Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mercredi, 08 août 2018

Fabien Bouglé : « Plus le gouvernement développe ses projets d’éoliennes, plus il cristallise la résistance ! »

Unknown.jpg

Source Boulevard Voltaire cliquez ici

Fabien Bouglé* analyse les raisons de la montée en puissance de la fronde anti-éoliennes, qui rassemble des personnes de toutes tendances, y compris des zadistes. Il revient aussi sur les différentes pollutions produites par les éoliennes et la véritable catastrophe que représenterait l’éolien côtier.

La fronde anti-éolienne prend de l’ampleur et revient dans la presse. Qui sont les anti-éoliennes ?

Le combat éolien regroupe une sociologie très diverse, de l’extrême gauche à l’extrême droite et de la droite à la gauche. On retrouve à gauche des anarchistes et des mélenchonistes, et à droite, des châtelains et des personnes qui souhaitent préserver les paysages et le patrimoine architectural.

Plus le gouvernement développe ses objectifs en matière d’éolien, plus il cristallise la résistance à l’éolien, qui devient une véritable guerre.

Les éoliennes profitaient jusqu’ici d’une image écologique. Y a-t-il une prise de conscience sur la réalité de l’empreinte écologique des éoliennes ?

En réalité, derrière les éoliennes, il y a une véritable pollution.

La fabrication des éoliennes nécessite des terres rares qui sont ponctionnées en Chine.

Le recyclage des fibres de carbone des éoliennes est impossible. Les déchets des éoliennes allemandes sont balancés dans des décharges en Afrique.

Concernant le fonctionnement lui-même des éoliennes, cela génère de la pollution. On croit souvent que les éoliennes fonctionnent tout simplement avec le vent. C’est totalement faux. L’éolienne fonctionne en moyenne 20 à 25 % du temps. On est donc obligé de compenser l’intermittence du vent pendant les 75 % restant par de l’énergie thermique, gaz, pétrole ou charbon. C’est pour cette raison que plus l’Allemagne a fabriqué d’éoliennes, plus elle a produit de gaz à effet de serre. En France, c’est exactement la même chose. Depuis la mise en place de la politique de l’éolien, la France continue d’augmenter sa production de gaz à effet de serre.

L’image de l’éolien écologique est totalement écornée. La notion de ‘’pollution éolienne’’ était jusqu’à présent maîtrisée par quelques initiés de polytechniciens et d’ingénieurs qui en connaissaient le fonctionnement. Cette notion de pollution éolienne est désormais démocratisée, dans les villes comme dans les campagnes, tout milieu socioculturel confondu, grâce notamment au développement de la littérature sur le sujet. C’est la raison pour laquelle on constate désormais une augmentation de la contestation et une forte résistance face à l’éolien en France.

Cela fait 10 ans que les éoliennes sont installées en France. La pollution sonore et visuelle est assez évidente. Cette autre pollution peut-elle également expliquer le regain de contestation actuel ?

Lorsqu’on est un bobo parisien, qu’on se balade en France et qu’on voit une éolienne à 20 km, on peut trouver cela joli une fois de temps en temps.

Je vous rappelle que la distance limite légale entre une éolienne et une habitation en France est de 500 mètres seulement, alors que d’autres pays ont prévu des limites bien plus importantes.

Lorsqu’on habite dans un village et qu’on a une éolienne à 500 mètres de son habitation, on subit de plein fouet la gêne qu’induit ces monstres d’acier de 200 mètres de haut, pâles comprises, qui émettent des infrasons. Les nuisances pour la santé ont d’ailleurs été démontrées au travers du syndrome de l’éolien particulièrement documenté en Allemagne. Les gens des champs, ceux qui subissent de plein fouet l’installation des éoliennes commencent à être saturés.

L’effet de saturation des éoliennes a d’ailleurs été souligné par dix députés, toutes tendances confondues, La République en Marche, l’UDI et Les Républicains. Ils ont contesté cette politique à outrance d’installation des éoliennes.

C’est la raison pour laquelle, on constate une résistance accrue de cette lutte contre la pollution éolienne. Cette pollution visuelle extrêmement importante vient en effet s’ajouter à la pollution technique due à l’intermittence du vent. Et elle aurait une part encore plus importante si les éoliennes côtières venaient à être effectivement installées au bord de notre magnifique littoral français. En effet, monsieur Macron veut faire construire six centrales éoliennes côtières de plus de 200 mètres de haut à quelques kilomètres des côtes. J’espère que le projet ne se fera pas, mais si c’était le cas, cela dégraderait de façon épouvantable le littoral français et aura sans aucun doute un impact extrêmement négatif sur le tourisme. C’est un très grand danger.

* Conseiller municipal de Versailles - Groupe d’opposition Versailles Familles Avenir, Porte-parole du réseau Ulysse, réseau national anti-éolien.

Pour information :

38646160_1056024111227166_5254577661258235904_n.jpg

NDLR : sur le scandale éolien, lire (et faire lire)  le livre choc d'Alban d'Arguin 

2017 10 01.jpg

En savoir plus cliquez là

Le commander en ligne cliquez ici

08:53 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Martial Bild reçoit Jean Raspail sur TV Libertés

02:05 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

LA RÉPUBLIQUE BARBOUZARDE

alexandre-benalla-clanokW.jpg

Pierre Vial Président de Terre et peuple

Seuls les naïfs ou les faux-culs peuvent s’étonner de l’affaire Benalla. En effet les privilèges exorbitants dont bénéficiait ce Franco-Marocain (dont le nom signifie en arabe « fils d’Allah »…) s’expliquent fort bien par son statut de barbouze de haut niveau voué à mettre ses talents au service rapproché, très rapproché, d’un Macron qu’il côtoyait en permanence et de très près y compris dans le cadre de sa vie privée. Macron, qui avait assuré installer une République toute nouvelle, pure et dure, a en fait repris à son compte les bonnes vieilles habitudes barbouzardes de ses prédécesseurs.

La bonne question est : comment et pourquoi l’ascension si rapide de la barbouze Benalla ? Nous n’aurons bien sûr jamais la réponse.

Source cliquez ici

01:59 Publié dans Les Nouvelles du Front de Pierre Vial | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 07 août 2018

Dans Présent d'aujourd'hui : un article sur "le Guide sulfureux du Paris réac et facho" de Patrick Parment

Dj77IlrXsAA-kor.jpg

Lire Présent cliquez ici

Chez votre marchand de journaux : 1 € 30 

17:51 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un cas d’école de la stupidité antifa : l’attaque contre les Brigandes du 4 août à La Salvetat

les-salvetoises.jpg

Source cliquez ici

Ce samedi 4 août 2018 à La Salvetat sur Agoût, une trentaine d’antifas et autres gauchistes en manque d’identité se sont rassemblés pour protester contre Les Brigandes, qui devraient disparaître ou être envoyées au goulag.

Ces bêtes de foire tentèrent de nous provoquer alors que nous étions devant notre local au cœur du village, et qu’une vingtaine de gendarmes en ordre surveillaient la scène à quelques mètres de là. Comme d’habitude, nous avons observé une attitude pacifique sans tomber dans le piège, laissant les gauchos faire leur numéro sur la voie publique avant de retourner à la finalisation de notre 7e album prévu pour la mi-septembre. (Rappelons que, contrairement à ce qu’affirment les antifas, aucun gaucho n’a jamais subi de violences physiques de notre part.)

Bref, cette manifestation assez pitoyable mérite néanmoins d’être signalée pour deux raisons :

- Sans aucune intelligence politique, les antifas ont réussi à faire peur à la moitié du village avec leur allure de casseurs zadistes (derrière laquelle se cachent des ados sortis de la cour de récréation), et à se mettre à dos l’autre moitié en tentant de prendre d’assaut non seulement la mairie mais aussi la charcuterie locale. Un habitant témoigne : « Le soir même dans les jardins de La Salvetat, tout le monde parlait avec exaspération de ces intrus venus emmerder le village. Ils collent leurs autocollants sur les maisons, laissent leurs tracts sur les voitures, mais on s’en fout de leurs idées. Ils ne se sont pas faits des amis… » En ce qui concerne l’opération « retourner la population contre les Brigandes », c’est zéro pointé, et le résultat est plutôt inverse… Probablement comptaient-ils sur notre prétendue « agressivité » pour que l’on réagisse et prenne le rôle des « méchants ».

- Les antifas tentèrent ensuite de se diriger vers le Gazel, notre centre communautaire où se trouvaient les femmes et les enfants. Heureusement pour eux, les gendarmes arrivèrent suffisamment tôt, car s’approcher des familles leur aurait valu quelques hospitalisations que nous aurions accepté de payer sans broncher.

