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samedi, 28 avril 2018

L'émission "Synthèse" de jeudi dernier avec Gérard Letailleur

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Ordre nouveau : une doctrine alternative au système

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« La plupart de nos militants
étaient révoltés contre la société,
mais également intégrés dans leur génération ;
ils n’étaient pas tombés d’une autre planète… »

Ancien dirigeant d’Ordre nouveau, Alain Renault a présenté la réédition d’un ouvrage collectif, introuvable pendant des décennies, résumant l’histoire et les positions de ce mouvement pas vraiment comme les autres. Souvenirs et remise en perspective… (propos recueillis pour EuroLibertés cliquez ici  par Nicolas Gauthier)

Quarante ans après sa dissolution, le mouvement Ordre nouveau exerce toujours la même fascination. Nostalgie ? Ou effet de look sacrément efficace ?

La nostalgie est très « tendance », c’est même un marché… Il est bien certain que pour ceux qui ont connu cette époque, elle se confond avec leur jeunesse et ils entretiennent parfois la flamme comme d’autres font le succès de la « tournée des yé-yé »… Quant aux jeunes générations, elles peuvent naturellement être fascinées par un passé plus ou moins mythifié, comme nous étions nous-même fascinés par nos aînés de Jeune nation ou les grands anciens du Parti Populaire Français ou des Camelots du 6 février 1934. Qu’Ordre nouveau en soit le support n’a rien d’étonnant puisqu’il était le mouvement nationaliste le plus important des années 70 et que son action avait connu un fort retentissement médiatique.

Ce qui a fédéré « l’extrême droite » de l’époque, c’était l’anticommunisme. Cela suffisait-il à susciter une doctrine alternative au système d’alors ?

La plupart des militants étaient révoltés contre la société, mais également intégrés dans leur génération ; ils n’étaient pas tombés d’une autre planète. L’engagement par simple « anti-communisme » est souvent l’alibi de ceux qui veulent minimiser leur action de l’époque. Il y avait de nombreux autres moyens que le militantisme à l’extrême droite pour lutter contre le seul communisme. La première affiche d’Ordre Nouveau était « Face au Régime, face au marxisme, pour un Ordre nouveau », ce qui est loin d’une simple lutte contre les Rouges. Certes,
« l’Ordre nouveau » était une notion vague et la
« doctrine alternative » n’a jamais été très développée. Quant au système d’alors, c’était le même que celui d’aujourd’hui, il s’est simplement renforcé. Il est d’ailleurs lui-même une sorte de communisme, les formes d’oppression sont simplement plus subtiles.

A contrario, l’extrême droite, à l’instar de l’extrême gauche, a donné naissance à un indéniable vivier de futurs talents. Était-ce là le destin d’Ordre nouveau ? Servir de pépinière plutôt que de sections d’assaut ?

Est-ce le mouvement qui donne du talent à ses adhérents ou ceux-ci qui apportent leurs talents au mouvement ? C’est l’éternel problème de la poule et de l’œuf. En réalité il y a une interaction et le militantisme est extrêmement formateur comme le relevait déjà Henry Charbonneau dans ses Mémoires de Porthos. On y côtoie une ménagerie diverse allant du gorille au singe savant, du videur de boîte au normalien, on apprend à rédiger, prendre la parole, arbitrer des conflits, jouer les imbéciles en certaines circonstances, tenter de passer pour intelligent dans d’autres, monter des coups avec une caisse vide, recruter… Recruter, c’est persuader un individu de payer une cotisation qui permettra d’imprimer du matériel qu’il sera chargé de propager à ses frais avec comme seule perspective personnelle un séjour au poste de police ou à l’hôpital. Bref, quand on est devenu un bon militant, on est armé pour la vie, mieux qu’en acquérant 3 UV de plus dans son cursus universitaire. Quant aux sections d’assaut, il ne faut pas tomber dans le mépris affiché par quelques intellos pour de gros bras présumés microcéphales. D’abord, on peut être à la fois costaud, courageux, intelligent et cultivé. Je vous concède que l’espèce est rare, plus rare d’ailleurs que celle de ceux qui n’ont aucune de ces qualités. Mais, bien souvent, il vaut mieux disposer de quelques solides gaillards que d’évanescents exégètes de la pensée d’Oswald Spengler. Cela ne sert à rien de réfléchir dans une cave si l’absence de force vous interdit d’en sortir. Comme le dit un chant : « L’homme des troupes d’assaut trace le chemin de la liberté. »

Ordre Nouveau, présenté par Alain Renault, Éditions Déterna, collection « Documents pour l’Histoire », dirigée par Philippe Randa, 460 pages, 35 euros. Pour commander ce livre, cliquez ici

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La collection du mensuel Pour un Ordre nouveau est aussi remise en vente au numéro cliquez là

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Journal du chaos

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vendredi, 27 avril 2018

Mardi 1er mai à 11 h : PLACE DES PYRAMIDES POUR HONORER JEANNE D'ARC

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Jean-Marie Le Pen, Fils de la Nation. Un plébiscite populaire sur fond de mutation du Front national

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Rémy Valat - Source Métamag cliquez ici

Depuis leur parution aux éditions Müller en février 2018, le premier volume des mémoires de Jean-Marie Le Pen (qui en comporteront deux) défient la chronique.

Un événement politique et littéraire ! Imprimées à 50 000 exemplaires et rapidement épuisées, l’éditeur a dû hâtivement lancer une seconde impression. Ce livre connaît un incontestable succès populaire. Un succès qui créerait un « malaise » chez certains libraires des quartiers bobos parisiens. Ici les mémoires du « sulfureux » et « négationniste » Le Pen sont mises à leur « juste place ». Ailleurs, elles sont fièrement exposées en vitrine. Ce qui est certain, c’est que leur publication marque définitivement l’entrée de Jean-Marie Le Pen dans l’Histoire : une manière pour les Français de prendre acte des insuffisances des hommes politiques ayant dirigé leur pays depuis 1969.

Ce qui est rassurant aussi, c’est que les Français lisent et prennent conscience du déclin de notre civilisation. Ce succès de librairie se situe dans la continuité de ceux d’Eric Zemmour (Le suicide français s’est vendu à plus de 300 000 exemplaires), Michel Houellebecq (pour son roman Soumission), Michel Onfray (Décadence) ou bien Patrick Buisson (La cause du peuple qui vient d’être réédité).

Bien sûr, la date de parution de ces mémoires n’a pas été choisie au hasard (même si le début de leur écriture remonte à 1975). Jean-Marie Le Pen qui n’est pas dépourvu d’humour a réalisé un clip promotionnel pour son livre avec une référence appuyée au personnage de Star Wars, Dark Vador. Jean-Marie Le Pen, le côté obscur de la Force et le diable de la République. Oui, mais aussi un héros de science-fiction dont la réplique la plus célèbre à son fils Luke est : « je suis ton père ». Un « n’oublie pas qui t’a fait roi » sur fond de sacre populaire (comme l’atteste ne nombre des ventes qui dépasse largement le cadre des sympathisants et électeurs du Front National) pour le fondateur d’un parti qui n’existera peut-être plus même de nom. La quête fanatique du pouvoir a conduit à des mutations, certes parfois nécessaires de la droite nationale, mais aussi à des formulations des contre-sens démagogiques (comme la retraite à 60 ans). Crise, certes, mais passagère. Car en dépit des errements et de la phase de doute consécutifs à la défaite électorale de l’année dernière, Marine Le Pen reste néanmoins porteuse d’un héritage. Seul le parti pourrait changer de nom.

Fils de la nation et tribun de la plèbe

Jean-Marie Le Pen est né le 20 juin 1928 à la Trinité-sur-Mer. Sa mère était couturière et son père, Jean, connaîtra une fin tragique en 1942. Marin-pêcheur de métier, et ancien mousse sur un cap-hornier, celui-ci disparaîtra en mer après que son chalut ait emmêlé une mine. Orphelin de père, Jean-Marie Le Pen devient pupille de la Nation. Ce drame a indélébilement marqué sa vie, il se considère depuis comme investi d’une mission particulière et marqué par le destin. Issu d’un milieu pauvre, on retrouve dans la trajectoire de Jean-Marie Le Pen le sort d’une large majorité de Français de l’entre-deux guerre : une vie dure et faite de labeur. Des conditions de vie oubliées aujourd’hui, et bien pire que celle que pourrait connaître la majeure partie des citoyens modestes de nos jours (travailleurs immigrés compris). Après maintes péripéties (passage avorté dans la Résistance et expulsion du lycée pour indiscipline), Jean-Marie Le Pen entre à la faculté de droit de Paris (1948) et présidera l’Association corporative des étudiants en droit (ou « Corpo »). Pour financer ses études, il travaille dur : il est tour à tour main pêcheur, mineur de fond et métreur d’appartements. Hyper-actif, il organise et participe avec le soutien du président de la République, Vincent Auriol (rencontré au cours d’une soirée organisée par la Corpo) une mission de soutien aux sinistrés victime d’une inondation majeure en Hollande. Quelques-mois plus tard, il part pour l’Indochine en qualité de sous-lieutenant du 1er bataillon étranger de parachutistes.

De retour en métropole, le Breton se lance pour de bon en politique, il soutient le mouvement poujadiste et est élu député dans la 1ère circonscription de la Seine (1955). Il est à 27 ans l’un des plus jeunes députés de France (il sera réélu dans la 3e circonscription en 1958-1962). Jean-Marie Le Pen quitte un temps l’Assemblée nationale pour participer à la campagne de Suez avec son bataillon, puis en Algérie (1956). Après sa rupture avec Pierre Poujade, Jean-Marie Le Pen s’associe à la création du Front national des combattants et du Front national pour l’Algérie française (qui seront tout deux rapidement dissous). En 1963, il est le directeur de campagne de Jean-Louis Tixier-Vignancour qui sera battu à l’élection présidentielle de 1965. Un temps éditeur de productions phonographiques, sa carrière politique est relancée par les responsables du mouvement Ordre Nouveau qui font appel à lui pour former un nouveau parti : le Front national qui voit le jour en 1972.

Jean-Marie Le Pen est l’incarnation d’une époque mouvementée et violente (qui a accéléré l’émancipation et forgé le caractère du jeune Le Pen) : la Seconde Guerre mondiale et l’immédiat après-guerre (une « Europe barbare » marquée par une montée en puissance du communisme), puis les conflits de décolonisation. Le parcours singulier du fondateur du Front National sur le limes d’un empire colonial en décomposition a fait de lui un observateur privilégié des problématiques actuelles associées à l’immigration et au terrorisme.

Si Jean-Marie Le Pen lie le déclin de la France au communisme et à ses déclinaisons contemporaines, je pense que celui-ci est plutôt le fruit des contradictions des Européens eux-mêmes. Le communisme et ses idéaux de progrès, d’égalité entre les hommes ou de victoire promise du prolétariat ne sont-ils pas une déclinaison désacralisée du christianisme ?

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EN FRANCE, ON AIME ...

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Jean-Claude Thialet

Quelle potion magique rendra suffisamment de virilité aux "Souchiens", non pour prendre au colback (à la façon du dessin ci-dessus, ce qui ne serait pas jugé républicainement "correct" !) nos hôtes dont une minorité grandissante commence à dépasser les bornes, mais simplement pour oser leur dire en face : ras-le-bol de vos exigences accrues, ras-le-bol aussi de vous voir couvrir par votre silence (voire votre solidarité plus ou moins affichés) tous les actes dont vos correligionnaires se rendent coupables et qui remplissent nos prisons, quand ils n'ont pas plongé dans la désolation les familles victimes d'attentats commis au nom de votre Dieu, le Puissant et le Miséricordieux !

Oui, quelle potion magique rendra leur virilité à ceux auxquels il reste encore quelques gouttes de sang gaulois et qui, formatés à la "pensée unique" et au "politiquement correct" par l'Ecole de la République, les Médias et les Assoces en tous genres qui ont fait de l'antiracisme leur fonds de commerce (avec les subventions payées par le contribuables !), sont émasculés par la "Police de la Pensée" et la loi "scélérate"  (1) Fabius/Gayssot aggravée sur proposition du député "de droite" Lellouche ? Des Gaulois qui sont de plus en plus aux prises avec d'autres Associations (toutes animées par l'esprit de gauche !) qui passent leur temps à vouloir interdire aux autres ce qu'ils n'apprécient pas, ou ce contre quoi ils militent. Tout cela au nom de (faux) principes moraux ou philosophiques ! Par exemple la chasse et la corrida (2) ... 

Notes

(1) le mot est de Toubon Jacques, passé aujourd'hui à la Socialie (avant de rejoindre "La République en Marche" ?) comme "Défenseur des Droits" (sûrement pas ceux des "Souchiens" !) et qui avait oublié - devenu Ministre de la Justice (Garde des Sceaux) dans les gouvernements Juppé I et II - de demander l'abrogation de cette "loi scélérate" dont il se sert peut-être aujourd'hui...

(2) précision pour les adeptes de la bien-pensance : je ne suis ni chasseur ni aficionado. Tout juste un monarchiste qui entend que son Pays, la France, Pays à la Culture bi-millénaire, conserve ses moeurs et ses traditions, sans être obligé d'adopter celle d'étrangers au nombre sans cesse grandissant (3) et dont le but final (plus ou moins affiché par certains imans et dirigeants d'Associations de Musulmans) est d'imposer au Pays du "Dâr al-Harb" (le "Pays de la Guerre", ce qu'est la France pour le Coran, Livre qui a force de Loi pour l'Islam !) l'Ouma et la Char'ia. Sinon avec le sabre, du moins par le nombre qui, si l'on en croit les démographes de tous bords (eh oui ! il y a des démographes de gauche !) finira par l'emporter. Au plus tard en 2050 si l'on en croit, disons les moins ... optimistes !

(3) merci à Giscard Valéry et à Chirac Jacques pour leur "Regroupement familial" et leur "IVG", merci à leurs dignes successeurs, particulièrement à Macron Emmanuel et à Edouard Philippe dont la Loi "Asile et Immigration" ne fera qu'aggraver certain "regroupement"...

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jeudi, 26 avril 2018

Mardi 1er Mai à Bordeaux : HOMMAGE A JEANNE D'ARC

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mercredi, 25 avril 2018

« Mort aux confrères ! »

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Eric Delcroix

Tel est le sous titre du Dictionnaire de l’épuration des gens de lettres 1939-1949* que vient de publier Jacques Boncompain, ancien directeur de la Société des Auteurs et Compositeurs Dramatiques (SACD). M. Boncompain a prolongé son étude aux autres sociétés d’auteurs et d’éditeurs d’envergure nationale, savoir la Société des Auteurs, Compositeurs et Editeurs de Musique (SACEM) et à la Société des Gens de Lettres.

Certes, l’ouvrage comporte des dictionnaires des personnes épurées ou inquiétées, mais aussi des développements historiques extrêmement riches, ce qui fait que l’honnête homme de nos milieux ne peut aujourd’hui en faire l’économie. Brasillach, par exemple, y est mentionné sur quelques vingt-trois pages.

La fièvre des épurations

La période recouverte par l’ouvrage, 1939-1949, fait que l’on y trouve bien sûr ceux qui furent les premiers épurés, avant la lettre, dans l’ordre chronologique du Dictionnaire et donc les auteurs juifs visés par les lois de Vichy, contre la surreprésentation juive dans les professions intellectuelles et artistiques. « Dans le cadre de la mission d’étude sur la spoliation des biens des auteurs juifs, présidée par M. Mattéoli, M. Yannick Simon, au terme des travaux au sein de la SACEM, conclut que l’on a pas trouvé trace de détournements. » (page 91). D’ailleurs l’histoire devrait retenir que les procédures contre les ministres et fonctionnaires de Vichy n’ont pas non plus révélé de cas de concussion ou de corruption. Autres temps, autres moeurs...

Le grande épuration sera celle de la réputée Libération, puisque De Gaulle, lit-on, « Au risque d’attiser les haines et les persécutions … recourut à une législation de circonstance, inspirée par « la loi des Suspects » adoptée sous la Terreur. Le Maréchal avait « fait don de sa personne à la France ». Il fit « don de la France à sa personne » (page 694) selon le mot de Paul Morand.

L’étude de Jacques Boncompain permet de voir que si la Société des Gens de Lettres s’est complue dans l’Epuration entreprise en 1944, tel ne fut guère le cas de la SACD et de la SACEM, ces deux sociétés n’agissant « que sous la pression du gouvernement provisoire et répugnent … à se transformer en tribunal ». Elles « accueilleront avec une forme de soulagement la création d’une Commission Nationale d’Epuration », alors que la Société des Gens de Lettres « y verra une atteinte à son autorité » (page 696). Ces Gens de Lettres chafouins seront appuyés par le Comité National des Ecrivains avec Sartre, Eluard, Mauriac, Georges Duhamel ou Paul Valéry ; avec Vercors ou Raymond Queneau « qui s’attacheront à définir les critères de la trahison » (page 148). Accessit pour Claude Roy, «  passé de Je suis Partout au communisme ». D’une Terreur à l’autre, Paul Léautaud écrira alors : « Ce que nous voyons n’est pas loin de 93. »

De Gaulle et les communistes contre la France

Le travail de l’auteur le conduit à rechercher les ressorts de l’Epuration et donc à analyser la situation de la France d’après juin 1940, le pourquoi du comment. En effet c’est une première, car même « A l’issue de la Commune de Paris [les organisations professionnelles d’auteurs] avaient été laissées à l’écart de la répression. » (page 25).

A cet égard, le rappel des propos du vice-amiral Muselier, premier officier général ayant rejoint De Gaulle à Londres, permet de remonter aux causes. Emile Muselier dira de De Gaulle que son « but personnel était de se faire connaître comme l’incarnation de la France, exactement comme le maréchal Pétain, et de ce fait Pétain apparut bientôt comme son principal ennemi. » Au surplus, toujours selon Muselier, plus généralement De Gaulle « semblait oublier que nos ennemis n’était pas les Français. »

Pour parvenir à ses ambitions, le général De Gaulle fera sans vergogne l’alliance que l’on sait avec les communistes, alliance dont le souvenir est évanescent. Aussi fallait-il que les structures politiques et administratives de Vichy fussent démantelées et, à cette fin, faire de la France de nouveau un théâtre de guerre (observable à souhait de Londres ou d’Alger). Et pourtant, tout cela pouvait par hypothèse être évité ; le Dictionnaire rappelle opportunément la stratégie élaborée par le futur maréchal Juin et dont De Gaulle dissuada Churchill. Cette stratégie eût été de porter tout l’effort des alliés occidentaux sur une attaque par le sud, vers Vienne, afin d’amener les Allemands à quitter la France d’eux-mêmes, pour défendre le territoire du Reich… Inimaginable pour la cause des gaullo-communistes, qui eussent vu une transition apaisée de Vichy à la France libérée et réconciliée. D’où le propos rappelé de René Benjamin : « Je ne pense plus sans horreur à l’orgueil de De Gaulle, responsable de tout puisque c’est lui – ne l’oublions jamais – qui a offert aux Anglo-Saxons son pays comme champ de bataille. »

Même sans cette occasion, De Gaulle, pour ses ambitions, espérait tout de la politique du pire. Comme l’a écrit Jacques Laurent, encore cité par l’auteur « [De Gaulle ] voulut l’épuration avec passion, il la prépara avec méthode, il l’attendit avec impatience ».

Grâce au travail sans concession de Jacques Boncompain, nous disposons d’un outil historique très utile, réplacé à bon escient dans de la nouvelle Terreur dont nous avons hérité sans le soulagement que nous aurait valu un nouveau Thermidor. La République, à l’enseigne du bonnet phrygien** des terroristes, cultive malheureusement toujours l’esprit de la guerre civile.

Pour la commémoration de l’anniversaire de la mort du Général, ce 9 novembre 2017, les bons esprits politiciens « patriotiques », tels Philipot ou Dupont-Aigan, se sont précipités à Colombey-les-deux-Eglises. Qu’ils n’oublient pas la date du 11 juillet, anniversaire du compère Maurice Thorez, à Paris, au Père-Lachaise...

* Editions Honoré Champion, Paris, 2016, préface d’Henri-Christian Giraud.

** Bonnet de la canaille terroriste qui fut l’emblème du RPR.

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Article paru dans le n°48 de la revue Synthèse nationale cliquez ici

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LE PRIX DE L’OR N’ATTEND PLUS QUE LE KRACH POUR EXPLOSER !

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Marc Rousset

Lors d’un discours devant le Global Entrepreneurship Congress à Istanbul, Erdoğan a rappelé une suggestion qu’il avait faite au G20 : « Pourquoi tous les crédits sont-ils libellés en dollars ? Utilisons une autre devise. J’ai suggéré d’utiliser l’or. » Erdoğan pressent, en fait, le rôle à jouer de l’or qui, inéluctablement, remplacera un jour le dollar en tant que seule valeur crédible reconnue dans les réserves monétaires des grandes devises internationales : dollar, euro – s’il n’éclate pas -, yen et surtout yuan chinois.

Le yuan se positionne actuellement pour devenir une monnaie de référence, en remplacement partiel ou total du dollar, en s’adossant à l’or dans un avenir plus ou moins proche. Quant aux traders, aux fonds spéculatifs (hedge funds), à Goldman Sachs & Co, ils achètent d’ores et déjà de plus en plus d’or comme valeur refuge. Le nombre de contrats sur le marché du COMEX est passé de 14 millions, au premier trimestre 2016, à 23 millions au premier trimestre 2018.

Il est bien connu, également, que les banques centrales d’Allemagne et de Hongrie viennent de rapatrier dans leur pays une grande partie de l’or détenu en France, en Angleterre ou aux États-Unis, tandis que la Russie et la Chine augmentent de plus en plus le montant de leurs réserves en or.

Autre signe, Alexander Mooney, issu du Tea Party, a déposé tout récemment au Congrès le projet de loi H.R.5404 prévoyant le retour à l’étalon-or pour les États-Unis, afin d’empêcher la Fed et les banques centrales de faire fluctuer à leur guise le montant de la masse monétaire. Il a même écrit un éditorial, dans le Wall Street Journal, comme quoi le système de référence devait être celui du XIXe siècle avec sa croissance record et son inflation nulle entre 1834 et 1913. Ce projet de loi n’a aucune chance d’être adopté, mais il a le mérite de soulever les problèmes du prix de l’or manipulé par les banques centrales, de sa réévaluation et de l’étalon-or.

Tobias Adrian, conseiller financier du FMI, vient de déclarer lors de la présentation du Global Financial Stability Report : « La route qui se présente devant nous s’annonce cahoteuse, avec les risques associés à une hausse des taux d’intérêt, une volatilité élevée des marchés et une escalade des tensions commerciales. » Quant à Vítor Gaspar, directeur du département des finances publiques du même FMI, il considère que « la réforme fiscale [de Trump] et l’accord budgétaire de deux ans avec le Congrès vont creuser les déficits américains de 1.000 milliards de dollars sur les trois prochaines années, soit plus de 5 % du PIB. La dette publique passera de 108 % du PIB en 2017 à 117 % en 2023. » Christine Lagarde, elle, met en garde la Chine sur le risque d’endettement des « initiatives de la route de la soie ».

En Europe, les banques centrales détiennent une trop grande partie de leurs dettes nationales souveraines. La Banque de France détient un peu moins de 20 % de la dette négociable de l’État, alors que le pourcentage n’était que de 5 % en 2014. Malgré l’euro, tout se passe comme si la Banque de France continuait à financer directement le déficit de l’État français – signe de début de banqueroute. Les faucons ont pris les rênes de la BCE tout comme celles de la Fed aux États-Unis, ce qui signifie la fin de l’accroissement des masses monétaires et l’augmentation à venir des taux d’intérêt.

La confiance perdure aujourd’hui sur les marchés, mais elle diminue suite à l’avertissement sans frais de début 2018, et pour combien de temps encore ? Les cygnes noirs sont revenus provisoirement dans leur nid, mais tout est en place pour qu’à la moindre étincelle, un krach se produise d’ici deux ans au plus tard, avec à la clé une explosion du prix de l’or.

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Jeudi 26 avril, à Bordeaux, conférence d'Alban d'Arguin sur les éoliennes

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Portées aux cieux par de nombreux écologistes, les éoliennes rencontrent pourtant de nombreux opposants. Alban d’Arguin est un d’entre eux. Dans son ouvrage Eoliennes, un scandale d’Etat, il revient sur le modèle énergétique de la France et explique comment l’éolien est préjudiciable à bien des niveaux.

L’ouvrage décrypte l’argumentaire des lobbyistes de cette énergie renouvelable, prêts à toutes les compromissions pour installer ces grandes hélices au beau milieu des paysages français, passant la plupart du temps sous silence les désagréments qui les accompagnent. Alban d’Arguin articule son opposition aux éoliennes autour de trois grands principes, le beau, le bien et le vrai et permet, grâce à son travail fouillé, de se faire une idée sur ce qui était longtemps présenté comme une véritable alternative à l’énergie nucléaire.

Alban d’Arguin (DEA de droit public, DEA d’histoire) a fait une carrière de manage­ment et de direction générale à l’international dans un grand groupe financier. Passionné par l’ornithologie et les questions environnementales, il a participé récemment à la création d’une association opposée à l’implantation d’un parc industriel dans sa région et a décidé d’instruire objectivement et exhaustivement la question de l’éolien en France.

Invité par l’association Amitiés Françaises, il donnera une conférence à l’Athénée Municipal le jeudi 26 avril à 20h00 (Place Saint-Christoly, 33000 Bordeaux).

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JEUDI 26 AVRIL, GÉRARD LETAILLEUR INVITÉ À L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR RADIO LIBERTÉS

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Sur EuroLibertés : un article de Rémi Tremblay sur "Un chemin de résistance", le livre de Carl Lang

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Le Parti de la France ou la continuité du Front historique

Rémi Tremblay, EuroLiberté cliquez ici

Ceux qui ont aimé les récentes mémoires de Jean-Marie Le Pen – et ils sont nombreux – apprécieront cet entretien de Carl Lang mené par Jean-François Touzé qui amène un point de vue différent sur l’histoire du Front National.

Lang, qui célèbre cette année 40 ans de lutte pour la nation, 40 ans de résistance sans compromission, « sans courber l’échine » et « sans baisser la tête », s’est joint au Front à l’âge de 20 ans, en 1978. Refusant le communisme, mais aussi le libéralisme, il rejoignit le camp national pour entreprendre le combat de sa vie aux côtés du charismatique Jean-Marie Le Pen.

Son ardeur et son militantisme le firent remarquer et il gravit rapidement les échelons, dirigeant notamment le Front National de la Jeunesse ainsi que le Mouvement des Jeunesses d’Europe et devenant le secrétaire général du parti. Au-delà des souvenirs militants, en lisant cet entretien, on revit l’émergence du Front comme alternative sérieuse aux partis du système et comme force révolutionnaire, mais aussi sa transition vers un parti compatible à la pensée dominante.

Loin d’être aigri malgré les trahisons dont il fut victime, Lang fait revivre cette glorieuse époque et donne au lecteur les clés permettant de comprendre la situation qui prévaut actuellement au front mariniste duquel il fut d’ailleurs exclu en 2009, année où il décida de fonder le Parti de la France, véritable continuité du Front historique.

Plutôt que de prendre une retraite de la vie politique qui aurait été bien méritée, il a continué son combat pour la nation, « communauté physique et de destin », perpétuant ainsi son engagement de jeunesse. Refusant le défaitisme ou la fatalité, il affirme que « le rôle des dirigeants politiques n’est pas de subir l’histoire mais d’agir sur les évènements historiques. »

Partant de ce postulat, il ne propose rien de moins que la remigration, ce qui est fort courageux pour un politicien. Son programme est décrit dans ces pages et en le lisant on comprend rapidement qu’il existe toujours un parti proposant une alternative au système, un parti qui refuse les compromissions et les magouilles, le Parti de la France.

Carl Lang, Un chemin de résistance, Les Bouquins de Synthèse Nationale, 189 p., 2018. Pour commander ce livre, cliquez ici.

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Avez-vous lu le nouveau numéro du "Harfang", la fameuse revue québécoise ?

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mardi, 24 avril 2018

Thierry Bouzard interrogé par "Nous sommes partout"...

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Thierry Bouzard, éminent connaisseur des répertoires de chansons vient de publier un nouveau recueil. Pourquoi encore un  ?

Pourquoi un nouveau recueil de chansons alors que vous en avez publié près de d’une demi-douzaine en près de vingt ans et que l’on retrouve essentiellement les mêmes titres d’une édition à l’autre ?

Une grande partie des 220 chansons publiées se retrouve d’un recueil à l’autre puisque nous avons sélectionné des titres appartenant à notre mémoire collective. L’objectif est que l’amateur y retrouve ses repères, puisse chanter et faire vivre ces chansons à plusieurs, la chanson, comme la musique étant l’expression du lien collectif unissant des communautés, lien toujours à entretenir et à actualiser. L’autre objectif est de faire découvrir quelques nouveaux titres, de création récente ou tout simplement oubliés autour d’une thématique commune : des chansons pour les combats d’aujourd’hui et de demain.

Pourquoi ces critères de l’identité et du combat ?

J’aurais pu faire dans les berceuses ou les comptines. Plus difficilement dans la chanson d’amour, genre universellement plébiscité, mais autant La Paloma ou Lili Marlene ont fait le tour du monde, autant des roucoulades entre homos ou transgenres me semblent plus délicates à promouvoir. On trouve facilement des recueils de chants de marins et de chants scouts, les militaires ne commercialisent pas ou peu leurs carnets de chants et notre époque fait semblant de promouvoir le dialogue pour mieux empêcher l’expression de nos racines identitaires. Les éditions Synthèse m’ont donc demandé de réaliser une sélection pouvant être chantée par toutes les sensibilités de notre famille politique pour communiquer ses valeurs et les transmettre.

Vous pensez vraiment qu’il est possible de trouver un répertoire commun à toutes les différentes composantes de la dissidence nationale ?

Incontestablement, la tâche est compliquée. De nombreux titres sont connus et peuvent être chantés par tous, d’autres devront être réappris pour ceux qui ne pratiquent pas couramment la chanson. Sans être la majorité, d’autres sont à découvrir, peut-être parmi les chants de l’Europe (italiens, allemands, espagnol, russes) ou les cantiques, dont quelques reliques toujours chantées qui appartiennent à notre plus longue mémoire musicale. Quoiqu’il en soit des divergences, il est toujours enrichissant de connaître ce qui rassemble ceux qui nous sont proches.

Quelle est l’originalité de votre recueil ?

D’abord la sélection des titres, ensuite leur présentation, car ils sont tous introduits par un commentaire historique. Il est indispensable, à mon sens, car on chante mieux si l’on sait pourquoi l’on chante et d’où vient ce que l’on chante. Le lecteur fera donc probablement quelques découvertes. Particulièrement dans le répertoire des chansonniers. En effet, on oublie trop souvent les compositions des chanteurs, et chanteuses, dissidents. De ceux qui ont chanté l’engagement pour l’Algérie française, en passant par Pierre Dudan, Didier Barbelilvien, Dr Merlin, mais aussi certaines compositions des groupes skins, du RIF (rock identitaire) ou même des Brigandes. Ils sont évoqués, car le but n’était évidemment pas d’être exhaustif.

Votre recueil ne publie pas les partitions des chansons, comment savoir sur quelle mélodie se chante un titre que l’on ne connaît pas ?

Très simple, il suffit de rechercher le titre sur internet, la plupart figurent sur les sites de vidéos en ligne, et ensuite de l’apprendre à l’imitation. Donc aucune excuse pour ne pas faire vivre ce patrimoine aussi vital pour notre identité qu’il est fragile, car immatériel.

Thierry Bouzard, Les chansons de notre identité, Synthèse nationale, 318 pages, 27 € (port 4 €).

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Dimanche 6 mai, une conférence sur Ortega Y Gasset dans le Morvan

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Nous apprenons la disparition d'Annie Fouet-Pittet

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Un communiqué de Thomas Joly, Secrétaire général du Parti de la France :

C'est avec une très grande tristesse que je viens d'apprendre la disparition, des suites d'une longue maladie, d'Annie Fouet-Pittet, militante exemplaire de la cause nationale depuis des décennies. Conseillère régionale de Picardie à mes côtés, d'une intégrité et d'une abnégation sans failles, elle a rejoint le Parti de la France dès sa création et a largement contribué, avec son mari Paul, à l'essor du PdF dans l'Oise et en Picardie. Prenons exemple sur cette nationaliste courageuse qui a œuvré toute sa vie à la sauvegarde de notre civilisation et de notre identité. Repose en paix Annie.

NDLR SN : Nous nous associons bien sûr à la peine qui est celle de notre ami Paul Pittet, de sa famille et aussi celle de ses nombreux amis du Parti de la France. Annie était toujours présente à nos Journées nationales et identitaires annuelles ainsi qu'à nos diverses manifestations et nous nous souviendrons longtemps de sa gentillesse et de son dévouement à la cause.

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Réinfo, le mag du Parti de la France

• Macron à l'Europe : Le nouveau messie des banques s'est présenté devant les députés européens. C'est l'occasion de faire le point sur la situation de la France.

• Le Vivre ensemble n'a pas de prix : Voitures incendiées, mobilier urbain détruit, forces de l’ordre agressées, pompiers caillassés. À Toulouse, les émeutes de cette semaine font grimper en flèche la note du contribuable.

L'ancien directeur des mines Areva mis en examen : Rapide historique de cette multinationale française du secteur de l'énergie qui sert de prétexte à différentes opérations qui n’ont rien à voir avec son métier.

Hongrie. La victoire de Victor Orban aux législatives de son pays, fait souffler un vent d'espoir pour les peuples d'Europe entrés en résistance.

Et pour finir, l’actualité du parti de la France et les prochains rendez-vous du mouvement.

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Artisans de France sur TV Libertés

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Samedi 19 mai : meeting européen à Barcelone

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ENCOURAGER LES RÉVOLTES CITOYENNES

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Arnaud Malnuit

Certains pinaillent déjà quant à l’action coup menée par les militants de Génération Identitaire pour bloquer le passage de clandestins via les cols des Alpes.

On réduit cela à une simple action de communication, estimant que ça n’empêche pas la submersion migratoire. Laissons là ces esprits grincheux, plus obsédés par des commentaires anonymes sur les réseaux sociaux que par la pertinence d’une action dans le monde réel. Il faut féliciter les militants de Génération Identitaire d’une part pour avoir encore le sens de l’action, la nécessité d’être dans le monde réel, de mettre sur la place publique les vrais sujets clivants. Il suffit en effet de voir l’hystérie des autorités morales et les appels au meurtre à peine déguisés pour voir que la question de l’immigration, de la frontière, du refus des clandestins est une question bien plus importante que l’obsession souverainiste réduite aux seules questions institutionnelles. 

Mais ce qu’ont réellement montré les militants de Génération Identitaire par cette question c’est que des citoyens, mêmes réunis dans des structures activistes, doivent désormais se substituer à l’Etat pour faire appliquer des lois déjà existantes… En effet, les clandestins de par leur présence sur notre sol commentent un délit… Un Etat incapable donc de faire appliquer la loi comme l’ont montré les images de gendarmes incapables de refouler des clandestins encadrés par des gauchistes italiens, forçant avec délice le barrage mis en place par les forces de l’ordre. Un Etat qui abandonne nos compatriotes comme à Calais ou Ouistreham.

Alors oui encourageons ces révoltes citoyennes, soutenons-les, respectons leurs spécificités mais amplifions les en obtenant enfin des élus de la droite nationale, notamment à l’Assemblée nationale. Des élus préoccupés du sort de la France, capables de soutenir d’autres initiatives que les leurs, des élus non obsédés par des questions de chapelles pour savoir s’il faut voter des projets de lois ou des amendements qui vont dans le bon sens.

Il en va de l’avenir de notre nation et de notre peuple.

Parti de la France cliquez là

00:37 Publié dans Michel Malnuit | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Mardi 1er mai : Castres honore Jeanne d'Arc

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lundi, 23 avril 2018

Recyclage politique !

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La chronique de Philippe Randa

Après Jean-Louis Borloo, ancien ministre (de la ville, de l’emploi, de l’économie et de l’écologie) chargé d’éclairer le gouvernement sur les quartiers défavorisés de notre pays (voir Présent du Mercredi 11 avril 2018), c’est au tour de Dominique Voynet, ancienne ministre de l’écologiste et de Marcel Renouf, ancien fonctionnaire de la défense et ancien administrateur supérieur de Wallis et Futuna, d’être missionnés en Guyane et à Mayotte.

La raison ? La forte pression migratoire a généré il y a peu un important mouvement social qui paralysa ces territoires pendant plusieurs semaines ; nos compatriotes n’en pouvant plus d’être les premières victimes de l’immigration clandestine, avaient ainsi voulu dénoncer l’insécurité qui est leur lot quotidien.

Les deux missi dominici du gouvernement Philippe doivent donc « redéfinir » la coopération sanitaire en Guyane et à Mayotte et « réfléchir » à un éventuel statut extraterritorial aux hôpitaux de ces territoires « pour éviter un tourisme sanitaire qui conduit ensuite à des installations dans la durée », selon les déclarations faites, à l’automne dernier, par le président Macron lui-même, bien été obligé de reconnaître que la crise, dûe à l’afflux de patients étrangers qui viennent pour des raisons sanitaires et surchargent les hôpitaux, n’était en rien un fantasme… Il s’était alors dit « prêt à réfléchir à un statut international des lieux de naissance et des zones frontalières pour tenir compte de la réalité (…) et bâtir une coopération en matière de santé » avec les Comores et les pays frontaliers de la Guyane.

En attendant, il recycle donc à tout va, considérant sans doute que c’est avec les anciens ministres qu’on fait les meilleures missions !

Un peu comme dans les vieux pots, l’on ferait les meilleures soupes… politiques !

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Cette Juliette, elle vaut le détour...

 

Dans la catégorie "bêtise crasse", avec cette dénommée Juliette, on a affaire à une championne... Voilà donc un pur produit de la bobocratie post soixante-huitarde qui dévoile sa haine de la race blanche, c'est à dire sa haine d'elle-même. Regardez ce film, c'est affligeant de stupidité et de naïveté. En d'autres temps, cette pauvre gamine aurait sans doute eu un avenir assuré au Parti socialiste...

Il faut vraiment la montrer partout cette Juliette. A elle-seule, elle constitue une véritable "usine à patriotes". D'abord, elle donne l'envie de gerber et, réflexions faites, celle de s'engager encore plus dans le combat nationaliste et identitaire. On comprend mieux en l'écoutant pourquoi, parfois, le GUD pouvait s'énerver...

Quant à Robert Ménard, sa patience l'honore.

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12:31 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Col de l'Echelle : les identitaires ont réussi leur coup...

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Communiqué de Génération identitaire :

Dimanche 22 avril dans la soirée, le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb a publié un communiqué en rapport avec notre action dans les Hautes-Alpes. Comparant notre mission à des « gesticulations », il est néanmoins contraint d’admettre plus loin que tout s’est déroulé « dans le calme ».

Génération Identitaire a fait éclater au grand jour la situation dans les Hautes-Alpes : habitants excédés par l’immigration de masse, nombre de clandestins sous-évalué, frontière passoire où les immigrés illégaux se pressent de plus en plus nombreux... D’autre part, la réalité a été cruelle pour tous les politiques lâches et démissionnaires : il a suffi d’une centaine de jeunes déterminés pour empêcher toute entrée de clandestins par le Col de l’Échelle.

Mis au pied du mur, le ministre de l’Intérieur a conclu son communiqué en précisant que « d’importants renforts de police et de gendarmerie seront mis en place dès ce soir (...) pour s’assurer du respect absolu du contrôle des frontières. Des renforts d’unités mobiles, qui seront également présents en soirée sur zone seront déployés dès demain pour assister l’ensemble des services de la sécurité publique et de la gendarmerie territoriale engagés dans cette mission. »

Le gouvernement reconnaît donc clairement que la situation révélée par Génération Identitaire dans les Hautes-Alpes l’a obligé à réagir. Nous avons pu faire découvrir au ministre de l’Intérieur qu’en effet, il suffisait d’un peu de volonté politique pour empêcher les migrants clandestins d’entrer en France. Nous sommes heureux d’avoir pu lui permettre de s’en rappeler.

11:22 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

MAI 68 : JULIETTE A FAIT CACA SUR LE TAPIS !

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Christian Rol

C’est drôle comme Mai 68 n’en finit pas d’inspirer cette France des fausses élites, celle qui croupit dans les amphis et anone des discours grotesques qui seront demain les éléments de la parole officielle.

En 68, Ducon-Bendhit, le petit pourceau macroniste, interpellait le Préfet Fouchet venu sur le campus de Nanterre, sur « le malaise sexuel de la jeunesse ». Argument de poids en effet auquel le général de Gaulle n’avait guère réfléchi. Ainsi, la poussée hormonale d’un rouquin boudiné, las de se tirer sur la tige, allait-elle inspirer la prétendue « révolution sexuelle » d’une génération. Car, évidemment, avant 68, on ne baisait pas…

La jeune Juliette de Tolbiac, celle qui a enflammé la Toile avec ses théories autour du « genre » et du « racisé », est une héritière de Mai 68, c’est-à-dire de Berkeley. Avec sa tronche de fillette grandie trop vite qui fait l’intéressante au cours des fêtes familiales sous l’œil admiratif de ses géniteurs débiles - "Regardez, Juliette a fait caca sur le tapis !" - cette passionaria des minorités parasites parle comme ces jeunes bourgeoises qui, il y a 50 ans, au même âge, prônaient la dictature du prolétariat avant de regagner l’appartement cossu de leurs parents.

Rien de nouveau donc, à ceci près que Juliette a remplacé l’Internationale par « A la queue leu leu » et que les références au prolétariat ont été détrônées au profit des races (à l’exception des Blancs) et des déviants sexuels. En fait, cette demoiselle pas très fraîche réveille quelques décennies plus tard les veilles lunes inspirées du « descontructivisme » théorisé par Michel Foucault, Derrida et tous les dingues de la French Theorie qui a fait florès, précisément, dans les facs américaines à partir des années 70.

Les Noirs et les Arabes plutôt que les Blancs, les folles plutôt que les hétéros, les Trans en lieu et place des gens normaux sont une sorte de programmation dont Juliette entend diriger, assise sur le pot, le casting pour les années à venir.

Le pire, c’est que ce délire est, à terme, un nouveau diktat qui ne fera plus rire personne…

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dimanche, 22 avril 2018

12 et 13 mai : une fin de semaine chargée pour le Parti nationaliste français

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Le Vatican vu par Christophe Dickès

vatican1.jpgFranck Abed

Le Vatican est souvent associé, sans que l’on sache vraiment pour quelles raisons objectives, aux divagations mêlant légendes, complots et secrets. Christophe Dickès docteur en histoire, spécialiste du catholicisme, nous plonge dans l’univers complexe et passionnant de la papauté. Par ailleurs, il a dirigé le Dictionnaire du Vatican et du Saint-Siège. Il a récemment publié un essai sur L’Héritage de Benoît XVI. Il est également le fondateur de Storiavoce, une webradio consacrée à l’histoire. Avec cet ouvrage fort intéressant de 270 pages, il analyse les « vérités et légendes » du Vatican.

Dès les premières lignes, Dickès rappelle que : « dans l’histoire, rarement une institution a suscité autant de fascination et de passions que le Vatican et le Saint-Siège ». Il prend le temps de poursuivre son idée : « beaucoup de fantasmes aussi, des critiques sûrement, jusqu’à l’expression parfois d’une violence sans retenue ». Les agressions contre l’Eglise, intellectuelles ou physiques, s’intensifient depuis des années au point même qu’en Europe un prêtre catholique a été égorgé par un musulman, alors qu’il célébrait la messe (1). L’auteur déclare que « contrairement à une idée reçue, l’anticléricalisme ou l’antipapisme possèdent des racines profondes, bien antérieures à la période contemporaine ». Il suffit de se remémorer, par exemple, les persécutions anti-chrétiennes sous l’Antiquité pour comprendre que l’Eglise, depuis sa naissance, subit constamment des attaques dont certaines découlent de la haine.

Lorsqu’on étudie la papauté, la question centrale à se poser est la suivante : pour quelles raisons cette institution semble attirer sur elle des idées extravagantes voire délirantes ? L’auteur répond à cette interrogation comme suit : « le Vatican suscite toujours autant de questions. Principalement parce qu’il donne l’impression de s’entourer de nombreux secrets : secret de l’élection des Papes tout d’abord, mais aussi secret des archives, secret de la confession ou encore secret pontifical, qui n’est autre qu’un secret propre à la gestion des affaires de l’Etat ».

Dickès tente de répondre, avec des faits objectifs et des propos circonstanciés, aux principales questions courantes à l’endroit de la papauté. Citons en quelques-unes pour montrer que cette étude se montre exhaustive : l’infaillibilité pontificale donne-t-elle tous les pouvoirs au Pape ? Le Vatican est-il riche ? Est-il misogyne ? A-t-il protégé des pédophiles ? Entretient-il des liens avec la mafia ? La curie est-elle un panier de crabes ? Jean-Paul1er a-t-il été assassiné ? Benoit XVI a-t-il renoncé sous les pressions extérieures ? Du communisme à l’islamisme, le Saint-Siège est-il naïf avec les totalitarismes ? Un Pape peut-il être en rupture avec ses prédécesseurs ? Ces questions sont intéressantes. Elles montrent surtout que le catholicisme embrasse tous les pans de la vie sociale et concerne toutes les interactions humaines. 

Toutefois, avec humilité et justesse intellectuelle, Dickès précise lui-même dans son avant-propos que « les réponses à ces questions n’ont pas la prétention d’épuiser le sujet. C’est pourquoi nous demanderons l’indulgence du lecteur qui nous pardonnera les manquements et les oublis inhérents à ce genre ». Cette position s’explique logiquement par le fait « qu’un historien ne referme jamais ses dossiers. Dans les couloirs de l’histoire il doit rester humble et accepter la contradiction ». Histoire vient « du grec istoria qui signifie enquête » et la présente revient – entre autres – sur la nomination du Pape.

A ce sujet, l’auteur énonce avec pédagogie que « l’élection d’un Pape n’en est pas pour autant un sacrement. Très schématiquement, on ne devient pas Pape comme on devient prêtre. Le prêtre est ordonné, c’est-à-dire qu’il participe physiquement au pouvoir spirituel du Christ-Prêtre. Pour devenir prêtre il est consacré. Le Pape, lui, reçoit un « mandat » : il est élu au cours d’un conclave par le Sacré Collège qui rassemble les cardinaux du monde entier. Le Pape n’est donc pas sacré « souverain pontife » comme l’était le roi de France à Reims. Le Pape devient Pape à l’instant même où il accepte l’élection une fois qu’une majorité au deux tiers s’est portée sur son nom ». L’explication nous paraît limpide. 

Cependant, certains ne comprennent pas ou se moquent du « rôle de l’Esprit-Saint » dans l’élection d’un Pape. Avec le chapitre « Le Pape est-il choisi par l’Esprit-Saint ? » , l’auteur répond très justement à ce questionnement : « Dans le dictionnaire de théologie catholique, il est mentionné que l’Esprit-Saint assiste les électeurs dans le cadre du plan de Dieu, appelé aussi communément Providence, afin de garder l’Eglise dans le droit chemin. Mais cette assistance divine, n’enlève rien à la liberté du choix qui doit s’opérer par les moyens ordinaires. La liberté du cardinal électeur peut aussi l’amener à refuser la grâce et l’assistance du Saint-Esprit, même si Dieu, toujours dans une perspective théologique n’abandonnera jamais l’Eglise qui n’appartient pas aux hommes mais à Lui seul ». La croyance en Dieu n’exclut nullement le libre arbitre et les mauvais choix.

Un attribut papal qui choque la modernité concerne l’infaillibilité pontificale. Effectivement, elle « renvoie à un pouvoir incontesté et incontestable alors que nous vivons dans un monde relativiste où l’autorité est en crise ». Il poursuit son analyse en expliquant que « les revendications contre l’infaillibilité relèvent aussi d’une crise de vérité et de l’identité ». Autre aspect qui anime et alimente les théoriciens du complot : les archives secrètes du Vatican. En réalité, il existe un réel malentendu concernant cette appellation car « les archives secrètes du Vatican n’ont donc de secret que le nom. Ou plutôt le qualitatif « secrètes » doit être interprété dans le sens ancien du terme : privé et réservé au souverain ». D’une manière générale et indépendamment de cette précision étymologique, tout le monde a des secrets. Pour quelles raisons le Pape n’en aurait-il point ?

Dickès aborde de nombreux sujets concernant la papauté et le Vatican, sans pour autant clore le sujet – comme il reconnaît lui-même – car ce dernier reste vaste, éminemment complexe et finalement inépuisable. Toutefois, ce livre constitue une agréable entrée en matière pour celles et ceux qui veulent découvrir réellement le Vatican, loin des calembredaines que nous pouvons lire dans Le Vatican inconnu, Les secrets du Vatican, Le Vatican indiscret, Dossier secret du Conclave, etc. Sans jamais oublier son rôle d’historien, l’auteur pose un regard objectif et lucide sur la mission du Pape, son pouvoir, la diplomatie vaticane, ses enjeux et les réactions papales face aux totalitarismes. En effet, derrière l’image si particulière du Vatican dans l’histoire des hommes, il y a un Etat, un chef, une administration, une politique étrangère, une doctrine, mais nullement une ingénierie machiavélique fomentant des complots ou conservant dans ses archives des inavouables secrets.

(1) Jacques Hamel, né le 30 novembre 1930 à Darnétal et mort le 26 juillet 2016, dans sa 86e année, en l’église Saint-Étienne de Saint-Etienne-du-Rouvray, est un prêtre catholique français de l’archidiocèse de Rouen, martyr de l’Eglise catholique, assassiné par deux terroristes musulmans.

Le Vatican Vérités et légendes, Christophe Dickès, Perrin, mars 2018, 272 pages, 13 €

Source cliquez ici

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Des nouvelles du Col de l'Echelle : les migrants ne peuvent plus passer

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Communiqué de Génération identitaire :

Defend Europe Mission Alpes : la première partie de la mission s’achève, la surveillance de la frontière continue !

Débutée le samedi 21 avril, la première partie de la mission Alpes de « Defend Europe » organisée par Génération Identitaire s’achève, mais une surveillance mobile de la frontière continue avec plusieurs équipes.

Depuis le début de la mission, Génération Identitaire a déployé d’importants moyens pour empêcher les immigrés illégaux d’entrer en France. Grâce à la surveillance des points de passage à l’aide de moyens terrestres et aériens (drones et hélicoptères), l’entrée clandestine dans notre pays a été rendue impossible.

La première partie de la mission a été réussie. Nous avons démontré qu’avec de la volonté, il est possible d’empêcher les migrants clandestins de s’introduire illégalement sur notre sol. Si une centaine de jeunes ont pu le faire, alors le gouvernement le peut ! 

Génération Identitaire réclame l’arrêt définitif des flots d’immigrés illégaux qui se déversent en France et en Europe, la remigration des clandestins dans leur pays d’origine et le blocage définitif du Col de l’Échelle.

ON EST CHEZ NOUS !

Plus d'infos cliquez ici

NDLR SN : Là où il y a une volonté, on peut stopper le chemin des autres...

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A Marseille : le Bastion social avec la Syrie de Bachar

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Samedi après-midi des militants marseillais du Bastion social ont manifesté leur soutien à la Syrie baassiste en lutte à la fois contre l'islamisme terroriste et contre la coalition mondialiste menée par les Etats-Unis.

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Ce fut aussi le cas à Lyon devant le consulat américain.

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Pour son 150e anniversaire

Maurras-NE.jpgGeorges Feltin-Tracol

Il y a 150 ans, ce 20 avril 1868 naissait à Martigues un homme qui fait toujours trembler les bases de la République des Lettres et de la République elle-même : Charles Maurras. La démission de dix membres sur douze du Haut-Comité aux commémorations et l’arrêt définitif du Livre des commémorations nationales qui comportait cette année un beau texte de l’universitaire Olivier Dard prouvent que l’auteur du Chemin du Paradis continue à déranger. Tant mieux !

Dans sa livraison annuelle de 2017, la revue Nouvelle École anticipa l’anniversaire par un riche dossier sur Charles Maurras. Ce numéro 66 fait déjà date par l’ampleur des contributions réunies. Outre une impressionnante bibliographie réactualisée rédigée par Alain de Benoist, le directeur de la revue examine aussi « Maurras et le romantisme », un sujet ô combien passionnant quand on sait que le théoricien de l’Action Française réprouvait ce courant littéraire trop sentimental à son goût. Rémi Soulié insiste sur sa jeunesse fédéraliste et félibre. Michel Lhomme traite de son influence en Amérique latine. Francis Mourry étudie l’apport du positivisme dans la théorie maurrassienne et revient sur Pierre Boutang, son principal héritier. Baptiste Rappin établit une courte et très stimulante comparaison entre deux « infréquentables » à l’heure de l’indignation permanente des « Bo-bo » féminisés, Maurras et Heidegger, tous deux grands admirateurs de l’Antiquité grecque. Si Axel Tisserand décrit les relations entre Maurras et l’abbé Penon, Martin Motte insiste, pour sa part, sur Kiel et Tanger, l’ouvrage géopolitique méconnu de Maurras quand bien même Georges Pompidou en cita quelques extraits lors d’une allocution à Sciences Po-Paris en 1972.

On y trouve enfin un entretien avec Gérard Leclerc. L’auteur royaliste, éditorialiste à France catholique et chroniqueur à Radio Notre-Dame, a participé à la scission de « gauche » de la Restauration nationale en compagnie de Bertrand Renouvin pour former une Nouvelle Action française ensuite devenue la Nouvelle Action royaliste. Cet entretien est un événement. En 1975, dans Le Désordre établi, Bertrand Renouvin s’attaquait à Jean Royer, au formidable Jean Cau, au prophétique Camp des Saints de Jean Raspail et à la revue… Nouvelle École !

Auteur un an plus tôt d’un très remarquable essai, Un autre Maurras, Gérard Leclerc a raison de rappeler que L’avenir de l’Intelligence demeure un « livre percutant […] une charge contre les forces d’argent qui dominent la société dans les démocraties modernes et un appel à l’alliance des forces de l’esprit et de la politique contre la “ tyrannie économique ” (pp. 89 – 90) ». On attend d’ailleurs la réédition prochaine de ce maître-ouvrage. Regrettons en revanche que ne soit qu’effleurée la conception maurrassienne de l’« Union latine », ce projet européen alternatif cohérent.

Ne gâchons cependant pas notre plaisir. Maurras dans Nouvelle École, ça a quand même plus de gueule qu’une pseudo-célébration gueusarde prononcée par un ministricule quelconque !

Bonjour chez vous !

• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°75, diffusée sur Radio-Libertés, le 20 avril 2018.

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