jeudi, 16 mai 2019
Vendredi 24 mai, à Dijon : conférence de François Ferrier sur la Syrie
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mercredi, 15 mai 2019
Serge Abad-Gallardo, «Euthanasie, la franc maçonnerie est à la manœuvre»
Entretien exclusif avec Armel Joubert des Ouches sur réinformation.tv
Après avoir passé plus de vingt ans au sein des loges maçonniques du Droit humain, une émanation du Grand Orient, Serge Abad-Gallardo, ancien haut fonctionnaire, converti au catholicisme, avait livré son parcours au lecteur dans un premier livre « J’ai frappé à la porte du temple ». Il revient aujourd’hui avec la sortie d’un nouvel ouvrage intitulé « Les manœuvres de la franc-maçonnerie pour le “droit à mourir” ».
Serge Abad-Gallardo sait de quoi il parle
L’euthanasie. On en parle beaucoup en France depuis ces 10 dernières années. Il y a eu l’affaire Vincent Humbert. Il y a eu ensuite le douloureux dossier Vincent Lambert, dossier toujours en cours actuellement. Deux événements sur lesquels les médias et le monde politique se sont appuyés pour faire « la promotion » de l’euthanasie, une mort selon eux « lente mais digne et sans souffrance ». Depuis sa conversion au catholicisme, Serge Abad-Gallardo est directement concerné par le sujet. Depuis 2012, de façon bénévole, il visite les malades. Dans le cadre d’une pastorale de la santé, il a intégré une aumônerie catholique. Affecté dans le service de soins palliatifs d’un hôpital public, Serge Abad-Gallardo accompagne des mourants avant leur décès. A ce jour, il s’est rendu au chevet de plusieurs centaines de personnes. « J’ai vécu de véritables d’amour avec des hommes et des femmes, sur le plan spirituel, explique-t-il. Ce sont des gens qui sont devenus mes amis et je pense avoir été leur ami. Quelqu’un que vous ne connaissez pas, vous entrez dans une chambre, vous le suivez pendant 2 semaines, 2 mois. Et lorsque vous terminez, vous prenez sa main et il part en vous regardant. Il n’est pas indigne et vous non plus. Vous n’êtes pas son bourreau. Vous l’accompagnez sur un chemin que lui seul peut prendre qui le chemin du mystère. Ce mystère que la franc-maçonnerie refuse de voir. Pour la franc-maçonnerie, il n’y a pas de mystère, il n’y a que des secrets ! Voilà encore une différence énorme entre le catholicisme et la franc-maçonnerie ».
Une fixation sur la franc-maçonnerie ?
Selon Serge Abad-Gallardo, pour se convaincre de l’implication de la franc-maçonnerie dans les débats qui ont lieu depuis de nombreuses années visant à imposer l’euthanasie dans la société française, il suffit juste de juger des faits. « Et les faits parlent d’eux-mêmes. Lorsqu’on lira mon livre, explique-t-il, on s’apercevra que la franc-maçonnerie est à la manœuvre derrière l’idéologie mortifère qui tend à vouloir imposer l’euthanasie dans la loi française ». L’auteur dit confirmer ses propos par des écrits maçonniques.
Les idéaux de la FM sont inscrits dans la société française
« Le tout premier projet de loi enregistré aux assemblées date de 1976. C’est le sénateur Henri Caillavet qui en est le rapporteur ou même l’auteur. Monsieur Romero, président de l’association pour le droit à mourir dans la dignité expliquait, dans une interview accordée à un journaliste, que Monsieur Caillavet était l’un des derniers grands franc-maçon et homme politique… »
Des faits irréfutables
Dans cet entretien réalisé par Armel Joubert des Ouches, Serge Abad-Gallardo révèle qu’il possède une planche maçonnique sur laquelle l’auteur fait l’apologie de l’euthanasie. Selon ce dernier, cette planche date de 2004. « Cet auteur fait l’éloge de l‘euthanasie alors même qu’il décrit une situation où la personne ne souffre pas ! On voit donc bien qu’il y a, derrière l’idéologie maçonnique, la volonté de maitriser le moment où l’homme décidera de mourir. »
« Mais où est donc l’amour dans cette société ? »
« Vous savez, les gens, lorsqu’ils parlent d’euthanasie, ils vous disent “J’ai besoin de votre amour”. Notre monde manque d’amour ! Lorsqu’on est atteint d’une grande maladie, un médecin vient vous dire « L’issue est fatale, votre maladie a gagné, maintenant nous allons soulager la douleur ». Ces gens passent par un certain nombre de phases… On ne gère pas une société comme on gère une entreprise. Les personnes ne sont pas des machines. Je suis déjà rentré dans des chambres où des personnes avaient des cancers, explique-t-il. Des personnes qui se trouvaient en chimiothérapies. La chimio fait vomir, donc cela sentait le vomi. A ces gens-là, je leur prenais la main et ils n’étaient plus indignes. Si nous considérons qu’une personne âgée à une bouche de grenouille et qu’elle sent le vieux, alors nous sommes des barbares ! Il faut faire comprendre à ces personnes-là ce qu’est l’amour de Dieu que nous portons en elles ».
21:29 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Pour ceux qui veulent voter pour la liste de la la Reconquête (Dissidence française) : comment faire ?
De nombreux lecteurs nous demandent, depuis quelques jours, comment faire pour voter pour la liste de La Reconquête (Vincent Vauclin, La Dissidence française).
Pour imprimer le bulletin de vote cliquez ici
Le 26 mai, il leur suffira de le mettre dans l'urne (après être passé dans l'isoloir).
Pour ceux qui voudraient voter pour la liste Ligne claire (Renaud Camus) cliquez là ou pour celle de l'Alliance royale cliquez ici
19:47 Publié dans Européennes 2019 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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L'hommage aux soldats tués... au nom de l'inconscience
19:35 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Macron : substitution de candidature, détournement d’élection !
Bernard Antony dénonce l’entourloupe du président de la République :
Allez Loiseau, courage, plus qu’une dizaine de jours à tenir et la dure épreuve sera finie !
On apprend ce matin que Macron a fait tirer à 60 000 exemplaires pour cette élection « européenne » une affiche avec sa photo. Comme si c’était lui la tête de liste ! Pas question donc de la bobine de Loiseau qui, dit-on, ne cesse pas, comme la Castafiore dans Tintin, de se regarder dans son miroir. Se rengorgeant souvent de dépit courroucé, ne se trouve-t-elle pas aussi belle que Macron ?
En clair, cette pauvre Loiseau en a marre d’être prise pour une potiche. Mais qu’elle se rassure, c’est tout de même elle qui sera élue. Elle pourra alors se reposer dans la fonction de parlementaire européen dont elle se gardera d’avoir une conception par trop héroïque. Peut-être siègera-t-elle assidument mais on la verra sans doute plus dans les immeubles de Strasbourg et de Bruxelles qu’allant constater sur le terrain les dégâts des traités de libre échange et les abominations de l’islam jihâdiste.
Mais pour l’heure, c’est bien Macron qui effectue l’entourloupe d’une sorte de substitution de candidature. Voter pour la liste de la REM, ce sera voter pour lui bien que non candidat réel !
Lui qui utilise souvent le concept « d’imaginaire » pratique ainsi un véritable détournement d’élection.
Comme tous ceux qui n’ont que le mot de démocratie à la bouche, il en piétine allègrement la règle du jeu la plus élémentaire en détournant l’élection en un vote de fait sur sa personne.
À grand risque, il est vrai. Car si la liste oiseuse dont il est la véritable tête ne l’emporte pas, comme cela est bien possible, alors ce sera pour lui une claque, un désaveu dont il ne se remettra pas. L’imagine-t-on après pareil échec aller faire le mariole auprès de Trump, de Xi ou de Poutine ?
Le général De Gaulle, lui, avait tiré, par sa démission immédiate, les conséquences de la défaite du oui au référendum de 1968.
Si le 26 mai la liste faussement Loiseau réellement Macron est battue, nul ne comprendrait que Macron ne fasse pas de même, car ce serait de toute façon sa fin.
15:13 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Jean Sévillia & Jean-Pax Méfret : La tragédie de l’Algérie française
Soirée avec Jean Sévillia & Jean-Pax Méfret chez les Éveilleurs sur le thème "La tragédie de l’Algérie française: l’histoire et la mémoire” au théâtre Nouvelle France le 11 avril 2019 au Chesnay.
14:37 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Le prochain numéro d'Eléments sortira à la fin de la semaine
10:38 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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La Jeanne d'Arc de la Dissidence française sur LDC News
01:08 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Lundi soir sur LCI, face à Cohn-Bendit : le courage de Caroline-Christa Bernard
Lors du débat entre le démagogue sulfureux Daniel Cohn-Bendit cliquez ici et le talentueux Eric Zemmour lundi soir sur LCI plusieurs Français étaient invités à prendre la parole. Parmi eux Caroline-Christa Bernard qui, avec courage et lucidité, a remis l'immigrationiste de Franckfort à sa place.
Juriste et artiste, Caroline-Christa n'avait pas hésité à répondre à l'appel lancé par Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, en mars dernier contre la dissolution du Bastion social cliquez là.
00:19 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mardi, 14 mai 2019
Alain Escada : La bataille pour Notre-Dame de Paris ne fait que commencer !
18:53 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Viviane Lambert sera devant l’hôpital de Reims ce dimanche 19 mai
Chers amis,
Dans ces moments dramatiques, je suis très touchée par tous vos messages de soutien pour mon fils Vincent.
Vous êtes nombreux à me demander « Qu’est-ce qu’on peut faire » ?
Ce dimanche 19 mai , je serai dès 15h devant l’hôpital de Reims, pour les supplier de continuer à hydrater et nourrir Vincent. En France, en 2019, personne ne devrait mourir de faim et de soif. Si vous le souhaitez, vous pouvez m’accompagner.
CHU de Reims – Hôpital Sébastopol
48 rue de Sébastopol
Il faut garder espoir jusqu’au bout et expliquer à tout le monde que Vincent n’est pas en fin vie, il est handicapé ! Rien n’est perdu, le comité des personnes handicapées de l’ONU a demandé à la France de continuer à hydrater et alimenter Vincent. Il faut que la France respecte la convention qu’elle a signée, elle doit le faire pour Vincent mais aussi pour tous les autres handicapés.
Encore merci à tous, du fond de mon cœur de maman.
Viviane Lambert,
maman de Vincent Lambert.
18:24 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Marion Sigaut : L’incendie de Notre-Dame, à qui profite le crime ?
16:52 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Question sur notre présence en Afrique
Le billet de Patrick Parment
La mort de deux soldats français en Afrique pose la question de savoir ce que nous faisons sur ce continent et surtout qu’ambitionnons-nous ? Il y a des restes de la Françafrique me direz-vous, correspondant à une zone d’influence. Mais est-ce toujours le cas à l’heure où le continent fait l’objet des ambitions des Chinois et des Américains qui se livrent une sourde bataille.
Il est bien fini le temps que l’on a appelé colonial et qui consistait à apporter les bienfaits de notre civilisation en pacifiant les rapports entre les ethnies, en les dotant d’infrastructures diverses (routes, ponts, bâtiments) et surtout à mettre en place un système de santé - n’en déplaise aux tenants d’une chimérique « décolonisation » - et non à les dépouiller de leurs ressources, vu qu’à l’époque, il n’en était guère question. La grande erreur de la colonisation a été d’avoir dressé une géographie des frontières qui ne tenait pas compte de l’essence même de la réalité africaine, l’appartenance ethnique. Or, cette réalité d’hier est aussi celle d’aujourd’hui. Il est d’autres fractures, religieuses celles-là, entre chrétiens et musulmans par exemple. On retrouve en général les premiers dans l’orbite des pouvoirs, ce qui ne manque pas d’engendrer des rancoeurs.
Tout cela pour dire que dans ce que l’on a appelé le colonialisme, il y avait avant tout de l’humain avec ses vertus et ses défauts. Ce n’est plus le cas dans le cadre de la Françafrique qui est devenu un concept purement économique. Ce n’est plus le cas aujourd’hui où tous les protagonistes, occidentaux ou chinois, n’ont d’autre motivation que l’appropriation des ressources dont le continent est riche : pétrole, uranium, métaux rares, etc.
C’est triste à dire, mais tous les efforts consentis pour faire décoller l’Afrique n’ont pas donné de grands résultats. La grande erreur, sans doute, est d’avoir greffé des concepts occidentaux comme la démocratie ou les droits de l’homme sur des populations pour qui cela n’a aucun sens. Egalité, fraternité, parité, liberté, n’ont pas la même signification en Afrique. Et encore moins le rapport au temps, historique en Occident, ahistorique (au sens splenglérien du terme), en Afrique. Tout l’argent versé (et tous les Etats ne sont pas pauvres) n’a bien souvent servi que les intérêts de la caste au pouvoir et nourri leurs comptes en Suisse. Le mot répartition n’a semble-t-il guère de sens ici. Même un esprit éclairé comme Houphouët-Boigny a servi ses intérêts et ceux de son clan comme en témoigne la surréaliste cathédrale de Yamoussoukro. On a laissé des fous furieux ramener leur pays à l’âge de pierre comme c’est le cas au Zimbabwé, comme c’est le cas en Afrique du Sud avec l’ANC au pouvoir qui est en train d’appauvrir à grande vitesse ce qui était hier encore le pays le plus prospère d’Afrique. La comparaison entre le niveau de vie des Noirs hier et celui d’aujourd’hui, l’atteste malheureusement.
Aussi, à coups de milliards, Chinois et Américains sont en train d’inaugurer une autre forme de colonisation qui est proprement une autre version de l’esclavage. Car l’objet de ces attentions est économique avant d’être humain.
C’est la raison pour laquelle on se pose la question de savoir qu’elle est la finalité de notre présence en Afrique, mais surtout notre intérêt à intervenir militairement. S’il s’agit de contenir les flux migratoires, alors c’est toute l’Europe qui est concernée et pas seulement la France. C’est donc des « casques bleus » européens qui devraient opérer et pas seulement l’armée française. D’autant que l’Europe dispose encore d’une belle force de frappe économique pour contraindre les pays du pourtour méditerranéen comme de l’Afrique subsaharienne à contenir les flux migratoires.
Par ailleurs, il ne semble pas que dans ces pays de l’Afrique subsaharienne on protège des intérêts nationaux comme ceux des Bolloré et autre Total. Mali, Niger, Tchad, Mauritanie ne sont pas, que je sache, des terres de grand business à l’exception, peut-être, des mines d’uranium du Niger. Certes, ces pays ont pour langue officielle le français et le franc CFA pour monnaie. Mais est-ce suffisant pour envoyer nos soldats au casse-pipe au nom de la lutte contre Daech et sur un territoire gigantesque en grande partie désertique. On saisit mal l’intérêt. Le bilan économique est maigre. D’où ma question : qu’est-ce qu’on fout là ? Il est bien évident que d’un point de vue européen, la question serait tout autre. Il marquerait l’existence d’une Europe de la puissance et donc décidée à en découdre avec les Américains et les Chinois. Ce qui n’est pas le cas.
12:18 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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L'intervention de Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, lors du meeting de Civitas dimanche à Paris
11:22 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Hausse du carburant : c'est reparti.
- Le prix du pétrole tout d’abord. Depuis le début de l’année, une baisse de la production et un euro faible face au dollar ont largement renchéri les cours du baril de brut. Celui-ci rentre pour un tiers environ dans le niveau du prix d’un litre de carburant, avec le transport et la distribution.
- Le contexte géopolitique, ensuite. Les incertitudes liées à la guerre commerciale voulue par les États Unis et la situation de plus en plus menaçante au moyen Orient créent les conditions d'une crispation des marchés pétroliers ; une situation que la crise ouverte entre les États Unis et l’Iran à propos du nucléaire, assortie de menaces militaires US (les Américains ont envoyé un porte-avions, plusieurs dizaines de bombardiers B52, des véhicules amphibies et une batterie de missiles Patriot sur zone), de gesticulations menaçantes de l’Arabie Saoudite, et d'un ultimatum sur 60 jours de Téhéran mettant les Européens devant leurs responsabilités, ne peut qu'aggraver dans la mesure où la France doit importer 99 % du pétrole dont elle a besoin.
- Le poids de plus en plus lourd de la fiscalité, enfin. Si un tiers du prix du carburant est lié à celui du brut, les deux autres tiers sont intégralement constitués par deux taxes : la TVA et surtout la TICPE (taxe intérieure sur la consommation de produits énergétiques), qui inclut la taxe carbone dont la hausse, rappelons-le, n'a pas été annulée par le gouvernement en décembre dernier comme veut le faire croire la propagande de Matignon, mais seulement reportée au début de l’année prochaine. Résultat : sur un litre de carburant vendu 1,60 € à la pompe, un euro part dans les poches de l’État. Ce qui représente une manne de 34 milliards d’euros (Mds€) par an, dont le gouvernement n’a nullement l’intention de se déposséder (la proposition émise par Macron au mois de février de restaurer la taxe flottante de Lionel Jospin censée faire baisser la fiscalité sur le carburant en fonction de l’augmentation du coût de l'importation du pétrole étant un leurre destiné à tromper les consommateurs : la taxe flottante, si elle a coûté 2,7 milliards d'euros à l'État pendant le court moment où elle fut en vigueur, n'a nullement bénéficié aux automobilistes puisque la baisse du prix à la pompe n'a, à aucun moment, dépassé les 2,2 centimes.
10:50 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Affaire des otages : une déclaration de Jean-Marie Le Pen
10:34 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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AFRIQUE DU SUD : UNE FOIS DE PLUS, LES BLANCS « SONT ROULES DANS LA FARINE » !
Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat
L’Afrique du Sud a voté le 8 mai et, partant, a désigné de factoson Président, le leader du parti qui obtient le plus grand nombre de députés, sans compter, si nécessaire, les marchandages de dernière minute. Depuis avril 1994, c’est le règne du « one men, one vote », la catastrophique soumission de Frédérik De Klerk, dernier leader du grand Parti national. Ce parti qui fut, par excellence, le parti afrikaner, n’existe plus, il s’est immolé et s’est dissous, - un comble ! -, au sein de l’ANC avec ses derniers renégats en quête d’un poste ministériel !
L’Afrique du Sud des dernières années de l’apartheid, s’était pourtant bien « améliorée », si je puis dire. Les noirs, toutes ethnies confondues, majoritaires, pouvaient exercer leurs droits civiques dans leurs Etats d’origine, une dizaine, dont 4 indépendants, les fameux « TBVC », Transkei et Ciskei pour les Xhosas, - l’ethnie de Mandela -, le Bophuthatswana pour les Tswanas et le Venda pour les… Venda. Plus 6 autres entités autonomes. Sans oublier les township, ces immenses banlieues aux toits de tôles ondulées, où les noirs détribalisés qui les habitaient, élisaient en toute indépendance leurs conseils municipaux. Les métis, peuple issu de la fusion des premiers colons blancs et de leurs domestiques, tout comme les Indiens, importés si je puis dire, par les Anglais pour travailler dans les plantations du Natal, avaient leur propre chambre élue aussi au suffrage universel, et leur propre conseil ministériel pour gérer les affaires concernant leur communauté. Certains de leurs membres, minoritaires, siégeaient au sein du cabinet national, à Pretoria. Ce système, en net progrès, avec parallèlement l’abolition de l’apartheid mesquin et la légalisation de l’African national congress (ANC), allait sur la bonne voie et n’attendait plus qu’un coup de pouce pour faire surgir les Africains, à leur tour, sur la scène politique nationale.
A vouloir tout garder, les blancs ont tout perdu
La grande erreur des blancs, on ne le dira jamais assez, fut de ne pas avoir consolidé territorialement ces Etats ethniques, véritables « archipels en terre ferme ». (Le Bophuthatswana par exemple, riche en minerais, s’éparpillait en sept enclaves !). Et, à vouloir tout garder, ils ont tout perdu. Car, c’est la théorie de l’ethno mathématique électorale énoncée par le Professeur Bernard Lugan, qui s’avère prédominer partout en Afrique. Au lieu de négocier la création d’une Union fédérale, avec des garanties fondamentales pour la minorité blanche, et pas seulement elle d’ailleurs, - car on voit bien que les métis font de la part des noirs de l’ANC, l’objet de suspicion -, De Klerk a tout lâché à Nelson Mandela. Ce dernier, si je puis dire, « a roulé les blancs dans la farine ! ».
L’African National Congress est devenu le premier parti d’Afrique du Sud grâce à sa masse électorale noire dominante. Et il l’est resté, même si ses scores se sont érodés. Pourquoi ? Il est sévèrement concurrencé sur sa gauche par le parti extrémistes, raciste et haineux, l’Economic freedom fighters, l’EFF de Julius Maléma dont les slogans sont, rappelons-les, « une balle, un blanc » ou « tuez les Boers », les Boers étant ces fameux paysans d’origine hollandaise qui devinrent ,au fil du temps, avec l’absorption de Huguenots et de réformés allemands, les Afrikaners créateurs, avec les Anglais, de l’Afrique du Sud moderne que j’ai connue, et qui n’est plus que l’ombre d’elle-même.
Mandela, un moindre mal, mais aujourd’hui….
Les premières années du règne de Mandela, tant bien que mal, se déroulèrent sans trop de heurts, encore que, déjà, des assassinats de blancs précipitèrent la fuite d’un grand nombre d’entre eux, un million en 25 ans. (A noter que la première épouse de Frédérik De Klerk, le dernier président « blanc » de la RSA, fut assassinée). Et pour 4 départs, on ne recense qu’un seul retour, le mal du pays peut-être, ou la nostalgie du « biltong », cette viande sauvage séchée ! Connaissant leur savoir-faire, le Mozambique, le Congo Brazza, la Zambie et la Russie, ont proposé gratuitement des terres aux fermiers, afin de développer de vastes superficies. Il faut dire que les meurtres, dans des conditions abominables d’agriculteurs et de leurs familles, sans oublier la menace prégnante de la confiscation de leurs biens sans indemnisation, poussent aux départs. Par exemple, à Perth, très grande ville de l’Ouest australien, on recense plus ou moins 20 000 Sud-africains exilés, principalement anglophones.
De sinistres exemples qui ne serviraient à rien ?
Comme si le sinistre exemple du Zimbabwe n’avait pas servi de leçon, le président sortant Cyril Ramaphosa, ancien syndicaliste qui a brillamment réussi dans le business, comme son prédécesseur d’ailleurs, - ce Jacob Zuma remercié par l’ANC pour faits avérés de corruption et de détournement de fonds publics à usage personnel -, se préparerait-il à nationaliser les propriétés des blancs, pour les distribuer à ses frères noirs, la plupart, hélas, incapables comme leurs voisins du nord, de les exploiter correctement ? Comme si les exemples, en vrac, de l’Algérie, du Venezuela ou de leur voisin zimbabwéen ne servaient pas d’expériences maléfiques, d’exemples où l’on voit des pays bénis des Dieux, ayant tout ou presque, s’enfoncer dans la misère par la seule incurie de leurs mauvais dirigeants. Les responsables sud-africains, en agissant de même, s’enfermeraient alors dans une profonde bêtise idéologique. Les recours juridiques suspendront-ils leurs décisions et les expropriations ? Dans ces inconfortables conditions de vie et l’incertitude planant sur leur avenir, on comprend que le taux de natalité chez les femmes d’origine européenne baisse constamment : de 3,1 en 1971 à 1,4 en 2007, pour ne retenir que ces deux chiffres. Au train où vont les choses, - baisse démographique et émigration -, un institut démographique local, le SAIRR a prédit… zéro blanc présent en RSA en 2101 ! C’est dans 82 ans, c’est-à-dire après-demain…
L’ANC sort affaibli de ce nouveau scrutin
Alors, après cette sombre mais objective approche, quels sont les résultats de cette consultation ? Quelles leçons peut-on en tirer, qui sont les perdants et les gagnants ? L’ANC est concurrencée sur sa gauche, comme sur sa droite. Les noirs éduqués et friqués, certains en tout cas, - il faut dire et redire qu’il y a plus ou moins 4 millions de noirs qui vivent, sinon comme des nababs, mais qui ont un standard de vie compatible avec les niveaux européens les plus développés -, peuvent avoir renoncé à soutenir l’ANC. Ceux-là auraient tendance à rejoindre les métis, qui votent pour l’Alliance démocratique (DA), l’alternative multiraciale, pourtant essentiellement blanche lors de sa création. Elle domine au gouvernement de la ville du Cap et dans sa province. Qu’en est-il en ce mai 2019, 25 ans après la honteuse capitulation de l’ex-président De Klerk, redisons-le, en rase campagne ?
L’ANC garde la majorité, Cyril Ramaphosa restera président de la RSA
Avec plus ou moins 57% des suffrages, l’African National Congressreste le parti majoritaire au sein des 400 députés de l’Assemblée nationale, mais il va perdre des sièges au profit de Julius Malema et de son mouvement, l’Economic Freedom Fighters (EEF) qui passe de 6 à 10% des voix. L’Alliance démocratique (DA), qu’a rejoint la communauté métisse et les noirs modérés , stagne à moins de 21% des électeurs qui se sont exprimés. Le Freedom Front +, (FF ou VF selon la langue utilisée), le petit parti de la minorité afrikaner, - 6% de la population totale -, obtient 2,3% et conservera ses 4 députés, 1% des effectifs parlementaires. Il lutte contre la ségrégation à l’envers, le Black économic empowerment, une discrimination positiver qui avoue son nom et qui réserve un avantageux quota de jobs aux seuls noirs, entrainant de fait, la misère chez les anciens fonctionnaires « pâles », dont certains sont devenus des abonnés à la soupe populaire. Cyril Ramaphosa aura fort à faire face à ses concurrents en interne et, surtout, face à la surenchère démagogique de l’EEF, qui joue sur le mécontentement d’une grande partie de la population, laquelle se sent toujours frustrée, en dépit de la disparition du pouvoir politique des blancs. Scolarisation, adduction d’eau, effacement progressif des bidonvilles, électrification, redistribution des terres, sont au menu du gouvernement ANC. Et en même temps, il faut rassurer les investisseurs étrangers afin de combattre un chômage endémique touchant, officiellement, 27 % de la population active, en réalité bien plus.
L’ANC avait déjà enregistré lors des dernières élections municipales de 2016, son plus bas score, un pourcentage historique de 54%, lui faisant perdre les mairies de Johannesburg et de Pretoria, respectivement métropole économique et capitale politique du pays. Le Président a maintenant devant lui cinq ans pour faire mentir les mauvais pronostics, sans compter que ses propres amis de l’ANC l’attendent « au coin du bois ». Un tournant majeur pour la crédibilité du pays sera la grande affaire de la redistribution des terres. Si la République d’Afrique du Sud s’entêtait à copier les modèles zimbabwéen ou algérien, c’en serait fini de la prospérité agricole, partant des rentrées de devises, avec, à la clé, d’énormes problèmes alimentaires. Ramaphosa, que l’on dit pragmatique, cèdera-t-il aux démons idéologiques ? « La suite au prochain numéro… »
10:28 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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lundi, 13 mai 2019
Dimanche, avec plusieurs défilés, Paris à honorer Sainte Jeanne d'Arc
Plusieurs défilés ont marqué ce dimanche, comme chaque année, la Fête de Jeanne d'Arc à Paris.
Celui de l'Action française
Tout d'abord, à tout seigneur tout honneur, le traditionnel cortège de l'Action française. Toujours très animé, parti de l'Opéra dès 10 h, il fut le premier à arriver devant la statue de la Place des Pyramides. Enfin, presque le premier... car, dès potron minet, les autorités y avaient fort discrètement (bien que la fête de Jeanne d'Arc soit une fête nationale dont il n'y a pas à rougir) fait déposer quelques couronnes de fleurs (service minimum). Rappelons que dans les années 1920, les Camelots de Roi (les troupes de choc de l'Action française), avaient réussi, "au prix de 10 000 jours de prison" selon la formule consacrée, à imposer le deuxième dimanche de mai comme jour de cette fête patriotique.
Celui des nationalistes
Une fois la commémoration monarchiste terminée, vinrent les organisations nationalistes au premier rang desquelles se distinguait, avec ses nombreux drapeaux noirs frappés de son emblème, le fer de lance, la Dissidence française de Vincent Vauclin. La DF réalise actuellement un joli coup en présentant la liste de la Reconquête aux élections européennes du 26 mai prochain. Des délégations du mouvement belge francophone Nation, des jeunes camarades lillois d'Action nationale radicale, des monarchistes dissidents de l'AF étaient aussi présentes. Le Parti nationaliste français d'Ivan Benedetti, venu en force, bouclait ce défilé. Devant la statue de la Sainte les responsables des différents mouvements ainsi que le directeur de la revue Synthèse nationale, Roland Hélie, qui dans un esprit de synthèse avait bien volontiers répondu à l'invitation amicale de Vincent Vauclin (tout comme à celle d'Alain Escada l'après-midi), prirent la parole pour expliquer le sens profond de cette manifestation.
et celui de Civitas
L'après midi, c'était au tour de Civitas de battre le pavé parisien. Comme c'est le cas depuis plusieurs années le cortège catholique est parti de la Place Saint Augustin... là où la veille Carl Lang, au nom du Parti de la France, avait aussi organisé une cérémonie.
Avant le départ de cette manifestation, plusieurs responsables politiques et associatifs, parmi lesquels Alexandre Cabriac et Pierre Studer de Civitas ainsi que l'historienne Marion Sigaut, Clément Gautier au nom des royalistes, Alexandre Simonot des Comités Jeanne et Roland Hélie pour Synthèse nationale, intervinrent sur une tribune spécialement installée pour ce meeting en plein air et en plein soleil.
En tête du cortège qui rassemblait plus d'un millier de participants, trois cavaliers dont une Jeanne d'Arc en armure avaient fière allure. Cela n'échappa pas aux milliers de Parisiens qui flânaient en ce bel après-midi sur les Boulevards. Beaucoup manifestèrent d'ailleurs leur sympathie au passage de la procession. Les slogans : "La république est maçonnique, la France est catholique", "Nous voulons la vérité sur Notre-Dame" ou encore "Dissolution du CRIF et de la LICRA" ne laissaient pourtant pas planer l'ombre d'un doute sur la nature de celle-ci.
L'abbé Xavier Beauvais et Alain Escada, président de Civitas, prononcèrent leurs remarquables discours au cours desquels l'un et l'autre n'hésitèrent pas à émettre de sérieux doutes sur la version officielle de l'incendie "accidentel" de la Cathédrale Notre-Dame de Paris, avant la dispersion, sans incident, en fin d'après-midi place des Pyramides.
Le succès rencontré par ces différents rassemblements nous confirme que quelque chose est en train de changer dans notre beau pays de France...
S.N.
20:51 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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LA FRANCE SACRIFIE LES MEILLEURS DE SES FILS : POUR QUI, POUR QUOI ?
Pierre Vial, Président de Terre & peuple
Deux soldats français d’élite, Cédric de Pierrepont et Alain Bertoncello, appartenant au célèbre commando Hubert, sont morts pour libérer deux olibrius, deux pédagos français, homosexuels qui venaient de se « marier » et étaient en « voyage de noce » au Bénin, dans une zone réputée dangereuse (source : Le Figaro).
Les autorités françaises étaient parfaitement informées de cette situation. Elles portent donc la responsabilité d’avoir sacrifié deux soldats exemplaires pour récupérer deux zozos qui méritaient de goûter aux charmes de la séquestration par des djihadistes.
Décidément ceux qui sont censés représenter la France (plus pour longtemps, je l’espère) ne méritent ni notre respect ni notre obéissance. A chacun d’en tirer les conséquences.
PS : pour les élections européennes, évidemment tout sauf Macron.
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Un nouvel ordre multipolaire fondé sur la régulation
Ligne Droite cliquez ici
Le concept de communauté internationale, qui revient de façon récurrente dans le discours des diplomates occidentaux, n’est qu’un artifice destiné à légitimer la politique étrangère des États-Unis. Or celle-ci, porteuse de l’idéologie mondialiste, est contraire aux intérêts de la France et de l’Europe. Aussi notre pays devrait-il, selon Ligne droite, contester l’organisation actuelle des relations internationales et nourrir la grande ambition d’œuvrer à l’avènement d’un « nouvel ordre multipolaire » ancré dans la réalité du monde d’aujourd’hui et axé sur la régulation des échanges.
La notion de communauté internationale, un instrument de l’imperium américain
La notion de « communauté internationale », qui reprend sous un angle un peu différent celui de nouvel ordre mondial très en vogue à la fin du XXe siècle, est en effet une formule des plus ambiguë. Ceux qui s’en réclament laissent entendre qu’ils parlent pour l’ensemble des nations du monde, alors qu’il ne s’agit le plus souvent que des États-Unis et de leurs « alliés ». Cette référence à la communauté internationale est dès lors quasi systématiquement utilisée pour des actions ou des prises de position qui servent les États-Unis et leur vue du monde.
Autant dire, dans ces conditions, que cette notion s’inscrit dans un cadre très politiquement correct. Elle repose sur l’idée que le modèle américain fondé sur le libéralisme et la démocratie va s’étendre au monde entier et s’appuie sur l’idéologie mondialiste qui conduit à supprimer les frontières, à réduire le pouvoir des États et à œuvrer à la globalisation de la planète. En effet, la communauté internationale en question ne se préoccupe pas des identités et considère avec méfiance les États qui y demeurent attachés comme la Russie et tous les pays de l’Est de l’Europe.
Une conception politiquement correcte inadaptée au monde multipolaire d’aujourd’hui
Ligne droite estime en conséquence que les notions de nouvel ordre mondial et de communauté internationale doivent être rejetées car elles véhiculent le mondialisme, le libre-échangisme intégral, l’immigrationnisme et l’atlantisme. À ce titre, elles vont à l’encontre de ce qui est souhaitable pour le France et l’Europe, aussi notre pays doit-il les contester tout en proposant une autre vision.
Cette démarche se révèle d’autant plus légitime que le concept de communauté internationale ne correspond en rien à la réalité du monde d’aujourd’hui. La planète est en effet loin de converger autour du pôle américain, lequel perd d’ailleurs de son influence. Notre époque apparaît au contraire marquée par l’émergence de nouvelles puissances qui structurent la scène mondiale selon un schéma multipolaire. Un schéma qui n’est pas compatible avec la notion de communauté internationale puisqu’aucun des nouveaux pôles émergents comme la Chine, l’Inde ou le monde musulman, pas plus d’ailleurs que la Russie, le Brésil ou l’Afrique, ne sont prêts à s’aligner sur les États-Unis.
Il faut lui substituer le concept de nouvel ordre multipolaire
Ligne droite considère donc que la France devrait se faire le champion d’une autre conception des relations internationales. Une conception qu’elle devrait populariser sous le nom de « nouvel ordre multipolaire » et qui devrait reposer sur deux grands principes : prendre en compte la réalité multipolaire du monde d’aujourd’hui et substituer à l’ultralibéralisme international le principe de la régulation générale de tous les échanges.
Le nouvel ordre multipolaire pour une régulation des échanges
Contrairement au nouvel ordre mondial qui organisait le laisser-faire laissez-passer général tant pour les biens et services que pour les mouvements migratoires, le nouvel ordre multipolaire proposé par la droite nouvelle devrait s’appuyer sur le principe simple selon lequel les échanges ne sont admis que s’ils sont bénéfiques pour les deux parties concernées et doivent donc être régulés en conséquence.
Dans ce cadre, l’organisation du commerce mondial devrait être entièrement revue et de nouvelles négociations devraient être ouvertes en son sein pour mettre en place des écluses douanières entre les grands ensembles économiquement homogènes.
De même, s’agissant de l’immigration, la maîtrise des flux devrait s’imposer comme la règle commune. Aucun mouvement migratoire ne pourrait être organisé sans l’accord des deux pays concernés. Quant aux déplacements clandestins, ils devraient être combattus par les pays d’émigration comme par ceux d’immigration et, dans la mesure où ils sont organisés par des filières mafieuses, traités comme tels par les services compétents.
Le nouvel ordre multipolaire pour la stabilité du monde
Par ailleurs, le nouvel ordre multipolaire devrait prendre en compte la réalité du monde et reconnaître son caractère multipolaire. Pourrait en effet être constitué un G9 d’un nouveau genre regroupant les principaux pôles de puissance: Chine, Japon, Inde, Brésil, États-Unis, Russie et Europe, auxquels devraient être adjoints deux autres États, l’un représentant le monde musulman et l’autre l’Afrique (au besoin selon une formule de tourniquet). Une telle instance même informelle qui représenterait avec neuf partenaires la presque totalité de la population mondiale pourrait être le lieu le plus pertinent où débattre des conflits et des problèmes du monde. Une configuration qui serait capable d’apporter une plus grande stabilité internationale, car fondée, non plus sur une puissance unique qui cherche à s’imposer, mais sur l’équilibre des principaux pôles de puissance de la planète.
Le nouvel ordre multipolaire, un projet susceptible de s’imposer
Pour mettre en œuvre un tel projet, très différent des pratiques actuelles, la droite nouvelle, une fois au pouvoir, devrait commencer par faire de la France le champion de cette idée, à charge pour elle de l’expliquer et d’en assurer la promotion. Si, ensuite, l’Europe confédérale, telle que préconisée par Ligne droite, reprenait ce projet à son compte, gageons que tout deviendrait alors possible. L’idée d’un nouvel ordre multipolaire pourrait en effet intéresser les BRICS. Le Brésil, la Russie, la Chine, l’Inde et l’Afrique du Sud cherchent en effet à réduire l’influence des États-Unis dans le monde. Ils ne pourraient dès lors que soutenir un projet visant à institutionnaliser la réalité multipolaire qu’ils incarnent et, forte de ce soutien, l’Europe serait en mesure de faire prévaloir ce changement radical de l’organisation des relations internationales.
En tout état de cause, la France, dirigée par la droite nouvelle, aurait tout intérêt à porter l’idée d’une rénovation profonde des relations internationales. En dehors des bénéfices qu’elle et les autres pays européens pourraient en retirer si le projet se concrétisait, le seul fait de s’en faire l’artisan permettrait à la France de gagner en stature et d’offrir aux Français des perspectives ainsi qu’une ambition collective qui leur rendrait espoir et fierté.
12:11 Publié dans Ligne Droite | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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dimanche, 12 mai 2019
Samedi à Paris, dans une ambiance chaleureuse, le Parti de la France a fêté ses dix ans
Le reportage du Parti de la France cliquez là
Salle comble ce samedi pour le banquet du Parti de la France organisé dans un grand restaurant parisien où nous avons dû, hélas, faute de places, refuser des réservations. Merci à tous nos militants qui, par leur mobilisation, ont rendu ce succès possible.
De nombreuses personnalités extérieures, mais partie prenante du mouvement national français et européen, avaient répondu à notre invitation. Ainsi Koen Dillen, ancien député européen du Vlaams Belang qui transmit son amitié personnelle et celle des nationalistes flamands à Carl Lang et au Parti de la France, et Bernard Monot, économiste réputé et très actif député français au Parlement européen. On notait aussi la présence chaleureuse de Christelle Lechevalier, députée européenne, elle aussi, et conseillère régionale de Normandie, Valérie Redl conseillère régionale de Bourgogne, Lorrain de Sainte-Affrique, secrétaire général des Comités Jeanne et Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale.
À la demande de Carl Lang, une minute de silence fut respectée en mémoire de nos deux officiers mariniers du Commando Hubert, Alain Bertoncello et Cédric de Pierreport, morts la veille au combat au Burkina Faso dans l’accomplissement de leur mission, exemple parfait des vertus militaires et du sens du sacrifice de nos soldats d’élite.
Tout au long de ce banquet se sont succédés les orateurs du mouvement, tous membres du Bureau politique, présentés avec précision, talent et efficacité par notre ami Jean Verdon qui, en prélude, avait brièvement rappelé les conditions de la création du PdF.
C’est ainsi que notre Secrétaire général Thomas Joly rappela l'engagement de nos militants dans l’action électorale et de terrain depuis dix ans, avant de placer chacun devant ses responsabilités : face à la déferlante migratoire et à l'offensive islamique, nous ne pouvons compter que sur nous. « Ce sera eux ou nous ! ».
Myriam Baeckeroot, trésorière nationale, ancienne conseillère régionale d'Ile de France, dressa un panorama financier du PdF, parti économiquement sain car sans dettes, contrairement à toutes les autres formations de l’échiquier politique.
Roland Hélie et Jean-François Touzé
Jean-François Touzé, délégué national aux études et argumentaire et directeur de Connexion rappela que l'engagement militant, loin d’être une option était une nécessité et un devoir. « Nous ne sommes pas un club de joueurs de boules, pas plus que nous ne sommes l’Amicale des anciens de la flamme, mais un parti politique qui a vocation à parvenir aux responsabilités ».
Sylvie Collet, ancienne conseillère régionale de Normandie, présentatrice du magazine Réinfo, évoqua tout le travail accompli par elle-même et Gilles Arnaud pour faire de la communication en ligne du Parti un outil performant au service de notre combat, outil qui, dans les prochains mois va se rénover et se redéfinir pour mieux répondre encore aux attentes.
Fernand Le Rachinel, figure historique de la Cause, ancien député européen membre fondateur du PdF, fit un historique de ces dix années de combat, précédées de plusieurs autres décennies au sein de la Droite nationale, et confia sa confiance dans l’avenir de notre parti.
Particulièrement applaudi, son blazer couvert de ses décorations gagnées au feu, Roger Holeindre, président d'honneur du Parti de la France, ancien député, soldat de toujours et combattant inlassable, emblème du courage et de la constance nationale, parla avec sa force et sa foi inaltérables de ses soixante quinze ans passés au service de la France française donnant ainsi, comme il a toujours si bien su le faire, l’exemple de la volonté et de la détermination militante.
Dans un grand, long, profond et brillant discours, notre Président, Carl Lang, rappela le sens politique et spirituel de notre engagement. Se revendiquant comme un homme de droite, un combattant national et un partisan de l'Europe européenne, il dénonça longuement les trahisons et les renoncements – ceux de nos adversaires tenants du mondialisme et de l'immigrationnisme bien sûr, mais aussi, hélas, ceux venus de notre camp, avant d'appeler chacun à la résistance et à la mobilisation militante totale dans la discipline, le respect des décisions stratégiques et des lignes politiques adoptées. « J'ai voulu que nous soyons un parti, pas un simple mouvement. J'ai, en effet, la certitude que, au milieu des dangers immenses qui menacent l'existence même de la France et de notre civilisation, seul un parti sera en mesure de faire face ».
À l'issue de ce banquet, une délégation du PdF s'est rendue Place Saint Augustin à Paris où Carl Lang, conformément à la tradition nationale, déposa une gerbe au pied de la statue de Jeanne d’Arc, sainte et héroïne de la Patrie.
21:15 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Pierre Cassen ne se laisse pas impressionner par "l'affaire des otages"
20:37 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Mobilisation générale ce dimanche 12 mai à Paris
00:50 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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samedi, 11 mai 2019
Une soirée d'hommage à Dominique Venner le mardi 21 mai à Paris
22:24 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Alain de Benoist sur TV Libertés
Le philosophe et écrivain Alain de Benoist enregistre une nouvelle émission des « Idées à l’endroit » sur le thème de la géopolitique. Pour évoquer cette science sociale, il s’entoure de plusieurs invités de grande qualité : Pascal Gauchon, Hervé Juvin et Gérard Dussouy. Ensemble, ils évoquent l’influence des facteurs géographiques sur l’histoire et sur la politique, sur les rapports de force dans l’espace, dans les territoires.
21:42 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Mercredi 15 mai, une soirée cinéma à la Nouvelle Librairie
Guillaume Tell, un héros suisse à La Nouvelle Librairie !
Rencontre autour de David L'Épée, le plus suisse des rédacteurs d'Eléments, et de Thierry Lopez d’Artus Film, à l'occasion de la sortie en DVD du film « Guillaume Tell » (1961) de Michel Dickoff et Karl Hartl. Avec ce rarissime film de cape et épée sur le héros national suisse, l’éditeur à l’ours noir inaugure une prometteuse collection « Histoires et légendes d'Europe ». Au programme également, un classique « perdu » et retrouvé par Artus, « Les Vieilles légendes tchèques » (Staré povesti ceské, 1953), du maître de l’animation tchèque Jirí Trnka.
Présentation des fabuleuses collections d'Artus Film par Nicolas Gautier et Pascal Eysseric, de la rédaction d'Eléments, le mercredi 15 mai de 18 à 20 heures à la Nouvelle Librairie 11, rue de Médicis à Paris 6e.
20:59 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Le prix du sang
Anne-Sophie Chazaud*
L'homofestivus est partout chez lui...avec le sang des autres.
Afin d'aller secourir deux hommes otages, Messieurs Picque et Lassimouillas qui avaient cru bon d'aller célébrer leur voyage de noces en batifolant dans une zone hautement déconseillée par le Quai d'Orsay depuis plusieurs mois pour cause de terrorisme islamiste, deux commandos de Marine, Cédric de Pierrepont et Alain Bertoncello, parmi l'élite de l'armée française, sont morts.
Il est normal d'aller secourir les ressortissants français en danger partout où ils se trouvent. Il serait normal ensuite d'interroger ces "homos festivus" sur leur degré de responsabilité dans la situation que leur propre insouciance a créée, voire de leur faire payer les dommages, étant entendu que pour les parents des deux militaires, c'est la condamnation à la douleur à perpétuité.
Là où l'on dévisse complètement dans l'indignité, c'est quand on apprend que le chef de l'Etat les recevra en grande pompe à l'aéroport de Villacoublay, comme s'ils étaient des héros, alors que par leur comportement stupide et irresponsable ils ont mis en péril et causé indirectement mais clairement la mort de deux de nos concitoyens parmi les plus valeureux.
Mais, dans le fond, le bobo mondialiste, l'adulescent hors sol, le branchouille inclusif qui pense que la planète entière est son terrain de jeu et que l'homme par nature est bon, ne constitue-t-il pas une bonne définition et une parfaite connivence avec ce qu'incarne, aussi, la non-pensée macronienne?
Dans ces conditions, après tout, il est normal que tout ce petit monde se retrouve, en vie.
(*) Journaliste (Causeur, Marianne, etc) - Le titre est de la rédaction
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Journal du chaos
09:18 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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vendredi, 10 mai 2019
Escroqueries à la CAF : pourquoi le gouvernement reste-t-il si discret sur les fraudes ?
Philippe Kerlouan Boulevard Voltaire
Si vous prétendez que les fraudes aux allocations familiales sont nombreuses et qu’elles peuvent impliquer des étrangers, vous vous ferez traiter aussitôt de fabulateur ou de xénophobe. Et pourtant, les faits viennent parfois vous donner raison. On apprend ainsi, dans Le Parisien, qu’une bande organisée de Roumains vient d’être démantelée : elle avait escroqué la CAF de Valenciennes d’1,7 million d’euros d’aides sociales.
Une paille, par rapport au chiffre avoué par les responsables de la Caisse nationale d’allocations familiales (CNAF), pour l’année 2018 : plus de 300 millions d’euros, pour 44.897 cas officiellement détectés ! Mais rassurez-vous : si le chiffre a doublé depuis 2013, ce n’est pas parce que les manœuvres illicites augmentent, c’est, selon le directeur général de la CNAF, « le signe d’un meilleur ciblage des contrôles ». Mince consolation, car on se demande combien de fraudes restent encore inconnues.
La majorité des fraudes (73 %) proviendraient de fausses déclarations ou d’omissions, 8,5 % de faux et usages de faux, 18,4 % de fraudes à l’isolement (ah, qu’en termes galants ces choses-là sont mises !). Mais cela ne représente que 0,35 % des allocataires : « L’immense majorité des personnes qui se trompent ne sont pas des fraudeurs. » D’où le « droit à l’erreur », introduit par la loi intitulée « pour un État au service d’une société de confiance ». On est content de savoir que les Français ne sont pas des fraudeurs – ce dont on ne doutait pas –, mais, alors, quelle est cette minorité qui parvient à escroquer, en un an, plus de 300 millions d’euros ?
En l’occurrence, dans l’affaire en question, ce sont des Roumains, deux hommes et leurs compagnes, qui sont soupçonnés d’avoir monté, rien qu’en 2017, 1.200 dossiers frauduleux. Sous le statut d’auto-entrepreneur, de jeunes femmes déclaraient qu’elles étaient enceintes pour toucher des indemnités de la CAF. Apparemment, cette bande comptait des faussaires, puisqu’elle fabriquait de fausses cartes d’identité roumaines et de faux certificats de naissance. Mais notre gouvernement ne va tout de même pas faire preuve de discrimination à l’égard de ressortissants de l’Union européenne.
Selon Le Parisien, au terme de plus de deux ans d’enquête, la police judiciaire de Lille et la police aux frontières de Valenciennes ont pu appréhender une partie de la bande… dans le Bas-Rhin, où ils montaient une autre affaire. Les donneurs d’ordre ont été arrêtés en Roumanie, en attendant leur transfert devant un juge français. Il ne s’agit pas d’être alarmiste, mais force est de constater que ce sont des étrangers – fussent-ils européens – qui sont les auteurs de ces fraudes.
Ce genre de pratiques ne recouvre qu’une petite partie des fraudes sociales. Selon la sénatrice centriste Nathalie Goulet, la fraude aux numéros de Sécurité sociale, attribués sur la base de faux documents, serait évaluée à 14 milliards par an. Quand Marine Le Pen ou Nicolas Dupont-Aignan ont dénoncé ce chiffre, voici quelques mois, on les a traités de tous les noms. On ne pouvait en faire autant avec une honorable parlementaire centriste. Le secrétaire d’État au Numérique a, d’ailleurs, assuré de la détermination du gouvernement à « lutter massivement contre la fraude documentaire ». On se demande bien pourquoi, en décembre, l’Assemblée nationale a voté contre la remise d’un rapport d’information sur le sujet.
Emmanuel Macron et son gouvernement, si sensibles à la lutte contre les fausses nouvelles, ne contribuent-ils pas eux-mêmes à la désinformation en n’exigeant pas une transparence totale sur ces pratiques frauduleuses ?
17:15 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Jean-Yves Le Gallou : « Il pourrait y avoir une politique européenne restrictive à l'immigration »
Jean-Yves Le Gallou, fondateur de l'institut Polemia, est l'invité politique de l'Info avec Stéphanie De Muru, sur RT France, le 9 mai.
Il réagit aux propos de la ministre de la Justice, Nicole Belloubet, qui a affirmé que l'immigration est «un phénomène mondial» qui ne peut pas être arrêté. Selon lui, des solutions existent contre «l'invasion migratoire» à l'échelle des Etats comme à l'échelle européenne, à condition d'appliquer des «législations moins attractives».
10:05 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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