En conclusion : un cas d’école parmi tant d’autres de la bêtise antifa, sur laquelle il est inutile de donner plus de détails. Nous devons aussi constater que la force publique a tendance à laisser les antifas aller très loin dans la provocation avant de s’interposer… et que les antifas semblent ne rien craindre des forces de l’ordre.

Nous savons que le site La Horde, qui centralise toutes les actions et informations des antifas, est tenu par des professionnels du renseignement et est hébergé par le directeur artistique du quotidien Le Monde, lui-même à la solde des financiers Pigasse et Niel. Sur ce sujet, voir les très bonnes enquêtes suivantes : Nous sommes partout cliquez là et l'OJIM cliquez ici

On sait que la mouvance antifasciste est l’idiot utile et inconscient du Capital et de son projet internationaliste, mais, plus loin encore, nous pouvons conclure qu’un service médiatico-gouvernemental soutient à l’arrière-plan cette mouvance violente.

Nous profitons de l’occasion pour remercier le  fan-club Facebook « Les amis des Brigandes » cliquez ici, dont deux administrateurs étaient présents avec nous ce week-end.

PS : Les Brigandes n’étant pas sur Facebook, ce fan-club n’est pas sous notre contrôle direct. Néanmoins, nous sommes assurés du soutien et de la droiture de son administrateur, qui tient avant tout à faire notre promotion.

08:22 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dans le nouveau numéro du Harfang, le magazine identitaire québécois, un article sur le CHN n°13 consacré à Ramiro Ledesma Ramos

tumblr_pd1brp9tuu1rnng97o1_1280.jpg

Le Harfang cliquez ici

Le CHN 13 consacré à

Ramiro Ledesma Ramos cliquez là

00:45 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 06 août 2018

Plaidoyer pour le rétablissement de la peine de mort

kkloi.jpg

Bernard Plouvier

Le 15 octobre 2015, un petit garçon d’âge pré-pubère avait été poignardé à mort par un psychotique dans une cité lorraine. Fin juillet 2018, un jeune homme est tué par deux rejetons de l’immigration extra-européenne. Depuis 2015, des assassins djihadistes ont tué plus de deux cents Français : à l’arme blanche, à l’arme à feu et à la voiture-bélier.

Au-delà de l’actualité et des réactions de colère & d’indignations qu’elle génère, il convient de réfléchir à un grave problème de société pour lequel le peuple souverain de France (et celui d’autres pays européens, d’ailleurs) n’a jamais été consulté : l’injustice profonde représentée par l’abolition de la peine de mort.

Il est devenu monnaie courante de voir sortir d’hôpital psychiatrique, nantis pour l’occasion de l’étiquette « équilibrés », des fous dangereux : psychotiques enfermés pour cause de délire, sociopathes, psychopathes violents.  De fait, à l’heure des antipsychotiques, tout malade chez lequel un diagnostic a été posé suffisamment tôt peut être stabilisé par son traitement… à condition qu’il soit régulièrement pris et c’est là que le bât blesse.

Le psychotique de forte conscience morale (ou éthique, comme on voudra) prend son traitement, à la fois parce qu’il se sent mieux avec lui que sans lui, même s’il endure d’inévitables effets secondaires, et parce qu’il ne veut pas ou plus nuire à autrui : ses proches, ses collègues de travail, etc.

Le psychopathe violent (tous ne le sont pas), le sociopathe, le psychotique dépourvu de conscience sociale abandonnent vite leur traitement, parce que cela leur plait de terroriser autrui, de faire mal, de blesser physiquement ou moralement. Tous les médecins le savent, mais nul dans le monde merveilleux des politiciens ne demande l’avis des vrais praticiens, se contentant de celui, inexpert ou intéressé, d’avocats ou de médecins de papier, membres d’une secte, d’un parti politique ou piliers de salon parisien.

Quant aux terroristes, quelle que soit leur motivation – politique ou religieuse -, ce sont des adeptes de la pure joie de nuire. Leur foi ne sert que d’alibi moral à l’épanouissement de leur perversité.

De toute antiquité et dans toute civilisation orientée vers le « Bien commun », on admet comme légitime la défense de qui est réellement et immédiatement menacé dans sa vie ainsi que le principe de la protection des citoyens honnêtes par les forces de l’ordre. C’est en grande partie pour que soit assurée la sécurité des personnes que l’on paie des impôts.

Il est parfaitement légitime de se moquer des éjaculations verbales d’avocats sur la non-exemplarité de la peine de mort et pour une excellente raison : aucune étude scientifique n’a jamais été réalisée sur le sujet. Bien au contraire, de nombreuses études éthologiques et sociologiques (notamment celles menées sur des jumeaux éduqués séparément) ont démontré l’innéité – pour au moins 80% - des comportements animaux, dont ceux des humains.

Qu’on veuille le reconnaître ou non importe peu : la récidive est génétiquement programmée chez les assassins et les violeurs, après qu’on les ait libérés de prison, souvent de façon anticipée pour raison de « bonne conduite ».

L’ego surdimensionné et les professions de foi de pénalistes vexés par la condamnation à mort d’un de leurs clients (et par la mauvaise publicité qu’ils en ont ressentie) ne pèsent rien, absolument rien, en comparaison de vies d’innocents gâchées par des fous criminels, des pervers dangereux (tels les violeurs-assassins), des grossiums du trafic de stupéfiants, des criminels par fanatisme religieux ou politique.

On se moque d’une éventuelle « rééducation », illusoire du fait de leur génétique défavorable, des assassins, violeurs, fanatiques dangereux, sociopathes etc. La peine de mort a pour but d’éliminer la pire des bêtes féroces : l’homme génétiquement programmé pour assouvir ses pulsions criminelles.

Il ne faut plus s’intéresser au débat stérile sur l’exemplarité de la peine de mort ou au dogme antique, mais hautement périlleux pour la société, de l’irresponsabilité des « fous ». En période d’absurde expansion démographique, éliminer les grands criminels, c’est une mesure de salubrité publique, soit ce qu’en d’autres temps on dénommait une mesure de Salut public.  

18:44 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La Grèce toujours en faillite, mais le mensonge continue

acropole-d-athenes.jpg

Marc Rousset

Français, on vous ment pour la gravité de l’invasion migratoire, comme on vous ment pour la dette grecque. Le FMI est l’exception qui confirme la règle pour la Grèce. Il dit la vérité : sans allègement réel de la dette grecque, c’est-à-dire sans renoncement au remboursement pur et simple de la dette publique grecque, et non pas avec un simple allongement des échéances, la Grèce tombera immanquablement en faillite à terme !

Le FMI répète que la dette grecque représente encore aujourd’hui 178 % du PIB du pays. L’accord de juin 2018 devrait permettre à Athènes d’avoir accès, à moyen terme, à des financements par les marchés, mais tout cela est théorique et repose sur du sable, car il sera impossible à la Grèce d’avoir une croissance de 3 % tout en maintenant un excédent budgétaire de 2,2 % du PIB, hors service de la dette.

Selon le FMI, la croissance n’a été que de 1,7 % en 2017 et atteindra difficilement 2 % en 2018 et les années suivantes, tandis que l’excédent budgétaire sera au maximum de 1,5 % du PIB et non pas 2,2 %.

Le reflux du chômage est tout à fait anecdotique, conjoncturel en Grèce et non pas structurel puisqu’en étant hyper-optimiste, il passerait de 21,5 %, en 2017, à 19,9 %, en 2018, et 18,1 %, en 2019. Les risques de banqueroute grecque sont, en fait, énormes si l’on songe à la moindre hausse des taux d’intérêt, au calendrier de politique intérieure grecque, à l’immigration clandestine extra-européenne, à une population à bout, fatiguée des réformes et du « demain, on rasera gratis » !

Le drame, c’est que ce n’est pas l’euro qui est la cause de la dette grecque, contrairement à ce que prétend Jacques Sapir, mais tout simplement l’inconscience laxiste d’un pays et de ses dirigeants qui ont tiré trop fort sur la corde de l’État-providence pendant des années jusqu’à ce qu’elle casse, tandis que Goldman Sachs truquait les comptes pour faire entrer la Grèce dans la zone euro, sans avoir à subir – ce qui est scandaleux – une amende gigantesque de l’Union européenne d’au moins 20 milliards d’euros et la condamnation de ses dirigeants à la prison ferme en Europe pour manipulation frauduleuse des comptes publics et montage d’opérations bancaires fictives.

Le drame, également, c’est que les banques, sur la demande de l’Allemagne et des pays de la zone euro, ont effectivement déjà allégé la dette grecque de 90 milliards en 2011. Merkel a voulu, à juste titre, que les banques qui avaient pris des risques inconsidérés paient une partie de la note. Le 27 octobre 2011, les banques européennes ont donc dû abandonner 50 % de la dette publique qu’elles détenaient sur la Grèce. De plus, alors que l’opinion publique allemande souhaitait le défaut de paiement et la mise en faillite pure et simple de la Grèce en 2011, Merkel a promis solennellement aux Allemands que les Grecs rembourseraient les nouveaux prêts accordés à la Grèce avec la garantie des États.

Merkel ne peut pas perdre la face, ayant déjà sur le dos l’entrée folle du million de clandestins immigrés sans contrôle aux frontières. Et (cerise sur le gâteau) si, demain, la Grèce ne paie pas – ce qui sera le cas -, les déficits publics annuels de la France et de l’Allemagne seront augmentés d’autant, d’où l’acharnement du Système pour reculer la date de faillite inexorable à venir de la Grèce.

La Grèce est le cancre de l’Union européenne et la France « une petite Grèce » quant au chemin décadent et laxiste parcouru depuis quarante ans. Alors que la situation de la France est catastrophique et demande des mesures draconiennes, structurelles, chirurgicales en matière de dépenses publiques, sociales et de réduction du nombre de fonctionnaires pour éviter la faillite à venir, l’action de Macron relève du traitement médical législatif homéopathique.

18:37 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 04 août 2018

À LIRE AU MOIS D'AOÛT :

2018 07 O MOSLEY 3.jpg

Acheter ce livre en ligne cliquez là

Bulletin de commande

08:37 Publié dans Les Cahiers d'Histoire du Nationalisme | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 03 août 2018

Une politique énergétique fondée, non sur le retour en arrière, mais sur l’innovation

Electricite-nuages-Ligne-droite.jpg

Ligne Droite cliquez ici

Depuis les années soixante-dix la question énergétique s’affirme comme un défi majeur pour notre pays. La France y a répondu jusqu’à présent par le développement du nucléaire. Une démarche audacieuse et bénéfique mais qui est aujourd’hui remise en cause par les écologistes, partisans, de leur côté, de la bicyclette et des éoliennes. Dans ce débat important, Ligne droite considère qu’il est certes nécessaire de lutter contre les gaspillages et de multiplier les mesures d’économie. Mais elle estime que c’est dans l’innovation scientifique et technique que la France et l’humanité trouveront les solutions au problème de l’énergie et non dans un retour en arrière régressif et punitif.

Le besoin en énergie va croissant

L’importance de la consommation d’énergie dans le monde représente en effet une réalité incontournable qu’il serait vain de vouloir nier. D’autant qu’elle ne cesse d’augmenter en particulier dans les pays émergents qui, très légitimement, se préoccupent plus de croissance que d’environnement. La part de la Chine dans la consommation mondiale a ainsi doublé en dix ans tandis que le volume de ses rejets polluants annule à lui seul l’ensemble des efforts environnementaux réalisés par les pays européens. Les micros solutions écologistes, comme le développement de la circulation en vélo, sont dès lors dérisoires face à l’ampleur des besoins énergétiques mondiaux. Aussi l’avenir ne passe-t-il pas principalement par la réduction de la consommation d’énergie mais par de nouveaux modes de production énergétique plus respectueux de l’environnement et peu consommateurs de ressources naturelles.

Les écologistes sont déconnectés des réalités

Pour autant il convient d’être lucide sur la nature réelle des énergies dite renouvelables. Il est en effet convenu de les opposer aux énergies fossiles dont les ressources connues ne sont pas inépuisables, mais il ne faut pas oublier que la Terre étant finie les énergies renouvelables sont elles aussi limitées. Si elles apparaissent en effet inépuisables c’est parce qu’elles sont pour l’instant utilisées de façon marginale. Mais imaginons par exemple que toute l’énergie mondiale soit produite par des capteurs solaires. Ce serait alors une part significative de la chaleur reçue par la Terre qui serait détournée de son sol avec des conséquences catastrophiques sur la température de la Terre et sur la croissance des végétaux. Il en va de même en ce qui concerne la géothermie dont l’utilisation massive abaisserait la température du noyau terrestre. Quant à l’éolien généralisé, il modifierait le régime des vents ce qui aurait une incidence non négligeable sur la vitesse de rotation de la Terre. Les tenants de ces énergies balaient l’argument en avançant le faible poids de l’activité humaine à l’échelle de la planète. Mais ce sont les mêmes qui, sans crainte de la contradiction, expliquent que c’est cette même activité qui serait à l’origine du changement climatique.
Lorsqu’il s’agit d’énergie, la rationalité s’efface en effet bien souvent devant l’idéologie et la désinformation politiquement correcte devient quasi systématique. A cet égard, la palme de la fausse solution revient à la voiture électrique. Celle-ci est en effet présentée comme propre alors que l’électricité qu’elle consomme provient essentiellement des centrales que les écologistes voudraient démanteler. Un simple déplacement du lieu de pollution auquel s’ajouteraient les graves difficultés environnementales qui seraient engendrées par les déchets des batteries.

La solution passe par la science et la technologie

En réalité les progrès réalisés en matière énergétique n’ont été possibles que par les avancées de la science et de la technologie. Et ce sont de nouvelles innovations qui apporteront les solutions aux problèmes d’aujourd’hui. D’abord, elles assureront une augmentation des rendements énergétiques, amplifiant des améliorations déjà obtenues comme par exemple la réduction significative de la consommation des véhicules à carburant. Ensuite elles rendront possible l’utilisation de sources d’énergie alternatives et abondantes comme l’hydrogène. Autant de domaines où la science européenne est en pointe. Aussi Ligne droite estime-t-elle nécessaire d’encourager massivement la recherche privée et publique dans tous les secteurs de l’énergétique. La solution passe par le progrès scientifique et technique.

La sortie du nucléaire a conduit l’Allemagne au désastre

Pour s’en convaincre il suffit d’observer a contrario l’exemple de l’Allemagne où la fermeture des centrales nucléaires décidée pour des raisons idéologiques a créé une situation qui s’avère catastrophique. Nos voisins d’outre-Rhin ont du en effet relancer les centrales à charbon avec des conséquences désastreuses sur les rejets de gaz à effet de serre. En outre cette politique a provoqué une augmentation considérable du prix de l’électricité au point qu’il représente aujourd’hui le double du prix français. Enfin les allemands ont perdu leur autonomie énergétique et sont contraints d’acheter de l’électricité à l’étranger. Avec cette politique écologiste, les Allemands ont ainsi accru leur dépendance énergétique, augmenté le coût de leur électricité et affaibli leurs positions dans la lutte contre le réchauffement climatique.

Le nucléaire s’affirme comme la clef de l’avenir

Ce fiasco allemand apparaît ainsi comme une réhabilitation du nucléaire, lequel s’avère être aujourd’hui la seule ressource inépuisable à l’échelle des besoins mondiaux. Certes cette source d’énergie n’est pas exempte de problèmes environnementaux et de risques pour la sécurité des populations. Mais, c’est une fois de plus la science qui peut résoudre ces problèmes. Pour les déchets, il est envisagé à terme de concevoir des centrales qui les « bruleront ». Et pour le reste, d’autres solutions ne manqueront pas de voir le jour. Encore faut-il que l’activité des chercheurs et des ingénieurs du nucléaire ne soit pas bridée.

Vers la fusion nucléaire

A cet égard, il convient de rappeler que la grande ressource d’avenir est celle de la fusion nucléaire. Une source d’énergie encore à l’étude, mais tellement prometteuse qu’elle justifie des efforts de recherche considérables dans lesquels la France joue d’ailleurs un rôle de premier plan. Notre pays est en effet leader mondial de la recherche en la matière que ce soit sur la fusion sous laser ou par confinement magnétique. C’est en France que la communauté internationale a décidé d’implanter le centre de recherche Iter consacré à la fusion nucléaire. Certes de nombreux obstacles sont encore à surmonter mais il ne faut pas douter du succès à terme de nos scientifiques. En réussissant à maitriser cette technique, ils nous apporteront, pour des effets secondaires très faibles, une indépendance énergétique totale et des réserves quasi inépuisables.

Une telle issue consacrera la prééminence scientifique de l’Europe en tant que grande puissance.

08:30 Publié dans Ligne Droite | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Ignace du jour :

38239144_1186229861517424_8086819369872523264_n.jpg

08:27 Publié dans IGNACE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 01 août 2018

Bonne nouvelle : Tommy Robinson vient d'être remis en liberté

Tommyfree.jpg

Après deux mois de détention pour avoir simplement divulgué un reportage sur le procès d'une bande de Pakistanais violeurs et criminels qui sévissait en Grande Bretagne, le journaliste militant patriote Tommy Robinson vient d'être enfin remis en liberté. 

Depuis son incarcération scandaleuse, un mouvement populaire sans précédent s'est développé dans tout le Royaume Uni, ainsi que dans toute l'Europe, pour exiger la libération ce nouveau héros du peuple anglais. Le gouvernement britannique a donc été obligé de céder et c'est tant mieux...

Quelles que soient les divergences que l'on peut avoir avec certaines positions géopolitiques de Tommy Robinson, nous nous réjouissons de cette libération. 

S.N.

Lire aussi cliquez là

18:01 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

REPRISE DE L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR RADIO LIBERTÉS : JEUDI 6 SEPTEMBRE

RL 79 REDIFS ÉTÉ 2018.jpg

ÉCOUTEZ RADIO LIBERTÉS CLIQUEZ ICI

RETROUVEZ LES PRÉCÉDENTES

ÉMISSIONS "SYNTHÈSE" CLIQUEZ LÀ

15:22 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Fréjus, Nice, les actes de guerre se multiplient : silence du pouvoir…

topelement_zoomable_051028LPA911.jpg

Manuel Gomez Riposte laïque cliquez ici

De tous côtés, on n’entend plus que ça…

Un air nouveau qui nous vient de là-bas…

Ce là-bas, chez nous, ce sont les banlieues, les zones de non-droit, qui se situent dans chaque ville de notre pays.

Que l’on ne s’attende pas qu’un jour ce nouveau « peuple » de ces banlieues, de ces quartiers, se lance à l’assaut du palais de l’Elysée, que nenni, puisque sa protection vient justement de ce président, de ce gouvernement, pas question de l’attaquer, de le renverser, bien au contraire.

Nous ne sommes plus en période révolutionnaire, ces années de 1789 à 1793 où le bon peuple de France s’était lancé à l’assaut de Versailles et avait obtenu la tête du Roi, c’est tout le contraire qui se produit, ce sont les troupes, les bandes, les groupes, les « casseurs », la racaille, qui partent à l’assaut du « bon peuple de France », sous le regard impassible de ceux qui les gouvernent, qui les autorisent, qui les « laissent-faire ».

Et qui a reçu l’ordre de s’opposer à eux ? Que je sache, personne. Ni la police, ni les gendarmes, ni les CRS, ni l’armée, non personne.

Ils encaissent, ils contiennent comme ils peuvent, ils repoussent de moins en moins, mais ils n’interpellent plus, ils n’arrêtent plus et, bien entendu, ils ne tirent plus, d’ailleurs ils n’ont jamais tiré, même quand il fallait le faire, même quand ils étaient menacés de mort, attaqués, blessés, ni même quand ils étaient brûlés vifs.

Non, ce n’est pas une révolution qui se prépare, ni même une guerre civile (comme certains la prédisent !) car, pour qu’il y ait guerre civile il est nécessaire qu’il y ait deux camps, deux adversaires, deux combattants, et aujourd’hui il n’y a qu’un seul camp, une seule armée, celle qui nous attaque en toute impunité, à la moindre occasion, préparée, organisée, dirigée… et armée !

Dans le seul département de la Gironde, pourtant réputé comme l’un des plus calmes du territoire, depuis début 2018, 98 policiers ont été victimes d’agressions, ainsi que 80 gendarmes.

Sur un simple mot d’ordre, ils se rassemblent en quelques minutes et attendent les forces de l’ordre qui sont rapidement débordées. Le terrain leur est abandonné.

Depuis deux nuits à Nice (Alpes Maritimes), quartier des Moulins, les policiers et les pompiers sont « caillassés ». Des feux de poubelles, de matelas et de véhicules, place des Amaryllis et allée Sœur-Emmanuelle, et même des « barricades » construites d’un tas d’objets divers, à l’angle de l’avenue Martin-Luther-King et du Boulevard Paul Montiel.

Des émeutes provoquées par des bandes de jeunes « racailles », les visages cagoulés, qui bombardent policiers et pompiers d’un tas de projectiles.

Cela a débuté lundi vers 2h du matin, suite à un grave accident de scooter subi par un jeune homme de 25 ans, cherchant à s’échapper et refusant d’obtempérer à un ordre de la police municipale alors qu’il circulait sur la pelouse réservée à la ligne 2 du tramway.

Grièvement blessé, après avoir percuté un arbre dans sa fuite, et évacué par les pompiers vers l’hôpital Pasteur.

A Fréjus, dans le Var, intervenant sur un appel des habitants du quartier de la gabelle, qui protestaient contre le fracas et les bruits en provenance d’un bar, les policiers se sont trouvés confrontés à une centaine d’individus et n’ont pu rétablir l’ordre que vers une heure du matin. Trois policiers ont été blessés.

Lors de ces deux graves affrontements, comme d’ailleurs dans la plupart de ceux que nous dénonçons, aucune interpellation n’a été réalisée et c’est cette démobilisation, cet abandon de l’autorité, qui nous interpelle.

Cette capitulation devant l’ennemi entraînera tôt ou tard au minimum des risques de « bavures » et au maximum ? Seul l’avenir nous le dira !

15:22 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Du 20 au 26 août à Sées (61) : université d'été d'Académia christiana

tumblr_pcok9x4QFx1rnng97o1_1280.jpg

En savoir plus cliquez ici

15:18 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 8 septembre : conférence de Jacques Bompard à Lyon

tumblr_pcs7nfsKrC1rnng97o1_1280.jpg

15:14 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 31 juillet 2018

Quadriller le terrain pour rester en phase avec nos concitoyens

marche-ligne-droite.jpg

Ligne Droite cliquez ici

Dominés par le Système et obnubilés par les médias, les partis politiques se sont progressivement coupés des Français au point d’ignorer leurs problèmes et de mépriser leurs aspirations. Tournant le dos à cette attitude oligarchique, la droite nouvelle devra rester en phase avec nos concitoyens en étant présente sur le terrain par l’intermédiaire de ses militants et de ses cadres et cela de façon permanente et systématique, par tous les moyens possibles.

Organiser la reconquête

Les partis politiques de droite comme de gauche ont en effet progressivement perdu le contact avec les Français. La droite « républicaine » est devenue un parti de notables qui ne vont à la rencontre des électeurs que le temps des élections. La gauche a de son côté abandonné les classes populaires pour adopter une stratégie de niches électorales, misant sur les minorités et notamment sur les personnes issues de l’immigration. Quant à la Nouvelle Gauche de Macron, elle repose sur un mouvement artificiel qui n’existe que grâce à une propagande médiatique permanente. Dès lors, la classe politicienne se soucie plus de l’opinion de la médiacratie, des lobbies et des minorités que de celle de l’électorat et ne se maintient aux affaires que par le jeu du régime électoral majoritaire.

Mobiliser une nouvelle élite intellectuelle, politique et militante

Ligne droite estime en conséquence que la droite nouvelle doit rompre avec cette pratique et entreprendre au contraire la reconquête de l’opinion majoritaire par un quadrillage systématique du terrain. Une reconquête qui devra certes rechercher la victoire électorale, mais qui devra aussi jeter les bases du renouveau de notre pays par la promotion d’une nouvelle élite intellectuelle, politique et militante. Une élite qui existe déjà mais qui se trouve aujourd’hui réduite à l’impuissance ou au découragement et que la droite nouvelle devra réveiller par un immense travail d’organisation et de mobilisation.

Créer des réseaux d’information et de communication

Cette mobilisation de terrain commence par la mise en place de réseaux d’information permettant, bien mieux que les sondages, de rester en phase avec les préoccupations de nos concitoyens et de détecter les tendances de fond de l’opinion. C’est d’ailleurs ce qu’a fait, avec un certain succès, la Nouvelle Gauche de Macron. Un travail qui peut de nos jours s’effectuer facilement et pour un faible coût grâce à Internet et aux réseaux sociaux.

Ce dispositif devra d’ailleurs fonctionner à double sens de façon que la droite nouvelle puisse diffuser en direct et jusqu’à la base ses idées et son programme, en passant outre au barrage des médias du Système.

Être présent sur le terrain

Au-delà des réseaux d’information et de communication, le plus important est cependant la présence physique auprès de nos compatriotes, qui seule permet de construire avec eux une relation de confiance. Aussi les militants de la droite nouvelle devront-ils renouer avec le tractage, la présence sur les marchés, la tournée des commerçants ou le porte-à-porte et cela en dehors même des périodes électorales. Cette politique de présence passe aussi par la participation à la vie municipale et associative. Elle exige de réagir et de prendre position lors des événements locaux qui affectent la population, qu’il s’agisse par exemple de problèmes de sécurité, d’immigration ou d’emploi. Il convient également de lancer ou de relayer des campagnes de mobilisation concernant les grandes causes défendues par la droite nouvelle. Enfin, cet investissement militant doit déboucher sur l’exercice de mandats locaux qui consacrent un enracinement et confèrent une légitimité.

S’intéresser prioritairement aux Français victimes du Système

Dans cet esprit, l’action de terrain des militants de la droite nouvelle doit s’efforcer de toucher tous les Français, mais une priorité doit cependant être donnée à ceux qui souffrent plus particulièrement de la politique du Système.

D’abord, « la France périphérique », qui regroupe une part importante des classes moyennes et populaires. Celle que les partis du Système ignorent ou méprisent et qui, parce qu’elle subit de plein fouet les conséquences de sa politique comme l’insécurité, la précarité ou l’immigration, ne peut qu’être réceptive au programme de la droite nouvelle.

Ensuite, le monde du travail et de l’entreprise, largement délaissé aussi bien par la vieille droite que par la gauche et qui ne peut qu’être séduit par le programme économique de la droite nouvelle concernant la réindustrialisation du pays, la régulation de la mondialisation, et la diminution des charges et des règlements.

Enfin, nos aînés, qui constituent une part croissante et généralement conservatrice de la population et qui, contrairement à ce que suggère la propagande du Système, ne sont pas dans une situation privilégiée mais supportent au contraire le poids croissant du fiscalisme, de l’insécurité, de la hausse du coût des services sociaux et de la désagrégation des structures familiales. Ayant été trompés par la vieille droite, ils se trouvent actuellement ouverts à une nouvelle offre politique.

Investir le champ culturel et associatif

Ce travail de terrain à mener par la droite nouvelle passe également par le champ culturel et associatif. Si la Gauche a triomphé de la droite au XXe siècle, c’est parce qu’elle a réussi à imposer partout son idéologie, créant ainsi une véritable hégémonie culturelle. Mais cette idéologie séduit de moins en moins car elle s’est coupée des préoccupations populaires et apparaît aujourd’hui à la fois conformiste et déracinée.

La droite nouvelle doit profiter de cette éclipse intellectuelle de la gauche pour affirmer ses valeurs avec force. Pour cela, il lui faut s’investir dans les associations locales, offrir des tribunes aux intellectuels, aux créateurs et aux artistes qui rejettent le politiquement correct, préconisent un retour aux valeurs de notre civilisation ou refusent l’américanisation comme l’islamisation de notre société. Elle doit aussi chercher à redonner vie à la culture populaire enracinée dans les territoires et dans le génie de notre civilisation.

Venir en aide à nos concitoyens en difficulté

Le travail de terrain des militants de la droite nouvelle doit enfin revêtir une dimension fraternelle en direction de nos concitoyens en grande difficulté, qu’il s’agisse des Français sans abri, des mères de famille en détresse ou des jeunes en recherche d’emploi. Car leur venir en aide grâce à des structures bénévoles et déconnectées du combat politique donnera un contenu concret aux principes de préférence nationale et de citoyenneté active que promeut la droite nouvelle.

Cet engagement conférera une dimension éthique au militantisme politique et contribuera à lutter effectivement contre les ravages de l’individualisme. Il préfigurera la société forte et fraternelle que veut bâtir la droite nouvelle avec tous les Français de bonne volonté.

12:14 Publié dans Ligne Droite | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

À Grande-Synthe, c’est à nouveau la "jungle"

Par Olivier Caremelle*

277158769.jpg

Depuis 2015, et malgré la création par la mairie d’un camp humanitaire, détruit accidentellement, le problème de l’accueil des migrants non géré par l’État, reste entier.

Un étudiant de Sciences-Po Lille, lors d’un débat il y a peu, me demandait naïvement : « Comment êtes-vous entré dans l’humanitaire ? » Ma réponse fut aussi claire et limpide que possible : « C’est l’humanitaire qui nous est tombé dessus ! » Ce fut un choc. Brutal. Sans retour.  Ce 17 août 2015, mon téléphone sonne beaucoup. Je rentre de vacances. En forme, prêt pour la rentrée politique. Le nombre de migrants a fortement augmenté pendant mes semaines de congés. Ils seraient, ce 17 août, 170. Ils seront plus de 2 800 fin décembre, dont une majorité de Syriens.

Cela conduira à la décision de Damien Carême de construire, avec Médecins sans frontières (MSF), un camp humanitaire, contre l’avis du gouvernement de l’époque. Ni Manuel Valls ni Bernard Cazeneuve n’ont apprécié. Ce dernier aura pourtant quelques mois plus tard l’intelligence de changer de pied et de proposer au maire de financer le fonctionnement du camp humanitaire. Ce camp, Damien ne l’a pas bâti pour lui. Ni pour se faire plaisir, ni pour se faire connaître. Il l’a souhaité pour toutes celles et ceux qui survivaient dans le camp de la honte, dans la «jungle» du Basroch.

J’ai encore dans ma tête le poids des images et, faut-il le dire, des odeurs mêlées. Celles du bois brûlé et des conditions sanitaires catastrophiques. Personne n’est mort malgré les risques immenses de cet hiver neigeux. Petit miracle. Qui aurait été responsable ? Le camp a ouvert ses portes le 7 mars 2016. Il est parti en fumée dans la terrible nuit du 10 avril 2017. Je suis averti de l’incendie et m’y rends pour rejoindre le préfet de région, Michel Lalande. Au loin, sur l’autoroute, je devine les lueurs du feu sans m’imaginer le chaos du brasier. En entrant sur le camp en feu, j’entends d’abord les bruits de ceux qui continuent à se battre, Afghans contre Kurdes, et des forces de l’ordre qui se mobilisent pour rétablir le calme. En m’enfonçant dans le camp, au téléphone avec Damien, l’émotion m’étreint je l’avoue. Tous nos efforts sont réduits à néant. Il nous faudra plusieurs semaines pour l’accepter. Au petit matin, le camp est parti en fumée. Paysage lunaire. Depuis cette date et malgré nos efforts collectifs, avec l’Etat, les associations, les services municipaux, notre actualité, tous les jours, reste celle des exilés. Les filières sont là, bien installées. Les exilés continuent d’arriver via l’Espagne, l’Italie, l’Allemagne, la Belgique ou encore Paris. La question de l’accueil nous taraude. Beaucoup moins le ministre de l’Intérieur, qui nous reçoit ce 18 septembre 2017. L’accueil est glacial. Le ministre s’emporte, avec déraison. Militant politique depuis plus de vingt ans et élu local, j’ai souvent croisé la route de ministres ou de personnalités. Gérard Collomb est à côté du sujet et fait des amalgames insoutenables. Inadmissibles. Nous sommes abasourdis. Alors qu’il refuse à Damien Carême toute solution locale, je finis par lui demander s’il veut créer une ligne de démarcation pour le littoral. La réponse sera claire et franche : « Oui ! » A la sortie de l’entretien, nous convenons avec Damien Carême de ne rien dire à la presse. Qui nous aurait crus ? J’apprendrai quelques semaines  plus tard par le sous-préfet de Dunkerque que le nouveau traité de Sandhurst interdit toute implantation de centres d’accueil et d’orientation (CAO) de Calais à Dunkerque, condition pour que l’Angleterre finance les dispositifs de sécurisation, côté français !

Le 19 septembre, je rejoins le préfet de région à Grande-Synthe pour une nouvelle mise à l’abri. Ce jour-là, le préfet avait plus de 450 places à sa disposition. Il dut arrêter les opérations avant son terme, victime de «son succès» auprès des exilés, dont plus de 600 étaient présents ce jour sur le site du Puythouck. Les mois qui suivirent furent difficiles. Pour nous. Pour les associations. Pour l’Etat. Pour les exilés en premier lieu. Au jeu du chat et de la souris, les personnes qui arrivent à Grande-Synthe n’ont qu’une idée : passer en Angleterre. Elles n’ont que faire de rejoindre des CAO, des centres d’accueil et d’examen des situations (CAES), des accueils temporaires, service de l’asile (AT-SA), des program- mes d’accueil et d’hébergement des demandeurs d’asile (Prahda), des centres d’hébergement d’urgence migrants (CHUM) et autres dispositifs. Qui s’y retrouve d’ailleurs ? Malgré l’augmentation du nombre de places, celles-ci sont insuffisantes. Il est vrai que la loi asile et immigration a, entre-temps, été votée. Que réglera-t-elle ? Une seule constante pour nous. Nous empêchant d’offrir localement à Calais ou à Grande-Synthe une première réponse d’urgence, l’Etat se condamne à des campements sauvages et à des « jungles ». Le responsable du Haut Commissariat aux réfugiés en France me le dit un jour, visitant avec moi le camp de la Linière. « Chez nous [en Allemagne], ceci serait impossible, et encore moins des “jungles” ! » Nous sommes aujourd’hui le 24 juillet 2018. A ce jour et à cette heure, près de 500 personnes survivent dans des sous-bois, à deux pas de l’ancien camp humanitaire que nous avions construit.

(*) Olivier Caremelle est le directeur de cabinet du maire de Grande-Synthe depuis près de trois ans, il est en première ligne pour « suivre » l’actualité migratoire.

(Source, Libération 31/07/2018)

10:20 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 30 juillet 2018

Affaire Benalla ? Non ! Affaire Macron et affaire "Ve République"

ob_27ba53_macron-benalla.jpg

Jean-François Touzé

Membre du Bureau politique du Parti de la France

Contrairement à ce qu’il est de bon ton d'affirmer, l'affaire Macron/Benalla sur les péripéties quotidiennes de laquelle il n'est pas utile de revenir ici, ne constitue pas, factuellement et par elle-même, une affaire de première importance. Elle est, en revanche et à coup sûr, sinon une affaire d'État (pour cela il faudrait qu'il y en ait un), une affaire de régime. Une de plus.

Au-delà de l’étrange personnalité du principal protagoniste, de sa proximité avec Emmanuel Macron et de la protection qui en découlait, cette affaire resterait subalterne si elle ne confirmait pas ce que nous savions de la Cinquième République, ce que nous pressentions de celui qui en est aujourd'hui le Président, et ce que nous ne cessons d'affirmer de la piteuse condition de la classe politique française.

Conçue dans l'imposture et le mensonge, entrée en pratique dans la trahison et l'illusion, pérennisée dans l'aveuglement, la lâcheté, la procrastination et les scandales, cette Cinquième République a, depuis soixante ans, opéré une triple confiscation. Confiscation de la souveraineté populaire par une caste tentaculaire. Confiscation de L’État par une oligarchie consanguine. Confiscation de nos libertés par des institutions bancales mais totalitaires.

Élu par défaut sur la base de promesses de renouveau n'engageant que ceux qui voulaient les entendre, Emmanuel Macron qui prétendait à la fois incarner l’autorité gaullienne de la fonction et la proximité « moderne » avec les Français ne pouvait que s’épuiser rapidement dans cette recherche de l'impossible, à la manière d’un caméléon parcourant en tous sens un tissu écossais. Instabilité personnelle et fragilité sont depuis le début de ce quinquennat la marque d'une présidence hasardeuse, brouillonne et incertaine. Une grille de lecture qui met en lumière la faiblesse clinique et la puérilité politique d’un Président immature et paranoïaque que le besoin d’être rassuré conduit à jeter les bases d'une police parallèle et à resserrer toujours au plus près son réseau de fidèles dont faisait partie Alexandre Benalla, Rastignacaille ébroïcienne issue de la « diversité », éblouie par les lumières du Palais et enivrée de sa trop rapide ascension assurée par la grâce du Prince, apparemment friand de petites frappes.

Spectacle pathétique, enfin, que celui donné une fois de plus par la classe politique, majorité comme opposition, dans l’agitation et l’emballement de la chaleur estivale. De commission d’enquête pittoresque à l’Assemblée nationale, en dépôts de deux motions de censure folkloriques, en passant par la respectueuse frilosité des questions posées à la hiérarchie élyséenne et ministérielle contrairement à celles, bien plus inquisitrices, posées aux responsables policiers, la nomenklatura, par sa prudence et sa servilité d'une part, son agitation artificielle et stérile de l'autre, consolide ainsi l’opinion de nos compatriotes sur sa déconnexion d’avec la réalité des factions partisanes.

Il faut en finir avec cette Ve République, ses pratiques, ses méthodes, ses mystifications. Et d'abord en refusant de composer avec elle.

Pour le Parti de la France dont l'honneur est la constance de son combat, la fierté, son refus du Système et la force, sa cohérence politique, seule la fin de ce régime dépravé permettra à la France de se relever, dans ses forces reconstituées, ses libertés retrouvées et son identité reconquise.

Objectif : l’État national.

Source cliquez ici

12:28 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le burkini, une histoire belge pas comme les autres…

SN Burkini.jpgLa chronique

de Philippe Randa

À Gand, le tribunal de première instance a rendu deux jugements pour le moins surprenants : aucune piscine publique n’aura en effet le droit d’empêcher les dames de se baigner en burkini… alors que le port du short pour les hommes (et pour les femmes, parité oblige !) reste, lui, prohibé pour des raisons d’hygiène ou de sécurité !

Le motif fourni par l’administration flamande vaut son pesant de frites car elle aurait « des preuves scientifiques qu’il n’y avait pas de problèmes dans ces domaines », rapporte le site LesObservateurs.ch.

Des preuves scientifiques d’hygiène ? On veut bien croire qu’une femme musulmane n’a pas plus de raison que toute autre croyante de négliger son hygiène (et de respecter celle des autres), mais que vient donc faire la science là-dedans ? Et quelles pourraient bien être les preuves scientifiques (sic !) permettant de conclure que les porteurs de short seraient moins propres que les autres ?

Néanmoins, tous les Belges n’entendent pas se soumettre à cette décision judiciaire loufoque : l’échevin d’Anvers N-VA (Nouvelle Alliance flamande, premier parti à la chambre des représentants) Fons Duchateau, est entré en résistance, affirmant que « l’interdiction du burkini ne doit pas être fondée sur l’hygiène et la sécurité », mais « parce que nous n’en voulons pas en fonction de nos normes et valeurs sociétales. »

De son côté, la secrétaire d’État à l’Égalité des Chances Zuhal Demir (également N-VA), considère que ce vêtement représente « une provocation volontaire » contre l’égalité.

L’administration flamande apportera-t-elle des preuves scientifiques du contraire ? Plus sûrement, comme aurait pu chanter Jacques Brel :

Faut vous dire, Monsieur,

Que chez ces fonctionnaires-là

On ne prouve pas, Monsieur

On ne prouve pas, on juge…

Lisez EuroLibertés cliquez ici

12:02 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 29 juillet 2018

Samedi 1er et dimanche 2 septembre : Fête annuelle de la Ligue du Midi en Petite Camargue (30)

37964871_10156669366389216_4387227780543152128_n.jpg

Joël La Bruyère, "le terrible gourou", s'exprime à propos des sectes

Source Le Clan des Brigandes cliquez ici

12:32 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 28 juillet 2018

Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

10:20 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 26 juillet 2018

Une Europe qui réindustrialise le continent

usine-robot-ligne-droite.jpg

Source Ligne Droite cliquez ici

L’ultralibéralisme international, en soumettant les économies européennes à une concurrence sauvage, a provoqué un phénomène de désindustrialisation du continent facteur d’appauvrissement et de chômage. Ligne droite, qui entend s’opposer à la poursuite de ce processus mortifère, considère qu’après avoir instauré une régulation des échanges à ses frontières, l’Europe doit mener une politique volontariste de réindustrialisation passant par la relocalisation des usines et la constitution d’au moins un grand groupe européen par secteur.

La concurrence économique sauvage provoque la désindustrialisation de l’Europe

Depuis l’ouverture de ses frontières extérieures, l’Europe a en effet connu un processus continu de désindustrialisation au profit des puissances économiques émergentes. La Chine, par exemple, est ainsi devenue, selon la formule consacrée, l’atelier du monde. Un phénomène qui a entraîné le démantèlement de secteurs entiers de notre industrie comme la sidérurgie ou le textile et cela sans la moindre contrepartie. Car aucune division internationale du travail n’a donné aux pays européens le moindre avantage, même pas dans le domaine des hautes technologies que des pays émergents maîtrisent parfaitement bien, eux aussi. Dès lors, le processus de désindustrialisation s’est poursuivi avec les conséquences dramatiques que l’on connaît : appauvrissement, chômage de masse, mais aussi perte progressive des compétences et du savoir-faire accumulé dans chaque métier pendant des décennies.

Pour une régulation des échanges commerciaux

Certes, un pays comme l’Allemagne a réussi à contrer la logique implacable de la mondialisation en se spécialisant et en misant sur la qualité, mais par définition cette stratégie d’exception ne peut fonctionner que si elle n’est pas généralisée. Aussi n’y a-t-il il pas d’échappatoires : si l’organisation bruxelloise poursuit la politique ultralibérale menée actuellement, notre continent continuera de perdre son industrie. C’est pourquoi Ligne droite est favorable à la mise en œuvre d’une régulation des échanges commerciaux aux frontières extérieures de l’Union européenne afin de rétablir la loyauté de la concurrence en mettant un terme au dumping social, écologique et monétaire.

Une stratégie volontariste de réindustrialisation

Forte de cet atout, l’Europe puissance devra réorienter et dynamiser la politique industrielle de l’Union actuellement totalement contre-productive. Bruxelles, qui ne mène aucune action volontariste d’aide au développement industriel, s’efforce en effet, au nom de ses principes libéraux, d’empêcher les États membres de conduire une telle politique à leur niveau. La Commission fait ainsi la chasse aux aides étatiques apportées aux entreprises et mène une action antitrust qui a déjà rendu impossible dans le passé la constitution de grands groupes européens, précipitant de la sorte le rachat des entreprises concernées par des étrangers extra-européens.

Dans le cadre de l’Europe puissance, préconisée par ailleurs par Ligne droite, c’est donc une politique radicalement inverse qui doit être menée sous la forme d’une stratégie volontariste de réindustrialisation.

Favoriser les relocalisations

D’abord, il conviendra d’exploiter les conséquences bénéfiques de la régulation des échanges. L’instauration d’écluses douanières aux frontières de l’Union incitera en effet beaucoup de chefs d’entreprise à envisager le retour sur le sol européen de leur outil de production. Ayant perdu, avec la mise en place des droits de douane à l’entrée dans l’Union, l’avantage que leur procurait la délocalisation, ils seront nombreux à se laisser séduire par une relocalisation. Celle-ci leur permettra en effet de rapprocher les lieux de production des lieux de consommation, de diminuer les délais de livraison et de réduire les coûts de transport. L’Europe puissance devra alors amplifier ce phénomène de retour en aidant les entreprises à se relocaliser, en multipliant les sites d’implantation et en favorisant le financement de ces transferts.

Notons en incidente que l’Europe devra s’efforcer de freiner, de gêner, voire d’empêcher les investissements chinois sur la route de la soie. Notre continent n’a rien à gagner d’une amélioration des moyens de transport terrestres entre la Chine et l’Europe.

Créer de grands groupes industriels européens

Le deuxième axe du processus de réindustrialisation de l’Europe doit viser la constitution dans chaque secteur d’au moins un grand groupe européen de dimension mondiale capable de s’imposer dans la concurrence internationale. Le modèle en est bien sûr Airbus ou Arianespace dont la réussite est incontestable et qui montre que, lorsqu’elle le veut, l’Europe peut parfaitement créer une dynamique industrielle indépendante. À cet égard, notre continent dispose de bons atouts déjà opérationnels dans le secteur automobile, dans celui du BTP, de l’eau ou de l’agroalimentaire notamment. Mais des progrès importants devront être réalisés dans bien d’autres domaines et surtout dans le secteur du numérique aujourd’hui totalement monopolisé par les Américains. Aucun secteur, surtout s’il est stratégique, ne doit en effet être abandonné par l’Europe et celle-ci doit donc multiplier les initiatives comme le font les Chinois qui développent avec succès des concurrents directs à Google ou à Amazon.

Se doter des moyens d’une grande politique industrielle

Cette grande politique nécessitera l’installation, auprès des autorités politiques de l’Union, d’un état-major industriel chargé de concevoir et de mettre en œuvre cette stratégie secteur par secteur. Il devra être doté de puissants moyens juridiques et financiers et notamment d’un fonds d’investissement à créer à l’échelle de l’Europe. Par ailleurs, la préférence européenne devra pouvoir être mise en place systématiquement lors des restructurations industrielles afin que les entreprises à vendre soient rachetées par des Européens et non par des étrangers au continent. Des dispositions juridiques devront enfin être adoptées à l’échelle de l’Union pour s’assurer que les grands groupes européens demeurent sous le contrôle européen et restent loyaux à l’égard de l’Union européenne, notamment sur le plan fiscal et sur celui des lieux d’implantation.

L’Europe reste, de par ses ingénieurs, ses scientifiques, ses gestionnaires et la qualité de sa main-d’œuvre, une terre d’exception sur le plan industriel. Elle doit remobiliser tous ses moyens pour développer son potentiel dans un esprit de patriotisme économique européen.

23:12 Publié dans Ligne Droite, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Thomas Joly était à Bordeaux le 25 juillet pour lancer le Parti de la France en Gironde

safe_image.jpg

22:54 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 25 juillet 2018

Roland Hélie était ce matin invité à la matinale de Radio Libertés

IMG_0136.jpeg

Ecoutez l'émission cliquez ici

14:57 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 24 juillet 2018

La France au travail ?

Le billet de Patrick Parment

Industrie_site_0.jpg

Une récente étude de BpîFrance (Banque publique d’investissement) montre que 41% des entreprises françaises de moins de 250 salariés rencontrent d’importantes difficultés de recrutement. Et cela est particulièrement vrai pour les secteurs de la réparation automobile, de la fabrication de biens intermédiaires et des transports. Cri d’alarme du président de la Capeb (Confédération de l’artisanat et des petites entreprises du bâtiment), « on ne trouve plus personne pour aller travailler ». Et ce malgré un taux de chômage élevé. Pôle emploi estime ce déficit dans une fourchette de 220 000 à 330 000 emplois non pourvus. À titre d’exemple, trois métiers sont déclarés quasi sinistrés : les couvreurs et plombiers-zingueurs, les chaudronniers et les carrossiers automobile. On notera que le salaire n’est pas en cause car ces métiers, comme bien d’autres d’ailleurs, sont plutôt bien rémunérés, largement au-delà du Smic.

Comme le souligne Patrick Liebus, patron de la Capeb, « on a plus de 3,5 millions de chômeurs dans ce pays et on n’arrive pas à pourvoir ces postes ». Il y a plusieurs raisons à cela. On peut citer l’Education nationale évidemment qui peine à revaloriser les filières professionnelles mais, plus vrai encore, qui a bradé un baccalauréat qui génère au final plus de chômeurs que de diplômés. Mais elle n’est pas la seule en cause. Il y a ce climat délétère dans lequel la gauche comme la droite réunies nous font baigner depuis des décennies qui amène les jeunes à imaginer un avenir en forme de « Stars Académy » plutôt que d’aller au charbon comme nos pères qui ont forgé ce pays à force de sueur et de sang.  Le paradoxe ne manque pas de sel quand on sait que c’est la gauche qui a dévalorisé le travail et encensé l’actionnaire boursier. Merci monsieur Fabius.

Mais surtout, cela met à mal cette idée issue du pur gauchisme socialisant que face à une population française vieillissante, l’immigration extra-européenne était une chance pour la France. La démonstration se fait de jour en jour que l’immigration loin d’être une chance pèse, entre autres, d’un poids majeur sur nos finances publiques notamment en matière d’allocations, d’aides diverses et variées et surtout d’insécurité. On ne manquera pas non plus de remercier le Medef, ce patronat avide de travailleurs bons marché et principal pousse au crime dans cette affaire. Car, il s’agit bien de ces 10 millions d’individus issus du Maghreb, d’Afrique subsaharienne ou du sous-continent indien dont on parle et qui handicapent ce pays au détriment des vrais travailleurs - et pour combien de temps encore ? - Gaulois. Entendez par là tous les dolichocéphales qui vont de Brest à l’Oural, de Gibraltar à Narvik !

Allez, bonnes vacances quand même. Profitez-en, les "emmerdes" reprennent en septembre.

10:59 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le crétin du jour :

37661423_10209536630812995_6711700386496905216_n.jpg

09:33 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Parution du Cahier d'Histoire du nationalisme sur Oswald Mosley : UN ENTRETIEN AVEC RÉMI TREMBLAY, SON AUTEUR, SUR EUROLIBERTÉS

CHN 14 COUV.jpg

Source EuroLibertés cliquez ici

« Bien qu’il fût un homme d’action, Oswald Mosley fut aussi un homme de réflexion et beaucoup de ses idées restent d’une actualité brûlante. Au niveau économique, sa critique du libre-échangisme et de la mondialisation semble aujourd’hui quasi prophétique »

En quoi Mosley reste-t-il pertinent en 2018 ?

Outre le fait que, comme le pensait François Duprat, nous nous devons de connaître l’histoire du nationalisme, de ses échecs et réussites, pour pouvoir apprendre des erreurs et succès passés, l’étude de Mosley et de ses politiques est extrêmement importante.

Tout d’abord, bien qu’il fût un homme d’action, il fut aussi un homme de réflexion et beaucoup de ses idées restent d’une actualité brûlante. Au niveau économique, sa critique du libre-échangisme et de la mondialisation semble aujourd’hui quasi prophétique. Mais il n’a pas fait que prévoir les problèmes qui allaient surgir, il a offert des pistes de sortie et ceux qui s’opposent au mondialisme y verront des solutions concrètes pour se sortir de l’impasse actuelle. On peut facilement imaginer que, s’il n’avait pas revêtu la chemise noire avant la guerre, il serait devenu l’un des penseurs les plus influents en matière d’économie, à l’instar de son ami John Maynard Keynes.

Au niveau géopolitique aussi, particulièrement dans les dernières décennies de sa vie, il se démarqua en mettant en avant une Europe unie dans un monde multipolaire. En ce sens, il précède l’eurasiste Alexandre Douguine, et contrairement à des penseurs comme Jean Thiriart, il ne sombra pas dans la vision d’une Europe jacobine qui aurait nié les identités régionales ou même nationales. Avec l’échec de l’Europe de Bruxelles, l’alternative qu’il présente reste tout à fait pertinente.

Contrairement à ce que l’on entend parfois, Mosley était loin d’être un marginal…

Tout à fait ! Mosley était un aristocrate fort apprécié de la haute société et il se maria d’abord avec Cynthia Curzon, dont le père Lord Curzon était un homme important, ayant notamment été vice-roi des Indes. Lors du mariage, nombre d’aristocrates furent présents, y compris le couple royal belge. Dans ses premières années en politique, il était une véritable vedette de par son éloquence, sa rigueur et l’originalité de sa pensée. Tant au Parti conservateur que plus tard au Parti travailliste, il était pressenti pour un jour gouverner le Royaume-Uni. Mais, il préféra défendre ses convictions, plutôt que de se compromettre, risquant et sacrifiant sa carrière politicienne qui, aux dires de tous les historiens sérieux, l’aurait mené à de grandes responsabilités.

Il faut ajouter que même lorsqu’il quitta les partis dits respectables pour fonder la British Union of Fascists, il continua à jouir du respect d’une partie de la haute société britannique et d’une partie de l’intelligentsia.

On connaît le Mosley de l’avant-guerre, mais qu’en est-il du Mosley de l’après-guerre ?

C’est bien là un des drames de la vie de Mosley qui considérait que la période de l’après-guerre fut sa période la plus féconde et aussi, faut-il le mentionner, la plus longue. Après la guerre, durant laquelle il put lire et étudier à cause de son internement, il développa l’idée d’une « Nation Europe » basée sur un socialisme européen qui n’a rien à voir avec celui promu par les Soviétiques ou même les Travaillistes. Il développa aussi une critique constructive de l’œuvre nietzschéenne, jetant les bases d’une pensée européenne, inspirée autant par Goethe que par les philosophes grecs, dans laquelle la volonté d’accomplir devient l’ambition ultime de l’homme.

Dans le domaine plus concret et terre à terre, il fut également l’un des premiers politiciens à proposer la remigration et à entrevoir les défis démographiques et sociaux liés à une immigration de masse qui ne faisait à l’époque que débuter.

Rémi Tremblay, directeur du magazine québécois Le Harfang, cliquez ici, est aussi l'auteur d'un autre Cahier d'Histoire du nationalisme consacré à Adrien Arcand cliquez là

Acheter ce livre en ligne cliquez là

Bulletin de commande

09:01 Publié dans Les Cahiers d'Histoire du Nationalisme, Livres, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 23 juillet 2018

À l’écoute du peuple, pas des médias

vote-ligne-droite.jpg

Ligne Droite cliquez ici

La droite de gouvernement a perdu la confiance de son électorat car elle s’est soumise à la dictature politiquement correcte de la médiacratie. Une médiacratie coupée du peuple qui n’informe plus mais qui sert le Système. La droite nouvelle ne doit donc pas tomber dans cette erreur et Ligne droite estime en conséquence qu’il lui faut ignorer les injonctions journalistiques et dénoncer le rôle malsain des médias pour se mettre à l’écoute des Français et s’appuyer sur le peuple.

Les médias ne servent pas l’information mais le Système

Les médias mainstream ne sont en effet pas neutres politiquement, ils assurent la promotion et la défense de la pensée unique au service du Système qui dirige notre pays. Ils ne cherchent donc pas à informer objectivement les Français car ils font campagne en permanence pour les idées de l’oligarchie, le libre-échangisme, l’européisme, l’immigrationnisme, le féminisme et d’une façon générale tous les crédos politiquement corrects.

Ils agissent en ce sens avec d’autant plus d’efficacité qu’ils ont acquis un pouvoir considérable qui leur permet de dominer l’exécutif et le législatif. Ils font et défont les réputations politiques. L’adoubement médiatique précède désormais l’adoubement électoral, comme on l’a vu avec l’incroyable promotion médiatique dont a bénéficié le candidat Macron.

À l’inverse, ils censurent, déstabilisent et diabolisent les opposants au Système. Les journalistes de la médiacratie sont impitoyables à l’égard des dissidents, alors qu’ils se montrent toujours bienveillants vis-à-vis des représentants du Système.

La médiacratie n’est pas l’expression du peuple mais de la Nouvelle Gauche

Ce faisant, les médias sont totalement coupés du peuple et ne sont nullement représentatifs de ce qu’il est. De nombreux sondages prouvent en effet que l’écrasante majorité de la classe journalistique revendique son appartenance à la gauche et cela dans presque tous les pays occidentaux. Pour cette raison, les médias mainstream prennent partout des positions contraires à l’opinion de la majorité de la population. Ils ne reflètent plus en effet les attentes de leur public, mais seulement celles de leurs commanditaires, à savoir les sociétés qui les possèdent ou qui leur achètent des espaces publicitaires et qui constituent le cœur financier du Système au pouvoir.

Mais, dès lors que les médias sont déconnectés de la population, les politiques ont un choix important à effectuer. S’ils sont en osmose avec le peuple, leurs positions seront nécessairement jugées non conformes par les médias et rejetées par eux. Si, en revanche, ils recherchent l’appui de la classe journalistique, ils seront mécaniquement amenés à prendre des positions qui les éloigneront de la majorité des Français. Obtenir l’approbation médiatique revient pour cette raison à accepter de se soumettre au politiquement correct et donc à consentir à sa propre normalisation. Telle est d’ailleurs la voie empruntée par la droite dite républicaine et qui lui a été fatale.

Ignorer et dénoncer les injonctions de la médiacratie

Aussi la droite nouvelle doit-elle faire le choix inverse et comprendre que la médiacratie, qui appartient au Système et soutient la Nouvelle Gauche, constitue pour elle un adversaire politique redoutable. Elle ne doit donc pas, comme le fait la droite de gouvernement, courtiser la médiacratie pour tenter d’obtenir son approbation et son soutien. Ligne droite estime qu’elle doit au contraire adopter un positionnement diamétralement opposé : être à l’écoute des Français et non des médias.

Mais la droite nouvelle ne doit pas seulement refuser de se soumettre au lobby journalistique, elle doit aussi le mettre en cause et expliquer aux Français le rôle néfaste qui est le sien. Elle doit montrer le pouvoir illégitime mais considérable dont il dispose et l’usage partisan qu’il en fait.

Elle ne doit par ailleurs pas se priver d’encourager l’émergence de nouveaux moyens d’information et de communication à travers l’Internet et les réseaux sociaux. Il faut en effet introduire la concurrence si l’on veut briser le monopole de la médiacratie et rétablir un peu de liberté dans le monde de l’information. Le général De Gaulle disait que « la politique de la France ne se fait pas à la corbeille ». De même, pour Ligne droite, la politique de la France ne doit pas se faire dans les salles de rédaction !

Écouter notre peuple et s’appuyer sur lui

Les peuples doivent ainsi reprendre le pouvoir sur les castes oligarchiques. Il en va de l’avenir de la France et de l’Europe car, aujourd’hui les peuples européens sont beaucoup moins décadents et beaucoup plus lucides que les élites dirigeantes. Toutes les études montrent en effet que l’opinion majoritaire en France comme ailleurs en Europe adopte des positions à rebours du politiquement correct.

Aussi la droite nouvelle doit-elle clairement s’appuyer sur le peuple, non seulement parce que c’est l’esprit même de la démocratie et que seul le peuple peut la porter au pouvoir, mais aussi et surtout parce que les convictions qu’elle incarne répondent pleinement aux aspirations des Français. La droite nouvelle doit donc être populaire, non de façon démagogique mais en incarnant pleinement la volonté de notre peuple de rester lui-même et de se projeter dans l’histoire.

C’est en misant sur le peuple que la droite nouvelle pourra par ailleurs rétablir la primauté du politique. Ainsi, par exemple, pour mettre fin au « gouvernement des juges » faut-il faire du peuple le seul juge constitutionnel en dernier ressort. C’est pourquoi aussi, la droite nouvelle veut lui rendre la parole en restaurant le recours au référendum, un instrument que l’oligarchie a voulu faire tomber en désuétude car il menaçait son totalitarisme.

Pour Ligne droite, il est temps de mettre en cause la domination partisane de la médiacratie sur la vie politique. Aussi la droite nouvelle doit-elle se positionner clairement du côté du peuple, contre le pouvoir médiatique.

18:58 Publié dans Ligne Droite, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |