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samedi, 09 mars 2019

Journal du chaos

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vendredi, 08 mars 2019

Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

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En fin d'émission, Jean-Marie Le Pen commente fort aimablement notre numéro hors série consacré aux Gilets jaunes.

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16:55 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L'émission "Synthèse" de jeudi avec Philippe de Parseval sur la Légion étrangère

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Ecoutez

l'émission

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16:45 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Pierre Vial et Terre et peuple apportent leurs soutiens à la campagne contre la dissolution du Bastion social

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La campagne lancée depuis deux jours par Synthèse nationale reçoit de nombreux soutiens. Ainsi, jeudi, Terre et peuple a appelé ses adhérents et amis à signer la pétition nationale cliquez ici 

Face à la volonté liberticide du gouvernement à l'encontre des forces nationalistes et identitaires, il faut faire bloc. Terre et peuple et Pierre Vial le savent. C'est pour cela que nous menons ensemble ce combat.

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Signez la pétition nationale contre la dissolution du Bastion social cliquez ici

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00:19 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Fractures en Jaune et Vert

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Georges Feltin-Tracol

Le partage du pouvoir entre le Mouvement 5 Étoiles (M5S) et la Ligue n’est pas de tout repos. Malgré l’approbation d’un contrat de gouvernement tant par les « Verts » lighistes que par les « Jaune » grillinistes, de nombreuses crispations autour de sujets souvent cruciaux pour l’avenir de l’Italie parcourent l’équipe ministérielle de Paolo Conte.

La déflagration aurait pu provenir du Diciotti, ce navire qui ne fit pas débarquer des étrangers clandestins sur l’injonction du ministre de l’Intérieur Matteo Salvini. Le parquet d’Agrigente lança aussitôt une information judiciaire contre le ministre et son chef de cabinet pour « abus de pouvoir et séquestration ». L’enquête requiert la levée de l’immunité parlementaire de Matteo Salvini par le Sénat. La perspective de ce vote plonge les sénateurs du M5S et, plus généralement, les militants dans une grande perplexité. En effet, le M5S combat la corruption politique, dénonce l’emprise de la Mafia et soutient les magistrats. Ses règles sont claires : l’inculpation de tout élu du M5S entraîne sa démission immédiate. Or Matteo Salvini a pris cette décision régalienne en concertation avec le président du Conseil et l’autre vice-président du gouvernement, le chef politique du grillinisme, Luigi Di Maio. Ses membres viennent de trancher par référendum électronique sur la plateforme Rousseau. 59 % rejettent la levée de l’immunité de Salvini. Dans la logique de démocratie impérative propre au M5S, ses sénateurs doivent s’y conformer, sinon ce sera une crise gouvernementale majeure.

Un autre motif de tension entre partenaires gouvernementaux concerne la ligne à grande vitesse Lyon – Turin (ou TAV) et, plus généralement, la politique de relance de grands travaux d’infrastructures de circulation. Hostile à ces projets propices aux fausses factures et aux rétrocommissions, et au nom d’une vision écologique décroissante, le M5S s’oppose dès l’origine avec l’ultra-gauche à un Lyon – Turin indispensable pour l’essor économique de l’Italie du Nord riche en PME, base électorale de la Lega. Un abandon du TAV mécontenterait l’aile libérale, pro-européenne et régionaliste de la Ligue qui n’apprécie guère l’alliance avec les Cinq Étoiles du Sudiste Di Maio. Celui-ci serait-il cependant prêt à renoncer à un point phare de son programme après la transformation du « revenu de citoyenneté » promis en un RSA à la sauce transalpine ?

Le dernier gros contentieux se rapporte à la diplomatie. Sous la triple attraction de Viktor Orban, de Donald Trump et de Steve Bannon, la Lega a pris des positions eurosceptiques, néo-atlantistes et pro-sionistes. Elle considère le Hamas palestinien et le Hezbollah libanais comme des formations terroristes, exige le désarmement nucléaire unilatéral de l’Iran et conteste la légitimité du président vénézuélien Nicolas Maduro. Pour le M5S, Nicolas Maduro demeure le président légitime; le Hamas et le Hezbollah sont des mouvements combattants; l’Iran est la victime de l’hégémonie belliqueuse de la Maison Blanche. Cette pondération diplomatique s’explique par l’influence toujours forte de son fondateur, le comique Beppe Grillo, dont la seconde épouse est d’origine iranienne.

Ces frictions fragilisent l’actuelle coalition. Les récentes élections régionales dans les Abruzzes donnent l’avantage à la Ligue qui récolte maintenant trente années de militantisme sur le terrain tandis que le M5S ne dispose que d’un très faible maillage territorial militant. Il est dorénavant évident que les élections européennes de mai prochain établiront de nouveaux rapports de forces internes. Les grillinistes, élus, militants et sympathisants, seraient-ils prêts à rompre avec la Ligue au risque de déclencher de nouvelles élections législatives et la reconstitution autour de la personne de Salvini d’une union de toutes les droites ? Suivons donc avec attention tout ce qui va se passer dans les prochains mois au-delà des Alpes.

Bonjour chez vous !

• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°114, mise en ligne sur TV Libertés, le 25 février 2019.

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L'hommage de Richard Roudier à Guillaume Faye

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Guillaume Faye à Béziers en 1983

entouré de Maryvonne Roudier et Raymond Morell

Richard Roudier, Président de la Ligue du Midi

Triste nouvelle que d’apprendre le départ d’un homme qui aura tant fait pour la cause, pour notre cause, pour la grandeur de cette Europe que nous chérissons, au point d’y laisser la peau…

Car Guillaume était un être entier qui aura mis sa substance vitale au service de son idéal ! Je plains les personnes qui ne l’auront pas connu car il ne leur restera qu’une seule facette du personnage que la lecture de ses ouvrages leur permettra d’appréhender. Car oui, Guillaume était un génie et il aura laissé une œuvre qui aura marqué une génération.

Le Système à tuer les peuples, l’Archéofuturisme, la Colonisation de l’Europe -et demain, sort « Guerre civile raciale » -… Ces lecteurs n’auront que la version de Guillaume en 2D et il leur manquera éternellement le contact avec l’homme. Car Guillaume était un penseur, mais loin de l’image de l’intellectuel éthéré, il était une véritable torche. Il embrasait son auditoire et touchait au cœur par son inspiration magnétique. Son charisme a marqué tous ceux qui l’ont côtoyé.

Je me souviens de ce débat organisé en novembre 1983 à Béziers où, en pleine possession de ses facultés, il avait présenté sa vision futuriste d’un Empire Européen face aux démons de la société de consommation américaine. Il est vrai que l’Europe était loin de la colonisation qu’elle subit actuellement. Aussi, c’est un tout autre discours qu’il avait tenu voici dix ans lorsque nous l’avions reçu à Lunel.

Guillaume, rejoins donc la place qui te revient au panthéon des Maîtres aux côtés de Jean, Maurice, Dominique et les autres !

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jeudi, 07 mars 2019

SIGNEZ LA PÉTITION CONTRE LA MENACE DE DISSOLUTION DU BASTION SOCIAL

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SIGNER LA PÉTITION CLIQUEZ ICI

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14:52 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La mort de Guillaume Faye

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Guillaume en Bretagne en 2013

Un très beau témoignage de Tristan Mordrel :

C’est un signe inexorable de vieillissement que de voir ses amis, ou ceux qui le furent, passer de vie à trépas. Un avis de décès est aussi l’opportunité de faire un retour en arrière et de regarder avec lucidité le chemin parcouru.

J’ai rencontré Guillaume pour la première fois en 1977 quand mes pas m’ont conduit à franchir pour la première fois les bureaux du GRECE. A partir de ce jour, nous chemins n’ont cessé de se croiser et nous avons collaboré ensemble durant sept ans aux activités d’animation de cette association.

Présidé par la figure du commandeur de Pierre Vial, géré par le très efficace Philippe Milliau, le GRECE était alors une machine de guerre redoutable à laquelle Guillaume apportait des munitions en grand nombre que nous, soldats de l’agit-prop culturelle, utilisions à profusion.

A la tête du Secrétariat études et recherches, Guillaume se révélait d’une fécondité rare, multipliant des textes comme la première mouture du « Pourquoi nous combattons » qui reste à mes yeux comme un des meilleurs manifestes de que je suis et de ce que nous sommes.

Intellectuel engagé, Guillaume se voulait aussi un militant et il a toujours mené de front ces deux activités, ce qui le rendait très populaire auprès des adhérents du GRECE et de tous les jeunes gens qu’il rencontrait.

Les meilleures choses ont une fin et vers 1985, le secrétaire général Jean-Claude Cariou et moi-même avons été conduits à quitter le GRECE en raisons de divergences pour des raisons de fonctionnement interne et non de fond. Guillaume est resté quelque temps au sein de l’association mais la belle mécanique était cassée et il a choisi de s’en éloigner et d’entreprendre un chemin baroque qui l’a conduit à brûler la chandelle par les deux bouts.

J’ai fait un choix inverse en considérant que les raisons de mon départ étaient secondaires par rapport à mon engagement. Après une brève traversée du désert, j’ai progressivement retrouvé mes amis et le combat continue à ce jour.

La dernière partie de la vie de Guillaume fut un calvaire pour lui et un martyre pour ses amis. Capable de fulgurances éblouissantes, elles s’ensevelissaient sous la fange d’un homme miné par l’alcool et les excès. J’ai encore en mémoire des moments particulièrement pénibles où il fallait le maîtriser pour éviter des gestes déplacés ou encore des appels téléphoniques en pleine nuit où je devenais la cible de délires meurtriers.

Heureusement, je suis convaincu que l’histoire des idées sera plus clémente pour lui et saura reconnaître le créateur et l’iconoclaste qu’il fut et qu’elle oubliera le clown triste qu’il fut trop longtemps.

14:09 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

C'était Guillaume Faye sur TV Libertés l'an passé

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14:04 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Guillaume Faye est décédé

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Nous venons d'apprendre le décès cette nuit suite à une longue maladie de l'écrivain Guillaume Faye. Nous reviendrons sur cette triste nouvelle rapidement. Que l'on soit d'accord ou pas avec lui, le personnage ne laissait pas indifférent.

Quelques réactions :

La réaction de Jean-François Touzé, délégué national aux études et argumentaires du PdF et rédacteur en chef de Confrontation : "Notre camarade et ami Guillaume Faye est mort. Notre camp perd une intelligence supérieure et l'Europe un grand combattant. Et nous, l'un des nôtres".

Et celle de Christian Bouchet (éditions Ars Magna) : "J'apprends à l'instant le décès de Guillaume Faye la nuit passée. Dans sa première période je l'ai beaucoup admiré et il m'a beaucoup influencé. Dans sa seconde je l'ai combattu et méprisé. A mes yeux, il est de ces homme dont on peut dire : "Il a fait trop de bien pour que j'en dise du mal, il a fait trop de mal pour que j'en dise du bien."

Quoiqu'il en soit, qu'il repose en Paix.

11:05 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

JEAN-MARIE LE PEN SOUTIENT L'APPEL LANCÉ CONTRE LA DISSOLUTION DU BASTION SOCIAL

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Depuis mardi dernier, jour de la mise en ligne de l'appel lancé par Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, et vingt cinq autres personnalités de la mouvance nationale et identitaire, contre la menace émise par le Président de la République lors du dîner du CRIF de dissoudre le Bastion social, les messages de soutien nous arrivent en grand nombre.

Ainsi, mercredi après-midi, nous avons reçu celui de Jean-Marie Le Pen, personnalité primordiale du combat national de ces 60 dernières années. Ce soutien représente pour notre démarche un magnifique encouragement.

Ce combat est, nous semble-t-il, indispensable car si aujourd’hui le Système veut dissoudre le Bastion social, demain il s’en prendra à d’autres et lorsqu’il n’y aura plus personne, il sera trop tard pour réagir...

Une seconde liste de quinze responsables politiques, associatifs, culturels et d'écrivains signataires est donc présentée aujourd'hui :

Yves Baeckeroot, écrivain

Jean-Pierre Blanchard, pasteur

Paule Bouvard, secrétaire départementale des CCP du Gard

Lucien Cerise, écrivain, chercheur en sciences sociales

Jacques Chassaing, collaborateur au site Riposte laïque

Roland Curtet, responsable du MNR

Jean-Pierre Demol, secrétaire de Nation (Belgique)

Claudine Dupont-Tingaud, présidente du club quimpérois Agir et réagir

Jean-Marie Le Pen, député européen, président d'honneur du Front national

James Porazzo, éditeur (New-York)

Arnaud Raffard de Brienne, essayiste

Olivier Roudier, porte-parole Ligue du Midi

Lorrain de Saint Affrique, secrétaire général des Comités Jeanne

Luc Sommeyre, blog Minurne

Marc Vidal, libraire

Vous pouvez signer en cliquant ici ou en nous envoyant un message avec la mention "Je soutiens l'appel contre la dissolution du Bastion social" avec vos coordonnées et précisant vos responsabilités à roland.helie@sfr.fr

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RAPPEL : dimanche 17 mars, venez nombreux participer aux Assises de la France des Gilets jaunes à Rungis

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Venez nous retrouver sur

le stand de Synthèse nationale

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mercredi, 06 mars 2019

JEUDI 7 MARS, SUR RADIO LIBERTÉS : ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR LA LÉGION ÉTRANGÈRE AVEC PHILIPPE DE PARSEVAL

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LES PRÉCÉDENTES ÉMISSIONS CLIQUEZ ICI

08:56 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 6 avril 20 h : 3e DINER ANNUEL DE SYNTHÈSE NATIONALE AVEC COMME INVITÉ MARTIAL BILD, DIRECTEUR GÉNÉRAL DE TV LIBERTÉS

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LA VÉRITÉ N’EST PAS NÉGOCIABLE...

Pour la troisième année consécutive, les Amis franciliens de Synthèse nationale, présidés par Hugues Bouchu, organisent leur dîner annuel en ce début de printemps. Après Massimo Magliaro, pour les 70 ans du MSI en 2017, et Jean-Marie Le Pen l’an dernier à l’occasion de la sortie du premier tome de ses mémoires, nous aurons le plaisir de recevoir le samedi 6 avril prochain Martial Bild, Directeur général de TV Libertés.

En effet, cinq ans après le lancement de cette magnifique arme de combat qu’est TVL, il nous a semblé intéressant de donner la parole à son directeur. Ce media était inimaginable il y a encore peu de temps. Il incarne désormais, sur le plan télévisuel, la résistance quotidienne aux tenants de la pensée dominante. Preuve en est : depuis le début du soulèvement populaire des « Gilets jaunes », TV Libertés donne une toute autre interprétation que celle de la presse stipendiée aux ordres du Système. Pour TVL, comme pour nous, au moment où Macron veut nous imposer encore plus de lois liberticides, la vérité n’est pas négociable...

D’ailleurs, dans cet esprit, depuis deux ans, un partenariat entre Synthèse nationale et TV Libertés a donné naissance à l’émission politique et culturelle hebdomadaire « Synthèse » sur Radio Libertés (la web-radio liée à TVL). La 100émission vient d’être diffusée fin février.

Les dîners annuels des Amis franciliens de Synthèse nationale sont devenus le pendant printanier de nos Journées nationales et identitaires du mois d’octobre. Elles sont l’occasion pour nos lecteurs et amis de se retrouver, de s’informer et de soutenir la cause qui leur est chère.

Pour nous, elles sont aussi un véritable encouragement à continuer et intensifier notre combat. Voilà pourquoi nous vous donnons rendez-vous nombreux, le samedi 6 avril à 20 heures, à ce troisième dîner annuel des Amis franciliens de Synthèse nationale*.  

Roland Hélie,

Directeur de Synthèse nationale

* ce dîner est ouvert aux Amis franciliens et d’ailleurs bien entendu...

RETENEZ DÈS MAINTENANT

VOTRE PLACE CLIQUEZ ICI

BULLETIN DE RÉSERVATION CLIQUEZ LÀ

08:56 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Face à la menace présidentielle de dissolution du Bastion social : UNE RIPOSTE NATIONALE UNITAIRE S'IMPOSE !

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Emmanuel Macron a annoncé dernièrement, lors du dîner du Crif, son intention de dissoudre le Bastion social. En s’attaquant à ce mouvement, il s’attaque à toute notre famille d’idée. Nous ne pouvons pas rester sans réagir.

Synthèse nationale prend donc l’initiative de lancer un appel pour que le Président revienne sur cette décision. Pour que cet appel soit entendu, il faut qu’il soit signé par le plus grand nombre possible de responsables politiques et associatifs, d’intellectuels, d’élus et de personnalités de la mouvance nationale.

Voilà pourquoi je vous propose de soutenir cet appel. Si vous êtes d’accord, il vous suffit de nous le confirmer en cliquant et en signant ici ou en écrivant à mon adresse : roland.helie@sfr.fr 

N’hésitez pas non plus à le diffuser autour de vous.

Persuadé que vous serez nombreux à faire savoir votre détermination à vous opposer à cette décision liberticide.

Roland Hélie

Directeur de Synthèse nationale

 

Le texte de l'appel :

 

 NON À LA DISSOLUTION DU BASTION SOCIAL

UN APPEL AU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE

 

Le 16 février, un militant islamiste insulte l'écrivain Alain Finkielkraut. Le 20 février, au dîner du Crif, Emmanuel Macron annonce aux présents qu'il va, en conséquence, dissoudre le Bastion social, une organisation, habituellement considérée comme nationaliste révolutionnaire, qui consacre la majeure partie de ses activités à la défense de la culture européenne et à l'aide des SDF français.

On pourrait sourire de l'inconséquence de la décision du Président de la République française si elle n'était pas, en même temps, injuste, partisane et gravement attentatoire aux libertés démocratiques essentielles.

- Injuste, car aucun juriste sensé ne peut trouver dans les activités du Bastion social (ouverture de lieux communautaires, maraudes de soutien aux SDF, nettoyages de parcs, etc.) l'ombre du commencement d'une preuve que ce mouvement prône la violence et l'antisémitisme.

- Partisane, car on ne peut que remarquer qu'alors qu'on veut faire dissoudre le Bastion social pour des faits et des idées qu'il ne prône pas, les groupuscules zadistes et antifas qui de manière récurrente s'en prennent aux forces de l'ordre et aux biens tant publics que privés avec une violence qu'ils revendiquent sans honte ne sont sous le coup d'aucune menace de dissolution.

- Gravement attentatoire aux libertés démocratiques essentielles car elle remet en cause le droit a s'associer, ainsi que celui à exprimer leurs idées, de ceux qui ont le tort de professer des pensées et des comportement dissidents.

Les signataires, qui ne partagent pas forcément les idées du Bastion social sur de nombreux points, s'inquiètent de ce lynchage démocratique d'une association qui n'a comme réel tort que d'aimer son peuple et sa patrie et demandent au Président de la République de revenir sur ses intentions (1).

(1) - A la date de la rédaction de ce texte le Bastion social n'a pas encore été dissout.

Liste des 25 premiers signataires de cet appel :

Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale

Francis Bergeron, directeur de Présent

Caroline-Christa Bernard, artiste

Christian Bouchet, enseignant, éditeur (Ars Magna)

Hugues Bouchu, les Amis franciliens de SN

Les Brigandes, groupe musical non-conformiste

Pierre Cassen, Président fondateur de Riposte laïque

François de Chassey, écrivain

Georges Feltin-Tracol, éditorialiste de Réfléchir et agir

Jean-Eudes Gannat, porte-parole de Alvarium

Nicolas Gauthier, journaliste

Patrick Gofman, essayiste

Hubert de Mesmay, ancien conseiller régional PACA

Thomas Joly, secrétaire général du Parti de la France

Patrick Junca, ancien responsable identitaire

Pieter Kerstens, chef d'entreprise

Christophe Lespagnon (Dr Merlin), artiste

Juan  Antonio Llopart, édition Fides (Barcelonne)

Claudio Mutti, directeur d’Eurasia, éditeur (Parme, Italie)

Philippe Randa, écrivain, éditeur, directeur d’Eurolibertés

Richard Roudier, Président de la Ligue du Midi

Marc Rousset, chef d'entreprise, chroniqueur économique

Christine Tasin, Présidente de Résistance républicaine

Rémi Tremblay, directeur du Harfang (Canada)

Marie-Jeanne Vincent, déléguée du PdF du Calaisis

 

Pour imprimer et diffuser cet appel cliquez ici 

Pour signer cette pétition en ligne cliquez là

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lundi, 04 mars 2019

En souvenir de Janpier Dutrieux

41p7VeKumLL._SX369_BO1,204,203,200_.jpgGeorges Feltin-Tracol

Le 18 février dernier disparaissait d’une très longue maladie Janpier Dutrieux né en 1952. Ses obsèques se déroulaient quatre jours plus tard à l’église Saint-Denis d’Athis-Mons. C’est un non-conformiste du début du XXIe siècle qui nous quitte à l’heure où les « Gilets Jaunes » révèlent un puissant et réel mécontentement social. Ils devraient lire les très nombreux textes de Janpier Dutrieux comme ils devraient parler des travaux d’Ivan Blot lui-même décédé en octobre 2018 sur le « référendum d’initiative citoyenne » pour pouvoir ensuite en discuter sur de coûteux ronds-points payés par les contribuables. Janpier Dutrieux était en effet l’un des très rares penseurs anti-conformistes français à maîtriser avec brio, pédagogie et pertinence l’économie politique, les implications sociales et leurs dimensions monétaires et financières.

À la fin du XXe siècle et au début du XXIe, il avait commencé à se faire connaître avec Fragments Diffusion, la « Lettre associative bimestrielle d’Alternative personnaliste ». Cet ancien élève à l’Institut régionale d’administration de Lille et cadre supérieur à la Poste affichait un véritable personnalisme comme il ne cachait pas son fédéralisme intégral ainsi que son créditisme social en référence au Britannique Clifford Hugh Douglas. Ce contributeur épisodique à L’Unité Normande s’inspirait aussi d’Alexandre Marc, d’Arnaud Dandieu et de Robert Aron. Il tenait un site Prospérité et Partage, titre général éponyme d’une série d’ouvrages parue en 2015 et 2016. Étienne Chouard a déclaré en 2012 que « le site de Janpier Dutrieux — Prospérité et partage — est un des meilleurs sites que je connaisse sur la monnaie et sur la justice sociale que l’on peut attendre d’un bon système monétaire. À connaître et à étudier soigneusement ». En 2016, les Éditions de la Délivrance ont publié un belopuscule, L’Argent. Connaissance de la doctrine sociale de l’Église.

Janpier Dutrieux ne cantonnait pas son catholicisme à la seule « sphère privée ». Il travaillait en faveur de la Cité chrétienne. Il milita plusieurs années aux côtés de Benjamin Guillemaind (décédé en 2012) dans l’Alliance sociale des peuples et des pays de France. Tout en se distinguant du néo-corporatisme promu le fondateur et patron du « Libre-Journal des Artisans » à Radio Courtoisie, il a proposé des interprétations novatrices et actualisées de la riche pensée proudhonienne. Favorable au MSG (Minimum social garanti) cher à L’Ordre Nouveau et aux monnaies locales complémentaires, il a produit bien des analyses tangibles très « troisième voie » dans Pourquoi aurons-nous besoin de dividendes nationaux et comment le crédit social les financera (The BookEdition, 2016).

La grande Toile numérique foisonne de ses très nombreux articles qui constituent un solide corpussocio-économique anti-libéral et une franche opposition au bankstérisme anglo-saxon. En 1998, son essai, Les ouvriers de la onzième heure (Éditions des écrivains associés), ouvrait déjà bien des pistes économiques alternatives. Il estimait par ailleurs L’Esprit européen et avait accordé un entretien en 2002 dans lequel il rappelât que « la réflexion amorcée autour de l’économie créditrice suppose un dépassement des concepts matérialistes développés par les écoles libérales et dirigistes. Par exemple, il s’agit d’opposer aux notions de valeur d’échange, valeur rareté et valeur travail, chères aux marginalistes et aux marxistes, la notion de valeur d’usage qui sous-entend l’idée d’un bien commun, d’un corps intermédiaire usager. Occultés dès la Renaissance, la valeur d’usage est au fédéralisme ce que la valeur rareté est à l’individualisme libéral et la valeur travail au productivisme, les deux faces d’un même matérialisme. Par exemple, il s’agit de concevoir une monnaie interne non thésaurisable, ancrée dans la sphère de souveraineté qu’elle représente ».

À l’occasion d’un colloque organisé tout un samedi par l’Alliance sociale à la Faco (Faculté libre de Droit et d’Économie – Gestion) de Paris, son président, Alexis Arette, lança sur un ton mi-sérieux mi-badin que Janpier Dutrieux ferait un excellent ministre de l’Économie et des Finances dans le cadre d’un gouvernement de redressement nationale. Très juste ! Ce défenseur de la subsidiarité politique, sociale et économique prônait le Bien commun et les biens communs qui en découlent.

Considérant dans Les ouvriers de la onzième heure que « dans le cadre d’accords de libre échange, il est souhaitable que les principes de mutualité sociale puissent se développer. En effet, nous estimons que l’échange qu’il soit interne ou externe, n’a pas vocation à donner plus qu’il ne prend, mais doit permettre d’offrir aux deux parties contractantes plus qu’il ne demande. À cette fin, il doit être équilibré (p. 97) », il n’adhérait pas aux thèses décroissantes, de développement volontariste autocentré ou d’autarcie grande-continentale. Janpier Dutrieux soutenait au contraire une autretroisième voie. Cet esprit libre recherchait la concorde sociale et nationale. Son décès est une immense perte non seulement pour tous ses proches à qui la rédaction d’Europe Maxima présente ses plus sincères condoléances, mais aussi pour les théories économiques hétérodoxes. Les meilleurs sont bien souvent des éclaireurs; c’est la raison pour laquelle ils partent toujours les premiers.

NDLR SN : J'ai connu Janpier Dutrieux il y a une trentaine d'années. Il essayait alors de développer en France la doctrine créditiste venue du Canada. Je n'étais pas totalement en accord avec lui, mais c'était un militant sincère et actif. Il diffusait une pensée non conformiste au sein du Mouvement national. C'est en lisant ce texte que Georges lui a consacré que j'apprend sa disparition. Qu'il repose en paix. RH.

18:41 Publié dans Georges Feltin-Tracol, Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 02 mars 2019

DÈS MAINTENANT, VOUS POUVEZ COMMANDER LE PROCHAIN NUMÉRO (N°16) DES CAHIERS D'HISTOIRE DU NATIONALISME CONSACRÉ À CORNELIU ZELEA CODREANU

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LE COMMANDER EN LIGNE CLIQUEZ ICI

11:04 Publié dans Les Cahiers d'Histoire du Nationalisme | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Parmi les rendez-vous de mars :

Samedi 16 mars :

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Dimanche 17 mars :

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Samedi 30 mars :

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10:11 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les Gaulois réfractaires de la Dissidence française

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Communiqué de la Dissidence Française

« Gaulois réfractaires » : c’est ainsi qu’Emmanuel Macron qualifia, le 29 août 2018 et depuis l’étranger, ce peuple Français dont il est censé être le représentant. « Réfractaires au changement » ajoutait-il, pour enfoncer le clou et illustrer la rupture profonde entre le pays réel et le pays légal, entre la France laborieuse et enracinée, et la lobbycratie hors-sol et prédatrice dont il est le représentant le plus zélé.

« Gaulois réfractaires » :  moins de trois mois plus tard, c’est devenu le mot d’ordre de la formidable mobilisation des Gilets Jaunes, qui fit trembler ce gouvernement et fit vaciller ses certitudes.

Mais aujourd’hui, doublement victime de la répression policière et de la récupération de l’extrême-gauche qui cherche à rompre le lien qui l’unit aux Français, la mobilisation des Gilets Jaunes est dans une impasse.

Parce qu’il est urgent d’offrir une issue politique à cette révolte populaire, et parce que nous refusons de l’abandonner à l’extrême-gauche, la Dissidence Française lance aujourd’hui sa nouvelle campagne « Gaulois réfractaires et fiers ». Renouant avec son message originel et apportant des réponses concrètes aux enjeux soulevés par cette mobilisation, notre campagne se déploiera tant sur le terrain politique que sur le terrain militant.

Ainsi, dans les semaines qui viennent, nos militants seront mobilisés partout en France pour multiplier les actions, et proposer une alternative politique au mondialisme libéral et au gauchisme niveleur qui en est l’auxiliaire béat.

Pour la France et les Français d’abord !

La Dissidence française cliquez ici


 

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vendredi, 01 mars 2019

Les militants alsaciens du Bastion social qui occupaient une maison traditionnelle destinée à être abattue ont été délogés par la police

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Depuis quelques semaines la section alsacienne du Bastion social occupait pacifiquement une vieille maison traditionnelle près de Strasbourg afin de la transformer en centre d'hébergement pour les Français en difficultés. De là à voir un complot antisémite, pour la "justice macronniene" il n'y avait pas des kilomètres... 

Bref, cet après-midi les flics (équipés comme s'ils allaient débusquer des terroristes musulmans), ont expulsé les militants nationalistes et la maison va être livrée aux démolisseurs. Pour effacer l'affront à l'ultra libéralisme sans doute.

Mais il en faudra plus que cela pour décourager nos jeunes amis...

S.N.

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L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" DE JEUDI AVEC KAKOU ERNEST TIGORI

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CETTE ÉMISSION

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LA 100e ÉMISSION

"SYNTHÈSE"

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jeudi, 28 février 2019

CE SOIR, JEUDI 28 FÉVRIER, LA 100e ÉMISSION "SYNTHÈSE" : "L'AFRIQUE À DÉSINTOXIQUER" SUR RADIO LIBERTÉS

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mercredi, 27 février 2019

Le hors-série de Synthèse nationale remporte un énorme succès...

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ILS N’ONT PAS VOULU DE « L’ALGERIE FRANCAISE » EN 1962, LES FRANÇAIS SUBIRONT-ILS DANS UN FUTUR PROCHE, « LA FRANCE ALGERIENNE ? »

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Le Bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

Votre serviteur n’a pas le monopole de la formule, le médiatique islamologue Gilles Kepel l’a utilisée le mardi 19 février dans l’édition su journal du soir, sur C News. Elle est parlante…. Le  drame algérien, vieux de bientôt six décennies, est encore présent dans les mémoires de beaucoup de nos contemporains.

Ce que l’on appelait, pudiquement à l’époque, « les événements d’Afrique du Nord », englobaient aussi les questions marocaine et tunisienne. Le royaume chérifien et la régence de Tunis étant devenus des Etats totalement indépendants en 1956, restait pendante en AFN, la question algérienne. Sa gravité entraina la chute de la IVe République et l’arrivée au pourvoir en 1958 d’un De Gaulle qui, à Colombey les Deux Eglises, rongeait son frein depuis l’échec de son RPF au lendemain de la Libération.

L’affaire des barricades signait, en 1960, les premiers heurts entre Pieds Noirs et forces de l’ordre. Le putsch d’Alger en avril 1961 allait suivre, épisode clos par la sinistre signature le 19 mars 1962, des accords d’Evian. La tuerie de civils, rue d’Isly, le 26 du même mois, s’ajoutait aux déchirures entre la métropole et sa province méridionale. Un mouvement de résistance française, l’OAS, par ses attentats et son action psychologique auprès de la population, allait sérieusement déstabiliser les autorités. Toutes ces séquences tragiques ponctuaient notre histoire. Elles restent gravées d’une façon indélébile dans nos mémoires.

Le général De Gaulle a, certes, rendu d’éminents services au pays, mais il a surtout renié sa parole, commettant une forfaiture, trahissant sa fonction de garant de l’intégrité territoriale de la République. Même si, à terme, après un long et pacifique processus, l’Algérie aurait pu devenir un Etat séparé de la France, maintenant côte à côte toutes ses communautés.

Aux derniers moments des négociations avec le FLN, scandaleusement érigé en seul « interlocuteur valable », son fidèle et talentueux biographe de ministre, Alain Peyrefitte, avait écrit un ouvrage très documenté, « Faut-il partager l’Algérie ? », édité chez Plon. Dans ce livre, le futur académicien proposait divers scénarios pour un règlement raisonnable du conflit, permettant de garantir la permanence de la présence de la communauté européenne. En fait, le but principal de cette édition, était de faire pression sur le Front de Libération National, pour qu’il accepte les conditions, bien raisonnables d’ailleurs, des négociateurs français. Ce qui intéressait De Gaulle, ce n’était pas le sort du million d’Européens qui vivaient là-bas depuis des générations, ni celui des musulmans fidèles à la France et qui avaient pris les armes avec nous, mais la possibilité de continuer les expériences atomiques au Sahara et d’importer le pétrole et le gaz pour la découverte desquels notre pays avait bien « transpiré ». Avec, en prime pour le général, l’aura du libérateur, lui permettant, rêvait-il, de prendre la tête des pays du Tiers-monde dans une croisade réfutant la division de la planète entre les  deux blocs. En privé, il ne manquait pas dire que le différentiel démographique, aurait submergé la France, si l’Algérie était restée française, ironisant avec « Colombey les Deux Mosquées ». (Ce qui reste à prouver, car la présence de nos instituteurs, médecins et administrateurs, aurait eu sans aucun doute, une influence sur l’évolution des mœurs et des comportements sociétaux des Algériens).

L’intransigeance  des vainqueurs au drapeau vert et blanc fut telle que, massivement, dans des conditions parfois dramatiques, avec comme témoins nos soldats restant l’arme aux pieds sur ordres de chefs indignes, notamment à Oran, les civils durent fuir dans de scandaleuses conditions. Aucune ONG financée par un Soros ou pays n’étaient là pour les recueillir, à l’exception de l’Espagne qui fit un geste pour ramener vers Alicante ceux des Européens qui étaient, mais pas seulement, d’origine espagnole. On sait aussi que des dizaines de milliers d’Algériens, les harkis et leurs familles, qui avaient cru en la parole de la France, terminèrent leur vie dans d’atroces conditions. N’ayons pas la mémoire courte, mais   Exit« l’Algérie française », une belle et noble entreprise civilisationnelle qui s’est terminée en drame. Si je reviens sur cette histoire-là, à la fois sombre et glorieuse pour nos armes, - jamais le FLN ne fut en mesure de contrôler une parcelle de territoire pour y installer son GPRA -, c’est que l’histoire semble se répéter, bégayer, et nous promettre de nouvelles épreuves mais, cette fois, sur le sol métropolitain même. La cause est entendue, soyons clairs, il y a longtemps que les nostalgiques de « l’Algérie française » dont l’auteur de ces lignes, ont intégré le fait que ce pays est un pays étranger et indépendant. Alors, pourquoi s’en préoccuper ?

UNE NOUVELLE BOMBE QUI CHAUFFE A DEUX HEURES D’AVION DE PARIS

J’ai déjà eu l’occasion, ici même, d’attirer l’attention du lecteur, sur la tragi-comédie de la candidature du sieur Bouteflika à la présidence de la République algérienne, pour un cinquième mandat. L’homme, âgé de 82 ans, est malade, gravement atteint par un AVC pour lequel il fut soigné au Val de Grâce, à Paris, et qui l’amène à aller passer de nouveaux examens en Suisse.

Son image d’homme d’Etat est illisible, il ne se déplace plus qu’en fauteuil roulant qu’il ne peut mouvoir lui-même. Quelle image donne-t-il ainsi de son pays, à l’étranger ? Personne n’est dupe. Qui commande réellement  à Alger ? Ses frères, son clan, l’armée ? Le FLN ? Tout ce petit monde à la fois ? Les jeunes Algériens et pas seulement, descendent dans les rues pour protester contre cette mascarade électorale envisagée par les hiérarques du parti au pouvoir. Ils ont d’ailleurs manifesté ici même, à Paris, place de la République, sans que le pouvoir macronien n’y trouve rien à redire. Quelle coupable tolérance, alors que les Gilets jaunes, eux, ont droit au mieux... aux gaz lacrymo !

L’économie algérienne ne va pas bien, la mono production des hydrocarbures plombe ce pays, qui n’a pas su diversifier en 57 ans d’indépendance ses activités, contrairement à d’autres pays arabes plus prévoyants, plus « futés ». Incapable d’exploiter son potentiel touristique comme ses voisins maghrébins. Il importe des céréales, alors qu’à l’époque française ce pays était autosuffisant, voire même exportateur. En un mot comme en cent, les hommes du FLN ont été des parasites incapables, incapables d’assurer un emploi à leur jeunesse, incapables de maitriser une démographie qui leur explose au visage et qui risque, disons-le, de balafrer le nôtre.

Les Algériens étaient, en 1830, lors de la conquête, un million. Aujourd’hui ils sont quarante-deux millions surtout des jeunes, beaucoup de jeunes qui, sans emploi, passent leurs journées le dos appuyé aux murs… Qu’arrivera-t-il demain si ce grand pays de la rive nord de l’Afrique, mais surtout notre grand voisin du sud… explose, comme cela s’est produit lors de la victoire électorale du Front Islamique du Salut ? Le FIS, dont le succès fut vite confisqué par l’armée, l’ANP, dans les années quatre-vingt-dix, bascula dans la clandestinité, entrainant des dizaines de milliers de morts dans une longue guerre civile avec, comme victimes collatérales, les moines de Thibérine.

Déjà, des hiérarques du régime ont transféré des fonds en France en y « planquant » leurs familles. En gros, 14 à 15 millions d’Algériens seraient  éligibles au fameux regroupement familial instauré par les calamiteux Giscard d’Estaing et Jacques Chirac. Combien de parents, pères, mères, frères, sœurs, enfants, quitteront « El Djézaïr » dans le cas, nullement à écarter, où ce pays, à nouveau, basculerait dans un conflit interne ? Certes, l’armée  a la réputation d’être intransigeante, voire féroce. Mais, combien d’islamistes se glisseraient parmi les familles demandant à la France le bénéfice du droit d’asile grâce à ce scandaleux dispositif, qu’est le regroupement familial ? Déjà, combien d’Algériens ou de binationaux originaires de ce pays vivent chez nous ? Quand on sait que l’Etat français est incapable à 100 000 unités près, de savoir combien de personnes sont en Seine Saint-Denis, il y a de quoi s’inquiéter. Il parait, qu’en haut-lieu, - comprenez l’Elysée -, on s’inquiète de ce phénomène bien plus que de l’évolution de celui des Gilets jaunes. Acceptons-en l’augure car, sans cela, nous risquons de vivre dans la douleur les tristes épisodes du remarquable roman de Jean Raspail, sorti en 1972, « Le camp des Saints » !

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09:14 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Patrick Gofman dédicacera à La Nouvelle Librairie jeudi en fin d'après-midi

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08:30 Publié dans Livres, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 26 février 2019

Une bien triste nouvelle : notre camarade et ami Daniel Gazzola est décédé

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Daniel Gazzola était militant depuis le début des années 1970. Il a participé à toutes les grandes aventures de la famille nationaliste. Toujours enthousiaste, toujours prêt à s'engager pour la cause, il avait aussi toujours le mot pour rire car il savait prendre le recul qui s'impose parfois... souvent même. Il faisait ainsi parti de ces Lansquenets inaccessibles au doute et au découragement. 

Il y a à peine un mois, nous dînions ensemble avec quelques jeunes camarades passionnés par l'histoire du mouvement nationaliste. Il leur racontait, ils l'écoutaient, j'étais à cent lieues d'imaginer que je le voyais pour la dernière fois.

En ce dimanche presque printanier, à l'âge de 63 ans, une crise cardiaque l'a subitement emporté. Cela arrive toujours trop tôt... Adieu Daniel.

Roland Hélie

Une cérémonie religieuse aura lieu vendredi prochain, 1er mars à 11 heures, en l'église St-Jean Baptiste de Sceaux, 1 rue du docteur Berger à Sceaux dans les Hauts-de-Seine. Daniel sera ensuite enterré en Italie, dans son village qu'il aimait tant. A Annick son épouse, à toute sa famille, l'équipe de Synthèse nationale présente ses condoléances.

La réaction de Gabriele Adinolfi :

Je suis foudroyé par la mauvaise nouvelle. Mon cher ami de toujours, Daniel Gazzola, vient de passer l'arme à gauche : une crise cardiovasculaire l'a fauché.

Il sera enterré dans son village d'origine, en Italie. Depuis mon arrivée en France, fin 1980, je l'ai touours frequenté. On a partagé ensemble des bons moments, non seulement militants mais aussi d'amitié et de foot ball.

Le grand problème de l'âge, ce n'est pas qu'en vieillissant on s'approche de la mort, c'est aussi qu'on voit disparaitre ses amis. Dans mon carnet de de téléphone, je garde déjà une douzaine de numéros qui ne repondront plus jamais. Et les cons, eux, généralement vivent longtemps !

Honneur à Daniel, à son allegresse, à sa philosophie naturelle, à son enthousiasme jamais éteint malgré la déception de chaque jour due à la lâcheté et à la venalité des hommes.

On n'oubliera jamais son parcours militant qui débuta au GAJ et à Jeune nation solidariste, puis au MNR (celui de Jean-Gilles Malliarakis transformé au milieu des années 80 en Troisième Voie) et par la suite au Front national auquel il donna beaucoup... sans rien recevoir en retour si ce n'est de l'ingratitude de la part de certains.  (...)

Daniel, ce fut un privilège de t'avoir connu et d'avoir partagé ensemble tant d'émotions !

23:31 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

France, quel est ton futur ?

Le billet de Patrick Parment

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On nous rétorquera que les sondages ne veulent pas dire grand-chose. Notamment lorsqu’il a été d’usage durant des années de sous évaluer le Front national. Aujourd’hui, dans le paysage politique actuel, ils ont une certaine signification, même s’ils sont – et resteront – une lecture de l’opinion  à un moment donné.

Selon Ipsos, s’agissant des futures élections européennes, le parti macroniste (LREM) - leur bidule en marche - obtiendrait 23% des voix, talonné par le Rassemblement national de Marine Le Pen qui oscillerait dans une fourchette de 19,5% à 21%. Quant aux droites et aux gauches, arriver à 10% serait un exploit. D’autant que les uns comme les autres sont explosés façon puzzle et se regardent en chien de faïence.  Ces résultats sont donc d’autant plus intéressants qu’ils interviennent après quinze semaines de manifs des gilets jaunes.

Que peut-on tirer de ces sondages ? En premier, le rejet total des partis politiques classiques. Les Français ont bien conscience d’avoir été bernés par la gauche comme par la droite qui, au pouvoir, n’ont rien fait pour moderniser ce pays et le libérer des impôts, taxes et normes divers et variés qui ont eu pour effet d’appauvrir chaque jour un peu plus cette classe moyenne qui demeure le sang du pays. Cette classe moyenne composée d’une petite bourgeoisie et d’une classe ouvrière qui s’est embourgeoisée au gré des mutations techniques. Sans oublier le monde agricole qui est en voie de paupérisation active.

Les partis politiques ont perdu tout crédit. Soit. Quid de LREM, me direz-vous ? Le macronisme est un exutoire et ce n’est pas un hasard si les gilets jaunes lui sont tombés sur le râble. Macron n’a pas saisi qu’il avait été élu par une minorité. Il a cru qu’il pouvait tout se permettre. Il n’a fait qu’accentuer l’aventure libérale suivant des schémas mentaux inscrits dans son logiciel depuis l’Ena. Une sorte de Juppé dans sa version 2.0. Illico, la France profonde a regimbé. Elle est descendue dans la rue, a occupé les ronds-points suivant un processus purement populaire et dénué de toute organisation. C’est sa force. C’est surtout la réaction d’un peuple qui dit stop aux dérives de crânes d’œuf irresponsables. On a déjà donné. Et qu’on ne vienne pas nous dire qu’ils ont le sens de l’Etat. Ils ont une pure conscience de classe, de celle qui considère, à l’image d’un Alain Minc ou d’un Jacques Attali, que la démocratie n’est belle que sans électeurs. Emmanuel Macron ferait bien de réfléchir vite et bien, il est sur un siège éjectable. Et tout cela n’a rien à voir avec le populisme dont les élites médiatiques, toujours les mêmes sycophantes qui hantent les plateaux télé,  se gargarisent.

Quant au Rassemblement national, il joue son rôle, celui de gueuloir comme le disait Flaubert. Sauf qu’en cas de détresse extrême, les Français pourraient franchement se dire qu’aventure pour aventure, tentons celle du Rassemblement national.

08:31 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 25 février 2019

Au moment où s'ouvre le Salon de l'Agriculture, le Parti de la France présente ses 12 propositions pour le monde rural :

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Jean-François Touzé, secrétaire national du PdF
 
En dix ans un tiers des exploitations agricoles à disparu en France dans l'indifférence générale y compris celle des syndicats censés les représenter mais fonctionnant de plus en plus comme les mandants de leurs propres intérêts ou de ceux exclusifs des grandes exploitations. Entre un tiers et la moitié des exploitants gagnent moins de 350 euros par mois, l'immense majorité des éleveurs touchant moins de 1 000 euros. 75 % des exploitants à la retraite touchent une pension inférieure à 450 euros mensuels. Tous les deux jours, un agriculteur se suicide. Voilà le quotidien, voilà la réalité de notre monde paysan.
 
Au moment où s'ouvrent les portes du Salon de l’agriculture 2019 et où Emmanuel Macron, lors de son inauguration samedi, toujours dans l'incantation, s'est autoqualifié de « patriote de notre agriculture », les Français attachés à notre ruralité sont en droit d'exiger des actes.
 
Le Parti de la France demande à l'Exécutif de s'engager sur douze points essentiels.
  1. Alléger la pression administrative et normative pesant sur les exploitations et procéder au gel de toute nouvelle évolution réglementaire risquant de générer de nouvelles charges.
  2. Réduire le coût du travail, notamment saisonnier, pour permettre aux employeurs agricoles d'être compétitifs par rapport à leurs concurrents européens.
  3. Permettre par la loi un rééquilibrage équitable entre les intérêts des agriculteurs, des industries de transformation, et surtout ceux de la grande distribution en mettant un coup arrêt aux pratiques et méthodes de cette dernière trop souvent établies sur la base du fait accompli. C'est aux producteurs qu'il appartient de fixer les prix.
  4. Limiter le développement et les effets de l'agriculture cellulaire encouragée par les multinationales de l’industrie agro alimentaire et les fonds de pension anglo-saxons.
  5. Légiférer contre l'accroissement des accaparements de terres fertiles par des groupes étrangers sans rapport avec le domaine de l'agriculture et, à l'inverse, prendre des mesures pour assurer la transmission et les successions dans la pérennité des exploitations et chaque fois que cela est possible, dans le cadre familial.
  6. Promouvoir la qualité française par l’instauration d'un label de référence tout en agissant dans le cadre de la Politique Agricole Commune pour une protection des productions communautaires, le refus des traités commerciaux qui ouvrent les portes à des produits qui ne respectent pas les normes imposées à nos agriculteurs, et une dynamisation de nos exportations.
  7. Stopper le processus en cours de transfert des aides européennes à l’agriculture vers un budget dédié à l'accueil des migrants.
  8. Garantir le versement dans des délais raisonnables des aides promises par la Commission européenne et par les Régions aux exploitants, en particulier aux producteurs laitiers qui font le choix du bio.
  9. Mettre fin à l'agribashing. Nos compatriotes agriculteurs sont de plus en plus en proie à des campagnes incessantes de dénigrement sur les thèmes de la pollution, de la malbouffe, de la maltraitance animale, alors que l'agriculture française est exemplaire dans sa réduction des traitements phytosanitaires et des pesticides, comme dans sa recherche de qualité. Ces campagnes doivent cesser tout comme doivent cesser les actions pro véganisme.
  10. Développer la recherche pour une agriculture française de la précision et de l'excellence
  11. Soutenir les filières à forte potentialité comme les céréales, la viticulture et les produits laitiers.
  12. Mettre fin aux sanctions contre la Russie qui, en suscitant des mesures de rétorsion contre l'Europe et donc contre la France, met en péril de nombreuses exploitations, touchant en particulier les filières du porc, du lait et des fruits et légumes.

15:38 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

François Brigneau et Jean Madiran, thème de la 99e émission "Synthèse" sur Radio Libertés

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Ecoutez

l'émission

cliquez ici

 

 

 

 

 

15:23 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 24 février 2019

RAPPEL : dimanche 17 mars, Assises de la France des Gilets jaunes à Rungis

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Venez nous retrouver sur

le stand de Synthèse nationale.

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