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mercredi, 07 février 2018

Lyon, samedi 10 février, récital de la Joyeuse garde

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Et en plus... ils votent !

Malgré des décennies de bourrage de crânes de la part des profs communistes dans l'Education nationale, voilà le résultat... Edifiant.

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Petit retour sur le 6 février 1934

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JEUDI 8 FÉVRIER, THIERRY BOUCLIER INVITÉ DE L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR RADIO LIBERTÉS

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ECOUTER RADIO LIBERTÉS CLIQUEZ LÀ

LES PRÉCÉDENTES ÉMISSIONS CLIQUEZ ICI

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IL N’Y A PLUS QUE MACRON POUR NE PAS CROIRE À UN KRACH FINANCIER IMMINENT !

ROUSSET M 2.JPGMarc Rousset

Les taux d’intérêt remontent, suite à la prise en compte des risques et à la résurgence des craintes d’inflation. Le Dow Jones a reculé de 2,58 % le vendredi 2 février et la Bourse de Paris est déjà dans le rouge pour l’année 2018, tandis que le bitcoin, autre sinistre présage, poursuit sa descente aux enfers en étant déjà passé de 20.000 dollars, en décembre 2017, à moins de 7.500 dollars.

Bernard Arnault, lors d’une interview toute récente au Figaro, a pu déclarer : « Il n’y a pas eu de crise mondiale depuis plus de dix ans. Cela ne va pas durer. Dans les cinq ans qui viennent, une crise surviendra », tandis que l’économiste Jean-Pierre Robin constate, d’une façon plus précise, que l’économie américaine vit aujourd’hui la troisième reprise la plus longue de son histoire, soit 103 mois – le début remontant à juillet 2009.

Maurice Obstfeld, chef économiste du FMI, a reconnu à Davos que les arbres ne peuvent monter jusqu’au ciel : « Le prochain retournement à la baisse pourrait intervenir plus vite que prévu et s’avérer plus difficile à combattre », tandis que Christine Lagarde lançait un avertissement à l’Europe, et plus particulièrement à la France, « qui n’a pas su réparer son toit quand il faisait beau », suite à la fin du célèbre alignement des planètes. La France aura connu, avec Hollande et son ancien ministre et conseiller économique Macron, un inacceptable déficit budgétaire et commercial, un niveau extravagant de chômage et d’endettement public, des entreprises, des banques et des ménages hyper-endettés.

La BCE n’est pas, non plus, très rassurante. Benoît Cœuré, membre du directoire, vient d’émettre des vœux pessimistes trop tardifs à Ljubljana, en Slovénie, souhaitant accélérer les réformes pour éviter l’éclatement de la zone euro lors de la prochaine crise. Il a confirmé que les taux étaient historiquement bas et que la BCE, depuis 2015, avait déjà acheté plus de 2.300 milliards d’euros d’obligations d’une façon non conventionnelle. Le taux de référence du Bund allemand est passé, en un mois, de 0,40 % à 0,75 %.

Et si l’on se tourne vers les États-Unis, ce n’est pas, non plus, très réconfortant. Le rendement des bons du Trésor américain, qui était proche de 2,4 % en début d’année, s’est envolé à plus de 2,85 %, pour la première fois depuis avril 2014. Alan Greenspan, qui fut président de la Fed de 1987 à 2006, aujourd’hui libre de ses paroles, agite le spectre d’un éclatement de la bulle. Il a estimé, dans un entretien à Bloomberg, qu’il y a deux bulles sur les marchés financiers, « une sur les actions et l’autre sur les obligations ».
 
Il se trouve que, lorsque le même Alan Greenspan avait quitté la présidence du Conseil des gouverneurs de la Réserve fédérale en 2006, on le surnommait « maestro ». L’inflation et le chômage étaient faibles et la croissance honorable. Un an plus tard éclatait la bulle immobilière qui allait précipiter la plus grande crise financière de l’histoire contemporaine car Greenspan avait été trop laxiste en matière de crédit et de taux d’intérêt pas assez élevés.

Bis repetita placent. Les mêmes reproches seront bientôt faits à Janet Yellen, qui a passé le flambeau de la présidence, ce jeudi 1erfévrier, à Jerome Powell. Martin Feldstein, professeur à Harvard, estime que Yellen n’a pas reconnu assez tôt « les risques croissants des excès d’appréciation de certains actifs ». Bref, Wall Street se retrouve exactement dans la même situation qu’en 2000 (bulle Internet) ou 2006 (scandale des subprimes) avec une bulle immobilière, obligataire et des actions.

Lors de la dernière séance de la Fed, Janet Yellen a repassé la patate chaude à Jay Powell en ne remontant pas les taux. Il est probable que ce dernier va augmenter à nouveau les taux directeurs les 20 et 21 mars prochains, avec trois hausses à prévoir en 2018, ce qui pourrait contribuer à faire éclater les bulles.

Les récessions américaines se manifestent, en moyenne, tous les cinq ans. Nombre d’économistes s’attendent à ce que le coup de tabac survienne alors que Jay Powell sera à la barre. Mais, cette fois-ci, ce pourrait être un véritable tsunami à l’échelle mondiale, avec un risque non négligeable d’écroulement total du système économique et monétaire, du capitalisme financier, avec des répercussions inimaginables.

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Atlante - Québec : une fin de semaine active outre Atlantique

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Communiqué de Atlante Québec :

La fin de semaine du 17 et 18 février aura lieu la première édition de l’évènement militant À l’abordage. Pendant ces deux jours, nous aurons droit à une journée de formation sur le survivalisme avec invité-surprise. Aussi, comme conférencier nous recevrons à Québec, bastion nationaliste, Rémi Tremblay de la Fédération des Québécois de souche qui nous parlera du chanoine Lionel Groulx. Finalement, notre compagnon Alexandre Peugeot nous formera à la pensée nationaliste révolutionnaire québécoise. Il y aura lancement de la librairie militante le Kiosque du Flibustier où vous pourrez vous procurer à prix raisonnable de la littérature orientée.


Plus d'infos sur la FQS cliquez ici

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mardi, 06 février 2018

Hubert de Mesmay invité par Martial Bild au zoom de TV Libertés

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Bulletin de commande cliquez là

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En ce 6 février...

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Pour ceux qui veulent entendre

les Poèmes de Fresnes cliquez ici

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lundi, 05 février 2018

Parution début mars du premier tome des Mémoires de Jean-Marie Le Pen

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On en reparle...

22:56 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les bobards de l’intervention occidentale en Libye et au Kosovo

guerres-humanitaires-rony-brauman-161x300.jpgMarc Rousset

Quelque chose est en train de bouger ou de changer dans le royaume de France. Il est ahurissant qu’ait pu paraître sur la page 18 entière du Figaro du samedi 3 février 2018 un dossier aussi accusateur et politiquement incorrect que l’interview de Rony Brauman, ex-Président de Médecins sans frontières, par le grand journaliste Renaud Girard, Normalien, adepte de la « Real Politik », épris très souvent de vérité et d’un sens minimum de l’honnêteté intellectuelle.

Rony Brauman vient en effet de faire paraître son ouvrage intitulé : « Guerres humanitaires ? Mensonges et intox» (éditions Textuel). Cette chronique dans le premier quotidien français pourrait être le point de départ d’une commission d’enquête parlementaire française sur les mensonges politico-médiatiques lors de l’intervention en Libye. Les accusations de Rony Brauman sont d’autant plus graves que le Parlement britannique a mené une enquête qui a confirmé la réalité des bobards. L’ancien Président Obama a pu qualifier l’expédition en Libye, tant vantée pourtant par Hillary Clinton, de « plus grande erreur de sa présidence ».

Les bobards dépassent en intensité ceux des armes de destruction massive de Saddam Hussein pour justifier l’intervention américaine en Irak. On peut mieux comprendre à la lumière de cet ouvrage l’indignation des Russes et le désir de Poutine de ne pas être de nouveau le dindon de la farce en Syrie.

Contrairement à ce qui a été prétexté, la rébellion armée de Benghazi était parfaitement à même de se défendre et de protéger son territoire. Personne n’a jamais vu, à supposer qu’elle ait existé, la prétendue colonne de chars de Kadhafi. IL n’était de toute façon pas nécessaire de commencer une guerre ; de simples survols de la « colonne fantôme » ou des tirs d’arrêt auraient suffi.

Le colonel Kadhafi qui prétendait dans ses discours enflammés aller chercher les opposants « ruelle par ruelle », n’avait pas les moyens d’écraser la rébellion de Benghazi. L’attaque de manifestants à Tripoli par les avions de Kadhafi n’a également jamais eu lieu. Sarkozy, Cameron et Obama ont pu cependant déclarer : « Un chef d’Etat qui envoie son aviation contre son peuple n’est plus digne de gouverner ; il doit partir ».

De même les charniers de Benghazi et de Tripoli n’ont jamais existé. Le représentant de la ligue libyenne des droits de l’homme faisait pourtant état de six mille morts ensevelis à la hâte en une dizaine de jours. La quasi -totalité des médias, des hommes politiques et des intellectuels ont repris et divulgué en 2001 cette fausse information.

IL y a ceux qui voient ce qu’ils croient et ceux qui, comme les patriotes, croient ce qu’ils voient. La guerre était en réalité voulue par l’Occident. IL s’est passé seulement 5 semaines entre la première manifestation à Benghazi du 15 février 2011 et l’attaque aérienne française du 19 mars. Toutes les tentatives de médiation (Union africaine, Turquie, Sénégal, Afrique du Sud) ont été repoussées. Voilà ce que le politiquement correct et l’infâme BHL appellent une guerre juste !

A noter qu’il en en été de même pour la guerre déclenchée par l’Otan en mars 1999 qui a bombardé pendant 83 jours Belgrade et les populations civiles serbes alors que la  Serbie souhaitait reprendre le contrôle du Kosovo, son berceau mythique ancestral avec ses monastères, perdu le 28 juin 1389 face à l’empire ottoman lors de la bataille du Champ des Merles, envahi par l’immigration d’origine albanaise devenue majoritaire.

La véritable raison de l’agression par l’hyper-puissance américaine était alors le désir de justifier le maintien de l’organisation militaire de l’OTAN, de narguer les Nations-Unies, la Chine, l’Europe et la Russie, d’affaiblir l’Europe en favorisant le multi-ethnisme et l’islam, de poursuivre l’expansion militaire à l’Est et d’implanter la plus grande base militaire hors des Etats-Unis de « Bondsteel » forte de 10 000 hommes.

Le droit de l’hommiste Bill Clinton avait eu alors le toupet de dire : « Nous intervenons pour édifier un Kosovo pacifié et multi-ethnique ».

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Le Havre : mobilisation contre l'ouverture d'une école coranique

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Télécharger le tract cliquez ici

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JEUDI 8 FÉVRIER À NIMES : GALETTE DES ROIS DE LA LIGUE DU MIDI

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Samedi 10 février : HOMMAGE PARISIEN À ROBERT BRASILLACH ET À MAURICE BARDÈCHE

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dimanche, 04 février 2018

Touche pas à mon cosmétique

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LA CHRONIQUE DE PHILIPPE RANDA

C’est un usage courant dans les magasins et on n’y fait plus guère attention ; certains articles attirent la convoitise bien plus que d’autres, soit pour leur prix (foie gras, alcools, disques, etc.), soit pour leur facilité de vol (piles) et sont exposés « sous clé ».

Aux États-Unis, les « produits cosmétiques pour Afro-américains » sont particulièrement prisés d’utilisateurs qui ne semblent pas tous enclins à les acquérir contre monnaie sonnante et trébuchante. D’où la directive d’un magasin de la chaîne de supermarchés Walmart, à Perris, de les enfermer dans une armoire vitrée pour éviter la tentation à certains.

Une occasion rêvée pour les professionnels de l’anti-racisme : l’avocate Gloria Allred, célèbre pour ses engagements en faveurs des droits civiques, a en effet déposé une plainte pour discrimination, arguant que les autres cosmétiques étaient, eux, en accès libre… et donc, qu’une cliente n’avait pas l’obligation d’« être escortée jusqu’à la caisse avec les produits pour pouvoir les acheter. »

Selon maître Gloria Allred, « ces pratiques discriminatoires perpétuent des stéréotypes raciaux selon lesquels les Noirs seraient des voleurs… »

Le groupe Walmart se défend en indiquant que « certains articles de soins sont soumis à des mesures additionnelles de sécurité » et que chaque responsable de magasin prend ses décisions en se basant sur des statistiques concernant les objets les plus concernés.

On imagine tout de même que pour les dirigeants de ce groupe, l’argent d’un client n’a pas davantage d’odeur que de couleur ethnique…

Devront-ils à l’avenir se laisser détrousser au nom du douteux slogan « pas d’amalgame », désormais brandi à tort et à travers pour le plus grand profit de certains ?

EueiLibertés cliquez ici

18:33 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le courage d’une adolescente

Ahed-Tamimim.jpgGeorges Feltin-Tracol

Depuis le 19 décembre 2017, une jeune fille de 16 ans croupit en prison pour des motifs politiques. Si elle avait été arrêtée par la police de Recep Tayyip Erdogan, de Vladimir Poutine, de Viktor Orban ou de Jaroslaw Kaczynski, toute la presse officielle hexagonale, toutes les radios et télévisions du Système, toutes les soi-disant ONG – souvent agents d’influence et de désinformation des Oligarchies mondialistes – auraient protesté, mobilisé Raphaël Glucksmann et le Botulien en chemise blanche régulièrement entarté, et organisé une intense campagne auprès de l’opinion publique afin de la libérer. Ce n’est hélas ! pas le cas parce que l’affaire concerne l’armée israélienne d’occupation en Palestine.

Issue d’une famille militante du Fatah, l’adolescente s’appelle Ahed Tamimi. Dès l’âge de 11 ans, elle s’opposait aux bidasses de Tsahal. Elle s’est pleinement engagée pour la libération de sa patrie. Ayant giflé d’une belle façon deux nervis en uniforme le 15 décembre dernier, elle risque maintenant jusqu’à sept ans de prison devant un tribunal militaire de l’occupant, soit un ramassis de magistrales badernes qui ne juge pas selon le droit, mais en fonction des circonstances. « Les-jours-les-plus-sombres-de-notre-histoire » se répètent à trois heures trente d’avion de Paris dans un silence assourdissant.

On attend toujours que le guignol d’Intouchables, défenseur des allogènes Rohingyas et grand pote d’Harvey Weinstein, soutienne Mademoiselle Tamimi et sa courageuse famille résistante. Le natif de Trappes, aujourd’hui exilé fiscal aux États-Unis, serait-il mal à l’aise devant l’allure si proche du type européen de cette vaillante adolescente ? Ahed Tamimi a les yeux clairs, de longs cheveux blonds cendrés et ne porte pas de voile.

Avec Marouane Barghouthi, 58 ans, cinq fois condamné à perpétuité et en détention depuis 2002, Ahed Tamimi représente la nouvelle résistance du peuple palestinien, celle qui entérine l’échec total des accords d’Oslo montés par Washington. Les militants palestiniens doivent dorénavant suivre un seul principe qui nous est cher : « Un peuple, une terre ! »

Bonjour chez vous !

• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°64, diffusée sur Radio-Libertés, le 2 février 2018.

18:32 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

À CALAIS, UNE SEULE SOLUTION : LA REMIGRATION

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Communiqué de Marie-Jeanne Vincent, Délégué du Parti de la France pour le Calaisis

La ville de Calais a fait l’objet de violentes rixes entre clandestins afghans et africains. Le bilan est lourd : 21 blessés dont cinq par armes à feu. Cette poussée de violence fait suite à d’autres événements insupportables : agressions sexuelles, vols, attaques sur la rocade portuaire. 800 clandestins soutenus par des associations « humanitaires » composant avec les activistes de l’ultra gauche « anti fasciste » et le groupuscule No Border prennent en otage une ville de 77.000 habitants.

La maire Les Républicains de Calais, Natacha Bouchart, sans doute éclairée par la lecture des tracts du Parti de la France, réclame enfin que des mesures soient prises contre les activistes et la présence des clandestins. Réaction tardive de la part de l’élue qui en 2014 avait autorisé l’installation d’un centre de jour sur des terrains municipaux et avait déclaré que les migrants étaient « une richesse culturelle ».

Cette richesse rend la vie impossible pour les Calaisiennes et Calaisiens mais aussi pour les entreprises et les sociétés de transport. Face à cela que propose L’État : des CRS en plus.

Le PdF du Calaisis a conscience que cela ne servira à rien. C’est pourquoi nous réclamons :

- Un encadrement strict des activités des associations intervenant à Calais et un contrôle de leurs sources de financement ;

- La dissolution des groupuscules antifa et no border qui disposent d’un local boulevard Lafayette ;

- L’expulsion vers leurs pays d’origine de tous les clandestins, ces gens sont entrés illégalement sur le territoire français et la loi nous autorise à les renvoyer chez eux.

Calais a besoin de mesures concrètes et non de saupoudrage ou d'effets de manche médiatique comme l’a été la venue du Président de la République, Emmanuel Macron. 

17:18 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

SAMEDI À OUISTREHAM (14), LE PARTI DE LA FRANCE A SAUVÉ L'HONNEUR DE LA NORMANDIE

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Malgré la pluie, les perfidies de la presse locale, le bouclage de la ville par la police et la présence haineuse d'une poignée de valets de la finance apatride péniblement réunie par l'ensemble des fractions de la collaboration à l'immigration (partis de gauche, syndicats, officines stipendiées et gauchistes de toutes obédiences...), les militants normands du Parti de la France avec à leur tête le Président Carl Lang ont bravé l'adversité et tenu samedi après-midi un rassemblement devant la plage de Ouistreham. Ils ont ainsi prouvé que la station balnéaire normande n'entendait pas terminer comme Calais cliquez ici.

Comme l'a fort bien indiqué Bruno Hirout, le dynamique responsable local du PdF du Calvados, cette manifestation avait pour but de faire prendre conscience aux habitants de Ouistreham, abasourdis par ce qui leur arrive et terrorisés par l'extreme gauche qui soutient la pègre importée, que le Parti de la France, désormais seule force politique représentative de la Droite nationale non reniée, est et sera toujours à leurs côtés pour défendre une Normandie normande dans une France française et dans une Europe européenne... 

Plusieurs mouvements patriotes, dont Civitas et la Dissidence française, implantés localement, s'étaient joints dans un souci d'unité d'action à la manifestation du PdF.

Synthèse nationale

 

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samedi, 03 février 2018

Journal du chaos

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LA FRANCE, VAUTREE DANS LE NUTELLA !

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Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat 

Les images ont fait le tour du monde, au détriment de notre pays. À l’occasion d’une promotion défiant toute concurrence sur le prix de vente, (moins 70 % !), de cette pâte chocolatée bien connue des enfants, -«  grands » et petits -, des nuées de consommateurs-trices, (écriture inclusive oblige !), se sont rué(e)s pour ne pas dire se sont battu(e)s sur et dans les rayons spécialisés de certaines grandes surfaces. Après les crêpages de chignons au moment des soldes sur les fringues et autres articles ménagers, les bousculades lors de « ventes privées » et autres opérations « portes ouvertes », des Français-es, ont donné une détestable image de leur pays qui est devenu la risée de la planète grâce à internet. Disons-le, la France a fait l’objet de bonnes blagues de la part des internautes.

Le dessinateur Morris avec son héros Lucky Luke, avaient magnifiquement illustré dans une BD la course démoniaque des « sans terre » sur l’Oklahoma, qui se ruaient dans un désordre indescriptible et comique. Son non moins talentueux confrère Franquin dans les aventures de Spirou et Fantasio en Palombie, avec les ondes du malfaisant Zorglub, avait caricaturé les clients d’un supermarché, hypnotisés, se ruant sur les rayons hygiène et s’arrachant dans un moment de folie , quitte à en venir aux mains, qui des savons, qui des tubes de dentifrice en promotion ! Etait-ce comme cela lors de la ruée vers l’or au Klondike, au XIXe siècle ? En tout cas, les images véhiculées à propos de ces rabais exceptionnels sur le Nutella, ressemblent étrangement à ces stupides mouvements de foule….

Au moment où l’on nous bassine qu’il faut défendre la planète et que le climat se réchauffe, patati et patata, les frénétiques consommateurs de cette marque ont-ils pensé que dans de vastes contrées exotiques, on pratique la déforestation à tour de bras en chassant une faune exceptionnelle, pour planter ces arbres producteurs d’huile de palme, laquelle huile, justement , sert à la fabrication de la « divine » pâte chocolatée, et que ces nouveaux arbustes ne contribuent ni à la fertilité des terres, ni à l’exhalation de la chlorophylle ?

Nos héros d’hier sont-ils morts pour des pots de Nutella ?

Après cette désastreuse séquence de la vie quotidienne au pays de Molière, de Guitry, des impressionnistes, de Bizet et de Claudel, d’Henri IV et autre Napoléon ou d’Albert Schweitzer et de Pasteur, sans oublier de nobles figures comme d’Estienne d’Orves et Bastien Thiry, j’ai fait un tour sur la place de mon village. Surmontant le monument aux morts, le « poilu » de 14/18 faisait la gueule. « C’est pour ça que je suis tombé à Verdun ou au «  Chemin des Dames », semblait-il me dire ?

En fait, dans un pays qui se laisse envahir, pour l’instant à peu près pacifiquement,-et encore, à voir -, par toutes les tribus de la terre, où des bandes d’ados avachis marchent dans les rues comme des zombies, l’œil rivé sur leur portable, écouteurs enfouis dans les oreilles et, autre exemple, où, légalement un monsieur moustachu peut épouser un monsieur barbu sans oublier que des détenus font la loi dans les prisons, plus rien ne m’étonne. La France était à la Renaissance, selon Joachim Du Bellay, la « mère des arts, des armes et des lois ». Qu’en est-il aujourd’hui de ses artistes, de ses savants, de ses héros ? Tout est-il passé à la trappe ?

Le silence des « élites »

On aurait aimé une protestation officielle, fustigeant ces misérables lopettes à la recherche d’un « Graal alimentaire ». Mais dans ce qui fut ce beau pays, de la Gaule romaine à la France républicaine, conquérante et pacificatrice, en passant par le royaume des lys, où sont aujourd’hui les frontières entre le beau et le laid, le noble et le vulgaire, l’héroïsme et l’avachissement, la résignation et l’enthousiasme ?

Quel historien des siècles futurs, dressera le tableau impitoyable de cette marche vers la décadence qui semble inexorable ? Nous savons par le Maître de Martigues qu’en politique, « le désespoir est une sottise absolue » et, par le Stathouder Guillaume d’Orange « qu’il n’est pas nécessaires d’espérer pour entreprendre ». Alors espérons, entreprenons et, à la fin du compte, il ne nous pas interdit de penser qu’une « divine surprise » nous récompensera !

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vendredi, 02 février 2018

NORMANDIE & BRETAGNE : DEUX RENDEZ-VOUS AVEC LE PARTI DE LA FRANCE EN CETTE FIN DE SEMAINE

SAMEDI À OUISTRÉHAM (CALVADOS) :

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DIMANCHE À BRUZ (PRÈS DE RENNES) :

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L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" DE JEUDI AVEC LE ROMANCIER MORBRAZ

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L'ÉMISSION

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VENDREDI 2 FÉVRIER : SOIRÉE DE SOUTIEN AUX DÉMUNIS À STRASBOURG

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jeudi, 01 février 2018

L'Action française suspend sa parution....

Lorsqu'un titre de la famille (même au sens large du terme) tire sa révérence, c'est toujours une mauvaise nouvelle dont on se passerait bien. C'est donc avec tristesse que nous apprenons aujourd'hui la parution du dernier numéro de l'Action française 2000.
 
Nous sommes bien placés pour connaître, en tant qu'éditeurs militants indépendants, les difficultés financières et techniques auxquelles se heurte la presse d'opinion. Trop souvent, les lecteurs sont à cent lieux d'imaginer le miracle permanent que constitue la parution des médias nationaux dans notre pays. La nécessité quotidienne de faire 1 euro avec 80 centimes finit inéluctablement par lasser, même les plus coriaces. À un moment ou à un autre, les difficultés sont telles que la raison doit l'emporter.
 
Nous comprenons volontiers le déchirement qu'a dû être celui des responsables de l'AF au moment de prendre une telle décision. Néanmoins, et c'est ce qui est le plus important, leur détermination ne semble pas pour autant être atteinte si l'on en juge par la combativité qui caractérise l'éditorial de François Marcilhac que nous reproduisons ci-dessous.
 
L'idéal qui anime les militants de l'AF les guidera, nous en sommes persuadés, à continuer leur combat avec d'autres moyens de communication. Cela pour une raison très simple : la famille nationale sans l'AF, c'est inimaginable.
 
Roland Hélie
Directeur de Synthèse nationale

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À bientôt

Être politique, c’est refuser de se laisser submerger par l’émotion. Nul cynisme, en cela, encore moins de l’indifférence, mais la claire conscience que le devoir demeure, par-delà les aléas. Il ne s’agit pas seulement de mon dernier éditorial, ce qui, en soi, n’aurait aucune importance, même si plus de sept années passées à analyser l’actualité politique à la lumière de l’empirisme organisateur, «  selon le principe du Rempart  », aura été une tâche aussi lourde qu’exaltante  ; mais, surtout, ce numéro est le dernier de L’Action Française 2000, puisque nous sommes contraints de cesser notre parution en raison de problèmes financiers que nous ne pouvons plus éluder. Cela peut paraître, en un sens, une victoire de l’oligarchie et de ceux pour qui la parole et l’action patriotes doivent absolument disparaître du paysage national. Avec la nation elle-même. Ils ont même remporté une autre victoire, cette semaine, avec le retrait de Maurras du Livre des commémorations nationales de 2018, à la suite d’une polémique qui en dit long sur l’état moral et intellectuel de nos élites autoproclamées, lesquelles font régner leur dictature sur le pays. La mutilation de la mémoire nationale, c’est évidemment celle de notre héritage, et donc de notre compréhension de nous-mêmes et, pour finir, de notre identité. Or, que cela plaise ou non, Maurras en fait pleinement partie.

L’heure du renouveau

Pourtant, que l’oligarchie et ses idiots utiles ne se réjouissent pas trop vite de ce qui peut apparaître au premier abord comme un recul de leurs adversaires à la fois les plus résolus et les plus conséquents. Si des raisons financières ne nous permettent plus de continuer de paraître, celles-ci ne disent rien ni de notre développement ininterrompu depuis cinq années, où nous avons vu le nombre des adhérents croître de manière exponentielle, comme en témoigne le succès sans cesse grandissant de notre université d’été et de nos actions militantes sur tout le territoire, ni, surtout, du progrès de nos idées en France, devant la déliquescence d’un régime dont le replâtrage macronien dissimule de plus en plus mal la décomposition – les dernières révélations sur l’affaire Fillon donnent la nausée en confirmant la nature de ce régime. Il nous faut tout simplement repenser notre présence politique pour accompagner notre renouveau. Comment n’entamerions-nous pas cette nouvelle étape avec exaltation l’année du cent cinquantième anniversaire de la naissance de Maurras, alors même que, une fois nettoyée de ses scories historiques – la tradition est critique –, sa doctrine demeure toujours aussi pertinente, voire d’une urgence tragique ? Chaque jour qui passe confirme, malheureusement, la nécessité d’en finir avec un régime auquel le pays doit, depuis deux siècles, ses principaux malheurs et son érosion lente mais continue.

Depuis sa naissance, en dépit des accidents de l’histoire, l’Action française a toujours été à la fois un journal et un mouvement politique. Les Camelots du Roi ont toujours été au centre de son action et ceux d’aujourd’hui n’ont en rien démérité de leurs aînés. Que ce soit l’occasion pour toute l’équipe de L’Action Française 2000 de saluer leur courage et leur abnégation. Ils sont le fer de lance de cette royalisation du pays sans laquelle rien ne sera jamais possible. Oui, l’année 2018 sera bien une année maurrassienne, n’en déplaise à tous les censeurs et diffamateurs de la pensée de notre maître. Notre site prend le relais – je vous y retrouverai chaque semaine. Les rédacteurs de La Nation Française, dans leur manifeste publié à la une du premier numéro, le 12 octobre 1955, déclaraient qu’ils s’efforceraient « de résoudre chaque problème réel en fonction de l’intérêt bien entendu des Français honnêtes gens et efficaces, présents ou à venir, intérêt qui porte finalement le nom d’Intérêt national », car « le peuple français, qui travaille et subit le désordre établi, demeure sain dans ses profondeurs » ; « sa décadence est surtout le fait de fausses élites qui l’aveuglent d’un écran de grossiers mensonges et l’étourdissent de modes et de mots ». Avant d’ajouter  : «  Pour la plupart, les rédacteurs de ce libre journal pensent qu’une monarchie moderne, dessinée par l’expérience, sévère à toute vieillerie, serait la moins coûteuse condition de notre survie. Mais c’est le présent, la nécessité de rendre ce présent raisonnable et de créer enfin un esprit public, qui les a réunis. » Telle sera toujours notre ambition : parler au nom de l’intérêt commun, en vue de créer cet esprit public nécessaire à la résurrection de la patrie, tout en travaillant à la royalisation du pays, qui seule pourra donner un sens pérenne à la renaissance d’un esprit public. Comme Maurras en 1899, il nous faut toujours tenter de convaincre les Français, en premier lieu les plus sincèrement patriotes d’entre eux, de la nécessité d’incarner l’esprit public dans la personne du Roi.

Des devoirs et des tâches

Car aujourd’hui, assurément, fleurissent, et sont appelées encore à fleurir, ici ou là, des initiatives éditoriales qui vont dans le sens d’une telle renaissance. Nous ne pouvons que nous en réjouir, puisque ces initiatives témoignent, au milieu de la victoire apparente de tous les nihilismes, de cette contre-révolution spontanée en train d’accoucher que Maurras appelait de ses vœux. Toutefois, ces initiatives, pour si sympathiques qu’elles soient, ne vont jamais jusqu’à s’attaquer à la racine même de nos maux : elles en sont toujours encore, malgré cent cinquante ans de décomposition continue, à chercher les conditions d’une bonne république. Comme si une bonne république n’était pas chose encore plus improbable que la réinstauration du régime qui a fait la France ! C’est dire combien la présence de l’Action française est nécessaire, sous une forme ou sous une autre.

« Il n’y a que des devoirs et des tâches » : nous avons fait nôtre ce mot de Boutang au lendemain de la mort de Maurras. Parce que « qui veut bien quelque chose en veut la condition » et que « cette condition préalable, c’est le Roi  » ; «  pas de Roi, pas de puissance nationale, pas de garantie pour l’indépendance de la nation » ; « pas de Roi, […] pas de résistance à l’étranger de l’intérieur, pas de réformes bien conduites ni sérieusement appliquées  ». Parce que « c’est en cela précisément que réside le nationalisme intégral » ; « il met en ordre les problèmes français, il permet de les comprendre, et ce qu’ils peuvent offrir de contradictoire sans lui s’accorde en lui parfaitement » ; alors, oui, « la Monarchie est la condition de la paix publique » ; « la Monarchie est la condition de toute renaissance de la tradition et de l’unité dans notre pays ». Alors oui, « c’est pour l’amour de cette unité, de cet ordre, que commence aujourd’hui notre guerre quotidienne au principe de la division et du mal, au principe du trouble et du déchirement, au principe républicain ». Parce que cette déclaration, parue dans le premier numéro de L’Action Française quotidienne, le 21 mars 1908, n’a pas pris une ride, alors oui, nous pouvons conclure comme ses auteurs : «  À bas la République ! et, pour que vive la France, vive le Roi ! » À bientôt !

François Marcilhac

Paru dans l'Action Française 2000 n° 2971 du 01 Février 2018 cliquez ici

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Sur "Un chemin de résistance", le livre de Carl Lang

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Il n’est pas nécessaire d’espérer pour entreprendre, tel pourrait être le sous-titre du livre d’entretiens entre Carl Lang, Président du Parti de la France (PdF) et Jean-François Touzé. L’ex secrétaire général du Front national, qui a pris dès 2008 ses distances avec Marine Le Pen, y expose le sens de son engagement. Il y affirme qu’il est possible de faire renaître une véritable Droite nationale, sociale, populaire, identitaire et européenne capable de défendre la France et ses valeurs de civilisation, sans en dissimuler la difficulté, tant l’omniprésence du FN dans les médias et l’opinion occulte tout autre message.

En prenant la tête du Front national, Marine Le Pen ambitionnait d’en faire un instrument pour sa conquête du pouvoir. On allait voir ce qu’on allait voir ! Dehors les vieilles badernes, à commencer par son vieux père de Président d’Honneur, qui selon elle, prenait un malin plaisir à freiner son ascension grandiose. Las, trois fois hélas, que reste-t-il, six ans après de ce « désir d’avenir » ? Peu de chose en vérité. Un groupe de parlementaires européens qui se délite au gré des ambitions des uns et des autres. Le point d’orgue pourrait être atteint, si d’aventure les députés du FPÖ décidaient, dans un souci de respectabilité, de quitter le groupe l’Europe des nations et des liberté après son entrée dans le gouvernement autrichien.

Un tiers des personnes élues aux municipales et régionales ont déjà mis les pouces ou « scissionné » mettant à mal la fameuse implantation synonyme, selon Marine Le Pen et son ex bras droit Philippot, de la professionnalisation du parti. A l’Assemblée, celle qui se voulait la principale opposante au macronisme en est encore à chercher sa place, si jamais, elle la trouve.

Ne parlons même pas des affaires judiciaires, elles sont si nombreuses et variées, que même le Petit Poucet en perdrait son chemin. Quant aux finances : le congrès dit « de la refondation et du changement de nom », il s’apparente plutôt à celui de la dernière chance avant le dépôt de bilan. La disparition du néo-FN, maintenant que Marine le Pen sait qu’elle ne sera jamais Présidente de la République, serait la meilleure des choses qui puisse arriver à la Droite nationale, si elle veut se relever du champ de ruines idéologiques où l’a laissée l’expérience Marine Le Pen/Philippot. Il n’est pas nécessaire d’espérer pour entreprendre, c’est en quelque sorte le message que porte ce livre d’entretiens.

UN CHEMIN DE RÉSISTANCE, Carl Lang, 190 pages, 20,00 € (+ 4,00 € de port), Cahier photo, Les Bouquins de Synthèse nationale, ISBN 978-2-36798-043-0

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mercredi, 31 janvier 2018

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Les polars identitaires du « Lys Noir »

le-dernier-des-occupants.jpgLa chronique

de Philippe Randa

Les deux complices (Francis Bergeron et Pierre Gilleth) dirigeant la collection « Lys noir » chez Auda Isarn ne s’en cachent pas : ils publient des polars « engagés » !

Les amateurs se rappelleront bien évidemment la défunte collection « engrenage » qui tenta dans les années quatre-vingt du siècle dernier de s’imposer avec une recette qui fit pschitt : la mayonnaise « néo-polar » si lourdement pimentée d’idéologie soixante-huitarde, voire franchement communiste, tourna court en moins de sept ans (fondée en 1979 aux éditions Jean Goujon, reprise par le Fleuve Noir en 1981, abandonnée en 1986).

Quelques titres, parmi les 133 publiés, méritèrent bien d’être lus et appréciés, mais la plupart s’avérèrent rapidement aussi prétentieux qu’« ennuyeux » : l’antifascisme fantasmé et l’anti-bourgeoisie compulsive n’ont à l’évidence pas trouvé leur public. Si tant est qu’il exista.

Et donc, le « Lys Noir » entend relever le défi avec des romans tout aussi épicés idéologiquement, mais… du bord inverse. Soit le parti pris assumé de montrer le monde comme il va… ou plutôt comme il ne va plus !

Le premier volume de la collection est la réédition de L’Énigme du lundi de Pâques d’Henri Béraud. Il tonne le ton : l’auteur fut condamné en 1944 pour excès d’amitiés franco-allemande, anglophobie militante et excès de talent professionnel.

Bruno Favrit, connu pour ses livres sur le paganisme, enchaîne avec Le Hussard ne perd pas le Nord en inaugurant les aventures d’un aventurier prêt à en découdre avec toutes les crapules qui empestent le monde moderne… On ne s’étonnera que modérément que celles-ci puissent souvent être d’origines exotiques.

Troisième titre de la collection, une autre réédition : Qui a tué Marina Sturm ?… Signé Madeleine Charnaux et publié initialement en 1944, cette dame fut une championne sportive renommée  et… l’épouse de l’écrivain collaborationniste Jean Fontenoy ; Ah, bon !

Quatrième titre paru à ce jour : Le Dernier des occupants. Son auteur, l’avocat Thierry Bouclier, ne fait pas mystère de s’être inspiré du Dernier des Mohicans de Fenimore Cooper dont il a transposé l’intrigue dans le Paris d’aujourd’hui et sa proche banlieue Est ; l’Indien en voie de disparition y est, comme on s’en doute, le Français de souche… Une histoire menée tambour battant où se croisent flic véreux, haut fonctionnaire aveuglé par le politiquement correct et racailles aussi lâches que stupides. Les deux héroïnes, qui semblent avoir beaucoup fréquenté le couvent des oiseaux, se retrouvent brutalement plongées dans le monde réel de la pourriture cosmopolite et l’abjection de certaines mœurs… Elles n’y perdront pas – de justesse – leur vertu, mais leurs illusions sur une société où « tout le monde, il est déraciné, tout le monde il est Charlie »…

Enfin, pas au « Lys Noir », en tout cas !

Les livres des éditions Auda Isarn sont disponibles sur leur site : cliquez ici

10:12 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Jeudi 1er février, le romancier Morbraz invité de l'émission Synthèse sur Radio Libertés

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Les précédentes émissions cliquez là

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Ouistreham samedi prochain : toute la Normandie a rendez-vous pour défendre son identité...

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Les militants du Parti de la France du Calvados labourent le terrain à Ouistreham pour annoncer à la population le grand rassemblement contre l'immigration clandestine, qui se déroulera samedi 3 février à 14h, Esplanade Alexandre Lofi, en présence du Président du PdF, Carl Lang.

Bruno Hirout, Délégué départemental du PdF pour le Calvados, a donné plusieurs interviews (photo ci-dessous) à des médias étrangers ; la presse locale, ultra-politisée, se refusant pour l'instant à couvrir l'événement et à donner la parole à la droite nationale.

Les retours du porte-à-porte auquel se livrent presque chaque jour les militants sont excellents, les habitants de Ouistreham sont très majoritairement hostiles à l'accueil et à la cohabitation avec des délinquants africains entrés illégalement sur le territoire français.

La manifestation de samedi s'annonce déjà comme un succès politique et populaire, soyons les plus nombreux possible !

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00:09 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 30 janvier 2018

DÉCLIN DU DOLLAR, ENVOLÉE DE L’OR : VERS UN KRACH BOURSIER ?

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Marc Rousset

Le polytechnicien Bernard Arnault, PDG de LVMH, a eu l’honnêteté de déclarer, dans Le Figaro du 26 janvier : « Les valeurs en Bourse sont très élevées, mais pas seulement pour le luxe […] D’autres types d’actifs s’envolent de façon irrationnelle, comme ce tableau de Vinci dont on ne sait pas s’il est vrai ou faux. Le monde est atteint d’une certaine folie. Par ailleurs, plusieurs des valeurs technologiques qui valaient cher en 2000 ont disparu. »

Les investisseurs se congratulent en voyant les indices boursiers voler de record en record, mais un krach financier est inéluctable. L’économie est cyclique et le bon sens nous indique que les marchés ont été orientés depuis trop longtemps à la hausse pour qu’il n’y ait pas, prochainement, au minimum une correction, alors que certains économistes entrevoient même, à juste titre, l’apocalypse à venir et l’écroulement possible du système. Ce que Macron et les médias aux ordres se refusent à envisager.

Du côté du dollar, les choses ne se présentent pas très bien non plus. L’agence de notation chinoise Dagong a annoncé sa décision, dans un rapport rendu public le 16 janvier 2018, de réviser à la baisse la crédibilité souveraine du dollar américain en tant que monnaie légale et devise internationale. Le dollar a été dégradé de la catégorie A- à BBB+ avec la mention « perspective défavorable », compte tenu de la structure économique des États-Unis, de leur endettement trop élevé, des dernières perspectives de rentrées fiscales suite à la dernière réforme de Donald Trump, de leur déficit financier et de l’insuffisance de la valeur de liquidation des actifs convertibles du gouvernement américain.

Au-delà des dernières déclarations contradictoires de Donald Trump à Davos et de son secrétaire au Trésor Steven Mnuchin sur un dollar faible ou fort à venir, le dollar connaît un mouvement à la baisse depuis plus d’un an qui s’est amplifié ces derniers mois. Le dollar est, en fait, en chute libre. L’euro, qui était à 1,25 dollar en novembre 2014, qui était descendu à 1,040 dollar en décembre 2016, vient de remonter à 1,24 dollar. Cette réévaluation de l’euro va faire mécaniquement reculer le prix des importations et, donc, tirer l’inflation vers le bas, ce qui va éloigner la BCE de son objectif de 2 % d’inflation qui devait lui servir de prétexte pour sortir de sa politique monétaire actuelle, laxiste et ultra-dangereuse.

Le prix de l’or, lui, a grimpé de 100 dollars l’once au cours des trente derniers jours. Il s’élève, maintenant, à 1.337 dollars l’once. Il pourrait retrouver son dernier sommet de 1.920 dollars l’once du 6 septembre 2011 beaucoup plus tôt que prévu et s’envoler, même, à 10.000 dollars l’once, toutes choses égales par ailleurs, en cas de krach prononcé ou d’explosion du système.
 
L’or est le yin du yang que sont les marchés ; il est inversement corrélé avec les marchés. L’or, valeur refuge, monte dans un environnement de crise économique et d’hyperinflation, ce que démontrent les graphiques historiques passés, les statistiques et les coefficients de corrélation. Déjà, en 1980, l’or avait connu une brusque envolée à 850 dollars l’once alors qu’il n’était qu’à 35 dollars l’once en 1970, soit une hausse spectaculaire de 2.328 %.

Un chiffre est malheureusement indiscutable et plus que certain, même si le banquier Macron ne l’a jamais évoqué dans ses discours « en même temps » juste bons à endormir les foules : la dette mondiale est de deux millions de milliards de dollars ! Elle se compose d’une dette globale nominale de 240.000 milliards de dollars, de 250.000 milliards de dollars de dépenses non provisionnées qui n’apparaissent donc pas sous forme de dettes officielles, mais qui en sont de véritables, et 1,5 million de milliards de dollars de produits bancaires dérivés.

Cette dette ne pouvant être remboursée en aucune façon, la seule solution qui s’imposera inéluctablement un jour ou l’autre pour régler la quadrature du cercle sera, comme nous l’a montré l’Histoire, soit une guerre, soit plus vraisemblablement l’implosion du système et une hyperinflation déclenchée par une politique monétaire d’assouplissement quantitatif à très haut débit toutes vannes ouvertes. La création monétaire actuelle de la Fed et de la BCE ressemblera alors à de vulgaires et misérables seaux d’eau.

11:25 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

VENDREDI 9 FÉVRIER : ALBAN D'ARGUIN À VERVINS (02)

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11:20 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |