lundi, 22 janvier 2018
Règlement de conte
Georges Feltin-Tracol
A-t-on atteint les limites de la sottise humaine ou bien celle-ci est-elle illimitée ? L’affaire Harvey Weinstein n’a fait qu’accélérer la diffusion du venin gynocratique dans toutes les sociétés occidentales ultra-modernes, en particulier chez les Anglo-Saxons. Ses répercussions quotidiennes auraient ravi Pierre Gripari qui publiait en 1982 une Patrouille du conte. L’histoire raconte le travail d’agents qui rectifient les contes dans un sens politiquement correct. L’Ogre du Petit Poucet devient ainsi végétarien.
À la fin du mois de novembre 2017, une mère de famille, Sarah Hall, de Newcastle en Grande-Bretagne s’indigne de la scolarité de son fils de 6 ans. Y a-t-il trop de professeurs absents ? Sont-ils trop sévères ou bien trop laxistes ? La nourriture est-elle mauvaise à la cantine ? Non, ses griefs sont bien plus graves. Cette Sarah Hall se scandalise que son fils apprenne en classe le conte de La Belle au bois dormant, un bel exemple selon elle de harcèlement sexuel. En effet, le baiser que donne le Prince charmant à la belle endormie afin de la réveiller soulève le problème du consentement.
Plus généralement, des féministes hystériques condamnent maintenant les héroïnes de conte parce qu’elles sont blanches, passives (sic), minces et hétérosexuelles. Ces malades préféreraient que Blanche-Neige se mette en couple avec Gretel et aient plein d’enfants grâce à la GPA. Ce délire atteint aussi l’opéra. En Italie, la fin tragique de Carmen vient d’être modifiée. Elle ne meurt plus (triste exemple de « féminicide »), mais tue Don José, ce qui est une apologie de la violence faite aux hommes et par conséquent une incitation à commettre un homicide ! Mais bon ! passons, voulez-vous ? On attend avec impatience d’autres changements. La Grand-Mère du Petit Poucet n’est plus avalée par le Loup, horrible acte de spécisme, mais se marie avec lui !
Un révisionnisme sordide s’insinue dans nos esprits. Il importe de le rejeter par toutes nos forces. Il est inacceptable que le patrimoine littéraire de notre civilisation européenne soit ainsi édulcoré, violé, profané. Sinon pourquoi ne pas inciter le Prince charmant à épouser la Belle au bois dormant, Blanche-Neige et Cendrillon en même temps ?
Bonjour chez vous !
• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°62, diffusée sur Radio-Libertés, le 19 janvier 2018.
07:05 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le Pen, les Mémoires : l'entretien avec Guillaume de Thieulloy, son éditeur, publié dans Présent
C’est aux éditions Muller que Jean-Marie Le Pen publie ses Mémoires à paraître le 1er mars, extrêmement attendus et juste avant un congrès où le Front national changera peut-être de nom. A la tête de Muller, quelqu’un que l’on ne présente plus : Guillaume de Thieulloy, le directeur de publication du Salon beige, de Nouvelles de France, de l’Observatoire de la christianophobie et des 4 Vérités. Il a fallu le torturer car le secret est bien gardé, mais nous sommes arrivés à en savoir un peu plus.
Comment avez-vous réussi ce gros coup d’édition ? Tous les éditeurs parisiens devaient être sur les rangs ?
C’est aussi ce que j’aurais pensé spontanément. Mais manifestement, ce n’était pas le cas. Autant que je sache, Jean-Marie Le Pen et son entourage se sont heurtés à plusieurs refus. Ce qui est certain, c’est que ce gros coup m’est « tombé dessus », sans que je l’aie cherché. Mais je ne vais pas jouer les saintes nitouches, j’avoue que cela m’a bien plu de faire un peu la nique à des confrères plus prestigieux que moi.
Quand doit sortir le premier tome ? A combien d’exemplaires doit-il être diffusé ? Combien prévoyez-vous de volumes et concernant quelles époques ?
Le premier tome doit sortir début mars. A priori, la mise en place en librairie devrait être de l’ordre de 40 000 exemplaires. Ce premier tome couvre la période qui va jusqu’en 1972, date de la fondation du Front national (NDLR : Marine Le Pen avait quatre ans). Je n’ai pas encore vu le deuxième tome, mais je dois avouer que ce premier m’a semblé presque plus intéressant que les récits de combats politiques qui vont suivre : l’enfance d’un pupille de la nation, la Résistance, la décolonisation, la Corpo de droit et le poujadisme, les combats pour l’Algérie française, la campagne de Tixier-Vignancour, Mai 68… Tout cela fait un demi-siècle de vie française contemporaine vue par un acteur de premier plan. Franchement, je ne comprends pas qu’il ne se soit pas trouvé un seul « grand éditeur » pour publier ce livre.
Quelle anecdote vous a le plus marqué ?
Je ne voudrais pas déflorer le contenu, mais, pour moi, la plus grande surprise a été de lire le récit de l’enfance d’un fils, puis d’un orphelin de marin pêcheur. On a peine à imaginer qu’il y a 80 ans, des Français vivaient dans de telles conditions. Je ne dis pas cela pour faire pleurer dans les chaumières, mais cela relativise un tantinet l’image, complaisamment colportée par certains médias, du milliardaire exploitant cyniquement la misère du « populo »… Je ne suis pas sûr qu’il y ait beaucoup d’hommes politiques qui aient une telle expérience de la vie dudit « populo ».
On sait que la parole de Jean-Marie Le Pen est très libre. Avez-vous posé certaines limites en tant qu’éditeur ?
Non, les seules limites que j’avais fixées – mais qui n’ont posé aucun problème – étaient les limites de la loi. Pour le reste, je suis suffisamment attaché à ma liberté pour laisser aux autres leur propre liberté et, naturellement, la responsabilité de ce qu’ils écrivent !
Avec le recul du temps, est-ce que Jean-Marie Le Pen a pris des distances avec ces « bons mots » qui ont parfois été contre-productifs pour le combat de ses idées ?
Nous n’en avons pas parlé. Et ce premier volume s’arrête précisément à la fondation du FN, donc bien avant les fameux « bons mots ». Comme beaucoup d’amis de Présent (je pense, en particulier, à Bernard Antony), je ne suis pas de ceux qui trouvaient que ces mots étaient particulièrement bons. Quant à savoir quel rôle ils ont joué dans la progression des idées de Jean-Marie Le Pen, j’avoue que je serais bien incapable de le dire, même s’il est bien évident qu’ils ont été utilisés pour « diaboliser » et pour installer ce « cordon sanitaire » qui permet à la gauche – alliée, rappelons-le, aux communistes aux cent millions de morts depuis 1917 ! – de gouverner la France, alors que cette dernière est majoritairement à droite. Ceci étant, j’ai l’impression qu’avec ou sans « bons mots », le machiavélique Mitterrand aurait trouvé le moyen de mettre ce coin entre la « droite parlementaire » et la « droite nationale ».
Est-ce que la mémoire de Jean-Marie Le Pen est aussi performante que celle de Trump selon ses derniers examens médicaux ?
Je ne saurais mieux vous répondre qu’en vous invitant à lire ce premier tome : vous verrez un homme politique qui a traversé des décennies de combats de toute sorte et qui en parle avec force détails, et dans une langue magnifique. J’imagine qu’il s’est aidé de notes et sans doute du souvenir de ses proches, mais le résultat fait honneur à sa mémoire ! Je laisse les médecins faire un bilan de santé comparé de Trump et Le Pen ; moi, je me contente de lire les deux – bien que leurs styles respectifs soient aussi différents que l’imparfait du subjonctif est éloigné du langage des « twittonautes » – avec l’admiration d’un simple observateur pour des acteurs à la carrière si bien remplie…
Propos recueillis par Caroline Parmentier
Article paru dans Présent daté du samedi 20 janvier 2018
07:05 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 21 janvier 2018
Une aimable prensé pour nos frères québécois
FQS : CLIQUEZ ICI
14:21 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
21 janvier 1793
Le 21 janvier 1793 fut guillotiné un homme intelligent, très cultivé – à son époque, il était l’un des rares Français à écrire sans truffer ses textes d’une multitude de fautes d’orthographe, en plus d’être un grand connaisseur des choses maritimes, de l’histoire antique et moderne, de la géographie physique et humaine –, par ailleurs bon bricoleur, excellent mari et père, pieux au-delà du raisonnable et même fort peu dépensier, contrairement à son épouse : Louis XVI, passé du statut de roi de France et de Navarre (1774) à celui de roi des Français (1791), après avoir été gratifié du titre de « restaurateur des libertés » (1790).
De nos jours, il est encore des Français pour lamenter le sort de « notre bon roi ». Or, s’il avait indéniablement été un homme bon, il s’est révélé, à l’usage, un souverain lamentable. Doté de toutes les qualités qui font l’excellent bourgeois – et il n’y a nulle honte à être un honnête bourgeois –, il n’avait aucune des qualités requises pour être un chef d’État.
Il avait parfaitement mérité le sort que lui réserva la Convention Nationale. Cet excellent homme était un faible, un irrésolu, incapable de diriger une Nation, incapable de réprimer l’agitation de quelques privilégiés (1787-1788), puis celle de quelques dizaines d’intrigants, œuvrant pour flatter les ambitions de son très vil et très lâche cousin Louis-Philippe d’Orléans (1788-1792), enfin incapable de calmer, par quelques exécutions ou l’envoi au bagne (« aux galères »), l’embrouillamini créé à dessein, en 1789-1791, par quelques centaines d’excités avides de sensations fortes, de publicité, de places et de richesses.
Quand l’on est insuffisant pour la fonction que l’on occupe, pour la tâche échue par naissance ou par élection, la sagesse commande de se retirer en faveur d’un plus apte. C’est une « leçon de l’histoire » que certains de nos contemporains feraient bien de méditer.
Car s’il est facile de « colérer le peuple », il est beaucoup plus malaisé de lui faire réintégrer sa tanière… « colérer » est un néologisme emprunté à un expert : Maximilien Robespierre, qui, comme Messieurs Danton, Marat et bien d’autres, avait usurpé la particule avant de se faire appeler « citoyen ».
Un chef, de famille ou d’État, ne doit avoir pour buts que de conserver et accroître le Bien commun, de permettre à chacun de ses administrés ou de ses ouailles d’exercer ses talents au mieux des intérêts collectifs et de refréner ses pulsions morbides ou franchement dangereuses. Si le chef est incapable, le groupe humain qu’il est censé protéger autant que diriger se dissout.
Napoléon Ier l’a dit : « Il n’y a pas de mauvais régiments. Il n’y a que de mauvais colonels ». C’est une phrase profonde, vérifiée à toute époque et pour toute collectivité. L’exemple de Louis XVI doit être, non pas lamenté, encore moins glorifié, mais sérieusement médité.
11:50 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
MACRON, UN HOLLANDE BIS RECENTRÉ, UN GAULLISTE D’OPÉRETTE PRATIQUANT L’ART DE PLAIRE !
Marc Rousset
Macron se prétend anti-système avec un parti « En marche ! » ramasse-tout. Macron est, en réalité, le Gorbatchev de la pensée unique, la dernière carte à jouer du Système qui cherche à faire illusion. Il importe de ne pas être dupe.
Ministre socialiste, Macron a pu dire : « Moi, je suis socialiste et je l’assume, et être socialiste aujourd’hui me paraît une nécessité de bâtisseur, parce que c’est croire qu’à certains moments de notre histoire, il y a une France qui se réveille, qui veut autre chose. »Candidat à la présidence, il a pensé intelligent de racoler du côté de Philippe de Villiers afin de chercher une caution de droite : « L’honnêteté m’oblige à vous dire que je ne suis pas socialiste. »
Macron a compris un axiome fondamental de l’art de plaire politicien : dire tout et son contraire, en faire dans la réalité le moins possible de façon à ce que les naïfs entendent au moins une fois des propos qui vont dans le sens de leurs convictions. Cette attitude d’équilibriste a été confirmée par sa responsable de la communication Sibeth Ndiaye : « J’assume parfaitement de mentir pour protéger le président. »
Wauquiez et tous les partis de droite n’ont donc qu’une seule stratégie à adopter pour vaincre Macron : faire l’unité de la droite, parler vrai comme Trump et redoubler les attaques contre Macron d’une façon précise et agressive pour le confondre afin de montrer qu’il ne remue que du vent, ne s’attaque pas aux vrais problèmes, le démasquer en tant qu’imposteur, l’obliger parfois à faire quelque chose de véritablement efficace.
Macron ne réagit pas face à l’agression immonde de policiers à Champigny alors que les peines plancher s’imposent pour que la peur change de camp.
Macron pratique la politique du vent en matière migratoire. Selon Wauquiez, « les clandestins resteront sur notre sol » et, pour la première fois, nous avons franchi, en 2017, la barre des 100.000 demandeurs d’asile. Macron fait beaucoup de bruit sur l’asile sans diminuer l’invasion migratoire de 300.000 immigrés par an. Il ferait mieux, également, de s’en prendre à la radicalisation de l’islam, de mettre fin à la radicalisation antichrétienne de la laïcité.
Macron n’a aucune vision stratégique courageuse à long terme semblable à celle du général de Gaulle. Il importe donc de démasquer l’énarque dévirilisé de l’Europe technocratique de Bruxelles, de l’oligarchie de l’argent, cherchant avant tout à plaire aux électeurs lobotomisés quotidiennement par les médias porteurs de « fake news » (informations fausses).
11:41 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine
02:50 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 20 janvier 2018
Journal du chaos
Pour télécharger, cliquez ICI
18:00 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Un samedi avec le Parti de la France
09:21 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 19 janvier 2018
Bonne nouvelle : il y a désormais une rue Giorgio Almirante à Trieste...
À Trieste (Italie), malgré les insultes de la gauche, la majorité municipale d’union des droites a décidé de baptiser une rue du nom du dirigeant du Mouvement social italien (MSI), Giorgio Almirante (1914-1988). Honneur à cette municipalité courageuse...
N'oublions pas que c'est grâce à la détermination et à la combativité du Mouvement social italien, au début des années 50, que cette ville, alors occupée par les Britanniques, a été finalement rattachée à l'Italie malgré l'opposition des vainqueurs de 45 qui voulaient la livrer à la féroce Yougoslavie communiste de Tito. Plusieurs militants du MSI périrent dans cette bataille. Gloire à ces camarades !
Aujourd'hui Trieste se rappelle donc à qui elle doit sa liberté...
Synthèse nationale
Toute cette histoire est d'ailleurs racontée dans le n°11 des Cahiers d'Histoire du nationalisme par notre ami Massimo Magliaro, ancien bras droit de Giorgio Almirante. Pour l'acheter en ligne cliquez ici ou le commander à Synthèse nationale 9, rue Parrot (CS 72809) 75012 Paris (correspondance uniquement). 250 pages, 20 € + 4 € de port.
15:03 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Dans "Présent" daté de samedi, un entretien avec Jean-Marie Le Pen sur la publication prochaine de ses Mémoires
14:34 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Liste (sans doute non exhaustive) des messes pour Louis XVI
Liste (sans doute non exhaustive) des messes pour Louis XVI cette fin de semaine cliquez ici
13:37 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Dimanche 21 janvier, à Paris : Marche pour la Vie
12:17 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Tribune libre : RESTAURONS LA VERTU DE FORCE !
Alain Escada, Président de Civitas
Laissez-moi tout d’abord vous souhaiter une bonne et sainte année 2018 !
Mais permettez-moi de vous demander aussi de prendre quelques bonnes résolutions pour la France et la Chrétienté.
Car cette année nécessitera bien des efforts si nous voulons qu’elle amorce un élan de reconquête. Un rêve insensé, diront certains, au regard de la situation générale. Je ne prendrai qu’un exemple dont ont parlé tous les médias : les policiers tabassés par une horde de sauvages à Champigny-sur-Marne.
La réaction des autorités, du président de la république au ministre de l’Intérieur, est tout simplement affligeante : des mots creux pour faire part d’une indignation sans prendre aucun des moyens nécessaires pour répliquer comme il se doit à cet acte de barbarie.
A aucun moment, ces dites autorités n’osent évoquer que les auteurs de ce fait sont les fruits pourris d’un chaos migratoire organisé depuis plusieurs décennies.
En fait, ce gouvernement n’est capable d’identifier correctement ni les causes ni les conséquences du désordre dans lequel nous vivons.
L’autorité n’est plus respectée. Ni celle des policiers, ni celle des enseignants, ni celle des parents. Et il n’est pas possible d’envisager de changer cela sans une restauration morale, qui elle-même implique une restauration spirituelle.
Commençons par cette évidence : il faut rétablir la vertu de force !
Il existe quatre vertus cardinales : la prudence, la justice, la force, la tempérance. La force est probablement la plus oubliée. Dans le langage courant, le mot « force » désigne seulement un principe d’action, une manière d’exercer sa volonté de pouvoir, parfois de façon arbitraire et injuste.
La confusion est d’autant plus générale que les notions associées à la vertu de force – les convictions, les principes, le souci du bien commun pour lesquels on s’engage, la fidélité à ces engagements, le sens de l’honneur et du devoir, l’esprit de sacrifice – sont considérées désuètes et ringardes de nos jours.
Comment parler de convictions dans une société saturée de libéralisme et de relativisme, permettant à chacun de construire “sa” vérité personnelle ? Comment parler de fidélité quand l’une des principales fidélités, la fidélité conjugale, est ridiculisée et violée à grande échelle ? Comment parler de sacrifice dans un monde voué au plaisir ?
Retrouver la vertu de force oblige donc à rompre avec le modernisme, l’hédonisme, le matérialisme.
Les personnes devant exercer une quelconque forme d’autorité devraient lire saint Thomas d’Aquin (Somme théologique, secunda secundae, question 123) : « La force, considérée comme une certaine fermeté de l’âme, est une vertu générale, ou plutôt la condition générale de toute vertu ; mais considérée dans son action en nous quand nous sommes en présence d’un grand danger, elle est une vertu spéciale. »
« La force résumant éminemment en elle une des conditions nécessaires à toute vertu, à savoir la fermeté dans le bien, c’est à juste titre qu’elle est rangée parmi les vertus cardinales. »
« (La vertu de force) ne consiste pas seulement aujourd’hui à tenir ferme dans les périls corporels, mais à maintenir l’essence de l’homme, et avant tout sa nature d’ « animal politique » tant au plan naturel qu’au plan surnaturel, contre les dangers de plus en plus nombreux qui la menacent de mort, et à contre-attaquer les ennemis qui pullulent autour d’elle et tentent de l’asservir, de la transformer pour l’anéantir. »
« La force a une utilité générale qui est de maintenir l’ordre de la justice tout entier. »
« La vertu de force « supporte et repousse les assauts et les périls extrêmes dans lesquels il est le plus difficile de rester ferme ».
« La force inclut la résistance à un monde extérieur ennemi ou à un autrui antagoniste qui attaque l’être humain en sa réalité propre. »
« La vertu de force se définissant en son essence par son degré supérieur, se trouvera ainsi dans l’acte de supporter le danger en chassant la crainte (…). Du fait que l’acte principal de la force soit de résister, il ne faudrait pas conclure qu’il consiste uniquement dans la défensive (…). La vertu de force implique secondairement, mais nécessairement, l’attaque. »
Prenons la ferme résolution, en ce début d’année 2018, de restaurer en nous et dans la société la vertu de force.
Venez nous retrouver sur
le stand de Synthèse nationale
12:13 Publié dans Tribunes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Vétéran du FN et fidèle parmi les fidèles…
La chronique de Philippe Randa
Alors que les mémoires de Jean-Marie Le Pen sont annoncées pour le mois de mars prochain, les « Bouquins de Synthèse nationale » publient de leur côté celles d’un militant de base du Front national. L’expression « de base » n’est nullement péjorative pour Hubert de Mesmay qui en est fier et la revendique avec panache, car il a été de tous les combats politiques 31 années durant… Il a connu la « traversée de désert », lorsque le mouvement à la flamme tricolore n’emportait alors qu’1 % des suffrages (dans les meilleurs cas), mais où la passion de leur engagement a été suffisante à une poignée de militants de la première heure pour résister au défaitisme d’abord, aux embûches des campagnes électorales ensuite et à l’ivresse des victoires tant attendues enfin…
Conseiller municipal dans l’Essonne, puis conseiller régional en Provence, Hubert de Mesmay n’a pas voté Marine Le Pen lors de la succession de son père à la tête du Front national en 2011, mais a immédiatement soutenu sans réserve la nouvelle Présidente élue démocratiquement… Ce, jusqu’en 2015 où l’exclusion de Jean-Marie Le Pen fut la goutte d’eau de trop pour ce fidèle d’entre les fidèles…
Il fut, on s’en douterait, parmi les plus réfractaires à la « ligne Philippot » de ce qu’il nomme le Néo-FN. Pour lui, les récents résultats électoraux pour le moins controversés de l’année 2017 ne sont ni plus ni moins qu’un « crash » qu’ils étaient nombreux à avoir annoncé, d’où le titre éponyme de son livre.
Loin du règlement de comptes, ce témoignage passionné d’un vétéran mérite l’intérêt de tous ceux qui s’interrogent aujourd’hui sur la prochaine « refondation historique » du Front national, annoncé par Marine Le Pen elle-même pour le prochain congrès du mouvement, prévu le 11 mars à Lille.
EuroLibertés cliquez là
Autopsie d’un crash annoncé, Hubert de Mesmay, Les Bouquins de Synthèse nationale, 276 pages, 23 euros. cliquez ici
11:32 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 17 janvier 2018
JEUDI 18 JANVIER, L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR RADIO LIBERTÉS CONSACRÉE À L'ARTISANAT
ÉCOUTER RADIO LIBERTÉS CLIQUEZ ICI
09:02 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 16 janvier 2018
Samedi 20 janvier à Paris : HOMMAGE DE L'ACTION FRANÇAISE À LOUIS XVI
15:16 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Jean-Pax Méfret triomphe au Casino de Paris
12:41 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi 20 janvier : Carl Lang dans les Alpes-Maritimes
08:23 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 15 janvier 2018
Le magazine du Parti de la France de cette semaine
12:45 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 14 janvier 2018
LE NON-LIEU TARDIF DE LA RUE COPERNIC
La Justice vient donc de prononcer un non-lieu dans l'affaire de l'attentat contre la synagogue de la rue Copernic survenu en octobre 1980.
Cette affaire est emblématique du climat qui régnait alors à Paris. Sans le moindre début de preuve, s'appuyant sur une supposée revendication aux aspects pour le moins fantaisistes, toutes les polices, tous les chiens de garde du Système, journalistes, magistrats de gauche et politicards confondus, se sont rués, tels des hyènes, sur les mouvements nationalistes pour dénoncer le retour du "mal absolu"... Rappelons qu'à cette époque, l'extrême droite, toutes tendances additionnées, atteignait péniblement 1,5% lors des élections.
Des dizaines de militants ont été arrêtés, perquisitionnés, livrés à la vindicte démocratique, des mouvements ont été dissous, des locaux saccagés, des carrières professionnelles brisées.... Plusieurs camarades ont été blessés, l'un a même été vitriolé sans que cela n'offusque les bonnes consciences de la bien-pensance institutionnalisée. Et, 37 ans après, les dernières pistes, pourtant bien éloignées des forces patriotiques, s'estompent... C'est un lamentable échec pour la Police et pour la Justice.
Libération, dans son édition d'aujourd'hui (voir l'article ci-dessous), peut-être pour légitimer les vils mensonges médiatiques, rappelle que cet attentat faisait suite à une série d'autres qui, eux aussi, furent précipitamment attribués aux nationalistes. Rappelons à notre tour qu'aucun d'entre eux, mise à part une exception, ne fut vraiment élucidé... L'exception ? Un fripier du Sentier qui avait incendié sa propre boutique rue d'Aboukir (après avoir peint lui-même des graffitis antisémites sur la porte), pour toucher l'assurance...
La seule vraie question que les enquêteurs et les inquisiteurs auraient dû se poser était la suivante : MAIS À QUI DONC PROFITAIT CE CRIME ?
Roland Hélie
Synthèse nationale
11:43 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 13 janvier 2018
Présentation du livre de Carl Lang, "Un chemin de résistance" à Paris
Vendredi soir, Synthèse nationale organisait une réunion à Paris pour présenter le livre-entretien Un chemin de résistance que Carl Lang, Président du Parti de la France, vient de réaliser avec Jean-François Touzé, rédacteur en chef de la revue Confrontation.
Ce livre tombe à pic pour faire connaître au grand public, au moment où l'on assiste à une redistribution des cartes dans la famille nationale, son auteur, Carl Lang, qui depuis dix ans à la tête du PdF a dénoncé sans relâche les dérives des mauvais bergers qui ont conduit le FN au fond du gouffre.
Après la débâcle du printemps dernier, il est temps de proposer une nouvelle alternative aux patriotes. Cette alternative doit reposer sur les fondamentaux qui ont fait la spécificité et le succès de la Droite nationale depuis plus de trente ans. Le Parti de la France entend en être l'élément moteur. C'est ce que nous a expliqué avec conviction son Président lors de cette belle conférence qui enthousiasma les participants.
Dans Un chemin de résistance Carl Lang revient sur les motivations de son engagement aux côtés de Jean-Marie Le Pen à la fin des années 1970, il raconte aussi son ascension au sein du FN dont il fut à deux reprises Secrétaire général. Il expose ses idées par rapport aux enjeux d'aujourd'hui et sa conception moderne et réaliste du combat politique. Il ne veut pas d'un Front dédiabolisé, honteux de son passé, il incarne tout simplement la Droite nationale décomplexée présente pour l'avenir.
Pour la Droite nationale et identitaire, l'heure est venue de changer de cap. La période des illusions est révolue. Il est temps de revenir aux choses sérieuses...
Un chemin de résistance, Carl Lang, entretien avec Jean-François Touzé, Les Bouquins de Synthèse nationale, 190 pages avec un cahier photos, 20 € cliquez ici
Présentation du livre de Carl Lang :
communiqué de presse de Synthèse nationale cliquez ici
01:38 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 12 janvier 2018
L'émission "Synthèse" de jeudi avec Hubert de Mesmay
11:45 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
VENDREDI 12 JANVIER À PARIS : PRÉSENTATION DU LIVRE "UN CHEMIN DE RÉSISTANCE" DE CARL LANG
Quand l'Italie rend hommage à ses héros...
01:38 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Immigration : pourquoi le pape François a tout faux !
Marc Rousset
Max Weber dans son ouvrage « Le savant et le Politique » a mis en évidence la contradiction abyssale entre l’éthique de la responsabilité (verantwortungsethisch) et l’éthique de la conviction (gesinnungsethisch). Le pape François, fort de ses convictions chrétiennes, s’en remet à Dieu en ce qui concerne le résultat de son action. L’éthique de la responsabilité nous dit au contraire que nous devons répondre des conséquences prévisibles de nos actes.
Si la politique migratoire se traduit par la guerre civile ou une catastrophe, le pape François s’en prendra à la méchanceté, à la sottise des hommes et à la volonté de Dieu. Au contraire le partisan de l’éthique de la responsabilité compte avec les défaillances propres à l’homme car comme disait Fichte, on n’a pas le droit de présupposer la bonté et la perfection de l’homme.
De plus, pour le partisan de l’éthique de la responsabilité la fin justifie les moyens et mieux vaut prendre des décisions efficaces moralement dures si c’est pour atteindre des fins « bonnes » et sauver le troupeau.
Un homme politique doit répondre des résultats concrets de son action vis-à-vis de ses compatriotes et oublier les conseils suicidaires des bonnes âmes du style Emmanuel Kant. L’homme politique, contrairement à la conviction et à l’éthique chrétienne individualiste, ne peut évacuer le réel !
Le pape François de plus ne respecte même pas le dogme chrétien puisque Jésus, selon Matthieu ( XII,13-17), selon Marc (XXII,21,selon Luc (XX,25) a dit aux pharisiens qui lui demandaient s’il fallait payer l’impôt aux Romains : « Rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu ».L’immigration de masse est avant tout un problème holiste d’Etat qui implique le temporel et non pas un problème spirituel individualiste pour sauver l’âme d’un chrétien.
Le pape François se fourvoie également en tombant dans le piège de l’amour « Agapé » chrétien sans fin qui peut conduire au suicide de l’intéressé. Un citoyen européen responsable ne peut pas accepter le discours du « Sermon sur la Montagne » rapporté par Matthieu : Si quelqu’un te gifle sur la joue droite, tends aussi l’autre ».
Et le bouquet c’est le « Sermon dans la Plaine » de Saint Luc qui reprend à nouveau l’expression de Matthieu, mais qui ajoute : « Si quelqu’un prend ton manteau, ne l’empêche pas de prendre ta chemise ». C’est exactement ce que viennent faire les immigrés économiques en Europe face à des Européens lobotomisés et peu courageux qui ne réagissent pas et se laissent tondre, envahir comme des moutons. La généralisation de l’Agapé catholique ne peut mener qu’à la guerre civile et au chaos social. A noter que les chrétiens orthodoxes sont proches des idées de Poutine et moins naïfs que les catholiques romains.
Les Grecs distinguaient cinq sortes d’amour : l’Agapé, Eros, Philia et Storgè (amour familial). Le pape François, obnubilé par l’amour catholique universaliste Agapé, oublie l’amour « Philia » grec qui nous dit que l’on aime davantage ses compatriotes que des étrangers car ils nous ressemblent davantage. L’amour « philia » grec est donc en opposition frontale avec la naïveté de l’amour universaliste chrétien. Albert Camus préférait aussi sa mère, ses proches et ses cousins aux étrangers.
L’immigration de masse extra-européenne pose donc le problème holiste d’identité, de survie d’un peuple. Elle n’a rien à voir avec la morale individualiste chrétienne, de Kant ou des droits de l’homme.
Le pape François a donc tout faux. Les Africains en Afrique, les Européens en Europe, les Asiatiques en Asie, les musulmans dans les pays musulmans et les belles âmes chrétiennes semblables à celles du Saint Père, au Ciel dans le royaume de Dieu !
Lire Métamag cliquez ici
01:24 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 11 janvier 2018
JEUDI 11 JANVIER : HUBERT DE MESMAY INVITÉ DE L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR RADIO LIBERTÉS
ÉCOUTER RADIO LIBERTÉS CLIQUEZ ICI
ACHETER LE LIVRE CLIQUEZ LÀ
LES PRÉCÉDENTES ÉMISSIONS CLIQUEZ ICI
10:23 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
ALLELUIA, 38 OOO « MIGRANTS » ILLEGAUX VONT ETRE EXPULSES….
Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat
Le Premier ministre demande aux migrants en situation irrégulière de quitter le pays avant la fin du premier trimestre, en échange d’un billet d’avion et d’un pécule de 3 000 Euros. Ce programme est destiné à imposer à presque quarante mille clandestins de choisir entre l’expulsion « rémunérée » et …la prison ! S’exprimant au début d’une réunion du cabinet ministériel, le chef du gouvernement s’est félicité de la mise en place de ce projet destiné « à faire partir les migrants entrés Illégalement ». Ceux-ci ont jusqu’à fin mars pour quitter le pays, faute de quoi ils seront incarcérés.
….EN ISRAEL !
Et oui ami lecteur, ce n’est pas dans notre « cher vieux pays » comme aurait dit l’exilé de Colombey les Deux Eglises, que l’on appliquerait une telle mesure de salubrité publique : c’est l’Etat hébreu qui prend le bélier par les cornes si je puis dire, et qui annonce par la voix de Benyamin Netanyahu, son Premier ministre, que les récalcitrants seront envoyés en prison. On imagine, ici, les cris d’orfraies si Emmanuel Macron et Edouard Philippe prenaient une telle mesure. On entend déjà les sanglots des habituels pétitionnaires de la LDH, de la LICRA, du MRAP et de SOS Racisme, sauf ceux du CRIF, tout de même ! Les marcheurs battraient le pavé d’un pas allègre, exceptionnellement en compagnie des « barbudos » du camarade Mélenchon. Mais si l’Etat juif prend, à juste titre et en toute souveraineté, les mesures qui concernent sa sécurité, force est de constater qu’il y a des pays « plus égaux » que d’autres et qui échappent à la vindicte de la doxa dominante. C’est le « deux poids, deux mesures ». Mais est-ce pour nous étonner ?
EN FRANCE, NOUS NE SOMMES PAS SORTIS DE L’AUBERGE
Ce beau pays qui est la patrie des droits de l’homme, et aussi, ne l’oublions pas… du camembert et du petit coup de rouge qui l’accompagne, est tellement beau et attirant que l’OFPRA, l’Office français de protection des réfugiés et apatrides, annonce que la terre des « Gaulois » a enregistré 100 412 demandes d’asile en 2017, soit une augmentation de plus 17 % par rapport à l’année écoulée. Du jamais vu ! Et encore, ces chiffres ne comptabilisent pas les clandestins qui n’ont fait aucune démarche et qui, chaque jour, viennent renforcer les effectifs de ceux qui sont déjà entrés par toutes les portes et fenêtres grandes ouvertes ou presque.
L’air bravache, le ministre de l’intérieur et ex-maire de Lyon, nous annonce un plan de règlement de la question sous forme d’une loi sur l’immigration qui, à peine esquissée, fait déjà ruer dans les brancards une partie de sa majorité parlementaire, composée, devons-nous le rappeler, de socialistes repentis et de « harkis » de la droite molle venus à LREM chercher leur pitance.
DE QUELLES CONTREES NOUS VIENNENT-ILS ?
Avec étonnement, les Syriens que l’on pourrait penser les plus nombreux en raison de la situation dans leur pays qui est un champ de bataille, du moins jusqu’à ces dernières semaines, n’arrivent qu’en dernière position. Bien loin derrière les Albanais et autres Kosovars, alors que la guerre a cessé dans leurs contrées depuis belle lurette. Puis viennent les ressortissants d’Afrique de l’Ouest et de la République « démocratique » du Congo, les Algériens (en hausse de 24 %), les Afghans (+ 6%), les Haïtiens, les Soudanais et autres Guinéens, etc…
A ces chiffres officiels, s’ajouteront bien sûr, ceux des pseudos « migrants » qui seront aidés par toutes ces bonnes associations de collaborateurs du phénomène de l’immigration./invasion pour constituer leur dossier de demandes d’asile. En attendant, c’est le contribuable qui paye.
A une portée d’arbalète de mon village, une cinquantaine d’Africains illégitimement entrés en France, - on parle d’Erythréens, de Somaliens, de Sud-Soudanais, tous pays qui n’ont rien à voir avec la colonisation française -, s’entassent, logés, blanchis, nourris, dans l’ancienne gendarmerie que nombre de SDF aimeraient bien avoir comme « casernement ». Mais, souvent, ces sans-abris sont FRANÇAIS, alors….Existerait-il une insensée discrimination ?
LE « GRAND REMPLACEMENT », UNE VUE DE L’ESPRIT ?
L’Etat français, à cent mille unités près, est incapables de savoir combien d’étrangers en situation irrégulière sont sur notre sol. A Menton, à peine les patrouilles de la PAF ont-elles contrôlé les trains en provenance d’Italie et ont-elles refoulé les clandestins, que des associations caritatives d’extrême-gauche, prennent en main ces derniers aux débouchés des cols franco-italiens. A Calais, la jungle, doucement mais sûrement, se reconstitue. La ville est, partiellement, sinistrée et, chaque jour, les camionneurs doivent se battre pour se faire respecter et veiller à ce que les tentatives de passage du tunnel ne virent pas au drame. CRS et autres gardiens de l’ordre sont épuisés et à la merci, vidéo oblige, d’une plainte pour « brutalités »…Nous en sommes là.
Combien sont-ils ? Les instituts officiels spécialisés dans les études démographiques nous mentent. Car les naturalisations pratiquées sans vergogne, - inique droit du sol -, vident chaque année les « stocks » d’étrangers qui se trouvent tout de même renforcés sans cesse, par de nouveaux arrivants. Pas folles les femmes surinamiennes qui viennent accoucher en Guyane, comme d’ailleurs les Comoriennes qui échouent à Mayotte, première maternité de France ! Et le regroupement familial aidant, les naissances de néo-Français font que les populations qualifiées de « de souche » seront, à terme, dans 20 ans, 30 ans, avant la fin du siècle en tout cas, minoritaires chez elles. Même phénomène qu’aux Etats-Unis. C’est le syndrome afrikaner, « la technique du coucou » ! Et, mince consolation, en Europe, les pays du groupe de Višegrad ne sont pas touchés par ce phénomène. Faudra-t-il alors se réfugier du côté du lac Balaton, charmant entre parenthèses, comme nous y invite d’une façon humoristique le Premier ministre hongrois, Viktor Orban ou du côté des Tatras et des Beskides, chez les Slovaques ou les Polonais ?
NOUS SOMMES ICI CHEZ NOUS
La France a toujours été, et c’est à son honneur, une terre d’accueil pour tous ceux qui souffraient de persécutions religieuses ou politiques. Mais ce n’est pas non plus une « auberge espagnole » où toutes les ethnies de la terre pourraient s’y essuyer les pieds, comme sur un paillasson. Nous attendons du Chef de l’Etat, le spécialiste breveté du « en même temps », qu’il fasse ce qu’il a annoncé : l’expulsion des déboutés du droit d’asile, et l’accueil de celles et ceux qui le méritent, et seulement eux. J’attends, avec impatience, les premiers A-380 qui ramèneront au pays natal les faux réfugiés. Il y va de la pérennité de notre nation. Et là, nous pourrons sereinement nous occuper des VRAIS demandeurs du droit d’asile.
10:23 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Témoignage : Pierre Vial a raison, Johny était bien à Jeune Nation...
Claude Jaffres, militant historique de la cause nationaliste :
"J'ai lu avec intérêt l'article de Pierre Vial concernant la jeunesse de Johny Halliday cliquez ici et cela m'incite à apporter mon témoignage.
A cette époque je militais, moi aussi, au Mouvement Jeune Nation. Mon premier chef de section avait été Gérard Renard. A son départ pour l'Algérie, j'avais pris la responsabilité de notre groupe dont les activités couvraient les XIIe et XXe arrondissements de Paris et leur proche banlieue. Nous étions très jeunes mais d'une fougue qui aurait déplacé les montagnes, ou pour le moins les bolchos et autres léche-babouches de l'époque.
Il y avait Roland Collet, Braconnay, les frères Talbotier, les frères Chabanis cliquez ici, Aldo Lotti etc... A la permanence du mouvement et dans les actions, je retrouvais François Duprat, Amory de Chaunac, P'tit Luc, Hubert Koller, Christian Lefevre et tant d'autres camarades qu'il serait trop long d'énumérer. Beaucoup eurent leur vie broyée par le combat et la répression, d'autres s'en sortir, certains firent de brillantes carrières, parfois en cachant leur passé mais très peu, selon la formule de Dominique Venner, "guérirent de leur jeunesse"...
Parmi ces militants, j'avais un camarade qui s'appelait Berthomier. Il avait la particularité de porter un blouson de cuir noir, mode lancée chez nous par Dominique Venner (mais lui avait un col officier et un liseré rouge du meilleur effet). Il habitait vers le square de la Trinité et fréquentait donc la "bande de la Trinité"... comme notre Johny national. Je n'ai jamais rencontré Johny mais Berthomier nous racontait qu'il avait fait des sorties nocturnes avec lui et qu'ils avaient collé des affiches de Jeune Nation. C'était ses débuts et il était bien loin de la notoriété qui allait être la sienne peu de temps après.
Au-delà de l'intérêt de cette anecdote en raison de la personnalité de ce jeune militant, cela montre combien l'image répandue par les médias et l'intelligentsia d'une jeunesse obligatoirement "de gauche" était fausse hier comme aujourd'hui. Simplement ces privilégiés ont les micros, les caisses de résonance, les relais et moyens de pression et qu'ils donnent ainsi le ton.
Imaginez juste un instant que Johny, au lieu de coller les affiches du Mouvement Jeune Nation aurait collé celles de la Ligue communiste révolutionnaire...
Depuis longtemps ces mêmes médias auraient signalé le courage et la générosité de sa jeunesse "engagée" et bien évidement à son décès, nous aurions eu droit à une grande leçon sur les "valeurs" avec la participation et les souvenirs de Krivine.
Au fond, Johny était un jeune garçon bien de son époque, loin des clichés propagés par la propagande des fossoyeurs de notre civilisation et c'est en cela qu'il mérite notre sympathie."
00:34 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Strasbourg : Gabriele Adinolfi invité du Bastion social alsacien samedi prochain
00:12 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 10 janvier 2018
Anvers (Flandre) Filip Dewinter lance une nouvelle campagne :
Filip Dewinter, porte-parole de Vlaams belang à Anvers, a lancé une nouvelle campagne sur la capitale flamande : "Les nouveaux arrivants ? Nous les faisons nous-même..."
Source Lionel Baland cliquez ici
11:33 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |