mercredi, 14 novembre 2018
IL SORTIRA LE 5 DÉCEMBRE, COMMANDEZ-LE DÈS MAINTENANT
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BRISONS LES TABOUS, BRULONS LES TOTEMS !
Pieter Kerstens
Après avoir été anesthésiées durant 70 ans par les gourous euro mondialistes, il est savoureux de voir que du Nord au Sud de l’Europe, les nations sortent lentement de leur léthargie.
Les laquais du Nouvel Ordre mondial et les banksters de Wall Street nous ont imposé leurs idéologies multiculturelles et pluriethniques, ainsi que leurs dogmes égalitaristes, hédonistes, libéralistes et immigrationistes.
Ces grands prêtres de la Religion Droits de l’Hommiste ignorent la réalité et l’Histoire des nations. Fort de leur influence, ils réécrivent le passé glorieux de nos aïeux pour le détourner à des fins partisanes. Ainsi nous avons entendu, au final du carnaval du centenaire de l’armistice du 11.11.1918, le docteur Micron nous dire que le patriotisme était l’exact opposé du nationalisme.
Quelques jours auparavant, l’Elyséen avait déjà craché sur les valeureux poilus, en refusant d’honorer les mérites et la gloire du plus méritant d’entre eux : Philippe Pétain, Maréchal de France, le vainqueur de Verdun.
Faire preuve de tant de bassesse et de mesquinerie, un siècle plus tard, démontre la suffisance et l’arrogance du docteur Micron.
Parce que le devoir de mémoire nous rappelle que c’est bien la grande majorité de l’Assemblée Nationale, le Président du Conseil en tête, qui avait imploré l’aide du Maréchal quand la France était dans la panade en 1940 ; ces mêmes jocrisses lui ayant accordé les pleins pouvoirs !
Depuis des décennies, le capital apatride et l’oligarchie cosmopolite ont accaparé les leviers du pouvoir, les administrations, les organisations internationales et bien évidemment la Commission Européenne à Bruxelles et la Cour de Justice à Strasbourg.
Ainsi, les nations d’Europe ont bien été encadrées et privées de tout libre arbitre, comme en URSS de 1917 à 1989. Ces charlatans de l’Europe à tout prix et sans limites (à l’exemple de Jacques Delors) nous ont conduits au chaos et à la décadence, car ce sont bien eux les vrais responsables de :
- Une immigration incontrôlée de millions de clandestins.
- La fermeture de nos fleurons industriels, miniers, sidérurgiques ou textiles.
- La désertification de nos campagnes et du bétonnage à outrance sans discernement.
- La hausse permanente des taxes et des impôts.
- Lois liberticides interdisant la liberté de conviction, d’expression ou de réunion.
- Règlements plus absurdes les uns que les autres, pénalisants les entrepreneurs.
- L’existence d’une Police de la Pensée et l’obligation du Politiquement Correct.
- Dettes publiques faramineuses condamnant nos enfants et petits-enfants.
- L’enseignement dans les écoles, lycées et universités, fabriques de réels crétins.
- L’insécurité généralisée, de Copenhague à Catane et de Brest à Bucarest.
Et contrairement à ce qui a été affirmé, ce ne sont pas les nationalistes ou les identitaires, attachés aux valeurs ancestrales qui ont fait la grandeur de nos peuples au travers des siècles et par-delà les océans, qui représentent un danger d’une quelconque nouvelle guerre.
NON, depuis 1945, le Monde et l’Europe ont été en proie à de nombreux conflits, que ce soit en Afrique, en Amérique du Sud, en Asie, à Chypre, en Yougoslavie, en Ukraine, en Irak, ou en Syrie, sans oublier les « Révolutions de Jasmin »…
Guerres fomentées par qui ? Dans quel but ? Avec quels résultats ? Pour le bien commun et dans l’intérêt général ?
Et ce ne sont pas non plus les nationalistes ou les identitaires à l’origine des crises sociales, économiques ou financières depuis 1945 en Europe. La faute des crises financières de Chypre, de la Grèce, du Portugal, de l’Espagne et bientôt de l’Italie est entièrement imputable aux copains et aux coquins des divers gouvernements ayant dirigé les pays d’Europe ces 40 dernières années dans le laxisme le plus absolu avec une incompétence extraordinaire.
Et depuis cette période récente, le secteur bancaire et financier n’a jamais cessé ses pratiques douteuses, à tel point que les bilans des grandes enseignes est toujours plombé par des actifs pourris. Une prochaine tornade va à nouveau dévaster les finances européennes avec des répercussions sur votre niveau de vie, bien plus catastrophiques qu’en 2008.
Ce n’est qu’une question de temps.
Selon Christine Lagarde, présidente du FMI, le niveau mondial de la dette globale s’élevait à 182.000 milliards de dollars en octobre 2018, soit plus 60% de ce qu’il était il y a seulement 10 ans. D’après elle, « les élites n’ont pas conscience de ce qui se passe. » (les Echos 9.11.2018).
Allo docteur Micron ? Les nationalistes répandraient la lèpre ?
Mais vous-même, et vos adeptes macronariens, nous conduisez à nouveau vers les heures les plus sombres de notre Histoire !
09:51 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 13 novembre 2018
Trieste, samedi dernier : Casa Pound dans la rue....
La révolution fasciste du XXIe siècle en marche
18:38 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi 17 novembre, l'Entraide savoyarde reçoit Jean-Michel Vernochet à Aix -les)Bains
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L'émission Synthèse sur Radio Libertés de jeudi dernier
09:18 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 12 novembre 2018
RAPPEL Jeudi 15 novembre à Poitiers : Laurent Obertone invité du Cercle des Chats bottés
13:12 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 11 novembre 2018
Dimanche 11 novembre, Bourg-la-Reine : hommage au Colonel Jean Bastien-Thiry
L'INVITATION À LA CÉRÉMONIE CLIQUEZ ICI
11:02 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 10 novembre 2018
Ignace : Macron et la Grande Guerre
19:28 Publié dans IGNACE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Profitons de la "pub" que nous font les médias pour vous présenter les nouveautés de Synthèse nationale
Pour la troisième voie solidariste cliquez ici
Le Guide sulfureux du Paris réac et facho cliquez là
Sortie très prochaine :
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19:24 Publié dans 12 - La 12e Journée nationale et identitaire, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Quand "Nord Littoral" se conduit en délateur contre la résistance patriotique...
Le "une" de Nord Littoral d'aujourd'hui
L'article digne du site gauchiste La Horde...
Le journal Nord Littoral, sévissant dans la région de Calais, vient, dans son édition d'aujourd'hui ainsi que sur son site cliquez là, de prouver une fois de plus sa servilité à l'égard du Système en calomniant notre amie Marie-Jeanne Vincent, courageuse militante de la résistance nationale et identitaire locale, déléguée du Parti de la France pour le Calaisis, suite à sa brillante intervention lors de notre 12e Journée de Synthèse nationale du dimanche 14 octobre dernier à Rungis cliquez ici.
En effet, dans son discours, Marie-Jeanne, se référant à une étude réalisée par le site "Nous sommes partout" cliquez là en collaboration avec le journal Présent, avait dénoncé avec brio les méthodes utilisées par les petits domestiques de la finance mondiale que sont les "antifascistes" pour insulter les forces patriotiques. Méthodes liberticides directement inspirées, soit dit en passant, de celles utilisées par les bolcheviques en URSS dans les années 1930. Ainsi, le site intitulé La Horde, créé selon cette étude par des gens proches du quotidien Le Monde, est devenu un étalon en matière de délation. En le lisant, on comprend mieux pourquoi des excités obsessionnels style Méric ont agressé en juin 1973 avec la violence que l'on sait (cf. le remarquable numéro hors-série de Présent consacré à cette affaire actuellement en vente dans les kiosques cliquez là) des jeunes patriotes à Paris.
Mais, revenons aux délires du jour de Nord Littoral. Toujours à l'affut du moindre prétexte pour déceler en chacun les germes de "la bête immonde", le journaliste, si l'on peut appeler cela un journaliste, s'est donné des frissons en disséquant le discours de Marie-Jeanne Vincent. Il suffit d'avoir écouté cette intervention pour faire la comparaison avec les divagations du plumitif. Comme le rappelait notre directeur, Roland Hélie, dans un entretien sur la chaine TV Libertés (cliquez là) il y a quelques semaines, si on dit "J'aime la France", ces gens là comprennent "Je suis nazi" (ou "Je suis fasciste")... Ils n'entendent que ce qu'ils veulent entendre. Il leur suffit de retirer trois mots de n'importe quel texte (ou de n'importe quelle intervention), et ils ont vite fait d'envoyer n'importe qui, surtout s'il s'agit d'un de leurs opposants, devant un peloton d'exécution...
Rappelons que le 20 novembre prochain le directeur de Nord Littoral est convoqué devant le tribunal pour diffamations lors des dernières élections législatives (juin 2017) à l'encontre de Marie-Jeanne Vincent alors candidate (Civitas) de la Droite nationale à celle-ci. Il se pourrait bien que, dès lundi, l'article d'aujourd'hui soit ajouté au dossier.
En attendant, les Calaisiennes et les Calaisiens qui subissent chaque jour les conséquences du "Grand remplacement" imposé par le Système sauront reconnaître ceux qui se battent à leurs côtés pour que la France redevienne française et l'Europe européenne...
S.N.
Lire aussi 20 minutes cliquez ici Le Figaro cliquez ici Sud Ouest cliquez ici France 3 cliquez ici l'AFP cliquez ici RTL cliquez ici
11:43 Publié dans 12 - La 12e Journée nationale et identitaire, Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 09 novembre 2018
Samedi 10 novembre, 15 h : marche de la Reconquête à Paris
Message de Vincent Vauclin :
" Le salut de la France ne viendra ni de la Russie de Poutine, ni de l’Amerique de Trump, ni du Brésil de Bolsonaro, ni de l’Italie de Salvini, ni de la Hongrie de Orban, ni de l’Ukraine d’Azov.
Le salut de la France viendra des Français. Plus précisément de ceux qui auront eu l’audace de se mettre en mouvement avant les autres, de ceux qui auront fait le choix de braver le politiquement correct et d’avancer à contre-courant quand tous les autres se contentent de postures ou du confort de l’inertie virtuelle.
Une évidence qu’il convient de rappeler à la veille de la Marche de la Reconquête, la grande mobilisation unitaire organisée à l’appel de 7 organisations nationalistes, identitaires et patriotes.
Tous les mouvements, tous les partis qui prétendent refuser le Grand Remplacement et lutter contre l’immigration massive ont été invités. Je dis bien tous, sans exception. Il en va de même pour les « médias de réinformation » qui ont été sollicités. Nous verrons demain qui est effectivement sur place, et nous en tirerons les conséquences.
Car j’ai toujours tâché d’œuvrer à la convergence - à défaut d’unité - des forces de résistance au mondialisme libéral, et je crois qu’il convient de dépasser, pour une fois au moins, les querelles de chapelles. C’est le moment ou jamais.
La gauche, elle, ne rechigne jamais lorsqu’il s’agit de se rassembler contre « le péril fasciste ».
La DF a d’ailleurs toujours été présente lorsqu’il fallait du monde pour soutenir une mobilisation ici ou là, sans se préoccuper des étiquettes ou des inimitiés de tel ou tel.
Ainsi, la manifestation de demain revêt une importance particulière. D’abord parce qu’il est rare que nos idées se fassent entendre dans la rue, laissée trop souvent à nos adversaires. Ensuite parce qu’il s’agit d’une mobilisation unitaire, démarche encore plus rare, autour de mots d’ordre sur lesquels nous sommes tous d’accord.
Nous comptons donc sur vous pour être présents, en nombre, pour démontrer qu’il est possible de dépasser les divisions fratricides et de se rassembler dans l’intérêt supérieur de la France. On compte sur vous.
À demain. "
16:27 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 07 novembre 2018
Bonne nouvelle : Esteban a été remis en liberté dans l'attente de son procès en appel.
Esteban Morillo est libre. Dans l'attente de son nouveau procès en appel - il a été condamné en première instance à 11 ans de détention par des juges rouges pour simplement s'être défendu contre des agresseurs d'extrême-gauche - son avocat a obtenu sa libération. C'est une très bonne nouvelle pour ce jeune homme, sacrifié sur l'autel du politiquement correct.
Lire le numéro hors-série de Présent cliquez ici
23:20 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
JEUDI 8 NOVEMBRE, BERNARD GANTOIS INVITÉ DE L'ÉMISSION SYNTHÈSE SUR RADIO LIBERTÉS POUR SON LIVRE "LE MIRACLE DES VALEURS DE LA RÉPUBLIQUE"
13:06 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La violence à l'école
Le billet de Patrick Parment
Le désarroi du gouvernement – celui-ci et tous les autres auparavant - est tel que ne sachant plus par quel bout prendre le problème, il a décidé de la présence des forces de l’ordre dans les établissements scolaires. Ce qui est proprement une mauvaise pioche. Certes, les pandores limiteront peut-être les dégâts, mais ce n’est pas une solution viable. Le fond du problème tient à ce que l’école ne forme plus ses enfants à être des citoyens français respectueux des normes qui régissent nos sociétés civilisées – c’est-à-dire très éloignées des règles islamiques pour être plus précis - et mieux encore de fervents patriotes fiers d’être les héritiers d’une longue histoire.
A l’heure où l’on fête les glorieux « Poilus » de la Première Guerre mondiale, on semble oublier que c’est grâce à l’enseignement de ces « hussards noirs » de la République qu’étaient les instituteurs de l’époque que nos soldats sont partis au casse-pipe. Ils étaient patriotes et défendaient leur terre vu que la plupart d’entre eux étaient des paysans. De cette saignée humaine de 14/18 la France ne se remettra jamais.
Or, aujourd’hui qu’en est-il de l’école ? Les maîtres ne sont plus respectés – sont-ce encore des maîtres ? – l’histoire de France est évacuée et l’école n’est le plus souvent qu’une garderie où s’exprime tous les communautarismes. Cette fragmentation de l’école débouche sur un champ de bataille. Nos pédagogues distingués peuvent remuer le problème dans tous les sens, il ne semble pas qu’il y ait de solutions. Car c’est la nature même de l’enseignement et l’autorité du professeur qui sont en cause.
Les mesures qui s’imposeraient sont incompatibles avec le laxisme moral et intellectuel qui sévit aujourd’hui. C’est malheureusement par l’école que la nation française disparaîtra car le pseudo « vive ensemble » est une vaste fumisterie.
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mardi, 06 novembre 2018
Samedi 10 novembre : Carl Lang à Strasbourg
23:33 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Au moins, Fabrice Luchini n'a pas peur des mots
La journaliste Léa Salamé attaque la nouvelle saison de Stupéfiant ! avec le meilleur client de la télé, Fabrice Luchini. Pur acteur, beau parleur, il entretient la grande tradition des comédiens cultivés, même si chez cette race d’artistes on se demande toujours si c’est de l’esprit ou du « par cœur ». Mais ne soyons pas rats, et goûtons l’art oratoire de ce truculent célinien.
Salamé : Jean-Marie Le Pen ?
Luchini : Très bon, incontestablement, très bon.
Salamé : Sa fille ?
Luchini : Pas au niveau du reup
23:27 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La Marche de la Reconquête prend forme
Communiqué de la Dissidence Française
La mobilisation prend de l'ampleur ! Plusieurs organisations nationalistes ont répondu à notre appel au rassemblement et ont apporté leur soutien à la Marche de la Reconquête : Terre & Peuple (Pierre Vial), Alexandre Gabriac (Civitas), le Parti Nationaliste Français (Yvan Benedetti), l'Action Nationale et Radicale, ainsi que Synthèse Nationale (Roland Hélie).
Contre l’immigration massive et pour l'application immédiate de la préférence nationale, tous les nationalistes et patriotes français sont appelés à se joindre à nous et à participer à cette Marche de la Reconquête, pour faire entendre notre voix et ne plus laisser la rue aux ennemis de notre pays !
Cette manifestation a été déclarée en préfecture et s’élancera le samedi 10 novembre 2018 à 15h, Place de la Bourse à Paris (2ème Arr.).
23:17 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
NOUVELLE-CALEDONIE : UNE INQUIETANTE PROGRESSION DU SCORE DES INDEPENDANTISTES
Le Bloc-notes de Jean-Claude Rolinat
Dimanche 4 novembre 2018, le corps électoral néo-calédonien s’est exprimé. Les résultats, 56,7 %de « non » et 43,3 %de « oui » au référendum d’autodétermination, sont sans appel. Mais, mais, un doute certain semble s’insinuer encore quant à l’avenir politique de ces îles du « bout du monde ».
S’ils sont favorables au maintien de l’archipel au sein de l’ensemble français, ces résultats n’en attestent pas moins d’une nette progression des partisans du divorce avec Paris. Certes, le « non » à la question posée, « Voulez-vous que la Nouvelle-Calédonie accède à la pleine souveraineté et devienneindépendante »,est nettement majoritaire, mais l’écart entre les partisans du « oui » et du « non » à l’indépendance, s’est resserré de scrutins en scrutins. Car l’originalité de ces consultations répétitives des populations calédoniennes,- référendum, élections communales, provinciales et territoriales-, c’est que l’on fera voter et revoter jusqu’à ce que le résultat soit favorable aux excités du Front de libération nationale kanak et socialiste (FLNKS), de sinistre mémoire.
Tout le monde se rappelle les événements de 1988, la mort de nos gendarmes et un archipel cul par-dessus tête, quasiment « à feu et à sang ». Si les accords de Nouméa et Matignon ont calmé le jeu, - les îles ne sont-elles pas totalement autonomes, et les Kanaks propriétaires de leurs terres tribales et d’un important site de production du nickel dans la province nord ?-, les séparatistes veulent toujours plus. Or, comme le cite l’hebdomadaire « Valeurs Actuelles » dans son édition du 1er novembre, l’ancien sénateur Simon Loueckhote, (RPR puis UMP), résume bien l’opinion d’une partie de la nouvelle classe moyenne kanake qui a profité de la restauration de la paix pour jouir d’une indéniable élévation du niveau de vie : - « Quand je vois ce que sont devenus tous les Etats africains que j’ai pu visiter, je ne veux pasla même régression pour les miens.Mes frères indépendantistes nous servent de la poudre de perlimpinpin ! ». Remarque frappée au coin du bon sens, mais pour les forcenés du FLNKS, le « cœurases raisons que la raison ignore ? ».
« Etre Français » dans le Pacifique assure un meilleur niveau de vie qu’être « indépendant »…
Pourtant, les leaders de la coalition séparatiste feraient bien de regarder autour d’eux : quel est le niveau de vie de leurs frères mélanésiens au Vanuatu, en Nouvelle-Guinée Papouasie, aux îles Salomon ou aux Fidji ? Poser la question, c’est déjà pressentir la réponse. La France apporte à la Nouvelle-Calédonie 15 % du PIB local et finance de sa poche la moitié des services publics. Si les communautés calédoniennes, submergées par la démographie kanake, décidaient un jour de divorcer avec la République française, le généreux robinet des aides sociales se fermerait-il ?
Le « caillou » nous coûte, bon an, mal an, 1,20 milliards d’euros par an, mais sa possession nous assure un immense domaine maritime et un droit de regard diplomatique sur le Pacifique, comme notre présence en Polynésie française, à Wallis et Futuna d’ailleurs. Mauvaise pioche des accords précédemment cités, un nouveau référendum « d’étape » aura lieu dans les quatre ans, avec un corps électoral tronqué, car seuls les Kanaks et les ressortissants français, (Caldoches ou Indonésiens et Polynésiens naturalisés), arrivés avant 1993, pourront voter. Et là on s’aperçoit que le différentiel démographique peut jouer contre les partisans de la France. Or, les autochtones qui ne constituent aujourd’hui, qu’environ 49 % des 280 000 habitants mais 63 % du corps électoral, auront encore un poids plus lourd. Un esprit facétieux, forcément anti-immigrationniste, pourrait exiger que l’on applique les mêmes critères en métropole vis-à-vis des « migrants » qui ne pourraient accéder aux urnes que 20 à 25 ans après leur naturalisation.
Quant au droit du sol que Donald Trump a menacé de reconsidérer aux Etats-Unis, il devrait être purement et simplement aboli en métropole, comme à la maternité principale de Mayotte par exemple, véritable usine jusqu’à présent à produire des « faux Français » ! Le président Macron a beau s’exclamer que « la France serait moins belle sans la Nouvelle-Calédonie »,c’est l’inéluctable portrait que l’on dressera d’elle si les règles du jeu sont maintenues telles qu’elles. Autre solution, la partition. Le regretté et talentueux écrivain ADG, célèbre auteur de romans policiers, qui avait vécu plusieurs années sur le « caillou », avait envisagé et proposé cette solution.
Au pire, elle permettrait à la France de garder un pied solide dans l’océan Pacifique, lui garantissant encore le statut de « puissance moyenne », la Calédonie offrant un excellent observatoire sur le monde polynésien, mélanésien et….anglo-saxon avec le mastodonte australien et la très « british » Nouvelle-Zélande. La province du nord et celle des îles, coupées de Nouméa et de la province du sud, pourraient-elles vivre en autarcie ? Ce ne serait plus notre problème car, au sud, justement, le « non » au séparatisme est d’une écrasante majorité. Nouméa et ses environs pourraient même constituer un département d’outre-mer, un DOM, tant la population d’origine européenne y est majoritaire. Il n’est que de se promener dans les rues de la petite capitale Nouméa, avec ses boutiques « bien d’chez nous » et son kiosque à musique, pour s’y sentir aussi bien qu’à Arcachon, La Baule, Sélestat, Maubeuge ou Cannes ! Il y a même dans la proche campagne des vaches normandes qui paissent, tranquillement, à l’ombre des cocotiers, c’est dire ! Non, lâcher cet archipel, comme nous abandonnâmes l’Algérie aux fanatiques islamistes du FLN, serait un crime, un crime de plus commis contre la nation !
14:54 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi prochain, 10 novembre, Roger Holeindre dédicacera ses livres à St Cloud.
14:48 Publié dans Livres, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le capitaine Genevoix ou le maréchal Philippe Pétain ?
Bernard Plouvier
Notre distingué Président, toujours sur la brèche et entre deux voyages, décide de panthéoniser le capitaine Maurice Genevoix (ci-dessus), courageux combattant de la Grande Guerre.
C’est son droit de chef d’État. On pourrait objecter que la prose haineuse, « anti-boche », du normalien n’est peut-être pas la meilleure façon de préparer l’unité des Nations européennes, qui doit passer la réconciliation et l’oubli des griefs.
C’est singulièrement le cas des Nations française et allemande qui ont beaucoup à se pardonner mutuellement. Et pour ceux qui l’auraient oublié, l’on peut rappeler que les Allemands doivent faire un trait sur les horreurs et le génocide de la Guerre de Trente Ans, dont Richelieu puis Mazarin furent les grands argentiers, sur le ravage du Palatinat et le sac d’Heidelberg sous Louis XIV, sur les exactions innombrables des soldats de la Ière république puis du Ier Empire... sans compter le comportement odieux des Français en Rhénanie durant les années 1919-25 ou en Zone d’Occupation française, durant les années 1945-47. Lorsque le Président Truman a exigé d’Eisenhower qu’il chasse les Français de Stuttgart, il avait d’excellentes raisons humanitaires de le faire.
Manifestement, notre actuel Président connaît mal l’histoire de la Grande Guerre. Car s’il est un homme dont la mémoire doit être honorée, c’est bien celle de Philippe Pétain, le seul tacticien de cette guerre à s’être montré avare du sang de ses hommes et soucieux de leur procurer un minimum de confort de vie, tout en exaltant leur moral.
Certes, le lobby de la haine continue de lamenter les années 1940-45 et d’accumuler les mensonges sur le général Pétain des années 1914-18. Mais un Français de souche n’a que faire de ces inepties. Si l’on n’ose l’admettre aux Invalides (il serait trop dépaysé au Panthéon), qu’au moins l’on honore sa mémoire à l’ossuaire de Douaumont.
14:43 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Jean-Marie Le Pen s'est rendu lundi sur la tombe de Jean-Pierre Stirbois
30e anniversaire du décès de Jean-Pierre STIRBOIS, ancien secrétaire général du Front National : l’hommage de Jean-Marie LE PEN, entouré de Jany LE PEN, Alexandre SIMONNOT et Patrick HAYS.
L'hommage du Parti de la France cliquez là
14:35 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 05 novembre 2018
A ne surtout pas manquer : le numéro hors-série de Présent consacré à l'"affaire Méric"
Le quotidien Présent, dont nous vous conseillons la lecture régulière, vient de sortir dans sa collection intitulée "Histoire Actu" un numéro hors-série remarquable consacré à ce que l'on a appelé "l'affaire Méric". En 24 pages, Présent détruit totalement les poncifs qui ont été véhiculés par la presse aux ordres lors du procès qui s'est déroulé en septembre dernier et qui a conduit deux des nôtres, Esteban et Samuel, derrière les barreaux pour, peut être, de longues années.
Réalisé sous la houlette de Francis Bergeron et d'Aristide Leucate, ce numéro que l'on trouve chez tous les marchands de journaux rassemble des contributions de Camille Gallic, Caroline Parmentier, Samuel Martin, Roland Hélie, Pierre-Adrien Dumonteil, Serge Ayoub, Jean-Gilles Malliarakis, Me Dassa-Le Deist, Philippe Randa, Eric Delcroix, Arnaud Robert, Alexandre Ayraud, Bruno Gollnisch, Me Frédéric Pichon...
Voilà un document explosif qui mérite d'être lu par le plus grand nombre afin de remettre enfin les choses à leurs places dans cette malheureuse affaire odieusement manipulée par le pouvoir en place pour discréditer le combat nationaliste.
Achetez ce numéro hors-série de Présent, lisez-le bien sûr et, surtout, diffusez-le autour de vous. Il faut le mettre entre toutes les mains, c'est un devoir militant...
S.N.
Présent Histoire-Actu, entièrement consacré à "l'affaire Méric", 24 pages, 5 €, dans les kiosques ou sur le site de Présent cliquez ici
10:12 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
RAPPEL Samedi 10 novembre, 15 h, Place de la Bourse à Paris : MARCHE DE LA RECONQUÊTE ORGANISÉE PAR LA DISSIDENCE FRANÇAISE
09:47 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Europa
Europa : c’est sous ce titre que les Éditions Bios ont publié à la fin de l’année 2017 trois volumes de géopolitique écrits par Robert Steuckers, infatigable animateur du site Euro-Synergies et ancienne cheville ouvrière des revues Orientations, Vouloir et Nouvelles de Synergies européennes. Le premier tome (338 p., 25 €) aborde les « Valeurs et racines profondes de l’Europe », le deuxième (316 p., 25 €) traite « De l’Eurasie aux périphéries, une géopolitique continentale » et le troisième (342 p., 25 €) s’intéresse à « L’Europe, un balcon sur le monde ».
Il est bien sûr impossible de résumer les quarante-six articles qui portent sur les grands enjeux géopolitiques. Notons cependant que l’Amérique latine, l’Afrique noire et l’Océanie en sont quelque peu écartées. Il faut reconnaître que plusieurs textes évoquent sur la très longue durée les puissantes interactions politico-culturelles entre le continent européen, l’Asie Centrale et le Moyen-Orient. Persophile avoué, Robert Steuckers rappelle que les Perses ont fondé le premier empire indo-européen de l’histoire et que la révolution islamique de 1979 fut à l’origine encouragée par Washington…
Les confrontations entre civilisations, États, peuples et nations ne manquent pas dans ce vaste panorama. Ainsi peut-on lire une étude magistrale de la bataille de Lépante du 7 octobre 1571, cette victoire navale qui préserva la civilisation occidentale européenne de l’invasion ottomane. Polyglotte belge d’esprit européen, Robert Steuckers se sait sujet de l’Empire, résultat géopolitique de la « Grande Alliance » à la fin du Moyen Âge, à savoir la transmission de l’héritage bourguignon à la jeune Maison royale des Espagnes par l’intermédiaire de la dynastie impériale élective des Habsbourg. Malheureusement, l’unité continentale ne put s’opérer autour de cette dynastie en raison du Grand Schisme d’Orient de 1054, des dissensions religieuses récentes (la Réforme de 1517) et des détestables manigances de Henry VIII et François Ier.
En géopolitologue avisé, l’auteur rappelle que l’intention de l’islam demeure la conquête de Constantinople – effective depuis 1453 -, de Rome et de Vienne. Il considère le monde turc comme une vraie menace au même titre d’ailleurs que les États-Unis d’Amérique. Par leur hypertrophie militaire, économique et financière, ceux-ci ne peuvent pas ne pas verser dans un messianisme puéril, abscons et dangereux pour l’équilibre du monde. Il importe donc d’avoir toujours à l’esprit leur habile tactique : susciter partout la révolte des musulmans afin de museler définitivement une civilisation européenne décatie.
Ces trois tomes paraissent ardus; il n’en est rien ! En effet, avec un rare talent narratif exigeant, Robert Steuckers nous plonge dans la longue trame des millénaires pour mieux en discerner les données fondamentales. Il n’oublie jamais l’impératif de notre identité, « l’identité politique européenne, seule identité vraiment concrète […] réside donc, aujourd’hui, en cette époque de calamités, à prendre conscience de nos déboires géopolitiques […] et à agir pour promouvoir une politique spatiale, maritime et militaire claire (t. I, p. 19) ». Ce n’est hélas ! pas gagné pour l’instant.
Bonjour chez vous !
• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°97, diffusée sur Radio-Libertés, le 2 novembre 2018.
09:30 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
TRIBUNE LIBRE La dernière Macronerie : un referendum grotesque
Bernard Plouvier (*)
Les Néo-Calédoniens veulent majoritairement rester « Français » et on les comprend ! Chaque année, la République française alimente ses territoires extra-européens à coups de centaines de millions d’euros, alors même qu’en métropole – d’où provient la manne issue des impôts et des taxes -, il manque d’argent pour créer ou moderniser les structures indispensables à la vie des Français de souche européenne. Cherchez l’erreur dans cette « votation populaire » !
Ce n’est pas la minorité des bénéficiaires qu’il faut interroger, mais la majorité des payeurs. S’il doit y avoir un referendum sur la séparation de la métropole d’avec ses couteux DOM-TOM, c’est la Nation entière qui doit être consultée.
Pourquoi conserver les résidus d’une colonisation qui a coûté énormément d’argent au peuple français depuis des siècles, avec pour unique contrepartie des reproches d’enfants gâtés de la part des ex-colonisés, tirés du Moyen Âge ou de la préhistoire et propulsés à l’ère moderne par le colonisateur.
Certes, quelques colons, quelques négociants se sont enrichis – et puisque la Nouvelle Calédonie est le sujet d’actualité, on peut mentionner l’enrichissement de tel groupe financier par l’exploitation des gisements de nickel. Mais l’État a énormément investi de fonds, tirés de la Nation.
Il est aisé de traire la vache à lait fiscale et taxable de métropole. Mais la démocratie exige qu’on demande l’avis de la Nation sur l’opportunité de poursuivre ou d’arrêter cette hémorragie externe de capitaux publics, sachant que l’immigration-invasion représente une autre hémorragie, interne celle-là, par son coût pharamineux en allocations, en répression de la délinquance et de la criminalité, en réparation des monstrueux dégâts après chaque émeute raciale ou chaque attentat de mahométans.
La décolonisation est, en effet, une réalité à envisager d’un double point de vue.
D’abord, il est souhaitable de se retirer de territoires où les « locaux » déclenchent des émeutes raciales pour satisfaire l’ego de politiciens exotiques (Guyane, Mayotte, Antilles - et la Nouvelle-Calédonie fut naguère une terre de terrorisme). C’est chose envisageable en une époque où notre économie n’est pas aussi florissante que Grand Président ne l’assure.
S’il est logique d’exiger que notre Europe n’appartienne qu’aux Européens, il faut envisager la réciprocité pour l’Afrique et l’Asie, sachant que les Trois Amériques furent dès la préhistoire des terres de brassage des races, mais que la géographie commande la séparation.
La décolonisation doit aussi et surtout se jouer à l’intérieur du territoire métropolitain. L’on sait (grâce au rapport d’activité de l’AFDPHE pour 2016) que, de 1995 à 2015, sont nés en métropole approximativement 4,5 millions d’enfants à risque de drépanocytose, soit des enfants par définition de souche non-européenne. De ce chiffre, on peut inférer qu’il existe entre 6 et 8 millions de géniteurs d’origine extra-européenne (les mariages mixtes ne sont nullement majoritaires en métropole). Joint au nombre des enfants, ceci permet de penser que s’agitent, étudient, travaillent ou gaspillent leur temps, 10 à 12 millions d’extra-Européens de souche, même si, du fait de l’archaïque « droit du sol », un nombre indéterminable d’entre eux jouit du privilège de la nationalité française.
Au moins les deux tiers de ces non-Européens de souche sont mahométans, ce qui est leur droit le plus strict. Mais certaines bonnes âmes proposent d’envisager un « double droit », à savoir la coexistence de la Loi française et de la médiévale charî’a, voire même une bipartition du territoire, prenant en compte les zones de non-droit qui seraient regroupées en un seul tenant !
Décolonisation versus explosion économique ou sociale, avec, dans le second cas, une guerre civile suivie de l’épuration des ex-collaborateurs de l’envahisseur. On a déjà vécu ce scénario lamentable.
Évitons de rejouer un drame inutile. Que nos princes administrent le Bien commun et qu’ils prennent, très démocratiquement, l’avis de la Nation. Ça nous changera du triste temps présent.
(*) On peut, évidemment, ne pas être tout à fait d'accord avec cette analyse de notre ami Bernard Plouvier. C'est d'ailleurs mon cas. Certains seront peut être étonnés, voire agacés, de la lire ici. Cependant, fidèle à sa vocation et comme son nom l'indique, Synthèse nationale tient compte sur certains sujets d'actualité des différentes approches qui se retrouvent dans notre camp. Voilà pourquoi nous avons décidé de publier cet article...
Roland Hélie
09:23 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier, Tribunes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 04 novembre 2018
SAMEDI APRÈS-MIDI, LA DROITE NATIONALE A RENDU HOMMAGE À JEAN-PIERRE STIRBOIS
A l'initiative du Parti de la France, une forte délégation de responsables et militants nationaux et nationalistes s'est rendue samedi après-midi au cimetière Montparnasse à Paris sur la tombe de Jean-Pierre Stirbois, secrétaire général du Front national, prématurément décédé il y a 30 ans, dans la nuit du samedi 5 novembre 1988 à Pontchartrain dans les Yvelines, en revenant de Dreux où il venait de tenir un ultime meeting pour la défense de la Calédonie française.
Au cours de cette émouvante cérémonie, Carl Lang, Président du Parti de la France, qui, rappelons-le, lui succéda au secrétariat général du FN, souligna le rôle éminent joué par Jean-Pierre Stirbois, aux côtés de Jean-Marie Le Pen, dans l'émergence au début des années 80 du Front national. Il rappela aussi que Jean-Pierre fut l'un des premiers à dénoncer ce danger grandissant que représente pour notre peuple l'immigration incontrôlée et à réaliser, lors de l'élection municipale partielle de Dreux en septembre 1983, l'union victorieuse de la droite contre la liste socialo-communiste.
Notons la présence de nombreux anciens proches collaborateurs et amis de Jean-Pierre à cet acte hautement symbolique ce qui prouve, s'il en était encore besoin, que dans notre camp la fidélité n'est pas un vain mot...
S.N.
Pour information, sachez que dans quelques semaines, pour marquer le trentième anniversaire de sa disparition, sortira le n°15 des Cahiers d'Histoire du nationalisme consacré à Jean-Pierre Stirbois.
12:34 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Valeurs républicaines ou valeurs démocratiques ?
N’en déplaise à nos pitres, ces gens qui font semblant de nous gouverner et ne sont que les syndics temporaires de l’économie globale au sein du grand village mondialiste, il n’existe pas plus de valeurs républicaines que de valeurs impériales ou monarchiques.
Il existe, en revanche, des valeurs démocratiques, celles qui permettent aux Nations d’être bien gouvernées, dans l’intérêt des citoyens honnêtes et laborieux.
Dans la bonne gestion du Bien commun, il n’existe que quatre valeurs absolues qui, toutes, sont détruites ou amoindries en régime de capitalisme débridé ou dans les immondes dictatures marxistes :
1 – L’isonomia ou égalité de tous les citoyens devant la loi, ce qui implique un libre et honnête exercice de la justice, dégagé de toute ingérence de l’Exécutif (chef de l’État et gouvernement) ou des élus, qui se comportent trop souvent en petits rois.
2 – La méritocratie, soit l’attribution des postes payés par l’argent public – le produit des impôts et des taxes – par concours anonyme, pour éviter le favoritisme, qu’il soit de nature familiale (le classique népotisme), de nature ethnique, religieuse ou sectaire (ce bon vieux Grand-Orient d’essence si « ripoublicaine »), voire les passe-droits achetés (qui font si souvent ressembler notre État à une République bananière) ou obtenus par la pure prostitution !
3 – L’absolue liberté d’expression de la pensée, seules étant censurées la pornographie et la calomnie.
4 – Enfin, le recours systématique au corps électoral pour trancher les grandes questions de société comme l’immigration de masse provenant d’un autre continent, la peine de mort, les droits et les devoirs des minorités, les traités politiques, économiques ou militaires mettant en jeu l’avenir de la Nation.
Toutes ces valeurs n’ont rien à voir avec la nature du gouvernement. Certaines Nations sont bien dirigées et leur Bien commun est correctement géré. D’autres n’ont pas cette chance. C’est le cas de la Nation française dans la VeRépublique, entrée en sa phase de pourrissement accéléré.
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samedi, 03 novembre 2018
Emmanuel Macron, bel et bien continuateur d’un monde politique plus « failli » qu’« ancien » !
Entretien avec Philippe Randa, directeur du site de la réinformation européenne EuroLibertés
Propos recueillis par Guirec Sèvres
Le président français Emmanuel Macron a comparé la situation actuelle en Europe avec celle de l’entre-deux-guerres du siècle dernier en fustigeant notamment les victoires des partis populistes en Europe qu’il considère comme une lèpre ; qu’est-ce que cela vous inspire ?
D’abord, traiter ses rivaux politiques et leurs partisans de « lépreux » est une injure à considérer comme telle, c’est-à-dire par le mépris. Une telle injure ne suscite guère de réprobation dans la classe politique, mais on n’ose imaginer quelle aurait été la réaction de celle-ci si des populistes avaient dénoncé leurs ennemis politiques, voire l’invasion migratoire, en termes similaires. On accuse (entre autres maux) les populistes de violences verbales, mais ils ont en général plus de retenue que beaucoup de leurs adversaires. Ensuite, Emmanuel Macron n’a cessé de marteler qu’il fallait en finir avec « l’ancien monde » politique : avec sa douteuse comparaison historique, il incarne justement l’« ancien monde politique » dont les représentants n’ont eu d’autres arguments, ces dernières décennies, que de brandir l’épouvantail d’un fascisme fantasmé, mal absolu s’il en était à les entendre…
Ces dernières décennies, c’est-à-dire ? Depuis la fin de la IIe Guerre mondiale ?
Non, depuis la fin des « Trente glorieuses », soit le début du premier septennat de François Mitterrand… Jusque-là, depuis 1945, on avait surtout l’obsession de panser les plaies des deux guerres civiles européennes, de construire une Europe forte économiquement… Mais avec les premières crises pétrolières, l’arrivée du chômage de longue durée, puis de masse, enfin avec la chute de l’URSS – soit la fin de la Guerre froide qui perdurait de façon plus ou moins larvée – et la « découverte » par les Européens de l’invasion migratoire, les gouvernements ont vu la situation se détériorer inexorablement… Des années durant – grosso modo, pour la France jusqu’à la fin du quinquennat de Jacques Chirac – les partis de gouvernement sont parvenus à persuader une majorité d’électeurs qu’il suffisait d’attendre le retour de la croissance économique pour vivre à nouveau des lendemains qui chantent… « Sœur Anne, ne vois-tu rien venir ? » a été le leitmotiv de la classe politique aux affaires, qu’il s’agisse des élus du Parti socialiste et de ses alliés communistes et écologistes ou de ceux de la droite et du centre… Les quinquennats de Nicolas Sarkozy et de François Hollande ayant été les requiem de cette droite et de cette gauche de gouvernement, Emmanuel Macron et sa République en Marche ont ramassé la mise en se présentant comme l’alternative à un monde moins « ancien » que surtout « failli »… Le naufrage du pays perdurant depuis son élection, dans l’affolement d’une situation qui lui échappe chaque mois un peu plus – chômage qui perdure et s’aggrave même selon les mois ; affaire Benalla ; démissions de Nicolas Hulot et Gérard Collomb, deux « éléphants » du gouvernement d’Édouard Philippe ; selfie équivoque avec des racailles d’outre-mer après la réception de « vogueurs » en Lunettes noires et maillots de résillelors de la Fête de la musique à l’Élysée, etc. –, Emmanuel Macron montre qu’il n’a aucun autre argument, aucune autre défense que de reprendre l’antienne du danger fasciste…
Une rhétorique de diabolisation des Populistes qui, jusqu’à présent, a tout de même bien fonctionné pour les empêcher d’accéder aux Affaires…
Ralentie tout au plus car les populistes sont dans des coalitions au Pouvoir en Italie, en Autriche, en Pologne et en Hongrie ou l’ont été (Slovaquie, Finlande)… Et sont rentrés dans la quasi-totalité des parlements où ils étaient jusqu’alors absents (le cas le plus significatif est celui de l’Afd en Allemagne)… Quant à la France, par deux fois en quinze ans, ils ont été au second tour de la Présidentielle, Marine Le Pen doublant en 2017 le score de son père en 2002… Mais si, en France, les Populistes n’ont pas profité davantage de l’écroulement de la droite et de la gauche de gouvernement, est-ce véritablement à cause de la diabolisation dont ils auraient été victimes… ou de leur manque de crédibilité ? Ce qui était vrai du temps de la présidence chiraquienne – Jacques Chirac fut un mauvais président, mais « savait faire président » ; Jean-Marie Le Pen préconisait des solutions de bon sens, mais pouvait-il « faire président » ? Les électeurs hésitants (ceux qui font la différence le soir d’une élection) ne l’ont jamais pensé… Et cela a été le cas également pour sa fille, surtout lors de son débat avec Emmanuel Macron. Elle a fait une campagne électorale plutôt bonne au premier tour, mais ce soir-là, elle a atterré les électeurs hésitants bien plus par sa gestuelle et ses diatribes que par ses manques d’arguments économiques… Donald Trump avait fait une campagne « destroy » contre tous ses rivaux, ce qui lui a permis d’être désigné candidat des Républicains, mais lors du débat face à Hillary Clinton – même s’il a été, dit-on, moins brillant qu’elle, et alors ? – a convaincu les électeurs hésitants qu’il « pouvait faire président »… Et quoiqu’on ait pu dire de lui, quoi qu’on dise toujours, Donald Trump « fait président », incontestablement ! Ç’aurait pu être le cas des Le Pen, père ou fille, on ne le sait pas… à ce jour, en tout cas !
Et sur la situation actuelle en Europe qui ressemblerait à celle de l’entre-deux-guerres, qu’en pensez-vous ?
Je ne vois pas en quoi elle lui ressemblerait « spécialement »… À cette époque, il y avait en Allemagne un grand sentiment de revanche à prendre après l’armistice de 1918 ; un danger communiste à l’Est avec la Russie bolchevique et, à l’ouest, une guerre civile en Espagne… Non, si l’on veut vraiment trouver une comparaison historique avec la situation actuelle en Europe, c’est plutôt avec celle de la France de 1789, fracturée entre pays légal et pays réel… On peut donc craindre – ou espérer – une imminente nouvelle « nuit du 4 août » qui abolirait les actuels privilèges des représentants de la finance internationale et des autoproclamés dépositaires des « valeurs républicaines ». On aimerait bien d’ailleurs avoir enfin une définition exacte de celles-ci. Cela reste pour l’heure un vœu pieux…
10:40 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
DIMANCHE 14 OCTOBRE, À LA JOURNÉE DE SYNTHÈSE NATIONALE, ON SE L'ARRACHAIT...
10:13 Publié dans CD | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
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09:47 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |