lundi, 08 octobre 2018
Liège (Belgique) : attentat gauchiste contre le mouvement Nation
Ce dimanche 7 octobre, des militants liégeois du Mouvement NATION ont été la cible d’une attaque au cocktail Molotov.
Alors que les militants revenaient d’une manifestation en soutien du pompiste de Comblain-au-Pont, ils se sont attablés dans un établissement liégeois où le public est assez sensible aux thèses patriotes.
Aux alentours de 15 h deux hommes cagoulés et vêtus de noir surgissent et lancent une bombe incendiaire sur la vitrine de l’établissement. Si l’engin incendiaire fut heureusement mal préparé et n’a pas fait de gros dégâts, l’attaque semble, elle, avoir été préparée bien à l’avance. Pour rappel, le président de NATION avait annoncé sa venue dans le centre de Liège voici quelques jours déjà.
Rappelons qu’il y a quelques jours, des appels à la violence issues de groupuscules gauchises circulaient sur la toile et ceci sans que les auteurs ne semblent avoir été inquiété (voir capture d’écran ci-dessous).
Il est indéniable que nous sommes face ici à un acte terroriste avec tentative d’incendie volontaire car prémédité ainsi que tentative de meurtre envers des militants identitaires et les clients de l’établissement.
Aucune violence d’extrême gauche ne fera reculer NATION !
Source cliquez ici
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dimanche, 07 octobre 2018
LES BRIGANDES VOUS RECEVRONT SUR LEUR STAND À LA 12e JOURNÉE DE SYNTHÈSE NATIONALE À RUNGIS DIMANCHE 14 OCTOBRE
PRENEZ DÈS MAINTENANT
VOTRE BILLET CLIQUEZ LÀ
Cependant, un stand représentant les Brigandes sera présent, auquel cas il sera possible de nous y rencontrer.
Quoi qu’il en soit, nous vous enjoignons à soutenir cette journée de votre présence.
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UNE FOIS DE PLUS, NOTRE CAMARADE ET AMI THOMAS JOLY, SECRÉTAIRE GÉNÉRAL DU PARTI DE LA FRANCE, EST CONVOQUÉ (EN APPEL) DEVANT LA JUSTICE...
Mercredi 24 octobre à 13h30, Thomas Joly, Secrétaire général du Parti de la France, passera devant la Cour d'Appel d'Amiens. Son crime ? Avoir illustré un article de son blog dénonçant la barbarie de l'État islamique avec des photos de la décapitation du journaliste James Foley et d'Hervé Cornara ; alors même que celles-ci sont accessibles à tous via n'importe quel moteur de recherche et sur, entre autres, les sites du Monde et de l'AFP !
Scandaleusement condamné en première instance à deux mois de prison avec sursis et 2.000 € d'amende (compte-rendu à lire ici), Thomas Joly a fait appel de cette décision inique (voir ici).
C'est pourquoi, tous les patriotes attachés à la liberté d'expression face à la barbarie islamiste sont invités à venir soutenir le Secrétaire général du Parti de la France mercredi 24 octobre à 13h30 à la Cour d'Appel d'Amiens (14, rue Robert de Luzarches).
ECOUTEZ THOMAS JOLY CLIQUEZ ICI
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ILS SERONT SUR LE STAND DES ÉDITIONS DU "RETOUR AUX SOURCES" DIMANCHE 14 OCTOBRE À RUNGIS :
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LE NOUVEAU LIVRE D'ADRIEN ABAUZIT
L’affaire Dreyfus – Entre farces et grosses ficelles
Principalement sur la base des enquêtes et débats judiciaires, Adrien Abauzit désintègre le récit académique de l’affaire Dreyfus, en mettant au clair les crimes et rôles de Dreyfus, Picquart et Esterhazy. Les conséquences de l’affaire Dreyfus sont analysées jusqu’à leur fin extrême, sur les champs de bataille de 1914.
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10:06 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 06 octobre 2018
DIMANCHE 14 OCTOBRE, LORS DE LA 12e JOURNÉE DE SYNTHÈSE NATIONALE, JEAN-CLAUDE ROLINAT PRÉSENTERA SON NOUVEAU LIVRE : "LA BOMBE AFRICAINE" (DUALPHA)
18:55 Publié dans 12 - La 12e Journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
DANS "PRÉSENT" DE CETTE FIN DE SEMAINE : UN GRAND ENTRETIEN AVEC ALEXANDRE EYRAUD, L'ACQUITTÉ DE L'AFFAIRE MÉRIC
18:50 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
HUGUES BOUCHU, LES AMIS FRANCILIENS DE SN, SERA À LA 12e JOURNÉE DE SYNTHÈSE NATIONALE
15:29 Publié dans 12 - La 12e Journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Journal du chaos
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La nécessité de rendre du pouvoir au pouvoir
Ligne Droite cliquez ici
Si la droite nouvelle arrivait aujourd’hui au pouvoir, elle n’aurait pas le pouvoir de mettre en œuvre son projet. Pour Ligne droite, sa première priorité devrait donc être de reconquérir le pouvoir, c’est-à-dire de retrouver une capacité d’agir que les présidents et les gouvernements qui se sont succédé ont progressivement perdue au profit de Bruxelles, des juges et des médias.
La crise du politique : les politiques impuissants
Là réside d’ailleurs l’origine de la crise du politique. Celle-ci en effet ne s’explique pas par les affaires de corruption qui éclaboussent régulièrement certains hommes publics. Elle ne vient pas non plus des privilèges dont ils bénéficieraient et qui les couperaient de la vraie vie. Et elle ne trouve pas non plus sa cause dans la prétendue non représentativité du monde politique qui comporterait trop peu de femmes, trop de fonctionnaires et insuffisamment de jeunes. La cause profonde se situe en effet ailleurs : elle tient au fait que les politiques, même au plus haut niveau, sont dorénavant dépourvus de vrai pouvoir. En tout cas, ils n’ont plus une réelle capacité de changer le réel et de résoudre les problèmes du pays par de profondes réformes.
D’ailleurs, les équipes se succèdent sans que rien ne change vraiment, au point que les Français éprouvent de plus en plus le sentiment que les élections ne servent à rien puisqu’après chaque vote tout continue peu ou prou comme avant. La vraie cause de la crise c’est donc bien l’impuissance du pouvoir et cette tare est pour un homme politique la pire qui soit, car la qualité première qui est demandée à un responsable public ce n’est ni la probité, ni l’empathie, ni le charisme médiatique, c’est la puissance, c’est-à-dire la force pour agir.
Les politiques soumis aux juges, à Bruxelles et aux médias
Depuis des décennies, les hommes au pouvoir se sont laissé déposséder d’une très large part de leurs prérogatives. Il y a d’abord eu la manie de confier ce qui dépendait autrefois de la décision d’un ministre à des commissions, hautes autorités et autres comités libérés de la tutelle politique et prétendument indépendants. Mais, surtout, c’est le pouvoir des juges qui a considérablement progressé aux dépens du pouvoir exécutif et législatif, au point que le Parlement se trouve désormais placé sous la tutelle du Conseil constitutionnel. Aucune loi ne peut en effet entrer en application sans que ce dernier l’ait approuvée et il ne l’approuve que si elle est conforme à la pensée unique. De même, dans l’exercice quotidien du pouvoir, le gouvernement se heurte maintenant régulièrement au Conseil d’État, à la Cour de cassation, voire à des juridictions de rang inférieur qui entravent fréquemment son action.
À cela s’ajoutent les pouvoirs exorbitants des médias, qui disent ce qui est bien et ce qui ne l’est pas, n’hésitant pas à organiser des cabales contre les hommes publics qui sortent du cadre politiquement correct défini par eux. Et, pour couronner le tout, il y a la Commission de Bruxelles qui étend au maximum ses prérogatives, multipliant règlements et directives qui s’imposent aux États et limitent encore davantage le pouvoir des responsables politiques.
Rétablir la prééminence du pouvoir politique
Afin de permettre aux gouvernants de gouverner, Ligne droite estime donc nécessaire de rétablir la prééminence du pouvoir politique. Pour cela, il faut mettre un terme au gouvernement des juges et prévoir notamment un droit de recours des décisions du Conseil constitutionnel ainsi qu’un ensemble de dispositions propres à remettre à leur place les différentes juridictions aujourd’hui trop envahissantes (voir les textes sur ce sujet). Face à la Commission de Bruxelles, il importe notamment de rétablir la supériorité du droit français sur le droit européen avant de refonder l’Europe sur de nouvelles bases respectant mieux les prérogatives quotidiennes des États. Enfin, il faut desserrer le carcan du pouvoir médiatique. À cet égard, le gouvernement dirigé par la droite nouvelle devrait se doter d’une puissante agence de communication ainsi que d’une chaîne de télévision afin que son action ne soit plus présentée exclusivement à travers le filtre de médias a priori hostiles.
Arrivant aux responsabilités, les chefs de la droite nouvelle devraient se donner comme priorité de rétablir les prérogatives souveraines du pouvoir sans lesquelles ils n’auraient pas la capacité d’agir pour le bien commun.
12:04 Publié dans Ligne Droite | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
SERGE AYOUB INTERVIENDRA LORS DE LA 12e JOURNÉE DE SYNTHÈSE NATIONALE LE DIMANCHE 14 OCTOBRE À RUNGIS
11:59 Publié dans 12 - La 12e Journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 05 octobre 2018
ROGER HOLEINDRE INTERVIENDRA LORS DE LA 12e JOURNÉE DE SYNTHÈSE NATIONALE LE DIMANCHE 14 OCTOBRE À RUNGIS
18:55 Publié dans 12 - La 12e Journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Marseille : Génération Identitaire occupe les locaux de l'ONG pro-migrants SOS Méditerranée !
Un communiqué de Génération identitaire :
Depuis 14 heures, Génération Identitaire occupe les locaux de « SOS Méditerranée » à Marseille où ses militants ont déployé une grande banderole « SOS Méditerranée complice du trafic d’êtres humains ». Réalisée de manière pacifique, notre action vise à dénoncer la complicité de cette ONG qui, sous couvert « d’humanitaire », collabore avec les passeurs de clandestins.
En effet, depuis 2015, le navire « Aquarius » affrété par SOS Méditerranée récupère les migrants abandonnés en mer par les passeurs pour les débarquer sur le sol européen. Véritable « taxi des mers », il constitue un maillon de la grande chaîne de tous ceux qui profitent de l’immigration massive, des mafias libyennes aux vendeurs de sommeil européens, en passant par la cohorte d’associations subventionnées qui ont fait de l’immigration leur fonds de commerce.
Interrogé sur ce rôle délétère joué par les ONG, Emmanuel Macron a concédé au mois de juin qu’on ne peut pas « accepter durablement cette situation car au nom de l’humanitaire cela veut dire qu’il n’y a plus aucun contrôle. À la fin on fait le jeu des passeurs en réduisant le coût du passage pour les passeurs. » (Le Parisien, 26/06/2018).
Nous demandons aujourd’hui au Président de la République de faire preuve de cohérence. L’Aquarius est actuellement à Marseille, privé de tout pavillon pour non-respect des "procédures juridiques internationales".
A l’instar du navire « Luventa » de l’ONG « Jugend Rettet » placé sous séquestre par la Justice italienne en août 2017, nous réclamons la saisie de l’Aquarius et la fin de toute forme de subvention à ces associations qui favorisent la submersion migratoire.
18:54 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Un communiqué de Lorrain de Saint Affrique :
18:48 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Économie : 2019, l’année de tous les dangers en Europe
Marc Rousset
Le taux directeur américain vient d’être relevé par la Fed d’un quart de point supplémentaire, à 2,25 %, et devrait atteindre 3 % à fin 2019. Selon la BCE, une première hausse des taux pourrait intervenir à l’été 2019. Les taux ont donc commencé à monter et ce sont toujours eux qui ont été à l’origine des six dernières crises dans le monde, de 1980 à 2008. Depuis 2009, le S&P 500, l’indice américain le plus représentatif de la bulle des actions, a été multiplié par quatre, en progressant de 700 à 2700, tandis que l’indicateur préféré du célébrissime milliardaire américain Warren Buffet, le ratio capitalisation boursière/PIB, a atteint 1,4, dépassant sa valeur de seulement 1 pendant la crise des subprimes de 2008, et le niveau le plus élevé jamais atteint jusqu’à présent de 1,36 lors de la crise Internet de l’année 2000.
Les élections européennes de mai 2019 vont faire l’objet de vives tensions car elles se présentent comme un référendum européen sur l’Union européenne, sur l’immigration, pro ou anti-Macron et Merkel. Il semble que les populistes s’acheminent vers une victoire écrasante qui va bouleverser l’Europe. Macron et Merkel, s’ils sont désavoués par les peuples, n’auront plus qu’à choisir entre le statut de zombie ou la démission. En Allemagne, la montée en puissance de l’AfD semble irrésistible puisque ce parti serait déjà le n° 2, avec plus de 18 % des votes, ayant dépassé le SPD avec, comme slogan leitmotiv, la démission de Merkel : « Merkel muss Weg ! »
En France, Macron est en chute libre, avec un état de l’économie française de plus en plus préoccupant. Il n’y a pas que l’État souverain ; les ménages et les entreprises françaises affichent également des records d’endettement. Fin mars 2018, l’Hexagone affichait le ratio de dette privée le plus élevé de la zone euro, soit 131 % du PIB. L’endettement des particuliers atteint 93 % de leur revenu disponible, soit 58 % du PIB. Quant aux entreprises françaises, elles sont aussi les championnes de l’emprunt, avec un taux d’endettement qui représente 73 % du PIB, 56 % de la dette ayant été octroyés à taux variable, ce qui entraînera immanquablement des faillites en série si les taux augmentent. La charge de la dette française, malgré les taux d’intérêt ridicules actuels, soit 42 milliards d’euros, représente déjà le 2e poste du budget français derrière l’Éducation, et bien devant le malheureux budget croupion de l’armée française. La dette publique française de 2.300 milliards d’euros représente aujourd’hui une dette vertigineuse de 34.208 euros par Français, qui ne sera jamais remboursée.
Il suffit de la faillite d’une seule banque telle que Deutsche Bank en Allemagne, UniCredit, Intesa Sanpaolo en Italie, avec trop d’obligations souveraines et de créances pourries à leur bilan, du défaut de l’Italie, de l’Espagne ou de quelques pays émergents pour qu’un krach boursier s’ensuive avec une augmentation des taux d’intérêt et une succession de faillites en série d’entreprises et de banques dans le monde entier.
L’Italie est devenue la poudrière officielle de l’Europe, suite au budget trop dépensier de la coalition Ligue-5 étoiles. Les craintes d’une nouvelle crise du type grec en dix fois plus grand sont fondées. Le taux d’intérêt à dix ans de l’État italien vient de bondir jusqu’à 3,29 %, soit un écart de 2,80 % avec le taux d’intérêt des emprunts allemands.
L’Allemagne est la grande gagnante de la zone euro, suite au laxisme socialiste décadent non compétitif de la France et des pays européens du Sud, avec ses excédents de biens exportés qui se traduisent par une créance à l’actif de la Bundesbank vis-à-vis des autres banques centrales européennes. Mais il s’agit d’une simple promesse comptable TARGET2 des autres pays de la zone euro de rembourser ultérieurement avec des surplus d’exportations de biens et services vers l’Allemagne. Encore faudrait-il s’assurer qu’il y aura effectivement, un jour, des excédents des autres pays de la zone euro vers l’Allemagne sinon, de gagnante, l’Allemagne pourrait alors devenir le « dindon de la farce ». En cas d’explosion de la zone euro, de banqueroute de la Grèce, de l’Espagne, de l’Italie et de la France, les créances TARGET2 de 1.000 milliards d’euros de la Bundesbank, soit environ la moitié du PIB annuel français, devraient normalement être payées en or ou en dollars par les banques centrales débitrices pour solde de tout compte, mais il est probable qu’elles ne seront jamais réglées par des pays tels que la Grèce ou l’Italie.
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DANIEL CONVERSANO SERA À LA 12e JOURNÉE DE SYNTHÈSE NATIONALE DIMANCHE 14 OCTOBRE 2014
14:15 Publié dans 12 - La 12e Journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Les deux B de notre République en voie d’agonie : Baratin et Burqa
Bernard Plouvier
Tout le monde l’a compris après dix-huit mois de spectacle continu : Grand Timonier de France n’est rien d’autre qu’un géant, mignon et dynamique, du Baratin.
Sa vie privée et ses goûts exotiques ne regardent que lui. Mais ses prestations dans ses innombrables voyages promotionnels en France et à l’étranger concernent au premier chef l’État français, donc la Nation, seule souveraine de cet État.
Après le langage de jeune et enthousiaste réformateur des trois premiers mois, qui pouvait paraître prometteur, l’on a ouï quantité d’absurdités sur l’immigration bienfaisante à la Nation, sur l’emploi « facile à trouver » - en une époque où le chômage est de cinq millions d’individus en âge et en état de travailler, ce discours est purement abject -, sur la réhabilitation des voyous « pour faire plaisir à maman », sur les privilèges des retraités et autres âneries de gamin mal élevé s’adressant à des chefs d’État qui, eux, améliorent l’existant de leurs pays.
En contrepartie de ce boniment de bateleur de foire, l’on a vu monter les taxes à la consommation et les taxes répressives, alors que l’on nous promet un allègement des impôts… ce qui est probablement à comprendre comme une réduction des impôts sur les bénéfices des entreprises. Si le chômage croît, l’inflation est elle aussi sur la pente ascendante.
Cerise sur le gâteau de moins en moins appétissant, les publicités télévisées ne nous montrent plus que de bons Noirs qui apprennent à lire à des analphabètes Blancs ou empêchant une gentille Beurette de se faire violer par un Blanc ! Certes, on multiplie les hommages et commémorations ; ça amuse Margot et ça fait pleurer dans les chaumières. Mais est-ce utile à l’avenir de l’État et de la Nation ?
Comble de ridicule, l’on fait une montagne du départ pour sa mairie d’un chenu ministre de l’Intérieur, quittant le fier navire gouvernemental qui ressemble de plus en plus au radeau de La Méduse. Or, ce n’est pas pour la capitale des Gaules qu’il aurait dû partir, mais pour la Haute Cour, de façon à y être jugé pour incapacité. Parce que si de hautes fonctions donnent droit à une forte rétribution et une foule de privilèges, c’est en contrepartie d’une gestion efficace du Bien Commun. Or, le bilan est désastreux.
En dix-huit mois, on a vu se multiplier les émeutes raciales, très minorées par les media de gouvernement. Presque chaque semaine, un Français se fait poignarder par un « allahou abkar » (le cri devenant un éponyme d’assassin débile). Des barbouzes jouent impunément aux gros bras, auxiliaires illégaux des forces de l’ordre. Aucune des 2 000 cités de non-droit n’a été réduite à l’obéissance des lois de la République.
On se gargarise de l’arrestation d’un voyou d’origine maghrébine – sa première agression à main armée a été commise lorsque cette chance pour la France avait dix-huit ans -, mais l’on apprend qu’il circulait en burka !
Depuis une loi de 2010, le port de la burka est interdit en France (et en Belgique, mais aussi au Maroc « pour d’évidentes raisons de sécurité », comme me l’a dit un médecin marocain, qui raisonne fort bien). Or, si l’on jette un regard furtif sur certains quartiers de Marseille ou de la région parisienne, cette tenue qui recouvre entièrement le corps est exhibée par des silhouettes de sexe indéterminé.
Officiellement, les hommes du ministère de l’Intérieur et des Cultes combattent, comme c’est leur devoir, le fanatisme mahométan djihadiste, mais le symbole des fous furieux salafistes est exhibé dans les rues des cités à majorité mahométane, parce que la police n’ose intervenir « de peur de déclencher une émeute ». Il a fallu une chasse à l’homme dangereux (spécialiste des explosifs) et une burka tellement mal ajustée qu’elle dénonçait l’homme pour qu’enfin l’on dévoile un porteur de tenue interdite.
Un Baratineur en et un acteur en représentation permanente à l’Élysée, une Burka interdite mais régulièrement portée sur le territoire de notre République laïque, tout cela est indigne. La Nation peut-elle réagir ? Bien sûr ! C’est même son devoir, au nom de la Dignité d’être Français (même un Mitterrand la ressentait), pour l’avenir de nos enfants et petits-enfants.
Grand Président, il est temps de gouverner intelligemment dans l’intérêt de la Nation, ou de dégager.
12:59 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Les antispécistes s’en prennent aux boucheries traditionnelles
Arnaud Raffard de Brienne
Sale temps pour les bouchers dont plusieurs dizaines de magasins font l’objet d’actes de vandalisme depuis quelques mois. Vitrines caillassées, aspersion de faux sang, tags et autocollants se multiplient dans le but évident d’intimider les 18 000 professionnels de la viande en France et de frapper les esprits de leurs clients. Les délicats défenseurs de la cause animale, les végans – nous n’en sommes plus à un anglicisme près -, responsables de ces destructions, prétendent agir au nom de l’antispécisme, une idéologie réfutant toute hiérarchisation et domination d’une espèce sur une autre, tout animal, dont l’homme, se valant sans distinction selon eux. La folie égalitaire proclamée met ainsi sur un strict plan d’égalité l’homme et le moucheron ou le ouistiti. Diffusant en boucle des slogans gratinés, tels « bouchers assassins », « la viande est un meurtre » ou « viande = massacre universel à grande échelle », les militants de cette cause n’ont rien inventé et ne constituent en fait que les caisses de résonance de courants philosophiques anglo-saxons déjà anciens.
Contre toute attente, parmi les dizaines de commerces traditionnels dégradés, on ne recense pas une seule boucherie halal. Surprenant lorsque l’on connait la méthode d’abattage rituelle, particulièrement cruelle, qui consiste à égorger l’animal sans le moindre étourdissement. Idem pour les boucheries casher fort opportunément épargnées.
Prévenance et prudence envers les boucheries halal
Courageux mais pas téméraires, nos militants végans semblent vouloir éviter soigneusement la confrontation avec les bouchers halal dont la patience n’égalerait sans doute pas celle de nos bouchers traditionnels condamnés à supplier les pouvoirs publics de leur accorder une protection. La clef de cette prévenance nous est révélée par une militante végan avouant à un média suisse : « nous excluons l’abattage halal de notre champ de protestation car nous ne voulons pas stigmatiser une population déjà souffrante ». Pour satisfaire plus encore aux exigences de la pensée unique et de la soumission à l’air du temps, notre militante insistait par ailleurs sur les risques d’alimenter l’islamophobie et que leur message ne soit relayé par les mouvements racistes. Toujours cette prison mentale du « pasdamalgam ». D’autres militants, sans doute un peu exaltés, évoquent un parallèle entre la consommation de viande et la Shoah. Ce parallèle hasardeux avait quand même été originellement osé par Isaac Bashevis Singer, Prix Nobel de littérature en 1978 et grand défenseur devant l’Éternel de la cause animale. Le brillant esprit avait résumé la situation par une formule pour le moins lapidaire : « Tous les gens sont des nazis ; pour les animaux, c’est un éternel Treblinka ».
C’est vraisemblablement ce conformisme qui a aussi fait passer sous silence l’horrible massacre animalier de la seconde quinzaine du mois d’août à l’occasion de la fête musulmane de l’Aïd-el Kébir : environ 150 000 moutons égorgés à vif, en France, dans des conditions souvent abominables. Pas un mot, ni une ligne de nos délicats végans au sujet de ce sacrifice de masse contemporain. Ces considérations ôtent, s’il en était besoin, toute crédibilité à aux campagnes par lesquelles des représentants autoproclamés de la population végétalienne - végane comme ils disent – tentent d’imposer leurs lubies aux 99% restants.
Il reste à la filière viande française – abattoirs, grossistes et détaillants - à s’interroger sur son indifférence et les raisons du silence dont elle a couvert l’inquiétante expansion de l’abattage halal en France.
Article paru dans Présent cliquez ici
NDLR :
12:45 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 04 octobre 2018
L'émission "Synthèse" du jeudi 4 octobre avec Pierre Le Vigan
22:12 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
ALBAN D'ARGUIN, AUTEUR D'"ÉOLIENNES UN SCANDALE D'ÉTAT" DÉDICACERA SON LIVRE À LA 12e JOURNÉE DE SYNTHÈSE NATIONALE LE 14 OCTOBRE À RUNGIS (94)
21:51 Publié dans 12 - La 12e Journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
IL EST SORTI : LE NOUVEAU LIVRE DE GEORGES FELTIN-TRACOL, "POUR LA TROISIÈME VOIE SOLIDARISTE"
21:21 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Mauvaise nouvelle : notre confrère le site Métamag suspend ses activités
Depuis quelques années le site Métamag nous fournissait des analyses construites et non conformistes sur l'actualité. Régulièrement, nous reprenions les articles qu'il publiait. Une équipe soudée animait cet ilot de résistance qui avait trouvé sa place dans la réinfosphère nationale. Et la mauvaise nouvelle est arrivée il y a quelques jours : Métamag arrête... il y a donc une pièce d'artillerie en moins dans notre camp.
Entretenir quotidiennement un site comme Métamag, ou Synthèse nationale, représente un travail colossal que beaucoup de nos amis ont du mal à imaginer. Chez certains blogueurs, au bout d'un moment, la lassitude finit par l'emporter (ce n'est pas forcément le cas de Métamag, nous ignorons les raisons profondes de sa fin) et ils décident de raccrocher. C'est dommage, mais il est vrai que les animateurs font cela de manière militante et que le militantisme devient vite chronophage. C'est le prix de la liberté d'expression.
Quoiqu'il en soit, nous tenons à saluer le travail remarquable effectué par les membres de l'équipe de Métamag et nous leur rappelons que les colonnes de Synthèse nationale leur sont toujours ouvertes.
Synthèse nationale
21:10 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Un nouveau livre de Bernard Lugan : L'Atlas historique de l'Afrique
Des origines de l’Homme aux conflits d’aujourd’hui, au fil de 250 cartes accompagnées de notices explicatives, cet atlas inscrit sur la longue durée, fait le bilan des connaissances historiques autour du continent africain à travers les permanences et les ruptures qui expliquent les crises actuelles et qui permettent d’annoncer celles de demain.
Cet ouvrage, sans équivalent, est l’outil de référence indispensable à tous ceux qui veulent connaître les constantes historiques et ethniques qui fondent la géopolitique de l’Afrique, ou plus exactement des Afriques, et sans la connaissance desquelles tout ce qui est dit ou écrit sur ce continent relève de l’artificialité.
L'Atlas historique de l'Afrique, Bernard Lugan, Editions du Rocher, 424 pages, 250 cartes et illustrations couleur, 33 €, le commander cliquez ici
20:49 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Quand Michel Onfray écrit à Macron sur le sens du doigté, ça donne :
Votre Altesse,
Votre Excellence,
Votre Sérénité,
Mon cher Manu,
Mon Roy,
Mais aussi:
Mon Chéri,
Je me permets en effet cette familiarité, mon cher Manu, car des photos t’ont récemment montré partout sur la toile aux Antilles enlaçant un beau black, bodybuildé en prison, luisant de sueur tropicale, ce qui semblait te ravir jusqu'au plus profond – si tu me permets l’expression… Ton sourire béat montre en effet que ta dilection va plus facilement à qui accompagne son selfie avec toi d’un doigt d’honneur qu’aux intellectuels qui n’ont pas l’heur de te plaire parce qu’ils ne te font pas la cour. Décidément, tu sembles n’aimer que ceux qui te font savoir leur amour d’une façon qui ne prête pas à confusion: il faut t’enlacer torse nu pour te plaire, essuyer sa transpiration sur ta chemise blanche, et passer plus de temps en salle de sport qu’en bibliothèque. Je comprends dès lors que le philosophe Etienne Balibar, avec lequel tu dis avoir rédigé un mémoire universitaire sur Machiavel, n’ait plus le souvenir de toi. Il n’est probablement pas assez couvert de sueur, trop âgé et trop intellectuel à ton goût.
A ceux qui voudraient augmenter un peu leur culture, ce qui n’est pas de trop ces temps-ci, consultons l’encyclopédie en ligne Wikipédia, soyons fous! Elle nous donne cette signification du doigt d’honneur: "Le majeur dressé autour des autres doigts baissés évoque un phallus et le reste de la main, un scrotum". Traduction pour qui ne maîtriserait pas toutes ces subtilités lexicales, il s’agit tout bonnement d’un "doigt dans le cul". Le doigt, on voit bien à qui il appartient, le cul, on se tâte – si je puis dire! Est-ce le tien personnellement? Auquel cas c’est ton affaire, mais n’en fais pas un étalage public: un président, ça ne devrait pas faire ça comme dirait l’autre… Ce cul, est-ce le nôtre en tant que tu incarnes la souveraineté populaire? Est-ce celui de la France dont tu es le corps mystique? On ne sait. Mais cette fois-ci, ça nous concerne. Et permets qu’on puisse ne pas jouir d’une pareille intromission dans notre intimité sans notre consentement. Demande à madame Schiappa: c’est la définition légale du viol.
Quoi qu’il en soit de ce fondement et de son propriétaire, c’est proprement manquer de doigté envers la République que de se laisser mettre de la sorte en arborant ce sourire radieux qui témoigne de ton contentement. Pareil goût relève de ta vie privée qui est celle du second corps du roi, elle ne devrait pas affecter ton premier corps qui est politique et républicain. Ce sourire, c’est le même que tu arborais sur les marches de l’Elysée le jour de la fête de la musique en compagnie d’une brochette d’individus, eux-aussi férus de ce très subtil langage des signes. On ne dira pas que tu caches ton jeu. Il n’y a que les crétins pour feindre que tu dissimules. Tu es du genre à nous le mettre bien profond, pour dire clairement ce qui ne devrait pas te choquer sous forme de mots, puisque la chose te ravit quand elle se trouve exprimée sous forme de geste. Mais mettre ou ne pas mettre, là est la question…
Or, cette question, tu l’as franchement résolue. Car, depuis quelque temps, tu montres en effet que, toi ou tes services, vous n’avez pas grand souci de la légalité (je ne parle plus de moralité, on sait désormais dans quelle estime tu tiens toute morale…), je parle de légalité. En adoptant cet angle de vue, on voit bien comment tu nous la mets, tu nous le mets, tu nous les mets…
D’abord, premier doigt, il y eut cette étonnante évaporation de tes bénéfices en tant que banquier chez Rothschild: tu sembles en effet avoir habilement fait disparaître cette somme considérable de ta déclaration de patrimoine avant les présidentielles. Quid en effet des cinq millions d’euros que tu as engrangés comme banquier pendant huit ans et dont personne ne retrouve la trace ? (source : "Cinq millions d’euros en huit ans, où est l’argent, Emmanuel Macron?" dans Economie Matin du 16 février 2017). Cinq millions, ça en fait des billets de cinq euros que tu voles dans la poche des étudiants qui reçoivent l’APL!
Ensuite, deuxième doigt, il y eut cette soirée de levée de fonds à Las Vegas qui a permis, via des facturations de Havas-Business, le prestataire de service de cette soirée apparemment effectuée sans appel d’offre, donc illégalement, de dégager de considérables marges, en dizaines de milliers d’euros, pour le candidat que tu étais alors. Qui organisait ce genre de soirée fort peu légale ? Muriel Pénicaud, ton actuelle ministre du travail (source : "Déplacement de Macron à Las Vegas: la très chère soirée organisée par Havas" dans Le Parisien du 8 juillet 2017). Fillon est tombé pour trois costumes: cette seule soirée t’aurait permis d’acheter des pardessus et des pantalons pour tout ton gouvernement et leurs cabinets pendant de longues années. Or, ce ne fut pas la seule soirée ayant permis des largesses à ton endroit.
Troisième doigt, devenu président, il y eut l’affaire Benalla. Chacun a eu le loisir, durant ce feuilleton de l’été débordant sur la rentrée, de voir combien et comment tu couvrais qui te couvre. Entre mensonges, stratégies de communication, enfumage, intoxication, désinformation, instrumentalisation, bien malin qui peut désormais savoir où se trouve la vérité. Dans cette affaire, je veux n’en retenir qu’une. C’est une affaire dans l’affaire. Quand ton petit protégé s’est retrouvé en garde à vue, la police n’a pu effectuer une perquisition à son domicile pour cause de légalité: elle n’intervient pas la nuit. Comment se fait-il qu’une équipe ait pu être diligentée pendant ce temps-là au domicile de Benalla pour ouvrir son coffre et faire disparaître son contenu, dont des armes à feu? Qui a dit quoi, et à qui, pour que ce forfait qui entrave la bonne marche de la justice ait été commis? Et par qui? Il faudrait demander à feu Gérard Collomb et lui demander si ça n’a pas un peu à voir avec sa récente démission… On ne fera croire à personne que ce faux cambriolage ait pu avoir lieu à cette heure, dans ce lieu, dans cet endroit de l’appartement d’un homme que tu protèges contre vents et marées, sans que tu sois un peu au courant! Qu’y-a-t-il entre lui et toi pour que se trouvent détruites les preuves des coups tordus de cette affaire? De quels doigts et de quels fondements symboliques, ou non, est-il ici question? (source: "Affaire Benalla. Compagne introuvable, coffre-fort disparu… les zones d’ombre subsistent" dans Ouest-France du 23 août 2018)
Puisque nous sommes dans la cambriole, ajoutons un autre forfait, ce sera le quatrième doigt, nous ne sommes pas bien loin de toute la main. Chacun sait désormais que la communication de monsieur Benalla, qui mettait tant dans l’embarras monsieur Collomb (un nom qui, je le jure sur ta tête, n’entre en rien dans ma métaphore filée du doigt et du fondement…), est pilotée par la Reine Mimi.
Qui est Mimi? Laissons parler les éditions Grasset qui publient bientôt une biographie non autorisée du personnage. Voici la quatrième de couverture du livre en question : "On l’appelle 'Mimi'. Michèle Marchand, la papesse des paparazzis, la gardienne des rumeurs, des secrets de la politique et des affaires. Elle collectionne les scoops sur les puissants mais elle a compris que le plus utile n’était pas de les vendre. Les posséder suffit. Et en parler, ici ou là. Elle ne dispose d’aucun titre officiel mais 'Mimi' se rend tous les jeudis à l’Elysée. Son agence de presse, Bestimage, a l’exclusivité de l’image de la Première Dame et de celles, privées, du couple Macron. (sic !) Une manne. Et une première. Jamais un couple présidentiel n’avait concédé un tel passe-droit à une 'petite marchande de photos'. Comment 'Mimi' a-t-elle pris le contrôle des secrets de Paris? Pourquoi lui est-il accordé tant de privilèges? Que sait-elle? Que tait-elle? Difficile d’enquêter sur cette femme, puissante et redoutée. Ses amis se taisent et ses obligés ont peur." Et puis ceci, qui ne manque pas de piment : "Garagiste, tenancière de boîte de nuit, mariée à des braqueurs puis à un policier, championne de ski, reine de la presse people… avant d’arriver au cœur du pouvoir. La vie de 'Mimi' est une énigme et un vertige."
On comprend que ce vertige en donne à d’autres. Voilà pourquoi, fort étrangement, l’appartement de l’un des journalistes a été cambriolé. Par qui? Toi seul le sait me semble-t-il. Ou Monsieur Collomb, qui a récemment fait ses valises… comme un voleur! Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai l’impression que l’équipe de monte-en-l’air qui a œuvré sur le coffre fort de Benalla était aussi de service chez l’un des biographes de la désormais fameuse Mimi. (source: "Un des biographes de 'Mimi' Marchand mystérieusement cambriolé" dans L’Obs du 26 septembre 2018).
Pour les besoins de ma démonstration, je sais que tu me comprendras, j’ai besoin d’un cinquième doigt. De sorte qu’ainsi, nous pourrons franchement parler d’un "Fist Fucking" – autrement dit, pour ceux qui se trouveraient autant déroutés par cette expression formulée dans la langue de Shakespeare que par les subtilités lexicales du corps humain, voici une libre traduction de mon cru : "La main, puis tout le bras dans le cul". Tu m’excuseras toutes ces variations proctologiques, mais c’est toi qui m’y contrains, après avoir commencé aux Antilles…
A plusieurs reprises, celui qui te sert de Benalla pour tes discours, Sylvain Fort, a fait savoir que tu n’appréciais pas un certain nombre d’intellectuels - dont ma pomme! Il fut dit un temps qu’un genre de "cellule riposte" allait être mise en place pour répondre aux idées "nauséabondes", bien sûr, de ces personnes dont j’étais et dont je suis. Notre Sylvain avait alors sorti du chapeau les noms de Michel Serres et de Pierre Nora: tu voulais du sang neuf et rajeunir la société française, ces académiciens totalisent 174 ans à eux deux, c’est réussi. (source : "Le devoir de mémoire de Macron" dans Le Parisien du 11 juin 2017).
Tout le monde a pu voir que tu étais capable de changer la loi pour récompenser Philippe Besson qui est à ta personne ce que Heidegger fut à Hitler, Sartre à Staline, Sollers à Mao (puis à Balladur)… Tu as en effet décidé de faire voter un texte permettant d’ouvrir une vingtaine de postes de consuls généraux supplémentaires à des fonctionnaires comme à des non-fonctionnaires afin de rendre possible ce hochet à offrir à ton ami avec l’argent de la République. (source: "Ce décret qui permet de nommer Philippe Besson consul à Los Angeles" dans Le Parisien du 30 août 2018).
Un homme qui est capable de passer par-dessus la loi pour récompenser un intellectuel qui le…, qui le…, disons, qui chante ses mérites, n’aurait pas à se forcer beaucoup pour faire savoir combien il lui plairait que ce philosophe, qui lui déplaît, cesse de voir ses cours diffusés sur le service public! Je dis ça comme ça! Après la fraude fiscale, trois doigts, les cambriolages, deux doigts, la promotion d’un ami comme avers d’une médaille dont le revers est l’éviction d’un ennemi, cinq doigt, voilà, le compte est bon: la main est passée tout entier, le bras peut suivre…
Voilà un an que Votre Altesse, Votre Excellence, Votre Sérénité, Mon cher Manu, Mon Roy, mais aussi: Mon Chéri, tu es au pouvoir. Et tu nous régales chaque semaine avec de nouvelles aventures. Il te reste quatre ans de règne.
Je t’annonce une bonne nouvelle: comme je dispose de plus de temps pour moi depuis que mes cours à l’Université populaire sont passés dans la moulinette de ton rectum citoyen, je me réjouis de pouvoir t’annoncer que je t’écrirai plus souvent que je ne l’avais prévu lors de ma première lettre. Cette perspective nouvelle me donne le même sourire que toi, mais pour d’autres raisons: je suis ravi !
On sait que le sage montre la lune et que l’imbécile regarde le doigt: pour ma part, j’en prend le ferme engagement, je ferai part égale entre la lune et le doigt…
Salut Manu
Michel Onfray
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FAUSSES RUMEURS AU SUJET DE L'ETAT DE SANTÉ DE JEAN-MARIE LE PEN
Lorrain de Saint-Affrique : « Comme le dit lui-même Jean Marie Le Pen, le cadavre se porte bien ! »
Depuis le communiqué de son avocat excusant son absence à son procès pour cause d’hospitalisation, les rumeurs vont bon train sur l’état de santé du président du Front national. Sur les réseaux sociaux, certains vont jusqu’à affirmer que les jours de Jean-Marie Le Pen seraient comptés.
Au micro de Boulevard Voltaire, Lorrain de Saint Affrique, son assistant parlementaire et secrétaire général des comités Jeanne, dément l’information. CLIQUEZ ICI
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mercredi, 03 octobre 2018
MASSIMO MAGLIARO INTERVIENDRA LORS DE LA 12e JOURNÉE DE SYNTHÈSE NATIONALE LE DIMANCHE 14 OCTOBRE À RUNGIS (94)
19:12 Publié dans 12 - La 12e Journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le mouvement d'extrême gauche espagnol Podémos demande la destruction de la basilique de la Vallée de Los Caïdos
Construite dans les années 1950 à la demande du Général Franco dans un souci de réconciliation nationale, la basilique de la Vallée de Los Caïdos, avec son immense nécropole dans laquelle sont enterrés des milliers de combattants des deux camps morts pendant "La Guerre d'Espagne", est aujourd'hui l'objet d'une demande de destruction émanant des charognards du groupe d'extrême gauche Podémos. Cette demande fait suite à la volonté affichée des socialistes de profaner la tombe du Général Franco et de transférer ses restes ailleurs.
Tout cela provoque en Espagne multiples réactions d'indignation et de colère.
Le Cercle Franco-Hispanique, présidé par Hélène Grimaldi et fidèle à sa vocation de défendre l'Espagne nationale, nous demande de relayer, ce que nous faisons bien volontiers, la pétition lancée à Madrid pour sauver cet impressionnant monument hautement symbolique.
Vous pouvez signer en cliquant ici
Synthèse nationale
18:32 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Vendredi 5 octobre : soirée Livr'arbitres à Paris
18:08 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi 6 octobre : rencontre dédicaces avec Christian Combaz à la Nouvelle Librairie à Paris
18:06 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Mettre un terme à la dictature des minorités
Ligne Droite cliquez ici
En se référant au concept d’état de droit, le Système a fait du principe de non-discrimination une pièce maîtresse de son action. C’est en effet en son nom qu’il s’attaque à toutes les différences au sein de la société, permettant aux groupes minoritaires prétendument victimes d’une discrimination de tenir le haut du pavé. Une situation qui transforme la nation en un conglomérat de minorités revendicatives, lesquelles imposent leurs prétendues valeurs à une majorité culpabilisée et muselée. Ligne droite considère en conséquence qu’il est urgent de mettre un terme à cette dictature des minorités.
L’état de droit contre la démocratie
La France est en effet censée vivre en démocratie et à ce titre elle a recours au vote, un mode d’élection qui donne à la majorité le droit de décider. Normalement, c’est donc la majorité du peuple qui devrait exercer le pouvoir et sa volonté qui devrait prévaloir. Mais les tenants de la pensée unique n’aiment pas le processus majoritaire qui confère la primauté au peuple et promeut des idées qui ne sont pas les leurs. Aussi ont-ils mis en place un dispositif qui permet de contourner la majorité. En faisant référence à l’état de droit et aux valeurs de la République, ils ont instauré le gouvernement des juges, lesquels l’emportent sur les députés et sénateurs pourtant élus. Mais surtout, ils peuvent s’appuyer sur des principes qui, supposés immuables, ne sont donc pas susceptibles d’être mis en débat et encore moins soumis aux suffrages des Français.
L’impératif de non-discrimination
Et parmi tous ceux qu’invoquent régulièrement les porte-parole de l’oligarchie, le principe le plus systématiquement repris est sans conteste l’impératif de non-discrimination. En son nom, les adeptes du politiquement correct font la chasse à toutes les différences qu’ils peuvent trouver entre deux catégories de personnes, pour ensuite les dénoncer et les corriger. Les couples homosexuels ne peuvent pas avoir d’enfants contrairement aux couples hétérosexuels, il faudrait donc selon eux corriger cette discrimination d’ordre pourtant naturel par le recours à la PMA et à la GPA. Les statistiques révéleraient des différences entre hommes et femmes s’agissant de leur place dans la société, il faudrait dès lors prendre des mesures autoritaires pour obtenir partout un ratio de 50 % – 50 %. Les immigrés seraient injustement marginalisés par rapport aux nationaux, il faudrait donc supprimer cette discrimination en leur accordant les mêmes droits qu’aux Français. Le principe de non-discrimination est ainsi le point central de l’idéologie du Système qui présente même comme des discriminations au principe de libre-circulation, les règlementations protectrices des État.
La communauté nationale réduite à des minorités
Cette obsession anti-discriminatoire crée une situation particulièrement malsaine. D’abord, elle conduit le Système à se préoccuper prioritairement des groupes prétendument victimes de discrimination. Autant de minorités qui bénéficient ainsi d’une valorisation médiatique aussi insistante qu’incessante. Et, à force de multiplier dans les médias des reportages ou des messages sur les migrants qui ne seraient pas accueillis correctement, sur les femmes qui ne seraient pas respectées par les hommes, sur les handicapés pour lesquels les équipements appropriés ne seraient toujours pas réalisés, on finit par donner le sentiment que la communauté nationale n’est que l’agrégat de ces différentes minorités revendicatives.
Des minorités victimes, une majorité coupable
Plus grave encore, celles-ci sont systématiquement présentées comme des victimes sans, il est vrai, qu’on désigne clairement leur oppresseur. Pourtant, chacun comprend bien que le coupable n’est autre que notre nation, à travers la majorité de son peuple. C’est elle qui, par égoïsme, par archaïsme, par un attachement suranné aux traditions, serait responsable de la situation des malheureuses minorités.
Aussi le Système considère-t-il comme légitime d’imposer à la majorité, telle une sanction, des mesures correctrices autoritaires en faveur des minorités. Des mesures auxquelles la majorité, sidérée par la propagande culpabilisante du Système, n’ose que très rarement s’opposer alors qu’elles sont presque toutes prises à ses dépens.
Des minorités dominantes
Ainsi en a-t-il été pour le mariage homosexuel. Traditionnellement, depuis plus de quatre mille ans, le mariage est défini comme l’union d’un homme et d’une femme pour procréer et fonder une famille. Avec le mariage pour tous exigé par une minorité, on a dénaturé cette institution immémoriale à laquelle la majorité des Français étaient attachés pour la transformer en un super Pacs. De même, afin de satisfaire la minorité immigrée, le Système a créé l’AME qui offre la gratuité intégrale des soins à tous les clandestins. Un dispositif qui coûte fort cher à la majorité des Français, lesquels doivent par ailleurs cotiser pour obtenir une protection sociale moins généreuse que l’AME.
Ainsi, sommes-nous aujourd’hui dans un pays où les minorités tiennent le haut du pavé. Non seulement elles font l’objet de toutes les sollicitudes du pouvoir et des médias, mais elles imposent leurs prétendues valeurs et obtiennent des avantages dérogatoires que la majorité se doit d’accepter et de financer.
Rendre le pouvoir au peuple et à sa majorité
Aussi Ligne droite considère-t-elle indispensable de mettre un terme à cette dictature des minorités. La France n’est pas constituée du rassemblement de ces groupes plus au moins légitimes, elle est la nation du peuple français et c’est ce peuple qu’il faut libérer et privilégier. Pour ce faire, il convient de rétablir le fonctionnement normal des institutions en remettant à leur place tous ceux qui s’en sont emparés indument. Les médias doivent retrouver une nécessaire pluralité des opinions, le gouvernement des juges doit être démantelé. De même, les lois coercitives doivent être abolies. Celles qui encadrent la liberté d’expression comme celles qui introduisent une discrimination positive. Plus globalement, c’est tout le projet de Ligne droite qui doit être mis en œuvre.
La France n’est pas un conglomérat de minorités, elle est un peuple qui s’exprime à travers sa majorité.
17:59 Publié dans Ligne Droite | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |