lundi, 30 juillet 2018
Le burkini, une histoire belge pas comme les autres…
de Philippe Randa
À Gand, le tribunal de première instance a rendu deux jugements pour le moins surprenants : aucune piscine publique n’aura en effet le droit d’empêcher les dames de se baigner en burkini… alors que le port du short pour les hommes (et pour les femmes, parité oblige !) reste, lui, prohibé pour des raisons d’hygiène ou de sécurité !
Le motif fourni par l’administration flamande vaut son pesant de frites car elle aurait « des preuves scientifiques qu’il n’y avait pas de problèmes dans ces domaines », rapporte le site LesObservateurs.ch.
Des preuves scientifiques d’hygiène ? On veut bien croire qu’une femme musulmane n’a pas plus de raison que toute autre croyante de négliger son hygiène (et de respecter celle des autres), mais que vient donc faire la science là-dedans ? Et quelles pourraient bien être les preuves scientifiques (sic !) permettant de conclure que les porteurs de short seraient moins propres que les autres ?
Néanmoins, tous les Belges n’entendent pas se soumettre à cette décision judiciaire loufoque : l’échevin d’Anvers N-VA (Nouvelle Alliance flamande, premier parti à la chambre des représentants) Fons Duchateau, est entré en résistance, affirmant que « l’interdiction du burkini ne doit pas être fondée sur l’hygiène et la sécurité », mais « parce que nous n’en voulons pas en fonction de nos normes et valeurs sociétales. »
De son côté, la secrétaire d’État à l’Égalité des Chances Zuhal Demir (également N-VA), considère que ce vêtement représente « une provocation volontaire » contre l’égalité.
L’administration flamande apportera-t-elle des preuves scientifiques du contraire ? Plus sûrement, comme aurait pu chanter Jacques Brel :
Faut vous dire, Monsieur,
Que chez ces fonctionnaires-là
On ne prouve pas, Monsieur
On ne prouve pas, on juge…
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dimanche, 29 juillet 2018
Samedi 1er et dimanche 2 septembre : Fête annuelle de la Ligue du Midi en Petite Camargue (30)
13:50 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Joël La Bruyère, "le terrible gourou", s'exprime à propos des sectes
Source Le Clan des Brigandes cliquez ici
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samedi, 28 juillet 2018
Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine
10:20 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 26 juillet 2018
Une Europe qui réindustrialise le continent
Source Ligne Droite cliquez ici
L’ultralibéralisme international, en soumettant les économies européennes à une concurrence sauvage, a provoqué un phénomène de désindustrialisation du continent facteur d’appauvrissement et de chômage. Ligne droite, qui entend s’opposer à la poursuite de ce processus mortifère, considère qu’après avoir instauré une régulation des échanges à ses frontières, l’Europe doit mener une politique volontariste de réindustrialisation passant par la relocalisation des usines et la constitution d’au moins un grand groupe européen par secteur.
La concurrence économique sauvage provoque la désindustrialisation de l’Europe
Depuis l’ouverture de ses frontières extérieures, l’Europe a en effet connu un processus continu de désindustrialisation au profit des puissances économiques émergentes. La Chine, par exemple, est ainsi devenue, selon la formule consacrée, l’atelier du monde. Un phénomène qui a entraîné le démantèlement de secteurs entiers de notre industrie comme la sidérurgie ou le textile et cela sans la moindre contrepartie. Car aucune division internationale du travail n’a donné aux pays européens le moindre avantage, même pas dans le domaine des hautes technologies que des pays émergents maîtrisent parfaitement bien, eux aussi. Dès lors, le processus de désindustrialisation s’est poursuivi avec les conséquences dramatiques que l’on connaît : appauvrissement, chômage de masse, mais aussi perte progressive des compétences et du savoir-faire accumulé dans chaque métier pendant des décennies.
Pour une régulation des échanges commerciaux
Certes, un pays comme l’Allemagne a réussi à contrer la logique implacable de la mondialisation en se spécialisant et en misant sur la qualité, mais par définition cette stratégie d’exception ne peut fonctionner que si elle n’est pas généralisée. Aussi n’y a-t-il il pas d’échappatoires : si l’organisation bruxelloise poursuit la politique ultralibérale menée actuellement, notre continent continuera de perdre son industrie. C’est pourquoi Ligne droite est favorable à la mise en œuvre d’une régulation des échanges commerciaux aux frontières extérieures de l’Union européenne afin de rétablir la loyauté de la concurrence en mettant un terme au dumping social, écologique et monétaire.
Une stratégie volontariste de réindustrialisation
Forte de cet atout, l’Europe puissance devra réorienter et dynamiser la politique industrielle de l’Union actuellement totalement contre-productive. Bruxelles, qui ne mène aucune action volontariste d’aide au développement industriel, s’efforce en effet, au nom de ses principes libéraux, d’empêcher les États membres de conduire une telle politique à leur niveau. La Commission fait ainsi la chasse aux aides étatiques apportées aux entreprises et mène une action antitrust qui a déjà rendu impossible dans le passé la constitution de grands groupes européens, précipitant de la sorte le rachat des entreprises concernées par des étrangers extra-européens.
Dans le cadre de l’Europe puissance, préconisée par ailleurs par Ligne droite, c’est donc une politique radicalement inverse qui doit être menée sous la forme d’une stratégie volontariste de réindustrialisation.
Favoriser les relocalisations
D’abord, il conviendra d’exploiter les conséquences bénéfiques de la régulation des échanges. L’instauration d’écluses douanières aux frontières de l’Union incitera en effet beaucoup de chefs d’entreprise à envisager le retour sur le sol européen de leur outil de production. Ayant perdu, avec la mise en place des droits de douane à l’entrée dans l’Union, l’avantage que leur procurait la délocalisation, ils seront nombreux à se laisser séduire par une relocalisation. Celle-ci leur permettra en effet de rapprocher les lieux de production des lieux de consommation, de diminuer les délais de livraison et de réduire les coûts de transport. L’Europe puissance devra alors amplifier ce phénomène de retour en aidant les entreprises à se relocaliser, en multipliant les sites d’implantation et en favorisant le financement de ces transferts.
Notons en incidente que l’Europe devra s’efforcer de freiner, de gêner, voire d’empêcher les investissements chinois sur la route de la soie. Notre continent n’a rien à gagner d’une amélioration des moyens de transport terrestres entre la Chine et l’Europe.
Créer de grands groupes industriels européens
Le deuxième axe du processus de réindustrialisation de l’Europe doit viser la constitution dans chaque secteur d’au moins un grand groupe européen de dimension mondiale capable de s’imposer dans la concurrence internationale. Le modèle en est bien sûr Airbus ou Arianespace dont la réussite est incontestable et qui montre que, lorsqu’elle le veut, l’Europe peut parfaitement créer une dynamique industrielle indépendante. À cet égard, notre continent dispose de bons atouts déjà opérationnels dans le secteur automobile, dans celui du BTP, de l’eau ou de l’agroalimentaire notamment. Mais des progrès importants devront être réalisés dans bien d’autres domaines et surtout dans le secteur du numérique aujourd’hui totalement monopolisé par les Américains. Aucun secteur, surtout s’il est stratégique, ne doit en effet être abandonné par l’Europe et celle-ci doit donc multiplier les initiatives comme le font les Chinois qui développent avec succès des concurrents directs à Google ou à Amazon.
Se doter des moyens d’une grande politique industrielle
Cette grande politique nécessitera l’installation, auprès des autorités politiques de l’Union, d’un état-major industriel chargé de concevoir et de mettre en œuvre cette stratégie secteur par secteur. Il devra être doté de puissants moyens juridiques et financiers et notamment d’un fonds d’investissement à créer à l’échelle de l’Europe. Par ailleurs, la préférence européenne devra pouvoir être mise en place systématiquement lors des restructurations industrielles afin que les entreprises à vendre soient rachetées par des Européens et non par des étrangers au continent. Des dispositions juridiques devront enfin être adoptées à l’échelle de l’Union pour s’assurer que les grands groupes européens demeurent sous le contrôle européen et restent loyaux à l’égard de l’Union européenne, notamment sur le plan fiscal et sur celui des lieux d’implantation.
L’Europe reste, de par ses ingénieurs, ses scientifiques, ses gestionnaires et la qualité de sa main-d’œuvre, une terre d’exception sur le plan industriel. Elle doit remobiliser tous ses moyens pour développer son potentiel dans un esprit de patriotisme économique européen.
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Thomas Joly était à Bordeaux le 25 juillet pour lancer le Parti de la France en Gironde
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mercredi, 25 juillet 2018
Roland Hélie était ce matin invité à la matinale de Radio Libertés
Ecoutez l'émission cliquez ici
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mardi, 24 juillet 2018
La France au travail ?
Le billet de Patrick Parment
Une récente étude de BpîFrance (Banque publique d’investissement) montre que 41% des entreprises françaises de moins de 250 salariés rencontrent d’importantes difficultés de recrutement. Et cela est particulièrement vrai pour les secteurs de la réparation automobile, de la fabrication de biens intermédiaires et des transports. Cri d’alarme du président de la Capeb (Confédération de l’artisanat et des petites entreprises du bâtiment), « on ne trouve plus personne pour aller travailler ». Et ce malgré un taux de chômage élevé. Pôle emploi estime ce déficit dans une fourchette de 220 000 à 330 000 emplois non pourvus. À titre d’exemple, trois métiers sont déclarés quasi sinistrés : les couvreurs et plombiers-zingueurs, les chaudronniers et les carrossiers automobile. On notera que le salaire n’est pas en cause car ces métiers, comme bien d’autres d’ailleurs, sont plutôt bien rémunérés, largement au-delà du Smic.
Comme le souligne Patrick Liebus, patron de la Capeb, « on a plus de 3,5 millions de chômeurs dans ce pays et on n’arrive pas à pourvoir ces postes ». Il y a plusieurs raisons à cela. On peut citer l’Education nationale évidemment qui peine à revaloriser les filières professionnelles mais, plus vrai encore, qui a bradé un baccalauréat qui génère au final plus de chômeurs que de diplômés. Mais elle n’est pas la seule en cause. Il y a ce climat délétère dans lequel la gauche comme la droite réunies nous font baigner depuis des décennies qui amène les jeunes à imaginer un avenir en forme de « Stars Académy » plutôt que d’aller au charbon comme nos pères qui ont forgé ce pays à force de sueur et de sang. Le paradoxe ne manque pas de sel quand on sait que c’est la gauche qui a dévalorisé le travail et encensé l’actionnaire boursier. Merci monsieur Fabius.
Mais surtout, cela met à mal cette idée issue du pur gauchisme socialisant que face à une population française vieillissante, l’immigration extra-européenne était une chance pour la France. La démonstration se fait de jour en jour que l’immigration loin d’être une chance pèse, entre autres, d’un poids majeur sur nos finances publiques notamment en matière d’allocations, d’aides diverses et variées et surtout d’insécurité. On ne manquera pas non plus de remercier le Medef, ce patronat avide de travailleurs bons marché et principal pousse au crime dans cette affaire. Car, il s’agit bien de ces 10 millions d’individus issus du Maghreb, d’Afrique subsaharienne ou du sous-continent indien dont on parle et qui handicapent ce pays au détriment des vrais travailleurs - et pour combien de temps encore ? - Gaulois. Entendez par là tous les dolichocéphales qui vont de Brest à l’Oural, de Gibraltar à Narvik !
Allez, bonnes vacances quand même. Profitez-en, les "emmerdes" reprennent en septembre.
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Le crétin du jour :
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Parution du Cahier d'Histoire du nationalisme sur Oswald Mosley : UN ENTRETIEN AVEC RÉMI TREMBLAY, SON AUTEUR, SUR EUROLIBERTÉS
Source EuroLibertés cliquez ici
« Bien qu’il fût un homme d’action, Oswald Mosley fut aussi un homme de réflexion et beaucoup de ses idées restent d’une actualité brûlante. Au niveau économique, sa critique du libre-échangisme et de la mondialisation semble aujourd’hui quasi prophétique »
En quoi Mosley reste-t-il pertinent en 2018 ?
Outre le fait que, comme le pensait François Duprat, nous nous devons de connaître l’histoire du nationalisme, de ses échecs et réussites, pour pouvoir apprendre des erreurs et succès passés, l’étude de Mosley et de ses politiques est extrêmement importante.
Tout d’abord, bien qu’il fût un homme d’action, il fut aussi un homme de réflexion et beaucoup de ses idées restent d’une actualité brûlante. Au niveau économique, sa critique du libre-échangisme et de la mondialisation semble aujourd’hui quasi prophétique. Mais il n’a pas fait que prévoir les problèmes qui allaient surgir, il a offert des pistes de sortie et ceux qui s’opposent au mondialisme y verront des solutions concrètes pour se sortir de l’impasse actuelle. On peut facilement imaginer que, s’il n’avait pas revêtu la chemise noire avant la guerre, il serait devenu l’un des penseurs les plus influents en matière d’économie, à l’instar de son ami John Maynard Keynes.
Au niveau géopolitique aussi, particulièrement dans les dernières décennies de sa vie, il se démarqua en mettant en avant une Europe unie dans un monde multipolaire. En ce sens, il précède l’eurasiste Alexandre Douguine, et contrairement à des penseurs comme Jean Thiriart, il ne sombra pas dans la vision d’une Europe jacobine qui aurait nié les identités régionales ou même nationales. Avec l’échec de l’Europe de Bruxelles, l’alternative qu’il présente reste tout à fait pertinente.
Contrairement à ce que l’on entend parfois, Mosley était loin d’être un marginal…
Tout à fait ! Mosley était un aristocrate fort apprécié de la haute société et il se maria d’abord avec Cynthia Curzon, dont le père Lord Curzon était un homme important, ayant notamment été vice-roi des Indes. Lors du mariage, nombre d’aristocrates furent présents, y compris le couple royal belge. Dans ses premières années en politique, il était une véritable vedette de par son éloquence, sa rigueur et l’originalité de sa pensée. Tant au Parti conservateur que plus tard au Parti travailliste, il était pressenti pour un jour gouverner le Royaume-Uni. Mais, il préféra défendre ses convictions, plutôt que de se compromettre, risquant et sacrifiant sa carrière politicienne qui, aux dires de tous les historiens sérieux, l’aurait mené à de grandes responsabilités.
Il faut ajouter que même lorsqu’il quitta les partis dits respectables pour fonder la British Union of Fascists, il continua à jouir du respect d’une partie de la haute société britannique et d’une partie de l’intelligentsia.
On connaît le Mosley de l’avant-guerre, mais qu’en est-il du Mosley de l’après-guerre ?
C’est bien là un des drames de la vie de Mosley qui considérait que la période de l’après-guerre fut sa période la plus féconde et aussi, faut-il le mentionner, la plus longue. Après la guerre, durant laquelle il put lire et étudier à cause de son internement, il développa l’idée d’une « Nation Europe » basée sur un socialisme européen qui n’a rien à voir avec celui promu par les Soviétiques ou même les Travaillistes. Il développa aussi une critique constructive de l’œuvre nietzschéenne, jetant les bases d’une pensée européenne, inspirée autant par Goethe que par les philosophes grecs, dans laquelle la volonté d’accomplir devient l’ambition ultime de l’homme.
Dans le domaine plus concret et terre à terre, il fut également l’un des premiers politiciens à proposer la remigration et à entrevoir les défis démographiques et sociaux liés à une immigration de masse qui ne faisait à l’époque que débuter.
Rémi Tremblay, directeur du magazine québécois Le Harfang, cliquez ici, est aussi l'auteur d'un autre Cahier d'Histoire du nationalisme consacré à Adrien Arcand cliquez là
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09:01 Publié dans Les Cahiers d'Histoire du Nationalisme, Livres, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 23 juillet 2018
À l’écoute du peuple, pas des médias
Ligne Droite cliquez ici
La droite de gouvernement a perdu la confiance de son électorat car elle s’est soumise à la dictature politiquement correcte de la médiacratie. Une médiacratie coupée du peuple qui n’informe plus mais qui sert le Système. La droite nouvelle ne doit donc pas tomber dans cette erreur et Ligne droite estime en conséquence qu’il lui faut ignorer les injonctions journalistiques et dénoncer le rôle malsain des médias pour se mettre à l’écoute des Français et s’appuyer sur le peuple.
Les médias ne servent pas l’information mais le Système
Les médias mainstream ne sont en effet pas neutres politiquement, ils assurent la promotion et la défense de la pensée unique au service du Système qui dirige notre pays. Ils ne cherchent donc pas à informer objectivement les Français car ils font campagne en permanence pour les idées de l’oligarchie, le libre-échangisme, l’européisme, l’immigrationnisme, le féminisme et d’une façon générale tous les crédos politiquement corrects.
Ils agissent en ce sens avec d’autant plus d’efficacité qu’ils ont acquis un pouvoir considérable qui leur permet de dominer l’exécutif et le législatif. Ils font et défont les réputations politiques. L’adoubement médiatique précède désormais l’adoubement électoral, comme on l’a vu avec l’incroyable promotion médiatique dont a bénéficié le candidat Macron.
À l’inverse, ils censurent, déstabilisent et diabolisent les opposants au Système. Les journalistes de la médiacratie sont impitoyables à l’égard des dissidents, alors qu’ils se montrent toujours bienveillants vis-à-vis des représentants du Système.
La médiacratie n’est pas l’expression du peuple mais de la Nouvelle Gauche
Ce faisant, les médias sont totalement coupés du peuple et ne sont nullement représentatifs de ce qu’il est. De nombreux sondages prouvent en effet que l’écrasante majorité de la classe journalistique revendique son appartenance à la gauche et cela dans presque tous les pays occidentaux. Pour cette raison, les médias mainstream prennent partout des positions contraires à l’opinion de la majorité de la population. Ils ne reflètent plus en effet les attentes de leur public, mais seulement celles de leurs commanditaires, à savoir les sociétés qui les possèdent ou qui leur achètent des espaces publicitaires et qui constituent le cœur financier du Système au pouvoir.
Mais, dès lors que les médias sont déconnectés de la population, les politiques ont un choix important à effectuer. S’ils sont en osmose avec le peuple, leurs positions seront nécessairement jugées non conformes par les médias et rejetées par eux. Si, en revanche, ils recherchent l’appui de la classe journalistique, ils seront mécaniquement amenés à prendre des positions qui les éloigneront de la majorité des Français. Obtenir l’approbation médiatique revient pour cette raison à accepter de se soumettre au politiquement correct et donc à consentir à sa propre normalisation. Telle est d’ailleurs la voie empruntée par la droite dite républicaine et qui lui a été fatale.
Ignorer et dénoncer les injonctions de la médiacratie
Aussi la droite nouvelle doit-elle faire le choix inverse et comprendre que la médiacratie, qui appartient au Système et soutient la Nouvelle Gauche, constitue pour elle un adversaire politique redoutable. Elle ne doit donc pas, comme le fait la droite de gouvernement, courtiser la médiacratie pour tenter d’obtenir son approbation et son soutien. Ligne droite estime qu’elle doit au contraire adopter un positionnement diamétralement opposé : être à l’écoute des Français et non des médias.
Mais la droite nouvelle ne doit pas seulement refuser de se soumettre au lobby journalistique, elle doit aussi le mettre en cause et expliquer aux Français le rôle néfaste qui est le sien. Elle doit montrer le pouvoir illégitime mais considérable dont il dispose et l’usage partisan qu’il en fait.
Elle ne doit par ailleurs pas se priver d’encourager l’émergence de nouveaux moyens d’information et de communication à travers l’Internet et les réseaux sociaux. Il faut en effet introduire la concurrence si l’on veut briser le monopole de la médiacratie et rétablir un peu de liberté dans le monde de l’information. Le général De Gaulle disait que « la politique de la France ne se fait pas à la corbeille ». De même, pour Ligne droite, la politique de la France ne doit pas se faire dans les salles de rédaction !
Écouter notre peuple et s’appuyer sur lui
Les peuples doivent ainsi reprendre le pouvoir sur les castes oligarchiques. Il en va de l’avenir de la France et de l’Europe car, aujourd’hui les peuples européens sont beaucoup moins décadents et beaucoup plus lucides que les élites dirigeantes. Toutes les études montrent en effet que l’opinion majoritaire en France comme ailleurs en Europe adopte des positions à rebours du politiquement correct.
Aussi la droite nouvelle doit-elle clairement s’appuyer sur le peuple, non seulement parce que c’est l’esprit même de la démocratie et que seul le peuple peut la porter au pouvoir, mais aussi et surtout parce que les convictions qu’elle incarne répondent pleinement aux aspirations des Français. La droite nouvelle doit donc être populaire, non de façon démagogique mais en incarnant pleinement la volonté de notre peuple de rester lui-même et de se projeter dans l’histoire.
C’est en misant sur le peuple que la droite nouvelle pourra par ailleurs rétablir la primauté du politique. Ainsi, par exemple, pour mettre fin au « gouvernement des juges » faut-il faire du peuple le seul juge constitutionnel en dernier ressort. C’est pourquoi aussi, la droite nouvelle veut lui rendre la parole en restaurant le recours au référendum, un instrument que l’oligarchie a voulu faire tomber en désuétude car il menaçait son totalitarisme.
Pour Ligne droite, il est temps de mettre en cause la domination partisane de la médiacratie sur la vie politique. Aussi la droite nouvelle doit-elle se positionner clairement du côté du peuple, contre le pouvoir médiatique.
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Le nouveau numéro d'Eléments est sorti
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23 juillet : mort du maréchal Philippe Pétain
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dimanche, 22 juillet 2018
Vient de paraître : À NE PAS MANQUER
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Quand l’Amérique racialise la victoire de l’équipe de France
Par Mathieu Bock-Côté
Montréal était belle à voir dimanche dernier. Au cœur du Plateau-Mont-Royal, un des quartiers les plus vivants de la ville, l’importante communauté française était mêlée aux Québécois pour célébrer la victoire des Bleus. Au patriotisme spontané de la première s’ajoutait le vieil amour de la France qui habite le cœur des Québécois, encore attachés au pays de leurs ancêtres. Tous se réjouissaient du triomphe d’une nation qui, ces dernières années, a connu malheur après malheur et qui avait droit à ce moment de plénitude collective. Une victoire au foot n’est qu’une victoire au foot, elle ne saurait se substituer à la réalité d’un pays qui fait l’expérience de sa désintégration identitaire, comme en témoignent les violences qui ont gâché la nuit de la victoire et qui n’avaient rien de marginales. Au cœur même de l’espoir de la réconciliation nationale, le réel reprenait ses droits. On aurait tort, néanmoins, de dévaloriser l’importance de la fête, qui témoignait d’un désir commun de faire France.
Mais il faut bien en convenir, encore une fois, les Québécois faisaient tristement bande à part en Amérique. Car pour peu qu’on traverse la frontière américaine la victoire française a encore une fois confirmé le rapport trouble, pour ne pas dire toxique, que l’Amérique entretient avec la France. En fait, la victoire des Bleus a donné aux Américains l’occasion de sermonner la France, qui serait normalement occupée à refouler sa diversité et qui serait bien obligée cette fois de la reconnaître. Il s’agirait du triomphe de la France réelle humiliant enfin la France officielle, obnubilée par une mythologie républicaine servant à occulter le traitement apparemment néocolonial des populations immigrées. L’intelligentsia américaine en a tiré une conclusion simple : pour en finir avec son hypocrisie officielle, la France devrait enfin se convertir au multiculturalisme.
Dans les grands médias comme sur les réseaux sociaux, on s’est livré à un rappel des origines des joueurs de l’équipe de France pour bien montrer, selon la formule ambiguë de Barack Obama, qu’ils n’étaient majoritairement pas «gaulois», manière comme une autre d’inviter le pays à mettre à jour ses représentations collectives et à se détacher de ses vieilles légendes. La formule est même revenue à quelques reprises: la victoire française serait une victoire africaine. En gros, la nation doit s’effacer devant la race. On trouve là un paradoxe intellectuel, qui n’est peut-être qu’une fraude morale pour peu qu’on l’inscrive dans le grand contexte: mentionner les origines d’un délinquant serait raciste, mais rappeler les origines d’un joueur serait une célébration admirable de la diversité. La diversité est une richesse quand elle gagne mais il devient raciste de la mentionner quand elle prend le visage de la fracture du pays. On pourrait parler d’une ethnicisation des rapports sociaux à géométrie variable.
Il est difficile de l’admettre mais la France, pour l’Amérique, incarne non pas un autre modèle de société mais un contre-modèle de civilisation qu’il faudrait mater en se montrant intransigeant avec elle. On le voit notamment avec le traitement positif accordé à la mouvance indigéniste par la grande presse américaine. Si en France, on l’assimile souvent avec raison à l’extrême gauche racialiste, en Amérique, on veut y voir l’équivalent du mouvement des droits civiques. Derrière cela, il y a l’assimilation des populations immigrées arrivées en France depuis quelques décennies avec les Noirs américains, arrivés sur le continent dans un tout autre contexte. Le racialisme américain pousse ainsi à la négation des histoires nationales pour recomposer la société selon le modèle de la compartimentation ethnique. L’obsession raciale qui marque notre temps vient non seulement des États-Unis mais est normalisée par la pensée américaine.
On touche là, d’ailleurs, un élément central expliquant la distorsion des représentations collectives de l’ensemble des sociétés occidentales, victimes d’une américanisation de leur imaginaire. Des concepts élaborés pour penser la part traumatique de l’expérience américaine sont plaqués de force sur des sociétés qui n’ont rien à voir avec elle. Cette colonisation intellectuelle, qui passe beaucoup par le langage des sciences sociales, amène les sociétés occidentales à se penser dans des termes qui les déréalisent et qui poussent à terme à importer des tensions identitaires qu’elles ne connaîtraient pas spontanément ou, du moins, à radicaliser celles qu’elles connaissent déjà.
Élargissons notre regard. Le procès de la France par l’Amérique s’alimente de toutes les raisons possibles. Qu’on pense à la querelle autour de #MeToo, qui a servi à faire le procès de la galanterie à la française, réduite à un masque dissimulant une société atrocement machiste et sexiste. Qu’on pense aux débats entourant la laïcité et le voile islamique, qui dissimuleraient bien mal l’islamophobie française. Et si on remonte dans le temps, le refus de la France de suivre l’Amérique en Irak avait été compris non pas comme une marque de prudence diplomatique éclairée mais une forme de lâcheté devant l’adversité qui serait à l’origine de sa défaite en 1940. La France, nation dévirilisée, chercherait à faire passer sa lâcheté pour de la sagesse. On invite la France à cesser de justifier une existence anachronique et à devenir une province de plus de l’empire occidental. La France doit se justifier de ne pas être américaine, et son entêtement à demeurer elle-même est perçu comme une forme d’arrogance.
C’est une différence anthropologique qui ressort entre une Amérique qui continue de faire de la race une catégorie politique fondamentale alors que la France entend se construire autour du commun national. L’Amérique et la France ne construisent pas le même type de société, et cette différence s’accentue dans un monde marqué par des migrations massives qui déstructurent profondément les sociétés heurtées par elles. Mais, dans cette perspective, la France devrait peut-être moins se représenter comme un éternel village gaulois, condamné tôt ou tard à capituler devant les exigences de la modernité américaine, qu’à la manière d’un autre modèle de civilisation, susceptible d’inspirer des peuples qui veulent conserver leur propre modèle d’organisation sociale ou, comme on dit aussi aujourd’hui, leur identité.
(source Le Figaro 21/7/2018)
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Le comble :
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samedi, 21 juillet 2018
Grand Timonier Génial est-il un adolescent attardé, un potache en goguette ou le nouveau Parrain ?
Bernard Plouvier
La Coupe du monde de football l’a présenté en supporter adolescent et cela fut diversement apprécié un peu partout sur la planète. Diverses remarques, fidèlement répercutées par une troupe de mercenaires médiatiques, témoignent d’un humour de potache, dont la finesse n’est pas la qualité dominante.
D’autres comportements de Macron, "notre Grand Timonier génial" sont plus inquiétants. Il est vite devenu évident que son mépris des humbles transparaissait de ses décisions. Divers projets de lois ainsi que des réparties cinglantes font supposer un égo quelque peu démesuré, davantage attendu d’un dictateur de république bananière que d’un chef d’État réputé démocratique.
On s’est beaucoup amusé qu’un Président, fabriqué par les media menteurs de 2016-17, ait la prétention de dire ce que doit être la « Bonne Information », par opposition à celle qui lui déplait et qu’il qualifie de « Fausse nouvelle » - Fake News, dans son discours franglais de banquier cosmopolite.
Or, l’actualité nous présente un autre aspect du grand homme. Dès le 2 mai, le ministre de l’Intérieur aurait fait savoir aux « hommes du Président » qu’un haut-fonctionnaire de leurs services se serait comporté en pseudo-policier brutal, usurpant la fonction et les attributs de véritables agents des forces de l’ordre.
En d’autres termes, un agent très proche de Macron, l’accompagnant même dans ses déplacements vélocipédiques, se serait comporté en Barbouze au petit pied, tabassant un manifestant isolé et désarmé.
Pour une fois SOS-Racisme et les autres associations de la même eau ne protestent guère, étant donné que le dit haut-fonctionnaire temporaire est issu de cette immigration maghrébine, dont chacun sait qu’elle enrichit considérablement notre pays d’antique civilisation de ses immenses talents et qualités.
Super-Macron s’en était pris, lors d’une réception au Vatican, à la « Mafia bretonne », et l’on a stigmatisé à juste titre cette sortie imbécile et injurieuse, qui n’était nullement spirituelle… sauf à condamner le comportement d’une partie du personnel politique de cette région, mais il aurait été bon, dans ce cas, de le préciser.
S’il était avéré que GTG-Super-Macron ait protégé une Barbouze amie, en délicatesse avec la loi, on pourrait s’interroger sur un autre aspect de sa très riche personnalité. Bill Clinton se recycle actuellement dans le thriller. Il est possible que Génial-Président-Macron prépare sa reconversion au cinéma et qu’il veuille reprendre le rôle où brilla Marlon Brando.
Mais cette reconversion ne peut se faire qu’après la fin de ses fonctions de chef de l’État. Au vu de ses prestations de 2017-18, nul patriote ne verserait de larme si Super-Génial-Président décidait de s’en aller prématurément.
19:11 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Dans le n° de juillet du mensuel "Monde et vie", un grand entretien avec Alban d'Arguin sur son livre "Eoliennes, un scandale d'Etat"...
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12:21 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Incarner l’alternative au Système
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Le Système incarne aujourd’hui à travers la Nouvelle Gauche, les médias, la justice et le grand patronat, le pouvoir réel dans notre pays. Informel et invisible, il entraîne la France sur la voie tracée par son idéologie ultralibérale, mondialiste et déconstructiviste. La droite nouvelle, qui représente la seule véritable opposition à cette entreprise politique délétère, doit donc, selon Ligne droite, se positionner clairement comme l’alternative au Système.
Un double dispositif de gouvernement
Aujourd’hui, notre pays connaît en effet un double niveau de gouvernement. En apparence, il est régi par les institutions officielles telles que définies par la Constitution. Dans ce monde-là, le pouvoir politique est censé avoir la prééminence. Le président de la République domine, soutenu par sa majorité parlementaire. Face à lui, l’opposition est supposée incarner une autre vision de l’avenir du pays. Et, à côté du pouvoir, la justice fait respecter les lois, les médias informent les citoyens et les entreprises leur fournissent des biens et des services.
Le Système derrière la façade institutionnelle
Mais ce monde est à bien des égards factice ou en tout cas il ne fonctionne pas comme on pourrait le croire au premier abord car, derrière la façade institutionnelle, c’est une autre réalité qui s’impose. Une réalité qu’on peut qualifier de Système puisque, dans la pratique, les différents pouvoirs ne sont pas indépendants mais corrélés les uns aux autres à travers les hommes qui en ont la charge. Même l’opposition procède de ce Système, comme la France insoumise qui n’est qu’une fausse opposition tout aussi immigrationniste que le parti de Macron et donc bien utile pour empêcher l’attention de se porter vers une véritable alternative. Et comme tous les acteurs du Système communient dans la même idéologie politiquement correcte, toutes les entités qu’ils dirigent œuvrent, non pas indépendamment, mais de concert et selon un ordre hiérarchique qui n’est pas celui des apparences. Les médias comme la justice dominent le pouvoir politique et le grand patronat domine les médias, de telle sorte que le monde économique et financier exerce sur le Système un pouvoir aussi absolu que discret.
L’idéologie politiquement correcte comme moteur du Système
Une discrétion qui est de règle et qui est d’ailleurs d’autant mieux respectée que le Système fonctionne en pilotage automatique. D’abord parce que tous les acteurs du Système se tiennent et que ceux qui en sortiraient seraient aussitôt diabolisés et marginalisés. Ensuite parce que tous ceux qui y occupent des postes de responsabilité connaissent la direction à suivre. Aussi n’y a-t-il aucun chef secret qui en dirige les ramifications. Aucune organisation parallèle ne structure le réseau. Sans doute existe-t-il des personnalités plus influentes que d’autres, peut-être y a-t-il des cénacles qui comptent plus que d’autres, mais le Système s’autorégule car tous ses membres ont la même feuille de route, celle de la pensée unique, une idéologie qui repose sur trois piliers. L’ultralibéralisme international qui prône la dérégulation totale des échanges économiques et financiers à l’échelle de la planète. Le mondialisme qui pousse à la fusion des peuples et des nations et donc à l’immigration sans limite. Et la déconstruction des valeurs sociétales, cette espèce de relativisme militant qui cherche à abattre les valeurs et à gommer toutes les différences. Au résultat le Système œuvre dans le sens du libre-échangisme, de l’internationalisme, de l’européisme, de l’atlantisme, de l’immigrationnisme, de l’écologisme et du libertarisme.
Telle est la raison pour laquelle on ne peut pas, sans risquer la diabolisation ou l’ostracisme, défendre le protectionnisme économique, contester l’Europe bruxelloise, réclamer l’arrêt de toute immigration, ou même s’interroger sur la validité de la parité homme femme généralisée. Ces questions sont taboues parce que contraires aux options du Système, lequel impose ses vues sans contestation possible.
La droite nouvelle, cible principale du Système
La droite nouvelle, dont les choix idéologiques sont presque tous contraires à ceux du Système, se situe donc dans l’opposition, non seulement à la Nouvelle Gauche de M. Macron actuellement au pouvoir, mais aussi au Système dans son ensemble. C’est pourquoi elle ne peut qu’être combattue par les médias et maltraitée par la justice. Le Système est en effet bien conscient qu’une victoire politique de la droite nouvelle pourrait signifier son démantèlement puis sa disparition. Il mettra donc tout en œuvre pour s’opposer à elle, pour freiner son émergence et empêcher sa victoire.
La droite nouvelle en alternative au Système
C’est pourquoi la droite nouvelle doit, selon Ligne droite, se positionner clairement en alternative au Système. Une alternative qui apparaît comme une nécessité impérieuse pour la survie même de notre nation et de notre civilisation aujourd’hui gravement menacées. Toutes les actions du Système détruisent en effet les valeurs qui ordonnent notre société et conduisent au chaos. Le chaos migratoire, qui déracine notre peuple et l’expose au risque d’être remplacé par des populations venues d’ailleurs. Le chaos économique, qui appauvrit les Français, crée le chômage de masse et dépossède la France de ses outils de production. Le chaos sociétal, qui détruit les valeurs traditionnelles, effacent les repères et génère la médiocrité. Pis, ce Système provoque la guerre de tous contre tous, il fragmente la France, dresse les minorités contre la majorité et laisse émerger des communautés qui s’opposent les unes aux autres.
Pour mettre un terme à ces funestes entreprises, il est donc essentiel de s’opposer au Système et de réussir à le démanteler. C’est à cette tâche que la droite nouvelle doit s’atteler en se positionnant clairement comme l’alternative au Système.
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Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine
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Ce qu’on ignore (encore) de « l’affaire Alexandre Benalla »…
« Il serait intéressant de connaître les raisons de l’intervention musclée d’Alexandre Benalla le 1er mai, ainsi que l’opinion des autres policiers et des spectateurs ayant assistés à la scène… »
Entretien avec Philippe Randa
Propos recueillis par Guirec Sèvres, publiés sur le site Synthèse nationale
Que vous inspire « L’affaire Alexandre Benalla », ce collaborateur d’Emmanuel Macron filmé en train de frapper un manifestant le 1er mai dernier ?
On assiste depuis quelques jours à un déchaînement des médias et de l’opposition politique – c’est de bonne guerre – et à un quasi-silence du gouvernement : quelques déclarations du bout des lèvres, notamment du porte-parole de la présidence, Bruno Roger-Petit, qui indique chichement que Benalla avait été « autorisé » à « observer les opérations de maintien de l’ordre pour le 1er mai », précisant « sur son jour de repos », mais bien sûr nullement à intervenir physiquement… Première remarque : puisque c’était son jour de repos, en quoi avait-il besoin d’une autorisation pour observer manifestants… ou policiers ? Bref… S’ensuivra comme on l’a apprit une mise à pied de 15 jours, censé être « la sanction la plus grave jamais prononcée contre un chargé de mission travaillant à l’Élysée ». Qu’on se le dise !
D’où la polémique sur ce « scandale », sans même que l’on apprenne si le manifestant malmené l’a été gravement ou non – des images de caméras vidéo, aussi « frappantes » (sans jeu de mot) soient-elles, prises par un amateur, sont toujours à considérer avec prudence : les services de police ont des spécialistes pour les analyser comme il se doit. Il serait surtout intéressant de connaître les raisons de l’intervention musclée de Benalla et l’opinion des autres policiers ayant assistés à la scène sans juger bon d’intervenir…
Vous défendez Alexandre Benalla ?
Absolument pas, j’essaie juste d’avoir un regard dépassionné sur un fait-divers qui peut effectivement être un scandale d’importance si un employé de la Présidence de la République a tabassé pour se défouler un manifestant, ce avec impunité car arborant un « casque à visière des forces de l’ordre » et sans que les autres policiers ne s’interposent, ce qui impliqueraient une complicité manifeste de leur part… Je veux juste attirer l’attention sur le fait qu’à ce jour (vendredi 20 juillet), il manque les témoignages des policiers témoins si passifs lors de l’altercation et les explications de l’intéressé pour expliquer son attitude. Quant à la « victime », ce manifestant a-t-il été gravement blessé ou n’a-t-il eût à déplorer que quelques bleus ? On notera qu’il portait un foulard ; était-ce pour se protéger des gaz lacrymogènes ? Pour éviter d’être reconnu en commettant des actes de violence ou de délinquance ?… Quant au tabassage à terre que dénonce à haute voix le videaste amateur, on ne voit rien ! Rappelons que la scène a lieu en pleine rue, devant des commerces ouverts : outre les témoignages des policiers et des manifestants, ceux des spectateurs ne manqueront sans doute pas de retenir l’attention des enquêteurs… On sait aujourd’hui qu’il y a souvent des provocateurs parmi les policiers ; n’y en auraient-ils pas peut-être aussi parmi les manifestants ? Alexis Corbière, député de Seine-Saint-Denis, a reconnu que le vidéaste amateur, opportunément présent sur les lieux, était membre de La France insoumise.
Il n’en reste pas moins que le parcours professionnel d’Alexandre Benalla est parsemé d’incidents violents ?
Oui, mais les « incidents violents » sont tout de même plus fréquents lorsqu’on assure des services d’ordre ou des protections rapprochées que lorsqu’on s’occupe de maintenance informatique, non ? Encore une fois, je ne me fais nullement l’« avocat du diable » de ce personnage, je fais seulement quelques remarques de bon sens face au procès uniquement à charge des médias et de l’opposition politique. Mais je le répète, c’est de bonne guerre de leur part dans une période estivale généralement assez pauvre en évènements politiques.
L’Élysée a toutefois engagé une procédure de licenciement ce vendredi 20 juillet contre Alexandre Benalla…
Il fallait s’y attendre ; vu la polémique, le plus simple est de se débarrasser du boulet qu’il est devenu ; le plus étrange, encore une fois, c’est que cela n’ait pas été fait en mai, puisqu’on assure que le Ministre de l’intérieur Gérard Collomb avait immédiatement été avisé de l’affaire… Il n’avait pas dû juger alors – ni aucun responsable proche de lui ou du Président Macron – que cela méritait davantage qu’une mise à pieds de 15 jours… Étonnant à notre époque où l’obsession du moindre scandale pousse généralement à condamner sans juger par simple « principe de précaution »… Soit l’affaire en question n’en est pas une, soit ceux qui nous gouvernent actuellement se croyaient intouchables… Ils ne seraient pas les premiers !
Jean-François Touzé, membre du Bureau politique du Parti de la France, n’a pas mâché ses mots dans un communiqué concernant Alexandre Benalla… Pour lui, « c’est une racaille. Une racaille comme il y en a tant dans les milieux de la sécurité. Une racaille entrée dans la lumière du Président de la République sans, pour autant, quitter l’ombre des basses besognes de la mafia institutionnelle… »
Peut-être, oui… Cette opinion ne change rien et ne contredit nullement le regard que l’on peut porter objectivement sur cette affaire comme elle nous l’est présentée jusqu’à présent. Vous m’avez interrogé sur « l’Affaire Benalla », pas si je considérais ce personnage comme un gentleman.
Philippe Randa : Directeur du site EuroLibertés, Philippe Randa est un ancien auditeur de l’Institut des Hautes Études de Défense Nationale, chroniqueur politique, éditeur (éditions Dualpha, Déterna et L’Æncre) et auteur de plus d’une centaine de livres. Sociétaire de l’émission « Bistrot Liberté » sur TVLibertés. Il écrit également des billets pour le quotidien Présent et co-anime chaque jeudi l’émission « Synthèse » avec Roland Hélie sur Radio Libertés. Ses chroniques politiques sont publiées chaque année en recueil sous le titre : « Chroniques barbares ». Dernier livre paru Une démocratie hors de prix, préface d’Aristide Leucate.
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L'émission "Synthèse" sur Radio Libertés de jeudi avec André Archimbaud
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vendredi, 20 juillet 2018
De quoi Alexandre Benalla est il le nom ?
Jean-François Touzé
membre du Bureau politique du Parti de la France
Alexandre Benalla est une racaille. Une racaille comme il y en a tant dans les milieux de la sécurité. Une racaille entrée dans la lumière du Président de la République sans, pour autant, quitter l'ombre des basses besognes de la mafia institutionnelle.
En soixante ans d'existence la Cinquième République nous a habitués à ces «chargés de mission » qui, par la grâce du SAC gaulliste, des réseaux giscardiens, des cellules mitterrandiennes ou des cabinets noirs chiraco-sarkozistes, bénéficiaient, pour les uns de cartes barrées de tricolore, pour les autres de coupe-files officiels, pour tous de l'impunité d’État.
Savoir, dans ces conditions ce que faisait Benalla le 1er mai place de la Contrescape dans le cinquième arrondissement de Paris, et qui lui a fourni le brassard «police" qu'il arborait fièrement ce jour là en tabassant ce manifestant gauchiste sur les petits bobos duquel il va de soi que nous ne verserons pas de larmes, importe finalement assez peu. Tout comme reste relativement indifférent l'éclairage qui sera donné (ou pas) par la commission des lois transformée avec une étonnante rapidité en Commission d'enquête.
La question est de savoir combien de temps encore les Français, une nouvelle fois instruits de la réalité de la République pourrie des coquins et des copains, continueront ils à s'en remettre à ce Système dépravé ?
La question est de savoir combien de temps encore ils accepteront les méthodes et les mœurs de cette classe politicienne moralement dissolue ?
La question est de savoir combien de temps encore ils reculeront le jour de l'échéance ultime qui permettra l’émergence d'un pouvoir de force et d'autorité ouvertement assumées en se tournant enfin vers la Droite nationale ?
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jeudi, 19 juillet 2018
TV Libertés reçoit Frédéric Le Moal pour son livre "Histoire du fascisme" (Perrin)
19:43 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
IGNACE, fin observateur...
Dessins d'Ignace en quantité cliquez là
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mardi, 17 juillet 2018
LE CHAUVINISME D'UN SOIR EST LE PIRE ENNEMI DU NATIONALISME
13:34 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
JEUDI PROCHAIN, ANDRÉ ARCHIMBAUD, ÉCRIVAIN ET CONTRIBUTEUR À BOULEVARD VOLTAIRE, INVITÉ DE L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR RADIO LIBERTÉS
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13:07 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 14 juillet 2018
POURQUOI JE SOUHAITE LA VICTOIRE DE LA CROATIE...
Thomas Joly cliquez ici
Ce dimanche va se dérouler la très attendue finale de la Coupe du monde de Football où s'affronteront la Croatie et l’agglomérat de mercenaires extra-européens qui constituent l'équipe dite « de France » (17 allogènes sur 23 sélectionnés).
Au delà de l'enjeu sportif, se pose l'enjeu politique, civilisationnel. Formidable outil de manipulation des masses, l'équipe de France de football est l'arme de propagande ultime pour imposer le grand remplacement du peuple français. S'ils gagnent, nous allons en ingurgiter jusqu'à l'overdose, 1998 sera du pipi de chat à côté.
Entendons-nous bien, cette équipe est, à mon humble avis d'amateur de foot, très bonne et n'a en rien usurpé sa qualification en finale. Mais là n'est pas le problème. S'il s'agissait d'un club, peu m'en importerait. Mais la France ce n'est pas ça. N'golo Kanté, Blaise Matuidi et Samuel Umtiti sont autant français que moi-même congolais. Ces individus, aussi talentueux qu'ils soient, ne peuvent incarner l'identité française au sein d'une équipe nationale.
Et à tous ceux qui verraient dans ma position celle d'un raciste primaire, même si je n'ai pas l'habitude de répondre à ce genre d'anathème, j'indique que si l'équipe de France s'était retrouvée face au Sénégal ou au Japon, j'aurais également soutenu ces Nations à la composition cohérente face à l'armada afro-mondialiste en bleu.
Et par pitié, que des patriotes d'un jour, qui sortent courageusement leur drapeau les jours de match et rasent les murs le reste de l'année face à la racaille afro-maghrébine, ne viennent pas me donner de leçons d'amour du pays alors qu'ils sont incapables de s'opposer à ceux qui sont en train de le détruire.
Pour tout ceci, allez les Croates !
16:39 Publié dans Tribunes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 13 juillet 2018
L'émission "Synthèseèse" sur Radio Libertés de jeudi dernier avec Jean-François Touzé, directeur de Confrontation
15:31 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |