionnisme seulement au niveau hexagonal, ce qui n’est pas viable économiquement. Au XXIe siècle, pour survivre, il faut disposer de marchés d’au moins 150-200 millions d’habitants.

Car il ne faut pas se faire d’illusions : défendre les intérêts français face à une Allemagne libre-échangiste et particulièrement dure pour les négociations économiques ne sera pas facile. L’Allemagne veut le beurre et l’argent du beurre. Les mots ne suffiront pas. Seuls la détermination, le rapport de force avec la France et le risque d’explosion de l’Europe pourront faire plier l’Allemagne et Bruxelles !

C’est tout le drame français d’une France décadente, faible, mal dirigée, hédoniste qui perd sur tous les tableaux, à l’antipode de la France qui gagnait avec de Gaulle et l’Europe des Six, car elle avait la force politique et la volonté de faire respecter ses intérêts en imposant la préférence communautaire et agricole ! De Gaulle n’hésita pas à pratiquer la politique de la chaise vide. La France doit demander, comme l’a préconisé Maurice Allais, le retour au protectionnisme européen du traité de Rome. La France est d’autant plus fondée à faire cette demande que le monde, avec le libre-échangisme mondialiste, est beaucoup plus dangereux un demi-siècle plus tard. La France a besoin, effectivement, de la détermination d’une Marine Le Pen, mais européenne, plus instruite et capable.

00:11 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 11 mai 2017

LUC PÉCHARMAN, DÉLÉGUÉ RÉGIONAL DE SYNTHÈSE NATIONALE À LILLE, SERA LE DIMANCHE 21 MAI À NIEPPE (59)

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21:52 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Jean-Marie Le Pen analyse le second tour de la Présidentielle

20:12 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Présidentielle 2017 : l’échec d’une stratégie

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Bruno Mégret
Ancien polytechnicien, haut fonctionnaire, essayiste…
 
Quelle que soit l’importance en nombre de voix des résultats obtenus par la candidate du Front national, il est impossible de les qualifier de succès. Au premier tour, le score de 21,3% est à peine supérieur au score cumulé des deux candidats de la droite nationale en 2002.
 
Quant au pourcentage de 33,9% obtenu au deuxième tour, il est en net retrait par rapport à ce que des reports de voix raisonnables pouvaient laisser espérer.
 
Or, la configuration politique dans laquelle le FN abordait cette élection était exceptionnellement favorable. Après l’échec du quinquennat de Hollande, le Parti socialiste à bout de souffle s’était choisi un candidat inexistant. Le parti des Républicains, très divisé par la primaire, s’était doté quant à lui d’un candidat gravement affaibli par les affaires. Et surtout, l’écrasante majorité des Français rejetait la classe politique dans sa globalité, exaspérée qu’elle était par la situation catastrophique de notre pays.
 
Dans ce contexte, il est clair que le FN n’a rien vu de la fenêtre historique qui s’ouvrait devant lui. Les résultats médiocres obtenus par sa candidate sont en effet la conséquence directe de la stratégie qu’elle a adoptée. Au lieu de mettre en avant la lutte contre l’immigration et l’insécurité, elle a centré son discours sur la sortie de l’euro et de l’Europe, avec comme conséquence d’inquiéter et donc de faire fuir une partie de son électorat potentiel. Au lieu de préconiser un programme économique fondé sur la baisse de la fiscalité, des charges et des réglementations, elle a mis en avant un programme social digne de la gauche des années 1970, se coupant ainsi de l’électorat des PME, des artisans et des professions libérales pourtant proche d’elle. Au lieu de chercher à élargir son assise électorale par la droite où se trouvait sa principale réserve de voix, elle a couru après les voix de Mélenchon dans une démarche vaine qui ne pouvait qu’éloigner d’elle l’électorat des Républicains. Au lieu de lancer des thématiques nouvelles et d’incarner une vision d’avenir, elle a donné le sentiment d’une absence de réflexion, de compétence et de perspective. Au lieu de s’élever à la dimension d’un homme d’Etat, elle a privilégié dans les débats le constat et l’attaque, affichant de l’arrogance et de la grossièreté quand il aurait fallu montrer de la hauteur de vue, de la fermeté et de la retenue.
 
Mais, comme la critique est souvent jugée facile, je voudrais, pour mieux étayer mon propos, expliciter quelques idées pour montrer ce qu’il aurait fallu faire en lieu et place de ce qui a été fait.
 
En premier lieu, la politique exigeant des formules claires, il fallait conserver un positionnement de droite, quitte à expliquer que l’antagonisme droite/gauche avait changé de nature et qu’il portait maintenant principalement sur la question identitaire. Philosophiquement, la droite a d’ailleurs toujours été du côté des valeurs, des racines et donc de , quand la gauche est foncièrement universaliste et cosmopolite. Ce positionnement à droite aurait facilité l’arrivée de nouveaux électeurs en provenance des Républicains où se trouvait le principal réservoir de voix.
 
Il était par ailleurs essentiel que la candidate soit porteuse d’une vision. Une vision qui tienne compte des réalités du monde d’aujourd’hui et qui ouvre des perspectives d’avenir. Or le monde devient multipolaire, marqué par le choc des civilisations. Aussi fallait-il, face à la Chine, à l’Inde, au monde musulman ou aux Etats-Unis prôner l’émergence d’un pôle de puissance européen capable de préserver notre identité, nos intérêts et notre indépendance collective. Il fallait aussi avancer la nécessité d’un changement dans l’organisation du monde visant à substituer au système actuel, fondé sur la libre circulation quasi intégrale des biens et des personnes, un nouveau système reposant sur la régulation des échanges aussi bien économiques que migratoires. L’affirmation d’une telle vision aurait inscrit la candidature du FN dans une perspective historique et géopolitique qui aurait contribué à la crédibiliser tout en ringardisant ses adversaires.
 
La candidate aurait dû, par ailleurs, s’affirmer plus clairement comme opposée au Système et pour cela s’en prendre systématiquement à la pensée unique et à ceux qui la véhiculent et qui l’imposent. Il fallait dans cet esprit mettre en cause les médias comme vecteur militant de la pensée unique et dénoncer le pouvoir envahissant des juges en contestant explicitement le rôle du Conseil constitutionnel et de la Cour européenne des droits de l’homme. Quitte à proposer certaines solutions concrètes comme l’instauration d’un droit de recours des décisions du Conseil constitutionnel devant le Parlement ou devant le peuple. Ce faisant, la candidate aurait évité une certaine normalisation qui l’a fait apparaître comme faisant, elle aussi, partie de la classe politique.
 
Il aurait par ailleurs été souhaitable de présenter un programme structuré autour d’un nombre d’axes limité, hiérarchisés et électoralement porteurs. La priorité devait être donnée à la question de l’immigration, de l’islamisation et de l’insécurité avec des objectifs ambitieux et des mesures choc soutenus par un panel de réformes crédibles. Ensuite devaient venir la politique familiale et celle de l’enseignement avec la défense des valeurs. En économie, c’est la baisse des impôts et des charges ainsi que le recul de la bureaucratie qui devaient être mis en avant. Sur le plan social, c’est la préférence nationale et le protectionnisme aux frontières de l’Europe avec l’impératif de la réindustrialisation de la France et du continent qui devaient prévaloir. Une telle hiérarchisation des thèmes aurait permis à la candidate de toucher les Français sur les questions qui les affectent le plus et dont ses adversaires parlaient le moins.
 
S’agissant de la question piège de l’Europe, il aurait fallu proposer non pas la sortie de l’Union mais sa refondation par l’intérieur et expliquer que la France, alliée à d’autres Etats membres, pourrait œuvrer efficacement à l’avènement d’une Europe débarrassée de la Commission et dirigée par les Etats : une Europe à la carte, capable de s’ériger en pôle de puissance, d’instaurer un protectionnisme économique à ses frontières, de stopper les flux migratoires et de créer une alliance militaire en substitution à l’Otan. Quant à l’euro, c’est son mode de gestion dont il fallait demander la transformation afin qu’il soit mis au service des économies européennes comme le dollar sert l’économie américaine. Un tel discours, montrant qu’il est possible de concevoir une Europe qui ne soit ni mondialiste ni atlantiste, aurait placé la candidate en position de force sur le sujet, tout en désarmant et en gênant ses adversaires.
 
Enfin, sur un plan tactique, il fallait, dès le premier tour, désigner Macron comme l’adversaire principal en le qualifiant de parfait représentant de la gauche et cela pour limiter son potentiel de séduction vers la droite.
 
Un tel dispositif de campagne n’aurait peut-être pas suffi à assurer la victoire, mais il aurait permis un rassemblement très large, tout en ouvrant des perspectives prometteuses de recomposition et de progression. Car, si les Républicains sont défaits, c’est en récupérant leurs électeurs et éventuellement certains de leurs cadres et de leurs élus de base qu’aurait pu se constituer autour du FN une nouvelle et grande force politique capable de devenir majoritaire dans le pays.
 
En raison de la stratégie choisie par les dirigeants du FN, les électeurs de la droite nationale n’ont pas seulement été frustrés d’un grand succès électoral, ils ont été dépossédés d’une partie de leurs idées et privés des perspectives de voir demain leur convictions triompher.
 
Source Polémia cliquez ici

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GABRIELE ADINOLFI SERA À NIEPPE (PRÈS DE LILLE) LE DIMANCHE 21 MAI À LA 5E JOURNÉE RÉGIONALE DE SYNTHÈSE NATIONALE

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Années de plomb et semelles de vent cliquez ici

Sur la 5e journée de Nieppe cliquez ici

01:04 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

CE JEUDI, 11 MAI, CARL LANG INVITÉ DE L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR RADIO LIBERTÉS

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ECOUTER RADIO LIBERTÉS CLIQUEZ ICI

REDIF VENDREDI 9 H ET 14 H

01:02 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 10 mai 2017

Les bons moments de la vie politique :

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22:46 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Pierre Vial salue le départ de Marion Maréchal Le Pen

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Un communiqué de Pierre Vial,

Président de Terre et peuple

Ainsi Marion quitte un FN devenu une boutique électorale comme les autres, un panier de crabes où se bousculent les arrivistes et où, pour être bien vu, il faut être dépourvu de toute conviction forte (ou, encore mieux, l’avoir abandonnée comme une tunique de Nessus).

Marion, évidemment, a raison. D’autant que beaucoup de gens ont confiance en elle et que cette confiance va se maintenir. Ce qui lui permettra, le jour où elle le souhaitera, de pouvoir compter sur un capital de fidélités permettant de construire quelque chose. Une espérance existe. Nous sommes un certain nombre à vouloir la faire vivre.

21:36 Publié dans Les Nouvelles du Front de Pierre Vial | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

DESTINATION « TERRE INCONNUE » : BON VOYAGE EN MACRONESIE !

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Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

Vous connaissez peut-être la Micronésie, cette fédération d’iles de l’océan Pacifique ou la Macaronésie qui regroupe géographiquement Madère, les Açores, les iles du Cap-Vert et les Canaries. Désormais, il faudra y ajouter dans votre atlas politique la « Macronésie », rimant d’ailleurs avec « frénésie », tant les admirateurs du jeune éphèbe leader « d’En Marche » sont électrisés.

Le candidat du vide, surtout celui des milieux d’affaires mondialistes

Ainsi, Emmanuel Macron, chouchou des médias, candidat préféré du MEDEF et des Européistes, favori des « bobos », des jeunes boutonneux et autres écolos des beaux quartiers, a gagné dès sa première joute électorale le sommet du cocotier. Reconnaissons-lui au passage, objectivement, un talent certain qui lui a permis, indépendamment des coups de pouce en provenance du système, de ringardiser les vieux canassons du sérail politique. Son programme est creux et le peu que l’on en sait nous donne déjà de l’urticaire : immigration, sécurité, à gauche toute ! Et, en ce qui concerne la réforme du code du travail – épais comme un dictionnaire – ou celle des régimes spéciaux de retraite, on lui souhaite bien du plaisir avec les gréviculteurs de la CGT, de FO, et autre CFDT. Au niveau du commerce mondial et de l’Europe de Bruxelles, en européiste qu’ il est, mondialiste il sera. D’autre part, comment peut-on être Président de la République en insultant la mémoire de la patrie,en l’accusant d’être l’auteur de « crimes contre l’humanité », mettant ainsi la France au niveau des criminels de guerre nazis ou des exterminateurs bolchéviques ? Le jeune Monsieur Macron n’avait sans doute pas les mêmes manuels d’histoire que votre serviteur. Seul indice de satisfaction, sa volonté apparente de modifier la loi électorale et d’introduire une dose de proportionnelle aux élections législatives, permettant ainsi une représentation parlementaire de tous les courants politiques. Examinons maintenant les résultats de cette élection présidentielle hors normes, qui restera dans les annales de l’histoire comme celle des coups tordus et de l’effacement des deux grandes forces politiques qui structuraient, jusque-là, la vie politique française.

Comme en 1942, un sabordage de la « Marine nationale » ?

Une première constatation, évidente, la majorité des électeurs ne veut toujours pas du leader de «  la France insoumise » pas plus que de la présidente du Front national comme Chef de l’Etat, en dépit de leurs bons scores respectifs. L’élimination, dès le premier tour , de François Fillon est la conséquence immédiate de ce que les médias ont appelé le « Pénélopegate ». Quant au Parti socialiste, grand gagnant de 2012, il passe cette année à la trappe, sinon aux oubliettes…Toutefois, relativisons un peu la victoire d’Emmanuel Macron. Au premier tour, il ne captait, en gros, qu’un électeur sur quatre s’étant prononcé. C’est dire si les trois quarts n’en voulaient pas. Au second tour, il l’emporte par 66,1 % des suffrages exprimés ne représentant « que » 43,62 % des inscrits. A noter le très grand nombre de bulletins blancs et nuls ou d’abstentions, soit un tiers du corps électoral avec presque 34 % de votants potentiels. Et si l’on additionne les abstentionnistes, les « blancs ou nuls » aux résultats de Marine Le Pen – 10 644 118 voix – on obtient un pourcentage de 56,37 %, c’est-à-dire plus d’un Français sur deux rejetant l’ancien ministre de l’économie. Combien se sont ralliés au candidat « d’En Marche » par crainte ou rejet de Marine Le Pen ? Cette dernière, après une bonne campagne de premier tour avec, toutefois, une absence de programme économique crédible, s’est littéralement suicidée lors du débat télévisé de l’entre deux tours, faisant apparaitre en creux un Macron ayant la stature d’un présidentiable. Un comble, quel gâchis pour elle, mais ce n’est pas notre souci ! L’heure des règlements de compte a-t-elle sonné au sein d’un Front national attrape-tout, une «  auberge espagnole » qui devra bien clarifier, un jour, sa ligne politique ? Le départ de la nièce annonce-t-il une accentuation de la « ligne Philippot » qui, en tout état de cause, a fait perdre les élections à ce parti en dépit de sa progression en termes de voix ? Ce n’est plus notre problème ; ce mouvement, aux ambitions gouvernementales hors de portée, flotte dans des habits trop grands pour lui, avec pas mal d’élus pour peu de militants présents sur le terrain… « Caramba », une « armée mexicaine » en quelque sorte : beaucoup de « chefs » et peu de soldats !

Le nouveau Président sera-t-il « le Pierre Laval d’Angéla Merkel ? »

La précipitation avec laquelle les nouveaux Présidents français, à peine élus, se rendent à Berlin, doit-elle être interprétée comme un acte de soumission, le vassal rendant hommage à son suzerain en quelque sorte, ou est-ce une simple visite de courtoisie d’un ami chez son voisin ? L’Allemagne pèse plus que la France économiquement, comme elle pesait hier de tout son poids militaire pendant les tragiques et funestes années quarante. La chancelière allemande ouvre délibérément son pays à l’invasion migratoire, prétextant la faible démographie de la RFA .Des bras étrangers pour l’industrie en lieu et place d’une énergique politique familiale ? On peut redouter la même propension chez le nouveau « R »ésident français du Faubourg Saint-Honoré et son alignement sur les positions les plus fédéralistes, alors qu’il faudrait redonner de l’air aux nations européennes, respecter le principe de subsidiarité, condamner une idéologie libérale-libertaire, immigrationniste, libre-échangiste, pour tout dire « mondialiste ».

L’explosion des vieux partis

En attendant la suite des évènements, redoutant comme tout Gaulois qui se respecte que « le ciel ne nous tombe sur la tête », ne goûtons pas notre plaisir devant la recomposition accélérée du paysage politique français. A peine battu, Fillon demandait de voter en faveur de celui que, 24 heures auparavant, il qualifiait « d’Emmanuel Hollande » ! Estrosi esquisse des pas de danse du ventre, tandis que « Bruno, c’est le renouveau » - vous savez, le député de l’Eure - est prêt à faire don de sa personne à la France…Mais le spectacle le plus truculent de ces reptations vers le nouveau maître, est celui offert par l’ancien Premier ministre qui s’humilie à quémander l’investiture « d’En Marche » pour sauver son gagne-pain de député dans la circonscription d’Evry, s’exposant ainsi à une exclusion de ce qui reste du Parti socialiste ! On sait dans le monde des affaires, que pour les vautours et prédateurs de la finance, «  tout homme a un prix » mais, dans le monde politique, mon Dieu que les hommes sont petits devant les pots de miel ! Les élections législatives qui se profilent permettront-elles de dégager une majorité absolue pour le nouveau Président ? Ou le spectre politique sera-t-il élargi, recomposé selon des axes nouveaux, faisant de la traditionnelle division droite molle/gauche sectaire, un accessoire obsolète du monde politique ?

En tout cas, là où des candidats du PDF, de Civitas ou des Comités Jeanne seront présents, l’électeur patriote pourra accomplir son devoir.

19:19 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

LORRAIN DE SAINT AFFRIQUE CE SOIR SUR FRANCE INTER

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Bouffon Ier et Jeunot Ier : au service de qui ?

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Bernard Plouvier

On le sait : le premier passe avec grand plaisir le sceptre au second, qui doit poursuivre les « actions » du quinquennat échu.

L’honnête citoyen s’étonne, le 10 mai, à l’occasion de l’ultime conseil des ministres, d’ouïr l’ensemble des journalistes & politologues, unanimes à vanter la mesure-phare du quinquennat : l’allègement massif des charges patronales… un observateur attentif aurait pu croire que la–dite mesure était la stimulation de l’immigration mahométane et son corollaire, les attentats djihadistes. Mais, soit : allègement de la fiscalité des entreprises, il y eut et même largement.

L’on vivrait dans un monde merveilleux, si cette diminution de revenus fiscaux pour l’État, cette diminution de dépenses pour les entreprises s’étaient traduites par des créations d’emplois ou une baisse des prix à la vente.

Hélas ! Le chômage atteint des records inédits et nul n’a vu de baisse – sauf pour les prix des produits pétroliers, ce dont on ne peut créditer, même avec la plus plate déférence, le sieur Hollande et son équipe de pantins ministériels qui passeront à la postérité comme ayant été les plus nuls de l’histoire de France depuis le règne du triste Charles VI (Jeanne d’Arc étant la mascotte de tous les partis, aussi bien de Macron-démagogue que de sa concurrente, il est bon de rappeler que la France s’est parfois trouvée dans des situations lamentables, mais que c’est par eux-mêmes, exclusivement, que les Français se sont tirés de l’ornière où ils s’étaient embourbés).

Une grave question se pose : au service de qui Hollande et consorts du Parti soi-disant « socialiste » ont-ils roulé ? La réponse est évidente : au service des entrepreneurs et de leurs actionnaires.

Le Président Macron, formaté dans la haute finance, peut-il « rouler pour le peuple » ? C’est une bête question !

Il y a un an, nul ne pensait à ce ministre ultraréactionnaire de l’économie, qui ne cherchait qu’à faire plaisir aux employeurs, en « assouplissant », en dérèglementant, etc. En un peu plus d’un semestre, le grand capital lui permet de mettre sur pied un Parti et de gagner haut la main une élection, grâce à la mise à disposition de tous les media… et l’on voudrait nous faire croire que ce serait pour le peuple ?

Les media sont le nouveau Jupiter des légendes antiques : ils aveuglent et rendent stupides ceux qu’ils veulent manipuler. Dans la défunte URSS, alors que tout manquait sauf la trinité marxiste - terreur, propagande et vodka -, le slogan était : « Nous forgeons un avenir radieux ». La seule différence entre le totalitarisme globalo-mondialiste et le stalinien réside dans l’abondance des jouissances matérielles des victimes.

Français, vous avez triomphalement élu Macron-capital, consommez donc (de préférence à crédit, c’est excellent pour les institutions financières) et continuez d’écouter journalistes et politologues… jusqu’à ce qu’un jour, la République de Franchiaoui soit gouvernée selon les merveilleux principes de la charî’a. Ainsi, vos descendants seront encore plus stupides et plus facilement manipulables que vous !

09:27 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

DIMANCHE 21 MAI : THOMAS JOLY À LA JOURNÉE RÉGIONALE DE SYNTHÈSE NATIONALE À NIEPPE PRÈS DE LILLE

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Le programme de la journée cliquez là

07:51 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

MARION MARÉCHAL LE PEN S'EXPLIQUE

07:50 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Refuser l'infantilisme

Unknown.jpgBruno Hirout
 
Parti de la France - Calvados cliquez ici
 
Depuis le résultat de l'élection présidentielle, et pour certains depuis le débat de la semaine dernière, les réseaux sociaux ont largement été utilisés par des militants de la cause nationale pour répandre les poisons du désespoir et du défaitisme.
 
Cette attitude négative est totalement contre-productive pour les idées que nous souhaitons voir appliquées à notre pays.
 
Un peu de décence
 
Tout d'abord, le minimum de décence impose à chaque homme de ne pas se plaindre, et encore moins de se répandre en lamentations lorsqu'il s'exprime, surtout lorsqu'il s'exprime sur les réseaux sociaux, c'est-à-dire lorsqu'il couche ses états d'âmes par écrit, sur un support qui permet à n'importe qui de "partager" l'information.
 
C'était juste une bataille
 
Ensuite, ceux qui ont vu dans le débat ou dans la défaite électorale une catastrophe, un début de la fin ou un cataclysme politique et qui s'en sont répandus sur internet, ont commis un double faute : ils ont potentiellement découragé des Français qui souhaitent s'investir en politique pour aider leur pays, et ils ont montré à nos ennemis de quoi les réjouir et éventuellement se foutre de notre gueule.
 
Chaque bataille n'est qu'une bataille, et chialer après une défaite est une attitude puérile et stérile.
 
C'était juste une élection
 
C'est peut-être le plus important, tout ce cirque qui a monopolisé les chaînes d"information continue pendant plusieurs mois, n'était qu'une élection. Une parmi d'autres, et surtout, l'élection n'est qu'un événement parmi d'autres. Qu'est-ce qu'une élection par rapport à la naissance d'un enfant blanc ? Qu'est-ce qu'une élection par rapport à l'arrivée dans le clan d'un militant qui croyait être le seul nationaliste dans sa ville ? Qu'est-ce qu'une élection par rapport à la puissance du rosaire ? Rien du tout !
 
Notre combat est total
 
Notre combat ne peut pas se résumer à la performance d'une patriote laïcarde à la télévision, ni aux turpitudes isoloiriennes d'une masse d'électeurs sous-informés et sous-formés.
 
Notre combat est familial, ethnique, démographique, culturel, religieux, civilisationnel et territorial. Pleurer sur son sort après un vote ou une émission est une grave démonstration non seulement de déséquilibre émotionnel, mais aussi d'absence de sens des priorités et des réalités. Chaque nationaliste doit remettre sa tête à l'endroit et cesser de s'effondrer à chaque épreuve à laquelle il est confronté, il n'est même pas besoin d'être nationaliste pour cela, mais simplement... un homme !
 
Nous ne capitulerons jamais
 
Nous célébrions hier le 8 mai 1945, c'est l'occasion de se rappeler cette épatante injonction allemande : Niemals kapitulieren ! Il n'est jamais question de lâcher le morceau, de se laisser aller à la dépression, au défaitisme et au renoncement. Celui qui cesse de combattre ne fait que s'offrir à l'ennemi, c'est bien sûr une posture inadmissible pour qui veut pouvoir continuer à se regarder en face chaque matin.
 
Nous ne pouvons pas prédire l'avenir
 
Comme nous ne savons pas de quoi le futur sera fait, à part les cyber-oracles qui se trompent tout le temps et qui, tels des Témoins de Jéhovah, nous annoncent chaque jour l'apocalypse pour après-demain, la seule chose que nous avons à faire c'est de continuer le combat, dans tous les secteurs, partout et tout le temps. Ne jamais cesser d'être nationaliste, toujours se demander ce qu'on peut faire pour la nation et pour le nationalisme, ne jamais trouver normal que quelqu'un se plaigne de notre situation sans proposer un seule solution crédible !
 
Nous ne sommes pas des enfants mais des militants politiques, engagés dans une lutte qui nous dépasse : la survie de notre peuple et de notre nation.

06:54 Publié dans Tribunes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 09 mai 2017

Dimanche 14 mai, Paris : HOMMAGE UNITAIRE À SAINTE JEANNE D'ARC

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18:41 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

RAPPEL : DIMANCHE 21 MAI, À NIEPPE, PRÈS DE LILLE

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18:39 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Roland Hélie invité ce mardi à la matinale de Radio Libertés

IMG_1230.JPGRoland Hélie, directeur de Synthèse nationale, était ce matin invité par Arnaud Menu à donner son avis sur la Présidentielle lors de "la matinale" de Radio Libertés.

Pour écouter cette émission cliquez ici (l'entretien avec Roland Hélie débute à 28,50 mn).

11:51 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Pour Zemmour, le problème vient de Marine Le Pen

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Source Valeurs actuelles cliquez ici

Présidentielle. Dans un exercice de questions-réponses avec les internautes de RTL, Éric Zemmour a vivement critiqué la campagne tenue par Marine Le Pen.

Éric Zemmour a donné son analyse des résultats de l'élection présidentielle, lundi 8 mai sur RTL. Marine Le Pen était dans le viseur. "Elle était donnée à 30% au premier tour, elle finit à 21%. Elle était donnée à plus de 40 % au second tour, elle finit à 35%. Ça, c'est l'effet campagne de Marine Le Pen. À chaque fois, ses idées sont bien plus hautes qu'elle. Il y a un vrai problème Marine Le Pen aujourd'hui", explique le polémiste."Marine Le Pen est de gauche"

Pour Éric Zemmour, le principal problème provient de sa stratégie de campagne. En d'autres termes, de la ligne Philippot, plus sociale qu'identitaire, plus économique que culturel. Une stratégie mortifère aux yeux du polémiste. "Même si dans ses discours, elle tient compte davantage de l'identité et de l'immigration, de l'islam qui sont les vrais sujets qui peuvent rassembler au-delà de son électorat, elle retombe dans sa stratégie inspirée de Florian Philippot, de gauche. Elle privilégie le social sur l'identitaire" a-t-il déclaré.

Mais Éric Zemmour ébauche également le scénario qui risque de secouer le FN dans les prochains mois : le remplacement de Marine Le Pen. Lors du débat face à Emmanuel Macron, elle a montré une incompétence crasse et une incapacité à prendre de la hauteur (...) Elle est tombée dans tous les pièges que lui tendait Emmanuel Macron, sans être capable de répliquer sur le plan économique et de parler de la France. Elle n'a pas la culture qu'avait son père ou la génération précédente.", a expliqué Éric Zemmour.

Enfin, après avoir rappelé que la présidente du FN était "de gauche, et que tous ses réflexes [étaient] de gauche", Éric Zemmour a évoqué l'union des droites qui permettrait selon lui d'asseoir des idées "majoritaires dans le pays" (sur l’immigration, l’islam…), mais cela dit-il, "ni Marine Le Pen, ni la droite classique ne veut de cette union".

07:06 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |